Mardi 27 juillet 2021 2 27 /07 /Juil /2021 08:47

Les pérégrinations érotiques d‘un buveur de bière

Par Alexis Defond-Rossignol

Gs2

 

Prologue

 

– Garçon tu nous remets ça ! La même chose !

 

Le garçon de café au teint blanchâtre nous resservit pour la troisième fois nos demis débordant d’une mousse qu’il rasa de sa spatule d’un geste très professionnel.

 

– Tu m’as dit l’autre fois que tu ne croyais pas aux horoscopes ! Qu’il me dit Marcel !

– Ce n’est pas de l’horoscope ! C’est l’influence de la Lune, ça n’a rien à voir !

– Elle fait quoi la Lune ?

– Ben, elle fait les marées, c’est déjà pas mal !

– Si ça se trouve ce n’est même pas vrai !

– Mais si c’est vrai, c’est scientifique !

– Pfeu ! Les scientifiques, alors pourquoi la Méditerranée elle n’a pas de marée ?

– On s’en fout, Marcel, ce n’est pas le sujet !

– C’est quoi déjà le sujet ?

– Le sujet c’est que quand c’est la pleine lune, je suis en rut… je bande encore plus que d’habitude !

– Ça me fait penser aux films avec les loups-garous !

– Tu dis ça en rigolant mais c’est le même phénomène !

– Qu’est-ce qu’il y a à la télé ce soir ?

– Alors elle ne t’intéresse pas mon histoire ?

– Quelle histoire ?

– Mon histoire de cul !

– Si ! Si !

– Je te la raconte ou pas ?

– Raconte ! Raconte !

– Allez viens t’asseoir !

– Ok c’est ma tournée !

– Dis Marcel, comment je suis ?

– Hein ? Normal, pourquoi ?

– Non, décris-moi !

– Te décrire ? T’as oublié comment tu étais ?

– Mais non, con ! C’est pour les lecteurs !

– Ah, bon ! Alors sachez, amis lecteurs, qu’Alexis, mon copain est grand, brun, qu’il a d’épais sourcils, des lèvres charnues, de beaux yeux sombres et la peau mate, le type comment dire…

– Espagnol ?

– C’est ça, espagnol !

– Olé ! C’est tout ?

– Non, il est coiffé à la Clark Gable, toujours très élégant, la quarantaine, sportif, et un joyeux compagnon de table…

– Et puis…

– Et puis il adore les femmes !

– Olé ! Et maintenant écoute bien, Marcel, ouvre bien grande tes portugaises et vous amis lecteurs faites-moi le plaisir de vous laisser narrer ces anecdotes tirées de mes pérégrinations nocturnes (et diurnes également)

 

1 – Le récit d’Alexis

 

C’était une nuit de pleine lune, et en rentrant à la maison, j’avais une grosse envie de sexe. D’habitude quand ça m’arrive j’attrape un bouquin de cul qui traîne sous la table de nuit de ma femme pour me branler. Mais là, j’ai eu envie de cul pervers et sans limites… Alors quand elle est rentrée, je lui ai dit de s’habiller sexy, que j’allais l’emmener à Paris au restaurant. Je l’ai même surveillée tandis qu’elle s’habillait, dirigeant ses choix vers des bas noirs, une longue jupe et un chemisier… lorsqu’elle a attrapé une jolie culotte dans son armoire, je lui ai dit que ça elle n’en aurait sûrement pas besoin. Ignorant ses questions, je l’ai enlacée pour le plaisir de la caresser sans culotte, passant mes doigts dans sa raie : génial !

 

– Elle est comment ta femme ?

– Comment ça comment ?

– Blonde, brune, rousse ?

– Mais je te l’ai déjà dit !

– Mais les lecteurs, Alexis, les lecteurs !

– Monique est blonde (fausse), bientôt la quarantaine, taille moyenne, un visage d’ange, de beaux yeux bleus, une belle et forte poitrine, et la voix pleine de miel !

 

Nous sommes donc partis en voiture, je n’ai pas pu m’empêcher de lui caresser les cuisses et la chatte pendant le voyage. Puis nous sommes arrivés pas trop loin de la rue St Denis…

 

2 – Cinoche

 

Je l’ai emmenée au restaurant japonais, on a bien mangé, on a parlé de tout et de rien, puis à la fin du repas, je lui ai proposé un ciné… Elle aime bien le cinéma ma femme… Alors je l’ai emmenée dans l’une des dernières salles qui passe encore des films cochons en boucle. Nous nous sommes assis au fond de la salle, deux pervers se trituraient mutuellement le manche. Mon cœur qui ne s’attendait pas vraiment à ça avait l’air plutôt surprise et assez contente. Elle a posé la main sur ma braguette et m’a caressé la queue. J’ai placé ma main sur ses cuisses qu’elle a écartées en grand, puis j’ai remonté sa jupe. Ne pas avoir de culotte à dépasser, c’est vraiment un plaisir, elle ne quittait pas l’écran des yeux, mais je voyais bien qu’elle appréciait d’avoir ma main sur la motte et un doigt dans la chatte. Quand elle a voulu sortir mon sexe de mon pantalon, j’ai refusé. D’après mon plan, ça n’était pas la dernière étape de la soirée, j’allais attendre un peu pour en profiter pleinement. Pour ne pas céder à la tentation, je suis passé entre ses jambes et j’ai collé ma bouche à sa chatte. Le goût de son excitation était meilleur que d’habitude, elle regardait le film, les mains dans mes cheveux, et souriait. Sur l’écran, une jolie blonde un peu rondelette se faisait prendre par le cul et suçait un black avec un braquemart géant. J’entendais les soupirs de ma femme se mêler aux cris étouffés de cette salope américaine, c’était très excitant… Ma langue a accéléré sur son clito, ses hanches se sont mises à onduler au rythme de la musique, de plus en plus vite, et Monique a fini par jouir en gémissant très fort. J’ai reçu un flot de mouille dans la bouche que je me suis empressé de savourer. Le black a éjaculé dans la bouche de la fille, les gémissements de tout ce monde m’ont donné une autre idée…

 

Nous nous sommes levés, de la mouille coulait le long des jambes de ma femme, j’ai passé mes doigts pour ne rien perdre, je lui en ai même fait goûter un, elle l’a léché en me regardant d’un air pervers, je me suis dit que ce serait le moment ou jamais d’exécuter cette fameuse idée. Mais voilà que ma tendre me dit avoir une forte envie de pisser. Elle m’a demandé de l’accompagner aux toilettes du ciné car elle n’avait pas trop confiance. On est entré, ça ne sentait pas très bon et un mec était en train d’en sucer un autre, tandis que trois autres types les regardaient en se masturbant. Deux d’entre eux se sont alors avancés vers Monique. Elle a pris peur et nous nous sommes enfuis.

 

– Ce n’est pas très sentimental, ton truc ! Qu’il me fait observer le Marcel

– Je sais, mais mes sentiments, je n’en fais pas profiter tout le monde, par contre mes excitations je peux les faire partager !

– C’est de la porno pure, alors ?

– Oui, mais je le revendique ! J’ai lu une critique sur un site Internet qui disait que les ébats sexuels étaient plus difficiles à écrire que ce qu’il y a autour !

– Autour il y a des poils !

– Qu’est-ce que tu es con, dès fois !

– Faut bien rire !

– Tout doit pouvoir exister, le porno en tant que partie chaude d’un récit quelconque, mais aussi le porno pur, du moment que ce n’est ni crade ni dégradant…

– Continue, Alexis !

– La règle c’est « pas de ghetto ! »

– Continue, Alexis, j’ai compris.

 

3 – La boite

 

Le cœur un peu accéléré, nous sommes sortis du ciné, et ne pouvant contenir son envie de pisser, elle s’est accroupie entre deux voitures en stationnement. Deux types s’arrêtèrent pour la mater.

 

– Et alors ! Dit-elle en les interpellant. Vous n’avez jamais vu une femme en train de pisser ?

 

Les deux hurluberlus un peu vexés s’en allèrent sans insister, je restais donc le seul mateur ! Voici un privilège intéressant ! Elle n’avait rien pour s’essuyer, pas grave ! Je l’ai emmenée ensuite dans une rue un peu plus loin (où j’étais déjà allé avant de la rencontrer). Un vieux rideau de velours rouge cachait l’entrée, je l’ai écarté et j’ai fait entrer ma femme. Elle a marqué un temps d’arrêt devant ce qu’elle découvrait, un escalier d’où venait de la musique, gardé par deux baraqués en costumes. Ils lui ont souris et m’ont fait un signe de tête et nous sommes descendus.

 

En bas, en plus de la musique, nous entendions des cris de plaisir et de jouissance. Une belle asiatique nue s’est approchée de ma femme, un téléphone portable à la main et lui a expliqué que le prix d’entrée était une photo de sa chatte. A mon grand étonnement, ma femme ne s’est pas démontée, elle s’est retournée, s’est penchée bien en avant, les jambes écartées et a remonté sa jupe pour que la belle hôtesse puisse voir à la fois son cul et sa moule. L’asiatique a fait sa photo, l’a immédiatement envoyé sur une imprimante et l’a épinglée au mur près de centaines d’autres… La pièce suivante était très sombre, un bar occupait la partie gauche et le reste était meublé de divans rouge sombre sur lesquels des clients, nus ou habillés (ou un peu les deux), buvaient, parlaient ou baisaient… Ma femme s’est retournée vers moi, ses yeux pétillaient, sa langue est passée sur ses lèvres et elle m’a embrassé à pleine bouche comme jamais elle ne l’avait fait.

 

– J’ai besoin d’un alcool fort ! Me dit-elle.

 

Nous avons alors pris un verre au bar avant d’aller s’asseoir sur un divan libre au fond de la pièce. Sur le divan le plus proche de nous, une jeune femme à quatre pattes se faisait prendre par derrière et elle semblait aimer ça, une jolie femme, probablement antillaise avec un visage très doux, des petites lunettes et des cheveux bouclés. Le visage figé d’étonnement, ma femme s’est mise à la fixer. J’allais lui faire une réflexion lorsque la jeune femme l’a vu et a pris le même regard éberlué. Elle s’est retournée vers le mec lui disant d’aller se finir avec quelqu’un d’autre et elle est venue s’asseoir près de Monique qui n’avait toujours pas bougé. Et là, elles se sont mises à parler en même temps. J’ai cru comprendre que c’était une amie d’enfance de ma femme. Dès fois le monde est petit ! Eh bien, elle pourrait m’en ramener tous les jours des amies de ce genre là…

 

Je les ai laissées à leurs souvenirs pour aller faire le tour de la boite. J’ai ainsi découvert qu’il y avait plusieurs pièces dans lesquelles l’activité principale était la même : le CUL ! J’ai même été entrepris par une femme assez mûre qui a sorti ma queue et s’est mise à la sucer. Je l’ai laissée faire un peu, puis je suis parti, elle s’est retournée vers un autre et a recommencé à sucer… j’ai été faire un tour aux toilettes, j’avais envie de pisser. Surprise, une belle femme complètement nue et aux formes sculpturales se faisait pisser dessus par deux mecs. Ça avait l’air de lui plaire, et comme je m’approchais de l’urinoir, elle m’a fait signe que je pouvais aussi l’asperger. La chose n’était pas très facile parce que j’étais assez excité par la chose, et que pisser en bandant ce n’est vraiment pas évident, mais je fini par y arriver. L’un des deux hommes lorgnait à fond sur ma bite, et à un moment sa main s’approchait impunément de mon organe. J’hésitais un peu sur la conduite à tenir, mais finalement je le laissais faire, il me branla quelques instants, mais je lui fis signe que je ne tenais pas à jouir si vite, ni dans de telles conditions

 

– Je te la suce un peu alors ? Juste un peu !

– Juste un peu d’accord !

 

Me voici en train de me faire tailler une pipe par un mec, on aura tout vu ! Et non seulement je n’ai pas honte, mais ça aurait plutôt tendance à m’exciter. Il va falloir que je consulte mon sexologue ! Ou plutôt non, je ne consulterais personne, je fais ce que je veux de mon corps, du moment que je n’emmerde pas le monde, et que l’on ne m’emmerde pas.

 

Lorsque je suis revenu dans la pièce centrale, je suis allé chercher un autre verre, Monique et sa copine étaient toujours en train de parler. Je suis retourné près d’elles, j’ai roulé une pelle à Marie-Laurence, cette jolie blackette, histoire de lui dire bonjour et je me suis installé derrière Monique. Elles étaient en train de se raconter ce qu’elles faisaient là. Marie-Laurence expliquait :

 

– Je viens presque une fois par mois, avec mon mec du moment. Je prends mon pied et j’aime vraiment ça !

 

Pendant qu’elles parlaient, j’ai passé mes mains sur les seins de Monique qui m’a laissé faire, alors je lui ai enlevé son chemisier, son soutien-gorge et sa jupe. Elle s’est retrouvée en bas et escarpins. Elle racontait à son amie la séance de cinéma que nous venions de vivre. Je me suis levé et je me suis mis devant elles en disant que je m’ennuyais. Elles se sont regardées et excusées auprès de moi, puis, avec un sourire coquin se sont occupées de me déshabiller. J’ai eu vite fait moi aussi de me retrouver à poil. Monique tenait ma bite dans sa main et a attrapé le cou de Marie-Laurence et l’a poussée vers moi, j’ai senti sa bouche glisser sur ma queue, sa langue sur mon gland et je regardais ma femme, qui d’un air vraiment vicieux me faisait sucer la bite par une amie d’enfance… Là-dessus, un mec est arrivé en souriant, Marie-Laurence a arrêté de me sucer pour nous présenter :

 

– Voici Corentin, c’est le mari d’une de mes amies, Florence, qui doit être un peu plus loin.

 

Corentin est un petit moustachu très dégarni et au visage très jovial. Marie-Laurence lui a demandé d’aller chercher sa femme pour nous présenter. Elle s’est remise au travail avec l’aide de Monique jusqu’à ce qu’ils reviennent.

 

Florence était très bien faite aussi, une grande fille à la peau un peu pâle, les cheveux assez courts décolorés auburn. Nous nous sommes embrassés (finalement, je crois que se faire une pelle pour se dire bonjour est une bonne idée), puis elle s’est assise à côté des deux autres pour les aider à me bouffer la queue. Je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé de se faire sucer par trois jolies filles, mais c’est une expérience à tenter et à retenter… Corentin les a fait mettre à genoux sur le divan toutes les trois et pendant qu’elles essayaient d’emboucher ma bite, il s’amusait à rentrer dans l’une d’elles puis ressortait, puis passait à l’autre et ainsi de suite. Ce jeu-là nous amusait tous les cinq. Marie-Laurence s’est levée, puis avec un air coquin a installé la bite de Corentin dans la chatte de ma femme et la mienne dans celle de Florence. A genoux, l’une dans le sens contraire de l’autre, elles regardaient avec des yeux vagues leur mari baiser l’autre. Monique regardait à tour de rôle ma bite entrer entre les jambes de Florence et mon visage (je devais avoir l’air d’un gamin devant un tas de cadeaux à Noël). Marie-Laurence passait de l’une à l’autre, leur caressant les fesses, les seins ou les embrassant à pleine bouche. Monique n’a pas tardé à jouir, bientôt suivie de Florence. J’ai alors attrapé Marie-Laurence qui me plaisait bien et je l’ai allongée sur un divan à côté, puis je me suis allongé dessus et je l’ai pénétré. Sa moule était accueillante et j’aimais bien le contraste entre l’intérieur de sa chatte rose et très mouillée et sa belle peau noire couleur de chocolat à croquer. A un moment de nos ébats, la bite de Corentin est passée près de mon visage, me provoquant un trouble bizarre. Je pensais qu’il s’agissait d’un hasard, mais sa bite restait là à quelques centimètres de ma bouche.

 

– Suce-le ! Me dit Florence, il adore aussi se faire sucer par un homme.

 

Je me mis à le sucer un petit peu, puis Florence et Monique prirent le relais et sucèrent Corentin jusqu’à ce qu’il leur jouisse sur le visage, puis elles ont chacune léché les restes de foutre sur le visage de l’autre… Je n’aurai jamais imaginé ma femme capable de ça, de sucer un mec devant moi, d’avaler son sperme, de se faire baiser parmi tant de gens et de trouver ça bien. Et encore moins d’embrasser une autre femme, de lui caresser les seins ou de lécher son visage à la recherche d’une dernière goutte de foutre. Elle s’est ensuite installée à califourchon sur le visage de Marie-Laurence pour se faire faire un nettoyage en règle. Corentin et Florence l’ont suivi et l’ont embrassée et caressée pendant ce temps. J’ai joui très vite sur le ventre de Marie-Laurence qui criait son plaisir, et les deux autres sont allées chercher mon foutre dans ses poils avant de le partager avec elle.

 

Devant ce tableau, Corentin eu vite fait de retrouver une forme correcte et moi aussi. Nous nous sommes jetés sur les femmes et avons chacun pris la femme de l’autre. Cette fois ci, Florence s’est mise au-dessus de moi, s’empalant sur ma queue. C’était un vrai plaisir de la voir vraiment, de lui embrasser les seins et le cou pendant qu’elle bougeait de plus en plus frénétiquement sur mon sexe. Corentin avait repris ma femme en levrette et je devinais à son visage qu’il y trouvait son compte, elle aussi d’ailleurs. Marie-Laurence profita de ma position pour venir s’asseoir sur moi. J’écartais d’un doigt ses lèvres pour poser ma langue sur son clito. Les deux filles se sont mises à aller et venir de plus en plus vite, haletant de plus en plus fort et nous avons joui tous les trois en même temps, je sentais de la mouille de femme me couler en même temps sur le menton et sur les couilles.

 

Ensuite elles ont échangé, Florence est venue m’embrasser et récupérer ce qu’elle pouvait de la mouille de Marie-Laurence et celle-ci est partie nettoyer ma queue de mon sperme et de la mouille de Florence. Je vis alors le visage de Monique curieusement déformé, Corentin la pilonnait toujours par derrière et je devinais que cette fois-ci, il assaillait son petit trou. Curieusement, ça ne m’embêta pas qu’elle se fasse enculer pour la première fois par un autre, mais à partir de maintenant, elle ne pourrait plus me le refuser. Avec Florence et Marie-Laurence, nous nous sommes approchés d’eux. Monique, dans un souffle, me dit qu’elle n’imaginait pas ça si bien. Je lui ai demandé de s’expliquer pour le plaisir de lui faire dire des mots cochons. Elle me dit qu’elle aimait se faire enculer et baiser par tous les trous. Je lui répondis que j’étais content que ça lui plaise, puis, encore pour le plaisir de faire un truc pervers, j’ai léché la pointe des seins de Florence en la regardant dans les yeux. Monique avait l’air de prendre du plaisir à me voir faire ça, j’étais content.

 

Lorsque Corentin a joui dans son cul, Monique a poussé un énorme cri de jouissance et s’est affalée sur le divan. Nous sommes restés là, tous les cinq, pendant quelques minutes, les uns sur les autres avant d’avoir la force de bouger, comme si le cri de Monique nous avait tous vidés de notre énergie. Marie-Laurence n’avait même pas la force de se lever pour pisser et se pissait allégrement dessus. Du coup Corentin sorti de sa torpeur et entrepris de lui lécher son ventre et ses cuisses trempées d’urine ! Quel cochon, ce Corentin. Puis nous nous sommes rhabillés et nous sommes partis. Dehors devant la boite, nous avons échangé numéros de téléphone et adresse. J’ai embrassé Florence et Marie-Laurence pendant que Corentin prenait Monique dans ses bras. Sur le chemin du retour, nous n’avons pas dit grand-chose, mais nous savions tous les deux le plaisir qu’avait pris l’autre, du plaisir pour le plaisir.

 

4 – Chez Marie-Laurence

 

Le mercredi suivant, Marie-Laurence vint manger à la maison, nous avons passé une bonne et chaude soirée et elle nous a invités chez elle pour son anniversaire le samedi suivant. Elle précisa, le sourire aux lèvres, que Florence et Corentin seraient là…

 

Le samedi, avant d’aller chez Marie-Laurence, nous sommes repassés rue Saint-Denis, effectivement, Monique avait une bonne idée de cadeau à acheter à son ami d’enfance, un double gode ceinture c’est à dire que de part et d’autre de la ceinture il y avait deux godes dont l’un pour pénétrer dans la chatte de la fille qui mettrait la ceinture. Lorsque nous sommes arrivés chez Marie-Laurence, Florence et Corentin étaient déjà là. Les filles avaient fait des efforts pour être sexy sans être vulgaires et étaient vraiment très belles. J’espérais que la soirée serait aussi sympa que la précédente. Nous avons pris l’apéro en discutant comme on le fait toujours dans ce genre de repas, rien ne laissait suggérer dans nos paroles ou dans nos gestes la séance de samedi dernier ou la partouze qui, je l’espérais, allait clôturer cette soirée-là.

 

Ce n’est qu’au dessert, après avoir bien bu, que les allusions salaces et les promesses lubriques sont apparues. Nous sommes passés au salon et Marie-Laurence a déballé ses cadeaux, la ceinture gode lui a manifestement fait plaisir, ainsi qu’à Florence qui voyait tout l’intérêt d’un ustensile de ce genre. Corentin et sa femme avaient jeté leur dévolu sur une série de sous-vêtements très excitants. Une guêpière blanche tout en dentelle, un soutien-gorge tout petit et un slip encore plus minuscule et enfin un body noir en dentelle, fendu entre les jambes et ouvert au niveau des seins de manière à ce qu’on puisse les atteindre sans être gêné. Corentin eut alors une idée lumineuse, il me regardait et dit :

 

– Viens, nous allons la préparer pour nos femmes…

 

Marie-Laurence nous a suivis jusque dans sa chambre. Nous l’avons déshabillée et caressée partout. Une fois nue, nous l’avons allongée sur le lit et pendant que je lui pétrissais et embrassais les seins, Corentin lui léchait la chatte, Marie-Laurence haletait, ondulant des hanches sous les coups de langue. Lorsqu’il s’arrêta, elle en voulait encore, mais la suite serait beaucoup plus… « orgasmique ». Nous lui avons passé le body, puis posé la ceinture, faisant bien attention que le petit bout lui entre bien au fond du minou.

 

Elle était magnifique, perchée sur des hauts talons, les seins sortant de la dentelle et une queue bien tendue entre les jambes. Nous sommes retournés au salon, Florence et Monique attendaient sagement notre retour en discutant. Elles se sont tues et Marie-Laurence a pris le commandement des opérations. Elle a ordonné à nos épouses de nous mettre à poil lentement. Ce qui fut fait de manière très sensuelle, j’ai pu remarquer que nous étions tous les deux très excités. Ensuite, sur ordre de Marie-Laurence, elles nous ont sucées. Puis nous avons dû les déshabiller et les lécher.

