Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:12

Martinov 21 – Sex-machines – 7 – Les toilettes des dames par Maud-Anne Amaro

 

stamp ronde

Gérard a récupéré les adresses de Rondeval-Blancard et de Duplessis, il ignore si ce dernier habite chez lui ou chez son amant. Il lui faut pourtant choisir et accompagné de Florentine, il se rend chez Amaury et trouve porte close !

 

– On n’est pas venu à la bonne heure ! On attend dans la bagnole ou on fait un tour chez son copain ? Demande Florentine.

– On risque d’attendre longtemps ! On va aller voir chez son gros, à tous les coups on va le trouver.

 

Rondeval-Blancard tombe du placard quand Gérard Petit- Couture exhibe se carte (périmée mais ça ne se voit pas) de la DSGE.

 

– C’est à quel sujet ? Crane-t-il.

– C’est au sujet que c’est nous qui posons les questions : Il est où Duplessis ?

– Connais pas !

– On va s’en assurer ! Lieutenant vous tenez cette crapule en respect, je vais faire le tour du propriétaire !

– Mais enfin, c’est ridicule, vous vous trompez d’adresse ! Tente de protester Rondeval-Blancard.

– Héberger un espion ! C’est intéressant comme activité ?

– Mais quel espion ?

– Ta gueule !

 

Gérard effectue un premier tour et revient rapidement.

 

– Ce que vous faites est illégal, vous n’avez pas de mandat ! S’énerve Rondeval-Blancard

– T’aurais dit la vérité, j’aurais pas eu besoin de fouiller.

– Je connais des gens bien placés…

– Oui, on connaît la chanson, dis-moi, tu utilises deux lotions après-rasage différentes ?

– Et alors, c’est interdit ?

– Et il y a deux pyjamas différents sous les oreillers, l’un pour les jours pairs, l’autre pour les jours impairs je suppose !

– J’ai une amie qui couche à la maison de temps en temps, c’est interdit ?

– Et la lotion, c’est pour quand elle se rase la foufoune ? Tu te foutrais pas un peu de notre gueule, là ?

– Bon, vous avez fini ?

– Non ! La question est toujours la même : Où est Duplessis ?

– Je vous ai déjà répondu !

 

Pendant cet échange Florentine contrôlait les poubelles.

 

– C’est quoi ces trucs que t’as jetés ?

– Je faisais du ménage, des conneries que je gardais pour la brocante, mais c’est invendable.

– Et la ceinture en cuir toute neuve, elle aussi, elle est invendable ?

– Ah ? C’est une erreur !

– Bon, puisque t’as décidé de jouer au con on va faire deux choses : déjà donne-moi ton portable !

– Vous outrepassez vos droits !

 

Gérard sort son pistolet et y incorpore un silencieux.

 

– Non, je ne vais pas te tuer, mais je peux te tirer une balle dans les jambes.

– C’est ça, bluffez bien !

– Et ça c’est du bluff ?

 

La balle vient de fracasser le magnifique compotier en porcelaine qui trônait au milieu de la table.

 

– Salaud !

– La prochaine, c’est pour la vitrine là-bas ! Donne-moi ton portable !

 

A contre cœur, Rondeval-Blancard pose son portable sur la table !

 

– L’autre !

– L’autre ?

– Oui, t’en as deux !

– Mais enfin c’est quoi cette salade ? S’énerve le bonhomme en sortant le second portable de la poche de son pantalon.

 

Gérard parcourt rapidement la liste des correspondants téléphoniques :

 

– Amaury, ce ne serait pas Duplessis, dès fois.

– Une ancienne connaissance dont je ne veux plus entendre parler.

 

Manque de chance, un téléphone c’est très bavard, l’historique des communications montre que Rondeval l’a appelé plusieurs fois la veille.

 

– T’en as pas marre de mentir ?

– Dites-moi ce que vous cherchez et je collaborerais peut-être !

– On cherche Duplessis !

– Je vais vous donner l’adresse mais rendez-moi mes téléphones !

– On ne te demande pas l’adresse, on la connaît, on te demande où il est ?

– J’en sais rien, qu’est-ce qu’il a fait, d’abord ?

– Secret défense !

 

Gérard continue de consulter la liste des correspondants et le journal des appels, il est surpris de ne trouver aucune trace d’Anne-Lise ! Peut-être l’a-t-il répertorié sous un nom d’emprunt, mais il devrait trouver le numéro de téléphone ! Il se dit qu’il a dû effacer toute trace de la fille sur son téléphone, mais pourquoi ? Voilà qui ne manque pas d’inquiéter l’ancien agent de la DGSE.

 

– On peut savoir pour quelle raison tu as effacé toutes les données concernant Anne-Lise ?

– Je ne connais pas d’Anne-Lise !

 

Et cette fois Gérard s’énerve et envoie un pain au visage de Rondeval qui se met à saigner du nez d’abondance !

 

– Bon, on a assez perdu de temps avec ta gueule de con ! Alors juste un truc avant de partir, on n’est pas la police, on est la Sécurité du Territoire, quoiqu’on fasse on est couvert, on sait très bien tuer quelqu’un et faire croire à un accident ou à un suicide, on sait très bien aussi se débarrasser d’un cadavre. Alors un conseil Anne-Lise tu l’oublies complètement, tu fais comme si elle n’avait jamais existé, sinon ta mère, elle n’a pas fini de te chercher.

 

Rondeval-Blanquart n’en peut plus, il est choqué, hébété, tente de dire quelque chose mais n’y parvient pas, se demande qui est cette Anne-Lise ? Et dans quelle affaire louche aurait trempé Amaury ?

 

Gérard et Florentine s’en vont embarquant les téléphones ainsi que l’ordinateur portable.

 

De son côté, Amaury a soudain une idée : puisqu’il ne pourra pas demander à Anne-Lise de témoigner, pourquoi ne pas rechercher une fille pour tenir ce rôle ? Il s’assoit à la terrasse d’un café et liste ce qu’elle devrait dire et ce qu’elle devra répondre aux inévitables questions qu’on ne manquera pas de lui poser.

 

« Recrutée dans une agence d’escorts, expérience de l’espionnage industriel, tentative très poussée de séduction auprès du professeur Martinov, mais échec final de l’opération ! » Pas bien compliqué ! Maintenant, il fallait trouver la fille !

 

Pourquoi pas cette Sonia qui contre quelques billets avait fourni des renseignements à Rondeval ? D’autant que ce dernier lui en avait confié son numéro de téléphone « au cas où ».

 

En plus en la choisissant, le scénario se simplifiait, plus besoin d’invoquer l’agence d’escorts, ce qui évitait à Rondeval de se lancer dans une éventuelle vérification.

 

– C’est très facile, juste un jeu de rôle, il s’agit de témoigner en ma faveur auprès de Rondeval-Blancard, vous le connaissez je crois ?

– Non, ça ne me dit rien…

– Le monsieur qui vous a demandé des renseignements sur les machines de Laviron !

– Ah, Monsieur Pierre-Jean !

– C’est ça, Monsieur Pierre-Jean ! C’est bien payé, c’est sans risque et ça ne va pas durer longtemps ! On peut se rencontrer ?

– Quand vous voulez ! Aujourd’hui je ne travaille pas.

 

Bref il se rencontrent et Duplessis lui apprit son rôle ! Effectivement, ça paraissait très facile. Le seul problème était la tronche de Duplessis qui ne lui disait rien du tout, mais alors, vraiment rien du tout !

 

Par précaution, elfe téléphona à Béatrice :

 

– J’ai accepté parce que c’est facile et bien payé, mais je me demande si ça ne cache pas un coup fourré ?

– Tu dois dire quoi ?

 

Elle lui expliqua

 

– Effectivement, ça semble cacher quelque chose ! Mais quoi ? Et si je venais avec toi ?

– Ben…

– Ben oui, ça appuierait ton témoignage, je confirmerais que tu as bien couché avec Martinov…

– Faudra que je te donne un bout de ma prime !

– Non pas du tout, voilà ce que tu vas faire…

 

Sonia trouve l’idée intéressante et appelle Duplessis.

 

– J’ai pensé à une amélioration de votre petit plan…

– Il est très bien comme ça…

– Je peux peut-être en parler quand même, il se trouve qu’après la visite de Martinov et de son assistante, nous avons sympathisés.

– Ah bon ? Comment ça ?

– Peu importe les détails, mais, si on demandait à Béatrice de venir avec moi, ça renforcerait mon témoignage !

– C’est qui Béatrice ?

– L’assistante de Martinov !

– Et vous croyez qu’elle serait d’accord ?

– Si vous la payez, oui, elle est assez vénale !

– Quel monde pourri ! D’accord ça marche, mais je voudrais quand même voir la personne, j’apporterais l’argent !

 

Amaury se rend bien compte qu’après avoir payé les filles, son compte en banque sera à zéro, et qu’il en sera réduit à vivoter jusqu’au prochain versement de l’aide sociale. Mais si le stratagème fonctionne, et pourquoi ne fonctionnerait-il pas, son retour en grâce auprès de Rondeval devrait régler tout ça !

 

Lundi 18 février

 

Et rendez-vous fut pris au Café des Mésanges, dans le quartier Saint-Lazare en fin d’après-midi après que Beatrice soit revenue de Louveciennes.

 

Gérard et Florentine ont en vain été sonner de nouveau chez Duplessis !

 

– Où il est ce con ? On va attendre en bas, il ne faudrait pas que Rondeval-Machin le prévienne…

 

Et peu de temps après, ils recevaient un coup de fil de Béatrice qui lui exposait les derniers évènements.

 

– Super ! Je vous laisse négocier avec cette crapule, j’interviendrai quand vous en aurez terminé.

 

A 18 heures trente, Sonia, Béatrice et Duplessis assis autour d’une table en terrasse ont tôt fait de se mettre d’accord. L’homme n’en revient pas de la chance qu’il a avec le renfort inespéré de Béatrice ! Si tout se passe bien, Pierre-Jean Rondeval-Blancard devra faire amende honorable et l’accueillir de nouveau dans son lit !

 

– J’espère pouvoir avoir confiance en vous, dans le cas que j’espère improbable où vous vous défileriez, vous me seriez redevable de cet argent, bien évidemment.

– Ne vous inquiétez pas !

– Quand ce sera fait vous m’appellerez à ce numéro, vous me donnerez juste un ou deux détails sur la déco de son appartement, pour que je sois certain que vous y êtes allé… et on en restera là !

 

Tout étant au point, le trio se sépare, Béatrice et Sonia s’en vont bras dessus bras dessous… pas très loin ! Puis reviennent au bistrot dès que Duplessis est hors de vue.

 

– Viens, on va se laver les mains ! Dit Béatrice

– Je t’attends là…

– C’est dommage, on aurait pu se faire un gros bisou !

– Alors je viens !

 

Il n’y a personne dans ces toilettes pour dames assez exiguës comprenant un petit lavabo et une cabine. Béatrice se jette au cou de Sonia et les deux femmes se roulent une galoche d’enfer tout en se pelotant un peu partout.

 

La suite éventuelle aurait dû se passer dans la cabine, mais parfois les impondérables…

 

– Ne vous dérangez pas pour moi, c’est très mignon ce que vous faites ! Prononça une voix féminine un peu rocailleuse.

 

Du coup Béa et Sonia, stupéfaites, cessent leur étreinte. Elles dévisagent l’intruse, brune à lunettes, autour de la quarantaine, très joli visage mais corps assez enveloppé.

 

– Mais continuez donc, c’est très agréable de voir deux charmantes jeunes femmes se donner un peu de plaisir.

 

Les deux blondinettes ne savent quoi rétorquer d’autant que la « dodue » n’est absolument pas agressive et affiche un sourire désarmant.

 

– Je suppose continue celle-ci, que vous venez juste de vous rencontrer, un coup de foudre, quoi ? Je m’en voudrais de vous perturber, mais je me disais juste que parfois quand il y en a pour deux, il peut y en avoir pour trois.

– Mais…

– Juste deux minutes et après je disparaitrai, promis, juré !

– Vous êtes drôle vous ! Lui dit Sonia.

– Disons que je tente juste ma chance.

– Et vous voudriez quoi ? Que je vous embrasse ? Alors qu’on ne se connait même pas !

– Ce serait plutôt sympa, non ?

– Alors vous, vous êtes trop !

– N’est-ce pas ?

– Vous pensez que je vais me dégonfler ? Lui lance Sonia

– Viens me roulez un patin, ma jolie, viens gouter à ma bonne langue.

 

Et l’instant d’après devant les yeux incrédules de Béatrice, Sonia enlaçait l’inconnue en échangeant un baiser profond, tandis que ses mains pelotait ses énormes mamelles à travers le tissus de son haut.

 

L’affaire dura bien une minute et quand elle fut terminée, la brune se tourna vers Béatrice.

