Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:50

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 14 – Savourey tombe de haut par Maud-Anne Amaro

 

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Le portable d’Octave sonne, c’est le traiteur qui indique qu’il sera là dans dix minutes. Tout ce petit monde se rhabille, on se remaquille, on se rebichonne…

Vanessa s’approche de Béatrice :

 

– Ben toi, alors !

– Ben oui !

– Chapeau, je te félicite !

– Bof, j’ai pas fait grand-chose. Répond la jeune chimiste

– Non mais j’ai apprécié !

– N’en parlons plus !

– O.K. Mais juste une chose, Monsieur Octave est quelqu’un de réglo, il va vouloir te récompenser.

– Ah ? Ah bon ? Oui évidemment…

– Parce que, je ne voudrais pas que ça te vexe !

– Et pourquoi ça me vexerait ?

– Ben je sais pas, je disais ça comme ça !

– Je t’assure qu’il n’y a aucune souci… bisous ?

 

« Ben, oui, j’ai fait la pute… et alors ? »

 

Après avoir obtenu l’accord de principe de sa relation journalistique, Béatrice rédigea elle-même l’article.

 

« Des extraterrestres au Vésinet ?

 

Un paisible habitant du Vésinet, Monsieur S. aurait reçu par trois fois la visite d’un drone entré deux fois par la fenêtre ouverte et la troisième fois en brisant une vitre et en s’échouant. Le propriétaire des lieux l’a photographié sous toutes ses coutures et la fait expertiser. Le constat est sans appel, ce type de drone est absolument inconnu quel que soit le pays de fabrication. Evidemment on pense toujours dans ces cas-là à des expériences militaires secrètes, mais enfin pourquoi des militaires iraient-ils déranger un paisible bourgeois dans son pavillon de banlieue ? L’hypothèse extraterrestre est donc prise très au sérieux par les personnes spécialisées dans ce genre de situations, cela nous a été confirmé par le colonel G. responsable du GEPAN (Groupe d’étude des phénomènes aérospatiaux non identifiés). Malheureusement l’engin se serait enfui de lui-même vers une destination inconnue quand Monsieur S. est revenu le récupérer chez l’expert.

 

Mais il y a un second acte…

 

Nous ne possédons pas assez d’éléments nous permettant d’affirmer que ce qui va suivre à un lien avec ce qui précède, cependant le moins que l’on puisse dire c’est que c’est fort étrange. Alors qu’il buvait un café avec sa kinésithérapeute, Monsieur S. a soudain entendu un bruit sourd, la fenêtre s’est ouverte et le sol s’est retrouvé instantanément jonché de débris de toutes sortes. Parmi ces débris, figurait un texte composé à partir d’un alphabet inconnu. Un expert en linguistique a dû admettre que la traduction en était impossible et que l’hypothèse extraterrestre ne pouvait être écartée.  »

 

A partir de là, le buzz s’alimenta tout seul, les grands médias d’Internet profitèrent d’une actualité peu fournie pour relayer la dépêche sans se donner la peine de vérifier quoi que ce soit.

 

Le GEPAN envoya un démenti par lequel il déclarait n’avoir jamais été informé d’un signalement relatant ces événements et que par conséquent il n’avait pu s’exprimer à leurs propos. Personne ne le publia.

 

Le professeur linguiste Oppelmayer y alla aussi de son démenti, clamant haut et fort que jamais, au grand jamais, il n’avait évoqué une intervention extraterrestre. Il en profita pour menacer Savourey d’un procès, ce qui fit bien rire l’intéressé.

 

Bref tout cela fit causer dans quelques chaumières et Savourey eut même l’honneur d’être l’invité d’un plateau télé où devant le sarcasme des animateurs, il ne cessait de répéter avec le plus grand calme :

 

– Ces drones ne sont répertoriés nulle part ! Dites-moi d’où ils peuvent bien venir ? Anonnait-il

– Un bricoleur du dimanche, tout simplement !

– Et pour quelle raison, serait-il venu m’emmerder ?

– Et pour quelle raison des extraterrestres seraient venus vous importuner ?

– Ils ne m’importunent pas, ils essaient de communiquer, et ça ne marche pas !

– Mais pourquoi vous ?

– Parce que j’y crois ! Parce que j’ai écrit des bouquins là-dessus…

– Donc je récapitule, des extraterrestres débarquent un jour sur la Terre, on ne sait d’ailleurs pas pourquoi… au lieu de s’adresser aux autorités compétentes, ils sélectionnent, on ne sait pas trop par quel moyens, un auteur d’ouvrages sur les Ovnis en lui envoyant des messages incompréhensibles. A qui voulez-vous faire gober des énormités pareilles ?

 

Savourey laissa passer un blanc puis très posément répondit.

 

– Cher monsieur, contrairement à moi, qui ne connaît pas grand-chose aux Ovnis, vous, vous n’y connaissez rien du tout…

– Je ne…

– Laissez-moi terminer, sinon, je quitte ce plateau ! Vous n’y connaissez rien mais vous avez l’outrecuidance de vouloir interpréter leurs actes en faisant preuve d’un anthropomorphisme dérisoire. Je pensais en acceptant votre invitation trouver des interlocuteurs d’un autre niveau.

 

Le public applaudit ! Le public aime bien quand un animateur se fait rembarrer.

 

– Je vous laisse la responsabilité de vos propos ! Bafouille le présentateur.

– Vous en avez beaucoup d’autres des phrases toutes faites qui ne veulent rien dire ?

 

Une pub intervient sur les écrans, pendant laquelle Savourey est invité poliment mais fermement, à quitter le plateau, mais il est heureux, il a gagné la partie.

 

– Tu as été formidable ! Lui dit Florelle en l’embrassant tendrement

 

La prestation de Savourey relança l’affaire avant que les médias se trouvent un autre os à ronger, mais en attendant, les interviews allaient bon train. Les bouquins de Savourey se vendaient tels des petits pains, et les éditeurs renchérissaient pour avoir l’exclusivité de son dernier ouvrage qu’il s’empressait de terminer.

 

Le bonheur de Savourey n’était cependant pas complet, il eut fallu pour cela que les extraterrestres se manifestent de nouveau.

 

Octave laissa passer dix jours avant de passer à l’action. Il opta pour ce faire pour la stratégie du boxeur : un premier coup pour faire mal et déstabiliser en profondeur, mais en faisant semblant de laisser un espoir à l’adversaire. Un second coup pour l’anéantir.

 

Il publia donc une longue série de photos, celle de son appareil dans l’atelier où il travaillait, les photos des plans initiaux, la facture du fournisseur qui lui avait vendu les matériaux, la photo et le schéma interne avec composants, circuits intégrés et tout le bazar et il poussa même le luxe de publier le fichier MP3 que transportait le drone, il y ajouta, rien que pour le fun, un autre enregistrement avec la même voix :

 

« Savourey, t’es vraiment trop con !  »

 

Il écrivit que le prototype de drone – non enregistré à ce stade – puisque non finalisé – avait été emprunté de façon indélicate par son jeune assistant qui s’était « amusé avec » avant qu’il ne le géolocalise et le récupère.

 

Le résultat ne fut pas exactement celui qu’escomptait Octave. Les médias ne reprirent pas son communiqué, c’est bien connu : parler de la venue des extraterrestres, c’est vendeur, en douter y compris preuve à l’appui ne l’est pas !

 

Par contre Savourey, lui était atteint dans son ego, et après une période où il plongea dans le déni genre : « toutes ces pseudos preuves ont été fabriqué par l’armée pour cacher la vérité », il dut se rendre à l’évidence, on l’avait bien manipulé ! Pire, il s’était manipulé tout seul !

 

Bien sûr, Florelle tenta de lui remonter le moral :

 

– Tu sais, moi je crois que ta première idée était bonne, c’est l’armée qui a dû fabriquer des faux documents.

– Non, il y a trop de preuves ! C’est quelqu’un qui cherche à m’emmerder ! Mais qui ? Pourquoi ?

– On fait quoi aujourd’hui ?

– Rien, tu me laisses, prends ton enveloppe sur la cheminée.

 

Néanmoins, Savourey voulut éclaircir un point, dans la série de photos, l’une était celle de la facture d’achat des composants, elle avait été recadrée afin d’y ôter toutes informations personnelles.

 

Mais il reste le numéro de Siret, cela lui permet de localiser un magasin spécialisé situé dans le Faubourg Saint-Martin à Paris.

 

Il a aussi le numéro de facture. Il se rend sur place, bluffe le gérant en se faisant passer pour un agent du fisc, la facture existe bel et bien et il en obtient une photocopie.

 

Le nom et l’adresse de l’acheteur y figurent : un dénommé Cartier à Marseille, boulevard d’Athènes.

 

« Je vais aller voir, ça me fera une ballade ! Et d’abord j’adore prendre le TGV ! »

 

Sauf qu’à l’adresse indiquée, personne ne connaissait ce monsieur.

 

« Bon conclusion : Primo : la facture existe bien et vu la date et le numéro, je ne vois pas comment elle pourrait être fausse. Secundo, il y a un con qui se fout de ma gueule. Tercio : pourquoi personne ne parle plus du message reçu par la fenêtre ?

 

Les médias, répétons-le, firent comme d’habitude : pas question de faire amende honorable suite à la diffusion d’une fausse nouvelle ! Non ce serait mal les connaître, ils se mettent simplement à parler d’autre chose.

 

La thèse extraterrestre n’était plus défendue que par une poignée de farfelus dont les arguments ne plaidaient pas véritablement en sa faveur.

 

Savourey tomba dans la déprime, ne mangeait plus grand chose, abusait de médocs et d’alcool, tout cela au grand dam de Florelle qui ne voyait pas comment redresser cette situation.

 

N’empêche que pour des raisons quelque peu différentes, aussi bien Florelle que Savourey se demandaient pourquoi personne dans les médias n’avaient évoqué l’épisode du message rédigé dans une langue inconnue ?

 

Vanessa en venant voir son oncle le trouva complètement stressé, pas rasé et pas très net sur lui, ce qui n’était pas dans ses habitudes, mais c’était le matin, il était à jeun et elle eut quand même droit à son chocolat.

 

– Je me suis fait ridiculiser par un salopard, je n’arrive pas à savoir qui ça peut être, mais c’est probablement une personne que mes écrits gênaient. On n’écrit pas impunément sur les Ovnis, je le savais pourtant ! j’aurais dû me méfier !

 

« Voilà qu’il devient parano, le tonton ! »

 

– Mais ce message ? Pourquoi personne n’en parle ?

– Bonne question ! Ce serait le gars qui a fabriqué ce drone, il en aurait parlé, donc ce n’est pas lui ! Je ne vois pas pourquoi non plus deux personnes différentes chercherait à me ridiculiser. C’est donc bien les extraterrestres ! Mais qui va me croire ? Si j’en parle, je serais comme le sage qui crie tout seul au milieu du désert !

 

« Putain, il devient grave ! Attention ses chevilles ! »

 

– Qu’est-ce que tu vas faire ? Demande-t-elle.

– Rien, je n’ai plus envie d’écrire. Je n’ai envie de rien. Je suis au fond du gouffre ! Quoi que si, il y a une chose qui me plairait bien, mais c’est une chimère.

– Quoi donc ?

 

Il a envie de dire quelque chose, mais ça ne sort pas.

 

– Non, laisse tomber !

– Si, dis, ça te fera du bien de parler !

 

Le visage de Savourey devient pâle, les yeux s’exorbitent, les lèvres se pincent avant qu’il ne déclare dans un souffle :

 

– J’aimerais coucher avec toi !

– Tonton ! Tu n’as pas honte ?

– Si un peu ! Mais réfléchis-y quand même, ça me ferait du bien…

– Arrête s’il te plaît.

– J’ai encore de beaux restes et puis tu ferais une bonne action !

– Bon, je te laisse, essaie de te reposer ! Et tu ne parles plus de ça, plus jamais, compris ?

– Tu n’as pas de cœur !

– C’est ça, salut !

 

Sitôt sortie, elle s’empresse de téléphoner à Octave.

 

– Ça devient chaud, Savourey m’a carrément dit qu’il voulait me sauter.

– C’était explicite ?

– Plutôt, oui ! Et je n’ai vraiment pas envie de coucher avec lui… Pour tout l’or du monde ! Non pas parce que c’est mon oncle, mais parce que c’est un salaud !

– Tu ne vas pas y retourner ?

– J’en sais rien ! Il serait peut-être temps de publier la deuxième partie de l’article.

– OK, je demande à Martinov les scans de ses documents et on voit ça ensemble ! Quand ?

– Demain.

 

L’après-midi, Florelle sonnait chez Savourey

 

– Oh là là, ça va pas fort, toi, il va falloir que je te booste !

