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Martinov 21 – Sex-machines – 9 – Réglages mécaniques par Maud-Anne Amaro
Revenons un peu vers Duplessis, qui se retrouve avec un tas de problèmes à gérer : faire ouvrir sa voiture, soigner son nez, mais aussi se racheter un téléphone, signaler la perte du précèdent, se faire refaire ses clés de voiture, quant à essayer de comprendre ce que lui veut cet agent secret à la manque, il renonce à saisir, mais se dit qu’il n’a vraiment pas eu de bol d’avoir booké une fille qui fricote avec la « sécurité du territoire ».
Mardi 19 février
Le nez de Duplessis ne sera plus jamais le même ! Gérard Petit-Couture l’ayant définitivement écrabouillé.
Il s’est racheté un téléphone mais comme il n’a procédé à aucune précaution particulière afin de sauvegarder son carnet d’adresse et qu’il n’y connait pas grand-chose, il se retrouve gros jean comme devant. Il ne peut donc téléphoner à Sonia pour lui demander comment s’est déroulée sa mission auprès de Rondeval.
Se refusant à aller chez ce dernier sans savoir, il se résigne à se déplacer jusqu’à l’atelier de Laviron en espérant qu’elle y soit…
Ce jour-là le professeur Martinov avait convenu de se rendre au hangar de Laviron afin de remplacer les moteurs et de procéder aux réglages de ses machines.
Il récupère Béatrice au passage laquelle a insisté pour être présente :
– Je ne le sens pas ce mec, on ne sait jamais autant, qu’on soit deux ! Lui répéta-t-elle.
– T’as l’air fatiguée !
– J’ai eu une soirée un peu compliquée hier soir avec Gérard, mais on a bien rigolé et ça s’est terminé en partouze.
– Tu me racontes !
– Bien sûr !
Ce qu’elle fit et avec force détails !
– C’est malin de me raconter ça, maintenant je bande comme un âne !
– Mon pauvre petit professeur !
Sur place, ils saluèrent chastement Sonia, Laviron n’ayant nul besoin de savoir qu’ils la connaissaient désormais très intimement.
– Ça va être long ? s’enquit Laviron.
– Non, on a prévu la matinée, ça devrait le faire, mais on ne sait jamais.
– Bon, eh bien, allez-y, je vous laisse opérer !
– On va commencer par la machine à piston, ce sera la plus facile.
Le professeur Martinov se mit donc à bricoler la « fuck-machine » sous les yeux attentifs de Béatrice qui n’y connaissait pas grand-chose en mécanique. Laviron observait d’un œil, plus loin tandis que Sonia assise sur une chaise tripotait son téléphone portable en attendant qu’on ait besoin d’elle.
Un quart d’heure plus tard on sonnait à la porte du hangar. Agacé, Laviron s’en alla ouvrir.
– Bonjour, est-ce que je pourrais parler à Sonia ?
– Elle travaille !
– J’en aurais pour trois minutes chrono, j’aurais dû l’appeler mais j’ai un petit problème de téléphone.
– Entrez, je vais l’appeler !
– Sonia, il y a un type qui veut vous causer, restez dans l’entrée, je ne veux pas qu’on voit les machines, et ne vous éternisez pas.
Sonia réfléchit rapidement, personne ne savait qu’elle travaillait ici à part Rondeval-Blanquart, mais puisque ce dernier était censé être neutralisé…
– Dites que je suis pas là et demandez qui c’est ?
– Je ne suis pas là pour faire vos commissions.
– Toujours aussi charmant, Monsieur Laviron !
Un raclement de gorge, Duplessis vient de pénétrer dans l’atelier !
– Je ne vous ai pas autorisé à entrer ici ! Vocifère Laviron.
– Trois minutes j’en ai pour trois minutes !
– Allez discuter dans l’entrée, vous n’avez rien à faire ici !
Sonia un peu déboussolée se sent obligé d’y aller !
– Bonjour, mon téléphone est cassé je voulais juste savoir comment ça c’était passé ?
– Ça s’est passé sans problème !
– Vous pouvez me donner un détail de sa déco ?
– Une tête de cerf au-dessus d’un miroir en losange, pas un vrai losange mais je ne sais pas comment…
– C’est parfait ! Bonne journée mademoiselle, et merci pour le service !
Il disparaît laissant Sonia perplexe et en sueur.
– C’est qui cet emmerdeur ? Demande Laviron.
– Peu importe, le problème est réglé !
– Vous ne voulez pas me dire ?
– Ça ne vous regarde pas !
Béatrice est inquiète, elle a aperçu Duplessis et sa visite ne lui dit rien que vaille, de plus Sonia semble anxieuse.
Il faut qu’elle sache ! Mais comment faire dans ce hangar sans dévoiler leur complicité ?
Heureusement il y a le téléphone, elle envoie discrètement un message à Sonia.
– Il te voulait quoi ?
– Vérifier qu’on était bien allé chez son jules !
