Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 10:22

Amélia se déchaine par Belle-cour

Stamp secretaire

Je me nomme Jules et je suis étudiant en lettres. J'ai 24 ans, ma petite amie Amélia est une jeune femme assez réservée, une excellente amante et poète à ses heures.

 

L'autre fois, en regardant mes couilles, elle m'a dit "les courbes de tes testicules me fascinent autant que le spectacle enivrant d'un tableau de Sonia Delaunay". Une réflexion qui m'a chavirée !

 

Il est temps maintenant de vous narrer mon histoire qui vous le verrez est fort spéciale, mais n'anticipons pas

 

C'était un vendredi soir les parents d'Amélia étaient partis diner en ville, m'avait-elle dit :

 

- Allo ! Jules ! Ça te dirait de passer à la maison, mon petit chéri ?

- Bien sûr, quand ça ?

- Mais tout de suite mon petit chéri ! J'ai trop envie de toi !

- Ah bon !

- Humm, si tu savais, j'ai envie de prendre ta bite toute entière dans ma bouche de pute !

 

Qu'est-ce qui lui arrive ? Elle a pété les plombs ou quoi ?

 

Je sonne, la voix d'Amélie me crie que c'est ouvert ! C'est un peu comme dans les films américains ici, infoutus de fermer une porte !

 

Je suis éberlué parce que je vois ! Ma copine est là, en dessous très sexy noir en dentelle dont un soutien-gorge contenant très bien sa grosse et jolie poitrine 

 

Elle est excitée comme pas deux et commence immédiatement à m'enlever mon pantalon et à me tailler une pipe. C'est alors que je la soulève et la retourne pour pouvoir moi aussi humer l'adorable parfum de sa voluptueuse chatte. Elle est déchainée elle me suce à m'en faire exploser les couilles mais moi aussi je m'acharne sur sa chatte qui est trempée par l'excitation. Je mets sa chatte dans ma bouche et je commence à lui lécher le clitoris et quasiment immédiatement elle commence à se tortiller de plaisir. Elle est en train d'avoir son premier orgasme de la soirée. 

 

On souffle un peu et elle se met en levrette m'invitant à la pénétrer. Et au moment où j'allais le faire, ses parents sont apparus dans l'encoignure de la porte.

 

Dans ces moment-là parfois on pense et on fait n'importe quoi. La première pensée qui m'est venu à l'esprit a été de me dire que leur bouffe au restaurant n'avait pas duré bien longtemps, ensuite je me suis caché derrière le côté du canapé.

 

- Mais ne vous gênez pas pour nous. Nous aussi on a été jeune, continuez, mais continuez, ça vous ne dérange pas qu'on se rince l'œil ?

- Mais non papa ! Répond Amélia.

 

Qu'est-ce que voulez que j'ajoute ,

 

Moment d'hésitation, Amélia me masturbe et me flatte les couilles. La mère d'Amélia pose sa main sur la braguette du père, puis lui sort la bite et commence à la branler

 

- Prends-moi ! Me supplie Amélia, ne t'occupe pas d'eux, tant mieux si on les excite !

 

Sortant de l'ombre j'entreprends ma pénétration dans la chatte d'Amelia qui était toute chaude de voir ses parents s'exciter devant elle d'autant que maintenant sa mère avait la bite du père en pleine bouche

 

Amélia était plongée dans une sorte de plaisir interminable et puis comble de tout, je mis ma semence partout sur elle c'est à ce moment qu'elle poussa un cri du tonnerre tout en tombant dans mes bras.

 

J'étais épuise et c'est là que la mère d'Amelia qui après s'être débarrassée de ses fringues à la vitesse grand V vient pour me sucer et je n'en revenais tout simplement pas. Une vraie furie, elle me gobait les couilles, l'enfonçait un doigt dans ma anus. Fou d'excitation, je la retournai et commençai à l'enculer frénétiquement jusqu'à ce qu'elle me supplie d'accélère, ce que je fis volontiers. Juste au moment où elle allait avoir un autre orgasme je sortis mon membre maculé de merde et lui demandais de se coucher sur le dos elle me fit une cravate de notaire du tonnerre de dieu avec ses grosses mamelles blanchâtres. et je lui éjaculai dessus elle criait à rendre son mari jaloux.

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Au même moment Amélia et son père nous regardaient en se masturbant mutuellement. Amelia avec sa main branlait la bite de son père tandis qu'il lui introduisait ses doigts dans la chatte mouillée. Puis elle s'accroupit, pris la bite du paternel dans la bouche et ne la lâcha que quand celle-ci juta son sperme.

 

- A toi, maintenant ! me dit ma copine.

- A moi de faire quoi ?

- Ben de sucer la bite de mon père !

 

J'aurais pu refuser, je n'avais jamais fait ce genre de choses, mais je n'étais pas contre et même que dans mes fantasmes secrets… Mais là j'étais pris au dépourvu. Cela dit je n'envisageais pas de me dégonfler devant ma copine.

 

Je pris donc cette bite encore gluante de sperme dans ma bouche et elle ne tarda pas à rependre une bonne vigueur. Je m'étonnais de la douceur de la chose, tentait de m'appliquer mais le papa se rendit bien compte que j'étais loin d'être une expert en la matière.

 

- Tu veux que je t'encule.

- Pas aujourd'hui une autre fois peut-être.

- T'as tort ! Me dit Amélia, il encule très bien, moi j'aime bien !

- Oui mais toi tu es une femme !

- Justement je ne vois pourquoi le plaisir anal serait réservé aux femmes, allez amène ton cul ! Me dit-elle d'un ton péremptoire

 

Il est parfois des arguments imparables.

 

Une minutes parés j'avais la bite du papa dans mon trou du cul, l'introduction n'a pas été évidente, ce mec n'a rien d'un sauvage, mais une bite c'est plus gros qu'un doigt !

 

- Arrêtez, arrâtez, j'ai mal !

- Ça va passer, on essaie encore une minute.

- Non, non !

 

Il a continué, et curieusement la douleur a fait place à des ondes de plaisir qui secouèrent tout mon être. Je n'en revenais pas que ce soit si bon de se faire sodomiser. 

 

Pendant ce temps, Amélia était venu faire un câlin à sa mère, lui nettoyant de sa langue le sperme et les traces de merde qui étaient restés sur sa belle poitrine.

 

Elle me regarda ensuite avec un air vicieux :

 

- L'inceste est très pervers, mais ça me fait tellement mouiller, hummm.

 

Parfois on ne sait que dire ! Donc je ne dis rien. Tout le monde se rhabille.

 

- Je vais vous laisser… Balbutiais-je

- Pas avant d'avoir trinqué, cette petite sauterie improvisée était géniale, venez, nous allons boire un verre.

 

Le paternel a débouché une bouteille de Bourgogne. Ma foi c'était du bon pinard.

 

- Pas mal, n'est-ce pas ? Du Gevrey Chambertin, j'en ai fait rentrer trois caisses… Mais je vous en prie, emportez-en une bouteille chez vous, c'est cadeau.

- Ah, ben merci, au revoir toute le monde.

 

J'ai embrassé Amélia, et je suis rentré me coucher, trop crevé.

