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Martinov 21 – Sex-machines – 5 – Partouze à Louveciennes par Maud-Anne Amaro
Jeudi 14 février
Comme la veille, Anne-Lise avait demandé à Martinov de l’héberger pour la journée afin de donner le change.
– Mais je m’en irais ce soir, il faut que je passe chez moi me changer…
En arrivant Béatrice avisait le professeur de sa rencontre avec Gérard Petit-Couture
– S’il nous trouve une idée, c’est qu’il est plus fort qu’Hercule Poirot ! Commente Martinov.
– Moi, j’ai tendance à lui faire confiance.
– On verra bien ! Répondit le professeur, fataliste.
En fin d’après-midi, alors que Béatrice vient juste de partir, et qu’Anne Lise se prépare à son tour, Gérard téléphone :
– Bonjour mon vieux Martinov ! J’ai du nouveau dans cette affaire Laviron, une idée que je ne trouve pas si mal ! On peut passer pour en parler ? Je peux être chez vous dans une demi-heure !
– Mais avec grand plaisir !
– Je suis avec Florentine !
– Super !
Martinov appelle Béatrice sur son téléphone portable :
– Gérard et Florentine se pointent, tu peux revenir ?
– Ça va encore tourner en partouze cette affaire-là !
– C’est comme tu veux !
– J’arrive !
Le professeur demande alors à Anne-Lise de rester un peu.
– Ce sont des amis, ils disent qu’ils ont une idée pour démêler cette sombre histoire.
– Ah ! Des amis comment ?
– Ils sont sympas comme tout, ne t’inquiètes pas !
– Je reste juste cinq minutes pour faire connaissance alors !
Un peu plus tard que prévu, Gérard Petit-Couture et sa compagne sonnait au domicile du professeur Martinov.
Il nous faut décrire Florentine à l’attention de ceux qui n’ont pas lu les épisodes la concernant ou qui ont tout oublié.
1,75 mètre, un visage ravissant, presque la cinquantaine mais remarquablement entretenue et conservée, brune aux cheveux longs, des formes, du sourire, de la grâce et même des lunettes !
– Voilà je vous présente Anne-Lise dont Béatrice a dû vous parler, voici Gérard et Florentine.
Les gens s’embrassent, vont pour s’installer autour d’une table basse et le professeur Martinov propose l’apéro puisque c’est l’heure de la chose !
« Tu parles ! » se dit Béatrice « dans un quart d’heure, l’apéritif va devenir horizontal ! Et pour le moment, j’ai pas trop envie ! »
– Je vais vous laisser, il faut que j’y aille ! Prévient Anne-Lise.
– Mais restez donc, nous sommes ravis de vous avoir avec nous ! Objecte Gérard.
– Non, je suis désolée, j’ai du chemin à faire, je suis venu par les transports en commun, ma voiture est au garage…
– Vous habitez Paris ?
– Oui !
– Alors nous vous raccompagnerons !
– Ça nous fera plaisir ! Ajoute Florentine avec un sourire assez peu innocent.
Elle se laisse donc convaincre.
– Bon alors voilà, y’a du nouveau, j’ai quelques contacts dans le milieu du marché de l’art, et je suis de suite tombé sur le bon zigue. D’abord « Retours », le canard dont se réclame Rondeval-Blancard, n’existe plus depuis plus d’un an, c’est lui qui l’a lancé avec ses fonds propres et ça n’a pas marché, il n’y a jamais eu de numéro 2 ! Ce type n’appartient selon ma source à aucune organisation et se tape une réputation de fouteur de merde, c’est d’ailleurs pour ça qu’il s’est fait virer de « Plaisir des arts ». Donc déjà ça change tout…
– Comment ça ?
– Ben il est tout seul, tu n’as plus à craindre de réaction violente de ses amis, puisqu’ils n’existent pas ! Et puis s’il déconne, je peux lui foutre la trouille, j’ai toujours ma carte de la DGSE.
– Il doit tout de même avoir des complices ! Objecte Béatrice. Anne Lise nous a parlé d’un jeune homme brun…
– Ce doit être Duplessis, son nouvel amant, un petit pète sec, fort en gueule…
– Ça doit être ça ! Approuve Anne Lise.
– Mais j’ai gardé le meilleur pour la fin : Rondeval-Blancard a été l’amant de Laviron…
– Quoi ?
– Ils se sont brouillés il y a environ un an. Une rupture assez violente, parait-il, avec échanges de coups, menaces diverses et tout le tremblement. Les voisins ont été obligés d’appeler la police. Depuis il n’a plus qu’une idée en tête : pourrir la vie de son ancien amant !
