Vendredi 6 août 2021 5 06 /08 /Août /2021 18:44

Zaya, récit des âges farouches par De Dontun

n26a

 

 

Oulmar émis un grognement de satisfaction ! Le piège avait très bien fonctionné. Il ne savait pas compter, mais savait qu'il y avait beaucoup de sangliers embrochés dans les épieux du piège. Son travail était fini. Les autres sauraient maintenant transporter les animaux tués jusqu'au village de la horde. Les anciens et les femmes de la horde des Oulms sauraient faire sécher cette viande qui assurerait une partie de leur survie pendant l'hiver.

Oulmar grogna encore, il leva les deux bras au ciel et émis un cri libérateur, il bandait à présent, il se débarrassa de son pagne en peau de bête, il se voulait nu, et grogna de nouveau. Alors Haral l'imita, puis Myar, puis tous les autres, Puis ils se mirent à danser autour du piège. Ils dansèrent longtemps jusqu'à l'épuisement. 

Ils se reposèrent ensuite, mais luttèrent afin de ne pas sombrer dans le sommeil, il fallait que tout soit terminé avant la tombée de la nuit, avant que l'odeur des cadavres attire les grands fauves de la forêt.

Un homme s'était blessé au cours du rabattage. Il avait maintenant du mal à se déplacer. Alors Oulmar et Haral l'aidèrent à marcher, mais cela ralentissait considérablement la progression du groupe. Myar se proposa pour partir en éclaireur. C'est lui qui préviendrait la horde de ce qui s'était passé, c'est lui qui leur dirait ce qu'il restait à faire !

Zaya avait écouté Myar. Oulmar allait revenir auréolé de gloire, cette fois encore il sortait la horde d'une passe difficile, et tandis que Boyol, le vieux chef donnait des ordres elle lui coupa la parole

- Oulmar doit être notre chef

Le chef fit signe à Myar qui était à ce moment-là près d'elle

- Bât-la !

Myar ne se le fit pas dire une deuxième fois, et envoya une volée de baffes à la pauvre fille qui s'écroula en sanglots sous les rires et les quolibets du groupe!

Zaya se vengerait, elle regrettait maintenant d'être revenue…

Elle ne savait pas compter, mais un hiver s'était terminé et encore un autre hiver, elle se remémorait. La horde affaiblie par une maladie qui mettait en défaut le savoir des sorciers. Puis, la venue des Tauvs. Les Tauvs étaient nombreux, ils étaient vêtus de peaux de bêtes inconnues. Le contact fut difficile, certains pensaient qu'ils étaient des dieux, d'autres au contraire pensaient qu'il s'agissait de démons. Alors quelques jeunes mâles de la horde les provoquèrent. Mais les Tauvs furent les plus forts, beaucoup de membres de la horde périrent. D'autres furent emmenés en esclavage.

Parmi les esclaves il y avait, elle, Zaya- et puis aussi Oulmar. Ils craignaient d'être torturés, peut-être même pire. Non, le travail était rude, et si parfois les humiliations et les coups ne leur étaient pas épargnés, la vie était loin d'être insupportable. Et puis surtout, ils avaient appris ! Ils avaient même appris que l'on pouvait apprendre ! 

Les Tauvs effectuaient des raids de représailles parfois très loin de leur territoire. Mais ils ne maltraitaient pas leurs prisonniers esclaves, et surtout ne les mangeaient pas, à la surprise de Zaya et de son compagnon d'infortune.

Oulmar, pendant un temps, les méprisa même pour cela !

En fait, sa condition d'esclave lui convint assez rapidement, lorsqu'il compris que pour le peuple Tauv il s'agissait surtout de faire partager sur davantage d'hommes les tâches de la vie... et pas seulement les plus pénibles.

En ces temps farouches, la reproduction nécessaire des hommes et des femmes devait compenser les morts accidentelles de chasseurs et de cueilleuses dans la forêt.

Oulmar et Zaya le comprenaient d'instinct. Ils apprirent durant leur captivité chez les Tauvs que les choses se passaient autrement. 

Chez les Tauvs, baiser n'avait pas pour seul objectif de rendre grosses les femmes, pour augmenter le nombre de chasseurs !

Chez les Tauvs, le sorcier-chaman était le maître d'étranges cérémonies auxquelles furent tout de suite invités, au plus profond de grottes décorées, Oulmar et Zaya !

Ceci comme récompense de quelques jours de chasse pour l'un, et de menus travaux dans les huttes de branchages et de peaux pour l'autre.

Au fond de la dernière salle, à la lumière de la résine enflammée des torches, les deux esclaves avaient distingué les niches creusées dans la paroi un peu au-dessus du sol en calcite blanche. Lorsque Oulmar et Zaya furent invité à s'asseoir, ils constatèrent que le siège, très étroit; et la forme de la paroi contre laquelle ils s'adossaient, faisait comme jaillir vers l'avant leur bas ventre...

Leurs pieds se disposaient naturellement dans deux petites cuvettes, de part et d'autre du siège, les obligeant à ouvrir leurs cuisses libérées rapidement du pagne en peau par le chaman.

Oulmar banda immédiatement lorsque la femme du chef vint s'asseoir sur lui en présentant ses fesses au niveau de son pubis, il crut que son tour était venu de rendre grosse la Tauv ! 

Et il s'y employa, en remuant du plus fort qu'il pouvait sa verge tendue dans le sexe soyeux de la maîtresse de la horde.

Il ne comprit pas ce jour-là pourquoi, alors que la femme sentait venir le jaillissement de la semence d'Oulmar, elle se libérait, en se relevant, du sceptre enfoncé dans sa chair, et se mettant à genoux face à l'homme l'engloutit dans sa bouche avec un bruit mouillé.

Mais pour Zaya, ce fut différent.

Elle compris cette nuit même que la chaleur qui irradiait son ventre par le bas pouvait être obtenue autrement que par les va-et-vient de la longue pierre polie qu'elle utilisait parfois la nuit au camp des Oulms.

Lorsque les hommes Tauvs se succédèrent à genoux entre ses cuisses écartées jusqu'à la douleur, et la fouillèrent de leurs langues trempées, elle sombra dans un état second de plaisir qui la laissa pantelante jusqu'au matin.

Zaya savait à présent que l'on pouvait baiser en y prenant du plaisir. Zaya savait à présent que l'on pouvait aussi faire durer ce plaisir plus longtemps…

Le temps avait passé, et un jour un des chefs des Tauvs leur tint un drôle de discours, il leur expliqua que désormais ils n'étaient plus esclaves, mais qu'il fallait promettre de ne pas partir ! Ils n'avaient pas bien compris ce que voulait dire le mot "promettre", et ils s'étaient réunis entre eux pour essayer de comprendre.

Ils s'aperçurent alors que plus personne ne les surveillait ! L'un d'entre eux se mit alors à courir et à franchir l'enceinte du village Tauv sans que quiconque ne s'élance à sa poursuite, alors ils le suivirent. Tous !

Ils rejoignirent alors la horde. Elle était décimée, après l'attaque, ceux qui avaient fui s'étaient regroupés autour du chef. Un climat malsain s'était installé dans la tribu, Le chef était contesté, et il avait fait assassiner ceux qui ouvertement convoitaient sa place, se privant de la valeur de beaucoup des jeunes guerriers survivants. Les évadés furent accueillis avec une grande joie. Ceux-ci essayèrent de leur inculquer ce qu'ils avaient appris chez les Tauvs, mais parfois n'y arrivaient pas.

