Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 08:09

Tequila par Dumigron

StampCravate

Bonjour je suis Florence, 45 ans, brune et frisée, large de fesses et de poitrine Je travaille dans un magasin de fringues où je suis la seule employée. Ma patronne, Herma en a 28, c’est une grande blonde, grande et bien faite, légèrement autoritaire. A force de faire des essayages en commun et de se retrouver à poil on a fini par se tripoter. Les tripotages sont devenus au fil des semaines de plus en plus pervers, et c’est maintenant de façon régulière que nous nous livrons à des séances de broute minou.

Nous faisions ça pendant les heures creuses du magasin. Cela était fort agréable mais nous manquions d’aise. On a décidé de prendre une soirée de liberté par semaine. Racontant à mon époux qu’on allait taire de la gymnastique dans un club privé, on allait taire l’amour dans un petit studio appartenant à ma patronne.

Malgré sa relative jeunesse Herma était bien plus expérimentée que moi. Elle m’a presque tout appris sur les pratiques lesbiennes, du broutage de minette à la pénétration par godemichet. Grâce à elle, j’ai découvert des orgasmes fous et le plaisir d’aller toujours plus loin dans ces découvertes.

Ma patronne avait de l’imagination et un sens prononcé de la domination. Quand cela la toquait, elle n’hésitait pas à me donner des coups de badines ou de martinets sur mes fesses ou de m’accrocher des pinces sur mes tétons et sur les lèvres de ma chatte en me traitant de salope et de traînée. Parfois elle me pissait dans la bouche ou me faisait nettoyer son cul alors qu’elle venait juste d’accomplir ses besoins. Moi, j’aimais bien tout cela. J’étais sa chose, son jouet.

Un jour, elle a décidé de mêler son mari à nos expériences. J’étais légèrement déçue mais je n’ai pas voulu le lui avouer par peur de la perdre. Son mari est venu avec un ami. Très vite, elle m’a présenté et très vite aussi j’ai eu la sensation de devenir une marchandise.

Devant les deux hommes, elle m’a fait me déshabiller en faisant valoir mon corps généreux, ma grosse poitrine et mon postérieur rebondi. J’étais gênée et honteuse. Après m’avoir bien observée sous toutes les coutures, le mari s’est approché de moi et m’a palpée en « connaisseur ».

Ma patronne est allée sur le lit. Elle a relevé sa jupe et s’est enfilé son gode dans le vagin. Elle avait un regard tellement lumineux qu’il me faisait presque peur.

Le mari m’a forcée à me mettre à quatre pattes. Il a demandé à son ami de me vérifier la chatte et le trou du cul. Après avoir eu l’impression d’être un animal, j’ai eu l’impression d’être une voiture. Je me suis sentie humiliée. Mais l’ami, contrairement à ce que je m’attendais, était doux, délicat. En fait de vérification, il a commencé à me branler, enlisant ses doigts dans ma fente et l’approfondissant.

Mon aventure avec ma patronne m’avait rendue hypersensible de ce côté-là. Je n’ai pas résisté à un assaut de frissons qui se sont engouffrés dans mon ventre en vagues chaudes. Malgré moi, je me suis mise à tortiller du croupion pour que les doigts atteignent mon clitoris. L’ami a déclaré d’une voix de docteur.

– Mon cher Paul, ta femme a raison… c’est une sacrée salope ! Elle part au quart de tour et elle mouille déjà.

C’est vrai que je mouillais et j’en avais même un peu honte. J’ai regardé ma patronne qui m’a renvoyé un regard dur et qui m’a dit de continuer à remuer du cul et à balancer mes grosses mamelles dans le vide. Puis, en grande maîtresse de cérémonie, restant dos appuyé au montant du lit, jambes écartées sur son gode fiché dans son vagin, elle a demandé aux hommes de se dévêtir. Je les sentais très liés tous les trois, un peu comme un couple qui aurait des habitudes. Moi, j’étais toujours à quatre pattes, bougeant bêtement mes fesses et mes seins, n’osant m’arrêter pour ne pas la fâcher.

Elle a exigé que son mari s’allonge entre mes bras et me suce le bout des seins. Elle a obligé leur ami à m’astiquer la minette. Et elle m’a ordonné de ne jouir sous aucun prétexte, de crier grâce dès que je sentirais monter l’orgasme. Je peux paraître forte mais au fond je suis une faible nature.

Je n’ai pas besoin de beaucoup de caresses pour m’envoyer au ciel. Alors là, avec ce traitement de choc, j’ai pas pu résister longtemps. J’ai senti ma jouissance au bord de mon vagin, j’ai failli lâcher la sauce, mais au dernier moment, je me suis retenue. J’en ai eu si mal que je me suis mise à pleurer. Ma patronne s’est déchaînée en se branlant de plus en plus vite avec son godemichet et en demandant à leur ami de m’enculer. Un jour, je lui avais dit que j’adorais ça et que je regrettais que mon mari ne le tasse pas plus souvent.

