Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 16:50

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 2 – Les filles du Carrie’s bar par Nicolas Solovionni
Trio2

 

L’arrière-salle est toute petite, elle est meublée d’une banquette à trois places (en se serrant) et devant il y a juste une chaise. Je connais ce genre d’agencement réservé aux « coups rapides ». Souvent des simples branlettes bon marchés et la fille peut même satisfaire deux clients simultanément…

Dyane et moi, nous asseyons sur la banquette, Carrie prend la chaise. Le « bodyguard » nous a suivi et reste debout dans le coin.

– C’est confidentiel ! Fais-je remarquer en désignant la brute.
– Et alors, vous savez chuchoter, non ? Répond-elle en rapprochant sa chaise.
– Le gars s’appelle Dermoul.
– Ah !

Effectivement vu la tête qu’elle fait, elle connaît, maintenant pour la suite, ça va être une autre paire de manche.

– Bon, comme vous ne m’avez pas l’air trop con, vous avez deviné que je connaissais, vous auriez voulu quoi comme renseignements ? Attendez ne dites rien pour l’instant. Euh David, tu nous laisses !
– On a appris…
– Chut ! Un instant, je vais mettre de la musique et vous allez parler doucement, je ne veux pas qu’on entende quoique ce soit.

En voilà des mystères !

– Allez -y
– Vous saviez qu’il avait été assassiné ?
– Oui !
– Je suppose que vous ne savez rien à ce sujet ?
– Vous me prenez pour une bille ! En revanche moi je voudrais bien savoir quelle piste vous a mené jusqu’ici ?
– Une fuite policière, disons.
– Je crois comprendre, mais je garde ça pour moi pour l’instant, bon je repose la question : vous auriez voulu quoi comme renseignements ?
– En fait j’aimerais savoir où il est allé avec son vaisseau ?
– J’en sais rien et je m’en fous complètement, voyez-vous ?
– Quelqu’un pourrait me renseigner à ce sujet ?
– Ses officiers, son équipage, je suppose ? Ça ne vous est pas venu à l’idée ?
– Sauf qu’ils sont tous repartis dans l’espace !
– En voilà une drôle d’histoire !
– Vous ne pouvez rien me dire d’autre au sujet de ce bonhomme ?
– Il logeait ici !
– C’est ce qu’on m’a dit ! Depuis longtemps ?
– Oh, à chacune de ses escales.
– C’est bizarre quand même, avec sa situation il pouvait se payer des hôtels de luxe et…
– Stop ! Vous ne saurez rien de plus !

Bon, ça bloque ! N’empêche que ma curiosité est réveillée. J’aimerais bien savoir. Mais comment amadouer la dame ?

– Bon, je ne vais pas insister. Vous savez que vous êtes très belle ?
– Oui, je ne suis pas encore trop abîmée, vous voulez monter ?
– Ma foi, pourquoi pas ?
– Et un trio ? Demande Dyane.
– Et une fois en chambre vous allez me maitriser ou essayer de m’amadouer et me poser des questions auxquelles je ne pourrais pas répondre. Si c’est ça votre petit plan, ce n’est même pas la peine d’y penser. De toute façon duo ou trio, David sera derrière la porte.

Je vais donc laisser tomber. Je tente néanmoins une dernière tentative.

– Si je vous demande l’autorisation de visiter sa chambre, je suppose que vous allez refuser ?
– Vous rêvez ou quoi ? Ou alors revenez demain, je vous autoriserais peut-être à le faire !
– Et entre temps vous aurez fait le ménage ?
– C’est de bonne guerre, non ?

En fait Carrie est dubitative, elle ne nous connaît pas, l’hypothèse selon laquelle nous puissions revenir avec quelques gros bras afin de recueillir les renseignements qu’elle ne souhaite pas nous fournir, lui trotte dans la tête. Dans ce cas, elle ne pourrait compter sur personne, la mafia locale ne se décarcasserait pas forcément pour elle malgré les subsides qu’elle leur octroie.

Alors que faire ? Lâcher le morceau ? Elle ne le fera qu’en dernière extrémité, sinon gagner du temps, nous tester… C’est ce qu’elle fait.

– Allez, montez, vous ne serez pas déçues.

Pourquoi cette sollicitation, elle a vraiment besoin de sous ou quoi ?

Le souci c’est que je ne suis plus très motivé, non pas que la dame ne soit pas attirante, bien au contraire, mais sa réaction m’a quelque peu refroidi.

– Merci, je crois qu’on va en restez là…
– Réfléchissez, non seulement je suis un bon coup, mais cela nous apprendra peut-être à nous connaitre…

C’est sans doute cette dernière phrase qui m’a décidé.

– Bon je vais me laisser tenter ! Admettais-je un poil hypocritement. Toi aussi Dyane ?

Et je fais une mimique en sa direction voulant signifier qu’effectivement j’aimerais beaucoup qu’elle participe. Mais je n’ai pas eu à la forcer, madame était d’ores et déjà partante.

Une fois en chambre, Carrie se déshabille à la vitesse de l’éclair ! Putain qu’elle est belle, pas la première jeunesse mais l’éclat de la maturité.

– Alors, ça vous plaît, il n’y pas grand-chose à jeter, n’est-ce pas ? Bon, si vous voulez des choses spéciales faut me le dire, mais d’abord les sous.

Je lui vire ce qu’il faut sur sa carte.

– Monsieur est généreux ! Je vous écoute, j’ai beaucoup de choses dans mon catalogue : domination, godes, pipi…
– Godes, pipi… oui je veux bien.
– Et toi ? Demande-t-elle à Dyane.
– Je te boufferais volontiers la chatte.
– Alors on va faire tout ça, ne restez pas habillés, vous allez attraper un coup de chaud.

Nous voilà nus tous les trois, Carrie récupère un gode dans sa petite armoirette.

– Ça va celui, là ? Sinon, j’ai plus petit… ou plus gros.
– Non, il est très bien !
– Alors suce-le ?

Ça m’a toujours étonné, ces femmes qui prennent un malin plaisir à voir des hommes sucer des godes ! Cela dit, ça ne me dérange pas ! Je suce le machin en mimant une fellation.

Pendant ce temps-là, Dyne s’est enhardie et caresse les jolis seins de Carrie avec passion.

– T’as vu ton copain, comme il suce bien le gode, à mon avis il doit aussi sucer des bites.
– Peut-être, peut-être !
– Ah, tu ne veux pas me répondre, dis-moi capitaine, tu peux me le dire à moi : Est-ce que tu suces des bites ?
– Mais certainement ma chère !
– Un peu pédé, alors ?
– Non, je ne sais pas trop ce que je suis, j’adore les femmes, mais j’aime bien les bites aussi !
– Rassure-toi tu n’es pas tout seul !

Comme si j’avais besoin d’être rassuré, passons !

– Bon on va faire comme ça, je m’allonge, Dyane tu viens me lécher le minou, et toi capitaine tu te mets à califourchon sur moi, de façon à ce que j’ai accès à ton cul de pédé.

La mise en place n’est pas si compliquée que ça, et la jolie pute rousse m’introduit le gode dans mon orifice anal, le fait vibrer puis bouger, tandis que Dyane a commencé à la brouter.

Bon, ce n’est pas parce que je lui a confié que j’aimais bien les godes, qu’on ne va faire que ça, d’autant que je l’ai rétribué généreusement.

Mais non, je m’inquiète pour rien, Carrie est une grande professionnelle. Elle est bientôt atteinte de soubresauts. Si elle simule, elle le fait avec un talent fou, elle crie sa jouissance à moins qu’elle ne l’imite, allez savoir ?

– Tu veux me prendre de quelle façon, me demande-t-elle.
– Viens sur moi ! Mais j’aurais aimé un peu de pipi avant…
– Mais c’est prévu, je n’ai pas oublié, et toi ma grande, ma pisse t’intéresse aussi ?
– Mais bien sûr !

Carrie étale une grande serviette super absorbante sur le sol.

– Etendez-vous, l’un contre l’autre. Je fais ça sur le corps ou vous voulez en boire ?
– On a soif ! Répond Dyane.
– Alors c’est parti !

J’ai l’honneur et l’avantage de recueillir le premier jet, j’avale ce que je peux de ce délicieux breuvage, Carrie effectue un petit mouvement de jambe et c’est Dyane qui a droit à la suite.

Un plaisir divin !

Je vais pour me lever, mais Carrie me fait signe de ne pas bouger et viens me sucer ma bite bandée comme un arc. Quelle suceuse mes amis, quelle suceuse !

Stoffer302– Ne bouge pas, Dyane, je m’occupe de toi tout de suite après.

Je ne vais plus tenir bien longtemps et la belle rousse le sait bien puisqu’une goutte de pré-jouissance vient de perler au bout de mon gland. Elle abandonne sa fellation et s’apprête à s’empaler sur moi.

– Je t’offre mon anus ! Je ne fais pas ça avec tout le monde, mais puisque tu m’a bien payé…

Je suis aux anges, ma bite coulisse dans son cul, Carrie monte et descend, elle s’efforce de ne pas forcer la cadence afin que je ne jouisse pas trop vite et de mon côté je tente de me retenir. Mais au bout d’un moment je ne peux plus me contrôler, et je décharge sans un souffle.

Elle me laisse et pratiquement dans la foulée, elle vient lécher l’abricot de Dyane. Sa langue agile et diabolique a alors tôt fait de l’envoyer au ciel.

Après le plaisir dans l’effort, en principe on souffle un peu, genre pause cigarette, sauf qu’ici on est en mode tarifé et que les choses se passent souvent différemment.

Carrie se lève

– Ça va, les cosmonautes, vous ne regrettez pas votre argent ?

Le genre de phrase juste pour lancer une éventuelle conversation.

Je la sens hésitante, elle a envie de parler, mais n’ose pas le faire la première. Je ne tombe pas dans le piège, si elle a envie de parler qu’elle le fasse, mais je ne lui tendrais aucune perche. Ce n’est pas de cette façon que l’on gagnera sa confiance.

– C’était bien, on reviendra ! Répondis-je simplement.
– Toi aussi ? Demande-t-elle à Dyane !
– Oui, moi aussi !
– C’est avec plaisir que je vous aurais renseigné, mais quand on ne peut pas, on ne peut pas, vous comprenez ?
– Je comprends parfaitement, mais est-ce que la situation peut évoluer ?
– Je n’en sais rien.

En fait, elle n’est pas rassurée, la fifille, elle me demande à quel hôtel je suis descendu, je lui répond que je me suis acheté un appart et lui donne l’adresse, elle aurait pu la trouver facilement de toutes façons.

A ce stade, je ne voyais pas très bien comment faire évoluer la situation, la seule piste étant bloquée. Pas grave, je trouverais bien une autre occupation…

Nous avons pris congé, puis je quittais Dyane et gagnais mon bel appart tout neuf.

Quelle idée d’avoir acheté un truc aussi grand, il va falloir que je me farcisse le ménage, que je fasse le lit… peut-être qu’en embauchant une bonne… Une bonne un peu coquine, tant qu’à faire…

Mais voilà qu’on sonne !

Je regarde par le visioscope. Non ce n’est pas un tueur sanguinaire, mais c’est malgré tout une surprise, parce que la personne derrière ma porte c’est la serveuse aux cheveux gris du Carrie’s bar !

Bizarre !

J’ouvre.

– Vous me reconnaissez ? Me demande-t-elle.
– Oui.
– Je m’appelle Marcia, j’ai été longtemps la compagne de Dermoul. Ça vous intéresse ?
– Bien sûr, asseyez-vous ?

Evidemment que ça m’intéresse, mais son arrivée inopinée est un mystère. Elle n’a pas entendu la conversation que Dyane et moi avons eu avec Carrie, c’est donc probablement cette dernière qui me l’a envoyé, mais pourquoi ?

Je temporise, me lève, lui prose à boire… Elle décline. C’est vrai que proposer à boire à une serveuse de bar, c’est un peu con.

Je la détaille, elle a dû être splendide au temps de sa jeunesse et elle a comme on dit de beaux restes. Le visage est doux, les yeux pétillants de malice. Les formes de son corps ne font pas du tout « mémère ». Quel âge peut-elle avoir ? Au moins 60 ans ! Les crèmes de rajeunissement et les instituts d’esthétique font des miracles, mais pas complètement et pourquoi arborer des cheveux gris ?

– Je suppose que c’est Carrie qui vous envoie ?
– Peu importe ! Vous vouliez quelques renseignements sur Dernoul, je vous les apporte.
– Voilà qui est surprenant, mais je vous écoute.
– J’y mets une condition.
– Je vous écoute toujours.
– Seriez-vous prêt à le venger ?
– On ne venge que les gens qu’on a aimé, je ne connaissais pas Dernoul, à vrai dire je n’en avais jamais entendu parler.
– Soit, mais on peut aussi demander à un tiers de s’occuper de cette vengeance même s’il n’est pas concerné directement.
– Vous allez me proposer de l’argent ? Ça ne m’intéresse pas, je viens de faire fortune, je peux vivre comme un nabab jusqu’à la fin de mes jours.
– Je ne vous propose pas d’argent, d’ailleurs je n’en ai pas beaucoup, je ne suis qu’une vieille pute. Au Carrie’s bar, ce n’est pas avec moi que les hommes montent le plus.

Elle va me proposer quoi sexy-mamy ?

– Bon chère madame, on ne va pas tourner autour du pot, vous me proposeriez quoi ?
– La copie du journal de bord du vaisseau de Dernoul.

Oups !