Zaya aimait faire l'amour, mais elle n'aimait pas que les hommes avec qui elle le faisait se l'approprient, elle n'aimait pas non plus que les hommes avec qui elle le faisait lui imposent sa façon de faire. Résultat : ou bien on l'évitait ou alors, après avoir baisé, les hommes la battaient pour tenter de lui imposer leur domination. Au moins chez les Tauvs, on ne la battait pas….

Seul Oulmar faisait exception, ils avaient fait une fois l'amour, et après, au lieu de dormir, ou de partir faire un tour, il l'avait caressé tendrement, cela lui avait donné d'étranges frissons, qui lui rappelait ceux qu'elle avait connus dans la caverne des Tauvs, et qu'elle aurait bien aimé connaître de nouveau.

Il fallait qu'elle devienne la femme d'Oulmar, sa femme principale, sa favorite et il fallait qu'Oulmar devienne chef. Pour la deuxième partie du plan, on verrait plus tard, mais la première partie, ce serait pour tout de suite.

Zaya expliqua à trois autres filles ce qu'elle attendait d'elles. Elles ne comprirent pas trop où elle voulait en venir. Mais Zaya, à défaut de jouir d'une bonne réputation avait de bons arguments, elles acceptèrent après pas mal de grognements et même quelques baffes.

Sa plus jeune sœur, elle, ne participerait pas, elle devait attendre le retour d'Oulmar et lui dire discrètement que Zaya l'attendait à la rivière…

Quand Oulmar rejoignit le village, la sœur de Zaya fut tellement discrète que Myar l'entendit !

Alors Oulmar rejoignit la rivière, ce n'était pas très loin. 

Les quatre femmes se baignaient nues dans l'eau courante, l'eau rendait les corps brillants, et la lourde poitrine dorée de Zaya renvoyait les rayons du soleil tel un fruit mur que l'on s'apprête à cueillir. 

Oulmar détacha son pagne, libérant sa bite déjà raide et ses couilles bouillonnantes de désir. Il s'approcha, mais perçu un grognement hostile derrière lui

Myar réclamait la priorité. Oulmar grogna ! Myar à son tour détacha son pagne libérant une pine monstrueuse, beaucoup plus longue et beaucoup plus grosse que le sexe d'Oulmar ! Ce dernier avança vers son rival, accentua ses grognements espérant que l'autre laisserait tomber devant sa détermination.

Non ça ne marchait pas ! Myar l'attendait prêt à en découdre. Il avait une tête de plus que lui et était autrement plus musclé, le combat était perdu d'avance ! Sauf peut-être à employer certains techniques apprises subrepticement chez les Tauvs. Et puis, il y avait autre chose, le chef avait interdit les combats internes. Ceux-ci finissaient souvent par la mort de l'un des protagonistes et affaiblissait la horde qui n'avait pas besoin de ça ! La dernière bagarre s'était terminée par l'intervention des proches du chef, qui firent périr le survivant dans d'atroces souffrances. Personne n'avait depuis recommencé. Myar comptait-il avec l'affaiblissement de l'autorité du chef, ou bien se sentait-il tout simplement invincible ?

Alors, Oulmar s'assit, signifiant à son rival qu'il refusait le combat et lui laissait la priorité. Myar s'approcha des quatre filles et son regard se fixa sur Zaya qui était devenue assez décontenancée. Myar grogna intimant l'ordre à la femme de l'accueillir. Il n'avait pas prévu que celle-ci ne l'entendrait pas de cette oreille. Elle grogna à son tour. Myar lui attrapa le bras, mais de celui resté libre Zaya lui retourna une sorte de manchette qui le déséquilibra ! Cela n'avait aucun sens, le combat était trop inégal ! Alors Zaya appela les trois autres filles qui se jetèrent sur lui, le tapant, le griffant, le mordant. Myar était vaincu par le nombre, ne parvenant pas à se dégager. A un moment l'une des femmes saisit une énorme pierre et s'approcha de l'homme à terre, avec la ferme intention de lui écrabouiller le visage !

- Non !

Oulmar cria ! Il était inutile de le tuer. Stupéfaite de cette intervention elles cessèrent, et Myar humilié s'enfuit sans toutefois se presser, se retourna parfois vers le groupe pour grogner sa haine…

Alors les quatre filles firent comme Zaya l'avaient voulu. Elles se positionnèrent l'une à côté de l'autre en se plaçant à quatre pattes, le cul cambré vers Oulmar. Lentement, presque imperceptiblement elles se mirent à onduler des fesses, puis à les caresser, certaines enduisaient auparavant leurs doigts de salive pour s'en imprégner le cul afin de le rendre plus luisant. Pas Zaya, elle n'avait pas besoin d'aller chercher si loin de quoi mouiller ses fesses, ce qui dégoulinait de sa chatte faisant parfaitement l'affaire.

Oulmar avait retrouvé son érection, il bandait superbement, apparemment les filles ne lui en voulaient ni d'avoir refusé de se battre avec Myar, ni d'avoir arrêté son lynchage. Par contre, il ne comprenait pas ce qu'il se passait. Pourquoi quatre filles ? Voulait-on le récompenser de cette façon pour cette chasse exceptionnelle dont tout le bénéfice lui revenait ? Dans ce cas il devrait honorer les quatre filles, les unes après les autres, mais il garderait la plus belle pour la fin, Zaya serait donc son dessert !

Pour Zaya c'était un test, mieux une épreuve, s'il commençait par elle, c'est que sa passion pour elle l'emportait sur ses simples pulsions sexuelles, et elle pourrait continuer à mettre ses plans à exécution, dans le cas contraire, elle envisageait de retourner chez les Tauvs.

Oulmar s'approcha, hésitant sur la fille qu'il besognerait en premier. Instinctivement il huma l'atmosphère, s'enivrant des odeurs environnantes. Mais bientôt une fragrance bien particulière domina tout le reste, l'odeur de la femelle en chaleur, et celle-ci n'avait qu'une seule source le sexe béant de Zaya d'où s'écoulait ce fort liquide. Oulmar jeta son visage entre les fesses de Zaya et commença à emplir ses narines de cette odeur qui l'enivrait, et qui même le faisait saliver, il ouvrit alors la bouche, et tira sa langue pour lécher le précieux liquide dont tous les poils de la fille étaient à présent imprégné, il léchait et Zaya ondulait du cul, gigotait, incapable de rester en place, elle se releva davantage offrant mieux son sexe à son partenaire. Oulmar continuait à lécher et entrepris de s'occuper à présent de sa chatte ouverte. Il devenait fou. D'un côté, il souhaitait s'enivrer de la chatte de Zaya pendant encore plus de temps, de l'autre il fallait bien qu'il libère ses couilles de l'énorme pression de plaisir qui de ne demandait qu'à s'échapper !

n26

Il résista encore, pour le plus grand plaisir de Zaya qui maintenant poussait des petits cris. Oulmar aimait l'entendre crier, cela changeait de ces femelles qui acceptaient l'homme avec un désintérêt complet ! Zaya eu bientôt envie d'uriner. D'abord elle se lâcha, puis se força à se retenir. Pendant ce court moment, elle aspergea néanmoins son partenaire, qui marqua à peine quelques secondes de surprises, avant de boire y compris çà, la pisse ne faisait que se mélanger à la cyprine et la sueur qui ruisselait de son intimité. Mais bientôt, l'état d'Oulmar devint insoutenable ! Il fallait jouir ! Là ! Maintenant ! Tout de suite. Il regarda sur sa gauche puis sur sa droite laquelle aurait l'honneur de son premier trait ! Peut-être celle-ci… Non celle-là ! Alors, incapable de se décider, il entreprit de rester sur place et pénétra violemment la chatte de Zaya. Le cœur de celle-ci se remplit de bonheur et tout à ses rêves, perçue à peine la jouissance fort rapide d'Oulmar ! 

