Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:09

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 5 – Vanessa en mission par Maud-Anne Amaro

 

stamp rousse

Mardi 6 février

A 10 heures, Vanessa sonne chez le professeur Martinov. Elle ne sait pas trop dans quoi elle se lance, mais sait que si elle réussit, elle empochera une prime substantielle, et puis ce jeu l’amuse.

 

C’est Béatrice qui lui ouvre, les deux femmes se toisent quelques instants.

 

– Bonjour, je désirerais voir le professeur Martinov.

– Vous n’avez pas rendez-vous ?

– Non, mais je souhaiterais m’entretenir un court instant avec ce monsieur, c’est urgent et confidentiel.

– Une seconde, je vais voir s’il peut vous recevoir.

 

Béatrice informa donc le professeur qu’une « pétasse rousse » désirait le voir. S’il s’était agi d’un chauve à moustaches, il n’aurait peut-être pas accepté l’entretien, mais une « pétasse rousse », vous pensez bien…

 

On fit entrer Vanessa dans le petit bureau où nos deux chercheurs recevaient leurs visiteurs.

 

« Merde, la blondasse ne décolle pas, ça va foutre mes plans en l’air. » Fulmine Vanessa

 

– Euh, j’aurais souhaité m’entretenir de façon confidentielle avec monsieur Martinov…

– Pourquoi ? Je gêne ? Railla Béatrice.

– Béatrice est mon associée ! Crut devoir ajouter le professeur.

– C’est confidentiel ! Confirma Vanessa en éclairant son visage du plus beau de ses sourires.

 

Béatrice n’insiste pas et sort de la pièce.

 

– Bon, je vous laisse tous les deux ! Ne faites pas de bêtises !

 

Vanessa en profite pour déboutonner le haut de son chemisier. L’échancrure de son soutien-gorge est désormais bien visible. Martinov, qui n’est pas complètement fou, loin de là, flaire le chantage à la testostérone.

 

« Soyons sur nos gardes ! »

 

– Je serais directe, et je vais jouer cartes sur table. Je viens vous proposer un petit arrangement de vous à moi !

– Un arrangement de quoi ?

– Au sujet du drone !

 

« Oups ! »

 

Et c’est là que tout peut se jouer ! L’interlocuteur aurait été un chauve à moustaches (encore lui !) Martinov eut éconduit l’importun, éventuellement manu militari, oui mais voilà l’interlocutrice n’est pas un chauve à moustaches mais une superbe rousse à la poitrine aguichante. Donc plutôt que de la jeter, le professeur préfère attendre de savoir jusqu’où elle peut aller et en même temps profiter du spectacle ! On ne se refait pas surtout à cet âge !

 

– Mais concrètement ?

– C’est tout simple ! Je souhaite juste effectuer une petite vérification technique sur ce drone, ça ne prendra que deux minutes et après je m’en vais !

 

« C’est donc la complice du type qui a téléphoné vendredi ! C’est quoi cette salade ? »

 

Sauf qu’en l’occurrence, Martinov n’avait pas besoin de mentir.

 

– C’eut été avec grand plaisir, mais voyez-vous, l’objet n’est plus chez moi, je l’ai confié à un confrère pour des analyses complémentaires.

– Ah !

– Comme vous dites !

– Mais vous allez le récupérer ?

– Oui, mais je ne sais pas quand ?

 

« Ça se complique ! » Enrage la belle escort-girl.

 

– Je suppose qu’à priori, vous n’aurez pas convenance à me communiquer les coordonnées de votre confrère ?

– Vous supposez fort bien !

– Même en faisant un petit effort ? Parce que je peux être très gentille vous savez ?

 

Il commence à avoir chaud notre bon professeur. Très chaud !

 

– N’y pensez même pas !

– Si, si, j’y pense un peu quand même ! Parce que pour vous, quel serait le préjudice ? Hein ? Je ne vous vole rien, je vérifie juste un truc et on en reste là ! Ça vous plairait que je vous montre ma poitrine ?

– Mais vous n’êtes pas sage !

– Ah, vous avez remarqué ?

– Et vous croyez que je vais satisfaire à votre demande pour si peu ?

– Comment ça, « pour si peu » ? Vous êtes gonflé, vous ! Vous n’aimez pas les jolies poitrines ? Minaude-t-elle

– Si, si bien sûr ! Mais…

– Mais quoi, je vous demande un petit renseignement de rien du tout, en échange, je vous en fous plein la vue, c’est équitable, non ?

 

Martinov est déstabilisé, il se dit que ce qu’il aurait de mieux à faire serait de virer cette intrigante, il ne sait trop comment faire, mais tente d’improviser.

 

– Ecoutez mademoiselle, nous allons mettre fin à cet entretien…

– Vous ne savez pas ce que vous perdez !

– Si, mais dans la vie, il faut parfois faire des choix douloureux !

– Dans ce cas, vous n’avez pas fait le bon !

– Restons-en là !

– Et contre une pipe, vous me le donneriez le renseignement ?

– M’enfin ?

– Vous ne dites pas non !

 

Eh oui, le professeur Martinov ne dit pas non, mais pas uniquement pour des raisons dites lubriques, mais parce qu’il venait de naître en lui une idée qu’il n’aurait pas hésité à qualifier de géniale :

 

– Je vais vous laisser quelques secondes, je me renseigne auprès de mon confrère, je vais lui demander s’il peut consentir à vous recevoir.

 

– Mais je vous en prie, faites donc, cher ami !

 

Martinov rejoint Béatrice.

 

– Qu’est-ce qui se passe, t’es tout rouge, c’est la nana qui te fais cet effet-là ? Tu devrais faire attention à ta tension !

– J’ai une idée, je t’expliquerai tout à l’heure, je monte là-haut téléphoner à Romain, essaie d’occuper la fille pendant ce temps-là, j’ai pas trop confiance !

– Bien chef !

 

Béatrice toise Vanessa qui surprise de cette intrusion se reboutonne un peu son haut avec un petit sourire forcé.

 

– Fait chaud ici !

– Ah ! Vous trouvez !

 

« Jolie plante, mais elle devrait suivre un petit régime ! J’espère qu’elle n’est pas en train d’entortiller mon petit professeur ! »

 

– Le professeur vous prie de l’excuser, il doit téléphoner, je vous fais un café ?

– Volontiers, avec un nuage de lait, si vous avez !

– Mais bien sûr !

 

« Tu veux pas des croissants non plus pendant que tu y es ? »

 

Béatrice s’absente deux minutes, revient avec deux cafés et s’assoit devant Vanessa. Les deux femmes ne savent quoi se dire bien que Béa brûle de provoquer la jolie rousse.

 

– Ça se passe comme vous voulez avec le professeur Martinov ?

– Nous négocions ! Répond Vanessa.

– Je suis sûre que vous êtes une négociatrice redoutable !

– Redoutable, je n’en sais rien, mais disons que c’est mon métier, je fais du public-relations.

 

Béatrice ne peut s’empêcher d’éclater de rire.

 

– Excusez-moi, je ne voulais pas me moquer !

– On ne juge pas les gens sans les connaître, j’ai appris ça à l’école, ça m’est resté !

– Je ne vous juge pas !

– D’une certaine façon, si ! Et je ne souhaite pas continuer cette conversation qui ne sert à rien…

– Mais…

– Peut-être un jour aurons-nous l’occasion de négocier ensemble, je me ferais un plaisir de vous montrer ce que je suis capable de faire.

– Mais…

– Maintenant, racontez-moi ce que vous voulez, je ne vous répondrais plus. J’aimerais bien boire mon café tranquille. Ah, vous avez oublié le sucre !

 

Béatrice se retint de lui répondre une vacherie genre « t’as pas besoin de sucre, t’es assez grosse comme ça ! ». Elle estima inutile de provoquer un clash qui pourrait nuire à Martinov. Mais elle l’avait saumâtre

 

« Cette salope a réussi à me déstabiliser. Elle ne perd rien pour attendre. Quelque chose me dit que je devrais pas tarder à la croiser de nouveau, et là je n’aurais aucune raison de me retenir. »

 

Béatrice revient avec du sucre, puis elle s’assoit devant Vanessa, sort son téléphone portable et entame une partie de solitaire.

 

Vanessa se retient de lui envoyer une vanne afin de lui signifier qu’elle n’a pas besoin de chaperon, mais comme elle s’est promis de ne plus lui parler…

 

« Si je te retrouve, ma blondasse, on va bien se marrer ! »

 

Et elle aussi, sort son portable, c’est pratique les portables, ça permet de se donner une contenance.

 

Evidemment le lecteur se demande quand aura lieu cette confrontation qui menace d’être explosive ! Le lecteur devra patienter.

 

Pendant ce temps, Martinov patiente aussi, le portable de Romain Framboisert ne répondant pas, il essaie de le joindre à son travail sur son numéro professionnel, et là, sa secrétaire lui demande d’attendre cinq minutes…

 

– Ah, Martinov ! Excuse-moi, j’étais avec un client chiant. Je suppose que tu appelles pour le drone ? Je n’ai pas encore eu le temps de m’en occuper…

– Non, non, je ne suis pas si pressé, mais tu te demandais comment retrouver son propriétaire.

– Oui ?

– Ben j’ai peut-être une piste…

 

Et le professeur lui résume le coup de fil du faux Savourey, et la visite de la rousse.

 

– Hum ! Elle pourrait venir chez moi disons à 18 h 30 et je pourrais par exemple la faire suivre par Edith. Je vais peaufiner tout ça, dis-lui que c’est d’accord. Elle est comment la fille.

– Une jolie rousse, un tout petit peu dodue, non pas dodue, pulpeuse on va dire ! Jolie sourire…

– J’ai hâte de la voir !

 

Martinov redescend gai comme un pinson, libérant Béatrice de sa mission de garde chiourme.

 

– Il était réticent, mais finalement il est d’accord ! Annonça-t-il à Vanessa.

– Ben vous voyez, on finit toujours par s’arranger !

– Ce sera à 18 h 30, rue des Archives.

– Chez qui ?

– Je vous le dirais quand j’aurai eu ma petite récompense.

– La confiance règne ! Mais en fait c’est moi qui prends les risques. Imaginez que vous me fournissiez une adresse bidon ?

– Ça ne m’a même pas effleuré l’esprit !

– Moi si !

– Alors on fait comment ?

– Je suppose que vous êtes un gentleman, alors je prends le risque. On fait ça où ?

– Montons dans ma chambre.

– On y va approuva-t-elle en saisissant son sac à main au passage.

 

Vanessa demande à Martinov de baisser son pantalon puis de s’assoir sur le bord du lit. Il obtempère mais soulève également sa chemise.

 

– Ah, je vois, tu vas te pincer tes tétons en même temps ?

– A moins que vous vous en chargiez ?

– Tutoyons-nous, je préfère. En fait le deal c’était juste une pipe ! Alors je vais te faire une pipe et crois-moi je vais m’appliquer, mais ce sera juste une pipe.

 

Vanessa prend la bite du professeur dans ses mains et commence par faire joujou avec, décalottage, petits mouvements de masturbation, caresses sur les couilles. L’endroit est propre à part une légère odeur d’urine, cela aurait cassé le charme de lui demander se faire une rincette.

 

Elle approche sa langue et se met à lui léchouiller le gland avec agilité. Le geste est si efficace que le professeur commence à pousser des petits cris. Il se pince lui-même les tétons mais aurait préféré que la fille lui fasse.

 

Après cette entrée en matière, la jeune escorte embouche le pénis et se met à le sucer en cadence.

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– Oh ! la !

– Un problème ? demande la fille

– Non, c’est bon !

– Qu’est-ce que tu crois, je suis une pro !

– Admettons que je veuille faire plus de choses.

– Tu voudrais me voir à poil ? Me faire l’amour ? Me sodomiser ? On peut même faire des petites spécialités. C’est toi qui vois, moi je ne te force pas, ce n’est pas mon genre.

– Une demi-heure ? C’est possible.

– Mais bien sûr mon biquet, on paye d’avance ! Lui précise-t-elle, c’est 150 mais comme je te devais une pipe, ça ne fera que 100.

– Mon portefeuille est en bas

 

Vanessa choisit alors de faire confiance au professeur craignant que cette diversion soit de nature à le démotiver.

