Mercredi 4 août 2021 3 04 /08 /Août /2021 17:54

Page de mon journal en vers par Lucia (Lucette)

zoo

Mon très cher journal

C’est en vers que j’écris aujourd’hui,

Non pour te compter mon plaisir anal,

Mais pour narrer comme je fus éblouie.

J’avais rendez-vous chez Léa…

Je suis en retard, j’espère qu’elle me punira,

Elle me présente Serge, venu avec son chien,

Un labrador beige qui le fait bien.

Serge se déculotte,

Ma main le décalotte,

Je suce avec gourmandise,

Cette délicieuse friandise.

Il a voulu m’enculer, faire la fête à mon cul,

Mais il n’y est jamais parvenu,

Le pauvre est bourré comme un petit Lu,

Et il s’affale dans le divan, ce malotru.

Mais moi je mouille, frustrée,

Léa vient me consoler, langue sur mes nénés,

Ses doigts tripotent mon abricot,

Et mon anus de salope scato.

Je mouille comme une fontaine

Des assauts de ma belle luciférienne.

Attiré par l’odeur de la débauche

Le toutou s’approche,

Léa écarte ses jambes,

Le chien vient lécher, ne craignant nulle réprimande.

– Comment peut-on faire pareille chose ?

– Il suffit d’ouvrir les cuisses ! Vas-y ose !

Je le fais ! Quelle bonne langue !

Léa a fait se retourner l’animal,

Elle sort sa bite de sa gangue

La branle et approche sa bouche, c’est original.

– Comment peut-on faire pareille chose ?

– Il suffit d’ouvrir la bouche ! Vas-y ose !

Sonia Beate37

 

Je suce la bite du chien et suis guillerette.

Sophie enfile des chaussettes

Sur les pattes avant du clébard

En dodelinant des nibards

Puis elle se met en levrette

Le chien grimpe sur elle, comme à la fête.

– Comment peut-on faire pareille chose ?

– Il suffit d’ouvrir les fesses ! Vas-y ose !

Alors j’ai attendu mon tour

Et le chien m’a sauté avec fougue et amour.

Voilà mon très cher journal

Ce qui m’est arrivé hier n’était point banal !

Aujourd’hui sera un autre jour :

Je vais adopter un toutou qui me fera des mamours

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Lucette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 4 août 2021 3 04 /08 /Août /2021 17:50

Sylvie, l’amie de ma mère par Lucette

 

Stamp MD

Moi, c’est Léa ! Hier soir j’ai eu une expérience extraordinaire; Sylvie l’amie de maman me fait des avances depuis quelques temps, avances non déguisées et même devant maman qui faisait semblant de ne pas s’en apercevoir. Je sais que Maman couche avec Sylvie, mais, moi les femmes c’est pas mon truc, à 20 ans, je plais aux mecs et puis j’ai un petit copain qui me fais bien jouir…

 

Bref donc, hier soir, Sylvie est venue partager le dîner avec nous. J’avoue que c’est une belle femme, la quarantaine épanouie, très brune et bien faite.

 

Comme d’habitude, c’est des allusions en permanence sur le plaisir du sexe, et que les hommes ne savent pas y faire; que je suis belle, que mes fesses sont bien faites, que ma poitrine est juste comme il faut etc etc…

 

Et tout d’un coup vient la proposition :

 

– Je coucherais bien avec toi ! Me dit Sylvie.

– Même pas en rêve ! Répondis-je sèchement.

– Et si je te donnais un petit billet ?

– Me prendrais tu pour une pute, Sylvie ?

– On l’est tous plus ou moins, tu veux combien ?

– 100 euros ! Répondis-je espérant avoir la paix avec cette réponse.

 

Vers 10 h je les laisse toute les deux et je vais me coucher. je mets mon tee-shirt pour la nuit comme d’habitude et me couche nue dessous. je devais être au lit depuis une heure, lorsque la porte de ma chambre s’est ouverte, Sylvie est entrée et est venue s’assoir sur le bord de mon lit.

 

Elle a retiré le drap qui me couvrais. Je me suis réveillée en sentant sa main qui me caressait les fesses (je dors sur le côté)

 

Le temps de réaliser ce qui se passait, j’avais un doigt entre mes jambes qui allait et venait sur mon minou. J’ai réagi violemment et me suis levée pour me dégager de cette caresse intime et j’ai criée. Maman est alors entrée dans la chambre et me dis :

 

– Allons calme-toi, Sylvie ne te veux pas de mal, au contraire.