Quand il se retira, elle se coucha sur le dos, les yeux plein de larmes de joie, offrant son corps de jeune femme heureuse aux rayons du dieu soleil. Oulmar pouvait maintenant besogner ses trois copines. Elle s'en foutait complètement.

Elle crut ce jour-là que sa capacité à tester et à comprendre les hommes était infaillible. Cela lui causa quelques menus soucis par la suite. Mais malgré tout, elle n'eut pas trop à se plaindre de la décision qu'elle prit ce jour de retour de chasse !

Certains diront sans doute que 20 000 ans plus tard et quelques milliards de femmes en plus, aucune d'entre-elles n'est jamais arrivée à savoir ce qui réellement se passait dans la tête des hommes… 

Oserais-je ajouter alors… "et vice-versa " ?

De Dontun. © 2000

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Vendredi 6 août 2021 5 06 /08 /Août /2021 10:32

Paroles de chieuses

correspondance historique par la Duchesse d’Orléans

 

Duchesse

Cet échange épistolaire entre la duchesse d’Orléans et l’électrice de Hanovre est absolument authentique (voir référence en bas de page)

 

La duchesse d’Orléans à l’électrice de Hanovre

 

Fontainebleau le 9 octobre 1694

 

Vous êtes bien heureuse d’aller chier quand vous voulez ; chiez donc votre chien de soûl. Nous n’en sommes pas de même ici, où je suis obligé de garder mon étron pour le soir ; il n’y a point de frottoir aux maisons du côté de la forêt. J’ai le malheur d’en habiter une, et par conséquent le chagrin d’aller chier dehors, ce qui me fiche, parce que j’aime à chier à mon aise, et je ne chie pas à mon aise quand mon cul ne porte sur rien. Item, tout le monde nous voit chier ; il y passe des hommes, des femmes, des filles, des garçons, des abbés et des suisses ; vous voyez par-là que nul plaisir sans peine, et que si on ne chiait point, je serais à Fontainebleau comme le poisson dans l’eau. Il est très chagrinant que mes plaisirs soient traversés par les étrons ; je voudrais que celui qui a inventé de chier, ne pût chier, lui et toute sa race, qu’à coups de bâton. Comment, mordi ! qu’il faille qu’on ne puisse vivre sans chier ! Soyez à table avec la meilleure compagnie du monde, qu’il vous prenne envie de chier, il faut aller chier. Soyez avec une jolie fille, une femme qui vous plaise ; qu’il vous prenne envie de chier, il faut aller chier ou crever. Ah ! maudit chier, je ne sache point de plus vilaine chose que de chier. Voyez passer une jolie personne, bien mignonne, bien propre, vous vous récriez : ah, que cela serait joli si cela ne chiait pas ! Je le pardonne à des crocheteurs, à des soldats, à des porteurs de chaises et à des gens de ce calibre-là. Mais les empereurs chient, les impératrices chient, le pape chie, les cardinaux chient, les princes chient, les archevêques et les évêques chient, les généraux d’ordre chient, les curés et les vicaires chient. Avouez donc que le monde est rempli de vilaines gens, car enfin, on chie en l’air, on chie sur la terre, on chie dans la mer, tout l’univers est rempli de chieurs et les rues de Fontainebleau de merde, car ils font des étrons gros comme vous, Madame, Si vous croyez baiser une belle bouche avec des dents bien blanches, vous baiser un moulin à merde ; tous les mets les plus délicats, les biscuits, les pâtés, les tourtes, les perdrix, les jambons, les faisans, tout n’est que pour faire de la merde mâchée, etc.

 

Réponse de l’électrice

 

Hanovre, 31 octobre 1694

 

electrice

C’est un plaisant raisonnement de merde que celui que vous faites sur le sujet de chier, et il paraît bien que vous ne connaissiez guère les plaisirs, puisque vous ignorez celui qu’il y a à chier ; c’est le plus grand de vos malheurs. Il faut n’avoir chié de sa vie, pour n’avoir senti le plaisir qu’il y a de chier ; car l’on peut dire que de toutes les nécessités à quoi la nature nous a assujettis, celle de chier est la plus agréable. On voit peu de personnes qui chient qui ne trouve que leur étron sent bon ; la plupart des maladies ne nous viennent que par faute de chier, et les médecins ne nous guérissent qu’à force de nous faire chier, et qui mieux chie, plutôt guérit. On peut même dire qu’on ne mange que pour chier, et tout de même qu’on ne chie que pour manger, et si la viande fait la merde, il est vrai de dire que la merde fait la viande, puisque les cochons les plus délicats sont ceux qui mangent le plus de merde. Est-ce que dans les tables les plus délicates, la merde n’est pas servie en ragout, ? Ne fait-on pas des rôties de la merde des bécasses des bécassines, des alouettes et d’autres oiseaux, laquelle merde on sert d’entremet pour réveiller l’appétit ? Les boudins, les andouilles et les saucisses, ne sont-ce pas des ragouts dans des sacs à merde ? La terre ne deviendrait-elle pas stérile si on ne chiait pas, ne produisant les mets les plus nécessaires et les plus délicats qu’à force d’étron et de merde ? Etant encore vrai que quiconque peut chier sur son champ ne va point chier sur celui d’autrui. Les plus belles femmes sont celles qui chient le mieux ; celles qi ne chient pas deviennent sèches et maigres, et par conséquent laides. Les beaux teints ne s’entretiennent que par de fréquents lavements qui font chier ; c’est donc à la merde que nous avons l’obligation de la beauté. Les médecins ne font point de plus savantes dissertations que sur la merde des malades ; n’ont-ils pas fait venir des Indes une infinité de drogues qui ne servent qu’à faire de la merde, il entre de la merde dans les pommades et fards les plus exquis. Sans la merde de fouines, des civettes et des autres animaux, ne serions-nous pas privés des plus fortes et meilleures odeurs ? Les enfants qui chient le plus dans leurs maillots sont les plus blancs et les plus potelés. La merde entre dans quantité de remèdes et particulièrement pour la brûlure. Demeurez donc d’accord que chier et la plus belle, la plus utile et la plus agréable du monde. Quand vous ne chiez pas, vous vous sentez pesante, dégoutée et de mauvaise humeur. Si vous chiez, vous devenez légère, gaie et de bon appétit. Manger et chier, chier et manger, ce sont des actions qui se suivent et se succèdent les uns aux autres, et l’on peut dire qu’on ne mange que pour chier, comme on ne chie que pour manger. Vous étiez de bien mauvaise humeur quand vous avez tant déclamé contre le chier ; je n’en saurais donner la raison, sinon qu’assurément votre aiguillette s’étant noué à deux nœuds, vous aviez chié dans vos chausses. Enfin, vous avez la liberté de chier partout quand l’envie vous en prend, vous n’avez d’égard pour personne ; le plaisir qu’on se procure en chiant vous chatouille si fort que, sans égard au lieu où vous vous trouvez, vous chiez dans les rues, vous chiez dans les allées, vois chiez dans les places publiques, vous chiez devant la porte d’autrui sans vous mettre en peine s’il le trouve bon ou non, et, marque que ce plaisir est pour le chieur moins honteux que pour ceux qui le voient chier, c’est qu’en effet, la commodité et le plaisir ne sont que pour le chieur. J’espère qu’à présent vous vous dédirez d’avoir voulu mettre le chier en si mauvaise odeur, et que vous demeurerez d’accord qu’on aimerait autant ne point vivre que ne point chier.

