Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 14 – Tout s’arrange (enfin presque) par Chanette
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Un peu plus tôt dans la matinée, Yolande sonnait au portail du château. Elodie la conduisit dans la bibliothèque où l’attendait Honoré
Ce dernier écarquilla les yeux devant tant de beauté.
– Vous êtes ravissante, mais qui vous a soufflé que nous avions une place vacante ?
– Je viens de la part de Monsieur Minet et de Madame D’Esde.
– Madame D’Esde, connais pas !
– Madame Chanette !
– Ciel ! Je suppose qu’on vous a expliqué ce que j’attends de mes domestiques ?
– Oui, mais pouvons-nous parler argent ?
– Tarif syndical majoré de 20% et une enveloppe de 100 euros à chaque extra.
– OK, je n’ai pas de tabou, mais, je ne veux pas de sang, pas de trucs électriques et pas de rapports non protégés.
– D’accord ! Vous avez déjà fait ce genre de prestation ?
– Non, jamais, je ne travaillais pas, je vivais avec un homme qui m’entretenais, donc ne n’ai pas de références à vous fournir.
– La sodomie vous pose problème ?
– En principe, non !
– Seriez-vous disposée à effectuer un petit essai, il vous sera rétribué bien entendu.
– Ça dépend de ce que vous allez me demander !
– Oh, on ne va pas se compliquer la vie, commencez par vous mettre à poil !
Yolande obtempère et se retrouve très vite aussi nu que l’enfant qui vient de naître.
– Bravo, belle plastique, vous me faites bander, ma chère ! D’ailleurs je vais vous montrer.
Et voilà que le marquis sort sa bite raide comme la justice.
Croyant qu’Honoré allait lui demander de la sucer, elle s’approche d’un pas.
– Non, restez où vous êtes pour l’instant, tournez-vous et écartez un peu vos fesses que je regarde tout ça.
– Comme vous voulez !
– Lorsque vous vous adressez à moi, il faut m’appeler Monsieur et de temps en temps Monsieur le marquis. Je sais je suis un vieil aristo un peu déphasé, mais j’y tiens.
Bizarrement, alors que s’exposer nue ne lui pose aucun problème, cette réflexion lui déplait et elle est à deux doigts de se rebeller, mais elle prend sur elle et fait ce qu’on lui demande.
– Voilà mon cul ! Monsieur le marquis est-il satisfait ?
– Approchez-vous, à reculons, je vais le sentir.
– Monsieur le marquis est un cochon !
– Seriez-vous impertinente, Yolande ?
– Non, je dis ce que je pense !
– Et si je vous disais que ce genre de réflexion mérite une punition ?
– Puisque ça fait partie du jeu !
– Je ne vous ai pas indiqué la façon de vous aadresser à moi, il y a quelques instants.
– Oh, pardon m’sieu.
– Rhabillez-vous, et foutez moi-le camp.
Yolande s’attendait à une réaction mais pas à celle-ci, la voici désorientée.
– Je m’excuse, monsieur le marquis, mais je ne suis pas habituée à certaines convenances…
– Vous ignorez même qu’on ne s’excuse jamais soi-même.
– Je propose à Monsieur le marquis de continuer le test d’embauche, je m’efforcerais de ne pas vous décevoir.
Honoré est embêté, d’un côté il est subjugué par la beauté de Yolande, de l’autre, il déteste revenir sur ses décisions. C’est Elodie qui intervient et qui sauve la mise :
– Laissons-lui une chance, Monsieur le marquis, cette fille a beaucoup à apprendre, mais elle a du potentiel.
– D’accord ! Yolande remerciez Elodie de son intervention, embrassez-là sur la bouche et bien comme il faut !
Le baiser fut fougueux, et si Elodie était bien moins bisexuelle que Yolande, elle ne put résister longtemps aux charmes de cette dernière.
Le marquis jouit du spectacle et en demande encore davantage.
– Elodie, mets- toi à poil et vous allez vous tripoter, toutes les deux.