 

– Et vous, ça vous tente ?

– Non merci !

– Fais-le lui dit Sonia, c’est amusant et en plus elle embrasse bien.

 

Du coup Béatrice se laissa faire, après tout elle avait déjà fait ce genre de choses pas mal de fois en boite de nuit.

 

– Humm, vous m’avez bien excité, les poulettes ! Je vais vous laissez… à moins qu’on se fasse cinq minutes de cabine.

 

Sans se concerter les trois femmes entrèrent dans cette cabine agrandie suivant les nouvelles normes permettant l’accès aux handicapés. Au moins ne se cogneraient-elles pas les os !

 

– Je vais vous montrer mes gros nichons, j’aime bien qu’on me lèche les pointes, ça m’excite ! Oh la la !

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La nana semble complètement partie dans son trip, soulève son haut, puis fait sauter les bonnets de son soutien-gorge dégageant d’énormes loches. Béa et Sonia après s’être concertées du regard acceptent d’entrer dans son délire et viennent lui téter les tétons, l’une à droite, l’autre à gauche.

 

– Oh, là là, qu’est-ce que c’est bon ce que vous me faites, les filles !.

 

Mais au bout d’un moment, le rouge aux joues, les yeux convulsés, elle se dégage, baisse pantalon et culotte et s’en va s’assoir sur la cuvette en écartant les cuisse et en exhibant sa chatte baveuse. Elle se tripote aussitôt en gémissant.

 

– C’est bon, c’est bon… aidez-moi à jouir, les poulettes.

 

Sonia n’hésite pas et vient s’accroupir entre ses cuisses, tandis que Béatrice s’occupe de ses seins. Quelques secondes plus tard l’inconnue à lunettes jouissait dans un geyser de mouille. Sonia maintient la position et la boit à la source.

 

– Attends, je vais pisser ! Préviens la dodue !

– Et bien pisse, ma grande, j’adore ça !

– T’es une vraie cochonne, toi !

– Oui parfois ! Alors tu pisses ou t’attends le retour des hirondelles ?

– Hi ! Hi ! Une seconde je me concentre.

 

Le jet doré fuse. Sonia en avale une bonne rasade.

 

– Humm, elle est délicieuse sa pisse ! Tu veux gouter, Béatrice ?

– Oui !

 

Elle allait se baisser pour prendre la place de sa complice, mais cette dernière à une autre idée, elle en absorbe une nouvelle rasade mais la conserve en bouche, puis sollicite les lèvres de Béatrice afin de lui en reverser le contenu.

 

La brune semble pressée d’en finir, elle s’essuie la chatte, remet de l’ordre dans ses habits et se dirige vers la porte.

 

– Merci les filles, c’était génial ! Dit-elle en disparaissant

 

Béatrice et Sonia éclatent de rire.

 

– On s’en souviendra de celle-là !

– Oui mais maintenant je suis excitée comme un acarien au salon de la moquette ! Répond Béatrice

– Moi aussi, mais on n’a plus le temps de faire grand-chose !

– La journée n’est pas fini, on devrait avoir l’occasion de s’amuser…

 

Gérard jusque-là planqué pas très loin en compagnie de Florentine, suit Duplessis qui s’engouffre dans l’entrée piéton du parking souterrain du coin. Après avoir dévalé pas mal d’escaliers, il rejoint son véhicule

 

– Monsieur Duplessis ?

– Oui, mais…

– On s’est déjà rencontré furtivement, hier soir…

– Attendez…

– Le souci, c’est que j’ai pas eu le temps de te casser la gueule.

 

Et alors que Duplessis se demande comment se tirer de mauvais pas, Gérard lui envoie un coup de poing dans l’estomac qui le fait se plier en deux. Et alors qu’il reprend à peine son souffle un second coup lui éclate le nez !

 

Gérard sort alors sa carte :

 

– Sécurité du Territoire, c’est juste un avertissement la prochaine fois que tu t’en prends à l’agent R312, je te tire une balle dans les couilles.

– C’est une erreur !

– Non, elle se fait parfois appeler Anne-Lise !

– Mais…

– Maintenant donne-moi ton téléphone et les clés de ta bagnole ! Et ne prends pas mes menaces à la légère, je suis comme James Bond, j’ai un permis de tuer.

 

Gérard et Florentine laissèrent le bonhomme complètement anéanti, puis rejoignirent Béatrice et Sonia qui étaient revenues s’asseoir à la terrasse après leur aventure aux toilettes.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:09

Martinov 21 – Sex-machines – 6 – Les errances de Duplessis par Maud-Anne Amaro

Trio2

 

Le professeur Martinov attend un certain temps que tout le monde soit prêt, puis les pizzas étant livrées, pose la question qui lui brûle les lèvres !

 

– Tu me conseillerais quoi, Gérard ?

– Rien !

– Mais, je croyais que tu avais une idée ? S’étonne Béatrice.

– Je vais essayer de résumer la situation : Laviron vous demande un truc et légalement vous ne pouvez pas vous rétracter, alors il faut honorer le contrat, mais sans fignoler, sans faire de zèle, juste le minimum syndical. Maintenant voyons les personnes qui auraient aimé voir saboter le machin : d’abord cette Sonia que je n’ai pas le plaisir de connaître, mais que vous avez l’air d’avoir en grande sympathie…

– N’exagérons rien ! Bredouille Martinov.

– Faux cul ! Le vanne Béatrice

– Disons alors simplement qu’elle vous est sympathique ! Or Béa nous a dit qu’elle comprenait parfaitement que vous ne puissiez accéder à sa demande, donc de ce côté, plus de problèmes. En fait elle voudrait se venger de la conduite de Laviron, je suis sûr qu’il y a d’autres moyens de le faire que de saboter ses machines. Si j’ai une idée, je vous la soufflerais.

– C’est indiscret si je vous demande qui est cette Sonia ? Demande Anne-Lise.

 

On lui explique donc la chose !

 

– Reste Rondeval-Machin et son zèbre ! Reprit Gérard. De ce côté-là le danger est bien moindre que ce que je supposais : ce ne sont jamais que deux aigris, je me fais fort de leur foutre la trouille de leur vie et ils ne viendront plus vous emmerder ! Je suppose que tu aimerais que je te rende ce petit service ?

– Ben ma foi…

– Quant à toi chère Anne-Lise, ils ne t’emmerderont pas non plus, je ferais d’une pierre deux coups.

– Je ne te demande pas comment tu vas opérer ? Intervient candidement Anne-Lise.

– Non, non ne me le demande pas ! Répond Gérard, hilare.

 

Celui-ci n’allait tout de même pas dévoiler ses petits secrets à cette quasi-inconnue !

 

– Je vais juste perdre mon fric ! Se lamente un peu Anne-Lise.

– Tu n’as pas été payée ?

– La moitié !

– Je suppose que la seconde moitié était liée à une obligation de résultat ?

– Tu supposes très bien !

– Et tu crois qu’en cas de résultat il te l’aurait donné ?

– Je me suis effectivement posé la question, mais seulement après !

– Donc, t’as rien perdu !

– J’avais quand même un petit espoir !

– T’es trop gentille, toi !

– Je lui dis quoi au mec ?

– Le minimum, déjà tu refuses de le rencontrer. Au téléphone tu lui dis que tu pensais y arriver et que Martinov s’est finalement déballonné, et qu’en ce qui te concernes, tu lâches l’affaire. Tu ne réponds à aucune question et tu ne prends plus ses appels. Je te laisse ma carte, si t’as besoin, je serais là.

 

Et après avoir bien grignoté, Gérard et Florentine prirent congé, emmenant Anne-Lise avec eux comme convenu.

 

Amaury Duplessis est un anxieux, après que son amant lui ai fait part de son entrevue orageuse avec le professeur Martinov, il s’est fait fort de redresser la situation, il a tout de suite pensé que ce vieux barbichu pouvait être corrompu avec une bonne dose de sexe et de chantage aux sentiments. S’il réussissait, comme son amant serait fier de lui ! Seulement, il ne fallait pas que ça foire !

 

Il avait donc tout misé sur cette Anne-Lise dégotée dans une agence spécialisée.

 

Amaury Duplessis

 

Petit flash-back (13 février)

 

Amaury est un impulsif, le genre à agir d’abord et à réfléchir après et c’est exactement ce qui s’était passé quand il avait engagé la fille.

 

L’esprit d’escalier avait fait son œuvre et après l’entretien, il s’était demandé si vraiment elle avait la capacité d’obtenir le résultat espéré !

 

L’entretien téléphonique après la première rencontre entre Anne-Lise et le professeur Martinov ne l’avait guère rassuré. Quand il lui avait expliqué ce qu’il attendait d’elle, il ne l’avait pas « senti » !

 

« Elle ne va pas y arriver, je n’ai plus le budget pour la remplacer ! Si ça foire, Pierre-Jean sera trop déçu, il faut que je trouve un moyen de faire pression sur elle ! Lui foutre la trouille ? Non, elle n’a déjà pas trop l’air rassurée et c’est le meilleur moyen de lui faire jouer double jeu. Bon peut-être que ça va marcher quand même, mais comment m’en assurer ? La suivre ? Et il me viendra peut-être une idée ! »

 

Alors il enfourcha sa moto et se mit en planque devant chez elle. Pas vraiment devant chez elle mais devant l’immeuble où elle possédait une boite aux lettres ! Il l’a vit arriver, ressortir presque aussitôt, entrer dans une chocolaterie, puis se rendre Gare Saint-Lazare, il comprit qu’elle se rendait chez le professeur Martinov !

 

« C’est bon signe, mais je peux aller jeter un coup d’œil. En moto je serais sur place avant elle. »

 

Il la vit arriver, il vit aussi Béatrice s’en aller.

 

« Ça se présente bien, ils vont pouvoir draguer ! »

 

Il attendit une heure puis repartit partiellement rassuré.

 

14 février de nouveau

 

Le lendemain il l’appela, quand elle lui annonça que l’affaire était en bonne voie mais qu’elle n’avait aucune certitude sur la suite, il se remit à baliser.

 

Comme la veille, il l’a suivi et la vit arriver chez Martinov. Ne sachant que faire, il attendit un peu. Vers 11 heures, Béatrice sortit !

 

« Ah, c’est bon signe ! Je reste encore un quart d’heure et je file : »

 

Mais alors qu’il s’apprêtait à démarrer, il vit Béatrice rentrer avec un sac de courses !

 

– C’est quoi ce bordel, ils ne vont pas rester à trois, ils vont faire quoi ?

 

Du coup il resta perché sur sa moto jusqu’en fin d’après-midi. Quand il vit débarquer Gérard et Florentine, il se dit qu’Anne-Lise allait sortir ! Sauf qu’elle ne sortit pas !

 

« Ça m’énerve, ça m’énerve ! Je veux savoir ce qui se passe ? »

 

C’est à 22 heures bien tassées, que Gérard et Florentine ressortirent… accompagnés d’Anne-Lise !

 

« Qu’est-ce que ça veut dire ? A quoi joue cette garce ? »

 

Il fait démarrer sa moto et décide de suivre la voiture sans plan précis mais fort énervé.

 

Arrivés à la mairie du 18ème, Anne-Lise prévient :

 

– Laissez-moi là, j’habite à 200 mètres.

 

La voiture s’arrête, bisous, bisous, la jeune femme descend. Amaury stoppe sa moto et va au-devant d’elle.

 

Gérard, sentant la fatigue le gagner demande à sa compagne de prendre le volant. Ils permutent donc leur place et c’est à ce moment que Florentine aperçoit la scène dans le rétroviseur :

 

– Putain ! Anne-Lise est en train de se faire agresser !

 

Se prenant pour un super héros, Gérard se précipite :

 

– Fais attention ! Lui crie Florentine.

 

Mais Gérard est déjà sur place :

 

– Tu vas lui foutre la paix, connard !

– Mêlez-vous de vos affaires ! Répond Amaury en reculant d’un pas.

– Tu dégages ou je t’en colle une !

– Mais enfin !

 

Gérard se fait menaçant, l’autre détale, mais ne va pas bien loin, allant se camoufler au coin de la première rue.

 

« Je vais attendre que cet imbécile s’en aille et je vais coincer la fille chez elle, il faudra bien qu’elle me dise à quel jeu elle est en train de jouer ! »

 

– Ça va aller ? Pas de bobos ? Demande Gérard.

– Il m’a quand mémé foutu une baffe ! Il paraissait excité comme un pou ! J’ai rien compris de ce qu’il me racontait.

– Il ne t’as rien pris ?

– Non, c’est pas ça…

– Bin, il doit être loin maintenant.

– S’il trouve mon adresse je suis mal !

– Mais il s’en fout de ton adresse, c’est juste une petite frappe !