J’ai compris que la petite garce allait mettre toutes mes confidences à profit. Elle savait aussi que j’aimais sucer des queues. Elle s’est levée pour m’introduire celle de son mari dans ma bouche. Pendant ce temps, l’autre me pénétrait doucement, dilatant mon conduit qui s’en régalait déjà. Je m’étais trop retenue. J’ai commencé à jouir. Par la bouche et par le cul, j’ai avalé les deux queues. Le plaisir, un plaisir fabuleux a explosé dans tout mon corps. Ma patronne s’est mise entre mes bras, prenant la place de son mari, pour me sucer la pointe des seins. J’ai senti qu’elle voulait me faire dérailler à force de jouir.

J’aurais bien voulu résister à cette manigance, mais ce n’était pas juste, ils étaient trois contre moi, et moi je n’avais qu’une envie m’éclater dans un orgasme sans fin. Les deux hommes m’ont présenté leur trou du cul, ma patronne m’a demandé de les lécher, puis d’y introduire mes doigts.

Curieuse sensation de voir ces deux mâles virils se pâmer du cul sous l’effet de mes petits doigts agiles. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises quand je vis Paul se redresser, se diriger vers son ami le contourner et lui sucer la queue. Quelle bande de pervers… mais je serais mal placée pour critiquer…

Quand l’ami du mari voulu satisfaire un petit besoin naturel, ma patronne lui indiqua que je pourrais très bien remplir le rôle d’un urinoir. J’ai dû ouvrir la bouche et avaler son urine tiède. Paul excitée par cette scène ne voulant pas être en reste et m’offrit à son tour son champagne intime.

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La séance a duré une bonne partie de la nuit, car j’étais tombée sur des baiseurs infatigables qu’une bonne pipe remettait vite d’aplomb.

Pendant presque tout ce temps, ma patronne jouissant dans son rôle de voyeuse, n’intervenant que pour augmenter les doses de mes orgasmes. J’ai alors compris que j’étais devenue le jouet de ce couple à trois. Ma patronne était moins lesbienne que moi, ce qu’elle aimait c’était me voir enfiler par ses deux amants.

Je l’ai compris et je me suis dit tant mieux. A mon âge, il faut savoir en profiter. Je suis devenue une femme objet, mais j’assume complétement et n’autorise personne à me juger !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 07:23

Drôle de jeu par Dumigron

Voy

Après avoir tourné les clés dans la serrure, j'ouvris la porte toute grande pour pénétrer dans mon appartement. Je n'avais qu'une seule idée en tête : prendre une bonne douche pour effacer les tourments d'une nouvelle journée de travail que je venais de terminer, et ensuite une bière devant la télé me ferait le plus grand bien. C'est en déposant les clés sur la table de l'entrée, que je crus entendre un bruit provenant de fond de l'appartement. À cette heure-ci ma nouvelle colocataire ne devait pas être rentrée, elle avait l'habitude de travailler tard le soir. Je tendis l'oreille de nouveau et perçus une fois de plus des gémissements sourds. Je déposai mon manteau dans la garde-robe de l'entrée et me rendis vers le fond de l'appartement d'où provenaient les sons. Silencieusement je me dirigeai vers une porte ouverte, d'où semblaient sortir ces murmures.

 

Puis je la vis. Elle était rentrée plus tôt manifestement. Elle était étendue de son long sur son lit, de côté et lui faisait dos. Selon toute apparence, elle ne m'avait pas entendu rentrer. Une main était glissée entre ses jambes et je pouvais facilement en conclure que ces gémissements étaient le fruit de son plaisir. Je l'observai un instant. Sous ses vêtements féminins je l'avais toujours trouvé attirante, et supposais qu'elle devait avoir de belles formes. Mes yeux s'illuminaient de plaisir à la regarder ainsi se caresser l'entre jambe. Elle était nue, ne pouvant que dévoiler ce que mon imagination avait si souvent rêvé.

 

Je murmurai d'une voix rauque : " besoin d'aide ? ". Ça m'avait échappé, sans doute parce qu'inconsciemment, j'espérais qu'après avoir constaté ma présence, elle m'inviterait à la rejoindre.

 

Elle arrêta brusquement ses caresses et se retourna subitement dans ma direction. Elle était vraisemblablement surprise de trouver quelqu'un dans l'entrebâillement de sa porte. Ne me faisant ainsi plus dos, elle offrait son corps nu entièrement à ma vue et j'eus envie de prolonger ce plaisir. Je demandai une deuxième fois : " besoin d'aide ? ".

 

La femme, surélevée sur son lit par son coude, me pria de prendre place sur la chaise face au lit.

