Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:28

Martinov 22 – Univers parallèles – 12 – Le plan de Mathilde par Maud-Anne Amaro

 

 Toilettes stamp

 

Le professeur Martinov a tenu à téléphoner à Mathilde afin de l’informer des intentions de Beautilleux.

– Souhaitez-vous qu’on en parle un peu tous les deux, passez donc me voir, vous savez bien que j’apprécie votre compagnie.

 

Il n’allait pas dire non !

 

C’est Fabienne toujours attifée en soubrette d’opérette qui l’introduit (oh) en tortillant du popotin

 

– Bonjour professeur ! Vous regardez ma robe, elle vous plait ?

 

Mathilde est vêtue d’une simple robe non décolletée avec des manches courtes, dans les tons noirs, gris et blancs savamment mélangées. Rien d’érotique mais beaucoup de classe.

 

– Vous êtres très élégante !

– Merci ! C’est gentil ! Alors si j’ai bien compris, Beautilleux recommence ses bêtises ? Demande Mathilde.

– On dirait bien !

– Qu’est-ce qu’on peut faire ? Et si on ne fait rien, qu’est-ce qui se passe ?

– Rien, Framboisert refusera de faire affaire, Beautilleux ira voir ailleurs, il trouvera bien un margoulin qui exécutera sa commande et il pour mettre en œuvre sa nouvelle escroquerie.

– Ouais, à cette différence que si c’est votre collègue qui lui fait son bricolage, on garde un certain contrôle sur lui..

– Certes, mais pourquoi le laisser faire ?

– Je vous explique, si on le laisse faire sans contrôle, il va finir par se faire choper et il va se retrouver en tôle, c’est pas comme ça qu’on va récupérer notre fric !

– Alors ?

– Il va escroquer une vieille qui sera fatalement pleine de fric. Est-ce si grave ?

– Déontologiquement c’est pas terrible.

– Oui mais c’est ma déontologie, pas la vôtre. Vous savez, j’ai pas mal escroqué dans ma vie, mais je n’ai jamais mis personne sur la paille, mes victimes avaient de la réserve. Alors on le laisse faire et à la sortie on récupère la mise. Un petit rafraîchissement, professeur ?

– Ma foi pourquoi pas, un jus de fruit ?

– Fabienne, servez un jus de fruit à ce charmant monsieur.

– Concrètement vous voyez ça comment ? Remarquez, je demande ça comme ça, parce que ça ne me regarde pas.

– Un tout petit peu quand même. Je vais payer votre collègue, je vais lui demander d’incorporer un traceur dans son cadran, ainsi on saura toujours où il se trouve. Quand il entrera en action, on déboule et on récupère le fric.

– C’est qui « on » ?

– Ce sera Inès et moi, mais comme ça risque de faire un peu juste question rapport de force, on va peut-être solliciter le gentleman professeur qui est devant moi ? Minaude Mathilde

– C’est hors de question. J’en suis désolé.

– Et parce que pourquoi ?

– J’ai une tête à voler les petites vieilles ?

– Mais on ne volera aucune petite vieille comme vous dites. On va la laisser payer Beautilleux, à ce moment-là l’argent est à lui et c’est à lui qu’on le prend et comme c’est de l’argent dû, ce n’est même pas de vol, c’est du recouvrement.

– J’ignore combien il vous doit, mais vous pensez vraiment que la première escroquerie vous remboursera ?

– Ne soyez pas naïf, professeur ! Beautilleux va demander un montant exorbitant pour sa prestation, peut-être 1.000 euros, en fait j’en sais rien… Mais comme vous le dites, ça ne sera pas assez.

– Et bien alors ?

– Un escroc ça raisonne en escroc, il ne va pas se contenter du prix de la prestation, il va essayer de rafler tout ce qu’il peut rafler. Et là ça devrait nous rembourser.

– Et si le coup rate, comment le saurez-vous ?

– J’ai une petite idée ! Fabienne, il vient ce jus de fruit ?

– J’arrive madame, je répondais au téléphone…

 

La soubrette arrive avec le jus de fruit.

 

– Fais voir, Fabienne ! Ça m’a pas l’air bien frais cette affaire-là!

– Pourtant madame…

– Ce n’est pas grave. Intervient Martinov

– Admettons, mais sinon Fabienne peut vous offrir sa bière maison. J’ai cru comprendre lors de notre dernière rencontre que vous n’étiez pas contre ce genre de fantaisie…

– Ben…

– C’est du premier cru. Tu as envie de pisser, n’est-ce pas Fabienne ?

– Un petit peu, oui.

– Alors en piste !

– Dans un verre ou à la source, Madame.?

– Que préférez-vous professeur ?

– Vous me tentez ! La source c’est bien mais je risque de me mouiller.

– Mettez-vous donc à l’aise, quand elle aura fini de pisser je vous montrerais mes nichons.

– Mais vous êtes une coquine Mathilde !

– Une coquine qui va bien te sucer la bite !

– Vous avez des arguments auxquels il est difficile de résister.

– A poil, monsieur le professeur.

 

Et Martinov qui bande déjà à la perspective de cette petite séance complétement imprévue se déshabille entièrement ne gardant que ses chaussettes.

 

– Chose promise, chose due ! Commente Mathilde en extrayant un sein de sa robe. Caressez-le, juste un peu.

 

Il y a comme ça des propositions qui ne se refusent pas. Martinov se contente d’effleurer ce délicieux mamelon.

 

– C’est doux, n’est-ce pas !

– C’est exquis, chère madame !

– Ça te fait bien bander, mon cochon !

– Eh, oui, vous êtes bandante, chère madame.

– Mais Fabienne, je t’ais demandé quelque chose, il me semble.

– C’est que j’attends que Monsieur se mette en position.

– Eh bien va chercher une grande serviette de bain afin que Monsieur Martinov s’allonge dessus.

 

Quand elle revient, le professeur est invité à se coucher dessus. Fabienne s’accroupit de façon à ce que sa chatte soit presque en contact avec la bouche gourmande.

 

Et hop, ça coule ! Martinov se régale, d’autant que Fabienne sait très bien maîtriser la situation, urinant par saccades successives. Il finit cependant par faire un geste signifiant par-là, que le trop est l’ennemi du bon.

 

– Alors c’était comment ? Demande Mathilde.

– Délicieux !

– Voudriez-vous gouter au mien tout à l’heure ?

– Avec grand plaisir.!

– Ah au fait, Fabienne, qu’avez-vous fait l’autre fois avec ce gentil monsieur, je n’ai pas tout vu, j’étais très occupée de mon côté.

– J’ai chauffé Monsieur, puis je lui ai prodigué une fellation.

– Parlez donc plus crument, nous sommes entre-nous, que diable !

– Je lui ai sucé la bite, et après je l’ai enculé avec un gode.

– Ah voilà qui est clair ! Et vous avez apprécié, cher professeur ?

– Elle m’a fait ça très bien !

– Vous aimez donc jouir du cul ?

– Je le confesse, et vous chère Mathilde, permettez-moi de vous appeler Mathilde, aimez-vous ce genre de chose ?

– Mais parfaitement, j’adore que l’on m’encule, et je compte sur vous pour me le faire dans un petit moment.

– Ce sera un plaisir.

– Me permettez-vous d’être très indiscrète ?

– Madame si vous voulez-bien me montrer votre autre sein, je vous permettrais toutes les indiscrétions.

 

Mathilde dévoile alors son autre nichon, se le caresse et s’en pince le téton.

 

– Vous êtes un petit cochon, mais ce n’est pas pour me déplaire. On dit que l’usage du gode chez les messieurs signifie une tendance vers la bisexualité, partagez-vous ce pont de vue ?

– Vous savez, les théories toutes faites sur la sexualité… Je n’ai pas d’avis en général, mais en ce qui me concerne, disons que j’aime bien les bites ! Cela répond à votre question ?

– Certes, et les bites je suppose que vous ne vous contentez pas de les regarder, j’ai bon ?

– Vous avez bon, j’aime toucher, sucer et aussi me faire prendre.

– Savez-vous que c’est l’un de mes fantasmes de voir deux hommes se sucer et s’enculer.

– Un fantasme jamais réalisé ?

– Si mais trop rarement… Si j’organisais un petit truc à trois avec vous et un monsieur bien équipé ?

– Pourquoi pas ?

– On peut même faire mieux que ça, imaginez, une bite dans le cul et une autre dans la bouche !

– Hé !

– Vous ne le regretterez pas, je peux être très cochonne et satisfaire tous vos fantasmes et d’ailleurs je crois que je ne vais pas tarder à vous sucer la bite, mais avant j’aimerais que vous vous occupiez de moi, cette petite conversation m’a mis dans un état, d’ailleurs, je vais vous montrer.

 

Et Mathilde finit de se déshabiller et la voici nue comme la Vénus de Botticelli, une Vénus mature, certes, mais de fière allure !

 

– Venez donc me lécher l’abricot, cher professeur !

 

Evidemment Martinov se précipite vers cette chatte accueillante et commence à laper le bon jus qui en a coulé.

 

– Hi ! Hi !

– Pardon, il y a un problème ? Demande le professeur, ne comprenant pas la raison de ce rire incongru.

– Vous me chatouillez avec votre barbiche !

– Oh ! Je vais faire attention.

– Et toi Fabienne ne reste pas comme ça, comme une andouille, occupe-toi du trou du cul du professeur.

– Avec la langue ou avec les doigts ?

– Aaah, c’est bon ce que vous me faites, Fabienne débrouille-toi, un peu d’initiative que diable !

 

La soubrette se place derrière Martinov et lui titille le trou du cul avec sa petite langue agile, ce qui fait se trémousser d’aise notre vert professeur.

 

 Martinov22L

 

Mathilde commence à haleter, Martinov attaque le clito impertinemment érigé, tandis que derrière les doigts ont remplacé la langue et besognent énergiquement le petit trou, il ne tarde pas à provoquer la jouissance de la belle mature dans jet de mouille.

 

Reprenant rapidement ses esprits, Mathilde demande à Fabienne d’arrêter son doigtage et tout en restant derrière le professeur de lui tordre les tétons. Après quoi elle s’empare de la bite, la met dans sa bouche et la turlute pendant plusieurs minutes.

 

Puis sentant le gout salée de la pré-jouissance perler sur le méat, elle stoppe sa fellation, se met à genoux sur le fauteuil, le torse contre le dossier et expose ainsi son joli cul, dont le pourtour de l’anus un peu poilue est bien mouillé.

 

– Fabienne va aller te chercher une capote et tu vas m’enculer !

– Avec plaisir, chère Mathilde

 

Martinov n’avait qu’une crainte, celle de partir trop vite, mais il sut se contrôler jusqu’à ce que Mathilde reparte à nouveau vers l’orgasme ! Ce cap franchi, il put se laisser aller et envoya sa jute dans la capote avant de déculer.

 

– Salaud ! Tu m’a fait jouir deux fois !

– Vous êtes une très belle femme Je suis content de vous avoir satisfait ! Répondit le professeur un peu confus.

– Tu sais on peut se tutoyer, c’est la moindre des choses après ce que tu m’as mis dans le cul ! Viens donc m’embrasser, viens embrasser ta chienne !

 

Et les voilà qui s’embrassent comme deux ados à leur premier rendez-vous, ça bave, ça dégouline.

 

– Faut que j’aille faire pipi ! Je reviens ! Prévient le professeur.

– Dois-je tenir la bite du professeur ? Demande alors Fabienne .

– Non c’est moi qui vais l’accompagner aux toilettes, toi retourne à ton service.

– C’est pas juste, on s’amusait bien ! Rouspète la soubrette en disparaissant de la pièce.

 

Dans les toilettes, Mathilde s’accroupit et se couche la tête de côté sur la cuvette en laissant la bouche ouverte.

 

On ne lui avait jamais fait encore, celle-ci au professeur Martinov.

 

– Vas-y pisse moi dans la gueule !

– Vous êtes… euh tu es sûre ?

– Ben quoi, on peut délirer, non ?

– Alors délirons ! Conclue notre vieux coquin en aspergeant comme il se doit, le visage de la belle mature.

 

Quand ils revinrent dans le salon, Martinov déclara que maintenant il boirait bien un verre d’eau.

 

– Mais j’avais demandé à Fabienne des jus d’orange, qu’est-ce qu’elle a foutu ? Fabienne !

– Oui madame, répondit la soubrette dans le lointain.

– Non rien ! On va la laisser tranquille sinon, elle ne finira jamais le repassage, allons boire dans la cuisine. Alors vous avez réfléchi ?

– Vous ne m’en avez pas laissé le loisir, disons que je réserve ma réponse ! Je vous appelle demain sans faute chère Mathilde

– Je ne vous sens pas chaud mon cher professeur, pourquoi attendre demain pour m’annoncer ce que vous pouvez me dire maintenant ? Je comprends parfaitement votre point de vue, après tout cette affaire n’est plus la vôtre ! Mais je ne vous en veux pas du tout et ma petite proposition cochonne tient toujours..

 

Et Mathilde se leva pour faire un chaste bisou d’aurevoir au professeur

 

– Je voulais juste réfléchir un peu, mais bon…

– Je vais juste te demander les coordonnées de ton collègue électronicien…

 

Ils se tutoient ou ils se vouvoient, eux-mêmes finissent par ne plus savoir.

 

Bien évidemment le professeur Martinov avertit son ami Romain Framboisert de la visite imminente de Mathilde :

 

– Elle va te demander de reprendre à son compte la commande de ton client, elle va sans doute te demander d’améliorer le dispositif, c’est quelqu’un de très correct, tu peux traiter avec elle sans problème.

– Tu me la recommandes, alors ?

– Oui, et en plus elle a beaucoup de classe !

– O.K.

– Attention, toutefois, elle a voulu m’embarquer dans une espèce d’opération de commando, j’ai refusé bien sûr mais elle ne m’en a pas tenu rigueur.

 

Et Martinov lui fournit les détails…

 

– O.K. ! Et elle est comment la dame physiquement ?

– Une belle mature un peu nymphomane, – partouzeuse et bisexuelle mais super sympa.

– Tu te l’ai envoyée ?

– Que veux-tu, la chair est faible !

– Cochon !

– Mais non !

 

Mathilde pris donc rendez-vous avec Romain Framboisert le soir même à 18 heures. Toilette simple mais décolleté plongeant stratégique.

 

– Je suppose que monsieur Martinov vous a mis au courant des raisons de ma visite ?

– Oui mais pas dans les détails. Répond Romain en lorgnant sur la naissance des seins de la dame.

– Je voudrais reprendre pour mon compte la commande de monsieur Beautilleux…

– Beautilleux ?

– Oui le gars du cadran clignotant.

– Oui, on m’a dit qu’il avait trente-six noms…

– Trente-six noms, plein de chéquiers périmés et pas un rond devant lui… il ne vous paiera qu’avec du vent. Moi je vous paie tout de suite et en liquide… au prix du marché évidemment.

– Cela va de soi.

– Pourriez-vous incorporer un traceur de position suffisamment discret dans ce foutu cadran ?

– Sans problème !

– Et un dispositif qui permettrait d’entendre ce que Beautilleux raconte pendant sa tentative d’escroquerie, ce serait possible ?

– Bien sûr il suffit de planquer un élément de téléphone portable qui se déclencherait à l’allumage de son gadget.

– Maintenant je suppose que vous allez me demander quelles sont mes intentions ?

– Je suis un peu curieux de nature… mais je manque à tous mes devoirs, c’est l’heure de l’apéro, vous prendrez bien quelque chose ?

– Un whisky si vous avez ?

 

Romain demande à Edith de faire le service puis l’invite à venir trinquer avec eux.