– Tu ne comprends pas ! Ce mec, c’est celui qui m’a demandé de soudoyer Martinov.

– Quoi ? C’est Amaury ?

– Oui.

– Mais il voulait quoi ?

– J’en sais rien !

– Bon alors dans ce cas, on t’emmène, tu coucheras chez nous.

 

Amaury voyant la jeune femme réintégrer la voiture devient fou de rage, il peste, il tempête, il éructe. Sans trop réfléchir il se met à suivre le véhicule conduit par Florentine.

 

Gérard et sa compagne habitent dans la Somme, mais possèdent une « garçonnière » à Paris, en fait un grand studio. Il n’y a pas de parking et la voiture se gare le long du trottoir.

 

Le trio sort du véhicule, se dirige vers l’entrée de l’immeuble et y pénètre.

 

Amaury, à l’affût ne peut rien faire d’autre que de noter l’adresse. Fou de rage et ne se contrôlant plus, il revient vers sa moto et s’empare d’une énorme clé anglaise qu’il conservait dans l’une des pochettes de sa bécane, puis il se rue à bras raccourcis sur la voiture de Gérard qu’il commence à massacrer !

 

A peine rentré dans le studio, le trio entend des bruits étranges venant de la rue.

 

On se précipite aux fenêtres :

 

– C’est un taré qui est en train de démolir la bagnole ! Appelle la police ! S’énerve Gérard.

– C’est le même que tout à l’heure ! Précise Anne-Lise !

 

Gérard enregistre l’information, sort du studio, mais n’a pas la patience d’attendre l’ascenseur et dévale les escaliers quatre à quatre.

 

Il y a du monde aux fenêtres qui invective le sacripant, Amaury en a cure et continue à bastonner la pauvre automobile.

 

Une voiture de police patrouillait non loin de là, elle déboule toutes sirènes hurlantes, les flics ont tôt fait de maîtriser l’individu et de le menotter.

 

– Le propriétaire du véhicule est là ? Demande un policier.

– Oui c’est moi ! Répond Gérard.

– Vois connaissez cet individu ?

– Pas du tout.

– Je suppose que vous allez porter plainte, passez au commissariat demain matin.

 

– Bon demain, je vais avoir du boulot, prévenir un garagiste, allez chez les poulets… Mais l’Amaury il va se souvenir de moi ! Ça va chauffer !

– T’énerve pas mon biquet ! Lui dit Florentine, je te sers un whisky.

– Oui !

– Toi aussi, Anne-Lise ?

– Oui ça me fera peut-être du bien ! Quel dommage, la soirée avait été géniale, ce con est venu tout gâcher.

– Tu voudrais quelque chose pour te détendre ? Un petit massage ?

 

Anne-Lise qui est loin d’être folle a parfaitement compris le message, sous prétexte de détente, Florentine, décidemment insatiable ne serait pas contre encore un peu de sexe. Bien sûr, l’escort-girl pourrait refuser, prétexter une migraine, mais elle préfère se montrer gentille avec ce couple qui ce soir lui a évité d’être brutalisée par un cinglé.

 

« Et ça va encore être du sexe à l’œil ! Mais je ne me vois pas leur réclamer des sous ! »

 

– Un petit massage ou un petit câlin ? Répond-elle alors.

– C’est comme tu veux ! Viens donc m’embrasser !

 

Le baiser, comme on s’en doute, fut profond et baveux et les mains se firent baladeuses.

 

Gérard, à la vue de ce spectacle se mit à frétiller de la braguette. Mais pour le moment Anne-Lise préférait rester en tête à tête (pardonnez-moi l’expression) avec Florentine.

 

– Finalement je veux bien un massage ! Déclara-t-elle.

– O.K. je vais chercher ce qu’il faut !

 

Florentine revint avec une serviette de bain qu’elle étala sur le canapé, puis demanda à l’escort-girl se s’y coucher nue sur le ventre.

 

Gérard se leva et alla pour s’approcher

 

– Non, non ! Lui dit Florentine, toi tu restes assis et tu ne bouges pas, tu as juste le droit de te branler.

 

Très joueur, l’homme accepta ce rôle tandis que sa compagne disparut une nouvelle fois pendant quelques instants.

 

Quand elle réapparût, elle s’était affublée d’une blouse blanche non boutonnée avec rien en dessous.

 

– Et voilà, j’ai l’air d’une vraie masseuse, maintenant on y va ! Humm quel cul d’enfer tu te paies !

– T’as vu ça !

– Humm !

 

Et Florentine accompagna son appréciation en claquant le fessier de la belle, une claque plus symbolique que méchante.

 

– Si tu as envie de me donner la fessée, ne te gêne pas !

– Ah, oui ? Tu aimes plein de choses, toi ?

– Plein !

– Tiens ça t’apprendra à vouloir des fessées ! Lui dit-elle en claquant « pour de vrai » cette fois ci !

– Vas-y ! Fais-moi un cul tout rouge !

– C’est ce que je fais ! Tiens salope !

– Continue, tape-moi sur les fesses, insulte-moi, ça m’excite !

– Tiens, morue, tiens chiennasse !

– Continue ! Aïe ! Mais fais gaffe, tout à l’heure je me vengerais peut-être.

– T’as le droit, ma biche !

 

Au bout d’un moment Florentine cessa sa série de fessées, non pas parce que le jeu ne lui plaisait plus, mais parce qu’à force de taper ses mains devenaient douloureuses.

 

– Qu’est-ce que tu fais, toi, là-bas ! Demanda-t-elle en, interpellant Gérard.

– Ben, tu m’as dit de me branler, alors je me branle ! N’hésitez pas à m’appeler si vous avez besoin de moi !

 

Florentine écarte maintenant les fesses d’Anne-Lise afin d’avoir accès à son mignon petit trou.

 

– Après la douleur, la douceur ! Commenta-t-elle en y appliquant sa langue.

– Hum !

– Quel endroit délicieux !

– D’autant que je ne me suis pas bien essuyé le derrière… Plaisanta l’escort.

– Menteuse, on a pris une douche ensemble. Regarde donc ce que je sors de ma poche !

– Oh ! Maman ! Un gode ! J’ai peur qu’on me le mette dans le cul ! Sa gausse Anne-Lise

– Hi, hi, je vais t’enculer, petite vicieuse !

– Tant qu’à faire j’aurais préféré que ce soit Gérard qui le fasse.

– Chiche !

– Je parlais sérieusement !

 

Alors Florentine appela son compagnon à la rescousse, celui-ci ne put décemment refuser ce qu’on lui demandait de faire. Il s’approcha de la belle qui se mit en position afin de faciliter l’introduction et lui pénétra l’anus de sa bite bien bandée.

 

Martino21F

 

Florentine se retrouvait donc momentanément hors-jeu avec un gode dans la main, devenu inutile. Inutile, c’est bien mal la connaître, le gode, elle l’enfonça dans le cul de Gérard. L’enculeur se retrouvant ainsi enculé à son tour.

 

Anne-Lise bien chauffée ne tarda pas à crier sa jouissance, ce qui excita notre Gérard qui du coup redoubla d’effort et finit par cracher son sperme tandis qu’au même moment Florentine lui retirait brusquement le gode qu’elle lui avait planté dans le cul.

 

– Bon, quelqu’un s’occupe de moi, où je me termine toute seule ? Demanda cette dernière.

 

– Tu voudrais un peu de mon pipi ? Lui demande Anne-Lise.

– Oh, oui, s’il est aussi bon que tout à l’heure, je vais me régaler !

 

Elle ne put lui offrir que quelques petites gouttes, mais la jolie mature s’en pourlécha les babines.

 

Puis, bon prince, Gérard vint la doigter avec énergie tandis qu’Anne Lise lui suçaillait les nichons.

 

Vendredi 15 février

 

Le lendemain Gérard téléphonait au professeur Martinov, lui narrait sa mésaventure et concluait en ces termes :

 

– Désormais entre Amaury Machin-chose et moi, c’est maintenant une affaire personnelle !

 

Amaury est placé en garde à vue, il a droit à une communication téléphonique, il joint donc son mentor qui était fou d’inquiétude.

 

– Je suis au poste, j’ai un peu pété les plombs avec un automobiliste…

 

Mais il se demande ce qu’il va lui raconter quand il sera libéré ! Il en est malade !

 

On ne lui trouve ni alcool, ni substance dans le sang, mais son casier judiciaire fait mention de plusieurs délits liés à des manifestations d’éléments factieux.

 

Interrogé il prétend s’être énervé après « un chauffard qui lui a refusé la priorité ». Les flics ne creusent pas davantage, ils ont d’autres choses à faire !

 

Samedi 16 février

 

Après vingt-quatre heures de garde à vue, on libère Amaury Duplessis, non sans l’avoir inculpé comme il se doit.

 

– Qu’est-ce t’as foutu ? Lui demande Pierre-Jean Rondeval-Blancard

– Je te l’ai dit !

– Je trouve ça bizarre ! C’est pas vraiment ton truc de te coltiner un chauffard !

– Oui, mais celui-là il m’avait trop énervé !

– Et qu’est-ce que tu foutais en bagnole dans les rues de Paris à cette heure-là, j’ai essayé de te joindre et ça ne répondait jamais.

– La batterie de mon téléphone était déchargée !

– Ben voyons ! Tu sais ce que je crois ?

– Non ! Répondit Amaury peu rassuré.

– T’as voulu draguer un minet et ça s’est mal passé, alors tu t’es vengé sur la bagnole du mec.

– N’importe quoi !

 

Et là Amaury est effondré, lui qui s’était démené comme un bon diable pour essayer de satisfaire son amant, voilà que celui-ci ne trouvait rien de mieux que de lui faire une crise de jalousie.

 

– T’es trop injuste ! Pleurnicha Amaury

– C’est moi qui suis injuste ? Avec tout ce que j’ai fait pour toi, tu ne trouves rien de mieux à faire que d’aller sucer la bite de n’importe qui et de me mentir comme le dernier des salopards !

– C’est toi le salopard ! Tu m’accuses sans savoir !

– Et le respect tu connais, pédale ! Répliqua Rondeval-Blancard en lui adressant une double paire de gifles.

– Ouin !

– Tu prends tes affaires, tu me rends mes clés et tu te casses.

– Si tu me laissais juste le temps de m’expliquer cinq minutes !

– Tu fermes ta gueule et tu te casses !

 

Des affaires, il n’en avait pas tant que ça, Duplessis n’habite pas là, il ressemble les vêtements de rechange et le nécessaire de toilette entreposé ici, il ne sait même pas comment les emporter.

 

– T’aurais pas un sac en plastique ? Bredouille-t-il.

– Démerde-toi.

– Je vais voir dans la cuisine.

 

Il y va ! Quand il revient, son désormais ex-amant l’interpelle :

 

– Tu prends aussi les merdes que j’ai posé sur la table, sinon ça va partir à la poubelle.

 

Sur la table il y a un coffret C.D. des œuvres complètes de Didier Barbevilain, un ouvrage in-folio illustré sur la division Charlemagne et une ceinture en cuir de grande marque.

 

« Le salaud, il me rend mes cadeaux ! »

 

L’humiliation est à son comble. Duplessis est au bord des larmes, il laisse les objets sur la table et gagne la porte.

 

– Les clés !

 

Il les jette à terre, dévale l’escalier, s’arrête au premier pallier et se met à chialer comme une madeleine.

 

Il erre dans les rues, brisé, humilié, désespéré.

 

« C’est de quel côté la Seine ? »

 

Son envie de se suicider est soudainement contrariée par une immarcescible envie de pisser. Evidement il ne trouve aucune sanisette de libre, alors il va dans un bistrot, et s’assoit en attendant qu’on prenne sa commande.

 

Choqué, il tente tant bien que mal de clarifier la situation dans son esprit. Il sait la rupture irréversible, Rondeval-Blancard est un de ces hommes qui se figure qu’être entier est une qualité alors que ce n’est qu’une des facettes de la suffisance et de la psychorigidité. A la rigueur, une seule chose pourrait le faire changer d’avis : que cette Anne-Lise lui apporte elle-même sa version des faits ! Mais comment faire ? Comment lui demander cela après l’avoir giflé et insulté ? L’argent bien sûr puisque c’est une pute ! Encore faut-il qu’elle accepte de l’écouter !

 

Il l’appelle, elle décroche mais c’est pour raccrocher aussitôt dès qu’elle reconnait sa voix.

 

Alors il lui envoie un long message dans lequel il s’excuse platement mais maladroitement n’ayant guère l’habitude de ce genre de situation. Et il termine en ces termes :

 

« Je passe donc sur l’échec de votre mission, je peux comprendre que ce sont des choses qui peuvent arriver, je vous en propose une autre plus simple et au même prix, je rappellerai dans une heure pour connaître votre réponse. »

 

– Ça sent le piège à plein nez ! Dit Anne-Lise en montrant le message à Gérard Petit-Couture.

