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Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 6 – Orgie au gîte rural par Maud-Anne Amaro
– Avons-nous rempli notre part de contrat ? Demande Justin au maire qui se rhabille en oubliant de se rincer la zigounette.
– Mais parfaitement, je vais faire cesser toutes les poursuites liées à cette histoire d’échafaudage, je vous renouvelle mon accord pour l’exploitation de la grotte, vous m’apporterez un projet détaillé au plus tôt, je devrais le faire approuver par le conseil municipal, mais comme il n’y a pas d’opposition… Et vous pouvez rester ici le temps qu’il vous plaira. N’ayez crainte je ne suis pas un enquiquineur et ne solliciterai aucune autre comment dire… fantaisie, mais celle-ci était très bien, je vous remercie tous les deux.
Justin et Isabelle reviennent tout contents auprès de leurs compagnons.
– J’ai la promesse du maire de me laisser installer l’ascenseur. Annonce Justin.
– Il ne risque pas de se rétracter ?
– Non, j’ai fait ce qu’il fallait pour qu’il ne se rétracte pas !
– Ou alors ce serait vraiment le roi des salauds ! Ajoute Isabelle.
– Donc on pourrait rentrer et on reviendra quand l’ascenseur sera installé. Suggère Martinov.
– C’est comme vous le sentez, mais vous pourriez profiter de la région, restez donc quelques jours, le maire me loue un gîte rural à Glandville. On va tous y aller.
– Je crois que je vais accepter, dit Beatrice.
– Moi, je ne sais pas. Dit le professeur.
– Toi, tu ne vas pas faire ton vieux ronchon, l’air de la montagne, ça ne peut que te faire du bien.
– Bon, bon.
– Moi je vais vous laisser… commence Solène
– Pourquoi ? Tu n’es pas bien avec nous ? Lui demande Bea.
– Si, si, mais…
– Alors tu restes !
Dorothée allait dire quelque chose, elle n’eut pas besoin de le faire.
– Toi aussi tu restes ! Dit simplement la jeune chimiste.
– Faudra qu’on s’organise intervint Isabelle, un gîte c’est pas l’hôtel, faudra faire les courses, la cuisine…
– Je peux m’occuper de tout ça, je peux faire tout ce que vous voudrez, je suis très docile, en fait j’adore jouer à l’esclave.
Une déclaration qui provoque la stupéfaction du petit groupe à l’exception de Béatrice et de Solène qui ont eu l’occasion de découvrir les dispositions de la jeune rebelle.
La joyeuse compagnie s’est donc installée. En maîtresse de maison improvisée, Isabelle procède à l’organisation de tout ce petit monde.
– Vous voulez manger quoi ce soir ? Une paella, ça vous dit ? Dorothée, je vais te faire une liste de courses et tu vas aller chercher tout ça. Voilà des sous, n’en profite pas pour t’acheter des trucs pour toi.
– Euh … juste des cigarettes ?
– Si tu veux.
– Et des chewing-gum.
– C’est tout oui ?
Beatrice explique alors aux autres ce qui s’est passé sous la douche avec Dorothée en ne se privant pas d’y apporter des détails bien croustillants.
– Arrête, Beatrice, tu me fais bander ! S’exclame Justin en rigolant
– Et alors, c’est grave ?
– Vous croyez qu’on peut s’amuser avec cette Dorothée, lui faire des petites misères, tout ça ? Demande Isabelle.
– Ça me paraît un bon plan. Mais ne lui faites pas de mal, elle est gentille.
– Mais non !
Le professeur Martinov jubilait en son for intérieur, la méga partouze que lui avait promis Justin dans la grotte allait donc se concrétiser, même si le rapport hommes femmes, deux contre quatre ne semblait spécialement pas propice à des ébats masculins, il y aurait de quoi contenter sa libido.
La petite assemblée pris place dans le grand salon du gite et attendit sagement que Dorothée revienne des courses et les dépose. Béatrice et Isabelle étaient en sous-vêtements, Justin avait juste conservé son caleçon.
– Vous restez habillée ! Demande Justin à Solène.
– Oui pourquoi, faut pas ?
– Je demandais juste ça comme ça !
– Et si j’enlève mon caleçon, ça vous choque ?
– Pas du tout !
Il l’enleva donc.