 

– Beautilleux nous doit de l’argent à moi et à une copine, une belle somme. Il s’apprête à escroquer quelqu’un, sans doute une veuve friquée qui a des sous à ne plus quoi savoir en faire. Elle va donc le payer, à ce moment-là l’argent ne sera plus à elle mais à lui, et je lui subtilise… vous voyez donc l’utilité du traceur ?

– Certes, mais si la dame le paie par chèque ?

– C’est peu probable, mais ce n’est pas le plus important, l’hypothèse sur laquelle on part, c’est qu’ une fois l’escroquerie enclenchée, Beautilleux va rafler tout ce qu’il pourra rafler. Il faut avoir que les petites vieilles ont toujours du liquide chez elles, sans parler des bijoux….

– Je vois ! Vous allez faire ça toute seule ?

– Non avec ma copine, évidemment question rapport de force, c’est un peu léger…

– Vous allez vous faire aider ?

– Je ne vois pas trop comment, j’ai bien quelques relations, des types un peu voyous, mais ça m’embête de faire appel à ces gens-là.

– Alors ?

– Vous ne voulez pas m’aider ?

– Je suis désolé…

– Non, non, ne vous confondez pas en explications. Je demandais juste ça comme ça, je vous aurais donné 1 000 balles.

– N’en parlons plus.

 

Mais Edith est très curieuse…

 

– Vous allez rentrer comment chez la personne ? Demande-t-elle.

– On n’est pas obligé d’entrer, on peut attendre Beautilleux tranquillement dans l’escalier quand il sortira.

– Dans ce cas, si vous êtes trois ou quatre il n’y a pas grand risque !

– Ben non.

– Ça vaut peut-être le coup ? Dit Edith en se tournant vers son époux

– Mais enfin Edith ?

– Moi pour 1000 balles je le fais.

– Mais enfin …

– Mais puisqu’il n’y a pas de risque !

– Pas de précipitation, on peut en reparler, intervient Mathilde jouant les conciliantes.

 

« Edith est tentée » reste le mari, il aurai été seul, je lui aurait sorti le grand jeu, mais il y a madame ! »

 

– Bon, je vais vous laisser…

– Un petit whisky pour la route ?

– C’est pas de refus.

 

Mathilde boit son whisky

 

« ‘Je vais leur faire un peu de « cinéma » on verra bien ce que ça donne »

 

– Ça donne chaud, le whisky !

– Un peu oui !

– Je me mettrais bien à l’aise mais je n’ai pas grand-chose à enlever !

– Vous nous faites quoi, là ? Demande Romain.

– Ben rien, justement !

– Si madame veut se mettre à l’aise moi, ça ne me dérange pas du tout ! Intervient Edith.

– Oh voyons ! Mais que dirait monsieur ? Répond Mathilde faussement offusquée

– Monsieur, il va vous conseiller de partir avant que la situation devienne ingérable.

– Bon, bon, je vais m’en aller.

– Vous n’avez pas fini votre verre, intervient une nouvelle fois Edith.

– Ah, c’est vrai !

 

Ce désaccord entre les deux époux tombe à pic, et Mathilde prend tout son temps pour finir son whisky, se demandant qui va l’emporter. .

 

– Pour la dernière fois, à quel jeu jouez-vous ? S’énerve Romain.

– Mais laisse-la tranquille, il est amusant son jeu ! Lui dit Edith

– Vous n’êtes pas joueur, monsieur Romain ?

– D’abord, c’est monsieur Framboisert, et puis quand je joue j’aime bien connaitre les règles.

– Y’a pas de règle on improvise. Qu’en pensez-vous Edith ?

– Moi ? J’aime bien les jeux d’improvisation.

– Que me conseillez-vous ?

– Allez-y, improvisez !

– Si je vous embrasse, ça fait partie du jeu ?

– Ça peut !

 

Et devant les yeux stupéfaits de Romain Framboisert, les deux femmes se lèvent de leur siège pour se rouler un patin magistral.

 

Et ça les fait rigoler.

 

Romain sent qu’il n’aura pas le dessus avec ses deux diablesses qui maintenant se pelotent à qui mieux mieux. Il les regarde avec un air dépité, mais quand on ne sait trop comment le sein gauche de Mathilde apparaît au grand jour, et que Edith se met à le téter, il se met à bander.

 

– Félicitations, monsieur Romain, votre épouse est charmante.

– Humm

– C’est vraiment une coquine, elle m’a sorti un sein et elle me le suce, et moi je me laisse faire ! Mais dans quel monde vivons-nous ? Se moque-t-elle.

– Justement je me demandais.

– Vous nous regardez ou vous voulez jouer avec nous ?

– Edith, tu fais quoi au juste ? Demande-t-il à sa femme.

– Ben tu le vois bien, je lèche les nichons de cette charmante dame.

– Et après tu vas faire quoi ?

– J’en sais rien, on improvise ! Mais tu devrais montrer ta queue à madame, ce serait cool.

– C’est vrai, madame ?

– Oui, montrez-moi votre bite, j’adore les bites !

– Je vous préviens, si je fais ça, je ne me contrôle plus et je risque de vous violer !

– Chiche ! Mais je me laisserais faire ! Allez-y violez-moi, enculez-moi, pissez-moi dessus, je serais votre chienne.

– Quel romantisme !

– Je ne suis peut-être pas votre genre ?

– Bon j’arrive !

 

Et sans réfléchir davantage, Romain se déshabille à toute vitesse.

 

– Oh, un homme tout nu avec la bite qui bande ! Plaisante Mathilde.

– Tu vas voir ce qu’il va te faire, l’homme tout nu, poufiasse !

– Tout ce que vous voulez, mais laissez-moi me déshabiller, je n’ai pas envie que vous me déchiriez mes affaires.

 

Et Mathilde s’enfuit à l’autre bout de la pièce, Romain tente de la rattraper mais Edith lui bloque le chemin, du coup Mathilde a le temps de se déshabiller en vitesse. Elle s’agenouille à l’envers sur le canapé, la croupe prête à recevoir les assaut du mâle.

 

Edith libère le passage, Romain fonce.

 

– Je vais t’enculer, salope !

– Avec une capote ce serait mieux.

– Bougez pas, je vais en chercher ! Propose Edith

– Magne-toi, j’ai la trique.

 

Il se met la capote à tout vitesse.

 

– Vous ne voulez pas que je vous suce avant ? Demande Mathilde

– Ta gueule poufiasse !

– Oh, vous savez parler aux femmes, vous !

– Tu vas la fermer, oui ?

– Bon, bon, je ne dirais plus rien !

 

Et tel un diable sorti de sa boite, Romain Framboisert se précipite sur Mathilde, lui colle aux fesses et lui introduit sa bite dans le cul.

 

– Whah, ça entre tout seul, tu dois avoir l’habitude de te faire ramoner le cul, hein morue ?

– Vous êtes un poète, monsieur.

– Han ! Han ! Répond l’homme en plein rut.

 

Et sous ces coups de butoir frénétiques, la belle mature commence à haleter crescendo. Romain sent que ça vient et décharge avec un cri de mammifère marin.

 

Il décule, se débarrasse de sa capote, son excitation est calmée.

 

– Je vous présente mes excuses, chère madame, je suis confus, je ne sais pas ce qui m’a pris !

– Ne vous excusez pas, c’est moi qui vous ai provoqué ! Bisou ?

– Bien sûr !

 

Ils s’embrassent, plus un roulage de galoche bien baveux qu’un bisou d’amitié.

 

– Tu devrais le punir de t’avoir enculé ce cette façon ! Suggère Edith.

– Si le cœur vous envie, je me laisse faire ! Répond l’intéressé.

– Ma foi, j’ai comme une envie de pisser, si je faisais sur vous ?

– Ce ne sera pas une punition, mais allez-y, j’adore !

– Faites ça dans la salle de bain ! Intervient Edith, et attendez-moi, j’arrive aussi.

 

Romain y précède Mathilde, puis s’accroupit dans le carré à douche.

 

Edith qui devait finir de se déshabiller n’arrive qu’après alors que la belle mature est déjà en train d’arroser Romain de son joli pipi.

 

– Laisse m’en un peu !

– Mais bien sûr, Monsieur Romain, vous en avez assez bu, veuillez laisser la place à votre charmante épouse.

 

Il firent donc comme cela et ce fut le tour d’Edith de déguster ce qui restait de la pluie d’or.

 

– Si t’as une petite envie, on peut peut-être inverser les rôles ?

– Mais bien sûr, ma coquine, je vais bien te pisser dessus ! Répondit Béatrice, mais ensuite j’aimerai bien que tu me fasses minette.

 

Leurs vessies étant maintenant vidées, elles s’échangèrent un long baiser au goût particulier, avant de sortir du carré, puis Béatrice entraina sa partenaire sur le tapis de bain, où elle se disposèrent en soixante-neuf, chacune tripotant et léchant le cul et la chatte de l’autre, jusqu’à ce que la salle de bain s’emplisse du cri de leur jouissance.

 

Retour sons la douche, pour une petite rincette, elles s’essuient en rigolant et laissent la place à Romain

 

Puis tout le monde reviens dans le salon, on boit un coup, on fume une clope…

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:26

Martinov 22 – Univers parallèles – 11 – Partie carrée par Maud-Anne Amaro

 

stamp partouz

Beautilleux est dépité, cette visite chez Mathilde n’a servi à rien, sinon à l’énerver. Dehors il pleut, il n’a pas de parapluie, il s’en va se réfugier dans un café-brasserie, ruminer sa hargne devant une mousse.

 

Il réfléchit à ce qu’il pourrait bien faire d’intelligent.

 

« Je suis bien con, je n’ai pas une mauvaise retraite, je peux vivre peinard avec pourvu que j’arrête de jouer.' »

 

Et pendant trois jours, il se refait une conduite, enfin presque parce qu’il s’achète quelques jeux à gratter qui évidemment ne lui rapporte rien. Sinon il s’emmerde en regardant la télévision.

 

« C’est pas une vie, ça ! »

 

Dimanche 17 Avril

 

Et le soir du troisième jour il rejoint le club de poker où il a ses habitudes, jure de limiter ses mises, gagne un peu, puis perd et finalement se fait plumer.

 

Il rentre chez lui très énervé et décide de dénicher un coup fumant.

 

« Un truc un peu surnaturel présenté sous un angle inédit, mais quoi ? Les extraterrestres, les petits anges, les fées, les grands anciens, les Templiers ? Que faire avec ça ? Finalement les fantômes, ce n’était pas une mauvaise idée. Il y aura toujours des veuves éplorées désireuses de converser avec feu le mari ou feu l’amant ! Mais pas de table tournante, pas de cercle magique ou d’objets qui s’animent. Non du moderne avec un projecteur d’hologrammes qui diffusera un machin flou, je peux en trouver un pas trop cher sur internet. Il me faudrait aussi un cadran de contrôle bidon avec plein de lumières qui clignotent, un compteur, un cadran graphique et un haut-parleur pour diffuser des phrases incompréhensibles qu’on attribuera au macchabé… »

 

Il se demande néanmoins où il va dégoter pareilles choses.

 

Lundi 18 avril

 

« Oh mais j’y pense, Martinov m’avait donné les coordonnées de son bricoleur informatique et le gars ne me connait pas. Allez, on ne perd pas de temps… »

 

Et il se rend sur le champ à l’atelier de Romain Framboisert

 

– Bonjour monsieur, on m’a donné vos coordonnées, ce serait pour un petit bricolage électronique…

– Vous devez faire erreur, nous sommes une société d’électronique, mais nous ne prenons pas de commandes de particuliers…

– Je paye bien…

– Je m’en doute bien mais c’est non, n’insistez pas.

– Parfois une commande individuelle peut donner de idées pour un produit à exploiter.

– Bon, c’est quoi votre truc ? Brièvement, parce que j’attends quelqu’un.

– En fait c’est un faux cadran pour intégrer dans une attraction foraine.

 

Et là ça fait tilt dans la tête de Romain Framboisert.

 

– Mais qui vous a donné mes coordonnées, monsieur ?

– Alors là, impossible de me souvenir.

– Ce ne serait pas un monsieur Martinov, dés fois ?

– Ce n’est pas un nom qui me parle.

 

Romain aurait bien voulu creuser cette affaire qui n’en était peut-être pas une mais qui l’intriguait. Mais on lui annonça son visiteur, et celui-là pas question de le faire poireauter.

 

– Écoutez, puisqu’il s’agit d’une commande privée, pourriez-vous passer chez moi à 18 heures, on pourrait en discuter calmement.

– Vous accepteriez, alors ?

– J’ai pas dit ça, mais je veux bien discuter. Vous êtes monsieur ?

– Picoche, Jean Picoche.

 

Quand il eut un instant de libre, Romain Framboisert téléphona au professeur Martinov :

 

– Je te passe juste un petit coup de fil en vitesse. Est-ce que tu aurais filé mes coordonnées à un dénommé Picoche ?.

– Picoche, non ça ne me dis rien ! Pourquoi ?

– Rien, juste comme ça un mec a déboulé à l’atelier et m’a proposé une commande privée, il m’a parlé de fête foraine alors ça m’a fait penser à ton client avec l’affaire de la cabine d’ascenseur, au fait on ne sait pas vu depuis, il était satisfait ton client ?

– Tu parles, c’est un escroc faudra que je te raconte, c’est tout un roman !

– Ben passe chez nous demain soir avec Béatrice, tu nous raconteras tout ça !

– Volontiers !

 

Puis alors que la conversation allait prendre fin, Martinov demande à brule-pourpoint :

 

– Ton client tu pourrais me le décrire. ?

– Pourquoi ? 50, 60 ans pas un poil sur le caillou lunette à la Scorsese…

– Ça ressemble à mon escroc, ça fait beaucoup de coïncidences

– Je vais l’envoyer promener alors ?

– Hum, tu dois le revoir ?

– Oui, ce soir !

– Rend-moi un petit service, note tout ce qu’il veut, essaie de percer le bonhomme et bien sûr tu ne t’engages pas… et puis on en parle ensemble.

– On s’en parlera demain.

– Je sens que ça va être chaud !

– Comme d’habitude !

 

Un peu avant 18 heures, Romain rentre chez lui.

 

– Je vais recevoir un type dans 10 minutes, ça ne va pas durer longtemps, mais je voudrais que tu t’arranges pour le déstabiliser. Dit-il à l’adresse de sa charmante épouse.

– Et concrètement ?

– Décolleté osé et sourire enjôleur, ça devrait suffire.

– C’est tout ? Tu ne veux pas que je lui fasse une pipe non plus ?

– Sûrement pas ! Il s’agit de le déstabiliser pas de le chauffer.

– Mais, ça me plaît pas trop ton truc mais bon, si ça peut te rendre service…

– Au fait, Martinov et Beatrice passent demain soir…

– Ah ! Voilà qui me plaît mieux.

 

A 18 heures tapantes, Beautilleux était là, c’est Edith qui lui ouvre, il n’a évidemment que d’yeux que pour le décolleté plongeant de la belle mature.

 

– Alors, expliquez-moi ce que vous voulez ?

 

– C’est juste une attraction foraine, ça n’a aucune prétention, mais faudrait que ça en jette, Je vous ai fait un petit schéma avec les cadrans, tout ça… Il me faudrait aussi un machin qui transforme ma voix, il me faudrait une voix caverneuse, une voix d’outre-tombe, en quelques sorte, c’est possible ça ?

– Oui, c’est possible, ça s’appelle un modificateur vocal, mais la finalité de votre attraction…

– Peu importe, mais disons que je vais faire apparaître un fantôme avec un projecteur holographique…

– Oh, mais c’est super génial votre truc !