Et voilà nos deux gazelles nues et face à face. Elodie ne sait trop quoi faire, Yolande prend alors l’initiative de venir lui lécher les seins, puis elles inversèrent les rôles.
Après quelques instants, Yolande se tourne vers le marquis, se demandant s’il faut aller plus loin.
– Nous allons reprendre où nous en étions tout à l’heure, venez me voir que je regarde votre cul.
Yolande obtempéra en silence et présenta son popotin au marquis. Ce dernier écarta les globes dégageant l’œillet brun, il huma et lécha légèrement.
– Hum, quelle odeur subtile, quel parfum envoutant, votre trou du cul sent la merde, Yolande !
Cette dernière reste bouche bée, ne sachant comment commenter les propos du marquis lequel se mouille un doigt.
– Je vais te mettre un doigt ! Prévient-il avant de l’enfoncer dans le trou du cul de la belle.
Il le fait, puis ressort son doigt et le suce avec gourmandise.
– Délicieux ! Dis-moi Yolande, si je te demande de faire des choses un peu sales, acceptera-tu ?
– Si Monsieur le marquis pense à des choses avec du caca ou du pipi, cela ne me dérange pas.
– Tu ferais caca devant moi ?
– Avec plaisir, monsieur le marquis !
– T’es vraiment une cochonne !
– Oui, Monsieur le marquis !
– Tu as vu dans quel état tu as mis ma bite avec tes cochonneries ?
– Monsieur le marquis souhaite-t-il que je lui fasse une pipe ?
Excité comme un pou, Honoré ne put qu’accepter. La langue de Yolande s’enroula autour du gland du marquis lui provoquant prématurément des spasmes de plaisir, en emboucha alors complètement le chibre et le fit aller et venir entre ses lèvres purpurines. Un soubresaut caractéristique, la bouche de la belle s’emplit de sperme qu’elle avale.
Et comme le lecteur l’aura deviné Yolande fut embauchée sur le champ.
L’après-midi Honoré avait rendez-vous avec Max dans un bistrot du Châtelet.
Ce dernier rendit les manuscrits au marquis.
– Je vais vous régler, vous fûtes rapide.
– Disons que j’ai eu beaucoup de chance.
– Et les deux fuyards ?
– Ils se sont séparés, répondit Max, refusant d’entrer dans les détails. Votre épouse m’a rendu les documents sans rechigner.
Après plusieurs heures de réflexion, madame la marquise avait pris sa décision, elle suivrait les conseils de Max et louerait un pied à terre à Paris. Le lendemain matin, Marie-Josèphe qui n’avait plus d’économies en liquide mais possédait un confortable compte en banque, se dégotait un magnifique studio meublé dans un immeuble de standing, il ne lui restait plus qu’à organiser le déménagement de ses affaires personnelles, elle régla l’hôtel et prit un taxi pour revenir au château.
Yolande et la marquise se font face :
– Vous êtes qui, vous ?
– Yolande, femme de ménage, qui dois-je annoncer ?
– Je suis la marquise de la Villandière, j’habite ici, enfin plus pour longtemps.
– Désolée, je ne pouvais pas savoir !
– Ben non, vous ne pouviez pas savoir ! Vous avez l’air d’une pute !
– Oh !
– Une jolie pute !
– Alors ça va !
La tête d’Honoré quand il vit arriver la marquise, relookée.
– Je n’en crois pas mes yeux !
– J’ai trouvé un appartement à Paris, nous allons nous séparer !
– Excellente nouvelle ! Vous allez demander le divorce ?
– Non la séparation !
– A votre aise !
– Oui, j’ai décidé de vivre ma vie, il était grand temps !
– L’influence des rayons cosmiques je suppose ? Plaisanta-t-il
– Qui sait ? Que pensez-vous de mon nouveau look ?
– C’est mieux !
– Je vous excite ?
– N’exagérons rien !
– Mufle ! C’est vrai qu’à côté de la pute que vous venez d’engager je fais pâle figure.
– On se calme ! Je vous laisse à vos occupations.