Martinov lui aussi était resté habillé, non pas par pudeur, mais parce qu’il ne se trouvait pas beau quand il était nu, il attendait donc que la situation évolue pour se mettre à l’aise.
La porte s’ouvre.
– Dorothée, laisse les courses dans la cuisine, on les rangera tout à l’heure, et viens nous rejoindre.
Elle est étonnée de voir tout le monde assis là et surtout surprise de constater que Justin est complètement à poil.
– On a envie de jouer à un petit jeu… Lui dit Isabelle. Tu nous a dit que tu adorais jouer à l’esclave.
– Je suis obligée ?
– Non, si tu ne veux pas on jouera sans toi.
– Et les règles c’est quoi ?
– On te donnes des ordres, on te fait des petites misères, et si tu veux arrêter, tu dis stop. De toute façon on n’a pas l’intention de te brutaliser.
– Des trucs sexuels, je suppose ?
– Oui !
– Vous me prenez pour un jouet ou quoi ?
– Pas du tout !
– Je ne veux pas qu’on m’attache, et s’il y a pénétration c’est avec capote.
– O.K, on y va !
– Non on y va pas, on essaie !
Isabelle demanda à Dorothée de se déshabiller entièrement, ce qu’elle effectua sans rechigner, puis de mettre à quatre pattes, le croupion relevé.
– Allez-y les bourges, rincez-vous l’œil et on fait quoi maintenant ?
– On ne fait rien, rhabille-toi, on croyait que tu serais d’accord, on s’est trompé on en parle plus. Intervient Isabelle passablement énervée. Fais ce que tu veux, reste avec nous ou va ranger les courses, c’est pas grave.
C’est ce qui s’appelle un fiasco, Dorothée, des larmes dans les yeux attrape ses vêtements et se dirige vers la cuisine, Solène après un moment d’hésitation lui emboite le pas. Béatrice hésite à faire de même, mais reste à sa place, Justin remet son caleçon.
– On est plus que quatre, on pourrait faire une belotte ! Lance-t-il à la cantonade.
– Qu’est-ce qui lui a pris ! Demande Isabelle.
– Rien elle s’est piégée toute seule, quand elle a dit qu’elle aimait jouer à l’esclave, elle ne pensait pas qu’on la prendrait au mot, du moins pas de cette façon. Répond Béatrice.
– Tu pourrais arranger ça ?
– Solène doit être en train d’essayer… si elle n’y arrive pas j’irais la voir.
Dans la cuisine c’est la crise nerveuse, Dorothée pleure tout son soûl.
– Pleure pas ma bibiche !
– Je suis la reine des connes, vous m’accueillez, vous vous dites prêts à m’aider et moi je fais ma mijaurée…
– C’est un malentendu, personne ne t’en veux.
– Isabelle, je ne la sens pas !
– Tu lui fera un gros bisous et on n’en parlera plus.
– Tu parles !
– Tu reviens, tu verras bien comment ça se passe, si ça se passe mal, je verrais avec toi, de toute façon je te soutiendrai.
– T’es gentille toi !
– On est tous gentils. Allez viens !
– Je me sèche les yeux. Et j’arrive.
Le deux femmes reviennent dans le salon où les quatre personnes présentes ont quitté canapé et fauteuil pour s’assoir autour d’une table.
– On voulait faire une belotte mais on n’a pas de cartes, alors on joue aux devinettes, vous voulez jouer ? Demande Justin.
– Oui on veut bien ! Répond Solène
Elle a donc répondu également pour Dorothée, voilà qui devrait restaurer l’ambiance.
– Comment on appelle un lapin sourd ?
Personne ne sait
– LAAAAPIN ! Gueule Justin.
Voilà qui fait rigoler Isabelle et Béatrice qui ne la connaissaient pas et comme le rire est communicatif tout le monde se marre y compris Dorothée et Martinov.
– Quand on parle de lapin, ça me fait penser à mon invention…
Et le voilà parti à raconter la découverte du « lapin dur » puisant stimulant sexuel, découvert par hasard en cherchant un produit pour augmenter la fertilité des lapins et qu’il a expérimenté avec Béatrice. (voir l’épisode Martinov et le lapin dur)
L’auditoire est passionné par ce récit.
