Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 07:04

Orgie de bureau par Alexis Defond-Rossignol

 

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Voici l'histoire d'une partie à trois qui s'est déroulée sur mon lieu de travail, un week-end. Je devais finir un travail au bureau et j'annonçai à mes deux collègues, un homme et une femme, que j'allais venir bosser le samedi matin. Carole, ma collègue féminine, jolie blonde d'environ 1 m 65, corps menu, annonça à son tour qu'elle risquait de venir aussi. Petits regards complices, ce qui m'enchanta plutôt, car je la trouve bien mignonne. Notre autre collègue, Boris, grande bringue très macho, y va d'une réflexion graveleuse pour la forme.

 

En venant le samedi matin, je pensais à Carole et à son sourire mais je n'espérais rien, croyant plutôt à un petit jeu de séduction platonique. J'étais sur mon ordi depuis un quart d'heure quand la belle fit son apparition, toute guillerette. Elle portait une jupe noire très courte et un chemisier de couleur sombre assez décolleté. Appétissante !

 

- Salut, déjà là ? Tu es plus matinal que moi !

 

Et elle vint me taper la bise alors que d'habitude nous nous disions juste bonjour comme ça, pour garder une bonne ambiance de travail. Elle en profita pour poser une de ses mains sur ma poitrine et l'autre se balada gentiment vers mon entrejambe. Ses intentions étaient claires.

 

- Tu es venue travailler ou me déconcentrer, Carole ?

- Ben voilà ! J'ai justement plus grand chose à faire.

 

Elle s'éloigna et fit le tour de son bureau.

 

- En fait j'aime bien venir ici quand il n'y a personne car c'est très calme pour mon activité préférée.

 

Et voilà qu'elle sort un gode de son sac à main. Ma tête a dû en dire long sur mon étonnement, car Carole se mit à rire tout en faisant de la place sur son bureau, juste face de moi. Et elle continua sans broncher sa petite explication :

 

- Il y a trop de bruit chez moi, des gamins au-dessus et des gamins dessous qui font le boxon... Pas génial pour penser à des choses cochonnes. Elle s'installa sur le devant du bureau, bien face à moi, écarta les jambes et découvrit sa chatte bien épilée, elle ne portait pas de culotte, bien sûr.

 

- Ne te gêne pas pour moi ! Lui dis-je, j'ai plein de choses à faire moi aussi.

 

Je reculai mon siège à roulettes et me mis en position plus décontractée, pas collé à mon bureau, les jambes écartées. Une érection certaine commença à comprimer mon pénis dans mon pantalon.

 

- Oui, mets-toi à l'aise, mon chéri, et admire le spectacle.

 

Elle enfourna sans plus de préambule son godemiché dans son sexe. Il n'était pas très gros, assez épais mais pas très long (moins de 15 cm). Elle s'imprimait un va-et-vient énergique, sa tête renversée, les yeux mi-clos, plus qu'impudique. Je remarquai alors que ses petits seins étaient libres sous son chemisier, je pouvais les voir ballotter alors qu'elle balançait quelque peu son corps. Devant ce spectacle enchanteur, je sortis ma bite de mon pantalon et commençai à me branler.

 

- On va pas rester là à se mater, chère collègue, je suis sûr que nous avons mieux à faire.

 

Elle releva la tête, fixa mon pénis en érection dans ma main et retira son gode.

 

- Bien sûr que je vais m'occuper de toi, mon chéri.

 

Elle fit le tour de mon bureau et, après un baiser profond, se mit à genoux et goba mon sexe. Malgré une bouche qui ne m'avait jamais paru très grande, elle n'eut aucun mal à avaler tout mon sexe, bien plus long que son gode préféré et un peu plus large aussi. Elle suçait lentement, enfonçant bien mon membre jusqu'au fond à chaque fois. Son autre main était en train de frotter son clitoris avec frénésie. Elle gémissait à chaque fois que ma bite laissait la place aux sons, pour qu'ils puissent sortir de sa bouche.

 

- Tu suces bien, je connaissais beaucoup de tes compétences, mais pas celle-ci.

 

Elle était très habile, je grossissais dans sa bouche qui semblait se dilater comme un vagin. Je stoppai son va-et-vient, me retirai de sa bouche et me levai. Je l'aidai à se relever elle aussi et la plaçai contre le bureau. J'ouvris son chemisier, déboutonnai les premiers boutons. Tout en fourrant mes doigts dans sa chatte, je lui léchai ses délicieux petits seins bien fermes.

 

- Oui, prends-moi mon chéri, ta bite va faire merveille.

 

Je ne me fis pas prier. Je me relevai et présentai ma verge bien droite devant le vagin de la belle. Elle le prit de ses deux mains et la guida en elle. Je pris tout mon temps, ressortant plusieurs fois, ses mains m'y remettant aussitôt.

 

- Viens, me dit-elle.

 

Je poussai très fort d'un coup, elle lâcha un cri de surprise, j'étais bien au fond d'elle ! Je commençai à la limer bien profond et pas trop vite. Elle couinait à chaque fois que je touchais le fond et m'encouragea à continuer dans le même souffle.

 

Alors que tout allait pour le mieux, elle m'arrêta d'un seul coup.

 

- Attends mon chéri, j'aimerais bien avoir mes deux trous pleins en même temps.

 

Elle me fit me retirer, alla chercher son gode sur son bureau et revint se mettre très vite près de moi. Elle posa le gode sur le bureau qui tenait bien droit. Elle me demanda de l'aider à monter sur le bureau et je la tins alors qu'elle s'enfilait le gode dans le vagin pour bien le lubrifier. Puis elle se l'enfila lentement dans le cul, je la retins pour ne pas que ce soit trop rapide. Elle s'assit finalement littéralement sur le bureau, le godemiché avalé par le cul.

 

- Ça va être très très bon mon chéri ! Lâcha-t-elle.

 

Je pris ses jambes bien écartées sur mes bras, la tenant par les hanches. Je réintroduis ma bite dans son sexe comme dans du beurre et recommençai à la pilonner avec délice. Ses gémissements reprirent, plus langoureux.

 

- Deux bites, c'est vraiment le pied, mon chéri.

 

J'étais amusé qu'elle m'appelle mon chéri, et surtout très excité par son regard dans le mien, par cette double pénétration, par nous deux aussi. Je l'embrassai à pleine bouche. C'est à cet instant que la porte s'ouvrit en grand : le troisième occupant du bureau, Boris, débarqua, le sourire aux lèvres.

 

- J'en étais sûr, mes cochons, ça baise derrière mon dos !

 

Un peu incrédules d'abord, Carole et moi rîmes de bon cœur avec lui. Au bout de quelques secondes de silence, nous nous regardâmes l'un après l'autre, moi toujours planté dans Carole, elle toujours sur son gode. Puis elle annonça :

 

- On va pas arrêter là mon chéri, je suis super excitée !

