Mais… quel était donc le titre de ce film ? par Irénée Vardin
Mais… quel était donc le titre de ce film ?
C’était il y a quinze ans.
Ce soir-là, le temps était tellement maussade que nous n’avions absolument pas envie de faire quoique ce soit lorsque le téléphone résonna dans le salon. Nicole
répondit d’une voix morne se demandant probablement qui pouvait bien appeler par une soirée semblable. La pluie tambourinait sur les vitres du salon tandis que le vent sifflait dans les arbres
devant la maison.
C’était François, un de mes collègues de travail avec qui je m’entends bien. Nicole le trouve très séduisant, comme à peu près toutes les femmes, et j’en suis
entièrement conscient. Je sais très bien que les deux se sentent sexuellement attirés l’un vers l’autre. Il s’était récemment séparé de son épouse et il trouvait les soirées longues à l’occasion.
François, tout comme Nicole d’ailleurs, est un amateur de cinéma et la raison de son appel était de nous inviter à voir un nouveau film présenté au centre-ville.
Nous avons alors accepté son invitation. Je décidai alors de prendre une douche avant de partir et Nicole vint bientôt me rejoindre. Je ne me lasse jamais d’admirer
son corps superbe. Ses seins, quoique modestes sont fermes et auréolés de mamelons roses très pâles. Ses jambes sont longues et effilées et ses fesses sont probablement les plus belles qu’il m’a
été donné de caresser dans ma vie. Lorsque je tentais de la caresser sous la douche, c’est avec un sourire en coin et un petit éclair dans les yeux qu’elle me pria de garder mes énergies.
Dans la chambre à coucher, alors que je me préparais à m’habiller, je tentais encore une fois de la toucher mais c’est avec un baiser rapide qu’elle me congédia
sous prétexte que nous serions en retard à la représentation. Elle ferma même la porte de la chambre afin de s’habiller en toute quiétude.
Lorsqu’elle sortit enfin de la chambre, c’est avec émerveillement que je constatais à quelle vitesse elle était capable de changer complètement d’apparence. En
effet, une demi-heure auparavant, je n’aurais jamais pensé la voir aussi ravissante.
Elle avait revêtu une jupe portefeuille verte ainsi qu’un haut un peu transparent que j’appréciais particulièrement. Nicole ne porte pratiquement jamais de
soutien-gorge et il était possible de déceler les mamelons en érection caressés par le tissu soyeux. Elle partait les cheveux sur les épaules et ceux-ci, d’un blond foncé, reflétaient la lumière.
Son maquillage discret ne faisait que souligner ses traits. Ses yeux brillaient d’une façon un peu spéciale mais je ne pouvais expliquer pourquoi. Sa beauté classique ne cessait de me
séduire.
En route pour le cinéma, alors que je conduisais, elle me dit qu’elle me réservait une petite surprise pour la soirée et qu’elle espérait ne pas me décevoir. C’est
un peu intrigué que je rejoignis donc François qui nous attendait dans le hall. Il embrassa Nicole sur les joues et nous échangeâmes une franche poignée de main. Il nous dit que le film était un
peu érotique et qu’il espérait que cela nous plairait. La salle était presque vide et nous nous sommes dirigés vers l’allée de droite. Nous prenons place vers le centre de la salle et Nicole est
assise entre François et moi. Peu après, les lumières s’éteignent et l’écran prend vie. Après les bandes annonces traditionnelles et souvent agaçantes, le film débuta.
Très rapidement, les scènes érotiques commencèrent à se répéter et je me sentais un peu excité.
Tout à coup, Nicole me souffla à l’oreille qu’elle se sentait bien entre deux hommes qu’elle trouvait à son goût et elle me prit la main ainsi que celle de
François. Celui-ci nous regarda avec un certain étonnement qui se changea rapidement en sourire. Il approcha la main de Nicole de ses lèvres et y déposa un baiser à la fois chaste et sensuel.
Nous échangeâmes alors tous les deux, un sourire complice.
Il y a longtemps que je savais que François excitait Nicole et je trouvais que le temps était peut-être venu de permettre à la femme que j’aime plus que tout au
monde de vivre un certain fantasme. En croisant les jambes, Nicole permit alors à sa jupe de s’ouvrir et c’est alors que je constatais, en raison de la lumière dansante de l’écran, qu’elle
portait des bas avec des jarretelles. Celle-ci sait combien je trouve ça excitant et je pus constater que François aussi appréciait. Nous pouvions en effet voir les cuisses gainées de noir et le
début de cette chair au-dessus du bas. Nicole se tourna vers moi et m’embrassa. Je pus constater, à sa respiration légèrement saccadée, qu’elle se sentait excitée. Son baiser était sensuel et sa
langue jouait avec la mienne. Sa main serrait la mienne et lorsque nos bouches se séparèrent, elle me souffla qu’elle se sentait très femme. François ne pouvait quitter les cuisses de Nicole des
yeux. Cela m’excitait beaucoup de voir mon meilleur copain désirer ainsi ma femme. Je libérais alors ma main et la plaçais derrière Nicole et de ma main gauche, je commençai à lui caresser les
cuisses, m’attardant surtout sur cette partie de peau si tendre et si soyeuse de l’intérieur de la cuisse.