Y’a un piège ou quoi ? La Mamie est en train de m’apporter ce que je cherche. Mais la contrepartie est super dangereuse, les mecs qui s’en sont pris à Dernoul ne lui ont pas fait de cadeau et ont dû tellement foutre la trouille à ses compagnons qu’ils se sont envolés on ne sait où !

– Vous savez quelque chose sur les assassins de votre… votre… Vous étiez très lié avec Dernoul si je comprends bien ? Demandais-je.
– Dernoul a été mon client puis mon amant pendant une quinzaine d’années. Je me suis lassé de lui, je veux dire que je me suis lassé de lui comme amant, mais j’ai toujours conservé son amitié. Quand nous avons rompu, il en a souffert mais l’a accepté. Il m’a simplement demandé come faveur de pouvoir me côtoyer pendant ses escales. Nous avons des chambres inoccupées, Carrie a accepté de lui en louer une. On se croisait, souvent on prenait nos repas ensemble, j’ai accepté de rares fois de baiser avec lui parce que ça lui manquait, il était malheureux.

Et la voilà qui chiale comme une madeleine.

Je la console, lui passe de quoi sécher ses larmes. Elle me regarde avec des yeux de chien battu. Je lui passe la main sur l’épaule. Nos visages sont maintenant très proches l’un de l’autre. Elle s’efforce de me sourire.

– Pardonnez-moi… Balbutie-t-elle
– Mais non, c’est normal.
– Vous acceptez ?
– Oui !

Mais qu’est-ce qui m’a pris de répondre « oui » ? Remarquez je pourrais toujours me rétracter, mais je ne le fais pas, je préfère nuancer.

– J’accepte mais je ne vous promets pas de réussir.
– Merci, merci.

Elle m’embrasse, je me laisse faire, j’ai soudain envie d’elle.

– Vous êtes très belle !
– On se calme !
– Tous les âges ont leur beauté.
– Si vous voulez de moi, je n’ai rien contre.

Je lui pelote les seins à travers son haut.

– Vous voulez que je me défasse ? Ils ne sont pas très gros, mais il paraît qu’ils ont leur charme.

Effectivement, ils sont fort modestes, mais elle a de très gros tétons, ceci compense cela.

– Je peux les sucer !
– Vous pouvez même les mordiller, je ne suis pas contre le fait qu’on me fasse des petites misères.
– Vous aimez quoi comme misères ?
– Les fessées, les pinces sur les seins, je suis une maso très light ! Je veux bien que vous vous amusiez avec moi mais bon…
– Je n’ai rien d’une brute !
– Pincez-moi donc, j’en ai envie.

Je lui pinces ses gros bouts de seins avec les doigts et je serre.

– Oui, comme ça, tordez-les, plus fort, n’ayez pas peur de me faire mal, si je ne supporte pas je vous le dirais.

Je tords, je tire, je pince, Marcia en soupire d’aise, je suis jaloux, moi aussi j’aime bien qu’on me les pince, mais je n’ose lui demander, il est évident qu’elle a surtout envie que l’on s’occupe d’elle.

J’en attrape mal au doigt à force de lui triturer les tétons.

– Une petite fessée, ça vous dirait ?
– On va essayer, ça dépend de la façon dont vous allez vous débrouiller.

Cette fois la mamie est complètement à poil, je lui demande se coucher sur mes cuisses.

– Ce serait aussi bien si vous retiriez, vous aussi vos vêtements ! Ce serait plus fun !

Elle a bien raison, sexy-mamie ! Me voilà donc à poil et le fait que je bande semble ravir la dame.

Je m’assois, elle vient d’allonger sur mes cuisses, on peut commencer. Je ne sais pas trop avec quelle force je dois taper, je commence donc par y aller doucement.

– Plus fort voyons, capitaine !
– Comme ça ?
– Même un tout petit peu plus fort. J’ai envie d’avoir le cul tout rouge.

Alors je fesse, je fesse et je fesse encore, et son vieux derrière ne tarde pas à devenir cramoisi. Et contre toute attente, cela finit par m’exciter grave, je n’ai pourtant pas de tendance sadique ou dominatrice, allez y comprendre quelque chose, vous ! Mais l’inconvénient collatéral c’est que je commence avoir mal aux mains.

– On va peut-être arrêter…
– Prends ta ceinture.
– Hein ?

Elle m’avais dit qu’elle était maso « light », et maintenant elle veut des coups de ceinturon !

– Un peu, juste cinq minutes, tu n’es pas obligé de taper comme un dingue. Mais ça va me faire un bien fou !
– Ça va leur faire drôle à tes clients quand il vont voir ton cul !
– T’occupe pas de ça !

Elle a raison, ce ne sont pas mes oignons !

Je la fouette comme demandé, elle crie, elle gueule, mais à chaque fois elle me demande de continuer.

– Stop ! J’en ai eu assez, il est comment mon cul ?
– Il a souffert !
– Et mon anus, il est comment ?
– Ben…

Elle joue à quoi, là ?

Je lui écarte les fesses, dévoilant un bel œillet brun et plissé. Un trou du cul, quoi ! Un joli trou du cul.

– Il est charmant !
– Alors goutez-le ! J’adore le contact d’un langue sur mon anus.

Voilà qui ne me pose aucun problème, je lèche avec gourmandise le troufignon de la dame qui s’en pâme d’aise. Je n’aime pas trop quand un trou du cul sent la savonnette, mais celui-ci diffuse un petit gout très légèrement épicé que j’apprécie. Tournicoti, tournicoton, et langue pointue… J’adore vous-dis-je

– Je peux glisser un doigt ? Demandais-je
– Glissez si vous voulez, mais tant qu’à faire j’aimerai autant votre bite !
– Avec plaisir !

Nous nous dégageons de notre position panpan cucul.

– Je vais vous sucer un peu avant, vous l’avez bien mérité ! Me dit-elle en s’emparant de ma queue.

On sent la pro ! Combien de kilomètres de bite cette nana s’est-elle envoyé ? Je ne sais pas pourquoi je pense à ça, d’ailleurs. N’empêche que sa langue est diabolique. Toute la gamme y passe, titillent du gland, balayage de la verge, mis en bouche totale, pompage et même gobage des roupettes.

Ses mains ne restent pas inactives, elle me tortille les tétons afin de s’assurer que ma bite bande au maximum, elle voit que j’aime ça, elle pince, elle tire… Quel bonheur ! Mais voici que ses mains changent d’endroit et viennent me peloter les fesses, je sens son doigt s’approcher stratégiquement de mon trou du cul. Mais ça ne va pas plus loin! Mais qu’est-ce qu’elle attend pour me foutre un doigt ?

Ah, ça y est !

– Tu aimes ? Me demande-t-elle.

Vous remarquerez que le fait de m’introduire un doigt dans le cul a mis fin à notre vouvoiement un peu incongru !

– J’adore !
– Tous les hommes aiment ça ! Mais il n’y en a pas beaucoup qui l’avouent.
– Hé ! Hé !
– Et les godes tu aimes ?
– Oui !
– Si tu savais le nombre de mecs que j’ai godé, soi-disant pour la première fois ! T’as pas un gode ici ?
– Ah, non, il va falloir que j’en achète un.

Et sur ces bonne paroles, Marcia se met en levrette. Inutile qu’elle me dise ce que je dois faire, elle écarte les jambes, relève son croupion m’offrant le spectacle sublime de tous ses trésors.

J’approche mon vit bandé au maximum et j’encule la dame. Tagada, tagada, je pilonne en cadence. Assez vite Marcia se met à pousser des petits cris de plaisirs tandis que son corps commence à ruisseler de sueur. Ces gémissements se rapprochent et deviennent de plus en plus rauquent. Elle est sur le point de jouir. J’accélère autant que je peux, et tandis qu’elle gueule son plaisir, je ne tarde pas à la rejoindre inondant ses entrailles de mon foutre.

Je me retire. Marcia est restée en levrette, elle souffle comme un bœuf et m’offre le spectacle charmant de son anus rejetant mon sperme.

On s’est ensuite embrassé, très tendrement.

– Vous l’avez sur vous le livre de bord ?
– Oui ! Il est sur mon spacephone, je vous le transfère ! Faites-en bon usage.
– Tout est dedans, ou vous avez quelque chose à ajouter ?
– Je n’ai pas lu. Dernoul craignait pour sa vie en rentrant de son voyage, il ne m’a pas donné de précisions. Dans certaines circonstances moins on en sait mieux on se porte, il m’a simplement demandé de remettre la copie de son livre de bord aux autorités s’il lui arrivait quelque chose. Mais voyez-vous, je n’ai aucune confiance dans les autorités.
– Et vous ne m’auriez pas trouvé, vous l’auriez remis à qui ?
– Je n’ai pas eu le temps d’y réfléchir, vous êtes arrivé à pic !
– Pourtant Carrie semblait réticente…
– Tss ! Tss ! Laissez Carrie tranquille. Et moi je vais vous laissez. Soyez prudent, si vous voulez venger Dernoul il faut mieux rester en vie !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 16:47

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 1 – Le mystère Dernoul par Nicolas Solovionni
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Voici une petite liste des principaux personnages qui interviendront dans cette histoire, il y a du monde, inutile de lire cette liste maintenant, mais sachez qu’elle est là au fur et à mesure de l’avancée de votre lecture vous pourrez vous y référer si vous êtes perdu !

Ajas Stoffer : capitaine du Rosamonda et narrateur de l'épisode
Dyane Makaya : seconde de vaisseau à bord du Rosamonda
Nerren Petrov : navigateur à bord du Rosamonda
Dilos: ingénieur de bord du Rosamonda
Nadget : technicienne de bord du Rosamonda
Le docteur Levkovich : directeur d'une clinique sur Vargala
Gundula Miller : infirmière à la clinique du docteur Levkovich
Carrie : tenancière du Carrie's bar, fille de Marcia
Marcia : serveuse montante au Carrie's bar, mère de Carrie
Kamil Dernoul : Capitaine de vaisseau, assassiné.
Ingmar Hofjom : rescapé de l'équipage du capitaine Dernoul
Elvira, Valencia, Tallulah : trois des onze filles abandonnées sur Dernoula 7
Calloch : biologiste sur Dernoula 7
Kinsky : géologue sur Dernoula 7
Laburo : cadre d'une secte d'adorateurs des précurseurs

Bonjour, c’est moi le capitaine Ajas Stoffer, je glandais sur Vargala-Station, ma dernière expédition avait failli se terminer tragiquement (voir Les labyrinthes d’Orza) , mais non seulement l’affaire avait connu un dénouement inattendu et heureux mais m’avait apporté la fortune.

Je n’étais donc nullement pressé de reprendre la route de l’espace. Les expéditions d’import exports auprès de colonies bizarroïdes, c’était fini. Je m’étais acheté un appart confortablement meublé, j’avais investi dans une boite de nuit, le Diable Rose, qui avait besoin d’un bon coup de neuf.

Je n’avais pas pour autant l’intention de pantoufler, si une belle aventure bien exaltante se présentait, eh bien, pourquoi pas ?

Je me rendis au « Diable Rose » en quête d’un peu de détente.

– Bonjour patron ! Me lança Riquita.

Riquita est une jolie transsexuelle à la peau chocolatée (voir la Reine Russo) avec laquelle je m’amuse parfois. Elle est désormais la régisseuse du lieu.

Ah, oui, les lecteurs qui n’ont pas lu mes précédentes aventures ont le droit d’en savoir un peu plus sur ma modeste personne. La quarantaine en équivalence terrienne, grand amateur de jolies femmes, mais me laissant aller volontiers à quelques penchants bisexuels quand les circonstances s’y prêtent.

– Rien de neuf ? Lui demandais-je
– C’est un peu calme ce soir, il y a des jours comme ça.
– Rien qui puisse m’intéresser ?
– Pas grand-chose ! Juste un mec qui racontait tout à l’heure, qu’il avait vu des ruines de précurseurs…
– Où ça ?
– J’en sais rien, mais d’après ce qu’il racontait, c’est assez loin, j’ai noté discrètement son identité si ça t’intéresse.
– Bof les précurseurs !

On appelle précurseurs la (ou les) civilisations qui nous ont précédés dans l’espace. Un seul vestige avait été officiellement retrouvé, une haute colonne qui n’avait jamais livré ses secrets (voir Vargala Station 3 – La Maison parme). En fait il eut d’autres découvertes, mais toutes étaient blackoutés par la flotte galactique.

J’étais bien placé pour le savoir, puisque les labyrinthes d’Orza étaient très probablement leur œuvre, mais je n’en avait parlé à personne, pas envie qu’on vienne emmerder Jira et Wulma, (voir Les labyrinthes d’Orza)

– Ça a l’air de te rendre pensif… Fit remarquer Riquita
– Il t’as rien dit d’autre ?
– Ce n’est pas à moi qu’il parlait, j’épiais la conversation…
– Il parlait à qui ?
– Joanna, je crois, elle est là ce soir, mais en ce moment elle est en cabine privée.
– Eh bien on va attendre qu’elle sorte.
– C’est qu’elle a un autre client après…
– Eh bien il attendra, je suis prioritaire, c’est moi le patron, non ? Je monte au bureau, rejoins-moi avec elle dès qu’elle sera libre.

Je ne me souvenais plus de cette Joanna qui ne fait pas partie des salariés de l’établissement. Mais nous acceptons la présence de filles et de trans indépendantes, contre une petite rétribution évidemment.

Et là voilà devant moi, maintenant je m’en souviens, une belle trans blonde un peu sur le retour, je crois qu’on avait partouzé… Souvenirs, souvenirs, mais le moment n’est pas à la bagatelle.