 

L'ordre était trop tentant, donc je me remis à limer. Sans se sentir exclu, Boris se débarrassa de ses vêtements du haut (blouson et chemise) et déboutonna son pantalon pour sortir un pénis épais et pas trop long (comme le gode) qui fut rapidement en érection. Il se masturbait debout et se rapprocha de nous. Carole le prit dans la main et le branla alors qu'elle avait toujours un gode dans le cul et subissait mes coups de boutoir. Nous commençâmes tous à gémir en cadence. Boris titillait du bout le clito de Carole, introduisant parfois un doigt dans son vagin, accompagnant ma queue. Lorsqu'il voulut mettre un doigt dans son cul, il se rendit compte qu'elle avait déjà le gode.

 

- Eh mais carrément, vous y allez fort. T'es une vraie vicieuse ma petite !

- Et j'adore ça petit malin ! Ça te dirait d'y mettre ta bite ?

- À ton avis, coquine ?

 

Carole ne supportait pas trop les sarcasmes macho de Boris au bureau mais semblait apprécier ce langage crû dans cette situation. Carole se mit à genoux pour sucer la queue de Boris, le gode toujours dans le cul, pour qu'elle atteigne sa grosseur optimale. Moi je suis resté contre le bureau à les regarder, à quelques centimètres d'eux. Je ne me branlais pas, ma bite était suffisamment dardée. Je retirai mon polo et je me retrouvai avec la main de Boris autour de la bite.

 

- Et, je suis pas pédé, hein ! Me dit Boris le macho. Mais t'as une belle grosse queue. Tu dois aimer ça, toi, ma petite garce ?

 

Carole se foutait pas mal de ce que disait Boris et ne se formalisait pas que sa bite soit moins longue que la mienne. Elle devait avoir bon goût car Carole était goulue. Boris continua à me branler.

 

- Tu sais Boris, lui dis-je, je ne suis pas à proprement parler un pédé, mais j'ai déjà fait des trucs avec des mecs. Tu serais surpris du plaisir que tu aurais.

 

Carole se releva, visiblement étonné de ma déclaration. Elle sembla médusée de voir que Boris me branlait.

 

- Tu vas remonter dans mon estime Boris si tu continues comme ça.

 

Carole se remit à sa place sur le bureau, le gode toujours bien enfoncé, les jambes écartées.

 

- Boris, c'est ici que ça se passe mon petit.

 

Boris ne se fit pas prier et s'approcha pour s'empaler jusqu'à la garde dans le vagin de cette sacrée petite cochonne. Alors que les va-et-vient étaient rapides, je restai tout près d'eux, me laissant branler par Carole et Boris en même temps et léchant les seins de la belle. À un moment, je me mis derrière Boris, descendant son pantalon puis son caleçon et lui caressai l'anus. Il ne dit rien, Carole me sourit. Elle m'attrapa une main et lécha tous les doigts :

 

- Mets lui donc ça dans le cul !

- Euh là je ne suis pas sûr de...

 

J'avais déjà introduit un doigt dans le cul de Boris qui voulut se débattre. Je le poussai en avant, il pilonna un peu plus profondément Carole et accepta finalement plusieurs de mes doigts.

 

- Il va falloir dilater tout ça, dis-je, si tu veux accepter autre chose.

 

C'est le moment où Carole décida de se faire prendre par deux queues à la fois. Boris s'installa assis contre le bureau, la verge en avant. Carole retira le gode et je l'aidai à s'empaler par le cul sur la bite offerte, sans aucun mal. Boris tenait Carole par les bras tandis que je m'introduis dans son con tout mouillé. Nous nous mîmes à bouger ensemble, les bites butant l'une contre l'autre, Carole gémissant à chaque mouvement. Boris aussi semblait bien plus excité dans ce trou plus étroit. Il ne mit pas trop longtemps à venir alors que Carole en était déjà à deux ou trois orgasmes. Moi, je me retenais tant bien que mal. Boris jouit assez bruyamment, le corps de Carole fut parcouru de spasmes. Je continuai à limer alors que Boris et Carole ne bougeaient plus.

 

- Ok les gars, c'était vraiment parfait. Laissez- moi me reposer un instant, annonça la belle qui avait bien payée de sa personne.

 

Je me retirai. Carole se libéra de Boris et s'agenouilla devant moi, voulant que je jouisse sur elle. Elle m'astiqua sévère et mon sperme gicla sur sa bouche, ses cheveux, ses seins et son chemisier. Elle me nettoya bien la bite. Boris était resté comme il était, les bras en arrière en soutien, la bite en avant, souillée des secrétions de Carole et de son sperme. Je me mis alors à genoux et pris la bite de mon collègue de bureau dans ma bouche. Il fut surpris, mais me laissa faire. Je lui nettoyai la queue tout en le pompant pour lui rendre sa virilité maximale.

 

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- Oh génial, s'écria Carole, mon chéri tu es un génie, tu sais tout faire.

 

Elle s'allongea par terre derrière moi, passa sa tête entre mes jambes et se mit à sucer ma queue qui avait dégonflé (j'aime bien sucer un mec pour l'incongruité de la chose, et le goût, mais ça m'excite peu). La bite de Boris était très bonne, le foutre de la belle et son sperme se mélangeaient à merveille. Les deux pénis reprirent ensemble de la vigueur. Carole ne cessait de faire des "hum" en me suçant. Je cessai ma séance homo et annonçai la couleur :

 

- Boris, tu as bien enculé Carole, je viens de te sucer, pour parfaire ta culture je te propose de te faire enculer à ton tour.

 

À ces mots, Carole se releva et dit qu'elle était d'accord, qu'elle allait lui foutre son gode dans le cul bien profond. Boris, finalement, ne se fit pas trop prier, excité qu'il était, et il se retrouva à moitié allongé sur le bureau, pointant ses fesses vers Carole. Elle lubrifia de nouveau le gode dans son vagin tout en titillant l'anus de Boris avec ses doigts et avec sa langue. Puis elle commença à enfoncer le godemiché assez lentement et sans grande difficulté. Boris dandina du cul pour l'aider. Carole, agenouillée derrière le cul de Boris, était en train de l'enculer avec son gode. Du délire ! Elle me fit signe de lui apporter son sac. Elle en sortit un préservatif et du lubrifiant. Avec quelques signes, elle me dit qu'elle voulait que j'encule Boris. Je compris vite l'intérêt de la capote, finalement plus facile à lubrifier, car mon calibre était imposant pour un cul novice. J'enfilai le préservatif large size et m'apprêtai à me mettre du lubrifiant.

 

- Non, prends-moi en levrette ! Annonça Carole.

 

Ce que je fis pendant quelques instants, avant que Carole ne dise à un Boris amorphe, soumis, que le gode n'était pas assez gros et qu'il lui fallait du sérieux. Il tourna la tête et me vit approcher la bite en main. Il manifesta un peu, mais Carole se mit sur le bureau, lui présentant sa chatte épilée sous le nez.

 

- Ça va aller, bouffe-moi en même temps et tu vas adorer !