– Florelle, il faut que je te dise une chose : on va arrêter de se voir !

– Ben qu’est-ce qui t’arrive, mon chéri ? Je ne te plais plus ?

– J’ai plus envie, j’ai plus envie de rien !

– Je vais t’arranger ça, ta petite Florelle va bien s’occuper de toi !

– Non ! Laisse-moi s’il te plaît.

– Je vais juste te faire le massage médical !

– Tu me laisses ! Tu comprends le français ou pas ? S’énerve-t-il.

– Oh ! Tu me parles autrement !

– Je te parle comme j’ai envie ! Je t’ai dit de te barrer et toi tu restes collée comme une sangsue !

– Bon je reviendrais un autre jour !

– Non jamais, je ne veux plus te voir !

– On dit ça !

– Tu vas te casser, oui ou merde, ou je te fous dehors à coups de pompes ! Grosse pute ! Sale négresse !

– Pardon ? Je n’ai pas bien entendu !

– Retourne sur ton palmier bouffer des bananes !

 

Florelle ne répliqua pas mais jura de se venger de cet affront.

 

Elle téléphone à Vanessa et demande à la rencontrer d’urgence.

 

– Viens chez-moi si tu veux !

 

Et c’est ainsi que pour la seconde fois Vanessa et Florelle se retrouvent ensemble au domicile de cette dernière.

 

– J’ai besoin de toi ! Lui dit d’emblée Florelle après un échange très chaste de bisous, Savourey vient de me jeter comme une merde, il me faut un prétexte pour qu’il accepte de me faire entrer. Alors j’ai pensé à un truc, je vais te confier un bijou, c’est du toc, mas peu importe, tu vas le laisser chez lui et bon t’as compris, je te paierais ce que tu veux…

– J’aurais pu te faire ça gratuitement, mais le souci, c’est que je n’ai pas vraiment l’intention d’y retourner.

 

Vanessa explique alors sa dernière visite.

 

– Ah ! Ça se complique !

– T’aurais voulu faire quoi en revenant chez lui ?

– Lui piquer des trucs, ça peut être facile, maintenant l’après-midi c’est une véritable éponge, il tient plus sur ses cannes, il roupille à moitié. Si tu veux on peut même faire le coup à deux, on partagera ?

– Mais piquer quoi ?

– Il a des toiles de maître, j’ai repéré un Matisse et un Modigliani… Il m’a affirmé que ce sont des vrais.

– Tu rêves ?

– Non pourquoi ?

– Parce que d’abord ses tableaux sont équipés d’une puce, du moins c’est ce qu’il m’a dit…

– Une puce, ça se retire !

– Peut-être mais après t’en fais quoi des tableaux ? Je suppose que les acheteurs, ils réclament des papiers, un acte de vente, un certificat d’authenticité, tout ça.

– C’est pas un problème, on se débrouillera, il parait qu’en Russie, il y a des acheteurs pas trop regardants.

– Bon, explique-moi ton plan !

 

Florelle avait beaucoup d’imagination et lui exposa un plan qui la laissa dubitatif.

 

– Ça ne me dit trop rien, mais je vais réfléchir de mon côté.

– Mais sur le principe, t’es d’accord pour lui faire une vacherie ?

– Mais oui, ma grande ! Mais dis-moi, tu voudrais pas que je te masse, ça te ferait une détente ? Propose Vanessa

– Je te vois venir, mais ça ne marchera pas !

– Qu’est-ce que t’en sait ! On peut essayer, cinq minutes, si ça ne le fait pas on laisse tomber.

– En fait, t’as envie de revoir mon cul, c’est ça ?

– Ben quoi, il est beau ton cul !

– Bon aller, on va essayer de se détendre…

 

Et en prononçant ces mots Florelle se débarrasse de ses vêtements et de ses sous-vêtements à l’arrache sans la moindre grâce. Du coup Vanessa l’imite pendant que la blackette se couche sur le canapé en relevant sa magnifique croupe.

 

– Voilà ! La vue te plait ?

– C’est quand même plus beau que le Sacré Cœur !

– Allez, tripote-moi les fesses, j’adore qu’on me tripote les fesses…mais un bisous d’abord.

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Vanessa ne se le fait pas dire deux fois et après un long baiser baveux, commence à lui malaxer le joufflu avec beaucoup d’énergie.

 

– Doucement quand même, ce n’est pas de la pâte à modeler.

 

Vanessa lui écarte alors les globes, dégageant le petit œillet fripon (et fripé)

 

– Tu peux mettre un doigt ! Se croit obligé de préciser Florelle.

 

Voilà qui tombait bien parce que Vanessa se remémorant leur dernière folie en introduisit non pas un mais deux et se mit à lui pilonner l’anus de façon frénétique.

 

– Whaaah, Who ! C’est bon ce que tu me fais, t’arrête pas, continue, c’est bon, c’est bon… Aaaaah.

– Ça détend, hein ?

– Tu m’as fait jouir, ma salope !

– Bouge pas, j’ai oublié le bisou !

– Tu veux… non arrête laisse-moi souffler !

– Juste un bisou !

 

Le lecteur aura sans doute deviné que le bisou en question était destiné au troufignon de la blackette. Florelle plonge sa langue dans l’anus resté légèrement entrouvert suite à son double doigtage et se régale des saveurs âcres qu’il dégage.

 

Quand elle se retire, Florelle quémande un vrai bisou, de celui que l’on se fait sur la bouche.

 

– Il va avoir le goût de ton cul !

– Ben justement, j’aime bien et puis on ne fait pas ça tous les jours.

 

Après qu’elles se furent embrassées goulument tout en se pelotant à qui mieux mieux, Vanessa demanda à sa camarade de jeu de venir éteindre le feu qui couvait entre ses cuisses…

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Florelle ne se fit pas prier d’autant qu’elle aimait les bonnes manières et devait lui rendre cette politesse. Elle se régala des sucs mielleux qui dégoulinait d’abondance de sa chatte. Elle aimait le contact de sa langue dans ce petit écrin d’amour. Vanessa commençait à haleter à la façon d’un chien mort de soif, la blackette fit alors virevolter sa langue autour du clitoris érigé de l’escort-girl qui ne tarda pas à crier sa jouissance de façon très démonstrative.

 

– Putain c’était trop bon, je suis toute mouillée, il faudrait que je fasse pipi…

– Pisse ma chérie, pisse dans ma bouche, je vais me régaler !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:45

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 13 – Partouze chez Octave par Maud-Anne Amaro

 

stamp partouz

Revenue auprès d’octave Heurtebise, Vanessa lui rendit compte de sa mission :

– J’ai appris plein de choses mais rien qui puisse nous servir.

– Dit !

– Savourey est amoureux de moi, il a sa photo dans sa chambre. Sa masseuse est en fait une call-girl occasionnelle, très gentille au demeurant que mon oncle entretient généreusement. Pour le reste, je suppose qu’elle est au minimum complice de quelqu’un qui prépare un gros coup chez le tonton, mais je n’en sais pas plus !

– Bon c’est un peu dommage, mais il faut voir le bon côté des choses, cette nana est notre alliée objective. Savourey doit piaffer d’impatience de pouvoir publier tout ça, à mon avis ce ne sera pas long.

 

Effectivement !

 

Savourey laissa passer deux semaines pendant lesquelles aucun ovni ne daigna pointer le bout de son antenne.

 

« J’ai suffisamment de matière pour publier tout ça, on verra bien ce que ça donnera ! »

 

Il publia donc un long article sur son blog, il relata les deux premières visites du drone, précisa qu’il « parlait » et qu’il avait brisé un vase Ming (il n’allait pas écrire qu’il s’agissait d’une imitation tout de même !) et joignit la photo de l’objet brisé. Il relata la troisième visite, celle où l’engin avait brisé une vitre (photo de la vitre brisée) et s’était échoué en brisant son dard d’acier (photo de l’engin), il parla de l’expertise du professeur Martinov (mais sans le nommer, il n’allait pas risquer un procès), et s’insurgea de son « incompétence », réfutant d’un trait de plume l’argument selon lequel les pièces d’origine terriennes avec lesquelles il avait été fabriqué, infirmerait son origine extraterrestre.

 

« Bien au contraire, écrivait-il, si ces visiteurs sont naufragés sur notre planète, ils ont fabriqué un engin avec ce qu’ils ont pu trouver, mais leur technologie est bien extraterrestre, d’ailleurs la fabrication et l’utilisation des drones sont rigoureusement réglementées, or ce type de drone n’est catalogué nulle part ! »

 

Il décrivit également la façon dont le drone lui avait faussé compagnie quand il avait le rechercher chez Martinov.

 

Puis il raconta l’épisode du message en l’illustrant d’une photo du joyeux bordel qu’il avait provoqué, d’une autre du dit message et bien sûr de celle du tableau Velléda.

 

Il publia ensuite deux liens sur des forums de discussions dédiés aux ovnis.

 

Les réactions furent mitigées, scepticisme poli pour la partie « drone », scepticisme sarcastique pour la partie message.

 

Il vous faut savoir, chers lecteurs, que le milieu des passionnés d’Ovnis n’est en rien homogène : Cela va du GEPAN, organisme officiel dépendant de la gendarmerie et qui recense les phénomènes bizarres d’un point de vue rationaliste, jusqu’à de parfaits illuminés genre Raël qui prétendent le plus sérieusement du monde faire la causette avec les aliens en se baladant dans leurs jolis vaisseaux.

 

Au milieu de ça il y a tous les autres, ceux qui vaudraient bien trouver des preuves tangibles de l’existence des Ovnis visiteurs. Or toutes les photos un peu nettes de prétendus engins extraterrestres ont été débunkés, ne reste que des photos floues. Quant aux artefacts, les pauvres ufologues n’ont jamais eu sous la main, le moindre boulon, le moindre morceau de quelque chose ni à fortiori le moindre document. Il y a bien eu l’affaire Ummo qui a défrayé la chronique dans les années 1960, qui a réussi à bluffer un astrophysicien connu du CNRS, mais qui s’est révélé un canular assez lourd.

 

Alors vous pensez bien qu’un type qui sort de son chapeau à la fois un engin volant photographié de très près et un message en charabia… Ben non c’est trop gros.

 

Evidemment, Savourey n’a pas manqué d’informer Florelle et Vanessa d’abord de ses publications, puis de son dépit face aux réactions réservées.

 

– Bon, le poisson est amorcé, maintenant on va faire monter la mayonnaise ! Déclara Octave à sa petite protégée.

 

Octave s’inscrivit sur les forums où avait posté Savourey, et après avoir répondu n’importe quoi à quelques farfelus, histoire de ne pas paraître comme quelqu’un qui arrive comme un cheveu sur la soupe, il se mit en devoir de répondre « très sérieusement » à Savourey.

 

Il argumenta sur le fait qu’effectivement le drone présenté sur la photo ne ressemblait à rien de connu, mais émettait la réserve que la photo pourrait être truquée. Il expliqua ensuite qu’il convenait de dissocier les deux évènements dont avait été témoin Savourey, l’hypothèse d’un mauvais plaisant voulant le décrédibiliser suite à ces premières rencontres ne pouvant être écartée, cependant, il soulignait la ressemblance des caractères utilisés dans ce message avec ceux de l’alphabet runique et avançait de façon absolument gratuite que certaines légendes runiques pouvaient s’interpréter suite à une éventuelle visite de créatures extraterrestres.

 

Les commentaires d’Octave de par leur « sérieux », relancèrent la discussion, Savourey en fut ravi et ragaillardi à tel point qu’il s’empressa de mettre en ligne toute une série de photos du drone : de face, de derrière, de côté, de trois quarts et en plongée. Le doute sur l’authenticité du drone devint ainsi levé !

 

Débat il y avait, mais, il ne dépassait pas le milieu relativement fermé des afficionados des petits hommes verts.

 

– La mayonnaise n’est pas montée assez haute ! Se désola Octave, il faudrait vraiment créer un buzz avant que l’on puisse lui mettre le nez dans son caca ! Mais je ne sais pas faire : Tu sais faire, toi ? Demanda-t-il à Vanessa.

– Non, mais pourquoi on ne demandait pas à Martinov ?

– Ce n’est pas son domaine !

– Mais, Béatrice son assistante sait peut-être, ce n’est pas la même génération !

 

Bref échange téléphonique. Martinov n’était pas chaud, mais Béatrice su le convaincre et rendez-vous fut pris chez Octave.. Les talents de maître de maison de ce dernier, étant proche du néant, c’est Vanessa qui s’était chargé de dresser la table basse pour l’apéritif. Plus tard un traiteur de bonne réputation viendrait livrer la paëlla.

 

– Bon je vais vous montrer le blog de Savourey et ma réponse, vous me direz ce que vous en pensez.

