Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:05

Chanette 29 – La croisière de l’Espadon – 1 – Les bijoux de Jimmy

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Chanette2

Prélude

1er mars

Hubert Vargas, le directeur général de « Mariano Incorporation » a rendez-vous avec Loïc Jampeau dans un petit bistrot de Montmartre.

Jampeau est officiellement agent de sécurité, mais c’est aussi une sorte d’exécuteur de basses œuvres qui ne se pose pas trop de questions, Si on lui demande de démolir quelqu’un il le fait sans aucun état d’âme.

– Le marché pourrait tenir en deux mots, nous voulons éliminer Chauvière ! Commence Vargas.
– Pourquoi « pourrait ». Je contacte un tueur et l’affaire sera tout de suite réglée.
– Non, la police enquêtera, ils voudront savoir qui a commandité le tueur, ils savent faire.
– Le risque est minime…
– Il est peut-être minime mais il existe ! Il faut faire autrement, Je pense à une mise en scène impliquant l’un de ses clients. Si on a un coupable identifié on ne remontera probablement pas jusqu’à nous. Reprend Vargas
– Et vous croyez que le faux coupable ne va pas se défendre ?
– Si, mais j’ai une petite idée…
– Vous pouvez me dire ?
– La méthode Kennedy !
– C’est quoi ça ?
– En 1963, aux Etats-Unis, un mec assassine le président Kennedy, on ne sait pas qui avait commandité l’assassinat, et on ne le saura jamais, et vous savez pourquoi ?
– Non, j’étais pas né !
– Ben l’assassin a été assassiné dans la foulée.
– Oui bien sûr, tout est possible, mais ce n’est pas si simple. Je réserve ma réponse sur cet aspect des choses, Pour le reste je vous écoute.

Et Vargas expliqua à son interlocuteur l’esquisse d’un scénario…

– J’y réfléchis, j’affine tout ça, on se revoie demain, même heure.

Laissons ces sales bonhommes échafauder leur plan crapuleux et venons plutôt dans mon studio (où il fait chaud) quelques jours plus tard

Lundi 7 mars

Aujourd’hui je porte une petite robe noire en vinyle, se terminant à mi-cuisse et dotée d’un décolleté plongeant.

Je ne connaissais pas ce type, banal, quelconque, crâne rasé, jean et blouson de cuir, baskets neuves et tape à l’œil.

– Bonjour, je suis Jimmy, j’ai rendez-vous…
– Entre mon grand, et dis-moi ce qui te ferais plaisir ?
– Des fessées, j’aime bien les fessées, mais pas trop fort !
– Juste des fessées ? Tu ne veux pas essayer autre chose ?
– Non, non !
– C’est comme tu veux, mais en principe mes clients ne se plaignent des prestations que je leur propose.

Bon, je ne vais pas insister lourdement. Eventuellement j’improviserais en cours de séance.

– Tu aimes bien qu’on te domine ? Tu aimes obéir ?
– Comme ça…

Quel enthousiasme !

– Bon tu me paies et tu te fous à poil.

Il se déshabille sans se presser, il ne bande pas

– Je ne dois pas être très en forme ? M’indique-t-il.
– T’inquiète ! On va arranger ça !
– Vous ne vous déshabillez pas ? Murmure-t-il
– Non ! Sauf si tu rallonges un peu de sous.
– On ne feras pas l’amour alors ?
– Ecoute, mon gars, je me demande si tu ne t’es pas trompé d’adresse, je ne fais que de la domination et je n’ai jamais aucun rapport sexuel avec mes soumis (oh, la menteuse !) Alors si tu veux on arrête de perdre notre temps tous les deux, tu te rhabilles, tu reprends tes sous et on arrête-là.
– Non, non, vous êtes vraiment très belle, je veux passer un moment avec vous.
– O.K. mais maintenant plus de retour en arrière possible, si tu te sauves, ce sera sans les sous !
– Oui !

Je me positionne devant lui, lui passe la main sur son torse en cherchant à faire pointer ses tétons qui pour le moment sont complètement raplapla.

J’insiste un peu, les escargots sortent de leurs coquilles et je pince.

– Mais… bredouille-t-il
– Quoi ? tu n’aimes pas ?
– Si…
– Et en plus ça te fait bander, regarde comme elle se redresse, la coquine !
– Vous êtes une diablesse !

Je pince davantage.

– Aïe !
– Ça fait mal ?
– Pas plus fort !
– Chochotte !

Je le pinçouille encore un peu, lui arrachant une vilaine grimace.

– Maintenant tu vas l’avoir ta fessée ! Mais dis-moi pourquoi veut-tu une fessée ? Tu as fait des bêtises ?
– Non, j’aime bien, c’est tout

Pas très joueur le bonhomme !

– Et tu la veux comment ta fessée ? Cravache, paddle, mains nues.
– Mains nues !
– Humm, tu sais que quand on fesse quelqu’un trop longtemps, on attrape vachement mal aux mains ?
– Ne le faites pas longtemps !
– Bon on y va, tu vas aller dans la petite salle de bain à côté et tu me rapporte une serviette, je n’ai pas envie que tu me fasses des saloperies sur ma jolie robe.