 

Je mis ma queue à l'orée de l'anus masculin et commençai à pousser lentement. Ma bite était bien lubrifiée et le cul de Boris plutôt souple. Je ne mis pas très longtemps, petit coup par petit coup, à entrer en entier. Puis je me mis à limer et là Boris se mit à gémir grave. Il ne pouvait plus se concentrer pour lécher Carole. Elle reprit son gode et se le mit énergiquement dans le vagin. Ce trou étroit me comprimait la bite qui ne cessait de vouloir grossir. Les gémissements de Boris devenaient de plus en plus plaintifs. Je ne savais si je devais continuer car je ne me sentais pas venir alors que je grossissais toujours. C'est à ce moment que notre maîtresse de cérémonie décida d'en finir avec elle et moi. Elle sauta à terre, se mit à quatre pattes sur la moquette et m'invita dans son cul, ouvrant son anus à deux mains. Je me retirai sans prévenir de Boris, le macho enculé, et je me plaçai derrière elle. Je m'enfonçai avec difficulté, son cul devant être habitué à son petit gode, son anus étant finalement moins dilaté que celui de Boris. Mais j'y allai sans ménagement, bien décidé à lui mettre le paquet. À ce régime de va-et-vient profonds, pendant plusieurs minutes, le cul de Carole se dilata bien et elle se mit à gémir de plaisir. Elle eut plusieurs orgasmes. Moi j'étais long à venir car j'avais déjà juté peu avant. Boris s'assis devant elle pour se faire sucer. Au moment où je lâchai mon sperme dans ses entrailles, elle gueula littéralement. Mes longs jets la remplirent et son corps se raidit. Boris se termina à la main, il jouit une nouvelle fois lui aussi.

 

Cette petite séance terminée, nous fûmes heureux. Chacun se rhabilla (nous ne nous étions pas trop déshabillés de toute façon) et sans trop de mots prononcés, Boris et Carole partirent le sourire aux lèvres en disant à lundi ! Je restai, espérant travailler enfin, mais au bout d'une demi-heure, comme j'avais toujours la main sur la bite, je décidai de rentrer.

 

Fin

 

Ce texte a été publié sur le site de Story X en 2010

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 22:30

Licenciement

cochon

Monsieur, est-ce que j’ose vous dire ?
Je n’entends plus vos mots ! Je vous respire…
Votre douce odeur me grise et m’attire,
Et votre chemise entrouverte m’invite à tous les délires.
J’imagine mes mains lentement vous dévêtir,
Oh ! Poser sur votre peau mes lèvres brûlantes de désirs…
Hélas ! Je vois bien que vous n’êtes pas prêt à consentir,
Puisque vous me montrez la porte et me priez de sortir !

Amanda

Angela

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 18:30

Confessions zoophiles - 2

 

zoo

 

 

 

Seule avec Benga par Nina

 

Je m'appelle Nina, jeune femme de 24 ans, brune yeux bleus

 

Voici mon histoire qui s'est déroulée il y a quelques mois, mon petit ami était parti "chez des copains" et m'avait laissée seule avec notre chien Benga un bel épagneul

 

Je décidai de m'habiller de façon à pouvoir me caresser en m'excitant je mis donc un beau petit string noir, une minijupe et un petit débardeur puis m'installai devant mon ordi et je commençai à regarder des sites pornographiques de tous genres : du banal en passant par le scato - uro - zoo enfin bref vous voyez le genre.

 

Quand soudain une envie de me badigeonner la chatte de Nutella et les seins d'huile me prit, je pris donc la bouteille d'huile et le pot de pâte à tartiner et partis dans la salle de bains je me déshabillai puis commençai à m'asseoir dans ma douche, je pris l'huile et m'en mis sur tout le corps, cette sensation douce et froide m'excita au plus haut point je me badigeonnai tout le corps puis pris le Nutella, j'en mis sur ma chatte et commençai à me caresser en me passant au début juste un doigt dans ma fente pour m'imaginer une petite langue douce quand l'idée folle me vint de me faire lécher par mon chien Benga, puis je l'appelai il arriva je mis du Nutella sur un de mes doigts puis j'ai dirigé ma main vers ma minette qui mouillait comme une folle, son premier coup de langue me fit un effet électrique, je la sentais elle était si grosse et me léchait aussi bien mon petit trou que mon clitoris en feu, je ne m'imaginai pas que des si gros coups de langue me rendrai folle à ce point, je ne tardai pas à jouir comme une chienne.

 

Pour le remercier je lui donnai de la pâtée pendant que je me lavai.

 

Je me mis devant ma télé réfléchissant à tout ça et je ne pus m'empêcher d'écarter les jambes en espérant qu'il recommencerai, je n'attendais que ça, voyant qu'il ne venait pas, je pris de la crème fraîche et m'en reversai sur la chatte et là il se remit à la lécher et à me faire jouir, quand ce fut fini je ne pus m'empêcher de prendre sa salive se trouvant sur ma chatte et à tout lécher, humm, rien que d'y penser j'en ai la chatte toute trempée.

 

Depuis je n'arrête pas de l'attirer dès que je peux, même quand mon copain est là, c'est plus fort que moi.

 

J'espère un jour pouvoir lui rendre la pareille mais je ne suis pas encore prête pour le moment

 

J'espère que mon histoire vous aura fait jouir autant que moi.

 

Bisous sur tous vos jolis sexes aussi bien aux filles une bonne léchouille qu'aux garçons

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Expérience zoophile involontaire par Carita

 

Je suis une grande blonde, relativement svelte et très portée sur le plaisir. J'aime m'enfermer dans ma salle de bain, détacher le pommeau de douche du tuyau. En effet, j'ai découvert que lorsque je projetais à forte puissance le jet d'eau sur mon clitoris, il m'était facile d'atteindre l'orgasme. Ce dernier s'est révélé encore plus fort lorsque je me suis mise à lire des récits provenant de ce site, simultanément. Même si les histoires zoophiles m'ont toujours fait un effet indescriptible, même en ayant un chien chez moi, je ne supportais pas l'idée de "faire des choses" avec lui.

 

Un jour, je venais de "jouer" et je sortais de ma salle de bain, le clitoris encore très sensible, la moindre caresse provoquait en moi la montée de l'orgasme. C'est alors que mon chien apparut dans l'embrasure de la porte de ma chambre. En colère contre lui car il lui est interdit de monter à l'étage, je lui demande fermement de redescendre. Je l'entends s'exécuter pendant que je retourne dans la salle de bain me coiffer. Je remarque alors, sur le grand tapis blanc, qu'une boite de pinces à cheveux s'est répandue sur le sol. Je me mets alors à quatre pattes pour ramasser.