– Il commence à nous emmerder, mais il va pas nous emmerder longtemps !

 

Une heure plus tard, Anne-Lise raccrochait de nouveau au nez de Duplessis.

 

Ce dernier eut alors l’idée de se faire aider par l’agence d’escorts dans laquelle il avait dénichée la fille.

 

– J’ai été très mécontent des prestations de cette Anne-Lise que vous m’aviez pourtant fortement recommandé !

– D’habitude on ne s’en plaint pas ! Que voulez-vous on ne peut pas plaire à tout le monde !

– Vous prenez bien ça à la légère, vous m’aviez pourtant affirmé que cette fille excellait dans les missions d’espionnage !

– N’importe quoi, c’est une agence d’escorts ici, c’est pas la C.I.A.

– Mais…

– Laissez-moi parler. Je me souviens de notre conversation : vous m’aviez dit que vous souhaitiez une fille capable de tirer les vers du nez à un tiers, je vous ai simplement répondu que j’avais une escort qui avait déjà pratiqué ce genre de choses et ç’est tout !

– C’est pareil !

– Non, ce n’est pas pareil et je vous fais remarquer que ce qui se passe entre l’escort et le client ne me regarde pas, sinon il y a des lustres que je serais tombée pour proxénétisme ! Vous voulez quoi ? Que je vous rembourse ? Il n’en est pas question ! Porter plainte ? Je vous souhaite bien du plaisir ? Non ? Autre chose ?

– Oui, que vous intercédiez afin qu’elle accepte un nouveau rendez-vous avec moi !

– Vous êtes mécontent de ses services et vous désirez avoir un nouveau rendez-vous avec elle ?

– Je me suis mal expliqué…

– Bon, vous dégagez s’il vous plait !

– Je ne vous demande pas la lune !

– Si vous n’êtes pas dehors dans trente secondes, j’appelle l’agent de sécurité !

– Salope !

 

Madame Louise se tourna alors vers son associée et amante :

 

– Règle numéro un : On ne négocie pas avec les râleurs, on les vire !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:05

Martinov 21 – Sex-machines – 5 – Partouze à Louveciennes par Maud-Anne Amaro

Stamp secretaire

 

Jeudi 14 février

 

Comme la veille, Anne-Lise avait demandé à Martinov de l’héberger pour la journée afin de donner le change.

 

– Mais je m’en irais ce soir, il faut que je passe chez moi me changer…

 

En arrivant Béatrice avisait le professeur de sa rencontre avec Gérard Petit-Couture

 

– S’il nous trouve une idée, c’est qu’il est plus fort qu’Hercule Poirot ! Commente Martinov.

– Moi, j’ai tendance à lui faire confiance.

– On verra bien ! Répondit le professeur, fataliste.

 

En fin d’après-midi, alors que Béatrice vient juste de partir, et qu’Anne Lise se prépare à son tour, Gérard téléphone :

 

– Bonjour mon vieux Martinov ! J’ai du nouveau dans cette affaire Laviron, une idée que je ne trouve pas si mal ! On peut passer pour en parler ? Je peux être chez vous dans une demi-heure !

– Mais avec grand plaisir !

– Je suis avec Florentine !

– Super !

 

Martinov appelle Béatrice sur son téléphone portable :

 

– Gérard et Florentine se pointent, tu peux revenir ?

– Ça va encore tourner en partouze cette affaire-là !

– C’est comme tu veux !

– J’arrive !

 

Le professeur demande alors à Anne-Lise de rester un peu.

 

– Ce sont des amis, ils disent qu’ils ont une idée pour démêler cette sombre histoire.

– Ah ! Des amis comment ?

– Ils sont sympas comme tout, ne t’inquiètes pas !

– Je reste juste cinq minutes pour faire connaissance alors !

 

Un peu plus tard que prévu, Gérard Petit-Couture et sa compagne sonnait au domicile du professeur Martinov.

 

Il nous faut décrire Florentine à l’attention de ceux qui n’ont pas lu les épisodes la concernant ou qui ont tout oublié.

 

1,75 mètre, un visage ravissant, presque la cinquantaine mais remarquablement entretenue et conservée, brune aux cheveux longs, des formes, du sourire, de la grâce et même des lunettes !

 

– Voilà je vous présente Anne-Lise dont Béatrice a dû vous parler, voici Gérard et Florentine.

 

Les gens s’embrassent, vont pour s’installer autour d’une table basse et le professeur Martinov propose l’apéro puisque c’est l’heure de la chose !

 

« Tu parles ! » se dit Béatrice « dans un quart d’heure, l’apéritif va devenir horizontal ! Et pour le moment, j’ai pas trop envie ! »

 

– Je vais vous laisser, il faut que j’y aille ! Prévient Anne-Lise.

– Mais restez donc, nous sommes ravis de vous avoir avec nous ! Objecte Gérard.

– Non, je suis désolée, j’ai du chemin à faire, je suis venu par les transports en commun, ma voiture est au garage…

– Vous habitez Paris ?

– Oui !

– Alors nous vous raccompagnerons !

– Ça nous fera plaisir ! Ajoute Florentine avec un sourire assez peu innocent.

 

Elle se laisse donc convaincre.

 

– Bon alors voilà, y’a du nouveau, j’ai quelques contacts dans le milieu du marché de l’art, et je suis de suite tombé sur le bon zigue. D’abord « Retours », le canard dont se réclame Rondeval-Blancard, n’existe plus depuis plus d’un an, c’est lui qui l’a lancé avec ses fonds propres et ça n’a pas marché, il n’y a jamais eu de numéro 2 ! Ce type n’appartient selon ma source à aucune organisation et se tape une réputation de fouteur de merde, c’est d’ailleurs pour ça qu’il s’est fait virer de « Plaisir des arts ». Donc déjà ça change tout…

– Comment ça ?

– Ben il est tout seul, tu n’as plus à craindre de réaction violente de ses amis, puisqu’ils n’existent pas ! Et puis s’il déconne, je peux lui foutre la trouille, j’ai toujours ma carte de la DGSE.

– Il doit tout de même avoir des complices ! Objecte Béatrice. Anne Lise nous a parlé d’un jeune homme brun…

– Ce doit être Duplessis, son nouvel amant, un petit pète sec, fort en gueule…

– Ça doit être ça ! Approuve Anne Lise.

– Mais j’ai gardé le meilleur pour la fin : Rondeval-Blancard a été l’amant de Laviron…

– Quoi ?

– Ils se sont brouillés il y a environ un an. Une rupture assez violente, parait-il, avec échanges de coups, menaces diverses et tout le tremblement. Les voisins ont été obligés d’appeler la police. Depuis il n’a plus qu’une idée en tête : pourrir la vie de son ancien amant !

– Eh ben !

– Comme tu dis ! Donc voilà qui permet de poser le problème complètement différemment ! Bon, ça m’a donné soif de parler, tu me ressers un petit Campari ?

 

Et pendant que Martinov lui ressert à boire, Gérard Petit-Couture lui pelote carrément les fesses

 

– Mais enfin, monsieur ! Fait mine de s’offusquer le professeur !

– Ben quoi, c’est à moi tout ça !

– Ne vous offusquez pas ! Intervient Florentine à l’attention d’Anne-Lise, mon mari est un peu à voile et à vapeur !

– Je ne m’offusque pas, j’en ai vu d’autres !

 

Gérard s’approche d’Anne-Lise :

 

– Je peux vous dire un truc discrètement ?

 

Elle fait signe que oui et les voilà qu’ils s’éloignent tous deux au fond de la pièce.

 

– Euh, il n’est pas impossible que la soirée dégénère en partouze, autant que vous soyez prévenue, ces gens sont tous très corrects, mais comment dire, en ce qui vous concerne… euh !

– Oui, j’ai compris, ne bafouillez pas, vous êtes en train de me demander si ça me gêne de participer ? C’est ça ?

– C’est ça !

– Vous connaissez mon métier, je suis vénale, si on me paye, je veux bien faire des choses du moment que les rapports soient protégés et qu’il n’y ait ni violence, ni contrainte…

– Aucun souci de ce côté-là !

– Ce genre de prestation n’est pas donné…

– Dites-moi votre prix !

– Si vous me promettez de me sortir du pétrin dans lequel je me suis fourrée, ce sera gratuit ! On marche comme ça ?

– Ça me paraît un bon deal !

 

Un raclement de gorge ! C’est Florentine :

 

– Qu’est-ce que vous mijotez tous les deux ?

– C’est une surprise ! Répond Gérard.

 

Le problème « Anne-Lise » n’en étant plus un, il suffit désormais d’une étincelle pour que le sexe s’en mêle. Gérard n’a aucun scrupule à se faire provocateur.

 

– Hé, les filles, ça vous dirait si Martinov et moi on vous offrait un petit spectacle un peu cochon ?

 

Béatrice et Florentine se sentent un peu gênées mais quand Anne-Lise répond d’enthousiasme « Oh oui, oh, oui ! », elles approuvent à leur tour.

 

– On pourrait me demander mon avis ! Rétorque Martinov.

– Absolument ! Répond Gérard ! Donne-nous ton avis !

– Mon avis, c’est qu’on ne peut pas refuser ce que réclament ces dames !

– Voici une sage décision ! Martinov me sucerais-tu la bite ?

– Avec grand plaisir !

 

Et sans attendre davantage, Gérard Petit-Couture sort son instrument reproducteur de sa braguette.

 

– Mais non pas comme ça ! Proteste Béatrice

– Un problème ?

– Baisse donc ton pantalon se sera quand même plus sympa.

– Alors d’accord comme ça tout le monde verra mon cul !

– Justement quand on a des belles fesses de pédé on les montre ! Renchérit Béatrice

 

Et Gérard fait donc tomber son pantalon sur ses chevilles.

 

– Il faudrait mieux l’enlever carrément, non ? Suggère Martinov.

– O.K. je le retire et on y va !

 

Gerard s’exécute et exhibe son cul devant ces dames en en écartant les globes. Le professeur vient s’accroupir devant lui, s’empare de sa bite demi-molle et se la met en bouche. Il adore faire ce genre de chose et ne le fait pas aussi souvent qu’il le désirerait.

 

– Hum, qu’est ce que c’est on de sucer une bonne bite !

 

Les filles sont au spectacle, Anne-Lise se demande comment interagir d’autant qu’elle ignore si Béatrice et Florentine ont des tendances bisexuelles.

 

C’est Florentine qui débloque la situation en laissant vagabonder sa main entre les cuisses de Béatrice.

 

– Ils m’excitent ces deux cochons ! T’avais déjà vu deux hommes faire ça, Anne-Lise ?

– Oui, une fois, ça m’avait fait drôle !

– Ça t’avais excité ?

– Troublée, oui ! Excitée je ne sais plus trop, les circonstances n’étaient pas les mêmes…

– Je comprends ! Répond Florentine qui ne cherche pas à en savoir davantage, mais Béatrice, ça a l’air de bien l’exciter, baisse-moi ton pantalon, que je te caresse la chatte.

 

La jeune chimiste s’exécuta sans problème, elle déposa le pantalon sur le dossier d’une chaise, la petite culotte également.

 

– Ben voilà ! Mais je ne voudrais pas être la seule à être la chatte à l’air.

– T’inquiète pas, on va se mettre à l’aise ! Mais voyons d’abord l’état des lieux…

 

Et cette fois Florentine après une innocente caresse sur le pubis, lui introduit carrément les doigts.

 

C’est tout mouillé, ça fait floc-floc !

 

– Je peux ? Demande Anne-Lise.

– Toi aussi t’es un peu bi ? Demande Florentine.

– A mes heures !

 

La main de l’escort-girl remplace l’autre, mais elle ne contente pas de ça, elle approche son visage de celui de Béatrice qui ne refuse pas le baiser, et les voilà en train de se rouler un patin magistral et baveux.

 

– Allez on enlève tout ! Propose Anne-Lise qui se retrouve à poil en deux temps, trois mouvements, les deux autres femmes suivent et l’imitent aussitôt.

 

Anne-Lise fait une pirouette faisant admirer son corps aux participants.

 

– Ça vous plait ?

– Quel joli cul ! Commente Béatrice.

– Tiens tu verras mieux ! Répond la brune en écartant les fesses de façon à exhiber son joli petit œillet brun.

– Oh le joli petit trou, je le lécherais bien !

– Vas-y ma chérie, lèche-moi le trou, j’adore qu’on me le lèche.

 

Ce sont des propos qu’il n’est point nécessaire de répéter deux fois à Béatrice, qui s’empresse d’aller faire frétiller sa langue agile sur cette délicieuse rondelle.

 

– Tu peux me mettre un doigt, si tu veux !

– On y va.