 

– Allez, c’est parti, on a dit une demi-heure, mais je ne regarde pas ma montre, ce n’est pas mon genre. On se met à poil. Attention les yeux, je vais t’en mettre plein les mirettes.

 

Vanessa se déshabille « normalement » c’est-à-dire sans lenteur calculé ni précipitation inutile. Elle enlève tout, sans lui faire le numéro du soutien-gorge, puisqu’elle estime que ce client-là, elle ne le rêvera plus jamais.

 

Ah, j’en vois quelques-uns qui voudrait savoir ce qu’est le « numéro du soutien-gorge » ! Alors j’explique.

 

Imaginons que Vanessa au lieu d’être toute nue ait conservé son soutif et se comporte comme si elle allait le garder. A tous les coups, le client va demander : « Tu n’enlèves pas ton soutien-gorge ? », et Vanessa de répondre : »si je vais l’enlever, puisque c’est demandé si gentiment ! ». Pour le client ce qui est en fait un acte obligé, se transforme en faveur. C’est du marketing ! C’est un classique ! Fin de la digression.

 

Martinov bave de concupiscence devant la plastique de la belle.

 

« Un peu dodue, mais ce n’est pas pour me déplaire ! »

 

Comme beaucoup de bonhommes, le professeur fait une fixation sur les seins des femmes.

 

– Je peux t’embrasser les seins !

– Tu tètes pas, tu mordilles pas, sinon tu peux y aller, ils sont à toi.

 

Voilà une chose qu’il ne faut pas dire deux fois à Tonton Martinov qui se jette sur le néné droit de la belle. Et vas-y que je le lèche, que j’aspire et que je recommence. Et évidemment il bande comme un taureau.

 

Mais le professeur a de l’éducation et s’en voudrait de passer pour un soudard, il se dégage alors avec un sourire satisfait.

 

– Et l’autre ? Lui dit Vanessa, il va être jaloux !

 

(Ça aussi c’est du markéting)

 

Alors il recommence avec le sein gauche ce qu’il a prodigué au sein droit.

 

Contrairement aux prostituées de rues qui refusent le baiser sur la bouche, les escorts-girls accepte de le faire, aussi le professeur est-il surpris (agréablement surpris, bien sûr) quand Vanessa lui offre ses lèvres pour le plus doux des baisers.

 

– Bon assis toi, je vais te sucer.

 

Martinov s’assoit donc sur le rebord du lit. La fille lui embouche de nouveau la bite tandis que ses petits doigts agiles viennent lui pincer ses bouts de seins. L’homme sent son plaisir monter.

 

– Attends, je ne voudrais pas jouir trop vite ! Prévient-il

– Pas grave, je t’ai promis une demi-heure je resterai une demi-heure, même si tu jouis, mais bon, je vais essayer de temporiser.

 

Délaissant la verge de l’homme, elle s’intéresse alors à ses testicules qu’elle prend en bouche pour les faire rouler, puis elle a une autre idée : sa main passe sous le sexe, franchit le périnée et un doigt vient taquiner le trou du cul du professeur.

 

– Tu aimes ?

– Oui !

– Je l’enfonce ?

– Vas-y !

 

Un second doigt rejoint le premier et c’est parti pour une série de va-et-vient dans l’anus de Martinov qui se pâme de plaisir.

 

– T’aimes ça, mon cochon ! Dommage que je n’aie pas apporté un gode.

– Mais j’en ai un ! Répond le professeur par réflexe.

– Eh bien, sors-le, je vais t’enculer avec !

 

Aussitôt dit, aussitôt fait et voilà Vanessa qui sodomise allégrement notre vert professeur lequel n’avait vraiment pas programmé ce genre de chose pour cet après-midi.

 

– T’es vraiment un petit cochon, toi ! Tu ne serais pas un peu gay ou un peu bi !

– Légèrement bi, on va dire, légèrement bi !

– T’as déjà sucé des bites ?

 

Martinov revient un moment à la réalité et se rend compte qu’il est parti pour faire des confidences sexuelles à une parfaite inconnue.

 

– Mais, ça ne vous regarde pas, chère amie ! Répond-il avec un ton de grand seigneur.

– Et t’as aimé ça ?

– Mais je n’ai jamais dit que je l’avais fait.

– Tu ne l’aurais jamais fait, tu m’aurais répondu « je ne l’ai jamais fait », ce n’est pas ce que j’ai entendu comme réponse.

– Mais t’es une vraie sorcière !

– Oui, mais une gentille sorcière ! Alors, c’est bon de sucer des bites ?

– Je n’ai pas trouvé ça désagréable.

– Et tu t’es fait prendre aussi ?

– T’en as beaucoup des questions comme ça, continue avec le gode, c’est trop bon.

– Tu sais je vais t’apprendre une chose, tous les hommes ont un côté bisexuel, la plupart se refusent à l’admettre, se mentent à eux-mêmes ou font dans l’hypocrisie, mais c’est comme ça. Au moins toi tu n’es pas hypocrite, j’apprécie.

 

Mais elle eut le tact de ne pas continuer cette conversation. Retirant avec beaucoup de doigté le gode du cul du professeur, elle lui demanda si cela lui dirait de l’enculer, avec capote, bin évidement mais Vanessa en escort-girl bien consciencieuse en avait toujours en permanence dans son sac à main. Vous pensez bien que Martinov n’allait pas dire non.

 

Vanessa se met en levrette, les cuisses écartées, le popotin relevé, offrant une vue imprenable sur tous ses trésors.

 

– Oh ! Que c’est beau ! S’exclame le professeur !

 

Il trouve ce postérieur tellement troublant qu’il refreine l’envie de lui flanquer une fessée, il n’a pourtant rien d’un sadique, notre bon professeur Martinov, mais que voulez-vous, les pulsions…

 

Alors, bandé comme un arc et excité comme une puce, il pénètre le cul de la belle sans autre forme de procès et la lime jusqu’à ce qu’il jouisse en grognant.

 

– Et bien voilà ! Ça t’a plu ? Demande-t-elle.

– Oui, c’était bien, c’était sympa !

– Mais où tu vas ! Reste ici, la demi-heure n’est pas finie. Je vais te faire un petit câlin !

 

Martinov eut alors la surprise de voir la fille le caresser doucement et lui faire des petits bisous sur les lèvres.

 

« Je rêve ! »

 

– Dis-moi, question indiscrète, ta secrétaire, elle ne va pas trouver ça drôle qu’on se soit isolé une demi-heure ?

– Béatrice ? Oh, elle en a vu d’autres !

– Qu’entend tu par-là ? Qu’elle serait aussi coquine que toi ?

– Pour le coup ça devient indiscret !

– Bon, on va y aller, un dernier bisou ? Et en bas n’oublie pas de me payer.

 

En redescendant, ils croisèrent Béatrice.

 

– Alors la négociation a aboutie ? Railla-t-elle.

– Ce fut parfait, répond Vanessa, entre gens raisonnables on peut toujours trouver un terrain d’entente.

 

Béatrice s’abstint de répondre par une vacherie, il n’y a qu’au cinéma qu’on a toujours la bonne répartie au bon moment.

 

Martinov sorti son portefeuille, Béa qui avait tout compris, ou presque, fit semblant de ne pas voir le professeur rétribuer la belle pour son excellent service.

 

Une fois Vanessa partie, le professeur expliqua à Béatrice :

 

– Elle va se pointer chez Framboisert qui refusera de lui donner le drone, mais il va s’arranger pour remonter sa piste, et il saura qui est l’inventeur de ce machin.

– Hum ! si ça marche, c’est pas mal ! Et il t’a fallu une demi-heure de tête-à-tête avec elle pour arriver à ce résultat.

– Un tête-à-tête bien agréable !

– Ben voyons !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:05

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 4 – Partie Carrée par Maud-Anne Amaro

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Vendredi 2 février

Vanessa comme toutes les semaines, rend visite à son oncle dans la matinée, ils discutent autour d’un chocolat chaud et de quelques biscuits bien lipidiques.

– Cette bizarrerie d’Ovni est revenu… Commence-t-il

– Encore ? Rien de cassé ? Demande-t-elle faussement étonnée

– Si une vitre, il est passé à travers et il est tombé par terre, j’ai l’impression qu’il est hors service.

– Oh, ben ça alors ! Tu peux me le montrer ?

– Ben non, je l’ai apporté hier chez un bricoleur que j’ai déniché sur Internet, il va essayer de regarder ce qu’il a dans le ventre. On est peut-être à la veille d’une découverte extraordinaire ! Tu te rends compte ? Exulte-t-il.

– Ah ! Dommage j’aurais bien aimé le voir, tu le récupères quand ?

– Je ne sais pas exactement, le type doit m’appeler.

 

Cinq minutes plus tard, Vanessa prétextait un besoin urgent et en profitait pour envoyer discrètement un message téléphonique à Octave. Celui-ci lui répondit dans la foulée en lui demandant d’essayer de savoir qui était le mystérieux bricoleur en question.

 

– Alors comme ça, t’as trouvé un bricoleur spécialisé dans les martiens ?

– Ce ne sont pas des martiens, il n’y a plus de vie sur Mars depuis longtemps ! Ils viennent de beaucoup plus loin !

– Quand même, je ne pensais pas qu’il existait des spécialistes de ce genre de choses !

– En fait c’est un mec qui bricole des mécanismes insolites, des automates, des trucs d’horlogerie, une espèce de touche-à-tout…

– Sur Paris ?

– Non, c’est à Louveciennes, dans les Yvelines.

 

« Il va me lâcher le morceau, vite un gros mensonge  »

 

– Louveciennes, je connais un peu, j’ai fait un stage là-bas, il s’appelle comment ton bonhomme ?

– Tu ne m’en avais jamais parlé de ce stage !

– Parce que c’était pas trop intéressant. Allez dis-moi comment il s’appelle, ton bricoleur, si ça trouve ça va me dire quelque chose,

– Je ne sais plus exactement, un nom russe, Zarkov, Titov, quelque chose comme ça !

– Non ça me dis rien ! Bon il va falloir que je te laisse, l’heure tourne vite !

– Tu ne reprends pas un chocolat ?

– Vite fait, alors !

 

Un bricoleur patenté avec un nom à consonance russe à Louveciennes il n’y en a pas quarante et localiser Martinov fut un jeu d’enfant pour Octave.

 

– On va essayer de le récupérer chez ce Martinov, je vais tenter un truc tout simple, si ça ne marche pas on fera autre chose, mais dans ce cas j’aurais sans doute besoin de tes services.

– Comme tu veux, mon petit chéri !

 

En plus, elle l’appelait mon petit chéri ! Bien sûr, il n’était pas idiot, il était d’abord son client et Vanessa agissait en bonne « commerçante ». N’empêche qu’elle ne forçait pas sa nature pour exprimer sa gentillesse.

 

En possession du numéro de téléphone du professeur Martinov, Octave l’appela « au flanc » dès qu’ils furent arrivé à proximité de sa maison à Louveciennes :

 

– Oui, bonjour je vous ai apporté un drone à réparer hier…

– Oui ?

– J’ai pensé à un truc, ce doit être juste la batterie qui s’est déplacée, à mon avis, il suffit de la remettre en place, vois pourriez essayer ?

– Une seconde.

 

Martinov ne comprend pas, le type ne parle plus d’extraterrestres mais de batterie, il ne s’agit plus de disséquer l’engin mais de le réparer !

 

« C’est quoi ce cirque ? »

 

Il appelle discrètement Béatrice.

 

– Je vais mettre l’ampli, écoute, ça me paraît bizarre.

 

Puis il reprend le téléphone :

 

– Allô ! Je n’entendais pas bien à cause des travaux derrière, j’ai changé de pièce, vous pourriez me redire tout ça ?

 

Octave répète son laïus. Béatrice griffonne un mot sur un bout de papier : « c’est pas le même bonhomme ! » puis « passe-le-moi ! »

 

– Excusez-moi on m’appelle sur un autre poste, je vais vous passer ma collaboratrice, vous allez voir avec elle…

– Ecoutez, monsieur, prenons rendez-vous, si c’est juste un souci de batterie déplacée nous la replacerons devant vous ! Lui propose Béatrice

– Ah ? D’accord, je peux vous envoyer ma secrétaire ?

– Si vous voulez, mais si vous souhaitez récupérer l’objet, ce sera avec la carte d’identité du propriétaire et une autorisation de retrait en bonne et due forme. Et bien sûr nous nous autoriserons à faire un contre appel ! Vous voulez passez quand ?