 

Marie-Laurence a ensuite voulu que les filles se mettent à quatre pattes sur le canapé et que nous les prenions lentement dans la chatte. J’ai enfilé ma queue dans le sexe de ma femme déjà tout chaud en regardant Florence sourire en sentant celle de son mari entrer en elle. Lentement, en suivant le même rythme, nous avons limé nos femmes, puis Marie-Laurence nous a ordonnés de nous asseoir, elle s’est mise derrière Florence et a rentré son sexe en elle. Florence grimaçait en sentant passer ce membre en plastique plus large et plus long qu’une queue humaine. Puis Marie-Laurence, en faisant une remarque sur l’utilité du gode lui rentrant dans la chatte pendant qu’elle baisait, a accéléré. Elle s’acharnait sur Florence de plus en plus vite en caressant le cul de ma femme. Elles gémissaient de plus en plus fort, Marie-Laurence enfourna un doigt dans la moule trempée de Monique qui semblait désirer aussi le gode. Un orgasme puissant arracha Florence à la queue de Marie-Laurence qui vint la planter dans Monique. Elles jouirent en même temps, s’affalant sur le canapé. Florence a enlevé la ceinture de Marie-Laurence et je l’ai aidée à se l’installer.

 

Puis elle s’est assise sur le canapé et a demandé à Marie-Laurence de venir s’installer dessus. Elle ne s’est pas fait prier, bien que ses mouvements soient lents et lourds après son orgasme. Elle s’est empalée dessus, Florence lui léchait les seins. Monique s’est emparée de ma queue et m’a conduit vers le cul de Marie-Laurence, puis plaçant mon gland sur son trou du cul serré m’a ordonné de l’enculer. Son trou était étroit, mais en y allant doucement, j’ai réussi à tout lui entrer. Marie-Laurence, la tête dans le cou de Florence étouffait des gémissements. Je sentais le gode dans sa chatte, à travers la fine paroi. Monique a ensuite attrapé Corentin et l’a conduit de l’autre côté du canapé, puis a demandé à Marie-Laurence d’emboucher sa queue bien tendue.

 

Une bite dans chaque trou, cette dernière a commencé à s’agiter, elle gémissait de plus en plus fort. Soudain, tout son corps s’est tendu, elle s’est cabrée dans un cri et est retombée sur Florence sans pouvoir bouger. Je n’avais jamais vu quelqu’un perdre connaissance d’avoir trop joui. Je l’ai portée sur un fauteuil à côté et j’ai fait signe à ma femme de s’installer. Elle ne s’est pas fait prier, mais j’ai eu du mal à lui entrer ma queue dans le cul tellement elle s’agitait sur le gode. Florence a posé ses mains sur ses fesses et les a écartées pour m’aider. Ma bite est entrée toute seule, d’un coup, Monique ne bougeait plus, elle semblait profiter de la situation. La bite de Corentin dans la bouche, la mienne dans le cul et un gode dans la chatte, elle gémissait et criait.

 

Corentin a joui le premier, déversant tout son foutre dans la bouche de ma femme qui embrassa ensuite Florence pour partager avec elle la semence de son mari. J’ai ensuite inondé les intestins de ma femme avec mon sperme et les deux filles ont joui quelques instants plus tard. Nous sommes restés longtemps sans bouger, puis Marie-Laurence s’est réveillée. Les filles l’ont emmenée dans la salle de bain. Corentin et moi nous nous doutions qu’elles allaient y faire des bêtises, Marie-Laurence pénétra la première dans la baignoire et resta debout, mais demanda aux deux autres filles de s’asseoir de part et d’autre d’elles. Puis elle se mit à pisser, aspergeant Monique et Florence d’une abondante douche dorée. Monique avait l’air très surprise, mais Florence en redemandait, recueillant même l’urine dans le creux de sa main pour la laper. Puis Marie-Laurence et Florence intervertirent leur position.

 

Corentin et moi bandions comme des cerfs, et je pensais à me jeter dans cette mêlée humide quand je sentis la main de Corentin se placer sur mon sexe chaud. Il m’invita à faire de même avec sa propre queue. Nous voici donc en train de nous branler mutuellement, moi qui traitais de pervers les deux mecs du cinéma qui faisait pareil l’autre jour ! Comme quoi il ne faut jamais dire fontaine ! Corentin se mit ensuite à genoux devant moi et se mit à me sucer, je me laissais faire, mais je n’étais pas au bout de mes surprises :

 

– Je veux que tu m’encules ! Me dit-il soudain !

 

Et sans attendre de réponse, il partit chercher un préservatif qu’il m’installa sur ma queue, il se pencha ensuite en avant et écarta ses fesses. Sans trop essayer de comprendre dans quoi je m’embarquais, je pénétrais assez facilement dans ce cul masculin que je labourais consciencieusement. C’est à ce moment-là que nos trois grâces (ou nos trois garces) sortirent de la douche et nous surprirent ! Monique faisait une drôle de bobine mais Florence prenait cela du bon côté !

 

– Regardez comme ils sont mignons !

 

Quand même, Monique n’arrivait pas encore à s’y faire !

 

– Faudra m’expliquer ! Tu as trois femmes à ta disposition, je ne suis pas jalouse, et il faut que tu aille enculer un mec ! Tu es devenu pédé ou quoi ?

– On fait bien des trucs entre nous, intervint Marie-Laurence, alors pourquoi, eux ils n’auraient pas le droit ?

– Ben oui, elle a raison, reprit Florence, regarde mon Corentin comme il apprécie, d’ailleurs je ne vois pas pourquoi le plaisir anal serait réservé aux femmes !

– Bon, bon ! Admit Monique !

 

Excité par l’étrangeté de la scène et par les encouragements des filles, je me mis à décharger dans le cul de Corentin qui ânonnait de plaisir. C’est alors que je vis Marie-Laurence s’harnacher à nouveau avec son gode ceinture et s’approcher subrepticement de moi !

 

– Hé ! Qu’est-ce que tu fabriques ? Lui demandais-je

– Je ne fabrique rien, je vais t’enculer !

– Alors, là certainement pas ! Protestais-je

– Allez les filles on l’attrape !

 

Je vis débouler alors Florence ce qui n’était pas une surprise mais aussi ma femme, ce qui en était une, aidées par Corentin ils m’immobilisèrent. Je ne luttais plus, puisqu’elles voulaient que je passe à la casserole, je me laissais faire et sentit bientôt le bout de caoutchouc du gode forcer mon petit trou, y pénétrer, et me limer !

 

Après un petit moment où je n’avais qu’une envie, c’est que ça finisse, je me mis à apprécier ce qu’elle me faisait et mon corps s’envahit de délicieuse vibrations

 

– Alors qu’est-ce que ça te fait ? Demanda Monique devenue curieuse.

– Ce n’est pas désagréable !

– Je continue ? Demanda l’antillaise

– Oui !

– Tu vois, tu es un enculé !

– Si tu veux !

Après cinq bonnes minutes de ce traitement, Marie-Laurence me retira le gode et se mit devant mes yeux ébahis à le lécher avec gourmandise.

 

– Ben quoi, il y a juste un peu de merde ! Ce n’est pas mauvais.

– Tu me fais goûter ? Demanda Florence.

 

Alors là, je sais que l’excitation aide parfois à briser les tabous, mais je ne pensais pas que ces deux belles gouines iraient jusque-là.

 

– Hum c’est bon ! Dommage il n’y avait pas grand-chose. Commente Marie-Laurence

– Attend ! Répond Florence en mouillant son doigt et en me l’introduisant dans le cul.

 

En le ressortant, elle le donne à sucer à l’antillaise qui s’en délecte comme s’il s’agissait d’un esquimau au chocolat.

 

– Tu en veux un peu ? Demande-t-elle à Monique.

– Non, non ce n’est pas mon trip.

– Embrasse-moi alors !

– Après ce que tu viens de faire ? Non, je ne suis pas prête pour ce genre de truc, un jour peut-être.

 

Elles eurent l’intelligence de ne pas insister.

 

– Vous faites ça souvent ? Demanda-t-elle néanmoins

– Souvent, non, mais ça nous est arrivé ! Répond Florence ! L’autre fois Marie-Laurence à chié devant nous, un bel étron, vraiment bien moulé, très joli, et je lui ai nettoyé le cul avec ma langue ! C’était génial !

 

Pourquoi est-ce que je bande en écoutant ces conneries, moi ?

 

Après tout cela on a tous pris une douche (une vraie) et on s’est rhabillés. Nous sommes partis après avoir invité nos joyeux complices le mois suivant à la maison.

 

5 – Poses photos

 

Après ce jour-là, nos ébats ont été grandement stimulés, nous parlions beaucoup pendant l’amour, et nous étions plus pervers et plus directs. Mais ce qui m’a vraiment étonné, c’est quand, deux semaines après, Monique est rentrée un soir et m’a montré une annonce. Un photographe cherchait des modèles pour faire des photos pornos rémunérées. Un Euro la photo, ce n’est pas beaucoup, mais les séances peuvent être amusantes. Monique, les yeux pleins d’envie demanda à ce que l’on réponde à cette annonce.

 

– Encore une séance de cul amusante, pensais-je,

 

Alors j’ai accepté à condition qu’elle s’occupe de tout. Elle s’est effectivement occupée de tout et le photographe vint trois jours plus tard. Vers 20 heures, j’allais ouvrir après son coup de sonnette et je découvrais une assez jeune femme, dans les 20 ans, brune typée et assez jolie avec un corps que je devinais parfait sous sa longue robe. Elle portait deux gros sacs de reporter et une valise en métal brillant.

 

– Bonjour, dit-elle, je m’appelle Rachida.

 

Je la détaillais un peu plus précisément.

 

– Bonjour, vous êtes le photographe ?

– Oui, pourquoi, je n’en ai pas l’air ? Répondit-elle en souriant.

 

Je la fis entrer d’un geste.

 

– Et bien… Disons que je m’attendais plus à voir apparaître un vieil homme à l’air vicieux et pas une jolie femme…

 

Elle rit et posa son matériel dans le salon, découvrant la pièce d’un regard intéressé. Monique arriva, aussi étonnée que moi de découvrir le sexe du photographe. Rachida nous expliqua qu’elle prenait beaucoup de plaisir à faire des photos d’ébats amoureux et qu’elle se servait de son métier pour vivre ses fantasmes. Elle nous inspecta brièvement, puis nous trouvant manifestement à son goût, elle déballa son matériel. Cela fait, elle accepta un café que Monique venait de préparer et nous expliqua notre rôle. Je devais tout d’abord aller mettre un pantalon en toile, une chemise et une veste. Monique devait s’habiller sexy avec une longue jupe, un chemisier et des escarpins, et porter en dessous des sous-vêtements blancs ou bleu bien affriolants. Le temps que nous allions nous changer, elle avait transformé le salon en studio.

 

Elle expliqua ensuite le scénario, je devais jouer un représentant en sous-vêtements, arriver à la maison avec une valise dans laquelle j’aurais mis des sous-vêtements. J’allais les faire essayer à Monique, ma cliente, puis lorsqu’elle verrait mon excitation, elle devrait la soulager… Nous fîmes une photo de moi à l’entrée de la maison, ma valise à la main. Puis une autre ou je déballais des culottes et des soutien-gorge à Monique, qui devait rougir en les voyant. Après cinq ou six photos d’approche, elle me fit signe de venir près d’elle. Tout en expliquant la prochaine photo, elle descendit ma braguette et sortit ma queue. Je voyais sa main caresser mon sexe et il ne mit pas beaucoup de temps à prendre une épaisseur très correcte. Elle le rangea dans mon pantalon avec un sourire et me dit de m’asseoir, les jambes un peu écartées de manière à ce que l’on voie ma bite sous le tissu fin du pantalon.

 

Monique dut ensuite poser sa main sur la bosse de mon pantalon. Clic.

 

Puis sortir ma bite par la braguette. Clic.

 

Puis la prendre dans sa bouche. Clic.

 

Passer sa langue sur la longueur. Clic. Clic.

 

Et ensuite enlever ma ceinture et baisser mon pantalon. Clic.

 

La pipe dura un bon moment le temps que Rachida trouve à chaque fois une bonne position pour prendre la photo. Pendant qu’elle se déplaçait, je la voyais souvent passer sa main sur son entrejambe. Lorsque je fus nu, elle nous fit prendre une pose, enlacés, Monique contre la table en chêne de la salle à manger. Puis allongée, la jupe relevée jusqu’à la taille. Clic

 

Ma bouche sur le tissu blanc de son string. Clic

 

Le string enlevé dans la même position. Clic

 

Ma langue sur sa chatte. Clic.

 

Monique était très excitée. Je lui entrais un doigt tout en goûtant son clitoris. Clic. Clic.

 

Je la léchais avec le plat de la langue. Clic.

 

J’entrais le bout de ma langue dans sa chatte et commençait à espérer de pouvoir la baiser. Elle nous fit arrêter, Monique devait me pousser vers le canapé et se déshabiller complètement puis venir se fourrer ma queue dans la chatte. Clic. Clic. Clic.

 

Elle était accroupie sur ma queue, bougeant le cul pour bien se la mettre au fond. Clic. Clic.

 

Rachida était le plus près possible du cul de ma femme, je sentais sa présence entre mes jambes. Clic

 

J’ai pris les fesses de Monique et les ai écartées pour ne rien cacher à l’appareil. Clic

 

Elle m’a dit de lécher les seins de ma femme. Clic.

 

Puis elle a demandé à ma femme de se retourner. Clic.

 

Monique, empalée sur ma bite me tournait le dos. Clic.

 

Gémissant, elle allait de plus en plus fort. Clic.

 

Rachida lui a demandé de se toucher la chatte pendant que ma queue la fouillait. Clic. Clic.

 

Puis elle a demandé à ma femme si elle voulait bien se faire enculer, cette dernière ne s’est pas fait prier. Elle s’est levée puis rassise lentement, je tenais ma queue pour qu’elle lui entre dans le cul. Clic

 

Les jambes bien relevées pour tout montrer à l’appareil, Monique était assise sur moi, ma bite au plus profond dans son petit trou. Clic. Clic. Clic.

 

Voyant que je n’y tenais plus, Rachida m’a demandé d’éjaculer sur les seins de ma femme. Clic

 

Nous nous sommes mis en position. Clic

 

– J’adore voir du sperme sur les seins a-t-elle dit. Clic

 

J’ai éjaculé. Clic.

 

Lui inondant la gorge. Clic.

 

La vallée entre ses mamelons tout durs. Clic.

 

Le bout des seins. Clic.

 

Rachida était maintenant tout près de nous, après un dernier clic, elle a étalé mon foutre sur la poitrine de ma femme, la caressant avec le sperme. Puis se levant et nous tournant le dos, je vis qu’elle léchait sa main comme une gourmande qui s’est mise du chocolat plein les doigts. Nous nous sommes rhabillés, elle semblait contente de la séance. Elle nous a remercié chaleureusement, puis est partie en nous promettant de revenir la semaine suivante nous montrer les photos et nous payer.

 

6 – Séance de projection

 

Pour la séance de projection, nous avions invités Corentin, Florence et Marie-Laurence. Lorsque Rachida est arrivée, elle a eu l’air surpris de voir tant de monde et n’a pas osé nous parler des photos. Monique l’a emmenée à l’écart et lui a expliqué que nous n’avions plus rien à cacher à nos trois amis. Rachida a allumé son ordinateur portable et a commencé à faire défiler les photos en diaporama. A la photo où Monique me caresse la queue, je me suis penché vers Rachida et je lui ai susurré à l’oreille :

 

– Ça recommence… Tu peux peut-être faire quelque chose pour moi ?

 

J’ai attrapé sa main et je l’ai glissé vers ma braguette qu’elle a ouverte. Tout en passant les photos, elle m’a branlé la queue. Vers la fin de la séance, j’allais bientôt jouir, elle s’est baissée et a reçu mon foutre dans la bouche… Ensuite, nous avons rallumé la lumière, Rachida arborait un grand sourire, et les autres filles qui n’avaient pas manqué notre manège avaient l’air contentes aussi. Elles se sont mises à questionner Rachida sur ses habitudes sexuelles. Les questions étaient si crues qu’elle rougissait, mais elle a tout de même répondu. Elle nous a ainsi avoué qu’elle aimait parfois être dominée. Vers onze heures, Marie-Laurence lui a ordonné d’un ton très dur :

 

– Met toi à poil, on va voir comment tu es faite et si une nouvelle comme toi supporte des trucs de grande…

 

Rachida s’est exécutée. Les trois filles se sont prises au jeu.

 

– Mais c’est qu’elle est pas mal foutue finalement !

 

Elles l’ont examiné comme du bétail.

 

– Pas très poilue… Tu t’épile ?… Réponds quand on te parle !

– Oui…

 

Même Monique arrivait à garder son calme et à avoir l’air méchant. Corentin et moi nous sommes servis un verre et avons regardé le spectacle. Rachida, nue, devant trois femmes plus âgées de dix ou quinze ans avait vraiment l’air d’une très jeune fille. Le visage rouge mais les seins durcis, elle devait être excitée aussi. Elles recommencèrent les questions :

 

– T’aime sucer des bites ? Te branler ? Avaler le sperme ? Te faire baiser ? T’as déjà léché une chatte ?

 

Rachida regardait ses pieds et répondait à l’affirmative.

 

– T’es une jeune salope ?

– Oui !

– Tu fais ça pour le plaisir ou pour l’argent ?

– Pour le plaisir, amis si on me donne de l’argent je ne le refuse pas..

– T’as déjà baisé avec plusieurs personnes ?

– Oui !

– Et tu voudrais le refaire ?

– Oui !

 

Les filles étaient déchaînées, les questions fusaient, Rachida rougissait encore.

 

– On t’a déjà attachée ?

– Non ! Et je ne veux pas qu’on me le fasse.

– On t’a déjà pissé dessus ?

– Ben oui !

– Et caca ?

– Oui, une fois !

– Tu t’es déjà fait enculer ?

– Bien sûr !.

– Tu voudrais, maintenant ?

– Oui.

– Va voir les mecs et supplie-les de t’enculer !

 

Elle s’est approchée de nous et nous a timidement demandé de l’enculer. Nous nous sommes regardés.

 

– Pas ce soir, a répondu Corentin.

– Je vous en prie, je voudrais me faire enculer, j’en ai envie…

 

Rachida s’est mise à genoux.

 

– Si t’es gentille ce soir, on t’enculera la prochaine fois…

 

Finalement ce jeu m’amusait aussi…

 

– Je veux bien être gentille…

 

Elle se prenait aussi au jeu. Les filles sont venues la relever. Puis se sont déshabillées, Marie-Laurence a fait signe à Florence et Monique de s’asseoir près de nous et s’est elle-même assise sur le fauteuil en face du canapé. Elle a écarté les jambes et a tendu la main vers Rachida qui s’est approchée et s’est agenouillée entre ses jambes. Puis elle a penché la tête vers la chatte offerte. De l’endroit où j’étais assis, je voyais la tête de Rachida bouger entre les jambes de Marie-Laurence et son cul bien fait. Marie-Laurence a été longue à jouir, mais la jeune femme ne s’est pas plainte, elle a léché jusqu’à ce que Marie-Laurence explose sur sa langue. Puis Marie-Laurence s’est levée et Florence l’a remplacée. Rachida a continué à lécher jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour, et enfin, Monique est allée s’asseoir sur le fauteuil. Et Rachida l’a amenée à la jouissance avec sa langue et ses doigts.

 

Elle a dû lécher sans s’arrêter pendant plus d’une heure ! Corentin l’a fait asseoir sur le fauteuil et l’a léché à son tour jusqu’à ce qu’elle jouisse, mais ça n’a pas été trop long. Ensuite les filles l’ont emmenée prendre une douche, et comme la dernière fois Corentin et moi nous avons maté, nous régalant, la bite tendue, de la douche dorée que les trois filles infligèrent à la mignonne petite beurette. Cette fois ci c’est moi qui pris l’initiative de branler la belle queue de Corentin et de la prendre dans la bouche. J’aurais bien voulu qu’il m’encule, cette expérience me manquait, mais je suis timide je n’ai pas osé lui demander.

 

7 – Week-end en bord de la mer

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Après cette soirée, nous n’avons pas revu nos amis pendant deux mois. Les impératifs de chacun nous ont empêchés de nous réunir. Mais nous nous appelions régulièrement et nous avons fini par combiner un week-end dans une maison au bord de la mer. Nous devions nous rejoindre là-bas le vendredi soir. Marie-Laurence qui s’était occupée de tout avait même réussi à joindre Rachida. C’était une belle maison des Côtes d’Armor en Bretagne. Nous sommes arrivés juste après Marie-Laurence. Florence. Rachida et Corentin arriveraient un peu plus tard. Le temps n’était pas beau et la mer déchaînée, nous avons fait un feu dans la cheminée et préparé à manger.

 

Lorsque les trois derniers sont arrivés, Rachida avait l’air plus sûre d’elle, un peu comme si elle était maintenant intégrée dans le groupe. Il faut dire qu’après de coup de la dernière fois, il ne pouvait plus lui arriver grand-chose. Après le repas, Corentin et moi avons fait la vaisselle. Les filles avaient exigé que nous la fassions déguisés en femmes. Elles nous ont alors maquillés le visage, rouge à lèvres et fard à paupières compris, puis elles nous ont fait mettre à poil et habillé d’un simple tablier. Cela les a distraits quelques minutes, puis elles nous laissèrent. On s’est alors amusé en se passant les plats à se frôler bite contre fesses et nous n’avons pas tardé à bander sérieusement. C’est Corentin qui craqua le premier, et jetant le tablier me tendit sa bite en me demandant de la sucer. Je pris son beau sexe dans ma bouche et lui suçais tout, le gland, les couilles, la verge, en me régalant de cette texture si douce. Comme il voulait me sucer aussi, on s’est étalé sur le carrelage un peu froid de la cuisine et nous avons fait un soixante-neuf. Je m’apprêtais à demander à Corentin de m’enculer mais nous avons été interrompus par l’arrivé des femmes :

 

– Encore s’écria Marie-Laurence ! Tout à l’heure vous nous ferez un petit spectacle mais en attendant il y a du boulot.

 

Les quatre femmes avaient décidé que nous dormirions tous dans le salon. Nous avons donc descendu tous les matelas de la maison après nous être assurés que nous serions récompensés de nos efforts. Puis Rachida a sorti deux grosses valises desquelles elle a sorti quatre caméras. Je crois qu’elle était de mèche avec Marie-Laurence pour préparer ce coup-là. Elle a embauché Corentin pour les installer, chacune dans un coin de la pièce et nous a expliquée qu’elle ferait un montage des meilleurs moments de ce séjour.