 

Beautilleux est ravi de susciter de l’intérêt auprès de son interlocuteur, mais ne peut s’empêcher de bander en regardant le décolleté d’Edith.

 

« A quoi elle joue, celle-ci ? »

 

– Mais les gens vont s’apercevoir que c’est bidon !

– A la fête foraine tout est bidon, c’est un jeu !

– Je ne voudrais pas me mêler de ce qui me regarde pas mais vous aller faire l’entrée à combien ?

– Entre 5 et 10 euros je suppose ! Improvise Beautilleux .

– Donc si vous faites entrer, on va dire 20 personnes par séance, ça vous fait 200 euros ?

– Oui.

– Et combien de séances par jour ?

– Disons dix.

– Donc 2000 par jour ! C’est considérable !

 

Voilà un calcul que Beautilleux n’avait jamais fait. Mais pourquoi pas ? Se dit-il. Voilà qui est moins risqué que d’aller escroquer des veuves. Encore faudrait-il qu’il se fasse accepter par le milieu très fermé des forains. Une autre paire de manches !

 

– La commande vous intéresse ou pas ?

– A priori oui. Mais accordez-moi un petit délai de réflexion

– Bien sûr

– Vous regardez ma femme. Elle vous plaît. ?

– Vous allez m’embarrasser…

 

Beautilleux ne sait plus où se foutre.

 

– Ma femme est un peu exhibitionniste, voyez-vous et moi ça ne me dérange pas. N’est-ce pas Edith ?

 

Celle-ci ne comprenant pas trop à quel jeu joue son mari, ne répond pas et devient rouge comme une tomate.

 

– Vous voudriez peut-être voir ses seins ? Edith, montre un peu tes seins au monsieur !

– Non, mais, ça va pas non ?

– Juste un ?

 

Courroucée, Edith se lève…

 

– Je plaisantais, voyons.

– Ah bon, j’ai eu peur ! Dit-elle en se rasseyant.

 

N’empêche que Beautilleux est maintenant complètement déstabilisé.

 

– Dites-moi, cher monsieur, vous avez toujours travaillé dans le milieu forain ?

– Oui comme ça, des bricoles.

– Moi ce que j’aimais bien, c’était le strip-tease forain, c’était sympa et en plus on pouvait se brancher les filles pour un rendez-vous, les prix étaient raisonnables, ça existe encore ?

– Euh, pratiquement plus, ce n’est pas si rentable que ça, il faut payer les filles, les surveiller… vous comprenez ? Alors qu’avec mon cadran bidon, il y a juste un investissement de départ et après c’est tout bénef !

– Vous devriez érotiser le concept, votre hologramme pourrait montrer une femme à poil, par exemple, ça attirera bien le chaland et vous pourriez monter le prix d’entrée à disons 15 euros. Vous vous rendez compte : ça vous ferait du 3 000 balles par jour !

– Non, non, je veux que ça reste un spectacle familial.

– Vous avez tort, vous pourriez gagner davantage, parce qu’entre-nous les fantômes, les gens s’en foutent.

– Non ils viennent à la fête foraine pour se donner des frissons. Et puis écoutez c’est mon choix.

– Bien sûr ! Et si on s’associait tous les deux ?

– Non, je préfère travailler en solo.

– Vous savez, il y a des types d’associations qui ne sont pas contraignantes, et comme ça je pourrais vous faire tous les réglages au fur et à mesure de vos besoins et puis il y aurait un plus…

– Un plus ?

– Ben oui, ma femme serait à mes côtés, elle est agréable à regarder, non ?

 

« ‘Il commence à me les gonfler, ce mec ! Ce doit être un gros vicelard. »

 

– Euh, j’étais juste venu pour un devis…

– Hum, refaite-moi voir votre papelard, voyons une semaine de travail…

– Une semaine ?

– Faut bien ça ! Je n’ai personne à mettre dessus je vais donc le faire moi moi-même, mais je ne dispose pas de trop de temps.

– Et vous me demanderiez combien ?

– Voyons, vous allez gagner environ 2 000 balles par jour, donc on va dire 20 000 !

– D’accord.

– Je vous compte la TVA ou pas ?

– A votre convenance.

– Vous me règlerez comment ?

– Par chèque ?

– Chèque de banque alors et à l’ordre de Madame Framboisert pour que ça ne passe pas dans la comptabilité. Et un acompte de 10% à la commande.

– Pas de problème. Répondit Beautilleux qui avait encore la maquette du faux chèque sur son ordinateur. Quant au chèque d’acompte il lui demanderait de ne pas l’encaisser et de le considérer comme une caution. Trop facile tout ça !

 

« C’est dingue ! Le mec ne discute même pas, il n’a aucune idée des prix, ses bricolages ça ne coute même pas 200 balles ! »

 

– J’étudie un peu tout ça mais vous aurez une réponse définitive après-demain, mais bon il y a neuf chances sur dix pour qu’on fasse affaire.

– O.K. !

– Réfléchissez quand même à mes propositions : l’hologramme érotique, et la possibilité d’une association.

– Au revoir, j’attends votre coup de fil, au revoir madame !

– Edith, fait un petit bisou à monsieur, voyons !

 

Le bisou est pourtant extrêmement chaste, sans les lèvres, mais il en est tout chose, Beautilleux !

 

Mardi 19 avril

 

Le professeur Martinov a apporté une bonne bouteille, Beatrice a apporté des fleurs, Edith s’est habillée d’un petit haut en voile noir quasi transparent et sans soutien-gorge en dessous, elle porte une petite jupe en vinyle « au ras de la moule » comme disait Frédéric Dard.

 

Ça va donc être chaud comme vous vous en doutez bien, mais avant les galipettes ils conviennent de parler ensemble de l’affaire Picoche alias Beautilleux alias Leloup.

 

– J’ai réussi à le prendre en photo pendant qu’il reluquait les nichons d’Edith.

– Comment t’as fait, je ne me sois aperçue de rien ?

– Parce que je suis très fort ! Voilà la photo, c’est lui ?

– Tout à fait !

– T’as appris quoi ?

– Je vais te dire mais ce serait mieux que tu me racontes d’abord toute l’histoire.

 

Martinov s’exécuta, quand il le voulait le professeur se révélait un excellent conteur capable de scotcher son auditoire.

 

– Et bien quelle salade ! Et tu comptes faire quoi maintenant ?

– Ce n’est plus trop mon problème mais je vais prévenir madame Descloseaux. Je peux lui donner tes coordonnées si elle a besoin de toi ?

– Bien sûr, elle est comment cette dame ?

– Une belle mature, pas farouche. Et sinon tu as appris quoi ?

– Pas grand-chose d’intéressant ce mec ment comme il respire, quand je lui ai demandé pourquoi il ne voulait pas faire dans l’érotisme, il m’a sorti qu’il voulait faire dans le familial ! Je lui ai expliqué qu’il allait gagner moins il s’en tape mais il est prêt à me lâcher 20 000 balles sans discuter, ça aucun sens ! En fait son truc je ne crois pas que ce soit une attraction foraine !

– Et d’après toi ?

– Un hologramme qui joue au fantôme, un cadran à la con pour faire style, ça sent l’arnaque a la petite vieille, !

– Ok je préviens Mathilde.

– Mathilde ?

– Madame Descloseaux.

– Je lui fais son bricolage ou pas ?

– Je te dirais, j’irais voir la dame demain

– Parce que si je le fais je vais être marron pour le paiement

– T’inquiète pas pour ça j’en fais mon affaire, tu voudrais combien ?

– 200 balles

– Quand je pense que tu as demandé 20 000 balles à l’autre guignol, t’es vraiment un enfoiré !

– Hi Hi ! Quel langage, Martinov. Bien, plus de question ? On se boit un petit apéro ? Après détente et pour finir un bon gigot, il ne brulera pas on l’a mais en cuisson lente, ça vous va comme programme ?

 

L’apéro est bu rapidement, sur la table, à côté des inévitables cacahuètes grillées, les Framboisert avaient disposé une soucoupe avec des capotes et du gel intime et à côté un gode-ceinture et un petit martinet.

 

Tout le monde se connaît bien, on sait pourquoi on est là, donc pas de préambule, ni de mise en scène… Béatrice et Edith se roule un patin en se tripotant, tandis que ces messieurs se débarrassent de leur vêtements.

 

Martinov et Romain sont debout l’un devant l’autre, spontanément chacun attrape les tétons de son vis-à-vis, les serre et les tortille. L’effet sur les bites est immédiat, ça bande très dur.

 

Le professeur se baisse et gobe la bite de Romain.

 

– Regarde-moi ses deux pédés ! Fait semblant de s’offusquer Edith.

– Ça t’excite, hein ? Répond Béa.

– Tu m’étonnes ! Ça faisait un petit moment que je ne les avais pas vu se faire des trucs ensembles, ces deux-là !.

 

Les deux femmes se déshabillent à leur tour, puis Edith vient narguer Martinov :

 

– Elle est bonne, la bite de mon mari, hein ?

– Mmm ! Répond le professeur qui ne sait pas parler la bouche pleine.

– Et après il va te la foutre dans le cul !

– Mmm !

 

Béatrice, elle, ne dit rien trop occupée à lécher les jolis seins d’Edith Framboisert.

 

– Oh, mais qu’est-ce que fais, toi ! Grosse coquine !

– Je te lèche les nichons, tu n’avais pas remarqué ?

– Si mais ça fait trois heures que tu me lèches le droit, le gauche va être jaloux.

– On y va, on y va ! Et après c’est ta chatte que je vais lécher.

– Et mon trou du cul…

– Bien sûr !

– Allez viens sur le canap’, je suis trop excité.

 

Et Edith s’y affale, assise sur le bord et les cuisses relevées.

 

– Allez, viens dire bonjour à mon minou.

– Bonjour minou !

– Je voulais t’offrir mon pipi, mais j’ai pas pu me retenir, mais je me suis pas essuyée.

– Tant mieux !

– Maintenant que j’y pense, je ne me suis pas essuyé derrière non plus.

– Mais vous êtes dégoutante, chère madame ! Fait semblant de s’offusquer Béatrice.

– Que veux-tu, parfois j’oublie de faire des choses.!

– Et tu crois vraiment que je vais te le lécher.

– J’y compte bien ! Sinon c’est dix coups de martinet.

– Eh bien vas-y donne-moi du martinet, on verra bien si ça me fera changer d’avis.

– Mademoiselle est très joueuse, à ce que je vois !

– Très !

 

Edith s’empare du martinet et demande à Béa de se coucher sur le canapé, puis se met à fouetter.

 

– Qu’est-ce que c’est que cette vilaine fille qui ne veut pas nettoyer le trou du cul de sa copine ?

– Ouin !

– C’est ça, gueule !

 

Amusés par ce petit spectacle, Martinov et Romain ont interrompu leur petit dévêtissement pour jouer les voyeurs..

 

Au bout de dix coups, Edith s’arrête.

 

– Oh là là ! T’as tapé un peu fort, j’ai les fesses en feu !

– Fallait me le dire, ma bibiche, je n’avais pas l’intention de t’abîmer.

– C’est pas grave, et puis j’aime bien ça de temps en temps !

– Alors, tu vas me le lécher mon trou du cul, maintenant ?

– Mais certainement.

 

Le trou du cul d’Edith n’était pas si pollué que ça, cependant il ne sentait pas la rose non plus. Mais Béatrice n’en avait cure et léchait d’abondance lui humectant le trou de balle de sa salive

 

– Hum, qu’elle odeur ! ça sent l’andouillette !

– Comment ça, ça sent l’andouillette ? Tiens la prochaine fois que tu viendras j’achèterai une andouillette je te la fouterai dans le cul et après je te la ferais bouffer.

– Quelle imagination ! Bouge pas, je vais mettre un doigt.

 

Béatrice se mit alors à pilonner l’anus de la jolie brune à une cadence infernale à ce point que celle-ci ne tarda pas à jouir du cul en braillant comme une mouette…

 

Les deux hommes ont profité du spectacle en se branlant mutuellement mais en mode escargot.

 

– J’aimerais bien que tu m’encules ? Demande le professeur à Framboisert.

– Mais avec plaisir mon cher Martinov, mets-toi en position je vais te gâter.

 

Romain s’encapote et lubrifie le trou du cul du professeur d’une noix de gel. Une petite poussée, ça entre, une autre poussée, ça entre profondément.

 

– C’est bon ?

– J’adore ça ! Aaaah !

– Dis le que tu aimes te faire enculer ! Ça va exciter ces dames !

– Oui, j’aime me faire enculer ! J’aime avoir une bite dans le trou du cul.

– Et t’as pas honte ? Fait semblant de s’offusquer Edith.

– Ah, non pas du tout ! Aaah c’est trop bon, qu’est-ce que tu m’encules bien.

– Quels cochons !

– Toi la salope, je me passe de tes commentaires ! Lui répond son mari, par pure provocation.

– Dis donc gros pédé, tu m’as bien traité de salope ?

– Oui, pourquoi ?

– Je vais me venger !

 

Edith passe alors le martinet à Béatrice en lui demandant de cingler le postérieur de Romain, puis elle se débrouille pour se glisser sous Martinov afin de lui sucer la bite.

 

Voyez donc un peu le tableau : Martinov est sodomisé et sucé, tandis que les fesses de Romain rougissent à vue d’œil.

 

Tout cela finit par fatiguer notre enculeur qui fait signe à Béa d’arrêter de lui martyriser le cul, et il sort sa bite du cul du professeur sans avoir joui.

 

– Alors c’était bien ?

– Un petit goût de trop peu, mais c’était délicieux.

– J’ai envie de pisser, je peux me lâcher !

– Vas-y !

– On va aller dans la salle de bain, tu en veux aussi Beatrice.

– Bien sûr.

 

Notre trio s’installe dans la salle de bain, Béatrice et Martinov, côte à côté à genoux et bouche ouverte. Romain ouvre les vannes et vise alternativement les deux bouches. Béa se régale, Martinov est plus réservé, il a accepté le jeu un peu par politesse et pas mal sous l’effet de l’excitation, il l’a déjà fait, mais il préfère l’urine des femmes à celle des hommes. Quelle différence me direz-vous ? Aucune, c’est purement psychologique !

 

Ils reviennent dans le séjour. Edith saute au cou du professeur et lui attrape la bite de sa petite main agile.

 

– Alors, mon petit Martinov, maintenant que tu t’es bien fait enculer, tu vas pouvoir t’occuper un peu de moi ?

– Mais avec plaisir ! Humm qu’est-ce qu’il sont beaux tes seins !

– Ben caresse-les, qu’est-ce que tu attends ?

 

Il n’attendait rien, il pelote, il caresse, il bisouille, il lèche, il tète les bouts. Ça le rend fou.

 

Edith se don côté, sous prétexte de lui maintenir son excitation, lui tord ses tétons.

 

Et on ne sait trop comment mais les voilà tous les deux qui se retrouve en soixante-neuf sur le canapé, Edith avec la bite du professeur dans la bouche et ce dernier gamahuchant sa partenaire à grands coups de langue.

 

Béatrice redoutait un peu cette tournure, cette dernière est peu portée sur les hommes même si elle fait régulièrement des exceptions, Martinov en étant la principale, mais il se trouve que Romain Framboisert, sans qu’elle ne sache vraiment dire pourquoi ne l’attire pas du tout. Alors tant qu’il s’agit de partouze, ou de se contenter de tâter de la bite, pourquoi pas, mais faire des choses plus rapprochées comme par exemple l’embrasser sur la bouche, la gêne terriblement.

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Alors, elle prend les devants et réduit l’homme à l’état de bite sur pattes. Elle commence déjà par le sucer avant de lui demander de l’enculer !