– Mais c’est pas vrai ! S’écrie soudain le professeur en voyant les photos illustrant l’article.

– Y’a un problème ?

– Ce n’est pas vraiment un problème, mais ce message c’est moi qui l’ai composé !

– Quoi ?

– C’est une belle nana qui s’est pointé chez moi, elle m’a dit qu’elle voulait faire une farce à un ami…

– Une blackette ? Demande Vanessa.

– Oui, superbe, elle m’a eu au charme, je le suis laissé faire et puis faut bien avouer que ça m’a amusé !

– Quel hasard quand même !

– Je ne crois pas que ce soit un hasard, une nana avait déjà téléphoné pour me demander de modifier les conclusions du rapport que j’ai fourni à Savourey, je l’ai envoyé promener et elle est revenue en changeant ses plans. Je n’avais pas fait le rapprochement sur le moment.

– Mais attends, je ne comprends plus. Si tu avais changé la conclusion de ton rapport, elle n’aurait pas eu besoin du message ?

– Bonne question !

– Ben alors c’est quoi son plan ?

– Ça ?

– Mais votre message vous l’avez construit comment ? Demande Octave à Martinov.

– J’ai fabriqué un alphabet, après j’ai récupéré un petit texte ésotérique sur le net, je l’ai traduite en albanais, je l’ai codé, j’ai ajouté des caractères un peu partout au hasard pour tromper les logiciels de décodage, j’ai enlevé des lettres aussi, puis j’ai complétement inversé le sens de la lecture.

– Et bien chapeau ! Dommage que vous n’ayez pas conservé les brouillons !

– Si, si ! J’ai tout conservé !

– Super ! Et je pourrais les utiliser ?

– Faut voir, mais à priori, je ne suis pas contre.

– Alors ce buzz, vous sauriez faire ? Demanda Octave à Béatrice

– Ce n’est pas vraiment dans nos compétences ! Fit remarquer la jeune chimiste, mais il faudrait que vous interveniez sur davantage de forums en prenant plusieurs pseudos, il suffit à chaque fois de débrancher ta live-box, et votre numéro d’IP va changer…

– Mon quoi ?

– Votre numéro d’identification internet. Il faut aussi aller sur les sites américains, ils sont bien plus crédules que nous, et bien moins rationalistes., et aussi sur les sites d’astronomie, ils vont bien s’énerver en voyant ce genre de message, mais l’essentiel c’est que l’info fasse boule de neige.

– Ce sera suffisant ?

– On ne peut pas savoir ! Ce qu’il faudrait c’est que ce soit repris par les grands médias sur internet… Oh mais j’y pense je connais une journaliste à l’Agence France-Presse…

 

Bref les choses avançaient bien et fatalement on parla ensuite de toutes autre chose

 

Un moment, Vanessa s’arrange pour être seule avec Béatrice.

 

– Euh, une idée comme, ça, Octave a des fantasmes bisexuels, il a eu une expérience en Thaïlande, mais ici il ne pratique pas, mais si une occasion se présentait…

– Je te vois venir, toi !

– Je crois ça lui ferai plaisir, mais si tu pouvais m’aider à ce que les choses aillent dans ce sens.

– Je veux bien essayer, ça peut être amusant, mais faudrait pas que ça dégénère, il ne me branche pas trop ton Octave.

– T’inquiètes, je gère !

 

Martinov, passionné de livres ne peut qu’être admiratif devant la bibliothèque très fournie d’Octave.

 

– Oui, beaucoup de choses sur l’aviation ! Précise ce dernier.

– Tout là-haut ce ne sont pas des avions ! Ajoute Vanessa.

– Oh, quelques « curiosa », que voulez-vous, j’ai mes faiblesses.

– Si tu en montrais un ou deux à ces messieurs dames, les trésors de bibliothèque ça se partage.

– Mais enfin, Vanessa.

– Si, si, ça nous intéresse ! Intervient Béatrice.

– Ah ! Oui !

 

Béatrice et le professeur se mettent à feuilleter l’ouvrage qu’Octave a descendu de sa bibliothèque, il s’agit d’une compilation de dessins pornos des siècles passées ainsi que des premières photos pornos. Un chapitre est consacré à des représentations gays très suggestives.

 

Béatrice se met à s’exclamer devant une gravure ancienne sur laquelle un vieux bourgeois sodomise son valet alors qu’en arrière-plan un troisième personnage se masturbe allégrement en les regardant faire.

 

– T’as vu celle-là ! Dit-elle à Martinov.

– Pas mal ! Répond l’intéressé un peu gêné et ne comprenant pas clairement le jeu de Béatrice.

– Comme quoi on n’a rien inventé ! Intervient Vanessa.

– Ben, oui, il y a toujours eu des gens qui ont aimé le sexe sans en avoir honte ! Reprend Béa. Vous êtes d’accord monsieur Heurtebise ?

– Ma foi, je ne vais pas dire le contraire.

 

Vanessa se tourne vers Béa comme pour l’embrasser, mais c’est pour lui souffler :

 

– On les chauffe un peu, les garçons ?

– Non, non…

– On ne fera que se peloter toutes les deux, comme l’autre fois, et aujourd’hui c’est gratos.

 

Béatrice décide alors d’entrer dans le trip.

 

– Hum, ça m’a émoustillé ces petites photos, Vanessa, fais-moi un gros bisou ça va me calmer.

 

Du coup Vanessa roule une galoche à la jeune chimiste tout en la pelotant de façon fort peu discrète.

 

– Mais qu’est-ce qu’elles nous font, là, elles sont déchainées ! Commente Heurtebise.

– Déchaînées, mais adorables ! Ajoute le professeur.

 

– Ça vous dirait, les garçons, qu’on se fasse des trucs devant vous, des trucs un peu coquins ? Suggère Vanessa.

 

Octave Heurtebise paraît gêné et tourne son regard vers le professeur Martinov qui répond d’un geste fataliste.

 

– Bon, ben allez-y ! finit par dire Octave.

 

Les deux filles ainsi encouragées (bien mollement, mais ça n’a aucune importance) se débraillent mutuellement comme des sauvages et se retrouvent rapidement avec la poitrine à l’air.

 

Et c’est à qui sucera les tétons de l’autre dans un ballet infernal.

 

Bien sûr le spectacle ravit notre vert professeur qui de toute façon est insatiable en matière de sexe et de coquinerie, mais c’est du côté de la braguette d’Heurtebise qu’il se passe des choses, sa bite devenant raide comme un bout de bois.

 

– On se met la chatte à l’air et après ça devrait être bon ! Souffle Vanessa à Béatrice.

 

Quelques minutes de tripotage de minous et Vanessa interpelle ces messieurs.

 

– Alors les garçons, ça vous plait ?

 

Heurtebise qui n’ose rien dire, fait un sourire idiot, Martinov ne voulons pas ajouter à l’embarras de son hôte ne bronche pas.

 

– Ben restez pas comme ça, les garçons, mettez-vous à l’aise !

 

Heurtebise est complétement tétanisé, la situation lui échappe…

 

– Bon on va vous aider à vous décontracter… Béa, occupe- toi d’Octave, moi je m’occupe du professeur.

 

Béatrice est décontenancée, ce n’est pas du tout ce qui avait été prévu. Elle biaise en s’approchant du professeur, mais Vanessa occupe déjà le terrain. Elle s’en va donc du côté d’Octave, ne voulant pas casser l’ambiance mais se promet d’avoir une explication ultérieure avec la belle escort girl

 

Nos deux coquines sont donc en position rapprochée devant les deux hommes et leur tripotent la braguette… Heurtebise cherche ses mots afin d’élever une protestation (probablement toute formelle), mais quand il aperçoit la bite de Martinov jaillir de sa cachette entre les mains de Vanessa, il ne sait plus ni dire ni faire et se laisse faire, devenant complétement passif.

 

Vanessa a fait lever le professeur afin de l’amener près d’Octave.

 

– Regarde un peu la jolie bite qu’il a ! T’as l’occasion de refaire comme en Thaïlande, n’hésite pas !

 

Octave regarde Martinov quémandant un avis.

 

– Je vous en prie, faite-vous plaisir ! Suggère simplement ce dernier.

 

Octave n’est plus sur Terre, il est quelque part dans ces rêves déjà concrétisés à Bangkok mais qu’il n’a plus assumé depuis dix ans.

 

Alors il reprend les phrases qu’il invoque dans ses songes éveilles :

 

– Quelle est belle ! Balbutie-t-il les yeux scotchés sur la bite de Martinov.

 

Vanessa passe derrière le professeur et lui fait tomber le pantalon et le caleçon.

 

– C’est mieux comme ça, non !

– Je peux… bafouille Octave.

– Vas-y régale-toi ! Répond Martinov qui espère bien que les rôles s’inverseront ensuite.

– Vas-y suce cette belle bite ! L’encourage Vanessa. Elle est belle, n’est-ce pas ?

 

N’exagérons rien, elle n’est pas mal, mais elle n’a rien d’exceptionnelle non plus, c’est de la bonne bite standard, mais bien agréable pour ceux qui sont amateurs.

 

Alors comme s’il faisait une annonce devant un auditoire, Octave déclare :

 

– Vous avez une bien belle bite, Monsieur le professeur !

– Je suis flatté qu’elle vous plaise, mais goutez-là je vous en prie.

 

L’instant d’après le sexe du professeur allait et venait dans la bouche d’Heurtebise. (enfin !) Ce dernier ne suçait pas très bien, mais Martinov n’en avait cure, ce qu’il attendait c’est l’inéluctable réciprocité.

 

Et pendant que ces messieurs sont occupés, Béatrice s’apprête à tancer Vanessa.

 

– Dis donc toi, qu’est-ce que tu m’as fait faire ? C’était pas du tout prévu !

– Tu connais la règle dans la restauration quand il y a divergence ?

– Mais de quoi tu me parles ?

– On continue le service et on s’explique après.

– Alors d’accord on va s’expliquer comme des grandes, mais ne compte plus sur moi pour aller tripoter ton client !

 

Et Beatrice s’en va bouder à l’autre bout de la pièce en remettant de l’ordre dans sa tenue.

 

« Les circonstances aurait été différente, j’aurais pris mes cliques et mes claques, mais puisqu’il paraît qu’on est en réunion de travail, je ne veux pas faire une vacherie a pépé Martinov ! »

 

Octave continue à sucer à s’en fatiguer la mâchoire, un moment il propose au professeur de faire un break afin qu’ils se déshabillent.

 

– Ce sera plus cool, et puis d’abord il fait chaud ! Ajoute-il pour se justifier

 

Mais pourquoi faut-il toujours qu’on se justifie ?

 

C’est en retirant ses vêtements, qu’il aperçoit Béa, bien sage et rhabillée à l’autre bout de la pièce, alors que Vanessa est dans un fauteuil proche, dépoitraillée et la chatte à l’air.

 

– Ça va Béa ? demande-t-il

– Ou, un petit coup de chaud, mais ça va mieux !

 

Pas fou, il se doute bien qu’il s’est passé quelque chose de peu clair, mais se dit que ça ne doit pas être si important que ça… et puis surtout Martinov a devant lui la bite d’Octave et a maintenant l’occasion de sucer à son tour.

 

Mais Octave qui n’est point sourd a entendu le bref échange entre Béatrice et Martinov.

 

– Ah ? un coup de chaud ! C’est vrai que j’ai tendance à surchauffer ici… Vanessa soit gentille emmène notre amie se rafraichir en cuisine, il y a des glaçons dans le frigo…

 

Et tandis que le professeur embouche enfin la jolie bite bien raide d’octave Heurtebise, Vanessa, à peine réajustée, vient au-devant de Béatrice.

 

– Allez viens, je t’emmène dans la cuisine !

– Fous moi la paix !

– Sauvons au moins les apparences.

 

Et les voilà dans la cuisine. Vanessa sort une bouteille de jus d’orange du frigo et deux verres du buffet.

 

– Je te sers ?

– Pas besoin !

– Bon écoute, puisque nous voilà isolées de ces messieurs, on peut peut-être essayer de dédramatiser.

– Je n’ai jamais dit que c’était un drame ! répond Béa.

– Ben alors ?

– Ben alors, tu fais ton métier, je n’ai rien contre tes activités, mais je ne veux pas que tu m’y mêles… et par surprise en plus. C’est clair comme ça ?

– J’ai pas fait un crime !

– Non, mais je n’ai aucune envie de partouzer avec ton Octave.

– Mais je n’ai jamais eu cette intention !

– C’est ce que tu dis…

– Ecoute-moi ma bibiche…

– Je ne suis pas ta bibiche !

– Ecoute-moi quand même ! D’accord ?

– Hum.