– On dit pourtant c’est dans les vieux pots qu’on fait meilleures soupes !
– Vous avez gagné une consultation gratuite chez un sexologue ou quoi ?
Et de façon complètement inattendue, l’insolite de la situation fait monter l’excitation d’Honoré qui du coup bande comme cochon.
Et sans crier gare, la marquise enlève le bas et exhibe son cul devant son époux.
– Enculez-moi, marquis !
– Vous avez pris quoi comme substance ?
– Rien du tout ! Je suppose que c’est le diable qui m’a envouté.
– Et vous l’acceptez sans problème ?
– Je vous expliquerais après ! Mais pour l’instant j’aimerais que vous m’enculiez.
Le cul de la marquise tente d’autant plus qu’Honoré que son érection ne faiblit pas, il baisse pantalon et caleçon et présente sa bite à l’entrée de l’étroit conduit. Ça ripe !
– Mais dites-moi, qui vous a déjà sodomisé ?
– Je vous le dirais peut-être, pour l’instant insistez, ça va rentrer.
Le marquis n’est plus en état de réfléchir tellement il bande, mais il a beau insister, ça ne veut pas rentrer.
– Mais enfin, marquis, vous allez rentrer oui ou non ?
– C’est trop étroit, je vais chercher du gel !
– En vous suçant abondamment, cela ferait un bon lubrifiant.
– Vous causez en rîmes ! S’amuse Honoré.
Marie-Josèphe ne répond pas, elle se retourne et embouche la bite du marquis, son art de la pipe n’est pas vraiment au point mais en ce moment l’objectif est de saliver au maximum afin de rendre le membre glissant.
– Ça devrait le faire, maintenant !
Elle s’ouvre au maximum, le marquis approche sa bite et miracle, ça entre. Il entre mieux, jusqu’à la garde, puis se met à pilonner en cadence. La marquise pousse des cris de femelle en chaleur (c’est le cas de le dire)
Yolande, attirée par les bruits vient voir ce qui se passe, alors elle voit, sans comprendre.
« Il se passe décidément de drôles de choses dans cette maison ! Je suppose que le patron m’expliquera ? »
Elle reste là, fasciné par l’insolite du spectacle qu’offre les deux époux qui la voient pas.
Les braillements de la marquise eurent tôt fait de précipiter la jouissance du marquis qui décula.
Honoré est complètement perdu, il cherche un kleenex pour s’essuyer le zigouigoui, n’en trouve pas.
– Tiens Yolande, vous étiez dans le coin, passez-moi donc un kleenex.
– Monsieur ne préfère-t-il pas que je lui nettoie la bite avec ma bouche ?
– C’est que je crains qu’il n’y ait pas que du sperme…
– C’est pas grave !
Et pendant que Yolande se livrait à ce petit nettoyage, Marie-Josèphe se rhabilla tandis qu’Honoré se demandait s’il n’était pas en plein rêve.
– Répondrez-vous à mes questions, Marie-Josèphe ?
– Je crois toujours en Dieu, mais beaucoup moins à ceux qui parlent en son nom, ça c’est pour la religion. Quant à savoir qui m’a sodomisé, eh bien c’est le diable, mais il était déguisé en jeune homme, il m’a fait découvrir le plaisir et j’ai trouvé ça très bien. Hélas le diable n’est pas fidèle, personne n’est parfait, en fait c’était un vilain diable, que voulez-vous, c’est la vie !
« Elle est devenue complètement frappée ! » Se dit le marquis.
La marquise s’en alla prendre une douche, puis revêtue de son simple peignoir de bain, elle gagna sa chambre.
Ouvrant son peignoir, elle observa l’image que lui renvoyait le grand miroir de son dressing. Cela la rendit dubitative.
Elle ne referma pas son peignoir, et sonna les domestiques, ce fut Yolande qui monta.
– Madame la marquise m’a appelé ?
– Oui, vous allez me trouver une vingtaine de cartons.
– Des cartons ?