– Même deux, si tu veux !

– Un d’abord, l’autre après !

 

Après quelques mouvements de pilonnage digital, le doigt fatigué ressorti, et Béatrice s’empressa de le porter en bouche, elle adorait ce petit goût si particulier.

 

– Cochonne ! Lui murmura Anne-Lise en lui faisant un clin d’œil

– Eh, oui !

 

Cette fois la partouze générale est bel et bien lancée d’autant que leurs côtés, ces messieurs se sont également dévêtus et que le professeur Martinov est déjà en position prêt à recevoir l’assaut de son partenaire dans son conduit anal.

 

Mais Gérard prend son temps, il s’encapote, puis après avoir écarté les globes fessiers du professeur, il vient lui lécher le troufignon avec une telle application qu’il finit par s’entrouvrir.

 

Puis il approche sa bite, un coup sec et ça entre, il s’enfonce profondément, puis commence une série de va-et vient.

 

– T’aimes ça qu’on t’encule ? Hein Martinov ?

– Surtout quand c’est bien fait !

– Tout à l’heure on inversera les rôles, c’est toi qui me mettras ta bite dans le cul !

– Pas de problème ! Oh ! C’est trop bon ! Continue !

 

Florentine s’est approché pour mieux voir !

 

– Ça m’excite de trop, deux mecs qui s’enculent ! Commente-t-elle.

– Tu m’as l’air d’une belle cochonne, toi ! Lui répond Anne-Lise en ce moment en train de se faire lécher les seins par Béatrice.

– Oui, mais j’assume !

 

Florentine s’accroupit à la hauteur de la chatte d’Anne-Lise et l’attaque de sa langue.

 

L’escort girl, jusqu’ici en mode « pro », ne mouillait quasiment pas, même si les doux baisers de Béatrice sur ses tétons commençaient à faire leur effet, mais la langue diabolique de Florentine vint changer la donne, et Anne-Lise commença à s’abandonner, et quand la belle mature attaqua son clitoris elle ne put faire autrement que de jouir peu discrètement.

 

– Ben dit-donc, toi, alors !

– Eh oui ! C’est la première fois que tu fais des trucs avec une femme mûre ?

– Non pas vraiment ! Il y a environ deux mois, je devais me rendre, chez un couple de retraités de province qui étaient montés à Paris, j’y suis allé en compagnie d’un escort boy. Comme d’habitude, tout ce qui est sexuel est censé être ignoré par l’agence. On nous avait indiqué qu’il s’agissait d’accompagnement, je ferais donc du shopping avec madame, pendant que Bob, l’escort-boy, irait au musée ou ailleurs avec monsieur. Evidemment arrivés sur place on nous a chanté une tout autre chanson, le couple était parisien et nous attendait dans un appartement, un truc très bourge dans le 16ème. On a sonné, la bonne nous a fait entrer et nous a déclaré tout de go : « monsieur et madame vous attendent, ils sont nus dans le salon, ils souhaitent que vous vous vous déshabilliez ici, ensuite monsieur s’occupera de monsieur et mademoiselle s’occupera de madame.

– Carrément ?

– Carrément ! La bonne nous a filé nos enveloppes, on a vérifié, on s’est dessapé et on y est allé. A peine bonjour, on aurait été des robots, ça aurait été pareil, Bob qui avait plus d’expérience que moi, s’est pointé vers le vieux et s’est fait sucer la queue, et comme mémère avait les jambes écartées sur son fauteuil, j’en ai conclu qu’il fallait que je la suce, mais ce n’était pas ça, du moins elle ne voulait pas que les choses se passent dans cet ordre, elle m’a fait allonger sur une petit canapé et m’a tripoté, m’a léché, sans essayer de me faire jouir, elle n’était pas folle non plus ! Et pendant ce temps-là, Bob enculait le vieux. Quand mémère en a eu marre de me tripoter elle m’a offert sa chatte, je l’ai fait jouir en m’appliquant mais en pensant à autre chose. Une fois l’affaire terminée les deux vieux sont partis dans la pièce à côté. Pas un mot, pas merci, rien ! La bonne nous a rejoint pour nous dire qu’on pouvait se rhabiller… comme si on allait partir à poil ! Par provocation Bob a dit qu’il avait soif ! On a eu droit à un verre d’eau du robinet, j’ai rarement vécu un truc aussi peu convivial.

– Hum elle est curieuse ton histoire !

– Oui je ne sais pas pourquoi je te raconte ça ?

– On parlait de femmes mures…

– Ah ! Oui !

– Et si tu me léchais la chatte ! Lui proposa Florentine.

 

Anne-Lise proposa à Béatrice et à Florentine de s’assoir l’une à côté de l’autre ce qui lui permettrait de les lécher alternativement.

 

– Regarde-moi ces deux bonhommes ! Ils sont déchainés. Ah, cette bite qui lui pilonne le cul ! Quel spectacle ! Commenta Florentine avant de rouler un patin à sa voisine tout en lui pelotant les seins.

 

La langue d’Anne-Lise attaque tout d’abord la chatte baveuse de Florentine, tandis que deux de ses doigts viennent fouiner dans celle de Béatrice. Au bout d’un moment, elle alterne, : la langue pour Béa, les doigts pour la mature. Les deux femmes se pincent les tétons mutuellement et commencent à japper de plaisir.

 

Nouvelle permutation, et cette fois l’escort-girl attaque le clito de Florentine.

 

– Ahh ! Non ! Oui, Ouiii, continue ! Je jouis ! Oh, tu m’as fait bien jouir, ma petite salope.

 

Dans la foulée, Anne-Lise se précipite sur la chatte de Béatrice qui ne tarde pas à rejoindre son ainée dans l’orgasme.

 

Elle se caressent, s’embrasent, se cajolent, se resservent à boire, tout va bien !

 

Gérard commence à fatiguer et sort du cul du professeur sans avoir joui. Il se place devant son partenaire et entreprend de lui pincer et de lui tortiller les tétons, ce qui fait que notre bon professeur Martinov bande comme un sapeur.

 

Martino21E

Gérard peut alors prendre la bite en bouche et la sucer goulument pendant quelques minutes avant de se mettre à quatre pattes et d’offrir à son tour son cul au professeur.

 

Ce dernier est plus passif qu’actif dans ce genre de relation, mais la partouse a aussi ses règles, si l’on veut recevoir, il faut aussi savoir donner.

 

– Sont trop cochons, quand même ! Fait mine de s’offusquer Florentine.

– Oui mais bon, les hommes d’un côté, les femmes de l’autre, c’est un peu gênant, on se croirait à la messe en Sicile ! Fait remarquer Anne-Lise.

– T’as raison ! Approuve Béatrice. Venez les nanas, on va les rejoindre.

 

Les trois filles s’approchent du couple sodomite :

 

– Alors les pédés, on aime plus les femmes ! Raille Florentine.

– Oh ! Proteste Gérard ! On ne peut pas se faire enculer tranquille ?

– Ben, non, pas quand on est là !

 

Et la situation tourne vite au grand n’importe quoi : Anne-Lise offre sa chatte à Gérard qui ne va tout de même pas refuser un tel cadeau, Florentine vient doigter le cul du professeur et Béatrice…

 

Elle est où Béatrice ?

 

En fait elle était montée dans la chambre du professeur d’où elle redescend très vite en tenant un godemichet dans la main.

 

– Sors de son cul, mon petit professeur, je prends le relais !

– Je ne suis pas d’accord, je veux une vraie bite, pas un machin en latex ! Proteste mollement Gérard.

– Laisse-moi faire, c’est moi la reine des godes !

 

Et tandis que Béatrice pilonne Gérard avec son godemiché, Florentine s’est emparé de la bite du professeur Martinov et se met à la sucer avec frénésie, avant de déclarer tout de go :

 

– Maintenant, encule-moi, prend moi comme une chienne !

 

Overdosé d’excitation le professeur accéda bien volontiers à cette requête et se mit à sodomiser la belle en cadence jusqu’à ce qu’il prenne son pied, tandis que la belle mature orgasmait à répétition. Et quand il retira sa capote, la belle mature vint lui nettoyer la bite de son sperme avec gourmandise.

 

Pendant ce temps, Gérard se régalait de la chatte d’Anne-Lise tandis que les coups de butoir de Béatrice dans son trou du cul le faisaient miauler de plaisir.

 

– Je peux te baiser ? Demanda Gérard à l’escort-girl.

– Mais certainement mon cher ! Tu en meurs d’envie, n’est-ce pas ?

– J’avoue !

– Tu n’es donc pas si pédé que ça !

– Je ne suis pas pédé, je suis bisexuel ! Nuance !

– Tu ne serais pas un peu soumis, en plus ?

– Non pas vraiment, mais c’est un rôle que je peux jouer parfois…

– Dommage que je n’ai pas un martinet, je t’aurais bien fouetté un peu tes fesses de pédé.

 

Elle se mit alors à demander à la cantonade :

 

– Personne n’aurait une cravache ou un machin qui fouette, on a envie de jouer à panpan-cucul !

 

Et quelques instants plus tard Béatrice revenait de la cuisine avec une jolie spatule en bois.

 

– Tiens ! Prend ça sur son cul, gros pervers !

– Je ne suis pas gros !

– Non, mais t’es pervers !

– Toi aussi !

– C’est pas une raison ! Tiens, morue, salope, suceur de bite, enculé.

– Oui, je suis tout ça, et je n’ai même pas honte !

– Pas moyen de faire de la domination sérieuse avec toi !

– Pourquoi faudrait-il que le sexe soit sérieux ? Moi j’aime bien la déconnade !

 

Pour toute réponse Anne-Lise augmenta l’intensité de ces coups.

 

– Ne l’abime pas trop quand même ! Intervint Florentine.

– Mais non, et puis d’abord il aime ça ! Et toi t’aimes bien les coups sur les fesses ?

– Juste un peu alors !

– Ben voilà il suffisait de demander !

 

Du coup Florentine présenta son cul à l’escort-girl et reçut à son tour sa ration de coups de spatule.

 

– Oh, là, là ça m’a mis dans un état tout ça ! Commenta-t-elle. Gérard tu vas pouvoir me baiser, mais avant il faut que je me soulage, j’ai une envie pressante.

– Pisse-moi dans la bouche ! Demanda Florentine.

– T’es vraiment une salope ! Viens, on va faire ça !

– Attendez, vous allez en mettre partout ! Intervient Béatrice, allez faire ça dans la salle de bain, ou plutôt attendez je vais chercher une serpillère.

– Vite, j’ai trop envie !

– Je me suis trouvé un nouveau job ! Préposée aux accessoires pour parties fines, je devrais passer une annonce.

 

Anne-Lise libéra ses sphincters et déversa son joli pipi dans la bouche gourmande de Florentine.

 

– Putain, qu’est-ce qu’elle est bonne ta pisse !

– Bien sûr que je suis une putain, et fier de l’être en plus.

– Il en reste un petite goutte pour moi ? Intervient Béatrice qui adore ce genre de choses

– Mais bien sûr !

 

Dès qu’elle eut terminé, Anne-Lise s’étala de tout son long dans le canapé, jambes écartées.

 

– Viens mon Gérard, viens baiser ta pute ! T’as même le droit de m’enculer

 

Il la sodomisa donc, et plutôt rapidement, ce qui termina cette partouze de folie.

 

– Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’étais déchaînée, j’espère que je n’ai choqué personne.

– Mais non, tu as été parfaite, ma bibiche, la rassura Florentine. Je vais prendre une douche, tu viens ?

– Quand même, je dois passer pour la reine des putes !

– Et alors, tu ne vas pas te mettre à culpabiliser, moi, aussi j’ai été pute, c’est d’ailleurs comme ça que j’ai rencontré Gérard ! Et crois-moi je ne regrette rien !

– T’es gentille, toi ?

– J’essaie !

 

Et les deux femmes se roulèrent un patin baveux en se caressant le nichons.

 

Après toutes ces réjouissances, Gérard souhaite emmener tout le monde au restaurant. Béatrice objecte qu’elle ne sera pas prête de suite, qu’il faut qu’elle prenne une douche, qu’elle se remaquille… Les deux autres femmes la rejoigne dans cette objection.

 

– Vous n’avez pas un livreur de pizza dans le coin ? Demande Florentine en remettant sa culotte.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:03

Martinov 21 – Sex-machines – 4 – Petite coucherie chez Béatrice par Maud-Anne Amaro

 

StampBea

Mercredi 13 février

 

En se levant, le professeur Martinov se voulut romantique et s’en alla acheter des croissants à la boulangerie du coin avant de réveiller sa jolie visiteuse.

 

– Je suis obligé de te réveiller, j’ai du travail, tout ça…

– Je me lève, je prends une mini douche et j’arrive.