– Octave est de loin mon meilleur client, il me gâte énormément, mais je le respecte et il me respecte aussi, il ne me prend pas pour un trou, j’aime bien sa compagnie…

– Et alors ?

– J’ai voulu lui faire plaisir, comme j’ai appris que Martinov était un peu bi, et qu’Octave a aussi ce fantasme, j’ai voulu provoquer ce qui se passe en ce moment. Il va être heureux comme un pape, j’en suis content pour lui et il me récompensera, tout le monde y trouve son compte.

– Et pourquoi avoir fait en sorte que ce soit moi qui aille fouiller dans sa braguette.

– Ça aurait été moi, il aurait arrêté les frais par timidité, et comme je pense que Martinov n’aurait pas sorti sa bite le premier, la situation se bloquait. Là comme c’était toi, il s’est laissé faire, Martinov aussi, et hop, le tour était joué.

– T’aurais pu me prévenir ?

– Oui, je ne pensais pas que ça poserait un problème, je concède que j’ai été un peu limite sur ce coup-là, j’aurais dû t’en parler. Voilà, t’es toujours fâchée ?

– Non puisqu’on s’est expliqué…

– Alors bisous !

– Attends, si Octave me sollicite, je fais quoi ? Je vais être mal !

– Il ne te sollicitera pas… mais il ne faudrait pas non plus qu’il pense qu’il te répugne

– Et je fais comment ?

– Tu sauras faire, tu as un si beau sourire… Alors ce bisou !

– Smack !

 

Un bisou ? Un roulage de pelle, oui !

 

Et Octave qui continue de se faire sucer la bite par Martinov à la surprise de voir nos deux coquines revenir dans le salon, bras dessus, bras dessous un sourire complice affiché sur leurs lèvres, puis s’installer toutes deux sur le fauteuil où elles reprennent leur séance de pelotage rapproché.

 

– Vous pratiquez la sodomie ? Finit par demander Octave au professeur.

– Oui j’aime bien !

– Ça vous dirait ?

– Bien sûr ! Je suis plutôt passif, mais je peux aussi…

– Comme moi alors ! Je vais chercher des capotes…

 

Et pendant qu’Octave s’absente quelques instants, Martinov découvre à son tour les deux donzelles dans une position peu biblique : Vanessa est assise les jambes écartées et se tripote le bout des seins tandis que Béatrice coincée entre ses cuisses se régale en lui léchant la chatte.

 

« Quelque chose a dû m’échapper ? Pas bien grave ! »

 

– Voilà, il y a tout ce qu’il faut ! Dit Octave en revenant avec dans sa main des capotes et du gel. On fait ça ici ?

– C’est peut-être un peu dur par terre, non ?

– T’as raison, allons sur mon lit ! Les filles on va dans la chambre vous nous rejoignez ?

 

Martinov19L1

– Je fini de la lécher et on arrive ! Répond Vanessa

– Et on les rejoint pourquoi ? S’inquiète Béatrice

– Je suppose qu’il veut qu’on le regarde, ne t’angoisse pas ! Mais, on va y aller à poil.

 

Sur le lit, Octave se met en levrette, Martinov ne se met pas de suite la capote, mais demande à son partenaire de le sucer un petit peu afin qu’il soit bien raide. Bien sûr, Octave ne va pas refuser ! Vous pensez bien, une bonne bite comme ça !

 

Malgré l’usage fréquent des godemichés, l’endroit reste étroit et il faut plusieurs tentatives au professeur Martinov pour que sa bite pénètre dans le cul d’Octave. Mais ça finit par le faire, Il s’enfonce jusqu’à la garde puis commence des allers et venues sans aucune brusquerie.

 

Il y a une petite minute de flottement, le corps d’Octave semble lutter contre la présence de ce corps étranger avant de l’accepter et de se laisser aller.

 

– Oh ! tu m’encules bien !

– T’aimes ça, hein ?

– Oh, oui ! Je suis un enculé, un suceur de bites ! Continue, c’est trop bon !

 

Vanessa contourne le lit et viens faire un petit bisou coquin à son client

 

– Alors c’est la fête ?

– Oh ! Là !

 

Au bout de dix minutes (peut-être plus, peut-être moins, la notion du temps à tendance à s’échapper en de tels moments !) Octave n’en peut plus et demande à son partenaire de se retirer.

 

– On inverse les rôles maintenant ou tu préfères attendre un peu ? demande Martinov

– Suce moi un peu et je te prends

 

L’affaire ne dure pas bien longtemps, Octave ayant du mal à maintenir son érection !

 

– Excuse-moi !

– Mais c’est pas grave ! Relativise le professeur.

– Si on allait boire un coup

 

Et tout le monde rejoint le salon. On se sert à boire, on échange quelques mots, et l’air de rien Martinov se met à tripoter la bite d’Octave, qui du coup se met à rebander. Ce dernier ne voulant pas être en reste en fait de même avec la bite du professeur. Et les voilà bientôt tous les deux chacun ave la bite bien bandée de l’autre dans la main.

 

Chacun a de nouveau envie de sucer, mais Martinov offre la priorité à son hôte, lequel entame une nouvelle fellation baveuse.

 

Excité par toutes ces péripéties, Martinov sent venir sa jouissance, il tente de la retarder, mais n’y parvient pas et éjacule dans la bouche d’Octave, qui surpris, avale en trouvant la chose à son gout.

 

Quelques minutes de répit pour notre bon professeur qui cherche un kleenex pour s’essuyer la zigounette, puis qui s’affale dans un fauteuil.

 

– Tu veux boire un coup ? Lui demande Béatrice qui s’approche prévenante avec un verre de jus de fruit dans la main.

 

Vanessa s’approche d’Octave et lui tripote la bite.

 

– Tu veux me baiser ?

– Je ne sais pas, suce-moi un petit peu.

 

Pendant qu’il se fait sucer, le regard d’Octave s’égare du côté de Béatrice, toujours nue. Il lui fait un vague sourire qu’elle s’efforce de lui rendre

 

« Ce vieux cochon va jouir en regardant mes nichons, il a raison, là où il y a de la gêne… »

 

Et puis le regard d’Octave change, Béatrice ne comprend pas, le type paraît plus gêné que troublé. Alors Béa sourit de nouveau et un très court instant le visage d’Octave s’éclaire de nouveau.

 

Déclic

 

« Putain, j’ai compris, ce mec n’a pas été gâté par la nature, il a dû avoir une vie sexuelle de merde, et une collection de râteaux, heureusement il a du fric et Vanessa est gentille avec lui… Mais ce regard qu’il m’a porté, j’ai dû lui rappeler toutes les filles qui l’ont méprisé, tout simplement parce qu’il n’avait eu la chance d’être un beau mec. »

 

Alors Béatrice, se lève et s’approche du couple, elle s’agenouille à côté de Vanessa, qui a du mal à dissimiler sa surprise.

 

– Prête-moi sa bite, je voudrais la sucer aussi !

 

Martino19L2

Vanessa se relève, laissant Béatrice avec la bite d’Octave dans la bouche, puis faisant face à l’homme elle lui tortille les tétons. Il adore ça Octave.

 

Octave est aux anges, sexuellement bien sûr mais aussi et surtout psychologiquement, qu’une belle femme soit venue lui faire une pipe sans contrepartie apparente le remplit de joie à ce point qu’il en a quasiment les larmes aux yeux.

 

Il se laisse aller, Béatrice perçoit un léger tressautement annonciateur de la jouissance proche tandis que le gland se mouille d’un peu de liqueur séminale. Alors elle cesse sa fellation et fait signe à l’homme d’éjaculer sur ses seins. Puis elle se relève et l’embrasse sur le bord des lèvres avant de rejoindre son fauteuil.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:40

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 12 – Vanessa et Florelle par Maud-Anne Amaro

 

Anna

Le plan de Vanessa était simple : chopper la masseuse quand elle sortirait de chez Savourey et se faire passer pour une journaliste, le reste serait une question d’improvisation.

A 11 h 45, elle est sur les lieux, elle repère une Clio bleue garée en bordure de trottoir et sur laquelle a été apposé un caducée sur la face intérieure du pare-brise.

 

« La masseuse est là, je n’ai plus qu’attendre qu’elle sorte ! »

 

Mais les choses se passèrent assez différemment :

 

A midi, la grille d’entrée de la villa de Savourey s’ouvre laissant sortir une voiture.

 

« Merde la bagnole du tonton, il ne faut pas qu’il me voit ! »

 

Heureusement l’avenue est bordée de de vieux marronniers et elle peut se dissimuler.

 

La voiture tourne à droite, sans que Vanessa ne puisse en voir l’intérieur.

 

« Mais la masseuse, elle est où ? Il ne l’a pas laissée toute seule à l’intérieur, tout de même ! ».

 

Elle sonne pour voir, le regrette aussitôt.

 

« J’espère qu’il n’est pas là, il pourrait avoir prêté sa bagnole à quelqu’un, dans ce cas, qu’est-ce que je vais raconter ? »

 

Mais personne ne répondit.

 

« Bon, je fais quoi ? Il a dû accompagner sa masseuse quelque part, mais ça n’a aucun sens puisque sa voiture est restée là ! Ou alors elle est en panne ! A part attendre, je ne vois pas trop ! Je vais me caser dans ma bagnole, on verra bien. »

 

A 14 heures, la situation n’avait pas évolué.

 

« J’en ai marre, j’attends encore un quart d’heure et je me casse, je reviendrais un autre jour, puisque tout ça est payé par Octave ! »

 

A 14 h 10, la voiture de Savourey pile devant la grille. Vanessa s’approche subrepticement sans se montrer afin d’essayer de regarder.

 

Une passagère en descend.

 

« C’est qui cette bombe ! Et une black en plus, il me semblait pourtant que le tonton était raciste. Et la masseuse, elle est où ? Elle a dû rester dans la bagnole ? Ça commence à devenir compliqué, cette affaire-là ! »

 

La grille s’ouvre, Savourey franchit la grille tandis que Florelle se dirige vers la voiture au caducée.

 

« Putain, c’est elle la masseuse ! Je commence à comprendre des choses ! Bon, maintenant à l’action, ma fille ! »

 

– Mademoiselle !

– Oui !

– Je peux me permettre de vous importuner cinq minutes, juste cinq minutes, je suis journaliste.

 

Florelle, visiblement mal à l’aise dévisage Vanessa comme si elle avait devant elle quelqu’un qui cherche une embrouille.

 

– Ben, je vous écoute ! Mais je n’ai pas beaucoup de temps.

– Disons que j’ai appris, je ne dévoilerais pas mes sources, que Monsieur Savourey aurait été témoin de manifestations extraterrestres.

 

Florelle ne peut s’empêcher de ricaner, Vanessa en est un moment déstabilisée.

 

– Euh…

– Continuez, je vous en prie !

– En fait j’aimerais votre témoignage.

– Et pourquoi faire ?

– Ça pourrait faire un article

– Et pour quel journal ?

– Celui qui voudra de ma prose, je suis journaliste free-lance.

– J’ignorais que vous étiez journaliste ?

 

Vanessa ne comprend pas le sens de cette réplique.

 

– Je pensais vous l’avoir dit en préalable.

– Et pourquoi n’interviewez pas Monsieur Savourey ?

– Je connais sa version, ce qui m’intéresse c’est un second témoignage.

– Vous l’avez rencontré, Savourey ?

– Non, jamais, je le rencontrerais si nécessaire.

 

« C’est mal barré ! » se dit Vanessa.

 

Très mal barré même parce que voilà que Florelle change complètement d’attitude.

 

– Montez dans ma bagnole, on va causer !

 

« Enfin ! »

 

Une fois installée dans la Clio, Florelle prend une profonde inspiration avant d’attaquer :

 

– Bon, maintenant tu arrêtes tes mensonges et tu me dis carrément ce que tu cherches ?

– Quels mensonges ? A quel moment j’aurais dit un mensonge ?

– T’es la nièce de Savourey !

– Mais non !

 

« Mais comment peut-elle savoir ça ? On ne s’est jamais rencontrées ! »

 

– Mais si ! Ou alors faudra m’expliquer pourquoi Savourey a mis ta photo sur la commode de sa chambre ?

 

« Elle bluffe, je n’ai jamais donné de photo au tonton ! »

 

– C’est une coïncidence !

– Bon, je pourrais te demander ta carte de presse et tu vas me dire que tu l’as oubliée et on s’en sortira pas, alors de deux choses l’une ou on joue cartes sur table ou tu dégages de ma bagnole :

 

Le coup de massue !

 

Jouer cartes sur table sans en référer à Octave ne lui paraissait pas judicieux.

 

– Bon je me casse ! Désolée pour le dérangement !

– Salut poulette !