– Je consulte mon agenda et je vous rappelle !

– Ça m’étonnerait qu’il rappelle ! Dit Béatrice, on fait quoi, on prévient Savourey ?

– On va se débarrasser vite fait de cette affaire pourrie, on va ouvrir le machin, faire un rapport et on l’appelle !

– On lui parle de ce coup de fil ?

– Non, ce ne sont pas nos oignons ! T’es d’accord ?

– Complètement !

 

Pourtant un quart d’heure plus tard Octave tentait un ultime coup de bluff :

 

– Allô ! Excusez-moi de vous rappeler mais j’ai un horrible doute dont je souhaiterais me débarrasser : vous ne pourriez pas juste remettre la batterie en place, ça ne va vous prendre que trois minutes !

– Non, monsieur, je vous ai proposé un protocole, nous en resterons là !

– 300 euros si vous acceptez de le faire !

– Au revoir, Monsieur

 

Octave est quelque peu surpris !

 

– Fait chier ce mec ! Il a compris qu’il n’avait pas affaire à Savourey ! Qu’est-ce qui lui a mis la puce à l’oreille ? La voix, le discours ! Va savoir ? Bon on passe au plan B. Vanessa, voilà ce que j’aimerais que tu fasses….

– Je vais essayer, mais je ne te garantis rien.

– Je ne te demande pas la lune, je te demande juste d’essayer ! Sinon faudra que je trouve un plan C !

– J’avais bien compris, mon petit chéri ! On fait ça demain ?

– Il ne travaille peut-être pas le samedi, à moins que ce soit le lundi. On fait ça mardi ?

– O.K. je bloque ma journée ! Répondit Vanessa

 

Dans le laboratoire du professeur Martinov, l’examen de l’objet révéla son lot de surprises : il s’agissait en fait d’un drone en alliage léger doté d’une aiguille en carbure de tungstène et muni d’une micro-caméra. Les composants électroniques pouvaient être facilement identifiés, même si les inscriptions sur les condensateurs avaient été soigneusement effacées.

 

– Pourquoi les avoir effacés ? Demande Béatrice ?

– Pour faire croire au père Savourey que ça vient d’une autre planète, je suppose !

– C’est vraiment puéril !

– On est en effet en pleine gaminerie !

 

L’électronique s’encombrait de façon surprenante de petits éléments insolites qui n’avaient apparemment aucune raison d’être là, mais un simple grossissement à la loupe permettant une vision précise montrait qu’ils ne servaient à rien. Peut-être s’agissait-il de vestige d’un circuit abandonné ?

 

Quoi qu’il en soit le drone relevait du bon bricolage, assez génial même mais rien non plus qui puisse prêter le flanc à des explications extravagantes. Non, le dénommé Savourey était victime d’un mauvais plaisant, et ce serait éventuellement à la police de résoudre l’affaire.

 

Martinov pris une série de photos et repéra dans tout ce fouillis électronique, une minuscule carte mémoire difficile d’accès.

 

Il aurait bien voulu l’extraire afin de la lire, mais il n’était pas équipé pour ce-faire. Martinov avait beau être un bricoleur et un inventeur génial, l’électronique, ce n’était pas trop son truc.

 

– Dommage ! J’aurais bien voulu savoir ?

– Ce doit être le programme de vol ! Supposa Béatrice.

– Sur une carte ?

– Pourquoi pas ? Puisque c’est du bricolage !

– Evidemment

– Si vraiment tu veux savoir, tu n’as qu’à demander à Framboisert, mais à mon avis on perd notre temps.

– Framboisert ! Je l’avais oublié celui-ci ! (Voir professeur Martinov et le Fidélitas) Mais c’est pas une mauvaise idée !

 

Romain Framboisert fut ravi d’être contacté par Martinov.

 

– Mais bien sûr, passez donc me voir, je vais vous regarder ça ! Au fait Béatrice travaille-t-elle toujours avec vous ?

– Bien sûr, elle vous passe le bonjour !

– Venez donc avec elle, Edith et moi nous serons ravis de vous revoir. Passez en fin d’après-midi, après nous dînerons ensemble.

 

Et le soir ce fut donc les retrouvailles.

 

A 18 heures, Martinov et Béatrice en petite robe noire sexy, se présentèrent avec des fleurs pour Edith, une bonne bouteille de whisky pour Romain et évidemment le drone dans un carton.

 

Edith, jolie brune mature à lunettes, s’était simplement vêtue d’un jeans et d’un petit débardeur assez fin, sans soutien-gorge en dessous ce qui fait que ses gros tétons dardaient avec insolence sous le tissu.

 

Framboisert n’eut aucun mal à extraire la carte sur lequel était enregistré un programme protégé par un code.

 

– C’était tout simple, alors ?

– Quand on connait c’est toujours simple…

 

L’ordinateur de Romain explora la carte :

 

– Ça c’est le programme de la webcam, un truc classique, et ça c’est un fichier MP 3, on va l’écouter :

 

« Boreshmush zimolefok krek. »

 

– C’est quoi ce truc ? S’étonna Romain Framboisert.

– Du martien du sud ! Plaisanta Martinov. C’est un gamin qui s’amuse à foutre la trouille à un type…

– Et il veut lui faire croire que ce sont des martiens, faut être un peu con !

– N’empêche que mon client, il a l’air d’y croire dur comme fer !

– Tu vas lui retirer ses illusions ?

– Peux pas faire autrement ! Et d’abord je ne le sens pas ce type.

– Il m’a l’air vraiment pas mal ce drone ! Tu pourrais me le prêter une journée ou deux ? Normalement quand tu bricoles un truc comme ça, il y a toute une réglementation, il faut le breveter, l’enregistrer, l’immatriculer. Apparemment, il n’a rien fait de tout ça, c’est dommage, il y doit y avoir du fric à se faire avec ça !

– Pas de soucis !

– Si on pouvait retrouver le bricoleur, je pourrais lui proposer une sorte d’association.

– Ça risque d’être compliqué !

– Je verrais bien, tu me donneras les coordonnées de ton client, et j’essaierais de remonter la source.

– Et si tu n’y arrives pas !

– Dans ce cas, je ne me gratte pas, je ferais breveter le machin à mon nom ! Bon, on prend l’apéro ?

– Un apéro coquin ? Intervient Edith en caressant les doux bras de Béatrice, laquelle lui répond en lui offrant ses lèvres.

– Embrasse-moi ! Répondit Béa, ça va exciter les hommes.

 

Les deux femmes se roulent alors un patin d’enfer sous les yeux plein de concupiscence des deux mâles.

 

– Ils sont encore trop sages ! Tiens embrasse-moi les nichons, ça va peut-être les motiver ! Demande Edith en soulevant son débardeur.

 

Béatrice se jette sur les fruits offerts à grand renfort de langue et de lèvres.

 

Hé, les mecs, on se connait maintenant, pas de fausse pudeur, s’il vous plaît ! Lance Edith Framboisert.

 

Romain prenant conscience que l’intervention d’Edith rend la partouze inéluctable, sort carrément sa bite de sa braguette. Martinov qui n’a rien contre, bien au contraire, ne peut alors que l’imiter.

 

– Oh ! Regarde comme ils sont mignons, les hommes avec la bite à l’air ! Se moque Edith.

– Trop mignons !

– On va les sucer ?

– C’est parti !

– Mais attention ! Reprend Edith, on vous suce mais après on veut s’en foutre plein la vue ! Je ne vous fais pas un dessin.

 

Les deux hommes s’échangent un regard complice !

 

– Tu voudrais que je t’encule ? Demande Romain à Martinov.

– Avec grand plaisir, mon cher !

– Alors viens me sucer d’abord !

– J’arrive !

 

Le professeur s’approche alors de Romain, mais les filles protestent :

 

– Oh, les garçons, déshabillez-vous d’abord !

– C’est que tout nu, je ne suis pas très sexy ! Croit devoir préciser le professeur.

– Mais si, t’es un beau petit vieux, allez à poil.

 

Les deux hommes maintenant nus se font face, Romain attrape les tétons du professeur et les pince, ce dernier lui rend la pareille. A ce régime les bites ne tardent pas à montrer le ciel de leurs glands arrogants.

 

– Hum, il a vraiment une belle biroute, Martinov ! commente Edith, je crois que je vais me régaler !

– Celle de Romain me plait bien aussi ! Croit devoir préciser Béatrice.

– Tu vas la prendre dans ton cul ?

– J’espère bien !

– On est vraiment tous des enculés !

– T’as raison !

 

Martinov, excité comme un pou se penche pour emboucher la bite de Romain.

 

– Tss, tss ! Vous ferez ça après ! Proteste Edith, c’est d’abord nous qui suçons.

– Laisse-le cinq minutes, répond Béatrice, il y a pas mal de temps qu’il n’a pas sucé une vraie bite. Il est en manque !

– Dans ce cas… Admit Edith tout en s’amusant à tripoter la chatte de Béatrice.

 

Le professeur se régalait de cette queue bien bandée qu’il aurait été capable de sucer pendant des heures, il pratiquait par d’incessants mouvements de va-et-vient dans sa bouche et en même temps faisait virevolter sa langue sur le bout du gland.

 

Une goutte de liquide séminal se mit à perler à l’extrémité de la pine de Romain. Cela donnait un gout délicieux à la bite, mais Martinov fut bien conscient que continuer de la sorte finirait par faire jouir prématurément Romain. Il fallait donc faire un break.

 

Les deux hommes s’apprêtèrent à inverser les rôles, mais ces dames les rappelèrent à l’ordre.

 

– Bon, nous aussi on veut sucer ! Protesta Béa.

– Non si tu me suces, je risque de jouir trop vite, Martinov m’a trop excité. Fais remarquer Romain

– On s’en fout, on a nos pilules miracles, si tu jouis ça nous fera repartir pour un tour. Rétorque notre espiègle chimiste

– Dans ce cas, venez nous sucer, les poulettes !

 

Et nos deux coquines entrent dans la danse, et de suite Edith à la bite du professeur dans la bouche, tandis que Béatrice engloutit celle de Romain.

 

Toutefois, Béatrice entend se régaler de cette bonne petite chose et ne souhaite pas que Romain Framboisert parte trop vite, aussi multiplie-t-elle les diversions, d’abord en lui gobant les couilles, puis en allant voir derrière ce qui se passe.

 

Elle lui écarte les fesses et tente de la langue de pénétrer dans son petit trou.

 

– T’aimes ça, hein, te faire lécher le cul ?

– J’adore !

 

Elle revient vers la bite et se met à la pomper en cadence, sentant Romain proche de la jouissance elle ne ralentit pas, fait comme de rien n’était, et bientôt l’homme jouit par soubresauts successifs dans la bouche de la jolie chimiste.

 

Elle aurait bien partagé ce sperme avec quelqu’un mais ces messieurs dames étaient tous très occupés. Alors elle avala.

 

– Sont où tes pilules, Martinov ?

– Dans ma poche de veste à gauche.

 

Elle en donna une à Romain et demanda la permission de se servir un jus de fruit. Hé, c’est que ça donne soif, tout ça !

 

Martinov de son côté, se pâmait d’aise sous les mouvements de bouche de la belle Edith. Mais il ne sentait pas l’orgasme venir. Que voulez-vous ? Quand on plus vingt ans…

 

Edith abandonne sa fellation pour le moment et nos deux baiseurs s’en allèrent s’assoir dans le canapé où ils s’échangèrent quelques bonnes caresses, elle en pinçant les tétons du professeur, et lui en lui pelotant les seins.

 

Voilà qui donna une idée à Romain qui a défaut de rebander entrepris de peloter Béatrice qui se laissa faire volontiers. Elle adorait qu’on la caresse.

 

Le temps passant plus vite quand on baise que quand on attend l’autobus, (théorie de la relativité urbaine) Romain ne tarda pas sous l’effet de la pilule miracle de Martinov à retrouver sa forme. Quant à ce dernier qui lui aussi avait absorbé du produit, il contemplait sa bite redevenue arrogante qu’Edith masturbait doucement.

 

Romain vint se caler entre les cuisses du professeur et lui emboucha la bite. Ennuyé que son mari lui vole son joujou, Edith décida alors d’aider son mari dans cette noble tâche.