– Mais Béatrice, t’as accepté d’expérimenter ce produit comme ça de façon naturelle, c’est dingue, ça ! Lui fait remarquer Isabelle
– Les circonstances étaient particulières, il y a eu l’excitation de la découverte, et après ça a été de l’excitation tout court. Et puis ça n’a pas été une corvée, le professeur est tellement sympathique.
– Tu vas me faire rougir ! Répondit l’intéressé.
– Mais non.
– Et ensuite, vous n’avez pas continué ? Demande Isabelle.
La jeune chimiste trouva qu’Isabelle devenait décidemment trop curieuse et décida de lui répondre crument.
– Bien sûr que nous avons continué, on est parti en vacances ensemble et je lui ai fait une pipe, (voir Martinov et le Mont de Vénus) quelques mois plus tard, nous étions à Besançon et je lui ai demandé de m’enculer. (voir Martinov et la maison de Cendrillon).
– T’es vraiment coquine, toi Répond Isabelle.
L’ambiance s’est légèrement chauffée, mais sans qu’il ne se passe quoi que ce soit. Dorothée profite d’un temps mort pour s’approcher d’Isabelle.
– J’ai été un peu con, tout à l’heure, je le regrette, j’espère que tu ne m’en veux pas !
– Mais non ! Fais-moi un bisous.
Dorothée esquisse une embrassade sur la joue.
– J’aurais préféré un vrai bisou, un peu coquin !
La petite rousse accepte et les deux femmes se roule une pelle magistrale, les mains d’Isabelle en profitant pour devenir très baladeuses.
– Et si je te flanquais une fessée ? Pour te punir !
– Vas-y, je me laisse faire !
– Mets-toi les fesses à l’air et couche-toi sur mes genoux.
L’instant d’après Isabelle tapait de grandes caques sur le joli popotin de Dorothée. Elle stoppa quand sa couleur tourna au cramoisi.
– Et voilà, tu peux te relever, non ne remet pas ta culotte…
Isabelle porta la main à la chatte de la rousse et la trouva mouillée.
– Elle t’a excité ma fessée, on dirait ?
– Ben…
– Ça tombe bien, moi aussi, ça m’a excité, ça te dirait de me lécher. Oh mais qu’est-ce que tu regardes ?
Effectivement, un peu plus loin, il y a du spectacle, Justin a de nouveau retiré son caleçon et le professeur Martinov qui est venu près de lui, lui masturbe doucement la bite.
– Ils sont homos ? Demande Dorothée.
– Eh, non, en ce qui concerne Martinov il est hétéro, mais il adore de temps en temps jouer avec une jolie bite ! Intervient Béatrice.
– Ils vont aller plus loin ?
– C’est probable en effet !
– Hum, ça m’excite de voir ça ! Commente Dorothée
– Dis voir mon petit professeur, Reprend Béa, si tu prenais cette jolie bite dans ta bouche, je crois que ça intéresserait la petite Dorothée.
Vous pensez bien que notre coquin de Martinov en avait justement l’intention, il se baisse donc pour mettre ce joli cylindre de chair dans sa bouche.
– Si vous vous mettiez à poil, ce serait tout de même plus sexy ! Lui lança Solène qu’on n’avait pas entendu depuis le jeu des devinettes.
Et pendant que le professeur se déshabille, Isabelle présente sa chatte à Dorothée.
– Allez lèche-moi, t’inquiètes pas pour le spectacle, il n’est pas fini, ils vont probablement s’enculer !
– Ah ! Je veux voir ça !
– Oui, ben pour l’instant tu me lèches, Béatrice m’a dit que tu faisais ça très bien. Et d’ailleurs elle fait quoi Béatrice ? Viens donc nous rejoindre !
Elle retire prestement soutif et culotte et arrive :
– Vous avez besoin de moi mes chéries ?
– Occupe-toi de mes nichons pendant qu’elle me lèche…
Quant à Solène, elle se sent un peu seule dans tout ce déchainement de sexe. Et si le trio lesbien pourtant déchaîné ne la passionne guère, voir le professeur Martinov gober la belle bite de Justin Verrier avec une telle fougue ne la laisse pas indifférente.
Alors elle se déshabille à la barbare, et s’approche. Elle se demande si Martinov va consentir à partager sa friandise du moment.