– Eh ben !
– Comme tu dis ! Donc voilà qui permet de poser le problème complètement différemment ! Bon, ça m’a donné soif de parler, tu me ressers un petit Campari ?
Et pendant que Martinov lui ressert à boire, Gérard Petit-Couture lui pelote carrément les fesses
– Mais enfin, monsieur ! Fait mine de s’offusquer le professeur !
– Ben quoi, c’est à moi tout ça !
– Ne vous offusquez pas ! Intervient Florentine à l’attention d’Anne-Lise, mon mari est un peu à voile et à vapeur !
– Je ne m’offusque pas, j’en ai vu d’autres !
Gérard s’approche d’Anne-Lise :
– Je peux vous dire un truc discrètement ?
Elle fait signe que oui et les voilà qu’ils s’éloignent tous deux au fond de la pièce.
– Euh, il n’est pas impossible que la soirée dégénère en partouze, autant que vous soyez prévenue, ces gens sont tous très corrects, mais comment dire, en ce qui vous concerne… euh !
– Oui, j’ai compris, ne bafouillez pas, vous êtes en train de me demander si ça me gêne de participer ? C’est ça ?
– C’est ça !
– Vous connaissez mon métier, je suis vénale, si on me paye, je veux bien faire des choses du moment que les rapports soient protégés et qu’il n’y ait ni violence, ni contrainte…
– Aucun souci de ce côté-là !
– Ce genre de prestation n’est pas donné…
– Dites-moi votre prix !
– Si vous me promettez de me sortir du pétrin dans lequel je me suis fourrée, ce sera gratuit ! On marche comme ça ?
– Ça me paraît un bon deal !
Un raclement de gorge ! C’est Florentine :
– Qu’est-ce que vous mijotez tous les deux ?
– C’est une surprise ! Répond Gérard.
Le problème « Anne-Lise » n’en étant plus un, il suffit désormais d’une étincelle pour que le sexe s’en mêle. Gérard n’a aucun scrupule à se faire provocateur.
– Hé, les filles, ça vous dirait si Martinov et moi on vous offrait un petit spectacle un peu cochon ?
Béatrice et Florentine se sentent un peu gênées mais quand Anne-Lise répond d’enthousiasme « Oh oui, oh, oui ! », elles approuvent à leur tour.
– On pourrait me demander mon avis ! Rétorque Martinov.
– Absolument ! Répond Gérard ! Donne-nous ton avis !
– Mon avis, c’est qu’on ne peut pas refuser ce que réclament ces dames !
– Voici une sage décision ! Martinov me sucerais-tu la bite ?
– Avec grand plaisir !
Et sans attendre davantage, Gérard Petit-Couture sort son instrument reproducteur de sa braguette.
– Mais non pas comme ça ! Proteste Béatrice
– Un problème ?
– Baisse donc ton pantalon se sera quand même plus sympa.
– Alors d’accord comme ça tout le monde verra mon cul !
– Justement quand on a des belles fesses de pédé on les montre ! Renchérit Béatrice
Et Gérard fait donc tomber son pantalon sur ses chevilles.
– Il faudrait mieux l’enlever carrément, non ? Suggère Martinov.
– O.K. je le retire et on y va !
Gerard s’exécute et exhibe son cul devant ces dames en en écartant les globes. Le professeur vient s’accroupir devant lui, s’empare de sa bite demi-molle et se la met en bouche. Il adore faire ce genre de chose et ne le fait pas aussi souvent qu’il le désirerait.
– Hum, qu’est ce que c’est on de sucer une bonne bite !
Les filles sont au spectacle, Anne-Lise se demande comment interagir d’autant qu’elle ignore si Béatrice et Florentine ont des tendances bisexuelles.
C’est Florentine qui débloque la situation en laissant vagabonder sa main entre les cuisses de Béatrice.
– Ils m’excitent ces deux cochons ! T’avais déjà vu deux hommes faire ça, Anne-Lise ?
– Oui, une fois, ça m’avait fait drôle !
– Ça t’avais excité ?
– Troublée, oui ! Excitée je ne sais plus trop, les circonstances n’étaient pas les mêmes…
– Je comprends ! Répond Florentine qui ne cherche pas à en savoir davantage, mais Béatrice, ça a l’air de bien l’exciter, baisse-moi ton pantalon, que je te caresse la chatte.
La jeune chimiste s’exécuta sans problème, elle déposa le pantalon sur le dossier d’une chaise, la petite culotte également.
– Ben voilà ! Mais je ne voudrais pas être la seule à être la chatte à l’air.