– Enfin, maman elle me caressait les fesses et même la chatte, c’est dégoutant!

– Mais non, ma fille, Sylvie est très gentille et surement pas dégoutante, aller, recouche-toi et laisse-la faire. Je te signale qu’elle t’as déposé 100 euros sur ta table de nuit.

– Autrement dit, je suis piégée !

– Si vraiment, ça t’insupporte, je reprend mes sous et je te laisse dormir. Me dit Sylvie.

 

Et là je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai répondu

 

– Vas-y, je me laisse faire, faut pas mourir idiote

 

Sylvie me regarde souriante et commence à me caresser les seins doucement

 

Maman me sourit aussi et me dit :

 

– Tu vois bien, c’est pas méchant de faire plaisir à Sylvie et puis si tu te laisses aller un peu tu vas voir que c’est très agréable.

 

Une main de Sylvie a abandonné un sein et descend sur mon ventre, caresse mon pubis. je serre les jambes et sens un doigt qui essaye de passer entre mes cuisses.

 

J’ai un mouvement instinctif de défense et je serre les cuisses

 

Maman se penche sur moi et m’écarte les cuisses, elle met sa main sur ma chatte et me dit :

 

– Allons, laisse-toi faire.

– Oui maman, mais me faites pas de mal.

– On te veux que du bien, dit Sylvie

– Pour commencer, on vas la raser correctement, ces jeunes filles ne savent pas s’entretenir comme il faut.

 

Avec des ciseaux Sylvie entreprend de me couper les poils du pubis puis elle me met de la mousse à raser sur la motte et entre les jambes et me met le minou à nu, elle me fait mettre les genoux relevés, cuisses ouverte pour aller sur mes lèvres, elle dit que c’est plus pratique pour elle . elle met alors de la mousse dans la raie de mes fesses, et continue ma toilette intime autour de mon anus. elle est très délicate, frôle mon clitoris, le caresse, tire sur les lèvres de mon sexe, les tend avec douceur, au passage je sens son doigt presser mes petites lèvres et légèrement pénétrer mon vagin. Lorsqu’elle me rase autour de mon anus, elle tire sur le lobe des fesses, m’écarte, me caresse le petit trou, je sens son doigt le presser, il me pénètre un peu.

 

Tout cela fini par me donner chaud au ventre et je me laisse aller, je mouille même un peu. Essuyée, talquée, toutes les deux contemplent leur œuvre . Maman me caresse le front, le cou, les seins et Sylvie me caresse l’entrecuisse. On reste comme cela un moment, et malgré moi j’ondule légèrement le bassin.

Sylvie

Sylvie me prend la main et la pose sur son genoux, elle porte une jupe très courte, et assise en face de moi, une jambe repliée sous elle, je vois sa culotte et même la tache qui s’élargit sur son entrecuisse. Instinctivement et sans réfléchir, ma main remonte vers sa culotte. Elle, de son côté suis la même progression, et lorsque j’atteins sa motte, que je passe un doigt sous l’élastique et touche sa vulve, que je commence à caresser, je sens qu’elle m’investit aussi et me masturbe dans les règles. Je me retourne et vois maman, jupe relevée qui se pénètre avec deux doigts et s’astique comme une folle. Nous jouissons toutes les trois les unes après les autres.

 

Les deux amies se déshabillent tout en me caressant et se caressant, s’embrassant au-dessus de moi. Moi je les observe et au passage les caresse aussi. Je caresse même maman et la pénètre de mes doigts et elle se laisse faire et m’encourage en me demandant de lui lécher la chatte.

 

Sylvie reprend l’initiative et me demande de me mettre sur le ventre. elle commence à me caresser les fesses, me les ouvrir et lécher mon anus. Maman qui s’est absentée quelques instants est revenue, elle tient un godemichet, elle commence par se le mettre et se masturbe ostensiblement devant moi; puis l’enfile dans la chatte de Sylvie, par derrière. Je sens Sylvie excitée, car elle redouble sa caresse sur mon petit trou, elle passe une main sous moi et me pénètre le vagin. Instinctivement, je me cambre et alors je sens un doigt me pénétrer l’anus et rejoindre l’autre en moi Les deux doigts se touchent en moi et se retrouvent séparés par la paroi vaginal, je deviens comme folle et m’offre, me cambre et écarte mes fesses. Sylvie retire son doigt de mon anus, le lèche puis continue à m’astiquer le vagin, elle a mis maintenant deux doigts; Moi cambrée offerte comme une chienne, je sens le gode sur mon petit trou.