– C’est tout ?
– Oui, mais Gérard nous avait dit, qu’il n’y aurait pas de suite…
– Je l’appelle !
Béatrice prétexte une envie de pisser afin de s’isoler et rend compte à Gérard.
– Tout va bien ! Répond-il
– Comment ça « Tout va bien » ?
– Qu’est-ce qui va se passer ? Duplessis va se pointer chez Rondeval comme une fleur et il va se faire jeter. Comment veux-tu qu’en l’état actuel des choses il puisse deviner que vous lui avez raconté autre chose que ce qu’il avait prévu ?
– Certes, mais…
– Donc il va mettre la réaction de Rondeval sur le compte de sa psychorigidité et basta.
– Rondeval ne peut pas se douter qu’il a été manipulé ?
– Non, quatre personnes sont venues le voir en invoquant le lien entre Duplessis et les services secrets, et il a vu ma carte ! Non, on est bordé.
« Puisqu’il le dit ! »
Effectivement, c’est tout fringuant que Duplessis compose le digicode de l’immeuble de Rondeval et vient sonner à sa porte.
Mais Rondeval n’est pas là, il est allé dans une agence de voyage acheter un vol vers la Nouvelle-Calédonie ! C’est extra la Nouvelle-Calédonie, pas besoin de visa puisque c’est la France.
Quand il revient, son billet en poche, il aperçoit Duplessis qui fait le pied de grue devant son immeuble.
« Qu’est-ce qu’il fout là, ce con ? »
Duplessis s’avance vers lui, tout sourire, Rondeval le laisse approcher, puis avant qu’il n’ait pu ouvrit la bouche le gifle deux fois de suite.
– Je t’ai dit que je ne voulais plus voir ta sale gueule, vas te faire enculer chez les saoudiens !
– Mais…
Le dialogue est impossible, Rondeval a déjà franchi la porte d’entrée.
« Si on a été suivi, ces connards vont comprendre qu’on a un gros désaccord, ce qui est en soi plutôt une bonne nouvelle ! »
Il monta terminer de remplir ses valises, puis il prit un taxi jusqu’à l’aéroport de Roissy. On ne le suivait pas, mais cela ne le rassurait pas pour autant. Il y avait un vol dans trois heures en direction des Iles Saint Pierre et Miquelon, il se renseigna afin de savoir s’il restait des places, il paya en liquide, fier de son coup, si les barbouzes l’attendaient en Nouvelle Calédonie, ils risquaient de l’attendre longtemps
Duplessis marchait le long du canal Saint-Martin en regardant l’eau, il savait qu’il n’aurait pas le courage de s’y jeter. Alors il fit comme les loosers américains déprimés dans les films hollywoodiens, il commanda un whisky, puis un deuxième. Ne tenant pas trop bien l’alcool, il revint chez lui en titubant. Le lendemain il reprendrait sa petite vie de garçon de courses au Crédit Général, la petite vie quoi.
– Voilà c’est prêt ! Indiqua Martinov après avoir fait fonctionner à vide la fuck-machine. On peut maintenant procéder aux essais en réels.
– Allez Sonia, en position s’il vous plaît ! Ordonne Laviron, on commence par la fuck machine.
– On y va, on y va ! Vous avez enfilé un préservatif sur le piston ?
– Oui, mais c’est idiot, la machine n’a pas le sida.
– C’est peut-être idiot mais ça glissera mieux !
Sonia après avoir enlevé le bas, s’installe dans le fauteuil et relève les jambes.
– Quand même avec des étriers, ça aurait été plus confortable.
– Vous me l’avez déjà dit ! Bon Monsieur Martinov, je vous laisse introduire le piston dans l’intimité de mademoiselle.
– Béatrice va le faire, moi je reste près de la machine.
– Comme vous voulez !
Béatrice rapproche alors le fauteuil où est installée Sonia afin que l’extrémité du piston puise lui entrer dans la chatte, mais juste au bord.
– C’est bon ! Moteur !
Le professeur fait démarrer la machine en vitesse minimum, le piston ressort de la chatte de Sonia.
– Il faut encore rapprocher le fauteuil.
On le fait, cette fois, le piston fait correctement son boulot, Martinov augmente progressivement la vitesse.
Le piston se met à faire des va-et-vient qui n’ont pas l’air de laisser Sonia indifférente puisqu’elle commence à se mettre à miauler d’aise.
– Bon, c’est O.K, on va pouvoir tester la seconde machine.
– Non, non proteste Laviron, la représentation durera dix minutes, donc on fait dix minutes, Et puis il faut qu’on teste l’introduction anale, Sonia, rectifier un peu la position de façon à ce que… à ce que…
– A ce que le machin me rentre dans le trou du cul, ça va j’ai compris.
– Ce n’est pas une raison pour être vulgaire
– Ce n’est pas de la vulgarité c’est de l’anatomie.
– Vous vous mettez en position, oui ou non ?
– On y va, on y va… Mais mettez un peu de gel.