– T’inquiète pas, on va se mettre à l’aise ! Mais voyons d’abord l’état des lieux…
Et cette fois Florentine après une innocente caresse sur le pubis, lui introduit carrément les doigts.
C’est tout mouillé, ça fait floc-floc !
– Je peux ? Demande Anne-Lise.
– Toi aussi t’es un peu bi ? Demande Florentine.
– A mes heures !
La main de l’escort-girl remplace l’autre, mais elle ne contente pas de ça, elle approche son visage de celui de Béatrice qui ne refuse pas le baiser, et les voilà en train de se rouler un patin magistral et baveux.
– Allez on enlève tout ! Propose Anne-Lise qui se retrouve à poil en deux temps, trois mouvements, les deux autres femmes suivent et l’imitent aussitôt.
Anne-Lise fait une pirouette faisant admirer son corps aux participants.
– Ça vous plait ?
– Quel joli cul ! Commente Béatrice.
– Tiens tu verras mieux ! Répond la brune en écartant les fesses de façon à exhiber son joli petit œillet brun.
– Oh le joli petit trou, je le lécherais bien !
– Vas-y ma chérie, lèche-moi le trou, j’adore qu’on me le lèche.
Ce sont des propos qu’il n’est point nécessaire de répéter deux fois à Béatrice, qui s’empresse d’aller faire frétiller sa langue agile sur cette délicieuse rondelle.
– Tu peux me mettre un doigt, si tu veux !
– On y va.
– Même deux, si tu veux !
– Un d’abord, l’autre après !
Après quelques mouvements de pilonnage digital, le doigt fatigué ressorti, et Béatrice s’empressa de le porter en bouche, elle adorait ce petit goût si particulier.
– Cochonne ! Lui murmura Anne-Lise en lui faisant un clin d’œil
– Eh, oui !
Cette fois la partouze générale est bel et bien lancée d’autant que leurs côtés, ces messieurs se sont également dévêtus et que le professeur Martinov est déjà en position prêt à recevoir l’assaut de son partenaire dans son conduit anal.
Mais Gérard prend son temps, il s’encapote, puis après avoir écarté les globes fessiers du professeur, il vient lui lécher le troufignon avec une telle application qu’il finit par s’entrouvrir.
Puis il approche sa bite, un coup sec et ça entre, il s’enfonce profondément, puis commence une série de va-et vient.
– T’aimes ça qu’on t’encule ? Hein Martinov ?
– Surtout quand c’est bien fait !
– Tout à l’heure on inversera les rôles, c’est toi qui me mettras ta bite dans le cul !
– Pas de problème ! Oh ! C’est trop bon ! Continue !
Florentine s’est approché pour mieux voir !
– Ça m’excite de trop, deux mecs qui s’enculent ! Commente-t-elle.
– Tu m’as l’air d’une belle cochonne, toi ! Lui répond Anne-Lise en ce moment en train de se faire lécher les seins par Béatrice.
– Oui, mais j’assume !
Florentine s’accroupit à la hauteur de la chatte d’Anne-Lise et l’attaque de sa langue.
L’escort girl, jusqu’ici en mode « pro », ne mouillait quasiment pas, même si les doux baisers de Béatrice sur ses tétons commençaient à faire leur effet, mais la langue diabolique de Florentine vint changer la donne, et Anne-Lise commença à s’abandonner, et quand la belle mature attaqua son clitoris elle ne put faire autrement que de jouir peu discrètement.
– Ben dit-donc, toi, alors !
– Eh oui ! C’est la première fois que tu fais des trucs avec une femme mûre ?
– Non pas vraiment ! Il y a environ deux mois, je devais me rendre, chez un couple de retraités de province qui étaient montés à Paris, j’y suis allé en compagnie d’un escort boy. Comme d’habitude, tout ce qui est sexuel est censé être ignoré par l’agence. On nous avait indiqué qu’il s’agissait d’accompagnement, je ferais donc du shopping avec madame, pendant que Bob, l’escort-boy, irait au musée ou ailleurs avec monsieur. Evidemment arrivés sur place on nous a chanté une tout autre chanson, le couple était parisien et nous attendait dans un appartement, un truc très bourge dans le 16ème. On a sonné, la bonne nous a fait entrer et nous a déclaré tout de go : « monsieur et madame vous attendent, ils sont nus dans le salon, ils souhaitent que vous vous vous déshabilliez ici, ensuite monsieur s’occupera de monsieur et mademoiselle s’occupera de madame.
– Carrément ?