 

Sucé par deux langues, une masculine, une autre féminine, il est aux anges, le professeur Martinov. D’autant que l’index d’Edith vient subrepticement de s’égarer du côté de son troufignon afin d’y faire quelques allers et venues.

 

Il ne manque plus que Béatrice, elle s’approche et vient embrasser goulument notre chanceux professeur sur la bouche tout en lui agaçant les tétons.

 

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Romain se relève, le groupe se disloque.

– Viens je vais t’enculer ! Propose-t-il au professeur.

– Oui, oui, oui ! Répond le professeur avec enthousiasme, je me mets où ?

– Sur le canapé, tu seras plus à l’aise ! Les filles vous vous poussez un peu, il nous faut de la place, merci.

 

Martinov se met en levrette, attendant l’assaut, mais Romain fait durer le plaisir en allant butiner de sa langue le trou du cul professoral, puis en y glissant un premier doigt bientôt rejoint par un deuxième. Puis Romain passa aux choses sérieuses, encapotage de la bite, et badigeonnage du trou de balle avec du gel intime…

 

La queue de Romain s’approche, Martinov l’aide en écartant les fesses et s’en ouvrant. Ça passe, ça s’enfonce et ça se met à bouger en cadence.

 

Notre joyeux professeur sent comme une vague déferlante de plaisir l’envahir.

 

– Oh ! C’est bon, tu m’encules bien !

– T’aimes ça ma salope ? Hein ?

– Ouiiii !

 

Les filles, elles, sont au spectacle !

 

– Que c’est beau deux mecs qui s’enculent ! Commente Edith un doigt dans la chatte de sa complice.

– Je ne sais pas si c’est beau, mais qu’est-ce que ça peut m’exciter ! Répond Béatrice en lui rendant la politesse.

– Après ils vont inverser les rôles, ça va me plaire encore plus !

– Il fait ça souvent, Romain ?

– Pas tant que ça, disons qu’on a quelques amis avec qui c’est possible. Cela dit il ne me raconte pas tout ce qu’il fait au dehors et je ne lui demande pas non plus. Sinon, il aime bien que je l’encule avec mon gode-ceinture, mais ce n’est pas tout à fait la même chose.

– Dis, si tu allais me le chercher, ton gode-ceinture ?

– Mais bien sûr, ma coquine !

 

Romain Framboisert sodomisait le professeur en de larges mouvements de bite, sans aucune brutalité. Ce dernier était aux anges en poussant des petits cris de plaisir, ne souhaitant qu’une seule chose, que ça dure le plus longtemps possible,

 

Edith revint harnachée avec son gode ceinture.

 

– Tiens ! dit-elle à Béatrice en s’asseyant, suce-le et près je vais t’enculer avec.

 

Béa suça le pénis en plastique quelques instants, juste quelques instants, pour le fun, parce que ça ne l’intéressait pas trop, mais cela avait l’air de plaire à sa partenaire. Puis elle vint s’empaler à califourchon sur l’objet, contrôlant ainsi elle-même sa pénétration. Elle ne tarda pas à jouir et peu discrètement, Béatrice adorait jouir du cul.

 

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Romain se retira du cul de Martinov, mais pour y revenir aussitôt pour quelques va-et-vient supplémentaires. Il refit la même chose plusieurs fois de suite, avant de déclarer forfait. Que voulez-vous, tout ça c’est bien beau, mais ça fatigue !

– A ton tour ! Bourre-moi bien le cul ! Dit-il au professeur.

 

Celui-ci se mit en devoir de lécher à son tour le trou de balle de son partenaire, de le doigter un peu avant d’entrer dans ce conduit accueillant.

 

Au bout de quelques minutes, Edith vint se positionner en levrette à côté de son mari signifiant ainsi à Martinov, qu’elle aimerait à son tour sentir sa bite dans son cul. Celui-ci changea donc de cible tandis que Romain, le gosier complétement sec s’en alla ingurgiter un grand verre d’eau.

 

Edith ne tarda pas à prendre son pied et ressortit de l’épreuve trempée de sueur.

 

– Faut que j’aille pisser ! Clame-t-elle, ça intéresse quelqu’un ?

 

Et les voilà tous les quatre dans le carré à douche, Béatrice et le professeur s’accroupissent tandis que Romain et Edith leur pissent dessus d’abondance.

 

Béatrice a reçu de l’urine sur les cheveux, et son maquillage est partie en sucette.

 

– Il faudra que je me shampooine avant de partir !

– Ce n’est pas un problème ma toute belle, il y a tout ce qu’il faut ici

 

Nos quatre libertins se rincent sous la douche, se sèchent et reviennent au salon. Edith demande aux deux hommes de se rapprocher et entreprend de les masturber tandis qu’ils s’embrassent sur la bouche en se pinçant les tétons.

 

Béatrice regarde le trio en s’envoyant le gode d’Edith dans le cul, ce qui ne tarde pas à la faire jouir une nouvelle fois.

 

Edith sent que Romain va jouir en premier, elle lui embouche la bite et recueille son sperme, puis la bouche toute gluante, elle termine le professeur par une petite pipe à laquelle il ne résiste pas longtemps.

 

– C’était un beau trip ! Conclue Edith qui la bouche pleine de la semence des deux hommes s’en va prodiguer un baiser profond à Béatrice.

 

Edith va pour ramasser le gode ceinture que Béatrice a laissé trainer.

 

– Dis donc, ce n’est pas bien propre ! remarqua-t-elle avec un curieux sourire.

– Pas bien grave je vais nettoyer ! C’est juste un tout petit peu de merde.

– T’as vraiment pas de tabou, toi !

– Non pas beaucoup ! Répondit-elle en léchant le gode merdeux pour le nettoyer de toutes ses traces suspectes. T’as jamais fait ça ?

– Juste un peu, on a jamais eu l’occasion d’en parler, mais tout ça c’est une question d’excitation… Quand Romain m’encule, j’aime bien nettoyer après, même si c’est pas toujours très propre.

 

Elle offrit ensuite ses lèvres à Edith qui ne les refusa pas.

 

– On est quand même deux sacrées salopes ! Conclue cette dernière

– Oui, mais on assume !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 10:58

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 3 – Le crash du drone par Maud-Anne Amaro

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Mardi 23 janvier

 

Ce jour-là Aminata, la femme de ménage sénégalaise au service de Savourey était occupée à faire le lit de son employeur. Elle a une quarantaine d’année et un phtisique… disons épanoui.

 

Savourey entra dans la chambre et déclara sans ambages :

 

– Aminata, défaites-vous un peu j’ai envie vous baiser !

– Encore ! Mais vous êtes obsédé, Monsieur Savourey !

– Je ne suis pas obsédé, j’ai des besoins naturels.

– Si Mademoiselle Florelle l’apprenait elle ne serait pas contente.

– Mademoiselle Florelle est juste une amie…

– Monsieur Savourey ! Enfin !

– Mademoiselle Florelle est très gentille mais elle ne veut pas que je l’encule ! Ça vous va comme réponse ?

– Evidemment, vu comme ça ! Mais je suis votre femme de ménage, je ne suis pas une pute !

– Mais vous acceptez mon argent quand même !

– Il faut bien que je nourrisse ma petite famille, à propos la dernière fois vous avez oublié de me payer !

– Je vous donnerai tout ça tout à l’heure ! Alors on y va ?

– Ce n’est pas bien ce que je fais, je trompe mon mari, c’est un péché.

– Aminata, si vous arrêtiez de ronchonner I

– Bon, bon !

 

La femme s’immobilisa, sembla hésiter à moins qu’elle ne fasse semblant s’hésiter.

 

– Bon alors vous vous défaites ou pas ?

– Je ne suis pas belle toute nue !

– C’est votre mari qui vous a dit ça ? Il n’y connait rien, à poil, s’il vous plait !

– Vous exagérez !

– Mais non !

 

Aminata se mit donc à poil et se mit à se trémousser en faisant gigoter son joli derrière.

 

– Quel cul ! Comment vous faites, vous les blacks, pour avoir des culs aussi beaux ?

– Cul si beau, cul si beau, cul si beau doudou ! Chantonna la dame du Sénégal.

– Je n’ai pas bien compris la réponse !

– Mais, c’est parce qu’on le remue tout le temps, on a la danse dans la peau.

– Aminata vous n’avez pas été sage, je vais vous punir !

 

Cette phrase marquait le début du jeu.

 

– D’accord, d’accord, vous allez me punir, mais si vous pouviez me payer, parce que j’ai peur que vous oubliassiez.

– L’imparfait du subjonctif n’est pas de mise dans ce cas.

– Monsieur Savourey, donnez-moi mes sous et après vous pourrez me faire tout ce que vous voulez et même une leçon de grammaire.

– Bon, bon mais je vais te faire payer ton effronterie.

 

Savourey revint quelques instants plus tard avec l’argent et un martinet.

 

– Allez agrippe-toi à la commode, je vais te rougir le cul !

– Allez-y Monsieur Savourey, j’ai été très vilaine, je mérite une bonne correction.

– Tiens grosse pute, tiens feignasse, tiens morue !

– Oh là là, mon pauvre cul, vous me faites mal, mais continuez, je le mérite !

– Bien sûr que tu le mérites, salope, trainée, fille de mauvaise vie. Tu verrais ton cul, il devient rouge, qu’est-ce que tu vas dire à ton mari quand il va voir ton cul ?

– Ça ne vous regarde pas, monsieur Savourey.

– Impertinente avec ça !

 

Et cette fois, il cingla très fort.

 

– Stop ! S’écria Aminata en se retournant, vous faites trop mal.

– Je me suis laissé aller.

– Oui, ben faut pas ! On passe à autre chose, je suis sûre que vous bandez comme un âne, je peux voir ?

– Ah ! Tu veux voir ma bite, espèce de cochonne, tiens, la voilà ma bite, elle est belle, n’est-ce pas ?

– Elle est mignonne !

– Ben qu’est-ce que tu attends ? Suce !

– On y va, on y va !

 

La blackette joua alors avec la bite de Savourey, donnant des coups de langue sur le gland ce qui provoqua des frissons quasi électriques chez l’homme.

 

– Mets tout dans ta bouche, dans ta grande bouche de pute !

 

Elle le fit et entama une série de va-et-vient.

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– Où t’as appris à si bien sucer ?

– Ça ne vous regarde pas, monsieur Savourey, et puis d’abord je ne peux pas en même temps sucer et répondre à vos questions.

– Bon, ça va, tourne-toi que je t’encule !

– N’oubliez pas la capote !

– T’inquiète.

 

Savourey lèche quelques instants le cul de sa femme de ménage, introduit son membre, puis entame des allers et retours assez bourrins mais qui ne déplaisent pas à la blackette qui commence à sentir le plaisir monter…

 

Et soudain le drone entra dans la chambre, affolée Aminata crie « au secours » et se dégage de l’étreinte de son employeur.

 

– C’est quoi ? C’est quoi ? Piaille-t-elle en se reculottant quelque peu.

– Un gosse qui s’amuse avec une merde téléguidée, faut pas te mettre dans un état pareil.

– Vous en avez de bonnes, vous ! Ça fout la trouille !

– C’est fait pour ça ! Mais ils ne vont pas m’emmerder longtemps…

 

Le petit appareil s’était comme la dernière fois posé sur le lit.

 

« Si je pouvais l’immobiliser ? »

 

Savourey se saisit d’un oreiller afin de tenter de le bloquer.

 

Octave et Vanessa, morts de rire devant l’écran de contrôle se régalaient. Anticipant le geste de Savourey, Octave fit redécoller l’engin qui se posa un moment en haut de l’armoire normande avant de débiter le même charabia que la dernière fois :

 

– Boreshmush zimolefok krek.

 

Puis de reprendre son envol vers l’extérieur.

 

– Bon sang ! Il essaie de me dire quelque chose, mais quoi ? Et pourquoi ne reste-t-il pas ?

 

Aminata regardait son employeur avec des yeux tous ronds.

 

– Ne cherchez pas, je parlais tout seul !

– Vous avez entendu, il a parlé, le machin ! S’exclama la blackette.

– Ben oui, il a parlé !

– Et vous avez compris ce qu’il racontait ?

– Rien du tout !

– C’est peut-être un truc militaire, j’avais vu un truc comme ça à la télé, des militaires qui faisaient des expériences bizarres et pour endormir les gens, ils faisaient courir des bruits comme quoi, c’était des martiens !