– C’est tout, oui ?
– Ce sera tout, oui !
Laviron prend un carré de gel, ouvre l’étui et s’approche des intimités de Sonia.
– Non ! Vous ne touchez pas à mon cul ! Le gel c’est sur le piston.
– Chochotte !
Laviron fit signe a Martinov de faire redémarrer la machine. Le piston se mit alors à entrer et à sortir lentement de l’anus de la belle.
– Faut bien que je justifie mes appointements ! Commenta Sonia en nage.
Au bout de dix minutes, Laviron, fait signe au professeur qu’il peut arrêter la machine.
– Oh ! Proteste Sonia, on aurait pu continuer cinq minutes, j’ai la chatte et le cul en feu, moi !
– Mademoiselle Sonia, soyez correcte !
– J’ai dit quelque chose d’incorrect ?
– Bon on essaie la machine à fouetter… Hé, Sonia vous allez où comme ça, la machine elle est là sur la gauche !
– Je vais pisser, j’ai le droit, non ?
Et tandis que Sonia s’éloigne, Béatrice entreprend Laviron, le but étant de lui faire une proposition qui facilitera le plan que Gérard Petit-Couture à soumis à Sonia.
– Monsieur Laviron, il me vient une idée…
– Oui, je sais les étriers, je vais y réfléchir…
– Mais non ce n’est pas ça du tout, vous avez trois machines, la démonstration serait bien plus intéressante si vous aviez trois filles en même temps.
– J’y ai bien pensé, mais je suis pris par le temps, et puis c’est cher tout ça.
– Mais non, vous vous y retrouverez, au lieu de faire trois prestations avec une fille, vous aurez trois prestations avec trois filles.
– Vous croyez que ça se passe comme ça, vous ?
– Et puis c’est une garantie ! Si Sonia vous faisait faux bon, vous auriez ce qu’il faut pour la remplacez.
– C’est vrai que la Sonia, elle est un peu compliquée à gérer. Qu’est-ce qu’elle fout d’abord ? Trois heures pour pisser ! C’est pas possible !
– Alors, vous en pensez quoi de mon idée ?
– Je vais réfléchir, mais je n’aurais pas le temps de trouver des filles et de les briefer.
– Je peux vous en trouver, des filles, moi ! Et rapidement.
– Ah, oui, ou ça ? Quand ça ?
– Moi, je vous conviendrais ?
– Vous mais pourquoi ? Ce n’est pas votre métier !
– J’ai bien le droit d’avoir des fantasmes !
– Ah, pourquoi pas ? Mais vous m’embarrassez, je n’avais pas prévu ça !
– Réfléchissez, Monsieur Laviron ! Et pensez à la sécurité.
– Oui bon, ça marche ! Et la troisième personne.
– Une copine, je reviendrais avec demain pour les essais, si vous voulez ?
– Bon je suis obligé de vous demander de vous déshabiller, ne prenez pas ça pour du harcèlement, mais pour ce genre de spectacle, je suis obligé…
– Oui, bon ce n’est pas un problème, mais il faut qu’on discute du prix.
– 200 balles par soirée, 200 balles chacune
– Un peu plus quand même !
– 250 ?
Et quand Sonia réapparût elle feint la surprise en voyant Béatrice à poil à côté de la machine à fouetter.
– Qu’est ce qui se passe ?
– On ne sait jamais, tu peux avoir un empêchement, alors Mademoiselle Clerc-Fontaine s’est proposé comme back-up !
– Ah, bon !
– Bon, mademoiselle si vous voulez bien prendre place sur ce socle, non, pas comme ça, il faut présenter votre postérieur à la machine, voilà, cambrez-vous bien, ça risque de fouetter un tout petit peu, ça ne vous pose pas de problèmes, j’espère ?
– Je ne suis pas en sucre !
On déplace le socle de façon à ce que les lanières de la machine soient bien en contact avec les fesses de Béatrice, et le professeur règle la vitesse. Pas évident, il faut que la lanière claque, mais sans blesser, mais quelques traces seront néanmoins inévitables.
– Voilà on a trouvé la bonne vitesse, il faudra mettre le bouton sur 15, je vais faire un repère.
– Pas la peine je m’en souviendrais ! Répond Laviron.
– On est jamais trop prudent.
L’air de rien les fesses de Béatrice commencent à chauffer.
– Euh, ce machin-là, ça ne va pas durer dix minutes, tout de même ? Proteste Béatrice.
– Non, on va faire fonctionner la machine trois minutes, on l’arrête quatre minutes et on reprend trois minutes.
– Génial.
Il restait une machine à tester, le lèche-cul rotatif.
Sonia se met en place et offre son cul aux langues de latex. En fait la machine est nulle et ne provoque aucune sensation sinon un spectacle visuel… mais un joli spectacle.
Il ne restait plus qu’à demander à Anne-Lise de passer le lendemain pour postuler comme troisième figurante.
A suivre
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