 

C’est maman qui le pousse doucement, je crie ça fait mal, elle continue et puis, je le sens rentrer doucement, loin très loin en moi. Les deux amies me font mettre à quatre pattes et me masturbent chacune de leur côté jusqu’à ce qu’un orgasme monte en moi et me fasse hurler de bonheur ou de douleur, je ne sais plus.

 

Maman sors le gode de mon anus, il me parait légèrement pollué, Sylvie l’aide à le nettoyer avec la langue.

 

Ma mère me roule un patin, je suis épuisée, j’ai envie de pisser, j’ai sommeil.

 

Pantelante je me dirige vers les toilettes et m’assois sur la cuvette, Sylvie me suit et me regarde pisser avec un air ravi.

 

– On te laisse dormir, me dit Maman !

– Oui, bonne nuit, je vous aime toutes les deux.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Lucette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 08:21

Une bien belle paire par Jean-Sébastien Tiroir

Stamp sodo

Une bien belle paire

 

J'ai avec mes lèvres, goutté ta peau nacrée.

Sucé les mamelons de tes seins généreux.

J'ai caressé ta croupe, aux rondeurs dorées !

Voulu ce corps offert, pour le plaisir de ma queue.

 

J'ai senti mes envies durcir mon désir.

Mes doigts sont venus te faire gémir.

Ton cul qui est pour moi jardin inexploré.

Quel plaisir ce matin de pouvoir t'enculer !

 

Le ballet de l'amour a commencé enfin !

J'ai pénétré ton cul de toute ma puissance.

J'étais cet amoureux parvenant à ses fins,

En t'écoutant gémir dans la demi-conscience.

 

Mais après, je me suis retourné d'un seul coup

C'est à ton tour de titiller mon petit trou

D'un coup sec, ton gode-ceinture m'a pénétré

Nous sommes une bien belle paire d'enculés.

poeme148

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 08:09

Tequila par Dumigron

StampCravate

Bonjour je suis Florence, 45 ans, brune et frisée, large de fesses et de poitrine Je travaille dans un magasin de fringues où je suis la seule employée. Ma patronne, Herma en a 28, c’est une grande blonde, grande et bien faite, légèrement autoritaire. A force de faire des essayages en commun et de se retrouver à poil on a fini par se tripoter. Les tripotages sont devenus au fil des semaines de plus en plus pervers, et c’est maintenant de façon régulière que nous nous livrons à des séances de broute minou.

Nous faisions ça pendant les heures creuses du magasin. Cela était fort agréable mais nous manquions d’aise. On a décidé de prendre une soirée de liberté par semaine. Racontant à mon époux qu’on allait taire de la gymnastique dans un club privé, on allait taire l’amour dans un petit studio appartenant à ma patronne.

Malgré sa relative jeunesse Herma était bien plus expérimentée que moi. Elle m’a presque tout appris sur les pratiques lesbiennes, du broutage de minette à la pénétration par godemichet. Grâce à elle, j’ai découvert des orgasmes fous et le plaisir d’aller toujours plus loin dans ces découvertes.

Ma patronne avait de l’imagination et un sens prononcé de la domination. Quand cela la toquait, elle n’hésitait pas à me donner des coups de badines ou de martinets sur mes fesses ou de m’accrocher des pinces sur mes tétons et sur les lèvres de ma chatte en me traitant de salope et de traînée. Parfois elle me pissait dans la bouche ou me faisait nettoyer son cul alors qu’elle venait juste d’accomplir ses besoins. Moi, j’aimais bien tout cela. J’étais sa chose, son jouet.

Un jour, elle a décidé de mêler son mari à nos expériences. J’étais légèrement déçue mais je n’ai pas voulu le lui avouer par peur de la perdre. Son mari est venu avec un ami. Très vite, elle m’a présenté et très vite aussi j’ai eu la sensation de devenir une marchandise.

Devant les deux hommes, elle m’a fait me déshabiller en faisant valoir mon corps généreux, ma grosse poitrine et mon postérieur rebondi. J’étais gênée et honteuse. Après m’avoir bien observée sous toutes les coutures, le mari s’est approché de moi et m’a palpée en « connaisseur ».

Ma patronne est allée sur le lit. Elle a relevé sa jupe et s’est enfilé son gode dans le vagin. Elle avait un regard tellement lumineux qu’il me faisait presque peur.

