Samedi 25 juin 2022 6 25 /06 /Juin /2022 08:12

Martinov 24 – L’énigme du hangar – 2 – Les filles s’amusent, Krypton galère par Maud-Anne Amaro

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Retrouvons la chronologie de notre récit au moment où les deux femmes se sont repassé les images de la télésurveillance du hangar et ont vu Krypton se faire refouler par le vigile.

Amélie revient avec du Champagne qu’elle débouche et verse dans deux coupes. Les deux femmes trinquent et s’embrassent.

– T’as les yeux qui pétillent ! Lui dit Olivia.
– C’est le Champagne !
– Et tes nichons est-ce qu’ils pétillent ,
– Les nichons, ça ne pétille pas.
– Pas si sûr, montre-les-moi !
– Tous les prétextes sont bons ! Commente Amélie en retirant son haut.
– Le soutif aussi !
– Ça vient, ça vient…

Et sans crier gare, Olivia attrape du bout de ses doigts les tétons de la jolie métisse et les tord fermement.

– Tu me fais mal !
– J’espère bien, chiennasse ! Tu es mon esclave et les esclaves, c’est fait pour souffrir.
– Tu n’exagères pas un peu, non ?
– Je n’exagère jamais, enlève-moi le reste, je veux te voir à poil.

Amélie obtempère et effectue une pirouette afin que sa complice puisse admirer ses jolies fesses.

– Je suppose que tu vas me cingler le cul ? Dit-elle.
– Tu verras bien ! Pour l’instant penche-toi et écarte tes fesses.

Olivia mouille ses doigts et en introduit deux à la fois dans l’anus de la métisse.

– Aaah, c’est bon !
– T’es une vraie salope, à chaque fois que tu as quelque chose dans le cul, tu miaules comme une chatte en chaleur.
– Et alors ? Tu ne fais pas pareil, toi ?
– Oui, mais moi j’ai le droit, je suis une maîtresse ! Toi tu n’es qu’une esclave ! Va me chercher le gode ceinture, j’ai envie de t’enculer !

Amélie sort de la pièce.

– Non pas comme ça, tu y vas à quatre pattes, et pendant que tu y es tu me rapportes une cravache et des pinces à nichons.
– C’est tout ?
– Pour le moment ! Dépêche-toi !

Pendant qu’Amélie s’absente, Olivia se déshabille et observe l’image que lui renvoie son miroir-psyché. Elle est amoureuse de son corps et de ses seins généreux dont elle agace les pointes.

– Ah, te voilà, toi ! Tu en mis du temps.
– Je trouvais plus la cravache !
– Bon debout ! La fête va commencer, passe-moi ce truc !

Olivia s’harnache avec le gode ceinture, lance un regard provocateur en direction de sa victime consentante, mais n’a pas l’intention de s’en servir de suite.

Martinov2402bElle se saisit des pinces à seins et les accroche sur les tétons de la métisse qui pousse à chaque fois un cri de douleur.

– Ça fait mal !
– Oui !
– Supporte !
– J’essaie !
– J’aurais dû mettre des poids !
– On aurait fait ça en bas, on avait tout le matériel à notre disposition ! Se gausse la soumise.
– Dis donc pétasse ! Je vais ce que je veux, où je veux !

Et Olivia assortit sa réponse d’une paire de gifles et de quelques crachats.

– Méchante !
– Et encore, tu n’es pas au bout de tes souffrances, j’ai trop envie de t’en faire baver aujourd’hui !

La domina prend les pinces entre ses doigts, les tire, les tourne, les serre. Amélie se tord de douleur et des larmes apparaissent au coin de ses yeux.

– C’est ça chiale, tu pisseras moins !

Toutefois, Olivia prend conscience qu’elle y a peut-être été un peu fort.

– Tu veux qu’on arrête ?
– Bien sûr que non !

Elle retire les pinces, provoquant une nouvelle fois des cris de douleur de la belle soumise. Olivia n’en a cure et serre maintenant les tétons avec ses doigts.

– Aïe !
– Ben oui, c’est de la domination, ce n’est pas des chatouilles !

Olivia avise la badine. Instinctivement Amélie se retourne.

– Je ne t’ai pas dit de te tourner, je te veux face à moi !

Et sans attendre davantage Olivia lui envoie un coup de badine en travers des seins.

– Aïe !
– Je peux te marquer ?
– Oui, marque-moi, je suis ta chienne.

Les coups pleuvent, bientôt le corps de la belle suppliciée s’orne de stries écarlates. Ni son ventre, ni ses cuisses, ni ses seins n’ont été épargnés.

– Tu vas te tourner, maintenant, tu ne crois pas que je vais te laisser avec le cul intact.

Et c’est maintenant au tour du dos et des fesses de subir le supplice de la cravache.

– Tu m’as fait mouiller, espèce de salope ! Penche-toi légèrement et ouvre bien ton cul de pétasse que je t’encule !
– J’aime quand tu me parles comme ça, Olivia !
– Mais c’est qu’elle se fouterait de moi, celle-ci.

La bite en plastique pénètre l’anus de la métisse, Olivia se met à pilonner, chaque coup de boutoir résonne dans son vagin. Elle sait qu’elle est capable de jouir de cette façon…

Et c’est d’ailleurs ce qui arrive ! La domina crie sa jouissance, elle s’arrête un moment, puis reprend jusqu’à ce qu’Amélie orgasme à son tour.

Elle se retire du cul de la soumise !

– Espèce de grande dégueulasse ! Tu as vu dans quel état tu as mis mon gode ?
– Hi ! Hi !
– Et ça te fais rire ! Viens le lécher maintenant, et que ce soit bien fait, je ne veux plus aucune trace de merde.

Ce n’était pas la première fois qu’elles jouaient cette scène, et Amélie s’y prêtait de bonne grâce.

– Et maintenant, couche-toi ! Ça m’a donné envie de pisser tout ça.

Amélie se coucha de tout son long sur le sol carrelé et ouvrit la bouche toute grande. Olivia s’accroupit et fit couler son urine.

Les deux femmes exténuées s’enlacèrent et s’embrassèrent avant d’aller faire une sieste dans le grand lit dans lequel elles avaient l’habitude de dormir toutes les deux.

Piérac

Ce Mattson semblait injoignable au téléphone. Krypton et son accompagnateur décidèrent en conséquence de se rendre sur place où les choses ne se passèrent pas très bien. L’homme n’était pas disponible et il fallut l’attendre une heure dans une antichambre inhospitalière…

– Je n’ai qu’un quart d’heure à vous consacrer, je vous écoute ! Prononça Mattson après avoir enfin fait entrer ses visiteurs.
– Renaud Piérac, premier fondé de pouvoir chez Kallgren-France… Annonce Krypton
– Enchanté, mais ça ne me dit pas l’objet de votre visite.
– J’ai vendu un hangar à un monsieur Chavinou qui vous l’a revendu…
– Et alors ? Le coupe le bonhomme ! Monsieur Chavinou a le droit de vendre ce qu’il veut à qui il veut et comme dans cette transaction vous n’êtes en rien concerné, je ne vois pas bien les raisons de votre visite.
– Sauf que j’avais demandé à Chavinou de me laisser le droit d’entrée…
– Contractuellement ?
– Non, un accord oral !
– Donc ça n’avait aucune valeur et ça en a encore moins maintenant puisque le contrat que nous avons signé avec Chavinou ne prévoyait rien de tel. Je ne peux rien pour vous, aurevoir messieurs.
– Je ne vois pourquoi vous êtes si agressif, nous pourrions parler calmement et trouver un accord. Tente Krypton.
– Un accord de quoi ? Nous n’avons pas conservé ce hangar, il n’a été acheté que pour être revendu.
– Vous m’obligeriez en m’indiquant le nom du nouveau propriétaire.
– Je ne vois pas pourquoi je vous fournirais ce genre d’information. Je vous confirme que l’entretien est terminé !
– Attendez…
– Veuillez sortir, messieurs, et sans faire de scandale, sinon je me réserve le droit de faire appel à la sécurité.

Rentré à son bureau, Krypton demanda à l’un de ses collaborateurs de trouver des renseignements sur ce Mattson. La réponse lui parvint rapidement.

– C’est le patron d’une société de courtage agissant pour le compte de « Sylvester and son » une boite domiciliée au Panama. Ils achètent des sociétés pour les revendre. Ça sent le blanchiment à plein nez, tout cela orchestré par des sociétés off-shore.
– Ils ont un téléphone ?

Bien sûr qu’ils en avaient un, mais que voulez-vous faire quand on vous trimbale d’interlocuteur en interlocuteur, chacun ne faisant aucun effort pour essayer de comprendre ce qu’on lui demande… Donc, l’échange téléphonique tourna court. Krypton n’avait plus de piste et son joujou entreposé dans le hangar ne lui était plus accessible.

