Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:34

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 17 – Mission spéciale pour Gundula par Nicolas Solovionni
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Laburo descendit d’un vaisseau une semaine plus tard. Il est immédiatement repéré par Dilos qui le suit, il m’en informe et prévient Gundula de se tenir prête.

L’homme tente de contacter le docteur Levkovich et devant le manque de réaction du spacephone, il lui envoie un message sibyllin.

Il patiente une bonne heure dans un bistrot en piaffant d’impatience.

« Je fais quoi ? Il lui serait arrivé quelque chose ? Je vais essayer de savoir si le vaisseau qui l’a transporté est rentré. »

Il quitte le rade et va pour retourner au cosmodrome. L’éventualité de cette situation ayant été prévue, Dilos rattrape le bonhomme.

– Monsieur Laburo ?
– Mais comment…
– Le docteur Levkovich est souffrant, il a eu votre message, il vous attend dans sa clinique, soyez prudent.
– Mais…
– Soyez très prudent ! Répète Dilos avant de s’éloigner et de se cacher, prêt à reprendre la filature.

Laburo est dubitatif.

« Un piège ? Mais je ne vois pas comment ? A priori, personne ne connait mes liens avec Levkovich. Il a dû se passer quelque chose, prudence, prudence… »

Alors, il y va. Son désintégrateur à portée de main.

– Allo Gundula, il sera là dans cinq minutes, tiens-toi prête.

Gundula qui s’était rendue introuvable pour ne pas risquer d’être dérangée se tient maintenant près de la porte d’entrée de la clinique.

– On nous envoie un type malade, probablement empoisonné, je vais immédiatement le prendre en charge ! Explique-t-elle à sa collègue de l’accueil.
– Je ne suis pas au courant…
– Ben maintenant tu l’es !

Et voici Laburo…

– Euh, bonjour…
– Je suis au courant venez avec moi ! Lui dit Gundula.

Au détour du couloir, Gundula le pique avec une seringue de propofol pour l’envoyer dans les vapes, une seconde injection lui envoie de l’acetylamino-testiculophosphate, un poison lent qui nécessite un antidote si on ne veut pas que sujet clapote.

– Quelqu’un pourrait venir m’aider ? Crie-t-elle après lui avoir subtilisé les papiers de l’homme et les remplacer par une fausse carte au nom de Lexro.
– Qu’est ce qui se passe ?
– J’en sais rien, il est entré et il s’est écroulé.
– On va le mettre au lit ! Ensuite on lui fera passer un scanner et on fera des analyses…

On diagnostiqua évidement un empoisonnement, le traitement durerait plusieurs jours, et Gundula se débrouilla pour que ce soit elle qui s’en occupe.

Le soir toute la petite bande se réunissait chez moi. Gundula toute fière, nous raconta tout ça :

– Bravo ! T’as été formidable ! La complimentais-je
– J’espère que ça ne va pas me retomber sur le dos !
– Non, il reste juste une chose à faire, demain je passerais à la clinique.

J’ai demandé à voir Monsieur Lexro, on m’a répondu que ce patient paraissait très abattu et qu’il ne fallait pas que je reste longtemps. Une fois dans sa chambre, et après avoir pris soin de refermer la porte, Gundula l’a hypnotisé en ma présence.

– C’est quoi ton rôle dans l’organisation des amis des précurseurs.
– On dit « Les témoins des précurseurs »
– C’est ce que je voulais dire.
– Je suis un initié de classe B et je supervise les informations provenant de la zone V5A.

La zone en question est un petit secteur du bras galactique exploré par les terriens, il comprend Vargala et quelques autres planètes gravitant autour d’étoiles plus ou moins chaudes.

– Et tu supervises de quelle façon ?
– Je m’assure que chaque planète possède un superviseur de classe C et j’ai la charge de m’informer de leurs investigations.
– Que contenait le message que vous a envoyé Levkovich ?
– Les coordonnées de la planète où il désirait se rendre suite à une présomption de vestiges précurseurs et les conditions de la découverte de ces vestiges.
– C’est tout ?
– Le matricule du vaisseau de transport, la date du départ.
– Vos supérieurs ont-ils été informés de tout ça ?
– Non !
– Et pourquoi ?
– On ne dérange pas les initiées de la classe A avec des rumeurs, on attend d’avoir une vue complète des choses pour leur transmettre des informations.
– Levkovich a-t-il informé d’autres personnes de ses intentions ?
– Il n’en avait pas le droit.
– Que comptez-vous faire à présent ?
– Retrouver Levkovich.
– Et si vous ne retrouvez pas ?
– Je me rendrais sur la planète dont il faisait état.
– O.K., maintenant faites un gros dodo, vous ne m’avez jamais rencontré, bien évidemment…

En sortant de sa chambre, nous sommes tombés sur le Docteur Zolier.

– Il va mieux ? Demande-t-il
– Il ne va pas pire ! Répond Gundula.
– Vous le connaissez ce type ? Me demande le toubib. Impossible de lui remplir sa fiche, sa carte est fausse et il reste muet comme une carpe.
– Oui bien sûr je vais vous donner tous les renseignements nécessaires. Dis-je en donnant un coup de coude à Gundula.
– Venez dans mon bureau, non pas vous Gundula, je vous laisse à votre travail.
– Oh, mais ce n’est pas possible j’ai encore une poussière dans l’œil.
– Vous le faites exprès, vous, faites voir.

Quelques instants plus tard le docteur Zolier remplissait une fiche d’admission en bonne et due forme au nom de Théophraste Lexro, artiste peintre.

Le soir Gundula me retrouvait.

– On fait quoi maintenant ? Me demande-t-elle.
– Si on le lâche dans la nature et s’il n’est pas trop con, il va se rendre compte que mon vaisseau a atterri, donc il va chercher à me rencontrer.
– Et alors ?
– Et alors : j’aimerais mieux pas…
– Il le fera peut-être pas ? Il peut très bien chercher un vaisseau pour se faire prendre comme passager.
– Et comme il y a toutes les chances que personne ne réponde à son appel d’offre, il va aller démarcher tous les capitaines en stand-by… et tomber sur notre vaisseau.
– Aïe !
– Comme tu dis.
– Il reste quoi comme solution ?
– Si tu diminues de moitié la dose de l’antidote, il en a pour combien de temps ?
– T’es pas en train de me proposer de le tuer, j’espère ? S’inquiète Gundula
– Pas le tuer ! Juste le laisser mourir.
– Ça revient au même ! Je ne peux pas faire ça ?
– Ecoute-moi, si ce mec sort de la clinique, il va nous rechercher, il nous extorquera les renseignements qu’il cherche par n’importe quel moyens : du fric, des tortures, du chantage… et une fois qu’il sera renseigné, il ne nous laissera pas en vie.
– Tu sais te défendre, non ?
– Moi, oui, mais toi peut-être pas, ni les filles qu’on a embarquées… Et puis admettons que je le tue, la mafia ici ne tolère que les crimes qu’elle commandite, les gens coupables de meurtre sont éliminés à leur tour.
– Tu me fais froid dans le dos !
– Tu veux que je te réchauffe ?
– Andouille !
– Alors d’accord ?
– Puisqu’on ne peut pas faire autrement ! Mais je ne vais pas en dormir de la nuit.
– Je sais ! Parfois on fait des choses qui ne sont pas toujours très jolies, j’ai bien laissé Kinsky se faire assassiner.
– Oui, bon, j’ai dit que j’étais d’accord… S’énerve-t-elle.
– Et donc combien de temps ?
– Il va durer deux jours, peut-être moins.

Laburo est mort au bout de deux jours, il avait la peau dure; j’ai pris en charge le corps et l’ai fait incinérer.

Gundula a mal vécu cet épisode, elle m’a fait la tronche et s’est éloignée de moi. J’ai demandé des nouvelles, elle m’a répondu assez sèchement qu’elle s’amuse très bien avec Tallulah. Tant mieux pour elles.

Je me sens un peu dans le mou. J’ai proposé à Nerren de passer à la maison, afin de boire un coup… et plus si les circonstances s’y prêtent…

Une heure avant qu’il arrive, je reçois un message de Gundula, qui me demande si elle peut passer en compagnie de Tallulah. Voilà qui contrarie mes plans, mais je n’ai pas envie de me défiler, cela ne simplifierait pas nos rapports.

Je crois comprendre le but de sa visite, il me parait évident qu’elle souhaite se rabibocher. Quant à Tallulah elle est là pour faire tampon et éviter que l’on s’engueule. Classique !

Alors est-ce que je vais dire à Nerren de reporter. Non !

Les deux filles arrivent. Bisous, bisous.

– J’ai été un peu vache avec toi ! Commence Gundula.
– Je ne t’ai pas demandé une chose facile !
– Je t’en ai voulu de m’avoir fait faire ça, mais maintenant avec un peu de recul, je me dis que je ne peux pas te donner tort !
– Alors tout va bien ! Bisous ?

C’est ce qui s’appelle un désamorçage de crise express !

Gundula me fait un bisou qui se transforme vite en patin et en profite pour me toucher la braguette. Ah, bon ? Ça devait faire partie du plan de réconciliation !

– Vous n’êtes plus fâchés, alors ? Demande Tallulah en me tripotant les tétons à travers ma chemise.

Bon comment vais-je pouvoir résister à ces deux nymphomanes ? D’ailleurs ais-je vraiment envie de résister ? Sauf qu’il y a un élément qu’elles ignorent…

– Euh, les filles, vous faites ce que vous voulez, mais je dois quand même vous prévenir que Nerren devrait arriver d’un moment à l’autre.
– Ah ? Vous vouliez faire des choses entre garçons ? Demande Gundula.
– Je lui ai dit de passer pour boire un coup…
– On dit ça, on dit ça… On ne peut pas rester alors ?
– Mais bien sûr que si !
– Si vous vous faites des trucs, on pourra regarder ? Reprend Gundula.

La conversation n’est pas trop facile, ces deux coquines s’évertuant à mettre leur petites mains partout !

– Bon les filles, on va peut-être l’attendre, on fera des bêtises après !
– On ne fait pas des bêtises, on fait des caresses.