 

- " Ne bougez pas, ne bougez surtout pas ! "

 

Je m'exécutai et retournai la chaise avant de m'asseoir face au lit, et par là même, à la femme. Elle s'approcha du bout du lit le plus proche de moi et s'assit à son tour, jambes pendantes sur le côté. Elle me fixa des yeux et arqua légèrement le bassin vers le haut, écartant les jambes, laissant entrevoir ses lèvres gonflées. Elle écarta ses jambes davantage et ses lèvres s'entrouvrirent d'elles-mêmes. Je regardai et un début d'érection se fit ressentir. La femme dirigea le majeur de sa main droite vers sa bouche et l'humecta abondamment. Fixant toujours mon regard, elle dirigea son doigt mouillé vers sa chatte, qui réclamait ses caresses. La femme entama un léger frottement contre son clitoris dressé et durci. Je n'en croyais tout simplement pas mes yeux : en plus de voir la femme nue, j'étais en train de l'observer se masturber. Je tentai un mouvement subtil pour me rapprocher du lit, mais la femme me l'interdit du regard. J'étais donc condamner à observer. Elle me regarda un instant directement dans les yeux, puis ramena son doigt imbibé de sécrétion vaginale vers sa bouche. Son regard se faisait de plus en plus provocant. Lentement, elle vint rouler sa langue autour de son doigt, pour l'introduire dans sa bouche imitant une fellation. Sa main gauche vint caresser l'intérieur de la jambe et l'écarta progressivement. Je pouvais voir les lèvres s'écarter légèrement l'une de l'autre et les apercevoir perler d'excitation. Une mince couche de sécrétion c'était accumulée et une odeur d'extase s'en dégageait.

 

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Ramenant sa main droite vers sa chatte, elle y fit glisser son index jusqu'à l'entrée de ses lèvres. D'un clin d'œil, le doigt s'engouffra à l'intérieur et elle pencha son torse vers l'avant pour faire pénétrer celui-ci le plus profondément possible. Un léger mouvement du bassin d'avant arrière permit à la femme de laisser pénétrer son doigt jusqu'aux jointures de sa main. À chacun de ses gestes sa paume frottait sur son clitoris. Ses respirations se faisaient de plus en plus profondes et saccadées, sa tête commençait à valser de tous les côtés. Soudain la femme s'arrêta, me fixa de nouveau dans les yeux. Je dirigeai donc mon regard vers la chatte de la femme et la vit introduire un deuxième doigt. Une fois de plus la femme gémit. Ce fut ensuite le tour d'un troisième doigt. Je pus voir la femme surélever son bassin et tout simplement enfourcher ses trois doigts.

 

Elle glissait sur ceux-ci qui l'entrouvraient et étiraient les lèvres de sa chatte. Elle se déchaîna subitement je pouvais la voir effectuer des va-et-vient, de haut en bas, férocement. Le bout de ses doigts allait caresser l'intérieur et lui procurait un plaisir visible à son expression. La femme ne se retenait plus pour gémir et chaque fois que sa paume heurtait son clitoris, elle expirait en gémissant de plus belle. Elle avait de plus en plus de difficultés à garder le rythme de ses mouvements. Sa chatte commençait à se contracter chaque fois que ses doigts heurtaient le fond de celle-ci. Ses soubresauts finirent par la clouer sur place. Elle figea l'instant où les muscles de son corps lui donnèrent le plaisir tant convoité.

 

J'étais toujours assis sur la chaise. Je l'observais et ressentais un besoin intense de la toucher. La regarder faire ainsi m'avait plutôt excité. Je n'osais même pas regarder vers mon pantalon pour constater mon état… C'est alors que je me décidai à approcher. Je me levai de ma chaise d'où j'avais eu cette vision, et avançai vers le lit.

 

A ce moment l'inconnu sorti de derrière les rideaux où il était dissimulé. Il était nu, il bandait magnifiquement.

 

- On vous a demandé de ne pas bouger ! Retournez à votre place, s'il vous plait !

 

J'étais donc l'acteur inconscient d'un jeu érotique, dont les arcanes me dépassaient, mais qui prenait une tournure qui me déplaisait… je me dirigeais donc vers la porte.

 

- Ne partez pas, le jeu n'est pas fini ! me dit la femme.

 

J'hésitai une seconde…

 

- Ne trouvez-vous pas que mon ami a une très jolie bite ?

 

Par reflexe je regarde le membre de cet homme. Il est beau, il est bien tendu, le gland est fier sans être trop épais, la peau est d'une jolie couleur.

 

- Pourquoi cette question ?

- Parce que je vous propose un marché !

- Dites ?

- Aimeriez-vous me baiser, me prendre comme une chienne… devant lui !

- Ma fois…

- Cela a un prix !

 

Ainsi ma nouvelle colocataire se prostituait. Bien que n'ayant rien contre le principe, il se trouve que je n'ai jamais eu l'opportunité d'avoir affaire à ces dames… mais mon état d'excitation m'empêche de raisonner convenablement et je m'informe de ce prix.

 

- Non, il n'est pas question d'argent, le prix est en nature : suce la bonne queue de mon ami et tu pourras me baiser.