– Alors, Joanna, il paraît que tu as enquillé un mec qui t’a parlé des précurseurs.
– Et j’ai fait quelque chose de mal ?
– Pas du tout mais je voudrais savoir ce qu’il t’a raconté.
– Un illuminé, il m’a parlé d’une espèce de secte qui gardait les secrets des précurseurs, il m’a décrit un machin, une construction qu’il aurait vue là-bas, la description était très réaliste, mais ça ne prouve rien.
– Le type, c’est un homme d’équipage ou un officier ?
– Avec ce qu’il a claqué ici, ça ne pouvait être qu’un officier…
– Bon, tout cela est surement bidon, mais j’irais quand même trouver le bonhomme, file-moi ses coordonnées, Riquita.

Mais j’étais aussi passé pour me détendre, et la présence de ces deux magnifiques créatures me faisait frétiller la braguette.

Riquita était vêtue d’une nuisette parme très décolleté et d’une petite culotte qui dissimulait mal son sexe. Je lui caressais ses douces cuisses d’un air faussement négligé.

– C’est doux, n’est-ce pas ? Me dit-elle
– Super doux ! Tu fais comment ?
– Je mets de la crème tous les matins.
– Partout ?
– Partout, partout, même sur la bite !
– Voyons voir ça ! Répondis-je en extrayant sa queue demi-molle de son string.

Je commençais quelques légers mouvements de masturbation

– Je vais vous laisser ! Dit alors Joanna.
– Non reste on va s’amuser tous les trois. Répondis-je
– C’est que, j’ai un client qui m’attend…
– Tu ne peux pas t’arranger ?
– C’est un éjaculateur précoce, en cinq minutes ce sera fini, je peux revenir tut de suite après.
– Alors faisons comme ça !

Je continuais à branler Riquita, sa bite ne tarda pas à devenir raide, une très jolie bite couleur chocolat, que je connaissais par cœur mais dont je ne me lassais pas, c’est bien connu, on ne se lasse pas des jolies choses. Et puis ce gland, ces couilles… Quel bonheur de tripoter tout ça !

Je ne me pressais pas, n’ayant pas envie de précipiter les choses avant le retour de la sculpturale Joanna.

Aussi, résistant à l’envie de prendre le membre dans ma bouche gourmande, je lui fis signe de retirer sa nuisette afin que je puisse m’occuper de sa jolie poitrine aux tétons arrogants que je tétais sans retenue

Inutile de préciser que je bandais comme un cochon, je fis donc une courte interruption afin de me débarrasser de mes vêtements.

– Hum, tu bandes bien, capitaine !

Riquita se pencha alors sur ma queue afin de la sucer. Sa langue diabolique me faisait un bien fou, tandis que ses doigts m’attrapaient mes tétons afin de les tortiller avec énergie.

Mais voilà Joanna qui revient !

– Eh, bien on peut dire que vous commencez, fort tous les deux ! Clama-t-elle.
– T’as déjà fait ton client !
– Plus rapide que lui, tu meurs, il a voulu m’enculer, il était à peine rentré dans mon cul, que deux ou trois petits coups après, il jouissait comme un malade. Je dois avoir encore son sperme dans mon cul, vous voulez que je m’essuie ou pas ?

Quelle cochonne celle-ci.!

– Tourne toi, je vais regarder ça !

Elle le fait après avoir prestement retiré sa petite culotte et enlevé son caraco noir, et se courbe en deux afin de m’en mettre plein la vue.

Quel cul, mes amis, mais quel cul d’enfer, son anus m’attire comme un amant et j’y porte ma bouche, langue en avant. Il sent le foutre. L’autre vicieuse en profite pour pousser faisant ainsi ressortir le sperme que son client y avait déposé, je le recueille dans ma bouche et continue à lui humecter le trou pendant de longues minutes, avant de me lasser. Joanna alors m’enlace et m’embrasse à pleine bouche.

Elle est maintenant devant moi, je lui tripote les seins tandis qu’elle me tiraille les tétons, nous bandons tous les deux comme des ânes en rut.

Sa bite est impressionnante, elle me nargue, je la veux dans mon cul ! Mais avant je me baisse afin de la sucer comme il se doit. Quel régal ! J’adore sucer des bites, c’est mon péché mignon. Et celle-ci me comble, de par la douceur de sa peau et son goût légèrement musqué.

Riquita vient se coller auprès de sa camarade, pas compliqué de comprendre le message, je me mets à lécher alternativement ces deux belles queues, un coup pour la blanche, un coup pour la noire et on recommence.

Je n’en peux plus de bander comme un bout de bois. Je veux maintenant que l’on m’encule. Je me met en levrette. J’ignore laquelle de deux va opérer, ce sera la surprise….

Je ferme les yeux, je sens une langue me lécher la rondelle, c’est si bon que j’en frétille, mais c’est encore meilleur quand un doigt viens me fouiller en cadence. Un doigt ? Mais il en a peut-être deux, aller savoir ?

Et cette fois ce n’est plus un doigt mais bel et bien une bite bien raide qui entre dans mon fondement et qui le pistonne. Que c’est bon, c’est à la fois un plaisir physique intense et un plaisir psychologique, j’aime l’idée de me faire enculer, allez savoir pourquoi ?

Stoffer301J’ai toujours les yeux fermés, je les ouvre. Riquita est devant moi, c’est donc Joanna qui s’agite dans mon derrière, et elle s’agite à merveille. Riquita s’approche, j’ouvre la bouche. Je suce. Une bite dans le cul, une autre dans la bouche, ce doit être ça le bonheur !

Joanna se prend au jeu, je ne pensais pas qu’elle continuerait jusqu’à la jouissance, c’est pourtant ce qu’elle fait, je sens son sperme jaillir dans mon cul ! Que c’est bon !

Elle sort de mon cul, épuisée, me demande si je veux nettoyer. Je suis trop excité pour jouer les chochottes, alors on joue aux chaises musicales, Riquita vient derrière moi et m’encule à son tour pendant que je prends en bouche la bite dégoulinante de sperme de Joanna, Il n’y a peut-être pas que du sperme, d’ailleurs mais peu me chaut comme disait Voltaire.

Riquita continue de me régaler le trou du cul avec sa bite en pleine forme, tandis que Joanna est partie s’assoir histoire de récupérer quelque peu.

Mon enculeuse a fini par se fatiguer, elle sort de mon cul sans avoir joui. Quant à moi, je ne peux plus rester comme ça, je vais exploser !

Je m’allonge à plat ventre et fais signe aux deux trans de venir me « finir », Riquita prend alors sexe en bouche tandis que Joanna s’occupe de mes tétons.

Et quand le geyser de mon sperme m’arrosa le torse, les deux coquines virent s’en régaler.

Je demandais à Dyane Makaya, la seconde de mon vaisseau, une belle blonde, entre deux âges, comme on dit, de m’aider à retrouver la trace de l’individu signalé par Riquita et qui s’appelait Dernoul.

Nous avons fait, chacun de notre côté le tour des hôtels de la ville en nous limitant toutefois aux établissements classieux, les officiers ne louant pas dans les bouibouis. Ne trouvant rien, nous avons essayé avec les hôtels de catégorie inférieure, toujours sans résultats.

– Il a peut-être un appart à lui ? Suggéra Dyane.
– Il viendrait de l’acheter, alors…

On s’est renseigné au cadastre, l’individu était inconnu au bataillon.

– Bon, s’il loge chez l’habitant on est pas près de le trouver.

J’eu l’idée de me renseigner auprès d’une veille connaissance, le capitaine Annabelle Jiker, responsable de la sécurité sur Vargala, mais plus ou moins sous contrôle de la mafia locale. C’est une géante rousse grande consommatrice de jeunes blondes aux yeux bleus.

– Tu ne sais plus faire tes enquêtes tout seul ? Persifla-t-elle.
– Que veux-tu ? La fatigue… Dernoul ça te parle.
– Où tu vas encore fourrer tes pieds ?
– Justement j’en sais rien.
– Bon je ne t’ai rien dit, mais ça m’a tout l’air d’un un meurtre rituel…
– Pourquoi ? Il est mort ?
– Ben oui en principe quand il y a un meurtre, on en meurt. On a retrouvé son corps empalé sur un pieu à trois kilomètres de la ville, vers la ferme des Pecho, on lui avait enlevé le cœur, on ne l’a pas retrouvé, on ne l’a pas cherché non plus !
– Et on a une idée de l’assassin ?
– Je t’en ai dit assez.
– Il créchait où ?
– Au bar de Carrie.
– Connait pas !
– Tu trouveras bien, maintenant excuse-moi, mon vieux mais maintenant la boite de renseignements est fermée. Fais attention à toi !

Poursuivons l’enquête, quelque part ça m’amuse, mais si je vois que ça sent trop le roussi, je ne vais pas continuer longtemps. Il me paraît évident que la Jiker ne sait rien de plus, et pour une fois ce n’est pas parce qu’elle a été soudoyée, mais tout simplement parce qu’elle s’en tape.

Il n’est pas dans les méthodes de la mafia locale de pratiquer des meurtres rituels. D’abord parce que la mafia évite de tuer, du moins officiellement, depuis qu’un pacte de non-agression a été conclu entre les différents parrains du lieu, non par conviction pacifique mais par crainte de voir leurs effectifs fondre comme neige au soleil.(voir pour plus de précisons sur ce point : Vargala station -3 – La-Maison parme). Ensuite parce que ce n’est pas leur façon d’agir.

Bon, je ne vais pas me précipiter pour utiliser le tuyau de Jiker, inutile d’aller enquêter auprès de la logeuse d’un mec qui est mort. En revanche Dyane sait très bien tirer les vers du nez à Rudy, le type de permanence à la capitainerie du port.

– Tu ne crois pas que je vais faire une pipe à ce mec pour avoir une liste d’équipage alors que tu as les droits pour accéder à ce genre de renseignement.
– Je peux avoir accès à la liste de l’équipage, mais pas au code d’accès de leur vaisseau
– Tu veux entrer dans leur vaisseau ?
– Non, je veux me connecter à leur journal de bord.
– Mais il ne voudra jamais !
– T’en sais rien, tu n’as pas essayé.
– Tu as envisagé une petite prime pour le service ?
– Bien sûr ma jolie !
– Même si j’échoue !
– Même si t’échoue.

Dyane attendit l’heure propice avant de se rendre à la capitainerie.

– Tiens bonjour belle blonde ! Je parie que vous venez me soutirez des renseignements que je ne devrais pas donner. J’ai bon ?
– Disons que je vous propose un échange de bons procédés !
– Vous savez, je suis toujours prêt à me laisser corrompre, surtout par une aussi jolie pute que vous, à condition que ça ne me retombe pas sur la gueule, bien entendu. Alors c’est quoi la demande ?
– La liste des officiers et des hommes d’équipage qui accompagnaient le capitaine Dernoul.
– Celui qui s’est fait buter ?
– Oui !

Le bonhomme se dit que quelque chose clochait, pourquoi cette femme semblait prête à baiser pour obtenir ce genre renseignement alors que son capitaine avait tout pouvoir pour l’obtenir ? Il aurait pu creuser l’affaire, mais il ne le fit pas. Il n’allait tout de même pas refuser une partie de jambes en l’air alors qu’on la lui apportait sur un plateau.

A ce stade, Dyane ne lui parla pas de la connexion au journal de bord du vaisseau de Dernoul. Il aurait été forcément méfiant et réticent, pour cela elle attendrait le moment propice et elle avait une botte secrète. Ça allait être un moment difficile, mais personne ne lui avait dit que ce serait facile.

– Je t’envoie la liste sur ton spacephone, je ferme le bureau et on se fout à poil !
– Très bon plan !

– Comment tu fais pour être aussi belle ? Demande Rudy.

Dyane ne se considérait pas comme un canon de beauté, certes elle avait du charme, un charme très mature, et ne se plaignait pas, mais il y avait tellement mieux. Mais elle n’allait pas le contrarier.

– Parce que je suis coquine ?
– Il y a plein de coquines qui ne sont pas si belles que toi !
– Tu sais pourquoi je suis belle ?
– Dis-moi !
– Parce que quand je vois une belle bite, ça me fais pétiller les yeux et ça m’éclaire le visage.
– Tu me fais rire, tiens, approche tes nichons de salope que je lèche un peu tout ça.
– J’aime quand tu me parles comme ça, ça m’excite !
– T’es vraiment une pute !
– Ça c’est vrai ! Dis-moi quand tu auras fini de me bouffer les seins, je pourrais te faire une pipe.
– Vas-y suce-moi !

La jolie blonde emboucha la bite du fonctionnaire, et commença une fellation lente, Si elle voulait réussir sa « mission », il ne fallait surtout pas qu’il jouisse trop rapidement.

– C’est vraiment dommage que tu veuille pas que je t’encule ? Dis Rudy au bout d’un petit moment.
– Tu sais bien que ce n’est pas mon truc… à moins que…
– A moins que quoi ?

« Allons-y pour la botte secrète ! »

– Exceptionnellement, je veux bien que tu m’encules, mais ce sera contre un autre gros service.
– Dis toujours !
– Tu me donnes le code d’accès à leur journal de bord.

Rudy ne répondit pas, et ne renouvela pas sa demande, il la pénétra vaginalement et besogna la belle jusqu’à ce qu’il éjacule dans un grognement.

Dyane simula son plaisir tout en se demandant si ça servirait à quelques chose.

– Alors ! C’était bien ma bibiche ?
– C’est toujours bien avec toi, mon gros lapin !
– Je suis désolé pour ce que tu m’as demandé tout à l’heure, je peux toujours te donner le code d’accès de leur journal de bord mais il ne te servirait à rien !
– Et pourquoi donc ?
– Parce que le vaisseau est reparti ce matin !