 

Lorsqu’ils eurent fini, elle sortit encore une surprise de sa valise : ses meilleures photos sur son ordi… Nous nous sommes installés confortablement, mais pendant le diaporama, personne n’a osé prendre l’initiative. Certaines de ses photos étaient très réussies. Toutes montraient un couple faisant l’amour, dans toutes les positions, sous toutes les coutures. A un Euro la photo, il y en avait pour une petite fortune…

 

Après ce hors d’œuvre, ma foi très appétissant, Corentin et moi avons proposé aux filles de faire un concours de strip-tease où nous ferions office de jury. Ces effeuillages nous ont tous excités et après que la dernière soit passée, elles se sont toutes jetées sur nous. Florence et Rachida se sont précipitées sur moi, laissant Corentin à Marie-Laurence et Monique. Elles m’ont allongé et Rachida s’est assise sur mon visage et avant que j’aie pu commencer quoique ce soit, elle s’est mise à me pisser abondamment dessus. Je fus d’abord surpris puis me laissais prendre au jeu en avalant de larges goulées de ce bien curieux breuvage.

 

– C’est Florence qui m’a demandé de te pisser dessus, elle est tellement gentille que je n’ai pas osé refuser !

 

Une fois son pipi terminé, j’ai commencé à donner des coups de langues à sa chatte qu’elle tenait ouverte avec une main, et j’ai senti Florence enfourner ma queue. Rachida s’est penchée pour la rejoindre et elles se sont partagé mon bâton. Le jus de Rachida me coulait dans la bouche, je caressais ses fesses dures et douces.

 

A côté de moi, Marie-Laurence et Corentin se partageaient la moule de ma femme, donnant chacun son tour un coup de langue sur son petit bouton. Puis ils ont échangé, je regardais ma femme lécher une autre femme et j’ai failli avoir un orgasme juste en pensant à ce concept. Florence et Rachida avaient délaissé ma queue pour se fourrer la langue dans la bouche, je me suis dégagé et j’ai forcé Rachida à s’allonger. Puis, mettant un doigt dans son trou humide, j’ai fait signe à Florence de goûter ce nectar. Des halètements commençaient à se faire entendre. Du jus de femme me coulait sur la main, j’ai fait coulisser mon doigt dans son minou, puis je l’ai présenté devant les lèvres de Florence qui l’a enfourné en soupirant de plaisir. Rachida a attiré mon attention et m’a dit qu’elle voulait sentir ma bite. Je me suis installé entre ses jambes, Florence a attrapé mon sexe tendu et l’a posé à l’entrée de la chatte de Rachida, puis elle a imprimé un mouvement lent et ample à mes reins. Ma queue est entrée lentement et facilement dans ses chairs.

 

A côté, il se passait quelque chose de bizarre, Monique avait passé le gode-ceinture et baisait Marie-Laurence par-dessous pendant que Corentin lui bouffait le petit trou à grands coups de langue. J’ai eu envie d’enculer cette petite salope de Rachida, je me suis retiré d’elle et je lui ai dit de se retourner. Elle l’a fait, mais ses yeux montraient bien qu’elle n’était pas rassurée. Florence s’est allongée sous elle et s’est mise à lui parler pour la rassurer, puis elle a écarté ses fesses avec ses mains. Plongeant une dernière fois ma queue dans sa moule pour bien la lubrifier, j’ai posé mon gland sur la rosace de son petit trou.

 

Lentement, très lentement, je l’ai pénétrée. Son trou du cul m’opposait une certaine résistance, mais je savais que j’y arriverais. Deux ou trois fois, Rachida s’est raidie, mais j’ai continué, et lorsque tout mon sexe fut entré dans son rectum elle poussa un soupir de soulagement. Les autres s’étaient arrêtés pour assister au spectacle. Les trois filles murmuraient des encouragements à Rachida. Je suis ressorti pour y retourner tout aussi lentement. C’est une baiseuse née, son cul s’est tout de suite habitué à ma queue et j’ai pu accélérer. Elle raidissait les cuisses pour que je puisse entrer le plus profond possible. Du coin de l’œil, j’ai vu ma femme la regarder avec envie. Marie-Laurence s’est mise à sucer Corentin qui l’a repoussée pour proposer sa bite à Rachida. Il se faisait sucer par Rachida, les yeux fermés et Florence lui léchait les couilles. Monique s’est occupée de Marie-Laurence.

 

J’ai continué à défoncer le cul de ma petite salope. Elle haletait, étouffée par le mandrin de Corentin, mais elle avait l’air d’aimer ça. J’ai encore accéléré, elle répondait maintenant à mes coups de boutoir en lançant son cul vers moi, en rythme. J’ai vu Corentin jouir, sûrement dans sa bouche, et elle a joui à son tour, poussant de grands cris. Je sentais son anus me serrer de plus en plus fort. J’ai joui aussi, je lui ai inondé l’intestin. Après moi, Marie-Laurence est arrivée aussi à l’orgasme sous la langue de ma femme. Je me suis allongé sur Rachida, la queue toujours à l’intérieur et je me suis endormi. Lorsque je me suis réveillé, j’étais toujours sur Rachida qui dormait, Marie-Laurence dormait dans les bras de Corentin, mais Monique et Florence n’étaient plus là. J’ai embrassé Rachida qui s’est réveillée. Elle s’est levée pour prendre une douche et je l’ai accompagnée.

 

Le lendemain matin, les quatre filles se faisaient bronzer à poil dans des chaises longues

 

Joli spectacle que ces quatre belles femmes les jambes écartées, la chatte à l’air, toutes différentes, Rachida la beurette, Florence la blondinette… Marie Laurence sans se préoccuper des autres commençait à se frotter la chatte de sa main droite tandis que sa main gauche pinçait son gros téton.

 

Et voilà que le labrador du voisin, probablement passé par un trou du grillage se radine et se pavane devant ses dames en agitant sa queue.

 

Il s’approche de Marie Laurence qui tend la main pour l’éloigner. Mais le chien ne comprend pas le geste, prend ça pour une invite et lèche la main de la grande brune qui se laisse faire. Faut dire que sa main était pleine de mouille. Sauf qu’au bout d’un moment il n’y a plus rien à lécher, le chien se déplace alors légèrement et approche sa truffe de la chatte la femme !

 

– Mais qu’est-ce que tu nous fais ! Sale bête !

– Laisse le il ne va pas te manger ! intervient Marie-Laurence !

– Mais il veut me lécher la chatte !

– Et ben laisse toi faire tu n’en mourras pas !

– Quelle langue il a ! Je me fais lécher par un chien, je suis vraiment une salope !

 

Florence se pâme de plaisir sous la langue du chien, Marie Laurence veut essayer à son tour et s’approche du chien, mais ma femme lui brille la politesse et offre sa chatte à lécher au toutou..

 

– Vous avez-vu comme il bande ! S’exclame Marie Laurence

– Et alors ? Répond Florence, tu ne vas tout de même pas le sucer ?

– Si, j’essaierais bien.

 

Le chien s’est retrouvé sur le côté, Marie-Laurence reprend son souffle et commence à sucer la bite du chien. Elles sont trois autour de la bête, Rachida ne voulant pas se sentir larguée arrive à son tour et participe à l’orgie.

 

Le chien finit par éjaculer, puis s’en va peinard regagner son territoire.

 

– Dommage ! Dit Florence, je me serais bien fait sauter !

– Par le chien !

– Ben oui ! En attendant je vais faire caca, tu viens ?

– T’as besoin de moi ?

– Oui, il y a longtemps que tu ne m’as pas nettoyé le cul après mon caca.

– Alors j’arrive !

 

Florence s'est éloigné d'une dizaine de mètres et s'est accroupie, chiant un joli colombin sur la pelouse.


- Alors ? demande-t-elle.

- C'est un joli boudin !


Complètement excitée, Marie-Laurence le ramasse, l'approche de sa bouche et d'un air de défi lui donne un rapide coup de langue.


- T'es vraiment une salope !

- A ton tour de lécher.

 

- Si tu crois que je vais me dégonfler ! Répondit Florence en imitant le geste de sa copine.

 

Nous avons passé tout le week-end à baiser comme des fous. Les quatre salopes en demandaient toujours plus. Rachida a pris beaucoup de photos. Je suis rentré très fatigué…

 

8 – Activités professionnelles

 

– J’aime bien ton histoire, qu’il me dit le Marcel

– Ça t’excite ? Hein ! Obsédé !

– Non, ce n’est pas ça ! Mais ce que tu racontes c’est sain, je veux dire tout le monde est d’accord, ce que je n’aime pas c’est les histoires où il y a de la contrainte, mais toi c’est pas ton genre !

– Tu sais, je ne suis pas un saint !

– Il n’y a pas de saint, mais pourquoi tu dis ça ?

– Parce que justement une fois, et c’est un peu la suite de cette histoire, j’ai baisé une femme par la contrainte, je n’en suis pas fier du tout, mais bon je me suis rattrapé après, enfin c’est ce que je me dis pour me donner bonne conscience !

– Raconte !

– Je t’ai dit que j’en étais pas fier !

– Faute avouée est à demi pardonné, et j’ai l’impression que tu n’es pas si méchant que ça !

 

Ça s’est passé la semaine suivante, au boulot. Le Directeur n’étant pas là, je le remplaçais pour un entretien d’embauche avec un informaticien, je ne savais pas qu’il aurait de si jolies jambes cet informaticien… Cette très jolie jeune femme se prénommait Li-Anne. Elle était métissée asiatique avec les yeux en amande et un corps élancé. Elle portait un tailleur clair, un chemisier et des petites chaussures à talons. Elle était vraiment très bien faite et je dois dire que ses grands cheveux raides et ses lunettes m’attiraient encore plus. Nous avons discuté du poste et de son CV, mais au bout d’un moment, je me suis lancé :

 

– Vous savez que vous n’êtes pas la seule personne que je vais rencontrer cette semaine pour ce poste ?

– Oui, j’imagine qu’il est très demandé…

 

Elle me regardait un peu étonnée

 

– Et pourtant, vous me plaisez, vous êtes jolie !

 

Elle rougit, j’enfonçais le clou :

 

– Et vous avez l’air de savoir ce que vous valez…

 

Je laissais ma phrase se terminer en la fixant. Elle prit l’air de quelqu’un qui vient de faire un choix crucial et me répondit :

 

– Je suis prête à tout pour ce poste, j’en ai besoin !

– Vraiment tout ?… Vous êtes mariée ?

 

Ce que je fis me déplus, j’abusais de ma position et ma question l’assomma, elle venait de vraiment réaliser où je voulais en venir. Je faillis revenir en arrière, mais je ne fis pas et elle me balbutia un « oui » peu convaincu. Je ne pus m’empêcher de relancer :

 

– Vous ne portez pas d’alliance pourtant…

 

Elle ne savait plus quoi répondre, et comme un salaud je profitais de la faiblesse de ma proie :

 

– Mais si vous promettez d’être gentille, je crois que je pourrais vous avoir ce poste.

– C’est dégueulasse ce que vous faites !

 

Elle pleurait presque.

 

– Je ne vous force pas ! Vous êtes libre ! Vous n’êtes pas obligée ! Et si vous ne faites rien vous aurez peut-être ce poste quand même, mais disons que vous aurez plus de chances si vous êtes coopérative…

 

Elle ne répondait pas, j’ai fait le tour du bureau et je me suis accroupi devant elle. Elle m’a regardé. J’ai posé mes mains sur ses genoux, que j’ai un peu écartés.

 

– Vous aimez bien ça, non ?

 

Elle ne répondit toujours pas, mais elle me fit un sourire que je pris pour un encouragement, et alors que je ne m’y attendais absolument pas, je reçus une superbe baffe en pleine poire. Et avant que j’ai pu réagir j’en reçu une deuxième. Alors elle se leva, et se dirigea vers la sortie !

 

– Revenez, vous avez le poste ! Lui criais-je

 

Elle stoppa sa course :

 

– Non ? Vous plaisantez !

– Pas du tout, je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris, je crois que je ferais n’importe quoi pour me faire pardonner !

– Bon, alors d’accord, je suis d’accord pour oublier cet épisode.

– D’accord !

– Remarquez, j’ai failli me laisser faire !

– N’en parlons plus !

– On en parlera plus, mais pour l’instant j’ai envie de parler… Je voulais ce boulot à tout prix, même à celui-là, et puis j’ai réalisé que si je disais « oui » une fois, ça n’arrêterait plus !

– Je ne peux même pas vous dire que vous avez tort… parfois on ne sait pas comment on réagit !

– Ne culpabilisez pas, je suis aussi salope que vous, puisque j’ai envisagé de céder !

– Et maintenant que vous êtes embauché, que nous savons que nous pouvons être abjects tous les deux, puisque nous avons su nous arrêter à temps, si nous faisions l’amour comme ça, pour rien, juste pour le plaisir ?

– Vous êtes complètement fou !

– Je sais, laissez tomber !

– Non, revenez près de moi !

 

De nouveau, je me suis accroupi devant elle. Elle m’a regardé. J’ai posé mes mains sur ses genoux, que j’ai un peu écartés. Et d’elle-même, elle les écarta un peu plus.

 

– Ça se voit que tu aimes ça !

 

Nous nous sommes embrassés, mes mains sont passées dans la veste de son tailleur et je le lui ai enlevé. Elle s’est levée pour se coller contre moi. J’ai enlevé aussi sa jupe et son chemisier, il ne lui restait plus qu’un tout petit slip qui lui entrait dans la raie des fesses et un soutien-gorge qui maintenait ses petits seins en poire. Je l’ai écartée et j’ai ouvert mon pantalon, sortant ma queue. Puis, la tenant par les épaules, je l’ai forcée à plier les genoux

 

– Je suis sûr que tu aimes ça aussi, avoir une bite dans la bouche !

 

Pour seule réponse, elle a englouti mon sexe, serrant bien ses lèvres sur le manche. Elle le prenait bien au fond, jusqu’à sa gorge et, ses mains libres, enleva mon pantalon et mon caleçon. Elle me pompait le dard d’une manière très franche, caressant mes couilles d’une main et sa chatte de l’autre. Sa langue passait dessus, dessous, sur tout le long. Lorsque j’en ai eu assez, je l’ai relevée et elle s’est penchée sur mon bureau.

 

– Mets la moi bien au fond…

– Depuis que j’ai rencontré ma première bite, j’ai toujours aimé ça

 

Je lui enfournai ma bite dans sa moule bien lubrifiée. Son minou était serré, mais habitué à se faire pilonner. Je l’ai attrapé par les hanches et j’ai accéléré. Ses halètements se mêlaient aux bruits de succion de sa chatte. Elle m’encourageait, me disait que ma bite lui faisait du bien et que finalement je ne devais pas être si méchant que ça, qu’elle était contente de son choix. De mes mains, j’ai écarté ses fesses et j’ai caressé son anus d’un doigt. Elle répondait maintenant par des coups de reins, engloutissant ma queue le plus possible. Je sentais qu’elle allait venir, son vagin se resserrait par à-coups sur ma bite. J’ai accéléré encore et, au moment de sa jouissance, j’ai enfoncé le majeur sans ménagement dans son cul, elle a crié encore plus fort. J’ai tout de suite giclé au fond de sa chatte, crispé contre le bureau. Nous avons repris notre souffle et nous sommes rhabillés, puis nous avons rempli les formulaires d’embauche. Au moment de la raccompagner, nous nous sommes embrassés et je lui ai donné ma carte de visite. Elle m’a alors confirmé qu’elle était célibataire, expliqué qu’elle était dans un hôtel (elle vient de province) et je lui ai proposé de l’héberger jusqu’à ce qu’elle trouve un appartement.

 

9 – Hébergement

 

Li-Anne a accepté ma proposition et nous sommes partis tous les deux dans ma voiture vers son hôtel où nous avons refait l’amour, puis à la maison. En chemin, je lui dis que j’étais marié, elle m’a regardé comme si j’étais un mutant et j’ai fini par lui dire qu’elle serait bien à la maison. Arrivés là-bas, Monique nous a ouvert avec un grand sourire.

 

– Bonjour ma chérie, je te présente Li-Anne, qui est nouvelle au boulot et à qui j’ai proposé d’habiter un peu à la maison.

 

Monique a continué à sourire, a salué Li-Anne mais n’a rien répondu. Une fois installés au salon, je leur ai servi un verre. Puis après un petit moment de silence, Monique a regardé Li-Anne dans les yeux et m’a demandé à brûle pourpoint :

 

– Elle suce bien ?

 

Li-Anne a rougit fortement, baissant les yeux. Voyant la lueur amusée dans les yeux de ma femme, j’ai répondu :

 

– Divinement… Li-Anne ma chère, veux-tu lui montrer ta technique ?

 

Elle m’a regardé encore plus étonnée. Monique s’est levée et est venue me déboutonner le pantalon. Puis, une fois ma bite sortie, elle a regardé Li-Anne qui ne savait vraiment plus à quel saint se vouer. Finalement, elle s’est penchée vers ma queue et, sous le regard inquisiteur de ma femme, elle a embouché ma bite encore molle et l’a amenée à une fermeté plus convenable. Monique lui souriait et s’est mise à lui caresser les cheveux.

 

– Ne t’inquiète pas ma belle, si tu es ici c’est que tu aimes ça, mais nous n’abusons pas… Nous partageons les plaisirs du corps avec ceux qui aiment.

 

Li-Anne a relevé la tête, lui a souri et s’est remise à son noble ouvrage : me tailler une pipe. C’est alors que le téléphone s’est mis à sonner. J’ai répondu. Lorsque j’ai eu raccroché, j’ai expliqué à Monique :

 

– C’est Rachida, son frère est tombé sur le film du week-end en Bretagne et l’a mise dehors dans une fureur noire, je vais la chercher… Li-Anne, tu vas avoir une copine de chambre.

 

Je me suis levé sans la laisser finir. J’ai vu dans les yeux de ma femme qu’elle prendrait bien ma place, mais je ne suis pas resté pour vérifier, j’ai sauté dans la voiture pour aller chercher Rachida. Celle-ci était en pleurs en bas de son immeuble, toutes ses affaires à côté d’elle. J’ai tout mis dans le coffre et je l’ai ramenée à la maison. Elle pleurait :

 

– Il a regardé la vidéo de Bretagne… Il est tombé juste au moment où vous m’avez prise tous les deux, toi et Corentin… Ça l’a mis dans une fureur dingue, il m’a crié qu’il n’y aurait pas de pute sous son toit et m’a dit de partir. Alors il est allé dans ma chambre et a jeté mes affaires dans le couloir. Juste mes vêtements, il a gardé mon ordi…

 

– Encore un hypocrite, ce mec ! On va t’accueillir à la maison tant que tu en auras besoin, ne t’inquiète pas.

 

J’ai fait ce que j’ai pu pour la consoler. Lorsque nous sommes arrivés, elle était calmée et il faisait nuit. Li-Anne et Monique étaient devant la télé, pleurant comme des bêtasses devant un film triste… Je leur ai laissé Rachida et j’ai débarqué ses affaires directement dans la chambre qu’elle allait partager avec Li-Anne. Quand j’ai eu fini, ça allait mieux, Li-Anne et Rachida avaient fait connaissance. Monique était en train de leur raconter le jour où elle s’était fait virer de chez elle et où je l’avais recueillie.

 

Le lendemain, je travaillais et je ne les ai revues toutes les trois que dans la soirée. Elles avaient l’air de bien s’entendre et de s’amuser. Je les ai emmenées au cinéma et au restaurant. Arrivés à la maison, nous avons pris un thé et Li-Anne (qui n’avait peut-être pas encore tout compris) a demandé ce qu’il avait de spécial ce week-end en Bretagne. Rachida a éclaté de rire lui a montré la copie du film sur son téléphone. Nous nous sommes installés devant la télé. Le début de la vidéo ressemblait à n’importe quel film souvenir, mais lorsque l’image est passée sur tout le monde en train de baiser, j’ai vu Li-Anne rougir. Mais lorsqu’elle a vu à l’image Rachida brouter la chatte de Florence, j’ai cru qu’elle allait partir en courant. Les filles l’avaient vu aussi, Monique s’est levée et est venue derrière elle pour lui masser les épaules, Rachida qui était assise à côté d’elle a posé la main sur sa cuisse.

 

Li-Anne avait l’air ne pas arriver à détacher son regard de la télé où l’on voyait maintenant Monique sucer Corentin. J’ai accéléré la bande jusqu’à ce que la caméra revienne sur Rachida qui, cette fois, léchait Marie-Laurence en mettant un doigt dans sa chatte. La main de Rachida pelotait maintenant les seins de Li-Anne, se faufilant sous son Tee-shirt. Monique lui caressait les épaules et le cou. Ses mains sont venues remplacer celles de Rachida qui sont descendues vers les cuisses de Li-Anne. Elles l’ont déshabillé et se sont déshabillées. Li-Anne ne réagissait pas, elle regardait le film que je veillais à laisser sur des scènes de sexe. Monique m’a demandé d’éteindre la télé et elles ont fait allonger Li-Anne. Puis elles se sont penchées toutes les deux sur elle, dévorant son corps avec la langue.

 

Je me suis mis nu aussi et j’ai commencé à me branler devant ce spectacle. Rachida est passée entre ses jambes et s’est penchée vers son sexe à peine velu. Lorsqu’elle a posé sa bouche dessus, Li-Anne a repris vie, lui a attrapé les cheveux et a essayé de l’en empêcher. Je me suis levé et j’ai pris ses mains dans les miennes. Rachida a repris son avance vers l’entrejambe de Li-Anne qui me souriait. Monique léchait ses seins, promenant ses mains sur tout son corps. Lorsque Rachida a posé le bout de sa langue sur le clitoris de Li-Anne, elle a cessé de se débattre et s’est mise à en demander plus. Elle voulait que Rachida la baise avec sa langue, que Monique lui titille encore le bout des seins et elle voulait ma queue. Je la lui ai présentée près de ses lèvres et elle l’a engloutie. Monique et Rachida ont continué un peu, puis Rachida s’est allongée à côté et Monique a pris le bras de Li-Anne pour l’installer entre ses jambes. Elle s’est penchée vers le petit minou bien épilé de la beurette et regardait d’un air très intéressé les chairs roses et le trou béant et mouillé. Elle a posé un doigt et l’a fait entrer, Monique s’est installée à côté et a approché son visage du sien. Li-Anne n’osait plus bouger, Monique a passé sa langue sur ses lèvres qui se sont ouvertes et leurs langues se sont mélangées.