Je ne le fais pas pénétrer dans le donjon, ça ne lui apporterait rien, et m’assois dans le fauteuil du salon. J’invite ensuite mon soumis à poser la serviette sur mes cuisses, puis à s’allonger sur elles.

– Hum, mais dis donc tu as un beau petit cul, toi !

Chanette2901En fait il est très quelconque, mais je dis ça à tout le monde. Il ne répond pas. Je tape une dizaine de fois avant de m’arrêter.

– Ça chauffe, hein ?
– Oui, c’est bon…
– Dis-moi, on t’a déjà mis un doigt dans le cul ?
– Ah, non ! Non !
– Et si je te le fais, qu’est-ce que tu vas dire ?
– Non pas ça.
– Je te propose un deal, si tu te laisses faire, je te montre mes nichons sans supplément et tu pourras leur jouir dessus…
– Ah ?

Il n’a pas dit non ! Il n’a pas dit oui non plus !

Je continue à taper, j’ai de petites mains délicates et en ce moment cette petite fantaisie est en train de leur faire mal.

– Relève-toi !
– C’est déjà fini ?
– Non, retourne dans la salle de bain et apporte-moi ma brosse à cheveux, celle avec les piquants.

Il obéit sans rechigner. Normal à moins d’être complètement obtus, facile de comprendre ce que je vais faire.

On se remet en place, et cette fois je tape avec le dos de la brosse, ça à l’air de convenir à monsieur.

– Bon, on va conclure, tu bandes toujours?!
– Oui !
– On fait comme on a dit ?
– Ben…
– Ben si tu n’arrives pas à te décider, je vais me décider pour toi !

Et sans attendre de réponse, je mouille mon doigt et je le lui fous dans le trou du cul.

Il est surpris, le Jimmy et doit se demander comment exprimer sa réprobation, mais je ne lui laisse pas le temps, j’agite mon doigt en une série d’aller et retour avant de le retirer

– Ça va ?
– Oui !

Il ne sait pas faire des phrases, ce mec ?

– La prochaine fois, je te mettrais un petit gode !

La tête qu’il fait !

J’écarte le haut de ma robe libérant ma poitrine, Il écarquille les yeux, il bave, il y avait longtemps que je n’avais pas fait un effet pareil à un bonhomme !

Il s’agite le poireau avec frénésie,

– Pas sur le visage !

Trois grosses giclées m’atterrissent sur les nénés. Ça tombe bien on n’avait pas rangé la serviette.

Fin de la prestation. Mais voici que contre toute attente, Jimmy me montre qu’il est capable de faire des phrases :

– J’ai une affaire à vous proposer… Me dit-il tout en se rhabillant avec une lenteur désespérante.
– Dites toujours, mais ne vous faites pas d’illusion, je ne cherche pas à faire des affaires…
– On dit ça, on dit ça ! Je vais vous montrer quelque chose.

Et le voilà qu’il sort de sa veste un petit pochon lacé, en velours bleu outremer, il l’ouvre et en recueille le contenu dans sa main gauche.

Ça brille. On dirait bien des diamants. Je pose évidemment la question idiote que tout le monde aurait posé en pareilles circonstances.

– C’est des vrais ?
– Oui je vais vous expliquer ! Vous avez cinq minutes ?
– Cinq minutes ? Oui !
– Je ne me livre à aucun trafic, je gagne bien ma vie, je suis directeur des ventes dans une grosse boite… Passons, vous avez entendu parler du casse de la bijouterie Kleberson ?
– Oui, comme ça !

En fait non ! Mais peu importe !

– Je me trouvais rue Castelvoisin dans le 8ème arrondissement, et j’ai vu un type courir comme un lapin, il m’a dépassé, les bras chargés de boites, du moins je crois, je ne l’ai pas vu longtemps. Un sachet tombe carrément devant moi, par réflexe je le ramasse. Quelques instants plus tard une voiture de flic déboule, ils ont rattrapé le type et l’ont embarqué. Et moi je suis resté avec mon sachet. Evidemment je n’ai pas été le rendre !
– Et c’est quoi votre affaire ? Vous voulez me les vendre, vos cailloux ?
– Pourquoi pas, si vous m’en proposez un prix raisonnable. Sinon, peut-être que vous connaissez un receleur ?

Alors là mon cerveau se met à fonctionner à 200 à l’heure. Première chose, j’ai horreur de ces gens qui se figurent que parce que je fais commerce de mes charmes, je suis forcément en relation avec des tas de trafiquants en tous genres. Et d’ordinaire lorsqu’on me débite cette sornette, je sors de mes gonds mais dans le cas présent je me suis tue ! Pas folle la guêpe, si je peux faire quelque chose avec ses bijoux et en tirer bénéfice, je ne vais pas aller le contrarier.