– Pas des martiens, des extraterrestres ! Rectifia Savourey

– C’est pareil !

– Mais non !

– Alors, c’est presque pareil. Au fait, vous penserez à mes sous ?

– Vous ne perdez pas le nord, vous ! Je les ai posés sur le petit meuble, là !

– Y’a le compte au moins ?

– Aminata, vous êtes chiante !

 

La réflexion de la femme de ménage le troubla. L’hypothèse militaire, il l’avait évacuée la première fois, pratiquement par réflexe ! Pourquoi des militaires parlerait-il en charabia ? Pour tromper l’ennemi ? Drôle de façon de tromper l’ennemi ! Et puis c’était contre ses convictions, pour lui ce n’était pas l’armée qui dissimulait ses expériences en les attribuant aux ovnis, mais bien le contraire : l’armée qui cachait à la population les apparitions d’ovnis en faisant croire à des expérimentations secrètes.

 

« Reprenons calmement, si des extraterrestres veulent me contacter pourquoi se sauvent-ils si vite ? Et puis ce charabia, toujours ce charabia ! »

 

Et soudain, il trouva une explication : Les ovnis voulaient effectivement le contacter, mais traqués par les militaires, ils ne pouvaient s’attarder afin de ne pas se faire repérer. Quant au charabia, c’était un code, bien évidemment !

 

« Mais putain, comment je peux faire pour le décoder ? »

 

Mardi 30 janvier

 

La troisième incursion fut plus compliquée, le temps s’était mis à la pluie de façon quasi permanente et les fenêtres de chez Savourey ne restaient plus longtemps ouvertes. Octave voulu monter d’un cran dans la panique qu’il provoquait chez son ennemi d’enfance et eut l’idée de munir le nez du drone d’une aiguille en carbure de tungstène.

 

Ce jour-là le drone arriva en piqué devant la fenêtre fermée, brisa la vitre, mais le choc violent, non content de briser l’aiguille sans doute trop fine déstabilisa un élément du mécanisme, ce qui fait que l’appareil s’immobilisa sur le plancher.

 

L’écran de contrôle d’Octave montra le drone se scratcher, puis l’écran devint noir.

 

– Merde ! S’écria Octave. Plus moyen de le faire bouger, la batterie a dû se déplacer.

 

Il avait envisagé l’éventualité d’une panne voire même d’une capture, et avait pour se faire gommé toutes les inscriptions sur les composants afin de bien troubler Savourey. Mais là sans être catastrophique, la situation était gênante car elle survenait trop tôt.

 

– Tu vas faire quoi ? Lui demande Vanessa.

– Je ne sais pas, on s’est bien amusé mais pas assez ! Je voulais le rendre fou de rage, le ridiculiser… J’ai l’impression d’avoir fait dans le pétard mouillé.

– Tu pourrais toujours en construire un autre ?

– C’est long, c’est beaucoup de travail… Je suis un peu démotivé, là !

– Mon pauvre biquet, faut pas te lamenter, je vais te faire un petit câlin.

– Là tout de suite ?

– Mais, non, à la maison, on va prendre nos aises. Ça te dit ?

 

Après avoir bu un verre en vitesse, les deux comparses se déshabillèrent.

 

– Je n’ai pas emporté mon gode, on improvisera, tu veux quelque chose de spécial ?

– J’aimerais bien gouter à ton pipi !

– Tu sais, je suis désolée, là, maintenant, je n’ai pas du tout envie de pisser, peut-être dans quelques minutes…

– C’est pas bien grave !

– Non, mais j’aimerais bien te faire plaisir ! Tu voudrais quoi à la place ? Me lécher mon petit cul, peut-être !

– Bonne idée.

 

Octave aimait le goût un peu âcre du cul de Vanessa, il la lécha longuement et après avoir demandé la permission lui enfonça deux doigts.

 

– C’est bon, ce que tu me fais, gros coquin. Allez viens, à mon tour de te faire des bonnes choses, assis toi. Non pas sur le fauteuil ce n’est pas pratique, sur la chaise, là !

 

Vanessa s’assit sur lui et s’empara des tétons d’Octave en les pinçant assez fortement.

 

– Oh, oui, vas-y c’est trop bon, continue.

– Ben dit donc, tu as vu comme ça te fait bander !

– C’est parce que tu as des doigts de fée.

– Et qu’est-ce t’as à regarder mes nichons comme ça ! Tu veux les embrasser, vas-y te gêne pas, ils sont à toi.

 

Voilà une chose qu’il ne faut pas dire deux fois à l’ami Octave qui se jette sur le néné droit comme un hérisson sur une brosse à cheveux. Ses lèvres s’emparent du téton, l’aspirent, le lèchent, le tètent et quand le droit à eu sa part, il passe au gauche.

 

– Je te suce et après tu m’encules ? Propose la belle escort-girl.

– Je t’aurais bien léché la chatte un petit peu !

– Pas de problème, tu veux que j’essaie de pisser un peu avant ? Maintenant ça va peut-être venir.

– Bonne idée !

– Et je suppose que tu veux en boire un petit peu ?

– Tu sais bien que j’adore ça !

 

Ils se dirigèrent tous deux vers la salle de bain. Octave s’accroupit dans le carré à douche, la bouche ouverte, Vanessa pissa, une bonne pisse bien drue que l’homme dégusta avec gourmandise.

 

– C’est rigolo, le pipi, je ne pensais pas en faire autant. Viens, maintenant on va aux toilettes ? Proposa-t-elle

– Aux toilettes !

– Ben oui, aux toilettes !

 

Vanessa s’assoit alors sur la cuvette :

 

– Voilà, t’as mon minou à nettoyer, mais je t’ai fait un petit cadeau, j’ai pissé exprès un petit peu sur mes pieds, tu vas pouvoir te régaler !

– Tu es trop mignonne !

– Ça c’est bien vrai !

 

Il est embarrassé Octave ! Par quoi commencer ? Il décide de se garder les pieds pour le dessert et plonge sa langue dans la chatte de la belle rouquine.

 

Il lèche abondamment le minou trempé d’urine. Vanessa pousse quelques soupirs.

 

« Elle simule ou pas ? »

 

Octave est assez intelligent et a assez d’expérience avec les filles qui se font payer pour savoir que le client ne les fera jamais jouir, ou alors ça reste exceptionnel, mais il sait aussi qu’il n’a pas les atouts pour le faire, si son physique s’est apaisé avec l’âge, il n’a rien d’un vieux beau qui pourrait faire mouiller ces dames.

 

Vanessa a de son côté l’intelligence de ne pas simuler bêtement, juste quelques soupirs, signifiant probablement que cette caresse ne lui est pas désagréable.

 

Il ne s’attarde donc pas et passe à autre chose, Vanessa tend son pied de façon à ce qu’Octave n’ait pas à se baisser de trop.

 

Retrouver le goût du pipi sur les pieds, ces petits pieds qu’il chérit, le met dans un état d’excitation maximum, il lèche le gros orteil avec une avidité telle qu’il en bave, tandis que sa bite est bandée comme un arc.

Rimbaud pied

– Faut que je jouisse ! Viens vite dans la chambre… non on n’a pas le temps ! Ta bouche vite !

– Jouis sur mes seins mon petit Octave, ils vont être contents mes beaux nénés de recevoir ton sperme.

 

Moment calme, kleenex et cigarette, avant que Vanessa propose à brûle-pourpoint :

 

– Et si j’essayais de le récupérer, ton machin ?

– Hum, mais comment veut-tu faire ça discrètement ? C’est impossible !

– Mais non, à tous les coups, il voudra me le montrer, quand j’aurais repéré où il est je profiterais d’un de ses moments d’absence pour balancer le drone sur sa pelouse, et en partant je le récupère et je le mets dans un grand sac en plastique, tu n’auras qu’à m’attendre à l’endroit habituel.

– Mais il va deviner que c’est toi ?

– Mais non, il est tellement dans son délire qu’il croira que les « martiens » l’ont réparé à distance.

– Hum, y’a des risques, et puis il ne faudrait pas qu’il l’ait enfermé à clé quelque part !

– Je peux toujours essayer de voir si c’est possible.

– J’ai une meilleure idée, si vraiment, c’est la batterie qui a bougé, ce serait que tu la remettes en place, je t’expliquerai comment faire, et à ce moment-là, je reprends le contrôle du drone, je le fais voler devant lui et je le fais partir !

– Il faudra qu’il y ait une fenêtre d’ouverte, mais je m’en chargerais, on va essayer. Explique-moi pour la batterie…

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 10:09

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 2 – Première incursion par Maud-Anne Amaro

 

stamp rousse

Mardi 9 janvier

– On fait comme l’autre fois ? Demanda Vanessa.

– Ma foi, c’était un bien joli programme !

– Alors ! A poil ! Je vais te gâter !

 

Et pendant qu’Octave se déshabille, elle fouille dans son sac et en extrait un magnifique gode-ceinture encore dans son emballage d’origine.

 

– J’en ai acheté un nouveau, l’autre était complétement démantibulé. C’est comme pour tout, faut jamais acheter les premiers prix.

 

L’homme appréciait le naturel et la décontraction avec lesquels Vanessa parlait des choses du sexe.

 

– Essaie d’enlever ce blister, moi je n’y arrive pas.

 

Octave résolut le problème à l’aide d’une paire de ciseaux.

 

– Garde le dans tes mains, caresse-le, ça ressemble vraiment à une vraie bite, tu ne trouves pas ?

– C’est vrai que c’est bien fait !

– Attends je vais me l’accrocher et tu vas le sucer…

 

Pour ce faire, il faut bien que Vanessa se déshabille mais histoire de faire « durer le plaisir » elle conserve son soutien-gorge. Voilà qui contrarie quelque peu Octave, il lui demanderait bien de l’enlever, là tout de suite, après tout c’est lui le client ! Mais d’un autre côté il aime bien la laisser « mener la barque ».

 

– Comment ça s’accroche ce machin, ah voilà… c’était tout simple. Regarde-moi un peu, je suis une femme à bite.

– Hé !

– Mais c’est que ça le fait bander, ce gros cochon ! C’est moi qui te mets dans un état pareil ?

– Hé !

– Eh bien, plus tu bandes, plus ton vocabulaire s’appauvrit, ça doit être un problème de vase communicants. Bon, on va passer aux choses sérieuses, tu vas me sucer ma bite, mais avant je vais te montrer autre chose.

 

Et la voici qui farfouille de nouveau dans son grand sac et en extrait une petite pochette. Et dans la pochette devinez quoi qu’il y a ? Une jolie paire de pinces à seins réunis par une petite chainette.

 

Vanessa s’amuse à narguer son client.

 

– C’est quand même plus classe que des pinces à linges, non ? Dit-elle.

– J’ai peur que ça fasse un peu mal !

– Moi, je ne fais jamais du mal à personne ! Que des bonnes choses, et d’ailleurs je les ai testés sur moi.

– Ah ? Tu aimes ça ?

– Pas plus que ça, mais comme j’ai de la conscience professionnelle, j’ai testé.

 

Sur ce coup-là Vanessa nous faisait un petit mensonge. Etre soumise et supporter des « petites misères » était loin de lui déplaire, mais par principe ne l’acceptait pas pendant le travail, cela pour de simples raisons de sécurité.

 

– Bon on y va !

 

Et elle accroche la première pince. Octave fait une petite grimace mais supporte. Idem pour la seconde.

 

– Alors ? Demande-t-elle

– C’est bon !

 

Elle s’amuse un peu avec la chainette, la tirant devant elle, puis en haut, puis en bas

 

– C’est bon ce que tu me fais ! Commente l’homme.

– Et c’est pas fini ! Maintenant tu vas te retourner et je vais te rougir le cul.

 

Encore une fois, elle retourne fouiller sans son sac afin d’y prendre son martinet. Puis sans autre préambule elle se met à rougir le fessier d’Octave dont la couleur ne tarde pas à virer vers une jolie teinte dans les roses foncés…

 

– Bon allez, tes fesses sont assez rouges comme ça ! Retourne-toi ! Mais qu’est-ce que je vois ? Ta bite nous fait des caprices, elle bandait mieux que ça tout à l’heure.

 

Vanessa revient avec un lacet qu’elle lui noue autour des testicules,

 

– Voilà ! C’est mieux comme ça, et comme je suis une gentille fifille, je vais te montrer mes beaux nichons. Mais attention, pas touche pour l’instant, ce sera ta récompense si t’es sage !