 

Enfin, Li-Anne a posé timidement le bout de sa langue sur la chatte de Rachida, Monique la caressait. Moi, voir cette jeune femme à genoux en train d’en lécher une autre, ça m’a donné une idée perverse. Je me suis installé derrière elle. Je lui ai écarté les fesses et j’ai posé ma langue sur son petit trou bien fermé. Monique est allée s’asseoir sur la bouche de Rachida que Li-Anne léchait avec entrain. Maintenant, les trois filles gémissaient, je me suis relevé et j’ai posé ma queue contre le trou de Li-Anne. Comme je l’avais fait pour Rachida quelques semaines avant, je l’ai enculée, doucement, lentement. Elle a été prise de panique, mais Rachida l’a tenue par les cheveux pour qu’elle continue à la lécher. Je n’ai pas mis longtemps à tout lui rentrer, elle avait l’air d’apprécier. J’ai commencé à lui ramoner le cul de plus en plus vite et j’ai joui assez rapidement. Li-Anne a eu juste après moi un orgasme ravageur, puis Rachida s’est mise à crier et enfin Monique, sous la langue maintenant experte de la petite beurette.

 

Ce soir-là, nous nous sommes tous retrouvés dans le même lit et je me doutais que Li-Anne et Rachida allaient devenir un couple à part entière dans nos ébats en groupe.

 

10 – La Maman de Florence

 

Corentin m’avait demandé de lui rapporter sa ponceuse, j’avais complètement oublié, il m’envoie un SMS en me précisant que ça urge, j’essaie de le joindre, lui ou Florence, mais leurs portables sont tout le temps occupés. Quels bavards ! Tant pis je me pointe !

 

Florence et Corentin m’accueillent avec le sourire et ils me présentent une jolie femme, très classe, très bourgeoise, dans les cinquante ans.

 

– Voici Micheline, ma maman, me précise ! Florence.

 

Je tends la main, mais la nana veut absolument me faire la bise. Pas de soucis, le bisou est chaste, mais la peau est douce.

 

– Je vais vous laisser ! Déclarais-je diplomatiquement.

– Prenez un verre avec nous ! Répond la maman

 

Allons-y pour le verre

 

– C’est donc vous, Alexis, ma fille m’a parlé de vous, il parait que vous êtes un petit cochon !

– Cochon, moi, je suis un homme, c’est tout !

– Tu peux lui toucher la braguette, Maman, il ne dira rien !

 

Et c’est exactement ce qui se passe, la Micheline me tripote la braguette et ma bite se met à bander quasi instantanément.

 

– Vous êtes très réactif !

– Mettez-vous à ma place.

– Pas facile.

 

Et la voilà qui me dézippe ma braguette, qui farfouille dedans et qui me sort ma bite, qui la branlotte et qui se baisse pour me la sucer.

 

Je me laisse faire et soudain j’ai envie de prendre un peu d’initiative.

 

– C’est gentil ce que vous me faite, mais j’aimerais bien vous voir toute nue. Lui dis-je.

– Vous risquez d’être déçu, je ne suis plus de la première jeunesse.

– Vous ne voulez pas ?

– A vos risque et périls, alors.

 

La mature se déshabille, je ne sais pas de quoi elle se plaint elle pourrait en remontrer à pas mal de jeunettes. Les seins sont magnifiques, et je les embrasse.

 

– Allez-y caressez-moi ! J’adore qu’on me caresse et qu’on m’embrasse, venez les enfants,

 

Sans qu’on ne leur demande Corentin et Florence se sont déshabillés, je crois donc devoir en faire autant.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises, alors que j’achevais d’ôter mon pantalon, Florence s’est approché de sa mère et est venue lui lécher les tétons, tandis que Corentin pelote le cul de sa belle-mère ! Quelle famille.

 

On s’est retrouvé je ne sais comment sur le canapé, Micheline suce alternativement ma bite et celle de Corentin et repasse de temps en temps nos bites à sa fille.

 

Micheline me demande de l’enculer, pas de problème ! Distribution de capotes, puis, elle fait coucher Corentin sur le dos, vient s’empaler sur sa queue, puis s’écarte les fesses, m’invitant à la pénétrer analement. Je rentre là-dedans comme dans du beurre et je la pilonne en cadence. Florence s’approche sa chatte du visage de sa mère et lui donne sa chatte à lécher.

 

Moment de folie, tout le monde se déchaîne, je n’ai pu m’empêcher de jouir, Corentin m’a suivi quelques secondes après tandis que Micheline gueulait comme une truie.

 

On s’est dégagé, les deux femmes se sont alors mises en soixante-neuf, la mère et la fille se léchant mutuellement leur chatte dégoulinante de mouille, joli spectacle.

 

Quand je pense que j’étais juste passé pour leur rendre la ponceuse, j

 

11 – Une dernière pour la route

 

Deux semaines plus tard, nous avons présenté Li-Anne à Marie-Laurence, Florence et Corentin. Elle a découvert ce soir-là d’autres plaisirs qu’elle ne connaissait pas, deux queues en même temps dans différents trous. Corentin et moi nous sommes amusés à n’oublier aucune configuration possible. Mais aussi une langue de femme sur chaque trou et les seins. Elle a également goûté le sperme pour la première fois et a apprécié. Le dernier arrivant du groupe ainsi constitué a été David, Marie-Laurence l’a rencontré à son boulot. Sa première soirée a dû être mémorable, Marie-Laurence avait demandé à Li-Anne, Rachida, Florence et Monique de venir lui faire une petite fête. Marie-Laurence lui avait bandé les yeux, puis s’était déshabillée et lui avait demandé de la caresser. Puis elle est sortie de la pièce et l’une des filles est arrivée pour prendre sa place. Il s’est aperçu à la troisième que ce n’était pas Marie-Laurence et a enlevé son bandeau. Les filles rigolent encore de la tête qu’il a faite lorsqu’il s’est rendu compte qu’il tenait Rachida dans ses bras et que trois autres femmes qu’il ne connaissait pas gouinaient sa copine… Mais il a été très content de la surprise et en a bien profité.

 

Un peu plus tard, Corentin a tenu à informer David qu’il se livrait parfois à quelques fantaisies un peu gays. Il nous a répondu qu’il n’avait rien contre mais qu’il était pas pratiquant mais qu’il aimerait bien regarder.

 

J’ai sauté sur l’occasion et demandé à Corentin de m’enculer, depuis le temps que l’idée me trottait dans la tête. On s’est mis à poil, je me suis mis en levrette et mon ami m’a pénétré, j’ai adoré cette sensation. Devant moi, David très excité a sorti sa bite et à commencer à se branler. J’ai approché ma bouche, il n’a rien dit quand j’ai commencé à le sucer et m’a lâché tout son sperme dans le gosier.

 

La soirée d’après, nous étions là Corentin et moi, et nous nous sommes bien amusés. Trois hommes et cinq femmes, ça permet certaines combinaisons inédites… Les vacances suivantes, nous sommes tous partis dans la maison de campagne de David. Nous avons passé les deux semaines presque tout le temps nu. C’est à la fin de ces vacances que Li-Anne et Rachida nous ont demandées de les accompagner en Hollande pour se marier. Ce que nous avons fait avec plaisir, puis elles ont proposé à ceux qui voulaient d’acheter une maison et d’y habiter tous… Avec Monique nous ne nous sommes pas joints à cette expérience… pas encore ! Un jour peut-être…

 

Nos amis vivent tous les six dans une belle maison de banlieue depuis maintenant trois ans. Le sexe fait partie de leur vie, chacun fait ce qu’il veut avec les autres, mais ils ont été obligés de limiter les pièces aux quatre chambres et au salon télé. Pour arrondir les fins de mois, ils ont créé un site Internet payant où ils fournissent photos et films de leurs ébats, et par lequel les filles se proposent comme modèle pour des séances photo porno (activité qui marche de plus en plus) et vendent leurs culottes propres ou portées, sèches ou mouillés (ça aussi ça marche bien !). Parfois des clients demandent aux filles d’aller plus loin et propose de l’argent contre du sexe, elles ont refusé au début, puis se sont dit qu’il n’y avait aucun mal à faire la pute si personne ne les forçait à le faire et si la prestation se passait dans le respect mutuel.

 

Epilogue

 

– Alors Marcel ?

– C’est malin, avec tes histoires, j’ai la queue toute raide maintenant !

– Ah, oui ! Fait voir !

– Comment ça fait voir ? Tu ne vas pas me dire que ça t’intéresse aussi ?

– Je m’intéresse à tout !

– Autrement dit, tu me demandes cela dans un but culturel ?

– Oui !

– Ben tu te cultiveras une autre fois. Mais n’empêche, j’aime bien tes histoires, on sent que c’est vrai !

– Pas de bol, Marcel, c’est de la pure invention, j’ai bien une femme, mais ma vie sexuelle est un désert permanent, je n’ai pas de maîtresse, et je n’ose pas aller voir les putes.

– Non ?

– Si ! C’est pour cela qu’exiger qu’une histoire soit véridique est débile ! Je n’ai rien, je ne suis rien, alors qu’on me foute la paix et qu’on me laisse le droit de délirer PUISQUE C’EST LA SEULE CHOSE QUI ME RESTE !

 

FIN

 

(c) Alexis Defond-Rossignol 2001

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:42

Martinov 22 – Univers parallèles – 13 – Matures joyeuses par Maud-Anne Amaro

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– Je m’en veux vraiment d’avoir eu cette conduite inqualifiable tout à l’heure, j’en suis désolé. S’excuse Romain

– Mais ce n’est pas grave, voyons ! Est-ce que j’ai l’air de vous en vouloir ?

– Je ne pense pas, non !

– Alors, vous venez avec nous coincer Beautilleux ?

– On va faire un effort.

– On se prévient quand le traceur commencera à bouger.

 

Afin de ne pas faire traîner l’affaire, Romain livra le cadran à Beautilleux bien avant les délais.

 

Beautilleux passa une annonce dans une feuille gratuite disponible chez les commerçants.

 

« Le mage Kuolacar a le pouvoir de faire revenir devant vous le spectre de l’être cher que vous avez perdu, ni trucage, ni arnaque, résultat garanti… »

 

Il fut surpris d’avoir dix réponses dès le lendemain, il en sélectionna une.

 

Odette, ancienne vedette de cinéma et veuve du général Polivert, décédé prématurément, avait eu son quart d’heure de célébrité quand elle avait été la maîtresse du milliardaire Jacky Dondelle dans les années 1970, l’extravagance de leur liaison avait défrayé la chronique, la femme n’hésitant pas à exhiber devant les photographes les somptueux présents que l’amant lui offrait : bijoux, rivière de diamants, fourrures, bagnoles… L’un des articles décrivait l’un des diamants sur deux pages entières, le « Chambalard », le nom amusa Beautilleux.

 

Et un jour on avait retrouvé le type dans sa baignoire, vidé de son sang. On soupçonna Odette, mais elle fût disculpée dans un premier temps, le coupable, un monte-en-l’air sans envergure fût vite appréhendé, ce dernier ne trouva rien de mieux que de déclarer qu’Odette était sa complice, ce qui fut infirmé mais entre-temps la presse à scandale en avait fait ses choux gras.

 

Beautilleux se rendit à la bibliothèque nationale et consulta tous les journaux d’époque, la matière ne manquait pas, il prit des tas de notes.

 

Après que la dame eut-été blanchi dans l’affaire du meurtre, il semblait qu’elle avait ensuite protégé sa vie privée, à ce point qu’elle tomba dans l’oubli, les gazettes trouvèrent facilement d’autres os à ronger.

 

Beautilleux fit une recherche dans les bases de données, mais ne trouva rien après ces événements, mais allez savoir pourquoi, il fit une autre recherche sur le nom du diamant, l’énigmatique « Chambalard ». Et là il trouva un compte rendu de vente aux enchères à l’hôtel Drouot indiquant que le diamant en question avait été acquis pour un prix faramineux par un émir moyen-oriental.

 

« Voilà de quoi déstabiliser la petite dame… »

 

Beautilleux avait choisi un hologramme d’un homme portant moustaches à la Clark Gable. Ça ne ressemblait que de très loin à son ancien amant mais avec le flou et la probable vue basse de la dame, ça pouvait le faire. Quant à la voix dont il n’avait aucun échantillon, le modificateur vocal devrait faire l’affaire en la jouant « outre-tombe ».

 

Un peu avant 20 heures, le traceur indiqua la direction de Neuilly

 

Mathilde prévient Romain et Inès.

 

Mathilde dirige les opérations de sa voiture en guidant celle d’Inès et la troisième dans laquelle se trouve Romain et Édith. Rien ne presse puisque c’est à la sortie que tout devrait se passer.

 

L’immeuble étant repéré, ils n’ont plus qu’à attendre. Et comme il fait beau, inutile d’aller encombrer l’escalier. Tout se passera dans la rue.

 

Quand Beautilleux se présenta devant la veuve, celle-ci ne fut pas particulièrement aimable et ouvrit de suite les hostilités :

 

– Des charlatans, j’en ai vu un certain nombre, ils ont voulu me gruger, je les ai foutus à la porte, je ne suis pas gâteuse et je sais me défendre.

– Rassurez-vous…

– Je n’ai pas fini, il est bien évident que je ne vous paierai qu’après et que si le résultat me satisfait !

– Mais certainement !

 

Beautilleux déballe son matériel.

 

– C’est quoi ça ?

– L’interface.

– Hum.

– Je vais vous demandez de déplacer votre siège dans le fond de la pièce, derrière moi, de vous y installer et de vous concentrer sur la personne que vous voulez invoquer.

– J’ai oublié de vous dire, reprit la veuve. Si vous en avez après mon argent, c’est au coffre, il est sous alarme et relié à une société de sécurité.

– Mais enfin madame…

– Autant que vous soyez prévenu. Maintenant je me tais.

 

Après qu’il eut demandé à sa future victime d’éteindre la lumière, il commença la séance

 

– Qui voulez-vous invoquez, madame Polivert ?

– Jacky !

 

Le risque existait qu’elle invoqua quelqu’un d’autre, auquel cas, Beautilleux aurait trouvé un prétexte pour remballer ses outils, mais la chance avait l’air de lui sourire.

 

– Jacky, veux-tu répondre à Odette ?

 

Beautilleux active le projecteur faisant apparaître un ectoplasme flou à moustaches. Puis émet un grognement incompréhensible dans le modificateur vocal.

 

– C’est quoi ce cirque ? Rouspète Odette

– Qu’as-tu fais du « Chambalard », Odette ? Demande la voix caverneuse, tandis que Beautilleux fait dodeliner l’hologramme.

 

Et du coup, Odette devient blanche comme une craie.

 

– J’ai été obligé de le vendre ?

– Pourquoi as-tu vendu le « Chambalard » ?

– Mais j’étais ruinée, il me fallait de l’argent

– Alors tu as bien fait !

 

Odette se met à pleurnicher.

 

– Et aujourd’hui, tu es ruinée ?

– Non, je me suis remariée… arrêtez-ça Monsieur le mage !

– L’argent qui est dans ton coffre, tu dois le destiner à ma famille, le mage s’en chargera.

– Non ! Arrêtez ça monsieur le mage !

– Je ne peux pas, j’ai libéré une force qui me dépasse.

– Ouvrez votre coffre et vous pourrez dormir en paix ! reprend la voix de l’hologramme.

 

Comme un zombie, Odette ouvre son coffre.

 

– Je fais quoi maintenant ? demande-t-elle

– Eloignez-vous je vais me servir.

– Ne prenez pas tout !

– Ne vous inquiétez pas !

 

Beautilleux emplit sa mallette de billets et de bijoux.

 

– Jacky, tu ne veux plus parler à Odette ?

– Odette, je t’aime ! Merci de ce que tu viens de faire !

 

Et Beautilleux éteint le projecteur.

 

– On peut rallumer s’il vous plait ?

– C’est diabolique, c’est diabolique !

 

Odette a la tremblote

 

« Pourvu qu’elle ne me claque pas dans les doigts ! »

 

– Je vais vous payer, mais je ne veux plus vous revoir !

– Ce n’est pas nécessaire, je crois que je viens de faire une bonne action !

– Alors tout va bien !

 

Sur le trottoir la petite bande à tout entendu. Inès et Mathilde exultent !

 

Il est 21 heures quand Beautilleux, gai comme un pinson sort de l’immeuble et se dirige en direction du métro. Sur un signe de Mathilde, il se retrouve entouré sans comprendre ce qui se passe.

 

– Tu l’as mis où le fric de la vieille ?

– Quelle vieille ? Qu’est-ce que vous faites ici ?

– Donne le fric ou on va s’énerver !

– Quel fric ?Je n’ai pas de fric. De quoi parlez-vous ?

– Ce ne serait pas dans sa petite mallette, là?

– Laissez ma petite mallette tranquille !

 

On lui arrache des mains. L’argent est bien dedans, les bijoux aussi.

 

– Escroquer les personnes âgées, tu n’as pas honte ?

– Qu’est-ce que ça peut vous foutre ?

– Fous le camp ! Lui dit Mathilde.

– Vous lui laissez son cadran ? S’étonne Edith ?

– Qu’est-ce que vous voulez que j’en fasse ?

 

Beautilleux, son sac contenant le cadran sous le bras, prend au hasard la première rue à gauche et disparaît aux yeux de ses « agresseurs ».

 

– Il va continuer ses escroqueries ! Dit Edith qui ne comprend toujours pas.

– Oui, mais ce n’est plus mon problème, on a récupéré le fric et même davantage. Beautilleux, cadran ou pas, est un escroc dans l’âme, un jour il se fera pincer, il n’a pas une vue assez intelligente des choses pour éviter les erreurs. On vous paie le restau ?

– Pourquoi pas ?

– D’ailleurs c’est l’argent de Beautilleux qui va payer.

 

Le restau se passa dans une bonne ambiance, mais chacun avait envie de terminer la soirée de façon conviviale, c’est donc d’un commun accord que les trois voitures se dirigèrent vers Montmartre là où réside Inès afin de boire le traditionnel dernier verre..

 

– Nous n’avons pas eu le temps de faire les présentations dans les règles ! Voici donc Inès Kermaillard, ancienne vedette de cinéma, Romain, chef d’entreprise dans l’électronique et sa charmante femme Edith. C’est Romain qui a bricolé le traceur qui nous a permis de localiser et de coincer Beautilleux.

 

Du coup tout le monde se fait des bisous, puis Inès va chercher une bouteille de champagne au frigo et le verse dans des coupes sur une table basse. On trinque joyeusement après avoir pris place sur les deux luxueux canapés qui se font face.

 

– Inès est aussi salope que moi ! Tient à préciser Mathilde histoire d’ouvrir les festivités. Mais je dis ça comme ça, si parfois la chose vous tente, sinon on peut se contenter de boire un verre entre amis.

– Mais enfin Mathilde ! Fait mine de s’offusquer Inès.

– Ben quoi, je n’ai rien dit de méchant !

– Salope, moi ? Non mais dès fois ? Franchement est-ce que j’ai l’air d’une salope, Monsieur Framboisert.?

– Vous m’embarrassez, je ne vous connais pas ! Répond l’intéressé qui prend ça à la rigolade. Mais je ne demande qu’à faire connaissance.

– Quel cochon ! Commente Edith.

– Mais on les aime nos petits cochons ! Précise Mathilde.

 

Et sans plus attendre, Inès porte la main sur la braguette de Romain.

 

– Oh, excusez-moi, je ne sais plus ce que je fais, ni pourquoi je mets la main à cet endroit ! Plaisante-t-elle. Faut-il que je la retire ?

 

Et tout en disant cela, elle accentue sa pression sur l’endroit sentant la chose grossir sous l’action de ses petits doigts agiles.

 

– Vous êtes une rapide, vous ?

– Nous ne sommes que de passage sur terre, notre temps est précieux.

– Philosophe en plus !

– En fait je suis davantage calée pour sucer des bites que pour faire de la philo

 

En face, Mathilde et Edith s’amuse du spectacle et s’amuse à de petits jeux de langues tout en se pelotant allégrement .

 

– Je peux ! Demande Inès en dézippant la braguette.

– C’est déjà fait !

– Suis-je bête, voyons ce qu’il y a là-dedans ! Dit-elle en laissant sa main farfouiller dans le caleçon de l’homme.

 

Elle en teste l’état et ayant constaté sa bonne rigidité, l’extrait de sa cachette.

 

– Oh ! une bite !

– Vous pensiez trouver quoi ? Un hélicoptère ?

– Grand sot ! Laisse-moi un peu branler tout ça ! Mais baisse-moi ton pantalon ce sera plus pratique… Ou alors met-toi carrément à poil,… au point où on en est.

 

Excité comme une puce, Romain obtempère, gardant uniquement ses chaussettes. Et pour ne pas être en reste, Inès en fait de même, dévoilant son corps bronzé.

 

Romain en reste baba, il avait bien deviné que la dame avait de beaux restants, mais pas à ce point-là !

 

– Pas mal ! Hein ? Dit-elle et regardez mes fesses ! Pas mal non plus ? Hein ? Tâtez-les !

 

Vous pensez bien que l’homme n’allait pas refuser, il caresse le cul d’Inès.

 

– Mieux que ça, j’adore qu’on me tripote les fesses ! Oui comme ça, continue, écarte-les maintenant. Tu vois mon petit trou ?

– Oui !

– Tu le trouves comment mon petit trou ?

– Charmant, absolument charmant.

– T’as le droit de le lécher.

 

Encore une instruction qu’il n’est nullement nécessaire de dire deux fois à Romain Framboisert, qui si penche langue en avant vers le trou mignon et vient le déguster.

 

– Ça va ? Il a bon goût mon cul ?

– Un goût exquis !

– On me l’a dit souvent, mais je n’ai jamais pu y gouter, je ne suis pas contorsionniste.

 

Sur le canapé d’en face Mathilde et Edith complètement débraillées en sont déjà au soixante-neuf et pousse des cris qui ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elles y prennent.

 

– Mettez-moi un doigt ? Demande Inès.

– Bien volontiers ! Répondit Romain en humectant son index avant de l’enfoncer dans le trou de balle de la dame.

– Hum, c’est bon, j’adore qu’on me foute un doigt dans le trou du cul. Essayez d’aller plus vite, mettez un deuxième doigt.

– Comme ça ?

– Oui c’est bon, j’aime qu’on s’occupe de mon cul, continuez avec vos doigts et après vous pourrez m’enculer !

– Mais avec plaisir !

– J’aime me faire enculer !

– Je vais essayer de vous faire ça bien !

– Les hommes ne savent pas ce qu’ils perdent ! Ce genre de plaisir est divin ! Ça ne vous a jamais tenté d’essayer, Romain ?

– D’essayer quoi, chère madame ?

– De vous faire sodomiser !

– Et si je vous disais que ça m’arrive de temps en temps et que j’apprécie beaucoup.

– Et vous sucez aussi ?

– Ça m’arrive.

– Oh ! Mais c’est formidable ce que vous me dites, retirez vos doigts, je reviens tout de suite.

 

Et voici qu’Inès se lève et s’en va farfouiller dans le tiroir inférieur d’un grand vaisselier, elle en sort une boite de préservatifs et un gode ceinture.