On sonne ! Je vérifie dans le vidéophone la tronche du visiteur, n’ayant pas envie d’ouvrir au grand méchant loup ! Mais c’est évidemment Nerren.

– Bonjour tout le monde !

Bisous, bisous une fois de plus, il est un peu surpris de voir les filles, mais que voudriez-vous qu’il fasse, il ne va quand même pas se sauver en courant.

Je sers à boire. Watchibole pour tout le monde ! On trinque, on boit.

– Ma copine aimerait bien vous voir faire du sexe tous les deux ! Déclare Gundula sans autre préambule.

Décidemment elle devient de plus en plus délurée la petite infirmière !

– Qu’est-ce que tu en penses, Ajas ? Me demande Nerren.
– Ben…
– On ne peut pas refuser une telle chose à une si belle femme ! Ajoute-il.

S’il s’y met aussi, je n’ai plus qu’à m’incliner (au sens figuré, du moins pour l’instant)

– Alors dégage-moi ta bite que je te la suce ! Répondis-je.

Il le fait et sort de sa braguette une bite demi-molle que je m’apprête déjà à mettre en bouche.

– Pas comme ça les garçons, pas comme ça ! Intervient Tallulah.
– Ben quoi ?
– Vous croyez que c’est esthétique ? Mettez-vous plutôt à poil ce sera plus sympa.

« Ce que femme veut ne saurait nuire à la queue ! » disait Confuquisus

On se dessape donc. Mais j’interpelle les filles !

– Dites donc vous pourriez vous déshabillez aussi, ça aussi ce sera sympa.
– On ne va pas tarder à le faire ! Répond Gundula. N’est-ce pas Tallulah ?
– Mais bien sûr ma chérie.

On peut donc passer aux travaux pratiques. La bite de Nerren, je la connais par cœur, mais c’est un plaisir toujours renouvelé de sucer cette bonne bite. Ce gros coquin, a pris la précaution de ne pas prendre de douche avant de venir, j’ai horreur des bites qui sentent la savonnette. Là elle a un petit goût musquée, juste ce qu’il faut !

– T’aimes ça la bite, hein gros cochon ! M’apostrophe Tallulah.

Ben oui, j’aime ça, mais je ne vais pas répondre, j’ai la bouche pleine. Et pour l’instant je me régale, je lèche, je pourlèche, je suce. Ma langue voltige et se faufile partout, le gland, la hampe et les bourses.

Stoffer317– Tu suces trop bien ! Me complimente Nerren.
– Humpf, humpf !

Ben oui, en principe ce qu’on aime faire, on le fait bien !

– Il va t’enculer, maintenant ? Demande Tallulah.
– Bonne idée ! Répondis-je sans ambages

Je me mets en position, Nerren vient me lécher la rondelle, il adore ça et moi aussi. Puis au bout de quelques instants je sens son gland quémander l’entrée de mon trou intime, Une petite poussée et ça entre. Il n’a plus qu’à faire pistonner son chibre tandis que je me pâme déjà de plaisir.

Les deux coquines se déshabillent comme des sauvages en profitant du spectacle… et ça se pelote, ça se caresse, ça se bécote. De vraie furies.

Au bout d’environ dix minutes, je dis environ parce qu’il est toujours difficile d’évaluer le temps en de telles circonstances, Nerren prend son pied et jute son foutre dans mon conduit anal. Il se retire, et la folie sexuelle atteint alors son paroxysme, Gundula vient lui nettoyer la bite, tandis que Tallulah vient lécher le sperme qui s’évacue de mon anus.

Puis les deux femmes s’embrassent comme des goulues en se tripotant partout et finissent par atterrir ensemble sur le canapé où elles entament un soixante-neuf frénétique.

Et moi ? Je n’ai pas joui. Nerren me propose sa main gentiment, mais j’ai préféré temporiser.

Quand les deux femmes eurent terminées leur petites affaires, j’ai fait un petit signe à Gundula, qui comprit le message et c’est dans sa bouche que j’ai libéré ma jouissance.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:32

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 16 – Retour au Carrie’s bar par Nicolas Solovionni
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Le voyage spatial s’est poursuivi sans incident notable. Avant l’atterrissage, j’ai expliqué aux filles que je possédais un cabaret mais que je ne pouvais pas y embaucher onze filles, j’en ai embauché trois, dont Valencia, j’en ai recommandé quatre autres auprès des gérantes de la Maison Parme et du Vagin d’Or; des bordels réputés pour leur bonne tenue, les autres se sont dispersées à droite et à gauche dans des établissements que je leur ai recommandés où elles pourraient exercer soit comme simples serveuses, soit comme entraineuses. Quant à Hofjom, il n’a aucun point de chute, je lui ai conseillé d’essayer de se trouver une activité et lui ai promis de l’aider s’il le fallait.

J’ai donc pas mal de choses à faire, j’accompagne les trois nanas que j’ai embauché à ma boite « le Diable rose » et les présente à Riquita, la belle transsexuelle, maintenant régisseuse des lieux.

– Bonjours Mesdames, bienvenue parmi nous !
– Bon, les filles, comme je vous l’ai dit, les clients ici viennent surtout pour chercher des contacts avec les transsexuelles, donc ne vous attendez pas à gagner le gros lot, mais je pense que vous arriverez à faire votre trou. Sinon en mon absence des choses particulières, Riquita ?
– Non ça roule plutôt bien ! Quelques bricoles mais rien d’important…
– O.K. Là j’ai un truc à faire, je reviendrais plus tard, je te laisse avec ces dames, je compte sur toi pour qu’elles soient bien intégrées à l’équipe.
– Et quand tu reviendras on pourra faire un petit extra.
– T’es une cochonne Riquita !

Et maintenant direction le Carrie’s bar. Petite anxiété, on ne sait jamais ce qui peut arriver pendant une longue absence.

Pas grand monde, un type est attablé et semble attendre quelqu’un. Marcia est derrière son bar.

– Quelle surprise, je vous croyais disparu ! M’apostrophe-t-elle.
– Eh non ! Carrie n’est pas là ?
– Elle est occupée !
– J’ai retrouvé l’assassin de Dernoul, son corps flotte maintenant dans l’espace et il n’est pas près de s’arrêter d’y flotter.
– Ouf ! Voilà qui m’enlève un poids. Je devrais sauter de joie, mais même pas, c’est ma fille qui va être contente, elle avait toujours une petite appréhension …
– Votre fille ?
– Oui, Carrie, c’est ma fille !
– Je l’ignorais…
– Eh bien désormais vous le saurez. En tous cas, je tiens à vous remercier, je suppose que ça n’a pas été facile ?
– Pourquoi dites-vous ça ?
– Tout ce temps.
– C’est une longue histoire.
– Je n’en doute pas.
– Je vais vous montrer le petit film que j’ai fait qui montre l’éjection de l’assassin dans l’espace.
– Laissez-ça capitaine, je vous fait entièrement confiance, je voudrais vous dire… Non laissez tomber, je dois être folle, on va attendre Carrie.
– Je ne pense pas que vous soyez folle, vous m’avez demandé un service, j’ai accepté de vous le rendre, alors soyez gentille, ne me cachez rien.
– Vous referiez l’amour avec moi ?
– Sans hésiter !
– Maintenant ?
– Si vous voulez !
– On attend que Carrie descende et on y va.

Des pas dans l’escalier… C’est Carrie qui descend précédée de son client. Ils se font un bisou d’aurevoir avant que la belle rousse s’aperçoive de ma présence.

– Tiens donc ! Vous ici ! Vue la mine réjouie que nous fait Mamie, je suppose que les nouvelles sont bonnes ?
– Oui…

Je répète un peu ce que j’ai déjà dit à Marcia.

– Et ce gars-là, il était seul, il n’avait pas de complice ?
– Je ne crois pas il aurait eu des complices, les choses ne se seraient pas passées comme ça. Là, il a fait tout le boulot lui-même : envoyer un innocent au casse-pipe pour savoir d’où venait l’appel au restaurant, assassiner Dernoul en faisant croire à un crime rituel, venir cambrioler ici, puis se faire embarquer sur mon vaisseau…
– O.K.
– Je vais monter avec lui, ça me fera du bien ! J’ai envie de me détendre ! Lui indique Marcia.
– Moi aussi je me détendrais bien, après ces bonne nouvelles ! Intervient Carrie.
– Eh bien, viens avec nous quelques minutes ! Lui suggère sa mère.

Aucune objection

Voilà un trio qui s’annonce insolite. La fille et la mère ensemble ! Qui a entraîné l’autre dans l’exercice du plus vieux métier du monde ? Je ne l’ai jamais su et me suis bien gardé de poser la question, ce sont des choses qui ne me regarde pas… même si j’aurais bien voulu savoir.

Nous voilà en chambre, ces dames se déshabillent sans cérémonie, j’en fais donc de même, j’ignore si la séance est gratuite. Je sors ma carte de paiement.

Non, non, c’est la maison qui régale ! Me dit Marcia. Et ce n’est pas une passe, c’est une détente récréative !

J’aime bien le mot.

Marcia se pointe devant moi et m’attrape mes tétons pour ensuite me les tortiller et me les pincer. C’est qu’elle a de la mémoire la mamie ! Mais moi j’en ai aussi et c’est à mon tour de faire souffrir ses bouts de seins. Nos visages finissent par se rapprocher, on se roule un patin ! Elle est délicieuse la Mamie.

– Quand vous aurez fini de batifoler tous les deux, vous viendrez me rejoindre ! Nous dit Carrie en se couchant de tout son long sur le lit, les cuisses écartées.

Un peu compliquée cette situation, car je me demande qui est vraiment maître du jeu. Vous me direz qu’il n’est pas nécessaire qu’il y en ait un, mais parfois ça permet de savoir où l’on va !

– C’est mon copain, j’ai bien le droit de flirter un peu avec lui ! Répond Marcia.

Carrie ne répond pas, nous on se pelote quelques minutes, puis Marcia m’entraine vers le lit.