Quel joujou ? Se demandera le lecteur qui devra patienter un peu afin de le savoir.

Krypton tenta d’obtenir le concours d’un détective privé. Sa conclusion lui parvint le lendemain.

– C’est un vrai sac de nœuds, on n’y comprend rien, ce n’est pas de notre compétence, je vous facture juste un forfait minimum.
– Je vous paie le voyage au Panama.
– Non, non ! Les sociétés off-shore panaméennes sont gérées par des mafieux, et des mafieux dangereux. Restons-en là !

Le second détective ne voulut même pas prendre l’affaire, le troisième s’en amusa.

– Si vous me payez le voyage aller-retour au Panama et l’hôtel, je veux bien aller y faire un tour, mais je ne vous garantis pas d’obtenir le résultat ! Se gaussa Brigitte Silverberg, car ce détective-là était une femme. Et une femme que les lecteurs des aventures du professeur Martinov ont déjà eu l’occasion de découvrir.
– Et si je vous prenais au mot ?
– Non je plaisantais, dans ce genre d’affaires, ou bien on trouve tout de suite, ou alors on ne trouve jamais. Et comme vous me dites que mes collègues ont essayé…

L’esprit de Krypton s’égara un moment, envisageant alors quelles méthodes illégales, il pourrait mettre en œuvre afin de pouvoir pénétrer dans ce hangar.

Brigitte détaille son visiteur. costard et chaussures sur mesures… Rolex en évidence.

« Ce mec-là pue le fric, si je pouvais essayer de l’embobiner… »

– Je peux néanmoins vous fournir des renseignements sur tous les intervenants de cette affaire qui résident en France. Reprit Brigitte.
– Ça ne me donnera pas le nom de l’actuel propriétaire du hangar !
– Qui sait ? L’une de ces personnes sera peut-être en contact avec les gens de Panama.
– Ça me paraît hasardeux !
– Prenez le risque, nous nous enorgueillissons d’obtenir de bons résultats.
– Et vous pensez avoir des résultats dans quel délai ?
– Disons que ça entre dans le cadre des affaires de longue durée…
– Le soucis c’est que je suis pressé.
– J’entends bien, alors voilà ce que je vous propose : je vais vous indiquer une adresse, un chercheur un peu fouineur qui a résolu pas mal d’affaires compliquées et qui connait du monde… Je vous conseille d’enjoliver votre requête, si vous la présentez de façon trop basique, ça ne l’intéressera pas.
– Que va-t-il faire de plus que vous ?
– Notre profession est soumise à un code déontologique, c’est parfois contraignant. La personne que je vous recommande n’a pas ces contraintes.
– D’accord je prends l’adresse !
– Dois-je en parallèle ouvrir un dossier à notre agence comme je vous le proposais ?
– Pourquoi pas, mais je ne veux pas de contrat long, Je vous mandate pour 15 jours, ensuite on verra.

Lundi

Nous revoila donc (enfin) dans les locaux du professeur Martinov à Louveciennes. Et c’est Béatrice qui reçoit le message de Brigitte Silverberg :

« A tout hasard, je vous envoie un mec qui veut faire une enquête au Panama. Si ça ne vous intéresse pas, virez-le ! Bisous ma grande ! »

– Au Panama ! Elle est folle ! Dit-elle à Martinov. On en va pas aller au Panama !
– On peut toujours recevoir le type, ça ne mange pas de pain ! Répond Martinov

Le visiteur du jour est grand, bien propre sur lui, le costume est fait sur mesure et les chaussures se sortent pas de la halle aux affaires. Bref le type est friqué. Son passé d’ancien boxeur lui a laissé le nez écrasé, il est chaussé d’épaisses lunettes à la Scorsese, symptomatiques d’une sévère myopie.

– Renaud Piérac, premier fondé de pouvoir chez Kallgren-France ! Se présente crânement. Krypton.
– J’avoue ne pas avoir bien saisi l’objet de votre requête lors de notre entretien téléphonique ! Lui répond Martinov
– Disons que je me suis retrouvé suite à des circonstances particulières dans un hangar rempli de caisses d’éponges métalliques non fermées et c’est là que j’ai entendu un bruit inquiétant.
– Un bruit comment ?
– Comme un moteur…
– Et ce n’était pas un moteur ?
– Non, j’ai oublié de vous dire, à l’entrée il est indiqué « Entrepôt désaffecté, défense d’entrer », d’ailleurs il y a un vigile avec un chien.
– Et vous êtes entré quand même ?
– Oui la fille lui a donné la pièce…
– La fille ?
– J’aimerais autant que faire se peut, éviter les détails triviaux, mais que voulez-vous, je revenais d’un cocktail bien arrosé et puis la chair est faible, cette fille était magnifique, j’ai eu une pulsion irrésistible, ce sont des choses qui arrivent…

Le type aurait dû accompagner ces explications d’une mine embarrassée. Là pas du tout, il racontait ça avec une banalité confondante.

– Soyez rassuré, je ne suis pas là pour vous juger… tint à lui préciser le professeur Martinov.
– Donc je l’ai suivi, il y avait des matelas recouverts par ses serviettes de bains propres, nous nous y sommes installés, c’est là que j’ai entendu le bruit.
– Et qu’attendez-vous de moi ?
– De me dire d’où vient ce bruit…
– Mais pourquoi vous adresser à moi ! Ce n’est pas notre domaine de compétence. C’est une affaire qui regarde la police, ou un détective privé…
– J’aimerais éviter que mon nom soit cité ! Les circonstances sont assez gênantes, voyez-vous ! En fait, je soupçonne une grosse affaire, peut-être du terrorisme à un très haut niveau, ou plus grave encore… Ce travail semble bizarrement ne pas intéresser les détectives privés. Mais c’est l’un deux, une madame Silverberg qui m’a confié vos coordonnées.

Le professeur, dubitatif croise le regard de Béatrice qui lui fait signe qu’effectivement cette affaire n’est pas de leur domaine.

– Nous ne pouvons pas prendre ce dossier. Comment voulez-vous que l’on pénètre dans un espace privé gardé par un maître-chien ? Déclare la jeune chimiste.
– Monsieur est bien rentré, il suffirait d’employer la même procédure ! Fait remarquer Martinov.

Du coup le visiteur devient rouge comme une tomate et se met à bafouiller :

– C’est que… je ne suis pas persuadé que tous les vigiles soient complices des activités de ces dames !
– Ah ! Vous voulez qu’on entre ou pas ?
– Oui, ce serait bien, mais ça ne sera pas forcément évident, auparavant si vous pouviez me renseigner sur le propriétaire des lieux, tenter de glaner des renseignements… Ensuite, pour le reste, nous verrons.
– Si ça se limite à des renseignements, je veux bien essayer, mais ça aura un prix.
– Votre prix sera le mien, si nous pouvions faire ça hors contrat…
– Je vais voir ce que je peux faire, donnez-moi l’adresse de ce hangar.
– Je n’ai pas d’adresse précise, c’est situé dans la ZI des 4 couronnes, ça s’appelle Chavinou S.A.. Il n’ont pas changé l’enseigne.
– L’enseigne ?
– Oui Monsieur Chavinou n’est plus le propriétaire.

Piérac sortit son portefeuille et en extrait 20 billets de 50 euros.

– Ce sera suffisant ?
– Oui ! Répondit Martinov qui ne s’attendait pas à une pareille somme.
– Vous pourriez m’avoir la réponse pour quand ?
– Après-demain en fin de matinée s’il n’y a pas de complications.

Le type s’en va, Béatrice regarde par la fenêtre afin de relever la plaque minéralogique mais apparemment l’homme a dû se garer dans une rue adjacente.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 25 juin 2022 6 25 /06 /Juin /2022 08:10

Martinov 24 – L’énigme du hangar – 1 – Olivia et Amélie par Maud-Anne Amaro
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Nous voici de nouveau à Louveciennes, banlieue parisienne cossue, là où le professeur Martinov, sexagénaire et pas mal obsédé, mais bien dans sa peau, exerce ses talents de bricoleur génial en compagnie de Béatrice sa blonde, jeune et sémillante assistante, diplômée de l’école de chimie.

Mais pour le moment, nous allons les laisser travailler, et nous intéresser à un individu qui se fait parfois appeler Krypton, d’autres fois Piérac, et qui se gare devant un hangar situé dans la zone industrielle des « quatre couronnes ». Il descend de voiture, accompagné d’un jeune homme boutonneux, puis sonne à l’entrée provoquant l’arrivée d’un vigile qui se contente de signaler sa présence en ouvrant un judas.