– Ben oui, des cartons pour emballer mes affaires, je quitte le château, il doit bien y avoir des cartons quelque part dans ce château, et si vous n’en trouvez pas, vous n’aurez qu’à aller en ville en demander chez les commerçants.
– Bien madame !
– Et arrêtez de me reluquer les seins, s’il vous plaît.
– Je ne reluque pas, mais je suis obligée de les voir, madame !
– Et vous les trouver comment ?
– Pardon ?
– Vous êtes sourde ou quoi ? Je vous demande comment vous trouvez ma poitrine.
– Elle est belle !
– Pas de flatterie, je veux la vérité.
– Je dis la vérité, madame, vos seins sont de bonne tenue, vous avez une jolie poitrine !
– Elle est sûrement moins belle que la vôtre !
– Je ne sais pas, madame !
– Montrez là moi !
Yolande ne comprend pas, on lui avait pourtant dit que la marquise était coincée comme une grenouille de bénitier, mais elle obtempère et exhibe ses gros nénés.
– Evidemment, on ne joue pas dans la même catégorie ! Commente Marie-Josèphe en enlevant son peignoir dans un mouvement de pirouette. Et pour le reste, vous me trouvez comment ?
– Madame la marquise est fort bien conservée !
– Comme une sardine !
– Non, non, je suis sincère !
– Enlevez le reste !
Yolande s’exécute et y va à son tour de son mouvement de pirouette.
La situation excite considérablement la marquise qui commence à mouiller sévère.
« C’est malin ce que je viens de faire, je fais quoi maintenant, je ne peux tout de même pas faire l’amour avec une femme ! Mais d’un autre côté ce n’est qu’une domestique… »
– Dites-moi, cela vous arrive de caresser d’autres femmes ?
– Oui, madame la marquise !
– Et vous n’avez pas honte ?
– Non, madame la marquise !
– Je serais lesbienne, vous consentiriez à me caresser ?
– Oui, madame la marquise !
– Et à vous laisser caresser ?
– Oui, madame la marquise !
– Déshabillez-vous entièrement, s’il vous plait !
Yolande obtempère tandis que le trouble de Marie-Josèphe s’amplifie.
Dans un geste quasi instinctif, la marquise touche les seins de la soubrette et se délecte de leur douceur. Elle approche sa bouche du téton érigé et le suce délicatement comme elle le ferait d’une délicate friandise.
– Oh la la, c’est bon ce que vous me faites ! S’écrie la jeune femme
Ce petit compliment flatte l’égo de la marquise qui du coup change de téton.
– On serait mieux sur le lit ! Décide alors la marquise.
Yolande a décidé pour l’instant de ne prendre aucune initiative, elle est le joujou de Madame la marquise, après tout, pourquoi pas ? Elle s’affale sur le lit, les jambes écartées et attend.
Marie-Josèphe vient lui caresser les cuisses, ses mains parviennent jusqu’au sexe de Yolande. C’est la première fois qu’elle a l’occasion de voir de très près une autre chatte que la sienne. Au premier abord, elle est déçue.
« C’est quoi tout ce fouillis ! »
Elle a un mouvement de recul, se demande comment gérer la situation, puis se dit qu’elle n’a de compte à rendre à personne. Elle va pour se relever, mais poussée par une sorte de fascination inconsciente, elle y revient, approche son visage, se demande quoi faire.
Et puis, elle comprend, ce n’est pas la vue qui l’intrigue, mais la fragrance. Mélange indéfinissable de miel, d’urine et de sueur. Elle y met le doigt puis le porte à sa bouche. Le goût ne lui déplait pas, elle recommence, puis se met à lécher carrément l’endroit.
« Je suis la reine des salopes, je me complais dans le vice et dans le stupre. Il faudra que très vite je me fasse une auto-analyse pour savoir où j’en suis ! A moins que je fasse la pute et que je m’envoie des kilomètres de bites ? »
Yolande, elle avait une toute autre préoccupation :
« Où cette pétasse a-t-elle appris à lécher ? Elle n’a jamais vu un clito ou quoi ? »
Marie-Josèphe ne lèche pas bien mais elle mouille bien et sent le plaisir monter en elle.
