Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:00

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 1 – Surprenante Isabelle par Maud-Anne Amaro

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Retrouvons donc notre coquin de professeur Martinov, chercheur indépendant, sexagénaire et assez porté sur le sexe, toujours flanqué de sa fidèle et jeune collaboratrice, Béatrice Clerc-Fontaine, vraie blonde et peu farouche.

 

Leur cabinet de consultation et leur laboratoire se situent à Louveciennes, banlieue cossue de l’ouest parisien.

 

Vendredi 10 avril

 

Aujourd’hui ils reçoivent un couple qui prétend avoir trouvé des choses étranges dans une grotte peu accessible du massif alpin.

 

– Justin Verrier ! Se présente l’homme et voici Isabelle Tortelli, ma collaboratrice.

 

Décrivons ces deux personnages puisque leur rôle dans cette histoire sera important.

 

Justin doit avoir la cinquantaine, cheveux déjà blanc coupés courts, bronzé, allure décontractée, très play-boy sur le retour. Isabelle a la quarantaine, très souriante, visage agréable, lunettes à grosses montures, cheveux bruns et bouclés mais surtout poitrine conséquente. Elle est habillée d’une veste de tailleur pied de poule ouverte sur un chemisier blanc, et d’une petite jupe noire descendant à mi-cuisses, ce qui lui permet d’exhiber de jolies gambettes gainées de voile noir.

 

– Voici quelques photos prises dans la grotte, on n’en a pas pris beaucoup parce que la lumière est susceptible de dégrader les dessins. Là elles ont été éclaircies par l’ordinateur, ce ne sont pas les couleurs réelles…

– Et qu’est-ce qui vous fait penser qu’il s’agit de peintures rupestres ? Demande le professeur.

– Je n’ai jamais dit qu’elles étaient rupestres.

– C’est quoi alors ?

– Ce sont des dessins faits dans une grotte, nous avons demandé une datation au carbone 14, les dessins dateraient du 1er siècle, vous voyez que ça n’a rien de rupestre.

– D’accord, d’accord, et ensuite ?

– Ce qui est intéressant, c’est ce qui est dessiné, regardez ce bonhomme, d’après vous il a quoi sur la tête ?

– Je ne sais pas moi, une capuche ? Répondit Martinov.

– Et vous mademoiselle ?

– Moi je dirais un casque de sorcier ? Répondit Béatrice.

– Ben vous n’y êtes pas du tout, c’est un casque de cosmonaute. Répondit-il avec un sérieux pontifical.

 

Une réflexion qui provoqua un ricanement nerveux du professeur Martinov, tandis que Béatrice s’esclaffait.

 

– Ah, ah ! Difficile à croire n’est-ce pas ? Reprit Verrier. Et ça ?

– Des dieux romains qui volent dans un coquillage, c’est pas ça ?

– Ben non c’est un vaisseau spatial individuel, une navette ni vous préférez..

 

Voilà qui provoque un nouveau sourire amusé de Béatrice qui vu la tournure des événements ne fait rien pour le dissimuler. Elle ne s’attendait pas du tout cependant à ce qu’Isabelle lui renvoie ce sourire en complicité. Un très étrange sourire à ce point que la jeune chimiste se mit à rougir de gêne.

 

– Bon, reprit Martinov, on va arrêter de jouer aux devinettes, vous croyez aux OVNIs, c’est votre droit mais vous n’arriverez pas à me convaincre et de toute façon je suppose que vous n’êtes pas là pour ça. Donc la bonne question est « Qu’attendez-vous de nous ? »

– Mais qui vous a dit que je croyais aux OVNIs, mon cher professeur ?

– J’avais cru comprendre…

– Mais non, mais non, je vous expliquerais en détail si nous faisons affaire. Alors pour répondre à votre question, nous souhaitons sécuriser ces dessins. Est-ce que vous savez faire ?

– Une protection comme à Lascaux ? Demanda Béatrice.

– Quelque chose dans le genre, oui !

– Et pourquoi ne pas faire intervenir le ministère de la culture…

– C’est ma découverte, je veux que ça reste privé, de toute façon à part quelques gros trucs, tout ce qui est gallo-romain, ils s’en foutent un peu ! Des pièces romaines vous pouvez en acheter, il y en a plein aux puces et ce n’est pas trop cher. Donc vous sauriez faire ?

– Euh, vous permettez qu’on se concerte, ça ne va pas être long, passez dans la pièce d’à côté, on vous rappelle de suite.

 

– Tu sais faire ? Demande Martinov à sa collaboratrice.

– Oui, je peux leur proposer une exposition sous verre et sous vide. Du moins c’est l’idée, mais il faut qu’on se déplace sur les lieux pour se rendre compte et après on fera éventuellement un devis. Evidement on se fait payer le voyage et l’hôtel.

 

– Pas de problème, vous pourriez venir en début de semaine prochaine ? Répondit Verrier.

– Mardi !

– J’organise tout ça et je vous tiens au courant. Je vais vous faire parvenir vos billets de trains par porteur, en première bien sûr. La grotte est du côté de Briançon dans les Hautes Alpes.

 

Avant de prendre congé, Verrier demanda la permission d’utiliser les toilettes. Isabelle en profita pour entrainer Béatrice quelques mètres plus loin.

 

– Nous nous sommes déjà rencontrées, n’est-ce pas ?

– Je ne crois pas, non ? Répondit Béa

– Une ressemblance peut-être ou alors notre rencontre n’a été que furtive ?

– Allez savoir…

– J’aimerais beaucoup vous offrir un verre, toutes les deux en tête à tête, juste cinq minutes, je vous promets de ne pas abuser de votre temps.

 

Beatrice est surprise de cette proposition et ne sait quoi trop répondre.

 

– Euh, maintenant ?

– Comme vous voulez.

– Le bistrot n’est pas très proche.

– Ou ce soir quand vous aurez terminé votre journée

 

Bref, Béa lui explique qu’elle habite Paris et qu’elle rentre en train… qu’à cela ne tienne l’Isabelle qui a réponse à tout lui donne rendez-vous à l’angle des rues d’Amsterdam et Saint-Lazare à 18 heures

 

« Bon qu’est-ce qu’elle me veut cette pétasse ? Je parie qu’elle est gouine. Mais bon je vais essayez d’être diplomate, je m’en voudrais de froisser un client potentiel »

 

Elle est là, à l’heure, arborant un sourire carnassier. Les deux femmes s’installent dans le rade, Isabelle sur une banquette, Béatrice en face, Elles commandent et Isabelle attaque de suite :

 

– Bon, il est bien évident que cet entretien est complètement « off », je vais vous proposer quelque chose qui n’a rien à voir avec nos futures relations professionnelles, si vous refusez, cet entretien n’aura jamais existé. O.K. ?

– Que de mystère !

– Vous ne devinez pas ?

– Non, mais je vous écoute !

– J’aimerais beaucoup coucher avec vous.

 

Gloups !

 

Ce n’est pas tant la proposition elle-même mais la façon avec laquelle elle était formulée qui stupéfia Béatrice.

 

– Vous êtes directe, vous !

– A quoi bon tourner autour du pot…

– C’est moi le « pot » ?

– Mais non, c’est une expression, voyons !

– Je sais, je plaisantais !

– Alors ?

– Alors : non !

– Tant pis pour moi, on en restera là, je n’insisterai pas. Dit alors Isabelle.

– Quand même, ne le prenez pas mal, mais vous êtes gonflée !

– Qui ne tente rien n’a rien.

– Oui, mais vous avez fait comment…

– L’habitude, le feeling, la façon d’interpréter un sourire, un regard…

– Trop forte !

– On fait ce qu’on peut, je vous laisse, je vais payer les consos au comptoir. Nous nous reverrons à Briançon.

– Non restez !

– Parce que ?

– Parce que vous m’intriguez trop, et qu’il ne serait pas impossible que je change d’avis.

– A la bonne heure ! Je ne vous décevrais pas !

– Je n’ai pas encore dit oui !

– Et que faudrait-il pour que vous le disiez ?

– La balle est dans votre camp.

– Venez donc vous assoir à côté de moi, vous serez mieux.

– C’est pour me piéger ?

– Non, c’est pour vous montrer comment j’embrasse.

 

Les deux femmes sont à présent côte à côte. Béatrice ne l’a jamais vu d’aussi près, elle peut ainsi apprécier le grain de sa peau, les petites ridelles de plaisir aux coin des yeux, le minuscule duvet au-dessus des lèvres…

 

– J’aime comme tu me regardes. Lui dit Isabelle.

– Je ne le fais pas exprès,

– Tu parles ! Les femmes c’est une fantaisie, ou c’est ton truc.

– Déjà les questions intimes ?

– Si tu ne réponds pas, je peux deviner, tu es bisexuelle, mais c’est auprès des femmes que tu trouves de la tendresse, j’ai bon ?

– Trop forte, et comment t’as deviné ?

– Parce que je suis un peu pareil. T’as toujours été comme ça ?

– Toujours, je ne me suis jamais trop posé la question, tu sais la psychanalyse de bazar, ce n’est pas mon truc. A l’école de chimie, j’avais une bonne copine, on a joué à des jeux de plus en plus poussés, des petits bisous, des gros bisous,

– Et les garçons alors ?

– Bof, j’ai eu une liaison avec un garçon, j’en étais vraiment amoureuse et puis on a cassé… Avant j’avais été dépucelé par un bellâtre, tu sais le genre « je les baise toutes ». Je me suis laissé faire, il était beau… beau mais con, j’ai rien senti, et je n’ai pas eu envie de recommencer. Quand j’ai raconté ça à ma copine elle m’a fait venir chez elle, on s’est déshabillé, on s’est tripoté, on s’est embrassé un peu partout, on a même été plus loin…

– Plus loin ?

– Bof ! Des petits jeux de pipi, quoi.

– Hum ! Et tu aimes toujours ça ?

– Ma foi oui !

– T’aimerais goûter mon pipi ?

– En voilà une façon de draguer !

– J’ai toujours été atypique !

 

Et ce qui devait inéluctablement arriver arriva, les lèvres se rapprochèrent, le baiser devient vite profond, passionné et baveux.

 

– Faut pas vous gêner, les gouines ! Lance un type, pas très loin.

– Je t’emmène chez moi, c’est à cinq minutes de métro ? Propose alors Isabelle.

 

Du coup, les hésitations de Béatrice se sont envolées, et c’est toute guillerette qu’elle suit la jolie brune mature.

 

Pendant le court voyage, Isabelle meuble la conversation avec des questions bateaux : »Il y a longtemps que tu fais ce boulot-là ? Ça te plait bien ? Et avec Martinov, ça se passe bien ? »

 

– Dis donc tu ne serais pas un peu curieuse, toi ? Lui fait remarquer Béa.

– Je ne voulais pas l’être, pardonne-moi. Mais c’est vrai que je suis un peu curieuse, parce que travailler à plein temps avec un vieux bonhomme, ce ne doit pas être évident.

– Je ne m’en plains pas. Le professeur Martinov est un peu coquin, mais très correct..

– Coquin avec toi ?

– Oui, mais ce n’est jamais une corvée, j’aime bien m’amuser avec lui.

– Et tu t’amuses comment ?

– Si t’es sage, je te dirais tout, tout à l’heure.

– Mais je n’ai pas l’intention d’être sage.

– Alors, si t’es très coquine…

 

Arrivées chez Isabelle, dès que la porte fut refermée, cette dernière enlaça Béatrice la gratifiant d’un baiser aussi profond que baveux, à ce point que la salive dégoulinait de leurs mentons.

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– Faut que je pisse maintenant sinon je vais faire dans ma culotte. Viens avec moi je vais essayer de t’en garder une goutte. Proposa la mature

 

Isabelle envoie valser sa culotte, relève sa jupe et s’assoit sur la cuvette.

 

– Qu’est-ce que ça fait du bien ! Commente-elle tandis que son pipi clapote dans l’eau dormante de la cuvette.