 

Octave en baverait presque de concupiscence à la vue des magnifiques seins de l’escort-girl, ils sont bien ronds et terminés par des tétons arrogants.

 

– Maintenant mets-toi à genoux et suce ma bite !

 

Octave obéit et engloutit le gode en latex, l’enfonçant jusqu’au fond de ses joues.

 

– Non, mais, franchement, c’est comme ça que tu suces, toi. Sors-moi ça de ta bouche on va faire dans la leçon de choses. Voilà : alors tu sors ta langue et tu la promènes sur le gland, d’abord au bout, là où sort le pipi, puis sur la couronne. C’est bien ! Tu vois quand tu veux ! Encore un peu, voilà comme ça ! Maintenant tu peux pomper.

 

Pendant qu’il suce, Vanessa tire sur la chainette afin de maintenir la pression sur ses seins. Octave bande comme un sapeur, une goutte de pré-jouissance venant perler son méat.

 

– Bon, on arrête la sucette ! Mon petit doigt me dit que tu as envie de quelque chose de plus hard ! J’ai raison ou pas ?

– Tu as parfaitement raison !

– On fait quoi maintenant, alors ?

– Ben tu vas m’enculer avec le gode !

– Un peu que je vais t’enculer ! Je vais te défoncer le cul ! Tu veux te mettre comment ?

– Pardon ?

– Tu peux te mettre en levrette, pour toi ce n’est pas trop fatigant, mais l’inconvénient c’est que tu ne verras pas mes beaux nénés. L’autre façon c’est te mettre sur le dos, les jambes en l’air, là tu me verras, mais tu risques de fatiguer !

– Mais c’est cornélien ce choix !

– Complétement. Tu sais ce que tu devrais faire ?

– Non !

– Acheter un grand miroir, comme ça tu pourras me voir pendant que je t’encule en levrette.

– Pas bête ! Je vais en commander un tout à l’heure sur internet

– Alors on fait comment ?

 

Octave n’avait jamais été un grand sportif, il opta donc pour la levrette. Vanessa lui tartina le petit trou avec du gel.

Mratinov19

« J’aurais pu lui faire une feuille de rose ou le doigter un peu, mais bon, je l’ai déjà bien gâté… »

 

Le gode entra relativement facilement et la belle escort-girl commença ses va-et-vient de façon mesurée avant d’augmenter progressivement le rythme.

 

– Oh, qu’est-ce que tu me fais du bien !

– Hé ! C’est que c’est un métier !

 

Elle le lima ainsi cinq bonnes minutes avant de lui dire !

 

– Bon, on va arrêter !

– Encore un tout petit peu !

– Puisque c’est demandé gentiment…

 

Pas folle, la Vanessa, un petit geste qui ne coûte pas grand-chose, mais qui est de nature à fidéliser le client.

 

Après un petit bonus, la fille se dégagea et se débarrassa de son gode ceinture.

 

– Tu veux jouir comment ? Je te suce à fond ou tu veux venir sur moi ?

– J’aimerais bien te lécher les pieds et je vais me branler en même temps.

– Pourquoi pas ?

 

Octave s’empare du pied droit de Vanessa et entrepris de le lécher ! Un joli pied dont les ongles avait été vernis en bleu.

 

– Attention, je suis chatouilleuse !

 

Il jette son dévolu sur le gros orteil, le suçant en bouche comme s’il s’agissait d’une petite bite. Puis n’y tenant plus, il prend sa bite en main, et se masturbe frénétiquement, envoyant son sperme sur les pieds de la belle.

 

– Quel pied ! Commente-t-il

– C’est le cas de le dire.

– Je vais chercher de quoi t’essuyer.

– Je vais prendre une petite douche, tu veux la prendre avec moi ?

– Vanessa, tu es trop gentille, mais je suis crevé !

– Sers nous à boire, je reviens vite !

 

Et ce jour-là après cette folle séance de baise, il se trouva si bien en sa compagnie que pour la première fois de sa vie, il accompagna une quasi inconnue dans un bon restaurant.

 

Les discussions de restau entre gens se connaissant à peine ont leurs règles tacites. On parle de météo, de voyages puis de hobbies. Elle lui expliqua être passionnée de musique pop, il lui répondit qu’il écoutait du classique.

 

– Et à part le classique, t’as des passions ?

– Oui, mais rien d’intéressant !

– Dis toujours !

– Bof ! Je construis des maquettes.

– Des bateaux ?

– Non, des avions !

– Ah, oui ?

– Et des drones aussi !

– Tu me montreras ?

– D’accord en rentrant…

 

Octave n’en revenait pas que le sujet puisse l’intéresser. Et après le repas, comme promis il l’emmena dans son petit atelier et lui montra ses maquettes.

 

– Celui-là, il est téléguidé, je peux l’envoyer faire un tour dans le jardin et le faire revenir.

– Fais voir !

 

Et Octave Heurtebise tout content d’avoir un public, un charmant public, fit évoluer quelques minutes l’engin devant le pavillon.

 

– C’est rigolo, dis donc !

– En tous cas, ça me passionne ces trucs-là !

 

Et c’est complètement par hasard qu’en jetant un regard machinal sur son bureau, Vanessa découvrit la petite liste qu’Octave avait rédigée.

 

– Je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, ce doit être une coïncidence, mais moi aussi je connais un Jean-Jacques Savourey !

– Un client ?

– Non, c’est mon oncle !

 

« Coïncidence », se dit Octave, « forcément une coïncidence ! »

 

– Il a quel âge ?

– Comme toi, soixante, il est à la retraite depuis cinq ou six mois.

 

« Putain, se pourrait-il… »

 

– Et tes relations avec lui, c’est quoi ?

– Assez hypocrite, j’avoue ! On ne se connait pas assez pour que je te raconte ma vie. Mais en gros voilà : à la mort de ma mère, donc la sœur de Savourey, j’ai classé ses papiers et là je me suis rendu compte que mon oncle l’avait escroqué d’un gros paquet d’argent, je n’en connais pas les détails, je ne sais pas pourquoi ma mère ne s’est pas battue pour récupérer ce fric. J’ai essayé d’en savoir plus en me renseignant auprès de ses amies, mais je n’ai rien trouvé. Alors je me suis dit que la seule façon de savoir ce serait de renouer le contact avec lui.

– Tu ne le fréquentais pas ?

– Non, j’avais dû le voir quand j’étais gamine mais je ne m’en souviens même pas. Ma mère me disait que c’était un salaud, mais elle n’a jamais voulu me donner de précisions. La première fois que je l’ai revu, c’était aux obsèques, il m’a présenté ses condoléances et m’a simplement dit que si je désirais le voir, sa porte serait toujours ouverte. Alors après avoir fouillé dans les papiers, j’y suis allée. Il n’est pas très intéressant, je n’aime pas ses idées, mais lui, il m’aime bien. Et depuis qu’il est en retraite je vais le voir presque toutes les semaines, il me fait du chocolat chaud et m’offre des biscuits !

– Non ?

– Si, si je t’assure ! S’il savait ce que je fais, il en ferait une crise d’apoplexie. Il croit que je fais du recouvrement de créances ! Hi, hi, hi ! J’attends l’occasion d’apprendre quelque chose au sujet de ma mère, mais pour l’instant je suis pas plus avancée… et puis l’autre fois il m’a dit qu’il penserait à moi lors de son héritage, je ne sais pas si c’est vrai, mais je m’accroche.

– Il est marié, il a des gosses ?

– Il est divorcé depuis plusieurs années, quant à son fils, il est fâché avec et j’ignore où il peut être…

– T’aurais pas une photo par hasard ?

– Ah, non ! Mais il parait qu’on le voit sur Internet, il écrit des bouquins sur les OVNIS.

– Sur les OVNIS ?

– Ben oui les soucoupes volantes, les envahisseurs, quand il est branché sur le sujet, il me saoule !

– Faut que je regarde ça, t’es pas trop pressée ?

– Mais non, mon biquet ! Je n’ai pas d’autres rendez-vous aujourd’hui.

– Je te paierai le restau !

– On vient d’y aller…

– Non, je voulais dire la prochaine fois.

– Tu vas me faire grossir !

– Juste des huîtres !

– Alors ça va !

 

Octave Heurtebise fit une recherche rapide sur Internet. Effectivement un dénommé Jean-Jacques Savourey se présentait comme un « spécialiste » dans l’ufologie et auteur d’ouvrages aussi évocateurs que : « Ovnis : 70 ans de mensonges d’état », « les Ovnis existent, je les ai rencontrés », « Ovnis : questions et réponses ».

 

« Et sa photo à ce cinglé, elle est où ? »

 

Elle n’était pas bien loin ! Evidemment entre le visage de son souvenir et celui de cette photo, au moins quarante années s’étaient égrainées, mais il y avait toujours ce même regard suffisant et cette bouche méprisante.

 

– Ça ressemble un peu, mais je me fais peut-être des idées, comment être vraiment sûr ?

– Regarde sur Facebook !

– Comment on fait ?

– Je vais te montrer !

 

Vanessa fit apparaître la page Facebook de son oncle. Octave lut :

 

Jean-Jacques Savourey… A fait ses études au : Lycée Hoche, Versailles…

 

– Putain, c’est bien lui ! Et sa sale face de rat.

– Ben dit donc, tu n’as pas l’air de le porter dans ton cœur !

– Pas vraiment, non ! Si je pouvais lui gâcher sa retraite, je le ferais volontiers.

– Qu’est ce qu’il t’a fait ?

– C’est un salopard. Tu sais je n’ai pas eu une enfance heureuse… bref je n’ai pas trop envie d’en parler.

– D’accord c’est comme tu veux, mais pourquoi t’as marqué son nom sur ce papelard ?

– Un fantasme, je me disais que si je pouvais retrouver ces salopards et me venger un petit peu…

– Envoie lui des drones, ça peut être rigolo ! Répondit Vanessa sur le ton de la plaisanterie.

 

Néanmoins l’idée ne déplut pas à Octave.

 

– Tu crois ? Ce n’est pas si simple que ça, l’utilisation des drones est réglementée, il y a des normes, il faut qu’ils soient immatriculés… Objecta-t-il

– Tu t’en fous ! Tu te pointes à cent mètres de sa baraque, tu lances le truc, tu le fais revenir.

– Faudrait le faire rentrer dans la maison, alors ?

– Ce serait mieux, faudrait que tu en profites quand ses fenêtres sont ouvertes !

– Il me faudrait un complice…

– Je peux t’offrir mes services, contre une petite rétribution, bien entendu.

– Hum c’est bien tentant tout ça !

 

Octave se laissa aller plusieurs secondes à ses pensées.

 

– Non, ça ne va pas ! Ce n’est pas parce qu’une fenêtre est ouverte qu’il sera forcément dans la pièce.

– Installe une petite caméra sur le drone !

– Et je pourrai suivre ses mouvements sur un écran de contrôle. Génial, je vais m’y mettre !

 

Mardi 16 janvier

 

Huit jours plus tard, tout était prêt, Octave accompagné de Vanessa, après avoir reconnu les lieux, gara sa voiture à une centaine de mètres de la luxueuse résidence de Savourey, au Vésinet une banlieue parisienne plutôt huppée.

 

Vanessa descendit de voiture pour observer les fenêtres, deux étaient ouvertes.

 

Octave fait démarrer le drone et le téléguide, il entre chez Savourey, tandis que nos deux comparses suivent son mouvement sur l’ordinateur portable.

 

– Merde, la pièce est vide ! Et la porte est fermée, on va essayer l’autre fenêtre.

– Attend, proposa Vanessa, on peut faire un truc, t’as vu le vase de Chine dans le coin ? Percute-le avec le drone !

– Bonne idée !

 

Et patatrac ! Le vase se brise en mille morceaux. Octave fait ensuite se poser le drone sur le lit.

 

Attiré par le bruit, Savourey entre dans la chambre précipitamment. Stupeur et désolation de voir son joli vase en miettes. Stupeur et colère de découvrir le drone au milieu du lit semblant le narguer.

 

– Quel est le conard qui s’amuse ? Hurle-t-il en s’élançant près de la fenêtre ouverte.

 

Octave déclenche alors le haut-parleur du drone qui d’une voix métallique lui tint à peu près ce langage :

 

– Boreshmush zimolefok krek.