Elle s’accroupit, approche sa main flatte un peu les couilles de l’homme, puis à l’idée de lui enfoncer un doigt dans le cul. On lui avait appris ce geste quand elle faisait des pipes dans l’arrière-salle d’un bar à putes.
– Tous les hommes adorent ça, mais peu s’en vantent ! Lui avait expliqué une bonne collègue.
Martinov se rend bien compte que la jolie métisse voudrait sucer, alors l’homme galant qu’il est lui laisse la place. Mais il a envie de s’amuser, il va se placer en levrette sur le fauteuil en écartant les jambes et en redressant les fesses.
Justin ne sait que faire, d’un côté le joli corps chocolaté et magnifiquement proportionné de Solène, de l’autre les fesses du vieux professeur. N’importe qui aurait fait le premier choix, mais n’a-t-il pas fait une promesse à Martinov dans l’obscurité de la grotte.
Alors Justin après avoir flatté le fessier de Solène lui dit simplement.
– J’ai envie de toi, mais j’ai fait une promesse au professeur…
– Tu vas l’enculer ! Lui demande-t-elle, le voyant s’habiller la zigounette d’une capote.
– Je crois bien !
– Tu veux que je te doigte le cul en même temps.
– Bien sûr, ma toute belle !
Et pendant que Justin sodomise en cadence Martinov, Solène remet son doigtage à plus tard et se met à lui lécher l’anus avec passion.
De l’autre côté de la pièce, les trois nanas s’en donnent à cœur joie, se retrouvant dans tous les sens, caressant, tripotant, léchant tout ce qui est à leur portée, les seins, les chattes, les fesses, les trous du cul, mais c’est aussi des roulages de patins et des caresses sensuelles. Un charmant spectacle.
Le professeur est tellement excité par l’ambiance et par ce que lui fait subir son enculeur qu’il se masturbe à toute berzingue et ne tarde pas à éjaculer d’un jet puissant.
Encore une fois, Justin est partagé parce que d’une part, il a Solène pratiquement à sa disposition mais que d’un autre côté (c’est le cas de le dire) il aurait bien voulu profiter de la bite de Martinov.
Ce dernier s’éloigne et va fouiller dans ses affaires, il a souvent sur lui quelques pilules de « Lapin dur », il lui suffit d’en prendre une et il sera de nouveau opérationnel dans une vingtaine de minutes. Elle n’est pas belle la vie ?
– Dis donc, tu encules bien, toi ! Le félicite Solène.
– Quand on aime bien quelque chose on essaie de le faire bien !
– Alors tu me fais pareil !
– Mais avec plaisir, chère amie.
Les trois gouinettes ont joui, certaines d’entre elles plusieurs fois, et après un petit temps calme avec bisous, caresses et cigarettes, Isabelle laisse Dorothée dans les bras de Béatrice et s’en va trouver Solène laquelle est en train de se faire défoncer le dargeot par un Justin en superforme.
Isabelle n’a pas encore eu l’occasion de « pratiquer » Solène.
« Ses penchants bisexuels semblent un peu faibles, mais il n’est pas interdit d’essayer. »
Elle se place devant elle et tente une main vers ses seins puis vers ses tétons sans percevoir d’objection, alors elle lui offre sa chatte à lécher, mais Solène ne répond que par un baiser très chaste sur le pubis.
– Tu ne veux pas me lécher ?
– Tout à l’heure peut-être !
Dépitée, Isabelle s’en va s’assoir tandis que Solène finit par jouir sous les coup de butoir de la bite de Justin. Les deux amants se désemboitent. Justin se débarrasse de sa capote et la belle métisse le « termine » avec ses lèvres pulpeuses.
Elle garde le sperme en bouche mais le recrache dans ses mains avant de se l’étaler sur les seins avec un air de défi.
– Tu ne veux pas venir me voir ! Lui demande Isabelle sans trop y croire.
– Mais ma chérie, je ne suis pas gouine !
– Mais moi non plus !
– Alors ça va ! Répond-elle en s’asseyant à ses côtés, Tu voulais me faire quoi ?
– Te goûter !
– Tu l’as jamais fait avec une black ?
– Si ! Et justement j’aime bien !
– On a quelque chose de spécial ?
– La peau !
– Pace qu’elle est noire !
– Non, parce qu’elle est douce ! On s’embrasse.
– T’es quand même un peu gouine sur les bords, non ?
