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Martinov 21 – Sex-machines – 10 – Toutes en scène par Maud-Anne Amaro
Vendredi 22 février
Arrive enfin le grand moment :
Ce soir dans le cadre de l’exposition aux Tuileries doit avoir lieu la démonstration privée des trois machines de Camille Laviron.
Le dépliant de présentation de l’artiste se garde bien de parler de machines, lui préférant le terme d’installation vivante et dynamique, et les nomme pompeusement de noms abscons de la mythologie grecque : Alecto, Tisiphoné et Megaira. En partant du principe que plus c’est abscons, plus ça plait à la critique.
Gérard Petit-Couture a peaufiné son idée avec les trois filles, chacune connaît son rôle.
Il y a en fait trois séances : 21 heures, 22 heures et 23 heures, cette dernière étant réservée au V.I.P.
En se faisant passer pour un critique d’art moderne, Gérard s’est débrouillé pour envoyer quelques invitations bien ciblées : deux journalistes de la presse people pas très malins mais toujours friands de new salaces dont les écrits seront bien relayés sur Internet, mais aussi une militante féminine « pure et dure » connue pour ses prises de positions sans nuances. Il leur était précisé qu’ils ne seraient pas déçus.
Les trois femmes sont nues en bas, le haut étant dissimulé par un petit caraco sexy. Elles saluent la petite assistance et rejoignent chacune leur machine respective qui pour l’occasion ont été copieusement végétalisées..
Une voix off diffuse alors en boucle un message qui se veut pertinent : « Non, Dame nature ne sera pas vaincu par la société de consommation qui voudrait tout merchandiser et robotiser y compris le sexe ! » sur fond d’une musique concrète stridente et glougloutante
Laviron met en marche la première machine, le piston se met à ramoner en cadence la chatte de Sonia qui en rajoute en poussant des cris de chatte en chaleur, la seconde machine démarre à son tour, et Béatrice râle comme si elle avait vraiment très mal. Et sur la troisième machine Anne-Lise nous fait un numéro de simulation.
Les gens se regardent, certains sont visiblement gênés, d’autres crient au génie. Quant aux trois « invités », ils se demandent ce qu’ils font là, bien que les deux journalistes s’en mettent plein les mirettes, la féministe outrée réfléchit déjà à l’article vengeur et inquisiteur qu’elle ne manquera pas de rédiger et de diffuser sur ses réseaux.
Le spectacle ou plutôt « l’installation vivante et dynamique » puisqu’il s’agit « d’art moderne », étant terminé, les trois filles viennent saluer la petite assemblée qui applaudit poliment.
Et à ce moment-là, Sonia intervient !
– Juste deux mots, messieurs dames :
Et en disant cela les trois filles enlèvent leurs nuisettes sous lesquelles apparaît marqué au feutre rouge sur leurs seins : « Le travail du sexe c’est bien, mais quand c’est bien payé c’est encore mieux ! »
Certains croient que cette intervention fait partie du spectacle,, mais c’est la stupéfaction qui gagne Laviron qui ne sait comment réagir.
– Messieurs dames, on va maintenant passer dans les rangs…
– Mais taisez-vous Sonia ! Messieurs dames, c’est un malentendu ! La séance est terminée, veuillez nous excuser pour ce léger incident.
Mais ces dernières paroles se perdent dans le brouhaha !
– Laissez la parler ! Lance Gérard d’une voix ferme et tonitruante.
– Oui, oui, laissez-la parler, reprennent d’autres personnes.
– Je disais donc que nous allons passer parmi vous faire la quête parce que Camille Laviron, c’est pas pour dire, mais il a des oursins dans son porte-monnaie.
Rires dans l’assistance qui prépare généreusement les billets, à l’exception de quelques inévitables radins.
Laviron trépigne de rage et vocifère des « vous allez me le payer ! » Mais personne ne l’entend.
Le lendemain un article de la presse people titrait sur Internet :
« Un obscur artiste contemporain ridiculisé par un trio de call-girls » un autre « Le flop d’un artiste autoproclamé ».
L’information fut suffisamment relayée pour que Laviron se sente obligé d’annuler les représentations privées des jours suivants.