 

Vanessa sort du véhicule, s’étonnant que la masseuse ne soit pas plus curieuse. En fait, Florelle qui se demande toujours à quel jeu joue la nièce de Savourey escompte bien que l’esprit d’escalier la fasse revenir.

 

Effectivement !

 

Vanessa était dubitative. Elle avait pris sa décision trop vite. Il lui paraissait évident que la masseuse rapporterait cette rencontre à Savourey. Cela serait catastrophique pour Octave. D’un autre coté cela faisait la seconde fois qu’Octave la mettait dans une situation impossible.

 

« Après tout, ce n’est pas mes oignons, Octave je peux le larguer, des bons clients j’en trouverai d’autres… »

 

Pourtant quelque part elle l’aimait bien, son Octave, il était respectueux et ne la prenait pas pour une poupée gonflable, il était gentil… Et si généreux !

 

Alors, que faire ? Et soudain une autre pensée s’imposa à elle :

 

« Si la masseuse parle, c’est aussi ma relation avec le tonton qui sera remise en cause ! Et mon projet de me venger pour ce qu’il a fait à ma mère deviendra compliqué, il faut donc que je me débrouille ! »

 

Florelle laissa passer quelques courtes minutes puis ouvrit sa portière :

 

– Viens ! On va essayer de s’arranger !

 

Vanessa monta de nouveau dans la Clio.

 

– Alors ? On s’arrange ?

– On peut toujours essayer ! Répondit Vanessa !

– T’es toujours journaliste ?

– Je suis sa nièce !

– Au moins, c’est clair, moi je suis sa masseuse… Au sens large !

– Au sens large ?

– Tu veux un dessin ?

– Non, non ! Je comprends… Je suis juste un peu étonné, il est si raciste dans ses propos parfois.

– Pfff, tous les racistes on toujours une copine ou un copain noir ou juif, c’est un cliché social comme disait ma prof de philo.

 

« Elle fait donc à peu près le même métier que moi, mais je ne peux pas lui dire ! Pas pour l’instant  »

 

– Et tu cherches quoi ?

– Mon oncle s’est embarqué dans un délire et j’ai peur que ça le rende vraiment malade.

– C’est curieux ce que tu dis, moi j’ai plutôt l’impression que toutes ces conneries, ça le rend heureux.

– Non c’est un masque ! Je le connais bien, en fait, il est malheureux.

– On a dit qu’on arrêtait de mentir ! Tu ne le connais pas plus que moi, il me parle beaucoup tu sais !

– Bon, admettions que je me fasse des idées ! Je voulais l’avis de quelqu’un qui le côtoie un peu. Donc c’est fait !

 

Sauf que non, le lecteur aura facilement deviné qu’on est en pleine partie de poker menteur. Vanessa ne sait toujours pas si la masseuse est à l’origine de ce prétendu message secret, ni si à fortiori quelles sont ses motivations. Quant à Florelle, elle ne comprend rien à la démarche de Vanessa.

 

Moment de flottement, les deux femmes se dévisagent sans savoir si elles ont encore une carte à jouer.

 

« Elle est vraiment canon cette nana ! Il s’emmerde pas le tonton ! Et qu’est-ce qu’il est allé lui raconter sur moi ? Que j’étais une jeune fille sage et rangée ? Quand je pense que ce connard à une photo de moi dans ma chambre ! Si ça se trouve il me baise dans ses fantasmes ! Décidément, c’est le jour des surprises ! »

 

– Tu me regardes bizarrement ! Lui fit remarquer Florelle.

– Excuse-moi, ce n’est pas de ma faute si tu es très belle !

– Ah ! C’est ça ! Alors tu n’as pas besoin de t’excuser, ça ne me dérange pas !

 

« Elle est peut-être un peu gouine ! Faudrait être sûr ! Et si ça me permettrait de savoir ce qu’elle a dans le ventre ? »

 

Florelle cherche comment orienter la conversation dans ce sens. Pas si facile ! Mais c’est Vanessa qui parle… Et de toute autre chose :

 

– Je vais te laisser, mais je voudrais te demander deux choses :

– Eh bien vas-y, je t’écoute !

– Mon oncle m’a dit que tu étais présente quand son message bizarre est arrivé, c’est vrai, ça ?

 

« Si je réponds « oui », elle va en conclure que c’est moi qui ai fait le coup ! »

 

– Je te répondrais plus tard !

– Parce que ?

– Parce que je ne sais toujours pas exactement ce que tu cherches, alors c’est donnant-donnant.

 

« Donc c’est elle, mais elle ne me le dira pas. Je n’en saurais pas plus ! Reste le plus difficile ! »

 

– Bon, ça fait rien, alors deuxième chose : Est-ce que tu peux me promettre de ne jamais évoquer cette rencontre avec mon oncle ?

 

« Putain, le boulevard qu’elle est en train de m’ouvrir ! Elle ne pouvait sans doute pas faire autrement, n’empêche que maintenant je la tiens, la minette ! »

 

– Non !

– Pardon ?

– Je ne peux pas te promettre une chose pareille, on ne se connaît pas assez, et au risque de me répéter, je ne sais toujours pas ce que tu cherches.

– C’est pas sympa !

– Tu cherches quoi, c’est si difficile à dire ?

 

« Mais qu’est-ce que je pourrais inventer, ce que je cherchais je j’ai trouvé, mais je ne me vois pas lui dire ! Improvisons ! »

 

– Je me demandais si mon oncle ne devenait pas schizophrène, mais schizophrène grave ! Genre personnalité qui se dédouble et que…

– Je sais ce que c’est, la schizophrénie.

– Oui, admettons qu’il ait inventé toute cette histoire, le message et tout ce qui va avec, et qu’il ne se rappelle plus que c’est lui !

– Whah ! Tu t’en vas loin là ! Répond Florelle.

– Si c’est ça, ça m’inquiète beaucoup.

 

« Sauf que si c’était ça, elle n’aurait pas mis trois plombes pour me le dire, donc c’est pas ça ! »

 

– En admettant que tu ais raison, ce ne serait pas si grave, Savourey vit dans ses rêves, il est heureux dans ses rêves ! Pourquoi vouloir lui retirer ?

– T’as peut-être raison, je vais réfléchir, alors tu ne diras rien ? Redemande Vanessa

– Qu’est-ce qui va se passer si je lui dis ?

– Je ne peux pas te répondre !

– Tu vois que tu me caches encore des trucs ? On ne va pas s’en sortir ! Je te propose un truc : je te dis mon secret et tu me diras le tiens.

 

« Mais, putain, je peux pas lui dire ! Tant pis pour moi, j’essaierai de gérer la situation »

 

– Laisse tomber !

– Non, je ne laisse pas tomber ! Je vais t’avouer quelque chose…

 

« C’est ça, raconte-moi ton truc et après je me casse ! »

 

– Je ne suis pas seulement la masseuse de Savourey, je suis aussi sa pute !

 

« C’est ça, son secret ? Tu parles d’un scoop ! »

 

– Je ne voudrais pas te vexer mais je l’avais à peu près compris, d’autant que tu me l’avais laissé entendre !

– Sans déconner ! Ça ne te choque pas plus que ça ?

– Je n’ai rien contre les putes !

– C’est tout à ton honneur ! N’empêche que je me suis confiée, tu pourrais faire un effort !

– On va en rester là, si tu causes, ce sera tant pis pour moi j’ai pris un risque, je l’assumerai.

 

« Elle commence à me faire chier. Je vais jouer le tout pour le tout ! »

 

– C’est dommage, on aurait pu être amies. Reprend Florelle

– Ben, voyons !

– Si tu couches avec moi, je te promets de fermer ma gueule !

– Tu déconnes, là !

– T’as jamais couché avec une femme ?

– Si, enfin non….

– Bref tu te rappelles plus, c’est ça ? S’amusa Florelle.

 

« Si c’est le seul moyen, ce ne sera pas une corvée… En espérant qu’elle ne me fasse pas marron, mais ça va être à moi de l’entortiller ! »

 

– Alors ?

– Alors d’accord !

– Je t’emmène chez moi, c’est à Paris, ça ira ?

– Oui !

– Tu me suis avec ta bagnole…

 

C’est ainsi que les deux femmes se retrouvèrent du côté de la Porte de Vanves.

 

– C’est là ! Un petit deux pièces pas trop mal ! Vue sur la cour, on ne peut pas tout avoir…

– Tu vis seule ici ?

– Oui, je suis assez indépendante. J’ai vécu en couple quelques mois avec un mec, ça a fini au vinaigre, je l’ai viré, alors pour l’instant les mecs je les zappe, mais ça me reprendra un jour… Quand je sors en boite, moi j’aime bien me draguer une nana, une belle blanchette, un peu comme toi, mais ce sont des coups d’un soir, je ne m’attache pas. Tu te demandes pourquoi je te raconte tout ça ?

– Non, je suppose que t’as envie de causer…

– C’est pas tout à fait ça, mais je crois que j’ai répondu à toutes les questions que tu avais envie de me poser.

– Je ne pose pas de questions, moi !

– Ça ne fait rien, t’as quand même les réponses. Tu veux boire un truc, j’ai du jus de fruit ?

– Non, tout à l’heure peut-être.

– Alors on y va ! Déclara Florelle en se tenant devant son hôtesse ! Bisou ?

 

Et comme le lecteur s’en doute le baiser est chaud, humide, sensuel, baveux. Les corps sont collés l’un contre l’autre, les mains tripotent les fesses. Ça commence fort !

 

Mais il faut bien reprendre son souffle, Florelle se recule et entreprend de se déshabiller entièrement devant Vanessa qui n’en régale les yeux.

 

– T’es trop bien foutue, toi !

– Je ne me plains pas ! Mais tu fais quoi, toi ? Veux tu m’enlever tout ça !

– Je vais enlever, mais je vais avoir du mal à soutenir la comparaison.

 

Vanessa retire alors ce qui lui reste de sous-vêtements.

Martino19l1

– Il faudrait que je perde cinq kilos, mais je n’arrive pas à suivre sérieusement un régime.

– Mais arrête, t’es super mignonne comme ça ! Tu n’es pas obèse à ce que je sache !

– Mwais !

– Il y a déjà un homme qui t’as dit que tu étais trop grosse ?

– Non !

– Ben tu vois ! Mais figures-toi qu’en ce moment, j’ai envie de te sucer les seins. Approche-toi, je ne vais pas te manger

– Mange-moi si tu veux ! Répondit Vanessa en se rapprochant de sa partenaire.

– J’aime bien tes tétons !

 

Elle les attrape entre le pouce et l’index.

 

– Je peux serrer !

– Tu leur fais ce que tu veux, mais pas trop fort !

 

Florelle commence par les balayer de la langue avant de les mordiller

 

– Oh, là là, qu’est-ce que tu me fais ? Se pâme Vanessa.

 

Pour toute réponse la blackette se dégage et donne un bref baiser à sa camarde de jeu.

 

– Je ne te fais que des bonnes choses, mais toi aussi tu vas me faire des bonnes choses.

– Bien sûr !

– J’ai envie que tu t’occupes de mon cul !

– Que je le lèche ?

– La langue, le doigt, tout ça, j’ai un gode aussi, j’irais le chercher…

 

Florelle se tourne et exhibe ses fesses.

 

– Alors ? comme tu le trouve mon cul ?

– Magnifique !

– Oui, on me la déjà dit, mais je ne parlais pas de mon fessier, je parlais de mon trou du cul !

– C’est que pour l’instant je ne le vois pas bien !

– Mais qu’est-ce que tu attends pour m’écarter les fesses, ma chérie ? Comme ça tu le verras mieux !

– On y va !

 

Vanessa écarte donc comme il se doit les jolis globes fessiers de la blackette, révélant l’œillet sombre et plissé

 

– Lèche !

 

Elle le fait

 

– Il est comment mon cul ?

– J’aime bien !

– Et le goût ?

– Ben ça a un goût de trou du cul ! Répond-elle en rigolant.

– Je te demande ça, parce que je n’y ai jamais goûté, je ne suis pas assez souple !

– T’es bête !

– Ton doigt, maintenant !

– Attends, je le mouille !

– Tant qu’à faire, mouilles-en deux !

 

Et c’est parti pour un va-et-vient de folie des doigts de Vanessa dans le troufignon de Florelle.

 

– Continue, continue, je suis capable de jouir comme ça !

– Vas-y ma belle, fais toi plaisir !

– Je viens, je viens ! Aaaaah.

– Et ben dis donc, toi tu pars vite !

– J’avais envie ! Viens m’embrasser !

 

Et après un moment calme, Florelle s’en alla fouiner dans un tiroir d’où elle sorti un drôle de gode bleu fluo.

 

– C’est quoi ce truc-là ? Une bite de schtroumpf ?

– Presque je vais te montrer ! Ah ici ça ne va pas le faire, on va aller dans la cuisine !