– Piérac ! Se présente Krypton, vous pouvez nous ouvrir, je vous prie ?
– Piérac ? Attendez, vous n’êtes pas sur ma liste !
– Non mais attendez, il était bien convenu avec Monsieur Chavinou que je pouvais entrer librement…
– Vous devez faire erreur, je ne connais pas de Monsieur Chavinou.
– Mais enfin, c’est le propriétaire !
– Non, je ne connais pas…
– Mais vous êtes borné ou quoi ? Bon, vous m’énervez, je vais l’appeler !

– Allo, Chavinou ! C’est Piérac ! Je vais vous passer votre cerbère et vous allez lui expliquer qu’il n’a pas à nous refuser l’entrée…
– Ah ? Mon acheteur m’avait pourtant assuré qu’on vous laisserait entrer. Je l’appelle de suite et vous rappelle.
– Votre acheteur ? Vous avez vendu le hangar ?
– Avec le prix qu’on me proposait, je n’ai pas hésité un instant. Vous vous rendez compte, tout ça pour un stock d’éponges métalliques !
– J’aurais aimé être prévenu !
– Je ne pensais pas que ça pouvait poser problème…
– Bon, si vous pouviez faire vite !

Krypton patiente dans la voiture 20 minutes, au bout de ce temps, il tente de rappeler Chavinou qui est toujours occupé. Il fulmine, il rage, il tempête. Finalement l’autre finit par rappeler.

– Allo, c’est Chavinou, oui, eh bien ça se complique, mon acheteur est un courtier qui…
– Je m’en fous ! Vous avez pu le joindre ou pas ?
– Calmez-vous ou je raccroche ! Je disais : l’acheteur a agi pour le compte d’un consortium, et si j’ai bien compris ça a été encore une fois revendu.
– Mais qu’est-ce que vous me racontez ? C’est quoi ces salades ? Donnez-moi le nom de votre acheteur.
– Ça ne vous servira à rien…
– Je veux ces renseignements ! Répondit Krypton d’une voix cinglante.
– Rien ne m’y oblige, mais bon… C’est Mattson, 256 rue Vaugirard…
– Il a un téléphone ?
– Oui bougez pas… Voilà, vous notez…
– Chavinou !
– Oui ?
– Vous êtes un connard !

Avant de tenter de contacter ce Mattson, Krypton tenta une tactique simpliste, mais éprouvée. Il sortit de la zone industrielle, rechercha un distributeur de billets, préleva 1000 euros avec sa carte gold et revint sonner au portail du hangar.

– 1000 euros pour nous laisser entrer, ça peut le faire ?
– Non-monsieur, tout est télésurveillé, je ne veux pas risquer ma place.
– Elles sont où les caméras ?
– Je l’ignore !
– Bon laissez tomber.

A plusieurs kilomètres de là, l’écran de contrôle de la vidéosurveillance couine. La séquence terminée et enregistrée, Amélie appelle Olivia, les deux femmes se marrent comme des bossues.

– Super ! On va arroser ça ! Jubile Olivia.
– Qu’est-ce qu’il va bien pouvoir faire maintenant ? Demande Amelie
– Rien ! S’il essaie d’entrer en force il risque de se mettre en porte à faux. Alors il vient ce champagne ?

Mais qui sont ces deux-là ? Se demande le lecteur ? Patience, le récit vous dira tout au moment opportun. Sachez pour le moment qu’Olivia est une jolie femme brune d’une trentaine d’années, elle est l’unique héritière potentielle d’un immense empire hôtelier et a toujours vécu dans l’opulence.

Olivia est une personne qui s’attache difficilement, elle s’est vite rendu compte que les fils à papa qui lui tournaient autour, auraient bien profité de sa fortune pour continuer à ne rien foutre de leur pauvre vie. Non elle est trop indépendante, quelques coups d’un soir pendant lesquelles c’est elle et elle seule qui mène la barque, suffisent à son bonheur.

Et puis il faut aussi savoir qu’Olivia est bisexuelle, mais elle traite ses amantes à l’image de ses amants. Un bon moment de plaisir et salut !

L’exception c’est Amélie. Il y a toujours des exceptions.

Il fallait bien qu’Olivia entretienne son luxueux appartement du Boulevard Kleber. Un jour énervée par le mauvais travail de son prestataire de service qui lui envoyait des femmes de ménages incompétentes, elle eut l’idée d’en embaucher une à demeure.

Elle fit ainsi passer trois examens d’embauche, mais pour des raisons diverses ces femmes ne lui disaient rien. Et puis l’idée lui vint :

« Et si j’en trouvais une qui soit un peu coquine, ce serait joindre l’utile à l’agréable. »

Elle eut alors l’idée de demander à la patronne d’un club libertin où il lui arrivait de se rendre si parfois…

C’est ainsi qu’elle dénicha Amélie.

Amélie est une ravissante métisse guadeloupéenne d’une trentaine d’années, Olivia fut de suite conquise par le physique et le sourire de celle qui postulait cette fonction.

Après deux heures d’essais avec ménage et repassage. Olivia lui tint à peu près ce langage :

– L’essai à l’air concluant, je suis prête à vous engager, mais avant il faut que vous sachiez où vous mettez les pieds. Je ne me considère pas comme compliquée, je suis même plutôt décontractée. Parfois je me balade à poil dans l’appartement, si ça vous choque je vous paie vos deux heures et on en reste là.
– Non, non, ça ne me choque pas !
– Et bien tant mieux, et puis je vous demanderais peut-être de m’aider à prendre mon bain.
– Ce ne sera pas un problème.
– Et si je vous confie que je vais parfois avec les femmes ?
– Ce sont des choses qui ne me regardent pas.
– Et si je me montre entreprenante, vous réagirez comment ?
– Je ne pense pas que cela me posera problème ! Répondit Amélie.
– Il va de soi que dans ce cas, vos gages seront réévalués.
– Si madame ne me force pas à faire des choses qui ne me plaisent pas, et si madame me respecte, j’espère pouvoir faire l’affaire.
– Tu as déjà caressé une femme.
– Oui !
– Et ça t’a plu ?
– Oui beaucoup !
– Et toi, tu aimes qu’on te caresse ?
– Oui, j’aime bien les caresses.
– Et si je te demande de te déshabiller devant moi, là tout de suite ?
– Si vous me le demandez, je veux bien me déshabiller, mais…
– Mais quoi ?
– C’est embarrassant ! Dois-je comprendre que je dois me déshabiller gratuitement.?
– Bien joué ! Répondit Olivia en sortant de son portefeuille un billet de 50 qu’elle déposa sur la table.

Du coup, Amélie retire son pantalon puis son haut, mais garde ses sous-vêtements.

– Autant jouer cartes sur table, reprend Amélie, je suis un peu vicieuse, si c’est cela que Madame cherche, je suis à votre disposition.
– Tu es très belle, enlève le reste.

Et la voilà à poil, Amélie qui a oublié d’être bête a compris qu’elle avait un ticket avec Olivia et une quasi-promesse d’embauche est décidée de jouer le « grand jeu ».

– Ça vous plaît ?
– Super ! Approche-toi !

Olivia posa ses mains sur les doux bras de la belle métisse qui répondit d’un sourire. Alors elle osa s’aventurer vers les seins, en caressa les bords puis se livra à de savantes circonvolutions qui la conduisirent jusqu’aux tétons.

– J’ai bien envie de les embrasser !
– Faites donc !

Olivia se régala de ces pointes durcies par l’excitation.

– J’aimerais formuler une requête ! Dit soudain Amélie.
– Oui…
– Je suis nue, mais pas vous…
– Ah ! La coquine qui veut voir sa future patronne à poil !
– Ce n’était qu’une suggestion.

Mais Olivia se déshabilla sur le champ. Les deux femmes maintenant nues se font de nouveau face de très près à ce point que leur seins se touchent. Olivia entrouvre sa bouche, sort un peu sa langue, Amélie comprend l’invitation, les bouches se rapprochent et les voilà parties pour un long et profond baiser.

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Olivia en profite pour lui agripper et malaxer les fesses.

– Viens sur le canapé !
– Madame a-t-elle l’intention de me lécher la chatte ?
– Sauf si tu as quelque chose contre.
– Non, léchez-moi, madame, léchez-moi ! Mais peut-être conviendrai-il d’étendre une serviette sur le canapé…

Amélie s’étendit de tout son long, les jambes écartées, Olivia ne vint pas de suite entre ses cuisses, voulant profiter encore de la douceur de la peau de la belle métisse.

– T’as la peau trop douce !
– C’est la première fois que vous caressez une femme noire ?
– Je ne sais plus trop !
– Vous êtes drôle !
– Ben dis donc !