Oups !

– Un départ précipité ?
– On dirait bien ! Ils sont partis sans fret et ont indiqué une destination bidon.
– Tu pouvais pas me le dire avant ?
– Tu ne me l’avais pas demandé ! Tu avais besoin d’une liste, je t’ai donné la liste, j’ai été réglo. J’aurais aussi pu faire semblant d’oublier que le vaisseau était parti, je ne l’ai pas fait, je suis peut-être corruptible mais je ne suis pas un salaud !
– C’est vrai ! On s’embrasse ?

Quand Dyane est revenu me voir, elle était complètement dépitée, moi aussi d’ailleurs !

– On va laisser tomber cette affaire, ça sent le pourri. Dis-je.
– Et le tuyau à Jiker.
– Ça ne coute rien d’aller voir, au point où on en est… Le bar de Carrie, tu connais ?
– Je ne connais pas mais je sais où c’est. Tu n’as jamais entendue parler de Carrie ?
– Ben non, je ne peux pas connaitre tout le monde.
– Elle devrait te plaire ! Une belle rousse bronzée avec des cheveux partout. C’était l’une des putes vedettes du « Tambourin », elle a gagné un paquet de fric et elle a voulu acquérir son propre bordel. Mais elle a été incapable de s’entendre avec la mafia, elle s’est faite pas mal racketter et elle a revu ses ambitions à la baisse, son bar, c’est un mini bordel, trois quatre filles c’est tout…
– Comment tu sais tout ça ?
– C’est tout bête, un jour un mec m’avait dragué, il m’a emmené dans son hôtel pour me sauter, il voulait un plan à trois, il a booké Carrie, on a partouzé, et ensuite la nana, elle a eu envie de parler…
– Et tu t’es fait payer ?
– Evidemment ! A partir du moment où il payait Carrie, je n’allais pas baiser gratuitement.
– Alors on y va ensemble, tu me présenteras, ça va faciliter le contact.

Effectivement, le bouiboui qui s’appelle tout simplement le « Carrie’s bar » ne paie pas de mine, trois tables de quatre personnes, une autre de deux personnes, un bar avec les tabourets assortis. Sur l’un deux une nana en petite jupe noire et soutien-gorge fait la causette avec une grande femme filiforme aux cheveux gris et courts qui sert au bar.

– C’est pour manger ? Nous demande l’ancienne.
– Eventuellement, mais on aimerait rencontrer Carrie.
– C’est de la part ? Reprend-elle d’une voix gouailleuse.
– Capitaine Ajas Stoffer.
– Je vais la prévenir, soyez patient, elle était en chambre, elle doit avoir fini, mais elle est bavarde… Ne restez pas debout, asseyez-vous, je vous sers quoi ? On a un excellent watchibole, c’est une boisson de capitaine, ça !

On s’assoit, la brune nous sert notre watchibole, qui effectivement est très buvable. Et voilà que l’on entend des pas dans l’escalier. Ce n’est pas Carrie, c’est un espèce de garde du corps, cent-vingt kilos de muscles et le regard idiot. On est méfiant dans le bouiboui ! Un autre bonhomme suit, probablement le client…

Et enfin, la voilà !

Dyane ne m’avait pas menti, une jolie femme avec des cheveux partout, un beau visage souriant et volontaire, une belle robe très décolletée et bien collante.

– Salut la compagnie, je suis Carrie, je vais vous demander de mettre vos mains sur la table et de ne plus les bouger. On prend parfois des précautions idiotes, mais ça permet de rester en vie. Le monsieur là-bas, c’est mon garde du corps.
– On avait deviné ! Répondis-je. Je suis le capitaine Ajas Stoffer
– Et moi, tu me reconnais ? Lui demande Dyane.
– Euh… c’est-à-dire je vois tellement de gens…
– Un plan à trois à « l’hôtel du Grand Nuage »,
– Ah, oui ! Et je suppose que tu vas me proposer un autre plan à trois avec ce charmant capitaine.
– Non, on verra ce qu’on fera après, mais là, on voudrais des renseignements sur quelqu’un… Interviens-je.
– Je ne suis pas une agence de renseignement.
– Est-ce qu’on peut juste vous dire de qui il s’agit ? Demandais-je
– Si ça vous amuse, mais vous ne saurez rien de plus.
– C’est un peu confidentiel, je suppose que vous avez une arrière-salle…
– Vous êtes chiants, venez !

La curiosité féminine me surprendra toujours !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 26 mars 2022 6 26 /03 /Mars /2022 07:18

A la recherche d’Alice par Estonius
Massage3

 

Voilà un bout de temps que je n’avais rien écrit, voici donc une toute petite histoire plus ou moins inspiré de faits réels. Bonne lecture !

Me voilà rentré bien plus tôt que prévu, et la bite sous le bras. Déjà le fait qu’il n’y ait pas de lumière m’avait intrigué, puis en m’approchant je découvrais une affichette « établissement sous scellés, brigade de répression du proxénétisme ».

Proxénétisme ? N’importe quoi ! Ici on ne forçait personne, tout se passait dans la bonne humeur ! Quel est donc ce malade qui s’est livré à une dénonciation ? Qui sont ces flics qui au lieu d’emmerder des adultes consentants seraient mieux à leur place en enquêtant sur les véritables réseaux de traite des blanches ? J’ai la rage !

Mais de quoi s’agit-il ?

Je vais tout vous raconter, ça me calmera.

Je suis un habitué des salons de massage asiatiques. Ces instituts sont une vraie loterie, cela va su sublime au sordide.

Le massage est parfois nul, la finition (parce que tout le monde ou presque ne vient que pour ça) n’est parfois même pas proposé. Il n’est pas toujours permis de toucher la masseuse, laquelle opère parfois en tenue de ville !

Et puis la différence n’est pas seulement d’un institut à l’autre mais parfois d’une masseuse à l’autre dans le même institut. La raison en est simple : afin de ne pas être accusés de proxénétisme, les gérants des salons interdisent formellement toutes prestations sexuelles (c’est d’ailleurs clairement affiché à la caisse et même dans les cabines). Tout écart en ce sens est censé être ignoré de la direction et laissé à la discrétion des masseuses qui font évidemment ce qu’elles veulent.

Je n’évoquerais pas non plus ces instituts où, la prestation étant terminée, ces demoiselles insistent bien lourdement pour que vous preniez une douche ! Et pourquoi donc ? Pour vous faire les poches, pardi !

Donc tout a commencé un soir d’hiver dans cette petite rue du 17ème arrondissement, où il y a plusieurs salons, j’entre dans celui-ci au hasard. Jolie femme à la caisse, je choisis une prestation basique de 60 minutes. Une autre jolie femme en blouse blanche vient me chercher. Et hop, nous voici en cabine (très étroite la cabine) dans laquelle je me déshabille.

– Moi Alice ! me dit-elle
– Moi, c’est Etienne.
– Si toi, petit billet, moi plus coquine.

En voilà une qui ne perd pas de temps, je sors 20 euros de mon larfeuille, ça a l’air de lui convenir. Du coup elle déboutonne sa blouse. Joli corps, jolie peau, jolis seins tous ronds, et belle foufoune plutôt poilue.

Et la voilà qui me masse. Assez énergiquement. Je me fous de savoir si c’est un vrai massage ou pas, tout cela n’est qu’un prétexte pour ce qui va venir après. Pour l’instant elle me masse les épaules, le dos, les bras, les mollets, les cuisses. De temps en temps elle me demande d’une voix très suave :

– Ça vaaaaa ?

La deuxième « a » formant une étrange mélopée.

Elle semble avoir complétement oublié mes fesses, ce n’est peut-être pas dans son programme ?

Si, ça y est, mais seulement au bout d’un quart d’heure. La voilà qui me les triture dans tous les sens et m’écarte les globes. Par un savant mouvement d’approche, je sens son pouce s’approcher de mon trou de balle.

– Ça vaaaaa ? Répète-t-elle en augmentant la pression.
– Oui, oui,
– Je masse ici ?
– Je veux bien, oui !

Dingue, me voilà avec son doigt dans mon cul, et cette diablesse le fait aller et venir. Que c’est bon ! Je m’abandonne à cette douce caresse. Mais les bonnes choses ont toujours une fin, elle me demande de me retourner. Bien sûr je bande comme un âne.

– Toi en forme ! Commente-t-elle.

Mais elle ne me touche pas la bite, me massant le torse, les épaules, les cuisses, les mollets… Elle revient sur le torse, s’attarde sur les tétons.

– Tu aimes, là ?
– Oui, pince-les.

Elle retire sa blouse, la voici intégralement nue, je lui demande si je peux la caresser. Elle veut bien, et je balade ma main sur ses douces cuisses et sur ses fesses légèrement rebondies.

– Comme ça ? Demande-t-elle en me pinçant légèrement les tétons.
– Plus fort ! Oui comme ça ! C’est bon.
– Toi un peu masokiste !
– Un petit peu ! Répondis-je en m’amusant de sa prononciation.
– Je peux donner fessée !
– Pas aujourd’hui, continue les tétons, j’aime bien.

Estonius322Après quelques minutes de ce traitement, et sans rien me demander, elle s’empare de ma bite et commence à me masturber. Je sens que je vais craquer. Effectivement elle me fait jouir en quelques instants.

Je vais pour me relever, mais elle me fait signe d’attendre. Alors délicatement, elle prend une lingette pour me nettoyer le zizi, puis si comme si cet épisode très hot n’avait été qu’un intermède, elle continue son massage jusqu’à ce que les 60 minutes soit écoulées.

– Toi content ?
– C’était très bien !
– Toi revenir ! Surtout demander Alice !

Et nous échangeâmes un chaste bisou sur le bord des lèvres .

Pas de problème !

Je revins une dizaine de jours après et je demandais donc Alice. La femme de la caisse me proposa une carte de fidélité, m’expliquant qu’au bout de 10 séances, la onzième serait gratuite, puis je fus invité à attendre Alice dans un petit salon d’attente.

La prestation fut quasiment identique à la première fois, la surprise était en moins mais l’efficacité était toujours là.

Quelques semaines passèrent, j’en étais à ma huitième séance et ce jour-là, je fus fort dépité quand la caissière m’informa qu’Alice n’était pas disponible ce jour.

– Suzy et Lana sont là, mais ne seront pas libre avant une heure, elles font un massage à quatre mains, et Lana a un rendez-vous tout de suite après, sinon aujourd’hui on a aussi Cheng, c’est un jeune homme.
– Un jeune homme ?
– Oui, il ne vient qu’une fois par semaine, le jeudi, Ça vous intéresse ?
– Non, je préfère une femme.
– Je vous bloque une séance avec Suzy dans une heure ?
– Je ne sais pas, Alice sera là demain ?
– Non, elle ne revient que dans 10 jours.
– Bon, je reviendrais peut-être demain !
– Vous voulez qu’on prenne rendez-vous ?
– Non, je ne suis pas sûr de venir.
– Demain nous aurons aussi Ava, c’est une lady boy ? Si ça vous intéresse, profitez-en, elle n’est pas là souvent, et elle est très demandée !

Une lady boy ? Depuis le temps que fantasme sur ces créatures androgynes. Je n’hésite même pas :

– D’accord, demain 16 heures ?
– Parfait !

Le lendemain, j’étais pile à l’heure. Ava est une grande perche de 1,80 m au visage très féminin encadré par de longs cheveux de jais.

Elle me fait un clin d’œil et m’invite à la suivre.

– Si tu veux que je sois coquine, tu me donnes un petit billet.

Exactement la même formalité qu’avec Alice, donc, sauf qu’Ava s’exprime mieux en français. Je lui donne donc 20 euros de pourboire. Et je me déshabille. Ava a ouvert sa blouse, Sa poitrine est glabre mais non transformée, elle a de jolis tétons très bruns. Je suis un peu déçu qu’elle ait gardé son string. Ne soyons pas timide, je lui demande :

– Tu n’enlèves pas ton string ?
– Tu veux voir ma queue ?
– Oui, j’aimerais bien !
– Tu aimes les queues ?
– Disons que c’est un fantasme !
– Je te la montrerai tout à l’heure !

Tout à l’heure, dans ce genre de prestation, ça peut tout aussi bien vouloir dire jamais ! Tant pis pour moi ! Bien sûr je pourrais lui glisser un billet supplémentaire, mais à ce jeu-là, on sait quand ça commence, mais jamais comment ça finit.

Je me laisse masser, le massage est très physique, il n’a rien d’érotique et mon esprit s’évade. Au bout d’un quart d’heure, il s’occupe de mes fesses. Est-ce que ça va devenir intéressant ?

Il commence par un bon malaxage qu’il fait durer un peu, j’attends, peut-être aurais-je droit à un doigt…

Puis au moment où je m’y attendais le moins, le voilà qui se couche pratiquement sur moi, il a son bas ventre contre mon cul et se livre à une série de frottements successifs entre mes fesses. La sensation est trouble et étrange car au fur et à mesure de l’action je sens sa bite qui se met à bander. Quant à la mienne, elle s’est joyeusement réveillée et ne tient plus en place.

Hélas, ce petit jeu ne dure pas, et Ava me demande de me retourner. Sa queue en érection déforme son string. Il regarde la mienne avec un sourire amusé et y porte la main.

– Il faut que je te calme ! Commente-t-il tout en me masturbant très doucement.

De son autre main, il fait sortir sa bite par le côté du string, un bel engin !

– Tu voudrais la sucer ?
– Oui !
– Tu aimes ça, sucer des bites ?
– Oui !

Je ne vais pas lui raconter ma vie, il (elle) n’a pas besoin de savoir que ça fait une éternité que je n’ai pas fait ce genre de choses.