 

Il s’agissait donc d’un extrait de la correspondance complète de la duchesse Elisabeth-Charlotte d’Orléans (1676-1744) avec sa tante l’électrice Sophie de Hanovre (1630-1714), publiée par la Société littéraire de Stuttgart, On peut retrouver le fac-similé de ces correspondances sur Google book

 

Annexe :

 

Excusez ma vilaine écriture, la plume est déjà vieille, mais il y a bientôt 22 ans que je chie par le même trou et il n’est même pas encore déchiré, tous les jours je chie dedans et mord la crotte à belles dents… Qui peut donc avoir écrit ceci ?

 

Eh bien c’est tout simplement Wolfang Amadeus Mozart, l’immortel auteur de la Flute enchantée, de Don Giovanni, de Cosi Fan Tutte, de 41 symphonies, d’un magnifique Requiem et de plus de 600 autres œuvres)

 

Mozart écrivait donc à sa cousine qui pas du tout en reste lui fit cette réponse : « Porte toi bien mon amour et pousse toi le cul dans la bouche. Je te souhaite une bonne nuit mon mari, mais d’abord chie au lit et que ça pète ».

 

Autres temps, autre mœurs, la tabou de la scato en ces temps n’était tout simplement pas aussi « irrationnel » que de nos jours.

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Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 16:47

Mamie Blue par Mamie blue

Mat Stamp

J'ai maintenant 60 ans, ma maison est trop grande et j'ai passé une annonce pour louer le premier étage. J'attends un couple à 18 heures.


Surprise, le couple, ce sont deux mecs. Ça ne me gêne pas, j'ai les idées larges.


Je leur fais visiter les lieux, ça a l'air de leur plaire et ils s'adressent des sourires complices.


Nous redescendons et ils tombent en arrêt devant un portrait.


- C'est votre petite fille ? Me demande l'un des deux gars

- Non c'est moi quand j'avais 20 ans ! J'étais jeune et désirable à l'époque, il ne faudrait pas vieillir.

- Mais vous êtes toujours désirable, chère madame !

- Ne dites pas une chose pareille, je serais capable de vous prendre au mot.

- Mais pourquoi pas ? Qu'en pense-tu Gaétan ?

- La même chose que toi !


J'avais enfin l'occasion de réaliser ce fantasme que j'attendais depuis toujours : je vieillissais, les hommes me regardaient moins, mais je rêvais de me faire baiser comme une vieille chienne par deux jeunes, qui pourraient être mes petits-fils... 


Il m'aidèrent à déboutonner leur pantalon, et je saisis leurs queues déjà dures, je commençais à les branler et à prendre ces belles bites dans ma bouche avide de leur sperme. Ils en profitèrent pour me débarrasser de mes vêtements, je me suis retrouvée nue, en bas de soie devant eux. Ils me donnèrent alors un aperçu de leur talent de jeunes baiseurs. Il me culbutèrent sur la moquette du salon et me prirent ensemble, un dans la chatte, l'autre dans le cul, j'adore me faire enculer. J'ai jouis immédiatement en sentant ces deux grosses et belles queues se frotter l'une contre l'autre en moi. Il y avait fort longtemps que je n'avais joui ainsi. 

Mamieblue

Attirée par le bruit, Josette ma gouvernante fit irruption dans le salon où nous nous enfilions.


- Venez nous rejoindre Josette, quand il y en a pour trois, il y en a pour quatre.


Et Josette se jette dans la mêlée, nous nous mélangeons dans un ballet infernal. Ma gouvernante en profite quand elle le peut pour me lécher les nichons, la chatte ou l'anus, elle a toujours été un peu goudou.


Mais elle le fait tant et si bien qu'un moment les deux jeunes hommes se retrouvent hors-jeux.


Mais leur frénésie érotique n'est point calmée pour autant, les deux gars se roulent une pelle en se branlant la queue, puis Gaétan prend celle de son camarade dans sa bouche et la suce avec volupté. Cinq minutes après, il se mettait en levrette offrant son trou du cul aux assauts bitiques de son amant.


- C'est touchant, deux hommes qui s'enculent, n'est-ce pas Josette ?

- Très touchant, madame !


Les deux mecs sont revenus à la charge, ils m'ont baisée longtemps, me faisant subir les pires cochonneries, tout ce que j'avais pu imaginer lors de mes rêves. Ils me pénétraient de toutes les façons possibles et imaginables, ils me retournaient comme une crêpe à la Chandeleur, me claquaient mes vieilles fesses jusqu'à ce qu'elles deviennent toutes roses, puis ils ont voulu me pisser dessus.


- Pas ici, je tiens beaucoup à mon beau tapis, mais allons dans la salle de bain vous pourrez m'aspergez tant que vous voudrez, d'ailleurs j'ai comme une petite soif.


J'ai bu leur pisse et quand Gaétan m'a demandé s'il pouvait me chier dessus, j'ai accepté, je ne pouvais quand même pas leur refuser cette petite fantaisie après tous les plaisirs qu'ils m'avaient accordés.


Ah, vous voudriez savoir si les deux gars ont loué le premier étage ? Ils m'ont dit qu'il allaient réfléchir, mais je ne les ai jamais revus. Quel dommage.


 

Mamie Blue

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Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 16:38

Laticia, ma mère et moi par Irénée Vardin

Stamp mature

Je m’appelle Robin, j’ai 23 ans et suis étudiant en médecine. J’ai couché avec ma mère pour la première fois il y a 6 mois, nous revenions d’une réception ennuyeuse et nous avions pas mal picolé. Ce fut un concours de circonstances, ma mère portait une robe dont le décolleté m’avait profondément troublé et elle était troublée par mon trouble. A la maison que nous habitions seuls tous les deux, on était assis l’un contre l’autre, quelques caresses… elles devirent osés, par jeu je plongeais dans le décolleté, ma mère ne protesta pas, j’attrapais un téton, elle me toucha la braguette, quelques minutes pus tard nous étions tous les deux nus sur le lit et après quelques préliminaires buccaux, je l’ai baisé.

 

Il ne s’en est suivi aucune honte, nous étions des adultes consentants et nous avons recommencé.

 

Mais depuis la rentrée, je n’ai eu que deux soirées torrides avec ma mère. Ça ne me suffit plus. Rien qu’à regarder son cul quand elle marche ou à voir ses tétons qui pointent à travers sa chemise de nuit le soir, ça me rend dingue.

 

Mon attirance pour son corps tourne à l’obsession. Je ne peux quand même pas lui sauter dessus tout le temps. Surtout que nous arrivons encore à être réservés malgré tout ce qui s’est déjà passé.

 

Plus on avance, et plus j’ai l’impression que ma mère change, elle est plus souriante, elle rigole de mes blagues sans arrêt, elle laisse la porte de la salle de bain ouverte quand elle se douche, bref que de bonnes choses. Quant à moi, comme ma mère travaille, je ne la vois principalement que le soir et les weekends.

 

Pendant la journée, je potasse ma médecine, et surtout j’attends impatiemment son retour.

 

La voilà, elle rentre épuisée de sa journée et de sa semaine, ma mère travaille d’arrache-pied dans un cabinet d’assurances, elle gagne très bien sa vie. Evidemment quand on suce le patron, ça facilité l’avancement !