– Je peux me renseigner ! Lui répondis-je simplement.
– Vous pensez avoir une réponse quand ?
– J’en sais rien… Une semaine ? Il faudrait que vous m’en laissiez un.
– C’est un peu délicat… Bredouille l’homme d’un air un peu bizarre.
– Si vous n’avez pas confiance, on laisse tomber.
– Mettez-vous à ma place, après tout on ne se connait pas ! Me dit-il en rougissant comme une tomate.
– Bon, allez salut !
– A moins que vous me signiez un reçu ! Reprend-il
– Un reçu ? Ça va vous obliger à me dévoiler votre identité…
– Oui, bon, je vais vous en confier un.

Et il m’en sort un de son pochon.

– C’est une affaire, il y en a 60, je n’ai pas tout emporté… c’est un lot à 200 000 euros, je peux vous le laisser à 150 000 !
– Hum !

Comment il a fait pour estimer la valeur du lot ?

– Alors je repasse vous voir dans une semaine ! A la même heure ?

J’ai bloqué le rendez-vous pour la semaine suivante et le type est parti.

J’avais un client tout de suite après, ce qui fait que je n’ai plus pensé à cet évènement jusqu’à l’heure de mon départ en fin d’après-midi

Dans le métro, saisi d’un doute, j’ouvrai mon smartphone et recherchais des infos sur ce casse de la rue Castelvoisin. Je trouvais :

« Casse chez Kleberson. Deux individus cagoulés ont braqué la célèbre bijouterie du 8ème arrondissement au cours d’une opération éclair, à 10 heures, ils se sont fait ouvrir un présentoir de bijoux dont ils ont embarqué le contenu dans un sac. La bijouterie n’a pas souhaité nous révéler le montant du préjudice mais on peut aisément l’estimer à plusieurs millions d’euros. L’alarme ayant été donnée, la police a pu se rendre très rapidement sur les lieux, mais les malfaiteurs avaient pu prendre le temps de s »enfuir. »

Bon voilà qui en pose des questions ! Parce que la version de Jimmy ne peut être que fausse : De deux choses l’une ou bien il a récupéré ces diamants je ne sais où et a brodé sur le casse de Kleberson pour faire « réaliste ». Ou alors les diamants viennent bien de chez Kleberson, mais dans ce cas, je n’ai pas affaire à un ramasseur chanceux, mais bien à l’un des braqueurs. Celui-ci aurait donc pris le temps de dessertir tous les diamants avant de me les présenter ?

Alors pourquoi me solliciter ? Les receleurs ça existe, non ? Je suppose que la police les connait presque tous, sans doute sont-ils à moitié indics. Est-ce pour cela que Jimmy ne va pas les voir ? Ou alors, la bande qui a fait le coup ne connait pas le milieu. Allez savoir ?

N’empêche que l’idée de proposer un troc chez quelqu’un de complètement étranger au milieu paraît astucieuse.

Maintenant voyons les choses autrement, j’ai amassé pas mal de sous avec ma petite activité. Je paie des impôts, mais les inspecteurs du fisc changeant tout le temps, j’ai eu droit à trois redressements fiscaux. Si je pouvais éviter ça en changeant mon liquide contre des diamants que je pourrais acheter « au rabais », je ferais une excellente opération !

Ça me turlupine, je ne sais pas quoi faire !

Mardi 8 mars

Ce mardi matin, n’ayant aucun rendez-vous et après avoir récolté quelques adresses sur Internet, j’ai pris le métro et me suis rendu à l’autre bout de Paris.

– Bonjour, monsieur j’ai trouvé ça dans les affaires de ma mère…
– Vous voulez le vendre ? Me répond le bijoutier gras comme un moine.
– Non je voulais juste savoir si c’est un vrai ?
– Autrement dit vous voulez une expertise ?
– Oui, m’sieu !
– Je vais vous demander 20 euros et votre carte d’identité.

Il m’énerve ce mec, je le plante, sors de là-dedans et me rends à une deuxième adresse.

Le type, genre fis à papa et content de l’être, ne me demande pas d’argent mais me demande une pièce d’identité. Comprenant qu’ils vont tous me la demander, je la lui présente. Il en fait une photocopie (mais pourquoi faire, bon sang ?) Puis il se met sur l’œil une espèce de loupe et observe l’objet.

Temps de l’expertise : à peine une minute !

– C’est du vrai ! C’est un joli saphir , si vous voulez je vous le reprends pour 2.500 euros.
– Non je ne vends pas !
– Je peux aller jusqu’à 3 000 ! C’est dommage que vous n’ayez pas apporté le pendentif qui va avec, c’est vous qui l’avez desserti ?
– Non, je l’ai trouvé comme ça dans les affaires de ma mère.
– Oui, bien sûr !

Il ne me croit pas ce con ! Serais-je une mauvaise menteuse ?

– Bon merci pour le renseignement, je peux récupérer ma carte d’identité ?
– Mais bien sûr chère madame, la voici. Si vous en avez d’autres même moins jolis, j’achète à un bon prix.
– Au revoir monsieur !