– Ici, ce n’est pas possible ! Mais je peux te donner mon numéro de téléphone, tu viendras chez moi, ça t’intéresse ?
– Si le prix est raisonnable… Répondis-je tout en m’étonnant que la chose ne « soit pas possible ici. »

A tous les coups, il veut m’attirer pour une prestation plus longue, donc plus chère.

– Ne t’inquiète pas pour le prix ! On pourra se sucer tous les deux, et même faire des choses encore plus coquines. Ajoute Ava

– Hummm !
– T’aimerais que je t’enfonce ma bite dans ton cul !
– Je ne sais pas ! Je n’ai jamais essayé ! Disons que ça me tente !
– Tu ne seras pas déçu, il parait que j’encule très bien !

Et tout en me parlant, il accentue ses mouvements sur ma bite qui est prête à exploser.

– Laisse-toi aller ! Pense à ce qu’on va faire ensemble.

Je ferme les yeux. Il continue. Je sens que je vais venir. Ça y est ! La jouissance est fulgurante. Ava m’essuie avec des lingettes. Il réajuste son string, puis reprend son massage. Je me laisse faire, je plane à moitié.

Dès le lendemain, je téléphone à Ava et après avoir convenu du prix, rendez-vous fut pris à 18 heures dans un immeuble de l’Avenue de la Porte de Choisy en plein quartier chinois.

Ava m’ouvre avec un grand sourire, elle est en jeans et en tee-shirt.

– Je te présente Cheng, c’est mon boy-friend.
– Ah, bonjour !

Qu’est-ce qu’il vient faire ici celui-là ? J’espère qu’il va foutre le camp.

– Si tu veux, me dit Ava, Cheng peut participer, il est très doux, les poils rasés et il a une jolie bite.
– Non, non, juste tous les deux !
– Il va te montrer sa bite, ça ne t’engage à rien.

Cette tournure commence à m’agacer. Cheng extrait de son pantalon une bite à demi bandée. Je dois avouer que c’est tentant.

– Une autre fois ! Là on va rester tous les deux. Je n’aurais pas assez d’argent.
– Imagine, une bite dans le cul, une autre dans la bouche.
– Une prochaine fois !

Cheng se masturbe et sa queue a maintenant atteint une bonne vigueur. Heureusement que j’ai pris la précaution d’emporter que très peu d’argent liquide.

– Pour lui, je te fais demi-tarif !

Je me surprends à faire un rapide calcul mental, j’ai juste ce qu’il faut. Je me lance ou je me lance pas ? Je me lance en espérant que je ne serais pas déçu. On passe dans la chambre et on se déshabille tous les trois. Ava et Cheng sont côte à côte.

– Viens nous sucer !

Ben, oui, je suis là pour ça ! Et je commence par mettre en bouche celle d’Ava ! Quelle sensation, quand je pense que je me suis privé de ce plaisir pendant si longtemps. La texture est d’une douceur inimaginable, le goût en est légèrement salé. Quel régal ! J’essaie l’autre, celle de Cheng. Aussi douce, mais l’odeur est plus forte.

Je suis dans un état d’excitation incroyable à ce point qu’à un moment je me demande si je ne vais pas éjaculer sans avoir rien fait. Je ne sais plus où donner de la bouche avec ces deux bites qui me narguent et me provoquent, je les lèche, je les suce, je les embrasse, je les engloutis, je vais partout du gland jusqu’aux testicules et quand j’ai fini, je recommence. Gloup.

Je ne sais combien de temps a duré cette fantaisie, mais j’en ai la tête qui tourne et la mâchoire douloureuse !

– Tu veux qu’on t’encule ? Me propose Ava.

La question aurait été posée à froid, j’aurais sans doute temporisé en prétextant que je ne me sentais peut-être pas encore prêt pour ça, mais là je n’hésite pas une seconde. On me fait mettre sur le lit et je me positionne en levrette.

– T’as un joli cul ! Me confie Ava.

On en apprend tous les jours !

Ava me trifouille le trou du cul avec le doigt, merveilleuse sensation, d’autant que ce doigt ne reste pas seul, je ne sais pas combien il m’en introduit, deux, trois, je n’ai pas apporté de rétroviseur ! Il finit par les retirer. Ça y est c’est le grand moment, je sens son gland contre mon trou du cul, je m’ouvre au maximum, ça un peu de mal à entrer, on fait plusieurs tentatives et hop, ça y est c’est entré ! Pas trop agréable au début, mais il y va doucement et bientôt la gêne et la douleur passent au second plan. Je suis en train de me faire enculer pour la première fois de ma vie, et j’en suis plutôt satisfait !

Pendant que Ava me laboure le trou du cul, Cheng m’a donné sa bite à sucer. Une bite dans le cul, une autre dans la bouche, c’est quand même pas mal pour un hétéro !

Ava semble excitée par la situation et accélère la cadence provoquant dans mon cul une étrange et nouvelle sensation de plaisir et de bien-être.

Il m’a limé ainsi pendant près de dix minutes tandis que je suçais son copain. Au bout de ce temps les deux coquins intervertirent leur position, c’est-à-dire que Cheng m’enculait tandis que je suçais Ava. Ils s’excitèrent ainsi avec moi jusqu’à leur jouissance. Quant à moi je ne savais trop comment conclure, aussi commençais-je à me masturber quand Ava me fit comprendre, que cela ne la dérangerait pas d’avoir ma bite dans son cul ! Pas de problèmes, entre enculés on se comprend et on se doit être solidaires !.

Je quittais les lieux plutôt ravi, mais néanmoins avec un certain mal de cul.

Quelques jours plus tard je retrouvais Alice à l’institut. La prestation était toujours aussi agréable mais n’évoluait pas.

– Toi aller avec qui quand moi en vacances ?
– Ava !
– Ava avoir une bite !
– Je sais !
– Toi aimer les bites ?
– Ça change !
– Cheng ?
– Aussi, oui !
– Ah !

Et la foi suivante fut la dixième, ma carte de fidélité était donc remplie. La prochaine fois devait donc être gratuite.

Devait !

Parce que maintenant c’est fermé. Je suis dégouté, j’ai même pas faim, je ne sais pas quoi faire.

Et puis soudain l’idée ! J’ai le numéro d’Ava, je lui téléphone. Il (Elle) ne répond pas, je laisse un message en lui demandant de me rappeler. Puis je rentre à la maison et me plante devant la télé en regardant des conneries.

Huit jours plus tard, Ava ne m’avait toujours pas rappelé. Je compose le numéro sans y croire. Miracle : ça décroche :

– Ava ?
– Oui !
– C’est Etienne, vous vous souvenez de moi ?
– Pas du tout !
– J’étais venu chez vous pour un rendez-vous, et il y avait Cheng aussi.
– Vous voulez un rendez-vous ?
– Non, un renseignement, je cherche à retrouver Alice…
– Au téléphone, on ne sait jamais à qui on a affaire…
– Je peux passer vous voir ?
– Si vous voulez ! Mais je ne reçois que pour des rendez-vous pour des massages.

Pourquoi cet étrange changement de comportement, elle est peut-être bipolaire, la transsexuelle ?

Nous avons néanmoins pris rendez-vous et elle a insisté pour que je sois à l’heure.

Je fus donc ponctuel et Ava m’ouvrit en tee-shirt rouge et jeans. Seul son beau visage et ses cheveux longs trahissait son côté ambigu.

– Ah ! C’est vous ! Entrez, je reviens !

Elle est tout sourire, en fait elle n’a m’avait pas reconnu lorsque j’avais téléphoné.

Elle me laisse seul quelques courtes minutes, et quand elle revient elle s’est changée et s’est revêtue d’un kimono.

– Vous voulez boire quelque chose ?
– Non merci !

Et la voilà qu’il ouvre son kimono, elle porte sa main à sa bite et la fait rapidement bander. J’ai du mal à avaler ma salive.

– Ça te dit ?
– Je ne suis pas vraiment venu pour ça !
– Ça te dit ? Répété-t-il

J’essaie de me dominer ! En fait j’ai peur qu’elle profite de la situation et qu’elle ne me donne pas le renseignement que je suis venu chercher. Mais c’est vrai que sa bite me fascine.

– Je venais pour avoir les coordonnées d’Alice. Si tu me les donnes, d’accord, je te suce.

Elle s’en va dans un coin, trifouille dans ses affaires et me recopie quelque chose sur un bout de papier qu’elle me donne. J’espère que ce n’est pas bidon !

– Voilà, allez fais-moi mon petit cadeau et déshabille-toi. Je suis en forme, tu vas voir comme je vais bien enculer ton petit cul !

Un minute après j’avais sa bite dans la bouche !

Quel bonheur de sucer cette bite ! Elle un a aujourd’hui un vague arrière-gout de pipi, elle n’en est que meilleure Je joue des lèvres et de la langue, me régalant de toutes les parties de cette queue parfaite au gland magnifique.

– Tu suces bien ! Me dit Ava ! Mais ça pourrait être encore mieux, Je vais te montrer !

Il va me montrer quoi ?

Il sort alors de je ne sais où un godemiché très réaliste muni d’une ventouse et le colle sur la table, puis il sort sa langue et fait quelques mouvements à la base du gland.

– A toi !

Je fais comme il m’a montré, il me dit de ne pas aller trop vite, me corrige..

– Maintenant, suce !

Je m’applique tellement que sa bite est bientôt raide comme un bout de bois.

– Tu veux que je te la foute dans le cul.
– Oui, bien sûr !
– Mais avant j’ai envie que tu me suces la rondelle.

Il se tourne et me présente son cul dont il écarte les globes. J’avoue trouver cette rosette brune fort sympathique mais je ne m’attendais néanmoins pas, à ce genre de sollicitation.

J’approche mon visage et tente un premier coup de langue. Ça m’amuse et ça m’excite car je trouve la pratique extrêmement perverse d’autant que l’anus commence à s’entrouvrir très légèrement.

– Humm, j’adore ça me confie-t-il.

Mais il se retourne, me demande de me mettre en levrette et m’encule comme il se doit. Et pendant ce temps là je me branle comme un malade.

Je sors, un peu épuisé par cette prestation, je me pose dans un bistrot et m’empresse de composer le numéro de téléphone que m’a communiqué Ava.

Ça ne répond pas, je laisse un message… le répondeur n’est pas personnalisé.

Dix fois, quinze fois, je ne sais plus… ais-je tenté de joindre Alice et j’ai fini par laisser tomber.

Que s’est-il passé ? Je me suis d’abord persuadé qu’Ava m’avait refilé un numéro bidon, une façon comme une autre de me conserver comme client au détriment d’Alice ! Si c’est le cas, il peut toujours courir… Et puis je me suis dit ensuite qu’il y avait plein d’autres hypothèses .Peut-être ne répond-elle pas aux numéros qu’elle ne connait pas ? Peut-être a-t-elle changé de téléphone ? Peut-être a-t-elle été expulsée de France. Bref je ne saurais jamais.

Alors j’ai continué à fréquenter les instituts de massages avec des fortunes diverses, mais je ne fidélisais plus. Sans doute inconsciemment pensais-je retrouver Alice dans un autre salon ?

Et ce jour-là, je me dirige vers cet institut où je n’ai jamais mis les pieds.

– Un massage d’une heure, s’il vous plait !
– Bien sûr Monsieur, c’est Alice qui va vous masser.
– Alice ! M’exclamais-je.
– Vous la connaissez ? me demande la caissière.

Je ne sais pas ce que j’ai répondu, mais j’ai bien bafouillé.

Et voilà qu’arrive Alice ! Evidemment ce n’est pas la même ! C’est fou le nombre de masseuses qui se font appeler Alice !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Mercredi 23 mars 2022 3 23 /03 /Mars /2022 14:47

Julie chez sa tante par James01
zoo

 

Julie, belle blonde de 21 ans, et venue passer une semaine de vacances chez sa tante Mado en Haute Savoie

L’idée lui était venue comme ça ! Envie de se ressourcer après un gros chagrin d’amour. Julie n’avait pas vu sa tante depuis quatre ans, cette dernière l’accueillit chaleureusement et le soir après un bon repas bien arrosé, vint le moment des confidences.

Mado est une femme de cinquante ans, bien conservée et toujours souriante, divorcée depuis quelques années, et fâchée avec la moitié de sa famille, sans doute en raison de sa réputation assez sulfureuse

– C’est toi qui a rompu ou c’est lui ? Demande Mado à sa nièce.
– C’est elle !
– Une femme ?
– Ben, oui ! J’espère ne pas te choquer !
– Pas du tout, j’ai moi-même eu quelques aventures féminines

Elle parlèrent ensuite d’autre chose, mais au moins les choses étaient claires.

Le lendemain matin, accompagnée de sa nièce, Mado en short et tee-shirt va promener Wolf, un superbe chien, au museau très pointu, toujours humide. Julie est vêtue d’une jupette de tennis, et d’un petit haut sans manche, fermé par deux boutons.

A l’entrée du sous-bois, Julie trébuche sur une racine, et s’affale, se retrouvant sur le dos, jupe relevée jusqu’à la taille. Elle reste un petit moment dans cette position.

– Dis donc, petite vicieuse, remarque Mado, tu n’as pas de culotte, et je vois un joli minou tout épilé.
– Il est joli, hein ?
– Je le caresserais bien !
– Vas-y tantine, tu as ma permission

Mado se penche sur sa nièce, et parcours son entre jambe d’une main experte forçant Julie à écarter ses cuisses.

– Dis donc, qu’est-ce que tu mouilles !
– Hi ! Hi !