– Dans la cuisine ?

– Oui à cause du carrelage !

– ???

 

Sur place Florelle mouilla la base du gode et le fixa sur le sol.

 

– Tu vois, ça fait ventouse !

– C’est rigolo !

– Tu veux l’essayer !

 

Vanessa hésite, certes, elle n’est pas contre ce genre de jeu, mais elle préféré les caresses, le contact sensuel d’un autre corps que le sien, l’intimité partagée…rien à voir avec cette bite de schtroumpf.

 

Mais d’un autre côté, elle se dit qu’elle est aussi là pour essayer de soutirer des renseignements à cette décidément drôle de masseuse., ce n’est donc pas le moment de faire sa « jeune fille ».

 

– Je veux bien l’essayer, mais ce serait mieux si tu me caressais en même temps.

– O.K. tu te le rentres où ?

– Un peu gros pour mon cul, je vais le rentrer devant.

– On va lubrifier un peu… Mais on ne va pas le laisser par terre, on va le fixer sur la table.

 

« Quel romantisme ! »

 

Et pendant que Vanessa monte et descend sur le gode bleu, comme si elle était sur les chevaux de bois de la fête foraine, Florelle l’embrasse goulument tout en jouant avec ses tétons.

 

A ce régime, Vanessa ne tarde pas à jouir, voilà qui n’était pas prévu, du moins pas comme ça.

 

Le délire va-t-il s’arrêter là ? Non parce que Florelle prend sa partenaire par la main et l’entraine dans sa chambre. Et là sur le grand lit, les ébats reprennent : on s’embrasse, on se caresse, on se pelote, on met les doigts partout… et tout d’un coup sans presque s’en rendre compte on se retrouve tête bêche, en soixante-neuf.

 

Les langues s’activent dans un fabuleux black and white, chacune veut faire durer son plaisir mais aussi le plaisir de l’autre, mais un moment la montée du désir devient trop forte, les langues attaquent les clitos presque simultanément. Vanessa jouit très vite, Florelle une bonne minute après.

 

Petit moment calme, tendresse et bisous, mais les confidences restent absentes.

 

– J’ai envie de pisser ! Ça t’intéresse ? Demande Florelle avec la même désinvolture que si elle lui avait proposé une limonade.

– Oui !

– Ben viens, tu vas voir comme elle est bonne ma pisse !

– Tu voudras boire la mienne, ensuite ?

– Bien sûr !

– On fait une de ces paires de cochonnes toutes les deux !

– Oui mais des gentilles cochonnes !

– T’as raison !

 

Vanessa s’accroupit dans le carré à douche, bouche ouverte tandis que Florelle debout ouvre les vannes. Elle en reçoit partout, sur les seins, sur le ventre, sur les cuisses et l’étale avec malice. Bien sûr, elle en avale aussi un peu. Florelle n’avait pas menti, son urine est délicieuse, parfumée, subtile.

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Puis elles invertissent les rôles, Vanessa en haut, la blackette en bas, mais la rouquine n’avait pas une grosse envie.

 

On se relève, on se douche, on se savonne réciproquement, on rigole, on se sèche, on sort de là-dedans où il commence à faire très chaud. On boit un coup…

 

– Alors on est amies maintenant ? Demande Florelle.

– On est copines, on va dire !

– On poursuit peut-être le même but, on peut s’entraider ? Qu’est-ce que t’en penses ?

– Je sais pas trop ! Je suppose que t’essaie de tirer le maximum de Savourey,,. C’est ça ?

– Je serais un peu con de refuser ce qu’il m’offre, et toi, c’est quoi ? Il te gâte aussi ?

– Tu parles ! A part du chocolat chaud et des biscuits !

– Non ?

– Si ! Oh, il m’a bien offert deux trois trucs mais rien de mirobolant.

– Hum !

 

Et puis, allez savoir pourquoi, Vanessa se sent en confiance. La confiance est toujours un choix risqué, un pari sur l’avenir…

 

Et tandis que Florelle lui caresse la cuisse de ses longs doigts, Vanessa lâche timidement. :

 

– Tu sais, je vais te faire un aveu : mon oncle, je ne l’avais pratiquement jamais rencontré, il était fâché avec ma mère sans que je sache pourquoi, quand elle est morte, j’ai regardé dans ses papiers et j’ai compris qu’il l’avait fait marron d’une énorme somme d’argent qui aurait dû lui revenir. Alors je me suis rapproché de lui, j’ai joué à la petite nièce modèle, mais en fait je cherchais un moyen de me venger.

– C’est donc ça ! Donc tu n’es pas une petite nièce modèle ?

– Si tu savais ?

– Si je savais quoi ?

– En fait je fais un peu le même métier que toi, je suis un peu pute !

– Non ?

– Si !

– Ben, oui ! Mais évidemment, quand je viens le voir, je m’habille pas sexy, je ne me maquille pas !

– D’accord, d’accord, et ça ne me dit pas pourquoi tu as voulu me rencontrer ?

 

Et alors Vanessa eut une idée ! Ne dit-on pas que les meilleurs mensonges sont ceux qui comportent une part de vérité ?

 

– Je me demandais qui pouvait bien s’amuser à lui faire croire qu’il était visité par des extraterrestres ! Forcement quelqu’un qui cherchait à lui nuire. Je m’étais dit que si le hasard me ferait rencontrer cette personne, j’aurais un allié pour m’aider dans ma vengeance…

– Je comprends ! Quand Savourey t’as dit que j’étais présente quand le message est arrivé, tu t’es dit que c’était moi…

– C’est toi ou c’est pas toi ?

– Mais Vanessa, je n’ai aucun intérêt à lui nuire, au contraire je veux qu’il continue à me gâter !

– Ah ?

 

Et alors Vanessa croit avoir compris :

 

« C’est elle qui a fait le coup, mais elle doit avoir un complice, un mec a dû lancer le message et les saloperies avec une catapulte ! Et à deux, ils préparent un gros coup ! Alors évidemment, elle ne va pas me le dire, c’est de bonne guerre ! »

 

– Donc, Vanessa, je ne serais pas ton alliée, nos intérêts divergent, toi tu veux le casser, moi, je veux le garder à ma disposition.

– Mwais !

– Mais une promesse est une promesse, je ne te trahirais pas et on peut même s’échanger nos numéros de portable ! Et que la meilleure gagne.

 

Les deux femmes se quittèrent en s’embrassant et sans aucune animosité, mais chacune conservant ses petits secrets.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:35

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 11 – Octave en Thaïlande par Maud-Anne Amaro

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Le récit d’Octave

J’ai toujours été fasciné par les transsexuelles, fasciné c’est même pas le mot disons que ça m’intriguait. Quand je suis arrivé à Patpong, le quartier chaud de Bangkok, j’ai eu la curiosité d’entrer dans un bar où il y avait des lady-boys. Je m’assois et je me rends compte que l’ambiance est vraiment débridée, un type, le pantalon sur les chevilles, se faisait branler la bite de façon visible par deux lady-boys. Ça m’a excité de voir ça, puis rapidement la lady a emmené le type dans l’arrière-salle. Je regarde autour de moi, beaucoup de ladys était occupées à draguer des touristes, embrassades, pelotages et mains au paquet mais plus de branlette.

 

Une lady s’approche de moi, très jolie et souriante.

 

– Je t’ai apporté une bière, mais tu veux peut-être autre chose ?

– Non, non une bière c’est très bien.

– Je m’assois à côté de toi ?

– Bien sûr !

 

Elle est à peine assise que j’ai déjà sa main sur ma braguette. Je ne proteste pas, après tout je suis venu pour ça.

 

– Tu peux me caresser si tu veux !

 

Je l’ai fait, mais par timidité je me contentais de lui caresser les bras et les cuisses, elle avait la peau très douce.

 

– Tu peux me caresser partout ! Précisa-t-elle. Je m’appelle Lucy

 

Pas vraiment thaïlandais comme prénom mais facile à mémoriser !

 

Je lui pelotais un peu les seins à travers le tissu, puis saisi d’une impulsion subite je mis ma main à l’endroit du sexe.

 

– Humm, petit coquin ! J’ai une belle bite tu sais ! Passe ta main sous ma robe.

 

Je le fais, elle a une culotte, je trifouille dedans et me retrouve avec sa bite dans la main. C’est magique !

 

– Stop ! Si tu veux faire plus de choses, tu me donnes des sous et on va derrière.

 

C’était couru, mais quelque part je suis aussi venu pour ça. Je lui file le fric, je fini ma bière et on y va.

 

L’arrière-salle a été aménagé avec des cabines séparées par des rideaux. Pas trop discret ce truc. Lucy m’explique qu’il y a aussi des chambres plus classiques au premier mais que c’est un peu plus cher. Mais je décide que nous allons rester là.

 

On se déshabille, Lucy est joliment faite, avec des mignons petits seins. Je suis fasciné parce qu’elle a entre les jambes. Elle ne bande pas beaucoup, mais se tripote la bite afin d’y remédier et s’aperçoit de mon trouble.

 

– Tu l’aimes bien ma bite ?

– Elle est belle !

– Je vais te sucer un peu ! Tu voudras sucer la mienne après ?

 

Je ne m’attendais pas à ce que les choses aillent si vite, mais l’instant d’après j’avais ma bite dans sa bouche, elle suçait divinement et mon membre devint rapidement tout raide

 

– A toi maintenant, suce ! Suce ma bonne bite, régale-toi.

 

Qu’elle était douce et bonne sa queue dans ma bouche ! Quelle sensation magique ! J’étais comme fou, comme un gosse avec une nouveau jouet.

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– T’aimes ça, sucer des bites ! Me demande-t-elle.

– Oui ! répondis-je sans réfléchir.

– Tu veux que j’appelle une copine, comme ça tu auras deux bites à sucer.

 

J’ai refusé, par prudence, n’ayant pas envie de claquer de suite tous mes baths. Et puis Lucy m’a demandé :

 

– Tu veux ma bite dans ton cul ?

– On peut essayer !

 

Ça n’a pas été évident, j’avais le cul serré, mais à force de persévérance, ça a fini par entrer. Les premiers instants ont été inconfortable à tel point que j’ai failli lui dire de laisser tomber, mais rapidement la douleur a fait place à une simple gêne, puis à un plaisir très trouble Sophie a bien compris que je n’étais pas un habitué de ce genre de choses, aussi a-t-elle fait preuve d’une grande douceur. Merci à elle !

 

Quand elle s’est retirée, elle m’a demandé comment je désirais jouir, pipe ou sodo ? Je l’ai donc enculé, fourrant ma bite entre ses jolies petites fesses rebondies.

 

Je suis revenu le lendemain avec plus ou moins l’idée de réaliser un truc à trois. En pénétrant dans l’établissement, je cherche Lucy, je ne la vois pas. Une jolie lady-boy s’approche de moi :

 

– Une bière, monsieur ! Me dit-elle en me posant d’office une chope pleine sur ma table.

 

Puis sans autre protocole elle s’assoit sur mes genoux.

 

– Tu me caresses ?

– Je cherchais Lucy !

– Elle doit être occupée, mais je suis aussi gentille qu’elle.

 

Difficile de résister à la tentation de la caresser, je le fais donc et très rapidement ma main se pose sur son entre jambe.

 

– Oh, toi tu es un petit vicieux, je crois que tu aimes bien les bites.

– C’est vrai ! M’entendis-je répondre.

 

Et alors là, la lady-boy a ce geste extraordinaire, elle se lève, soulève sa robe, sort sa queue de son string et me la fait sucer. Comme ça pratiquement devant tout le monde.

 

Ce n’était pas précisément le plan prévu, mais que voulez-vous ?

 

Sauf que voici que la mamasan appelle la fille en thaïlandais.

 

– Je reviens, chéri, me dit-elle, me laissant en plan.

 

Me revoilà seul, et c’est à ce moment que j’aperçois un couple de touristes, la cinquantaine tous les deux. Le femme une belle fausse blonde, cheveux bouclés, bien conservée, très souriante me fait signe de les rejoindre.

 

J’ignore ce qu’ils me veulent, mais poussé par je ne sais quelle curiosité, j’y vais.

 

– English ? American ? Me demande la mature.

– French !

– Nous somme belges, Anvers ! Mon mari c’est Henri, moi c’est Nicole.

– Ah, enchanté ! Octave !

– Asseyez-vous un instant, on une petite proposition à vous faire.

 

J’aime pas trop ça, je me demande si je ne vais pas avoir à faire à des trafiquants de je ne sais pas trop quoi !

 

– Je vous écoute !

– On est tous là pour du sexe, n’est-ce pas ? reprend Nicole.

– Certes !

– On a vu ce que vous avez fait avec la lady-boy, il y a quelques instants. Ça nous a bien plus, mais c’était un peu court.