 

Bref. La voilà, je lui sers un verre d’eau et nous discutons un peu, de son travail, de ce que j’ai fait de la journée. Elle est fatiguée, ce n’est pas la soirée idéale pour tenter quelque chose avec elle, zut. Après sa douche, elle se couche au premier dans sa chambre. Quant à moi, je regarde la télé en bas. J’avais tellement envie d’elle ce soir, je ne vais quand même pas la forcer, c’est pas mon genre ni celui de ma mère.

 

Il fallait quand même faire passer mon envie. Je décide donc de me masturber, je monte à pas feutrés chercher une revue d’histoires érotiques avec plein de bon récits y compris d’inceste, je jette un coup d’œil dans la chambre de ma mère, elle a l’air de dormir, je redescend donc, direction le canapé pour une bonne masturbation. Je trouve mon bonheur avec un bon récit d’inceste qui met en scène un fils, sa mère et sa tante. Ils font des parties à trois, l’histoire est assez cochonne, avec des fessées et du pipi. J’agite donc ma main autour de mon membre quand j’entends ma mère me parler:

 

– Tu n’en a jamais assez, tu es un vrai cochon !

 

Je suis honteux, ma mère est en face de moi, elle a l’air si fâchée. Elle reste là, à me regarder, le visage tiré. Tout d’un coup elle se met à rire et me dit :

 

– Tu lis quoi ? C’est quoi ce magazine ?

 

Elle plaisantait donc. Alors, débandant, je lui montre, elle vient s’assoir près de moi.

 

– Tu lisais quelle histoire ?

 

Je lui montre, elle se met à la lire.

 

– Ça te plairait ces choses ?

– Fessées, pipi, on a déjà fait, mais un trio ce serait bien.

– Sans doute ? Mais désolé je n’ai pas de sœur pour réaliser ton scénario

– Pourquoi, tu serais d’accord pour faire des choses avec une femme et tous les trois on ferait des trucs ?

– Pourquoi pas ? me répondit-elle

 

Sa réponse me surpris. Ma mère deviendrait-elle une véritable obsédée ?

 

– Sur cette bonne parole, je vais me coucher, je suis crevée, bonne nuit

 

Une fois ma mère repartie, j’achevais enfin cette masturbation. Le lendemain, c’était samedi. Il fallait que je sache jusqu’où ma mère était prête à aller.

 

– Dis maman, tu sais ce dont on parlait hier soir, tu es toujours d’accord ?

– Oui, pourquoi ?

– Je me demandais juste avec qui, on pourrait faire ça ? A qui demander ?

– Personne autour de nous en tous cas, la relation que nous avons doit rester cachée.

– On ne fait pourtant de mal à personne..

– Je sais bien, mais va expliquer ça aux gens, toi !

 

Et puis vint l’idée géniale de ma mère, le journal gratuit que l’on ramassait chez le boulanger était rempli de petites annonces de dames dans la rubrique masseuses. Ma mère voulait choisir une prostituée ! Fallait en choisir une dans ces deux pages remplies. Il y en avait pour tous les goûts, les textes en disaient long… âge, propositions implicites, couleur de cheveux, tour de poitrine, téléphone…

 

Après une première sélection de ma mère, je me suis mis à téléphoner, une dizaine de femmes ne faisaient que les hommes, c’est à la deuxième page que j’ai eu une réponse positive. Cette annonce plaisait assez à ma mère, il était écrit Laticia, la quarantaine TP95 reçoit ou se déplace… Au téléphone, cette charmante dame m’a même donné ses tarifs. Je lui ai donné notre adresse, lui demandant expressément de ne pas garer sa voiture en face de chez nous et de ne pas être habillée tapageuse pour ne pas éveiller les soupçons des voisins. Alors elle me dit que c’était plus cher pour tout ça. Nous étions d’accord pour le prix, elle venait ce soir à 20 heures. La seul chose que je ne lui ai pas dite, c’est que nous étions mère et fils.

 

Tout au long de la journée, ma mère n’arrêtait pas de me dire:

 

– Je sais pas si on a bien fait…

 

La soirée approchait. Toute la journée, je n’ai pensé qu’à ça. Je pense que ma mère aussi. 19 h 30, Nous sommes tous les deux au salon, l’attente est interminable ! 20 heures. Toujours personne 20 h 15. On sonne à la porte, je vais ouvrir. Laticia est assez grande, elle porte un tailleur qui met ses formes en valeur, elle est brune, cheveux courts, de larges hanches un peu comme ma mère. Je la fait entrer au salon. Elle s’assied sur le canapé. Embarrassée, ma mère lui dit:

 

– Excusez-nous, c’est la première fois que nous faisons appel à quelqu’un, vous faites souvent ce genre de choses ?

– Pas souvent à trois mais ça arrive, je peux vous expliquer comment je travaille… Mais avant toute chose, nous avons une tradition dans notre profession, le client doit payer d’avance.

– L’enveloppe est sur la cheminée.

 

Je sers un verre ensuite elle commence son discours sur le préservatif obligatoire. J’accepte, je n’ai pas trop le choix ! Et puis arrive la grosse question histoire de faire connaissance :

 

– Vous êtes ensemble dans la vie ?

– Nous sommes amants depuis quelques temps mais il y a quelque chose qu’il vous faut savoir. Robin est mon fils et ce n’est pas facile de trouver quelqu’un qui n’en parlerait à personne. Répond ma mère.

– A vrai dire, je m’en doutais, vous vous ressemblez, vous pouvez compter sur ma discrétion, c’est compris dans le prix. Répondit Laticia:

 

Ouf, elle acceptait donc !. Une fois au premier, les choses sérieuses ont commencé. Encore habillés, nous l’écoutions attentivement. Nous devions d’abord tous passer à la salle de bain se laver les parties intimes. Laticia nous demanda où se trouvait la salle de bain, elle y alla d’abord seule. Nous attendions et puis elle appela ma mère. Ma mère alla la rejoindre, Laticia était déjà nue, ma mère se déshabilla et c’est Laticia qui lava le sexe de ma mère avec un gant puis l’essuya délicatement.

 

Puis est venu mon tour, même scénario, elle me lava le sexe. Je pensais que j’allais défaillir tellement ses seins étaient gros et pendaient. Ses auréoles étaient plus larges que ceux de ma mère et ses tétons plus petits. Sa chatte était bien rasée, je ne voyais qu’une fine ligne de poils.

 

Nous voilà tous les trois debout à côté du lit dans la chambre de ma mère. Laticia:

 

– Bon, mon grand, voilà comment ça va se passer, je vais commencer par m’occuper de ta maman, regarde-nous pour te mettre en forme !

– Ecoutez, c’est la première fois que je fais ça, alors … répond maman

– Ne vous en faites pas !

 

Elle avait l’air cool, c’était rassurant. Ma mère se couche et Laticia vient la rejoindre et commence par l’embrasser, je n’en crois pas mes yeux. Elles se lèchent et se sucent la langue, puis Laticia descend lui sucer les gros bouts, c’est excitant à mort ! Ensuite elle descend doucement lui lécher sa grosse touffe.

 

– Ta maman a très envie on dirait, elle est toute mouillée, viens me donner un coup de main mon grand.

 

J’arrive donc, Laticia était remontée aux seins de maman. j’entrepris donc seul cette minette. Je léchais ma mère et je regardais le spectacle en même temps. Elle suçait les seins de ma mère. Ma mère gémissait à mort !. Puis Laticia me dit:

 

-Regarde ta maman mon grand, je crois qu’elle a très envie que tu lui fasses l’amour.