Je voulais simplement savoir si les diamants étaient en toc ou pas, j’ai ma réponse.

J’hésite. J’ai un peu de mal à évaluer les risques, mais j’ai une idée, je contacte Didier Remiremont mon détective préféré. (voir les épisodes 20, 24 26 et 27). Je lui explique l’affaire.

Ça l’intéresse et il veut bien procéder à une petite enquête… contre une petite prestation (le gros coquin). Ça tombe bien je peux le recevoir demain !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 22 avril 2023 6 22 /04 /Avr /2023 11:21

Partouze familiale avec Violaine par Elian Lvekman
stamp partouz

Bonjour, j’ai 39 ans et suis en couple avec Daphnée. Mes parents sont des libertins impénitents et passent systématiquement leurs vacances d’été au Cap d’Agde. Cette année nous partagions leur location.

Nous avions rencontré sur la plage naturiste, Violaine, une fille très délurée qui suçait des bites à la chaine et avec laquelle nous avions sympathisé.

Elle a accepté de partager avec nous le barbecue du soir… Nous avions aussi invité un autre couple… qui nous a fait faux bond. Nous serons donc cinq.

Les discussions allaient bon train, parlant de tout et de rien, mais les anecdotes sexuelles y allaient bon train. Alors que la nuit tombait, Daphnée proposa de faire un strip-poker, un peu débile de faire ça en milieu naturiste, mais bon…

Assis en rond dans le salon, on commença la partie et très vite, on se retrouva mon père et moi en boxer et tee-shirt et Daphnée, Violaine et ma mère en culotte et soutif. Daphnée perdit en premier et enleva son soutien-gorge libérant ainsi ses jolis seins. Ils étaient magnifiques (95e), puis ce fut moi qui perdis mon tee-shirt, puis mon père et ensuite Violaine. Elle se retourna, enleva tout doucement son soutien-gorge et le jeta au milieu du groupe. Elle nous fit admirer de jolis petits seins (85c) en forme de poire, je fus comblé et mon désir commença à monter en moi et à mon père aussi car une bosse commença à apparaître. Daphnée perdit de nouveau et elle se releva, se retourna et fit descendre sa culotte tout en bougeant ses fesses puis se retourna en jetant sa culotte sur la tête de mon père. Elle fut devant toute nue, dévoilant son sexe à nos yeux ce qui augmenta encore davantage nos désirs.

Reprenant la partie, c’est ma mère qui perdit exhibant sa belle poitrine bronzée ornée de jolis piercings. Puis ce fut à mon tour de perdre et dû enlever mon slip. M’étant relevé, je ne fis rien car Daphnée s’approcha de moi et tira d’un coup sec sur mon boxer libérant ma bite. Elle se retrouva devant sa bouche, elle fut à deux doigts de la saisir mais elle retourna à sa place.

Puis Violaine perdit et je m’approchai d’elle pour enlever son string. En le faisant descendre tout doucement, nous vîmes apparaître son sexe complètement épilé. Caressant au passage son sexe, moi doigt glissa entre ses deux lèvres et je sentis qu’elle mouillait.

Maintenant la partie se jouait entre ma mère et mon père et ce fut mon père qui perdit. Violaine se leva, suivit de ma mère et libéra le sexe bandé de mon père. ma mère avait sa bouche près de sa bite, elle était prête à la saisir, ses yeux brillaient d’envie. Elle fut déclarée « vainqueur » mais décida quand même d’enlever sa culotte.

Après quelques minutes de repos et après avoir bu quelques bières, Violaine nous proposa de continuer la soirée en regardant un film X. Trouvant la vidéo, nous commençâmes à regarder le film. mon père était entouré par Violaine et Daphnée, et ma mère était entre mes jambes. Au bout de quelques minutes de film, mes mains commencèrent à descendre sur ses seins en les caressant. Voyant cela, mon père commença à caresser les seins des deux autres puis descendit presque aussitôt sur leurs sexes. Ma main commença à lui faire de l’effet que ma mère car elle bougea un peu. Mon doigt monta puis descendit entre ses lèvres bougeant en travers en même temps et lui caressant son bourgeon d’amour. Violaine et Daphnée subissaient le même traitement tout en branlant mon père.

Violaine changea de place et vint devant eux, commença à se caresser son sexe et aida mon père dans ses caresses sur Daphnée. Celle-ci fut surprise mais se laissa faire. ma mère et Violaine eurent ensemble leur premier orgasme suivi de Daphnée. ma mère se retourna et commença à me branler mais c’est mon père qui jouit le premier. Il balança deux ou trois jets sur les seins de Daphnée mais Violaine en reçut sur le visage et dans la bouche. Elle lécha la queue de mon père puis les seins de Daphnée. Voyant cela, mon plaisir arriva et Daphnée vint vers nous, continua à me branler et reçut tout le sperme sur la figure et dans la bouche puis me nettoya le sexe sous le regard amusée de l’assistance.

Pendant que certains buvaient, d’autres prenaient une douche et tout le monde se retrouva à la fin dans la salle de bain. Les mains se baladèrent caressant les seins, les chattes et nos bites. ma mère caressait le sexe de mon père et celui-ci glissait sa main entre ses lèvres tout en faisant rentrer un doigt car ma mère poussait quelques grognements de plaisir. Moi, je caressais Daphnée qui caressait Violaine qui me caressait. Après avoir changé de partenaire, on décida de retourner dans le salon.

On reprit le film où; là il était rendu. Voyant ce qui se passait sur l’écran, je commençai à embrasser ma mère puis léchai ses seins et descendis vers son sexe. Je découvris une chatte déjà bien humide et ma langue lui léchant son clito par moment puis ses lèvres, augmenta son plaisir. Daphnée et Violaine suçaient à tour de rôle la queue de mon père, Daphnée léchai le bout du gland avant d’avaler en entier la bite, quant à Violaine, elle léchait toute la bite puis avalait tout doucement ou rapidement.

Par jeu, Violaine me demanda si j’aimerais sucer la bite de mon père. J’acceptais d’autant le défi que je l’avais déjà fait et introduisis cette belle bite dans ma bouche

Ensuite Violaine changea de place et commença à lécher le sexe de Daphnée. Celle-ci se laissa faire. Je voyais la langue de Violaine monter puis descendre sur le sexe de Daphnée puis par moment, c’était sa main qui caressait tout en faisant entrer un doigt ou deux. Pendant ce temps-là, ma mère et moi pratiquions un 69. J’adorais sentir sa langue sur ma queue pendant que sa main me caressait les boules. Je voyais sa bouche se déformer chaque fois qu’elle me pompait. Soudain je sentis quelque chose, c’était Violaine qui s’était rapprochée de nous. Violaine fit s’allonger ma mère et elle commença à lui lécher les seins pendant que je m’occupais de son sexe puis elle descendit m’aider.

Daphnée pratiquait une branlette espagnole avec mon père. Tenant ses seins, la bite de mon père glissait parfaitement entre ses deux gros mamelons et rentrait bien dans sa bouche ou lui léchait simplement le bout de sa queue. Nous avions changé de place et je me retrouvai la tête entre les jambes de Violaine pendant que je léchais le sexe de ma mère.

J’étais aux anges car cela faisait une éternité que j’attendais ce moment-là, avoir son sexe rasé à portée de ma bouche, lui caresser ses deux lèvres ainsi que son clito. J’introduisis un doigt dans son vagin ce qui la fit grogner de plaisir. Mon doigt glissa et entra en contact avec son anus. Elle commença à bouger des fesses pour indiquer d’y aller et je le fis. Puis j’introduisis en même temps un doigt dans son sexe ce qui lui fit avoir un formidable orgasme. Quelques secondes à peine, Daphnée poussa un cri de joie. ma mère voyant cela et sous les coups de langue de Violaine hurla de plaisir. Daphnée s’approcha de moi et commença à me pomper en me tenant par les fesses. Puis nous fîmes un 69.

Violaine s’avança vers ma mère qui était assise, l’embrassa et en se relevant lui mit la tête sur son sexe. ma mère au lieu de reculer commença à lui introduire sa langue dans son sexe en écoutant les conseils de Violaine. mon père s’approcha d’elles, écarta les jambes de ma mère et commença à lui lécher la chatte et le cul. Nous entendîmes un petit bruit de plaisir sortir de sa bouche. Daphnée et moi regardions le spectacle offert par les trois autres.

Violaine arrêta et vint vers nous. Elle prit ma bite et commença à sucer tout en me caressant les boules. ma mère changea de position et prit enfin dans sa bouche la bite de mon père. Elle commença par lécher le bout du gland puis avala sa queue d’un seul trait. On voyait qu’elle aimait çà car ses yeux pétillaient de joie.

Mon plaisir arriva très vite, arrosa Daphnée et Violaine de mon sperme. Daphnée nous surprit car elle avala tout puis me lécha la bite et roula une pelle à Violaine. ma mère pompait toujours mon père en lui tenant les fesses. mon père lui indiqua qu’il allait jouir et, voyant ce que Daphnée avait fait, elle le branla, ouvrit la bouche et avala les jets de sperme puis nettoya sa bite.

Après un bon quart d’heure de repos, les femmes pour nous redonner la pêche commencèrent à se brouter le minou en cercle. En quelques minutes de spectacle, nous bandions de nouveaux. Après m’avoir muni d’un préservatif, Violaine vint vers moi et me demanda de la prendre en levrette, ce que je fis aussitôt. ma mère quant à elle fit s’allonger mon père pendant que Daphnée tenait sa bite bien droite puis, d’un coup, l’introduisit dans sa chatte et s’agita en poussant des cris.

Daphnée vint vers nous et commença aussi à la prendre en levrette pendant que Violaine lui caressait les seins. mon père fit changer ma mère de position et la prit en levrette et, après quelques coups dans son vagin humide, elle eut un orgasme si violent qu’elle s’écroula de bonheur. mon père s’attaqua à Violaine, la prenant dans plusieurs positions puis me demanda de la prendre en double pénétration. mon père étant par terre, il introduisit sa bite dans la chatte puis tout doucement j’introduisis ma bite dans son anus et s’étant synchronisé, nous commençâmes à la marteler et, au bout de quelques minutes, elle poussa un hurlement de plaisir.

violaine

Puis je me dirigeai vers ma mère pendant que mon père commençait à pilonner le sexe de Daphnée. ma mère m’accueillit en me pompant le nœud, puis se mit à quatre pattes afin que je puisse l’enculer en levrette. J’introduisis ma bite d’un seul coup et commença mon va-et-vient dans son trou intime puis m’allongeant par terre, elle s’empala sur mon sexe et s’agita comme une furie. M’arrêtant un instant, je demandai à mon père de venir et de prendre ma mère en double pénétration.

Violaine et Daphnée se mirent en 69 et commencèrent se lécher mutuellement la chatte et le cul. Je regardai ma mère se faire prendre et d’un coup m’approcha d’elle et introduit ma bite dans sa bouche. Sans problème, elle commença à me pomper. Je voyais ma femme prise par les deux bouts et elle aimait ça. mon père d’un coup s’arrêta et vint derrière moi me ploter les fesses, Je compris qu’il désirait m’enculer et me laisser pénétrer. Au bout de quelques minutes il prévint les filles qu’il allait jouir dans mon cul. Toutes les trois s’approchèrent de mon père qui les arrosa de son sperme. Chacune leur tour nettoyant le sexe gluant et pollué de mon père, puis d’un coup mon propre plaisir arriva et je leur crachai trois jets de sperme sur leur visage et dans leur bouche. ma mère s’approcha et me nettoya la bite. Elle le fait si bien !

Violaine, demanda où elle pourrait pisser. Ma mère lui fit comprendre qu’elle pourrait se soulager sur elle. Sans aucun complexe Violaine arrosa la bouche de ma mère, et c’est dans une ambiance de pure rigolade que l’on se mit à pisser les uns sur les autres.

Et voilà que l’on sonne… C’est le couple que nous avions invité.

– Nous sommes peut-être un peu en retard !
– Effectivement ! La fête est terminée, mais revenez donc demain… et à l’heure.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 9 avril 2023 7 09 /04 /Avr /2023 16:49

Confessions zoophiles – 3

zoo
Sylvie par Anouchka

C’est l’histoire de Sylvie telle qu’elle me l’a racontée. Fantasme ou réalité, qu’importe après tout…

Sylvie, superbe blonde de vingt-deux ans, sort de la piscine, et commence à se sécher. Elle va se changer dans un abri prévu à cet effet. Elle admire son corps dans la glace, se seins magnifiques hauts perchées, son minou fraîchement épilé. Une bombe !

Tout près, le couple de labradors, Safran et Lady se prélasse, à l’ombre du murier platane.

Soudain, le téléphone sonne. Sylvie s’enroule dans une serviette, et se précipite au salon. Lady, surprise, part après elle. Arrivé près de l’appareil, la sonnerie s’arrête. En se retournant, elle reçoit Lady de plein fouet, qui, voulant s’amuser, la projette sur la moquette. La serviette s’ouvre. Sylvie prend appuie sur ses coudes. Suite à la chute, les jambes se sont largement écartées. La chienne fixe la chatte de la jeune femme en se passant la langue sur les babines.

– Mais ça va pas Lady, dit Sylvie. Qu’est-ce qu’il t’arrive? Tu as eu peur? Mais c’est juste le téléphone.

La tête de Lady est déjà entre les cuisses de sa maitresse, et renifle la fente

– Lève-toi de là, tu entends, allez, couché, gronde Sylvie.

Sylvie saisit la chienne par les oreilles et essaie de la repousser. Mais Lady a plus de forces qu’elle. C’est un combat inégal qui s’engage. Petit à petit, Sylvie perd pieds. A plusieurs reprises, la langue râpeuse lèche les lèvres de Sylvie, jusqu’à décalotter le clitoris. Elle tente une nouvelle fois de repousser les assauts de la chienne, mais la sensation qu’elle sent entre les jambes, l’agréable chaleur qui se consume au creux de son ventre sont plus fortes. Lady a compris. Elle accentue ses léchages, vrillant même sa langue pour fouiller à l’intérieur du vagin.

– Oh mon dieu, gémit Sylvie, tu es vilaine. Qu’est-ce-que tu fais à la petite chatte de maman? C’est bon tu sais, ha…ha… Vas-y, gouine moi ma chérie…Bien sur le petit bouton là…oui.

Sylvie se prend les seins en hurlant de plaisir. Lady, pensant avoir fait mal à sa maitresse, lui lèche le visage, puis docilement, se couche à côté d’elle.

Sylvie, remise de cet intermède érotique, prend la tête de Lady, et l’embrasse. Puis, elle se dirige vers la salle de bains pour prendre une bonne douche. Quand elle en ressort, elle regagne sa chambre pour s’habiller plus décemment. Elle ôte son peignoir, et se retrouve toute nue. Elle s’assied sur le lit, et met ses mains sur son visage.

Mon dieu, se dit-elle, comme je me suis fait sucer, quelle garce je suis !

Sylvie sent une présence dans la chambre. Elle ouvre ses mains et aperçoit les deux molosses assis devant elle. Elle remarque la bite de Safran à moitié décalottée. Les pensées les plus folles traversent son esprit.

– Alors mes bébés, on surveille maman. Toi, je te suis fâchée Lady. Tu as été polissonne avec moi.

L’odorat du chien est, en général, très développé. Si Sylvie s’est bien lavée, l’odeur de mouille ne leur échappe pas. A voir les rotations de langues sur les babines de Safran, Sylvie comprend qu’il a envie de quelque chose. Il s’avance, se dresse devant sa maitresse, et appuie ses deux pattes sur sa poitrine. Sylvie bascule sur le lit, jambes ouvertes. Elle sent la queue de Safran devenue énorme butter contre sa chatte, encore humide. Elle tente de repousser le chien en le prenant sous les aisselles, en vain. Le poids de l’animal est trop important pour elle.

– Pas ça Safran, supplie-t-elle, tu as une chienne toi. C’est pas bien ce que tu fais.

Mais la queue a commencé à s’introduire entre les lèvres de sa maitresse. Il entame de brusques va-et-vient dans la chatte de Sylvie. Celle-ci hurle de douleur. Impassible, Lady, assiste à la scène.

– Aie…aie…Arrête Safran, implore-t-elle, tu me fais mal…aie…Tu es fou, assez…assez…

Comme si elle la plaignait, Lady s’avance de sa maitresse et lui lèche le visage. Petit à petit, la douleur qui jusque-là lui tenaillait les entrailles, s’estompe pour laisser la place à une agréable sensation de plaisir. La queue du chien est enfoncée jusqu’au knot. La boule est énorme.

– Ha…Salaud, comme tu me niques mon chien. Vas-y, régale ma petite chatte…ha…il te nique comme ça Lady ? Quelle chance tu as… Quel coup de queue… putain.. .comme je suis en train de me le faire mettre… oui.je joui… oui…

Sylvie ouvre la bouche et embrasse Lady. Sa langue est happée par celle de la chienne. Un baiser de feu. Pendant ce temps, Safran vide sa semence dans la chatte de sa maitresse. Il se retire, la queue pleine de mouille, pousse Lady, et vient se placer en face la bouche de sa patronne. Sylvie a compris. Elle saisit la queue, et commence à la sucer. Lady, elle, s’est mise entre ses jambes, et lui nettoie la chatte.

Sylvie va se faire prendre tout l’après-midi. Le couple de labradors a décidé de jouer avec elle, de la faire hurler de plaisir. Elle offre même son petit trou pour que Safran l’encule. Puis, épuisée, les yeux cernés, elle s’écroule sur le lit. L’après-midi a été torride, intense, riche en découvertes sexuelles. Sylvie a pris gout aux rapports zoophiles. Le matin, quand son mari est parti au travail, elle ouvre la baie du salon, et fait rentrer les deux chiens. Elle s’accroupit devant eux, et les embrasse sur la bouche. Puis, l’instinct prend ses droits. Safran passe son museau sous la serviette, et renifle la chatte. Lady arrache le vêtement. Sylvie se retrouve nue. Puis, lentement, les trois amants regagnent la chambre

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Boniface par Louisa

Ma fille de 22 ans et moi avons toujours eu des rapports très libres, vraiment très libres si vous voyez ce que je veux dire.

Ce jour là je suis entré dans sa chambre, je ne me souviens plus pourquoi, toujours est-il que je découvre ma fille complément à poil sur le lit en train de jouer avec Boniface, notre labrador.

– Alors, tu t’amuses bien lui demandais-je sans malice
– Eh oui, il est pleine forme, regarde comme il bande.
– De quoi ? Mais tu fais quoi exactement ?
– Ben , je lui ai un peu touché la bite ! Ça a eu l’air de lui plaire.
– Mais tu es une cochonne !
– Oui Maman

Et devant mes yeux incrédules elle prend la bite du chien dans sa main et la caresse.

– J’ai regardé de vidéos zoophiles sur Internet, j’ai eu envie de faire pareil.
– De Faire quoi exactement ?
– De sucer la bite du chien !
– Tu as fais ça ?
– Oui ! Tu veux que je te montre ?

Je suis tétanisée, je ne sais quoi répondre alors ma fille a pris al bite du chien et la mise dans sa bouche, j’ai senti l’excitation me gagner.

– Ça m’excite de te regarder faire ça !
– Tu veux essayer !
– Non quand même pas !
– Allez viens !