– Carrément ! La bonne nous a filé nos enveloppes, on a vérifié, on s’est dessapé et on y est allé. A peine bonjour, on aurait été des robots, ça aurait été pareil, Bob qui avait plus d’expérience que moi, s’est pointé vers le vieux et s’est fait sucer la queue, et comme mémère avait les jambes écartées sur son fauteuil, j’en ai conclu qu’il fallait que je la suce, mais ce n’était pas ça, du moins elle ne voulait pas que les choses se passent dans cet ordre, elle m’a fait allonger sur une petit canapé et m’a tripoté, m’a léché, sans essayer de me faire jouir, elle n’était pas folle non plus ! Et pendant ce temps-là, Bob enculait le vieux. Quand mémère en a eu marre de me tripoter elle m’a offert sa chatte, je l’ai fait jouir en m’appliquant mais en pensant à autre chose. Une fois l’affaire terminée les deux vieux sont partis dans la pièce à côté. Pas un mot, pas merci, rien ! La bonne nous a rejoint pour nous dire qu’on pouvait se rhabiller… comme si on allait partir à poil ! Par provocation Bob a dit qu’il avait soif ! On a eu droit à un verre d’eau du robinet, j’ai rarement vécu un truc aussi peu convivial.
– Hum elle est curieuse ton histoire !
– Oui je ne sais pas pourquoi je te raconte ça ?
– On parlait de femmes mures…
– Ah ! Oui !
– Et si tu me léchais la chatte ! Lui proposa Florentine.
Anne-Lise proposa à Béatrice et à Florentine de s’assoir l’une à côté de l’autre ce qui lui permettrait de les lécher alternativement.
– Regarde-moi ces deux bonhommes ! Ils sont déchainés. Ah, cette bite qui lui pilonne le cul ! Quel spectacle ! Commenta Florentine avant de rouler un patin à sa voisine tout en lui pelotant les seins.
La langue d’Anne-Lise attaque tout d’abord la chatte baveuse de Florentine, tandis que deux de ses doigts viennent fouiner dans celle de Béatrice. Au bout d’un moment, elle alterne, : la langue pour Béa, les doigts pour la mature. Les deux femmes se pincent les tétons mutuellement et commencent à japper de plaisir.
Nouvelle permutation, et cette fois l’escort-girl attaque le clito de Florentine.
– Ahh ! Non ! Oui, Ouiii, continue ! Je jouis ! Oh, tu m’as fait bien jouir, ma petite salope.
Dans la foulée, Anne-Lise se précipite sur la chatte de Béatrice qui ne tarde pas à rejoindre son ainée dans l’orgasme.
Elle se caressent, s’embrasent, se cajolent, se resservent à boire, tout va bien !
Gérard commence à fatiguer et sort du cul du professeur sans avoir joui. Il se place devant son partenaire et entreprend de lui pincer et de lui tortiller les tétons, ce qui fait que notre bon professeur Martinov bande comme un sapeur.
Gérard peut alors prendre la bite en bouche et la sucer goulument pendant quelques minutes avant de se mettre à quatre pattes et d’offrir à son tour son cul au professeur.
Ce dernier est plus passif qu’actif dans ce genre de relation, mais la partouse a aussi ses règles, si l’on veut recevoir, il faut aussi savoir donner.
– Sont trop cochons, quand même ! Fait mine de s’offusquer Florentine.
– Oui mais bon, les hommes d’un côté, les femmes de l’autre, c’est un peu gênant, on se croirait à la messe en Sicile ! Fait remarquer Anne-Lise.
– T’as raison ! Approuve Béatrice. Venez les nanas, on va les rejoindre.
Les trois filles s’approchent du couple sodomite :
– Alors les pédés, on aime plus les femmes ! Raille Florentine.
– Oh ! Proteste Gérard ! On ne peut pas se faire enculer tranquille ?
– Ben, non, pas quand on est là !
Et la situation tourne vite au grand n’importe quoi : Anne-Lise offre sa chatte à Gérard qui ne va tout de même pas refuser un tel cadeau, Florentine vient doigter le cul du professeur et Béatrice…
Elle est où Béatrice ?
En fait elle était montée dans la chambre du professeur d’où elle redescend très vite en tenant un godemichet dans la main.
– Sors de son cul, mon petit professeur, je prends le relais !
– Je ne suis pas d’accord, je veux une vraie bite, pas un machin en latex ! Proteste mollement Gérard.
– Laisse-moi faire, c’est moi la reine des godes !
Et tandis que Béatrice pilonne Gérard avec son godemiché, Florentine s’est emparé de la bite du professeur Martinov et se met à la sucer avec frénésie, avant de déclarer tout de go :
– Maintenant, encule-moi, prend moi comme une chienne !