 

Savourey s’approche du drone, mais celui-ci redécolle subrepticement et sort de la maison, l’homme court de nouveau à la fenêtre pour tenter de suivre sa trajectoire. Peine perdue, Octave le fait passer derrière la façade et lui fait décrire un très large cercle avant de le récupérer.

 

– On a bien rigolé ! Commente Vanessa, il a dû choper la trouille de sa vie !

– On ne va pas s’arrêter là, on recommencera la semaine prochaine ?

– Comme tu veux, mon biquet !

 

Savourey est furieux, il contemple les débris de son vase, il se serait cassé en cinq ou six morceaux, il aurait pu le faire restaurer, mais là, le choc a été si violent que les débris sont trop nombreux. Certes, il n’est pas authentique, mais c’est (enfin c’était) comme on dit une « belle imitation »

 

« Est-ce que l’assurance va me rembourser ? » se demande-t-il en en composant le numéro.de téléphone. Après avoir perdu cinq minutes avec un stupide robot qui anone, « si c’est pour ceci, faites, le 1, si c’est pour cela faites le 2, sinon faites le 3 nous vous mettrons en contact avec un conseiller… »

 

– Allô, je suis Jean-Jacques Savourey, je vous donne mon numéro de compte…

– Qui y a-t-il pour votre service, monsieur ?

– Un vase Ming qui s’est brisé, je voudrais savoir si je suis couvert…

– Voyons voir… Dans quelles circonstances ce vase s’est-il brisé ?

– Un drone est entré chez moi, il a percuté le vase ?

– Très drôle, et en réalité ? »

 

« Il ne me croiront jamais ! »

 

– Non en fait c’est mon chat !

– Je note ! Il s’appelle comment votre chat ?

– Mon chat ? Mais je n’en sais rien !

– Vous ne savez pas le nom de votre chat ?

 

Savourey manque de répartie, forcement puisqu’il ne possède pas de chat.

 

– Allô !

– Oui, je vous demandais simplement si je serais remboursé.

– Je ne peux pas vous répondre comme cela, envoyez-nous un dossier avec la photo de l’objet détérioré….

– Feignasse de bureaucrate ! S’emporte Savourey en coupant la communication.

 

Il décide de laisser le ramassage des débris à la femme de ménage qui n’arrivera qu’un peu plus tard.

 

« Après tout, elle est payée pour ça ! »

 

Puis il regagne son bureau et essaye de se remettre à la rédaction de son nouvel ouvrage, un traité sur les Ovnis, comme d’habitude, quand il fut saisi par « l’esprit de l’escalier » :

 

« Quand même, ce machin, c’est bizarre ! Une espèce de drone ! Mais un drone ne parle pas ! Celui-ci parlait, et on dirait qu’il ne m’a parlé que quand il m’a vu… Comme s’il voulait me dire quelque chose ! Mais s’il voulait me dire quelque chose pourquoi parler en charabia ? Un essai militaire ? Non, ça n’a aucun sens ! »

 

Il se releva, très troublé et décida d’aller se faire un café dans la cuisine.

 

« Ce ne serait quand même pas un machin extra-terrestre ? »

 

Il nous faut préciser à ce point du récit que Savourey en « complotiste » convaincu n’était pas du tout un adepte du principe de parcimonie. Non, c’était plutôt le contraire, plus l’explication d’un événement était tordue, plus il y souscrivait. Il y a des gens comme ça !

 

Il se dit donc que l’hypothèse extraterrestre n’était peut-être pas si farfelue que ça ! Il était persuadé d’une part que les ovnis cherchaient le contact avec la Terre, mais que d’autre part ceux-ci n’avaient aucune confiance dans les autorités officielles.

 

Ils recherchaient donc des gens bienveillants à leur égards, des gens qui s’étaient documentés sur leur compte et qui sauraient les écouter.

 

Ils n’y en avaient pas tant que ça, le milieu de l’ufologie, pensait-il, étant parasité par des fumistes, des illuminés et des charlatans ! Mais lui se considérait comme sérieux ! Car c’est bien connu, les illuminés, ce sont toujours les autres !

 

Il avait laissé dans ses ouvrages des appels explicites, précisant que si les Ovnis voulaient le rencontrer, il était à leur entière disposition.

 

Dans son système de pensée, l’idée était donc séduisante, cependant Savourey n’était pas non plus complètement crétin. Quelque chose clochait, il était persuadé que les extraterrestres avaient assimilés les principales langues terriennes. Alors pourquoi seraient-ils venus lui parler en charabia ?

 

Il tourna et retourna le problème dans sa tête pendant plusieurs jours sans que les choses ne deviennent plus claires, jusqu’à ce que survienne la seconde incursion.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 09:59

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 1 – Le chemisier de Béatrice .par Maud-Anne Amaro

 

StampBea

1 – Le chemisier de Béatrice

 

Nous retrouvons le professeur André Martinov, sexagénaire alerte, inventeur génial et érotomane décomplexé. Il est en compagnie de Béatrice Clerc-Fontaine, sa jeune et blonde assistante et associée, diplômé de l’école de chimie, espiègle, délurée et sans tabous. Sa collaboration avec Martinov a depuis longtemps dépassé le plan professionnel pour évoluer vers une complicité érotique sans équivoque.

 

Martinov reçoit ses clients dans sa maison bourgeoise de Louveciennes, banlieue cossue de l’ouest parisien dans laquelle une pièce a été équipée en laboratoire.

 

Jeudi 1er février

 

Ils ont aujourd’hui comme visiteur et client potentiel un certain Jean-Jacques Savourey. Béatrice l’a prié d’attendre dans le salon pendant que Martinov consulte le dossier.

 

Dossier est un bien grand mot puisqu’il n’est constitué que d’un courrier du bonhomme dans lequel celui-ci sollicite l’identification « précise, minutieuse et détaillée (ce sont ses mots) d’un modèle réduit d’engin volant téléguidé »

 

– Encore un qui ne sait pas se servir d’Internet, commente Béatrice, ça va être de l’argent facile !

 

Le lecteur aura évidemment deviné qu’il n’en sera rien, mais n’anticipons pas.

 

On fait entrer et asseoir le bonhomme. Le type même du retraité bourgeois, qui du jour au lendemain a perdu son pouvoir de décideur mais qui s’évertue à en conserver les apparences. Aussi est-il vêtu d’un costume bleu trois pièces, d’une chemise blanche avec boutons de manchettes et d’une cravate bordeaux, il porte à la boutonnière de façon fort peu discrète l’insigne de sa légion d’honneur. Ses cheveux sont dégarnis en couronne, il empeste l’eau de toilette, porte une petite serviette en croco qui doit valoir la peau des fesses et est encombré d’un emballage rectangulaire en carton.

 

– Jean-Jacques Savourey, se présente-il, ancien fondé de pouvoir chez Boulard-Frangier. J’ai d’abord été embauché en tant qu’ingénieur en génie civil avant de gravir les échelons. Croit-il utile de préciser. Je suis également l’auteur de plusieurs ouvrages consacrés aux extraterrestres. Je vous ai apporté le dernier en date, je vous en fais cadeau.

 

Martinov et Béatrice se contrefichent absolument de ce qu’il raconte mais en bons vendeurs qu’ils sont devenus se gardent bien de le contrarier et le professeur le remercie pour le bouquin qu’il ne lira sans doute jamais.

 

Tout en parlant Savourey dévisage le couple de chercheurs, si la barbiche de Martinov aurait tendance à l’amuser, la blouse mal boutonnée de Béatrice attire irrésistiblement son regard à tel point que cette dernière s’en aperçoit.

 

– Quelque chose vous intrigue ? Demande-t-elle, quelque peu agacée.

– Non, enfin, c’est juste votre bouton !

– Qu’est qu’il a mon bouton ?

– Il est déboutonné !

– Ce sont des choses qui arrivent !

– Et donc je suppose que l’objet de votre visite est dans ce petit carton ? Intervient Martinov afin de faire baisser la tension.

– Oui, absolument, je vais vous montrer !

 

Savourey déballe l’objet, il s’agit d’un modèle réduit qui apparaît au premier abord comme celui d’un engin volant atypique, un truc très science-fiction doté à l’avant d’une sorte d’aiguille cassée.

 

– D’accord, on va regarder tout ça ! Propose le professeur. Bizarre cette aiguille !

– Ça m’a brisé une vitre !

– Pardon ?

– Heureusement que je n’étais pas sur la trajectoire !

 

Martinov et Béatrice ne peuvent s’empêcher d’échanger un regard convenu.

 

– Vous voulez nous dire que cet objet est entré chez vous par effraction ?

– Tout à fait, ce n’est d’ailleurs pas le premier, mais les autres s’en sont retournés, celui-ci il s’est immobilisé après m’avoir brisé un carreau et je l’ai enfermé dans un coffre pour ne pas qu’il reparte.

– Ah !

– Donc vous comprenez que j’aimerais bien savoir d’où viennent ces engins ?

– D’où ils viennent, je ne pourrais pas vous le dire !

– C’est pourtant ce que je suis venu vous demander ! Répondit Savourey avec une suffisance inouïe.

– En ce cas, vous vous trompez d’adresse, c’est à la police qu’il convient de vous adresser ! Quoi que ça m’étonnerait qu’ils se bouge pour ce genre de choses, mais vous pourriez voir auprès d’un détective privé.

 

Savourey se met à souffler d’exaspération, l’air visiblement contrarié, il semble hésiter avant de finalement lâcher ?

 

– J’ai dû mal me faire comprendre, ce que je souhaiterais, c’est que vous disséquiez cet engin et que vous me disiez si la technologie qui est à l’intérieur est d’origine extraterrestre ou pas !

– Ah ! C’est cela votre requête, uniquement cela !

– Tout à fait, c’est d’ailleurs ce que j’avais indiqué dans mon courrier

– Bien ! pourriez-vous nous attendre cinq minutes à côté dans le salon, il faut que je me concerte avec mon assistante. Je vous dirais si nous pouvons prendre en charge votre demande.

– C’est donc si compliqué ?

– Cinq minutes, accordez nous cinq minutes.

 

Restés seuls les deux chercheurs se concertent :

 

– Encore un cinglé ! T’as entendu la réflexion qu’il m’a faite ? Commence Béatrice

– Faut dire que t’étais un poil provocante ! S’amuse Martinov.

– Tu ne vas pas t’y mettre aussi, non ? Il aurait été gentleman il aurait fermé sa gueule !

– Bon on fait quoi ?

– Je sais pas, moi ! Soit on l’envoie paître, soit on fait une analyse et on lui livre ! Résume Béatrice.

– Et dans ce cas, il sera déçu, manifestement, il souhaiterait que son machin soit extraterrestre.

– On ne va pas tout de même pas bidonner les résultats pour lui faire plaisir !

– Non, on pourrait rester évasifs, mais déontologiquement ce n’est pas terrible !

– Alors on prend ?

– On prend, on lui listera l’origine des composants et s’il n’est pas content, il ira se faire voir !

 

De retour avec Savourey, ils lui annoncèrent qu’ils acceptaient d’expertiser l’objet, mais qu’ayant plusieurs commandes en cours, il lui faudra patienter plusieurs jours.

 

– Ah ! Il faut aussi que je vous dise quelque chose d’important : l’objet : il m’a parlé !

– Il vous a parlé et il vous a dit quoi ? Demanda Martinov en tentant de réprimer un fou rire naissant.

– Je n’en sais rien, une langue bizarre, ce n’est ni du russe, ni du chinois, ni de l’arabe !

– D’accord, en l’analysant nous verrons bien s’il y a un haut-parleur, quelque chose d’enregistré… enfin on verra

 

On répéta donc à Savourey qu’on ferait l’analyse et qu’en fonction des premiers résultats on lui enverrait un devis.

 

– Par téléphone ?

– Si vous voulez !

 

Une fois le bonhomme parti, Béatrice se plante, bien droite devant le professeur Martinov :

 

– Dis donc, toi ! Tu m’as bien dit que j’étais provocante ? C’est nouveau, ça vient de sortir ?

– On ne va pas s’engueuler ?

– Je ne t’engueule pas ? Mais encore une fois je n’étais pas provocante ! Je n’ai rien montré, juste l’échancrure de mon soutif !

– Bon d’accord ! Disons que j’ai eu une parole malheureuse.