Olivia porta ses mains sur les seins de sa partenaire, en flattant l’arrondi avant de venir en taquiner les bouts.

– Si vous voulez me les pincer, ne vous gênez pas !
– Comme ça ?
– Oui, Aïe !
– Je t’ai fait mal !
– Ce n’est pas grave, je suis un peu maso !
– Ah, oui ? Et tu aimes quoi ? Les petites fessées ?
– Même les grosses !
– Hum, je crois qu’on va bien s’amuser toutes les deux, tu voudrais être ma petite esclave ?
– Oui, pour jouer, pourquoi pas ?
– Tu fais ça souvent ?
– En ce moment, ça me manque un peu, c’est mon ex qui m’a un peu initié à tout ça, j’ai tout de suite bien aimé.
– Il te faisait quoi ?
– Martinet, badines, pinces, il me ligotait aussi et il aimait bien me pisser dessus. C’est lui aussi qui m’a fait découvrir l’amour entre femmes, avant l’idée me choquait, maintenant je suis fan.

En disant cela son visage s’éclaire d’un merveilleux sourire.

Sans lâcher les pointes des seins d’Amélie, Olivia descend son visage au niveau du sexe de sa partenaire et commence à lécher.

– Mais dis donc, tu mouilles !
– C’est vous qui me faites mouiller, madame !

La langue d’Olivia pénètre dans le fouillis de son sexe, en écarte les grandes lèvres se régale de cette odeur de fruits de mer, lape la mouille qui s’y écoule. L’autre se pâme, ferme les yeux invoque on se sait quel fantasme. Sa respiration devient saccadée, elle transpire à grosses gouttes tandis que sa pression sanguine augmente.

Le clitoris de la métisse est maintenant érigé et décalotté comme un micropénis. Olivia en approche sa langue, le fait frétiller, Amélie pousse un cri fulgurant tandis que son corps s’arcboute avant de retomber comme une chiffe molle.

– Ben vous, alors ! Commente la métisse dans un souffle.
– Après cela, tu peux peut-être arrêter de me vouvoyer !
– Suis-je embauchée ?
– Oui !
– Je ne vais tout de même pas tutoyer ma patronne.
– Nous ne sommes pas obligées d’avoir des rapports de convenances.
– C’est comme Madame voudra !
– Pour l’instant, tu sais ce qu’elle voudrait bien, la madame ?
– Que je vous donne du plaisir !
– Alors exécution !

C’est donc au tour d’Olivia d’offrir son corps aux tendres caresses de sa partenaire

– J’aime bien vos tétons, madame !
– Je t’ai dit de laisser tomber le vouvoiement !
– D’accord, mais laissez-moi un peu de temps..
– Oui ! Oh, qu’est-ce que tu leur fait à mes seins?
– Je les gâte !
– C’est trop bon, mais descends un peu, j’ai la chatte en feu.

Elle le fait et pose sa langue sur le pubis, tandis qu’un doigt fureteur s’approche de l’œillet brun.

– Je peux l’enfoncer ?
– Bien sûr, vas-y fous-moi un doigt dans le cul !

La jolie métisse ne se le fait pas dire deux fois et après avoir fait coulisser son doigt dans l’étroit conduit, se met à l’agiter frénétiquement.

– Tu fais quoi, là ? Continue c’est trop bon ! Tu vas me faire jouir du cul ! Aaaah !

Amelie a continué jusqu’à ce que sa future patronne jouisse dans un geyser de mouille.

Eh ! C’est qu’elle tenait vraiment à se faire embaucher la petite Amélie.

– Tu m’as tué ! Tu veux commencer quand ?
– Pourquoi pas demain ?
– Ça me parait une bonne idée, j’ai plein de repassage en retard ! Bon je vais aller pisser, si tu as soif sert toi dans le frigo.
– Si madame veut que je l’essuie après son pipi, je peux faire ça aussi.
– Allez viens !

Olivia s’assit sur la cuvette des toilettes…

– Si j’osais… commença Amélie.
– Si t’osais quoi ? Eh bien vas-y ose…
– Je suis parfois un peu vicieuse…
– On va finir par le savoir ! C’est pas bientôt fini de tourner autour du pot ? C’est quoi ton idée salace ?.
– Si vous me permettiez d’en boire un peu ?
– Viens entre mes cuisses, on va te le réaliser ton fantasme. Attention ça va gicler.

Ce fut le début d’une grande complicité.

Au fil des semaines les rapports entre les deux femmes évoluèrent considérablement. Certes, Amélie accomplissait toujours les tâches ménagères, Olivia adorant se faire servir, mais les deux femmes avaient fini par s’amouracher l’une de l’autre. une belle complicité les unissaient à présent. Cependant Olivia restait la maitresse du jeu et elle s’amusait parfois à punir sa soubrette de fautes la plupart du temps imaginaires. Mais elles se complétaient, Amélie était profondément masochiste et Olivia un peu sadique sur les bords

La complicité entre les deux femmes était aussi intellectuelle, Elle se découvrirent des passions et des convictions communes. Aussi quand Olivia mit Amélie au courant de son dernier projet, la jolie guadeloupéenne s’enthousiasma et lui proposa d’emblée de collaborer avec elle.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 28 mai 2022 6 28 /05 /Mai /2022 07:37

Maryse 2 – Dépucelage anal par Enzo Cagliari
Stamp Mature Sodo

 

Après une bonne nuit à ronfler comme un loir, c’est l’envie de pisser qui m’a sorti de mon sommeil. Je fais comme tout le monde, j’attends un peu, la bite toute raide, et les évènement de la veille me reviennent en mémoire.

J’avoue ne pas y voir clair dans tout ça et je suis partagé entre un sentiment de honte et une sorte de fascination pour ce qui s’est passé.

Car enfin, l’hétéro convaincu que je suis a dans la même soirée léché le sperme d’un autre homme, enculé l’individu en question et reçu un gode vibrant dans mon trou intime !

Je n’ai aucunement envie de m’abonner à genre de plaisanterie d’autant que Maryse m’avait fait part de ses intentions de rejouer la partie et en plus compliqué.

Ah, Maryse ! Tout cela est de sa faute ! Elle m’a ensorcelé avec ses provocations d’abord au bord de sa piscine, puis à table et enfin en m’invitant dans sa chambre conjugale.

Je prends donc la décision de quitter cette maison, j’inventerai un contretemps dans la matinée. Je n’ai aucune envie de partouzer avec ce mystérieux « père Michel ». Le père Michel ! Pourquoi pas la mère Lustucru pendant qu’on y est !

Quant à l’allusion de Maryse sur la bite de son fils, je me demande encore si c’était de la provocation ou pas !

Bon, il faut vraiment que me lève, l’envie de pisser me prend à la gorge, je me dirige donc vers les toilettes dont la porte s’ouvre vers l’extérieur mais ne possède aucun mécanisme de verrouillage, mais quelle importance ?

– Alors, on a bien dormi ?

Comment ai-je fait pour ne pas l’entendre arriver ? Je tourne la tête, c’est Maryse bien sûr ! Elle est en nuisette transparente, ses tétons érigés dardent sous le tissu. Elle me tend ses lèvres, j’ai la volonté de refuser le baiser profond dont elle s’apprêtait à me gratifier.

– Tu fais la gueule ?
– Non mais j’ai envie de pisser.
– Pisse-moi dessus !
– Non pas ce matin.

Elle s’est collée contre mon dos, me tripote les couilles d’une main, et le cul de l’autre. La situation devient intenable.

– Arrête Maryse !
– Tu en as déjà marre de moi ?
– Mais pas du tout !
– Alors prouve-le moi !

Je ne réponds pas, elle m’énerve et quitte à me répéter, il faut que je pisse. Alors si vraiment elle veut que je l’arrose, je vais le faire, ensuite, il faudra bien qu’elle aille se doucher, elle me foutera peut-être la paix après.

Je tente de me concentrer afin que je débande légèrement, pas évident avec l’autre sorcière en face. Je ferme les yeux, évoque l’image de ma prof de mathématiques de ma classe de seconde, incompétente, suffisante et moche. C’est radical, ma bite ramollit, j’ouvre les yeux, j’interpelle Maryse :

– Tu ne retires pas ta nuisette ?
– Non, je la mettrai au sale après !

C’est parti !

Je ne sais pas pourquoi, j’ai visé sur ses seins qui bientôt apparaissent dans toute leur beauté sous le tissus trempé.

Je n’arrive pas à pisser à fond, cela à cause de l’excitation. Maryse opère une flexion des hanches. J’ai compris, madame à soif, je lui donne donc à boire de ma bonne pisse bien chaude, et elle s’en régale, elle s’en lèche les babines, c’en est un vrai plaisir que de voir ça !