 

Evidemment la mini douche dura bien vingt minutes. Elle en sort le peignoir ouvert faisant pointer ses tétons avec malice, le professeur se demande si elle n’est pas en train de faire ce qu’il faut pour « remettre le couvert ». Mais non, elle récupère se vêtement et s’habille gentiment

 

– T’as bien dormi ?

– Come un bébé.

– Bon alors, pour la suite je te propose de faire simple : le mec va te demander si t’as couché avec moi, t’auras même pas besoin de mentir. On va voir ce qu’il va te demander, si tout se passe par téléphone, tu m’appelles de suite, si le mec te propose une rencontre, tu me préviens aussi, on essaiera de savoir qui c’est.

– Ça marche comme ça ! Bisou mon pépère !

 

« V’la que je suis son pépère, à présent ! »

 

A 9 heures, Béatrice arrive toute guillerette et le professeur s’empressa de lui rapporter cette visite insolite :

 

– En voilà une histoire ! Qu’est-ce que ça peut être ?

– Une vieille affaire qui refait surface à moins que ce soit lié aux machins de Laviron ! De toute façon on ne va pas tarder à le savoir, la fille va me téléphoner.

– Sinon, c’était bien ta petite soirée ?

– Ma foi, c’était intéressant, elle m’a parlé d’espionnage industriel, j’ai appris plein de choses, je te raconterai !

– Et vous couchâtes ?

– On peut dire ça comme ça ?

– Et c’était bien ?

– C’est une pro !

– Tu l’as enculé ?

– Mais enfin, Béatrice…

– J’ai envie que tu me racontes

– Oui, ben, tout à l’heure ! On a du travail !

– Cachottier !

 

Et cet échange intéressant fut soudain interrompu par la sonnerie du téléphone portable du professeur. Voyant l’identité de son correspondant, il mit l’ampli afin que Béa puisse entendre.

 

– Oui, allô, c’est Anne-Lise, le mec m’a appelé et m’a expliqué la suite !

– Je suis tout ouïe !

– Je suis censée être la fille d’un dénommé Laviron qui parait-il fait des sculptures cochonnes…

– On connaît !

– En gros, je dois user de mon influence sur toi, pour que tu sabordes les œuvres qu’il va exposer aux Tuileries !

– N’importe quoi ! C’est tout ?

– Presque, je dois passer à ma boite aux lettres, il y a une fausse carte d’identité qui m’attend au nom de Capucine Laviron ! Franchement j’ai une tête à m’appeler Capucine ?

– Tu leur as communiqué ton adresse ?

– Ce n’est pas mon adresse, c’est juste une boite aux lettres.

– Ah !

– Tu crois que ces gens sont dangereux ?

– Je pense qu’ils sont surtout complètement abrutis. Répondit la fille. Mais bon, dangereux et abruti ce n’est pas incompatible. Comment on fait maintenant ?

– Il faut que j’y réfléchisse, on se rappelle dans la journée.

– Je peux te demander quelque chose ? Demanda Anne-Lise

– Oui !

– Tu vas me trouver parano, mais j’ai peur que ces andouilles me géolocalise pour vérifier si je fais bien le boulot…

– J’ai compris, ramène-toi, je te présenterai Béatrice !

 

Le professeur Martinov et sa collaboratrice se regardent ébahis

 

– Mais dans quel monde vivent ces connards ? Ils se figurent que parce que tu as couché avec une fille, on ne peut plus rien lui refuser ! Tempête le professeur.

– En plus, ils ne sont pas à une contradiction près, la fille serait choquée par ce que fait son père, mais fait la pute pour faire saboter l’expo !

– Y’a pas plus crétin qu’un puritain !

– Et plus hypocrite ! Renchérit Béatrice.

– On fait quoi ?

– On réfléchit ! Mais ça me fait un peu chier de donner satisfaction à ces connards.

 

Et sans avoir trouvé de solution, le professeur Martinov et sa blonde assistante s’en allèrent vaquer à leurs occupations.

 

Sur ces entrefaites, Anne-Lise arrive tout sourire :

 

– Tiens c’est pour toi, des chocolats, des bons chocolats ! Dit-elle en lui tendant un petit paquet fermé d’un joli petit nœud rouge. Euh en fait c’est pour vous deux ! rectifia-t-elle en voyant arriver Béatrice.

 

Les deux femmes se présentent mais le courant n’y est pas.

 

– Tiens, il y avait ça dans ma boite aux lettres, qu’est-ce que tu en penses ?

 

Le professeur Martinov examine la fausse carte d’identité que lui tend la jeune femme. Une carte du « Royaume de Belgique »

 

– Du travail d’amateur, ça peut tromper quelqu’un qui a la vue basse mais c’est tout !

– Je suppose que tu n’as encore pris aucune décision ?

– Non, on en parlera à midi, on mangera ensemble, je vais t’installer dans la bibliothèque, il y a de quoi lire.

 

C’est un peu plus tard, en revenant de la poste où elle avait été déposer un paquet que Béatrice eut comme une idée. Du moins l’amorce d’une idée

 

« Je vais l’épater mon petit professeur, si j’arrive à lui apporter une solution sur un plateau ! »

 

Elle s’installe dans un bistrot, sort son téléphone portable et compose le numéro de Gérard Petit-Couture (voir les épisodes précédent). Celui-ci est manifestement tout joyeux d’avoir Béa au bout du fil.

 

– Ah ! Béatrice ! Que je suis heureux d’entendre votre voix, ça fait combien de temps que nous ne nous sommes pas parlé, un an ? deux ans ? Le temps passe si vite !

– Deux ans, je crois !

– Et quel bon vent vous amène ?

– C’est un peu complexe, je voudrais vous parler d’un truc.

– Euh vous êtes où, là ?

– A Louveciennes !

– Ecoutez je suis à Paris, j’ai un petit truc à finir de régler et je serais libre vers midi, vous pourriez me rejoindre et j’aurais tout mon temps pour vous écouter.

 

Bref, Béatrice accepta, évoqua un vague prétexte auprès de Martinov et se rendit à la fontaine Saint-Michel où elle avait rendez-vous.

 

Après les embrassades obligées, Petit-Couture conduisit Béatrice dans un « petit restaurant tranquille » à l’écart de la zone touristique.

 

– Vous êtes au courant de l’exposition d’art moderne aux Tuileries ?

– Pourquoi ? Tu veux une entrée gratuite ?

– C’est vrai qu’on se tutoyait. Non le problème est le suivant : Camille Laviron, tu connais ?

– De réputation, il s’est fait connaître à la biennale de Venise, il y a deux ou trois ans, il a exposé une pyramide de 666 chaussettes, c’était soi-disant une dénonciation de la société de consommation, il a obtenu un prix, c’est pour te dire le sérieux de ces gens-là. Son machin s’appelait « La masse à Chaussettes », il en a fait ensuite cadeau à l’état du Massachusetts qui l’a envoyé bouler. Il ne s’est même pas rendu compte que son jeu de mots à trois balles était intraduisible en anglais ! Depuis il continue de pondre des merdes, mais il est presque intouchable…

– Comment ça, intouchable ?

– C’est le frère ou le beau-frère d’un adjoint de la Mairie de Paris, il est copain avec des gens du ministère de la culture et il est bien considéré par les revues spécialisées. T’as un problème avec lui ?

 

Alors Béatrice lui narre par le détail, l’appel d’offre de Laviron, les relations détestables qu’il entretient avec Sonia, la visite de Rondeval-Blancard, puis celle de Anne-Lise.

 

– Rondeval-Blancard, je vois qui c’est, il était rédacteur à « Plaisir des arts », il s’est fait virer, j’ignore pourquoi, du coup il a offert ses services à un torchon de culs-bénis. C’est un opportuniste et un hypocrite.

– Oui, enfin notre problème c’est qu’on est coincé, on est lié par contrat avec Laviron, on aimerait donner satisfaction à Sonia, et ça nous emmerde de nous rendre complice d’une opération de censure. Comment démêler tout ça ? Je me demandais si tu pourrais avoir une idée !

– C’est pire qu’un challenge, c’est un casse-tête chinois !

 

Gérard respire fort, semble réfléchir.

 

– Tout problème a sa solution, il suffit de la trouver ! Philosophe-t-il. Mais là tout de suite je ne vois pas ! Sinon, tu es toujours aussi belle, Béatrice !

– C’est possible, mais ne changeons pas de conversation, j’attendais au moins un conseil !

– Belle et désirable !

– Gérard, je t’en prie !

– Je te propose un deal, on couche ensemble et je trouve une solution.

– N’importe quoi !

– Pas du tout, si on fait comme ça, j’aurais une dette envers toi et je paye toujours mes dettes !

– Et tu ne peux pas trouver sans baiser ?

– Si, mais il parait que l’activité sexuelle stimule très bien les neurones

– Je suis déçue, Gérard, je suis venue te demander un conseil, je ne pensais vraiment pas que tu allais me proposer de le monnayer ! Restons-en là !

– Oh Béatrice ! Je suis un mufle ! Oublie cette proposition débile ! Ou plutôt je te demande d’accepter mes excuses, cette solution je vais la trouver, j’en ai pour l’instant que l’esquisse, en réfléchissant et en discutant on va bien trouver !

 

La conversation fut interrompue par la jolie serveuse qui se crut obligée de remplir les verres.

 

– Quand j’y pense, c’est bizarre l’attitude de ces culs bénis, d’habitude ils n’agissent pas comme ça, ils font des manifs, ils gesticulent, rappelez-vous les exposants au château de Versailles ou Serrano avec le pipi de Jésus ! Reprit Béatrice.

– Ces gens-là ne constituent pas un groupe homogène, il y a de tout là-dedans. Et puis certains réfléchissent un peu plus que les autres, tout ce que tu cites n’a eu qu’une seule conséquence : une publicité inespérée pour l’artiste, je ne pense pas que c’était le but qu’ils recherchaient !

– Et cette esquisse de plan, on peut en parler ?

– L’idée c’est un contre-feu : trouver le moyen de ridiculiser Rondeval-Blancard, mais le faire en évitant qu’il y ait des conséquences par la suite.

– C’est à dire ?

– Je vais déjà me renseigner un peu sur le bonhomme, je crois savoir comment faire, ensuite on avisera, mais par exemple si on arrivait à exposer quelque chose de bien pire que les conneries de Laviron tout en empêchant Rondeval-Blancard de réagir ce serait pas si mal !

– Hum, comme tu dis c’est une esquisse.

 

Eh oui, l’idée était en l’air mais trop vague pour l’instant, ils terminèrent leur repas sans être beaucoup plus avancés.

 

– On se téléphone demain ? Propose Gérard.

– Pressé ?

– Non pourquoi ?

– Tu voulais un câlin, maintenant je ne suis plus contre !

– Toi alors !

– Ben oui, je suis comme ça !

– On va à l’hôtel ?

– Pourquoi faire, viens donc chez moi !

 

L’ascenseur était en dérangement et c’est tout essoufflé que Gérard Petit-Couture pénétra dans le modeste appartement parisien de Béatrice.

 

– C’est gentil chez toi ?

– Je fais ce que je peux, je ne suis qu’une modeste chimiste

– Béatrice, rien que te regarder, je bande !

– Non sans blague, qu’est-ce que j’ai de si particulier ? Fais-moi voir cette bite !

– Avec plaisir !

 

Et sans plus de formalités, Gérard sort son sexe de sa braguette, effectivement il bande comme un cerf !

 

– Non Gérard, pas comme ça, une bite qui sort d’une braguette, ça ressemble à un polichinelle ! Descend donc ton pantalon, ça sera bien mieux.

– Tes désirs sont des ordres, ma chère !

– J’espère bien !

– Bon je me mets carrément à poil ! Proposa Gérard !

– C’est ça, tu veux boire un truc ?

– Non, mais j’irais bien pisser avant !

– Tu veux que je te la tienne ?

– Ça pourrait être amusant, en effet !

– Alors attends-moi, je retire tout ça et on y va !

– Parce que tu parlais sérieusement ?

– Ben, oui, on a bien le droit de délirer un peu, non ?

 

Gérard Petit-Couture a déjà vu plusieurs fois Béatrice complètement nue, mais il ne se lasse pas de ce spectacle, de ses jolis seins tout ronds, et de sa petite chatte taillée en ticket de métro.

 

– T’es quand même super bien foutue !

– Merci m’sieu !

 

Arrivés devant la cuvette des toilettes, Béatrice attrape la bite de son partenaire.

 

– Ben vas-y pisse, je te la tiens !

– En bandant, c’est pas évident !

– Et bien débande !

– Je fais comment !

– Ferme les yeux et épelle « Tchaïkovski » une fois à l’endroit, une fois à l’envers.

– C’est malin !