Elle me regarda et je lui souris. Elle comprit alors que tout était permis.
Ma main remonta sur ses cuisses les dénudant jusqu’à la culotte noire de dentelle. Ce genre de culotte ne serre pas à l’aine et permet donc plus de liberté. Pendant
que je la caressais ainsi, elle se pencha vers notre ami et l’embrassa farouchement. Celui-ci en profita donc pour approcher sa main de ses seins et, avec une certaine gêne, commença à les
caresser. Très rapidement, il les avait dénudés afin de mieux les contempler, Il se pencha ensuite sur la poitrine offerte et embrassa ces seins arrogants tout en mordillant gentiment les
mamelons. Nicole se cabra sous la caresse et commença à geindre. J’insérais les doigts dans sa culotte et constatais à quel point elle désirait faire l’amour. Sa chatte était déjà toute humide et
je n’eus aucun problème pour trouver son clitoris que je caressais avec délicatesse.
Elle se tourna vers moi et murmura qu’elle nous désirait tous les deux. J’étais très excité. Elle put le constater alors qu’elle me prit le pénis à travers mon
pantalon. Mon érection était très ferme et je fus encore plus excité lorsque je constatais qu’elle caressait également François de la même façon. Je l’embrassais goulûment et commençai à caresser
ses seins. Je dirigeai alors la main de François vers sa chatte et celui-ci ne se fit pas prier. Je sentis Nicole soulever le bassin afin de mieux s’abandonner à la caresse et très rapidement,
elle fut prise de soubresauts que je connaissais tellement bien. La jouissance la parcourait par vagues incessantes et elle ne put retenir certains gémissements. Les doigts de François ne
cessaient de lui parcourir la chatte et c’est toute pantelante que Nicole le suppliait de ne pas cesser.
Avec une certaine dextérité, elle était parvenue à extraire nos pénis respectifs de nos pantalons.
Elle n’avait d’yeux que pour la bite de François qui est beaucoup plus grosse que la mienne. Je sentais monter en elle un désir qui m’était jusqu’alors inconnu. Son
corps obéissait maintenant à toutes nos caresses et ses gémissements devenaient de plus en plus audibles. Je me rendis compte que la culotte de Nicole avait maintenant disparue et que la main de
François et la mienne s’affairaient à tour de rôle sur son sexe offert. Elle tenait les jambes bien écartées afin de nous permettre de bien la caresser.
Alors que mon copain la caressait en introduisant trois doigts dans sa chatte et que je dégustais ses seins, elle eut un autre orgasme aussi long que le premier
tout en continuant, tant bien que mal, à nous masturber, François et moi. Peu de temps après, elle nous supplia de cesser de la caresser pour quelques instants, Elle désirait reprendre ses sens
pendant qu’elle continuait à nous caresser tous les deux à la fois.
Tout à coup, elle m’embrassa et me dit :
« Je suis très heureuse et je t’aime. François est en train d’éjaculer dans ma main et cela est formidable. Retournons à la maison. Je t’en prie. »
C’est en essayant de retrouver une certaine contenance que nous quittâmes précipitamment le cinéma. La guichetière nous regarda avec un certain sourire en voyant
Nicole nous tenir par le bras tous les deux. Se doutait-elle de quelque chose ? François nous avait rejoint dans notre voiture et il en profitait pour caresser les seins de Nicole et l’embrassant
passionnément durant tout le trajet. C’est donc encore tous excités que nous sommes revenus à notre appartement. Dès notre arrivée, par contre, Nicole prit le contrôle de la situation. Alors que
nous désirions la déshabiller complètement afin de lui faire l’amour, elle nous repoussa gentiment en disant que c’était son tour de s’amuser un peu.
Elle commença par nous faire tenir debout tous les deux et nous enleva nos chemises tout en nous embrassant partout sur la bouche et sur la poitrine. C’était la
première fois que je pouvais voir à ce point combien elle était belle lorsqu’elle avait le goût de faire l’amour. J’aimais la voir embrasser mon ami et le provoquer. Bientôt, elle nous enleva nos
pantalons et peu après, elle entreprit de nous enlever nos caleçons. François et moi étions en érection depuis longtemps et elle se plaisait à se faire désirer. Lorsqu’elle m’enleva mon caleçon,
elle prit ma bite dans sa bouche pendant qu’elle me caressait avec ses mains. La douceur de sa langue ainsi que la chaleur de sa bouche m’amenèrent rapidement à une excitation maximale. Je dû me
retenir pour ne pas laisser aller ce jet de sperme immédiatement dans sa gorge et je lui retirais ma pine afin de profiter encore plus longtemps de cette folie érotique.