Overdosé d’excitation le professeur accéda bien volontiers à cette requête et se mit à sodomiser la belle en cadence jusqu’à ce qu’il prenne son pied, tandis que la belle mature orgasmait à répétition. Et quand il retira sa capote, la belle mature vint lui nettoyer la bite de son sperme avec gourmandise.
Pendant ce temps, Gérard se régalait de la chatte d’Anne-Lise tandis que les coups de butoir de Béatrice dans son trou du cul le faisaient miauler de plaisir.
– Je peux te baiser ? Demanda Gérard à l’escort-girl.
– Mais certainement mon cher ! Tu en meurs d’envie, n’est-ce pas ?
– J’avoue !
– Tu n’es donc pas si pédé que ça !
– Je ne suis pas pédé, je suis bisexuel ! Nuance !
– Tu ne serais pas un peu soumis, en plus ?
– Non pas vraiment, mais c’est un rôle que je peux jouer parfois…
– Dommage que je n’ai pas un martinet, je t’aurais bien fouetté un peu tes fesses de pédé.
Elle se mit alors à demander à la cantonade :
– Personne n’aurait une cravache ou un machin qui fouette, on a envie de jouer à panpan-cucul !
Et quelques instants plus tard Béatrice revenait de la cuisine avec une jolie spatule en bois.
– Tiens ! Prend ça sur son cul, gros pervers !
– Je ne suis pas gros !
– Non, mais t’es pervers !
– Toi aussi !
– C’est pas une raison ! Tiens, morue, salope, suceur de bite, enculé.
– Oui, je suis tout ça, et je n’ai même pas honte !
– Pas moyen de faire de la domination sérieuse avec toi !
– Pourquoi faudrait-il que le sexe soit sérieux ? Moi j’aime bien la déconnade !
Pour toute réponse Anne-Lise augmenta l’intensité de ces coups.
– Ne l’abime pas trop quand même ! Intervint Florentine.
– Mais non, et puis d’abord il aime ça ! Et toi t’aimes bien les coups sur les fesses ?
– Juste un peu alors !
– Ben voilà il suffisait de demander !
Du coup Florentine présenta son cul à l’escort-girl et reçut à son tour sa ration de coups de spatule.
– Oh, là, là ça m’a mis dans un état tout ça ! Commenta-t-elle. Gérard tu vas pouvoir me baiser, mais avant il faut que je me soulage, j’ai une envie pressante.
– Pisse-moi dans la bouche ! Demanda Florentine.
– T’es vraiment une salope ! Viens, on va faire ça !
– Attendez, vous allez en mettre partout ! Intervient Béatrice, allez faire ça dans la salle de bain, ou plutôt attendez je vais chercher une serpillère.
– Vite, j’ai trop envie !
– Je me suis trouvé un nouveau job ! Préposée aux accessoires pour parties fines, je devrais passer une annonce.
Anne-Lise libéra ses sphincters et déversa son joli pipi dans la bouche gourmande de Florentine.
– Putain, qu’est-ce qu’elle est bonne ta pisse !
– Bien sûr que je suis une putain, et fier de l’être en plus.
– Il en reste un petite goutte pour moi ? Intervient Béatrice qui adore ce genre de choses
– Mais bien sûr !
Dès qu’elle eut terminé, Anne-Lise s’étala de tout son long dans le canapé, jambes écartées.
– Viens mon Gérard, viens baiser ta pute ! T’as même le droit de m’enculer
Il la sodomisa donc, et plutôt rapidement, ce qui termina cette partouze de folie.
– Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’étais déchaînée, j’espère que je n’ai choqué personne.
– Mais non, tu as été parfaite, ma bibiche, la rassura Florentine. Je vais prendre une douche, tu viens ?
– Quand même, je dois passer pour la reine des putes !
– Et alors, tu ne vas pas te mettre à culpabiliser, moi, aussi j’ai été pute, c’est d’ailleurs comme ça que j’ai rencontré Gérard ! Et crois-moi je ne regrette rien !
– T’es gentille, toi ?
– J’essaie !
Et les deux femmes se roulèrent un patin baveux en se caressant le nichons.
Après toutes ces réjouissances, Gérard souhaite emmener tout le monde au restaurant. Béatrice objecte qu’elle ne sera pas prête de suite, qu’il faut qu’elle prenne une douche, qu’elle se remaquille… Les deux autres femmes la rejoigne dans cette objection.
– Vous n’avez pas un livreur de pizza dans le coin ? Demande Florentine en remettant sa culotte.
A suivre
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