 

Le radio-réveil me réveille, je sais c'est fait pour ça, mais aujourd'hui c'est samedi. J'ai fait un de ces rêves, ma petite Amélia qui était déchaînée à tel point qu'elle a même sucé la bite de son père ! C'est idiot les rêves, on est-ce qu'on va chercher des bêtises pareilles ? Enfin ce n'est qu'un rêve !

 

Mais que fait cette bouteille de Bourgogne sur mon guéridon ?

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 08:05

Table réservée par Belle-cour

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J’ai mes habitudes et n’aime pas trop y déroger, spécialement lorsque je me rends dans ma discothèque préférée.

 

C’est un endroit sympathique, fréquenté par des habitués et où le patron, Gérard, fait régner une ambiance calme et détendue

 

En tant que « membre fondateur », je bénéficie il est vrai d’un traitement de faveur puisque j’ai ma table réservée à l’année.

 

Table est un peu réducteur. Il s’agit en fait d’une sorte d’alcôve intime équipée de confortables banquettes et où je peux recevoir dans la plus parfaite intimité mes hôtes de passage pour y traiter dans un cadre agréable mes affaires. Si j’ai besoin de quelques filles faciles pour faciliter les choses, Gérard me les fournit.

 

Depuis cette alcôve, je ne peux être vu mais peux voir la piste de danse au travers d’une glace sans tain.

 

Ce soir-là quelle ne fut pas ma surprise de voir mon espace occupé par une femme blonde d’environ trente ans et que je n’avais jamais vue auparavant.

 

Surpris et je l’avoue un rien mécontent, je vais retrouver Gérard auquel je fais part de mes sentiments. D’un geste il tente de m’apaiser et me montrant la salle me fait comprendre que seule « ma » table était libre.

 

– Et puis, me dit-il, vu l’heure, je ne pensais plus que tu viendrais ! Mais puisque tu es là, je vais la virer gentiment.

– Attend, c’est qui ? Tu la connais ?

– Non, c’est la première fois que je la vois.

– Laisse-là, elle est plutôt mignonne, et comme je n’attends personne, ça me fera de la compagnie

 

– Bonjour ! Cette table m’est réservée en permanence, mais je n’ai pas l’intention de vous chasser. Par contre vous allez devoir supporter ma présence.

– Je m’appelle Isabelle, me dit-elle, et je suis désolée de vous importuner.

 

C’est vrai qu’elle était belle.

 

Sa peau bronzée n’était couverte que d’un chemisier blanc qui cachait des formes voluptueuses et d’une minijupe qui avait peine à cacher de longues cuisses fuselées. Elle avait le bon goût de ne pas porter de collants, ce qui à mes yeux était un avantage car cela faisait ressortir l’aspect satiné de sa peau.

 

Je pris donc place et lui demandait si elle souhaitait boire quelque chose.

 

Elle commanda un jus de fruit accompagné, allez savoir pourquoi d’un banana split « avec beaucoup de chantilly » ajouta-t-elle.

 

Pour ma part je commandais ma boisson habituelle.

 

Nous étions assis l’un en face l’autre et je ne savais comment aborder la conversation. Ce fut elle qui commença et m’expliqua que son mari étant parti en voyage à l’autre bout de la terre, qu’elle sentait un peu seule dans son appartement et avait décidé de venir écouter de la musique. Je me sentis un très vif besoin de la distraire et l’invitai donc à rejoindre les danseurs sur la piste.

 

La musique était douce, Nous dansions serrés l’un contre l’autre et je sentais sa cuisse entre mes jambes. Elle ne fut pas longue à deviner que je n’étais pas indifférent à sa pression.

 

La musique cessa et nous décidâmes de rejoindre ma place où durant notre absence, le serveur avait déposé notre commande. Elle vint s’asseoir auprès de moi et tout en dégustant la banane commandée, elle posa sa main sur ma cuisse et commença à me masser doucement.

 

Inutile de vous dire que je ne songeai pas à boire et que ma queue avait toutes les peines du monde à rester dans mon slip.

 

Elle finit de manger sa banane tout en prenant soin de laisser la chantilly.

 

– Vous n’aimez pas la crème ? Lui demandai-je.

– Si, si mais je la dégusterai plus tard, me répondit elle.

 

Sa main était toujours sur ma cuisse et remontait doucement vers ma ceinture qu’elle défit d’une main experte. Dans la même seconde mon pantalon fût ouvert et sa main entreprit de sortir mon engin gonflé de désir.

 

Vous pensez bien que je ne restai pas inactif de mon côté et qu’en peu de temps je défis les boutons de son corsage, qui me révéla un soutien-gorge rempli de deux superbes mamelles.

 

Je fis sauter l’agrafe qui se trouvait au-devant et commençai à lui masser les seins. Je ne pensai pas que des seins aussi gros puissent être aussi fermes. Ses aréoles brunes étaient surmontées de deux tétons durs et fièrement dressés.

 

Pendant ce temps elle continua à me masser la bite d’un mouvement doux.

 

Je me penchai sur elle et commençai à lui sucer les tétons, son corps se redressa en une offrande. Je passai ma langue alternativement sur l’un et sur l’autre pendant que ma main descendit sous sa jupe.

 

Qu’elle ne fut pas ma surprise de constater qu’elle ne portait pas de culotte et qu’elle était entièrement rasée. Son mont de Vénus était bien rond et doux sous la paume de ma main.

 

Je le caressai doucement avant de glisser mon doigt entre ses lèvres. Elle était déjà très mouillée et je sentis son liquide se répandre sur ses cuisses. J’introduisis un doigt dans son minou et commençai avec le pouce un doux mouvement sur son clitoris que je sentis grossir sous son capuchon.

 

D’un mouvement elle fit glisser sa jupe sur le sol et se mit à genou en face de moi. Elle entrouvrit ses lèvres et commença une fellation comme personne auparavant ne m’en avait gratifié. Sa langue s’attarda sur mon gland dont elle fit le tour en s’arrêtant sur le frein. Puis petit à petit elle fit rentrer mon membre dans sa bouche et bientôt ses lèvres furent en contact avec mon pubis.

 

Je dois reconnaître qu’elle avait une gorge très profonde et très accueillante.

 

J’étais sur le point de lui lâcher mon sperme dans la gorge lorsqu’elle s’arrêta. Je fus un peu dépité sur l’instant, mais la voyant prendre l’assiette où restait la chantilly et l’approcher de mon sexe je devins intrigué.

 

Elle passa l’assiette sous mes testicules, qu’elle posa délicatement sur la chantilly. La glace et la banane était remplacées par un morceau de choix. Je vis passer un éclair de gourmandise dans ses yeux…

 

Elle entreprit alors de me lécher les couilles et la queue en même temps qu’elle lapait la crème. Elle prit même le soin de couvrir mon gland de cette précieuse mousse et recommença à me sucer. N’y tenant plus, je fermai les yeux et lui déchargeai de grosses giclées de mon liquide bien chaud dans la bouche.

 

Elle prit soin de me nettoyer le gland avec sa langue et se redressant, vint poser ses lèvres sur ma bouche. Nous nous embrassâmes goulûment. Le goût de mon sperme mélangé à la chantilly ne fut pas pour me déplaire.