 

Voilà qui est bizarre, me direz-vous, on refuse d’embrasser le partenaire, mais on accepte de se faire enculer ! Où est la logique ?

 

La logique, c’est que dans ces circonstances , la sodo n’est que du sexe et rien que du sexe. Et d’ailleurs pour recevoir la bite qui va lui ramoner le cul, c’est en levrette qu’elle se positionne. Ainsi elle ne verra pas le visage de son partenaire.

 

Une petite souris qui passerait par-là aurait donc vu à ce moment-là, Romain enculer Béatrice et Martinov faire subir le même sort à Edith. Le paradis des enculés, aurait dit notre petite souris..

 

Edith a demandé au professeur de ne pas jouir dans son cul.

 

– Ton sperme je le veux dans ma bouche.

 

Martinov tente de se maîtriser tandis qu’Edith commence à gémir sous les coups de butoir de son adversaire, elle finit par jouir du cul assez bruyamment comme elle en l’habitude. Martinov décule, retire prestement la capote et se branle devant le visage de la belle mature brune, sa bouche ouvert en avale un peu, le reste atterrit sur le nez et le menton, elle récupère tout ça avec ses doigts qu’elle suce vicieusement. Puis les deux amants s’embrassent tendrement.

 

Voilà une conclusion qui donne des idées à Romain.

 

– On fait pareil ?

– Non, non, je veux te sentir jouir dans mon cul !

– Tu me nettoieras la bite, après ?

– Ça si tu veux !

 

On ne peut pas non plus tout refuser…

 

Romain a beau ne pas être le genre d’homme de Béatrice, n’empêche qu’il encule bien, vous me direz, ça n’a rien à voir, je sais bien. Et il parvient à faire jouir Beatrice.

 

Encore quelques coups de piston et il décharge et se décapote. Notre petite chimiste n’a plus qu’à effectuer le petit nettoyage de bite qu’elle avait promis à son partenaire.

 

Tout le monde est exténué, on boit un coup, les fumeurs fument, on hésite à se rhabiller.

 

Edith propose de passer à table, le gigot étant maintenant cuit comme il convient.

 

– J’aurais bien aimé qu’on m’encule, moi ! Proteste Romain.

– Ne t’inquiète pas, après le repas, je vais te faire ça bien ! Lui répond le professeur.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:22

Martinov 22 – Univers parallèles – 10 – Martinov et ces dames par Maud-Anne Amaro

StampBea

 

Samedi 2 avril

 

Le lendemain, Mathilde se rendit chez le libraire ésotérique qui avait publié l’opuscule de Beautilleux sur les univers parallèles.

 

– Ah ! Ça fait longtemps que je ne vous avais pas vu, j’ai pas mal de courrier.

– Les ventes marchent bien, alors ?

– Oui pas mal, surtout par Internet !

– Il devrait peut-être en écrire un autre ?

– Pourquoi pas, mais sur un autre sujet, alors, parce que pour les univers parallèles, à mon avis, il a fait le tour de la question !

– Vous auriez une suggestion ?

– Pourquoi pas les fantômes, un petit bouquin dans le même esprit que le précèdent et maintenant que l’auteur a acquis une certaine notoriété…

– Je vais essayer de lui en parler, mais il ne m’écoutera pas, il est assez misogyne, voyez-vous ! Par contre si vous, vous lui téléphoniez…

– Je vais le faire !

 

Beautilleux ne se sent plus pisser, les nouvelles sont bonnes même si les rentrées d’argent consécutives aux droits d’auteurs sont longues à venir. Il accepte évidemment la proposition du libraire.

 

Il consulte à la bibliothèque nationale ce qui s’est déjà écrit sur le sujet, il est stupéfait par l’accumulation de stupidités que l’on peut y lire. Mais il comprend la méthode généralement employée consistant à noyer le lecteur avec une profusion de termes abscons, ce qui fait que celui-ci va vite renoncer à l’usage d’un dictionnaire pour gober sans comprendre. Il note aussi quelques titres afin de les reporter en références. Les références et les notes de bas de pages, ça fait toujours sérieux même quand elles renvoient à des absurdités.

 

Puis il se met à écrire :

 

« Le cerveau physique se détruit à la mort de l’individu, mais son contenu s’échappe en conservant sa cohérence et constitue alors un plasma holographique. L’ectoplasme ainsi constitué peut voir, entendre, sentir, mais ne peux parler. Il peut prendre une forme proto-humaine, mais la plupart du temps, il reste flou, voire invisible. On ignore si la situation des fantômes est pérenne ou non. A priori l’ectoplasme ne peut rester physiquement stable indéfiniment. On ignore pourquoi certains fantômes hantent les lieux qu’ils ont fréquentés. En fait beaucoup de questions restent sans réponse. Sans que l’on puisse l’expliquer, un ectoplasme peut communiquer avec le monde des vivants soit en utilisant la télékinésie soit par l’intermédiaire d’un médium »

 

« Voilà un joli commencement ! »

 

Beautilleux travailla tard la nuit, restant éveillé à coup de café, mais finit par s’endormir sur sa table au petit matin.

 

Mardi 5 avril

 

Bref, trois jours après, le manuscrit du nouvel opuscule était fin prêt. Comme la fois précédente, le libraire proposa quelques correctifs que Beautilleux accepta sans sourcilier.

 

Vendredi 8 avril

On imprima, on fit un peu de pub pour la conférence de lancement, tout allait bien.

 

Beatrice avait rendez-vous en soirée avec Brigitte Silverberg, son amie détective, dans un restaurant de fruits de mer parisien. Les deux femmes sont heureuses de se retrouver et bavardent comme des pies.

 

– Tu sais ce qui va t’arriver tout à l’heure ?

– Oh, maman, j’ai peur ! S’amuse Bea.

– Au fait, tu en es où avec ton mauvais payeur ?

– Pour l’argent, on l’a récupéré, mais c’est toute une histoire…

 

Et Beatrice lui raconte tout ce qu’elle sait avec force détails.

 

– Eh bien quelle salade !

– Comme tu dis, donc Beautilleux s’apprête à donner une conférence pour lancer son nouveau bouquin débile, je vais y aller avec Martinov, Inès et madame Descloseaux. Le but de l’opération est de lui casser sa baraque en l’accusant d’escroquerie devant tout le monde !

– Ça risque d’être amusant, je peux venir ?

– Bien sûr, plus on est de fous… Tu pourrais même intervenir en premier, ce serait génial puisque personne te connaît.

– Comment ça ?

– Je vais t’expliquer…

 

Et quand le repas fut terminé…

 

– Tu viens chez moi, boire le dernier verre ?

– Je me méfie de tes « derniers verres ».

– Tu ne veux pas venir ? tu ne veux pas jouer à être ma petite esclave que je vais punir bien comme il faut !

– Oh ! Si !

 

Arrivées chez elle, elles boivent tranquillement le fameux dernier verre qui ne fut pas alcoolisé, les deux amies ayant déjà sifflé une bouteille de bon pinard au restaurant.

 

– J’ai envie d’être très méchante aujourd’hui ! Annonça Brigitte.

– Ce n’est pas un problème !

– Evidemment si tu en as marre, tu arrêtes.

– J’espère bien.

– Alors, on se met à poil !

 

Après qu’elles se furent déshabillées complètement, Brigitte annonça à sa victime consentante qu’elle allait lui attacher les mains.

 

– Non, tu ne m’attaches pas !

– Tu n’as pas confiance ?

– La question n’est pas là, personne n’est à l’abri d’un coup de folie, alors tu me fais ce que tu veux, mais tu ne m’attaches pas.

– Je vais faire des liens lâches que tu pourras enlever facilement, d’accord ?

– Bien lâches, alors ?

 

Effectivement l’attachement fut plus symbolique et fun qu’autre chose.

 

Brigitte s’assoit dans le fond du canapé et relève ses jolies jambes.

 

– Embrasse-moi un peu les nichons et après tu vas me lécher la chatte.

 

Pour l’instant ça n’avait donc rien de méchant, Béatrice se régala des tétons turgescents de la belle détective privée avant de descendre lui lécher la minouche.

 

– Lèche moi bien, sale gouine ! Gougnotte dépravée !

 

Béatrice ne peut s’empêcher de rire.

 

– Et ça te fais rire, grosse pouffe, tu vas voir ce qui va t’arriver ! Continue de lécher, je ne veux plus t’entendre, ou plutôt non, attend un peu…

 

Brigitte prend les cheveux de sa soumise de façon à rapprocher son visage du sien.

 

– Ouvre la bouche !

 

Martinov22J1La brune lui crache dedans plusieurs fois de suite. Béa avale sans broncher.

 

– T’as pas honte de te faire cracher dessus ?

– Non !

– Alors tiens !

 

La gifle n’est pas très forte, mais c’est quand même une gifle, pas une caresse. Une seconde suit dans la foulée.

 

– Allez, lèche !

 

Et c’est qu’elle lèche bien Béatrice, elle aime ça, et elle se régale de cette chatte dégoulinante de mouille. Brigitte sens monter son plaisir et se tortille comme un asticot.

 

Béa croit alors que sa partenaire va s’abandonner au plaisir, mais non, elle préfère le retarder, elle se retourne et lui présente son cul.

 

– Lèche moi mon trou à merde. Tu sais tout à l’heure au restau quand j’ai été aux toilettes, j’ai été chier et je ne me suis pas essuyé. Je l’ai fait exprès, ça sent la merde, n’est-ce pas ?

 

Brigitte bluffait probablement, mais fun pour fun la jeune chimiste alla dans son sens.

 

– J’aime l’odeur de ton cul !

– Vicieuse, trainée ! Hum tu me lèches bien mon trou du cul, reviens sur ma chatte maintenant, je vais partir.

 

Pratique assez peu hygiénique, diront d’aucuns, mais il suffit de bien se nettoyer après…

 

Brigitte ne se retourna pas et resta cul contre langue, Béa n’eut que quelques coups de langues à donner sur le clitoris de la brune pour que celle-ci jouisse dans un hurlement de damnée.

 

Pour la remercier de lui avoir donné du plaisir la détective ne trouve rien de mieux à faire que de cracher de nouveau au visage de sa soumise et de la gifler. Béatrice qui a l’entrecuisse inondée, se garde bien d’élever la moindre protestation.

 

Brigitte abandonne sa victime quelques instants et revient harnaché d’un gode ceinture de taille respectable

 

– Suce ! suce ma grosse bite !

 

Béa ne voit pas trop l’intérêt de la chose, mais puisque ça a l’air de faire plaisir à sa tourmenteuse qui pendant ce temps-là s’amuse à lui gifler les seins.

 

– Et maintenant je t’encule !

 

Voilà qui convient mieux à notre blondinette qui offre ses fesses à sa dominatrice. La chose entre plutôt facilement et ç’est parti pour un pilonnage en règle.

 

– Ça te plait d’avoir une bite dans ton trou du cul de salope !

– Oui. Aaaaah…

– C’est pas vrai que tu vas jouir déjà !

– Aaaaah !

– Non mais c’est pas vrai, quelle vicieuse !

 

Brigitte se dégage de l’anus de Béatrice ressortant le gode pollué de matière.

 

– Lèche !

 

Béatrice qui s’est libéré de ses liens,  hésite à la façon d’un plongeur qui retarde le moment qu’il sait inéluctable.

 

– Ben alors ? Fais mine de s’impatienter Brigitte.

– On y va !

 

Béatrice respire un grand coup, puis entreprend de prendre le gode dans sa bouche et de le lécher consciencieusement.

 

– Fais-moi gouter ! Lui dit Brigitte après un instant.

 

Et les voilà en train de lécher de conserve le gode merdeux.

 

Après quoi, elles s’embrassèrent… Un baiser brun comme disent les spécialistes, mais néanmoins passionné.

 

– Et si je disais à Monsieur René de monter avec son chien ?

– Hum , ça me paraît une très bonne idée !

 

Cinq minutes plus tard, René était là revêtu d’une simple robe de chambre, accompagné de son chien Husky.

 

– Viens mon toutou, viens dire bonjour aux belles dames.

 

Le chien déboule en remuant la queue, Brigitte et Béa le couvrent de caresses, des caresses bien sages, du moins pour le moment.

 

– Je fais quoi, moi ? Demande René.

– Rien, tu t’assois, tu regardes et tu as la permission de te branler.

 

Les caresses des deux femmes deviennent osées, le chien se couche sur le côté, sa bite est sortie de son fourreau et passe d’une bouche à l’autre.

 

Les deux coquines s’en lèchent les babines.

 

– Tu vas te faire grimper maintenant ? demande la détective.

– Je suis prête.

 

Brigitte chausse les pattes de devant du chien avec des gants de toilettes, Béatrice à quatre pattes attend l’assaut, Le chien lui grimpe dessus, sa bite cherche l’ouverture, la trouve et se met à s’agiter avec une frénésie incroyable, le pénis semble grossir, la jeune chimiste enchaine orgasme sur orgasme tandis que sa partenaire vient en-dessous d’elle lui lécher les tétons. Le chien s’immobilise, semble collé pendant plusieurs minutes avant de se retirer avec un bruit incongru.

 

Béa repu et satisfaite tombe dans les bras de sa complice, tandis que sur sa chaise René finit de se masturber.

 

– J’ai soif, donne-moi à boire !

 

Lundi 11 avril

 

La salle de conférence est un peu moins remplie que la dernière fois, mais cela n’émeut guère notre escroc qui ne s’aperçoit pas de la présence dans la salle de Mathilde Descloseaux et d’Inès Kermaillard, mais aussi de Béatrice. Ces dames perruquées et chaussées de lunettes noires sont méconnaissables. Quant à Brigitte Silverberg, il ne la connaissait pas.

 

Ce n’est pas Beautilleux qui parla le premier mais le libraire qui débita un court spitch vantant les mérites de l’auteur et de son premier opuscule.

 

– Un texte remarquable, sortant des sentiers battus en ouvrant des perspectives insoupçonnées… Conclut-il doctement.

– Et ça ne vous dérange pas d’être le complice d’un escroc ! Intervient Brigitte en coupant l’orateur.

 

Mouvements divers et réprobateurs dans la salle, qui réagit négativement aux propos de la perturbatrice. Normal, les gens n’aiment pas qu’on vienne bousculer leurs certitudes.

 

– On se calme, on se calme ! Commence le libraire.

 

Mais Inès intervient à son tour :

 

– La dame a raison, cet individu m’a escroqué de 15 000 euros.

– Moi aussi, renchérit Béatrice, ses univers parallèles sont des bidonnages pour escroquer les gens !

 

Brouhaha indescriptible !

 

– Je ne sais pas si c’est un escroc, mais c’est un incapable, intervient une dame que l’on n’attendait pas, je lui ai demandé de m’envoyer dans un univers parallèle dans lequel mon mari serait toujours vivant, il n’a pas su faire, c’est bizarre quand même !

 

On ne s’entend plus, on s’invective, Mathilde à son tour en rajoute une couche. Deux bonnes femmes en viennent pratiquement aux mains. Béatrice se marre.

 

– Messieurs dames s’il vous plaît ! S’égosille le libraire en tapant sur sa table avec le poing.

– Escroc, voleur, bandit !

– Ouh !

– Gauchiste !

 

Les noms d’oiseaux fusent de droite et de gauche.

 

– Manifestement, tente de dire le libraire, des éléments perturbateurs sont venus saboter la conférence ! Elle sera donc reportée à une date ultérieure.

 

Et il se lève pour quitter la salle !

 

– On ne fait pas la vente dédicace ? Lui demande naïvement Beautilleux !

– Non, on ne fait pas la vente dédicace !