Elle se retourna donc vers mon ami et je pus constater le désir de Nicole lorsque le pénis de François fut enfin libre. Elle commença par le caresser lentement et
délicatement avant de le lécher. Elle semblait sucer un bonbon longtemps désiré. Elle mangea ainsi mon copain durant plusieurs minutes. Elle nous fit enfin asseoir sur le divan du salon et
commença à nous faire un strip-tease. Jamais je ne l’avais vue aussi sensuelle. Elle caressait ses seins en nous les offrant, mais ne pouvions toujours pas la toucher. Lorsqu’elle se défit enfin
de sa jupe, elle ne garda que ses bas ainsi que ses jarretières.
Ses yeux pétillaient de désir en regardant nos pénis en érection et nous pouvions voir quelques gouttes de jus perler sur les poils de sa chatte.
Elle nous prit alors par la main tous les deux afin de nous conduire dans notre chambre. Nous ne nous sommes pas fait prier et nous voici donc tous les trois dans
le lit. Nicole se retrouve rapidement entre nous deux et nous embrassons ses seins pendant que François lui caresse l’entrejambe. Tout à coup, mon copain descend le long du ventre de ma compagne
et se retrouve rapidement la figure entre ses cuisses. Nicole se cabre lorsque la langue de François commence à lui lécher les lèvres. Celui-ci est très doux avec elle et je l’apprécie beaucoup.
Je regarde le sexe de mon ami avec un certain trouble, à ce point que Nicole finit par s’en apercevoir, alors elle se débrouille pour approcher ce pénis bandé avec fierté de ma propre bouche.
Elle demande à François
» Tu veux bien qu’il te suce ? »
Il répond par un sourire, Nicole ne m’a rien demandé à moi, sans doute lut-elle dans mon inconscient, et me voici en train de faire une fellation à un homme et d’en
ressentir une excitation incroyable. Nicole ne voulant être en reste s’empare alors de mon pénis qu’elle dévore avec appétit. Très rapidement, alors qu’elle me suce avidement, son corps est
traversé de soubresauts typiques et je ne peux plus me retenir. Je jouis dans sa bouche en même temps qu’elle. Nous formons alors un curieux triangle, Nicole me suce, je suce François qui n’a pas
pour autant cessé de la déguster et lorsque je me retire afin de prendre un certain repos, elle lui demande de venir sur elle et de la pénétrer. Je ne croyais jamais voir autant de plaisir sur
son visage et rapidement, elle fut secouée de plusieurs orgasmes. François la pénétrait à la fois avec douceur mais aussi avec toute l’ardeur du mâle.
Tous les deux avaient longtemps retenu cette attirance sexuelle qui créait quelques fois une certaine gêne entre nous trois. C’était très beau de les voir et je ne
fus aucunement jaloux. Au contraire, j’étais heureux de voir Nicole combler un fantasme et de voir mon meilleur copain être aussi doux avec la femme que j’aime. Et puis j’avais aussi réalisé un
de mes propres fantasmes, un fantasme que je croyais enfouis dans mon inconscient mais qui ne demandait qu’à ressurgir à la première occasion
Nous avons ainsi fait l’amour toute la nuit sans jamais sentir notre désir s’atténuer et ce n’est qu’au petit matin que nous réussîmes à nous endormir. Le lendemain
matin, Nicole vint me rejoindre alors que je prenais ma douche. Elle m’embrassa amoureusement en me remerciant pour la nuit la plus formidable de son existence et me dit :
– « C’était formidable de faire l’amour avec François mais tu es l’homme que j’aime ; ne l’oublie jamais. »
Peu après, notre ami nous rejoignait dans la douche. Fatalement nos corps se frôlèrent, et François et moi ne tardions pas à bander de nouveau. Irrésistiblement
attiré par le sexe de mon ami, je le pris de nouveau en bouche, pendant que Nicole m’introduisait un doigt fureteur dans l’anus.
« J’aimerais bien que François t’encule ! »
Je ne sais ce qui m’excita le plus, cette proposition inattendue ou la crudité du propos, toujours est-il que je fis à mon ami l’offrande de mes fesses et que
celui-ci me pénétra avec tact et douceur, tandis que Nicole les yeux exorbités se régalait du spectacle.
Voilà, j’ai voulu coucher sur le papier cette histoire inoubliable, il y en eu d’autres, mais le charme de la première fois a rendu ce souvenir tenace. Mais… quel
était donc le titre de ce film ?
fin
Cette histoire publiée jadis sur le site de sophiexxx a été remaniée pour publication sur le présent site
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