– Et quand je te touche la bite ? Ça c’est de la provocation ! De la vraie ! Sauf que ça ne te dérange pas trop !

 

Et tout en en disant cela, la jeune femme lui met la main sur la braguette.

 

– Béatrice, on a du travail…

– Mais bien sûr qu’on a du travail et d’ailleurs, je vais y retourner de ce pas ! Qu’est-ce que tu croyais ? Que j’allais te sucer la bite ?

 

Ben oui, il y croyait !

 

Et soudain il a une idée folle ! Mais alors complètement folle.

 

– Béatrice ? Dit-il fortement en sortant sa queue de sa braguette.

– Quoi ?

– Viens me sucer !

– Non !

– Viens me sucer, salope !

– Non, mais à quoi tu joues, là ?

– C’est mon quart d’heure macho, ça m’arrive une fois par an !

– Et tu crois que tu vas jouer ce rôle-là longtemps ?

– J’en sais rien, j’essaie !

– Ah ! Tu essaies ! Voyons voir ce que ça donne, tu voulais quoi, déjà ?

– Que tu me suces ma bite !

– Mais bien sûr, pas de problème, je suis ta salope, ta trainée, ta morue. Répond la jeune chimiste en entrant dans son jeu.

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Béatrice se penche et engloutit le sexe de notre vieux professeur tout surpris de la tournure de l’événement.

 

– Suce moi bien, salope !

– Humpf, humpf !

 

Alors que d’ordinaire le professeur se laisse sucer sans intervenir, il se met à jouer du bassin afin d’envoyer son sexe profondément dans la bouche de Béatrice qui du coup se dégage.

 

– Non, pas comme ça !

– D’accord, je ne bouge plus !

– Tu ne joues plus au macho, alors ?

– C’est pas mon truc !

– T’es bien un enculé, alors ?

– Ça c’est vrai !

– Y’a combien de temps que tu ne t’es pas fait enculer ?

– Par une vraie bite, tu veux dire ? Je sais pas, plusieurs mois !

– Va falloir qu’on remédie à ça ! Viens, on monte dans ta chambre.

 

Sur place Béatrice fouille dans le tiroir du chevet en extrait l’un des godemichets du professeur.

 

– En levrette Martinov ! Je vais m’occuper de ton cul. Mieux que ça, cambre bien les fesses, je vais bien t’enculer, mais avant ton gode tu vas le sucer.

 

Ils ont joué combien de fois à ce petit jeu ? Mais ils ne s’en lassent ni l’un ni l’autre, leur complicité érotique est au top.

 

– Allez, suce le bien, vieux cochon, montre-moi comment tu sais faire, c’est bon la bite, hein mon petit professeur ?

– Bien sûr que c’est bon ! Répond Martinov en léchant quelques instants le gode.

 

Juste le temps de répondre, car cela l’amuse et l’excite de lécher et de sucer cette bite en latex à la forme très réaliste.

 

– Voilà, fait bien danser ta langue autour du gland, maintenant descend doucement jusqu’aux couilles, non tu vas trop vite… Attends, on va le sucer à deux.

 

A ce petit jeu leur bouches ne tardent pas à se rencontrer et ils s’échangent un long baiser baveux.

 

– Et maintenant, je vais te le foutre dans le cul !

– Oui ! Oui ! Approuve le professeur.

– Allez en levrette que je fasse un peu de préparation !

 

Béatrice passe derrière le sexagénaire, lui écarte les fesses et vient lui butiner l’anus de sa langue agile et gourmande. Martinov se pâme d’aise, il adore cette caresse. Mais quand la jeune chimiste estima l’endroit suffisamment humecté de sa salive, elle y introduit un doigt qu’elle fit aller et venir comme un piston.

 

– Tu le sens bien, mon doigt !

– Mais oui, ma belle !

– Ben t’as tout faut, c’est pas un doigt, c’est deux doigts !

– Je me disais aussi…

– Et maintenant passons aux chose sérieuses…

 

Une capote sur le gode, un peu de gel sur l’anus pour parachever la lubrification et hop ça entre tout seul et bien profond en plus !

 

– T’aimes ça, hein mon petit cochon ?

– J’adore !

– T’es bien en enculé !

– Et j’ai même pas honte !

 

Pendant cinq minutes Béatrice agita la fausse bite dans le fondement de Martinov qui poussait des « Oh » et des « Ah » de satisfaction. Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Et la jeune femme demanda au professeur de s’allonger, elle vint alors s’assoir sur son visage.

 

– Ouvre bien la bouche, mon petit professeur, je vais essayer de te donner un peu de pipi.

 

Béatrice se concentre et ce ne sont que quelques gouttes qui atterrissent dans le gosier de notre coquin de professeur, mais il en est ravi.

 

– Nettoie bien, maintenant, nettoie, la chatte de ta salope !

 

 

C’est qui l’adore ça, fouiller de la langue, ce joli minou qu’il connait par cœur, s’imprégner de son odeur et de ses sucs et terminer en titillant le clitoris. Et ce qui devait arriver arriva, Béatrice peu discrète dans la démonstration de son plaisir finit par crier comme une damnée.

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Puis pratiquement sans transition, elle sort du tiroir du chevet un préservatif qu’elle enfile à l’homme avant de le chevaucher analement dans la position d’Andromaque.

 

Excitée comme une puce, elle ne tarde pas à jouir une seconde fois, avant de « finir » le professeur avec sa bouche et d’en engloutir son sperme. En guise d’en cas.

 

– Bon, maintenant on se fait un petit café et on bosse !

 

Mais comme cette affaire a débuté quelques semaines avant la visite de Savourey chez le professeur Martinov, nous allons maintenant vous narrer toute cette histoire dans un ordre qui sera, autant que faire ce peu, chronologique.

 

Octave Heurtebise

 

Octave Heurtebise est retraité, oh pas depuis longtemps, cela ne fait que trois jours. Célibataire endurci, il voulut fêter dignement l’événement, le soir même en compagnie de Vanessa, son escort-girl préférée du moment, mais Vanessa n’était pas libre, ce soir elle le serait !

 

Cela lui faisait drôle à Octave de se retrouver en retraite après une carrière de cadre supérieur dans l’industrie aéronautique. Plus d’ordres à donner, plus d’entretiens divers et variés avec des tas de gens, plus de réunions où il aimait cabotiner, plus de jeunes loups à remettre en place d’une phrase assassine.

 

Un an avant l’âge de sa retraite, alors qu’il espérait bien rempiler pour trois ou quatre ans, on le muta à la « Direction des perspectives et projets », en fait un placard doré, mais un placard tout de même. Après s’être rendu compte de sa situation, et n’étant pas homme à ne rien faire, il eut l’idée d’utiliser son temps à dessiner des maquettes de drones.

 

Ben oui !

 

Il envoya ensuite son CV à plusieurs boites en précisant qu’il se contenterait d’un « simple » salaire d’ingénieur ! Personne ne lui répondit.

 

Le monde est cruel ! Mais puisque personne ne voulait de ses compétences, c’est chez lui le week-end il mettait tout cela au point, à ce point que l’un des drones était aujourd’hui pratiquement prêt à l’emploi.

 

Octave s’était demandé comment occuper sa retraite. Il avait bien pensé à donner de son temps pour une association, histoire de retrouver un peu de son pouvoir de dirigeant, mais il avait rapidement laissé tomber cette idée, il avait tellement de choses à faire auparavant !

 

Alors il entreprit de lister tout ce qu’il fallait qu’il fasse :

– réorganiser sa bibliothèque dans laquelle il ne retrouvait plus rien

– ranger les affaires personnelles de sa mère qu’il avait entreposé à la cave après son décès.

– mettre en vente un tas de trucs qui ne lui servait plus.

– retourner à Bangkok et profiter des transsexuelles du lieu. Parce que le bonhomme n’avait pas un sexe en bois !

– et…

 

C’est alors qu’une drôle d’idée surgit ou plutôt resurgît dans son esprit.

 

Octave avait eu une enfance malheureuse. Certes, il n’avait jamais manqué de rien, il avait été gâté et pourri. Mais c’est l’école qui fut une véritable souffrance. Affublé d’une myopie l’obligeant à porter des lunettes impossibles, et atteint d’un dysfonctionnement de la hanche qui le faisait claudiquer, il devint rapidement le souffre-douleur des lâches des cours de récréations. Quand ces grands cons étaient désœuvrés, leur occupation favorite était d’aller « emmerder Tatave » en trouvant très intelligent de se moquer de ses infirmités, de son prénom et de son incapacité à se défendre contre les salauds. Octave, brillant élève réussit néanmoins à passer tous ses examens avec succès, mais les visages de ses tourmenteurs restèrent toute sa vie, imprimés comme une scorie dans sa mémoire.

 

– Et si je me vengeais, et si j’allais leur pourrir les années qui leur restent ?

 

Entreprise hasardeuse, certains devaient être morts, et puis comment les retrouver ?

 

Il se souvenait de leurs noms, du moins certains d’entre eux et les écrivit sur une feuille de papier

 

– Bertholet

– Cavinsart

– Savourey

 

Ce dernier avait été était le pire de tous, il se souvenait de son visage puant la suffisance, de son éternel blazer bleu marine et de sa coupe de cheveux en brosse, il se souvenait aussi de son prénom : « Jean-Jacques », il le précisa sur sa liste.

 

Octave n’avait jamais trouvé l’âme sœur, ses râteaux successifs auprès de la gent féminine lui firent prendre celle-ci en grippe, à ce point qu’il chercha du côté des hommes, et là il ne comprit pas trop, car s’il avait pris grand plaisir à sucer quelques bites, si dans ses fantasmes, il se faisait sodomiser (mais seulement dans ses fantasmes), le corps des hommes ne l’attirait pas du tout, mais alors pas du tout. Il se dit que la solution se trouvait éventuellement du côté des travestis et des transsexuelles. Il se refusait à fréquenter le bois de Boulogne de peur qu’on le reconnaisse, alors il avait essayé, deux fois de faire des rencontres par petites annonces, et il était mal tombé, ce sont des choses qui arrivent. Il s’était dit alors qu’un jour il se paierait un mois de vacances à Bangkok en Thaïlande. Il réalisa ce rêve pour ses 50 ans, et son séjour se passa fort bien (on en parle un peu plus loin). En attendant il comblait ses désirs sexuels avec des prostituées de luxe qui lui fournissait compagnie, sourires et godes dans l’anus.

 

Octave aimait bien Vanessa, un peu atypique comme escort, avec sans doute quelques petits kilos en trop, mais cela donnait à cette jolie et véritable rousse de bonnes joues. Il appréciait aussi son teint de pèche, ses taches de rousseurs, sa gentillesse, sa simplicité et son air canaille. Et en plus elle avait des gros nénés !

 

Octave n’avait pratiquement pas de vie sociale, fils unique, son père mort depuis trente ans dans un accident de la route et sa mère s’étant retirée dans un couvent, il ne fréquentait pas le reste de sa famille. A son travail, il évitait le restaurant d’entreprise et déjeunait en solitaire dans une brasserie du coin en évitant toute conversation, quant aux repas d’affaires qu’il était obligé de se farcir, il s’évertuait à ce que les échanges restent strictement professionnels. Un ours, quoi !

 

Avec le temps, le regard que portaient les autres sur lui s’était apaisé, à vingt ans on le classait dans les « moches », à cinquante on disait de lui qu’il avait « une gueule ». Mais il n’en avait guère conscience.

 

Octave avait longtemps payé les services d’une jolie brune avec laquelle des liens de complicité avait fini par se créer sans toutefois déborder le cadre traditionnel de ce genre de relation. Un jour celle-ci fit comme on dit un « mariage avantageux » avec l’un de ses clients. Octave en fut fort marri et chercha donc ailleurs

 

Jeudi 4 janvier

 

Après quelques déceptions, il tomba sur Vanessa. Il fut séduit par ses cheveux de feu, ses taches de rousseur, la qualité de sa prestation et par sa gentillesse.

 

– On se reverra ? Lui proposa-t-il

– Quand tu veux !

– Mardi ?

– A quelle heure ?

– Onze heures ?

– Si tu veux ! C’est bien onze heures, comme ça on pourra aller au restaurant après ! Suggéra la filoute.

 

Octave n’osa pas lui dire que ce genre de choses le gavait et se dit qu’il se trouverait bien une excuse pour échapper à ce qu’il considérait comme une corvée.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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