– T’a envie de te faire caresser ? Demande Marcia à sa fille.
– Ben oui, c’est bien pour ça que je suis montée, occupez-vous un peu de moi et après je vous laisserai tous les deux..
– Occupe-toi de ses seins, me dit Marcia, on va la faire monter au plafond.

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C’est qui « on » ? Et je réalise en voyant la langue de Marcia commencer à butiner la chatte de Carrie. Sur le coup ça fait drôle ! L’inceste reste encore un tabou tenace… Mais je m’en voudrais d’être bornée, la bonne question étant de se demander si en faisant cela Marcia et Carrie font du tort à quelqu’un. La réponse est tout de suite trouvée. Alors je laisse Marcia lécher sa fille et viens m’amuser des jolis tétons bruns de la belle Carrie.

Cette derrière ne reste pas inactive et sa main m’a attrapé la bite qu’elle branle avec une belle vigueur.

– On change ! Me dit Marcia au bout de quelques minutes.

Pourquoi pas ?

C’est donc mon tour de venir laper la chatte de la jolie rousse, je pensais que Marcia allait reprendre le travail sur ses seins, Mais non, celle-ci la chevauche au niveau du visage et lui donne son anus à lécher. Fantastique, ce n’est pas tous les jours que l’on voit une fille lécher le cul de sa mère. Ça fout vraiment la trique de voir ça !

– J’adore lécher le trou du cul de ma mère ! Commente sa fille.

J’avais compris ! Toujours est-il que la belle Carrie geint de plus en plus, et de plus en plus fort, ma langue s’enroule autour de son gros clitoris, le balaie, mes lèvres l’aspirent, et la voilà qui hurle comme une damnée. Elle jouit, je suis assez fière de moi.

– C’était bien, je vous laisse en amoureux ! Dit-elle en se relevant et en se rhabillant prestement.

Amoureux ? Faut peut-être pas exagérer, non plus ! Mais c’est vrai que j’ai énormément d’affection pour cette Mamie pute !

– Quelque chose t’as choqué ? Me demande Marcia, mais elle connait déjà ma réponse !
– Mais non, c’était très décontracté, très naturel, et puis très excitant aussi.
– Ça ne m’étonne pas, il suffit de voir ta bite ! Mets-toi donc en levrette, je vais te faire un petit truc qui va te plaire !

Je m’exécute de bonne grâce et tends mon cul à ses privautés.

C’est d’abord sa langue qui vient me chatouiller le petit trou. Elle fait preuve dans cet exercice d’une agilité phénoménale à ce point que je frétille d’aise. Le doigt, je devrais dire deux doigts, viennent ensuite faire quelques allers et retours bien appréciable. Puis comme je pressentais, la voici qui m’introduit un gode ! Elle ne me l’a pas préalablement montré, je ne sais donc ni comment il est, ni quelle est sa taille, mais ça me fait un bien fou.

Ça va, ça vient, je suis aux anges. J’aime tellement que l’on s’occupe du mon cul ! Elle retire le gode d’un coup sec me provoquant un spasme de plaisir, mais c’est pour le remettre aussitôt.et me le laisser,

– Maintenant retourne-toi, je veux que tu me baises.

La dernière fois je l’avais sodomisé. Aurais-je encore cette fois-ci droit à cette fantaisie que j’aime tant ? Peut-être pas, elle s’est allongée sur le dos. Je la pénètre d’abord doucement avant de m’agiter frénétiquement, n’en pouvant plus de toute cette excitation contenue.

– Dans mon cul ! Finit dans mon cul !

Je me retire tandis que Marcia lance ses jambes au ciel dégageant son anus, son charmant petit anus que sa fille à léché tout à l’heure devant mes yeux ébahis.

Le souvenir de cette scène ne contribue pas à me faire débander, vous vous en doutez bien, et c’est donc un membre tout raide qui vient l’enculer.

J’ai du mal à retarder mon plaisir, en fait j’attends que le sien monte. Et quand je la sens prête à partir je me lâche.

– Donne moi ton sperme ! Arrose-moi m’implore-t-elle

Nous avons joui pratiquement ensemble, mon foutre à giclé sur son visage et sur ses seins et nous nous sommes enlacés comme deux vieux amants.

Je ressors épuisé de cette petite séance, bien sûr toutes deux sont des professionnelles aguerries, mais avec Mamie Marcia, j’ai l’impression qu’il se passe quelque chose… Elle a une de ces façons de me regarder. Il ne faudrait pas qu’elle devienne amoureuse non plus.

La question de Carrie sur d’éventuels complices de Levkovich m’a interpelé. Je reste persuadé qu’il n’en avait pas. Mais le type faisait partie néanmoins d’une organisation, il avait donc un contact, quelqu’un à qui rendre des comptes.

Et ce quelqu’un j’en connais le nom, il se nomme Laburo. Alors essayons de voir comment ça a pu se passer.

Question préalable, Laburo était-il sur Vargala lorsque Levkovich a décidé de partir dans l’espace ? Facile à vérifier, en tant que capitaine j’ai accès à pas mal d’informations sur le trafic de l’astroport, mais je n’ai pas accès à celles ayant trait au trafic passagers. Qu’importe, je demande à Dyane d’aller chercher le renseignement auprès de la capitainerie. Ce ne sera pas gratuit, mais le gars de permanence lui donne tous les renseignements voulu contre une bonne pipe… même si parfois il en demande un peu plus.

Ce genre de chose amuse Dyane, ça ne l’excite pas, non ça l’amuse.

– C’est le mec des alcools, il vient tous les six mois, il est sympa, il m’apporte toujours une super bouteille. Précise, Rudy, le gars de la capitainerie en se reculottant.
– Les livraisons d’alcools ne se font que tous les six mois ?
– Non bien sûr, mais Monsieur Laburo se déplace personnellement tous les six mois environ.
– Mais, là, il est reparti…
– Oui !
– Ça vous ennuierait de me prévenir quand il va revenir ?
– Je ne peux pas vous promettre, je peux oublier et puis je ne suis pas toujours là, d’ailleurs faut que je prenne quelques vacances…

Bon je suppose donc que Levkovich a envoyé un message à ce Laburo pour le prévenir de son embarquement. Il n’y avait rien sur le spacephone qu’il a emporté sur le vaisseau, ce qui ne veut rien dire, un message ça s’efface… ou alors, il a fait ça sur un autre appareil qu’il a sans doute fait disparaître. Peu importe. en toute logique, Laburo après avoir reçu le message devrait rappliquer afin de de prendre connaissance du résultat de la mission du toubib.

Bon voyons, Laburo étant probablement toujours en vadrouille, le message a dû être envoyé à sa société qui ensuite lui a retransmis, donc six semaines environ pour recevoir le message, ensuite il faut qu’il se prépare et qu’il rapplique, on peut donc ajouter quatre autres semaines. Donc il ne devrait pas tarder, et on ne sera pas forcément prévenu.

Une fois qu’il aura atterri, il va tenter de joindre Levkovich, qui évidement ne lui répondra jamais plus. Il va donc enquêter. Or le toubib lui a probablement donné le nom de mon vaisseau. Il va donc soudoyer l’officier de permanence qui lui dira qu’on est revenu, et le type va essayer de me contacter.

Voilà une perspective qui me fait froid dans le dos. Il faut absolument que je trouve le moyen de prendre ce type de vitesse.

Que faire ? Je peux toujours envoyer mes collègues au cosmodrome guetter l’arrivée d’un éventuel cargo rempli de caisses d’alcool, mais ça ne me dit pas ce que je ferais après. Et puis rien ne dit qu’il viendra forcément en cargo.

Je réfléchis, j’ai une amorce de plan, je renvoie en urgence Dyane sucer la queue du gars de la capitainerie, il s’agit cette fois de récupérer la photo holographique de Laburo.

– Ça sent le louche ! Objecte Rudy.
– C’est possible, mais personne n’en saura rien. Lui répond ma charmante seconde de vaisseau
– Et si je dis non ?
– Pourquoi dire non quand on peut dire oui.
– Alors je veux du fric en plus !
– Pas question, ça laisse des traces, mais une entrée gratuite dans un cabaret très chaud pendant un mois.
– C’est quoi ce cabaret ?
– Le Diable Rose
– C’est pas un truc de travelos ?
– Il y a des femmes aussi, et des canons…
– Alors deux entrées et une pipe.

Bref on a eu la photo. Nerren, Dilos et Nadget ont été d’accord pour se relayer au cosmodrome et surveiller toutes les débarquement de passagers. Tâche on ne peut plus ingrate, puisque le trafic ici est loin d’être intense.

J’ai confié une tout autre tâche à Gundula bien plus retorse.

– Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
– Oui, parce que c’est dans tes cordes, que je n’ai pas d’autres idées, et que si ça ne marche pas, on va tous y passer, et pas forcément en douceur.
– Bon, bon…

Le remplaçant de Levkovich dans sa clinique s’appelle Zolier. Gundula après s’être habillée bien sexy demande à le voir.

– Gundula Miller, je viens me faire réembaucher comme convenu avec le docteur Levkovich.
– Pardon ? Mon confrère ne m’a laissé aucune instruction en ce sens.
– Il aura oublié, il a toujours été distrait, mais j’avais pris quelques semaines sabbatiques et…
– Ne bougez pas, je regarde…
– Aïe, oh la la !
– Qu’est-ce qu’il vous arrive ?
– Un machin dans l’œil.
– Faites voir !

Les deux paires d’yeux se croisent.