 

Telle une chatte elle s’allongea sur la banquette et, me prenant la tête dans ses mains elle approcha mon visage de sa chatte

 

Elle n’était plus mouillée, c’était une fontaine qui coulait entre ses lèvres. Je décidai donc de me désaltérer et introduisis ma langue dans l’orifice de sa chatte. Elle bougea son bassin de façon spasmodique.

 

Mon pouce massa son clitoris alors que mon autre main s’aventura sous ses fesses rondes et fermes. Son jus s’étant répandu, il ne me fut pas difficile de lubrifier mon doigt et petit à petit de le rapprocher de son petit trou que je devinai vierge.

 

A mon grand étonnement, et alors que je m’attendai à la voir protester, elle poussa au contraire sa rondelle au-devant de mon doigt, de façon à ce que puisse la pénétrer tout en murmurant :

 

– Je te réserve mon cul pour la fin.

 

Mon sexe un instant flasque avait repris de la vigueur. Je me plaçai face à elle. Elle plaça ses jambes sur mes épaules et agrippant mes fesses, elle me tira en avant dans son sexe que je n’eus aucun mal à pénétrer.

 

Je commençai à la limer doucement puis de plus en plus vite, son bassin bougeant au rythme de mes allées et venues. Tout à coup, son corps se raidit et elle partit dans un gémissement profond, qui en dit long sur sa jouissance.

 

Elle retira mon sexe et m’intima l’ordre de m’asseoir sur la banquette, ce pour quoi je ne me fis pas prier, puis me tournant le dos, elle s’assit sur mon sexe et commença des mouvements de bas en haut au rythme de la musique qui nous parvenait assourdie.

 

Mon gland frappa le fond de son vagin et ses fesses s’écrasèrent sur mes couilles. De temps à autre elle ralentissait la cadence de façon à prolonger le plaisir le plus longtemps possible. N’y tenant plus je me crispai à ses hanches et lui déchargeai une seconde fois ma semence à l’intérieur du vagin.

 

Epuisé par ces deux éjaculations puissantes, je pensai notre séance terminée et son désir assouvi. Il n’en fut rien.

 

Elle m’allongea sur la banquette et entrepris de me nettoyer la queue, ne voulant rien perdre de ce que je lui donnai si généreusement. Le mouvement de ses lèvres sur mon gland, associé à celui de son index qui forçait l’entrée de mon anus, me redonna la pleine possession de mes moyens. Ce fut son tour de s’allonger et me tenant littéralement par la queue, elle approcha mon sexe de ses seins. Elle voulut me gratifier d’une branlette espagnole ce que je ne refusai pas. Ceux qui n’ont jamais essayé cet exercice n’ont pas connu le bonheur et je pensai bien réserver à son beau visage le reste de ma lotion.

 

Elle en avait décidé autrement et alors que j’allai décharger, elle se redressa, manquant de me faire tomber et prit la position de la levrette.

 

Je me mis donc derrière elle, sur le point de lui pénétrer le vagin lorsqu’elle se retourna et me dit qu’elle avait déjà assez de liqueur à cet endroit et qu’elle souhaitait expérimenter quelque chose de nouveau.

 

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Je compris vite. Prenant avec mes doigts le liquide qui sortait de sa chatte, mélange de sperme et de cyprine, j’entrepris de lui lubrifier son petit trou avant d’y engager mon gland tout doucement. Je le vis disparaître dans son anus et décidai de pousser plus avant mon avantage.

 

Bientôt tout mon sexe fut en elle. Elle gémit de plaisir, me disant que c’était bon. Ses fesses commencèrent à bouger d’avant en arrière le long de ma queue. Je décidai de la laisser faire et lui écartant bien les fesses, contemplai mon sexe écartant son anus.

 

De sa main, elle se caressa le clitoris et bientôt son corps fut pris de soubresauts. Elle atteignit un nouvel orgasme dont je ne sus s’il était dû à ses propres caresses ou à ma queue en elle. De mon côté je sentis le plaisir monter dans mes couilles et ma verge et ne tardai pas à lui décharger le reste de mon foutre dans l’anus. Sentant le chaud liquide se répandre en elle, elle contracta sa petite rondelle, me retenant prisonnier. Elle s’écroula sur la banquette et je ne pus que suivre le mouvement. Nous nous sommes retrouvés l’un sur l’autre durant de longues minutes, à savourer l’instant présent.

 

Mon sexe étant redevenu flasque, je pus enfin me retirer d’elle. N’attendant probablement que cela, elle se redressa et décida de procéder elle-même à ma toilette avec sa langue.

 

Nous nous sommes rhabillés. Je voulus que nous échangions nos coordonnées, mais elle refusa en me disant simplement

 

– Si nous devons nous revoir nous nous reverrons.

 

Et elle disparut de l’alcôve.

 

Alors que je me dirigeai vers les toilettes, je croisai Gérard qui m’emboita le pas. Il choisit l’urinoir jouxtant le mien et nous sortîmes nos queues de concert afin de nous soulager. Quand j’eus pratiquement terminé, sa main s’égara sur ma queue. Cela le prenait de temps en temps et je me laissais faire volontiers, d’autant qu’il branlait et qu’il suçait fort correctement. Mais cette fois je protestai :

 

– Non, là je ne peux plus ! Je suis vidé.

– Elle baise comment, Isabelle ?

– Comment tu peux savoir…

– Avant que tu n’arrives, un videur l’a surprise en train de demander de l’argent à un client. On me l’a amenée dans mon bureau, elle était au bord des larmes. Je lui ai expliqué la politique de l’établissement : si une fille veut travailler ici, elle ne le fait qu’avec mon assentiment, en me versant une commission et en utilisant les codes de la maison. Je lui ai donc proposé de travailler pour moi, à condition de faire un essai concluant avec un client.

– Ça alors ! M’exclamai-je en mettant à mon tour ma main sur sa bite et en commençant à la branler

– Tu ne m’as pas répondu, c’était comment ?

– Divin !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 31 juillet 2021 6 31 /07 /Juil /2021 19:04

 La rencontre du quartier (Ma voisine) par Belle-Cour

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Cette histoire s'est déroulée l'été passé. Nouveau dans cette ville où j'ai été muté en janvier, je fus informé que fin juin, avait traditionnellement lieu une fête avec tous les voisins, intitulée tout simplement " La rencontre du quartier ". Je trouve cela complètement artificiel, mais ne voulant pas passer pour un ours mal léché, j'acceptai (à reculons) d'y participer. Chacun devait apporter quelque chose, j'ai donc fait preuve d'une originalité inouïe en apportant des chips et des trucs à grignoter avec l'apéritif.

 

Me voici assis devant Sylvie, au moins la quarantaine, mais beaucoup de classe. Elle avait su malgré son âge garder tout ce qu'un homme peut attendre d'une femme. Brune à la peau mate, elle portait un pantalon noir serré qui faisait bien ressortir ses deux superbes fesses et un haut au décolleté généreux qui laissait apparaître deux gros seins. Durant le dîner, on a parlé de tout et de rien et elle me faisait plein de petits sourires. Il me semblait qu'elle cherchait à me draguer. Son mari ne s'occupait pas de son manège et était parti dans une grande discussion avec un autre homme sur la technique de la pêche à la mouche…

 

Arrivée au café, elle se fit plus causante, me demanda mes goûts, si j'aimais m'amuser, si je faisais du sport, si j'avais l'esprit ouvert… et j'en passe. Mes réponses semblaient lui convenir et elle en profita pour me faire une petite caresse sous la table avec son pied. Non, je ne rêvais pas, elle me draguait réellement !!!