– Je n’ai pas vu grand-chose…

– On n’est pas pressé, approche-toi je vais essayer de t’en donner un peu. Indique Isabelle tout en rectifiant sa position de façon à ce que Béatrice puisse placer sa bouche devant sa chatte.

 

Isabelle ferme les yeux, se concentre…

 

– Ça vient, ouvre bien la bouche.

 

Il n’y a plus grand-chose, mais suffisamment pour que Béatrice très amatrice de ce genre de fantaisies puisse s’en régaler.

 

– Hum, c’est bon !

– Bien sûr que c’est bon, nettoie-moi la chatte maintenant avec ta petite langue de gouine.

– Je t’ai dit que je n’étais pas gouine !

– Tu ne veux pas me nettoyer ?

– Mais si !

 

Béatrice adore faire ça, sa langue va partout, pénétrant dans le petit écrin rose et léchant tous les sucs avec gourmandise, procédant en de larges balayages…

 

– Fais-moi jouir, fais-moi jouir… Implore Isabelle.

 

Qu’à cela ne tienne, la jolie chimiste fait virevolter sa langue sur le clitoris impertinemment érigé. La jouissance d’Isabelle est fulgurante..

 

Les deux femmes s’embrassent de nouveau. Béatrice tente de déshabiller sa partenaire, mais les deux femmes sont trop collées l’une près de l’autre.

 

– Attends, on va enlever tout ça ! Propose Isabelle.

 

Le déshabillage s’effectue à grande vitesse, elles ne gardent rien, ils n’y a que dans l’imagerie porno que ces dames gardent escarpins, bas et porte-jarretelles, mais en l’occurrence elles n’ont rien de tout ça.

 

Elle se font face, chacune se régalant de la vision de sa vis-à-vis. C’est Béatrice qui la première plonge son visage sur le sein qui lui fait face. Elle s’acharne à sucer le téton qui durcit entre ses lèvres. Mouvement de répit qui permet à Isabelle de lui rendre la pareille.

 

– Excuse-moi il faut absolument que je fasse caca ! Prévient Isabelle fort inopportunément.

– Dépêche-toi…

– Tu veux regarder ?

– Non, non…

 

Isabelle n’insiste pas, Béatrice la laisse aller, les réminiscences de ses quelques expériences scatos lui reviennent en mémoire : Mélanie, Brigitte, Florentine. Alors saisie d’une impulsion subite, elle rejoint sa partenaire aux toilettes.

 

– Finalement je vais te regarder faire.

– OK, je vais m’accroupir et me tourner, sinon tu ne vas rien voir.

 

Béatrice attend avec un zeste d’anxiété, elle a apprécié ses précédentes expériences en la matière (c’est le cas de le dire) Il n’y a aucune raison pour que cela se passe différemment aujourd’hui. Malgré tout ce mélange de fascination et de répulsion est toujours tenace.

 

Les choses vont très vites, un long et gros boudin brun s’échappe de l’anus d’Isabelle et atterrit avec un gros plouf dans l’eau dormante de la cuvette.

 

– Joli ! Parvint à dire Béatrice.

– Je m’essuie ou tu veux lécher ?

 

Excitée comme une puce, la jolie chimiste n’empressa de nettoyer les quelques taches qui polluait le pourtour de l’anus de sa partenaire.

 

– Allez viens, lui proposa cette dernière en la prenant par la main et en l’entrainant dans sa chambre.

 

Béatrice se retrouva sur le grand lit et Isabelle lui demanda qu’elle se couche sur le ventre.

 

– Hum ! Quelle jolie paire de fesses !

– On fait ce qu’on peut.

– Les petites fessées, t’aime bien ?

– Les petites, oui !

– Comme ça ? Répondit Isabelle en lui claquant le joufflu de sa main droite.

– Même un tout petit peu plus fort !

– Comme ça ?

– Oui vas-y

– Tu vas avoir le cul tout rouge !

– Pas bien grave !

– T’aimes les petites misères ?

– J’aime beaucoup de choses.

– Si je te mettais des pinces à linges sur les tétons ?

– Oui je veux bien.

 

Isabelle s’en alla chercher des pinces dans sa salle de bain.

 

– J’en ai choisi des rouges, c’est plus joli.

– T’as raison !

 

Elle fixa la première sur le téton doit de Béatrice.

 

– Aïe !

– Je t’ai fait mal ?

– Non, ça va !

– Alors on met l’autre.

 

Les pinces étant fixées, elle se mit à jouer avec, les tirant, les tournant, faisant augmenter la pression avec ses doigts.

 

– Oh, là là, qu’est-ce que tu me fais !

– Du bien, j’espère ?

– Oui, tu m’excites, tu me fais mouiller.

– J’espère bien ! Répondit Isabelle en roulant une gamelle à sa partenaire. Et maintenant à quatre pattes, tu voulais avoir le cul rouge, tu ne vas pas être déçue.

 

Et Isabelle se mit à taper à la volée, jusqu’à ce que le derrière de la jolie chimiste devienne cramoisie, cette dernière se complaisait dans cette situation à laquelle elle ne répondait que par de petits cris étouffés.

 

– T’es maso alors ?

– Je ne sais pas trop, disons que j’ai mes périodes où j’ai envie de trucs comme ça. Question de circonstances, de partenaires..

– Bouge pas je vais chercher un truc qui devrait te plaire.

 

Isabelle revint avec un godemichet assez fin et nargua sa camarade de jeu :

 

– C’est pour qui, ça ?

– Il n’est pas bien gros !

– C’est pour ton cul ! Ton petit cul de salope !

– Alors vas-y encule-moi !

 

Et après avoir habillée le dildo, Isabelle l’enfonça dans l’anus de la chimiste avec une facilité déconcertante.

 

– T’aime ça, hein ma salope ?

– Ouiiii !

– T’aimes ça, te faire enculer ?

– Pas toi ?

– Si !

– Alors on est des enculées, toutes les deux !

– Et fières de l’être en plus.

 

Isabelle agita tant et si bien le godemiché que Béatrice finit par jouir du cul en poussant un hurlement.

 

Après un moment calme et une petite cigarette, Béatrice posa la question qui lui brulait les lèvres (Ah, la curiosité féminine !)

 

– Toi aussi t’a commencé avec des copines de collèges ?

– Oui, mais la grosse révélation, c’est venu plus tard… avec ma mère !

– Quoi ?

– Je voudrais pas te choquer, je t’en raconte pas plus !

– Il n’y a pas grand-chose qui me choque ! Je ne suis pas choquée, je suis surprise, allez, raconte.

– C’est tout bête, un enchainement de circonstances…

 

Le récit d’Isabelle

 

Depuis quelques temps, ma mère avait un amant, un métis beau comme un dieu et vingt ans plus jeune qu’elle.

 

Je me touchais la foufoune en fantasmant sur lui, je l’imaginais à poil en train de baiser ma mère, bref ma mère qui n’était pas folle a bien vu comment je le regardais quand il venait à la maison.

 

– Il te plait Hyacinthe, hein ?

– C’est un beau mec, t’as bon gout.

– Tu sais, il ne te trouve pas mal non plus…

– Ah ?

– Ça t’intéresserait ?

– Maman !

– Je disais juste ça comme ça, n’en parlons plus et fais-moi un bisou.

 

Sauf que cette étrange proposition n’a cessé de me travailler et j’ai passé cette nuit-là très agitée avec la main dans ma chatte.

 

Et la matin, partant du principe qu’on ne vit qu’une fois et qu’il ne faut jamais passer à côté d’une occasion, c’est remontée comme un coucou que m’attablant aux côtés de ma mère pour prendre mon petit déjeuner je lui dis tout de go.

 

– Finalement, j’ai réfléchi, ta proposition, je crois bien que je suis d’accord.

– Quelle proposition ?

– Ben, Hyacinthe !

– Ah, mais c’est très bien ça !

– Concrètement, ça va se passer comment ?

– De façon tout à fait naturelle, quand il viendra, je vais lui dire que tu es d’accord pour faire un truc à trois.

– Non, non pas à trois !

– A combien alors ? Tu veux amener du monde ? Plaisanta-t-elle.

– Non je pensais que ça se passerait dans ma chambre, juste Hyacinthe et moi…

– Dis donc, je t’ai proposé de le partager, mais je n’ai pas envie qu’il me laisse tomber pour aller avec toi.

– Ne crains rien, ce sera juste un coup d’un jour…

– On dit ça… Bon on laisse tomber, mais la proposition pour le trio reste toujours valable.

– C’est gênant quand même !

– Qu’est ce qui est gênant ? De voir ta mère sucer une bite et se faire défoncer. Et ça va faire du mal à qui ? On est adulte, que diable !

 

Je n’ai formulé aucune réponse, mais je n’étais pas chaude, mais la nuit, l’image de Hyacinthe continua de me hanter. Je décidais donc de voir venir.

 

Le lendemain soir, Hyacinthe devait passer. J’étais fébrile, me demandant si j’oserai franchir le pas.

 

Et puis ça s’est passé de façon quasi naturelle, je me souviens que ce jour-là, Hyacinthe avait apporté un joli bouquet de roses rouges. Pour le remercier ma mère le gratifia d’un long baiser baveux et en même temps lui tripotait la braguette.

 

– Viens voir comme c’est tout dur là-dedans ? M’interpella Maman.

 

Je savais que si je tergiversais, l’occasion s’envolerait, alors j’ai touché sa braguette et quand ma mère m’a proposé de l’ouvrir, je ne me suis pas dégonflée.

 

– Vas-y sors lui la bite !

 

Mon dieu qu’elle était belle ! Toute marron, y compris le gland qui luisait, une bonne taille, mais pas monstrueuse non plus.

 

– Suce lui la bite, Isabelle !

 

Je n’ai pas hésité, l’instant d’après j’avais sa bite dans la bouche, elle fleurait bon, un gout un peu musqué, légèrement salé, une texture d’une incroyable douceur, une vraie gourmandise.

 

Ma mère a fini par me faire stopper et nous sommes allés dans la sa chambre.

 

Ma mère et moi nous nous croisions régulièrement dans la salle de bain complètement nues sans qu’il y ait la moindre ambiguïté, la nudité n’avait jamais été un problème à la maison, elle ne fermait jamais la porte quand elle faisait pipi ou caca, mais là le contexte était différent, elle allait se faire baiser… et puis je n’avais jamais non plus détaillé ses parties intimes.

 

Bref, j’étais un peu troublée, je me déshabillais et on se retrouva tous les trois à poil.

 

J’avoue avoir été déçu de voir Hyacinthe nu. Je l’imaginais fin, juste légèrement musclé alors que j’avais en face de moi un adepte de la gonflette. Ce n’est pas vraiment mon truc, mais je n’allais pas m’enfuir en courant non plus d’autant qu’il commença sans autres préalables à se jeter sur mes seins comme la pauvreté sur le monde en aspirant les tétons comme s’il buvait avec une paille.

 

– Eh ! Moins fort !

 

Mais non, il ne m’écoutait pas ! Je le lui redis et comme il ne m’écoutait toujours pas, je me dégageais et sortis du lit.

 

– Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Elle t’a dit d’arrêter ! S’étonna ma mère.

– Ben quoi, c’est pas de ma faute, si elle est en sucre ! Se justifia le bonhomme.

 

Je pensais ma mère face à un dilemme, soutenir sa fille ou défendre son amant. En fait elle n’hésita pas un seul instant.

 

– Prend tes affaires et barre-toi. Ordonna-t-elle à Hyacinthe

– Mais Fifine… (Ma mère s’appelle Delphine) J’ai rien fait de mal.

– Je n’ai pas envie de discuter, disparais et je ne veux plus te voir.

 

Le type ne fit aucun scandale, il pris ses affaire en tas, se rhabilla dans le couloir et disparut de nos vies.

 

Moi j’étais en larmes.

 

– Bon t’arrêtes de chialer, il est où le problème ?

– Je ne sais pas ce qui m’a pris, il me faisait mal, et quand je lui ai dit, il a continué.