 

– Voilà, regarde un peu comme il est beau ! On peut se tutoyer n’est-ce pas ? Il y a une éternité que je ne l’ai pas utilisé, beaucoup d’hommes quand on leur parle de ça, ils se sauvent en courant… c’est vraiment con, ceux qui y ont gouté, ils en redemandent ! Moi j’aime bien me servir d’un gode, j’en ai un autre avec des piles, il ressemble vraiment à une vraie bite, je l’appelle Firmin, hi, hi ! Bouge pas je vais te le montrer tu vas voir comme il est beau.

 

« Ce n’est pas possible, elle a avalé un magnétophone ! »

 

Elle revient donc avec « Firmin » et le fout sous le nez de Romain.

 

– Comme tu le trouves ?

– Il est attendrissant ! se moque l’homme.

– Montre-moi comment tu suces les bites

– Je préfèrerais une vraie…

– Je veux juste voir, fais-moi plaisir.

 

Martino22M

 

Inès lui demande alors de s’agenouiller entre ses cuisses, elle lui introduit le gode dans la bouche, puis lui pince ses bouts de sein, d’abord doucement puis de plus en plus fort, Romain se pâme tout en léchant la bite factice.

 

– T’aimes ça, qu’on te pinces, allez suce, oui comme ça, tourne bien ta langue autour du gland et maintenant tu l’enfonces bien dans ta bouche, voilà t’es un bon suceur de bite.

 

Mathilde et Edith se sont approchées.

 

– Ben dis donc ton mari, il aime ça la bite ! Lance Inès à Edith.

– Ben, oui c’est un petit cochon !

– Et ça ne te gêne pas ?

– Pourquoi ça me générait ? Encule-le donc avec ton engin, il n’attend que ça !

– C’est vrai ça Romain, tu veux que je t’encule ?

– Oui, oui, vas-y !

 

Pendant que l’homme se met en levrette, prêt à l’assaut, Inès s’harnache avec le gode ceinture, et le recouvre d’un préservatif.

 

– Faut’y mettre du gel ? S’interroge-t-elle.

– Lèche moi un peu le trou, ça devrait le faire.

– Tu voudrais que je te lèche ta rondelle ?

– Ce n’est qu’une suggestion !

 

Inès se mit donc à faire feuille de rose à Framboisert, sa langue était d’une telle agilité que le petit œillet brun ne tarda pas à bailler de plaisir.

 

– Et maintenant, fini la rigolade, attention à ton cul, j’arrive !

 

Ça entre tout seul, Inès pilonne à grand coups de rein le trou du cul de Romain, celui-ci apprécie même s’il préfère quand c’est sa femme qui lui fait ce genre de choses à la maison. Et puis c’est vrai que ça ne vaut pas une vraie bite…

 

Mathilde vient devant lui afin de se faire lécher la foufoune, ainsi le plaisir est-il double. Elle devait être super excitée puisqu’elle prend son deuxième pied de la journée en moins de trois minutes.

 

– J’ai envie de pisser, tu viens avec moi ? demande-t-elle à Edith.

– Au fond à gauche ! La deuxième porte ! Lui précise Inès tout en continuant à besogner .le cul de l’homme.

 

Edith cru d’abord que cette proposition d’accompagnement était innocente.

 

– Tu veux me regarder ? Osa Mathilde en s’installant sur la cuvette.

– C’est comme tu veux, moi je veux bien !

– Je peux t’offrir une belle vue, si tu veux ! Reprend la mature en se redressant.

– Tu aimes les jeux de pipi ?

– Disons que ça m’amuse.

– Tu veux m’asperger ?

– Hum, bien sûr !

 

Du coup Mathilde rectifie une nouvelle fois la position, elle se rassied sur la cuvette mais s’avance sur le bord, mettant ainsi sa chatte devant Edith qui s’agenouille devant elle.

 

Et soudain, le jet fuse, Edith en reçoit plein sur les seins et se l’étale, elle ouvre ensuite une large bouche, Mathilde comprend évidemment le message et lui donne à boire.

 

La miction terminée, les deux femmes s’embrasent spontanément.

 

– On fait une belle paire de salopes ! Commente Mathilde.

– Oui, mais on assume !

 

Au bout d’un moment Inès commence à fatiguer et se retire laissant Romain exténué mais ravi.

 

– A toi de m’enculer, mon grand !

– Mais avec grand plaisir, ma chère !

– Et traite-moi de tous les noms, ça me stimule.

 

Romain s’encapote et pénètre facilement la belle sexagénaire.

 

– T’aime ça qu’on t’encule, hein vielle salope, trainée, morue, radasse !

– Ils sont mignons tous les deux ! Commente Mathilde en jouant avec les tétons d’Edith.

 

Et tandis qu’Inès se met à jouir rapidement du cul en poussant des hurlements, Romain excité comme un pou et incapable de se contrôler davantage jouit dans la capote et se retire.

 

Moment calme, on se rince, on se rhabille, puis Inès propose d’emmener tout ce petit monde dans un petit piano bar du quartier.

 

Bonne ambiance, on boit, on rigole… Mathilde profite du fait qu’Edith soit partie aux toilettes (oui toute seule cette fois !) pour entreprendre Romain.

 

– Téléphonez-moi discrètement dès que vous pourrez, j’ai une petite proposition coquine à vous présenter.

 

Mercredi 20 avril

 

Et le lendemain elle lui expliqua.

 

– J’aimerais que vous m’aidiez à réaliser un petit fantasme.

– Moi, je veux bien, mais lequel ?

– Voyez-vous, il y a un certain temps que je n’ai pas vu deux hommes bisexuels se faire des trucs ensemble…

– Vous savez, je ne fais ça que de temps en temps, mais disons que c’est l’occasion qui fait le larron.

– C’est un refus ?

– Oui, je regrette…

– Cela m’aurait fait plaisir !

– Non, n’insistez pas, et puis c’est qui l’autre ?

– Quelqu’un que vous connaissez.

– Martinov ?

– Eh, oui !

– Dans ce cas on peut s’arranger.

 

Samedi 23 avril

 

Le professeur Martinov est très ponctuel, Fabienne en tenue de soubrette lui a servi un whisky, Mathilde s’est habillée, si on peut appeler ça « habiller » d’un extravagant corset à bretelles rouge carmin avec le string assorti. Notre vert professeur en bave d’émotion.

 

Romain Framboisert arrive dix minutes plus tard, se confond en excuse. Les embouteillages… Il embrasse Mathilde puis interpelle le professeur.

 

– Alors, toi aussi tu t’es fait débaucher ?

– Que veut-tu la chair est faible.

 

Fabienne vient s’enquérir de ce que souhaite boire le nouvel arrivant.

 

– Je veux bien un whisky.

 

Puis une fois Fabienne sorti de la pièce.

 

– Votre servante est charmante !

– Charmante et peu farouche, d’ailleurs elle restera à mes côté pendant que vous allez m’offrir votre petit spectacle

 

On trinque, on boit, puis Mathilde fait signe au deux hommes qu’elle voudrait bien que ça commence. Fabienne vient s’assoir à droite de sa patronne, les deux hommes se déshabillent. C’est parti !

 

Romain et Martinov sont face à face.

 

– On gère ça comment ? demande le professeur mezzo voce.

– On se laisse aller, on verra bien !

 

Et Romain attrape les tétons de Martinov et les serre entre ses doigts, du coup ce dernier lui rend la politesse. Et c’est magique les bites se mettent à grossir et à indiquer la direction du ciel.

 

– Tu as vu des deux cochons, Fabienne comme ils bandent bien.

– Hum c’est excitant !

– Et attend il vont se sucer et s’enculer !

– Super !

– Tu vas me caresser pendant que je les regarde.

– Oui madame !

 

Qui sucera l’autre ? Petit accord tacite entre les deux hommes, Martinov s’accroupit en engloutit la bite de Romain. C’est qu’il aime ça, Martinov sucer de la bite, et celle de Romain il la connait bien, alors il s’applique, Il lèche, il suce, il pompe…

 

Puis Romain s’en va se coucher sur le dos sur le canapé, Martinov a compris la manœuvre et se positionne tête bêche avec son camarade de débauche de façon à ce qu’ils se sucent mutuellement la queue.

 

– Oh, le joli soixante-neuf ! Commente Mathilde à présent bien débraillée par Fabienne, le string a disparu on ne sait où, les bonnets du corset ont sautés, exhibant ainsi sa jolie poitrine. D’une main Fabienne lui trifouille la chatte tandis que ses lèvres butine un téton fripon.

 

Fabienne avait prévu sur la table basse, quelques préservatifs joliment présentés dans une coupelle en porcelaine de Sèvres.

 

Romain s’encapote, le professeur se positionne en levrette et s’écarte les fesses. L’instant d’après il se faisait proprement enculer.

 

L’affaire dura bien plusieurs minutes, on a du mal évoluer le temps quand on baise, mais Romain finit par prendre son pied, alors qu’au même moment Mathilde éclatait son plaisir sous l’action de la langue de Fabienne qui lui faisait minette.

 

Romain s’est retiré, fait signe à Mathilde qu’il est momentanément hors service, ce que la mature avait aisément compris.

 

– C’était très bien, un peu court, mais je ne vais pas faire la difficile ! Cher professeur, vous n’avez pas joui ! Je vous confie Fabienne, elle est à vous. D’ailleurs je crois bien que vous avez déjà fait des choses ensemble

– Oui, madame, répondit Fabienne

– Enculez-là, cher professeur.

– Vous voulez-bien, Fabienne ? demande Martinov.

– Oui dit-elle, en se mettant en position et en dégageant d’autant plus facilement son joli derrière qu’elle n’avait pas de culotte.

 

Et c’est ainsi que ce termina cette rocambolesque histoire d’univers parallèles !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:28

Martinov 22 – Univers parallèles – 12 – Le plan de Mathilde par Maud-Anne Amaro

 

 Toilettes stamp

 

Le professeur Martinov a tenu à téléphoner à Mathilde afin de l’informer des intentions de Beautilleux.

– Souhaitez-vous qu’on en parle un peu tous les deux, passez donc me voir, vous savez bien que j’apprécie votre compagnie.

 

Il n’allait pas dire non !

 

C’est Fabienne toujours attifée en soubrette d’opérette qui l’introduit (oh) en tortillant du popotin

 

– Bonjour professeur ! Vous regardez ma robe, elle vous plait ?

 

Mathilde est vêtue d’une simple robe non décolletée avec des manches courtes, dans les tons noirs, gris et blancs savamment mélangées. Rien d’érotique mais beaucoup de classe.

 

– Vous êtres très élégante !

– Merci ! C’est gentil ! Alors si j’ai bien compris, Beautilleux recommence ses bêtises ? Demande Mathilde.

– On dirait bien !

– Qu’est-ce qu’on peut faire ? Et si on ne fait rien, qu’est-ce qui se passe ?

– Rien, Framboisert refusera de faire affaire, Beautilleux ira voir ailleurs, il trouvera bien un margoulin qui exécutera sa commande et il pour mettre en œuvre sa nouvelle escroquerie.

– Ouais, à cette différence que si c’est votre collègue qui lui fait son bricolage, on garde un certain contrôle sur lui..

– Certes, mais pourquoi le laisser faire ?

– Je vous explique, si on le laisse faire sans contrôle, il va finir par se faire choper et il va se retrouver en tôle, c’est pas comme ça qu’on va récupérer notre fric !

– Alors ?

– Il va escroquer une vieille qui sera fatalement pleine de fric. Est-ce si grave ?

– Déontologiquement c’est pas terrible.

– Oui mais c’est ma déontologie, pas la vôtre. Vous savez, j’ai pas mal escroqué dans ma vie, mais je n’ai jamais mis personne sur la paille, mes victimes avaient de la réserve. Alors on le laisse faire et à la sortie on récupère la mise. Un petit rafraîchissement, professeur ?

– Ma foi pourquoi pas, un jus de fruit ?

– Fabienne, servez un jus de fruit à ce charmant monsieur.

– Concrètement vous voyez ça comment ? Remarquez, je demande ça comme ça, parce que ça ne me regarde pas.

– Un tout petit peu quand même. Je vais payer votre collègue, je vais lui demander d’incorporer un traceur dans son cadran, ainsi on saura toujours où il se trouve. Quand il entrera en action, on déboule et on récupère le fric.

– C’est qui « on » ?

– Ce sera Inès et moi, mais comme ça risque de faire un peu juste question rapport de force, on va peut-être solliciter le gentleman professeur qui est devant moi ? Minaude Mathilde

– C’est hors de question. J’en suis désolé.

– Et parce que pourquoi ?

– J’ai une tête à voler les petites vieilles ?

– Mais on ne volera aucune petite vieille comme vous dites. On va la laisser payer Beautilleux, à ce moment-là l’argent est à lui et c’est à lui qu’on le prend et comme c’est de l’argent dû, ce n’est même pas de vol, c’est du recouvrement.

– J’ignore combien il vous doit, mais vous pensez vraiment que la première escroquerie vous remboursera ?

– Ne soyez pas naïf, professeur ! Beautilleux va demander un montant exorbitant pour sa prestation, peut-être 1.000 euros, en fait j’en sais rien… Mais comme vous le dites, ça ne sera pas assez.

– Et bien alors ?

– Un escroc ça raisonne en escroc, il ne va pas se contenter du prix de la prestation, il va essayer de rafler tout ce qu’il peut rafler. Et là ça devrait nous rembourser.

– Et si le coup rate, comment le saurez-vous ?

– J’ai une petite idée ! Fabienne, il vient ce jus de fruit ?

– J’arrive madame, je répondais au téléphone…

 

La soubrette arrive avec le jus de fruit.

 

– Fais voir, Fabienne ! Ça m’a pas l’air bien frais cette affaire-là!

– Pourtant madame…

– Ce n’est pas grave. Intervient Martinov

– Admettons, mais sinon Fabienne peut vous offrir sa bière maison. J’ai cru comprendre lors de notre dernière rencontre que vous n’étiez pas contre ce genre de fantaisie…

– Ben…

– C’est du premier cru. Tu as envie de pisser, n’est-ce pas Fabienne ?

– Un petit peu, oui.

– Alors en piste !

– Dans un verre ou à la source, Madame.?

– Que préférez-vous professeur ?

– Vous me tentez ! La source c’est bien mais je risque de me mouiller.

– Mettez-vous donc à l’aise, quand elle aura fini de pisser je vous montrerais mes nichons.

– Mais vous êtes une coquine Mathilde !

– Une coquine qui va bien te sucer la bite !

– Vous avez des arguments auxquels il est difficile de résister.

– A poil, monsieur le professeur.

 

Et Martinov qui bande déjà à la perspective de cette petite séance complétement imprévue se déshabille entièrement ne gardant que ses chaussettes.

 

– Chose promise, chose due ! Commente Mathilde en extrayant un sein de sa robe. Caressez-le, juste un peu.

 

Il y a comme ça des propositions qui ne se refusent pas. Martinov se contente d’effleurer ce délicieux mamelon.

 

– C’est doux, n’est-ce pas !

– C’est exquis, chère madame !

– Ça te fait bien bander, mon cochon !

– Eh, oui, vous êtes bandante, chère madame.

– Mais Fabienne, je t’ais demandé quelque chose, il me semble.

– C’est que j’attends que Monsieur se mette en position.

– Eh bien va chercher une grande serviette de bain afin que Monsieur Martinov s’allonge dessus.

 

Quand elle revient, le professeur est invité à se coucher dessus. Fabienne s’accroupit de façon à ce que sa chatte soit presque en contact avec la bouche gourmande.

 

Et hop, ça coule ! Martinov se régale, d’autant que Fabienne sait très bien maîtriser la situation, urinant par saccades successives. Il finit cependant par faire un geste signifiant par-là, que le trop est l’ennemi du bon.

 

– Alors c’était comment ? Demande Mathilde.

– Délicieux !

– Voudriez-vous gouter au mien tout à l’heure ?

– Avec grand plaisir.!

– Ah au fait, Fabienne, qu’avez-vous fait l’autre fois avec ce gentil monsieur, je n’ai pas tout vu, j’étais très occupée de mon côté.

– J’ai chauffé Monsieur, puis je lui ai prodigué une fellation.

– Parlez donc plus crument, nous sommes entre-nous, que diable !

– Je lui ai sucé la bite, et après je l’ai enculé avec un gode.

– Ah voilà qui est clair ! Et vous avez apprécié, cher professeur ?

– Elle m’a fait ça très bien !

– Vous aimez donc jouir du cul ?

– Je le confesse, et vous chère Mathilde, permettez-moi de vous appeler Mathilde, aimez-vous ce genre de chose ?

– Mais parfaitement, j’adore que l’on m’encule, et je compte sur vous pour me le faire dans un petit moment.

– Ce sera un plaisir.

– Me permettez-vous d’être très indiscrète ?

– Madame si vous voulez-bien me montrer votre autre sein, je vous permettrais toutes les indiscrétions.

 

Mathilde dévoile alors son autre nichon, se le caresse et s’en pince le téton.

 

– Vous êtes un petit cochon, mais ce n’est pas pour me déplaire. On dit que l’usage du gode chez les messieurs signifie une tendance vers la bisexualité, partagez-vous ce pont de vue ?

– Vous savez, les théories toutes faites sur la sexualité… Je n’ai pas d’avis en général, mais en ce qui me concerne, disons que j’aime bien les bites ! Cela répond à votre question ?

– Certes, et les bites je suppose que vous ne vous contentez pas de les regarder, j’ai bon ?

– Vous avez bon, j’aime toucher, sucer et aussi me faire prendre.

– Savez-vous que c’est l’un de mes fantasmes de voir deux hommes se sucer et s’enculer.

– Un fantasme jamais réalisé ?

– Si mais trop rarement… Si j’organisais un petit truc à trois avec vous et un monsieur bien équipé ?

– Pourquoi pas ?

– On peut même faire mieux que ça, imaginez, une bite dans le cul et une autre dans la bouche !

– Hé !

– Vous ne le regretterez pas, je peux être très cochonne et satisfaire tous vos fantasmes et d’ailleurs je crois que je ne vais pas tarder à vous sucer la bite, mais avant j’aimerais que vous vous occupiez de moi, cette petite conversation m’a mis dans un état, d’ailleurs, je vais vous montrer.

 

Et Mathilde finit de se déshabiller et la voici nue comme la Vénus de Botticelli, une Vénus mature, certes, mais de fière allure !

 

– Venez donc me lécher l’abricot, cher professeur !

 

Evidemment Martinov se précipite vers cette chatte accueillante et commence à laper le bon jus qui en a coulé.

 

– Hi ! Hi !

– Pardon, il y a un problème ? Demande le professeur, ne comprenant pas la raison de ce rire incongru.

– Vous me chatouillez avec votre barbiche !

– Oh ! Je vais faire attention.

– Et toi Fabienne ne reste pas comme ça, comme une andouille, occupe-toi du trou du cul du professeur.

– Avec la langue ou avec les doigts ?

– Aaah, c’est bon ce que vous me faites, Fabienne débrouille-toi, un peu d’initiative que diable !

 

La soubrette se place derrière Martinov et lui titille le trou du cul avec sa petite langue agile, ce qui fait se trémousser d’aise notre vert professeur.

 

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Mathilde commence à haleter, Martinov attaque le clito impertinemment érigé, tandis que derrière les doigts ont remplacé la langue et besognent énergiquement le petit trou, il ne tarde pas à provoquer la jouissance de la belle mature dans jet de mouille.

 

Reprenant rapidement ses esprits, Mathilde demande à Fabienne d’arrêter son doigtage et tout en restant derrière le professeur de lui tordre les tétons. Après quoi elle s’empare de la bite, la met dans sa bouche et la turlute pendant plusieurs minutes.

 

Puis sentant le gout salée de la pré-jouissance perler sur le méat, elle stoppe sa fellation, se met à genoux sur le fauteuil, le torse contre le dossier et expose ainsi son joli cul, dont le pourtour de l’anus un peu poilue est bien mouillé.

 

– Fabienne va aller te chercher une capote et tu vas m’enculer !

– Avec plaisir, chère Mathilde

 

Martinov n’avait qu’une crainte, celle de partir trop vite, mais il sut se contrôler jusqu’à ce que Mathilde reparte à nouveau vers l’orgasme ! Ce cap franchi, il put se laisser aller et envoya sa jute dans la capote avant de déculer.

 

– Salaud ! Tu m’a fait jouir deux fois !

– Vous êtes une très belle femme Je suis content de vous avoir satisfait ! Répondit le professeur un peu confus.

– Tu sais on peut se tutoyer, c’est la moindre des choses après ce que tu m’as mis dans le cul ! Viens donc m’embrasser, viens embrasser ta chienne !

 

Et les voilà qui s’embrassent comme deux ados à leur premier rendez-vous, ça bave, ça dégouline.

 

– Faut que j’aille faire pipi ! Je reviens ! Prévient le professeur.

– Dois-je tenir la bite du professeur ? Demande alors Fabienne .

– Non c’est moi qui vais l’accompagner aux toilettes, toi retourne à ton service.

– C’est pas juste, on s’amusait bien ! Rouspète la soubrette en disparaissant de la pièce.

 

Dans les toilettes, Mathilde s’accroupit et se couche la tête de côté sur la cuvette en laissant la bouche ouverte.

 

On ne lui avait jamais fait encore, celle-ci au professeur Martinov.

 

– Vas-y pisse moi dans la gueule !

– Vous êtes… euh tu es sûre ?

– Ben quoi, on peut délirer, non ?

– Alors délirons ! Conclue notre vieux coquin en aspergeant comme il se doit, le visage de la belle mature.

 

Quand ils revinrent dans le salon, Martinov déclara que maintenant il boirait bien un verre d’eau.

 

– Mais j’avais demandé à Fabienne des jus d’orange, qu’est-ce qu’elle a foutu ? Fabienne !

– Oui madame, répondit la soubrette dans le lointain.

– Non rien ! On va la laisser tranquille sinon, elle ne finira jamais le repassage, allons boire dans la cuisine. Alors vous avez réfléchi ?

– Vous ne m’en avez pas laissé le loisir, disons que je réserve ma réponse ! Je vous appelle demain sans faute chère Mathilde

– Je ne vous sens pas chaud mon cher professeur, pourquoi attendre demain pour m’annoncer ce que vous pouvez me dire maintenant ? Je comprends parfaitement votre point de vue, après tout cette affaire n’est plus la vôtre ! Mais je ne vous en veux pas du tout et ma petite proposition cochonne tient toujours..

 

Et Mathilde se leva pour faire un chaste bisou d’aurevoir au professeur

 

– Je voulais juste réfléchir un peu, mais bon…

– Je vais juste te demander les coordonnées de ton collègue électronicien…

 

Ils se tutoient ou ils se vouvoient, eux-mêmes finissent par ne plus savoir.