– Ah ?

– Vous êtes déjà venu ici ?

– Oui pourquoi ?

– C’est indiscret de vous demander ce que vous avez fait en privé ?

– En effet c’est indiscret.

 

Et je vais pour couper court.

 

– C’est dommage… ça vous aurait dit une partouze avec nous ?

 

Je pile.

 

– Vous me prenez au dépourvu ! On ne se connait pas.

– Vous ne connaissez pas non plus les lady-boys d’ici et pourtant vous étiez sur le point de vous isoler avec l’une d’elle.

– Hum

– On est tous pareil ! Figurez-vous qu’avant-hier, on a partouzé avec une jolie lady-boy, Henri lui a sucé la bite, j’adore le voir sucer des bites, il voulait se faire enculer mais la lady ne bandait pas assez.

 

Ces propos commençaient à m’exciter sévèrement.

 

– Ça t’excite ce que je raconte ! Hein Monsieur ! Me dit Nicole en posant sa main sur ma braguette.

– Avouez que la situation est singulière !

– Tu sucerais la bite de mon mari ?

– Je ne sais pas

– Donc tu ne dis pas non ! Tu veux la voir ?

– Euh !

– Mais bien sûr que tu veux la voir !

 

Et voilà que Nicole sort la bite d’Henri de sa braguette et la branle un petit peu pour la faire bander.

 

Une jolie bite bien droite avec une jolie veine bleue courant sur la verge, et un beau gland décalotté d’une belle couleur violacée.

 

– Alors ? Demande-t-elle

– Elle est belle !

– T’as envie de la sucer ?

– Pourquoi pas ?

– Et évidemment il te sucerait la tienne !

– Oui !

– Seulement il y a une suite, c’est pour ça que je te demandais ce que tu avais fait en privé avec la lady-boy

 

J’hésite un peu, puis je me dis que j’en ai rien à foutre, ces gens je ne les reverrais jamais.

 

– Je l’ai sodomisé, mais avant elle m’a proposé de me prendre, j’ai voulu tenter l’expérience. Précisais-je alors.

– Et ça t’a plu ?

– On va dire que c’était une expérience intéressante !

– Et tu serais prêt à recommencer ?

– A l’occasion, oui, bien sûr.

– Une petite partouze ensemble, ce serait sympa et en plus c’est gratuit pour tout le monde ! Reprend Nicole. Je suppose que tu es bisexuel ?

– Non, en fait je ne sais pas ce que je suis, j’aime les femmes, j’aimes les trans, j’aime les bites, je ne sais pas trop où j’en suis, et je m’en fiche un peu.

– En principe les mecs qui aiment les transsexuelles sont un peu bisexuels puisqu’ils aiment à la fois les jolies femmes et les bites.

– Peu importe les étiquettes !

– D’accord, supposons qu’on aille à notre hôtel, je me mets toute nue et je vous regarde, vous les messieurs vous sucer et vous enculer… et je m’excite, après évidement tu auras le droit de me baiser, c’est la moindre des choses, alors ça te dit ?

– On ne sera que tous les trois ?

– Oui !

– Mais pourquoi moi ?

– Tu n’es pas le premier que l’on sollicite, certains ont refusé, d’autres ne faisait pas l’affaire…

– Alors je vais peut-être me laisser tenter !

– On y va maintenant ?

 

Me voilà embarqué dans quelque chose de complétement imprévu.

 

Arrivé en chambre à leur hôtel, Henri me demande ce que je veux boire, je choisi un Martini, il demande par téléphone les consommations, des préservatifs et du gel ! Puis sans attendre les deux belges se déshabillent, m’invitant à faire de même.

 

Et là, il se passe quelque chose, je bande en regardant simultanément le corps très bien conservé de Nicole et la belle bite d’Henri. Je passerai bien à l’action de suite mais je ne suis pas chez moi, ça ne se fait pas.

 

– Ça te plait tout ça ! Me nargue Nicole.

– Hé !

– Rappelle-toi ce qu’on a dit ! D’abord entre hommes, et moi je suis là pour le dessert, suce-lui la bite, vas-y, que je me régale en vous voyant.

 

Elle n’a pas eu besoin de me le dire deux fois, je suce ma troisième bite de ma vie d’adulte, je me régale, j’essaie de m’appliquer, conscient que je dois faire ça comme un pied… Et voilà qu’on sonne à la porte.

 

Instinctivement je stoppe ma pipe !

 

– C’est le service d’étage ! Continue, ils en ont rien à foutre.

 

Effectivement, Nicole à poil, ouvre. Entre une créature dont je ne saurais s’il s’agit d’une vraie fille ou d’une lady boy, elles sont tellement féminines !

 

– Voilà ! Si vous avez besoin de quelqu’un… fille, garçon, lady boy…

– Pas pour l’instant, on vous fera signe ! Répond Nicole en lui donnant son pourboire.

 

On s’arrête pour trinquer, on se boit une gorgée.

 

– A moi de te sucer ! Me dit Henri.

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Je suis un peu déçu parce que je ne l’ai pas sucé très longtemps, mais bon, la partie n’est pas fini. Et là, grosse surprise, le type suce comme un dieu, je ne m’attendais pas du tout à ça et je me laisse faire, ravi.

 

Puis au bout de 10 minutes !

 

– Je t’encule en premier ? demande-t-il.

 

Je ne peux qu’approuver, ai-je vraiment le choix, mais j’ose :

 

– D’accord, mais je peux te sucer encore un peu avant ?

– Bien sûr, régale-toi avec ma bonne bite !

 

Et pendant que je le suce, les commentaires salaces entre les deux belges vont bon train.

 

– T’as vu, on s’est dégoté un bon petit suceur de bites !

– Tu vas bien l’enculer, mon chéri, je suis sûre qu’il va aimer ça, et après c’est lui qui va te prendre.

 

Henri met fin à ma fellation que je suis conscient de ne pas faire aussi bien que lui, et me demande de me mettre en levrette.

 

Appréhension parce que sa queue est plus grosse que celle de la lady-boy. Il me lèche le fion, me fourre un doigt, tout ça n’est pas désagréable mais je réalise que je vais devoir lui rendre la pareille, je ne suis vraiment pas préparé à aller jusque-là, l’enculer pour rendre service je veux bien mais les attouchements périphériques, ça ne me branche pas du tout, mais alors pas du tout. Sans doute pas assez bisexuel pour ça…

 

Après ces quelques privautés, j’ai droit à une bonne tartine de gel, puis je sens que le gland d’Henri tente de forcer l’entrée de mon cul. Après plusieurs tentatives il a fini par entrer.

 

– Ça va, c’est bon ? Demande-t-il

– Vas doucement !

 

Je serre les dents, le début est peu agréable, puis imperceptiblement ce corps étranger dans mon cul me procure un plaisir intense.

 

– C’est bon continue !

– T’aime, ça te faire enculer, hein salope !

 

Quel langage ! Mais je sais bien que pour certains ça fait partie du trip.

 

– Oui, j’aime ça !

– Tu es un suceur de bites, un enculé !

 

Eh oui, et en plus j’aime ça !

 

Mais les meilleures choses ont une fin, sur une injonction de Nicole, Henri se retire de mon cul.

 

– A toi de jouer !

 

Ça ne m’emballe pas plus que ça, mais c’était le deal. Je m’encapote, et vais pour lui appliquer du gel., mais Nicole m’interpelle.

 

– Lèche-lui le fion d’abord !

– Pas trop mon truc !

– Alors juste un peu !

 

Finalement je l’ai fait et ça ne m’a pas tué, puis je l’ai enculé, ma bite était bien serrée dans son conduit, finalement ça m’a amusé et excité, je n’aurais pas cru.

 

– Surtout ne jouit pas, me prévint Nicole.

 

Je me suis retiré. Henri s’est couché sur le dos, et Nicole est venu s’empaler sur lui.

 

– Toi tu viens derrière et tu m’encules.

 

C’est la première fois que je participais à une « double-péné ». Ce fut la journée de grandes découvertes.

 

On a réussi à coordonner nos mouvements, et on a jouit comme ça, madame prenant son pied plusieurs fois en criant comme une damnée.

 

Ensuite Henri a voulu me nettoyer ma bite pleine de sperme avec sa langue, je me suis laisse faire mais ne lui ai pas rendu la pareille. Je l’ai un peu regretté ensuite…

 

– Je vais faire pipi ! Annonce Nicole, je vais pisser sur Henri, il aime bien, tu voudrais aussi ?

 

J’aurais préféré que ça se passe avant, puisque là mon excitation est quelque peu retombée, mais je ne saurais refuser ce genre de choses. On s’est donc mis par terre allongés sur le dos, Henri et moi, et Nicole nous a bien aspergé et nous avons bu quelques gorgés de son délicieux pipi.

 

On se douche, nos apéros ne sont plus frais. Nicole téléphone à la réception sans que je fasse attention à ce qu’elle dit.

 

La fille d’étage arrive avec des glaçons, puis sans aucun préalable entreprend de se déshabiller complétement, c’est une très jolie lady-boy avec un peu de poitrine et belle bite un peu sombre.

 

– Voilà, on se reverra plus, on part demain, me dit Nicole, mais comme tu as été sympa, on te fait un cadeau d’adieu. Nous on regarde.

 

Alors comme dans un rêve j’ai sucé la bonne bite de la lady-boy qui après m’a superbement enculé.

 

Fin du récit d’Octave

 

– C’est bien ce qui me semblait, t’es mon petit suceur de bites !

– Si tu veux !

– Et mon petit enculé !

– Pendant qu’on y est…

– Dommage que je n’ai pas mon gode sur moi…

– J’ai fait un saut à Paris ce matin, j’en ai acheté un, je vais aller le chercher.

 

Vanessa découvre le sex-toy

 

– Hum, pas mal, dommage qu’on ne puisse pas l’attacher ! Tu l’as essayé ?

– Non !

– C’est donc moi qui vais l’inaugurer ! Mais dis-moi, pourquoi t’as acheté un gode, tu n’aimes pas le mien ?

– Ben comme ça, si on improvise…

– J’avais compris, petit cochon…

 

Puis la conversation redevint sérieuse :

 

– C’est dommage qu’on ne puisse pas en savoir davantage sur cette histoire de message secret ! On l’aurait enfoncé encore plus ! Tu ne peux pas t’arranger ?

– Comment ça ?

– Je sais pas, moi ? Essaie de lui faire raconter toute l’histoire avec tous les détails, il y a peut-être des trucs qu’il ne t’a pas dit !

– Hum !

– Et si tu pouvais approcher cette masseuse…

– Je veux bien essayer.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:32

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 10 – Le jardinier par Maud-Anne Amaro

 

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Savourey sortit d’humeur partagée : Pour lui, ne voyant vraiment pas pour quelle raison il serait victime de plaisantins et puisque le document n’est rédigé en aucune langue connue ni en clair, ni en code, il était évident qu’il s’agissait par conséquent d’un message des extraterrestres. Ce point étant pour lui acquit, il se demanda qui maintenant serait capable de lui traduire ?

L’enthousiasme de Savourey retomba assez vite. Il se retrouvait passif devant cette situation et ne pouvait l’admettre.

 

« C’est quoi ces aliens qui nous parlent dans une langue qu’on ne pouvait pas traduire ? »

 

Mais il avait sa réponse ;

 

« Ils nous croient plus intelligents que ce que nous sommes ! »

 

C’est ce qui s’appelle une situation coincée.

 

En désespoir de cause Savourey alla s’acheter un tableau blanc mural Velléda qu’il accrocha sur le mur de son salon.

 

Il y reproduisit alors les deux dessins que comportait le « message ». Il marqua ensuite le mot « Terre » en majuscules là où elle était censée figurer, et orna d’un point d’interrogation, la supposée planète des « visiteurs ».

 

« On verra bien ! »

 

Voilà qui donna une idée à Florelle afin de faire avancer le schmilblick ! Mais il lui faudrait une complicité !

 

« La femme de ménage ? Je ne la sens pas ! Alors William ? Bien sûr William ! »

 

Florelle avait conservé sur elle une copie du message, elle y choisit deux mots, ni trop longs ni trop court, les recopia sur un papier et s’en alla à la rencontre de William.

 

William est un antillais d’une cinquantaine d’année, il vient une fois par semaine s’occuper des rosiers et de la pelouse. Mais Savourey l’emploie également pour effectuer des petits bricolages, dans une grande maison comme celle-ci, il y a toujours quelque chose à réparer.

 

William est surpris de voir Florelle s’avancer vers lui, d’habitude c’est juste « Bonjour, bonsoir ». Evidemment il n’est pas né de la dernière pluie et se doute bien de ce qu’elle fabrique avec Savourey.