 

Brigitte, Mathilde, Inès et Béatrice quittent la salle à leur tour heureuses du joyeux bordel qu’elles ont créé et sans s’occuper de l’ambiance délétère qu’elles laissent derrière elles !

 

Elles vont boire un verre ensemble, histoire de faire plus ample connaissance puisqu’elles ne se connaissent pas toutes réciproquement. Et pour faire bonne mesure, Mathilde invite tout ce petit monde à venir sabler le champagne le mercredi chez elle en fin d’après-midi et précise que le professeur Martinov sera évidemment le bienvenu.

 

– C’est quoi ce bordel ? Hurle le libraire dans les coulisses. Vous avez une explication ?

– C’est un coup monté ! Répond bêtement Beautilleux.

– Et votre secrétaire, elle joue à quoi ?

– Ma secrétaire ?

– Ben oui votre secrétaire ! Elle était bien là en train de vous invectiver avec les autres !

– Je ne comprends pas !

– Oui ben moi je comprends trop bien, je ne sais pas ce que vous avez foutu, mais je ne veux en aucun cas être mêlé à vos magouilles ! Je suis un honnête homme, moi !

– Y’a pas de magouilles ! Et mon bouquin alors ?

– Il se vendra sur Internet en province, à moins que je décide de foutre tous les exemplaires au pilon !

 

Et c’est ce qu’ordonna dans la foulée, le libraire et pour faire bonne mesure il en profita pour faire pilonner également le stock résiduel du premier opuscule.

 

Beautilleux erre dans les rues de Paris, en pleine confusion mentale, il ne sait plus quoi faire, n’a plus de projets.

 

Rentré chez lui il trouve dans son courrier électronique une sommation à payer émanant d’Inès Kermaillard !

 

 » Bof ! Un formulaire sans aucune valeur piqué sur Internet. Inutile de m’affoler, mais je fais quoi, je lui rends ce qui reste ? J’essaie de le jouer au poker ? J’investis dans un coup, mais il me faudrait une idée ? »

 

Mardi 12 avril

 

D’idée, il lui en vient une : modifier légèrement ses manuscrits, modifier les titres et les proposer à une autre librairie ésotérique, il y en a plusieurs dans Paris, et ces gens ne s’estiment guère entre eux, mais personne n’en veut comme si un invisible téléphone arabe avait été déclenché.

 

Mercredi 13 avril

 

Le lendemain, il décida de se rendre chez Mathilde, comme ça, sans plan précis, afin de faire exploser sa rancœur. Auparavant, il s’acheta un pistolet d’alarme histoire d’impressionner son monde.

 

C’est Fabienne, la soubrette qui lui ouvre :

 

– Je vais voir si Madame peut vous recevoir, c’est de la part ?

– Beautilleux, vous ne me reconnaissez pas ?

– Je suis myope, monsieur !

 

Quelques instants plus tard, elle revenait munie des instructions de sa patronne :

 

– Madame vient de sortir, elle sera là à 17 heures, mais j’ignore si elle consentira à vous recevoir !

– Allez-vous faire enculer !

– Avec plaisir, mais surement pas par vous !

– Conasse !

– Non, Fabienne, monsieur !

 

Il revint plus tard à l’heure indiquée

 

– Madame Descloseaux ne pourra probablement pas vous recevoir, nous avons du monde.

– Insistez, j’en ai pour une minute

 

« Tant mieux s’il y a du monde, je vais lui foutre la honte devant ses invités ! »

 

La soubrette revint l’informer qu’il pouvait entrer et que Madame pouvait lui accorder cinq minutes, pas une de plus.

 

Il entre et là il ne comprend plus rien, trois femmes et un homme sont installés dans des fauteuils en compagnie de Mathilde qui vient de se lever.

 

Mais sa surprise est encore plus grande quand il découvre que l’une des femmes est Inès, l’autre, Béatrice, il ne connaît pas Brigitte mais l’homme c’est le professeur Martinov.

 

– Qu’y a-t-il pour votre service, jeune homme ? Lui demande posément Mathilde.

– C’est dégueulasse ce que vous m’avez fait ! Eructe Beautilleux.

– Je croyais que tu étais venu me rendre mon fric ! Lui balance Inès.

– Vous n’aviez pas à me traiter de cette façon ! Répète-il, on aurait pu s’arranger autrement.

– Ah, oui et comment ? Persifle Inès

– On aurait bien trouvé.

– On aurait rien trouvé du tout, si tu n’as rien d’autre à nous dire, débarrasse-nous le plancher et va chercher l’argent.

– C’est vous qui m’avez foutu dans la merde ! Hurle-t-il en pointant un doigt accusateur en direction de Mathilde, moi je voulais juste me faire un peu de sous en écrivant des bouquins…

– Des trucs de charlatans ! Le coupe Mathilde.

– Qu’est-ce que vous en savez, vous n’y connaissez rien.

– Ce que je sais c’est que tu m’as fait marron de 15 000 balles ! Réplique Inès

– Et alors, je vous les aurais rendus, mais vous ne m’avez pas laissé de temps. Vous m’avez manipulé avec vos gros nichons et votre gros cul…

– D’abord, elle n’a pas un gros cul et si tu ne dégages pas de suite on va t’aider à trouver la sortie ! L’invective Mathilde

– Empêcher un écrivain de s’exprimer, c’est dégueulasse

– Les chèques falsifiés aussi, maintenant dehors ! Fabienne raccompagne moi ce clown à la porte.

– Je connais le chemin, mais vous n’avez pas fini d’entendre parler de moi !

– Tant mieux, ça nous distraira.

 

Nous avons là dans le salon de Mathilde, quatre femmes chaudes de la culotte, ainsi que le professeur Martinov qui n’est pas avare de croustilleries, sans oublier Fabienne. Il va donc probablement se passer quelque chose.

 

Béatrice, bien coquine a soufflé dans l’oreille de Brigitte que les deux matures n’étaient guère farouches. Tout est prêt pour une petite partie, il ne manque que l’élément déclencheur.

 

Pour l’instant on boit, on rigole, Brigitte tient la vedette en racontant quelques-unes des plus pittoresques enquêtes de détective privée. Mais pour l’instant personne ne parle de sexe.

 

C’est Mathilde qui tente un ballon d’essai.

 

– Fabienne ! Va chercher une autre bouteille !

 

En même temps, elle lui souffle quelque chose à l’oreille. Fabienne se marre.

 

La soubrette revient et remplit les coupes.

 

– Mais Fabienne, ôte-moi d’un doute, tu n’as pas mis de culotte, n’est-ce pas ?

– Non, madame, je n’ai pas mis de culotte.

– Et tu n’as pas honte ?

– Non madame, j’aime bien avoir la chatte au frais.

 

Tout le monde s’esclaffe.

 

– Non mais quel culot ! Fais-nous voir.

 

Et voilà la Fabienne qui tourbillonne, en soulevant sa jupette montrant ainsi cul et chatte à toute l’assistance.

 

Il faut juste maintenant que quelqu’un suive et la partie pourra démarrer.

 

C’est Brigitte qui s’y colle !

 

– Quelles belles fesses, on peut toucher ?

– Bien sûr, à moins que Fabienne s’en aille en courant.

 

Mais Fabienne se laisse peloter. Du coup Béatrice en fait autant.

 

Inès qui est assise à côté de Brigitte lui fait un sourire complice fort explicite

 

– Ça devient chaud ! Dit-elle.

– Hé !

– Vous avez beaucoup de charme !

– Mais vous aussi ma chère !

 

Les deux visages se rapprochent. Et hop les voilà qui se roulent une pelle, tandis que les mains s’égarent et caressent.

 

– Mais elles sont déchainées ! Dit Béatrice à Mathilde en lui faisant les yeux doux.

– Ça fait envie, n’est-ce pas ?

– Bisous ?

 

Et voilà un second couple de formé.

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Et Martinov, il fait banquette ? Mais non, c’est Fabienne qui vient le voir, s’assoit sur lui par devant et entame une chevauchée de façon à ce que sa chatte touche la braguette de l’homme, une sorte de laps dance en quelques sorte. Et comme elle connait les petites ficelles de cette pratique, elle ouvre la chemise du professeur, trouve ses tétons et les serre dans ses petits doigts délicats. Il bande Martinov, il bande même très fort.

 

Spontanément, Inès s’est dégagé un nichon qu’elle offre à la langue agile de Brigitte.

 

– Vous avez une superbe poitrine !

 

– Lèche-moi, c’est bon !

– Comme ça ?

– Oh oui ! Répond-elle en dégageant l’autre sein, je peux être très salope, parfois.

– Ça tombe bien, moi aussi, je vais te les bouffer tes seins.

– Tu me boufferais la chatte aussi ?

– Bien sûr.

 

Et les voilà qui se dirigent vers le canapé, ça tombe bien, c’est un grand canapé d’angle avec de la place pour tout le monde.

 

On a droit alors à une scène hallucinante. Fabienne qui avait à présent la bite de Martinov dans la bouche est dérangée par sa patronne qui malgré le fait qu’elle se fasse lécher les nénés par Béatrice a néanmoins les yeux partout :

 

– Fabienne, va chercher de grandes serviettes et va recouvrir le canapé.

 

C’est beau le sens pratique !

 

Ce pauvre professeur se retrouve avec la bite à l’air sans savoir s’il y a aura une suite ou pas…

 

Mais Fabienne revient vite.

 

– Vous permettez mesdames, je pose ça en vitesse et je vous laisse vous amuser, moi je retourne sucer la bite de ce gentil monsieur.

 

Le professeur a à peine débandé pendant cette interruption, Fabienne peut donc reprendre sa pipe.

 

– Soulève un peu tes fesses ! Lui dit la soubrette qui avait le tutoiement facile.

 

Martinov ne répond pas mais marque son étonnement, alors la fille explique :

 

– Tu ne veux pas que je t’enfonce un doigt dans le cul ?

– Ah ? Si, si, j’aime bien !

 

Fabienne demande alors au professeur de se changer de position « parce que c’est plus pratique », il se place donc à genoux sur le fauteuil, le visage tourné vers le dossier. Fabienne peut ainsi lui doigter le trou du cul plus facilement.

 

C’est qu’il aime ça notre vert professeur, d’ailleurs il ne tarde pas à émettre des grognements de plaisir.

 

– Et un gode tu aimes ?

– Oui !

– Alors, bouge pas, garde la position, je vais en chercher un !

– Il n’est pas trop gros quand même ?

– Mais non !

 

Sur le canapé, Ines a dégagé la poitrine de Brigitte et c’est à son tour de se régaler de ses beaux nichons. Puis prise de frénésie elles enlèvent tous leurs vêtements. Inès peut ainsi admirer le corps parfait de la belle détective.

 

– Whaouh ! S’écrie Inès.

 

Brigitte écarte ses cuisses, invitant sa partenaire à venir s’occuper de son intimité. Celle-ci évidemment ne se dérobe pas, elle doigte, elle lèche et se régale, et tandis que se doigts ont accrochés les tétons et les serre fortement, La jolie détective finit par jouir en libérant un geyser de mouille.

 

– Occupe-toi de moi ! Dit ensuite Inès à sa complice I

 

De son côté, Mathilde s’est employée à dépoitrailler Béatrice.

 

– Quelle belle poitrine !

– On fait ce qu’on peut.

– Je peux gouter ?

– Bien sûr.

 

Mathilde s’éloigne de quelques pas et s’en va chercher un verre de champagne entamé sur la table, ce n’est pas le sien mais ça n’a aucune importance. Revenue près de Béa, elle fait couler un peu de liquide sur son sein avant de le laper.

 

– On t’avais déjà fait ça ?

– Oui, mais avec une autre sorte de champagne.

 

Béa se demande si sa partenaire comprend l’allusion, celle-ci ne répond pas et se contente de lécher ce sein au goût particulier.

 

Puis Mathilde se déshabille entièrement, elle prend la main de Béatrice, celle-ci pense alors qu’elle va la mener jusqu’au canapé où continue de s’ébattre Inès et Brigitte.(nous y reviendrons), mais non, elle la fait sortir de la pièce et l’entraine jusqu’aux toilettes.

 

– Je vais faire pipi ! Dit simplement Mathilde.

 

Béatrice vient de comprendre la manœuvre. Peu certaine du sens de son allusion sur « l’autre champagne », la mature choisit donc de la tester.

 

– Et tu voudrais que je lèche après ? C’est ça le jeu ?

– C’est comme tu veux !

– Alors je veux bien.!

– Si tu veux je vais pisser debout, tu verras mieux !

– Bonne idée.

 

Mathilde retiens son souffle et ouvre de suite les vannes. Et c’est qu’elle avait une grosse envie la mature ! Un véritable torrent doré qui dégringole dans la cuvette avec un bruit de cascade.

 

Béatrice se dit que provocation pour provocation, autant y aller de bon cœur, et elle tend la main vers le jet se laissant asperger les doigts, elle les porte ensuite à la bouche en regardant vicieusement sa compagne de débauche.

 

– Salope ! Commente simplement Mathilde avec un grand sourire.

– Eh oui !

– Tu fais ça souvent ?

– C’est mon petit péché mignon, j’adore ça… Alors quand j’ai l’occasion… Et toi ?

– Moi, j’ai Fabienne sous la main, sinon, c’est plutôt rare, je ne fais jamais le premier pas, je ne sais pas pourquoi, d’ailleurs.

– Et avec Fabienne, tu donnes ou tu reçois ?

– Les deux, il m’arrive parfois d’aller plus loin encore.

– Tu bois ?

– Oui, mais ce n’est pas de ça dont je voulais parler.

– Caca ?

– Ça te choque ?

– Pas du tout, je ne suis pas accro à ce genre de choses, mais dans des moments de grande excitation, je me suis déjà laisser aller.

– Parfois Fabienne me fait un joli boudin bien moulé, j’adore la regarder et après je lui lèche le cul. Je suis vraiment une vieille salope dépravée, mais je m’en fous, je ne fais de mal à personne. Bon assez discuté, tu devais me nettoyer la chatte me semble-t-il.

 

Mathilde s’assoit sur la cuvette, Béatrice vient entre ses cuisses et lape les gouttes d’urine résiduelles, et quand il n’y en a plus, elle ne s’arrête évidemment pas et lèche avidement la chatte de la belle mature qui excitée comme une puce comme elle était, part au plafond au bout d’à peine trois minutes.

 

Les deux femmes se remettent debout, se caressent et s’embrassent, un baiser au goût un peu spécial…

 

– Tu embrasses trop bien ! Lui dit Mathilde

– Mais toi aussi, ta salive est délicieuse

– Alors ouvre la bouche, je vais t’en redonner

 

Béatrice cru alors que la mature allait de nouveau l’embrasser, mais elle avait une autre idée en tête

 

– Non ne bouge pas, on va faire quelque chose de très cochon…

 

Béatrice en voyant sa partenaire remplir sa bouche de salive comprit ce qu’elle avait l’intention de faire.

 

– Je veux bien, mais si me le fait je te le fais aussi !

– Pas de problème, vas-y crache-moi dessus ! Répond Mathilde en ouvrant une large bouche.

 

Elles jouèrent à ce petit jeu un petit moment ce qui finit par les faire éclater de rire.

 

– T’as pas envie de pipi toi ?

– Pas trop, mais je peux essayer.

– Directement dans ma bouche ?

– Ça peut se faire !

 

Béatrice reste debout et se concentre, mais ça a du mal à venir, Mathilde se met en dessous, la bouche ouverte en position d’attente.

 

– Désolée, mais on pourra réessayer tout à l’heure…

– Attends je vais t’aider ! Dit Mathilde en tirant une chasse.

 

Et c’est magique, le bruit déclencheur débloque les sphincters du pipi, et la mature avale la petite giclette d’urine que lui offre Béa.