 

Ce n’est peut-être pas malin mais ça fonctionne ! La bite débande légèrement et l’homme commence à uriner… Alors Béatrice, rapide comme l’éclair vient mettre sa bouche sur la trajectoire du jet et se régale de cette bonne urine tiède à l’arrière-gout de café.

 

– T’es une cochonne, Béatrice !

– Probablement ! Qu’est-ce qu’elle est bonne ta pisse !

 

Et Béatrice ne fit pas d’autres commentaires, d’ailleurs, elle n’aurait pas pu, puisqu’elle avait maintenant la bite de Gérard dans la bouche et qu’elle la suçait avec gourmandise.

 

– Ne me fais pas jouir trop vite ! Prévint l’homme.

– T’as raison, on n’est pas pressé ! Concéda Béatrice en se relevant.

– Tu suces trop bien, t’as une langue…diabolique.

– Je suis une bonne suceuse de bites, alors ?

– T’es adorable, vient que je t’embrasse.

 

Les deux amants se font alors face, et tandis que Gérard caresse avec frénésie les jolis seins de la jeune chimiste, cette dernière s’est emparé des tétons de l’homme et les tortille entre ses doigts, une caresse qui le fait se pâmer d’aise.

 

Evidemment Gérard ne tarde pas à remplacer ses mains par ses lèvres et sa langue et se délecte de la douceur des nichons de la coquine.

 

– Viens donc sur le plumard ! Finit par propose Béatrice.

 

Sur place les deux amants s’enlacent et le doigt de Béatrice vient s’égarer près du petit trou masculin et s’y enfonce.

Martinov21D

– Tu aimes ?

– J’adore !

– Je te mets un gode ?

– Oui, oui !

 

Béatrice sortit un joli sex-toy en forme de bite de son tiroir de table de chevet :

 

– C’est pour qui, ça ?

– Je crois qu’aujourd’hui, ça va être pour moi ! Répondit Gérard, mais d’habitude tu fais quoi avec ce truc ?

– Mes prières !

– Ciel !

– Ben oui, justement, allez tourne-toi que je t’encule !

 

Petite préparation, préservatif et lubrifiant puis hop, directo dans le dargeot !

 

– C’est bon ?

– Whah, bien sûr que c’est bon ! Mais ça ne vaut pas une vraie bite !

– Je sais, je t’ai vu à l’œuvre ! C’était très excitant !

– Ça t’excite de voir deux hommes s’enculer ?

– S’enculer, se sucer… surtout si à la base ils sont hétéros.

– Tiens, pourquoi ?

– Ma fois, je n’en sais rien ! Oh j’ai oublié de mettre le vibreur ! C’est mieux comme ça, non ?

– Aaaaah !

– Bon, ce n’est pas tout ça, mais j’aimerais bien que tu me baises ! Déclara la jeune femme après une bonne série d’allers et retours dans le conduit anal de Gérard.

– Mais avec grand plaisir.

 

Béatrice relâche le gode qui au lieu de rester planté le cul de l’homme à l’idée saugrenue de sortir tout seul. C’est trop con un gode !

 

Gérard se demande de quelle façon, il va opérer, mais la vue de la petite chatte de sa partenaire lui donne une idée :

 

– Je te lèche un peu avant ?

– Vas-y mon grand, régale-toi !

 

Il y va, il s’y précipite et commence à lécher avec gourmandise.

 

– Hum ! Tu aurais dû prendre un parapluie ! Déclare-t-il entre deux coups de langues.

– Pardon ?

– Ben, oui t’es toute mouillée !

 

Béatrice fit semblant de trouver très drôle cette plaisanterie et s’abandonna aux caresses buccales de son partenaire qui se débrouillait fort bien et parvint à la faire jouir bien plus rapidement qu’elle ne l’aurait cru.

 

– Prends-moi, maintenant, prend moi vite !

– Je ne t’ai pas léché derrière…

– Fais-le en vitesse…

 

C’est que notre Gérard voulait absolument goûter l’œillet brun de la belle avant de la pénétrer, mais il ne s’y attarda pas et s’encapota la bite.

 

– Dans le cul, viens dans mon cul ! L’implora Béatrice, en se positionnant en levrette, cuisses écartées et croupion relevé.

 

Un spectacle qui rendit Gérard fou de désir, à ce point qu’après l’avoir pénétré, seuls quelques allers et retour suffirent à lui faire jaillir son sperme. Bon prince, il continua néanmoins ses mouvements jusqu’à ce que Béatrice obtienne son deuxième orgasme.

 

– C’est un vrai bonheur d’être dans ton cul, Béatrice.

– Je vais me faire tatouer un petit mot juste au-dessus, ce sera marqué : « Hôtel du bon accueil ».

– Je vais me rincer la queue !

– Laisse-moi ce plaisir ! Lui proposa Béatrice en en nettoyant de sa bouche tout le sperme resté sur la bite.

 

On se fait une petite rincette, on se rhabille, on boit un petit coup, on allume une clope…

 

– Je vais réfléchir à tout ça, c’est quand même un peu complexe, je te recontacte après-demain au plus tard. Au fait comment va ce cher professeur Martinov ?

– En pleine forme !

– Il y a bien longtemps que je ne l’ai pas enculé. Tu lui passeras le bonjour !

– Je n’y manquerai pas, de ton côté, embrasse Florentine pour moi.

– Il faudra qu’on se fasse une petite partie tous les quatre, un de ce jours :

– Mais avec grand plaisir !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 17:57

Martinov 21 – Sex-machines – 3 – Mystérieuse Anne-Lise par Maud-Anne Amaro

 

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Dans le même temps, le professeur Martinov recevait une grande brune à lunettes, à peine la trentaine, peau très claire, yeux bleus et rouge à lèvres cerise. Elle se présenta : Anne-Lise Floquet. Très souriante, un sourire qu’on pouvait deviner forcé.

 

La demande était toute simple : une vieille pendule, probablement arrêtée depuis des décennies, qu’il fallait remettre en marche.

 

– Je verrais si je peux réparer, sinon il faudra changer le mécanisme.

– Faites pour le mieux !

 

Et après avoir signé un papelard et versé des arrhes elle quitta les lieux.

 

Un quart d’heure plus tard, le professeur Martinov constatait que le portable de cette Anne-Lise avait glissé de sa poche et était restée sur la chaise où elle s’était assise.

 

« Je vais l’appeler pour lui dire ! » se dit Martinov avant de réaliser qu’il est impossible d’appeler quelqu’un avec son portable oublié.

 

Il tripota néanmoins le portable par pure curiosité et se rendit compte qu’il s’était auto-bloqué.

 

« Elle reviendra bien le rechercher ! »

 

L’après-midi, Béatrice revint satisfaite de sa rencontre avec Sonia, satisfaite mais préoccupée. Elle rendit compte au professeur sans rentrer dans certains détails, mais ce dernier n’est point dupe et connais bien sa collaboratrice.

 

– Je parie que tu te l’es envoyée ?

– Oh, juste un peu… Si on pouvait faire quelque chose pour elle ? Se désola-t-elle..

– Quand on peut pas, on peut pas ! J’ai un peu réfléchi, j’ai rien trouvé !

– Elle m’a demandé le paiement de tes petites galipettes de l’autre jour et je lui ai filé 100 balles, faudra me les rendre…

– Bien sûr, ma bibiche.

 

A 17 h 30 Béatrice quittait les locaux. A 18 Heures Anne-Lise sonnait à la porte.

 

– Ah, vous venez récupérer votre portable ? Je vais vous le chercher !

– C’est gentil, je peux me permettre d’utiliser vos toilettes ?

– Je vous en prie, c’est là-bas au fond

 

Et alors que la grande brune était censée satisfaire son petit besoin naturel, le professeur entendit un cri déchirant.

 

Il fit donc ce que tout le monde eut fait en pareil cas, il accourut précipitamment, puis une fois devant la porte poussée mais non verrouillées il pose la question idiote d’usage :

 

– Vous vous êtes fait mal ?

– Oh là là ! Je me suis tordu le pied !

 

« Comment elle a fait pour se tordre un pied en pissant ? »

 

– Euh, vous avez besoin d’aide ?

– Je sais pas, je me reculotte !

 

Quelques secondes de silence, puis la voici qui ronchonne :

 

– Merde, mais c’est pas possible !

– Vous pouvez sortir ?

– Je vais essayer. Oh là ! Ça fait mal, je m’en suis foutu partout !

 

La porte s’ouvre, Anne-Lise sort en claudiquant, elle s’est pissée dessus et une belle tache humide orne son pantalon beige.

 

– Vous pouvez m’aider ?

 

Martinov l’aide à rejoindre le salon, elle ponctue sa marche d’incessants « aïe, aïe, aïe ».

 

– Installez-vous dans le fauteuil, là !

– Oh là là ! Ça fait mal !

– Comment vous vous êtes fait mal ?

– Mais j’en sais rien, j’ai dû faire un faux mouvement, aïe !

– Montrez-moi votre pied ! Enlevez votre chaussure, attendez je vais vous aider.

– Doucement, docilement !

 

Martinov libère son joli pied dont les ongles sont parfaitement vernis. Il ne voit aucune trace de choc.

 

– C’est où que vous avez mal ?

– Là !

– Ça m’a pas l’air bien grave, ce serait une entorse, ce serait déjà enflé !

– Oui, mais, j’ai mal.

– Je vais voir si j’ai un truc dans l’armoire à pharmacie.

 

Le professeur ne trouve rien, mais remplit un gant de toilette avec des glaçons et lui apporte.

 

– Gardez ça dix minutes ça va vous faire du bien, et après je vous accompagnerais à votre voiture.

– J’espère que ça sera sec ! Dit-elle en montrant sa tache de pisse.

– Sinon on attendra un peu !

 

A ce moment Anne-Lise regarde le professeur d’un air bizarre avant de déclarer.

 

– Je vous trouve vraiment très sympathique !

– Pourquoi ? Parce que je vous ai apporté de la glace ?

– Non, c’est bien plus compliqué que ça ! Je ne vais pas y arriver !

 

Et la voilà qui se met à chialer, la grosse crise de larmes. Impossible de la calmer.

 

– Mais, qu’est-ce qui vous arrive ?

– Je peux pas faire ça, pas à vous ! Et en plus vous n’êtes pas mon genre d’homme.

– Mais vous racontez quoi, là ?

– Je vais tout vous dire ! Z’avez un kleenex ?

 

La fille s’essuie le visage, le Rimmel a foutu le camp, elle est pathétique.

 

– Je n’aurais jamais dû accepter ce truc, je croyais que ce serait facile, maintenant je suis dans une belle merde.

– Ecoutez, je ne comprends rien du tout à ce que vous me dites.

– Comment voulez-vous que je vous le dise ?

– J’en sais rien, moi ! On dirait que vous avez un problème, je veux bien vous écoutez, mais tâchez d’être cohérente.

– Si au moins vous pouviez m’aider à me sortir de ce merdier.

– Ecoutez, je vais aller vous chercher un verre d’eau, vous allez le boire tranquillement et essayer de m’expliquer.

– Mais vous aller m’aider ou pas ?

– Je ne peux pas vous aider sans savoir de quoi il s’agit !

 

Et le professeur Martinov s’en alla tirer un verre d’eau au robinet en se demandant comment se débarrasser de cette folle sans trop la brusquer.

 

– Alors ?

– Alors, puisque vous voulez savoir : on m’a filé du fric pour que je couche avec vous ! Et j’ai pas envie de coucher avec vous !

 

Du coup notre brave professeur « tombe du placard » !

 

– Et coucher avec moi dans quel but ?

– Ça, on ne me l’a pas dit ! C’est justement ça le problème !

– Mais c’est quoi cette salade ?

– C’est pas une salade, je devais vous séduire, réaliser une relation de confiance comme on dit.

– Et ensuite ?

– Ensuite on devait m’expliquer la suite, pour le moment je ne la connais pas !

– C’est votre métier de faire ça ? Vous êtes call-girl ?

– Appelez ça comme vous voulez, je m’en fous.

– Et vous avez déjà accompli ce genre de mission ?

– C’est même ma spécialité, je fais surtout de l’espionnage industriel, les trucs politiques je les refuse systématiquement, c’est trop dangereux.

– Et ça ne vous a jamais posé de problèmes ?

– Non, parce qu’on me demande pas des choses trop compliquées non plus : des noms, des dates, des trucs comme ça, les mecs me donnent des renseignements qui leur semblent anodins, c’est souvent amusant et facile !

– Et vous réussissez toujours ?

– Non, parfois j’ai eu affaire à des tombes, mais c’est rare.

– Et pourquoi vous avez craqué ici, alors ! Je suis si moche que ça ?

– La question n’est pas là, vous n’êtes pas mon genre mais j’ai déjà couché avec des plus moches, j’ai même un baratin tout prêt pour ce genre de rencontres.

– Alors ?