 

Enfin arriva le moment des slows. Et tandis que le mari de ma superbe voisine dansait avec une petite blonde à lunettes, Sylvie m'invita à danser avec elle. Elle s'agrippa à moi comme une folle. Je bandais comme un fou ! Je crois bien qu'elle sentait que je bandais car elle se trémoussait de tous les côtés en se frottant à mon sexe ! Je lui ai demandé d'arrêter tout ça car j'avais l'impression que tout le monde nous regardait mais elle ne voulait rien savoir. Elle a continué à me draguer jusqu'à la fin de la fête.

 

Une fois la fête terminée, elle me demanda de l'aider à rapporter ses affaires chez elle, ce que j'acceptai sans me faire prier… J'ignorais où se trouvait son mari. Arrivés dans sa cuisine, elle posa ses affaires, se tourna vers moi et m'embrassa sur la bouche. Je répondis à son baiser passionné. Nos deux langues se lièrent. Je n'en revenais pas de ce qui m'arrivait ! Elle était totalement excitée. Elle me déshabillait comme une folle et moi j'arrachais presque tous ses vêtements. On s'est vite retrouvés totalement nus ! Mes mains se baladaient sur son corps. Je me suis longuement attardé sur ses fesses et son petit trou. Elle semblait aimer alors je me suis accroupi et je lui ai léché consciencieusement l'anus. J'ai fait ça durant cinq bonnes minutes. Elle ne savait plus comment se tenir tellement elle aimait.

 

Je me suis ensuite aventuré sur sa chatte. Elle mouillait comme une fontaine. Je la buvais comme si j'étais assoiffé. Elle poussait des petits cris et des petits " Encore " toujours plus forts. Elle commençait vraiment à ne plus se maîtriser. Elle se tourna dos à moi en se penchant sur la table de la cuisine et en me tendant une capote. J'ai compris qu'elle voulait que je la sodomise. Ce que j'ai fait. Elle m'aida en écartant ses fesses avec son pouce et son index. Je fis pénétrer ma bite bandée comme jamais. Je faisais des va-et-vient toujours plus rapides. Elle criait de bonheur. Le rythme était devenu très rapide. Je lui caressais la chatte et les seins en même temps. Elle hurlait.

 

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Un bruit de porte. Le mari qui arrive. Panique. Je débande aussi vite que j'ai bandé tout à l'heure, tente de cacher ma nudité avec un torchon de cuisine. Je remarque que Sylvie n'a pas l'air paniqué du tout.

 

- Mais continuez donc, mon jeune ami, je suis un mari très compréhensif, n'est ce pas Sylvie ?

- Tout à fait mon chéri !

- Et je vais même vous faire un aveu, voir ma femme se faire sauter me fait magnifiquement bander. Vous voulez constater ?

 

Et sans attendre ma réponse, il sort de sa braguette un chibre impressionnant et tout raide. Je le regarde, très troublé. Il nous invite à reprendre ce que nous faisions. Sylvie se baisse alors pour mettre mon sexe dans sa bouche et le faire durcir de nouveau. Sa langue agile et ses douces lèvres eurent tôt fait de me remettre en état de marche.

 

Sylvie me présenta de nouveau ses fesses. Inconsciemment je lorgnai sur le sexe magnifique du mari. Il s'en aperçut et me demanda si je serais partant pour le sucer.

 

C'est comme ça que pour la première fois de ma vie, je me retrouvais avec une queue d'homme dans ma bouche, et je puis vous assurer que ce ne fut que la première d'une longue série (mais ceci est une autre histoire).

 

J'ai ensuite sodomisé Sylvie, on a trinqué tous les trois avec un bon chardonnay ce qui, ajouté à ce que nous avions déjà ingurgité, nous fit aller assez vite au lit. Nous avons partagé leur lit tous les trois.

 

J'ai continué à fréquenter charnellement Sylvie et son mari jusqu'en novembre, date à laquelle je fis l'objet d'une nouvelle mutation.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 31 juillet 2021 6 31 /07 /Juil /2021 18:57

Le sac à main de Megan par Belle-cour

 

Gode stamp

Attention : Texte contenant des passages scato explicites

 

J’étais content ce soir-là, j’avais emballé Megan. Nous étions allés au restaurant. Un petit restaurant de quartier parce que je n’ai pas de grands moyens.

 

– Que prendrez-vous comme dessert ? Salade de fruits ou amandine ? Nous demande la serveuse avec un sourire de circonstance

– Non rien ! Répondis-je.

 

Je lui proposais alors de prendre le dessert à la maison, voilà qui change du traditionnel dernier verre.

 

Chez moi, nous nous sommes dirigés vers ma chambre pour y déposer nos manteaux, et c’est là que tout commença.

 

– Tu te laisses faire ? T’as confiance ? Dis-je.

– Non !

– Pourquoi non ?

– Parce que non !

– Je voulais t’attacher !

– Pas question, mais tu peux faire semblant !

– D’accord !

 

O.K. je pousse Megan sur mon lit. Toute déboussolée, elle se demandait ce qui se passait. Habituellement j’ai un caractère quand même doux et non-violent, mais ce soir-là, j’avais une envie folle de la faire jouir. Ça faisait une semaine que je n’avais déchargé mon poireau, et j’étais vraiment en manque du côté sexuel. C’est alors que je l’attache à plat ventre à l’aide d’une corde déjà préparée à la tête de mon lit. (En fait je l’attache de façon non serrée de sorte qu’elle puisse se libérer si le cœur lui en dit). Les points d’interrogation lui sortaient de la tête. C’est alors qu’elle me demanda :

 

– Alex, qu’est-ce que tu fais au juste ?

– Je prends mon dessert, lui répondis-je, et je te donne le tien en même temps.

– Alex, arrête, je n’aime pas te voir comme ça, t’es pas le Alex que j’connais.

 

Effectivement, je n’étais pas moi-même, je m’étais transformé en bête sauvage. Et je lui ai répondu :

 

– Laisse-moi faire, tu vas voir !

 

Après avoir retiré mes fringues, j’ai commencé à la déshabiller à son tour ! Je ne réfléchis pas toujours à ce que je fais, j’aurais dû la déshabiller d’abord et l’attacher après. Enfin, ce n’est pas grave, le résultat donnait une image de grand débraillement qui n’était pas désagréable. Je lui fis monter son derrière pour pouvoir me glisser entre ses jambes. Sa chatte dégoulinait de jus d’une saveur exquise.

 

– Humm… ça c’est un bon dessert.

 

Je lui léchais toute la chatte, mais sans toucher au clitoris pour la faire languir un peu. Tout en y parcourant le minou de ma langue, mes mains se baladaient sur son joli petit cul et atteignirent son trou. Son trou de cul était lui aussi lubrifié, faut dire qu’elle était vraiment excitée. Elle me suppliait de lui lécher son clitoris, mais je la faisais languir encore. D’une main, j’enfonçai mon index à l’intérieur de sa chatte et de l’autre, je lui enfonçai mon index dans le cul. Quand je l’ai ressorti, il était un peu merdeux. Qu’à cela ne tienne, je l’ai sucé un peu et l’ai replanté aussi sec. Je me suis dis alors que si son cul polluait mon doigt, qu’est-ce que ce sera quand je l’enculerai !