L’objectif était atteint et suffisant, mais eu des séquelles imprévues :La présence de la militante féministe était une erreur, allant trop loin elle broda l’événement, accusa carrément Laviron de harcèlement sexuel et de proxénétisme. Ces gens-là n’ont aucun sens des nuances.
Sonia fut harcelée, on la pressa de porter plainte, bref l’affaire fit quelques bruits à ce point que la féministe souhaita entraîner Sonia sur un plateau télé. Elle refusa dans un premier temps puis sur les conseils avisés de Gérard, elle finit par accepter.
Vendredi 8 mars, journée de la femme
– Donc, Mademoiselle Sonia, débite l’animateur de service, vous voilà au centre d’un scandale sexuel dont vous avez été la victime, nous n’avons pas encore eu l’occasion d’entendre votre version des faits.
– Eh bien voilà : Il n’y a aucun scandale sexuel. A aucun moment Monsieur Laviron ne m’a harcelé sexuellement et jamais Monsieur Laviron n’a proposé mes services à d’autres personnes, les accusations qu’on voudrait que je lui porte sont de pures calomnies.
– Vous dites que…
– Ah ! Laissez-moi terminer ou je quitte le plateau ! Monsieur Laviron est méprisant, invivable et colérique, c’est pas bien mais ce n’est pas un délit, sinon il nous a payé avec des queues de cerises, et c’est cela uniquement qu’on lui reproche ! Notre revendication était uniquement salariale. Sinon, madame la féministe, vous qui avez la prétention inouïe de vouloir parler au nom de toutes les femmes, je vous signale que je fais ce que je veux de mon corps et que je vous emmerde. Et cela dit, je vous laisse déblatérer dans le vide.
– Ouf ! j’ai été bonne ? Demande-t-elle à Gérard qui était dans le public et qui sortit avec elle.
– Excellente, ma chère ! Excellente !
Et tout ce petit monde se retrouva pour faire la fête dans la garçonnière des Petit-Couture.
Un traiteur avait livré de quoi faire un buffet froid, il y avait bien sûr du Champagne et du bon vin.
Evidemment tout le monde sait que cette petite réunion amicale va tourner en partouze et il n’est nul besoin de sauvegarder les apparences.
Certains ont des désirs particuliers, ainsi Florentine rêve de s’isoler ne serait-ce qu’un quart d’heure dans les doux bras de Sonia.
Mais Sonia a elle aussi quelques pensées coquines, ce que lui a dit Gérard la dernière fois n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde.
– Dis-moi Gérard, tu m’avais promis de me montrer quelque chose ? L’apostrophe-t-elle.
– Quoi donc ? Mes jolis dessins ? Mais ils ne sont pas ici, mais tu es invitée à venir les regarder à la campagne, cela nous fera plaisir !
– Allons, allons ! Il ne s’agit pas de ça ! Veux-tu que je te rafraichisse la mémoire.
– Oh, oui, rafraichis-moi !
– Quand Florentine, la dernière fois m’a confié que tu aimais sucer les bites, j’ai répondu que j’aimerais bien voir ça…
– Mais t’es vraiment coquine, toi ?
– N’est-ce pas !
– N’empêche que ça ne se fait pas de demander des choses pareilles ! Plaisante-t-il.
– On va être obligé de la punir ! Intervient Anne-Lise.
– Absolument, mais avant on peut lui faire plaisir ! Viens Martinov, on va se faire un petit truc tous les deux.
Le professeur n’a rien contre, vous vous en doutez bien, mais il temporise, comme ça, pour le principe.
– Comme ça tout de suite ?
– Ces dames sont impatientes de nous regarder faire, il ne faut jamais faire attendre les dames !
– Dans ce cas…
– On se met tous à poil ! Propose Florentine qui joignant le geste à la parole se débarrasse de ses vêtements en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
Les filles se déshabillent et s’assoient, Florentine s’est arrangée pour être à côté de Sonia et commence déjà à la peloter. De leurs côtés Béatrice et Anne-Lise se caressent gentiment les cuisses.
Et voilà notre vert professeur face à face avec l’ancien ministre, ils sont nus tous les deux. Gérard attrape les tétons de Martinov et se met à les tortiller ce qui a pour effet de le faire bander quasi instantanément.