Quel est l’ignare qui a dit que l’homme ne pouvait pas penser quand il bandait ? Je sais bien que c’est faux car en ce moment je bande et je pense. Et j’ai une idée diabolique. Je sais ce qui va se passer maintenant, la Maryse va vouloir baiser… Eh bien je ne vais pas la repousser, loin de là, je vais y aller à fond. Quand ce sera fait, ma libido sera redescendue à la cave et je pourrais partir d’ici sans risquer de me faire piéger.

– On se prend une douche ensemble ? Me propose Maryse
– Pourquoi pas ?

C’est quand même diabolique de se faire savonner et de caresser une femme pleine de mousse juste devant soi, de sentir le galbe des formes glisser sous la main. Ma bite frotte contre son ventre, je n’ai qu’à me baisser légèrement pour la pénétrer. J’hésite un peu, pas très longtemps en fait, et je m’immisce en elle. Elle apprécie, moi aussi mais la position manque de confort. On se rince, on se sèche (mutuellement bien sûr).

Puis comme un zombie, me voilà en train de la suivre dans la chambre. Je crains un moment que Marcel soit dans les parages prêt à nous rejoindre, mais Maryse me « rassure » :

– Il bosse, mon petit cocu !

Et voici la Maryse sur le lit en levrette, le croupion relevé. Quel spectacle magnifique !

– Les capotes sont là ! Viens vite, j’ai envie que tu m’encules !

J’y vais comme à l’assaut, ça rentre comme dans du beurre. Je donne des grands coups de bite. Maryse ne tarde pas à gueuler et à m’encourager par des propos assez peu compréhensibles.

Le sang me monte à la tête, je ne peux plus rien contrôler, je me laisse aller ! Je jouis ! bon dieu que c’était bon !

Je décule. Maryse se retourne, m’enlève la capote et me nettoie ma bite gluante de sperme.

Elle se redresse et m’offre ses lèvres. Je les accepte, pris d’un grand élan de tendresse.

– Tu m’as bien baisé, mon salaud ! Dit-elle. Bon c’est pas tout ça, mais j’ai du travail.

Je fais quoi ? Je reste ou je reste pas ? Je reprends une douche parce que j’ai transpiré, regagne ma chambre et commence à enfouir mes affaires dans mon sac de voyage en laissant la porte ouverte.

– Bonjour Gilles, tu nous quittes déjà ?

C’est Paul, je ne l’avais pas vu entrer, celui-ci.

– Ben, oui, faut que j’y aille !
– Ça s’est bien passé hier ?
– Faut pas se plaindre ! Répondis-je sans vouloir m’attarder sur les détails.
– Ma mère m’a dit que tu te l’étais envoyé.
– Ah bon, elle te fait ce genre de confidences ?
– Elle ne peut rien me cacher ! On est très intimes.

Elle lui a donc raconté ce que nous avions fait avec le mari ! Voilà qui est peut-être embarrassant.

– Bon, il faut que j’y aille, j’ai une longue route. Lui confias-je.
– C’est dommage que tu ne restes pas un peu.
– Je te dis, il faut que j’y aille.
– Tu ne m’avais jamais dit que tu avais des tendances homo ?
– Je n’ai pas de tendance homo.
– Ce n’est pas ce que m’a dit Maman.
– Elle parle trop ta mère, je n’ai pas de tendances homo, on a juste un peu varié les plaisirs..
– Et ça te dirais de « varier les plaisirs » avec moi ?

Elle commence par m’énerver cette famille d’obsédés ! Mais quand la main de Paul vint se poser sur ma braguette, je ne proteste que fort mollement.

– Euh, si tu pouvais retirer ta main…
– Sois sympa, montre-moi ta bite avant de partir.
– Elle n’a rien de spécial !
– Ça fait rien, montre !

Et comme je ne bouge pas, c’est Paul qui m’ouvre la braguette et va chercher la bête à l’intérieur. Il me sort ma queue demi molle et lui imprime quelques mouvements de branle. Tétanisé pas cette audace inouïe je me laisse faire avant de réagir :

– Bon ça va ! T’es content ? Je peux peut-être y aller maintenant ?
– Attends ! Répond-il. Tu veux voir la mienne ?

Il n’attend pas de réponse et me sors un engin raide comme la justice.

Gloups ! Qu’elle est belle sa bite ! Je sais que si je la touche, je vais me retrouver dans un engrenage… Peut-être pas ? Après tout, je peux sans doute juste la toucher et en rester là ?

Je la touche, j’ai la gorge sèche, je suis pris par une irrésistible envie de la porter en bouche. Je me baisse. Ça y est, j’ai sa bite dans la bouche, la texture est douce, le goût légèrement musqué, ma langue se met à accomplir d’étonnantes circonvolutions sur son gland qui lui font pousser des soupirs d’aise.

– Tu suces bien, mon salaud ! Tu as dû en sucer des kilomètres !
– Ben, non, c’est juste la deuxième !
– Je ne te crois pas !
– Pas grave !
– Tu veux ma pine dans ton cul ?
– Faut peut-être pas charrier !
– Tu as tort, il paraît que j’encule très bien !
– Je te crois sur parole, laisse tomber !

N’empêche que l’image de sa bite me violant le trou de mon cul se forme dans mon esprit et que cela me trouble.

Je me mens à moi-même en me disant que je ne suis plus puceau du cul depuis que Maryse m’y a enfoncé un gode. Je sais bien pourtant que si mécaniquement les deux introductions se ressemblent, psychologiquement c’est autre chose

– Hum !

C’est Maryse qui entre à son tour, la porte étant restée ouverte.

– Ben les garçons, qu’est-ce que vous foutez, la bite à l’air ? S’amuse-t-elle.…
– On se suçait un peu ! Répond Paul.
– Mais c’est très intéressant, ça et je peux voir ?
– Bien sûr Maman, tu veux qu’on se mette en 69 ?
– Non, je ne verrais rien, Mettez-vous à poil tous les deux et Gilles va sucer Paul.

Elle est bien directive, la Maryse, on ne me demande même pas mon avis, mais j’obtempère .et une fois que nous fussions nus, je m’agenouille pour reprendre en bouche la jolie bite de Paul.

Qu’est-ce que c’est agréable de faire ça, je crois que j’ai véritablement découvert quelques chose.

Et pendant que je me délecte de ce beau membre, il se passe quelque chose d’incroyable.

Maryse s’est complètement déshabillée et vient s’agenouiller à me côtés. Elle me fait signe par geste qu’elle voudrait bien, elle aussi profiter de cette jolie pine.

Je la laisse faire et assiste à ce spectacle hors norme de Maryse suçant goulûment la bite de son propre fils. Elle m’avait hier suggéré l’avoir déjà fait, mais là c’est devant mes yeux, et ça me fait bander trop grave.

– Je suis cochonne, hein ! Commente-t-elle à mon intention en se relevant.
– C’est qu’on ne voit pas ça tous les jours ! Répondis-je un peu bêtement.
– On ne fait rien de mal à ce que je sache ! Ajoute-t-elle.
– Certes !

Je ne vais pas aller la contrarier, d’autant qu’à l’évidence je ne peux lui donner tort… mais quand même…

– Il y a longtemps que tu ne m’as pas enculé ! Dit-elle ensuite à son fils.
– Tu voudrais ? Maintenant ?
– Ben oui, j’ai comme une envie.

Et devant mes yeux subjugués, la Maryse se plie en deux en s’arboutant sur la commode, s’écarte les fesses et attend l’assaut.

Paul s’encapote (il la sort d’où sa capote ?) et fait pénétrer sa bite dans le cul de sa mère avec une facilité déconcertante..

Mais voilà que raisonne le carillon de la grille d’entrée.

– Qu’est-ce que ça veut dire ? Je déteste être dérangée quand je suis en train de me faire enculer !
– Le facteur peut-être ? Suggère Paul.
– Non, il est déjà passé, ce doit être le Père Michel, je lui ai commandé un poulet et des œufs, mais il est bien matinal je trouve. Restez-là, ne vous rhabillez pas, je reviens.

Maryse se rhabille sommairement et descend. Avec Paul on reste à comme deux andouilles sans savoir quoi se dire.

Quelques courtes minutes plus tard, Maryse revenait accompagnée d’un monsieur d’un certain âge comme on dit, belle prestance, un beau vieux comme on dit. Il tient en laisse un gros chien beige genre labrador.

Je cache ma nudité comme je peux.