– Je ne sais pas ce que je suis, mais j’aimerais bien qu’on s’embrasse.
– Je n’ai embrassé que deux filles dans ma vie, Béatrice et Dorothée.
– Alors jamais deux sans trois !
Finalement Solène consent à se laisser faire et se prend au jeu, le baiser est profond et sincère, mais comme vous le pensez bien Isabelle en profite pour ploter tous ce qui est à portée de mains.
– Tu caresses bien ! Tu me donnes des frissons ! Lui dit la métisse.
– Ben tu vois, l’amour entre femmes, ça change, ça ne vaut pas une bonne bite, mais ça change !
– Je veux bien que tu me lèches !
Le genre de propos qu’il est inutile de répéter deux fois à Isabelle, qui se jette littéralement sur sa jolie chatoune et lui écarte les lèvres
– Mais tu mouilles !
– Ben oui, je mouille !
Isabelle se régale, laisse longtemps sa langue balayer son intimité, c’est Solène qui en nage, et la respiration haletante, sentant sa jouissance prochaine, la pressera d’en finir
Son clitoris est énorme, une vrai bite miniature et quelques coups de langues bien ciblés suffirent à la faire éclater de plaisir.
Le professeur s’en va sans la salle de bain satisfaire un petit besoin urgent. Dorothée lui emboite le pas.
– Moi d’abord ! Lui dit-elle, j’ai trop envie !
– Mais faites donc, chère amie !
– Si tu veux regarder, ça ne me dérange pas !
– Justement, j’adore ça !
– Tu adores le pipi ?
– Je voulais dire, j’aime bien regarder, mais j’aime bien le pipi aussi.
– Oh, là, tu t’embrouilles, toi !
– Tu voudrais gouter à mon pipi ?
– C’est proposé si gentiment…
– Allez, viens entre mes cuisses, papy, je vais te donner à boire.
Notre coquin de Martinov met sa bouche en corole sur la chatte de la petite rousse, se régalant au passage de son odeur poivrée. C’est que la donzelle a joui plusieurs fois, mouillée comme une éponge et pas mal transpiré… Il avance la langue.
– Me lèche pas, ça me déconcentre.
Et le jet fuse ! Le professeur ne peut tout boire mais il en avale une bonne rasade, le reste coule un peu partout.
– Cochon, tu en fous partout !
– Je vais nettoyer…
– Il était bon mon pipi ?
– Délicieux !
– Alors à toi, arrose-moi mes nénés, j’adore ça !
Il ne s’attendait pas à cette proposition, mais se met en position pour le faire, du coup il boque quelques instants et est obligé de se concentrer pour libérer son sphincter vésical. Et puis tout d’un coup, ça part, Il l’arrose d’abondance, elle en boit même un tout petit peu.
Il lui aurait volontiers lécher les seins, qui maintenant tout mouillés le narguait, il lui aurait bien aussi nettoyé la chatte, mais elle ne lui proposa plus rien, s’essuya avec du papier et rejoignit le salon en sifflotant.
Martinov fait comprendre à Justin qu’il est prêt à repartir, celui-ci s’empresse alors de lui sucer la queue avant d’offrir son anus à la sodomie.
Le temps passe vite quand on baise, Béatrice et Dorothée ont fini par s’endormir dans les bras l’une de l’autre.
Conclusion ? Pas tout à fait ! Solène qui s’est amusée du spectacle, s’approche du professeur et sans préambule lui roule un patin.
– Toi, tu me plais bien, t’es un gentil petit vieux, si t’as envie de me baiser, c’est quand tu veux ?
Il en est tout chose, notre bon professeur et il faillit lui répondre « Pourquoi pas tout de suite ? » mais il était un peu fatigué… Et puis n’y a-t-il pas de meilleur plaisir qu’un plaisir retardé ?
– Bon là-bas on se réveille, on va préparer la bouffe. Clame Isabelle en tapant dans ses mains
Dorothée sort de sa torpeur et s’étire :
– Maintenant que vous vous êtes bien amusés, je peux vous demander si vous avez réfléchi à ma vengeance ? Demande la rouquine qui avait oublié de perdre le Nord.
– Ben non on n’a pas encore trouvé, mais on y réfléchi ! Répond Béatrice assez embêté quand même.
A suivre
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