00 Laticia

Alors, elle me mit un préservatif et me suça un peu le sexe, elle était très douée. C’est Laticia qui a guidé ma bite dans la fente de maman. Je commençais donc à lui faire l’amour. Pendant ce temps, Laticia mettait ses gros seins au-dessus de la bouche de ma mère. Ma mère suçait les tétons d’une femme, quel bonheur de voir ça ! Puis elle mit sa chatte sur le visage de maman. Juste en face de moi, je voyais clairement la langue de ma mère qui donnait des coups de langue sur le clito de Laticia.

 

J’ai dû me retirer tout de suite sinon j’allais jouir tellement le spectacle était intense. Je suis même sorti de la pièce, je n’osais plus les regarder tellement je pensais jouir rien qu’en les voyant toutes les deux. J’étais maintenant dans ma chambre, j’entendais encore ma mère gémir. J’ai réalisé à ce moment-là que nous avions été beaucoup trop loin et que ma gentille maman était prête à tout pour réaliser mes fantasmes.

 

Quelques minutes passèrent, mon érection s’était calmée un peu et j’avais toujours cette foutue capote sur mon sexe. Bon, j’y retourne. Arrivé dans la chambre, il y a avait une forte odeur de mouille. Laticia était couchée jambes écartées et ma mère lui broutait le minou tout en lui doigtant le trou du cul

 

– Ah, te voilà enfin me dit Laticia. Viens près de nous, on va s’occuper de toi mon grand.

 

Je me couche à côté d’elles, mon sexe est hyper tendu. Voilà Laticia qui me change de capote. Les voilà toutes les deux en train de me sucer la bite à tour de rôle. J’essayais de penser à autre chose pour faire durer le plaisir mais en vain, j’ai dû leur demander d’arrêter sinon j’allais jouir.

 

Elles se sont donc remises l’une sur l’autre à côté de moi. Ma mère était sur Laticia, elle lui léchait, lui suçait les seins. Je ne participais plus, j’étais devenu spectateur de cette scène de gouines. Voir ma mère comme ça, c’était géant ! Je les ai regardé se manger pendant au moins 5 minutes avant de revenir à l’action. Ma mère était couchée, Laticia était sur elle et me dit :

 

-Tu sais ce qui serait bien mon grand, c’est que tu fasses l’amour à ta maman et que tu jouisses en elle.

 

Maman m’enleva ma capote et se mit à quatre pattes au-dessus de Laticia. Elle suçait les gros bouts de maman pendant que je la pénétrais, c’était torride!

 

– Peut-être que tu aimerais qu’il t’encule ? Demande Laticia à ma mère

– Oui, oui !

 

J’ai changé de trou et j’ai joui comme un fou dans son cul, et quand j’en suis sorti ma mère m’a nettoyé la bite avec délectation..

 

Crevés, nous avons fini par une embrassade à trois langues. Maman a remercié Laticia qui s’en est allée à minuit avec notre secret. Je me demande maintenant ce qu’elle est devenue et si elle fait encore ce métier.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 16:34

Ma mère est un peu pute par Irenée Vardin

Stamp Mature Sodo

Salut ! Je suis Marc, j’ai 25 ans et j’habite encore chez maman, Nous ne sommes que tous les deux à la maison.

 

Par une belle journée d’été, la clarté du soleil causa mon réveil prématuré. Le cadran indiquait qu’il était à peine sept heures du matin. Je m’aperçus que ma mère avait remarqué que je dormais tout nu, car quand j’ai regardé vers ma porte et je l’ai vu s’enfuir. Comme j’étais excité, je décidais de rester nu un bout de temps. Je me promenais dans ma chambre, je suis allé vers ma commode pour commencer à m’habiller. Ma mère est rentrée dans ma chambre, elle est restée un peu surprise de me voir tout nu. Je voyais ses yeux qui regardaient mon pénis, ses yeux s’illuminaient et je savais que je l’excitais.

 

Elle me dit :

 

– Marc, tu sais que je ne suis pas faite en bois, toi tu es jeune et beau et je suis ta mère.

– Oui mais maman j’ai le droit d’être nu, je n’ai pas honte de mon corps.

– Justement tu es mon fils et en ce moment tu as sûrement remarqué que j’étais excitée.

– Oui, mais j’aime être nu.

– Je sais, moi aussi j’aimais être nue, mais ça fait tellement longtemps de ça. Et ça fait longtemps que je n’ai pas baisé.

– Ok, je vais essayer de faire attention à l’avenir.

– Merci chéri.

– Bon je vais aller prendre mon bain.

 

J’étais dans le bain, je pensais à ma mère qui m’avait surpris tout nu et puis là j’ai commencé à me masturber lentement. Je pensais à elle comme si elle était à côté de moi à me regarder me masturber. Je l’imaginais, assise sur la cuvette des toilettes qui me disait : vas-y, touche-la ta queue, n’es pas peur de te branler, caresse-toi les testicules tout en te branlant. Comme j’allais venir, je l’entendais me dire : éjacule pour maman, éjacule pour ta mère. Puis là j’ai eu un gros orgasme intense, par la suite je me suis relaxé dans le bain, c’était tellement bon. Pendant le reste de la journée j’y pensais encore. Le soir venu, je me suis dévêtu et je suis allé me coucher.

 

Le lendemain sans même y penser, je me suis levé pour aller m’habiller et puis tout à coup ma mère m’a encore surpris mais cette fois-là j’étais tellement bandé, l’érection matinale, la queue gonflée au maximum. Elle m’a dit :

 

– Ah non, Marc, cette fois j’ai trop de mal à résister. Une queue bien bandée, jeune et en plus celle de mon fils. Hé ! En plus de cette belle flèche t’as des belles testicules.

– Maman ce n’est pas de ma faute si j’ai une érection, tu n’as qu’à pas regarder.

– Facile à dire mais difficile à faire pour une femme de mon âge.

– Même si tu es dans la quarantaine, tu es encore belle et tu attires sûrement les garçons de mon âge.

– Comment peut tu en être si sûr?

– Est-ce que je peux te parler en toute franchise?

– Mais oui fiston vas-y.

– Je ne les ai pas vraiment vu mais je peux constater que tu as de jolis seins, de belles fesses pas trop grosses et sûrement une belle grosse chatte juteuse.

– Oh, j’aime comment tu me décris, merci.

– Il y a une chose que j’aimerais beaucoup te demander, tu vas peut-être trouver ça stupide.

– Vas-y chéri, n’ai pas peur.

– OK. Je voudrais que ce soit toi qui me rase les poils pubiens et les testicules, j’ai confiance en toi et c’est toi qui est ici en ce moment.

– Je pensais pas que tu me demanderais ça à moi, je veux dire à ta mère, mais si ça peut te faire plaisir en une quelconque manière, je suis d’accord.

– Merci maman. Est tu sûre que tu pourras résister ?

– Non, je suis pas sûre mais je vais essayer.

– Est-ce qu’on peut le faire avant que je prenne mon bain?

– Oui, va te préparer j’irais te rejoindre.