– Gilles je te présente, le père Michel, comme je te l’ai dit hier, il adore enculer les hommes jeunes.
– C’est vrai, jeune homme vous aimez ça ? M’apostrophe-t-il.
– Euh, on va peut-être un peu vite ! Balbutiais-je.
– Non, c’est la vie qui va trop vite, c’est pour cela qu’il faut profiter des occasions. Je vais vous montrer ma bite, vous voulez bien ?
– Allez-y, il me semble que vous en mourrez d’envie.

Et le père Michel sort de sa braguette une bite demi-molle mais de bonne taille.

– Alors elle te plaît ?
– Elle est belle !

Et sans prévenir le père Michel m’attrape mes tétons et me les tord, une caresse qui me fait bander encore plus raide.

– T’aimes ça, un petit pédé ?
– Je ne suis pas pédé !
– Si ! En ce moment tu es un pédé et tu vas me sucer la bite.

Je ne réponds pas mais m’accroupis pour emboucher cette jolie bite. C’est donc ma troisième bite que je suce depuis que je suis arrivé ici, il va falloir que je prenne des notes si je veux me souvenir de tout cela !

Et pendant ce temps-là, Maryse s’est posée en levrette sur le lit et se fait défoncer le cul par son fils.

– Regarde-moi cette cochonne, elle miaule comme une chatte en chaleur ! Allez, tu m’as assez sucé, tourne-toi, je vais te préparer le cul. Oh, les jolies fesses ! Et tu me diras que tu n’es pas pédé après ça ! Ecarte-les bien que je puisse te lécher la rondelle..

En voilà un contact qui est bien agréable ! Il sait y faire ce vieux cochon. Après cette petite fantaisie, c’est son doigt qui vient pénétrer dans mon anus, et vas-y que je rentre et que je sors…

Maryse2Et cette fois je sens le gland qui quémande l’entrée. Je m’écarte au maximum et je pousse afin de lui faciliter l’accès. Il n’est pas entré du premier coup, mais monsieur est persévérant et voici que j’ai sa bite dans mon fion. C’est gros son truc, je ne sais pas si je vais supporter, pour l’instant ça me gêne. Et le voilà qui s’enfonce davantage, la sensation de gêne s’accentue encore.

Je suis à deux doigts de lui dire d’arrêter ce cirque, et le voilà qui se met à bouger. C’est donc ça la sodomie ! Mais c’est nul. Je ferme les yeux, j’attends que ça se passe. L’autre continue à coulisser. Ça va mieux ! Ça va beaucoup mieux et me voilà envahi par des frissons de plaisir. Que c’est bon !

– Oh tu m’encules bien, c’est trop bon.

Et le voilà qui s’excite comme un pou augmentant la cadence et me faisant hurler de plaisir. Il pousse un cri en déchargeant dans mon cul puis se retire.

– C’était comment ? demande-t-il
– Super.

De leur côté Paul et Maryse ont terminé leur petite sodo. Maryse s’est assise sur le bord du lit, les cuisses écartées et le chien est venu lui lécher l’entre-jambe.

Quelle famille ! Mais quelle famille !

Mais il va falloir que j’y aille…

– J’ai bien envie de faire encore des trucs avec toi, ça te dirait de baiser ma femme, c’est une belle cochonne, tu sais…
– On ferait ça quand ?
– Pourquoi pas ce soir avant le diner ? Tout le monde est invité.

Je ne suis pas à un jour près, je ne partirais donc que demain.

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Dimanche 22 mai 2022 7 22 /05 /Mai /2022 09:34

Ciel ! La douche est occupée par Irénée Vardin

stamp transblack

Ciel ! La douche est occupée

Par une magnifique shemale bronzée.

Elle m’invite à venir près d’elle, cette cochonne !

On se caresse, on se plote, on se savonne.

Doucement, ses mains descendent

Et trouve ma bite qui bande,

Je lui rends volontiers la politesse

Sans oublier de lui tâter ses fesses.

Je me penche en avant afin de la suçailler

Que c’est bon une bite de trans dans le gosier !

Je me retourne, c’était fatal,

Et lui offre mon trou de balle.

Elle me sodomise bien profond

Me faisant intensément jouir du fion.

Que c’est bon de se faire enculer

Sous une douche tiède en été

Quand il fait si chaud dehors

Et même que je n’ai aucun remord !

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Samedi 21 mai 2022 6 21 /05 /Mai /2022 07:06

Ma soumise, ma mère et son chien par Elian Lvekman
Spanking

 

Nous sommes samedi et c’est la fin de l’été.

Mon téléphone sonna. Je regardais la pendule, il était 16 h 30

– Je te téléphone comme convenu ? M’annonça une douce voix féminine.
– Oui !
– Je t’envoie quelques instructions par SMS. Tu devras être là à 18 heures précises, sinon tu seras punie.

Il y avait 12 mois que je connaissais ‘Bénédicte, une petite bourgeoise fraichement divorcée qui avait passé une annonce à la recherche d’un maître. La trentaine, brune aux cheveux longs, légèrement potelée, jolie poitrine. Au bout de 6 mois je pouvais lui demander pratiquement tout ce que je voulais, elle obéissait comme une bonne soumise. Ce soir, après s’être préparée selon mes volontés, elle devra prendre le bus qui 15 minutes plus tard la déposera au bas de chez moi.

Je l’attendais vêtu d’un simple robe de chambre. La pendule indiquait 18 h 02 quand j’entendis le bus s’arrêter. 3 minutes plus tard la sonnette m’avertit de la présence de mon invitée. j’entrouvris la porte et elle pénétra dans l’entrée. Elle était vêtue d’un imperméable fermé à l’aide d’une ceinture.

– Tu es en retard ! Salope !
– Oui.

Elle ne cherchais même pas d’excuse. Je la giflais plusieurs fois de suite, puis lui ayant ordonné d’ouvrir la bouche je lui crachais plusieurs fois à l’intérieur.

– Ce n’est qu’un avant-goût ! Tu le sais !
– Oui, je mérite d’être punie.
– En effet, mais avant, fais-moi voir si tu as bien suivi mes instructions.

Elle défit la ceinture de l’imperméable, les deux pans s’écartèrent laissant voir son corps nu, ses seins lourds pendaient, ses tétons portaient chacun une pince à linge.

– Retire-moi cet imper, lève les bras et tes cuisses de pute !

Sur chaque lèvre de son sexe qu’elle avait parfaitement épilé une pince à linge pendait.

– Mais, il manque la pince sur ton clito !
– Oui… je ne pouvais pas la supporter… alors je l’ai enlevée en attendant le bus.
– Soit ! Mets-toi au milieu de la salle ? Les mains au-dessus de la tête.
– Comme ceci ?
– Non ! Mets-toi à genoux. Et ouvre la bouche ! Tu sais ce que je vais faire ?
– Oui, tu vas me pisser dessus !
– Je me demande si c’est vraiment une punition ! Tu aimes boire ma pisse ?
– Oui, ta pisse est délicieuse !
– Et si je te chiais dessus ?
– Je ne sais pas, mais je veux bien essayer !

Je ne sais pas si je ferais ça un jour, mais pour l’instant, il faut que je pisse.! Mon jet est dru, je vise ses seins qui se recouvrent de ma liqueur dorée, Bénédicte se tortille pour en recevoir dans la bouche. Manifestement elle se régale ! Quelle belle salope !

Je m’approchais d’elle et caressais ses fesses, elles étaient fermes, bien rebondies et sensibles. Je plaquais ma main sur une fesse que je pétris fermement cherchant le petit cri de douleur qu’elle allait émettre mais il ne vint pas. Elle était en forme ce soir !

– Ouvre les cuisses !

Passant une main par derrière je remontais vers les grandes lèvres écrasant au passage les deux pinces à linges, elle sursauta mais ce fut tout. Je plongeais mon index dans son intimité à la recherche d’une humidité suspecte.

– Tu mouilles déjà ?

Pinces2911De l’autre main je caressais ses seins effleurant les tétons prisonniers, je la retournais pour mieux lire son visage tandis que mes doigts pinçaient le bout des pinces accentuant ainsi la pression, un cri jaillit. Je plaquais ma bouche sur la sienne pour recueillir cette douleur tandis que je tripotais ses seins encore plus fort, je vis naître au coin de ses yeux deux larmes que du bout de la langue je léchais avant de relâcher mon étreinte.

– Reste comme ça, cuisses écartées et mains sur la tête.

Je défis une à une toutes les pinces, je lu dans ses yeux toute la violence qu’elle se faisait pour ne pas gigoter.

– Tu restes comme ça, défense de bouger ! Tu te souviens du mot de sécurité ?.

Elle me regarda bien en face :

– « Ours bleu »… mais ne compte pas trop sur moi pour l’utiliser un jour.