 

La femme ne pouvait savoir que bisexuel à mes heures, cette fantaisie ne pouvait pour moi être synonyme de corvée. Par jeu, et parce que sans doute était-ce là ce qu'ils souhaitaient tous les deux, je fis semblant d'hésiter, mais finis par approcher mes lèvres de cette bonne queue, que je m'empressai de savourer des lèvres et de la langue. Je me régalai tellement et m'appliquai si consciencieusement que l'homme ne put s'empêcher de dire :

 

- Ce n'est pas sa première queue !

 

Je continuai

 

- Dites-moi, cher Monsieur, ce n'est pas votre première queue ? Insista-t-il

- Non ! Confirmai-je, délaissant à regret ce membre magnifique !

- Vous aimez ça ?

- J'avoue !

- Dans ce cas, puisque nous sommes entre initiés, mon amie serait sans doute ravie de me voir vous baiser. Serait-ce trop vous demander que vous me présentiez vos fesses afin que je vous encule ?

- Mais faites-donc, cher monsieur !

- Je vous prends, vous prenez madame et ensuite nous irons tous les trois au restaurant, ce programme vous sied-il ?

- A merveille !

 

Dumigron de Séville

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 06:50

Une fille qui mène du train par Dumigron

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Je me demandais comment et quand je pourrais bien raconter cette histoire folle qui m'est arrivée, et bien voilà que vous, chers internautes, vous allez goûter un peu aux plaisirs et aux passions qui m'ont traversé lors de cette expérience.

 

Vous savez, quand votre ex petite amie vous appelle, c'est ou bien pour avoir des nouvelles, ou bien pour baiser car elle est en manque. Quel hasard, j'en avais besoin aussi. Pour mettre un peu de folie dans notre rencontre - nous nous sommes lassés il y a quelques années - il nous fallait trouver quelque chose d'exceptionnel. Pourquoi pas un voyage ? Ok ! Après quelques hésitations, nous avons décidé de prendre le train en direction de Barcelone afin d'aller manger dans un chic restaurant, voir une zarzuela et peut être se rafraichir les sens.

 

Elle portait une robe fleurie jusqu'aux genoux et des sandales aux pieds. Sa robe était franchement entrouverte au-devant, il faisait vraiment chaud. En effet, en cette belle journée de fin de printemps, les tenues légères étaient de mise. Lorsqu'elle marchait, son buste vaguait au rythme de ses pas… ce qui me subjuguait. Je l'ai observé pendant un bon moment pendant qu'elle achetait des magazines au kiosque de la gare. Sa chevelure blonde attachée, son sourire, sa joie de vivre… voici comment le romantique en moi voyait les choses. Son cul ferme, ses petits seins ballotant, ses cuisses fraîches et ses mains agiles… voici comment le baiseur en moi voulait ces choses.

 

Vu que nous étions un peu gênés, et surtout que ni l'un ni l'autre ne voulait faire le premier pas, nous nous sommes presque dévorés des yeux pendant toute la durée du voyage. Assise devant moi, en train de lire son magazine sur la mode, je devinais que, sous la tablette du train, ses jambes étaient complètement entrouvertes. Peut-être inconsciente de son désir de me recevoir ou peut-être une invitation à une chaude passion… en tous les cas, elle me faisait un effet d'enfer. Ça me faisait mal tant mon engin poussait le tissu de mon pantalon de coton. Il fallait que j'aille décharger mon fusil, sinon j'aurais tout envoyé dès les premières secondes lors de la baise future.

 

Je la laisse lire pendant que je me dirige vers la toilette la plus proche. Evidemment, le train bouge beaucoup et les couloirs sont étroits. La marche est assez compliquée si l'on ne veut pas bousculer personne. Une file d'attente pour traverser au prochain wagon… la porte est coincée ! Inutile de me retourner, déjà plusieurs personnes se sont placées derrière moi. Malheureux ? Non ! Une jolie rousse aux longues jambes galbées s'est placée derrière moi en file. Nous sommes un peu trop serrés mais juste assez pour sentir ses seins moelleux sur mon dos. Je frissonne et elle s'en aperçoit. Le train bascule un peu… elle se place de façon à presque m'envelopper tout l'arrière. Ses hanches se frottent tranquillement et ses mains se mettent sur mes hanches. Pendant qu'elle respire un peu plus fort et un peu plus près de mon oreille, elle met ses mains dans mes poches. Qui est cette personne qui me fait ça ? Pourquoi maintenant ? Un fantasme qu'un dieu paillard et libidineux veut me voir réaliser ? Sans que je sache pourquoi, elle enlève ses mains… et me dis : pour 50 $ je peux te faire plaisir comme et comment tu veux. Je lui réponds que j'aimerais beaucoup, mais que je ne suis pas seul et que j'aime bien cette personne et que… elle comprend !

 

" Je suis désolé pour toi… si tu savais ! ", qu'elle dit.

 

La file se met à avancer, la porte est enfin ouverte. Je reviens à ma table quelques instants plus tard sans avoir rien fait de ce que je voulais faire. Cette jolie putain m'a complètement troublé et j'ai toujours le désir au plafond.