Mado fait rouler un doigt sur le clitoris de Julie, ce qui lui provoque un agréable frisson.

– Oh, Tata, qu’est-ce-que tu me fais ? C’est bon !
– Petite vicieuse ! J’adore ton minou !

Mado caresse la chatte, frottant les lèvres les unes contre les autres, les ouvrant pour glisser un doigt, puis revient sur le clitoris. Elle attend que sa nièce soit en surchauffe. Elle veut que Julie la supplie. Après, elle sera à elle.

– Tu veux qu’on fasse quelque chose de très cochon ? Lui demande Mado.
– Tout ce que tu veux, tantine !.
– Wolf, appelle Mado, viens voir ta maîtresse.

Le chien, obéissant, déboule en remuant la queue.

– Viens mon chien, cette petite pute a envie de se faire lécher la fente
– Non, tantine, pas ça, tu es folle !
– Calme toi, ma chérie, dit Mado. Il ne va pas te faire du mal, il et doux comme un agneau. Allez Wolf, avance.
– Non, non !
– Essaie, ça ne va pas te tuer ! Je le fais bien, moi !
– Bon d’accord, mais je ferme les yeux !

Le museau du chien entre légèrement dans le sexe de Julie, ce qui lui provoque des gémissements de plaisir. La truffe humide, frotte contre le petit bouton d’amour de la nièce. Elle cambre son bassin.

Mado se met à genoux derrière Julie, assise sur ses talons. Elle lui soulève le visage, et le pose sur ses cuisses. Calmement, elle défait les deux boutons, et écarte le gilet. Julie est maintenant entièrement offerte. A la tante, et au chien.

– Oh ma nièce ! S’exclame Mado, quels jolis seins !

Avec le pouce et l’index de chaque main, elle saisit les bouts, les fait rouler, les étire, arrachant de petits cris à Julie.

– Ma tante, tu vas me rendre folle !

La truffe de Wolf continue sa progression. Elle est largement entrée dans la chatte de Julie. Il fouille le vagin de sa langue râpeuse. De temps en temps, il la sort puis recommence, faisant sangloter de plaisir la jeune femme.

– Tata, tata, je vais jouir, ah !.ah ! ah ! Dis à ton chien de continuer ! Ma petite chatte est toute mouillée, oui… oui… oh, quel pied
– Tu vois, répond Mado, tu t’es régalée, hein ? Tu veux qu’on recommence ?

Julie se redresse et regarde le chien finir de lécher sa mouille. Elle entrevoit entre ses pattes, le sexe de Wolf, tout rouge, décalotté sur quatre ou cinq centimètres.

– Mais, tantine, il va me pénétrer ? S’affole Julie. Quel bite, il a, c’est impressionnant !
– Je suis sûre que t’as envie de la sucer !
– Sucer la bite d’un chien ? Je ne sais pas trop…
– Regarde, je vais le faire !

Mado s’allonge sous le chien et lui attrape la bite qu’elle embouche sans hésiter une seconde, du liquide poisseux s’écoule, la tante s’en régale.

– Tantine, t’es une cochonne !
– T’as envie de faire pareil ?
– Peut-être…
– Alors prend ma place.

Julie s’allonge à son tour, après une petit moment d’appréhension, elle met à son tour la bite de Wolf dans sa jolie petite bouche. Elle cesse après quelques minutes.

Julie Wolf
Les deux femmes s’embrassent profondément.

– On fait une belle paire de cochonnes ! Dit Mado.
– Tu te rends compte de ce que tu m’as fait faire ?
– Je ne t’ai pas obligé !
– Quand même, sucer la bite d’un chien ! Je suis vraiment salope !
– Si tu le dis… Tu recommenceras ?
– Bien sûr, tantine.
– Alors tout va bien ! Il faut que je fasse pipi ! Ça ne te gêne pas que je pisse devant toi !
– Oh, non, Tantine, au contraire !
– T’es vraiment vicieuse, mais je ne vais pas te décevoir.

Mado se débarrasse de son short laissant apparaitre un joli minou tout lisse.

– Oh, que tu as une belle chatte, Tantine !
– Tu va pouvoir la lécher, mais seulement quand j’aurais pissé !
– Humm

Mado s’accroupit et laisse échapper un joli filet jaune.

– Alors c’était joli ? Demande la tata.
– Hum, je vais te nettoyer tout ça !

Mado se couche sur le dos, et Julie vient de sa petite langue nettoyer les gouttelettes de pipi. Evidemment, elle ne s’arrête pas en si bon chemin et lape la chatte de sa tante pendant quelques minutes avant de cibler le clitoris et de l’emmener au plaisir.

– Lèche moi derrière, maintenant ! Dit Mado en présentant son cul à sa nièce.et en écartant ses grosses fesses.

Julie approche sa langue du petit œillet brun.

– Il est comment mon trou du cul ? Il sent bon !
– Une très légère odeur de merde, mais ça en me dérange pas, j’aime bien !
– Quelle vicieuse tu fais !
– Oui tantine !

Le soir, les deux femmes dinèrent en tête à tête, Wolf étant couché sous la table.

– Tu sais qu’il y a mon fils qui vient demain ?
– Kévin ? demande Julie. Voilà un bout de temps que je ne l’ai pas vu. Ça lui fait quel âge maintenant ?
– Il va avoir dix-neuf ans, répond Mado, Il est toujours aussi mignon et il a une belle bite !
– Ah bon ? Il se met à poil devant toi ?
– On peut dire ça comme ça…
– Qu’est-ce que tu me cache, tantine ?
– Rien, je ne voudrais pas que tu me prennes pour une dépravée…
– Mais non, tantine ! Je crois que j’ai compris, tu l’as un peu branlé, c’est ça !
– Un peu branlé, un peu sucé…
– T’es vraiment coquine, tata !
– Je suis contente que tu le prennes comme ça !

Elles arrivent au désert.

– Qu’est-ce qu’il t’arrive ma chérie, pourquoi tu gigotes ? demande Mado.
– C’est Wolf, murmure Julie. Ce chien est trop vicieux… ah, ah, ah !

Mado se penche sous la table.

– Il t’a adopté ! Si tu veux je vais l’enfermer dans la buanderie.
– Non, tata, laisse-le faire, c’est trop bon!

Wolf lèche la chatte et le clitoris de Julie. Elle est totalement soumise au chien. Elle ouvre son petit haut, et se caresse les seins, insistant sur les bouts. Elle glisse sur la chaise, avançant son bassin pour mieux se faire pénétrer par la langue de Wolf.

– Hou, hou.., tantine, je vais venir ! Comme il me lèche ce salaud, quelle langue il a.!

Julie prend la tête du chien à pleine main, et la maintien contre sa mounette.

– Je viens encore, tata, oui, oui !

Une fois fini, le chien quitte le dessous la table en se léchant les babines et va se coucher.

– Je vais m’allonger cinq minutes, dit Julie, épuisée.
– Vicieuse va. Allez, moi aussi je vais me coucher. Tu viens Wolf ?

Une fois dans la chambre, Mado se déshabille.. Elle se regarde dans la glace, et se trouve encore très belle et désirable. Wolf glisse son museau entre les fesses de Mado.

– Wolf, tu me fais la chatouille, voyons !

Mado s’assied sur le lit, jambes écartées. Avec deux doigts, elle décalotte son clitoris, et écarte sa chatte.

– Viens faire du bien à ta maitresse ! Ordonne-t-elle.

Wolf a été dressé pour ce genre d’activité. Au dire de Mado, son instinct de mâle est supérieur à l’homme dans ce domaine. Un véritable expert

– Mon chien, fouille bien ta maitresse, lèche mon petit bouton, vas-y mon toutou, joue avec moi. Ha.. ha.. oui. Oui, je joui.

Wolf, avec sa langue pointue, explore la chatte de Mado, lui arrachant des cris de plaisir. Il lèche le bouton. Mado n’en peut plus. Elle se retourne, et offre sa croupe à son amant à quatre pattes. Wolf, son sexe entièrement sorti, monte sur le dos de Mado. Elle écarte sa chatte, et se fait prendre par son chien. Elle pousse un râle de plaisir.

– Vas-y mon gros toutou ! Gémit-elle, bourre bien ta maitresse.

Wolf, tire la langue de bonheur. Il accélère ses va-et-vient dans la chatte de Mado. Ce sont des cris de plaisir qui sortent de sa bouche.

– Oh putain, comme tu me baises, salaud, vas-y, régale-moi.

D’un coup, le chien couine, et se couche sur la moquette, entrainant Mado, toujours prise par la queue de Wolf. Le chien est en phase d’éjaculation. Mado est obligée d’attendre qu’il ait fini de se vider dans sa chatte. Au bout d’un moment, Wolf se retire. La sortie est douloureuse. Mais tant pis, le reste était tellement bon. Wolf se lèche la queue et les testicules, puis, il s’approche et prend la chatte de sa maitresse à coups de langue, comme s’il voulait la nettoyer. Mado s’abandonne, entièrement soumise. Elle le prend par le cou, et l’embrasse.

– Mon chien, mon amant, comme tu me rend heureuse ! Reposons-nous maintenant.

Le lendemain matin, elle est réveillée par la truffe humide de son chien contre son petit trou.

– Ah non, dit-elle, assez, il y a Kévin qui va arriver. Il faut que je fasse un peu de ménage…

Wolf jappe, comme s’il avait compris. A dix heures, Kévin sonne à la porte.

– Bonjour maman, salut Wolf. Oh, mais qui est là ? Julie, ma cousine préférée. Comme tu as changé !
– Je vais préparer un café, dit Mado, pendant ce temps, installez-vous sur le canapé.

– T’es toujours aussi mignon ! Lui dit Julie.
– Et toi tu es vachement sexy. Tu sais que tu m’excites ?
– Sans blague ? Tu ne vas pas me dire que je te fais bander.
– Ben si !
– Menteur !
– Tu n’as qu’à vérifier !
– Fais gaffe, je suis capable de le faire, mais ça risque de nous entrainer un peu loin.
– Je prends le risque.
– Tu l’auras voulu !

Et Julie lui pose la main sur la braguette, constatant la bosse qui s’y est formée !

– Eh ben, je ne pensais pas te faire un effet pareil !

Julie ouvre la braguette du jeune homme, fait se faufiler la main à la recherche de la bite qu’elle finit par extraire. Elle la masturbe un petit peu avant d’y porter ses lèvres.

Mado revient avec le café et est surprise par le spectacle.

– Ben faut pas vous gêner tous les deux ! Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir

Devant tant d’érotisme, Mado sent la chaleur envahie ses entrailles. Sa chatte devient humide. Wolf l’a senti. Il faufile son museau sous son déshabillé, et commence à lécher sa maitresse.

– Maman ! Viens donc jouer avec nous ! Lui propose Kévin
– Oui viens tata ! Ajoute Julie
– J’arrive, mais je vais ranger le chien ! Répond Mado.
– Mais non, laisse le tranquille répond la jeune femme

Wolf est le premier en action. Il fourre son museau contre la chatte de Julie, et la pénètre avec sa langue, frottant le clitoris du bout de sa truffe.

– Quel vicieux ! Gémit Julie, comme il me fouille. Tata, viens que je te caresse.

Mado se débarrasse de son déshabillé et fait admirer sa poitrine à sa nièce

– Oh, les beaux nénés ! Ne peut s’empêcher de s’exclamer Julie, admirative.

Celle-ci se jette dessus bouche en avant et fait rouler les gros tétons avec le bout de sa langue. Mado se laisse faire un moment puis s’arrange pour poser sa chatte sur la bouche de sa nièce.

– Vas-y, petite pute, ordonne Mado, lèche-moi bien le bouton.

Wolf de son côté lèche les couilles de Kévin, remontant jusqu’au gland, entièrement décalotté.

– Wah, comme il me lèche ! Soupire Kévin. Que c’est bon !

Wolf fait courir sa langue de la base des couilles jusqu’au bord du gland. Kevin sent qu’il va jouir. Des petits jets de sperme gicle du méat, et retombe sur le ventre du jeune homme. Wolf avance son museau, et lèche la semence.

Mado ne peut retenir l’orgasme que lui provoque sa nièce. Elle inonde la bouche et le visage de Julie. Kévin se met sur le côté, à genoux, prenant appui sur ses mains. Mado en profite pour lui saisir ses testicules.

– Mon fils, dit-elle, j’adore te tripoter les couilles !
– C’est bon maman, dit Kévin. Mais laisse-moi te baiser…

Julie, à quatre pattes sur la moquette, se fait prendre par Wolf. Le chien a posé ses pattes avant sur les flancs de Julie. En gémissant, il commence ses va-et-vient.

– Tu veux que je lui dise d’arrêter ? Demande Mado.
– Sûrement pas, c’est trop bon ! Ce chien, comme il me nique, ce salaud ! Quel mâle ! J’ai envie de le sucer après. J’ai envie d’être salope !

Le chien finit par se retirer mais bande toujours, Mado et Julie se jettent spontanément sur sa bite et se mettent à lui lécher alternativement.

– Vous êtes vraiment des belles salopes ! Commente Kévin !
– Jaloux ! se moque Mado

La tata se relève, mais c’est pour se mettre à quatre pattes.

– Viens mon fils, viens enculer ta mère !
– J’arrive Maman !

Le jeune homme approche sa bite du petit œillet fripé de sa mère et la sodomise en cadence. Le chien tourne autour du couple, Il approche son museau du fessier de Kévin, puis pris d’une impulsion subite, il l’encule !