 

Je suis allé dans la salle de bain, je me suis dévêtu et je me suis assis sur la cuvette des toilettes. J’étais excité à l’idée que ma mère allait me raser la queue. Après deux ou trois minutes ma mère est arrivée dans la salle de bain avec le rasoir électrique. Elle s’est mise devant moi à genoux et ma dit de m’écarter les jambes. Elle a commencé à me raser, je voyais qu’elle allait un peu vite car elle avait du mal à résister. Pour me raser les testicules, elle a dû prendre mon pénis dans sa main et le soulever. Là je sentais que j’allais bander mais j’essayais de me retenir. J’ai commencé à bander, ma mère avait presque terminé, et elle a pu sentir ma queue en érection entre ses doigts. Elle m’a dit que je pouvais prendre mon bain et elle est vite partie.

 

Je me suis fait couler un bon bain chaud, pendant ce temps je me suis regardé dans le miroir. J’examinais ma queue fraîchement rasé, je la trouvais différente mais elle me donnait envie de me branler . Alors je suis entré dans la baignoire, j’ai commencé à me masser les testicules lentement. J’ai fermé les yeux et j’ai commencé à me masturber en pensant à mère. J’imaginais que je la voyais dormir nue, alors je me suis approché d’elle, j’ai poussé un peu la couverture pour apercevoir une belle grosse chatte. J’ai approché le visage tout près pour pouvoir la sentir, elle sentait si bon et cela m’excitait au maximum. Quand j’ai frotté mon doigt contre ses lèvres, je sais pas pourquoi mais j’ai ouvert les yeux, j’ai eu une belle surprise. Ma mère était juste là, en train de me regarder me masturber, j’avais les jambes écartées, la main autour de mon pénis en érection, l’autre main qui me tenait une fesse et un peu de sperme sur le bout de mon gland. J’étais tellement gêné, puis ma mère a dit que c’était pas grave , que je pouvais continuer à me donner du plaisir et qu’elle aimerait me regarder faire. Sans même y réfléchir j’ai répondu oui, ma mère est venue s’asseoir sur la cuvette des toilettes et s’et mise à pisser. Le bruit de son pipi m’a rendu fou et j’ai continué tout en regardant ma mère. Elle m’a dit :

 

– Vas-y chéri, fais-le pour maman !

– Oh maman, c’est bon, hum !

– T’aime ça te masturber en pensant à moi?

– Oh oui maman. T’aimes me voir me branler ?

– Oui fiston, tu m’excites tellement… Regarde les seins de maman.

– Oh maman ils sont superbes, caresse-toi les seins pour moi. Pince-toi les bouts…

– T’aime ça hein?

– Ah, j’en peux plus, je vais décharger.

– Attends, je veux goûter à ton foutre.

 

Elle colla ses lèvres sur mon gland et avala tout mon sperme. J’étais tellement content que ma mère ait voulu me regarder, je voulais rester avec ma mère aujourd’hui car je savais qu’elle serait tellement excitée, mais je devais partir travailler.

 

Le lendemain matin, je me suis réveillé, il était à peine huit heures du matin, on était le jour de la Saint-Valentin. Je me suis aperçu que quelqu’un avait enlevé les couvertures et que j’avais dormi tout nu aux yeux de tous. Ma mère était dans le bain, alors je me suis habillé pour aller au tabac acheter des cigarettes. Quand je suis revenu, je suis allé dans ma chambre regarder la télé. À neuf heures ma mère est rentrée dans ma chambre et elle m’a dit que je méritais d’avoir mon cadeau de la Saint-Valentin. Je lui ai demandé ce que j’allais avoir, elle m’a dit de lui faire confiance. J’étais étendu sur mon lit, elle s’est approchée de moi, elle m’a enlevé mon tee-shirt. Elle m’a déboutonné mon pantalon pour me le retirer. Elle a baissé mon boxer pour dévoiler mon pénis, j’étais encore tout nu devant elle. Elle me dit :

 

– Enlève mon soutien-gorge, Marc !

– OK maman. T’as de beaux seins.

– Merci, enlève mon jeans maintenant et mon string.

– Ta chatte est tellement belle et elle sent bon.

– Bon, maintenant laisse-moi faire.

 

Ma mère prit ma queue entre ses doigts, elle bandait dur, elle me masturbait lentement. Je ne pouvais pas y croire, ma mère était en train de me branler. Elle ouvrit la bouche et me confia :

 

– Cela fait tellement longtemps que je souhaitais avoir cette belle queue entre mes doigts.

– Je sais maman, mais maintenant tu peux quand tu veux.

– Est-ce que t’aime que maman te masturbe?

– Oh oui, continue, frotte-moi le gland.

 

Sa min passa derrière moi et je sentis un doigt me pénétrer l’anus.

 

– Tu aimes ça ?

– Oui, maman, c’est très bon !

 

Après quelques minutes.

 

– Ho maman, je crois que je vais venir.

– Vas-y mon fils, décharge pour moi.

– Hum! Hum! c’était bon, j’adore quand tu me masturbes.

– Je sais que t’as aimé ça. Maintenant c’est à mon tour d’avoir du plaisir. Tu vas me doigter la chatte.

– Avec plaisir maman.

 

Je me suis mis à genoux devant elle, je lui ai dit de s’écarter les jambes. J’ai levé ses jambes en l’air et j’ai mouillé mon doigt, je l’ai approché près de ses lèvres inférieures et je l’ai enfoncé dans sa chatte lentement jusqu’au fond. Par la suite j’y ai introduit une deuxième et même un troisième doigt avant qu’elle me dise :

 

– Ah, mets ta langue dans ma chatte, pénètre-moi avec.

– Est-ce que c’est bon comme ça ?

– Ah oui chéri, continue.

– Ta chatte est toute juteuse.

– C’est normal, je vais venir. Ah, je jouis…

 

On a repris de nos esprits, on s’est détendu. Quand je me suis réveillé, il était temps d’aller travailler. Il était onze heure du soir quand je suis revenu à la maison.

 

J’ouvre la porte, je vais vers le salon, je n’ai vu personne dans la maison. Je suis allé dans ma chambre pour regarder la télé, comme il y avait rien de bon, j’ai décidé de mettre un film porno. Le film était commencé depuis dix minutes, à l’écran on voyait une femme dans la cinquantaine qui suçait un jeune homme. Tout à coup, ma mère était à la porte de ma chambre, elle m’avait surpris en train de regarder ce film de cul. Elle est rentrée, elle est venue s’asseoir à côté de moi sur le lit. Elle m’a dit que ce soir, elle voulait que ce soit spécial car elle savait que j’allais devoir partir demain pour un mois à cause du travail. Je lui ai dit :

 

– C’est une très bonne idée, moi aussi j’ai envie de passer la soirée avec toi.

– O .K. mais tu vas nous laisser ce film, car cela fait longtemps que j’en ai pas vu un.

– Maman, est-ce que t’aimerais qu’on commence par fumer un joint?

– Ouais, c’est une bonne idée, ça fait longtemps ça aussi.

– Bon ben ok je vais le rouler.

– Pendant que tu fais ça, je vais aller nous chercher deux grands verres de bière.

– Oui, c’est parfait.

 

J’ai eu le temps de rouler le joint avant qu’elle arrive et même un deuxième. J’ai vu ma mère arriver devant ma porte, elle s’était changée pour mettre sa robe de chambre. Elle tenait deux verres à la main et une grosse bière dans l’autre. Elle déposa le tout sur la table et retourna dans l’autre pièce. Quand elle est revenue, elle avait les main derrière le dos et me dit:

 

– Marc, enlève le film parce que j’ai une surprise pour toi que j’ai acheté hier.

– Ha oui, c’est quoi?

– Regarde, c’est un film porno. J’ai pensé que ça te plairait parce que c’est l’histoire d’une mère et de son fils. Alors on le met ce film ?