 

Ma femme était là, une main sur sa poitrine, les yeux dans le magazine… surement un article intitulé : " Comment faire crouler votre homme sous le plaisir ? " Vous savez, ces magazines…

 

Nous mangeons notre dernier repas de la journée dans une ambiance plutôt chaude et légère. On se regarde dans les yeux avec la sensation très forte qu'il va se passer quelque chose d'assez passionné ce soir…

 

Nous avons bien mangé. Il est temps de se retirer dans notre chambre.

 

La chambre est assez bien aménagée. Petite mais confortable.

 

- " Retourne toi, je me change ! "

 

Ah bon…

 

À son " OK ", je me retourne. Elle avait une de ses chemises de nuits… oh là là ! Cette chemise, décolletée à souhait, me laissa complètement baba. Ses seins étaient en évidence comme jamais. On pouvait voir ses courbes, on pouvait voir la forme de son entre jambes, c'était si évident. C'était magnifique !

 

Dumigron4Elle me fit signe d'approcher. Tranquillement, elle défit le premier bouton de ma chemise. Ses mains douces et habiles… lorsqu'elle ma chemise laissa place à mon torse nu, elle y mit ses mains… me caressa et me pinça fortement le bout de mes tétons, ma caresse secrète, celle qui me fait toujours bander… et elle m'embrasse langoureusement. Nos lèvres entrèrent en un commun accord. La chaleur de sa langue autour la mienne, les doigts torturaient mes bouts, ses hanches collées sur les miennes… c'était une sensation de chaleur intense. Tout se passa si rapidement mais avec une intensité si profonde que…

 

Elle mit ses jambes autour des miennes en un petit saut. Je fis quelques pas afin de la mettre sur le lit. La bosse de mon pantalon caressait tranquillement sa fourche. Elle se rassit sur le lit, j'étais debout. Elle défit mon pantalon, mon boxer, j'enlevais mes chaussures et mes chaussettes. En un sourire béat, elle prit ma verge à deux mains. Ses mains chaudes et douces commencèrent à me caresser tranquillement de haut en bas. Elle m'apprivoisa… lorsque, yeux fermés, je sentis une chaleur qui enveloppa ma verge. Une succion… le plaisir monta. Les mains dans sa chevelure, elle s'y donna à cœur joie. Un doigt se faufila derrière mes fesses, par réflexe je m'ouvris pour lui permettre l'accès à mon intime trou. Elle me goutait avec tant de désir. Elle ne pouvait tout m'avaler, mais elle essaya tant elle me voulait entièrement. Ses lèvres mouillées… le plaisir monta tellement tranquillement. Je sentais la sensation monter si lentement, si longuement… ce plaisir était si intense… tout sortit d'un coup dans un cri de joie. Elle prit tout dans sa bouche. Elle ne laissait rien passer, elle gobait tout, il en avait ! La tête en arrière, le cri diminua pour n'être plus que lourd grondement au fonds de ma gorge.

 

- " C'est mon tour… et fais-moi jouir ! Je te veux… juste ici ! Lèche-moi jusqu'à plus soif ! "

 

À genoux, ses jambes sur mes épaules, je lui caressais les cuisses avec mes deux mains. Sa chatte m'était offerte tout entière. Je lui chatouillais doucement le contour de son vagin. Je la faisais souffrir, je la faisais languir de plaisir. Elle n'aimait pas ça mais elle en redemandait.

 

- " Caresse-moi, aime-moi, mange-moi ! "

 

Pourquoi pas : la cerise sur le sundae, le miel sucré en abondance, je la mangeais gloutonnement. J'aimais lui procurer ce plaisir. Elle flottait ! Elle ne laissa qu'une jambe sur mon épaule. Cela me permit de lui caresser d'une main son ventre. Elle se cambre, elle vibre, elle souffre le martyr. Elle aime tellement ça et moi qui la déguste de toute la qualité que je me connais. Son ventre frissonne, son corps m'est offert à la caresse. La langue sur son poing sans bouger, je la sens qui se mouille à une vitesse car elle gémit très fort… elle me donne l'envie comme jamais.

 

Je la glisse plus profondément dans le lit en me préparant à la pénétrer tranquillement. Ce brusque changement l'étourdit, mais je n'en peux plus. Tranquillement, le gland pénètre ce château de plaisir. Millimètre par millimètre il entre et moi je m'allonge en même temps sur son corps. Des goûtes de sueur perlent sur son corps. Ses cheveux mouillés font ressortir l'odeur charnelle si propre à une femme. Le va-et-vient se fait très doucement. Je sors presque complément et je la pénètre de nouveau aussi tendrement afin de vivre en détails ce que cela peut m'offrir. Je la prends de tout son corps. Pendant ce qui me semble des heures, tout en s'embrassant de petits baisers sur tout le visage, je me glisse entre elle de ma longue et chaude verge. On s'emballe un peu, on rougit de se voir se donner tout ce plaisir avec une harmonie si grandiose. La musique de nos gémissements pénètre tous nos sens. Elle pousse de petites cris de palisir… et je continue, j'en veux toujours plus. Je ne freine pas mes pulsions… je poursuis ce voyage entre ses jambes.