 

Je sens alors un souffle derrière moi, cependant, je n'ai pas le temps de me retourner lorsqu'un poids m'oblige à presque m'aplatir sur le sol. Pensant que mon chien veut jouer, je lui caresse doucement la tête. Quelques secondes plus tard, je sens une sorte de pointe, appuyant à coups répétés sur ma fesse droite. Pour savoir d'où provient cette pointe, je me tourne légèrement sur la gauche, et je la vois, je vois cette énorme bite, oui, mon chien a une trique monstre. Cependant, j'ai réagi trop tard. Ma torsion a permis à mon chien de trouver ma chatte et, par un violent coup de reins, il y pénètre, encore et encore sans retenue. Le plaisir monte en moi, malgré moi. Je sens ma chatte se remplir de son énorme membre à chaque coup de rein de sa part. Il va de plus en plus vite. Je me rends compte que je suis en train de me faire baiser par un chien, je le repousse et il finit par sortir définitivement. Je repose alors mes fesses sur mes talons et reste assise quelques secondes pour réaliser ce qui vient de se passer. Cependant, je ressens toujours le souffle dans mon dos qui accélère. En une demi seconde, mon chien a sauté de nouveau, mais cette fois il trouve le trou tout de suite. Mais pas le bon, je le sens en moi, dans mon cul et sa grosse bite me décape l'anus. Je le laisse faire. Ses coups répétés me font hurler mon plaisir. Par un geste maladroit, il se retire, puis après une hésitation, il entre à nouveau. Il a retrouvé ma chatte humide, et ça n'a pas l'air de lui déplaire. Il frappe de plus en plus fort. C'est alors que je sens le nœud se former. Je sais que je peux rester bloquée donc je mets ma main pour retirer son énorme membre de moi. Cependant, ma main glisse sur sa bite pleine de cyprine et je ne parviens qu'à lui donner plus de plaisir en le masturbant involontairement. Le nœud se forme, grossit, grossit, et on plaisir s'intensifie. L'orgasme que je retenais explose en moi. Puis un grand flot de sperme jaillit dans mon corps provoquant un autre orgasme. Le chien se retire, visiblement satisfait de s'être vidé les couilles sur mon pauvre corps meurtri. Une expérience involontaire que je n'ai pas regretté, croyez le bien !

Fabienne se sentait bien seule… par Kubila

Fabienne se sentait bien seule… Son mari André, était en voyage d’affaire au Vietnam et ne serait de retour que dans une semaine. Ses enfants en vacances chez leur grand-mère pour tout l’été. En fait, il n’y avait que son chien pour lui tenir compagnie, Rex le Rottweiler de son mari. Fabienne se sentait délaissée. Pourtant à 35 ans c’est encore une belle femme 1,60 m brune 50 kg environ et des seins qui notamment lorsqu’elle les expose sur la plage ne laisse pas indifférents.

Il est tard. Fabienne, nue dans son lit commence à se caresser en pensant à André. Elle caresse ses seins, titille ses tétons. Petit à petit une étrange chaleur commence à monter dans son bas ventre. Elle ferme les yeux, ses mains maintenant descendent pour atteindre son pubis. Ses mouvements se font plus fort, elle commence à mouiller..

C’est alors qu’elle sent une langue lui lécher le clitoris. Son plaisir décuple et sent que, si cela continue, elle va avoir un orgasme. Sur le coup elle croit qu’André est revenu à l’improviste et lui fait une merveilleuse surprise. Elle ouvre les yeux. : A sa grande surprise elle voit REX qu’elle croyait endormi au pied du lit lui lécher son clitoris. Fabienne a un sursaut, un mouvement de recul.

– REX, vas-t-en !

Mais REX n’as pas l’intention d’obéir. Fabienn monte le ton et le chien la queu entre les jambes sen va dans son coin…. Pas pour longtemps

C’est vrai qu’avec les yeux fermés, elle aurait presque pu croire qu’André lui léchait son clito. Humm que c’était bon… Ça y est son envie dans son bas ventre lui reprend. Ses mains redescendent titiller son clito. Elle commence à suer à grosses gouttes sous cette canicule. Le plaisir revient. Elle se cambre pour mieux jouir..

Au diable REX, Fabienne prend son pied. A nouveau elle sent une langue sur sa chatte, mais son plaisir est trop fort. Fabienne garde les yeux fermés tandis que REX continue à lécher sa petite chatte. Fabienne mouille, inonde les draps. Elle se crispe. REX donne le premier orgasme à sa maîtresse Fabienne.

– Oui REX… C’est bon, lèche bien ta maîtresse… Oh, j’ai envie d’une bonne bite !

Fabienne se retourne sur le côté et offre son anus à Rex qui s’empresse de lui lécher. Mais celui a maintenant d’autres idées et commence à agripper Fabienne.

– NON REX… pas ça !

REX se fait de plus en plus pressant. Fabienne peut sentir sa bite sur son cul. Celui-ci insiste lourdement.

Fabienne se met à quatre pattes et offre son cul à son chien REX. Ce dernier n’attendait que ça. Il se met en position et pénètre le vagin de Fabienne. Sa bite est énorme et remplit complètement le vagin de Fabienne. Fabienne n’en peut plus et commence à pousser des petits cris.

– Oui REX… Hum c’est bon… Oh je suis ta chienne… Bourre-moi à fond. « 

Fabienne sent un orgasme venir. Elle crie maintenant de plaisir tandis que REX s’agite de plus en plus fort en elle.

– Tu veux jouir dans ta maîtresse, mon salaud ?

C’est à ce moment-là que REX répand son sperme à l’intérieur du vagin de Fabienne, ce qui lui provoque un nouvel superbe orgasme. REX se calme et semble épuisé tout comme Fabienne d’ailleurs.

Fabienne resta collée à REX pendant encore une demi-heure, comme une vraie chienne avant enfin de pouvoir s’endormir épuisée inondée du foutre de REX dégoulinant encore entre ses cuisses.

 

Kubila

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 10:54

Les stylistes en folies

StampFFH

Whaah, la réflexion qui tue !

 

"Sucer les garçons et dessiner des petites culottes."

 

C'était la réponse de Malvina

 

Bien fait pour moi. On me les avait présentées ce matin et j'avais retrouvé Annabelle et Malvina, les deux apprenties stylistes, à la machine à café et je les avais charriées à propos de leurs tenues à la pointe de la mode et... passablement légères, voire provocantes. Chacune une vingtaine d'années et un corps de rêve joliment mis en valeur dans un collant et un body noir moulant... Malvina est une brune au visage un peu typée avec des yeux de braise, une bouche gourmande et une peau de miel. Annabelle est une vraie blonde à la peau très pâle. La conversation avait pris un tour mi-anodin mi-coquin, et lorsque je leur avais demandé quels étaient leur job, Annabelle avait répondu que sa spécialité était de dessiner des chemisiers. 

 

- Et toi Malvina ? 

 

C'est là qu'elle me répond : 

 

- Sucer les garçons et dessiner des petites culottes.

 

Il ne faut pas me tendre des perches pareilles : 

 

- Ah ça, je veux bien voir un échantillon, alors ! Mais, heu... pas des dessins, hein ?

- Tout de suite ! Me répond Malvina sans une hésitation, suis-nous dans la salle d'échantillons !

 

Je suis les deux jeunes filles dans un véritable labyrinthe de couloirs et d'escaliers et nous parvenons dans une grande salle sous les toits, inondée de soleil. La pièce est encombrée de ce qui me semble un invraisemblable capharnaüm : mannequins plantés sur leurs socles, milliers d'articles dans un désordre indescriptible...

 

- Voici notre antre, me déclare Malvina, mais attends, on va te montrer ce que c'est que des modèles vraiment légers et provocants !

 

Malvina et Annabelle piochent ici et là un certain nombre de fringues et disparaissent à l'abri d'un grand paravent. Derrière, ça glousse, ça s'active, et rapidement les vêtements qu'elles portaient se retrouvent accrochés en haut du paravent.