Le mari m’a forcée à me mettre à quatre pattes. Il a demandé à son ami de me vérifier la chatte et le trou du cul. Après avoir eu l’impression d’être un animal, j’ai eu l’impression d’être une voiture. Je me suis sentie humiliée. Mais l’ami, contrairement à ce que je m’attendais, était doux, délicat. En fait de vérification, il a commencé à me branler, enlisant ses doigts dans ma fente et l’approfondissant.

Mon aventure avec ma patronne m’avait rendue hypersensible de ce côté-là. Je n’ai pas résisté à un assaut de frissons qui se sont engouffrés dans mon ventre en vagues chaudes. Malgré moi, je me suis mise à tortiller du croupion pour que les doigts atteignent mon clitoris. L’ami a déclaré d’une voix de docteur.

– Mon cher Paul, ta femme a raison… c’est une sacrée salope ! Elle part au quart de tour et elle mouille déjà.

C’est vrai que je mouillais et j’en avais même un peu honte. J’ai regardé ma patronne qui m’a renvoyé un regard dur et qui m’a dit de continuer à remuer du cul et à balancer mes grosses mamelles dans le vide. Puis, en grande maîtresse de cérémonie, restant dos appuyé au montant du lit, jambes écartées sur son gode fiché dans son vagin, elle a demandé aux hommes de se dévêtir. Je les sentais très liés tous les trois, un peu comme un couple qui aurait des habitudes. Moi, j’étais toujours à quatre pattes, bougeant bêtement mes fesses et mes seins, n’osant m’arrêter pour ne pas la fâcher.

Elle a exigé que son mari s’allonge entre mes bras et me suce le bout des seins. Elle a obligé leur ami à m’astiquer la minette. Et elle m’a ordonné de ne jouir sous aucun prétexte, de crier grâce dès que je sentirais monter l’orgasme. Je peux paraître forte mais au fond je suis une faible nature.

Je n’ai pas besoin de beaucoup de caresses pour m’envoyer au ciel. Alors là, avec ce traitement de choc, j’ai pas pu résister longtemps. J’ai senti ma jouissance au bord de mon vagin, j’ai failli lâcher la sauce, mais au dernier moment, je me suis retenue. J’en ai eu si mal que je me suis mise à pleurer. Ma patronne s’est déchaînée en se branlant de plus en plus vite avec son godemichet et en demandant à leur ami de m’enculer. Un jour, je lui avais dit que j’adorais ça et que je regrettais que mon mari ne le tasse pas plus souvent.

J’ai compris que la petite garce allait mettre toutes mes confidences à profit. Elle savait aussi que j’aimais sucer des queues. Elle s’est levée pour m’introduire celle de son mari dans ma bouche. Pendant ce temps, l’autre me pénétrait doucement, dilatant mon conduit qui s’en régalait déjà. Je m’étais trop retenue. J’ai commencé à jouir. Par la bouche et par le cul, j’ai avalé les deux queues. Le plaisir, un plaisir fabuleux a explosé dans tout mon corps. Ma patronne s’est mise entre mes bras, prenant la place de son mari, pour me sucer la pointe des seins. J’ai senti qu’elle voulait me faire dérailler à force de jouir.

J’aurais bien voulu résister à cette manigance, mais ce n’était pas juste, ils étaient trois contre moi, et moi je n’avais qu’une envie m’éclater dans un orgasme sans fin. Les deux hommes m’ont présenté leur trou du cul, ma patronne m’a demandé de les lécher, puis d’y introduire mes doigts.

Curieuse sensation de voir ces deux mâles virils se pâmer du cul sous l’effet de mes petits doigts agiles. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises quand je vis Paul se redresser, se diriger vers son ami le contourner et lui sucer la queue. Quelle bande de pervers… mais je serais mal placée pour critiquer…

Quand l’ami du mari voulu satisfaire un petit besoin naturel, ma patronne lui indiqua que je pourrais très bien remplir le rôle d’un urinoir. J’ai dû ouvrir la bouche et avaler son urine tiède. Paul excitée par cette scène ne voulant pas être en reste et m’offrit à son tour son champagne intime.

f objet

La séance a duré une bonne partie de la nuit, car j’étais tombée sur des baiseurs infatigables qu’une bonne pipe remettait vite d’aplomb.

Pendant presque tout ce temps, ma patronne jouissant dans son rôle de voyeuse, n’intervenant que pour augmenter les doses de mes orgasmes. J’ai alors compris que j’étais devenue le jouet de ce couple à trois. Ma patronne était moins lesbienne que moi, ce qu’elle aimait c’était me voir enfiler par ses deux amants.