 

Bien évidemment le professeur Martinov avertit son ami Romain Framboisert de la visite imminente de Mathilde :

 

– Elle va te demander de reprendre à son compte la commande de ton client, elle va sans doute te demander d’améliorer le dispositif, c’est quelqu’un de très correct, tu peux traiter avec elle sans problème.

– Tu me la recommandes, alors ?

– Oui, et en plus elle a beaucoup de classe !

– O.K.

– Attention, toutefois, elle a voulu m’embarquer dans une espèce d’opération de commando, j’ai refusé bien sûr mais elle ne m’en a pas tenu rigueur.

 

Et Martinov lui fournit les détails…

 

– O.K. ! Et elle est comment la dame physiquement ?

– Une belle mature un peu nymphomane, – partouzeuse et bisexuelle mais super sympa.

– Tu te l’ai envoyée ?

– Que veux-tu, la chair est faible !

– Cochon !

– Mais non !

 

Mathilde pris donc rendez-vous avec Romain Framboisert le soir même à 18 heures. Toilette simple mais décolleté plongeant stratégique.

 

– Je suppose que monsieur Martinov vous a mis au courant des raisons de ma visite ?

– Oui mais pas dans les détails. Répond Romain en lorgnant sur la naissance des seins de la dame.

– Je voudrais reprendre pour mon compte la commande de monsieur Beautilleux…

– Beautilleux ?

– Oui le gars du cadran clignotant.

– Oui, on m’a dit qu’il avait trente-six noms…

– Trente-six noms, plein de chéquiers périmés et pas un rond devant lui… il ne vous paiera qu’avec du vent. Moi je vous paie tout de suite et en liquide… au prix du marché évidemment.

– Cela va de soi.

– Pourriez-vous incorporer un traceur de position suffisamment discret dans ce foutu cadran ?

– Sans problème !

– Et un dispositif qui permettrait d’entendre ce que Beautilleux raconte pendant sa tentative d’escroquerie, ce serait possible ?

– Bien sûr il suffit de planquer un élément de téléphone portable qui se déclencherait à l’allumage de son gadget.

– Maintenant je suppose que vous allez me demander quelles sont mes intentions ?

– Je suis un peu curieux de nature… mais je manque à tous mes devoirs, c’est l’heure de l’apéro, vous prendrez bien quelque chose ?

– Un whisky si vous avez ?

 

Romain demande à Edith de faire le service puis l’invite à venir trinquer avec eux.

 

– Beautilleux nous doit de l’argent à moi et à une copine, une belle somme. Il s’apprête à escroquer quelqu’un, sans doute une veuve friquée qui a des sous à ne plus quoi savoir en faire. Elle va donc le payer, à ce moment-là l’argent ne sera plus à elle mais à lui, et je lui subtilise… vous voyez donc l’utilité du traceur ?

– Certes, mais si la dame le paie par chèque ?

– C’est peu probable, mais ce n’est pas le plus important, l’hypothèse sur laquelle on part, c’est qu’ une fois l’escroquerie enclenchée, Beautilleux va rafler tout ce qu’il pourra rafler. Il faut avoir que les petites vieilles ont toujours du liquide chez elles, sans parler des bijoux….

– Je vois ! Vous allez faire ça toute seule ?

– Non avec ma copine, évidemment question rapport de force, c’est un peu léger…

– Vous allez vous faire aider ?

– Je ne vois pas trop comment, j’ai bien quelques relations, des types un peu voyous, mais ça m’embête de faire appel à ces gens-là.

– Alors ?

– Vous ne voulez pas m’aider ?

– Je suis désolé…

– Non, non, ne vous confondez pas en explications. Je demandais juste ça comme ça, je vous aurais donné 1 000 balles.

– N’en parlons plus.

 

Mais Edith est très curieuse…

 

– Vous allez rentrer comment chez la personne ? Demande-t-elle.

– On n’est pas obligé d’entrer, on peut attendre Beautilleux tranquillement dans l’escalier quand il sortira.

– Dans ce cas, si vous êtes trois ou quatre il n’y a pas grand risque !

– Ben non.

– Ça vaut peut-être le coup ? Dit Edith en se tournant vers son époux

– Mais enfin Edith ?

– Moi pour 1000 balles je le fais.

– Mais enfin …

– Mais puisqu’il n’y a pas de risque !

– Pas de précipitation, on peut en reparler, intervient Mathilde jouant les conciliantes.

 

« Edith est tentée » reste le mari, il aurai été seul, je lui aurait sorti le grand jeu, mais il y a madame ! »

 

– Bon, je vais vous laisser…

– Un petit whisky pour la route ?

– C’est pas de refus.

 

Mathilde boit son whisky

 

« ‘Je vais leur faire un peu de « cinéma » on verra bien ce que ça donne »

 

– Ça donne chaud, le whisky !

– Un peu oui !

– Je me mettrais bien à l’aise mais je n’ai pas grand-chose à enlever !

– Vous nous faites quoi, là ? Demande Romain.

– Ben rien, justement !

– Si madame veut se mettre à l’aise moi, ça ne me dérange pas du tout ! Intervient Edith.

– Oh voyons ! Mais que dirait monsieur ? Répond Mathilde faussement offusquée

– Monsieur, il va vous conseiller de partir avant que la situation devienne ingérable.

– Bon, bon, je vais m’en aller.

– Vous n’avez pas fini votre verre, intervient une nouvelle fois Edith.

– Ah, c’est vrai !

 

Ce désaccord entre les deux époux tombe à pic, et Mathilde prend tout son temps pour finir son whisky, se demandant qui va l’emporter. .

 

– Pour la dernière fois, à quel jeu jouez-vous ? S’énerve Romain.

– Mais laisse-la tranquille, il est amusant son jeu ! Lui dit Edith

– Vous n’êtes pas joueur, monsieur Romain ?

– D’abord, c’est monsieur Framboisert, et puis quand je joue j’aime bien connaitre les règles.

– Y’a pas de règle on improvise. Qu’en pensez-vous Edith ?

– Moi ? J’aime bien les jeux d’improvisation.

– Que me conseillez-vous ?

– Allez-y, improvisez !

– Si je vous embrasse, ça fait partie du jeu ?

– Ça peut !

 

Et devant les yeux stupéfaits de Romain Framboisert, les deux femmes se lèvent de leur siège pour se rouler un patin magistral.

 

Et ça les fait rigoler.

 

Romain sent qu’il n’aura pas le dessus avec ses deux diablesses qui maintenant se pelotent à qui mieux mieux. Il les regarde avec un air dépité, mais quand on ne sait trop comment le sein gauche de Mathilde apparaît au grand jour, et que Edith se met à le téter, il se met à bander.

 

– Félicitations, monsieur Romain, votre épouse est charmante.

– Humm

– C’est vraiment une coquine, elle m’a sorti un sein et elle me le suce, et moi je me laisse faire ! Mais dans quel monde vivons-nous ? Se moque-t-elle.

– Justement je me demandais.

– Vous nous regardez ou vous voulez jouer avec nous ?

– Edith, tu fais quoi au juste ? Demande-t-il à sa femme.

– Ben tu le vois bien, je lèche les nichons de cette charmante dame.

– Et après tu vas faire quoi ?

– J’en sais rien, on improvise ! Mais tu devrais montrer ta queue à madame, ce serait cool.

– C’est vrai, madame ?

– Oui, montrez-moi votre bite, j’adore les bites !

– Je vous préviens, si je fais ça, je ne me contrôle plus et je risque de vous violer !

– Chiche ! Mais je me laisserais faire ! Allez-y violez-moi, enculez-moi, pissez-moi dessus, je serais votre chienne.

– Quel romantisme !

– Je ne suis peut-être pas votre genre ?

– Bon j’arrive !

 

Et sans réfléchir davantage, Romain se déshabille à toute vitesse.

 

– Oh, un homme tout nu avec la bite qui bande ! Plaisante Mathilde.

– Tu vas voir ce qu’il va te faire, l’homme tout nu, poufiasse !

– Tout ce que vous voulez, mais laissez-moi me déshabiller, je n’ai pas envie que vous me déchiriez mes affaires.

 

Et Mathilde s’enfuit à l’autre bout de la pièce, Romain tente de la rattraper mais Edith lui bloque le chemin, du coup Mathilde a le temps de se déshabiller en vitesse. Elle s’agenouille à l’envers sur le canapé, la croupe prête à recevoir les assaut du mâle.

 

Edith libère le passage, Romain fonce.

 

– Je vais t’enculer, salope !

– Avec une capote ce serait mieux.

– Bougez pas, je vais en chercher ! Propose Edith

– Magne-toi, j’ai la trique.

 

Il se met la capote à tout vitesse.

 

– Vous ne voulez pas que je vous suce avant ? Demande Mathilde

– Ta gueule poufiasse !

– Oh, vous savez parler aux femmes, vous !

– Tu vas la fermer, oui ?

– Bon, bon, je ne dirais plus rien !

 

Et tel un diable sorti de sa boite, Romain Framboisert se précipite sur Mathilde, lui colle aux fesses et lui introduit sa bite dans le cul.

 

– Whah, ça entre tout seul, tu dois avoir l’habitude de te faire ramoner le cul, hein morue ?

– Vous êtes un poète, monsieur.

– Han ! Han ! Répond l’homme en plein rut.

 

Et sous ces coups de butoir frénétiques, la belle mature commence à haleter crescendo. Romain sent que ça vient et décharge avec un cri de mammifère marin.

 

Il décule, se débarrasse de sa capote, son excitation est calmée.

 

– Je vous présente mes excuses, chère madame, je suis confus, je ne sais pas ce qui m’a pris !

– Ne vous excusez pas, c’est moi qui vous ai provoqué ! Bisou ?

– Bien sûr !

 

Ils s’embrassent, plus un roulage de galoche bien baveux qu’un bisou d’amitié.

 

– Tu devrais le punir de t’avoir enculé ce cette façon ! Suggère Edith.

– Si le cœur vous envie, je me laisse faire ! Répond l’intéressé.

– Ma foi, j’ai comme une envie de pisser, si je faisais sur vous ?

– Ce ne sera pas une punition, mais allez-y, j’adore !

– Faites ça dans la salle de bain ! Intervient Edith, et attendez-moi, j’arrive aussi.

 

Romain y précède Mathilde, puis s’accroupit dans le carré à douche.

 

Edith qui devait finir de se déshabiller n’arrive qu’après alors que la belle mature est déjà en train d’arroser Romain de son joli pipi.

 

– Laisse m’en un peu !

– Mais bien sûr, Monsieur Romain, vous en avez assez bu, veuillez laisser la place à votre charmante épouse.

 

Il firent donc comme cela et ce fut le tour d’Edith de déguster ce qui restait de la pluie d’or.

 

– Si t’as une petite envie, on peut peut-être inverser les rôles ?

– Mais bien sûr, ma coquine, je vais bien te pisser dessus ! Répondit Béatrice, mais ensuite j’aimerai bien que tu me fasses minette.

 

Leurs vessies étant maintenant vidées, elles s’échangèrent un long baiser au goût particulier, avant de sortir du carré, puis Béatrice entraina sa partenaire sur le tapis de bain, où elle se disposèrent en soixante-neuf, chacune tripotant et léchant le cul et la chatte de l’autre, jusqu’à ce que la salle de bain s’emplisse du cri de leur jouissance.

 

Retour sons la douche, pour une petite rincette, elles s’essuient en rigolant et laissent la place à Romain

 

Puis tout le monde reviens dans le salon, on boit un coup, on fume une clope…

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:26

Martinov 22 – Univers parallèles – 11 – Partie carrée par Maud-Anne Amaro

 

stamp partouz

Beautilleux est dépité, cette visite chez Mathilde n’a servi à rien, sinon à l’énerver. Dehors il pleut, il n’a pas de parapluie, il s’en va se réfugier dans un café-brasserie, ruminer sa hargne devant une mousse.

 

Il réfléchit à ce qu’il pourrait bien faire d’intelligent.

 

« Je suis bien con, je n’ai pas une mauvaise retraite, je peux vivre peinard avec pourvu que j’arrête de jouer.' »

 

Et pendant trois jours, il se refait une conduite, enfin presque parce qu’il s’achète quelques jeux à gratter qui évidemment ne lui rapporte rien. Sinon il s’emmerde en regardant la télévision.

 

« C’est pas une vie, ça ! »

 

Dimanche 17 Avril

 

Et le soir du troisième jour il rejoint le club de poker où il a ses habitudes, jure de limiter ses mises, gagne un peu, puis perd et finalement se fait plumer.

 

Il rentre chez lui très énervé et décide de dénicher un coup fumant.

 

« Un truc un peu surnaturel présenté sous un angle inédit, mais quoi ? Les extraterrestres, les petits anges, les fées, les grands anciens, les Templiers ? Que faire avec ça ? Finalement les fantômes, ce n’était pas une mauvaise idée. Il y aura toujours des veuves éplorées désireuses de converser avec feu le mari ou feu l’amant ! Mais pas de table tournante, pas de cercle magique ou d’objets qui s’animent. Non du moderne avec un projecteur d’hologrammes qui diffusera un machin flou, je peux en trouver un pas trop cher sur internet. Il me faudrait aussi un cadran de contrôle bidon avec plein de lumières qui clignotent, un compteur, un cadran graphique et un haut-parleur pour diffuser des phrases incompréhensibles qu’on attribuera au macchabé… »

 

Il se demande néanmoins où il va dégoter pareilles choses.

 

Lundi 18 avril

 

« Oh mais j’y pense, Martinov m’avait donné les coordonnées de son bricoleur informatique et le gars ne me connait pas. Allez, on ne perd pas de temps… »

 

Et il se rend sur le champ à l’atelier de Romain Framboisert

 

– Bonjour monsieur, on m’a donné vos coordonnées, ce serait pour un petit bricolage électronique…

– Vous devez faire erreur, nous sommes une société d’électronique, mais nous ne prenons pas de commandes de particuliers…

– Je paye bien…

– Je m’en doute bien mais c’est non, n’insistez pas.

– Parfois une commande individuelle peut donner de idées pour un produit à exploiter.

– Bon, c’est quoi votre truc ? Brièvement, parce que j’attends quelqu’un.

– En fait c’est un faux cadran pour intégrer dans une attraction foraine.

 

Et là ça fait tilt dans la tête de Romain Framboisert.

 

– Mais qui vous a donné mes coordonnées, monsieur ?

– Alors là, impossible de me souvenir.

– Ce ne serait pas un monsieur Martinov, dés fois ?

– Ce n’est pas un nom qui me parle.

 

Romain aurait bien voulu creuser cette affaire qui n’en était peut-être pas une mais qui l’intriguait. Mais on lui annonça son visiteur, et celui-là pas question de le faire poireauter.

 

– Écoutez, puisqu’il s’agit d’une commande privée, pourriez-vous passer chez moi à 18 heures, on pourrait en discuter calmement.

– Vous accepteriez, alors ?

– J’ai pas dit ça, mais je veux bien discuter. Vous êtes monsieur ?

– Picoche, Jean Picoche.

 

Quand il eut un instant de libre, Romain Framboisert téléphona au professeur Martinov :

 

– Je te passe juste un petit coup de fil en vitesse. Est-ce que tu aurais filé mes coordonnées à un dénommé Picoche ?.

– Picoche, non ça ne me dis rien ! Pourquoi ?

– Rien, juste comme ça un mec a déboulé à l’atelier et m’a proposé une commande privée, il m’a parlé de fête foraine alors ça m’a fait penser à ton client avec l’affaire de la cabine d’ascenseur, au fait on ne sait pas vu depuis, il était satisfait ton client ?

– Tu parles, c’est un escroc faudra que je te raconte, c’est tout un roman !

– Ben passe chez nous demain soir avec Béatrice, tu nous raconteras tout ça !

– Volontiers !

 

Puis alors que la conversation allait prendre fin, Martinov demande à brule-pourpoint :

 

– Ton client tu pourrais me le décrire. ?

– Pourquoi ? 50, 60 ans pas un poil sur le caillou lunette à la Scorsese…

– Ça ressemble à mon escroc, ça fait beaucoup de coïncidences

– Je vais l’envoyer promener alors ?

– Hum, tu dois le revoir ?

– Oui, ce soir !

– Rend-moi un petit service, note tout ce qu’il veut, essaie de percer le bonhomme et bien sûr tu ne t’engages pas… et puis on en parle ensemble.

– On s’en parlera demain.

– Je sens que ça va être chaud !

– Comme d’habitude !

 

Un peu avant 18 heures, Romain rentre chez lui.

 

– Je vais recevoir un type dans 10 minutes, ça ne va pas durer longtemps, mais je voudrais que tu t’arranges pour le déstabiliser. Dit-il à l’adresse de sa charmante épouse.

– Et concrètement ?

– Décolleté osé et sourire enjôleur, ça devrait suffire.

– C’est tout ? Tu ne veux pas que je lui fasse une pipe non plus ?

– Sûrement pas ! Il s’agit de le déstabiliser pas de le chauffer.

– Mais, ça me plaît pas trop ton truc mais bon, si ça peut te rendre service…

– Au fait, Martinov et Beatrice passent demain soir…

– Ah ! Voilà qui me plaît mieux.

 

A 18 heures tapantes, Beautilleux était là, c’est Edith qui lui ouvre, il n’a évidemment que d’yeux que pour le décolleté plongeant de la belle mature.

 

– Alors, expliquez-moi ce que vous voulez ?

 

– C’est juste une attraction foraine, ça n’a aucune prétention, mais faudrait que ça en jette, Je vous ai fait un petit schéma avec les cadrans, tout ça… Il me faudrait aussi un machin qui transforme ma voix, il me faudrait une voix caverneuse, une voix d’outre-tombe, en quelques sorte, c’est possible ça ?

– Oui, c’est possible, ça s’appelle un modificateur vocal, mais la finalité de votre attraction…

– Peu importe, mais disons que je vais faire apparaître un fantôme avec un projecteur holographique…

– Oh, mais c’est super génial votre truc !

 

Beautilleux est ravi de susciter de l’intérêt auprès de son interlocuteur, mais ne peut s’empêcher de bander en regardant le décolleté d’Edith.

 

« A quoi elle joue, celle-ci ? »

 

– Mais les gens vont s’apercevoir que c’est bidon !

– A la fête foraine tout est bidon, c’est un jeu !

– Je ne voudrais pas me mêler de ce qui me regarde pas mais vous aller faire l’entrée à combien ?

– Entre 5 et 10 euros je suppose ! Improvise Beautilleux .

– Donc si vous faites entrer, on va dire 20 personnes par séance, ça vous fait 200 euros ?

– Oui.

– Et combien de séances par jour ?

– Disons dix.

– Donc 2000 par jour ! C’est considérable !

 

Voilà un calcul que Beautilleux n’avait jamais fait. Mais pourquoi pas ? Se dit-il. Voilà qui est moins risqué que d’aller escroquer des veuves. Encore faudrait-il qu’il se fasse accepter par le milieu très fermé des forains. Une autre paire de manches !

 

– La commande vous intéresse ou pas ?

– A priori oui. Mais accordez-moi un petit délai de réflexion

– Bien sûr

– Vous regardez ma femme. Elle vous plaît. ?

– Vous allez m’embarrasser…

 

Beautilleux ne sait plus où se foutre.

 

– Ma femme est un peu exhibitionniste, voyez-vous et moi ça ne me dérange pas. N’est-ce pas Edith ?

 

Celle-ci ne comprenant pas trop à quel jeu joue son mari, ne répond pas et devient rouge comme une tomate.

 

– Vous voudriez peut-être voir ses seins ? Edith, montre un peu tes seins au monsieur !

– Non, mais, ça va pas non ?

– Juste un ?

 

Courroucée, Edith se lève…

 

– Je plaisantais, voyons.

– Ah bon, j’ai eu peur ! Dit-elle en se rasseyant.

 

N’empêche que Beautilleux est maintenant complètement déstabilisé.

 

– Dites-moi, cher monsieur, vous avez toujours travaillé dans le milieu forain ?

– Oui comme ça, des bricoles.

– Moi ce que j’aimais bien, c’était le strip-tease forain, c’était sympa et en plus on pouvait se brancher les filles pour un rendez-vous, les prix étaient raisonnables, ça existe encore ?

– Euh, pratiquement plus, ce n’est pas si rentable que ça, il faut payer les filles, les surveiller… vous comprenez ? Alors qu’avec mon cadran bidon, il y a juste un investissement de départ et après c’est tout bénef !

– Vous devriez érotiser le concept, votre hologramme pourrait montrer une femme à poil, par exemple, ça attirera bien le chaland et vous pourriez monter le prix d’entrée à disons 15 euros. Vous vous rendez compte : ça vous ferait du 3 000 balles par jour !

– Non, non, je veux que ça reste un spectacle familial.

– Vous avez tort, vous pourriez gagner davantage, parce qu’entre-nous les fantômes, les gens s’en foutent.

– Non ils viennent à la fête foraine pour se donner des frissons. Et puis écoutez c’est mon choix.

– Bien sûr ! Et si on s’associait tous les deux ?

– Non, je préfère travailler en solo.

– Vous savez, il y a des types d’associations qui ne sont pas contraignantes, et comme ça je pourrais vous faire tous les réglages au fur et à mesure de vos besoins et puis il y aurait un plus…

– Un plus ?

– Ben oui, ma femme serait à mes côtés, elle est agréable à regarder, non ?

 

« ‘Il commence à me les gonfler, ce mec ! Ce doit être un gros vicelard. »

 

– Euh, j’étais juste venu pour un devis…

– Hum, refaite-moi voir votre papelard, voyons une semaine de travail…

– Une semaine ?

– Faut bien ça ! Je n’ai personne à mettre dessus je vais donc le faire moi moi-même, mais je ne dispose pas de trop de temps.

– Et vous me demanderiez combien ?

– Voyons, vous allez gagner environ 2 000 balles par jour, donc on va dire 20 000 !

– D’accord.

– Je vous compte la TVA ou pas ?

– A votre convenance.

– Vous me règlerez comment ?

– Par chèque ?

– Chèque de banque alors et à l’ordre de Madame Framboisert pour que ça ne passe pas dans la comptabilité. Et un acompte de 10% à la commande.

– Pas de problème. Répondit Beautilleux qui avait encore la maquette du faux chèque sur son ordinateur. Quant au chèque d’acompte il lui demanderait de ne pas l’encaisser et de le considérer comme une caution. Trop facile tout ça !

 

« C’est dingue ! Le mec ne discute même pas, il n’a aucune idée des prix, ses bricolages ça ne coute même pas 200 balles ! »

 

– J’étudie un peu tout ça mais vous aurez une réponse définitive après-demain, mais bon il y a neuf chances sur dix pour qu’on fasse affaire.

– O.K. !

– Réfléchissez quand même à mes propositions : l’hologramme érotique, et la possibilité d’une association.