Le professeur allait se baisser pour mettre la bite de son partenaire en bouche, mais ce dernier est plus rapide que lui. Et le voilà qui se met à sucer goulument la queue de Martinov, la langue va partout, le gland, la hampe et même les couilles.
– Regardez-moi ces deux vieux pédés, ça m’excite toujours de voir ça ! Commente Florentine les doigts dans la chatte de Sonia.
– Oh ! Tes doigts ! Mais qu’est-ce qu’ils font, là ?
– Ben, ils explorent ! Oh regarde, ils échangent leur rôle, maintenant c’est Martinov qui suce ! Regarde-moi ce vieux cochon comme il se régale.
– Oh ! Ne retire pas tes doigts, continue ! Tu crois qu’ils vont s’enculer ?
– S’ils ne le font pas, on va leur demander !
Elles n’eurent pas besoin. Spontanément le professeur se mit à quatre pattes.
– Non, pas comme ça, ce n’est pas confortable ! Lui suggéré Gérard, mets- toi sur le canapé, les genoux dessus, la tête sur l’accoudoir, et moi j’arrive derrière. Poussez-vous un peu les filles qu’on puisse faire ça à l’aise.
Martinov fit comme indiqué !
– Wha ! Quel cul tu te paies ! Un vrai cul de jeune homme, un bon cul d’enculé. S’extasie Gérard.
– On se calme ! On se calme !
Gérard est un méticuleux et avant de faire pénétrer son membre dans le trou du cul professoral, il prend soin de l’humecter de sa langue, puis d’y faire aller un peu les doigts.
– Ils vont être H.S après ça, il ne va plus rien rester pour nous ! Se désole Sonia.
– Penses-tu ! Martinov a toujours ses petites pilules miracles sur lui, tu ne savais pas ?
– Ben non !
Et ça y est, la bite de Gérard Petit-Couture est dans l’anus du professeur Martinov et va et vient à une cadence infernale, qui lui fait pousser d’étranges petits cris.
– Qu’est-ce que c’est beau une bite qui coulisse dans un trou du cul ! S’extasie Sonia.
– T’avais jamais vu ?
– Deux hommes ensembles ? Pas en vrai !
– Remets-toi !
– Si, si, je trouve ça très beau !
– T’as qu’à écrire un poème !
– Pourquoi pas ?
Gérard tente de se contrôler, mais l’excitation est trop forte, alors il se laisse aller et finit par éjaculer dans la capote encapuchonnant sa queue.
Il souffle comme un bœuf, après avoir échangé un sourire complice avec Martinov, il s’en va s’affaler au bout du canapé, tout près de Béatrice.
Le professeur affiche un sourire béat devant ces dames, et alors qu’il ne s’y attendait pas du tout, Sonia se défait de l’étreinte de Florentine et se précipite sur sa bite pour la mettre en bouche.
– Mais elle est déchaînée ! Commente le professeur, qui évidemment se laisse faire, d’autant que voici Anne-Lise qui accoure à son tour
Ce qui fait que c’est maintenant deux magnifiques jeunes femmes qui s’occupent de sa queue, soit en même temps, soit alternativement.
– On se calme, les filles, je en vais pas pouvoir tenir !
Mais elles ne l’écoutent pas, et bientôt les deux filoutes se retrouvent avec le sperme du professeur sur le visage. Pas bien grave, elles nettoient tout ça de leurs langues en rigolant comme des bossues.
Béatrice s’est levée pour se servir à boire, elle aperçoit sur la table un joli godemichet, elle s’en empare et s’en va narguer Gérard qui se remet à peine de ses émotions.
– Regarde ce que j’ai trouvé sur la table !
– Oh, comme c’est curieux !
Ayant actionné le vibrateur, elle caresse les boules de l’homme avec l’objet.
– M’enfin !
– C’est rigolo, non ?
– Ça change !
– Tu le voudrais dans ton cul !
– Tant qu’à faire, je préfèrerais la bite de Martinov !
– Oui, mais là faut attendre un peu, il est H.S.