– Et moi je fais quoi ? Demande Julie.
– Va refaire du café, on en aura besoin !
– Ah bon ? Je vais aller pisser d’abord !
– Pisse-moi dessus, ma chérie ! Pisse-moi dans la bouche !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Samedi 19 mars 2022 6 19 /03 /Mars /2022 14:37

Felicity et Bérangère par Sylvain Zerberg – 2 – Perversions décomplexées

 stamp rousse

J’en étais là de mes réflexions quand Felicity, la clope au bec s’approche de moi avec un sourire craquant.

– Toi, tu es un petit cochon, tu m’as enculé deux fois, c’était très bon !
– Pour moi aussi c’était bon ! Répondis-je en lorgnant sur ses beaux nichons, il y a des choses dont on ne se lasse jamais.
– Je peux te demander une petite fantaisie qui me ferait plaisir ?

Je m’attends au pire !

– Dis-moi !
– Je voudrais que tu me pisses dessus !

C’est pas vrai que ça recommence ! Et au lieu de faire une réponse intelligente, je réponds n’importe quoi :

– Et j’ai quoi en échange ?
– Ce que tu veux ! Je t’offre mon corps, je n’ai aucun tabou !

Je suis comme un con, je ne sais plus quoi lui répondre.

– T’as le droit de réfléchir, rien ne presse ! Alors tu viens me le donner ce pipi ! Insiste-t-elle en me prenant la main et me tirant vers la salle de bain.

– Mais j’ai pas envie !
– Tu peux toujours essayer.

Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Alors que ce matin je me révoltais, là je me laisse trainer comme un toutou. Felicity s’est accroupie dans le carré à douche après avoir laissé couler l’eau du lavabo, il parait que ça aide. Je ferme les yeux, j’attends que ça vienne, ça finit par venir, le jet part, l’anglaise s’arrange pour qu’il atterrisse dans sa bouche. Je me demande quel gout ça peut avoi ?

Une fois l’affaire terminée, je quitte la salle de bain sans un mot et je me rhabille. Les filles ont fait la même chose, on a joué aux cartes en buvant des bières et on est allé se coucher.

J’ai mal dormi, et le matin j’avais pris une résolution qui n’avait plus rien à voir avec celle de la veille. Si vraiment ma sœur veut que je la baise, et bien je vais la baiser, ça sera fait et on n’en parlera plus !

Je me suis levé, douché rapidement, habillé tandis que les deux donzelles roupillaient encore comme des bienheureuses, puis je suis descendu chercher des croissants, J’adore les croissants bien chauds !

– Ben Monsieur Sylvain, vous m’avez l’air fatigué ! Me dit ma jolie boulangère.
– J’ai mal dormi.

J’aurais bien continué la conversation, mais il y avait du monde derrière moi, le monde est mal fait.

Quand je suis rentré, les filles avaient quitté le lit et occupait la salle de bain. Je fis donc « partir » le café.

Et voilà qu’elles sortent, Bérangère dans mon peignoir, Felicity emmitouflée dans une grande serviette de bain. Ces demoiselles sont pudiques, ce matin ! Mais à mon avis elles ne vont pas le rester longtemps.

Felicity réclame de la confiture ! J’avais oublié que les Anglais ne petit-déjeunent pas de la même façon que nous. Alors allons-y pour la confiture, je suis sûr qu’après elle va me demander de lui faire cuire un œuf !

L’anglaise laisse tomber sa serviette de bain ! Qu’est-ce que je disais ? Elle commence par enduire des bouts de croissant avec la confiture avant de les déguster… Puis sans crier gare, la voici qui avec sa cuillère remplie de confiture s’en badigeonne le téton.

– Un peu de confiture, Sylvain ? Me propose-t-elle en m’exhibant son sein au cas où je n’aurais pas compris.

Donc, ça y est, c’est parti, je lèche le néné de l’anglaise et je commence à bander !

– A moi de jouer ! Intervient Bérangère, qui se barbouille la chatte de confiture.

Je n’ai même pas hésité et commence à lécher tout ça, mais elle interrompt le jeu assez rapidement.

– Tss, tss c’est à toi de jouer maintenant !
– Comment ça ?
– Ben je ne sais pas, moi, mets-toi de la confiture sur la bite !

Sont complètement barges !

– Allez quoi ? Me presse l’anglaise !

Je n’ai pas non plus envie de tacher mes fringues, je me déshabille prestement et enduit ma bite de confiture.

Felicity approche sa bouche et commence à faire le ménage.

– Il y a en a de trop, viens m’aider Bébé !

Bébé c’est donc le nouveau diminutif de Bérangère, c’est idiot, non ?

Mais là n’est pas le plus important, parce qu’en ce moment je suis en train me faire sucer la bite par ma sœur, et je me laisse faire.

Quand la confiture fut absorbée, les deux filles abandonnèrent leur fellation dégustatrice en rigolant comme des bossues.

On fait quoi maintenant ? Je bande comme un cerf et j’ai devant moi deux gazelles qui ne demandent qu’à s’envoyer en l’air.

– Je crois que Bébé aimerait beaucoup que tu l’encules ! M’informa Felicity
– Oh, oui s’il te plait ! Confirma cette dernière.

J’hésitais un peu ! Ma sœur se mit alors en levrette, le cul cambré, exhibant tous ses trésors en écartant ses fesses de ses mains.

– Allez viens ! La sodomie ce n’est pas de l’inceste !
– Hein ?
– Tu réfléchiras à ça si tu n’arrives pas à dormir ce soir, c’est un bon sujet de philo, en attendant viens m’enculer !

Toutes mes inhibitions avaient maintenant disparues. J’entrais facilement dans son conduit anal. Ma frangine avait dû se faire ramoner un certain nombre de fois pour avoir le passage si facile.

Alors je pilonne, je pilonne…

– T’aimes ça te faire enculer par ton frère, Hein salope !
– Continue, va bien au fond, ah, aaaaah ! Bourre-moi bien.

Je sens que l’affaire ne va pas durer longtemps, d’une part la sœurette est en train de râler comme une possédée et moi je sens que je ne suis pas loin du plaisir.

Quand Bérangère laissa libre champ à sa jouissance, j’accélérai afin de jouir à mon tour. Une fois la chose faite, je me retirais, la bite gluante de sperme et tachée de traces de merde. Sans trop réfléchir, je déposais un peu de ces pollutions sur la rosette de ma sœur puis me reculait. Felicity se précipita alors pour lécher tout cela avec gourmandise. Elle procéda ensuite avec une gloutonnerie non feinte, au nettoyage buccal de ma bite, son état ne la dérangeant pas le moins du monde.

Je me fis alors la réflexion que l’on s’approchait l’air de rien de la scato, d’autant que l’anglaise avait l’air de s’y complaire.. Bizarrement cela ne me choqua pas plus que ça.

Felicity sollicita ensuite Bérangère afin qu’elle la fasse jouir à son tour. Elles ne s’arrêteront donc jamais !

Et sur ces entrefaites, les deux donzelles s’habillèrent et partirent faire les touristes, au programme, Tour Eiffel, le Louvre et je ne sais plus quoi.

Me voilà tranquille jusqu’au soir. Elles m’ont téléphoné qu’elles dineraient au restaurant, j’ai donc cassé la croute tout seul et j’ai fini la soirée en pyjama en écoutant de la musique tout en lisant un bon polar.

Et les voilà qui rentrent, me disent qu’elles sont crevées, qu’elles vont se coucher et m’invitent à mettre un casque pour écouter ma musique.

Dix minutes après j’entendais d’étranges gémissements. Je retirais mon casque et pointait un regard interrogateur en direction des deux copines qui étaient pas du tout en position de s’endormir.

– Ne t’inquiète pas, c’est seulement ta salope de sœur qui vient de m’enfiler son petit godemichet dans le cul, et cela me fait beaucoup de bien ! Tu devrais essayer, c’est bon !
– Essayer quoi ? Demandais-je faisant semblant de ne pas comprendre.
– Oh ! Oui ! Oh oui ! On va lui mettre dans le cul ! S’exclame Bérangère.
– Certainement pas !
– Mais si faut tout essayer ! Tu n’as pas confiance en nous !

Je me demande quoi dire et quoi faire mais déjà ma sœur s’est levée, m’a descendu mon pantalon de pyjama et m’a écarté les fesses, Felicity approche le godemichet de mon anus après l’avoir recouvert d’un préservatif.

Je les laisse faire en me disant que ça ne va jamais entrer, mais ça entre ! Me voilà rouge de confusion d’autant que Felicity l’enfonce maintenant aux trois quarts de sa longueur.

– Retirez moi ça, ce n’est pas drôle !
– Mais si ! Répond Felicity

Et elle fait bouger l’objet dans ma cavité rectale, et là il se passe quelque chose, le sentiment de gêne et de rejet s’éloigne pour faire face à une sensation qui finit par ne plus être désagréable du tout.

FelicityJe crois que je viens de découvrir quelque chose. Du coup je m’excite et commence à me branler toujours avec le machin dans le trou du cul. J’éjacule prématurément, le sperme gicle sur les seins de Felicity que Bérangère vient lécher avec gourmandise.

– C’est malin, proteste cette dernière, tu aurais pu te réserver pour nous !
– On ne fait pas toujours ce qu’on veut !

Ces deux sacrées femelles avaient-elles donc décidé de me rendre dingue ? Mais je n’étais pas encore au bout de mes surprises.

Le lendemain les filles qui se levèrent fort tard, avaient prévu une nouvelle journée de tourisme.

Felicity était dans la salle de bain et je ne sais quel démon m’y fit entrer à mon tour.

– Tu viens me voir ? Demanda-t-elle
– Je cherche mon briquet ! Improvisais-je
– Je vais pisser, tu veux regarder ?

Mes inhibitions en la matière ne devaient pas être bien fortes, puisqu’elles avaient disparues.

L’anglaise s’installa, pieds sur la cuvette afin que je puisse bien voir et m’offrit le spectacle charmant de son petit pipi s’échappant de sa jolie chatte rose.

– Hum, je crois que je vais faire caca ! Annonça-t-elle avec un naturel désarmant.
– O.K. je te laisse.
– Mais non regarde !
– Non, non !
– Tu n’as jamais regarder une fille en train de chier ?
– Ma foi non ?
– C’est très joli, moi j’aime bien quand Bérangère chie devant moi ! Ce matin elle a fait un très joli boudin.

C’est bien ce que je pensais, ces deux nanas sont complètement givrées. Mais pourquoi est-ce que je bande comme un taureau ? Je me dis alors que je peux toujours commencer à regarder et que si le spectacle me répugne, je la laisserai terminer

– O.K. j’essaie de regarder, mais ne m’en veut pas si je me sauve.

Felicity change de position, toujours les pieds sur la cuvette, mais tournée vers le mur, ses belles fesses devant mes yeux. Son anus s’ouvre, quelque chose de marron demande à sortir. Je suis dans un état second, comme pétrifié, l’étron sort, compact et brun puis chute dans l’eau de la cuvette.

J’ai donc « survécu » à cette épreuve que je me suis plus ou moins infligé. Je n’en suis pas devenu scatophile pour autant. Contrairement à Felicity parce que le spectacle n’était pas tout à fait terminé.

La coquine au lieu de prendre du papier pour s’essuyer, porte ses doigts à son cul, puis se les lèche avec un air vicieux.

– Tu veux m’embrasser ?

Je me sauve, mais j’entends encore son rire ! Quelle belle salope !

Elles avaient laissé le godemichet sur le bord du canapé, je ne résistais pas à la tentation de me faire du bien en me l’introduisant dans le cul, tout en me faisant une bonne branlette. Il me vint alors une pensée que je chassais très vite avant qu’elle ne revienne m’obséder : Si une bite en plastique peut donner du plaisir, qu’en est-il d’une bite de chair bien vivante ?

Je me couchais avant que les filles ne soient rentrées, elles m’avaient prévenu qu’elles souhaitaient terminer la journée en boite ! Grand bien leur fasse !

Le matin, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que le lit était occupé par trois personnes. Un mec, d’une quarantaine d’année sans doute, était couché entre les deux nanas. Gonflées quand même d’amener quelqu’un chez moi sans me prévenir. Peut-être me dis-je ont-elles l’intention de faire une partie carrée ? Cela doit faire un drôle d’effet que de voir sa propre sœur se faire sauter par un mec !

J’attends que ce petit monde se réveille et bon prince, lorsque je descends à la boulangerie je prends un croissant supplémentaire.

Sur le chemin, je reçois un coup de fil de mon associé, rien de grave, mais un truc assez compliqué ce qui fait que la communication dure assez longtemps.

Quand je rentre, Felicity et l’inconnu sont debout, je suppose que Bérangère est dans la salle de bain.

– Je te présente Henri.

Je lui tends la main, mais le mec m’embrasse sur la joue, c’est quoi ces familiarités ? Et voilà que la serviette qui lui ceint les reins dégringole, dévoilant une bite de bonne taille, mais au repos.

Voyant cela, l’anglaise la prend dans ses mains et la masturbe ! Faut surtout pas se gêner, ça devient un vrai bordel ici !

– Tu trouves qu’elle est belle ? Me demande la rousse.
– Une bite, c’est une bite !
– Oui mais il y en a qui sont plus belles que d’autres !

En vérité je n’arrivais pas à dissimuler mon trouble et je cherchais une réponse pour me tirer de cette situation gênante quand Bérangère qui était dans l’embrasure de la porte la salle de bain en ajouta une couche.

– Suce-le ! Dit-elle. Tu n’en mourras pas
– Non, ce n’est pas mon truc !
– Tu n’en sais rien, tu n’as jamais essayé.
– Peut-être un jour, mais pas aujourd’hui !
– Ça m’aurait fait plaisir de voir ça !
– Non !
– Juste un peu !