 

– Il est délicieux, ça va être à mon tour de te faire jouir, mais rien ne presse, viens on retourne avec les autres… Mais avant dis-moi une chose, Ce Monsieur Martinov avec qui tu travailles, est-ce qu’il apprécie aussi ce genre de jeux.

– Mais certainement, ma chère !

 

Les autres ? Ils sont toujours à la fête. Le professeur Martinov est en train de faire goder le cul par une Fabienne complètement déchainée, alors que sur le canapé Brigitte est en train de faire feuille de rose sur le cul bronzé aux U.V. d’Inès.

 

– Il est bon ton cul

– Normal c’est un cul de salope !

– J’aime lécher le cul des belles salopes !

 

Et bientôt la langue est remplacée par les petits doigts agiles de Brigitte. Oh, juste deux, qui pilonne avec une belle énergie l’anus de la femme aux cheveux d’argent, laquelle finit par jouir dans un spasme. Les deux femmes se redressent et s’embrassent.

 

Brigitte aperçoit le professeur se faire joyeusement engoder par Fabienne. Elle s’approche.

 

– Et ben dis donc, tu l’encules-bien !

– C’est que Monsieur à l’air d’apprécier. J’aime bien donner du plaisir aux gens !

– Tu es une brave fille ! Lui dit-elle après l’avoir embrassée voluptueusement, mais j’aimerais m’occuper un peu de ce monsieur.

– Comme il vous plaira. Répond la soubrette qui le gode à la main cherche une partenaire de libre.

 

Mathilde a délaissé Béatrice pour aller câliner Inès, mais notre chimiste de charme ne reste pas seule longtemps, Fabienne venant la solliciter tandis que Brigitte interpelle Martinov.

 

– Eh bien professeur, je crois que cette petite soubrette vous a gâté !

– Ma foi, c’était pas mal du tout.

– Il me semble bien que je n’ai jamais eu l’honneur de vous sucer la bite ?

– Si le cœur vous en dit, ne vous gênez pas !

– Et vous m’enculerez après ?

– Mais avec grand plaisir, ma chère.

– Je ne sais pas ce qui m’arrive en ce moment, je suis folle de mon cul.

– Ce sont de choses qui arrivent.

– Bon, voyons cette bite…

 

Brigitte suçait fort bien, elle adorait ça, tétant le gland, procédant pas des va-et-vient énergiques, puis quand elle sentit la goutte de liqueur séminale perler, elle s’arrêta.

 

– Je reviens tout de suite.

 

Elle alla farfouiller dans son sac à main, y trouve un préservatif, puis alluma une cigarette, en huma plusieurs bouffées avant de se mettre en levrette et d’offrir son cul aux assauts du professeur qui ne comprenait pas bien ce besoin qu’elle avait de cloper pendant la sodo.

 

En fait, Brigitte ne souhaitait pas que Martinov, parte trop vite d’où ce petit contre-temps tabagique..

 

Le professeur réussit à se maîtriser jusqu’à ce que Brigitte ait pris son plaisir, la chose faite il accéléra comme un dingue et jouit à son tour.

 

Sur le canapé, Mathilde et Inès sont en soixante-neuf et se lèchent la chatte et le trou du cul à qui mieux mieux. Tandis que Fabienne tripote avec énergie l’intimité de Béatrice.

 

Brigitte non encore rassasiée, vient rejoindre les deux matures, pour former un triangle infernal où on finit par ne plus savoir qui gémit, qui miaule, qui se pâme et qui jouit, dans une débauche de fesses et de belles poitrines. .

 

Moment calme, tout le monde s’est bien éclaté.

 

– Fabienne va nous ouvrir une autre bouteille ! Tu as vu ce que tu as provoqué en montrant ton cul à tout le monde ?

– Hi, hi !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:20

Martinov 22 – Univers parallèles – 9 – Martinov, Béatrice et Inès par Maud-Anne Amaro

 

Stamp Mature Sodo

Samedi 19 mars

 

Le lendemain après avoir apporté son ordinateur et son imprimante, Beautilleux pouvait commencer à faire semblant de travailler. Inès lui indiqua qu’elle allait lui signer un chèque de 15 000 euros

 

– Si ça ne vous dérange pas, je préférerais deux chèques, un de 10 000 sans ordre et un autre de 5 000. Parce que j’ai deux banques…

– Pas de souci !

 

Il dut prendre énormément sur lui pour résister à la tentation de claquer tout ça, mais la crainte que les menaces de Mathilde ne soient pas vaines l’incita à apporter le chèque chez cette dernière.

 

L’étonnement de Mathilde est double : d’abord de voir Beautilleux s’acquitter de sa dette aussi rapidement alors qu’elle pressentait les pires difficultés, mais surtout de se voir remettre un chèque au nom d’Inès Kermaillard !

 

« A quoi, elle joue, celle-ci ? Elle est en train de faire n’importe quoi ! Enfin, l’essentiel, c’est que je récupère mon fric ! »

 

– Euh, on est plus fâché alors ? Tenta l’homme.

– Moi, je ne me fâche pas sans raison, mais quelle importance ? Je peux savoir ce que tu lui as fait à cette pétasse pour qu’elle te file tout ce fric ?

– Elle finance mes travaux !

– Sur les univers parallèles ?

– Oui !

 

Mathilde éclata de rire !

 

– Et quand elle va s’apercevoir que tes travaux n’aboutissent pas, tu vas faire quoi ?

– J’ai ma petite idée !

– Tu ne veux pas me dire ?

– Non !

– Tu n’as pas confiance ?

– Vous êtes très belle ! Déclara-t-il préférant changer de conversation.

– Tu me l’as déjà dit, mais désormais tu me baiseras dans tes fantasmes, uniquement dans tes fantasmes. La sortie c’est par là !

– Vous ne m’offrez pas à boire ?

– Non, si t’as soif, il y a un bistrot pas très loin.

 

Beautilleux acheta des bouquins consacrés à la prestidigitation, et une boite à lumière pour le fun, il s’exerça à faire disparaître et réapparaître de petits objets, mais soit les bouquins expliquaient mal, soit il n’était pas très doué, toujours est-il qu’il n’y parvenait pas.

 

Rageur, il se concentra uniquement sur la disparition d’objets, au bout de huit jours il y arrivait assez bien.

 

Lundi 28 mars

 

Quand Inès vint le voir il lui fit une démonstration avec un bouchon de liège. Après avoir allumé son ordinateur et sa boite à lumière, il se livra à des réglages imaginaires sur son clavier, puis recouvrit le bouchon d’une serviette de table, tapa de nouveau sur son clavier. Il souleva la serviette, le bouchon n’y était plus.

 

– Et voilà !

– Vous allez le faire revenir, maintenant ?

– Ce sera la prochaine étape, pour l’instant, ça ne fonctionne pas !

– Et vous pensez y arriver ?

– Bien sûr ! Proclama-t-il avec assurance.

– Mais pourquoi la serviette n’est-elle pas partie avec le bouchon ?

– Parce que j’ai délimité le périmètre !

– Ah ! Mais elle sert à quoi la serviette ?

– A éviter la dispersion d’énergie !

– Ah ?

 

Inès ne put s’empêcher de penser que la démo de Beautilleux ressemblait comme deux gouttes d’eau à un tour de prestidigitateur amateur.

 

– Et avec un objet plus gros ?

– Le souci, c’est que le transfert demande énormément d’énergie, j’ai peur de faire sauter votre compteur électrique. Faut que je trouve une solution pour ça !

– Si je comprends bien on n’est pas sorti de l’auberge !

– Ayez confiance !

 

Jeudi 31 mars

 

Beautilleux passa les jours suivants à essayer de faire réapparaître le bouchon sans que cela ressemble à un truc de magicien de province… Sans succès.

 

Inès en était déjà à douter :

 

« Il me mène en bateau, il n’y arrivera jamais ! »

 

Beautilleux préparait doucement sa « sortie » en distillant des petites phrases :

 

– Tout cela reste théoriquement possible, mais d’une part j’ai l’impression qu’il faut une énergie dingue, en plus je me demande si ce n’est pas dangereux, j’ai envoyé un ver de terre, mais il n’est pas revenu !

– La pauvre petite bête ! Je croyais que vous étiez confiant !

– Moi aussi, je croyais… Mais je vais continuer à chercher !

– C’est ça, cherchez !

 

Elle profita d’une absence momentanée de Beautilleux dans la journée pour fouiller un peu dans la « volière » et c’est là qu’elle tomba sur les bouquins de prestidigitation.

 

– Oh, le salaud ! Il se fout de ma gueule, il va me le payer !

 

Beautilleux aurait été là, elle serait partie l’incendier, mais elle se raisonna, la vengeance est toujours meilleure froide ! Et puis si elle voulait se diriger vers d’autres pistes, il ne fallait pas commencer par le braquer.

 

– Dites-moi, la cabine, c’était quoi ce délire ?

 

Beautilleux s’attendait à ce qu’elle pose un jour cette question.

 

– C’est une cabine fantaisiste, je m’étais dit que si je faisais une nouvelle conférence ce serait amusant de faire une démo avec une cabine factice.

– Ça a dû vous coûter bonbon !

– Assez oui ! Répondit Beautilleux sans voir le piège.

– Autrement dit vous avez claqué du fric dans un gadget de démonstration qui ne sert à rien !

– Je me débrouille !

– Ben voyons ! Et qui c’est qui vous a bricolé ça ?

– Un bricoleur professionnel à Louveciennes

– C’est une personne qui s’y connaît en univers parallèles ?

– Bien sûr ! Répondit imprudemment Beautilleux..

– Donnez-moi ses coordonnés ?

– Mais pourquoi faire ?

– Ça ne vous regarde pas !

– Il s’appelle Martinov, je n’ai pas l’adresse C’est à Louveciennes

 

Vendredi 1er avril

 

Le lendemain matin, Inès sonnait chez le professeur Martinov. C’est Béatrice qui alla ouvrir.

 

– Bonjour je suis Inès Kermaillard et je voudrais m’entretenir avec le professeur Martinov.

– Z’avez rendez-vous ? Répondit Béa en dévisageant fort peu discrètement son interlocutrice.

– Ah, non ! J’ignorais qu’il fallait prendre rendez-vous.

– Je vais voir s’il peut vous recevoir.

 

Béatrice s’amusa à décrire la visiteuse auprès du professeur :

 

– Une pétasse mature ! Tu vas aimer.

– Fais-la entrer !

 

Inès pose son manteau, elle n’a pas fait dans l’extravagance vestimentaire, jeans commun en bas, petit haut gris au crochet, moyennement décolleté.

 

– Je vous écoute, euh, ça ne vous dérange pas si ma collaboratrice assiste à l’entretien ?

– Pas du tout !

– Alors nous vous écoutons !

– Je me suis laissé dire que vous étiez un spécialiste des univers parallèles…

– De quoi ? Qui vous a raconté une chose pareille ?

– Une personne qui a fait appel à vos services et pour laquelle vous avez construit une cabine…

– C’est donc ça ! On vous aura mal renseigné, je n’y connais rien en univers parallèles…

– Mais, cette cabine ? On m’a dit que c’était une cabine de démonstration mais qu’éventuellement…

– Ecoutez, normalement la déontologie m’interdit de parler des prestations demandées par nos clients, mais en ce qui concerne cette cabine, nous sommes tombés sur un type peu scrupuleux en matière de paiement. La cabine qu’il nous a commandé était selon lui destinée à une attraction foraine ! Voilà, on vous aura mal aiguillé, chère Madame !

– Bon OK tant pis pour moi, je vais vous laisser, mais dites-moi, vous n’avez pas une opinion personnelle sur les univers parallèles ?

– Je suis un scientifique, les univers parallèles ce ne sont que des hypothèses puisque c’est inobservable.

– Il y a pourtant des grands scientifiques qui se sont penchés dessus.

– Non, vous vous trompez, chère madame.

– Si, si, j’ai noté le nom, c’est un nom compliqué, un savant qui a fait des expériences avec un chat.

– Schrödinger ! Il n’a pas fait d’expériences, il a juste émis des hypothèses, d’ailleurs je n’y ai jamais rien compris !

– Bon, ben tant pis, je suis un peu déçue, je pensais que vous pourriez m’apporter quelque chose.

 

A ce moment, Martinov aurait pu laisser partir son étrange visiteuse. Mais quelque chose d’indéfinissable sans doute lié au charme mature d’Inès le poussa à continuer la conversation :

 

– Mais qu’attendez-vous de ces univers parallèles ?

– Un monde où je serais mieux, il existe forcément ! Vous n’avez pas lu le bouquin du Docteur Beautilleux ?

– Ah, il est docteur maintenant ?

– Tenez, j’en ai un exemplaire sur moi, je vous le donne ! Beautilleux est un peu escroc, mais j’aime bien ses théories.

– Mais vous recherchez quoi exactement ? Je crains de ne pas avoir tout compris.

 

Alors Inès se mit à parler et raconta toute l’histoire, la tentative d’escroquerie de Mathilde, le flirt avec le gigolo, le contrat avec Beautilleux

 

La situation prenait un tour surréaliste, alors qu’il était évident pour tout le monde qu’Inès n’avait pas frappé à la bonne porte, le professeur Martinov semblait boire ses paroles.

 

A ce point que Béatrice en arriva à se demander ce qu’elle faisait là ! Aussi, se leva-t-elle de son siège afin de s’en aller travailler ailleurs.

 

Elle croisa alors le regard d’Inès, un regard à la fois souriant et implorant qui semblait lui dire quelque chose comme : « j’aurais voulu que tu restes ! ». Infiniment troublée, Béatrice se rassit en rendant son sourire à la visiteuse.

 

– En voilà une histoire ! Commenta bêtement le professeur quand Inès eut terminé de parler.

– Vous en pensez quoi ?

– Je pense que vous poursuivez une chimère, mais ce n’est que mon opinion. Déjà on ne sait pas si les univers parallèles existent et puis s’ils existent est-ce qu’il y en a une infinité ou juste quelques-uns comme ça dont on ne peut savoir à quoi ils ressemblent. Et puis allons plus loin, s’il existe une infinité de mondes parallèles et que donc l’un d’entre eux par le plus grand des hasards correspond à ce que vous cherchez, on fait comment pour le localiser, on fait comment pour y aller ?

– Vous étés un briseur de rêves, professeur !

– J’en suis sincèrement désolé, j’aurais aimé vois aider.

– Vous étiez ma dernière bouée, je n’en ai plus d’autres, je vais régler mes comptes avec cet escroc de Beautilleux et retourner à ma petite vie. Mais je vous remercie de m’avoir écouté, vous n’étiez pas obligé !

 

L’entretien aurait donc pu se terminer là, mais Martinov n’avait pas envie de la voir partir, pas encore !

 

– Il y a une chose qui m’intrigue, quand cette Mathilde vous a manipulé en vous mettant dans les pattes de ce gigolo, qu’est-ce qui a fait que ça n’a pas marché, puisqu’elle vous a choisi un type qui correspondait à vos fantasmes ?

– Ça a marché sexuellement, c’était vraiment comme on dit « un bon coup », en plus il était gentil, prévenant et je pense qu’il l’était naturellement, il ne se forçait pas. Et puis il était beau, il avait de l’humour et de la conversation. Mais je n’ai pas eu de coup de foudre !

– Et vous avez essayé de comprendre pourquoi ?

– L’amour et les coups de foudre, ça ne s’explique pas ! N’est-ce pas, mademoiselle ? Répondit Inès en s’adressant à Béatrice.

– Vous savez, répondit cette dernière, moi, je n’ai jamais eu de coup de foudre.

– Ah ?