– Eh bien comme ça, on sait à quoi s’en tenir, avec moi il n’osait pas prendre d’initiative, c’est toujours moi qui menait la barque, mais je connais ce genre d’attitude, une jour il aurait inversé les rôles. Cet incident m’a fait gagner du temps. Les amants, ce n’est pas ça qui manque, je suis encore désirable, non ?

– Je sais pas ?

– Comment ça tu ne sais pas ? Tu trouves que je ne suis pas désirable ?

– Je ne parlais pas de ça…Excuse-moi, si, tu es une très belle femme !

– Ah, j’aime mieux ça ! Quel con ce mec; allez maltraiter des beaux nichons comme ça !

 

Et tout en disant ça, elle me les caresse.

 

– Maman, tu fais quoi ?

– Des petites caresses !

– J’avais remarqué.

– Tu n’aimes pas ?

– Si, mais t’es ma mère !

– Veux-tu que j’arrête ?

 

La question qui tue ! Alors je ne sais pas pourquoi j’ai répondu !

 

– Non continue !

– Je vais te les embrasser !

 

Elle a posé ses lèvres sur mes tétons, les a gentiment léchés, faisant monter mon excitation. Puis elle m’a embrassé, pas le bisou maternel, non un vrai baiser entre deux amantes.

 

Elle s’est ensuite couchée sur le dos, les cuisses écartés

 

– Tu veux t’occuper un peu de moi ?

 

Ce fut mon tour de lui lécher la pointe de ses beaux nichons. J’étais contente de lui donner du plaisir, elle geignait, elle haletait.

 

– Tu me fais mouiller, ma fille, regarde un peu ma chatte !

 

Et comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, je descendis mon visage entre ses cuisses et pour la première fois de ma vie, je pouvais admirer ses trésors intimes. Une dernière hésitation.

 

– Vas-y Isabelle, lèche la moule de ta mère.

 

Alors je l’ai fait, elle était toute mouillée, j’ai tout de suite trouvé son clitoris, elle a jouit en moins d’une minute, m’a enlacée et m’a rendu la pareille. Nous nous sommes regardées en souriant, je n’ai eu aucun remord, aucune honte, j’avais trouvé ça très bien.

 

Je me suis posée des questions ensuite, je me suis demandé si mon attitude n’avait pas été une sorte de compensation pour me justifier d’avoir fait éconduire son amant balourd. Et puis j’ai arrêté de me poser des questions.

 

Nous avons recommencé… assez souvent et toujours avec le même naturel et la même décontraction. Qu’est-ce qu’elle est bonne la chatte de ma mère !

 

Je ne me suis jamais senti traumatisée ou choquée par ces rapports, encore une fois cela ne regarde que nous.

 

Fin du récit d’Isabelle

 

De nouveau Isabelle et Béatrice s’étreignirent et s’embrassèrent profondément.

 

– Elle est trop excitante ton histoire ? Lui dit Béatrice

– C’est vrai ?

– Oui j’aime bien les situations où on fout les tabous en l’air sans faire de mal à personne.

– T’aurais aimé voir ça !

– Tu m’étonnes !

– Remarque c’est toujours possible, je pourrais te la présenter et m’arranger pour que ça se termine en trio.

– Pourquoi pas ?

– T’es trop mignonne, toi ! Lui répondit la brune.

– Tu parles ! Et sinon t’en as d’autres des histoires cochonnes comme celle-là ?

– Oui, une fois j’ai sucé un chien !

– Oh ! Raconte !

 

L’autre récit d’Isabelle

 

Je m’étais fait draguer par une bourgeoise dans un café du Marais. Elle ne me laissait pas indifférente, elle avait un petit côté canaille qui le faisait bien.

 

Bref elle m’a emmené chez elle, on abrège les formalités, juste le coup à boire de politesse et on s’embrasse comme des salopes en se déshabillant mutuellement. On s’est retrouvées sur le canapé, à se ploter les nichons et la chatte.

 

Un moment, la bourgeoise est allongée de tout son long, les jambes semi-pendantes et je lui lèche son minou juteux. Son chien vient tourner autour de nous. Elle le laisse faire, moi je ne peux rien dire je ne suis pas chez moi.

 

Un moment je m’écarte juste un petit peu pour reprendre ma respiration et qu’est-ce que je vois, le clébard qui a pris ma place et qui se met à lécher la bourgeoise à grand renfort de coups de langue.

 

La nana se pâme, elle me demande si je veux essayer, j’ai hésité mais elle s’est montrée persuasive.

 

Alors je me suis fait lécher la foufoune par le chien, j’ai trouvé ça très agréable.

 

– Regarde comme il bande, ce salaud ! Me dit la bourgeoise !

 

Effectivement, je vois un long machin rouge, raide et gluant, la nana qui devait avoir l’habitude prend la bite dans la bouche et m’invite à la rejoindre. Je me suis lancée et j’ai gouté à cette bite. J’ai trouvé ça d’une perversité inouïe, je me suis prise au jeu, je n’arrêtais pas de sucer et de lécher.

 

– Tu veux te faire prendre ? Me demande-t-elle.

– C’est pas dangereux !

– Penses-tu ! Moi je le fais souvent !

 

On s’est mise ne levrette l’une à côté de l’autre et là ce fut fantastique, le chien allait d’un cul à l’autre en s’excitant comme un fou, j’ai joui plusieurs fois de suite, mais c’est dans la chatte de la bourgeoise qu’il a pris son pied, c’était marrant ils sont restés collé plusieurs minutes.

 

Fin du 2ème récit d’Isabelle

 

– Et tu as recommencé ?

– Quelques fois ! Et toi tu ne l’a jamais fait ?

– Mais si !

 

Et Béatrice lui raconta certaines de ses propres aventures canines.(voir les épisodes 5,15,17,20)

 

– Je te paie le restau ! Lui demande Isabelle.

– Pas ce soir, mais une autre occasion, pourquoi pas ?

 

En fait Béatrice n’avait pas envie de prolonger cette relation, c’était un coup d’un soir, un bon coup, mais elle évitait comme le diable toute situation qui pourrait déboucher sur quelque chose qui ressemblait à une liaison.

 

Isabelle n’insista pas et Béatrice pris congé après avoir pris une petite douche.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 août 2021 6 07 /08 /Août /2021 19:02

Le Maître par Marie-Paule Perez

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Je marchais à vive allure, faisant bien claquer mes talons et onduler mes hanches, saisissant au passage les regards des hommes et des femmes que je croisais. J'avais pris sans m'en rendre compte l'habitude d'adopter cette démarche arrogante, à mi-chemin entre la princesse et la putain, lorsque je me rendais à mes rendez-vous. Arrivée devant la cathédrale qui était le lieu convenu, je m'adossais à une arcade, et, la griserie de ma promenade redescendue, grillais nerveusement une cigarette en sentant se former au creux de mon ventre la boule bien connue. L'attente décuplait mon excitation, je serrais contre moi l'imperméable qui me tombait aux genoux et dissimulait ma tenue de pute. Bientôt une voiture s'arrêta et mon bas ventre se liquéfia en voyant le Maitre ouvrir sa portière. Comme toujours je m'engouffrais dedans au plus vite, poursuivie de la désagréable et sans doute stupide impression que tout le monde savait qu'il allait se servir à sa guise de mon corps de jeune salope contre quelques coupures glissées dans le porte jarretelle.

 

Je relevais ma jupe pour poser mes fesses nues directement sur le siège et j'écartais généreusement les cuisses. Le Maitre vint me flatter la joue puis l'intérieur de la cuisse de la main, souriant. Je me félicitais intérieurement d'avoir enfin intégré les règles de base du jeu. Il y a quelques semaines j'aurai déjà pris deux gifles pour avoir croisé les jambes !

 

- Bonjour ma chienne, dit-il en me gratifiant d'une tape chaleureuse sur la cuisse.

- Bonjour Maître, répondis-je en léchant la main qu'il me tendit.

- Comment tu te sens aujourd'hui ? Excitée ? Craintive ? J'ai des choses à te faire découvrir…

 

(Des CHOSES ? Le vague qui entourait ce présage fit monter en flèche mon appréhension.)

 

- Humm, quelles sont-elles Maitre ? Demandais-je alors nonchalamment en soufflant ma fumée.

 

Bordel j'ai le diable au corps. Pourquoi faut-il que je joue les allumeuses insolentes avec les clients qui attendent des yeux baissés et une voix humble ? Ça va finir par me coûter cher, je suis vraiment maso.

 

Il introduit sa main entre mes jambes et me fouille sans tendresse. Je suis déjà humide, j'ai honte de l'être, ce qui me fait mouiller encore plus…

 

- Tu m'as l'air d'être en chaleur petite putain. On est arrivés, descends que je te mette ton collier. 

 

Je tends mon cou, il y serre un collier de cuir rouge auquel il attache une laisse. Il sort de la boite à gant un martinet qui trainait là, ce qui me fait irrésistiblement esquisser un sourire ironique. Il le voit, claque la portière, et me conduit sans un mot à la maison. Dès que la porte est refermée, je n'ai pas encore enlevé mon manteau que je reçois une claque cinglante.

 

- Déshabille-toi.

 

J'obéis sans rechigner et me mets nue, ne gardant que mon collier et mes talons. Le Maitre me regarde, me tâte, il a toujours l'air aussi content de mes seins lourds, de ma taille fine et de mes jambes aguicheuses.

 

- Va en position devant la cheminée et attends ton Maitre. Sans bouger.

 

Je vais donc face à la cheminée, appuie mes mains sur le rebord, écarte les jambes et me cambre au maximum. Je sais qu'il va se faire un plaisir de m'ôter mon air impertinent par une séance d'humiliations, reste à savoir lesquelles. Je suis si occupée à imaginer ce qui va m'arriver que je ne l'aie pas entendu arriver derrière moi. Il m'attrape par les cheveux et me tire violemment la tête en arrière.

 

- Tu vas être fessée jusqu'à ce que ton cul de pute soit rouge et brûlant. D'ici là je ne veux pas t'entendre.

 

Il joint le geste à la parole et me colle d'une main experte le bâillon gode dans la bouche, attache mes poignets aux côtés de la cheminée avant de se remettre derrière moi. Je serre un peu plus fort mes mains sur le rebord en attendant le premier coup.

 

Oh, ça faisait longtemps que je n'avais pas été punie comme ça… Les coups se font de plus en plus durs, tout mon cul est en feu, les lanières de cuir me lacèrent même l'entrejambe sans pitié, j'essaie de coller mes cuisses pour protéger mon intimité mais le Maitre rugit  

 

- Tu vas écarter les jambes, salope, comme tu sais si bien le faire ! Attends je vais t'apprendre…  

 

Et je sens à l'entrée de ma chatte trempée le bout froid d'un gode, qui me semble de taille honorable. Il l'enfonce d'un coup, je gémis, ce qui me vaut une claque, et il le fait aller et venir en moi. Je sens que je suis en train de m'inonder et je commence à remuer mon petit cul de pute pour mieux m'empaler dessus. Je gémis sous mon bâillon, qu'il retire tout en continuant de me goder.

 

- Tu aimes ça ma chienne hein ? Tu as besoin de sentir ta chatte remplie ?

- Oui Maitre j'aime ça…  

 

Je m'entends répondre, gémissante et soumise. C'est ce moment de capitulation, où j'abandonne mes sourires cyniques et l'envie de faire des réflexions grinçantes parce que je ne sens plus que mon corps qui brûle, j'ai honte de me sentir aussi chienne et d'aimer ça, mais je ne pense plus à mes billets, juste à l'orgasme qui se rapproche.

 

- Tu ne dois pas jouir ! Tu le sais ça ? Si tu jouis tu seras sévèrement punie !

 

Ah ? Parce que jusqu'ici on a fait semblant ? Merde alors…

 

Là-dessus il s'en va et me laisse plantée là avec le gode planté, lui, en moi. J'étais tellement mouillée qu'il ne lui a pas fallu plus de vingt secondes pour glisser et tomber par terre. J'entends le Maitre qui rapplique intrigué par le bruit.