Un regard sur ce bel organe, magnifiquement bandé, la peau diaphane parcourue d’une jolie veine bleutée, le gland luisant… Dans un état second je me retrouvais avec cette merveille dans ma bouche et en testait le goût. C’était doux, musqué, envoutant. Je me surpris à m’appliquer à cette première fellation, puis d’un coup je me relevais, me demandant ce que j’étais en train de faire.

Felicity me félicita ce qui d’une part m’empêcha de culpabiliser mais aussi de réfléchir.

– Si on le suçait à deux ? Me propose-t-elle.

Je ne pouvais décemment refuser d’autant que cette proposition avait le mérité de gommer quelque peu le côté gay de la chose.

Felicity et moi nous nous refilions la bite d’Henri chacun à notre tour. J’étais comme dans un rêve, mais n’était pas au bout de mes surprises.

– Les garçons ! Si vous faisiez une bite au cul ?
– Ça te dirait ? Me demande le zigoto.
– Bien, sûr que ça lui dit ! Il s’est déjà pris des godes…

C’est sans trop réfléchir que je me mis alors en levrette, et acceptait de recevoir dans mon intimité cette bite qui allait me sodomiser.

Le gars était doux et intentionné, il m’encula comme un dieu, je n’eus comme exigence que de lui demander de se revêtir d’une capote.

Quand il eut joui, il décula me laissant mon cul béant, mais content. Je venais de me faire enculer et n’en éprouvait ni honte ni remord, j’étais même assez fier d’avoir transgressé un tabou ! Bérangère était allongée sur le canapé et se masturbait.

– Maintenant si tu veux me baiser, je suis prête ! Me dit-elle.
– J’arrive, petite sœur !

Et là il se passa quelque chose que je n’ai pas bien compris… Certes l’invitation de ma sœur à la baiser était excitante en soi. Sa pose était obscène, ses seins étaient magnifiques, son regard était vicieux, Et ne parlons pas de sa bouche experte qui s’empara de ma bite afin de la sucer comme il se doit.

Mais pendant sa fellation, mon esprit était ailleurs ! L’image de la magnifique bite de Monsieur Henri revenait en boucle dans ma tête sans que j’arrive à m’en détourner.

Quand Bérangère relâcha son étreinte buccale, je la pénétrais sans passer par la case « préliminaires ». Et je m’agitais tant et si bien que j’éjaculais après moins d’une dizaine de va-et-vient.

– Ben, qu’est-ce qu’il t’arrive, c’est l’émotion ?
– Ce doit être ça ! Balbutiais-je.

N’empêche que j’avais été infoutu de faire jouir ma sœur, alors dans un grand élan de tendresse, j’ai pointé ma langue sur son intimité et après avoir léché ses sucs, je titillais son clitoris. Elle fut un petit peu longue à venir, mais elle vint.

Ayant joui, ma libido était redescendue à la cave. L’image de la bite de Monsieur Henri était partie de mon esprit. D’ailleurs où était-il passé celui-là ?

– Il a été appelé au téléphone, il a dû partir précipitamment. Pourquoi ? Tu voulais le revoir ? Me demande Felicity avec un œil coquin
– Non je demandais ça comme ça, il aurait pu dire au revoir !
– Il n’a pas voulu vous déranger.
– Vous allez le revoir ?
– Ce n’est pas prévu, c’est juste un coup de rencontre. Pourquoi tu demandes ça ?
– J’en sais rien, faut que je réfléchisse.

Avec tout ça, on n’a pas bouffé les croissants, je fais réchauffer du café. Felicity s’assoit devant moi, Bérangère nous rejoint un peu vaseuse.

– On dirait que Sylvain à de la peine qu’Henri soit parti ! Lui dit Felicity.
– C’est vrai, ça ? Me demande ma sœurette
– N’importe quoi !
– Non ce n’est pas n’importe quoi, reprend l’anglaise, tu as aimé lui sucer la bite et la prendre dans le cul. Le souci c’est que tu ne veux pas te l’avouer !

Elle m’énerve, elle m’énerve !

– Et alors ! C’était un coup de folie ! Les coups de folies ça arrive ! C’est pas pour ça que je suis devenue pédé, d’ailleurs j’ai baisé ma frangine.
– Hi ! Hi ! se marre cette dernière.

Et voilà les deux donzelles qui se mettent à échanger en anglais, c’est très pointu et je n’y comprend pas grand-chose sauf qu’il est question de sexe.

– Le sexe doit être une fête ! Reprend Felicity, cette fois en français, il y a des gens qui passent leur temps à expliquer aux autres que s’ils sont comme ci comme ça, c’est parce que dans leur enfance blablabla… Y’en a marre à la fin ! Si t’es pédé faut expliquer, si t’es bisex faut expliquer, si tu aimes le pipi-caca faut expliquer. Mais merde à la fin. Par contre hurler comme un dingue dans un stade de foot, pas besoin d’expliquer, ce doit être naturel. Le sexe doit rester simple, s’il y a un truc qui te plait et si tu n’as fait de mal à personne, tu n’as besoin d’aucune justification. T’as aimé sucer la bite d’Henri, alors si tu veux un conseil, un seul ce sera celui-ci : Si ça t’a plu, recommence !.

Ouais, j’avoue que ce n’est pas complètement idiot ce qu’elle raconte.

– Et comment veux-tu que j’assume ce genre de chose ?
– Ça mon vieux tu te débrouilles, mais dis-toi bien une chose, c’est souvent l’occasion qui fait le larron. Et puis je vais te dire un truc, des hommes bisexuels en puissance, il y en a plein, mais ceux qui l’avouent sont rares. Mais quand tu enfonces le doigt dans le cul d’un mec et que ça lui plait, ça veut souvent dire que dans ses fantasmes secrets, c’est autre chose qu’un doigt…

Un peu facile, je trouve, mais ça fait réfléchir.

– Dis voir, tu n’aurais pas un martinet ou une cravache ? Me demande-t-elle à brule pourpoint

L’art de changer de conversation.

– Non, j’ai pas ça, pourquoi ?
– J’ai promis une fessée à Bérangère, et j’aime pas faire ça à mains nues. Une grande cuillère en bois peut-être ?

Ma sœur, à poil, s’est arcboutée devant l’évier, l’anglaise lui tape sur les fesses en cadence en ponctuant sa flagellation de gentillesse en anglais :

– Slut, whore, bitch !

– Bientôt le postérieur de Bérangère devient rouge comme une pivoine. Elle couine, elle trépigne, elle gémit, mais elle reste en place alors qu’elle pourrait se dégager.

Felicity finit par poser la cuillère, Bérangère se retourne, les deux femmes se roulent un patin d’enfer.

Quelques jours plus tard, Felicity me fit cette étrange proposition.

– J’ai parlé de toi à mes parents, je leur ai dit que tu étais super sympa, tout ça. Du coup ils aimerait bien te voir. Mon frère aussi d’ailleurs.
– Pourquoi pas, on en reparlera ! Répondis-je peu emballé !
– Pourquoi attendre, nous on va rentrer en Angleterre, tu n’as qu’à nous accompagner, ça ne fait jamais que trois heures de train !
– Je ne sais pas…
– Tu sais, mon frère il a une très joli bite et il aime se faire sucer !

Qu’entends-je ?

J’ai failli être choqué avant de réaliser qu’en matière d’inceste, je suis assez mal placé pour faire des reproches.

– Parce que… avec ton frère…
– Ben oui, avec mon frère !
– Bon O.K., je viens avec vous.

A la gare de Saint-Pancras une voiture nous attendait et nous conduisit chez les parents de Felicity.

Ceux-ci nous attendent en rang d’oignons dans un grand salon. On fait les présentations

– Ma mère Maggy, mon père William et mon frère David.

Tous ces gens-là baragouinent un peu en français. La conversation commence de façon convenue « Vous avez fait bon voyage, vous voulez boire quelque chose, quel temps fait-il à Paris… » Et puis les choses sont vite devenues plus crues.

– Felicity nous a dit que vous étiez un petit cochon ! Me sort le père William.
– Cochon, je ne sais pas, un peu coquin je préfère.
– Nous aussi nous sommes un peu coquins. Me répond-il
– Y’a pas de mal à se faire du bien ! Rétorquais-je dans un grand élan philosophique.
– Tu le trouves comment mon frère ? Intervient Felicity.

Je me sens un peu mal à l’aise…

– Charmant, bien sûr !
– Et encore tu n’as pas vu sa bite !

Oh ! là !

– David, montre ta bite à Sylvain ! Lui demande sa mère.

Je rêve ou quoi ? Toujours est-il que le frangin baisse pantalon et caleçon et m’exhibe devant mes yeux incrédules un jolie bite demi-molle.

– On va la faire bander un peu ! Dit sa mère tout en joignant le geste à la parole.

Le mec parait tout content de se faire palucher par sa maman et me lance des œillades lubriques.

– La voilà en forme, si vous voulez sucer ?
– Là maintenant ?

Je me demandais comment me sortir de cette situation insensée quand j’entends un type rentrer dans la pièce. Il n’est vêtu que d’un ridicule caleçon à pois.

– Ah ! Me dit William, je vous présente Lord Harrigton, un ami de la famille que nous avons hébergé quelques jours, mais vous pouvez l’appelez Arthur.

Le type ne semble pas du tout surpris de voir David la bite à l’air. Il doit s’en passer des belles dans cette maison. Il me serre la main.

– Enchanté, je suis un peu, comment on dit en français ? Pédale ?
– C’est assez péjoratif…
– Pas grave ! Mais j’ai l’impression que j’ai interrompu quelque chose.
– Sylvain s’apprêtait à sucer David ! Lui explique William.
– Eh bien, ne vous gênez pas pour moi, sucez, vous ne serez pas déçu.

Comment temporiser ?

– Ce serait plus cool si les garçons se déshabillaient ! Suggère Felicity.
– Oui, à poil ! Renchérit Lord Machintruc.

Ce qui signifie que si j’accepte, c’est le point de non-retour, jusqu’à présent je pouvais m’enfuir de chez ces cinglés. A poil c’est plus compliqué ! Alors je fais quoi ?

David lui se désape, il est complètement imberbe avec des gros tétons marrons. Je vais craquer. Je craque et me déshabille à mon tour.

Je suis dans un autre monde, je m’accroupis devant David, je tends ma main vers sa bite, la caresse et la branle un peu avant de le la mettre en bouche. Inutile de vous dire que je bande comme un cerf. Quelle sensation c’est encore mieux qu’avec Monsieur Henri. C’est doux, c’est chaud, c’est vivant, c’est pervers, c’est un tas de choses. Ma langue lèche, mes lèvres sucent.

Mais au bout d’un moment j’ai besoin de faire une toute petite pause, je me recule de quelques centimètres et qu’est-ce que j’aperçois ? William et Arthur la bite à l’air.

– Suce, suces les toutes ! Me dit ma sœur qui était restée fort discrète jusqu’à maintenant.

Alors allons-y, pervers pour pervers, j’embouche la bite de William, puis je passe à celle d’Arthur, avant de revenir vers celle de David, c’est quand même ma préférée.

Et puis complètement dans mon trip j’ai fini par lui demander.

– Tu aimerais me prendre !
– Oh Yes !

Un préservatif lui arrive dans la main… comme quoi tout cela était prémédité si j’en doutais encore. Je me retourne, offre mes fesses. David viens m’embrasser le trou du cul et le lèche avec sa langue, ça me fait un bien fou. Puis le doigt remplace la langue. Faut voir comment il l’agite dans mon cul, je me pâme, je suis bien je suis aux anges.

Une mini pause. Le gland quémande l’entrée, ça ne rentre pas du premier coup, mais au second c’est bon. Et voilà, pour la deuxième fois de ma vie je me fais enculer. Arthur vient devant moi et me propose de nouveau sa bite à sucer. Une bite dans la bouche, une bite dans le cul. Je deviens une vraie salope !

Ma bite est raide comme un bout de bois, mais pour l’instant c’est du cul que je vais jouir, David accélère ses va-et-vient.

– I’m going !

Il jouit en poussant un hurlement de bête fauve, et se retire me laissant le cul béant.

Je m’attends à ce que l’un des deux seniors prenne le relais. Mais non. Je fais signe à Arthur que je dois me reposer cinq minutes. Le type pas compliqué est allé se finir tout seul.

Je me reposerais plus tard car Maggy s’est avancée vers moi et m’a gobé la bite. Pendant ce temps-là Felicity suçait celle de son père, tandis que Bérangère passée derrière lui prodiguait une jolie feuille de rose.

On s’est calmé et on est passé à table, la conversation a du mal à sortir du champ des banalités. Mais voilà que Lord Arthur Harrigton, entreprend Bérangère.

– J’aurais peut-être une mission comme la fois précédente ! Lui dit-il, ça vous intéresse, my dear ?
– Il est comment ?
– Banal, la cinquantaine, rien de repoussant.
– Même tarif ?
– Yes.
– OK, vous me direz la date et l’heure !

Mais de quoi parlent-ils ?

– Je peux savoir ? demandais-je à Bérangère.
– Je vais aider Arthur à signer un contrat.
– Comment ça ? Tu ne couches pas avec le mec, quand même ?
– Ben si ! Tout le monde s’y retrouve, je suis moins chère qu’une escort de luxe et je me débrouille aussi bien.
– Autrement dit, tu fais la pute !
– On peut appeler ça comme ça, oui !

Quelle famille !

fin

Ce texte est plus ou moins inspiré de « Alison et Caroline, un hiver au paradis » par A. Huri, publié en 1998. J’en ai plus ou moins conservé la trame et vassilialisé les situations.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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