– Je ne vois rien !
– Regardez mieux, je sens bien que j’ai quelque chose. Vous allez vous endormir, monsieur Zolier, regagnez votre fauteuil. Voilà, vous allez sur ma fiche dans l’ordinateur et vous remplacerez le mot démission par « congé sabbatique ». Allez-y ! Ça y est c’est fait ? Ce n’est pas tout, quand je claquerais des doigts comme ça, vous me devrez obéissance. Maintenant, réveillez-vous.
– Oh, j’ai eu comme un moment d’absence, ce doit être la fatigue, on n’en était où ?
– Vous vouliez contrôler ma fiche !
– Ah, oui ! Donc… Ah, voilà ! Donc vous étiez en congé sabbatique, vous voulez reprendre le travail quand ?
– De suite !
– Attendez demain…
– Non j’ai besoin de travailler..
– On va être en sureffectif…
– Ce n’est pas mon problème cher monsieur, puis-je avoir une blouse et un vestiaire…

Bref le loup ou plutôt la louve était dans la bergerie, il suffisait maintenant d’attendre le mouton.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:29

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 15 – Sexe et crime à bord du Rosamonda par Nicolas Solovionni
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– Quand tu es venue me chercher avec le capitaine Stoffer, je n’étais pas rassurée du tout, je ne l’ai pas montré parce que dans mon métier j’ai appris à me montrer cool devant les dangers potentiels. Mais je craignais une embrouille, je me disais « on va me détecter une maladie imaginaire pour m’isoler et ensuite me revendre à un trafiquant de nanas…, on va me faire une piqure… » alors j’ai utilisé la seule arme que je pratique à fond : le sexe. Mon plan était au minima d’obtenir une réaction du genre : on ne peut pas lui faire ça à elle, elle est trop belle… Oui je sais, je ne suis pas modeste, mais je sais aussi ce que je vaux. Je pouvais aussi aller plus loin et créer une « envie de recommencer ». Ça a parfaitement fonctionné avec toi et je ne regrette pas, t’es trop mignonne ! Explique Tallulah.
– Merci,!
– Quand je suis sortie de l’infirmerie, je ne savais pas trop si j’avais réussi à me sortir d’un traquenard ou si le traquenard n’existait pas. Je n’étais pas sûre à cent pour cent, mais je n’ai rien dit aux autres filles, je me suis dit que si la prochaine ne revenait pas de l’infirmerie, c’est qu’il se serait passé quelque chose de louche, mais elles sont toutes revenues.
– T’es une drôle, toi ! Commente Gundula
– Et encore tu ne me connais pas ! Viens donc me brouter la chatte.
– T’es insatiable !
– Oui, parfois…
– Allonge-toi ! J’arrive !

Les deux femmes se déshabillent de conserve, Tallulah s’allonge sur la bannette… sur le dos…

– Non de l’autre côté, j’ai envie de voir tes fesses !
– Pourquoi ? Tu veux me donner la fessée ?
– Non, je ne pensais pas à ça, mais si tu insistes, ça peut se faire aussi !
– Juste quelques petits coups, j’aime bien !

Gundula n’allait out même pas refuser de faire plaisir à sa partenaire et se met à lui claquer les fesses pendant quelques minutes. Tallulah apprécie la chose en poussant de petits frémissements

– Whah ! Arrête un peu, ça me chauffe !
– O.K, on va passer à autre choses. Je t’ai apporté une petite surprise ! Dit alors Gundula en sortant d’on ne sait où un magnifique gode.
– Oh, qu’il est beau ! Tu sais il y a une éternité que je n’ai pas fréquenté ces machins-là, t’as trouvé ça où ?
– Dans le mess avec les gâteaux à apéro !
– Y’en avait d’autres ?
– J’ai pas cherché.
– Et tu comptes me le mettre où ça ?
– Un peu devant, un peu derrière.
– Il a un vibreur ?
– Oui, on peut faire plein de réglages. Il y a 115 vibrations différentes !

Gundula se penche sur sa nouvelle amie et elles échangent un baiser passionné tout en se pelotant les seins, les fesses, les cuisses et le reste.Stoffer15

– Ah, tu sais j’ai regardé si on avait des trucs à maquillage, on a rien en stock mais je peux te refiler un peu de mon vernis à ongles
– Non t’es gentille, mais les copines vont se figurer que j’ai droit à un traitement de faveur, ça va faire des histoires. C’est bête quand même, moi qui avait de si jolis pieds, Je me les suis complètement déglingués sur cette foutue planète !
– Fais-moi voir ça !

Gundula saisit le pied droit de sa camarade de jeu et dépose un chaste bisou sur le dessus.

– Il n’y a rien de catastrophique, quelques bonnes crèmes là-dessus quand on se sera posées et tout ira bien.
– Tu parles !
– Je te sucerais bien le gros orteil !
– Suce, ma chérie, suce !
– D’habitude c’est moi qui me fait sucer.
– Je m’occuperais de toi après…

L’infirmière lèche le pouce du pied de sa copine avec gourmandise, l’enduisant de sa salive. Puis une fois satisfaite, elle fit subir le même sort à l’orteil gauche. On ne sait jamais, dès fois que le goût en soit différent.

– A moi maintenant ! Propose Tallulah. Passe-moi ton panard !
– Attends, laisse-moi faire un truc rigolo.

Gundula approche son pied de la chatte de la blackette, puis une fois en contact se met à faire bouger ses doigts de pieds.

– On me l’avait jamais faite, celle-là !
– C’est comment ?
– C’est rigolo, mais ça me donne envie de pisser, il va falloir que je fasse, ça m’embête de me rhabiller, tu n’aurais pas un verre ?
– Un verre ? Si ! J’ai ça !

Tallulah place un grand verre entre ses cuisses et urine dedans.

– Tu sais l’autre fois, je jouais avec Dyane, elle avait envie de pisser…
– Et elle t’y a fait goûter, c’est ça ?
– Comment t’a deviné ?
– Qu’est-ce que tu aurais pu me raconter d’autre sinon ?
– Oui, évidemment ! Je suis bête !
– Tu n’es pas bête, tu es adorable ! Et tu as aimé ?
– Ben, c’est le petit côté pervers qui est excitant, et puis le goût n’est pas mauvais.
– Alors, je t’en prie, bois un coup !
– Comme ça dans le verre ?
– Ben oui !
– Bon d’accord !

Gundula en avale une gorgée.

– C’est bon, mais je préfère quand ça sort de la chatte ! commente-t-elle.
– O.K. si j’ai encore envie tout à l’heure je te pisserai directement dans la bouche.
– Et toi, tu n’aimes pas ça ?
– Moi j’aime plein de choses, je te dis, on est fait pour s’entendre. Bon dis- donc ton gode, si on s’en servait.

Et tout en disant cela Tallulah se met en position sur la bannette, les jambes bien écartées et les mains sous les fesses afin de rendre l’accès à son anus plus facile.

Gundula lèche le gode afin de bien l’humecter puis l’approche du vagin de la blackette.

– Non pas comme ça… ou alors si… juste un peu mais après tu me le fous dans le cul et tu me lèches en même temps !

L’infirmière introduit le sex-toy dans la chatte de sa partenaire et actionne le vibrateur intégré. Elle n’en maîtrise pas bien les réglages et le positionne sur l’une des fréquences les plus élevées.

– Whaouh ! C’est diabolique ce truc ! Arrête-moi ça !
– O.K.
– Mais qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi tu l’arrêtes ?
– Tu viens de me le demander !
– J’ai changé d’avis ! Remets-le, mais essaie de faire monter la puissance progressivement.
– Je ne sais pas faire.
– Alors vas-y à fond ! Aaaahh ! Oh, lala ! C’est pas vrai…

Et Tallulah, se met à jouir dans un geyser de mouille.

– C’est bien la première fois que je prends mon pied aussi vite !
– Tu le veux dans le cul, maintenant ?
– Je ne sais plus ! Essaie pour voir ! On plutôt non, c’est moi qui vais te le foutre dans ton petit cul. Tourne-toi !
– Super !

Gundula s’étant mise en levrette, Tallulah commence par lui lécher la rondelle.

– Hum, il a un goût délicieux ce petit trou du cul là !
– Tant mieux, régale-toi ! Oh, je sens quelque chose qui entre !
– Tu n’as pas reconnu mon doigt !
– Cochonne, c’est bon ce que tu me fais !
– Bien sûr que c’est bon ! Et maintenant le gode ! Comment ça se règle ce machin-là ? Je vais déjà le rentrer comme ça ! Ça va ?
– Oui ça va, j’aime avoir le cul rempli.
– Bon alors le réglage, ça doit être comme ça !
– Wha Wha !
– C’est à quel sujet ?
– Aaaaaah !
– Eh bien, t’es aussi rapide que moi aujourd’hui ! Commente Tallulah en sortant le gode du cul de l’infirmière.

Elle arrête le vibrateur et le porte à sa bouche !

– Ben tu fais quoi ?
– Je le rince !
– Mais il n’est peut-être pas bien propre !
– Oh, tu sais j’en ai vu d’autres ! Embrasse-moi !

Mais avant de quitter la cabine de Gundula, la blackette se retourne :

– Ah, il faut que je te demande un truc !
– Oui.
– Débrouille-toi pour trouver le mode d’emploi de ce putain de godemiché !

Si l’action que j’ai entreprise auprès des filles avec Gundula me paraît suffisante, il n’en est pas de même en ce qui concerne Kinsky.

Que va-t-il faire après l’atterrissage sur Vargala, en toute logique, il devrait récupérer sa carte de paiement dans une banque automatique, puis se réinstaller à l’hôtel, jusque-là ça va… Mais ensuite, il va très probablement contacter ses supérieurs… et là ça se complique. Il va leur dire quoi ? Que la piste était mauvaise, qu’il n’y avait aucun vestige des précurseurs, qu’il y a eu une embrouille, un naufrage et que ses compagnons sont tous morts…

Et là, de deux choses l’une, tout dépendra de son interlocuteur, ou ses chefs classeront le dossier et on rapatriera le bonhomme sur une planète moins mafieuse. Ou alors il va tomber sur un type pugnace, qui va le débriefer en employant les grands moyens, à ce stade il est probable qu’on s’apercevra qu’il a été hypnotisé, il aura droit à un feedback et du coup tout le monde se retrouvera en danger.

Est-ce que je suis prêt à prendre ce risque ? Bien sûr que non ?

Je sais je n’aurais jamais dû accepter de l’embarquer, mais on ne peut pas toujours penser à tout, et il tellement facile de dire après ce qu’il fallait faire avant.

J’avais bien une petite idée, mais pour me justifier il me fallait me renseigner auprès des filles. Il s’avéra d’après les dires de ces demoiselles que Kinsky avait participé activement à plusieurs séances punitives, il n’était pas le pire, il n’était pas le meilleur non plus, mais les filles le haïssaient.

Il m’en fallait pas plus, je me concertais avec mon petit état-major et on se mit d’accord. Le plan était simple, et s’il ne fonctionnait pas on en trouverait un autre.

C’est Nadget qui fut chargée d’introduire le ver dans le fruit. Elle ne savait trop comment mais comptait sur ses capacités d’improvisation. Elle croisa Valencia dans la coursive.

– Est-ce que je peux avoir un autre tee-shirt, j’ai fait craquer le mien, je ne sais pas comment ! Lui demanda cette dernière ‘
– Ou bien sûr, viens avec moi, mais comment tu as pu faire ça ?
– Ce doit être à cause de mes gros nichons.
– Ah la ! Tout se détraque dans ce vaisseau, les tee-shirt, les serrures…
– Les serrures ? S’étonna Valencia.
– Ben oui, c’est la première fois que je vois ça, la porte de la cabine de Kinsky ne ferme plus.
– Ah bon, il peut sortir comme il veut alors ?
– Pour aller où ?
– Oui bien sûr ! Bien voilà ton tee-shirt; tu veux l’essayer ?
– Tout ça pour reluquer mes nichons ? Non, c’est ma taille, bisous ma grande.

L’idée c’était bien sûr que la fille répète à ses copines que la cabine de Kinsky était en « entrée libre ».

Toujours est-il que le lendemain on retrouvait le biologiste pendu dans sa cabine à l’aide de sa ceinture. Exactement comme Levkovich. Sauf qu’en ce qui concerne Levkovich c’était réellement un suicide.

J’ai sans tarder réuni les filles dans le mess, nous avons placé nos paralyseurs à la ceinture au cas où ça tournerait mal, mais j’ai l’intention de désamorcer d’emblée la tension.

– Bon, je serais bref, Kinsky a été assassiné cette nuit… Ce meurtre, je devrais plutôt dire cette exécution a été maquillé en suicide, mais ça ne prend pas !

La tronche qu’elles font !

– Je vais être très clair : je n’essaierai pas d’en savoir davantage, je désapprouve cette acte, mais je peux le comprendre. Le journal de bord indiquera qu’il s’est suicidé. Cela dit, faudrait pas non plus nous prendre pour des imbéciles, Il s’est débattu et ses ecchymoses sur le visage ne sont pas dues à la strangulation. C’est tout, mesdames; vous pouvez disposer.

Quelques heures plus tard, je m’arrangeais pour « coincer » Elvira.

– Maintenant que tu n’as plus rien à craindre, tu peux peut-être me dire ce qui s’est passé.
– Non ! Je peux juste te dire que quand nous avons appris incidemment que nous pouvions rentrer dans sa cabine, on s’est toutes concertées, nous n’étions pas toutes d’accord, mais la majorité était pour qu’on lui fasse sa fête ! Après on a décidé que notre responsabilité serait collective. On va donc dire que nous l’avons tué toutes les onze, et je ne te donnerais pas d’autres détails.
– Alors, n »en parlons plus.

Le plan avait donc parfaitement fonctionné. Cela dit je n’étais pas très fier de moi ! J’avais agi comme un salaud en faisant faire le travail par d’autres, et en me donnant le beau rôle ensuite. Personne n’est parfait ! Me direz-vous, n’empêche que je me demande pourquoi je n’ai pas eu les couilles de faire ce travail moi-même.

Hofjom est complètement transformé depuis sa nouvelle hypnose. Il glande et pour s’occuper il s’est mis à draguer. Il partage désormais sa couche avec Dorine l’une des filles que nous avons récupérées sur Dermoula 7. Tout va donc bien de ce côté-là.

A suivre

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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:26

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 14 – Hofjom, homme objet par Nicolas Solovionni
Trio2

 

– Vous m’avez épuisée mais ça m’a fait du bien ! Je peux y aller ? Demande Tallulah
– Oui…
– Je dis à une copine de venir ?
– Non, on fera un examen par jour.
– Ah ! Est-ce que je peux formuler une requête ?
– Bien sûr
– On a rien pour se faire belle, vous n’auriez pas un petit peu de maquillage, et aussi du vernis pour les ongles ?
– On y a pas pensé, je vais regarder, mais je crains qu’on n’ait pas grand-chose.

Maintenant que Tallulah a regagné sa cabine, se posent deux questions : La première est de savoir si l’hypnose a fonctionné, pour cela il faut l’interroger mine de rien, mais on ne pourra pas le faire tout de suite, les filles vont parler entre-elles, et il faut éviter que quoi que ce soit leur mette la puce à l’oreille. La seconde c’est la raison de cette soudaine et insolite montée de libido.

Et voilà Hofjom qui se pointe, je l’avais oublié celui-là. C’est vrai que depuis que Levkovich l’a débriefé, il est devenu doux comme un agneau et ne sort de sa cabine que pour partager nos repas sans quasiment piper mot.

– J’aimerais bien me rendre utile ! Me dit-il.
– Oui, je comprends bien mais tu as été malade, je préfère que tu te reposes.
– Non, non, je ne suis plus malade.

Un vrai boulet ce mec. Et je réalise soudain qu’on l’a complètement oublié dans notre plan d’hypnose.

– Bon, je t’envoie Nadjet, elle va t’examiner et regarder si tu es bon pour le service. Si c’est bon on te fera travailler.

Et tout content, il regagne sa cabine en sifflotant.

J’avise Gundula et lui demande de s’occuper de lui.

– Vas-y avec Nadget. Tu en profiteras pour le persuader qu’il a encore besoin de repos pendant plusieurs jours, j’ai pas envie d’avoir ce type dans les pattes.

– Bonjour mon grand, on vient voir si t’es en bonne santé ! Lui dit Nadget en pénétrant dans sa cabine.
– Je me sens en pleine forme ! Répond Hofjom.
– Oui, ça à l’air, mais on va vérifier. Déshabille-toi !
– Entièrement !
– Oui !

Gundula croise le regard de sa collègue, ne comprenant pas la raison cette procédure. Cette dernière répond d’un clin d’œil énigmatique.

L’homme entreprend de se déshabiller, mais semble gêné quand il ne lui reste plus que le slip à retirer.

– Tu enlèves tout !
– C’est vraiment indispensable ?
– Oh ! Que oui !

Il se débarrasse de son slip.

– Oh, mais c’est qu’il bande, le monsieur ! S’exclame Nadget.

En fait sa bite était demi-molle mais ne demandait qu’à durcir…

– Je ne le fais pas exprès ! Balbutie Hofjom.
– C’est nous qui te faisons bander ?
– Ben, vous êtes des belles femmes !
– Ah ! Monsieur est un gentleman ! Tu as vu cette bite Gundula, elle est en train de nous dire bonjour !
– C’est donc un bite bien polie !
– Vous jouez à quoi, toutes les deux ? Demande l’homme.
– Disons qu’on pourrais joindre l’utile à l’agréable, une bite qui bande bien, c’est un signe de bonne santé, non ? Vous permettez que je touche ?
– C’est peut-être gênant ? Répond l’homme sans trop de conviction
– Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ! Rétorque Nadget en portant sa main sur le sexe érigée, puis en lui imprimant quelques mouvements masturbatoires.

Hofjom s’accommode de la situation, même s’il se demande quelles sont les réelles intentions de ces deux femmes.

– Je la sucerais bien, qu’est-ce que tu en pense, Gundula ?
– C’est tentant !
– Alors, on y va.

Les deux coquines s’accroupissent devant l’objet de leur concupiscence. Nadget embouche la bite et après quelques mouvements de la langue et des lèvres, passe le relais à Gundula.

Elles jouent quelques moments à « passe bite », puis Gundula glisse derrière l’homme, lui flatte les fesses, les écarte, vient lui butiner l’anus de sa langue et afin que le délire soit complet, finit par lui pénétrer son doigt mouillé.

Excité par devant et par derrière, le « pauvre » Hofjom n’en peut plus. Nadget sent dans sa bouche une goutte de liqueur pré-séminale s’extraire du méat de l’homme. Elle stoppe donc sa fellation au grand dam de l’intéressé.

– Vous ne continuez pas ? Ose-t-il demander.
– Si, on peut, mais tu as peut-être envie de nous baiser ? Répond la blackette
– Toutes les deux ?
– On peut s’arranger… Répond la femme en retirant prestement le bas.

Gundula ne voulant pas être en reste en fait de même. Et voilà donc nos deux coquines le cul à l’air (ou la chatte à l’air, question de point de vue !)

– A toi de jouer mon grand, mais essaie de tenir la distance !
– Euh…
– Bin quoi, ça ne t’intéresse pas ?
– Toutes nues, ce serait mieux, non ?
– T’entends ça, Gundula, il veut voir nos nichons.
– C’est un cochon !
– Je demandais juste comme ça.
– Bon, on va te faire plaisir ! Dit finalement Nadget en se débarrassant de son haut et de son soutif,

Gundula l’imite. Hofjom n’en peut plus, ses yeux semblent prêts à sortir de leur orbite

– Vous êtes très belles ! Balbutie-t-il, je peux toucher ?
– Tu ne serais pas un peu trop gourmand ? Viens nous baiser, tu commences par qui ?

Il désigne Gundula, qui se met sur le dos. L’homme s’approche et se met à la pilonner en cadence.

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– Garde-en pour moi ! Lui lance Nadget.
– Je ne sais si je vais pouvoir…
– Tu as tort, je t’offre mon cul !

L’argument a porté, Hofjom change de partenaire et encule la belle blackette. Ça ne dure pas bien longtemps tellement il est excité, il éjacule une bonne dose de sperme dans le conduit anal, puis retire sa bite poisseuse de sperme et légèrement mordeuse. Nadjet s’en empare et entreprend de nettoyer tout ça.de sa langue vicieuse.

– Tu le fais avec moi ? demande-t-elle à Gundula
– Attends, il a des taches de merde…
– Justement c’est encore meilleur.
– T’as des drôles de goûts !
– Essaie donc !

Gundula reprend sa respiration et vient lécher à son tour.

– Hum, t’as raison, c’est excitant de faire ça !

Mais la bite de Hofjom fut vite nettoyée par les deux coquines.

– Il m’en a foutu plein, j’ai le cul qui coule. Fit remarquer Nadjet
– Je parie que tu vas me demander de nettoyer ça aussi !
– C’est comme tu veux, ma chérie !
– Alors j’y vais, tu va voir que je peux être aussi salope que toi.

Ce petit nettoyage accompli, Hofjom regarde Gundula avec des yeux d’amoureux transi. L’occasion est trop belle. Une minute après l’homme était hypnotisé.

– On n’a même pas pris notre pied ! Déplore Nadget.
– On va arranger ça, un petit soixante-neuf dans ma cabine, ça devrait le faire, non ?
– Mais bien sûr ma chérie !
– D’autant que j’ai très envie de gouter à ton cul !
– Salope !
– Je sais !

– On aurait dû commencer par Kinsky, me dit Gundula, lui au moins il ne risque pas de parler à quelqu’un.
– Bonne idée, on va faire ça de suite.
– De suite peut-être pas, attendons une demi-heure…

On a été cherché le bonhomme, mais c’est qu’il ne voulait pas et qu’il s’est mis à rouspéter.

– Ecoute pépère, j’ai un protocole sanitaire à respecter, ça va durer 10 minutes, alors soit tu viens gentiment, soit je te fais emmener de force.

Il finit par obtempérer, et cette fois pas de préliminaires. Directo, le fond de l’œil

– Vous ne bougez pas et vous gardez les yeux ouverts, sinon ça va durer trois semaines !

Il m »énerve ce type.

– Vous êtes sûr que vous êtes habilité à faire ça ? Rouspète-t-il
– Vous voulez voir mon diplôme ! Lui répond sèchement Gundula
– Vous l’avez eu comment votre diplôme ?

Et par pur réflexe, Gundula lui retourne une gifle. Une belle gifle !

– Mais…
– Et maintenant si vous continuez à faire l’andouille je vous administre un sédatif.
– Bon allez-y, faites joujou, mais un jour je vous la ferais ravaler votre gifle !
– C’est ça, bon laissez bien les yeux ouverts

Le type ne lutte plus, Gundula peut alors lui faire son baratin,

– Vous êtes venu ici sans résistance, la bâtisse rouge n’a jamais existé, ce n’est qu’un formation naturelle…

Elle le réveille, il a l’air légèrement surpris.

– Excusez-moi, j’étais parti ailleurs, ce doit être la fatigue…
– Pas grave. On va vous raccompagner à votre cabine, vous avez besoin de reprendre des forces, vous allez faire une cure de vitamines.
– J’en veux pas de vos vitamines.
– C’est vous qui voyez ! Au fait une petite question comme ça : le machin rouge qu’on a aperçu sur la planète, c’est quoi au juste ?
– Une bizarrerie de la nature, qu’est-ce que vous voulez que ce soit d’autre ? Pourquoi cette question ?
– Parce qu’on aime bien poser des questions. Et sinon il y avait des choses à découvrir sur la planète ?
– Oui des crabes !
– Et Calloch, il n’a rien découvert ?
– Qu’est-ce que vous auriez voulu qu’il découvre ? C’est curieux comme un homme peut changer, il était bien au début et puis il a craqué, il est devenu fou à lier.

On raccompagne le bonhomme et dès sa porte refermée, Gundula se jette dans mes bras !

– Ça a marché ! Ça a marché !

Certes, et c’est l’essentiel, n’empêche qu’en ce qui concerne la subite poussée de libido de Tallulah, je n’ai toujours pas compris. Rien de ce genre avec Kinsky, cela aurait été d’ailleurs compliqué à gérer, ni avec les dix autres filles.

Il y a quand même eu une conséquence collatérale, c’est que depuis cet événement, Gundula et Tallulah sont tout le temps ensemble et semblent vivre le parfait amour. Tant mieux pour elles.

Tallulah ne tarda pas à se laisser aller à une étrange confidence auprès de na nouvelle conquête quand elle vint lui faire un petite visite dans sa cabine :

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:24

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 13 – Kinsky, le biologiste, suivi de Tallulah, la coquine par Nicolas Solovionni
Trio2

 

On a donc décidé de tenter de rechercher le dénommé Razoff, mais aussi Kinsky, le biologiste et Hayron l’architecte

Avec Nerren, nous avons endossé nos réacteurs dorsaux et avons longé les berges du lac. Le détecteur s’est mis à sonner indiquant la présence d’or. On est descendu, on a affiné le signal, trouvé la chevalière en or de Razoff, Son cadavre complètement « nettoyé » par les crabes trainait dix mètres plus loin . Mauvaise pioche ! Si le gars avait un abri, je ne vois pas comment on pourrait le trouver, sauf s’il y a laissé du métal quelque part.

On continue à avancer, le détecteur bipe de nouveau, on redescend, on trouve un bracelet vierge de toute indication, je le ramasse, il est joli, mais on ne trouve personne à côté.

Plus rien sur la berge, on a dû faire 20 kilomètres, dix d’un côté, dix de l’autre. Bien sûr ils peuvent être plus loin mais on ne va pas sillonner toute la planète non plus !

– On se fourvoie, me dit Nerren, personne ne peut s’abriter sur ces berges, les mecs ont dû se planquer dans la montagne et faire des aller et retour pour s’approvisionner.

O. K. on va vers les montagnes. Tout de même quel spectacle ! Des roches très noires, probablement du granit, certaines sont recouvertes de ce qui ressemble à du lichen. Le cosmos regorge de beautés insoupçonnées . On est pas là pour faire du tourisme mais on, quand c’est beau, on a le droit d’apprécier, non ?

Et le détecteur se décida à bipper de nouveau. On localise le signal, c’est une grotte à flanc de montagne.

On sort nos flingues et nos torches et on entre à la façon d’un méchant commando d’envahisseurs.

– Salut ! Nous dit le bonhomme, pas plus étonné que ça de voir débouler du monde.
– Euh Bonjour ! Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau et voici Nerren Petrov, mon navigateur.
– Vous êtes réel ou vous êtes dans mon rêve ?
– Non, on est réel…
– On ne peut jamais être sûr.

Je détaille le bonhomme, il est complètement à poil et on lui voit les os, il n’a pas dû se laver depuis un bout de temps, sa barbiche est encombrée de saloperies diverses et variées.

– Vous n’avez pas l’air en forme ! Lui dis-je histoire de lancer la conversation.
– Ça pourrait être pire !
– Vous êtes…
– Je ne suis plus rien du tout.
– Oui mais avant ?
– Avant j’étais le professeur Kinsky.
– Et votre spécialité ?
– La biologie, monsieur, j’étais biologiste, j’ai étudié à l’université de…
– Oui, en parlera tout à l’heure…
– J’ai plein de diplôme, mais vus vous en foutez, c’est ça ?
– Non pas du tout, mais chaque chose en son temps. Et votre compagnon ?
– Il est mort !
– Il est mort comment ?
– Ça ne vous regarde pas !
– Vous voulez qu’on vous rapatrie ?
– Non ! Je suis bien là !
– Vous êtes sûr ? Vous n’avez pas envie de retrouver la civilisation, de bien bouffer, de boire un coup, de rencontrer du monde…
– Je ne sais pas…
– Vous ne nous avez pas entendu atterrir.
– Mes oreilles sont fatiguées et quand le vent souffle on entend pas grand-chose. Vous m’avez trouvé comment ?
– Détecteur de métaux !
– Bien sûr ! Vous auriez pu m’apporter quelque chose à manger.

Ben oui, on y a même pas pensé !

– On est venu en réacteurs dorsaux, on reviendra avec une barge…
– C’est quand même la moindre des choses que d’apporter à manger aux naufragés ! Insiste l’ermite.
– On va vous apporter ça d’ici une heure ou deux…
– Et de l’alcool, vous avez de l’alcool ?
– Vous en aurez, mais juste une question, vous êtes au courant pour les boitiers gris.
– Les boitiers ? Au courant de quoi ?
– Vous savez ce que c’est ?
– Non !
– Vous étiez présent quand Calloch les a découvert ?
– Qu’est-ce qu’il est devenu Calloch ?
– Il est mort ! Mais vous n’avez pas répondu.
– Bien sûr que j’étais là, ce n’est pas Calloch qui les a découvert c’est nous trois, je ne vois pas pourquoi cet illuminé s’attribue cette découverte !
– Il n’y avait que les boitiers ? Rien d’autre ?
– Rien du tout !
– On pensait qu’il pouvait s’agir d’enregistrements mais dans ce cas ils auraient laissé un lecteur…
– N’importe quoi ! C’est peut-être des enregistrements comme vous dites, mais ça peut être aussi plein d’autres choses, un phare de télécommunication interstellaire, un outil de protection, une arme défensive. Que sais-je encore, on ne le saura jamais. Et puis d’abord je m’en tape !
– Vous avez essayé de les ouvrir !
– Ça ne s’ouvre pas, ce ne sont pas des boites de sardines ! Je vais vous dire : on ne sait pas ce que c’est mais je peux vous dire comment ça marche

Qu’est-ce qu’il va nous sortir ?

– Et ça marche comment ?
– Admettons que ce soit des enregistrements, vous allez me dire : il n’y pas de lecteur, donc ce ne sont pas des enregistrements ! Erreur ce n’est pas comme ça qu’il faut raisonner. Il faut assembler les boitiers d’une certaine façon et c’est cet assemblage qui deviendra le lecteur et qui diffusera par exemple un hologramme. Même chose pour les autres hypothèses. Seulement reste à savoir comment faire l’assemblage !.
– En effet ! Confirmais-je
– En se contentant de placer les boitiers bout à bout comme des dominos, vous savez combien ça fait de possibilités différentes ?
– Ma foi non !
– Des milliards de milliards ! Autrement dit on ne trouvera jamais §
– Et à priori, vous pensez que ces boitiers représentent un danger potentiel.
– Comment voulez-vous que je vous réponde, mais on ne peut pas en écarter l’hypothèse.
– Bon on va revenir avec un peu de bouffe…
– Et de l’alcool, hein ! N’oubliez pas l’alcool !

Bon au moins les choses sont claires. Nous sommes rentrés et après une courte pause, on est reparti, en barge cette fois…

On a chargé les boitiers dans des sacs que nous avons lestés avec des pierres, puis nous avons survolé l’eau et y avons jeté tout ça. Une petite appréhension, je me demandais secrètement si nous n’allions pas provoquer une explosion… Mais non, le lac les a engloutis. On n’est pas près de les retrouver !

Puis on est retourné voir Kinsky. Il avait réfléchi et changé d’avis. Il souhaitait maintenant se faire rapatrier. Je l’aurais parié.

– Oui mais avant j’aimerais savoir : vous rapatriez qui au juste ? Demande-t-il.
– Pourquoi cette question ?
– Pour ma sécurité !
– Je ne comprends pas !
– Vous rapatriez les putes, aussi ?
– Nous rapatrions des naufragés. Vous avez peur de quoi au juste ?
– Ces bonnes femmes ont dû vous raconter n’importe quoi…
– Et bien racontez-nous votre version des faits, on vous écoute.

Le récit du professeur Kinsky

Nous étions en attente sur Targon, une planète fréquentée par des capitaines indépendants dont pas mal de forbans. Nos indicateurs avaient réussi à faire remonter une information selon laquelle une planète recélait des ruines percusseuses. Nous avions aussi récupéré ses cordonnées.

Le chef de mission a alors contacté un capitaine marchand et l’a payé pour nous emmener sur place, moi et mes deux collègues ainsi qu’un commando de militaires.

Pour des raisons inconnues le vaisseau a fait une escale technique sur Glusvura.

Sitôt repartis, une violente bagarre a éclaté à bord., en fait le capitaine voulait se débarrasser des militaires, il y a eu des morts et du commando militaire ne sont restés que deux hommes qui se sont ralliés. On s’est aperçu alors que le vaisseau transportait toute une bande de putes, elles étaient douze.

On a compris que plus tard ce qui s’était passé, les putains avaient acheté un bordel en autogestion sur je ne sais quelle planète et souhaitaient s’y faire conduire. Evidemment les intentions du capitaine étaient tout autres, il avait accepté d’embarquer les filles afin de pouvoir les vendre à un bordel pourri sur une planète minière.

Ce qu’ignorait le capitaine, c’est qu’après l’escale la navigation avait été bridée par les militaires, le vaisseau ne pouvait pas se diriger ailleurs que vers sa destination prévue.

On est arrivé ici, on s’est posé sans chercher et sans encombre, les détecteurs ayant très bien fonctionné.

A cette époque, Calloch avait des couilles, avec la complicité de deux membres de l’équipage, les deux rescapés du groupe de militaires, une partie des putes et moi-même bien sûr, on a maîtrisé le capitaine et ses lieutenants.

Nous les avons enfermés, et on est tous descendu, même les putes parce qu’on était subjugué par le spectacle que nous offrait la bâtisse rouge. Il y avait assez de combinaisons pour tout le monde.

Mais, apparemment le capitaine a réussi à se libérer, on a entendu les réacteurs du vaisseau, puis une explosion, et c’est à ce moment-là que nous avons réalisé que nous étions naufragés.

On n’avait descendu pratiquement aucun matériel, on était complètement démuni, nos combinaisons ne nous protégeraient plus, il a vite fallu s’en débarrasser, mais heureusement il n’y avait rien de toxique.

Calloch a réussi à nous organiser, on est allé presque naturellement vers la montagne où il nous avait semblé apercevoir des grottes. On pouvait donc s’y abriter, ensuite on a trouvé une source d’eau potable, pour la bouffe, il fallait aller au bord du lac ramasser des crabes, il y avait aussi quelques poissons, dont un gros dont on pouvait utiliser la peau.

On était donc sept hommes, et douze femmes. La cohabitation se passait assez bien au début jusqu’à ce que suite à une histoire de cul, un des mercenaires poignarde mortellement l’une des putes.

C’est à ce moment-là que Calloch a pris définitivement l’ascendance sur le groupe, il s’est proclamé le guide des survivants et sa première décision a été de condamner le meurtrier et de l’exécuter lui-même à coups de couteau. Couic !

Ça a jeté un froid

Avec la complicité des deux militaires et du mercenaire restant, il a insaturé la vulgivaguibilité des femmes, c’est-à-dire qu’elles devaient être à notre disposition quand nous le souhaitions et que tous les comportements qui ressemblaient à de la vie en couple, générateurs d’après lui de conflits potentiels devaient être bannis !

Parallèlement nous avons exploré la bâtisse rouge, nous avons trouvé les boitiers et les filles nous ont aidés à les transporter dans la grotte où restait Calloch. On a fait attention de les laisser dans le même ordre que lorsque nous les avons trouvés

Calloch au fil des jours devenait de plus en plus fou, il avait réussi à dresser les crabes, qui fonctionnaient un peu à la manière des colonies d’abeilles ou de fourmis avec une espèce de conscience collective. Ça lui a monté à la tête. Il nous réunissait et nous faisait subir des discours interminables, quand ça le prenait il punissait les filles avec la complicité des autres hommes. Donc un jour avec mon collègue, l’architecte Hayron, on en a eu marre, on est parti.

On a eu du mal à s’organiser, il n’était pas facile à vivre et plutôt feignant, on arrêtait pas de s’engueuler, un jour il s’est sauvé, il est mort.

Je me suis débrouillé comme j’ai pu, j’ai fabriqué une outre pour pouvoir garder de l’eau, je faisais des aller-retours tous les jours au bord du lac pour ramasser des crabes, vous croyez que c’est une vie, vous ?

Fin du récit du professeur Kinsky

– Votre version ne diffère pas beaucoup de celle d’Elvira, je dirais plutôt qu’elle la complète. Mais dites-moi vous, personnellement vous vous comportiez comment avec les filles ?
– Je ne suis pas un saint !

Bon, j’ai compris, inutile d’insister, mais maintenant il va falloir gérer.

On embarque le gus. Une fois dans le vaisseau, on est pressé de questions. Elvira et ses copines ne font pas partie du comité d’accueil, elles doivent être dans leurs cabines.

– Non ! me dit Dilos ! Elles n’arrêtent pas de faire la queue devant la douche, elles en avaient besoin.

Je rêve, on leur a filé des tee-shirt avant de les envoyer se doucher ! N’importe quoi !

– .C’est qui lui ?
– C’était le biologiste, on va le consigner dans une cabine
– Y’en a plus de libre !
– Qu’on le conduise à l’infirmerie en attendant… maintenant écoute pépère…
– Appelez-moi professeur si ça ne vous dérange pas.
– Je suis seul maître à bord, et si vous n’êtes pas content, je vous ouvre le sas. Maintenant écoute-moi, on va te trouver une cabine tu y seras enfermé, on t’apportera tes repas et tu auras droit à une douche de temps en temps, tu pues le chacal !

Je trouve Elvira.

– Il faut que je t’informe de deux choses, la première c’est qu’on a retrouvé Kinsky, il nous a demandé de le rapatrier, déontologiquement je peux difficilement refuser.
– Hummm !
– Il était comment avec vous ?
– Ce n’était pas le pire, mais il n’a jamais pris notre défense, et il savait être aussi infect que les autres.
– OK, j’espère que sa présence ne va pas provoquer des problèmes ! De toute façon, il effectuera le voyage enfermé dans sa cabine ! Deuxième chose, il m’a raconté sa version des faits.
– Oui, et alors ?
– J’ignore s’il dit la vérité mais d’après lui, vous n’êtes pas vraiment une troupe de danseuses…
– Attends…
– Laisse-moi finir ! Dans le cas où il ne nous aurait pas menti, sache que ça n’a aucune importance, je n’ai rien contre les prostituées et je n’ai nullement l’intention de vous refiler à un marchand d’esclaves.
– T’es un chou ! Me répondit-elle avec le plus beau de ses sourires.

Après toutes ces péripéties on a enfin pu faire un peu de tourisme en deux groupes. Cette fois on est entré, on est allé dans les étages, on avait quand même pris les armes et on restait groupés, précaution devenue sans doute inutile, mais sait-on jamais !

La chose peut paraître paradoxale parce qu’il n’y a finalement pas grand-chose à voir, que des murs rouges et lisses, mais penser que des créatures en ont foulé le sol il y a peut-être cent mille années a quelque chose de terriblement fascinant. On a tous fait des petits films sur nos spacephones… des films qu’on ne pourra montrer à personne…

« Des films qu’on ne pourra montrer à personne ! »

Cette pensée m’a obsédé pendant des heures. Au retour du second groupe, je réunissais tout l’équipage.

– Bon, je suis désolé, mais les films que nous avons pris dans le bâtiment rouge, il va falloir les détruire.
– Ça va pas non ? Proteste Nadget.
– Imaginez qu’on vous vole votre spacephone ou qu’on vous le pirate. On va bien s’apercevoir qu’il s’agit de ruines pas banales. A partir de là une filière ça se remonte… Et on va se trouver avec deux catégories d’emmerdeurs, l’armée et la secte de l’autre andouille…
– Ecoute, répond Nadget, il n’y a pas le feu, on peut réfléchir et on prendra une décision définitive et collective avant d’atterrir sur Vargala.

Tout le monde semble d’accord avec ça, j’ai failli objecter que si on était obligé de faire une escale forcée quelque part… mais je m’en voudrais de passer pour un emmerdeur.

– De toute façon, intervint Nerren, il est de notre intérêt à tous de ne jamais évoquer ce voyage.
– Garder un secret à plus d’une vingtaine de personne, c’est tout simplement impossible, il faut limiter les risques, c’est tout.
– Et comment on va empêcher les filles d’en parler, cette aventure a dû les traumatiser et c’est bien normal, comment on peut faire pour les empêcher de raconter tout ça à n’importe qui un soir de déprime ?
– On peut leur demander de ne pas le faire, mais comme tu dis, elles sont onze… Et puis il y a le biologiste…
– Et si on les hypnotisait ? Intervient Dyane.
– Hein ?
– Il faut transformer l’image de la bâtisse par celle d’une bombement natif dans leur cerveau. La version sera, « des imbéciles ont cru qu’il s’agissait de ruines percusseuses alors que ce n’était qu’un surélèvement naturel… »
– Je vais creuser ça ! Mais comment obliger Levkovich à faire ça, on n’a plus aucun moyen de pression ?

J’emmène Dyane et Nerren avec moi, on entre chez le toubib.

– Il n’hypnotisera plus personne ! Me dit Dyane me montrant le corps de Levkovich pendu avec sa ceinture.

Très en colère je donne des instructions pour qu’on libère sa cabine.

– On se débarrassera du corps quand on sera dans l’espace.

Les autres nous attendaient dans le mess, je leur annonce la nouvelle.

– Tu sais ce qu’on va faire ? Suggère Dilos, une fois sur Vargala, on consigne les nanas dans leur cabines, on trouve un hypnotiseur sur place qu’on ramène dans le vaisseau.
– Et pour que ça marche, on va être obligé de lui raconter toute l’histoire ! Tu t’égares Dilos.
– J’ai pris des cours d’hypnose ! Nous annonce alors Gundula à la surprise générale.
– Et tu saurais faire ?
– Je peux toujours essayer.
– Mais tu vas t’y prendre comment ?
– Je ne sais pas, on peut toujours leur dire que vu les circonstances, on est un peu obligé de leur faire un check-up médical… enfin quelque chose dans le genre.

Nous avons décidé de faire ça après le décollage. Sitôt dans l’espace on s’est débarrassé du cadavre de Levkovich, j’ai filmé la chose, c’est Marcia qui va être contente ! On a ensuite enfermé le biologiste dans la cabine ainsi libérée.

J’ai fait répéter à Gundula ce qu’elle devrait dire, et on toque dans la première cabine des filles occupée par Tallulah et deux autres. On leur explique qu’on va faire un rapide contrôle médical.

– C’est juste une précaution, qui veut commencer ?

Les trois nanas se regardent, et c’est Tallulah, la jolie blackette qui s’y colle.

On l’accompagne à l’infirmerie, Gundula commence par lui poser des questions bateaux…

– Des troubles du sommeil, des angoisses, des cauchemars… ?
– Non, j’ai du mal à réaliser qu’on s’en est sorties, mais bon ça va…
– Je vais vous faire un fond de l’œil, vous allez me regarder droit dans les yeux !
– Comme ça ?
– Oui, ne quittez pas mon regard, comptez jusqu’à dix avec moi. 1, 2, 3…écoutez moi bien, la bâtisse rouge n’a jamais existé, ce n’était pas une bâtisse, juste une formation géologique, d’accord ?
– Oui.
– Calloch était fou, il voyait des précurseurs partout et collectionnait des carapaces de crabes dans son abri.
– Oui !
– Quand vous aller vous réveiller ces deux souvenirs seront une évidence.
– Oui
– Réveillez-vous.
– Oh, je ne sais pas ce que vous m’avez fait, j’ai cru m’endormir.
– Ah bon ?
– J’ai chaud !
– C’est pas grave, je vais vous libérer, vous êtes en bonne santé, vous allez pouvoir prendre une douche..
– C’est déjà fait ! J’ai une question mademoiselle : Vous aimez les femmes ? Demande Tallulah
– Pardon ?
– Je vous demandais si vous aimiez les femmes, parce que moi j’aime bien, mais j’aime bien les hommes aussi.

Qu’est ce qui se passe ? Un effet secondaire de cette courte séance d’hypnose, dont on ne sait pas encore si elle a fonctionné ? Toujours est-il que Gundula et moi-même nous restons bouche bée.

– Si je vous dis que j’ai envie de sexe, ça vous choque ? Reprend la blackette.
– Non pas du tout ! Répondis-je.
– On pourrait peut-être maintenant, non ?
– Euh…
– Si vous ne voulez pas, c’est pas grave, je me débrouillerais avec les copines, mais c’est quand même dommage, vous ne savez pas ce que vous perdez ! Je suis une pro !.

Et la voilà qui retire son tee-shirt exhibant une paire de seins à damner un saint.

Je ne comprends pas son attitude, mais entrer dans son jeu n’a rien d’une perspective désagréable.

Et l’instant d’après mes mains caressaient ses doux seins.

– A trois ce serait aussi bien ! Ajoute-t-elle.

Alors Gundula s’approche à son tour

Tallulah se caresse ses jolis seins couleur de chocolat à croquer et en tiraille les extrémités.

– Caressez-moi, j’adore qu’on me caresse.

J’avais compris mais puisqu’elle se plait à le répéter… La jolie blackette s’abandonne sous nos mains cajoleuses. Nous avons chacun notre sein, le droit pour Gundula, le gauche pour moi et je me complets à faire durcir l’impertinent téton en l’enroulant de ma langue.

– Ça vous excite, hein, de me lécher les nichons ? Nous nargue-t-elle
– Oui, oui ! Répondis-je avec enthousiasme.
– Et toi ? Demande-t-elle à Gundula
– T’as la peau si douce…
– Tu veux que je te suce, beau capitaine ?

Tu parles d’un beau capitaine ! Elle en fait de trop la fifille ! Cela dit la suggestion m’intéresse, et je me débarrasse prestement de mon pantalon et de mon caleçon.

Et hop ! C’est magique ! Flexion des genoux; Tallulah s’accroupit, Ouverture de la bouche, Approche et c’est parti.

Putain, comment elle me suce ! Elle a gagné un championnat de tailleuse de pipe ou quoi ? Elle joue diaboliquement d’une langue qu’on croirait montée sur piles tout en me massant les couilles de ses longues mains.

– Ne vas pas trop vite !
– Hé hien fonfff.

Rien compris, mais c’est vrai que ce n’est pas facile de parler avec une bite dans la bouche ! Mademoiselle n’est donc pas du genre à faire des apartés pendant la turlutte.

Je n’ai plus qu’à me laisser faire, j’essaie de retarder mon plaisir en employant un vieux truc idiot : je pense qu’un vilain serpent est en train de m’avaler la bite.

Gundula s’est approchée de Tallulah et lui fait comprendre que ce serait sympa si elle partageait la bite qu’elle est ne train de sucer., mais cette dernière lui fait comprendre par geste qu’il va lui falloir attendre un peu.

Dépitée, la petite infirmière, passe derrière moi et m’introduit un doigt dans le cul ! Il ne manquait plus que ça ! Non pas que je n’aime pas ça, bien au contraire, mais moi qui voulait retarder le moment de ma jouissance, voilà une pratique qui devrait au contraire précipiter les choses.

Ça monte, ça monte, je ne peux plus me retenir, je lâche tout la bouche de la blackette, qui se redresse, me nargue avec un air de défi, elle ouvre la bouche me montrant le sperme qu’elle n’a pas avalé et se le fait dégouliner sur le menton, puis en recueille un peu qu’elle s’étale vicieusement sur les tétons !

Gundula et moi la regardons subjugué par l’érotisme que dégage cette diablesse..

Elle fait signe à l’infirmière de s’approcher, celle-ci le fait sans comprendre, l’instant d’après les deux femmes de roulaient une galoche parfumé au sperme.

Je crois alors ce coup de folie terminé, mais tandis que je m’essuie le zizi, assis sur mon tabouret, Tallulah a proprement déculotté Gundula, laquelle est maintenant couchée sur la bannette, en train de se faire lécher l’abricot.

Joli spectacle, j’ai toujours apprécié le tableau charmant de deux belles femmes qui font l’amour. Et le fait que la scène se joue en black and white y ajoute un piment tout à fait appréciable.

Du coup je me tripote la zigounette, et je mets tout nu. J’adore être nu ! Et si les conditions le permettent peut-être pourrais-je faire remonter mon étendard d’ici une dizaine de minutes.

Autant Tallulah a été rapide avec moi, autant prend-elle son temps avec Gundula. Après lui voir léché la chatte pour bien affirmer ses intentions, elle lui a fait retirer son haut afin de s’occuper de ses seins. L’autre se pâme. Quand je pense que dans je l’ai connu sur Vargala elle me racontait qu’elle n’avait eu que très peu d’aventures féminines. Mademoiselle s’est bien rattrapée depuis !

Après cette petite mise ne bouche, les deux diablesses se retrouvent quasiment spontanément tête-bêche ou en soixante-neuf comme aiment à le dire les mathématiciens pervers.

Ça se gamahuche, ça se fout les doigts dans le trou du cul et ce n’est guère silencieux. Elle finissent par jouir en gueulant comme des louves en chaleur.

Stoffer0313

Et voilà que l’on frappe à la porte.

– C’est qui ?
– Nerren ? Tout va bien ?
– Tout va très bien ! A tout à l’heure !

Un peu casse-couilles celui-ci !

Gundula parait épuisée, Moi, je rebande pas trop mal. Quant à Tallulah complètement infatigable, la voilà qui se dirige vers moi, et sans crier gare se met à me pincer les tétons, du coup ma bite ne tarde pas à devenir bien dure.

Et que croyez-vous qu’elle fit ensuite, jaugeant ma vigueur à son gout, elle vint s’empaler dessus par son petit trou avant d’entamer une chevauchée à rendre jalouses les Walkyries

Evidemment, ayant joui auparavant, je fus cette fois un peu plus long à venir, mais le plaisir n’en fut que plus intense. Et en ce qui la concerne, l’humidité de ses cuisses démontrait bien qu’elle en simulait pas.

– Mais qu’est-ce que tu fais ? Lui demandais-je soudain en voyant cette humidité se transformer en ruissellement.
– Euh, je pisse, je n’ai pas pu me retenir, excusez-moi, ce sont des choses qui arrivent !
– Ne t’excuse pas, j’adore ce genre de chose ! Répondis-je en approchant ma langue de ces cuisses humides.

Un régal !

Mais l’endurance à ses limites et c’est à moitié groggy qu’elle se rhabilla.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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