– A votre tour de me lécher !
Yolande ne discute pas, mais elle est dépitée. Les deux femmes changent de position et la soubrette eut tôt fait de placer sa langue au bon endroit précipitant madame la marquise dans les cieux de la jouissance.
Après quelques instants de récupération, Marie-Josèphe remit son peignoir tandis que Yolande se rhabillait. Cette dernière semblait attendre quelque chose :
– Eh bien, ne restez pas plantée là, occupez-vous de mes cartons !
– Je me permet de rappeler à Madame la marquise que pour ce genre de prestation, il est prévu de me rétribuer.
– Vous êtes gonflée, vous !
– Ce sont mes conditions d’embauche !
– Je n’ai pas de liquide, voyez avec Monsieur le marquis, expliquez-lui, il va tomber du placard, mais ce n’est pas bien grave ! Et n’oubliez pas mes cartons !
– Bien, madame la marquise !
Marie-Josèphe ôta une nouvelle fois son peignoir
« Suis-je vraiment la même femme ? Je ne me reconnais plus ! »
– Pardon, tu peux me répéter ! Demande Honoré qui n’en croit pas ses oreilles.
– J’ai léché la chatte de madame la marquise, et elle m’a demandé de voir avec vous pour la petite enveloppe !
– Elle était dans un état normal ?
– Apparemment, oui ! Bizarre mais normale !
– Tu l’as fait jouir ?
– Oui, monsieur le marquis et c’était spectaculaire !
De son côté, Julien s’angoissait. Il était conscient d’avoir fait n’importe quoi. D’abord cette fuite complètement irraisonnée avec cette femme mature, puis le vol de sa cassette où elle planquait ses économies.
Il n’est pas un parangon d’honnêteté, il a commis quelques forfaits mineurs, mais depuis quelques temps il s’est efforcé de s’acheter une conduite. Ainsi tout le temps où il était au service du Marquis il n’a jamais rien subtilisé malgré les tentations.
Mais, là il a le sentiment d’avoir déconné, en cas de plainte, on le retrouvera trop facilement.
Alors il prend la cassette, l’enveloppe dans du papier journal et prend le chemin du château de la Villandière.
– Un monsieur veut vous remettre un paquet en mains propres, madame la marquise, annonça Yolande.
Et Marie-Josèphe se retrouva nez à nez avec son ancien amant devenu son voleur.
– Je vous rends vos sous, il manque 300 euros que j’ai dépensé, je vous les enverrai un chèque avant la fin du mois, mais promettez-moi de retirer votre plainte !
– Il n’aura pas de plainte et les 300 euros, gardez-les !.
Elle se retourna et le laissa planté-là sans un mot d’aurevoir, mais une fois dans l’escalier ne put retenir ses larmes.
Au restaurant de violettes, je fête la fin de cette aventure rocambolesque en compagnie de Max et de Anna-Gaëlle. Le café était bu et nous attention l’addition
– Au fait demandais-je, ils racontait quoi, ces manuscrits ?
– J’en ai recopié un qui m’a amusé ! Répond Max, écoutez :
Marguerite; le printemps est impensable sans vous.
Aussi ce soir je viendrais dans votre chambre, pour vous.
Prévenez votre camérière afin qu’elle ne soit point surprise.
De ma venue et de vos cris de femme éprise.
Ces vers sont-ils de Sacha Guitry ou de Max Minet ? Qu’importe après tout.
– Ces vers seraient-ils une invitation déguisée, Max ?
– Non, en enfin, on peut interpréter ça comme on veut
– Je vous ai connu plus direct !
– Certes, mais il me plaît d’avoir parfois l’âme poète.
– Et l’invitation s’adresserait à laquelle d’entre nous ?
– Ce pourrait être à toutes les deux.
Je croise le regard de ma copine, on éclate de rire.
– Eh bien allons-y proposais-je, il y a justement un taxi qui ne sait pas quoi faire un peu plus loin.
Fin de l’épisode
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