– Dommage, je t’aurais bien enculé avec !
– La soirée est à peine commencée, on a le temps, mais dis donc et si c’était moi qui te le foutais dans le cul ?
– On peut faire comme ça aussi !
– Allez, montre-moi tes jolis fesses !
Béatrice se retourne, offrant son beau cul à la vue de son partenaire et se cambrant de façon obscène.
– Hum, que c’est attendrissant tout ça, il faut que je lèche !
– Vas-y, je me laisse faire !
Gérard fit travailler sa langue tant et si bien sur le trou du cul de la belle que l’anus finit par bailler.
– Ton trou du cul a un goût divin ! Commente-t-il
– Me serais-je mal essuyé le derrière ! Répond-elle sur le ton de la plaisanterie.
– Je ne veux pas le savoir, mais c’est délicieux !
– Alors régale-toi, mon grand !
– Je vais mettre un doigt, s’il ne ressort pas net, tu auras un gage, d’accord ?
Evidemment, Gérard affirma que le doigt n’était pas propre, et Béatrice, très joueuse ne démentit pas. Gérard se leva et alla chercher le martinet.
– Mets-toi en position, je vais te faire rougir le cul !
– Qu’est-ce qu’elle a fait ? Demanda Florentine.
– Elle m’a cochonné mon doigt quand je lui ai foutu dans le cul !
– Oh, la vilaine fille !
– Ça mérite bien dix coups ! Reprit Gérard.
– Seulement dix ? Le nargua Béatrice.
– Alors quinze !
Gérard frappa, ce n’était pas une brute et de plus il n’était pas sadique, mais du martinet, c’est quand même du martinet et les fesses de la pauvre Béatrice ne tardèrent pas à tourner au rose foncé.
Ce petit divertissement eut pour effet de faire rebander la bite de Gérard qui envisagea alors d’enculer la belle.
Mais Florentine s’interposa voulant à son tour gouter au cul de la jeune chimiste.
– Hum, quel parfum subtil, quel fumet ! Commenta-t-elle.
– Je te dis ! J’ai dû oublier de m’essuyer !
– Justement, c’est ce qui fait le charme !
– Florentine, t’es une cochonne !
– Je sais.
Pendant ce temps Gérard s’encapote le zizi.
– Florentine laisse-moi la place que j’encule cette charmante personne.
– Faudrait peut-être me demander mon avis ! Fais mine de protester l’intéressée.
– Tu as raison, j’attendrais que tu me le demandes !
– Encule-moi, mon Gérard, fous-moi ta bonne bite dans le cul !
C’est donc ce qu’il fit tandis que Florentine passée devant-elle offrait son trou du cul à lécher.
– Il a quel goût mon trou du cul ? Demanda Florentine se faisant provocatrice.
– Un goût d’andouille de Guéméné !
– N’importe quoi !
– Si, si je t’assure !
Et Béatrice toujours secouée par les coups de butoir de son enculeur, attrapa le gode qui trainait à côté et sans crier gare, l’introduisit dans l’anus de la belle mature !
– Mais c’est quoi cette chose qui me rentre dans le trou du cul ?
– Tais toi ! Chienne lubrique !
– Oh, oui, je suis une chienne lubrique, une morue, une dépravée, une salope….
Et la suite fut inaudible, les trois membres du trio se mettant à crier leur jouissance dans le désordre.
Spontanément Florentine et Béatrice s’embrassèrent goulument, un peu plus loin Anne-Lise et Sonia finissaient de se gamahucher en soixante-neuf avec une fougue qui faisait plaisir à voir.
Quant à notre bon professeur, il s’était endormi, la main sur la bite.
Anne-Lise qui venait de jouir sons la langue de Sonia passa devant Martinov et saisi d’une idée salace, lui déplaça la main, puis se mit à uriner sur sa bite. Du coup l’homme ouvrit un œil et se mit à rebander timidement. Sonia arriva à son tour et ne put résister à l’envie de prendre en bouche cette bite trempée de pisse !
Et la soirée ne faisait que commencer, nous allons quant à nous les laisser continuer à prendre du plaisir et mettre un terme à cet épisode qui je l’espère vous aura amusé.
FIN
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