Ce petit mot convenu entre nous était le signal d’arrêt de nos jeux, si un jour elle le prononçait j’arrêterais immédiatement la séance car à ce moment la douleur ou l’humiliation serait à la limite du supportable.

– Maintenant tu vas être punie pour ton retard, pour cinq minutes dix coups de martinet, devraient faire le compte ! Debout, chienne !

Je pris sur une desserte un martinet avec trois longues lanières de cuir de 2 centimètres de large. Je me plaçais derrière elle et les lanières vinrent s’enrouler sous son aisselle droite effleurant de l’extrémité la naissance du sein, je frappais de même sous l’aisselle gauche. Elle se plia sous le coup et poussa un petit cri.

– Silence !

J’attendis un moment, qui lui parut très long avant de faire un aller-retour : aisselle droite, aisselle gauche .Elle rabattit ses bras le long de son corps pour se protéger. Je lui fit faire demi-tour, elle gémissait.

– On se calme ! Je te signale que ta punition n’est pas terminée, mais tu peux te rhabiller et foutre le camp !
– Oh NON, NON ! Je suis à toi ! Dit-elle en mettant ses mains derrière sa tête.

Brave fille !

La regardant bien en face, je fouettais le dessous de ses deux seins; aux creux de ses aisselles des marques rouges naissaient, je marquais encore sa chair, quand les lanières vinrent s’enrouler autour des mamelons, elle chercha à se protéger en plaquant ses mains sur ses seins.

– Derrière la tête ! Morue !

Elle gémissait et des larmes coulaient sur ses joues.

– Offre-moi tes seins !

Elle hésita puis bomba sa poitrine, ses tétons érigés tendaient les pinces vers l’avant. je levais le martinet et avec une certaine douceur les lanières s’enroulèrent autour de la pince gauche, je relevais le bras et de nouveau le cuir lécha la pince droite. Elle partit dans un hurlement, se plia en deux, serra ses seins dans ses mains, ses cuisses se serrèrent et une houle s’empara de son ventre tandis qu’un liquide se répandait sur ses cuisses. Je la laissais récupérer contemplant son jolie corps maintenant strié de trainées rougeâtres.

– Bien, maintenant ta punition pour la pince que tu as oubliée sur ton clito… j

J’hésitais un moment lisant une frayeur feinte sur son visage.

– Que dirais-tu d’une masturbation avec les doigts de crin ?
– Oh ! NON ! Pas ça, ça fait trop mal !
– Si, on va faire ça et en plus je vais poser une pince sur ton clito ! Approche !

Elle avança de quelque pas, son sexe était à portée de main. J’écartais les grandes lèvres et dépliais les petits lèvres repliées. Je décapuchonnais le clito et le roulait entre pouce et index, son ventre se tendait sous cette caresse comme pour que je l’accentue. le clito gonflait et durcit quand je fis aller et venir le capuchon. De la main gauche je préparais une pince à linge, tirait le capuchon le plus en arrière et posais les mâchoires à la base du petit organe.

– Aie ! Aie ! Ah ! J’ai mal !
– Ta gueule !

J’observais le visage de Bénédicte , je pouvais lire toute la douleur qu’elle ressentait, elle se mordait les lèvres pour retenir le moindre cri.

– Enfile ce gant ! (un gant de crin avec cinq doigts.)

– Allez caresse toi, tu dois te faire mouiller sinon, ce ne sera pas une autopunition, je devrais t’attacher sur la table et je pense que mes caresses ne seront peut-être pas si douces que les tiennes. Commence par l’intérieur de tes cuisses !

Le gant glissa sur la peau douce, laissant derrière lui des traces rouges, elle se pencha guidant sa main vers ses fesses irritant son périnée avant de revenir sur ses cuisses.

– Ton ventre maintenant !

Elle remonta vers ses hanches pour revenir sur son pubis, sa chair se colorait de rose au fur et à mesure de ses attouchements.

– Pénètre toi !

Elle hésita, me regarda et sa main se posa sur ses lèvres; elle eut un mouvement de recul. Le gant écrasa sa vulve, écartant les grandes lèvres pour venir se poser sur l’intérieur. Un cri s’échappa de sa bouche quand le crin irrita le clito et écrasa la pince. Elle retira sa main brusquement. Je guettais cet instant depuis un moment, m’emparant de sa main je la guidais à l’intérieur de sa vulve, obligeant à enfoncer ses doigts de crin. Elle ne la retira pas et poursuivit sa caresse enfonçant son doigt gainé entre les petites lèvres remontant vers le clitoris qu’elle excitait avant de ressortir, de frotter ses grandes lèvres et replonger entre ses petites lèvres pour un nouveau voyage.

Sur son visage je pouvais lire à chaque instant la partie de son intimité qu’elle caressait, ses lèvres étaient gonflées par les morsures qu’elle s’imposait et ses yeux s’embuaient de larmes. Je jugeais qu’il fallait que la caresse cesse, je repris sa main et la retirais de son ventre, mes doigts se mirent à glisser sur la peau rouge, mon index s’enfonça entre ses lèvres déjà lubrifiées par une mouille abondante. Je pénétrais profondément. A peine l’avais-je effleuré que tout son ventre frémit, un flot de cyprine coula sur ma main, dans sa vulve dilatée j’enfonçais trois doigts, elle balança alors son corps de gauche à droite en un mouvement de toupie. Brusquement elle gémit, poussa de petits cris de plaisir mêlés de douleur. Je dû accompagner sa chute vers le sol tant la vague qui l’emportait était violente.

Tandis qu’elle continuait de s’agiter sur le plancher, je caressais ma bite dure comme du bois, ce corps m’excitait, ces seins me donnaient des envies folles, ses fesses dures et rondes ne demandaient qu’à rougir davantage, à l’idée des extrêmes que je pouvais lui imposer ma branlette se fit plus violente. Ses gémissements me sortirent de ma rêverie. Je l’aidais à se relever.

– C’était horrible, mais je n’ai jamais joui ainsi ! Tu recommencera, dis ?
– On verra, pour l’instant viens te mettre à genoux et tu me suceras

Elle aimait sucer, mais pas comme je le désirais. Si elle préférait agir sur le gland et se livrer à des allers et retour rapides, je préférais quant à moi qu’elle me prenne la bite entière dans sa bouche.

Je m’emparais de deux pinces à vis terminées par une poignée. Je posais les mâchoires à la base de chaque téton, serrait la vis, le téton devenait alors gros comme une noisette. Une fois à genoux je prenais une poignée dans chaque main et tandis que sa langue glissait sur mon gland je tirais plus ou moins fort sur ses tétons pour la forcer à engober davantage. Quand le plaisir approcha du point de non-retour je la repoussais. Je pris la laisse qui la reliais à moi par la pince sur le clito.

– Mets-toi à quatre pattes !

Je fis passer la lanière entre ses cuisses remontant ainsi entre ses fesses.

– Ouvre tes fesses !

Elle écarta ses deux monts dévoilant son petit trou et sa rondelle.

– Pousse !

Comme elle ne s’ouvrait pas assez rapidement je tirais sur la laisse

– Aie !

Je poussais mon index dans son petit trou lui imprimant un mouvement de rotation, peu à peu elle s’ouvrit. A genoux derrière elle, tenant ma queue d’une main je retirais mon index que je remplaçais par mon gland .A peine dut-elle le sentir qu’elle propulsa son cul en arrière s’empalant elle-même. De la main je caressais sa vulve excitant son clito, de l’autre main j’excitais ses tétons. Elle animait son cul d’avant en arrière ce qui nous amena à une jouissance violente quasi simultanée.

Allongée sur la moquette, sa tête posée au creux de mon bras je caressais son sein excité par les gémissements qu’elle émettait quand je pinçais son bout.

– Tu recommenceras ! J’adore ce que tu me fais !
– On va se reposer un peu, ce n’est pas tout à fait terminé. J’ai une petite surprise.
– Je suis épuisée…
– Je sais mais je vais te présenter quelqu’un.
– Non, on avait convenu qu’il n’y aurait jamais de tierce personne. Est-ce que je dois dire le mot de sécurité ?
– Tu fais ce que tu veux, mais je serais à ta place j’attendrais un petit peu.

Et le carillon de la porte d’entrée retentit. (On apprécier le timing !)

– Tu te mets à genoux et tu ne bouges pas !

Je craignais qu’elle utilise le mot de sécurité d’un moment à l’autre, mais apparemment elle avait décidé d’attendre.

Je fis entrer ma mère qui tenait en laisse Kogal, son grand labrador.

– Je te présente ma mère !
– Ta mère ? Quoi ? Mais tu es complètement malade !