 

La situation est complètement irréelle : me voilà dans une pièce isolée de tout et au décor incongru, et les deux collègues avec qui je discutais tranquillement il y a à peine cinq minutes sont maintenant surexcitées et nues à deux pas de moi (dont l'une se vante d'être une spécialiste de la fellation). Mon sexe commence à gonfler sérieusement dans mon jean.

 

Malvina et Annabelle sortent en même temps de leur abri, en terminant de s'ajuster : le spectacle est saisissant et une vague de chaleur me remonte jusqu'au visage. 

 

Malvina porte le même genre de collant et de body, mais pratiquement totalement transparent ! On voit complètement ses seins, moulés par le tissu et merveilleusement exposés. Même ses tétons qui pointent sont moulés par le tissu. Oh, que j'ai du mal à me retenir d'y porter tout de suite la main ! 

 

- Pas mal, hein ? me dit Malvina, le problème, c'est que le tissu est si fin qu'on ne peut pas mettre de slip ni même de string, ça fait des marques affreuses. Et c'est tellement transparent que j'ai été obligée de m'épiler complètement parce qu'autrement on ne voyait que ma chatte ! 

 

Irrésistiblement mon regard descend sous le niveau de sa taille et ce que je vois n'est pas fait pour me calmer : le tissu du body par-dessus celui du collant ne suffit pas à cacher le ventre épilé et les contours de son mont de vénus. Est-ce mon imagination ? J'ai même l'impression qu'on distingue le début de sa fente. L'envers vaut l'endroit, deux petites fesses rondes et fermes, séparées par le tissu qui rentre entre les deux globes de chair. Elle est mille fois plus provocante que si elle était nue.

 

Annabelle arbore une tenue moins transparente mais qui paraît faite de lambeaux plus ou moins libres. En fait, de grandes fentes verticales, aussi bien le long de la tunique que le long du pantalon, laissent voir son corps au gré de ses mouvements. J'aperçois son ventre, ses jolis seins arrogants, ses longues jambes et un joli string bleu, juste une bande verticale de 5 ou 6 centimètres sur son petit ventre. J'ai du mal à avaler ma salive, et plus encore à cacher une érection d'autant que les deux filles ne cherchent pas du tout à me dissimuler leur anatomie, bien au contraire !

 

Mutine, Malvina se colle contre moi pour me montrer une poignée de croquis de petites culottes qu'elle a réalisé. Comme par hasard (ben voyons) sa poitrine s'appuie contre mon bras nu et les deux pointes érigées caressent ma peau ! Annabelle s'appuie contre moi de l'autre côté, une main sur mon épaule, et comme par hasard encore, les fentes de ses vêtements s'entrouvrent et sa peau nue se colle contre mon autre bras. Et dire qu'elles sont en train de me montrer des dessins de petites culottes...

 

Heureusement, les croquis me permettent une transition facile : 

 

 - Mais ce n'est pas du tout ces échantillons-là pour lesquels je suis venu, je vous rappelle !

- Ahhhh ouiiii ! répond Malvina en se débarrassant des dessins, c'est mon autre spécialité qui t'intéresse ? Demande-t-elle avec un air faussement innocent et en portant la main sur la bosse bien développée de mon pantalon. Ohhh, mais on dirait que tu nous apprécies déjà bien, toi ! Dit-elle en découvrant la taille de mon érection. Wouaaa ! Annabelle, il bande vachement !

 

Annabelle, plus réservée, ne va pas vérifier et se contente de se presser un peu plus contre moi. Malvina reprend alors l'initiative : 

 

- Ah ça, tu vas avoir droit à un échantillon gratuit de ma spécialité, toi ! 

 

Avec un air gourmand et décidé, elle se tourne face à moi, déboutonne mon jean et commence à le descendre sur mes hanches en même temps que mon caleçon. Pour faciliter le passage malaisé de mon sexe érigé elle s'agenouille devant moi et s'aide des deux mains. Elle rit lorsque ma verge enfin libérée de son carcan semble lui sauter au visage et l'admire de tous côtés avec un air satisfait. Des yeux, elle jauge déjà l'engin qu'elle va bientôt manipuler.

 

D'un geste décidé, elle continue de descendre mes vêtements jusqu'à mes chevilles et me fait lever les pieds pour m'en débarrasser. Mes chaussures, chaussettes, jean et caleçon voltigent. Dans son mouvement pour relever la tête, mon sexe caresse ses cheveux et tout le côté de son visage. Une onde de plaisir me parcourt tout le corps et ma bite se raidit davantage, appuyant contre sa joue douce et tiède. Sans perdre le contact, elle me regarde droit dans les yeux avec un sourire complice, puis sa main vient prendre mon sexe, le caresse deux ou trois fois, l'étreint doucement, puis elle tourne lentement la tête jusqu'à ce que ses lèvres en touche la racine. Contre moi, Annabelle retient son souffle, la main crispée sur mon épaule et le regard rivé sur mon sexe et la bouche de Malvina qui le frôle.

 

Lentement, les lèvres de Malvina suivent toute la longueur de ma verge, résistant aux soubresauts incontrôlables provoqués par cette interminable caresse. Parvenue au bout, elle entrouvre légèrement les lèvres, laissant juste pénétrer la pointe de mon gland et je sens son souffle chaud me caresser. Je réfrène difficilement un gémissement. Du bout de la langue, Malvina agace la pointe de mon sexe qui se gonfle encore et tressaute sous les ondes de plaisir. Progressivement, elle ouvre un peu plus les lèvres et mon sexe pénètre peu à peu dans sa bouche. Je retiens les mouvements convulsifs de mon ventre autant que je peux et mon gland parvient jusqu'au fond. Malvina, appliquée et sensible à mon plaisir, reste un instant immobile, me laissant profiter des sensations merveilleuses qui m'envahissent. Reprenant mon souffle, j'enlace Annabelle par la taille et lui glisse à l'oreille 

 

- Hummm, c'est terriblement bon ce qu'elle me fait, tu sais ! 

 

Dans le même instant, je passe ma main dans une fente de sa tunique et elle passe la sienne sous mon tee-shirt. Mes doigts effleurent ses seins dont les bouts pointent et durcissent immédiatement sous mes caresses. Sa main parcourt ma poitrine et mon ventre avec une incroyable douceur.

 

Malvina se rappelle à moi en serrant les lèvres autour de mon sexe et je me cambre, cherchant à pénétrer sa bouche plus encore. Avec une lenteur insupportable, elle entame un mouvement de va-et-vient le long de ma verge raidie, m'arrachant des frissons d'impatience. Je me venge bassement en pinçant doucement les tétons d'Annabelle qui se contracte avec de petits gémissements, son ventre chaud et palpitant venant se coller contre ma hanche. Malvina pose une main sur mes fesses pour contrôler mes mouvements, et de l'autre vient caresser doucement mes couilles en feu. Un doigt mouillé s'approche de mon anus, et me frôle l'anus, semble hésiter, puis devant mon absence de protestation s'hasarde à y pénétrer. J'avoue en trouver la sensation agréable. Ma respiration enfle et s'accélère. Le spectacle de mon sexe entrant et sortant de cette bouche si douce m'hypnotise.