Je l’ai compris et je me suis dit tant mieux. A mon âge, il faut savoir en profiter. Je suis devenue une femme objet, mais j’assume complétement et n’autorise personne à me juger !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 07:23

Drôle de jeu par Dumigron

Voy

Après avoir tourné les clés dans la serrure, j'ouvris la porte toute grande pour pénétrer dans mon appartement. Je n'avais qu'une seule idée en tête : prendre une bonne douche pour effacer les tourments d'une nouvelle journée de travail que je venais de terminer, et ensuite une bière devant la télé me ferait le plus grand bien. C'est en déposant les clés sur la table de l'entrée, que je crus entendre un bruit provenant de fond de l'appartement. À cette heure-ci ma nouvelle colocataire ne devait pas être rentrée, elle avait l'habitude de travailler tard le soir. Je tendis l'oreille de nouveau et perçus une fois de plus des gémissements sourds. Je déposai mon manteau dans la garde-robe de l'entrée et me rendis vers le fond de l'appartement d'où provenaient les sons. Silencieusement je me dirigeai vers une porte ouverte, d'où semblaient sortir ces murmures.

 

Puis je la vis. Elle était rentrée plus tôt manifestement. Elle était étendue de son long sur son lit, de côté et lui faisait dos. Selon toute apparence, elle ne m'avait pas entendu rentrer. Une main était glissée entre ses jambes et je pouvais facilement en conclure que ces gémissements étaient le fruit de son plaisir. Je l'observai un instant. Sous ses vêtements féminins je l'avais toujours trouvé attirante, et supposais qu'elle devait avoir de belles formes. Mes yeux s'illuminaient de plaisir à la regarder ainsi se caresser l'entre jambe. Elle était nue, ne pouvant que dévoiler ce que mon imagination avait si souvent rêvé.

 

Je murmurai d'une voix rauque : " besoin d'aide ? ". Ça m'avait échappé, sans doute parce qu'inconsciemment, j'espérais qu'après avoir constaté ma présence, elle m'inviterait à la rejoindre.

 

Elle arrêta brusquement ses caresses et se retourna subitement dans ma direction. Elle était vraisemblablement surprise de trouver quelqu'un dans l'entrebâillement de sa porte. Ne me faisant ainsi plus dos, elle offrait son corps nu entièrement à ma vue et j'eus envie de prolonger ce plaisir. Je demandai une deuxième fois : " besoin d'aide ? ".

 

La femme, surélevée sur son lit par son coude, me pria de prendre place sur la chaise face au lit.

 

- " Ne bougez pas, ne bougez surtout pas ! "

 

Je m'exécutai et retournai la chaise avant de m'asseoir face au lit, et par là même, à la femme. Elle s'approcha du bout du lit le plus proche de moi et s'assit à son tour, jambes pendantes sur le côté. Elle me fixa des yeux et arqua légèrement le bassin vers le haut, écartant les jambes, laissant entrevoir ses lèvres gonflées. Elle écarta ses jambes davantage et ses lèvres s'entrouvrirent d'elles-mêmes. Je regardai et un début d'érection se fit ressentir. La femme dirigea le majeur de sa main droite vers sa bouche et l'humecta abondamment. Fixant toujours mon regard, elle dirigea son doigt mouillé vers sa chatte, qui réclamait ses caresses. La femme entama un léger frottement contre son clitoris dressé et durci. Je n'en croyais tout simplement pas mes yeux : en plus de voir la femme nue, j'étais en train de l'observer se masturber. Je tentai un mouvement subtil pour me rapprocher du lit, mais la femme me l'interdit du regard. J'étais donc condamner à observer. Elle me regarda un instant directement dans les yeux, puis ramena son doigt imbibé de sécrétion vaginale vers sa bouche. Son regard se faisait de plus en plus provocant. Lentement, elle vint rouler sa langue autour de son doigt, pour l'introduire dans sa bouche imitant une fellation. Sa main gauche vint caresser l'intérieur de la jambe et l'écarta progressivement. Je pouvais voir les lèvres s'écarter légèrement l'une de l'autre et les apercevoir perler d'excitation. Une mince couche de sécrétion c'était accumulée et une odeur d'extase s'en dégageait.