 

En même temps, j’atteignis son clitoris avec ma langue, et je le mordillais. J’ai eu droit à une symphonie de cris de jouissance. C’était tellement excitant de l’entendre gémir de la sorte que ma queue était dure comme du roc, et était grosse comme je ne l’avais jamais vue. Après avoir fait une série de va-et-vient à l’intérieur de son intimité, je me suis mis à genoux en arrière pour pénétrer son cul avec ma queue. Wha…c’était tellement lubrifié, je n’ai pas eu de difficulté à l’enfoncer. C’était tellement jouissif… là aussi j’ai eu droit à une symphonie, mais en duo cette fois-ci !

 

Après quelques efforts de ma part, je sentis qu’elle était épuisée, ses jambes s’étaient dépliées et elle était à nouveau couchée. J’ai sorti ma queue, maculée de matière, et j’ai retournée Megan afin de lui mettre ma queue entre ses gros nichons. Ses gros seins avec les tétines bien hautes que je poussais de chaque côté de ma queue. Evidement sa poitrine n’a pas tardé à s’orner de trainée marrons. Toujours dans la position du notaire en cravate, je me sentis venir, c’est alors que je me suis approché de sa bouche pour lui donner son dessert.

 

– Sperme et merde ! J’espère que tu apprécie ?

– Un peu salé pour un dessert, mais ça va !

 

Tranquillement, je la détachai, et je m’excusai d’avoir été un peu brusque !

 

– Non, non ça va… Mais t’es un sacré cochon, toi !

– Si, je suis un peu confus ! Si je pouvais faire quelque chose pour me faire pardonner !

– Alors dans ce cas à ton tour de te laisser faire !

– OK, mais on se boit une mousse d’abord !

– Un coca pour moi ! Et laisse ta mousse je vais te donner ma bière.

– Pardon !

– Mais il ne comprend rien celui-là ! Mets-toi à genoux et ouvre ta bouche de porc que je te pisse dedans.

 

– Mais…

– Tu étais d’accord pour te laisser faire, alors maintenant à genoux et discute pas. Et la bouche bien ouverte.

 

Elle m’a d’abord craché dans la bouche avant de m’y envoyer sa bonne pisse. Je me suis régalé, elle est vraiment très bonne.

 

On a en a mis un peu partout, on a attrapé le fou rire et on a épongé. Après, on a un peu trainé, j’ai branché la télé, on a regardé des conneries, on s’est resservi à boire, bref, une heure a passé. Je pensai qu’il ne se passerait plus rien tout juste peut-être un dodo ensemble dans mon lit…

 

– On retourne dans la chambre ! Propose-t-elle.

– Pour dormir ?

– Pas vraiment ! Allonge-toi sur le dos, je vais te faire une surprise

 

Elle prend ma queue dans ses mains et me masturbe, mais elle le faisait avec une intensité que je n’avais jamais connue. Elle était sur un rush d’adrénaline, et elle s’en donnait à cœur joie. Elle plaça des oreillers sous mon cul pour le soulever et se mit le cul devant mon visage, nous étions en 69 :

 

– Mange-moi le cul !

– Oui, oui !!

– Et tu ne fais pas semblant, tu y vas carrément, je veux sentir ta langue dans mon trou du cul !

 

Je m’empressai de lui manger le cul. Elle ne l’était pas essuyé le derrière après ma sodomie sauvage de tout à l’heure. Je compris qu’elle l’avait fait exprès.

 

– Mieux que ça ta langue, nettoie toute la merde.

 

Je m’acquittais de cette tâche avec application, les délires scatos ne m’ayant jamais bloqué. De plus sa merde avait un bon petit gout.

 

Ensuite Megan se mis à me sucer et encore là, avec une intensité incroyable, je pensais qu’elle allait me l’arracher. Elle aspirait ma peau comme un petit veau assoiffé. Elle arrêta tout d’un coup, se leva et alla chercher quelque chose dans son sac. Je ne pouvais rien voir de tout ça, la seule chose que je voyais c’était ma queue qui ne demandait qu’à en avoir plus.

 

Elle défait la ceinture de mon pantalon qui gisait sur le dossier d’une chaise et m’en donne des coups : sur les cuisses, sur mes fesses… Je me tortille, j’en reçois sur le ventre, sur torse…

 

– T’aime ça te faire maltraiter ? Me lança-t-elle. T’en veux plus ?

 

Elle s’assoit de nouveau sur mon visage, mais cette fois-ci, en me présentant sa chatte, encore une fois, très mouillée. Elle me dit, d’un ton autoritaire :

 

– Allez ! Mange-moi ça, et fais-moi jouir !

 

Je m’exécutai sans dire un mot. Elle gémissait des petits sons, elle aimait ça… C’est à ce moment qu’elle se pencha pour me sucer à nouveau. Cette fois-ci, avec moins d’ardeur, mais elle me préparait autre chose. Elle flattait mon trou de cul qui se trouvait lui aussi être bien humide. Elle planta son index dans mon cul et fit des va-et-vient… de plus en plus rapidement. Oooh… C’était une sensation que je n’avais jamais vécue. Encore autoritairement, elle dit :

 

– Bon on passe aux choses sérieuses !

 

913BellecourJe me demandais bien ce que cela voulait dire. Elle prit alors son godemichet… C’était donc ça qu’elle était allée chercher dans son sac ! Il y a des filles qui se baladent avec des godes dans leur sac à main ! On en apprend tous les jours ! Et elle me l’enfonça au plus profond de moi. Whaaaa… Inutile de vous dire que j’ai crié un bon coup, pas seulement de douleur, mais aussi de surprise. Mais c’était quand même bon…

 

Quand elle ressorti l’engin, elle me le fit sucer ! Je m’y attendais !

 

Pour terminer, elle s’agenouilla en face de moi. Toujours en me suçant la queue et en me masturbant, elle me regardait jouir jusqu’à ce que je vienne encore une fois, dans sa bouche. Et tout ça finit par un baiser dégoulinant de ma semence. C’était la première fois que j’ai eu autant d’orgasmes dans une même soirée…

 

– C’était bon le gode dans ton cul ?

– Oui, j’avoue !

– Il faudra que tu essaies une vraie bite, c’est encore meilleur !

– Ça va pas, non ?

– On pourrait faire un de ces jours une petite partie avec Ludo, tu connais Ludo ?

– Le gars des pizzas ?

– Oui, il a une très belle bite et il aime bien enculer des mecs…

– Ecoute, Megan, arrête, il n’en est pas question.

– T’es vraiment spécial, toi tu fais des trucs scatos et quand je te proposes de te faire mettre par une vraie queue, tu fais ta jeune fille.

– Bon, on va au lit ?

 

On a dormi ensemble, au petit matin, je bandais, et quand Megan s’est réveillée, je lui ai demandé :

 

– Pour la petite partie avec Ludo on pourra faire ça quand ?

 

Belle-cour

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 31 juillet 2021 6 31 /07 /Juil /2021 18:46

Mon correspondant allemand… et sa mère par Belle-Cour

BigsTits

Bonjour, je m'appelle Vincent, j'ai aujourd'hui 21 ans et après avoir rompu avec ma copine je vis seul dans mon studio parisien. Ça n'allait d'ailleurs pas très fort, j'avais trouvé un boulot, mais inintéressant au possible, et je commençais presque à déprimer. C'est donc avec enthousiasme que je répondais à la proposition de Franz de venir passer une semaine en Allemagne.

 

Franz a le même âge que moi, c'était du temps de ma scolarité, mon correspondant en allemand. Nous nous recevions respectivement l'un chez l'autre environ deux fois par ans, et nos relations ont toujours été excellentes. Franz est un jeune homme, très agréable, plein d'humour, s'intéressant à un tas de choses, plutôt mignon de sa personne et doté d'une très jolie queue !

 

Eh, oui, quand il y a six mois, lors de sa venue à Lyon, Franz m'a avoué sa bisexualité, m'expliquant qu'il aimait surtout les hommes, j'avais cru intelligent (à moins que ce soit un tour de mon inconscient) de lui expliquer que tout le monde était plus ou moins bisexuel donc moi y compris, mais qu'en ce qui me concernait c'était le contraire de lui, et que j'étais prioritairement attiré par les femmes.

 

- Tu as donc une petite place quand même pour les mecs dans tes fantasmes ? Me demanda-t-il.

- Une toute petite ! Précisais-je me demandant comment conclure cette conversation glissante.

- Et moi tu me trouves comment ?

 

Si ce n'est pas une invitation directe, c'est quoi ?

 

- Euh tu es pas mal, mais je n'ai jamais fantasmé sur toi !

- Tu es un garçon ouvert, je suis sûr qu'une expérience ne te déplairait pas, et puis je n'ai jamais violé personne, si tu ne veux pas je n'insisterais pas !

 

Mon dieu ! Je fais quoi, Je dis quoi ?

 

Mais avant d'avoir trouvé la bonne répartie, j'avais sa main sur ma braguette. Muet de surprise, je ne savais comment réagir, par contre ma bite, elle devait savoir parce qu'elle se mit à bander. Et le problème c'est que quand on bande on ne voit plus les choses tout à fait de la même façon. Je le laissait me descendre ma fermeture éclair, aller tripoter mon pénis par-dessus l'étoffe de mon caleçon, puis sortir carrément ma verge qu'il se mit à branler pendant quelques instants avant de s'agenouiller devant moi et de me sucer pendant de longues minutes. Il m'a ensuite demandé de me déshabiller, il a fait de même. Quand il m'a proposé de le sucer à mon tour, je n'ai même pas hésité, sa bite était magnifique, d'une taille supérieure à la moyenne mais sans exagération, sa verge présentait une jolie peau soyeuse, quant au gland il brillait de plaisir. Je découvrais quelque chose de nouveau ce jour-là.

 

On a dû se sucer trois ou quatre fois, mais mise à part quelques tripotages de tétons nous n'avions rien fait d'autre, je n'étais pas prêt à l'embrasser sur la bouche, je n'étais pas prêt non plus pour la sodomie.

 

Lui, parti, je regrettais de ne pas avoir été plus loin, mais me promettais de le faire à notre nouvelle rencontre.

 

C'est vous dire si j'acceptais d'enthousiasme de me rendre à Hambourg !

 

Mais il y avait aussi une autre raison, et cette raison c'est Hanna, la mère de Franz. (Il habitait encore chez ses parents) Superbe femme divorcée entre quarante et cinquante ans, un peu grande, un peu forte, blonde aux cheveux coupés en carré, un très joli visage, et des formes qu'on devinaient rondes et accueillantes… Combien de fois me suis-je masturbé en pensant à elle ! Je n'avais pourtant jamais vu en vrai, uniquement en photo mais à poil car ses braves gens sont des adeptes des joies du naturisme.

 

Franz est venu me chercher à la gare d'Hambourg, je lui tend la main mais il préfère m'étreindre et m'embrasser chaleureusement sur les joues ! Ça commence bien !

 

- J'ai hâte qu'on soit ensemble ! Me précise-il.

 

Effectivement, il devait être sacrément en manque, arrivé chez sa mère (qui n'était pas là pour l'instant) on se précipite dans sa chambre, et là il m'enlace et sans que j'aie pu réagir me roule un patin d'enfer, je laisse faire et participe par politesse, parce que j'avoue que ça me fait rien du tout. Par contre quand il me met la main sur ma braguette, je deviens réactif. Cinq minutes après nous étions à poil, et je me surpris à lui sucer la bite avant qu'il ne le fasse à son tour ! Je ne me lasse pas de ce superbe engin, c'est pour l'instant la seule que j'ai eu le loisir de sucer, peut-être après tout que je devrais draguer les mecs, rien que pour leur sucer la queue, pourquoi pas, mais j'ai toujours été un grand timide !

 

Franz était plus entreprenant que la dernière fois, après qu'on se soit un peu sucé en soixante-neuf, sa langue a dévié et s'est mise à me lécher le trou du cul. Je me laissais faire mais ne lui rendais pas la politesse, Puis après la langue ce fut un doigt, puis deux ! Quelle sensation ! Alors dans un souffle je lui ai demandé :

 

Franz- Encule-moi !

 

Il ne se l'est pas fait dire une deuxième fois, et après avoir effectué l'encapuchonnage d'usage, il s'est évertué à me forcer la rondelle ! Voilà qui fait bizarre au début, j'ai d'ailleurs failli lui dire que ça me faisait mal et qu'on ferait mieux d'arrêter, mais après qu'il m'eut pénétré à fond et qu'il se soit mis à faire de va-et-vient, mon corps fut secoué d'ondes de plaisirs que je ne soupçonnais même pas. Franz s'est excité comme un fou, jouissant en me sodomisant et s'affalant sur moi, épuisé. Je n'avais pas joui.

 

- Si tu veux me faire pareil, ce n'est pas un problème !

- Non, pas maintenant, mais je veux bien que tu me suces, répondis-je !

- Pourquoi il te plait pas mon cul ?

 

Et alors, il se retourne, m'exhibe son cul de façon assez obscène, Bandé comme je suis, je réagis en lui pelotant ses jolies fesses roses et glabres. Déjà il m'a placé un préservatif, il écarte ses globes, son anus est déjà ouvert, c'est clair qu'il n'attendait pas après moi ! Et voilà que je l'encule ! L'affaire fut assez rapide, après on s'est embrassé dans un grand moment de tendresse, puis on s'est douché ensemble. Ce fut une bonne partie de rigolade, on s'amusait à se savonner respectivement, et vous vous doutez bien qu'il ne manquait pas une occasion de me tripoter, tantôt les tétons, tantôt la verge, tantôt les couilles, et tantôt le cul ! Tant et si bien qu'on s'est mis tous les deux à rebander, on s'est alors branlé respectivement et avons éjaculé pratiquement en même temps…

 

- J'ai envie de pisser, je vais te nettoyer, me dit-il soudain

 

Et sans que j'aie eu le temps de réaliser, le voici qui me pisse sur le sexe ! Amusant !

 

- J'ai un petit contretemps dans notre programme ! Me dit-il alors que nous séchions.

 

Il m'explique alors qu'il doit absolument se rendre aux funérailles d'un de ses anciens professeurs à Stuttgart, qu'il va partir dans l'heure et qu'il ne reviendra que le lendemain soir ! Bon, ce n'est pas une catastrophe on fera avec…

 

On m'avait préparé la chambre d'amis, je décidais de m'y reposer en lisant un bouquin et en attendant le retour de sa mère.

 

Hanna est arrivée quelques heures après toujours aussi souriante et désirable, elle avait eu l'idée d'enfiler une robe décolletée, ce qui fait que mes yeux restaient scotchés sur la naissance de ses seins. On bavarde un peu, puis je lui dis que je ne vais pas tarder à aller faire un tour en ville, histoire de me dégourdir les jambes.

 

Je remonte dans ma chambre, prendre quelques affaires et notamment mon appareil photo, puis je vais pour sortir. Je me ravise au dernier moment car il faut avant que j'accomplisse un petit besoin bien naturel.

 

Je fais mon pipi, et sort des toilettes, la salle de bain est juste à côté, la porte est entrouverte, je jette un coup d'œil par réflexe et devinez qui je vois ? Hanna les seins à l'air en train de faire je ne sais quoi devant son lavabo. J'en reçois plein les mirettes !

 

Instinctivement j'ai stoppé ma marche, je fais comme si je revenais aux toilettes et repasse devant la porte ! Quel spectacle ! Quelle poitrine ! Quelle belle femme ! Je tire la chasse une nouvelle fois pour donner le change et repasse une troisième fois devant la porte

 

- Vincent !

 

Merde, elle m'a vu, me voilà dans de beaux draps ! Pourtant sa voix n'exprime pas la colère !

 

- Euh, excusez-moi !

 

Elle a ouvert la porte, elle est là devant moi, torse nu, les bras croisés sur sa poitrine, la cachant (mal)

 

- Qu'est-ce que tu regardes comme ça dans la salle de bain ?

 

Il n'y a aucun ton de reproche dans sa phrase, Pire elle baisse ses bras, j'ai maintenant ses seins à cinquante centimètres de mes yeux, et avant que je n'arrive à bredouiller quoi que ce soit, j'ai sa main sur ma braguette ! Décidément ça doit être une spécialité familiale.

 

- Je sais bien que tu fantasmes sur moi, je ne suis pas folle ! Moi ça ne me dérange pas, après tout tu es majeur et tu n'es pas mal ! Et puis ça me fait plaisir qu'un jeune comme toi soit excitée par une vieille comme moi

- Vous n'étés pas vieille !

- Qu'est-ce que tu bandes, dis donc ! Allez baisse-moi tout ça !

- Mais c'est que….

- C'est que quoi ? Tu en meurs d'envie….

 

Comme dans un rêve, je baisse pantalon et caleçon, me voici le zizi à l'air fièrement bandé ! Et voilà Hanna à genoux devant moi ! Incroyable, elle était prête à me sucer ! Je ne vous dis pas dans l'état où j'étais. En fait sa fellation était bizarre : Elle commença à lécher mes poils avec beaucoup d'application puis mes couilles. Je bandais toujours et je mouillais bien. Elle passa sa langue le long de mon sexe et l'emboucha pour finir le nettoyage. Excité comme jamais, je déchargeai rapidement et elle avala le tout. Je pensais qu'elle souhaitait une suite, mais non :

 

- Allez je te laisse aller faire ton petit tour !

 

Je me rinçais le sexe, et me reculottais, j'étais à la fois ravi d'avoir réalisé un de mes fantasmes et frustré que la chose n'ait pas été plus loin…. Alors hardiment, je m'approchai d'elle, bien décidé à en profiter encore un peu, et je commençai à lui malaxer les seins. Elle me dit fermement de m'arrêter. Ce que je fis promptement, mais cela ajouta à mon désarroi.

 

Quand je revins de ma promenade en ville, Hanna était en peignoir, elle m'expliqua qu'elle allait prendre un bain, mais aussi que le chauffe-eau ayant une capacité limité, je n'aurais plus d'eau chaude si je voulais en prendre un aussi ! J'ai failli répondre la bêtise de ma vie, à savoir qu'ayant pris une douche en arrivant, je n'avais nul besoin de me baigner de nouveau…. mais me ravisais au dernier moment !

 

- Comment faire alors ? Demandais-je, faussement naïf

- Je peux toujours te laisser mon eau, mais bon… Tu vois une autre solution ? Me demanda-t-elle avec un large sourire.

- On pourrait peut-être se partager le bain, alors ? Proposais-je presque comme une boutade

 

A ma surprise elle accepta.

 

J'entrai dans la salle de bains et laissai la porte déverrouillée. Hanna me rejoint. Je ne m'étais pas encore déshabillé et elle me proposa de me le faire, ce que j'acceptai volontiers. Elle commença par le haut puis s'attaqua à mon pantalon. Comme elle se baissait pour l'enlever de mes chevilles, j'eus une vue très intéressante de sa poitrine par l'échancrure de son peignoir. Je commençais à bander lorsqu'elle leva la tête. Comme elle était accroupie elle avait les yeux à la bonne hauteur pour apprécier ma bonne forme. Elle retira mon slip rapidement laissant mon zob à l'air et bien tendu. Elle enleva rapidement son peignoir. C'est alors que je vis pour la première fois son sexe et sa blonde pilosité. Elle avait de très beaux seins, un peu lourds. Je ne pus résister à la tentation de toucher ses nichons qui me parurent plus fermes que ce que j'aurais cru. Elle s'approcha de moi et m'embrassa de manière très appuyée.

 

Elle me fouillait la bouche. Je répondis avec fougue à son invitation. Elle prit ma main et la descendit le long de son corps pour atteindre son pubis. Puis elle descendit ma propre main sur son sexe qui était tout humide et elle commença à se branler en me tenant la main sur son sexe. Elle mouillait de plus en plus et commençait à gémir. Elle prit ensuite deux de mes doigts qu'elle joignit pour se branler plus profondément et je sentais sa mouille me couler dans la main. Elle commença à jouir et lâcha un flot de liquide qui atterrit sur le sol. Elle était secouée de spasmes et mit quelques instants à se reprendre. Elle m'embrassa après avoir sucé mes doigts pour les nettoyer.

 

Elle me dit qu'elle voulait me remercier et s'agenouilla. Elle recommença la même chose qu'avant ma promenade et comme j'étais de nouveau très excité, sa langue et ses lèvres habiles me firent de nouveau décharger rapidement. Elle avala tout mon sperme avec gourmandise.

 

- Hum, il est délicieux, il est meilleur que celui de mon fils !

 

Hein ? J'ai du mal entendre !

 

Elle a dû s'apercevoir de mon trouble !

 

- Je ne t'ai pas choqué j'espère ?

- Non, non !

 

Je ne pouvais quand même pas lui dire "oui" ! D'ailleurs j'étais davantage stupéfait que choqué .

 

- C'est un cochon, Franz, tu te rends compte ! Baiser avec sa maman ! Dit-elle sur le ton de la plaisanterie.