– Au revoir, j’attends votre coup de fil, au revoir madame !

– Edith, fait un petit bisou à monsieur, voyons !

 

Le bisou est pourtant extrêmement chaste, sans les lèvres, mais il en est tout chose, Beautilleux !

 

Mardi 19 avril

 

Le professeur Martinov a apporté une bonne bouteille, Beatrice a apporté des fleurs, Edith s’est habillée d’un petit haut en voile noir quasi transparent et sans soutien-gorge en dessous, elle porte une petite jupe en vinyle « au ras de la moule » comme disait Frédéric Dard.

 

Ça va donc être chaud comme vous vous en doutez bien, mais avant les galipettes ils conviennent de parler ensemble de l’affaire Picoche alias Beautilleux alias Leloup.

 

– J’ai réussi à le prendre en photo pendant qu’il reluquait les nichons d’Edith.

– Comment t’as fait, je ne me sois aperçue de rien ?

– Parce que je suis très fort ! Voilà la photo, c’est lui ?

– Tout à fait !

– T’as appris quoi ?

– Je vais te dire mais ce serait mieux que tu me racontes d’abord toute l’histoire.

 

Martinov s’exécuta, quand il le voulait le professeur se révélait un excellent conteur capable de scotcher son auditoire.

 

– Et bien quelle salade ! Et tu comptes faire quoi maintenant ?

– Ce n’est plus trop mon problème mais je vais prévenir madame Descloseaux. Je peux lui donner tes coordonnées si elle a besoin de toi ?

– Bien sûr, elle est comment cette dame ?

– Une belle mature, pas farouche. Et sinon tu as appris quoi ?

– Pas grand-chose d’intéressant ce mec ment comme il respire, quand je lui ai demandé pourquoi il ne voulait pas faire dans l’érotisme, il m’a sorti qu’il voulait faire dans le familial ! Je lui ai expliqué qu’il allait gagner moins il s’en tape mais il est prêt à me lâcher 20 000 balles sans discuter, ça aucun sens ! En fait son truc je ne crois pas que ce soit une attraction foraine !

– Et d’après toi ?

– Un hologramme qui joue au fantôme, un cadran à la con pour faire style, ça sent l’arnaque a la petite vieille, !

– Ok je préviens Mathilde.

– Mathilde ?

– Madame Descloseaux.

– Je lui fais son bricolage ou pas ?

– Je te dirais, j’irais voir la dame demain

– Parce que si je le fais je vais être marron pour le paiement

– T’inquiète pas pour ça j’en fais mon affaire, tu voudrais combien ?

– 200 balles

– Quand je pense que tu as demandé 20 000 balles à l’autre guignol, t’es vraiment un enfoiré !

– Hi Hi ! Quel langage, Martinov. Bien, plus de question ? On se boit un petit apéro ? Après détente et pour finir un bon gigot, il ne brulera pas on l’a mais en cuisson lente, ça vous va comme programme ?

 

L’apéro est bu rapidement, sur la table, à côté des inévitables cacahuètes grillées, les Framboisert avaient disposé une soucoupe avec des capotes et du gel intime et à côté un gode-ceinture et un petit martinet.

 

Tout le monde se connaît bien, on sait pourquoi on est là, donc pas de préambule, ni de mise en scène… Béatrice et Edith se roule un patin en se tripotant, tandis que ces messieurs se débarrassent de leur vêtements.

 

Martinov et Romain sont debout l’un devant l’autre, spontanément chacun attrape les tétons de son vis-à-vis, les serre et les tortille. L’effet sur les bites est immédiat, ça bande très dur.

 

Le professeur se baisse et gobe la bite de Romain.

 

– Regarde-moi ses deux pédés ! Fait semblant de s’offusquer Edith.

– Ça t’excite, hein ? Répond Béa.

– Tu m’étonnes ! Ça faisait un petit moment que je ne les avais pas vu se faire des trucs ensembles, ces deux-là !.

 

Les deux femmes se déshabillent à leur tour, puis Edith vient narguer Martinov :

 

– Elle est bonne, la bite de mon mari, hein ?

– Mmm ! Répond le professeur qui ne sait pas parler la bouche pleine.

– Et après il va te la foutre dans le cul !

– Mmm !

 

Béatrice, elle, ne dit rien trop occupée à lécher les jolis seins d’Edith Framboisert.

 

– Oh, mais qu’est-ce que fais, toi ! Grosse coquine !

– Je te lèche les nichons, tu n’avais pas remarqué ?

– Si mais ça fait trois heures que tu me lèches le droit, le gauche va être jaloux.

– On y va, on y va ! Et après c’est ta chatte que je vais lécher.

– Et mon trou du cul…

– Bien sûr !

– Allez viens sur le canap’, je suis trop excité.

 

Et Edith s’y affale, assise sur le bord et les cuisses relevées.

 

– Allez, viens dire bonjour à mon minou.

– Bonjour minou !

– Je voulais t’offrir mon pipi, mais j’ai pas pu me retenir, mais je me suis pas essuyée.

– Tant mieux !

– Maintenant que j’y pense, je ne me suis pas essuyé derrière non plus.

– Mais vous êtes dégoutante, chère madame ! Fait semblant de s’offusquer Béatrice.

– Que veux-tu, parfois j’oublie de faire des choses.!

– Et tu crois vraiment que je vais te le lécher.

– J’y compte bien ! Sinon c’est dix coups de martinet.

– Eh bien vas-y donne-moi du martinet, on verra bien si ça me fera changer d’avis.

– Mademoiselle est très joueuse, à ce que je vois !

– Très !

 

Edith s’empare du martinet et demande à Béa de se coucher sur le canapé, puis se met à fouetter.

 

– Qu’est-ce que c’est que cette vilaine fille qui ne veut pas nettoyer le trou du cul de sa copine ?

– Ouin !

– C’est ça, gueule !

 

Amusés par ce petit spectacle, Martinov et Romain ont interrompu leur petit dévêtissement pour jouer les voyeurs..

 

Au bout de dix coups, Edith s’arrête.

 

– Oh là là ! T’as tapé un peu fort, j’ai les fesses en feu !

– Fallait me le dire, ma bibiche, je n’avais pas l’intention de t’abîmer.

– C’est pas grave, et puis j’aime bien ça de temps en temps !

– Alors, tu vas me le lécher mon trou du cul, maintenant ?

– Mais certainement.

 

Le trou du cul d’Edith n’était pas si pollué que ça, cependant il ne sentait pas la rose non plus. Mais Béatrice n’en avait cure et léchait d’abondance lui humectant le trou de balle de sa salive

 

– Hum, qu’elle odeur ! ça sent l’andouillette !

– Comment ça, ça sent l’andouillette ? Tiens la prochaine fois que tu viendras j’achèterai une andouillette je te la fouterai dans le cul et après je te la ferais bouffer.

– Quelle imagination ! Bouge pas, je vais mettre un doigt.

 

Béatrice se mit alors à pilonner l’anus de la jolie brune à une cadence infernale à ce point que celle-ci ne tarda pas à jouir du cul en braillant comme une mouette…

 

Les deux hommes ont profité du spectacle en se branlant mutuellement mais en mode escargot.

 

– J’aimerais bien que tu m’encules ? Demande le professeur à Framboisert.

– Mais avec plaisir mon cher Martinov, mets-toi en position je vais te gâter.

 

Romain s’encapote et lubrifie le trou du cul du professeur d’une noix de gel. Une petite poussée, ça entre, une autre poussée, ça entre profondément.

 

– C’est bon ?

– J’adore ça ! Aaaah !

– Dis le que tu aimes te faire enculer ! Ça va exciter ces dames !

– Oui, j’aime me faire enculer ! J’aime avoir une bite dans le trou du cul.

– Et t’as pas honte ? Fait semblant de s’offusquer Edith.

– Ah, non pas du tout ! Aaah c’est trop bon, qu’est-ce que tu m’encules bien.

– Quels cochons !

– Toi la salope, je me passe de tes commentaires ! Lui répond son mari, par pure provocation.

– Dis donc gros pédé, tu m’as bien traité de salope ?

– Oui, pourquoi ?

– Je vais me venger !

 

Edith passe alors le martinet à Béatrice en lui demandant de cingler le postérieur de Romain, puis elle se débrouille pour se glisser sous Martinov afin de lui sucer la bite.

 

Voyez donc un peu le tableau : Martinov est sodomisé et sucé, tandis que les fesses de Romain rougissent à vue d’œil.

 

Tout cela finit par fatiguer notre enculeur qui fait signe à Béa d’arrêter de lui martyriser le cul, et il sort sa bite du cul du professeur sans avoir joui.

 

– Alors c’était bien ?

– Un petit goût de trop peu, mais c’était délicieux.

– J’ai envie de pisser, je peux me lâcher !

– Vas-y !

– On va aller dans la salle de bain, tu en veux aussi Beatrice.

– Bien sûr.

 

Notre trio s’installe dans la salle de bain, Béatrice et Martinov, côte à côté à genoux et bouche ouverte. Romain ouvre les vannes et vise alternativement les deux bouches. Béa se régale, Martinov est plus réservé, il a accepté le jeu un peu par politesse et pas mal sous l’effet de l’excitation, il l’a déjà fait, mais il préfère l’urine des femmes à celle des hommes. Quelle différence me direz-vous ? Aucune, c’est purement psychologique !

 

Ils reviennent dans le séjour. Edith saute au cou du professeur et lui attrape la bite de sa petite main agile.

 

– Alors, mon petit Martinov, maintenant que tu t’es bien fait enculer, tu vas pouvoir t’occuper un peu de moi ?

– Mais avec plaisir ! Humm qu’est-ce qu’il sont beaux tes seins !

– Ben caresse-les, qu’est-ce que tu attends ?

 

Il n’attendait rien, il pelote, il caresse, il bisouille, il lèche, il tète les bouts. Ça le rend fou.

 

Edith se don côté, sous prétexte de lui maintenir son excitation, lui tord ses tétons.

 

Et on ne sait trop comment mais les voilà tous les deux qui se retrouve en soixante-neuf sur le canapé, Edith avec la bite du professeur dans la bouche et ce dernier gamahuchant sa partenaire à grands coups de langue.

 

Béatrice redoutait un peu cette tournure, cette dernière est peu portée sur les hommes même si elle fait régulièrement des exceptions, Martinov en étant la principale, mais il se trouve que Romain Framboisert, sans qu’elle ne sache vraiment dire pourquoi ne l’attire pas du tout. Alors tant qu’il s’agit de partouze, ou de se contenter de tâter de la bite, pourquoi pas, mais faire des choses plus rapprochées comme par exemple l’embrasser sur la bouche, la gêne terriblement.

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Alors, elle prend les devants et réduit l’homme à l’état de bite sur pattes. Elle commence déjà par le sucer avant de lui demander de l’enculer !

 

Voilà qui est bizarre, me direz-vous, on refuse d’embrasser le partenaire, mais on accepte de se faire enculer ! Où est la logique ?

 

La logique, c’est que dans ces circonstances , la sodo n’est que du sexe et rien que du sexe. Et d’ailleurs pour recevoir la bite qui va lui ramoner le cul, c’est en levrette qu’elle se positionne. Ainsi elle ne verra pas le visage de son partenaire.

 

Une petite souris qui passerait par-là aurait donc vu à ce moment-là, Romain enculer Béatrice et Martinov faire subir le même sort à Edith. Le paradis des enculés, aurait dit notre petite souris..

 

Edith a demandé au professeur de ne pas jouir dans son cul.

 

– Ton sperme je le veux dans ma bouche.

 

Martinov tente de se maîtriser tandis qu’Edith commence à gémir sous les coups de butoir de son adversaire, elle finit par jouir du cul assez bruyamment comme elle en l’habitude. Martinov décule, retire prestement la capote et se branle devant le visage de la belle mature brune, sa bouche ouvert en avale un peu, le reste atterrit sur le nez et le menton, elle récupère tout ça avec ses doigts qu’elle suce vicieusement. Puis les deux amants s’embrassent tendrement.

 

Voilà une conclusion qui donne des idées à Romain.

 

– On fait pareil ?

– Non, non, je veux te sentir jouir dans mon cul !

– Tu me nettoieras la bite, après ?

– Ça si tu veux !

 

On ne peut pas non plus tout refuser…

 

Romain a beau ne pas être le genre d’homme de Béatrice, n’empêche qu’il encule bien, vous me direz, ça n’a rien à voir, je sais bien. Et il parvient à faire jouir Beatrice.

 

Encore quelques coups de piston et il décharge et se décapote. Notre petite chimiste n’a plus qu’à effectuer le petit nettoyage de bite qu’elle avait promis à son partenaire.

 

Tout le monde est exténué, on boit un coup, les fumeurs fument, on hésite à se rhabiller.

 

Edith propose de passer à table, le gigot étant maintenant cuit comme il convient.

 

– J’aurais bien aimé qu’on m’encule, moi ! Proteste Romain.

– Ne t’inquiète pas, après le repas, je vais te faire ça bien ! Lui répond le professeur.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:22

Martinov 22 – Univers parallèles – 10 – Martinov et ces dames par Maud-Anne Amaro

StampBea

 

Samedi 2 avril

 

Le lendemain, Mathilde se rendit chez le libraire ésotérique qui avait publié l’opuscule de Beautilleux sur les univers parallèles.

 

– Ah ! Ça fait longtemps que je ne vous avais pas vu, j’ai pas mal de courrier.

– Les ventes marchent bien, alors ?

– Oui pas mal, surtout par Internet !

– Il devrait peut-être en écrire un autre ?

– Pourquoi pas, mais sur un autre sujet, alors, parce que pour les univers parallèles, à mon avis, il a fait le tour de la question !

– Vous auriez une suggestion ?

– Pourquoi pas les fantômes, un petit bouquin dans le même esprit que le précèdent et maintenant que l’auteur a acquis une certaine notoriété…

– Je vais essayer de lui en parler, mais il ne m’écoutera pas, il est assez misogyne, voyez-vous ! Par contre si vous, vous lui téléphoniez…

– Je vais le faire !

 

Beautilleux ne se sent plus pisser, les nouvelles sont bonnes même si les rentrées d’argent consécutives aux droits d’auteurs sont longues à venir. Il accepte évidemment la proposition du libraire.

 

Il consulte à la bibliothèque nationale ce qui s’est déjà écrit sur le sujet, il est stupéfait par l’accumulation de stupidités que l’on peut y lire. Mais il comprend la méthode généralement employée consistant à noyer le lecteur avec une profusion de termes abscons, ce qui fait que celui-ci va vite renoncer à l’usage d’un dictionnaire pour gober sans comprendre. Il note aussi quelques titres afin de les reporter en références. Les références et les notes de bas de pages, ça fait toujours sérieux même quand elles renvoient à des absurdités.

 

Puis il se met à écrire :

 

« Le cerveau physique se détruit à la mort de l’individu, mais son contenu s’échappe en conservant sa cohérence et constitue alors un plasma holographique. L’ectoplasme ainsi constitué peut voir, entendre, sentir, mais ne peux parler. Il peut prendre une forme proto-humaine, mais la plupart du temps, il reste flou, voire invisible. On ignore si la situation des fantômes est pérenne ou non. A priori l’ectoplasme ne peut rester physiquement stable indéfiniment. On ignore pourquoi certains fantômes hantent les lieux qu’ils ont fréquentés. En fait beaucoup de questions restent sans réponse. Sans que l’on puisse l’expliquer, un ectoplasme peut communiquer avec le monde des vivants soit en utilisant la télékinésie soit par l’intermédiaire d’un médium »

 

« Voilà un joli commencement ! »

 

Beautilleux travailla tard la nuit, restant éveillé à coup de café, mais finit par s’endormir sur sa table au petit matin.

 

Mardi 5 avril

 

Bref, trois jours après, le manuscrit du nouvel opuscule était fin prêt. Comme la fois précédente, le libraire proposa quelques correctifs que Beautilleux accepta sans sourcilier.

 

Vendredi 8 avril

On imprima, on fit un peu de pub pour la conférence de lancement, tout allait bien.

 

Beatrice avait rendez-vous en soirée avec Brigitte Silverberg, son amie détective, dans un restaurant de fruits de mer parisien. Les deux femmes sont heureuses de se retrouver et bavardent comme des pies.

 

– Tu sais ce qui va t’arriver tout à l’heure ?

– Oh, maman, j’ai peur ! S’amuse Bea.

– Au fait, tu en es où avec ton mauvais payeur ?

– Pour l’argent, on l’a récupéré, mais c’est toute une histoire…

 

Et Beatrice lui raconte tout ce qu’elle sait avec force détails.

 

– Eh bien quelle salade !

– Comme tu dis, donc Beautilleux s’apprête à donner une conférence pour lancer son nouveau bouquin débile, je vais y aller avec Martinov, Inès et madame Descloseaux. Le but de l’opération est de lui casser sa baraque en l’accusant d’escroquerie devant tout le monde !

– Ça risque d’être amusant, je peux venir ?

– Bien sûr, plus on est de fous… Tu pourrais même intervenir en premier, ce serait génial puisque personne te connaît.

– Comment ça ?

– Je vais t’expliquer…

 

Et quand le repas fut terminé…

 

– Tu viens chez moi, boire le dernier verre ?

– Je me méfie de tes « derniers verres ».

– Tu ne veux pas venir ? tu ne veux pas jouer à être ma petite esclave que je vais punir bien comme il faut !

– Oh ! Si !

 

Arrivées chez elle, elles boivent tranquillement le fameux dernier verre qui ne fut pas alcoolisé, les deux amies ayant déjà sifflé une bouteille de bon pinard au restaurant.

 

– J’ai envie d’être très méchante aujourd’hui ! Annonça Brigitte.

– Ce n’est pas un problème !

– Evidemment si tu en as marre, tu arrêtes.

– J’espère bien.

– Alors, on se met à poil !

 

Après qu’elles se furent déshabillées complètement, Brigitte annonça à sa victime consentante qu’elle allait lui attacher les mains.

 

– Non, tu ne m’attaches pas !

– Tu n’as pas confiance ?

– La question n’est pas là, personne n’est à l’abri d’un coup de folie, alors tu me fais ce que tu veux, mais tu ne m’attaches pas.

– Je vais faire des liens lâches que tu pourras enlever facilement, d’accord ?

– Bien lâches, alors ?

 

Effectivement l’attachement fut plus symbolique et fun qu’autre chose.

 

Brigitte s’assoit dans le fond du canapé et relève ses jolies jambes.

 

– Embrasse-moi un peu les nichons et après tu vas me lécher la chatte.

 

Pour l’instant ça n’avait donc rien de méchant, Béatrice se régala des tétons turgescents de la belle détective privée avant de descendre lui lécher la minouche.

 

– Lèche moi bien, sale gouine ! Gougnotte dépravée !

 

Béatrice ne peut s’empêcher de rire.

 

– Et ça te fais rire, grosse pouffe, tu vas voir ce qui va t’arriver ! Continue de lécher, je ne veux plus t’entendre, ou plutôt non, attend un peu…

 

Brigitte prend les cheveux de sa soumise de façon à rapprocher son visage du sien.

 

– Ouvre la bouche !

 

Martinov22J1La brune lui crache dedans plusieurs fois de suite. Béa avale sans broncher.

 

– T’as pas honte de te faire cracher dessus ?

– Non !

– Alors tiens !

 

La gifle n’est pas très forte, mais c’est quand même une gifle, pas une caresse. Une seconde suit dans la foulée.

 

– Allez, lèche !

 

Et c’est qu’elle lèche bien Béatrice, elle aime ça, et elle se régale de cette chatte dégoulinante de mouille. Brigitte sens monter son plaisir et se tortille comme un asticot.

 

Béa croit alors que sa partenaire va s’abandonner au plaisir, mais non, elle préfère le retarder, elle se retourne et lui présente son cul.

 

– Lèche moi mon trou à merde. Tu sais tout à l’heure au restau quand j’ai été aux toilettes, j’ai été chier et je ne me suis pas essuyé. Je l’ai fait exprès, ça sent la merde, n’est-ce pas ?

 

Brigitte bluffait probablement, mais fun pour fun la jeune chimiste alla dans son sens.

 

– J’aime l’odeur de ton cul !

– Vicieuse, trainée ! Hum tu me lèches bien mon trou du cul, reviens sur ma chatte maintenant, je vais partir.

 

Pratique assez peu hygiénique, diront d’aucuns, mais il suffit de bien se nettoyer après…

 

Brigitte ne se retourna pas et resta cul contre langue, Béa n’eut que quelques coups de langues à donner sur le clitoris de la brune pour que celle-ci jouisse dans un hurlement de damnée.

 

Pour la remercier de lui avoir donné du plaisir la détective ne trouve rien de mieux à faire que de cracher de nouveau au visage de sa soumise et de la gifler. Béatrice qui a l’entrecuisse inondée, se garde bien d’élever la moindre protestation.

 

Brigitte abandonne sa victime quelques instants et revient harnaché d’un gode ceinture de taille respectable

 

– Suce ! suce ma grosse bite !

 

Béa ne voit pas trop l’intérêt de la chose, mais puisque ça a l’air de faire plaisir à sa tourmenteuse qui pendant ce temps-là s’amuse à lui gifler les seins.

 

– Et maintenant je t’encule !

 

Voilà qui convient mieux à notre blondinette qui offre ses fesses à sa dominatrice. La chose entre plutôt facilement et ç’est parti pour un pilonnage en règle.

 

– Ça te plait d’avoir une bite dans ton trou du cul de salope !

– Oui. Aaaaah…

– C’est pas vrai que tu vas jouir déjà !

– Aaaaah !

– Non mais c’est pas vrai, quelle vicieuse !

 

Brigitte se dégage de l’anus de Béatrice ressortant le gode pollué de matière.

 

– Lèche !

 

Béatrice qui s’est libéré de ses liens,  hésite à la façon d’un plongeur qui retarde le moment qu’il sait inéluctable.

 

– Ben alors ? Fais mine de s’impatienter Brigitte.

– On y va !

 

Béatrice respire un grand coup, puis entreprend de prendre le gode dans sa bouche et de le lécher consciencieusement.

 

– Fais-moi gouter ! Lui dit Brigitte après un instant.

 

Et les voilà en train de lécher de conserve le gode merdeux.

 

Après quoi, elles s’embrassèrent… Un baiser brun comme disent les spécialistes, mais néanmoins passionné.

 

– Et si je disais à Monsieur René de monter avec son chien ?

– Hum , ça me paraît une très bonne idée !

 

Cinq minutes plus tard, René était là revêtu d’une simple robe de chambre, accompagné de son chien Husky.

 

– Viens mon toutou, viens dire bonjour aux belles dames.

 

Le chien déboule en remuant la queue, Brigitte et Béa le couvrent de caresses, des caresses bien sages, du moins pour le moment.