 

- " Allez, viens finir dans mon cul ! "

 

 

Je m'enfonce facilement dans ce trou charmant, je bouge et je bouge encore, elle est en nage, elle gémit, la tension est trop forte. Je jouis ! Je jouis si longuement, j'ai l'impression d'avoir une rivière qui sort. Je suis étourdi. Je me rends compte que je respire si fort !

 

Elle est radieuse, me sourit, elle regarde ma bite, maculée de sperme et de merde. Sa bouche pulpeuse à tout nettoyé.

 

Il fait un peu froid, en fait, on grelote. Le sourire au visage, on s'embrasse. Face à face, on s'endort..

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 19:13

Une séance de sauna particulière par Dumigron

Stamp sodo

Là où je travaille, il y a, au sous-sol, une salle de sports, avec tous les appareils de musculation possibles, ainsi qu'un sauna pour 2 à 3 personnes maxi. Les murs, très hauts sont couverts de miroirs et de barres de danse.

 

La semaine dernière, je descends dans cette salle, comme je le fais quelquefois l'après-midi vers 15 heures. Ce n'est pas vraiment autorisé, même pas du tout, mais il est juste interdit de se faire prendre. J'arrive donc dans la salle, et je m'aperçois que la lumière est allumée. Bizarre à cette heure. Je ne fais pas de bruit, je me dirige vers les vestiaires hommes, et en passant devant les vestiaires femmes, j'entends une douche couler. Je pousse doucement la porte et je m'approche de la douche du fond. Je me penche un peu et je jette un coup d'œil sous les portes style western. Je vois d'abord deux pieds et mon regard remonte vers l'intimité de cette inconnue. Je peux admirer une toison pleine de mousse et une main qui s'affaire dessus. Dessus et dedans d'après ce que je vois aux doigts qui entrent et qui sortent. Je suis super excité, mais pas assez gonflé pour oser me faire voir. Je ressors donc du vestiaire femmes et vais me déshabiller dans mon vestiaire pour aller au sauna. Ma queue est tendue à son maximum tant je suis encore excité par cette vision de rêve.

 

J'entre donc dans le sauna et je m'allonge sur la banquette supérieure. Les bancs sont, comme dans beaucoup de sauna, faits avec des lattes de pin. Je m'allonge sur le ventre, à même le bois brûlant et je laisse ma queue encore raide se glisser entre deux lattes. Humm quelle agréable sensation. Je suis en train de repenser au corps superbe de cette femme sous sa douche quand la porte s'ouvre. La même femme se présente dans l'entrebâillement, nue, la serviette à la main. Elle vient en fait de prendre une douche fraîche entre deux séances de sauna, et se croit encore seule. Quand elle me voit, elle pousse un petit cri de surprise et se cache avec sa serviette rose. Je lui souris, surpris moi aussi, et la salue. Je suis toujours nu, et ma position avec ma queue coincée entre deux lattes m'empêche de me recouvrir avec ma serviette.

 

Tant pis, je reste ainsi sans oser bouger. Elle répond à mon salut et s'allonge sur la banquette inférieure, sur le dos. Nous échangeons quelques banalités, " le sauna n'est pas trop chaud aujourd'hui " etc. pourtant il est quand même à 85°.

 

Le silence retombe et nous commençons à suer. Tout à coup, je sens une chaleur différente du bois sur ma queue qui a ramolli depuis tout à l'heure. C'est une main, " sa main ", qui glisse doucement dessus. Je n'en crois pas mes sens. Cette femme, qui avait l'air gênée tout à l'heure est en train de me caresser la queue. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je rebande de plus belle et la main me branle carrément. Je laisse tomber mon bras vers le banc inférieur et je passe ma main sur le corps de ma branleuse. Je fais glisser sa serviette et je peux admirer de près ce corps superbe. Elle est blonde, mais une fausse blonde, car son pubis est bien noir et bien taillé. A peine un petit triangle qui s'arrête avant les lèvres. Ses seins sont petits, comme je les aime, et assez fermes pour son âge. Elle doit avoir environ 45 ans, soit peut-être 5-6 ans de plus que moi.