 

A son tour, Annabelle que j'ai un peu délaissée se rappelle à moi en griffant doucement mon ventre. Abandonnant les fentes de sa tunique, je passe ma main dans une de celles de son léger pantalon, caresse une hanche, l'aine, le ventre chaud et musclé qui se contracte sous mes doigts. J'atteins l'étroite bande de tissu de son string sous laquelle ma main s'insinue, découvrant une mini-toison courte et soyeuse. D'un mouvement du bassin, Annabelle pousse son ventre à la rencontre de ma caresse. Mes doigts glissent jusqu'au bas de sa toison, puis rencontrent un petit anneau traversant sa peau juste au début de sa fente. Surpris, je marque un temps d'arrêt, mais d'une pression du bassin, Annabelle m'invite silencieusement à continuer mon exploration. 

 

Sa respiration est devenue aussi saccadée que la mienne, un peu rauque, et ses yeux sont rivés sur mon sexe qui va et vient entre les lèvres de son amie. Le bout de mes doigts atteint sa fente palpitante et brûlante, l'ouvre doucement et descend le long de sa vallée inondée. J'explore sans ménagement les replis de son sexe, encouragé par les pressions de son ventre qui suivent mes mouvements. La pointe de mon majeur parvient jusqu'entre ses jambes et remonte, écarte ses petites lèvres et force délicatement l'entrée de son sexe. Annabelle gémit et écarte un peu les jambes pour que mon doigt la pénètre plus facilement. Abondamment lubrifié, il entre en elle sans difficulté. Annabelle gémit à nouveau, se cambre, pousse son ventre en avant. Mon doigt va et vient en elle, la masturbe sans retenue, ses gémissements et les contractions de son sexe accompagnant le rythme de mon intrusion.

 

Malvina continue à pomper mon sexe et alterne des sucions lentes et rapides, des caresses avec sa langue qui s'enroule autour de mon épieu, agace le bout de mon gland, aspire les gouttes de liquide qui s'en échappent. Mon ventre va à la rencontre de ses lèvres sans que je puisse le maîtriser. Un vertige m'envahit, ma bite pénètre une bouche, mon doigt un vagin, mes mouvements se désordonnent. Je sens ma verge se contracter, le sperme monter le long de ma hampe, et j'éjacule violemment dans la bouche de Malvina. De longs jets de semence puissants et répétés giclent sur sa langue, ses joues, son palais et sa gorge, qu'elle s'efforce d'avaler au fur et à mesure. Pendant que je me vide dans sa bouche, mon doigt se contracte dans le sexe d'Annabelle et saisie d'un spasme brutal, elle jouit aussi et mêle ses râles aux miens. La houle de nos ventres se calme et nos corps satisfaits se détendent, nous nous sourions mutuellement.

 

Ma main libère le sexe d'Annabelle et je relève Malvina Quelques gouttes de sperme ont débordé de sa bouche et glissé sur son menton et jusque dans son cou. Elle affiche un sourire épanoui, très fière de sa prestation, et m'embrasse affectueusement, sa langue portant encore le goût de mon propre sperme. Heureuse de l'effet qu'elle a produit sur moi, elle se plaque contre mon ventre, sans même prendre garde à mon sexe encore dressé et humide qui se presse sur son ventre chaud et doit laisser une jolie trace sur son body...

 

Etre nu (ou presque, je n'ai plus que mon t-shirt, avec la main d'Annabelle en dessous) avec une fille habillée dans les bras m'a toujours excité (l'inverse aussi d'ailleurs) : le corps nerveux et brûlant de Malvina qui se frotte contre le mien éveille très vite en moi de nouveaux appétits.

 

A mon tour, je m'agenouille devant elle, je dénoue le foulard qui lui sert de ceinture, et je baisse son fin collant noir jusqu'à ses chevilles. Son entrejambe n'est plus couvert que par le mince tissu du body à travers lequel je distingue le bout de son clitoris érigé qui pointe de sa fente gonflée d'impatience et d'excitation. Un pied, l'autre pied, le collant s'envole pendant que d'une main experte elle défait les boutons pressions qui maintenaient le body entre ses jambes ; impatiente, elle en relève les pans vers le haut, m'offrant un spectacle... bandant.

 

Son petit ventre est ferme et frémissant. Le pubis parfaitement épilé dévoile sa peau lisse et soyeuse. Des lèvres gonflées et entrouvertes de sa chatte, dépasse, terriblement impudique, son clito incroyablement érigé, luisant d'humidité. Cet appendice d'un bon centimètre, saillant de ses lèvres lisses, est incroyablement provocant. Irrésistiblement attirée, ma main remonte entre ses cuisses qu'elle écarte largement. Je glisse un doigt d'arrière en avant le long de sa fente détrempée jusqu'à la racine de son clitoris : il est superbement gonflé et érigé, et mes doigts mouillés le caressent et le masturbent comme un petit pénis. Le corps de Malvina vibre sous mes attouchements, son clito se tend vers moi en une invite à laquelle je ne résiste pas. Mes lèvres s'approchent de son ventre, frôlent son pubis lisse et happent son bourgeon. Malvina ne peut réprimer un feulement d'excitation et presse son ventre contre mon visage. Je tète ce petit bout de chair palpitant et elle se contracte contre moi. Je la sens venir si vite que je délaisse un moment son clito, et ma langue part explorer sa fente entrouverte.

stylistes

Annabelle se décide à participer elle aussi, elle s'accroupit à côté de moi, sa main s'empare de mon sexe et le caresse doucement. J'écarte largement les jambes pour la laisser faire : très vite elle me remet en forme et elle me masturbe alors franchement, ses longs doigts agiles parcourant toute la longueur de mon épieu. Sur ma langue, la liqueur de Malvina a un goût de miel, et je la fouille du plus loin que je peux. A nouveau, je viens téter son clitoris et je sens ses cuisses vibrer de chaque côté de mon visage, et en même temps je parcours toute la longueur de sa fente avec un de mes pouces trempés de sa liqueur abondante. Mon doigt continu son chemin, parvient à son anus, pousse doucement ; les muscles se relâchent et mon pouce bien lubrifié la pénètre profondément et sans difficulté. Malvina se contracte tout entière et jouit sans retenue, de toutes ses fibres, avec un interminable gémissement de plaisir, puis tombe à genoux devant moi, le souffle court.

 

- J'adore qu'on me doigte par derrière ! dit-elle simplement en reprenant peu à peu une respiration normale. 

 

Je dois avouer que moi aussi j'ai bien aimé sa chatte, une vraie fontaine au goût de miel, ferme, chaude et lisse. Avec Annabelle qui continuait à me masturber consciencieusement, j'ai retrouvé une érection puissante et une furieuse envie de me servir de ma verge tendue et palpitante d'impatience.

 

Délaissant Malvina rassasiée, je me tourne vers Annabelle et la déshabille entièrement, sans aucune résistance de sa part. Nue, elle nous laisse admirer son corps de déesse aux seins provoquants, au ventre légèrement bombé à peine ombré d'une toison blonde, courte et clairsemée. Le contraste avec l'anneau brillant qui orne son sexe n'en est que plus provocant.