– Bien sûr . On fumera le joint en le regardant.

– Ouais, allume-le , moi je vais remplir nos verres.

 

Ma mère a mis le film dans le lecteur, moi j’ai allumé le joint et elle est revenue s’asseoir à côté de moi sur le lit. On fumait le joint et tout à coup le film à commencer c’était une mère dans le bain avec son fils qui pour l’instant se lavent mutuellement. Au bout d’un moment la mère se lève et se met à uriner dans la bouche de son fils.

 

– Oh, regarde ce qu’ils font ! Dit ma mère.

– Il a l’air d’apprécier !

– T’aimerais qu’on fasse pareil ?

– Je veux bien essayer.

 

Après quelques minutes le joint était terminé, on a alors commencé à boire la bière tout en finissant de regarder le film. Tout cela a commencé à vraiment nous exciter au maximum. Ma mère a commencé à détacher le cordon de sa robe de chambre et alors elle m’a dit :

 

– Regarde Marc, je porte pas de soutif,

– Maman , t’as les plus beaux seins que j’ai vu.

– Enlève moi mon string et je vais te déshabiller.

– T’est déjà toute mouillée.

– Regarde t’est pas mieux il y a des taches de sperme sur ton boxer.

– J’avoue tout ça m’a excité.

– Écarte toi les jambes je vais te sucer ce gros gland.

– Ah maman tu suces vraiment bien.

– J’aime avoir ta queue dans ma bouche, elle goûte bon.

 

Après dix minutes de suçage intense, je sentais que j’allais décharger alors je lui ai dit :

 

– Je vais décharger. Je peux plus me retenir.

– Vas-y je suis prête à tout avaler.

– Ça y est…

– Hum. J’adore avaler du sperme tout chaud, surtout quand il y en a autant.

– C’est à mon tour je vais te manger la chatte.

 

Elle s’est écarté les jambes, les a levés en l’air air et puis moi je me suis mis la tête entre ses jambes pour commencer à la manger. Là elle m’a dit :

 

– Attends, je vais faire une goutte de pipi.

 

Je me suis reculé, ai attendu un instant et elle m’a fait pipi dans la bouche, j’ai trouvé ça très gouteux, puis j’ai recommencé à la lécher

 

– Ha ! c’est tellement bon, met-moi ton doigt dans l’anus. Lèche-le un peu avant

 

J’ai léché le petit trou de ma mère, il goutait bon, puis, j’ai fait entrer mon doigt dans son anus, elle a gémit de plaisir tout en se faisant aller le bassin de plus en plus vite. Elle m’a demandé de lui en mettre deux de plus dans le cul. Elle aimait tellement ça, et en voulait de plus en plus. Après vingt minutes, elle m’a dit qu’elle allait couler à flot.

 

Puis elle a eu plusieurs orgasmes. On s’est dit qu’on reprendrait nos esprits en regardant la fin du film. Après un vingtaine de minutes, on était toujours tout nu, j’ai proposé qu’on fume l’autre joint qui restait. Elle m’a dit que cela nous remettrais d’aplomb. Dès que le joint a été terminé, elle a sortie de sa poche de robe de chambre, une capote. Elle me l’a enfilé sur la queue, puis elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et ma dit :

 

– Marc met ta queue dans ma chatte, jusqu’au fond.

– Ah, ça faisait longtemps que je rêvais de ça.

– Va un peu plus vite.

– Comme ça, est-ce que c’est bon ?

– Ho oui c’est parfait, continue.

 

Pendant plusieurs minutes je l’ai pénétré, jusqu’à elle sorte un vibrateur de la poche de sa robe de chambre. Elle m’a demandé de lui mettre dans le cul. Après je l’ai enlevé pour y insérer ma queue.

01 RENATE MILADA BERNA

– Oh, oui, mon chéri, tu m’encules, c’est si bon !

 

La partie de jambes en l’air a continué une bonne partie de la nuit.

 

Le lendemain, le téléphone a sonné, c’est ce qui m’a réveillé. C’était mon ami Frank qui voulait que je passe cher lui pour l’aider à réparer son auto. Je lui dit que je serais là dans une heure. Je me suis retourné et j’ai aperçu ma mère qui dormait encore. Elle était la toute nue, je pouvais voir sa belle chatte poilue. Je l’ai réveillé pour savoir si elle voulait qu’on prenne une douche ensemble. Elle m’a dit qu’elle voulait encore dormir un peu mais qu’à mon retour se serait encore mieux que la douche. Je suis donc parti chez mon ami.

 

Presque toute la journée on a réparé son auto et on a discuté de nos baises les plus récentes. C’est ce qu’on a souvent comme discussion. Et sans faire attention j’ai parlé de la baise que je venais d’avoir. Il arrêtait pas de me demander avec qui c’était alors je lui ai dit :

 

– C’est ma mère. Mais t’en parles à personne.

– Ouais, ouais, je te crois pas.

– Tu veux parier ?

– Ouais mais comment tu vas me le prouver?

– Tu verras bien et si je dis vrai tu me devras 100 balles

– Pari accepté.

 

On s’est vite dépêché de tout ranger et puis on est parti cher moi. Sur le chemin, il arrêtait pas de me questionner sur ce que j’allais faire pour pouvoir lui prouver. Je lui ai dit de me faire confiance. Rendu cher moi, ma mère était assise dans le salon alors on est allé la rejoindre.

 

On s’est assis et ma mère nous a servi chacun un verre de bière. On a commencé à discuter de tout et de rien, après une trentaine de minutes, j’ai parlé à ma mère dans le creux de l’oreille, lui ai expliqué ma gaffe et mon pari.

 

Ma mère m’a dit tout bas qu’elle allait arranger ça. Elle dit tout haut :

 

– Comme ça, t’aimerais me voir sucer mon fils ?

– Oui j’aimerais bien voir ça.

– Donne-nous chacun cinquante euros et je vais commencer.

 

Mon ami n’en revenait pas encore, il était pas tout à fait convaincu, jusqu’à ce que ma mère m’enlevé mon pantalon, puis mon boxer, pour dévoiler mon pénis. Elle le frotta un peu jusqu’à ce que j’aie une érection, puis là elle a commencé à me sucer, que c’était bon. Pendant environ dix minutes elle ma sucé, je ne pouvais plus me retenir et elle a tout avalé. Puis elle a dit à mon ami.

 

– On dirait que ça t’as fait bander, Frank ?

– Oui madame !

– Alors redonne-moi 50 euros et je vais te sucer aussi.

 

Il donna 50 euros à ma mère et elle commença à le sucer, puis il dit :

 

– J’aimerais vous voir toute nue !

– C’est un peu plus cher.

 

Elle se mit toute nue et continua à le sucer, un moment elle s’arrêta et me dit :

 

– Elle très bonne la bite de ton ami, tu veux goûter ?

– Maman , je ne suis pas pédé !

– Je sais, mais c’est juste une fantaisie, goute.

 

Je pris le pénis de mon ami dans la bouche et je le suçais un peu. Puis nous l’avons sucé alternativement jusqu’à ce qu’il décharge et que Maman lui avale son foutre.

 

Une fois Frank parti ma mère regarda les billets qu’il lui avait donné d’un air contente.

 

– J’ai sucé pour de l’argent, j’ai fais la pute, ça ne te choque pas ?

– Non, maman, t’es une gentille pute.

– Et toi t’a aimé lui sucer la bite ?

– Oh oui !

– Tu recommenceras !

– Oui !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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