 

Je n'ai pas répondu. On est entré dans le bain et elle me proposa de nous laver l'un, l'autre, tout en précisant qu'elle s'occuperait de moi en premier. Elle le fit avec la plus grande application en s'attardant sur mon sexe mais aussi sur mon anus qu'elle titillait et dans lequel elle finit par entrer un doigt. Cela me fit un tel effet que je bandais quasi instantanément.

 

- Hum, tu réagis bien du cul et tu as des belles fesses, tu ne te serais pas déjà fait enculer, toi ?

- Juste une fois !

- C'est Franz qui t'as enculé ?

- Euh !

- Tu peux me le dire ! Qu'est-ce que ça peut faire ?

- Ben oui !

- Quand il va rentrer on va se faire un petit trip tous les trois, tu veux bien dis ?

- Pourquoi pas ?

- En attendant, tu vas me laver… Partout…

 

Je commençai par le visage puis descendis sur ses seins ce qui me fit bander encore plus dur. Elle me demanda de finir par son sexe. Lorsque j'arrivais à la fin de sa toilette je m'enduis les mains de savon et commençai à m'occuper de sa chatte. Elle commença à bouger d'avant en arrière au fur et à mesure que j'opérais. Elle recommença bientôt à mouiller. Elle me demanda d'insister sur son clitoris, ce que je fis avec beaucoup de douceur et de précautions mais elle commença réagir comme une folle. Elle me demanda de la pincer. Lorsque je le fis elle gémit de jouissance.

 

Elle se retourna alors en présentant ses fesses. Elle me dit de lui " nettoyer " l'intérieur du vagin avec la main. J'approchai ma main de son sexe et avec l'aide du savon j'entrai une bonne partie de ma main dans cette chatte offerte. Je commençai un va-et-vient lent mais appuyé qui la fit gémir d'aise. Elle commença à jouir de plus belle et s'activait sur ma main pour profiter de cette activité singulière. En me penchant sur le côté je vis qu'elle avait une main entre les jambes et s'activait sur son clitoris comme une folle.

 

Elle finit par jouir dans le bain en poussant un cri surprenant et me demanda de lui donner ma main à lécher. Puis elle se leva dans la baignoire, me demanda de ne pas bouger et se mit à commencer à pisser en rigolant comme une bossue !

 

- Tu veux de mon champagne ? demandât-elle !

 

Elle n'attendit pas de réponse et m'arrosa de son urine, (encore une autre spécialité familiale sans doute ?) et quand elle me demanda d'ouvrir la bouche je le fis aussi, surpris de ne pas trouver ce goût trop désagréable.

 

- A toi, maintenant, pisses-moi dessus, je suis ta veille cochonne !

 

J'ai dû me forcer un peu mais j'ai finis par y arriver, apparemment elle était une habituée de cette pratique et reçu presque tout mon pipi dans sa jolie bouche.

 

On est sorti du bain et on s'est séché mutuellement. Ensuite elle me dit de la suivre dans sa chambre. Là elle s'est assise sur le lit et m'a demandé de la rejoindre. Elle m'a embrassé tendrement et a commencé à passer ses mains sur moi. Elle m'a malaxé les couilles et m'a branlé un peu, puis elle me dit qu'elle me voulait en elle. Je me suis allongé sur son corps et je l'ai pénétré. Magnifique sensation de savoir que j'étais enfin en train de baiser la mère de mon correspondant ! Si on m'avait dit ça un jour ! Je suçais ses seins et on s'embrassait. Elle commença à haleter et à gémir et ce signe était annonciateur d'une jouissance orgasmique de ma partenaire.

 

Le déluge arriva et les cris aussi. Cela me fit jouir à mon tour en plusieurs jets.

 

On est resté immobile pendant quelques instants puis mon sexe sortit de lui-même de son vagin lubrifié et poisseux. Elle entreprit de me nettoyer la verge avec sa langue ce qui lui redonna de la vigueur. Constatant mon état, elle me dit qu'elle allait parfaire mon éducation sexuelle et m'apprendre un truc que les cours de sciences naturelle n'enseignaient pas…

 

Hanna se mit alors en levrette et me demanda de la pénétrer de nouveau. Après deux ou trois va-et-vient elle souhaita que je me retire. Elle me fit mettre sur le dos, puis s'accroupit sur moi et s'emballa sur mon sexe, il me sembla que l'endroit était moins lubrifié et plus étroit que précédemment; ce qui m'intrigua (juste un moment, je ne suis pas idiot quand même). Elle commença à aller et venir tout en me demandant de lui sucer les seins, ce qui eut pour effet de l'exciter davantage. Elle se masturbait en cadence et j'eu la confirmation de ce qui se passait lorsque je la vis entrer un doigt dans son vagin. Elle s'enculait férocement sur moi. Elle jouit après plusieurs minutes et je déchargeai aussi.

 

Elle se retira, mais pas encore rassasié elle me proposa un nettoyage respectif avec la langue. Exténué je lui léchais donc le cul et la chatte, sans trop chercher à comprendre, je la fis jouir une dernière fois, puis nous nous endormîmes.

 

Le lendemain, je suis parti en promenade et ne suis revenu qu'en fin d'après-midi. Franz était rentré.

 

- On t'attendait me dit-il en me tendant un verre de jus de fruit que je m'empressais d'avaler.

 

HannahHanna entra dans la pièce uniquement vêtue d'un petit déshabillé noir et tellement transparent qu'il ne cachait rien de sa merveilleuse poitrine dont les pointes dardaient sous la soie.

 

Elle nous prit par la main et nous fit assoir à ses cotés sur le canapé.

 

- Maintenant les garçons, caressez-moi !

 

Pa la peine de nous le dire deux fois ! Franz et moi avons commencé par lui peloter ses seins après qu'elle se soit débarrassée de son déshabillé.  Après quelques minutes de pelotage et d'embrassades, Franz et moi nous nous sommes mis nus. 

 

Hanna a ensuite demandé à son fils de me sucer la bite devant elle. Il le fit avec tout son savoir faire et je ne tardai pas à bander comme un taureau. Elle nous fit signe d'approcher et se mit à sucer nos queues alternativement.

 

Quel spectacle de voir une mère sucer ainsi la bonne bite de son propre fils.

 

- Vous m'excitez de trop tous les deux, venez on va faire une double. 

 

Je fus invité à me coucher sur le tapis, Hanna vint s'empaler la chatte sur ma bite, puis se pencha en avant de façon à ce que son fils puisse avoir accès à son anus. Nous avons cordonné nos mouvements, Hanna était baisée et enculée. Fous d'excitation nous n'avons pas tenu la distance. J'ai joui le premier m'efforçant de continuer de bouger afin de ne pas frustrer Hanna. Cette dernière cria sa jouissance à son tour. Franz se retira et répandit son sperme sur les fesses de sa mère. Ce fut grandiose ! Nous fîmes une petite pause avant de repartir pour un tour, la soirée fut longue, épuisante mais tellement agréable. 

 

Après cette aventure, je suis resté encore cinq jours à Hambourg, on a partouzé plusieurs fois parfois tous les trois, mais aussi avec des amis d'Hanna, un couple très cochon dont le mari m'a enculé divinement. Toujours est-il que quand je suis rentré en France j'avais maigri de cinq kilos !

 

Merci Franz, Merci Hanna….

 

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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