 

Ma main passe de ses seins à son sexe avec douceur, et mes doigts commencent à s'activer dans son intimité. Elle pousse de petits gémissements de plaisir et écarte bien les cuisses. De mon côté, je suis au bord de l'extase. Elle lâche mon sexe, et se relève. Je m'assois sur le banc face à elle, la queue violacée, prête à exploser. Nos corps sont trempés de sueur. Elle se penche un peu et commence à me sucer. C'est un délice, elle prend ma queue jusqu'au fond de sa gorge, me masse les couilles et avec son autre main, m'enfonce un doigt puis deux dans l'anus. Je n'en peux plus, je me vide dans sa bouche, et quand elle sent mon liquide chaud, elle se retire vite. Elle n'a pas l'air d'apprécier le gout du sperme. Elle s'essuie sur mes cuisses et me pousse pour prendre ma place. Elle écarte la cuisse et je n'ai pas besoin d'explications pour fourrer ma tête et surtout ma langue au fond de sa chatte. Ses lèvres sont couvertes d'un mélange de sueur et de jouissance et c'est délicieux. Je fais comme elle et lui enfonce deux doigts dans le cul. Elle jouit très vite en se cambrant.

 

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Elle descend de son perchoir, et me présente ses fesses. Heureusement le fait de lui sucer le minou m'a redonné de la vigueur, et je la pénètre tout doucement. Ma queue entre très facilement tant elle est mouillée. Nous faisons l'amour de longues minutes et elle jouit encore. Je sors de ce trou douillet et me présente vers son autre petit trou. Elle a l'air d'en avoir très envie car elle s'appuie contre ma queue, qui entre presque aussi facilement que dans sa chatte. Humm, quel plaisir de sentir ma queue serrée dans son petit cul. Nous baisons comme des bêtes, je lui caresse les seins et elle me caresse les couilles. J'explose en elle et nous ne bougeons plus pendant 1 ou 2 minutes, sans dire un mot. Je me retire, et nous nous frottons l'un contre l'autre. Nous sortons de cette atmosphère étouffante et brûlante pour aller prendre une douche.

 

Je lui ai proposé de nous revoir, elle a refusé m'indiquant que c'était l'occasion qui faisait le larron !

 

Tant pis ! Quel pied c'était en tous les cas !

 

Dumigron

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 10:37

Confessions peu catholiques

 

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Le goût du blasphème par Escarbec

 

 

Rendez-vous coquins dans une église déserte ?

 

Cela dit, que l’église (et notamment son décor) soit souvent associée au plaisir sexuel, personne ne le niera, ne serait-ce qu’à cause des dimensions de sacrilège, de profanation, qui prend alors tout acte de chair, ne serait-ce que le plus véniel, tâter une fesse, palper un sein devant la statue de la Vierge....

 

SacrilegeSans oublier que sur le plan pratique, c’est un lieu très commode pour les rencontres clandestines. Une adolescente qui fréquente les cafés, en province, est tout de suite cataloguée. Qu’elle soit toujours fourrée à l’église, la voilà à l’abri des racontars.

 

Elevée de façon très stricte, une lectrice en son jeune âge, déjouait la surveillance de sa famille et des voisins en se déguisant en bigote pour retrouver son galant à l’église du village.

 

Elle y était fourrée quasiment tous les jours. Le lieu s’y prêtait d’autant mieux que son jeune amant habitant la maison voisine, pouvait passer de son jardin dans celui du presbytère sans attirer l’attention du voisinage. L’église était le seul endroit du village ou elle ne risquait rien.

 

Ancien enfant de chœur, le garçon qui l’avait dépucelée connaissait bien l’endroit, il avait repéré une sorte de remise, un capharnaüm ou s’empilaient les vieux bancs, les statues au rencard ; ils y faisaient leur petite affaire en silence, dans l’odeur de la cire fondue et de l’encens, à guetter le glissement furtif des grenouilles du bénitier.

 

« C’est là que j’ai tout appris ; à sucer, à me faire lécher, et même le péché de Sodome.

 

Après m’avoir enculée, il rentrait chez lui par le jardin et moi, la rondelle en feu, je sortais par la grande porte.

 

C’en était venu au point qu’on craignait, dans ma famille, que je ne traverse une crise de mysticisme comme une de mes tantes qui était devenue carmélite. En fait de religieuse, je suis devenue une vraie salope. Et c’est à l’église que je le dois. «

 

Ce texte anonyme publié en 2010, portait la signature d'Esparbec, j'ai quand même des doutes sur le fait que ce grand auteur libertin m'a envoyé un texte par mail sans y ajouter un mot d'explication. Mais tel quel il m'a plus, il est évident que si un ayant droit fait valoir… ses droits je me rangerais à ses desiderata

 

Séance expiatoire par René

 

Je m'appelle René, je suis magasinier, il y a encore un an j'étais prêtre dans le 18ème à Paris. De temps en temps ne me satisfaisant plus de me masturber j'allais rendre visite à Gisèle, une charmante prostituée mature que je payais avec le denier du culte (personne n'est parfait). Un jour une paroissienne m'a vu, m'a prise ne photo alors que je suivais Gisèle dans son escalier Mon évêque m'a alors proposé soit de me rendre à la vie civile soit d'accepter une mutation en campagne profonde. Je me suis donc défroqué

 