– Je veux dire qu’il m’est arrivé d’être scotché par la vue d’un joli visage d’homme ou de femme, mais ce n’est jamais qu’une réaction hormonale, c’est davantage sexuel que romantique.

– Avec les femmes aussi ?

– Ben oui, ce sont des choses qui arrivent.

– Euh, pardonnez-moi d’être indiscrète, vous avez concrétisé ?

– Je pourrais vous répondre que ça ne vous regarde pas, Mais disons que ça dépend des circonstances, mais si l’attirance est réciproque, oui bien sûr.

– Vous étés d’accord, professeur ?

– Complètement !

– Vous étés amusants tous les deux, je veux dire : c’est intéressant ce que vous dites, en arrivant ici, j’étais loin de penser que la conversation irait jusque-là.

– Les conversations c’est comme les chats de gouttières, on ne sait jamais où ils vont aller ! Répondit le professeur qui aimait bien placer ses aphorismes.

– Vous êtes drôle ! Mais puisque vous parlez d’hormones, c’est peut-être les miennes qui déconnent. Franchement, est-ce que vous me trouvez encore désirable ?

– Mais tout à fait ! Répondit spontanément Martinov.

– Vous me flattez, et vous mademoiselle, partagez-vous cet avis ?

– Draguez-moi, vous verrez bien ! Répondit Béa sur le ton de la plaisanterie.

– Et si je vous prenais au mot ?

– Allez-y je suis très joueuse.

 

Inès reste un moment déstabilisée, mais juste un moment.

 

– Vous permettez, professeur que je drague votre collaboratrice ?

– Pourquoi pas, mais je vais être jaloux ! Plaisanta-t-il.

– Puisque c’est un jeu, tout est possible. Béatrice, je peux vous appeler Béatrice ?

– Bien sûr, on peut même se tutoyer !

– J’aime beaucoup ton visage, tes yeux, ton nez, ta bouche. J’aimerais beaucoup poser mes lèvres sur les tiennes !

– Eh bien vas-y !

– C’est vrai, je peux ?

– Puisque je te le dis !

 

Inès hésite un moment, Béatrice se lève et s’approche d’elle, près, très près, les lèvres se rencontrent, les bouches s’ouvrent, les langues se mélangent.

 

– Ça va trop loin, qu’est-ce que vous m’avez fait faire ? Commente Inès faussement confuse.

– Ce n’est qu’un jeu, Inès, il n’y a aucune conséquence !

– En tous les cas, c’était charmant, dommage qu’il n’y ait pas de suite ! Intervient le professeur.

– Ecoutez moi ce gros cochon, je suis sûr qu’il bande ! Réplique Béa.

 

Plus ou moins gênée, Inès ne sait plus comment gérer la situation, mais n’envisage pas de quitter les lieux.

 

Béatrice se faisant provocatrice, pose la main sur la braguette du professeur.

 

– Ben oui, il bande, tu veux vérifier, Inès ?

– Peut-être pas !

– Alors embrasse-moi comme tout à l’heure, j’ai trop aimé le gout de ta bouche.

– Je ne sais pas !

– Mais, si tu sais !

 

Elles bissent donc la scène du baiser, sauf que cette fois ça va plus loin puisque les mains de Béatrice se font baladeuses. Et celles d’Inès, bien excitée en font de même.

 

– On est folle !

– Mais non ! Si je te montre mes nénés, tu me feras voir les tiens ? Je suis sûre qu’ils sont adorables.

– On va trop loin !

– Non, on joue !

 

Béatrice ouvre sa blouse de travail, elle a juste son soutien-gorge en dessus, elle le dégrafe.

 

Nouveau moment d’hésitation d’Inès qui ne sait comment réagir jusqu’à ce que Béatrice lui glisse carrément un téton dans la bouche.

 

De son côté, le professeur Martinov transpire comme une bête à la vue de ce spectacle aussi insolite qu’imprévu, il bande comme un malade mais reste sage, laissant l’initiative à sa collaboratrice délurée.

 

Béatrice aide Inès à dégager sa poitrine bronzée aux U.V.

 

– Hum, c’est pas mal tout ça !

– Surtout que je n’ai jamais fait de chirurgie esthétique ! Tient à préciser Béatrice.

 

On ‘est pas obligé de la croire…

 

– Il se passe de ces choses, ici ! Commente le professeur en s’épongeant le front tandis que sa collaboratrice gobe les tétons de la mature.

– Ben quoi on ne fait rien de mal ! Rétorque Béatrice

– Et vous allez continuer comme-ça jusqu’où ? Vous voulez peut-être que je vous prête ma chambre ?

– Ça me parait une excellente idée, vous venez Inès ?

– Si Monsieur Martinov le permet !

– Je vous en prie, faites comme chez vous.

– Peut-être que Monsieur Martinov souhaiterait monter avec nous ? Demande Ines.

– Si c’est une proposition, je ne vais pas la refuser !

 

Ils montèrent donc tous les trois. Martinov qui est loin d’être idiot, même quand il bande, se rend bien compte qu’Inès Kermaillard a une envie folle de sauter Béatrice, mais que sa présence à lui n’est toléré que par courtoisie.

 

Il s’assoit donc dans un coin, résigné à jouer les voyeurs.

 

« A moins qu’elles finissent par me proposer de les rejoindre ? »

 

Inès se déshabille entièrement avec une certaine grâce, elle se mire ensuite devant l’armoire à glace en se caressant les seins.

 

– Pour mon âge, je n’ai pas trop à me plaindre, non ?

 

Béatrice ne lui demande pas son âge, ce sont des choses qui ne se font pas, mais approuve.

 

– Et vous professeur, qu’en dites-vous ?

– Vous me faites bander, chère madame !

– Je prends ça comme un compliment, si vous êtes sage, je vous ferais peut-être une pipe !

 

Béatrice se déshabille à son tour.

 

– T’es canon, toi ! Lui dit Inès.

– Bof !

– Pas de fausse modestie ! Tu sais ce n’est pas si souvent que j’ai envie de m’envoyer des poulettes, mais toi t’es trop craquante !

 

« Voilà que je suis une poulette, à présent ! »

 

Et spontanément les deux femmes se retrouvent sur le lit et commence un échange de caresses.

 

– Touches mes seins, tripote-les, j’adore ça, gobe-moi les tétons ! Demande Inès à sa partenaire qui évidemment ne se prive pas de le faire.

 

Puis au bout d’un moment :

 

– Mets-toi à quatre pattes, je vais te lécher le cul, j’adore lécher le cul des jolies poulettes. Tu aimes qu’on te fasse ça ?

– J’adore ! Répond Béatrice

 

La langue d’Inès s’avère diabolique.

 

– Et en plus, il sent bon ! Commente la mature, il dégage un léger fumet, comment dire. En fait je ne sais pas dire, mais c’est exquis. Je peux mettre un doigt !

– Mets-moi un doigt !

– Le voici !

– Vas-y bouge, fais-moi jouir par le cul !

– Tu ne serais pas un peu salope, toi ?

– Si, pourquoi ?

– Je parie que tu aimes te faire enculer !

– Ce n’est pas désagréable !

– Je ne suis pas tombé si souvent sur des mecs qui le faisait bien, il y avait bien Frank; mais bon…

– Le professeur Martinov le fait très bien !

– Ah oui !

 

Inès se tourne alors vers le professeur.

 

– Ça vous plairait de m’enculer, cher monsieur ?

– Je suis à votre disposition ! Ce sera quand vous voulez !

– Et bien qu’attendez-vous, mettez-vous à l’aise et venez, mon cul vous attend !

 

Voilà un changement de programme complètement inattendu. Martinov d’ordinaire si méticuleux se déshabille à la diable, s’encapote et vient sur le lit où Inès l’attend en levrette, les cuisses écartées et le trou du cul offert.

 

Le professeur aurait bien aimé une petite pipe préalable, mais il ne va pas faire le difficile devant ce très joli cul.

 

Prévenante, Béatrice tend à Martinov une dosette de gel que celui-ci tartine sur l’anus de la mature, puis il entre délicatement.

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– Doucement, doucement !

– Comme ça ?

– Oui comme ça.

– Attention, je vais entrer à fond.

– Entre à fond, Martinov, encule-moi comme une chienne.

 

Et pendant que le professeur nous fait ça comme un artiste, Béatrice qui n’a nulle envie de rester en rade s’agenouille devant le visage d’Ines lui offrant sa chatte à lécher. C’est parti pour un trio infernal.

 

Martinov essaie tant bien que mal de se contrôler, mais sent que sa jouissance est proche, il s’arrête, reprend.

 

– Oui, comme ça ! Oh tu m’encules trop bien, continue ! Ah, le salaud !

 

Et hop, le voilà qui jouit tandis qu’Inès est saisie de spasmes de plus en plus spectaculaires. En bon gentleman, il s’efforce de continuer à pilonner, luttant contre la débandaison en invoquant ses fantasmes les plus secrets (on ne vous dira pas lesquels)

 

Ça y est Inès crie sa jouissance et abandonne le léchage de foufoune qu’elle prodiguait à Béatrice. Martinov se retire, épuisé et la bite douloureuse.

 

Béatrice est un peu dépitée de cette conclusion prématurée, mais Inès est bonne fille.

 

– Reste-là ma poulette, je vais finir de te lécher, je vais t’envoyer au ciel !

 

Ils sont un peu surpris de cette séance de baise complétement improvisée. Inès demande à prendre une petite douche. On se rhabille.

 

– Si vous connaissez un bon restau dans le coin, je vous y invite, c’est fou ce que cette petite fantaisie m’a fait comme bien, je ne vous remercierais jamais assez.

 

Martinov et Béatrice n’avaient pas beaucoup de temps mais allèrent néanmoins avec Inès déguster une assiette d’huitres près de la gare.

 

– Si vous avez envie de nous rencontrer de nouveau, ne vous gênez surtout pas ! Lui confia Martinov en prenant congé.

– Avec grand plaisir ! Puis s’approchant de son oreille elle lui chuchote : « Tu m’as bien enculé, mon salaud ! »

 

C’est toute ragaillardie qu’elle rentra à Montmartre, et de suite elle se rendit à la volière où Beautilleux se livrait à on ne sait quelle activité bizarroïde sur son ordinateur.

 

– Dis donc toi, me pendrait-tu pour un pigeon ?

– Plait-il ?

– Il se trouve que par le plus grand des hasards, je suis tombée sur tes bouquins de prestidigitation !

 

Beautilleux devient blême

 

– Et alors ? C’est mon violon d’Ingres ! Balbutie-il bêtement.

– Tu n’es même pas un bon prestigiateur, eux, ils savent faire réapparaitre leurs objets ! En fait t’es un escroc !

– Mais…

– Tu fous le camp d’ici et tu me dois 15 000 balles.

– Je ne te dois rien du tout, le contrat ne mentionnait aucune obligation de résultat.

 

Touchée !

 

– Sauf que tu devais travailler sur les univers parallèles et qu’à la place tu m’as mené en bateau !

– Porte plainte ! Qui va le prouver ?

 

Touchée, coulée !

 

– Alors d’accord le contrat ne vaut peut-être rien, mais tu crois vraiment que je vais m’assoir sur 15 000 balles ?

– T’avais qu’à faire attention ! Quand on joue, parfois on perd !

– Tu ne t’en tireras pas comme ça, dans une heure je veux que tu ais dégagé les lieux ! Et je veux que tu me rendes mes sous d’ici huit jours.

 

Inès eut beau chercher, elle ne voyait pas bien ni comment se venger de Beautilleux, ni comment être sûre de récupérer son argent. Elle se confia auprès de Mathilde par téléphone.

 

– Tu ne récupéreras probablement rien du tout, ce mec n’a pas un rond devant lui, par contre, te venger, c’est toujours possible, mais faut que je réfléchisse, il faudrait trouver un truc qui ne puisse pas déboucher sur un dépôt de plainte.

– Lui foutre la trouille !

– Oui bien sûr, mais on peut trouver plus subtil, en fait il y a plusieurs façons de se venger de quelqu’un, on peut évidemment lui casser la gueule, méthode que je réprouve, ça ne sert à rien et c’est une source de complications, non il faut lui foutre la honte !

– Comment ça ?

– J’ai peut-être une idée, je vais t’expliquer.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:19

Martinov 22 – Univers parallèles – 8 – Trio avec soubrette par Maud-Anne Amaro

soubrette stamp

 

Jeudi 17 mars

 

Inès a réfléchi :

 

« Porter plainte pour escroquerie ? Bien sûr, mais à ce moment-là, la Mathilde va aussi tomber pour proxénétisme, ça veut dire grosse peine et sans doute prison ferme ! Bien fait pour sa gueule ! Mais l’enquête risque d’éclabousser Franck qui, après tout n’est pas un mauvais bougre, juste un complice occasionnel, et qui s’est montré somme toute, plutôt correct. »

 

« Alors pas de plainte, mais la Mathilde, je m’en vais aller la trouver. »

 

Franck a envoyé un :message à Mathilde.

 

« La supercherie est découverte, je suis désolé, j’ai fait ce que j’ai pu, mais à y regarder de près, c’était vraiment mission impossible ! »

 

Inès prend son manteau et prend le chemin de la gare Montparnasse afin de retourner à Rambouillet. Là, elle actionnera le fameux bouton ronge qui la ramènera dans son univers d’origine.

 

C’est une fois qu’elle fut bien calée dans le train qu’elle se posa la « bonne question » :

 

« Le gigolo, il habite dans un univers parallèle ou pas ? »

 

Elle sorti son téléphone portable, consultât son carnet d’adresse et chercha en vain un « Franck ».

 

« J’ai compris, il n’y a probablement pas plus d’univers parallèles que de beurre en broche, mais je dois être absolument sûre ! »

 

Arrivée dans le pavillon de Mathilde, elle ramasse une branche morte, ouvre la cabine inter-univers, dépose la branche sur le siège, appuie sur le bouton rouge et ressort prestement.

 

Elle voit des lumières s’allumer et clignoter, puis plus rien. La branche morte n’a pas bougé d’un poil !

 

« O.K. la démonstration est faite, maintenant les auteurs de cette escroquerie qui m’ont pris pour une poire, je vais leur pourrir la vie, ça va m’occuper. »

 

Mathilde est fataliste, elle a conscience de s’être plantée dans une opération mal réparée. Mais se dit-elle : « On ne peut pas penser à tout ! ».

 

Il y a pour elle deux problèmes :

 

Le premier, c’est qu’elle a investi beaucoup d’argent dans cette opération, en pure perte donc ! Mais elle est persuadée qu’elle se refera, elle a longtemps fait tourner les tables, c’est une activité bien rodée, qui n’est pas trop difficile et qui rapporte bien.

 

Rationaliste et athée, Mathilde ne croit donc pas au surnaturel, et si elle fréquente les cercles ésotériques c’est toujours et uniquement dans l’espoir de trouver des gogos qu’elle pourra gruger, et ce n’est pas cela qui manque. Les univers parallèles de Beautilleux lui avaient semblé être l’opportunité de réaliser un gros coup. C’était donc raté !

 

Le second problème c’est qu’Ines Kermaillard allait maintenant être tentée de porter plainte. Il lui fallait donc prendre ses précautions. La cabine de Rambouillet qui constituait une pièce à conviction, elle allait la faire enlever par un épaviste. Quant à Inès elle-même pourquoi ne pas essayer de lui proposer un arrangement ?

 

« Mais n’improvisons pas, il ne faudra pas dire n’importe quoi ! »

 

Après le déjeuner, s’estimant prête, Mathilde appelle Inès.

 

– Allô Inès ! J’aimerais qu’on se parle.

– Ben ça tombe très bien, je suis dans un taxi et j’arrive chez vous dans un quart d’heure.

 

Les deux femmes ne sont pas du même niveau, Mathilde intellectuelle, cultivée, intelligente, Inès assez primaire, people et superstitieuse.

 

Fabienne qu’Inès n’avait jamais vu, fait entrer Inès. Pas de poignée de mains, mais Mathilde invite sa « victime » à s’asseoir.

 

Inès ignore que Mathilde est déjà au courant de l’échec de l’opération, aussi est-elle surprise quand cette dernière lui déclare tout de go :

 

– J’ai voulu m’amuser, je me suis plantée. Je vous propose de vous dédommager, ainsi vous n’aurez pas perdu le moindre sou. Ce serait dommage que nous alliions au procès, on peut toujours s’arranger entre femmes intelligentes.

– Ça m’aurait embêté de devoir porter plainte ! Avoua Inès sans autres précisions.

 

Elles se mirent rapidement d’accord sur l’aspect financier, l’ambiance se détendit et Mathilde proposa un café à sa visiteuse. Fabienne vint le servir.

 

– C’est Fabienne, ma soubrette et ma dame de compagnie, elle n’est pas farouche et elle a un joli petit cul ! N’est-ce pas Fabienne ?

– Si Madame le dit.

 

Et c’est en sirotant son expresso qu’Inès posa une question inattendue :

 

– Beautilleux, il était dans le coup ?

– Non ! Répondit Mathilde subodorant que c’était la réponse que sa visiteuse souhaitait entendre.

– Donc en fait, les univers parallèles, ça existe ?

– Oui ! Probablement ! Répondit prudemment Mathilde.

– J’aimerai le rencontrer, il rentre quand du Japon ?

– Il est à Paris !

– T’as ses coordonnées ?

– Son téléphone, mais il ne répond jamais.

 

« Si elle le contacte, qu’est-ce qu’ils vont bien pouvoir se dire ? Cette pétasse est capable de le draguer ! Ce serait super, j’aurais une taupe dans la place pour qu’il me rende mes sous ! »

 

– Je vais te demander une dernière chose et après on sera quitte, demanda Inès armée d’un magnifique sourire.

– Oui ?

– Fais-moi un massage comme l’autre fois, mais sans les bracelets qui clignotent !

– Mais bien sûr, ma chérie ! Je peux même te proposer un massage à quatre mains, les miennes et celle de Fabienne.

– Ma foi, pourquoi pas ?

– Fabienne, rejoins-nous et mets-toi à poil ! Complètement. Nous allons masser Inès toutes les deux, un massage coquin évidemment.

 

Les trois femmes se déshabillent de conserve, et cette fois, point de faux semblant, tout ce petit monde sait très bien comment cela va se terminer.

 

Inès regarde les rondeurs de Fabienne.

 

– Ais-je la permission de caresser ta soubrette.

– Inès, après la vacherie que je t’ai faite, je peux rien de te refuser, caresse-là, tripote, là, je te dis, elle n’est pas farouche, et puis tu peux lui faire ce que tu veux, ce n’est qu’une boniche, après tout. N’est-ce pas Fabienne ?

– Bien sûr madame !

– Il n’est peut-être pas nécessaire de passer par la case « massage », alors ? Se fait préciser Inès pour la forme.

– C’est comme on veut, improvisons !

 

Inès fait alors signe à Fabienne de s’approcher et sans autre formalité lui roule une gamelle bien baveuse.

 

– Hum, je trouve ça très pervers d’embrasser une bonniche ! Commente-t-elle

– Si ça vous excite bien la chatte, c’est la principal ! Rétorqua cette dernière.

– Oh, mais quelle vulgarité ! S’écrit Inès, faussement offusquée.

– Gifle-là, ça va lui remettre les idées en place, tu peux même lui cracher dessus.

 

Fabienne craint seulement que la femme la frappe trop fort, mais Inès n’est pas si méchante. Elle lui crache néanmoins plusieurs fois au visage afin de faire bonne mesure.

 

– Et maintenant reprenons ou nous en étions restés !

 

Nouveau baiser profond.

 

– Tu embrasses bien, ta patronne t’embrasse aussi comme ça ?

– Bien sûr !

– Montre-moi, Mathilde !

 

Les deux femmes se caressent et c’est au tour de Mathilde et d’Inès d’échanger leur salive en signe de réconciliation. Le ballet des langues continue un certain temps, Inès se montrant complètement déchainée.

 

– Je n’ai pas vu tes fesses ! Lance soudain Inès à l’attention de Fabienne.

– Je vais vous les montrer ! Répond la soubrette en se mettant en levrette.

– Oh le beau cul ! Tu dois être une sacrée salope, toi !

– Oui, Madame !

 

Inès excitée comme un acarien au salon de la moquette, ne se contient plus, et se jette sur son trou du cul langue en avant pour le lécher et tenter d’y pénétrer, tandis que ses doigts plongent dans la jolie chatte offerte. Mathilde qui n’a nulle intention de faire banquette, se positionne devant le visage de sa soubrette de façon à ce qu’elle puisse se régaler de sa chatte humide.

 

La langue d’Inès finit par fatiguer, qu’à cela ne tienne, les doigts prennent le relais et pénètrent dans le troufignon.

 

A ce rythme Fabienne ne tarde pas à jouir et abandonne lâchement la chatte de sa patronne. Inès dont l’entrejambe chatte coule comme un camembert souhaite qu’on s’occupe un peu d’elle.

 

Fabienne vient donc lui doigter la chatte tandis qu’elle lèche les seins de Mathilde qui s’est posée à ses côtés. La soubrette doigte et lèche, les deux matures se régalent de leurs seins alternativement. Un beau trio en vérité.

 

– Doigte moi le cul, maintenant ! Demande Inès a sa masturbatrice.

 

Fabienne lui entre deux doigts dans le cul, tandis que Mathilde vient positionner sa chatte sur son visage.

 

A ce rythme Inès finit par éclater sa jouissance, libérant un torrent de mouille.

 

Mathilde n’a pas joui, alors elle s’étale sur le dos sur le canapé, la soubrette s’acharne alors à la faire jouir tandis qu’Inès profite encore un peu de ses seins.

 

On se bisouille on se rince un peu dans la salle de bain, on se rhabille. Un bon moment entre filles.

 

Beautilleux est dépité, en arrivant à Bordeaux et en rejoignant les SDF du lieu, il pensait trouver un peu de solidarité et de chaleur humaine. Au lieu de ça on l’avait envoyé promener sur l’air de « casse-toi, on n’a pas besoin de ta gueule ! » débité dans une haleine de mauvais pinard.

 

Il s’était acheté un bout de pain et était allé dormir dans un coin, avec la peur au ventre qu’on le dévalise, voire pire, cela avant de se faire réveiller au petit matin par quelques agents de voirie, peu amènes.

 

Et très vite il réalisa la somme de problèmes qu’il lui faudrait résoudre : trouver une borne qui fonctionne pour recharger son portable, se brosser les dents, se laver, trouver des cigarettes, faire ses besoins…

 

« Il faut que je dégotte un SDF qui soit un peu moins con que les autres et qui me tuyaute, sinon je me vois mal vivre de cette façon pendant un mois ! »

 

Quand son téléphone sonna, le numéro affiché ne lui dit rien du tout, il prit la communication « au cas où ? ».

 

– Monsieur Beautilleux, je suis Inès Kermaillard, l’une de vos ferventes admiratrices.

– Heu, bonjour !

– Accepteriez-vous que nous nous rencontrions.

– Pourquoi pas, mais je suis en province en ce moment.

– On m’a dit que vous étiez à Paris.

– On vous aura mal renseigné. Qui vous a dit ça d’abord ?

– Votre éditeur !

– Qu’est-ce qui l’en sait celui-ci ? Et puis vous voudriez parler de quoi ?

– Des mondes parallèles.

– Tout est déjà dans mon livre.

– Je ne crois pas…

– Qui est-ce qui vous fait croire ça ?

– Mon petit doigt ! Plus sérieusement, il est compréhensible qu’un auteur ne se dévoile pas complètement.

– Et en admettant, vous pensez que je vais me dévoiler parce qu’on va se rencontrer ?

– Justement, discutons-en !

– Chère madame, restons-en là !

– OK, juste une dernière chose avant de raccrocher, je subodore que vous souhaitez faire des essais de sauts vers des univers parallèles, ça doit coûter cher et vous n’avez pas les moyens…

– Mais madame…

– Je suis prête à financer vos recherches.

 

Le flash

 

« Je vais l’embobiner et pouvoir rembourser la Mathilde ! »

 

– Alors d’accord, je rentre à Paris, on se retrouve où ça ?

– Chez moi, je vous donne l’adresse.

 

Dans la foulée Beautilleux prend le train pour Paris, se tape une belle amende pour défaut de titre de transport, puis rentre chez lui.

 

Vendredi 18 mars

 

Le lendemain après s’être fait tout propre, il se présentait au domicile d’Inès Kermaillard à Montmartre. Celle-ci s’était pour l’occasion revêtue d’une sorte de combinaison rouge cerise qui se refermait par devant avec une fermeture-éclair. Celle-ci permettait donc de décolleter le vêtement à sa guise et Inès l’avait choisi provocant.

 

Beautilleux qui s’attendait plutôt à tomber sur un clone de Marguerite Duras, en est tout retourné.

 

« Elle a encore du chien, la vieille peau ! »

 

– Asseyez-vous, je pense que nous allons pouvoir nous mettre d’accord assez vite. Un jus de fruit, un porto ?

 

Il choisit un porto, Inès alla le chercher dans son petit bar en dodelinant du croupion.

 

« Attention ! Cette nana à un plan cul dans la tête ! C’est fou ça : il suffit d’écrire un livre rempli de conneries et on devient un play-boy ! »

 

– A la vôtre ! Hum, il est fameux !

– Il vient direct du Portugal, c’est du haut de gamme, c’est une amie qui me fournit. Bon passons aux choses sérieuses ! Question préalable : Avez-vous l’espoir de trouver le moyen de voyager dans un univers parallèle ?

 

Beautilleux comprenant que seule une réponse positive entraînerait le financement évoqué par téléphone, alla donc dans le sens souhaité !

 

– Alors voilà, je finance vos recherches. Dites-moi le temps qu’il vous faut et de quelle somme vous avez besoin.

– Difficile à dire pour le temps, on va dire deux mois, un peu au pif !

– Partons pour deux mois, et pour l’argent ?

– Je vais avoir besoin de métaux rares et chers, de programmes de simulation…

– Je ne vous demande pas de justifier vos dépenses, je n’y connais rien, je vous demande une estimation.

– Ça risque d’être extrêmement coûteux.

– Vous me dites un prix, sinon je vous fous à la porte.

 

Beautilleux est surpris par ce brusque changement de ton.

 

« Bon, c’était trop beau, je me faisais des idées… »

 

Alors sans y croire une seconde, il lâche :

 

– 10 000 euros me semble un minimum, faudrait que je fasse un petit calcul… Et puis il y a les impondérables.

– OK je vous finance à hauteur de 15 000 balles !

 

Il n’en revient pas, Beautilleux !

 

– En contrepartie j’exige un droit de regard permanent sur vos travaux, vous me fournirez toutes les factures de vos achats, et pour simplifier tout se passera ici, je mets à votre disposition la chambre d’amis et la volière où vous pourrez travailler !

– La volière ?

– Oh, j’avais une volière, un caprice, ça m’a rapidement pris la tête, je m’en suis débarrassé, maintenant c’est vide ! Bon vous acceptez mes conditions ?

 

L’imagination fertile de Beautilleux ne fut pas longue à trouver comment il pourrait gruger la dame. Il accepta.

 

– On va signer tous les deux ce petit contrat sur papier timbré.

 

Beautilleux lu le papelard en vitesse, Inès n’avait pas songé à assortir son financement à une obligation de résultat. Il signa, serein.

 

– Il faudra que je passe chez moi prendre quelques affaires…

– Bien sûr, je ne vais pas vous emprisonner quand même ! Et si vous travaillez bien, vous aurez droit à un petit bonus.

– Un bonus ?

– Oui c’est moi le bonus ! A moins que je ne sois pas votre genre ?

– Si, si ! Bien sûr !

 

« Je les rends folles les nanas, depuis que je suis à la retraite, je dois avoir acquis un charme fou ! »

 

– Je ne peux pas avoir un petit acompte sur le bonus ?

– Vous ne manquez pas d’air, vous ?

– Ça me stimulerait !

 

Le lecteur aura deviné que Beautilleux n’est pas du tout le genre d’homme avec lequel Inès a envie de coucher, mais elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même d’avoir provoqué cette situation.

 

« Je n’avais qu’à pas lui faire ce genre de proposition débile ! Maintenant il va falloir assurer. Bof, ce n’est pas la mer à boire non plus »

 

Alors elle se dit qu’il fallait battre le fer quand il était chaud et sans autre forme de procès elle porte la main à la braguette de l’homme et se livre à une caresse très appuyée

 

– On dirait que ça bande, là-dessous !

– Forcément…

– Montrez-moi ça !

– Maintenant ?

– Ben, oui, c’est bien ce que vous vouliez, non ?

 

L’homme sort sa bite de son pantalon et l’exhibe fièrement tel un trophée.

 

Inès caresse la chose avec la main, puis la branlotte, elle hésite à sucer, se demandant si c’est bien propre, puis rassurée, finit par la mettre en bouche.

 

« Si seulement c’était un éjaculateur précoce et qu’il pouvait jouir de suite… »

 

Mais non ! Il en veut plus, le bougre :

 

– J’aimerais bien voir vos seins !

 

« Les nichons, les nichons ! Toujours les nichons ! Il n’y a que ça qui les intéresse, les bonhommes ! »

 

Elle ne se voit cependant pas refuser et entreprend de se déshabiller complètement devant les yeux écarquillés de l’escroc.

 

– Ça va ? Ça vous plait ?

– Vous êtes une belle femme !

– Et vous m’auriez vu, il y a trente ans !

– Tous les âges ont leur beauté.

 

« Celle-là, il doit la sortir à toutes les rombières qu’il saute ! »

 

– Je peux caresser ?

– Caresser, tripoter, embrasser. Je vous en prie, ils sont en libre-service, mais sans brutalité s’il vous plaît.

– Ne vous inquiétez pas, je suis doux comme un agneau.

Martinov22h

L’homme tripote, malaxe, et comme il se doit vient téter les bouts arrogants.

 

– Une cravate de notaire, ça vous dit ? Lui propose-t-elle

– Ben !

– Vous n’appelez peut-être pas ça comme ça ?

– Si, si on va faire un peu comme ça !

 

« Autrement dit, il n’a pas envie de jouir de cette façon ! »

 

Ils le firent un peu, Inès coinçant la bite de l’homme entre ses deux mamelles et la faisant coulisser.

 

– Je crains de ne pas avoir de capotes, Mentit-elle. Vous en avez, vous ?

– Euh, non…

– Alors pas de pénétration, désolée ! Allongez-vous et détendez-vous je vais vous branler bien comme il faut…

– On pourrait peut-être…

– Chut laissez-vous faire, nous aurons d’autres occasions…

 

Inès ne saura jamais ce que Beautilleux allait lui proposer, mais elle s’en fiche, elle masturbe énergiquement la bite de l’homme, mais au bout de cinq minutes elle ne voit toujours pas perler la goutte de liquide séminal annonciatrice de la jouissance proche. Alors, elle se mouille un doigt et l’introduit dans l’anus de l’homme.

 

– Oh !

– Chut !

 

Et miracle, l’homme ferme les yeux, parti dans on ne sait quels fantasmes, sa bite tressaute et il éjacule enfin.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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