 

« Une pute de luxe, mais qu’est-ce qu’elle est belle ? »

 

– Hello !

– Bonjour !

– J’ai un petit service à vous demander, c’est facile, rapide et je vous donnerais la pièce, mais j’ai pas le temps vous expliquer maintenant. On peut se voir où ?

– Si c’est un truc louche, je ne marche pas !

– Mais non !

– A 16 heures devant la gare du centre ?

 

A l’heure dite, Florelle l’emmena au bistrot.

 

– Vous revenez quand chez Savourey ?

– Demain, je passerai en vitesse, j’ai un tiroir à réparer, faut que j’achète de la colle…

– Super ! On pourra faire ça demain, Alors voilà, monsieur Savourey a posé un grand tableau blanc dans son salon…

– J’ai vu, il est de travers, il aurait pu me demander…

– Bon, il a fait des dessins dessus, j’aimerais juste lui faire une blague !

– Hum

– Voilà deux mots, rassurez-vous ça ne veut rien dire, vous remplacez le mot Terre par le premier mot et le point d’interrogation par le second mot. Faudra juste acheter un feutre Velléda, je vous donnerais les sous !

– Hum !

– C’est tout ! C’est pas bien compliqué !

– Hum !

– C’est d’accord ?

– C’est louche ! Répondit-il

 

« Fais chier ce mec ! »

 

– C’est pas louche, c’est une blague ! Vous pourriez faire ça quand il fera sa sieste ! 50 euros ça ira ?

– Non !

– Vous voudriez combien ? Ne soyez pas trop exigent, ça ne va vous prendre que trois minutes.

– Laissez tomber !

 

« Quelle andouille ! Je vais être obligé de demander à la femme de ménage ! »

 

– Bon tant pis ! Je vous laisse !

– Attendez !

– Oui ?

– Contre un petit câlin, c’est possible ?

 

« Ben voyons ! »

 

– C’est juste une petite blague : C’est cher payé je trouve.

– Vous étiez prête à lâcher 50 euros même plus ! Alors ?

– Bon, ça marche, on fait ça où ?

– Dans ma voiture !

 

« Quel romantisme ! »

 

– J’en ai une grosse ! Lui dit William, elle devrait vous plaire !

– Ah, ben chic alors ! Répond-elle bien hypocritement.

 

« Faut toujours que les mecs placent leur fierté à l’intérieur de leur braguette ! »

 

William est dans la voiture à la place du chauffeur, il ouvre son pantalon, sort sa queue et la branlotte un peu afin de la raidir comme il se doit.

 

– Non pas comme ça, baisse ton pantalon.

– Tu serais pas un peu vicieuse, toi ?

– C’est toujours les femmes qui sont vicieuses ! Ecoute si tu restes comme ça, tu risques de te retrouver avec une tache de sperme, c’est pas cool.

– Ah ? T’as raison ! et puis comme ça tu verras mes couilles.

– Ben, oui, ça aurait été dommage de s’en priver !

– Euh, je peux voir tes seins ?

– C’était pas dans le deal !

– On avait dit un câlin, on a précisé le contenu !

– Bon d’accord, je te montre mes seins, mais tu n’y touches pas ou alors juste un bisou et après je te fais une pipe, ça te va comme programme ?

– Oui, M’dame !

 

Florelle relève donc son haut et fait sauter les bonnets de son soutien-gorge :

 

– Ça va, ils te plaisent ?

– Whaou, les nichons d’enfer !

– Embrasse-les juste un peu, mais pas sur les bouts ?

– Pourquoi pas sur les bouts ?

– Pose pas de question, pose tes lèvres, tu verras comme ils sont doux.

 

Il le fait, et Florelle le laisse faire une minute ou deux avant de reprendre l’initiative.

 

Elle gobe la bite toute raide de William. Trente secondes après, il lui jutait dans la bouche sans qu’elle ait eu le temps de se retirer.

 

Martinov19j

 

« Un éjaculateur précoce ! Très précoce, même ! »

 

Elle cherche un kleenex pour recracher tout ça !

 

– T’avales pas ?

– Ben non !

– Je suis parti un peu vite !

– C’est ça quand on est excité ! Ça t’a plu ?

– Oui, m’dame ! On pourra recommencer !

– Sait-on jamais ? Si l’occasion se présente !

 

Ce jour-là, Florelle ne venait pas, et la femme de ménage était déjà partie, Savourey avait déjeuné dans la cuisine d’une assiette de raviolis et d’un bout de fromage accompagnés d’un verre de bon vin.

 

Il traversa le salon, jeta un coup d’œil au tableau Velléda.

 

« Je suis un peu con ! Comme s’ils allaient me répondre ! »

 

Puis il se dirigea vers la bibliothèque et fut interrompu par la sonnette de la grille. Il ouvrit donc à William.

 

– Ah, oui le tiroir, je vous laisse travailler, si vous avez besoin de moi, je serai à côté.

 

Le tiroir avait juste besoin d’un point de colle, aussi William ne se pressa-t-il pas. Vingt minutes plus tard il jeta un coup d’œil dans la bibliothèque au milieu de laquelle Savourey ronflait comme un bienheureux dans son fauteuil favori.

 

Alors il fit ce que Florelle lui avait demandé et repartit sans faire de bruit.

 

« J’espère que cette pute ne m’a pas fait faire une connerie ! »

 

Quand Savourey se réveille il trouve un mot sur le guéridon l’informant que le tiroir était réparé !

 

« Encore heureux ! »

 

Il se leva et pénétra dans le salon :

 

« Je rêve ou quoi ? »

 

Quelqu’un avait écrit sur le tableau.

 

« Ce con de jardinier ! Mais il est complétement frappé ! Je m’en vais te l’engueuler, celui-là ! »

 

Et puis :

 

« Mais ces caractères, comment il aurait fait pour les recopier ? J’avais pourtant replacé l’original dans le coffre ! »

 

Il alla vérifier, tout paraissait normal. Quant à la copie elle était bien à l’abri dans son secrétaire fermé à clés

 

« Mais c’est impossible ! »

 

Il reprit la copie du document et constata que les deux mots ajoutés sur le tableau n’étaient pas de nouveaux termes, car ils existaient déjà tous les deux dans la copie du message.

 

« La fenêtre était fermée, c’est quoi ce délire ? »

 

Puis

 

« J’ai compris, il se sont servi du jardinier comme vecteur, il a écrit au tableau sans s’en rendre compte.

 

Restait à savoir si William avait été possédé de façon permanente par les extraterrestres, à la façon du film de Don Siegel, « l’invasion des profanateurs » en 1956, ou s’il ne s’agissait que d’une possession provisoire.

 

« Comment savoir ? »

 

Un échange téléphonique lui paraissant insuffisant, il alla chercher un marteau et descella l’un des supports de la tringle à rideau de sa chambre.

 

William qui n’habitait pas très loin accepta de repasser en fin d’après-midi avec de quoi resceller la chose.

 

Savourey revint vers le tableau. Il n’effaça rien et dessina une maison, une fleur et un carré, il indiqua sous chaque dessin les mots français correspondants, puis il prit une photo de tout ça !

 

« J’ai été vraiment con de ne pas prendre une photo avant qu’on vienne réécrire dessus »

 

– Comment ça a pu se desceller ? C’est incompréhensible ! S’étonna le jardinier !

– Il doit y avoir des fantômes ! Plaisanta Savourey.

– Comme vous dites !

– Remarquez, je vais finir par y croire, figurez-vous que j’avais écrit des choses sur mon tableau et quand je me suis réveillé de ma sieste, ce n’était plus la même chose.

– C’est bizarre, ça ! Répondit William, tout d’un coup très mal à l’aise.

– Ou alors c’est moi qui perds la tête ! Vous n’avez rien remarqué de bizarre tout à l’heure quand vous avez réparé le tiroir.

– Non ! Rien du tout !

 

« Je le sens troublé, j’espère que je ne me fais pas des idées. »

 

Mais Savourey n’insista pas, le véritable test interviendrait plus tard.

 

– Je vais travailler dans la bibliothèque, vous me direz quand ce sera terminé.

 

Une fois le jardinier parti, Savourey se précipita dans le salon, le tableau n’avait subi aucune modification !

 

« il s’agit donc d’une possession temporaire ! Je ne suis pas plus avancé, le comportement de ces extraterrestres me déroute complètement ! »

 

Le lendemain

 

Florelle fut amusée de voir les nouveaux petits dessins en bas du tableau,

 

« Bon, on va arrêter les conneries, faudrait pas qu’il découvre la supercherie ».

 

Savourey lui raconte l’histoire, à sa façon.

 

– Il n’y avait que le jardinier, il n’a pas pu inventer tout seul ces chaînes de caractères ! Et comme il n’a vu entrer personne, la conclusion s’impose d’elle-même, il a été possédé temporairement par les extraterrestres !

– Eh ben quelle histoire !

– Comme tu dis ! Maintenant j’attends la suite !

– Quelle suite ?

– Ben, ils vont me répondre, ils vont remplacer les mots que j’ai écrit par leurs mots à eux ! On va avoir le début d’un dictionnaire.

 

« Sauf que la suite, il n’y en aura jamais ! Pour l’instant j’ai réveillé son enthousiasme, mais faudrait pas que ça tourne au délire ! »

 

– On va au restau ?

– Et mon régime ?

– Juste une belle assiette de fruits de mer ?

– Allons-y !

 

Une qui ne comprenait rien, c’était Vanessa qui rapporta tout ça à Octave de façon très embrouillée.

 

– Regarde, j’ai pris une photo de son tableau. Il pète les plombs, il m’a dit carrément qu’il essayait d’établir un dictionnaire pour communiquer avec les extraterrestres !

– Mais c’est quoi ces caractères en charabia ?

– Ce sont des mots qui sont aussi dans une espèce de message qu’il a enfermé dans son coffre.

– Un message ?

– Oui, celui qu’il a trouvé par terre.

– Excuse-moi, je n’y comprends rien, si tu me racontais ça dans l’ordre !

– Bon attends, il ne m’a pas raconté ça dans l’ordre non plus. D’après ce que j’ai compris, il y a eu un gros bruit et il s’est retrouvé avec plein de saloperies par terre et au milieu des saloperies, il y avait un message.

– Il te l’a montré, le message ?

– Oui ! C’est un texte dans une langue inconnue, il l’a montré à un linguiste qui s’est déclaré incompétent.

– Mais attends, c’est un gag ! Bon les saloperies dont tu me parles, c’était quoi ?

– Il m’a pas dit !

– C’est arrivé par la fenêtre ?

– Oui !

– Donc ça été jeté par quelqu’un !

– C’est ce que je me suis dit, mais il parait qu’il a regardé dehors, il n’a rien vu de particulier, et puis on ne rentre pas chez lui comme ça !

– Ce ne serait pas lui-même qui aurait monté un scénario de mytho ?

– Il m’a dit qu’il y avait un témoin !

– Un témoin, ça peut se bluffer ! Tu sais qui c’est le témoin !

– Sa masseuse !

– Ah, il se fait faire des massages ?

– Et c’est arrivé pendant le massage ?

– Je suppose.

– Bizarre ! Et son tableau là-dedans ?

– Il a reproduit le dessin qu’il y avait sur le message.

– Parce qu’il y avait un dessin ?

– C’est celui qu’il a reproduit sur le tableau.

– Quelle salade !

– Bon ! De deux choses l’une : ou bien il se la joue tout seul ou alors quelqu’un s’est engouffré dans notre délire et en rajoute une couche ! Mais dans quel but ?

– Tu sais, je vais te dire un truc, Savourey a sans doute beaucoup de défauts mais je ne pense pas qu’il soit mythomane. Les mythos, j’en ai connu plusieurs, je sais les reconnaître.

– Admettons, de toute façon, ça n’a pas grande importance. Je suppose qu’il va bientôt publier tout ça !

– Il attend que les petits hommes verts lui répondent, après il va écrire un article sur Internet et publier ça sur sa feuille de choux.

– On va attendre que ça fasse le buzz et là j’interviendrais et je vais me le ridiculiser le Savourey, tiens ça me fait bander.

– Je peux vérifier !

– Pourquoi, tu me crois pas ?

– Si mais je vais vérifier quand même ! Lui répondit-elle en lui mettant la main au paquet.

– Coquine !

– Tu veux un câlin ?

– Ben…

– Je suppose que ça veut dire oui ?

– Ben…

– Mais je ne te force pas, hein ?

– Non, non on va faire.

– Tu sais ce qui me ferais plaisir ?

– Non mais tu vas me le dire

– J’aimerais que tu me racontes ce que tu as fait à Pataya.

– Maintenant

– Voui !

– Alors d’accord.

– Mais on va se mettre à poil ! Comme ça on pourra se caresse pendant que tu racontes.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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