 

Annabelle se laisse faire pendant que je la couche par terre, que je lui écarte largement les jambes, exposant sa fente béante et luisante d'excitation. Son clitoris rose traverse l'anneau d'or : on ne voit que ça au milieu de son corps. Elle plaque ses mains contre mes flancs lorsque je m'étends sur elle, déjà prête à me guider, à rythmer mes mouvements. Mon sexe appuie contre sa vulve, le gland frotte contre l'anneau et c'est terriblement excitant. La pointe de mon sexe trouve l'entrée inondée du sien et commence à écarter les lèvres gonflées et juteuses de sa vulve. Les mains d'Annabelle pressent mes hanches et m'incitent à la pénétrer.

 

Son sexe, bien que parfaitement lubrifié, est très étroit, et je le sens s'ouvrir peu à peu au fur et à mesure que je la force. Annabelle se cambre, la tête rejetée en arrière, halète et gémit sans se retenir. Elle se sent petit à petit possédée, comme moi-même je sens son vagin céder le passage à mon sexe qui l'envahit. Son corps ondule et se tord, elle geint tout au long de mon intrusion qui me semble durer une éternité. Mon sexe reçoit des sensations d'une intensité incroyable.

 

Enfin, je parviens au fond de son ventre, et je reste un instant au bord de l'orgasme, ma verge serrée dans l'étau brûlant et soyeux de son vagin étroit. Annabelle entrouvre les yeux, mais son regard est ailleurs, elle ne me voit pas.

 

Lentement, je commence à aller et venir en elle, coulissant dans son fourreau qui m'enserre comme une main chaude et humide. A nouveau, Annabelle se cambre, se tord et gémit sans retenue, sans aucune pudeur. Elle profite de tout son plaisir, de toutes les sensations qui l'assaillent et la submergent. Discrète, silencieuse et réservée avant que je la pénètre, elle s'extériorise maintenant de tout son corps. Ses mains me pressent à la pénétrer plus fort, plus loin, plus vite.

 

Mon sexe coulisse dans son ventre de toute sa longueur et je me retiens difficilement de jouir tellement c'est fort. Puis, avec un cri presque désespéré, elle jouit longuement, tous les muscles comme tétanisés, et s'effondre comme un pantin désarticulé. Je cesse pratiquement mes va-et-vient pendant qu'elle reprend ses esprits. Ses grands yeux verts et un immense sourire sont remplis de bonheur et de tendresse. Je reprends mes mouvements, impatient de jouir en elle, et elle continue à me fixer avec douceur. Rapidement, je fonds, je craque. Ses mains attirent mon visage vers le sien et elle m'embrasse avec passion lorsque je me vide puissamment au fond de son sexe. Son vagin resserré étreint ma verge et reçoit mes giclées de sperme au plus profond, pendant que sa langue fouille ma bouche. Lorsque qu'enfin j'ai fini d'éjaculer, elle me garde entre ses bras serrés, comme si d'avoir inondée son ventre de ma semence l'avait comblée. Malvina semble aussi... "émue" que nous et me caresse doucement le dos et les reins pendant que redescendons peu à peu sur terre. 

 

- Qu'est-ce que c'était bon ! commente simplement Annabelle.

- Hummm, oui, ça en avait l'air ! Moi aussi j'aimerais bien, mais attends, on ne t'a pas présenté Gilbert ? Me dit Malvina

 

Qui peut bien être ce Gilbert ? Un voyeur sans doute ?

 

Malvina a sorti de je ne sais où, un joli gode tout rose, qu'elle est en train de lubrifier avec une noisette de gel intime.

 

- Voilà, c'est Gilbert !

 

Je me dis que décidément cette fille est insatiable et qu'elle va maintenant remettre le couvert avec "Gilbert".

 

Elle me demande si ça me tente, je ne veux pas la vexer et au point où j'en suis, prendre deux trois minutes de plus pour la regarder s'exciter reste parfaitement possible.

 

- Alors tourne toi et penche-toi, tu vas voir comme c'est bon !

 

Je crains de ne pas comprendre. Elle me fait marcher, c'est sûr, d'ailleurs son ton enjoué est bien celui de la plaisanterie. Aussi ne m'inquiétais-je pas outre mesure quand l'objet se mit à vibrer à l'entrée de mon anus. Je continuais à me dire que tout cela n'était qu'un jeu quand le vibro força mon anus de quelques millimètres.

 

Et puis, il fallut bien que je me rende à l'évidence, l'engin me pénétrait maintenant de quelques centimètres.

 

Je m'apprêtais à élever une protestation à la hauteur de l'humiliation qu'on me faisait subir, mais d'une part la présence de Malvina devant moi me caressant tendrement la visage avec le plus beau des sourires, et surtout le fait que, contre toutes attentes, l'engin me procurait un plaisir trouble, me décidèrent à ranger au placard ma fierté masculine. Et quand d'une voix mutine, Malvina me demanda si "c'était bon", je me surpris à répondre :

 

- Ohhh, oui, c'est bon continue.

 

Les va-et-vient de l'objet habilement guidé de la main officieuse de Malvina s'accélérèrent et intensifièrent mon plaisir. J'étais excité, mais mon érection restait moyenne, et c'est dans cet état que très curieusement mon pénis se mit à éjaculer de façon continue pendant quelques secondes un foutre très clair.

 

- Bravo ! Applaudirent les deux filles tandis que Malvina me retirait avec précaution cet étrange objet de plaisir.

 

Maintenant que c'était fini, j'étais dans un drôle d'état d'esprit, un peu gêné, ne sachant plus quoi dire.

 

- C'est aussi une de mes spécialités, ça, de dépuceler les mecs, mais avoue que si je t'avais dit ça à la machine à café, tu ne nous aurais jamais suivi.

- C'est vrai !

- Mais tu n'es pas le premier à qui on fait ça, parfois ça marche, parfois ça ne marche pas, tu le referas.

- A l'occasion, pourquoi pas ?

- Si tu veux demain, on te présentera Jean-Luc, ce sera encore mieux qu'avec Gilbert.

- Ah, bon et qu'est-ce qu'il a de mieux ce gode.

- Ce n'est pas un gode, c'est un styliste, il est mignon comme tout.

 

J'allais protester, j'ai préféré ne pas répondre. Je me suis rhabillé, m'étonnant dans un premier temps de ne pas voir les filles remettre leurs propres vêtements. Puis je compris, comme si je n'existais plus Annabelle lapait avec gourmandise le téton érigé de Malvina qui se pâmait sous la caresse. Je me donne un bref coup de peigne, me retourne pour avoir les deux filles s'échanger un broute-minou humide en position de soixante-neuf… Il est plus que temps pour moi de regagner mon bureau.

 

Le soir je me suis acheté un vibro dans une sex-shop, un joli vibro beige à vitesse variable, j'ai joué avec en me couchant m'imaginant que je faisais l'amour avec Malvina pendant que l'énigmatique Jean-Luc me prenant par derrière.

 

Belle-cour

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 10:22

Amélia se déchaine par Belle-cour

Stamp secretaire

Je me nomme Jules et je suis étudiant en lettres. J'ai 24 ans, ma petite amie Amélia est une jeune femme assez réservée, une excellente amante et poète à ses heures.

 

L'autre fois, en regardant mes couilles, elle m'a dit "les courbes de tes testicules me fascinent autant que le spectacle enivrant d'un tableau de Sonia Delaunay". Une réflexion qui m'a chavirée !