– Alors, en fait c’est un peu compliqué, d’habitude on me dit tout de suite ce qu’il faut que j’obtienne. Là on me l’a pas dit, on m’a juste dit que ce n’était pas politique. Et puis le mec qui m’a contacté était bizarre, pas comme ceux que je vois d’habitude, un jeune peigne cul suffisant, j’ai tout de suite pensé à un truc foireux voire dangereux, mais disons que l’argent m’a motivé. On est vénale ou on ne l’est pas ! J’ai commencé à baliser quand j’ai vu où je fourrais mes pieds, d’habitude je drague des ingénieurs, des commerciaux, des jeunes loups en costard cravate. Là j’ai pas compris ce qu’on voulait vous faire. On m’a expliqué que vous étiez un vieil obsédé à moitié cinglé…

– Eh bien bravo !

– En fait j’ai découvert que vous étiez un brave pépère, j’ai pas envie qu’il vous arrive du mal !

– C’est trop d’honneur et de sollicitude ! Se gaussa le professeur.

– Mais surtout mes craintes du début sont revenues, j’ai vraiment peur de participer à un truc moche et dangereux, pas seulement pour vous mais aussi pour moi !

– Je ne comprends pas bien !

– Il y a certaines affaires comme ça, où la call-girl devient un témoin gênant, vous voulez un dessin ?

 

Le professeur réfléchit, l’hypothèse selon laquelle l’attitude de la jeune femme relèverait d’un plan machiavélique lui paraît farfelue mais non impossible. Reste à savoir comment gérer tout ça !

 

– Et vous allez le revoir quand votre commanditaire ?

– Il doit m’appeler !

– Avec un numéro caché, je suppose !

– Y’a des chances ! Mais maintenant je suis dans la merde.

– Vous n’avez qu’à dire que ça n’a pas marché ?

– On va pas me croire ! Et j’ai peur qu’on fasse monter la pression, en fait j’ai la trouille. Je repense à ce mec que j’ai rencontré, ce regard, quelle horreur…

 

Martinov trouve l’explication vaseuse, on peut toujours foirer une mission, mais sans doute la fille avait dû être payée grassement et n’avait pas envie de perdre son fric.

 

Mais quelque part la réponse d’Anne-Lise l’arrangeait, puisqu’il avait envie de savoir qui lui cherchait des noises.

 

– Admettons que je me sois laissé séduire, mais comme je suis un grand romantique, avant de conclure je vous ai payé le restaurant et après dernier verre à la maison comme le veut la tradition.

– Tu veux me payer le restau ? Répond Anne-Lise passant de ce fait au tutoiement.

– Pourquoi pas, je suppose que tu avais bloqué ta soirée, non ?

– J’ai pas trop faim !

– L’appétit vient en mangeant, tu prendras une salade ou alors des huîtres, c’est bon les huîtres et c’est très peu nourrissant, c’est de la flotte.

 

Pendant le repas, le professeur Martinov usa de la bonne vieille méthode consistant à laisser parler l’autre. Il espérait que si la fille jouait un jeu complexe, le vin aidant, elle finirait par se dévoiler. Mais Anne-Lise resta sur ces positons, c’était donc soit une comédienne exceptionnelle, soit une personne sincère, le professeur opta pour cette seconde hypothèse somme toute infiniment plus plausible.

 

– Ça va nous faire du bien de marcher un peu à pied ! Dit Anne-Lise en sortant du restaurant, ma voiture est garée devant chez vous…

– Est-ce bien raisonnable de prendre le volant… Si tu as un contrôle…

– Si tu pouvais me faire un café fort après, ça devrait aller.

– Le café ça aide à rester éveillé, mais ça ne diminuera pas le taux d’alcool !

– Tu m’en feras un quand même ?

– Oui ma biche ! Répondit Martinov, devenant familier.

 

Et c’est en sirotant son café qu’Anne-Lise lui fit cette proposition.

 

– Tu sais, si tu veux coucher avec moi, c’est possible, après tout j’ai été payé pour ça !

– Non, non !

– Pourquoi ? Je ne te plais pas ?

– Si, mais je croyais que je n’étais pas ton genre ?

– Tu n’étais pas mon genre pour que je tente de te séduire, mais pour coucher comme ça, ça n’a plus aucune importance et puis en plus t’es sympa, ça compense !

– Pourquoi le faire, puisque tu n’es pas obligée ?

– Ça te ferait plaisir ou pas ?

– Tu me tentes !

– Et puis je vais te dire, si on me demande si j’ai couché avec toi, ça m’évitera de mentir !

– Alors allons-y !

 

Et ils montèrent tous deux dans la chambre du professeur.

 

– Tu prends ton sac avec toi ! S’étonna Martinov.

– Oui, j’ai deux ou trois gadgets, si on a besoin, ça m’évitera de redescendre…

– Ah ?

– Tu sais, si tu aimes des trucs un peu particuliers, ne te gênes surtout pas, je fais un peu de tout.

– Ah, oui quoi donc ?

– Fessées, gode, pipi, tout ça…

– Humm !

– Ça t’intéresse on dirait !

– J’aime beaucoup de choses…

– Bon, mets-toi d’abord à poil et après je vais me déshabiller devant toi ! D’accord ?

 

Le professeur fit comme demandé, puis la belle se débarrassa de ses vêtements à son tour commençant par libérer une magnifique et généreuse paire de seins terminée par d’arrogants tétons.

 

– Ils te plaisent, on dirait ! Tu vas pouvoir les caresser mais attends un peu, c’est moi qui mène les débats d’accord ? Regarde les bien… Tu sais, j’en ai fait jouir des bites entre mes nichons ! Il paraît que je suis une bonne pute !

– Tu fais ça depuis longtemps ?

– Secret professionnel !

 

Et tandis que la bite de Martinov commençait à monter au ciel, l’escort-girl se débarrassa de son string et vint s’approcher de l’homme.

 

– Sens ma chatte, sens comme elle sent bon !

 

Le professeur approcha son nez et huma la chatte de la fille qui en écartait les lèvres.

 

– Non, non pas ta langue, tu me lécheras après, pour l’instant renifle.

– C’est divin !

– Je ne te le fais pas dire ! Ça doit sentir un peu la pisse, non, je ne me suis pas essuyée après mon petit accident tout à l’heure !

– C’était vraiment un accident ?

– Bien sûr que non, c’est un de mes trucs… mais ne parlons plus de ça ! Tu me lécherais bien, n’est-ce pas ?

– Ça c’est sûr !

– Est-ce que tu veux renifler mon cul ?

– Bien sûr !

 

Anne-Lise se retourne, présentant son popotin bien rebondi après en avoir écarté les globes, au professeur.

 

– Allez renifle, sans toucher, sans lécher !

– C’est divin !

 

La fille se replace face à Martinov.

 

– Ça t’as bien fait bander, tout ça, on dirait !

– Ben, oui ! répond-il bêtement

– Et ça, tu aimes ? Lui demande-t-elle en s’emparant des tétons de l’homme et en les serrant fort entre ses doigts.

– Oh, là là !

– Il paraît que j’ai des doigts de fée

– Encore !

– Gourmand ! Comme ça ?

– Oui !

– Voyons voir un peu cette queue ! Dit-elle en la prenant en main !

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Délicatement, Anne-Lise décalotte la bite du professeur, lui imprime quelques mouvements masturbatoires, puis vient donner un petit coup de langue sur le gland. Sa main passe ensuite vient lui flatter les couilles, mais c’était juste une étape, elle va plus loin, son doigt s’approche du petit trou et le presse, en quémandant l’entrée.

 

– Tu aimes ?

– Beaucoup !

– Tourne-toi, je vais te gâter !

– Oui bien sûr, mais j’aurais aimé te caresser un peu avant !

– Ne t’inquiètes pas, tu vas bientôt pouvoir faire tout ça, mais souviens toi, c’est moi qui mène la barque, c’est moi la chef !

 

Le professeur n’insista pas et présenta son cul à la belle aventurière qui mouilla son doigt avant de l’introduire délicatement dans le trou du cul professoral et de le faire aller et venir.

 

– Tu aimes ça, on dirait ,

– Oui, j’adore !

– T’aimerais un petit gode ?

– Oui !

 

La belle sortit alors de son sac à malice un joli gode très réaliste.

 

– Ça va la taille ? Sinon, j’ai plus gros ou plus petit !

– Non c’est bien !

– Comment tu le trouves ?

– Il est bien !

– Tu veux le sucer un peu avant que je te le foute dans le cul !

– Oui !

– T’es pas contrariant, toi au moins !

– Non !

– Vas-y lèche ! Lèche cette bonne bite !

 

Martinov se prend au jeu et simule une vraie fellation avec titillement du gland sur le bout dugland, léchage latéral de la verge et évidemment va-et-vient en bouche.

 

– T’as déjà sucé une vraie bite ?

 

La question est récurrente, à chaque fois qu’il s’amuse avec un gode pendant une rencontre avec une nouvelle partenaire, il faut que celle-ci lui pose la question ! Ce doit être de la curiosité féminine… ou plutôt le plaisir d’entendre de vive voix une réponse dont elle se doute un peu.

 

– Oui, ça m’arrive de temps en temps !

– Tu es bi ?

– Je ne sais pas trop ce que je suis, mais j’aime bien les bites !

– Et tu te fais prendre aussi ?

– Ça m’arrive aussi !

– T’es un petit cochon !

– Oui !

– Allez, mets-toi en levrette, je suis la reine du gode, je vais te gâter !

 

Effectivement, Anne-Lise avait l’art et la manière, après avoir encapuchonné le sex-toy avec une capote et l’avoir enduit de gel intime, elle l’introduit peu profondément, puis en actionna le vibrateur avant de l’enfoncer davantage, puis elle commença de lents allers et retours qui comblèrent d’aise notre coquin de professeur.

 

– C’est bon, hein, mon petit cochon ?

– C’est super !

– Attend, je vais te le retirer !

 

Le retrait fut sec, provoquant des ondes de plaisir dans le corps du professeur. Et alors que ce dernier ne s’y attendait pas du tout, elle le réintroduit, exécuta quelques mouvements lents et le retira définitivement.

 

– Allez, viens me voir, maintenant ! Dit Anne-Lise en se couchant sur le dos, maintenant je suis à toi, tu peux me faire tout ce que tu veux, enfin presque… tu ne m’embrasses pas sur la bouche, j’aime pas trop, sinon tu peux me caresser, me lécher… me baiser, et quand tu en auras envie je t’offrirai mon petit pipi ! On marche comme ça ?

– Oui ! Répondit Martinov décidemment peu disert en cette fin d’après-midi.

 

Et que croyez-vous qu’il fit ? Il fait ce que font presque tous les hommes quand une belle femme s’offre à eux, il commença par jeter son dévolu sur ses nichons, les caressant, les léchant, aspirant les tétons de ses lèvres…

 

– Eh bien quelle fougue !

– Tu m’as trop excité.

 

Après quelques minutes d’adoration mammaire, le professeur Martinov descendit à l’étage inférieur où la belle chatte de la fille l’attendait.

 

Il fut un moment étonné de ne pas trouver l’endroit plus humide, avant de réaliser que la relation était biaisée. Anne-Lise était une prostituée et pour elle le professeur Martinov n’avait rien d’un partenaire de désir, elle faisait du sexe avec lui parce que c’était son boulot, avec conscience professionnelle, mais pour ce qui était de jouir, les ingrédients n’étaient pas réunis.

 

Après s’être régalée du gout de sa chatte, le professeur n’insista donc pas, cela l’aurait gêné quelque part de la voir simuler.

 

Alors il estima qu’il était temps de calmer son trop plein d’excitation.

 

– Je peux te sodomiser ?

– Si tu me promets de ne pas faire ça comme une brute, tu peux y aller, tiens voilà une capote. Tu veux que je me mette en levrette ?

– Je préférerai pouvoir te regarder, si ça ne te dérange pas !

– T’a raison, fous en toi plein la vue, on va faire comme ça !

 

La belle souleva ses jolies cuisses pour faciliter l’introduction. Trois minutes plus tard, notre vert professeur incapable de tenir la distance lâchait son sperme dans un spasme.

 

– Ça a été fulgurant ! Commenta la fille.

– C’était super !

– Je t’avais gardé un peu de pipi, tu le veux ?

– Juste pour le fun !

 

Alors ils se rendirent dans la salle de bain, Martinov se coucha sur le carrelage et reçut en bouche l’urine de sa partenaire, il apprécia, mais ne rebanda pas ! Pas grave !

 

Après une boisson rafraichissante, le professeur Martinov proposa à sa visiteuse de rester coucher étant donné l’heure tardive l

 

– Tu ne ronfles pas au moins ?

– Si, mais je te laisse le lit, moi, je dormirai sur le canapé.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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