 

– Je fais quoi, moi ? Demande René.

– Rien, tu t’assois, tu regardes et tu as la permission de te branler.

 

Les caresses des deux femmes deviennent osées, le chien se couche sur le côté, sa bite est sortie de son fourreau et passe d’une bouche à l’autre.

 

Les deux coquines s’en lèchent les babines.

 

– Tu vas te faire grimper maintenant ? demande la détective.

– Je suis prête.

 

Brigitte chausse les pattes de devant du chien avec des gants de toilettes, Béatrice à quatre pattes attend l’assaut, Le chien lui grimpe dessus, sa bite cherche l’ouverture, la trouve et se met à s’agiter avec une frénésie incroyable, le pénis semble grossir, la jeune chimiste enchaine orgasme sur orgasme tandis que sa partenaire vient en-dessous d’elle lui lécher les tétons. Le chien s’immobilise, semble collé pendant plusieurs minutes avant de se retirer avec un bruit incongru.

 

Béa repu et satisfaite tombe dans les bras de sa complice, tandis que sur sa chaise René finit de se masturber.

 

– J’ai soif, donne-moi à boire !

 

Lundi 11 avril

 

La salle de conférence est un peu moins remplie que la dernière fois, mais cela n’émeut guère notre escroc qui ne s’aperçoit pas de la présence dans la salle de Mathilde Descloseaux et d’Inès Kermaillard, mais aussi de Béatrice. Ces dames perruquées et chaussées de lunettes noires sont méconnaissables. Quant à Brigitte Silverberg, il ne la connaissait pas.

 

Ce n’est pas Beautilleux qui parla le premier mais le libraire qui débita un court spitch vantant les mérites de l’auteur et de son premier opuscule.

 

– Un texte remarquable, sortant des sentiers battus en ouvrant des perspectives insoupçonnées… Conclut-il doctement.

– Et ça ne vous dérange pas d’être le complice d’un escroc ! Intervient Brigitte en coupant l’orateur.

 

Mouvements divers et réprobateurs dans la salle, qui réagit négativement aux propos de la perturbatrice. Normal, les gens n’aiment pas qu’on vienne bousculer leurs certitudes.

 

– On se calme, on se calme ! Commence le libraire.

 

Mais Inès intervient à son tour :

 

– La dame a raison, cet individu m’a escroqué de 15 000 euros.

– Moi aussi, renchérit Béatrice, ses univers parallèles sont des bidonnages pour escroquer les gens !

 

Brouhaha indescriptible !

 

– Je ne sais pas si c’est un escroc, mais c’est un incapable, intervient une dame que l’on n’attendait pas, je lui ai demandé de m’envoyer dans un univers parallèle dans lequel mon mari serait toujours vivant, il n’a pas su faire, c’est bizarre quand même !

 

On ne s’entend plus, on s’invective, Mathilde à son tour en rajoute une couche. Deux bonnes femmes en viennent pratiquement aux mains. Béatrice se marre.

 

– Messieurs dames s’il vous plaît ! S’égosille le libraire en tapant sur sa table avec le poing.

– Escroc, voleur, bandit !

– Ouh !

– Gauchiste !

 

Les noms d’oiseaux fusent de droite et de gauche.

 

– Manifestement, tente de dire le libraire, des éléments perturbateurs sont venus saboter la conférence ! Elle sera donc reportée à une date ultérieure.

 

Et il se lève pour quitter la salle !

 

– On ne fait pas la vente dédicace ? Lui demande naïvement Beautilleux !

– Non, on ne fait pas la vente dédicace !

 

Brigitte, Mathilde, Inès et Béatrice quittent la salle à leur tour heureuses du joyeux bordel qu’elles ont créé et sans s’occuper de l’ambiance délétère qu’elles laissent derrière elles !

 

Elles vont boire un verre ensemble, histoire de faire plus ample connaissance puisqu’elles ne se connaissent pas toutes réciproquement. Et pour faire bonne mesure, Mathilde invite tout ce petit monde à venir sabler le champagne le mercredi chez elle en fin d’après-midi et précise que le professeur Martinov sera évidemment le bienvenu.

 

– C’est quoi ce bordel ? Hurle le libraire dans les coulisses. Vous avez une explication ?

– C’est un coup monté ! Répond bêtement Beautilleux.

– Et votre secrétaire, elle joue à quoi ?

– Ma secrétaire ?

– Ben oui votre secrétaire ! Elle était bien là en train de vous invectiver avec les autres !

– Je ne comprends pas !

– Oui ben moi je comprends trop bien, je ne sais pas ce que vous avez foutu, mais je ne veux en aucun cas être mêlé à vos magouilles ! Je suis un honnête homme, moi !

– Y’a pas de magouilles ! Et mon bouquin alors ?

– Il se vendra sur Internet en province, à moins que je décide de foutre tous les exemplaires au pilon !

 

Et c’est ce qu’ordonna dans la foulée, le libraire et pour faire bonne mesure il en profita pour faire pilonner également le stock résiduel du premier opuscule.

 

Beautilleux erre dans les rues de Paris, en pleine confusion mentale, il ne sait plus quoi faire, n’a plus de projets.

 

Rentré chez lui il trouve dans son courrier électronique une sommation à payer émanant d’Inès Kermaillard !

 

 » Bof ! Un formulaire sans aucune valeur piqué sur Internet. Inutile de m’affoler, mais je fais quoi, je lui rends ce qui reste ? J’essaie de le jouer au poker ? J’investis dans un coup, mais il me faudrait une idée ? »

 

Mardi 12 avril

 

D’idée, il lui en vient une : modifier légèrement ses manuscrits, modifier les titres et les proposer à une autre librairie ésotérique, il y en a plusieurs dans Paris, et ces gens ne s’estiment guère entre eux, mais personne n’en veut comme si un invisible téléphone arabe avait été déclenché.

 

Mercredi 13 avril

 

Le lendemain, il décida de se rendre chez Mathilde, comme ça, sans plan précis, afin de faire exploser sa rancœur. Auparavant, il s’acheta un pistolet d’alarme histoire d’impressionner son monde.

 

C’est Fabienne, la soubrette qui lui ouvre :

 

– Je vais voir si Madame peut vous recevoir, c’est de la part ?

– Beautilleux, vous ne me reconnaissez pas ?

– Je suis myope, monsieur !

 

Quelques instants plus tard, elle revenait munie des instructions de sa patronne :

 

– Madame vient de sortir, elle sera là à 17 heures, mais j’ignore si elle consentira à vous recevoir !

– Allez-vous faire enculer !

– Avec plaisir, mais surement pas par vous !

– Conasse !

– Non, Fabienne, monsieur !

 

Il revint plus tard à l’heure indiquée

 

– Madame Descloseaux ne pourra probablement pas vous recevoir, nous avons du monde.

– Insistez, j’en ai pour une minute

 

« Tant mieux s’il y a du monde, je vais lui foutre la honte devant ses invités ! »

 

La soubrette revint l’informer qu’il pouvait entrer et que Madame pouvait lui accorder cinq minutes, pas une de plus.

 

Il entre et là il ne comprend plus rien, trois femmes et un homme sont installés dans des fauteuils en compagnie de Mathilde qui vient de se lever.

 

Mais sa surprise est encore plus grande quand il découvre que l’une des femmes est Inès, l’autre, Béatrice, il ne connaît pas Brigitte mais l’homme c’est le professeur Martinov.

 

– Qu’y a-t-il pour votre service, jeune homme ? Lui demande posément Mathilde.

– C’est dégueulasse ce que vous m’avez fait ! Eructe Beautilleux.

– Je croyais que tu étais venu me rendre mon fric ! Lui balance Inès.

– Vous n’aviez pas à me traiter de cette façon ! Répète-il, on aurait pu s’arranger autrement.

– Ah, oui et comment ? Persifle Inès

– On aurait bien trouvé.

– On aurait rien trouvé du tout, si tu n’as rien d’autre à nous dire, débarrasse-nous le plancher et va chercher l’argent.

– C’est vous qui m’avez foutu dans la merde ! Hurle-t-il en pointant un doigt accusateur en direction de Mathilde, moi je voulais juste me faire un peu de sous en écrivant des bouquins…

– Des trucs de charlatans ! Le coupe Mathilde.

– Qu’est-ce que vous en savez, vous n’y connaissez rien.

– Ce que je sais c’est que tu m’as fait marron de 15 000 balles ! Réplique Inès

– Et alors, je vous les aurais rendus, mais vous ne m’avez pas laissé de temps. Vous m’avez manipulé avec vos gros nichons et votre gros cul…

– D’abord, elle n’a pas un gros cul et si tu ne dégages pas de suite on va t’aider à trouver la sortie ! L’invective Mathilde

– Empêcher un écrivain de s’exprimer, c’est dégueulasse

– Les chèques falsifiés aussi, maintenant dehors ! Fabienne raccompagne moi ce clown à la porte.

– Je connais le chemin, mais vous n’avez pas fini d’entendre parler de moi !

– Tant mieux, ça nous distraira.

 

Nous avons là dans le salon de Mathilde, quatre femmes chaudes de la culotte, ainsi que le professeur Martinov qui n’est pas avare de croustilleries, sans oublier Fabienne. Il va donc probablement se passer quelque chose.

 

Béatrice, bien coquine a soufflé dans l’oreille de Brigitte que les deux matures n’étaient guère farouches. Tout est prêt pour une petite partie, il ne manque que l’élément déclencheur.

 

Pour l’instant on boit, on rigole, Brigitte tient la vedette en racontant quelques-unes des plus pittoresques enquêtes de détective privée. Mais pour l’instant personne ne parle de sexe.

 

C’est Mathilde qui tente un ballon d’essai.

 

– Fabienne ! Va chercher une autre bouteille !

 

En même temps, elle lui souffle quelque chose à l’oreille. Fabienne se marre.

 

La soubrette revient et remplit les coupes.

 

– Mais Fabienne, ôte-moi d’un doute, tu n’as pas mis de culotte, n’est-ce pas ?

– Non, madame, je n’ai pas mis de culotte.

– Et tu n’as pas honte ?

– Non madame, j’aime bien avoir la chatte au frais.

 

Tout le monde s’esclaffe.

 

– Non mais quel culot ! Fais-nous voir.

 

Et voilà la Fabienne qui tourbillonne, en soulevant sa jupette montrant ainsi cul et chatte à toute l’assistance.

 

Il faut juste maintenant que quelqu’un suive et la partie pourra démarrer.

 

C’est Brigitte qui s’y colle !

 

– Quelles belles fesses, on peut toucher ?

– Bien sûr, à moins que Fabienne s’en aille en courant.

 

Mais Fabienne se laisse peloter. Du coup Béatrice en fait autant.

 

Inès qui est assise à côté de Brigitte lui fait un sourire complice fort explicite

 

– Ça devient chaud ! Dit-elle.

– Hé !

– Vous avez beaucoup de charme !

– Mais vous aussi ma chère !

 

Les deux visages se rapprochent. Et hop les voilà qui se roulent une pelle, tandis que les mains s’égarent et caressent.

 

– Mais elles sont déchainées ! Dit Béatrice à Mathilde en lui faisant les yeux doux.

– Ça fait envie, n’est-ce pas ?

– Bisous ?

 

Et voilà un second couple de formé.

Martinov22j2

Et Martinov, il fait banquette ? Mais non, c’est Fabienne qui vient le voir, s’assoit sur lui par devant et entame une chevauchée de façon à ce que sa chatte touche la braguette de l’homme, une sorte de laps dance en quelques sorte. Et comme elle connait les petites ficelles de cette pratique, elle ouvre la chemise du professeur, trouve ses tétons et les serre dans ses petits doigts délicats. Il bande Martinov, il bande même très fort.

 

Spontanément, Inès s’est dégagé un nichon qu’elle offre à la langue agile de Brigitte.

 

– Vous avez une superbe poitrine !

 

– Lèche-moi, c’est bon !

– Comme ça ?

– Oh oui ! Répond-elle en dégageant l’autre sein, je peux être très salope, parfois.

– Ça tombe bien, moi aussi, je vais te les bouffer tes seins.

– Tu me boufferais la chatte aussi ?

– Bien sûr.

 

Et les voilà qui se dirigent vers le canapé, ça tombe bien, c’est un grand canapé d’angle avec de la place pour tout le monde.

 

On a droit alors à une scène hallucinante. Fabienne qui avait à présent la bite de Martinov dans la bouche est dérangée par sa patronne qui malgré le fait qu’elle se fasse lécher les nénés par Béatrice a néanmoins les yeux partout :

 

– Fabienne, va chercher de grandes serviettes et va recouvrir le canapé.

 

C’est beau le sens pratique !

 

Ce pauvre professeur se retrouve avec la bite à l’air sans savoir s’il y a aura une suite ou pas…

 

Mais Fabienne revient vite.

 

– Vous permettez mesdames, je pose ça en vitesse et je vous laisse vous amuser, moi je retourne sucer la bite de ce gentil monsieur.

 

Le professeur a à peine débandé pendant cette interruption, Fabienne peut donc reprendre sa pipe.

 

– Soulève un peu tes fesses ! Lui dit la soubrette qui avait le tutoiement facile.

 

Martinov ne répond pas mais marque son étonnement, alors la fille explique :

 

– Tu ne veux pas que je t’enfonce un doigt dans le cul ?

– Ah ? Si, si, j’aime bien !

 

Fabienne demande alors au professeur de se changer de position « parce que c’est plus pratique », il se place donc à genoux sur le fauteuil, le visage tourné vers le dossier. Fabienne peut ainsi lui doigter le trou du cul plus facilement.

 

C’est qu’il aime ça notre vert professeur, d’ailleurs il ne tarde pas à émettre des grognements de plaisir.

 

– Et un gode tu aimes ?

– Oui !

– Alors, bouge pas, garde la position, je vais en chercher un !

– Il n’est pas trop gros quand même ?

– Mais non !

 

Sur le canapé, Ines a dégagé la poitrine de Brigitte et c’est à son tour de se régaler de ses beaux nichons. Puis prise de frénésie elles enlèvent tous leurs vêtements. Inès peut ainsi admirer le corps parfait de la belle détective.

 

– Whaouh ! S’écrie Inès.

 

Brigitte écarte ses cuisses, invitant sa partenaire à venir s’occuper de son intimité. Celle-ci évidemment ne se dérobe pas, elle doigte, elle lèche et se régale, et tandis que se doigts ont accrochés les tétons et les serre fortement, La jolie détective finit par jouir en libérant un geyser de mouille.

 

– Occupe-toi de moi ! Dit ensuite Inès à sa complice I

 

De son côté, Mathilde s’est employée à dépoitrailler Béatrice.

 

– Quelle belle poitrine !

– On fait ce qu’on peut.

– Je peux gouter ?

– Bien sûr.

 

Mathilde s’éloigne de quelques pas et s’en va chercher un verre de champagne entamé sur la table, ce n’est pas le sien mais ça n’a aucune importance. Revenue près de Béa, elle fait couler un peu de liquide sur son sein avant de le laper.

 

– On t’avais déjà fait ça ?

– Oui, mais avec une autre sorte de champagne.

 

Béa se demande si sa partenaire comprend l’allusion, celle-ci ne répond pas et se contente de lécher ce sein au goût particulier.

 

Puis Mathilde se déshabille entièrement, elle prend la main de Béatrice, celle-ci pense alors qu’elle va la mener jusqu’au canapé où continue de s’ébattre Inès et Brigitte.(nous y reviendrons), mais non, elle la fait sortir de la pièce et l’entraine jusqu’aux toilettes.

 

– Je vais faire pipi ! Dit simplement Mathilde.

 

Béatrice vient de comprendre la manœuvre. Peu certaine du sens de son allusion sur « l’autre champagne », la mature choisit donc de la tester.

 

– Et tu voudrais que je lèche après ? C’est ça le jeu ?

– C’est comme tu veux !

– Alors je veux bien.!

– Si tu veux je vais pisser debout, tu verras mieux !

– Bonne idée.

 

Mathilde retiens son souffle et ouvre de suite les vannes. Et c’est qu’elle avait une grosse envie la mature ! Un véritable torrent doré qui dégringole dans la cuvette avec un bruit de cascade.

 

Béatrice se dit que provocation pour provocation, autant y aller de bon cœur, et elle tend la main vers le jet se laissant asperger les doigts, elle les porte ensuite à la bouche en regardant vicieusement sa compagne de débauche.

 

– Salope ! Commente simplement Mathilde avec un grand sourire.

– Eh oui !

– Tu fais ça souvent ?

– C’est mon petit péché mignon, j’adore ça… Alors quand j’ai l’occasion… Et toi ?

– Moi, j’ai Fabienne sous la main, sinon, c’est plutôt rare, je ne fais jamais le premier pas, je ne sais pas pourquoi, d’ailleurs.

– Et avec Fabienne, tu donnes ou tu reçois ?

– Les deux, il m’arrive parfois d’aller plus loin encore.

– Tu bois ?

– Oui, mais ce n’est pas de ça dont je voulais parler.

– Caca ?

– Ça te choque ?

– Pas du tout, je ne suis pas accro à ce genre de choses, mais dans des moments de grande excitation, je me suis déjà laisser aller.

– Parfois Fabienne me fait un joli boudin bien moulé, j’adore la regarder et après je lui lèche le cul. Je suis vraiment une vieille salope dépravée, mais je m’en fous, je ne fais de mal à personne. Bon assez discuté, tu devais me nettoyer la chatte me semble-t-il.

 

Mathilde s’assoit sur la cuvette, Béatrice vient entre ses cuisses et lape les gouttes d’urine résiduelles, et quand il n’y en a plus, elle ne s’arrête évidemment pas et lèche avidement la chatte de la belle mature qui excitée comme une puce comme elle était, part au plafond au bout d’à peine trois minutes.

 

Les deux femmes se remettent debout, se caressent et s’embrassent, un baiser au goût un peu spécial…

 

– Tu embrasses trop bien ! Lui dit Mathilde

– Mais toi aussi, ta salive est délicieuse

– Alors ouvre la bouche, je vais t’en redonner

 

Béatrice cru alors que la mature allait de nouveau l’embrasser, mais elle avait une autre idée en tête

 

– Non ne bouge pas, on va faire quelque chose de très cochon…

 

Béatrice en voyant sa partenaire remplir sa bouche de salive comprit ce qu’elle avait l’intention de faire.

 

– Je veux bien, mais si me le fait je te le fais aussi !

– Pas de problème, vas-y crache-moi dessus ! Répond Mathilde en ouvrant une large bouche.

 

Elles jouèrent à ce petit jeu un petit moment ce qui finit par les faire éclater de rire.

 

– T’as pas envie de pipi toi ?

– Pas trop, mais je peux essayer.

– Directement dans ma bouche ?

– Ça peut se faire !

 

Béatrice reste debout et se concentre, mais ça a du mal à venir, Mathilde se met en dessous, la bouche ouverte en position d’attente.

 

– Désolée, mais on pourra réessayer tout à l’heure…

– Attends je vais t’aider ! Dit Mathilde en tirant une chasse.

 

Et c’est magique, le bruit déclencheur débloque les sphincters du pipi, et la mature avale la petite giclette d’urine que lui offre Béa.

 

– Il est délicieux, ça va être à mon tour de te faire jouir, mais rien ne presse, viens on retourne avec les autres… Mais avant dis-moi une chose, Ce Monsieur Martinov avec qui tu travailles, est-ce qu’il apprécie aussi ce genre de jeux.

– Mais certainement, ma chère !

 

Les autres ? Ils sont toujours à la fête. Le professeur Martinov est en train de faire goder le cul par une Fabienne complètement déchainée, alors que sur le canapé Brigitte est en train de faire feuille de rose sur le cul bronzé aux U.V. d’Inès.

 

– Il est bon ton cul

– Normal c’est un cul de salope !

– J’aime lécher le cul des belles salopes !

 

Et bientôt la langue est remplacée par les petits doigts agiles de Brigitte. Oh, juste deux, qui pilonne avec une belle énergie l’anus de la femme aux cheveux d’argent, laquelle finit par jouir dans un spasme. Les deux femmes se redressent et s’embrassent.

 

Brigitte aperçoit le professeur se faire joyeusement engoder par Fabienne. Elle s’approche.

 

– Et ben dis donc, tu l’encules-bien !

– C’est que Monsieur à l’air d’apprécier. J’aime bien donner du plaisir aux gens !

– Tu es une brave fille ! Lui dit-elle après l’avoir embrassée voluptueusement, mais j’aimerais m’occuper un peu de ce monsieur.

– Comme il vous plaira. Répond la soubrette qui le gode à la main cherche une partenaire de libre.

 

Mathilde a délaissé Béatrice pour aller câliner Inès, mais notre chimiste de charme ne reste pas seule longtemps, Fabienne venant la solliciter tandis que Brigitte interpelle Martinov.

 

– Eh bien professeur, je crois que cette petite soubrette vous a gâté !

– Ma foi, c’était pas mal du tout.

– Il me semble bien que je n’ai jamais eu l’honneur de vous sucer la bite ?

– Si le cœur vous en dit, ne vous gênez pas !

– Et vous m’enculerez après ?

– Mais avec grand plaisir, ma chère.

– Je ne sais pas ce qui m’arrive en ce moment, je suis folle de mon cul.

– Ce sont de choses qui arrivent.

– Bon, voyons cette bite…

 

Brigitte suçait fort bien, elle adorait ça, tétant le gland, procédant pas des va-et-vient énergiques, puis quand elle sentit la goutte de liqueur séminale perler, elle s’arrêta.

 

– Je reviens tout de suite.

 

Elle alla farfouiller dans son sac à main, y trouve un préservatif, puis alluma une cigarette, en huma plusieurs bouffées avant de se mettre en levrette et d’offrir son cul aux assauts du professeur qui ne comprenait pas bien ce besoin qu’elle avait de cloper pendant la sodo.

 

En fait, Brigitte ne souhaitait pas que Martinov, parte trop vite d’où ce petit contre-temps tabagique..

 

Le professeur réussit à se maîtriser jusqu’à ce que Brigitte ait pris son plaisir, la chose faite il accéléra comme un dingue et jouit à son tour.

 

Sur le canapé, Mathilde et Inès sont en soixante-neuf et se lèchent la chatte et le trou du cul à qui mieux mieux. Tandis que Fabienne tripote avec énergie l’intimité de Béatrice.

 

Brigitte non encore rassasiée, vient rejoindre les deux matures, pour former un triangle infernal où on finit par ne plus savoir qui gémit, qui miaule, qui se pâme et qui jouit, dans une débauche de fesses et de belles poitrines. .

 

Moment calme, tout le monde s’est bien éclaté.

 

– Fabienne va nous ouvrir une autre bouteille ! Tu as vu ce que tu as provoqué en montrant ton cul à tout le monde ?

– Hi, hi !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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