Elle tente de cacher sa nudité, se lève, enfile ses chaussures et son imperméable, prend son sac à main et se dirige vers la porte.

– On peut peut-être discuter ? Tentais-je.
– Non mais tu t’es vu, espèce de dépravé, tu reçois ta mère, la bite à l’air et tu n’as même pas honte !
– Tu te crois bien placée pour parler de dépravation ?
– Ça n’a rien à voir !

Elle ouvre la porte, elle va la franchir, je ne la verrais sans doute plus. Elle n’a pas prononcé le mot de sécurité, mais qu’importe, j’ai joué et j’ai perdu.

Elle semble hésiter à sortir, et là elle me bluffe, elle ne sort pas, referme la porte, revient, retire ses chaussures, enlève son imper et se remet à genoux.

– O.K. j’ai juste envie de voir jusqu’où tu oseras aller !

– Elle est bien jolie, ta soumise, mais qu’est ce qui lui a pris ? Je lui ai fait peur.? Me dit ma mère.
– Disons qu’elle a été un peu surprise !
– Mais dis donc, tu bandes comme un cochon !

Ma mère me prend la bite avec sa main et me la branle quelques instants.

– Je vais te sucer un peu, Mademoiselle, ça ne vous dérange pas que je suce mon fils devant vous, je ne voudrais pas que vous soyez jalouse.
– Je vous en prie, faites comme bon vous semble, je ne suis qu’une esclave. Mon avis n’a aucune importance.

Ma mère se baissa et me prit en bouche après m’avoir bien décalotté, puis commença une série d’allers et retours rapides qui me provoquèrent de délicieux frissons.

– Viens-là toi, l’esclave, on va le sucer à deux.

Bénédicte s’approcha et c’est donc deux bouches vicieuses qui s’occupèrent de mon chibre, le léchant, se le repassant en un ballet torride.

A ce rythme,, je ne pu me retenir longtemps et laissais jaillir mon foutre en un jet puissant maculant le visage de ces deux débauchées.

Les deux femmes s’échangèrent ensuite un baiser profond, un baiser au gout de sperme.

– Humm ! Ça m’a trop excité, tout ça ! Dit ma mère. Dit à ton esclave de venir me lécher la moule !
– Tu as entendu, esclave !

Ma mère se déshabille. A 50 ans c’est encore une très belle femme, le visage n’est pas abimé éclairé par ses beaux yeux bleus et encadré par une chevelure blond cendré.

Elle se déshabille prestement, dévoilant sa jolie poitrine aux tétons arrogants. Je ne peux m’empêcher de venir y poser ma bouche vicieuse.

– Du calme, mon fils, si tu es sage, tout à l’heure tu pourras m’enculer. D’ailleurs il conviendra sans doute de vérifier les lieux, esclave, passe derrière moi et vient me renifler le trou de mon cul.

Bénédicte obtempère et vint humer l’anus de la mère.

– Alors il sent comment, mon trou du cul ?
– Un peu fort, madame !
– Parfait, au moins tu es franche, passe devant, attends, je vais m’allonger sur le canapé et toi tu vas venir entre mes cuisses. Et tu as intérêt à me faire jouir.
– Oui madame !
-Tu as déjà léché beaucoup de chattes ?
– Non, madame !
– Ce ne sera pas la première fois, tout de même ?
– Si, madame !
– Bien, il faut bien commencer un jour ! Alors vas-y et si tu te débrouilles mal, tu sera punie, on est d’accord ?
– Oui, madame.

Quelque chose me dit que quel que soit le résultat, Bénédicte écopera d’une punition.

– Tu me lèches bien la chatte et quand je te le dirais tu t’occuperas de mon clito.

Je n’ai pas vu si souvent ma mère se faire gouiner, mais j’avoue que le spectacle est fascinant, et la différence d’âge entre les deux femmes ajoute à l’excitation.

– Caresse moi les nichons en même temps, non pas comme ça, pince-les,… Plus long tes coups de langues… comme ça oui, un peu plus vite… Aaah, tu vas me faire jouir, salope ! Le clito, le clito…

Une minute plus tard, ma mère jouissait libérant un geyser de mouille. Bénédicte se redresse se demandant ce qu’elle doit maintenant faire.

– Reste assise sur le bord et écarte les jambes, il va peut-être se passer quelque chose

Ma mère prélève un peu de sa mouille qui dégouline pour la déposer sur la chatte de Bénédicte qui se laisse faire, passive.

– Kogal, viens mon chien !

Il arrive à toute vitesse, pose son museau entre les jambes de sa maîtresse et se met à lui lécher l’entre-cuisse sans autre préambule.

– Oh ! Ne peut s’empêcher de s’exclamer Bénédicte.
– Ben quoi ! Il y a un souci ? Demande ma mère avec une moue malicieuse.
– Je ne sais pas…
– Eh bien, regarde bien, parce qu’après ça va être ton tour.
– Non pas ça !
-Il ne va pas te mordre, il est très gentil !
– Mais…c’et un chien !
– Ben oui, c’est un chien , tu es très observatrice.
– Je ne peux pas faire ça !
– Laisse-toi faire ! Et d’ailleurs c’est un ordre ! Intervins-je.
– Si c’est un ordre, je veux bien essayer !

Ma mère fit alors en sorte que le chien change de partenaire, et celui-ci se mit à laper d’abondance la foufoune de Bénédicte.

– Oh, la la ! Qu’est ce vous me faites faire ! Je suis vraiment une trainée.
– Ça ne fait de mal à personne ! Répondit ma mère. Couche le chien ! Me demanda-t-elle, que je puisse lui sucer la bite !

Bénédicte ouvre la bouche, stupéfaite, mais incapable de sortir un son. Ma mère branle quelques instants la bite du chien qui ne tarde pas à sortir droite de son fourreau, puis l’embouche avec une expression de défi.

– Vous n’allez pas me demander de faire ça ? Bredouille Bénédicte.
– Tu nous as bien dit que tu étais une trainée ?

Elle ne répond pas, mais je crois qu’elle devine à peu près ce que je vais lui dire.

– Eh bien ! Repris-je, si tu es une trainée, tu dois sucer la bite du chien !
– Est-ce un ordre ?
– Oui !

Bénédicte prend une profonde aspiration, puis se baisse pour venir à côté de ma mère. Elle est maintenant toute proche de la bite, elle hésite croise mon regard en sachant bien que je ne lui serais d’aucun secours. Alors quand ma mère lui tend l’organe, elle ferme les yeux et l’embouche. C’est comme on dit le premier pas qui compte, les deux femmes se repasse le membre viril à tour de rôle, font quelques pauses pour s’embrasser à pleine bouche.

Ma mère se relève, puis s’installe en levrette sur la canapé, les cuisses écartées, les fesses offertes ! Qu’elle est belle ma mère offrant ainsi tous ses trésors. Je bande de nouveau comme un cerf, je m’approche pour l’enculer.

– Non d’abord le chien !.

Bénédicte m’a demandé la permission d’aller boire un verre d’eau. Quand elle revient elle a devant ses yeux le spectacle de ma mère se faisant couvrir par le labrador.

Je crains une réaction négative, et il n’entre pas dans mes intentions de demander à ma soumise de l’imiter. Mais non, elle paraît subjuguée par le spectacle de ce vit qui entre et qui sort du vagin de ma mère à une cadence infernale.

Ce fut à mon tour d’âtre subjugué, Bénédicte vint se placer à côté de ma mère dans la même position qu’elle. Du coup le chien sans que je sache pourquoi se décolla de ma mère pour venir saillir ma soumise. Du coup, je m’approchais une nouvelle fois de ma mère et je l’enculais.

Bientôt le salon s’emplit de nos cris de jouissance tandis que flottait dans l’atmosphère une odeur de foutre.

– Ça va, j’ai été assez salope ? Me demande Bénédicte.
– Tu es formidable, je t’adore.
– Je l’ai fait pour toi, j’espère que tu me garderas longtemps comme soumise.
– Ne t’inquiètes pas ! J’avais plus ou moins prévu qu’on fasse une petite bouffe tous les trois, je peux commander des pizzas, ça te dis ?
– Pourquoi pas, ça donne faim, tout ça !
– Tu n’as que ton imper pour t’habiller, je vais te prêter un peignoir.
– Je peux lui embrasser le seins avant qu’elle ne les planque ? demande ma mère.
– Mais c’est à elle qu’il fait le demander, pour l’instant le jeu est fini, ce n’est plus ma soumise… jusqu’à la prochaine fois.
– Bien sûr que tu peux me lécher les seins, mordille-les un peu, j’aime bien qu’on me fasse un peu mal.

Et les deux femmes d’étreignirent avec infiniment de tendresse

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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