 

Dumigron2710

 

Ramenant sa main droite vers sa chatte, elle y fit glisser son index jusqu'à l'entrée de ses lèvres. D'un clin d'œil, le doigt s'engouffra à l'intérieur et elle pencha son torse vers l'avant pour faire pénétrer celui-ci le plus profondément possible. Un léger mouvement du bassin d'avant arrière permit à la femme de laisser pénétrer son doigt jusqu'aux jointures de sa main. À chacun de ses gestes sa paume frottait sur son clitoris. Ses respirations se faisaient de plus en plus profondes et saccadées, sa tête commençait à valser de tous les côtés. Soudain la femme s'arrêta, me fixa de nouveau dans les yeux. Je dirigeai donc mon regard vers la chatte de la femme et la vit introduire un deuxième doigt. Une fois de plus la femme gémit. Ce fut ensuite le tour d'un troisième doigt. Je pus voir la femme surélever son bassin et tout simplement enfourcher ses trois doigts.

 

Elle glissait sur ceux-ci qui l'entrouvraient et étiraient les lèvres de sa chatte. Elle se déchaîna subitement je pouvais la voir effectuer des va-et-vient, de haut en bas, férocement. Le bout de ses doigts allait caresser l'intérieur et lui procurait un plaisir visible à son expression. La femme ne se retenait plus pour gémir et chaque fois que sa paume heurtait son clitoris, elle expirait en gémissant de plus belle. Elle avait de plus en plus de difficultés à garder le rythme de ses mouvements. Sa chatte commençait à se contracter chaque fois que ses doigts heurtaient le fond de celle-ci. Ses soubresauts finirent par la clouer sur place. Elle figea l'instant où les muscles de son corps lui donnèrent le plaisir tant convoité.

 

J'étais toujours assis sur la chaise. Je l'observais et ressentais un besoin intense de la toucher. La regarder faire ainsi m'avait plutôt excité. Je n'osais même pas regarder vers mon pantalon pour constater mon état… C'est alors que je me décidai à approcher. Je me levai de ma chaise d'où j'avais eu cette vision, et avançai vers le lit.

 

A ce moment l'inconnu sorti de derrière les rideaux où il était dissimulé. Il était nu, il bandait magnifiquement.

 

- On vous a demandé de ne pas bouger ! Retournez à votre place, s'il vous plait !

 

J'étais donc l'acteur inconscient d'un jeu érotique, dont les arcanes me dépassaient, mais qui prenait une tournure qui me déplaisait… je me dirigeais donc vers la porte.

 

- Ne partez pas, le jeu n'est pas fini ! me dit la femme.

 

J'hésitai une seconde…

 

- Ne trouvez-vous pas que mon ami a une très jolie bite ?

 

Par reflexe je regarde le membre de cet homme. Il est beau, il est bien tendu, le gland est fier sans être trop épais, la peau est d'une jolie couleur.

 

- Pourquoi cette question ?

- Parce que je vous propose un marché !

- Dites ?

- Aimeriez-vous me baiser, me prendre comme une chienne… devant lui !

- Ma fois…

- Cela a un prix !

 

Ainsi ma nouvelle colocataire se prostituait. Bien que n'ayant rien contre le principe, il se trouve que je n'ai jamais eu l'opportunité d'avoir affaire à ces dames… mais mon état d'excitation m'empêche de raisonner convenablement et je m'informe de ce prix.

 

- Non, il n'est pas question d'argent, le prix est en nature : suce la bonne queue de mon ami et tu pourras me baiser.

 

La femme ne pouvait savoir que bisexuel à mes heures, cette fantaisie ne pouvait pour moi être synonyme de corvée. Par jeu, et parce que sans doute était-ce là ce qu'ils souhaitaient tous les deux, je fis semblant d'hésiter, mais finis par approcher mes lèvres de cette bonne queue, que je m'empressai de savourer des lèvres et de la langue. Je me régalai tellement et m'appliquai si consciencieusement que l'homme ne put s'empêcher de dire :

 

- Ce n'est pas sa première queue !

 

Je continuai

 

- Dites-moi, cher Monsieur, ce n'est pas votre première queue ? Insista-t-il

- Non ! Confirmai-je, délaissant à regret ce membre magnifique !

- Vous aimez ça ?

- J'avoue !

- Dans ce cas, puisque nous sommes entre initiés, mon amie serait sans doute ravie de me voir vous baiser. Serait-ce trop vous demander que vous me présentiez vos fesses afin que je vous encule ?

- Mais faites-donc, cher monsieur !

- Je vous prends, vous prenez madame et ensuite nous irons tous les trois au restaurant, ce programme vous sied-il ?

- A merveille !

 

Dumigron de Séville

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Pauline06
  • Therese e1
  • Zarouny19b
  • Linda
  • Zarouny33a
  • BigsTits

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés