Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 2 – Les filles du Carrie’s bar par Nicolas
Solovionni
L’arrière-salle est toute petite, elle est meublée d’une banquette à trois places (en se serrant) et devant il y a juste une chaise. Je connais ce genre d’agencement réservé aux « coups rapides ». Souvent des simples branlettes bon marchés et la fille peut même satisfaire deux clients simultanément…
Dyane et moi, nous asseyons sur la banquette, Carrie prend la chaise. Le « bodyguard » nous a suivi et reste debout dans le coin.
– C’est confidentiel ! Fais-je remarquer en désignant la brute.
– Et alors, vous savez chuchoter, non ? Répond-elle en rapprochant sa chaise.
– Le gars s’appelle Dermoul.
– Ah !
Effectivement vu la tête qu’elle fait, elle connaît, maintenant pour la suite, ça va être une autre paire de manche.
– Bon, comme vous ne m’avez pas l’air trop con, vous avez deviné que je connaissais, vous auriez voulu quoi comme renseignements ? Attendez ne dites rien pour l’instant. Euh David, tu nous laisses
!
– On a appris…
– Chut ! Un instant, je vais mettre de la musique et vous allez parler doucement, je ne veux pas qu’on entende quoique ce soit.
En voilà des mystères !
– Allez -y
– Vous saviez qu’il avait été assassiné ?
– Oui !
– Je suppose que vous ne savez rien à ce sujet ?
– Vous me prenez pour une bille ! En revanche moi je voudrais bien savoir quelle piste vous a mené jusqu’ici ?
– Une fuite policière, disons.
– Je crois comprendre, mais je garde ça pour moi pour l’instant, bon je repose la question : vous auriez voulu quoi comme renseignements ?
– En fait j’aimerais savoir où il est allé avec son vaisseau ?
– J’en sais rien et je m’en fous complètement, voyez-vous ?
– Quelqu’un pourrait me renseigner à ce sujet ?
– Ses officiers, son équipage, je suppose ? Ça ne vous est pas venu à l’idée ?
– Sauf qu’ils sont tous repartis dans l’espace !
– En voilà une drôle d’histoire !
– Vous ne pouvez rien me dire d’autre au sujet de ce bonhomme ?
– Il logeait ici !
– C’est ce qu’on m’a dit ! Depuis longtemps ?
– Oh, à chacune de ses escales.
– C’est bizarre quand même, avec sa situation il pouvait se payer des hôtels de luxe et…
– Stop ! Vous ne saurez rien de plus !
Bon, ça bloque ! N’empêche que ma curiosité est réveillée. J’aimerais bien savoir. Mais comment amadouer la dame ?
– Bon, je ne vais pas insister. Vous savez que vous êtes très belle ?
– Oui, je ne suis pas encore trop abîmée, vous voulez monter ?
– Ma foi, pourquoi pas ?
– Et un trio ? Demande Dyane.
– Et une fois en chambre vous allez me maitriser ou essayer de m’amadouer et me poser des questions auxquelles je ne pourrais pas répondre. Si c’est ça votre petit plan, ce n’est même pas la
peine d’y penser. De toute façon duo ou trio, David sera derrière la porte.
Je vais donc laisser tomber. Je tente néanmoins une dernière tentative.
– Si je vous demande l’autorisation de visiter sa chambre, je suppose que vous allez refuser ?
– Vous rêvez ou quoi ? Ou alors revenez demain, je vous autoriserais peut-être à le faire !
– Et entre temps vous aurez fait le ménage ?
– C’est de bonne guerre, non ?
En fait Carrie est dubitative, elle ne nous connaît pas, l’hypothèse selon laquelle nous puissions revenir avec quelques gros bras afin de recueillir les renseignements qu’elle ne souhaite pas nous fournir, lui trotte dans la tête. Dans ce cas, elle ne pourrait compter sur personne, la mafia locale ne se décarcasserait pas forcément pour elle malgré les subsides qu’elle leur octroie.
Alors que faire ? Lâcher le morceau ? Elle ne le fera qu’en dernière extrémité, sinon gagner du temps, nous tester… C’est ce qu’elle fait.
– Allez, montez, vous ne serez pas déçues.
Pourquoi cette sollicitation, elle a vraiment besoin de sous ou quoi ?
Le souci c’est que je ne suis plus très motivé, non pas que la dame ne soit pas attirante, bien au contraire, mais sa réaction m’a quelque peu refroidi.
– Merci, je crois qu’on va en restez là…
– Réfléchissez, non seulement je suis un bon coup, mais cela nous apprendra peut-être à nous connaitre…
C’est sans doute cette dernière phrase qui m’a décidé.