Mais je voulais savoir le nom de cette corneille qui m'avait dénoncé. Un heure entière j'ai palabré avec l'évêque jouant les repentis, et invoquant le pardon, le rachat, le dialogue, la rédemption, l'écoute de l'autre et toutes ces choses. J'avais péché mais la corneille aussi, on ne dénonce pas son prochain, ce n'est pas bien. Deux pécheurs en discutant ne pourraient que retrouver la voie du Seigneur. Toujours est-il que l'évêque finit par me lâcher le nom de la bonne-femme

 

Je me rendis à son domicile avec un plan simple, flanquer une correction sévère à cette corneille et éventuellement faire semblant de vouloir la violer ! Sur le pallier je me masquais, mais quand je vis le laideron acariâtre, je ne pu mettre mon plan à exécution tellement elle me dégoutait. Je lui envoyais une paire de gifles qui fit valser ses lunettes et repartais.

 

J'étais un peu frustré de ne pas m'être vengé comme je l'aurais souhaité, j'eu alors une idée, j'allais voir Gisèle et lui proposais un jeu de rôle où elle prendrait la place de la corneille.

 

- Je veux bien, mais tu ne m'attaches pas, et je ne veux pas de traces de coups.

- Juste un peu… en payant davantage

- Alors viens le vendredi à 18 heures, tu seras mon dernier client, tu me fouetteras avec un martinet qui ne laissera pas de traces au-delà de 48 heures.

 

C'est parti !

 

- Alors ma salope, qu'est-ce que tu foutais dans un quartier à putes en train de m'espionner ,

- Eh bien justement je vous ai suivi.

- Je vais te punir !

- Oh oui puissiez moi !

- Déshabille-toi, morue !

 

Je lui ai tortillé ses bouts de seins, je l'ai giflé et lui ai craché au visage, puis elle est allée elle-même chercher son martinet, je l'ai fouetté à la volé sur les fesses, le dos les cuisses et les seins. Des larmes coulaient sur son beau visage et cela m'excitait encore plus. Je l'ai fait se tourner et l'ai enculé. Après avoir joui je lui ai intimé l'ordre de se coucher par terre, et je lui ai pissé dessus.

 

- Ça va, t'as fini ?

- Oui, ça m'a fait du bien !

- Ça t'arrive souvent de te conduire comme ça ?

- Jamais, c'était juste une cérémonie expiatoire, je te paie le restau ?

- Volontiers

Le bedeau et le sacristain

Monsieur le Curé, obligé d’aller à la ville pour ses affaires, est très ennuyé, car c’est justement son jour de confession. Il lui est impossible de ne pas partir, pourtant.

Après avoir bien réfléchi, il convoque son bedeau, un fidèle en qui il a toute confiance, et lui dit:

– Je suis obligé d’aller à la ville, Philippe, tu vas confesser à ma place. Depuis le temps que tu es avec moi, tu sais comment t’y prendre… Du plus, tu as à peu près ma voix. Tu mets ma soutane et comme il fera presque nuit à l’heure où tu me remplaceras, il n’y a aucun danger qu’on te reconnaisse. Pour ce qui est des pénitences, je vais te donner un barème…

Et le curé part pour la ville.

Tout se passe bien. Le bedeau, après avoir confessé quelques vieilles dévotes, auxquelles il a généreusement attribué Pater et Avé, se prépare à fermer le confessionnal, lorsqu’il voit arriver le sacristain. Quelle belle occasion pour lui de connaître les petits secrets du sacristain !

Le sacristain prend place dans le confessionnal et après avoir avoué quelques péchés, déclare :

– Et puis, Mon Père… j’ai couché avec la femme du bedeau !

Le sang du malheureux ne fait qu’un tour.

– Vous avez couché avec la femme du bedeau… Ah, nom de Dieu ! Enfin, je veux dire : C’est pas bien, pas très bien du tout, ça, mon fils !
– Et ce n’est pas tout, mon père, poursuit alors l’autre, j’ai fait quelque chose d’encore moins bien… J’ai couché avec la fille du bedeau…

Le bedeau blêmit. Sa fille, maintenant ! Et puis quoi, encore?

– C’est abominable ce que vous avez fait là, espèce de voyou! Je…

Pour ne pas se trahir, il s’efforce de retrouver son sang-froid. Hélas, l’autre poursuit:

– Je suis indigne, mon père, je le sais… J’ai fait encore pire…
– Non
– Si. L’été dernier. Il faisait une chaleur… Bref, j’avais un peu bu… J’ai honte, si vous saviez, mon père… Enfin, je vous dis tout. J’ai croisé la mère du bedeau et je..
– Ah, nom de Dieu de nom de Dieu, vampire, sadique, malade, crapule ! hurle alors le bedeau qui ne peut plus se contenir, attends un peu…

Il sort du confessionnal, déboucle la ceinture qui retient son pantalon et, se retournant, présente son derrière au sacristain, hébété.

 

– Tiens, salaud, lui lance-t-il en baissant son slip, vas-y ! Comme ça, t’auras eu toute la famille !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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