 

Il est temps maintenant de vous narrer mon histoire qui vous le verrez est fort spéciale, mais n'anticipons pas

 

C'était un vendredi soir les parents d'Amélia étaient partis diner en ville, m'avait-elle dit :

 

- Allo ! Jules ! Ça te dirait de passer à la maison, mon petit chéri ?

- Bien sûr, quand ça ?

- Mais tout de suite mon petit chéri ! J'ai trop envie de toi !

- Ah bon !

- Humm, si tu savais, j'ai envie de prendre ta bite toute entière dans ma bouche de pute !

 

Qu'est-ce qui lui arrive ? Elle a pété les plombs ou quoi ?

 

Je sonne, la voix d'Amélie me crie que c'est ouvert ! C'est un peu comme dans les films américains ici, infoutus de fermer une porte !

 

Je suis éberlué parce que je vois ! Ma copine est là, en dessous très sexy noir en dentelle dont un soutien-gorge contenant très bien sa grosse et jolie poitrine 

 

Elle est excitée comme pas deux et commence immédiatement à m'enlever mon pantalon et à me tailler une pipe. C'est alors que je la soulève et la retourne pour pouvoir moi aussi humer l'adorable parfum de sa voluptueuse chatte. Elle est déchainée elle me suce à m'en faire exploser les couilles mais moi aussi je m'acharne sur sa chatte qui est trempée par l'excitation. Je mets sa chatte dans ma bouche et je commence à lui lécher le clitoris et quasiment immédiatement elle commence à se tortiller de plaisir. Elle est en train d'avoir son premier orgasme de la soirée. 

 

On souffle un peu et elle se met en levrette m'invitant à la pénétrer. Et au moment où j'allais le faire, ses parents sont apparus dans l'encoignure de la porte.

 

Dans ces moment-là parfois on pense et on fait n'importe quoi. La première pensée qui m'est venu à l'esprit a été de me dire que leur bouffe au restaurant n'avait pas duré bien longtemps, ensuite je me suis caché derrière le côté du canapé.

 

- Mais ne vous gênez pas pour nous. Nous aussi on a été jeune, continuez, mais continuez, ça vous ne dérange pas qu'on se rince l'œil ?

- Mais non papa ! Répond Amélia.

 

Qu'est-ce que voulez que j'ajoute ,

 

Moment d'hésitation, Amélia me masturbe et me flatte les couilles. La mère d'Amélia pose sa main sur la braguette du père, puis lui sort la bite et commence à la branler

 

- Prends-moi ! Me supplie Amélia, ne t'occupe pas d'eux, tant mieux si on les excite !

 

Sortant de l'ombre j'entreprends ma pénétration dans la chatte d'Amelia qui était toute chaude de voir ses parents s'exciter devant elle d'autant que maintenant sa mère avait la bite du père en pleine bouche

 

Amélia était plongée dans une sorte de plaisir interminable et puis comble de tout, je mis ma semence partout sur elle c'est à ce moment qu'elle poussa un cri du tonnerre tout en tombant dans mes bras.

 

J'étais épuise et c'est là que la mère d'Amelia qui après s'être débarrassée de ses fringues à la vitesse grand V vient pour me sucer et je n'en revenais tout simplement pas. Une vraie furie, elle me gobait les couilles, l'enfonçait un doigt dans ma anus. Fou d'excitation, je la retournai et commençai à l'enculer frénétiquement jusqu'à ce qu'elle me supplie d'accélère, ce que je fis volontiers. Juste au moment où elle allait avoir un autre orgasme je sortis mon membre maculé de merde et lui demandais de se coucher sur le dos elle me fit une cravate de notaire du tonnerre de dieu avec ses grosses mamelles blanchâtres. et je lui éjaculai dessus elle criait à rendre son mari jaloux.

00Carre

Au même moment Amélia et son père nous regardaient en se masturbant mutuellement. Amelia avec sa main branlait la bite de son père tandis qu'il lui introduisait ses doigts dans la chatte mouillée. Puis elle s'accroupit, pris la bite du paternel dans la bouche et ne la lâcha que quand celle-ci juta son sperme.

 

- A toi, maintenant ! me dit ma copine.

- A moi de faire quoi ?

- Ben de sucer la bite de mon père !

 

J'aurais pu refuser, je n'avais jamais fait ce genre de choses, mais je n'étais pas contre et même que dans mes fantasmes secrets… Mais là j'étais pris au dépourvu. Cela dit je n'envisageais pas de me dégonfler devant ma copine.

 

Je pris donc cette bite encore gluante de sperme dans ma bouche et elle ne tarda pas à rependre une bonne vigueur. Je m'étonnais de la douceur de la chose, tentait de m'appliquer mais le papa se rendit bien compte que j'étais loin d'être une expert en la matière.

 

- Tu veux que je t'encule.

- Pas aujourd'hui une autre fois peut-être.

- T'as tort ! Me dit Amélia, il encule très bien, moi j'aime bien !

- Oui mais toi tu es une femme !

- Justement je ne vois pourquoi le plaisir anal serait réservé aux femmes, allez amène ton cul ! Me dit-elle d'un ton péremptoire

 

Il est parfois des arguments imparables.

 

Une minutes parés j'avais la bite du papa dans mon trou du cul, l'introduction n'a pas été évidente, ce mec n'a rien d'un sauvage, mais une bite c'est plus gros qu'un doigt !

 

- Arrêtez, arrâtez, j'ai mal !

- Ça va passer, on essaie encore une minute.

- Non, non !

 

Il a continué, et curieusement la douleur a fait place à des ondes de plaisir qui secouèrent tout mon être. Je n'en revenais pas que ce soit si bon de se faire sodomiser. 

 

Pendant ce temps, Amélia était venu faire un câlin à sa mère, lui nettoyant de sa langue le sperme et les traces de merde qui étaient restés sur sa belle poitrine.

 

Elle me regarda ensuite avec un air vicieux :

 

- L'inceste est très pervers, mais ça me fait tellement mouiller, hummm.

 

Parfois on ne sait que dire ! Donc je ne dis rien. Tout le monde se rhabille.

 

- Je vais vous laisser… Balbutiais-je

- Pas avant d'avoir trinqué, cette petite sauterie improvisée était géniale, venez, nous allons boire un verre.

 

Le paternel a débouché une bouteille de Bourgogne. Ma foi c'était du bon pinard.

 

- Pas mal, n'est-ce pas ? Du Gevrey Chambertin, j'en ai fait rentrer trois caisses… Mais je vous en prie, emportez-en une bouteille chez vous, c'est cadeau.

- Ah, ben merci, au revoir toute le monde.

 

J'ai embrassé Amélia, et je suis rentré me coucher, trop crevé.

 

Le radio-réveil me réveille, je sais c'est fait pour ça, mais aujourd'hui c'est samedi. J'ai fait un de ces rêves, ma petite Amélia qui était déchaînée à tel point qu'elle a même sucé la bite de son père ! C'est idiot les rêves, on est-ce qu'on va chercher des bêtises pareilles ? Enfin ce n'est qu'un rêve !

 

Mais que fait cette bouteille de Bourgogne sur mon guéridon ?

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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