– Bon je vais me laisser tenter ! Admettais-je un poil hypocritement. Toi aussi Dyane ?
Et je fais une mimique en sa direction voulant signifier qu’effectivement j’aimerais beaucoup qu’elle participe. Mais je n’ai pas eu à la forcer, madame était d’ores et déjà partante.
Une fois en chambre, Carrie se déshabille à la vitesse de l’éclair ! Putain qu’elle est belle, pas la première jeunesse mais l’éclat de la maturité.
– Alors, ça vous plaît, il n’y pas grand-chose à jeter, n’est-ce pas ? Bon, si vous voulez des choses spéciales faut me le dire, mais d’abord les sous.
Je lui vire ce qu’il faut sur sa carte.
– Monsieur est généreux ! Je vous écoute, j’ai beaucoup de choses dans mon catalogue : domination, godes, pipi…
– Godes, pipi… oui je veux bien.
– Et toi ? Demande-t-elle à Dyane.
– Je te boufferais volontiers la chatte.
– Alors on va faire tout ça, ne restez pas habillés, vous allez attraper un coup de chaud.
Nous voilà nus tous les trois, Carrie récupère un gode dans sa petite armoirette.
– Ça va celui, là ? Sinon, j’ai plus petit… ou plus gros.
– Non, il est très bien !
– Alors suce-le ?
Ça m’a toujours étonné, ces femmes qui prennent un malin plaisir à voir des hommes sucer des godes ! Cela dit, ça ne me dérange pas ! Je suce le machin en mimant une fellation.
Pendant ce temps-là, Dyne s’est enhardie et caresse les jolis seins de Carrie avec passion.
– T’as vu ton copain, comme il suce bien le gode, à mon avis il doit aussi sucer des bites.
– Peut-être, peut-être !
– Ah, tu ne veux pas me répondre, dis-moi capitaine, tu peux me le dire à moi : Est-ce que tu suces des bites ?
– Mais certainement ma chère !
– Un peu pédé, alors ?
– Non, je ne sais pas trop ce que je suis, j’adore les femmes, mais j’aime bien les bites aussi !
– Rassure-toi tu n’es pas tout seul !
Comme si j’avais besoin d’être rassuré, passons !
– Bon on va faire comme ça, je m’allonge, Dyane tu viens me lécher le minou, et toi capitaine tu te mets à califourchon sur moi, de façon à ce que j’ai accès à ton cul de pédé.
La mise en place n’est pas si compliquée que ça, et la jolie pute rousse m’introduit le gode dans mon orifice anal, le fait vibrer puis bouger, tandis que Dyane a commencé à la brouter.
Bon, ce n’est pas parce que je lui a confié que j’aimais bien les godes, qu’on ne va faire que ça, d’autant que je l’ai rétribué généreusement.
Mais non, je m’inquiète pour rien, Carrie est une grande professionnelle. Elle est bientôt atteinte de soubresauts. Si elle simule, elle le fait avec un talent fou, elle crie sa jouissance à moins qu’elle ne l’imite, allez savoir ?
– Tu veux me prendre de quelle façon, me demande-t-elle.
– Viens sur moi ! Mais j’aurais aimé un peu de pipi avant…
– Mais c’est prévu, je n’ai pas oublié, et toi ma grande, ma pisse t’intéresse aussi ?
– Mais bien sûr !
Carrie étale une grande serviette super absorbante sur le sol.
– Etendez-vous, l’un contre l’autre. Je fais ça sur le corps ou vous voulez en boire ?
– On a soif ! Répond Dyane.
– Alors c’est parti !
J’ai l’honneur et l’avantage de recueillir le premier jet, j’avale ce que je peux de ce délicieux breuvage, Carrie effectue un petit mouvement de jambe et c’est Dyane qui a droit à la suite.
Un plaisir divin !
Je vais pour me lever, mais Carrie me fait signe de ne pas bouger et viens me sucer ma bite bandée comme un arc. Quelle suceuse mes amis, quelle suceuse !
– Ne bouge pas, Dyane, je m’occupe de toi tout de suite après.
Je ne vais plus tenir bien longtemps et la belle rousse le sait bien puisqu’une goutte de pré-jouissance vient de perler au bout de mon gland. Elle abandonne sa fellation et s’apprête à s’empaler sur moi.
– Je t’offre mon anus ! Je ne fais pas ça avec tout le monde, mais puisque tu m’a bien payé…
Je suis aux anges, ma bite coulisse dans son cul, Carrie monte et descend, elle s’efforce de ne pas forcer la cadence afin que je ne jouisse pas trop vite et de mon côté je tente de me retenir. Mais au bout d’un moment je ne peux plus me contrôler, et je décharge sans un souffle.
Elle me laisse et pratiquement dans la foulée, elle vient lécher l’abricot de Dyane. Sa langue agile et diabolique a alors tôt fait de l’envoyer au ciel.
Après le plaisir dans l’effort, en principe on souffle un peu, genre pause cigarette, sauf qu’ici on est en mode tarifé et que les choses se passent souvent différemment.
Carrie se lève
– Ça va, les cosmonautes, vous ne regrettez pas votre argent ?
Le genre de phrase juste pour lancer une éventuelle conversation.
Je la sens hésitante, elle a envie de parler, mais n’ose pas le faire la première. Je ne tombe pas dans le piège, si elle a envie de parler qu’elle le fasse, mais je ne lui tendrais aucune perche. Ce n’est pas de cette façon que l’on gagnera sa confiance.
– C’était bien, on reviendra ! Répondis-je simplement.
– Toi aussi ? Demande-t-elle à Dyane !
– Oui, moi aussi !
– C’est avec plaisir que je vous aurais renseigné, mais quand on ne peut pas, on ne peut pas, vous comprenez ?
– Je comprends parfaitement, mais est-ce que la situation peut évoluer ?
– Je n’en sais rien.
En fait, elle n’est pas rassurée, la fifille, elle me demande à quel hôtel je suis descendu, je lui répond que je me suis acheté un appart et lui donne l’adresse, elle aurait pu la trouver facilement de toutes façons.
A ce stade, je ne voyais pas très bien comment faire évoluer la situation, la seule piste étant bloquée. Pas grave, je trouverais bien une autre occupation…
Nous avons pris congé, puis je quittais Dyane et gagnais mon bel appart tout neuf.
Quelle idée d’avoir acheté un truc aussi grand, il va falloir que je me farcisse le ménage, que je fasse le lit… peut-être qu’en embauchant une bonne… Une bonne un peu coquine, tant qu’à faire…
Mais voilà qu’on sonne !
Je regarde par le visioscope. Non ce n’est pas un tueur sanguinaire, mais c’est malgré tout une surprise, parce que la personne derrière ma porte c’est la serveuse aux cheveux gris du Carrie’s bar !
Bizarre !
J’ouvre.
– Vous me reconnaissez ? Me demande-t-elle.
– Oui.
– Je m’appelle Marcia, j’ai été longtemps la compagne de Dermoul. Ça vous intéresse ?
– Bien sûr, asseyez-vous ?
Evidemment que ça m’intéresse, mais son arrivée inopinée est un mystère. Elle n’a pas entendu la conversation que Dyane et moi avons eu avec Carrie, c’est donc probablement cette dernière qui me l’a envoyé, mais pourquoi ?
Je temporise, me lève, lui prose à boire… Elle décline. C’est vrai que proposer à boire à une serveuse de bar, c’est un peu con.
Je la détaille, elle a dû être splendide au temps de sa jeunesse et elle a comme on dit de beaux restes. Le visage est doux, les yeux pétillants de malice. Les formes de son corps ne font pas du tout « mémère ». Quel âge peut-elle avoir ? Au moins 60 ans ! Les crèmes de rajeunissement et les instituts d’esthétique font des miracles, mais pas complètement et pourquoi arborer des cheveux gris ?
– Je suppose que c’est Carrie qui vous envoie ?
– Peu importe ! Vous vouliez quelques renseignements sur Dernoul, je vous les apporte.
– Voilà qui est surprenant, mais je vous écoute.
– J’y mets une condition.
– Je vous écoute toujours.
– Seriez-vous prêt à le venger ?
– On ne venge que les gens qu’on a aimé, je ne connaissais pas Dernoul, à vrai dire je n’en avais jamais entendu parler.
– Soit, mais on peut aussi demander à un tiers de s’occuper de cette vengeance même s’il n’est pas concerné directement.
– Vous allez me proposer de l’argent ? Ça ne m’intéresse pas, je viens de faire fortune, je peux vivre comme un nabab jusqu’à la fin de mes jours.
– Je ne vous propose pas d’argent, d’ailleurs je n’en ai pas beaucoup, je ne suis qu’une vieille pute. Au Carrie’s bar, ce n’est pas avec moi que les hommes montent le plus.
Elle va me proposer quoi sexy-mamy ?
– Bon chère madame, on ne va pas tourner autour du pot, vous me proposeriez quoi ?
– La copie du journal de bord du vaisseau de Dernoul.
Oups !
Y’a un piège ou quoi ? La Mamie est en train de m’apporter ce que je cherche. Mais la contrepartie est super dangereuse, les mecs qui s’en sont pris à Dernoul ne lui ont pas fait de cadeau et ont dû tellement foutre la trouille à ses compagnons qu’ils se sont envolés on ne sait où !
– Vous savez quelque chose sur les assassins de votre… votre… Vous étiez très lié avec Dernoul si je comprends bien ? Demandais-je.
– Dernoul a été mon client puis mon amant pendant une quinzaine d’années. Je me suis lassé de lui, je veux dire que je me suis lassé de lui comme amant, mais j’ai toujours conservé son amitié.
Quand nous avons rompu, il en a souffert mais l’a accepté. Il m’a simplement demandé come faveur de pouvoir me côtoyer pendant ses escales. Nous avons des chambres inoccupées, Carrie a accepté de
lui en louer une. On se croisait, souvent on prenait nos repas ensemble, j’ai accepté de rares fois de baiser avec lui parce que ça lui manquait, il était malheureux.
Et la voilà qui chiale comme une madeleine.
Je la console, lui passe de quoi sécher ses larmes. Elle me regarde avec des yeux de chien battu. Je lui passe la main sur l’épaule. Nos visages sont maintenant très proches l’un de l’autre. Elle s’efforce de me sourire.
– Pardonnez-moi… Balbutie-t-elle
– Mais non, c’est normal.
– Vous acceptez ?
– Oui !
Mais qu’est-ce qui m’a pris de répondre « oui » ? Remarquez je pourrais toujours me rétracter, mais je ne le fais pas, je préfère nuancer.
– J’accepte mais je ne vous promets pas de réussir.
– Merci, merci.
Elle m’embrasse, je me laisse faire, j’ai soudain envie d’elle.
– Vous êtes très belle !
– On se calme !
– Tous les âges ont leur beauté.
– Si vous voulez de moi, je n’ai rien contre.
Je lui pelote les seins à travers son haut.
– Vous voulez que je me défasse ? Ils ne sont pas très gros, mais il paraît qu’ils ont leur charme.
Effectivement, ils sont fort modestes, mais elle a de très gros tétons, ceci compense cela.
– Je peux les sucer !
– Vous pouvez même les mordiller, je ne suis pas contre le fait qu’on me fasse des petites misères.
– Vous aimez quoi comme misères ?
– Les fessées, les pinces sur les seins, je suis une maso très light ! Je veux bien que vous vous amusiez avec moi mais bon…
– Je n’ai rien d’une brute !
– Pincez-moi donc, j’en ai envie.
Je lui pinces ses gros bouts de seins avec les doigts et je serre.
– Oui, comme ça, tordez-les, plus fort, n’ayez pas peur de me faire mal, si je ne supporte pas je vous le dirais.
Je tords, je tire, je pince, Marcia en soupire d’aise, je suis jaloux, moi aussi j’aime bien qu’on me les pince, mais je n’ose lui demander, il est évident qu’elle a surtout envie que l’on s’occupe d’elle.
J’en attrape mal au doigt à force de lui triturer les tétons.
– Une petite fessée, ça vous dirait ?
– On va essayer, ça dépend de la façon dont vous allez vous débrouiller.
Cette fois la mamie est complètement à poil, je lui demande se coucher sur mes cuisses.
– Ce serait aussi bien si vous retiriez, vous aussi vos vêtements ! Ce serait plus fun !
Elle a bien raison, sexy-mamie ! Me voilà donc à poil et le fait que je bande semble ravir la dame.
Je m’assois, elle vient d’allonger sur mes cuisses, on peut commencer. Je ne sais pas trop avec quelle force je dois taper, je commence donc par y aller doucement.
– Plus fort voyons, capitaine !
– Comme ça ?
– Même un tout petit peu plus fort. J’ai envie d’avoir le cul tout rouge.
Alors je fesse, je fesse et je fesse encore, et son vieux derrière ne tarde pas à devenir cramoisi. Et contre toute attente, cela finit par m’exciter grave, je n’ai pourtant pas de tendance sadique ou dominatrice, allez y comprendre quelque chose, vous ! Mais l’inconvénient collatéral c’est que je commence avoir mal aux mains.
– On va peut-être arrêter…
– Prends ta ceinture.
– Hein ?
Elle m’avais dit qu’elle était maso « light », et maintenant elle veut des coups de ceinturon !
– Un peu, juste cinq minutes, tu n’es pas obligé de taper comme un dingue. Mais ça va me faire un bien fou !
– Ça va leur faire drôle à tes clients quand il vont voir ton cul !
– T’occupe pas de ça !
Elle a raison, ce ne sont pas mes oignons !
Je la fouette comme demandé, elle crie, elle gueule, mais à chaque fois elle me demande de continuer.
– Stop ! J’en ai eu assez, il est comment mon cul ?
– Il a souffert !
– Et mon anus, il est comment ?
– Ben…
Elle joue à quoi, là ?
Je lui écarte les fesses, dévoilant un bel œillet brun et plissé. Un trou du cul, quoi ! Un joli trou du cul.
– Il est charmant !
– Alors goutez-le ! J’adore le contact d’un langue sur mon anus.
Voilà qui ne me pose aucun problème, je lèche avec gourmandise le troufignon de la dame qui s’en pâme d’aise. Je n’aime pas trop quand un trou du cul sent la savonnette, mais celui-ci diffuse un petit gout très légèrement épicé que j’apprécie. Tournicoti, tournicoton, et langue pointue… J’adore vous-dis-je
– Je peux glisser un doigt ? Demandais-je
– Glissez si vous voulez, mais tant qu’à faire j’aimerai autant votre bite !
– Avec plaisir !
Nous nous dégageons de notre position panpan cucul.
– Je vais vous sucer un peu avant, vous l’avez bien mérité ! Me dit-elle en s’emparant de ma queue.
On sent la pro ! Combien de kilomètres de bite cette nana s’est-elle envoyé ? Je ne sais pas pourquoi je pense à ça, d’ailleurs. N’empêche que sa langue est diabolique. Toute la gamme y passe, titillent du gland, balayage de la verge, mis en bouche totale, pompage et même gobage des roupettes.
Ses mains ne restent pas inactives, elle me tortille les tétons afin de s’assurer que ma bite bande au maximum, elle voit que j’aime ça, elle pince, elle tire… Quel bonheur ! Mais voici que ses mains changent d’endroit et viennent me peloter les fesses, je sens son doigt s’approcher stratégiquement de mon trou du cul. Mais ça ne va pas plus loin! Mais qu’est-ce qu’elle attend pour me foutre un doigt ?
Ah, ça y est !
– Tu aimes ? Me demande-t-elle.
Vous remarquerez que le fait de m’introduire un doigt dans le cul a mis fin à notre vouvoiement un peu incongru !
– J’adore !
– Tous les hommes aiment ça ! Mais il n’y en a pas beaucoup qui l’avouent.
– Hé ! Hé !
– Et les godes tu aimes ?
– Oui !
– Si tu savais le nombre de mecs que j’ai godé, soi-disant pour la première fois ! T’as pas un gode ici ?
– Ah, non, il va falloir que j’en achète un.
Et sur ces bonne paroles, Marcia se met en levrette. Inutile qu’elle me dise ce que je dois faire, elle écarte les jambes, relève son croupion m’offrant le spectacle sublime de tous ses trésors.
J’approche mon vit bandé au maximum et j’encule la dame. Tagada, tagada, je pilonne en cadence. Assez vite Marcia se met à pousser des petits cris de plaisirs tandis que son corps commence à ruisseler de sueur. Ces gémissements se rapprochent et deviennent de plus en plus rauquent. Elle est sur le point de jouir. J’accélère autant que je peux, et tandis qu’elle gueule son plaisir, je ne tarde pas à la rejoindre inondant ses entrailles de mon foutre.
Je me retire. Marcia est restée en levrette, elle souffle comme un bœuf et m’offre le spectacle charmant de son anus rejetant mon sperme.
On s’est ensuite embrassé, très tendrement.
– Vous l’avez sur vous le livre de bord ?
– Oui ! Il est sur mon spacephone, je vous le transfère ! Faites-en bon usage.
– Tout est dedans, ou vous avez quelque chose à ajouter ?
– Je n’ai pas lu. Dernoul craignait pour sa vie en rentrant de son voyage, il ne m’a pas donné de précisions. Dans certaines circonstances moins on en sait mieux on se porte, il m’a simplement
demandé de remettre la copie de son livre de bord aux autorités s’il lui arrivait quelque chose. Mais voyez-vous, je n’ai aucune confiance dans les autorités.
– Et vous ne m’auriez pas trouvé, vous l’auriez remis à qui ?
– Je n’ai pas eu le temps d’y réfléchir, vous êtes arrivé à pic !
– Pourtant Carrie semblait réticente…
– Tss ! Tss ! Laissez Carrie tranquille. Et moi je vais vous laissez. Soyez prudent, si vous voulez venger Dernoul il faut mieux rester en vie !
A suivre
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