 

- Il… il est tombé… Bredouille-je avec appréhension et sans oser tourner la tête.

- Et pourquoi il est tombé ? demande-t-il en me fouillant de ses doigts.

- Parce que je suis mouillée Maître…

- Comme une salope ! Allons viens là que je m'occupe de ta chatte. Position 1 ! 

 

Je soupire de soulagement, j'ai jamais été foutue de mémoriser les positions, et c'est presque la seule que je connais. Je me mets docilement à quatre pattes, bien cambrée, le cul offert, et je positive en me disant que je viens là d'éviter une punition. Il se met derrière moi, attrape mes hanches et s'enfonce en moi d'un coup, commence à me défoncer sans état d'âme, mais quand ses coups de reins commencent à me faire haleter, se retire et attrape mes cheveux pour me retourner face à sa queue. Bon, le message est clair, je le suce avec application, en enfonçant sa bite tout au fond de ma gorge sans qu'il ait à me forcer. Du coup il se contente de laisser sa main posée sur ma tête pendant que je m'active. Il la resserre sur mes cheveux lorsqu'il me gicle en travers des amygdales, je m'étouffe un peu avec et j'avale tout. Je lève sur lui des yeux larmoyants, quémandant une approbation.

 

- Tu as tout avalé ?

- Oui Maitre !

 

Et là-dessus, il m'envoie une paire de gifles retentissante, ce qui me plonge dans un abîme de perplexité.

 

- Tu n'apprends donc jamais ? Me gronde-t-il, Je t'avais déjà dit que tu devais garder mon sperme en bouche et ne l'avaler que sur mes ordres ! Tu cherches à te faire punir chienne… 

 

Je ne sais même pas quoi répondre alors je reste à genoux les yeux baissés. Il me prend le menton et insiste.

 

- Tu sais que tu as fait une faute ?

-…Oui maître. Pardon Maitre…

- Tu vas donc me demander de te corriger pour cela parce que c'est pour ton bien.  

 

L'humiliation que m'inflige cette situation me fait presque jouir sans aucun contact physique. Je me sens dégouliner sur mes cuisses.

 

-  S'il vous plait Maître, punissez-moi comme je le mérite… 

 

Satisfait, il va fouiller dans son coffre. Je frissonne en me demandant ce qu'il va en sortir. Premièrement les pince tétons qu'il vient serrer sur mes seins. Puis, après quelques secondes de réflexions, une cravache et une ceinture. Ouf, il a laissé son fouet et sa canne de côté, ne puis je m'empêcher de penser.

 

- Laquelle préfères-tu pour ta punition ?

 

Choix cornélien. Mais mon vieux fétichisme sur les ceintures en cuir, objets multifonctions de mes premiers émois, qui servent à punir, attacher, caresser, quand on n'a pas les moyens ni l'âge légal d'aller dans un sex-shop, reprend le dessus.

 

- La ceinture.

- Bien. Viens sur mes genoux vilaine pute. 

 

Obéissante, je viens me coucher en travers de ses genoux. Il me touche le cul, et sans me prévenir, m'enfonce un plug ! Je gémis, de surprise et de douleur. J'imagine son sourire satisfait quand je l'entends me dire :

 

- Je me suis dit qu'une simple fessée n'était pas assez sévère, dilater ton petit cul en même temps me semble judicieux. Qu'en penses-tu ?

 

J'ai déjà les larmes aux yeux mais je m'entends approuver :

 

- Oui c'est une bonne idée Maitre… 

 

AngieLe cuir de la ceinture vient caresser mes fesses, puis se soulève, je me crispe dans l'attente de la douleur. Les coups arrivent, fermes, espacés, de quoi laisser le temps à chacun de diffuser sa brûlure dans tout mon cul, chacun me fait tressaillir et me tendre sur le sexe à nouveau dur du Maitre. Passé 12 coups, je commence à me tortiller. Vers les 25, je commence à pleurer et à demander pardon. Mais le Maitre n'arrêta que lorsqu'il eut rendu mon cul écarlate. Il le caressait gentiment et je me contorsionnai pour lever vers lui mes yeux pleins de larmes. Il s'applique alors à retirer le plug de mon anus, ce qui me soulage, je ne supporte que moyennement le métal lourd du bijou. Il applique une grande claque sur mes fesses à vif, accompagné d'un très froid :

 

- A quatre pattes maintenant, fais ton boulot petite putain. 

 

Je frissonne en obéissant. Toute la feinte "affection" du Maitre" c'est pour ton bien petite chienne" et autres caresses entre les coups, cette volonté de m'éduquer, tout cela disparait et me laisse à ma condition de pute qu'on bourre et qu'on paye. Son mépris m'excite comme c'est pas légal. Je tends mon cul dilaté et prêt à être rempli du sexe du Maitre. Il l'enfonce sans ménagement, et me sodomise sans retenue. Il choppe mes hanches et me fais aller et venir sur son sexe, j'adore ça, je gémis, j'en veux encore, et c'est trop tôt à mon goût qu'il jouit en moi. Une chienne ne jouit pas…

 

Toujours à quatre pattes par terre, je l'observe, un peu hagarde, mon maquillage s'apparente à celui du Joker, j'ai le cul ouvert et plein de sperme, j'ai honte de cet état qui me sied si bien. Il rajuste sa diabolique ceinture, compte les billets qu'il sort de sa poche, et vient m'aider à me relever pour me les donner avec un sourire et une gentille claque sur mes fesses endolories.

 

- A plus ma belle putain !

- Je crois que j'ai toujours un truc à vous M'sieur ! dis-je, retrouvant avec bonheur ma gouaille de gamine et mon demi sourire tandis que je lui tends le collier de cuir rouge.

 

Petite putain qui disparait dans la nuit avec son cul rouge nu sous son imperméable et sa démarche de princesse qui vient de se faire enculer.

 

Fin

 

Je ne suis pas l'auteure de ce texte qui trainait sur mon disque dur, impossible de retrouve l'auteur sur le web, mais comme je l'ai trouvé intéressant je vous le propose, j'ai simplement effectuée quelques corrections mineures.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Vendredi 6 août 2021 5 06 /08 /Août /2021 23:03

Les filles du lac (les âges farouches 2) par De Dontun 

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Temps préhistoriques. Quelque part dans le massif alpin. 

 

Comme convenu, on vint les réveiller dès le lever du soleil. Moldar, le sorcier du village scruta alors le ciel, il allait faire beau, il fit signe à Olniak, son apprenti que l'épreuve aurait bien lieu aujourd'hui. Il s'équipèrent tous les deux pour cette journée d'expédition et donnèrent l'ordre au jeune garçon de les suivre. Ce dernier n'était guère rassuré. Avait-il au moins conscience qu'il ne lui restait sans doute que quelques heures à vivre ?

 

Ils marchèrent longtemps, ils étaient maintenant loin de la vallée, au fond de laquelle se trouvait leur village de chasseurs, et avaient pénétré dans les épaisses forêts des hauteurs les plus proches. La journée était resplendissante, et le soleil chauffait la peau des hommes en se frayant un chemin parmi la végétation luxuriante. Quand l'astre solaire fut presque à son zénith, et qu'il eurent atteint une petite clairière lumineuse, Moldar décréta la fin de la marche, Il détacha alors une petite branche d'un arbuste, la débarrassa de ses aspérités les plus voyantes à l'aide d'un couteau de pierre, la planta en terre au milieu de l'endroit et se livra à d'incompréhensibles et grotesques incantations. En fait, il regardait simplement évoluer l'ombre du bâton. Il ramassa ensuite un petit caillou et le plaça près du bout de bois, puis interpella le gamin.

 

- Voilà, tu dois attendre que l'ombre du bâton atteigne le caillou, à ce moment-là tu te mettras en route pour retrouver le chemin du village. Tu devras être revenu avant la nuit qui suivra cette nuit, sinon c'est inutile, tu ne serais accueilli qu'à coup de pierres !

 

Le jeune garçon regarda le sorcier d'un air apeuré. Moldar et Olniak le laissèrent là et prirent le chemin du retour 

 

- Il ne réussira pas l'épreuve, ça se sent ! Plus personne ne la réussit ! Il va être incapable de retrouver son chemin ! 

- Qu'est-ce qu'il va devenir, alors ? 

- J'en sais rien, la région n'est pas dangereuse, il n'y a pas de bêtes qui attaquent l'homme, il n'y a pas de tribus ennemies, il n'y a pas de zones dangereuses à traverser avec des sables mouvants, des rivières infranchissables, non rien de tout cela ! Il va s'affaiblir faute de trouver assez de nourriture, trop faible il va devenir vulnérable et les dieux le reprendront. 

- Si tous nos jeunes garçons périssent en subissant cette épreuve, pourquoi la maintenir ? 

- Parce que cela nous permet d'éliminer ceux qui ne pourront jamais être des guerriers, un guerrier qui ne sait pas retrouver son chemin ? On a vu ça où ? 

- Mais ils sont tous jeunes, personne ne leur a expliqué !

 - Non, Olniak tu as encore beaucoup à apprendre, tu as toi-même passé cette épreuve et tu l'as réussi !

 

Devait-il lui dire qu'on l'avait alors aidé ?

 

- Le sorcier avant moi avait un autre sorcier avant lui, et ainsi de suite, l'un de ces sorciers a fréquenté les dieux. Et les dieux lui ont dit :  "une tribu ne doit jamais se refermer sur elle-même faute de quoi ses enfants deviendront idiots !" Il nous faut du sang neuf, sinon la tribu, n'aura plus de relève et elle mourra avec ses vieillards ! 

- Il faut faire quoi, alors ? 

- Aller chercher du sang neuf ? 

- Mais comment ? 

- Ce sera ta mission, Olniak ! Je sens dans mes chairs, des douleurs étranges, sans doute est-ce l'appel de ma mort ? Si tu réussis, tu me remplaceras. 

- Qu'est qu'il faut-il que je fasse ? 

- Que tu ramènes autant de femmes que tu as de doigts dans la main, des femmes en âge de pouvoir faire encore beaucoup d'enfants. Tu partiras dès demain !

 

Olniak ne discuta pas, parce qu'on ne discute pas les ordres du sorcier. Ses décisions étaient comme celles du destin, inéluctables. Sa mission lui avait indiqué Moldar pourrait durer plus d'une lune. Il devrait s'équiper en conséquence. Alors dans une besace en peau, il rassembla quelques tranches de poisson séché et quelques noisettes, il prit de quoi chasser, il prit de quoi allumer le feu. Cette nuit-là, il eut du mal à trouver le sommeil et au petit matin, alors que le soleil commençait juste à éclairer la terre, il se prépara à partir. D'instinct, à moins que ce soit par superstition, il choisit d'aller vers le couchant. Là où le soleil prend ses repos, il ne pouvait y avoir que de bonnes terres où il pourrait accomplir sa mission. L'autre direction lui faisait peur, parce qu'il savait que là-bas c'était la fin de la terre et qu'il avait du mal à imaginer ce que cela pouvait bien être. Il passerait donc par les montagnes. Il huma l'air de son village une dernière fois et se mit en marche. La première journée se passa sans histoires, les territoires qu'il traversait lui étaient connus. Il ne trouva aucune bestiole à chasser, mais cela ne l'étonna pas, il savait cette zone pauvre en gibier. Il trouva néanmoins de quoi boire, les sources ne manquaient pas, et suffisamment de baies pour se nourrir sans entamer sa réserve. Il se confectionna pour la nuit une sorte de lit suspendu en réunissant à l'aide de ramures souples, deux branches basses voisines sur un arbre trapu.

 

Il dormit calmement et fut réveillé par les insupportables trilles d'oiseaux qui saluaient à leur façon le lever du soleil. Puis il se mit en route, cette fois, les territoires inconnus étaient devant lui, il marcha, marcha et marcha encore. Il lui faudrait quand viendrait le moment du retour retrouver son chemin. Pour cela il s'arrêtait régulièrement et tentait de mémoriser la paysage environnant. Il découvrit que la chose était ainsi beaucoup plus facile à la montagne que dans le plat où pour ce faire, il fallait à tout bout de champ rechercher l'existence d'un parfois impossible talus. Sa reconnaissance visuelle se complétait d'une autre pratique, elle consistait à repérer un objet sortant de l'ordinaire, un gros rocher, ou un arbre très volumineux et à le marquer. Olniak prenait alors un silex et gravait sur l'écorce ou dans la pierre une sorte de marque oblongue. Ça ressemblait vaguement à une feuille allongée, ou alors à un poisson. Lui-même ne savait pas ce que cela représentait et ne se posait pas la question. C'était tout simplement de signe de sa horde.

 

Il se demandait pourquoi le sorcier l'avait envoyé seul pour cette mission sensée sauver sa tribu. Il aurait été, pensait-il, plus simple d'envoyer une expédition guerrière qui après un travail de reconnaissance aurait effectué une razzia suivie de l'enlèvement des femmes. Certes, un échec aurait été fatal, la horde ne pouvant plus se permettre de perdre des guerriers chasseurs. Et puis l'opération, avait précisé Moldar, devait se dérouler avec le minimum de contrainte…

 

C'est le sixième jour, en arrivant au sommet d'un petit mont, qu'il découvrit le lac. Le temps était resplendissant et l'eau miroitait d'un bleu éclatant à ce point qu'Olniak fut saisit par la beauté du spectacle.

 

Ses yeux de chasseur scrutèrent l'endroit, il ne se trompait pas, il voyait bien des sortes de huttes à moitié bâties sur l'eau, construites sur des piquets. Il y avait deux groupes d'habitation, un peu éloignés l'un de l'autre Sa mission aurait donc lieu ici ! Il fallait maintenant passer à la suite, et ce n'était pas le plus facile. Il se mit en marche… les distances sont trompeuses en montagne, et il mit un certain temps avant d'être relativement près de huttes. Le soleil ne tarderait pas à se coucher. Finalement ce contretemps l'arrangeait, il n'avait aucun plan, il bivouaquerait ici pour la nuit et peut-être que le lendemain matin les dieux l'auraient inspiré.

 

Le lendemain matin, il n'avait toujours pas de plan, lorsqu'il entendit des rires, des rires de femmes. Comme cela faisait du bien d'entendre à nouveau des êtres humains après tous ces jours de solitude ! Il s'approcha à pas de loup. En contrebas, plusieurs jeunes femmes se baignaient nues près de la rive du lac. Olniak entreprit de les compter. A cette distance, cet exercice lui était difficile d'autant que les filles bougeaient sans arrêt. Il réussit malgré tout à se rendre compte qu'il y en avait un peu plus que de doigts dans ses deux mains. La réussite de sa mission était là, à sa portée, maintenant, il décida d'y aller, il devrait vérifier la présence de possibles guerriers, éventuellement les neutraliser, puis il expliquerait aux femmes la volonté de Moldar. Après tout, qui irait contre les décisions d'un sorcier, d'un grand sorcier, de la race de ceux qui parlent aux dieux ?

 

Dévaler la pente qui menait au bord du lac s'avérait dangereux, il fallait qu'il fasse un léger crochet par la droite. Qu'importe, il n'était plus à quelques instants près, désormais ! C'est pendant ce chemin qu'il entendit des sons étranges, des sons humains. Une femme ! C'était une femme. Il avait parfois, rarement plutôt, entendu ces sons d'halètements que les femmes produisent parfois pendant l'accouplement. Le sorcier lui avait expliqué qu'il pouvait arriver qu'en ces circonstances les femmes deviennent foldingues. Mais heureusement ça ne durait pas ! Il y avait donc un couple derrière ces arbustes. Un couple dont la femme était pour l'instant foldingue. On doit éviter de regarder un couple qui copule, mais là, il était en mission et tout renseignement glané pouvait être profitable. Plus il approchait, et plus il était perplexe, il était maintenant certain de distinguer deux halètements différents, deux halètements féminins. Un homme était-il donc en train de s'accoupler avec deux femelles ? Il s'approcha davantage, puis pila, stupéfait ! Il n'y avait pas d'homme. Il y avait deux femmes étendues dans la mousse de la clairière. Deux femmes qui se léchaient mutuellement le sexe en haletant comme des foldingues.

 

Ces deux femmes étaient magnifiques, et encore plus l'une d'entre elles dont les longs cheveux bruns contrastaient avec la blancheur inhabituelle de sa peau. Bizarrement, Olniak, sentit sa verge se redresser sous son pagne. Il ne savait que faire. Il ne comprenait plus. Deux femmes ne pouvaient s'accoupler ! Cela n'avait aucun sens ! Alors pourquoi le faire ? Et tandis qu'il ne pouvait empêcher sa bite de bander, il tenta de réfléchir. Ou bien c'était des foldingues, de vraies foldingues… …Parfois dans le village, des hommes ou des femmes devenaient foldingues. Alors on les attachait une nuit de pleine lune après un arbre et si le lendemain ils étaient encore foldingues on les chassait à coup de pierre. Certains arrivaient à survivre en ermites, jamais très longtemps…

 

L'autre solution, c'est qu'il s'agisse de sorcières ! Peut-être que les sorcières pouvaient s'accoupler ? Il avait décidément beaucoup de choses à apprendre ! Le mieux serait de leur demander. Et puis cela lui permettrait de les observer de plus près. Et puis, qui sait, si c'était réellement des sorcières et non pas des foldingues peut-être que l'une d'entre-elles accepterait sa virilité dont la raideur devenait gênante ! Il n'en avait pas peur, n'était-il pas lui-même l'envoyé d'un grand sorcier !

 

Alors il s'avança, provoquant un cri d'effroi des deux jeunes femmes qui disparurent des lieux en courant. C'était donc bien des foldingues. Des sorcières n'auraient pas agi de la sorte ! Il continua son chemin. Après tout qu'importe, ce qui comptait à présent, c'était le contact avec les filles qui se baignaient dans l'eau. Il fallait d'ailleurs qu'il se dépêche. Elles n'allaient probablement pas s'y baigner toute la matinée. Alors, il avança, il était maintenant tout proche, il regarda le groupe de femmes. Il les trouva magnifiques. Elles avaient toutes un vague air de ressemblance. Elles n'avaient rien à voir avec les filles de la clairière. Non, celles-ci avaient la peau beaucoup plus brune et les cheveux bien plus frisés. Certaines étaient enceintes, ce qui plairait au sorcier peut être inquiet de la fécondité des femmes capturées ! Sa verge durcit plus encore. Dans sa tribu, les femmes enceintes étaient particulièrement recherchées pour l'amour : plus de risque de pollution par l'impureté du sang menstruel qui effrayait tant le sorcier.

 

Il s'approcha du groupe de femmes pour les détailler davantage avant de leur parler… Dès qu'elles le virent, elles esquissèrent un mouvement de fuite, puis s'apercevant qu'il était seul et sans intentions belliqueuses évidentes, elles restèrent dans l'expectative, les yeux des plus jeunes filles intensément fixés sur la virilité turgescente qui écartait les lanières de son pagne de sparterie. Alors il prit la parole : 

 

- Je suis Olniak, je suis envoyé par Moldar, notre sorcier pour vous chercher. Nous avons besoin de vous pour faire vivre notre tribu. Notre tribu est riche et puissante. Venez avec moi, je vous laisse vous préparer ! 

 

Les femmes se regardèrent, circonspectes, puis deux d'entre-elles se parlèrent, l'une de celles-ci se retourna et se baissa, offrant à Olniak la vision excitante d'une amande très brune fendue de rose, au bas de fesses particulièrement rebondies. L'homme troublé en avalait sa salive, il ne remarqua pas tout de suite que la jeune femme ramassait un caillou dans l'eau. Elle pivotât brusquement, le jeta sur Olniak. Le tir était heureusement mal ajusté et l'objet tomba dans l'eau, éclaboussant sa cible. Mais elles se mirent alors toutes à lui lancer des cailloux. Il dut fuir, figure un peu ridicule avec son sexe devant lui refusant de débander. Certaines tentèrent même de le poursuivre, mais n'insistèrent pas. Il courait plus vite !

 

Il s'assit, s'adossant à un large tronc d'arbre. Les choses ne se passaient pas bien. Il fallait changer de tactique, mais il en avait aucune autre pour le moment. Il se mit à réfléchir, il ne trouva rien et finit par s'assoupir. Un raclement de gorge très appuyé le fit se réveiller. Il faillit sursauter. Les deux foldingues étaient là devant lui. Et puis, il s'en voulait d'avoir été si imprudent jusqu'à se laisser surprendre par le sommeil. Si ces deux-là l'avaient trouvé, les filles du lac auraient aussi pu le faire et le tuer.

 

Les deux femmes ne s'étaient même pas revêtues, elles étaient là devant lui, la chatte à l'air et cela le troubla de nouveau 

 

- Moi, Goulvene ! Dit la plus jolie des deux. Elle ! Soyene ! 

- Moi, Olniak ! répondit le guerrier 

- Nous avons entendu ce que tu as dit aux filles ! Nous voulons bien partir avec toi ! 

 

Il devait fournir un effort pour les comprendre, leur langage ressemblait au sien, mais ne faisait que ressembler. Il réfléchit. D'abord, ça ne faisait pas le compte, et ensuite il était hors de question de ramener des foldingues dans la tribu. Que faire ? Leur demander si elles étaient foldingues ne servait à rien, les foldingues ne savent pas qu'ils sont foldingues ! 

 

- Etes-vous des sorcières ? 

- Non ! Nous sommes les femmes du harem ! 

- Du harem ? 

- Le harem de Chalès ! 

- Chalès ? 

 

Alors elles expliquèrent. La tribu lacustre où il avait abouti était commandé par ce Chalès. Le village était physiquement séparé en deux parties, la tribu proprement dite d'une part et les huttes des femmes du harem entourant la demeure du chef d'autre part.

 

Goulvene raconta que Soyene et elle-même ainsi que d'autres filles avaient été capturées lors d'une des nombreuses expéditions de Chalès et de ses guerriers. Goulvene avait été longtemps la favorite, la première femme du chef. Jusqu'au jour où revenant d'on ne sait où, Chalès ramena Wona, ses sœurs et ses cousines. Olniak compris alors à la description que Wona était la plus belle des filles du lac Chalès avait alors négligé Goulvene au profit de Wona qui devint sa nouvelle favorite. Puis quelque temps après elle fut répudiée. Quand une fille était répudiée du harem, elle devait rejoindre le village et devenait la propriété d'un guerrier, avec tout ce que cela comportait : les coups, les humiliations, les travaux pénibles… Mais en ce moment Chalès et ses guerriers étaient en expédition, alors le matin elle venait voir sa copine Soyene qui elle, faisait toujours partie du harem. 

 

- Mais tu fais quoi avec elle ? 

- On se donne du plaisir ! 

- Du plaisir ? 

- Oui, les hommes sont souvent partis, ici ! 

 

Olniak renonça à comprendre, il leur expliqua qu'il voulait bien les emmener, mais qu'il fallait avant, qu'il s'assure qu'elles n'étaient pas foldingues. Elles lui répondirent sur ce point d'un grand éclat de rire… Mais il y avait un autre problème, c'est qu'emmener deux filles, ça ne faisait pas le compte…

 

Ils décidèrent de camper position assez près du lac, mais assez loin tout de même afin que l'on ne puisse pas deviner leur présence. C'est alors qu'Olniak préparait des branchages destinés à la construction d'une petite hutte provisoire qu'il entendit un étrange clapotis. Une petite source coulait sur une pierre ! Il chercha d'où venait le bruit et découvrit ahuri Goulvene à quelques pas devant lui en train de pisser sans se cacher et en lui adressant de grands sourires. Alors Olniak se fâcha ! Seul, des foldingues peuvent ainsi pisser sans se cacher ! Il la réprimanda, mais n'obtint comme réponse qu'un grand éclat de rire. 

 

- Partez, je vous chasse ! 

 

Cette fois, Goulvene devint grave : 

 

- Non, tu ne nous chasses pas ! C'est nous qui partons ! Si c'est pour retrouver le même genre d'hommes qu'ici, toujours à critiquer ce que nous faisons, ça ne sert de venir avec toi ! 

 

Le temps d'assimiler cette étrange réplique, les deux filles avaient disparues. Il finit de construire sa hutte en maugréant. En attendant que les choses deviennent plus claires, il décida d'aller se chercher à manger. Il regretta de ne pouvoir aller vers le lac sans se découvrir, il aurait bien mangé du poisson. Bah ! Il trouverait bien un lapin à attraper. Il ne trouva pas de lapin, mais un fort bel écureuil. Il ne perdait pas au change, c'était délicieux. Le feu qui servirait à le faire cuire ne se distinguerait pas de la cité du lac. Au moins sur ce point, tout allait bien !

 

…Sauf qu'en revenant à sa base, les deux filles y étaient revenues, en pagne cette fois. 

 

- On t'a apporté du poisson et des fruits ! Dit alors Goulvene. 

 

Etait-ce une offrande ou une soumission ? Voulaient-elles se faire pardonner leur folie de tout à l'heure ? Ne sachant que penser, il agit brusquement, mais sans violence. Goulvene se retrouva pliée en avant, prisonnière du bras gauche du chasseur qui relevait par derrière le pagne de la jeune femme, tandis que de la main droite bien ouverte il la fessait bruyamment. Il n'eut pas le temps de pousser plus loin ses interrogations. Soyene posant au sol la nourriture, se colla carrément contre lui et entreprit de le fesser à son tour !

 

"Ce doit être un gage d'amitié !" Se dit Olniak ravi de la tournure des évènements. Son pagne valsa, son sexe fut pris entre des doigts agiles qui ne tardèrent pas à le faire bander. Ils roulèrent tous les trois au sol. Olniak plaqua alors Goulvene dans la mousse et s'apprêta à la pénétrer. Soyene l'en empêcha alors le tirant par les cheveux, il se retrouva alors sur le dos et ce fut Goulvene qui alors s'empala sur son sexe. Il n'avait jamais pratiqué cette position étrange, mais résolu de se laisser faire. Par contre quand Soyene s'assit sur son visage, chatte contre bouche, il ne comprit pas et cette dernière abandonna l'affaire avec une moue de dépit. Et alors que sa jouissance montait, Goulvene se mit à haleter. Pour la première fois, il se demanda si elle était réellement foldingue.

 

Ensuite, quand cela fut fini, Goulvene et Soyene l'une à côté de l'autre se mirent à pisser, voulant signifier par-là à Olniak qu'elles entendaient bien rester avec lui, mais en faisant ce qu'elles voulaient. Olniak, décidément imperméable aux coutumes locales, ne comprit pas le message, mais pour la première fois, il douta, se demandant si finalement Moldar était un si grand sorcier que ça ! Comment se pouvait-il que tant de choses puissent échapper à son savoir ?

 

Le lendemain les deux filles lui fournirent le plan qu'il ne parvenait pas à trouver afin de persuader les filles du lac de venir avec lui. Il laissa Soyene et Goulvene à la base et s'approcha du lac. Il dû attendre longtemps, il en profitait pour dévorer Wona des yeux. Cette fille était trop belle ! Il fallait absolument qu'il la ramène. Elle deviendra sa femme. Elle serait donc la femme du sorcier, puisqu'il serait celui qui remplacerait Moldar. Mieux que le chef, puisque c'est lui qui le désignerait. Il arrêta sa rêverie. Les filles avaient apparemment terminé leurs jeux d'eau, et elles regagnaient leur hutte en empruntant un petit chemin naturel qui les obligeaient à marcher les unes derrières les autres. C'est exactement ce qu'avait prévu Goulvene.

 

WonaLe chemin comportait un petit virage. C'était le moment, il sauta sur la dernière fille de la file, la bâillonna de la main et l'entraîna plus loin. Les autres n'avaient rien vu pour l'instant, mais il fallait faire vite. La fille tremblait comme une feuille secouée par le vent. Quand il se jugea suffisamment en sécurité, il relâcha son étreinte : 

 

- Ecoute-moi, je ne te veux aucun mal ! Je veux que tu écoutes ce que j'ai à te dire et après je te relâche ! 

 

La fille acquiesça, tout heureuse de s'en tirer à si bon compte 

 

- Quand Chalès va revenir, ce sera avec des femmes ! L'une d'entre-elles sera sa nouvelle favorite, alors Wona sera répudiée, et vous autres un petit peu plus tard, alors vous serez battues, humiliées. En venant avec moi, vous éviterez tout cela. Vous n'aurez sans doute pas d'autres occasions comme celle-ci ! Maintenant file, et va répéter cela aux autres. Si vous voulez me retrouver, je suis devant le gros rocher là-bas !

 

Personne ne vint le lendemain. 

 

- Ne t'inquiète pas, elles viendront ! Le rassura Goulvene. 

 

N'ayant rien d'autre à faire, ils firent l'amour à deux, à trois, dans les positions les plus invraisemblables faisant définitivement perdre tout repère à ce pauvre Olniak qui n'en pouvait mais… Trois nuits passèrent, et ce matin-là Goulvene et Soyene s'étaient absentées rechercher de la nourriture, quand Olniak entendit un brouhaha se rapprocher. Les filles du lac venaient à lui. Un frisson lui parcourut le corps. Il avait accompli sa mission ! …Enfin presque !

 

Toutes les filles du lac étaient là ! C'était inespéré ! Certaines avaient emmené leurs gamins en bas âge. Il n'avait pas prévu ce détail. Tant pis, il ferait avec ! Wona s'avança vers lui : 

 

- Nous avons choisi, nous venons avec toi ! 

- C'est bien ! 

- Je suis à toi ! Tu peux me prendre, maintenant si tu veux ! 

 

Alors, Wona retira son pagne et dans un geste qu'il trouva obscène, écarta les jambes pour présenter son sexe. Obscène, peut-être mais Olniak banda néanmoins ! 

 

- Viens ! Répondit simplement ce dernier. 

- Mes sœurs et mes cousines ne me dérangent pas ! Cru devoir répondre Wona. 

- Moi, ça me dérange ! Répondit l'homme rageant de constater qu'une fois encore il était tombé sur des foldingues.

 

Une fois à l'écart, celle-ci se mit à quatre pattes, en levrette, cuisses ouvertes, un bras passant par en dessous pour dilater les lèvres du sexe avec le pouce et le majeur. Olniak fut satisfait de retrouver cette position à laquelle il était habitué. Il se mit debout derrière la jeune femme, fléchit les jambes sur ses genoux, et abaissant sa verge de la main droite pénétra le vagin dilaté en une lente poussée. Il jouit rapidement mais refusa ensuite de donner suite à l'invitation de sa partenaire qui lui demandait de la lécher. Ils regagnèrent alors la petite troupe, lui satisfait, et elle d'assez méchante humeur. 

 

- On ne part pas ? 

- J'attends deux femmes.

 

Personne ne posa de questions, mais quand, un peu plus tard, Soyene et Goulvene revinrent, Wona rentra dans une folle colère : 

 

- Quoi ! Ce sont elles que tu attendais ? 

- Oui ! 

 

Wona se mit alors à invectiver Goulvene :

 

 - Tu te mets encore en travers de mon chemin ? 

 

Et puis tout alla très vite, les deux filles furent l'une sur l'autre, se combattirent en un corps à corps sans cadeau. Wona était sans doute plus en nerf que sa rivale, mais moins puissante physiquement. Elle s'épuisa rapidement et finit par abandonner le combat. Les sœurs et les cousines réunies en cercle attendaient alors un geste fatal de la part de Goulvene pour intervenir. Cette dernière eut l'intelligence de n'en rien faire. Elle releva sa rivale à bout de force, lui passa la main sur la nuque, et l'accompagna un peu plus loin pour conclure le pacte de paix, sa main glissant lentement des épaules de Wona jusqu'aux fesses nues de la sauvageonne en sueur…

 

Ils prirent le chemin du retour.

 

Olniak fut accueilli en héros. Mais l'euphorie fut de courte durée. Les guerriers valides n'étaient plus si nombreux, les jeunes mâles se comptaient eux sur les doigts d'une seule main. Les femmes furent donc distribuées entre les mâles capables de les engrosser, les deux femmes enceintes confiées au sorcier. Des rivalités, des mesquineries, puis des bagarres ne tardèrent pas à éclater. Il ne pouvait y avoir de terrain d'entente amiable entre ces femmes éprises de libertés et ces hommes qui contrairement aux promesses les battaient, les humiliaient les méprisaient. Et puis, il fallait parfois rationner la nourriture. Elles n'avaient jamais connu cela, la réserve de poisson du lac semblant inépuisable.

 

Wona et Goulvene n'étaient pas les plus malheureuses. Devenues les femmes d'Olniak, celui-ci leur foutait une paix royale et elles prenaient pour exagération les récriminations de leurs compagnes. C'est Soyene qui un jour vint trouver Olniak : 

 

- Unissons nos tribus, partons tous vers le lac, là-bas il y aura à manger pour tout le monde !

 - Tomber sous la coupe de Chalès ! Certainement pas ! 

- Il suffit de ne pas lui permettre de reprendre sa place à son retour !

 

Olniak rapporta cette proposition à Moldar qui entra dans une fureur incroyable, menaçant même de déclarer foldingue son protégé. Alors le lendemain, les filles du lac partirent, emmenées par Soyene. Quelques heures plus tard, alors que le village se divisait sur la tactique à adopter, Wona et Goulvene déclarèrent partirent les rejoindre. Quand ils demandèrent à Olniak de les accompagner, il ne discuta même pas et leur emboîta immédiatement le pas.

 

Il fallut deux jours et deux nuits pour que la horde accepte que ce qui restait de ses meilleurs guerriers se mette à la poursuite des fugitives et du traître Olniak. Moldar ferait, lui aussi partie de la traque. Ils fabriquèrent à la hâte des sortes de filets qui permettraient d'attraper les fuyards et de les ramener sans surveillance excessive.

 

Ceux-ci furent rattrapés en pleine nuit, alors qu'ils somnolaient, la sentinelle ayant été trop facilement maîtrisé. Tout ce petit monde se retrouva donc prisonnier. Les guerriers voulaient en découdre et souhaitaient la peau d'Olniak, mais le sorcier fut inflexible. 

 

- On ne peut pas se passer d'un guerrier tel que lui, il est devenu foldingue, mais à présent il va mieux. Qu'on le libère et qu'il regagne nos rangs ! Dormons ! Demain, nous reviendrons au village ! 

 

Olniak ne supportait pas de voir ses femmes emprisonnées. Il ne parvint à trouver le sommeil, son projet était de les libérer et de détruire les filets. Mais alors qu'il libérait la dernière, quelqu'un se réveilla, il s'ensuivit une bagarre générale. Des guerriers périrent, des femmes périrent et Moldar eut la tête tranchée. Il n'y eut ni vainqueur, ni vaincu, et chaque groupe s'en alla vers la direction qu'il avait choisi.

 

C'est ainsi que Wona, Goulvene, Soyene et Olniak regagnèrent le village des lacs.

 

Le jour ou un éclaireur annonça le retour de Chalès, un groupe de volontaires emmené par Olniak et ses femmes lui tendirent une embuscade et il mourut ainsi que toute son escorte sous un déluge de flèches.

 

Olniak fut alors proclamé chef du village du lac. Il en avait juste le titre, c'était en fait ses femmes qui prenaient les décisions, il était, lui incapable d'en prendre, il était devenu foldingue, définitivement foldingue.

 

Ne cherchez pas de moralité, il n'y en a pas ! Cette histoire n'est qu'une tranche de vie parmi d'autres de ces âges farouches

 

© De dontun 2001 de_dontun@hotmail.com 

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Vendredi 6 août 2021 5 06 /08 /Août /2021 18:44

Zaya, récit des âges farouches par De Dontun

n26a

 

 

Oulmar émis un grognement de satisfaction ! Le piège avait très bien fonctionné. Il ne savait pas compter, mais savait qu'il y avait beaucoup de sangliers embrochés dans les épieux du piège. Son travail était fini. Les autres sauraient maintenant transporter les animaux tués jusqu'au village de la horde. Les anciens et les femmes de la horde des Oulms sauraient faire sécher cette viande qui assurerait une partie de leur survie pendant l'hiver.

Oulmar grogna encore, il leva les deux bras au ciel et émis un cri libérateur, il bandait à présent, il se débarrassa de son pagne en peau de bête, il se voulait nu, et grogna de nouveau. Alors Haral l'imita, puis Myar, puis tous les autres, Puis ils se mirent à danser autour du piège. Ils dansèrent longtemps jusqu'à l'épuisement. 

Ils se reposèrent ensuite, mais luttèrent afin de ne pas sombrer dans le sommeil, il fallait que tout soit terminé avant la tombée de la nuit, avant que l'odeur des cadavres attire les grands fauves de la forêt.

Un homme s'était blessé au cours du rabattage. Il avait maintenant du mal à se déplacer. Alors Oulmar et Haral l'aidèrent à marcher, mais cela ralentissait considérablement la progression du groupe. Myar se proposa pour partir en éclaireur. C'est lui qui préviendrait la horde de ce qui s'était passé, c'est lui qui leur dirait ce qu'il restait à faire !

Zaya avait écouté Myar. Oulmar allait revenir auréolé de gloire, cette fois encore il sortait la horde d'une passe difficile, et tandis que Boyol, le vieux chef donnait des ordres elle lui coupa la parole

- Oulmar doit être notre chef

Le chef fit signe à Myar qui était à ce moment-là près d'elle

- Bât-la !

Myar ne se le fit pas dire une deuxième fois, et envoya une volée de baffes à la pauvre fille qui s'écroula en sanglots sous les rires et les quolibets du groupe!

Zaya se vengerait, elle regrettait maintenant d'être revenue…

Elle ne savait pas compter, mais un hiver s'était terminé et encore un autre hiver, elle se remémorait. La horde affaiblie par une maladie qui mettait en défaut le savoir des sorciers. Puis, la venue des Tauvs. Les Tauvs étaient nombreux, ils étaient vêtus de peaux de bêtes inconnues. Le contact fut difficile, certains pensaient qu'ils étaient des dieux, d'autres au contraire pensaient qu'il s'agissait de démons. Alors quelques jeunes mâles de la horde les provoquèrent. Mais les Tauvs furent les plus forts, beaucoup de membres de la horde périrent. D'autres furent emmenés en esclavage.

Parmi les esclaves il y avait, elle, Zaya- et puis aussi Oulmar. Ils craignaient d'être torturés, peut-être même pire. Non, le travail était rude, et si parfois les humiliations et les coups ne leur étaient pas épargnés, la vie était loin d'être insupportable. Et puis surtout, ils avaient appris ! Ils avaient même appris que l'on pouvait apprendre ! 

Les Tauvs effectuaient des raids de représailles parfois très loin de leur territoire. Mais ils ne maltraitaient pas leurs prisonniers esclaves, et surtout ne les mangeaient pas, à la surprise de Zaya et de son compagnon d'infortune.

Oulmar, pendant un temps, les méprisa même pour cela !

En fait, sa condition d'esclave lui convint assez rapidement, lorsqu'il compris que pour le peuple Tauv il s'agissait surtout de faire partager sur davantage d'hommes les tâches de la vie... et pas seulement les plus pénibles.

En ces temps farouches, la reproduction nécessaire des hommes et des femmes devait compenser les morts accidentelles de chasseurs et de cueilleuses dans la forêt.

Oulmar et Zaya le comprenaient d'instinct. Ils apprirent durant leur captivité chez les Tauvs que les choses se passaient autrement. 

Chez les Tauvs, baiser n'avait pas pour seul objectif de rendre grosses les femmes, pour augmenter le nombre de chasseurs !

Chez les Tauvs, le sorcier-chaman était le maître d'étranges cérémonies auxquelles furent tout de suite invités, au plus profond de grottes décorées, Oulmar et Zaya !

Ceci comme récompense de quelques jours de chasse pour l'un, et de menus travaux dans les huttes de branchages et de peaux pour l'autre.

Au fond de la dernière salle, à la lumière de la résine enflammée des torches, les deux esclaves avaient distingué les niches creusées dans la paroi un peu au-dessus du sol en calcite blanche. Lorsque Oulmar et Zaya furent invité à s'asseoir, ils constatèrent que le siège, très étroit; et la forme de la paroi contre laquelle ils s'adossaient, faisait comme jaillir vers l'avant leur bas ventre...

Leurs pieds se disposaient naturellement dans deux petites cuvettes, de part et d'autre du siège, les obligeant à ouvrir leurs cuisses libérées rapidement du pagne en peau par le chaman.

Oulmar banda immédiatement lorsque la femme du chef vint s'asseoir sur lui en présentant ses fesses au niveau de son pubis, il crut que son tour était venu de rendre grosse la Tauv ! 

Et il s'y employa, en remuant du plus fort qu'il pouvait sa verge tendue dans le sexe soyeux de la maîtresse de la horde.

Il ne comprit pas ce jour-là pourquoi, alors que la femme sentait venir le jaillissement de la semence d'Oulmar, elle se libérait, en se relevant, du sceptre enfoncé dans sa chair, et se mettant à genoux face à l'homme l'engloutit dans sa bouche avec un bruit mouillé.

Mais pour Zaya, ce fut différent.

Elle compris cette nuit même que la chaleur qui irradiait son ventre par le bas pouvait être obtenue autrement que par les va-et-vient de la longue pierre polie qu'elle utilisait parfois la nuit au camp des Oulms.

Lorsque les hommes Tauvs se succédèrent à genoux entre ses cuisses écartées jusqu'à la douleur, et la fouillèrent de leurs langues trempées, elle sombra dans un état second de plaisir qui la laissa pantelante jusqu'au matin.

Zaya savait à présent que l'on pouvait baiser en y prenant du plaisir. Zaya savait à présent que l'on pouvait aussi faire durer ce plaisir plus longtemps…

Le temps avait passé, et un jour un des chefs des Tauvs leur tint un drôle de discours, il leur expliqua que désormais ils n'étaient plus esclaves, mais qu'il fallait promettre de ne pas partir ! Ils n'avaient pas bien compris ce que voulait dire le mot "promettre", et ils s'étaient réunis entre eux pour essayer de comprendre.

Ils s'aperçurent alors que plus personne ne les surveillait ! L'un d'entre eux se mit alors à courir et à franchir l'enceinte du village Tauv sans que quiconque ne s'élance à sa poursuite, alors ils le suivirent. Tous !

Ils rejoignirent alors la horde. Elle était décimée, après l'attaque, ceux qui avaient fui s'étaient regroupés autour du chef. Un climat malsain s'était installé dans la tribu, Le chef était contesté, et il avait fait assassiner ceux qui ouvertement convoitaient sa place, se privant de la valeur de beaucoup des jeunes guerriers survivants. Les évadés furent accueillis avec une grande joie. Ceux-ci essayèrent de leur inculquer ce qu'ils avaient appris chez les Tauvs, mais parfois n'y arrivaient pas.

Zaya aimait faire l'amour, mais elle n'aimait pas que les hommes avec qui elle le faisait se l'approprient, elle n'aimait pas non plus que les hommes avec qui elle le faisait lui imposent sa façon de faire. Résultat : ou bien on l'évitait ou alors, après avoir baisé, les hommes la battaient pour tenter de lui imposer leur domination. Au moins chez les Tauvs, on ne la battait pas….

Seul Oulmar faisait exception, ils avaient fait une fois l'amour, et après, au lieu de dormir, ou de partir faire un tour, il l'avait caressé tendrement, cela lui avait donné d'étranges frissons, qui lui rappelait ceux qu'elle avait connus dans la caverne des Tauvs, et qu'elle aurait bien aimé connaître de nouveau.

Il fallait qu'elle devienne la femme d'Oulmar, sa femme principale, sa favorite et il fallait qu'Oulmar devienne chef. Pour la deuxième partie du plan, on verrait plus tard, mais la première partie, ce serait pour tout de suite.

Zaya expliqua à trois autres filles ce qu'elle attendait d'elles. Elles ne comprirent pas trop où elle voulait en venir. Mais Zaya, à défaut de jouir d'une bonne réputation avait de bons arguments, elles acceptèrent après pas mal de grognements et même quelques baffes.

Sa plus jeune sœur, elle, ne participerait pas, elle devait attendre le retour d'Oulmar et lui dire discrètement que Zaya l'attendait à la rivière…

Quand Oulmar rejoignit le village, la sœur de Zaya fut tellement discrète que Myar l'entendit !

Alors Oulmar rejoignit la rivière, ce n'était pas très loin. 

Les quatre femmes se baignaient nues dans l'eau courante, l'eau rendait les corps brillants, et la lourde poitrine dorée de Zaya renvoyait les rayons du soleil tel un fruit mur que l'on s'apprête à cueillir. 

Oulmar détacha son pagne, libérant sa bite déjà raide et ses couilles bouillonnantes de désir. Il s'approcha, mais perçu un grognement hostile derrière lui

Myar réclamait la priorité. Oulmar grogna ! Myar à son tour détacha son pagne libérant une pine monstrueuse, beaucoup plus longue et beaucoup plus grosse que le sexe d'Oulmar ! Ce dernier avança vers son rival, accentua ses grognements espérant que l'autre laisserait tomber devant sa détermination.

Non ça ne marchait pas ! Myar l'attendait prêt à en découdre. Il avait une tête de plus que lui et était autrement plus musclé, le combat était perdu d'avance ! Sauf peut-être à employer certains techniques apprises subrepticement chez les Tauvs. Et puis, il y avait autre chose, le chef avait interdit les combats internes. Ceux-ci finissaient souvent par la mort de l'un des protagonistes et affaiblissait la horde qui n'avait pas besoin de ça ! La dernière bagarre s'était terminée par l'intervention des proches du chef, qui firent périr le survivant dans d'atroces souffrances. Personne n'avait depuis recommencé. Myar comptait-il avec l'affaiblissement de l'autorité du chef, ou bien se sentait-il tout simplement invincible ?

Alors, Oulmar s'assit, signifiant à son rival qu'il refusait le combat et lui laissait la priorité. Myar s'approcha des quatre filles et son regard se fixa sur Zaya qui était devenue assez décontenancée. Myar grogna intimant l'ordre à la femme de l'accueillir. Il n'avait pas prévu que celle-ci ne l'entendrait pas de cette oreille. Elle grogna à son tour. Myar lui attrapa le bras, mais de celui resté libre Zaya lui retourna une sorte de manchette qui le déséquilibra ! Cela n'avait aucun sens, le combat était trop inégal ! Alors Zaya appela les trois autres filles qui se jetèrent sur lui, le tapant, le griffant, le mordant. Myar était vaincu par le nombre, ne parvenant pas à se dégager. A un moment l'une des femmes saisit une énorme pierre et s'approcha de l'homme à terre, avec la ferme intention de lui écrabouiller le visage !

- Non !

Oulmar cria ! Il était inutile de le tuer. Stupéfaite de cette intervention elles cessèrent, et Myar humilié s'enfuit sans toutefois se presser, se retourna parfois vers le groupe pour grogner sa haine…

Alors les quatre filles firent comme Zaya l'avaient voulu. Elles se positionnèrent l'une à côté de l'autre en se plaçant à quatre pattes, le cul cambré vers Oulmar. Lentement, presque imperceptiblement elles se mirent à onduler des fesses, puis à les caresser, certaines enduisaient auparavant leurs doigts de salive pour s'en imprégner le cul afin de le rendre plus luisant. Pas Zaya, elle n'avait pas besoin d'aller chercher si loin de quoi mouiller ses fesses, ce qui dégoulinait de sa chatte faisant parfaitement l'affaire.

Oulmar avait retrouvé son érection, il bandait superbement, apparemment les filles ne lui en voulaient ni d'avoir refusé de se battre avec Myar, ni d'avoir arrêté son lynchage. Par contre, il ne comprenait pas ce qu'il se passait. Pourquoi quatre filles ? Voulait-on le récompenser de cette façon pour cette chasse exceptionnelle dont tout le bénéfice lui revenait ? Dans ce cas il devrait honorer les quatre filles, les unes après les autres, mais il garderait la plus belle pour la fin, Zaya serait donc son dessert !

Pour Zaya c'était un test, mieux une épreuve, s'il commençait par elle, c'est que sa passion pour elle l'emportait sur ses simples pulsions sexuelles, et elle pourrait continuer à mettre ses plans à exécution, dans le cas contraire, elle envisageait de retourner chez les Tauvs.

Oulmar s'approcha, hésitant sur la fille qu'il besognerait en premier. Instinctivement il huma l'atmosphère, s'enivrant des odeurs environnantes. Mais bientôt une fragrance bien particulière domina tout le reste, l'odeur de la femelle en chaleur, et celle-ci n'avait qu'une seule source le sexe béant de Zaya d'où s'écoulait ce fort liquide. Oulmar jeta son visage entre les fesses de Zaya et commença à emplir ses narines de cette odeur qui l'enivrait, et qui même le faisait saliver, il ouvrit alors la bouche, et tira sa langue pour lécher le précieux liquide dont tous les poils de la fille étaient à présent imprégné, il léchait et Zaya ondulait du cul, gigotait, incapable de rester en place, elle se releva davantage offrant mieux son sexe à son partenaire. Oulmar continuait à lécher et entrepris de s'occuper à présent de sa chatte ouverte. Il devenait fou. D'un côté, il souhaitait s'enivrer de la chatte de Zaya pendant encore plus de temps, de l'autre il fallait bien qu'il libère ses couilles de l'énorme pression de plaisir qui de ne demandait qu'à s'échapper !

n26

Il résista encore, pour le plus grand plaisir de Zaya qui maintenant poussait des petits cris. Oulmar aimait l'entendre crier, cela changeait de ces femelles qui acceptaient l'homme avec un désintérêt complet ! Zaya eu bientôt envie d'uriner. D'abord elle se lâcha, puis se força à se retenir. Pendant ce court moment, elle aspergea néanmoins son partenaire, qui marqua à peine quelques secondes de surprises, avant de boire y compris çà, la pisse ne faisait que se mélanger à la cyprine et la sueur qui ruisselait de son intimité. Mais bientôt, l'état d'Oulmar devint insoutenable ! Il fallait jouir ! Là ! Maintenant ! Tout de suite. Il regarda sur sa gauche puis sur sa droite laquelle aurait l'honneur de son premier trait ! Peut-être celle-ci… Non celle-là ! Alors, incapable de se décider, il entreprit de rester sur place et pénétra violemment la chatte de Zaya. Le cœur de celle-ci se remplit de bonheur et tout à ses rêves, perçue à peine la jouissance fort rapide d'Oulmar ! 

Quand il se retira, elle se coucha sur le dos, les yeux plein de larmes de joie, offrant son corps de jeune femme heureuse aux rayons du dieu soleil. Oulmar pouvait maintenant besogner ses trois copines. Elle s'en foutait complètement.

Elle crut ce jour-là que sa capacité à tester et à comprendre les hommes était infaillible. Cela lui causa quelques menus soucis par la suite. Mais malgré tout, elle n'eut pas trop à se plaindre de la décision qu'elle prit ce jour de retour de chasse !

Certains diront sans doute que 20 000 ans plus tard et quelques milliards de femmes en plus, aucune d'entre-elles n'est jamais arrivée à savoir ce qui réellement se passait dans la tête des hommes… 

Oserais-je ajouter alors… "et vice-versa " ?

De Dontun. © 2000

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Vendredi 6 août 2021 5 06 /08 /Août /2021 10:32

Paroles de chieuses

correspondance historique par la Duchesse d’Orléans

 

Duchesse

Cet échange épistolaire entre la duchesse d’Orléans et l’électrice de Hanovre est absolument authentique (voir référence en bas de page)

 

La duchesse d’Orléans à l’électrice de Hanovre

 

Fontainebleau le 9 octobre 1694

 

Vous êtes bien heureuse d’aller chier quand vous voulez ; chiez donc votre chien de soûl. Nous n’en sommes pas de même ici, où je suis obligé de garder mon étron pour le soir ; il n’y a point de frottoir aux maisons du côté de la forêt. J’ai le malheur d’en habiter une, et par conséquent le chagrin d’aller chier dehors, ce qui me fiche, parce que j’aime à chier à mon aise, et je ne chie pas à mon aise quand mon cul ne porte sur rien. Item, tout le monde nous voit chier ; il y passe des hommes, des femmes, des filles, des garçons, des abbés et des suisses ; vous voyez par-là que nul plaisir sans peine, et que si on ne chiait point, je serais à Fontainebleau comme le poisson dans l’eau. Il est très chagrinant que mes plaisirs soient traversés par les étrons ; je voudrais que celui qui a inventé de chier, ne pût chier, lui et toute sa race, qu’à coups de bâton. Comment, mordi ! qu’il faille qu’on ne puisse vivre sans chier ! Soyez à table avec la meilleure compagnie du monde, qu’il vous prenne envie de chier, il faut aller chier. Soyez avec une jolie fille, une femme qui vous plaise ; qu’il vous prenne envie de chier, il faut aller chier ou crever. Ah ! maudit chier, je ne sache point de plus vilaine chose que de chier. Voyez passer une jolie personne, bien mignonne, bien propre, vous vous récriez : ah, que cela serait joli si cela ne chiait pas ! Je le pardonne à des crocheteurs, à des soldats, à des porteurs de chaises et à des gens de ce calibre-là. Mais les empereurs chient, les impératrices chient, le pape chie, les cardinaux chient, les princes chient, les archevêques et les évêques chient, les généraux d’ordre chient, les curés et les vicaires chient. Avouez donc que le monde est rempli de vilaines gens, car enfin, on chie en l’air, on chie sur la terre, on chie dans la mer, tout l’univers est rempli de chieurs et les rues de Fontainebleau de merde, car ils font des étrons gros comme vous, Madame, Si vous croyez baiser une belle bouche avec des dents bien blanches, vous baiser un moulin à merde ; tous les mets les plus délicats, les biscuits, les pâtés, les tourtes, les perdrix, les jambons, les faisans, tout n’est que pour faire de la merde mâchée, etc.

 

Réponse de l’électrice

 

Hanovre, 31 octobre 1694

 

electrice

C’est un plaisant raisonnement de merde que celui que vous faites sur le sujet de chier, et il paraît bien que vous ne connaissiez guère les plaisirs, puisque vous ignorez celui qu’il y a à chier ; c’est le plus grand de vos malheurs. Il faut n’avoir chié de sa vie, pour n’avoir senti le plaisir qu’il y a de chier ; car l’on peut dire que de toutes les nécessités à quoi la nature nous a assujettis, celle de chier est la plus agréable. On voit peu de personnes qui chient qui ne trouve que leur étron sent bon ; la plupart des maladies ne nous viennent que par faute de chier, et les médecins ne nous guérissent qu’à force de nous faire chier, et qui mieux chie, plutôt guérit. On peut même dire qu’on ne mange que pour chier, et tout de même qu’on ne chie que pour manger, et si la viande fait la merde, il est vrai de dire que la merde fait la viande, puisque les cochons les plus délicats sont ceux qui mangent le plus de merde. Est-ce que dans les tables les plus délicates, la merde n’est pas servie en ragout, ? Ne fait-on pas des rôties de la merde des bécasses des bécassines, des alouettes et d’autres oiseaux, laquelle merde on sert d’entremet pour réveiller l’appétit ? Les boudins, les andouilles et les saucisses, ne sont-ce pas des ragouts dans des sacs à merde ? La terre ne deviendrait-elle pas stérile si on ne chiait pas, ne produisant les mets les plus nécessaires et les plus délicats qu’à force d’étron et de merde ? Etant encore vrai que quiconque peut chier sur son champ ne va point chier sur celui d’autrui. Les plus belles femmes sont celles qui chient le mieux ; celles qi ne chient pas deviennent sèches et maigres, et par conséquent laides. Les beaux teints ne s’entretiennent que par de fréquents lavements qui font chier ; c’est donc à la merde que nous avons l’obligation de la beauté. Les médecins ne font point de plus savantes dissertations que sur la merde des malades ; n’ont-ils pas fait venir des Indes une infinité de drogues qui ne servent qu’à faire de la merde, il entre de la merde dans les pommades et fards les plus exquis. Sans la merde de fouines, des civettes et des autres animaux, ne serions-nous pas privés des plus fortes et meilleures odeurs ? Les enfants qui chient le plus dans leurs maillots sont les plus blancs et les plus potelés. La merde entre dans quantité de remèdes et particulièrement pour la brûlure. Demeurez donc d’accord que chier et la plus belle, la plus utile et la plus agréable du monde. Quand vous ne chiez pas, vous vous sentez pesante, dégoutée et de mauvaise humeur. Si vous chiez, vous devenez légère, gaie et de bon appétit. Manger et chier, chier et manger, ce sont des actions qui se suivent et se succèdent les uns aux autres, et l’on peut dire qu’on ne mange que pour chier, comme on ne chie que pour manger. Vous étiez de bien mauvaise humeur quand vous avez tant déclamé contre le chier ; je n’en saurais donner la raison, sinon qu’assurément votre aiguillette s’étant noué à deux nœuds, vous aviez chié dans vos chausses. Enfin, vous avez la liberté de chier partout quand l’envie vous en prend, vous n’avez d’égard pour personne ; le plaisir qu’on se procure en chiant vous chatouille si fort que, sans égard au lieu où vous vous trouvez, vous chiez dans les rues, vous chiez dans les allées, vois chiez dans les places publiques, vous chiez devant la porte d’autrui sans vous mettre en peine s’il le trouve bon ou non, et, marque que ce plaisir est pour le chieur moins honteux que pour ceux qui le voient chier, c’est qu’en effet, la commodité et le plaisir ne sont que pour le chieur. J’espère qu’à présent vous vous dédirez d’avoir voulu mettre le chier en si mauvaise odeur, et que vous demeurerez d’accord qu’on aimerait autant ne point vivre que ne point chier.

 

Il s’agissait donc d’un extrait de la correspondance complète de la duchesse Elisabeth-Charlotte d’Orléans (1676-1744) avec sa tante l’électrice Sophie de Hanovre (1630-1714), publiée par la Société littéraire de Stuttgart, On peut retrouver le fac-similé de ces correspondances sur Google book

 

Annexe :

 

Excusez ma vilaine écriture, la plume est déjà vieille, mais il y a bientôt 22 ans que je chie par le même trou et il n’est même pas encore déchiré, tous les jours je chie dedans et mord la crotte à belles dents… Qui peut donc avoir écrit ceci ?

 

Eh bien c’est tout simplement Wolfang Amadeus Mozart, l’immortel auteur de la Flute enchantée, de Don Giovanni, de Cosi Fan Tutte, de 41 symphonies, d’un magnifique Requiem et de plus de 600 autres œuvres)

 

Mozart écrivait donc à sa cousine qui pas du tout en reste lui fit cette réponse : « Porte toi bien mon amour et pousse toi le cul dans la bouche. Je te souhaite une bonne nuit mon mari, mais d’abord chie au lit et que ça pète ».

 

Autres temps, autre mœurs, la tabou de la scato en ces temps n’était tout simplement pas aussi « irrationnel » que de nos jours.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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