Alors comme dans un rêve, j’ai rejoint ma fille et nous avons sucé à deux la bite de Boniface, j’ai senti un liquide visqueux m’envahir la bouche. Complétement excitée je me suis déshabillée et j’ai embrassé ma fille à pleine la bouche. Nous nous sommes caressées et gamahuchées pendant un long moment laissant le chien tranquille.

Mais il et revenu quelques instants plus tard, reniflant peu discrètement le cul de ma fille et là devant me yeux effarés, il l’a grimpé !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:17

C’était le début
par Liouba

Fetish

J’étais déjà une bonne salope quand mon ami m’a proposé avant de vendre occasionnellement mes charmes, de m’en servir comme monnaie d’échange.

Il avait l’intention de remplacer son téléviseur et avait fait le choix d’un tout petit magasin, dont, l’unique vendeur était le patron (beau mec la quarantaine sportive)

L’accueil fut d’emblée chaleureux et pendant qu’il argumentait sur les avantages de chaque téléviseur, son regard ne manquait pas de plonger dans mon décolleté que mon ami avait voulu généreux pour l’occasion…

Quand son choix fut fait, le beau mec nous fit asseoir dans des fauteuils profonds en face son bureau. Je demeure convaincu que ces fauteuils avaient été choisis uniquement en pensant que des femmes y prendraient place car, à moins de s’asseoir sur le bord et de serrer les genoux, une femme, assise au fond du fauteuil, ne pouvait, si elle n’y prenait garde , empêcher certains regards indiscrets.

Liouba VToujours à la demande de mon ami je n’avais pas de culotte ne faisait rien, bien sur, pour empêcher le regard du maître des lieux de se glisser entre mes cuisses et je commençais à être très excitée A la coloration que pris son visage et à son sourire entendu, mon ami et moi avons tout de suite compris qu’il était sensible aux « arguments »que je lui proposais et qu’une certaine négociation était possible. J’avais laissé ma jupe remonter si haut sur mes cuisses que j’aurais pu tout aussi bien l’enlever.

Afin que la « négociation » soit discrète. Le vendeur ferma le magasin et nous invita à passer derrière dans son autre bureau. Mon ami proposa de payer la moitié en espèces et le reste en trois traites dont la première à encaisser tout de suite, sur le bureau. Mon ami avait dégrafé ma jupe qui était tombé à mes pieds et ouvert mon corsage Le type prit sa calculette et finalement après un coup d’œil sur ma nudité accepta la transaction. Les deux autres traites se réglèrent aussi bien sur par des coups de queues, après avoir sur le bureau encaissé la première.

C’était le premier pas, ensuite j’ai acheté plusieurs paires de chaussures en compagnie de mon ami de la même façon. A chaque fois j’étais tellement excitée, que quand mon ami m’a proposé de faire la pute, j’ai accepté sans aucune hésitation. Même le mot « pute » m’excitait et m’excite encore.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:15

Confessions d’exhibitions

culmat


Fesses à l’air au bureau
par Jocelyne_D

 

Lisant un récit à propos de la fessée imposée à une femme par son employeur, ça m’a fait penser à mon cas personnel et m’a incité à vous le raconter. Je travaille depuis près d’un an dans une agence d’une grande entreprise d’assurances, et je suis satisfaite de mon emploi bien payé et de mes conditions de travail assez particulières.

Nous sommes quatre à travailler dans les mêmes locaux, trois femmes dont moi qui m’occupe du standard et notre chef direct, Roger, un homme d’une cinquantaine d’années.

Lors de mon entretien d’embauche, le chef en question a été très direct et m’a dit que j’avais le choix entre être payée le smic ou un salaire de 2.300 € brut. Quand je lui ai demandé sur quoi reposait cette différence de salaire pour un même job sans qualification particulière, il m’a expliqué sans se démonter que je gagnerais les deux mille trois cent roros si j’acceptais de venir travailler tous les jours en jupe… et sans culotte.

Bien sûr, j’ai été d’abord soufflée du culot du type et j’ai commencé par refuser énergiquement en menaçant d’aller de ce pas porter plainte contre ces méthodes sexistes et machistes. Mais il m’a rattrapée et s’est mis à rire en me disant que les deux femmes qui travaillaient ici étaient déjà elles-mêmes sans culotte sous leur jupe, qu’elles ne s’en portaient pas plus mal, et qu’il n’exigerait strictement rien de plus. Il m’a laissé jusqu’au lendemain pour réfléchir.

Rentrée chez moi, j’ai mal dormi en pensant toute la nuit à cette proposition aussi bizarre qu’indécente. Un fils de 8 ans à charge, j’étais au RMI depuis plus de six mois, et les 2.300 € mensuels étaient dans ces conditions bien alléchants. Le lendemain matin, Roger me rappelle et me demande si j’ai réfléchi. Comme je ne sais toujours pas quoi répondre, il me passe l’une de ses employées qui me raconte qu’effectivement, elle-même ne porte jamais de culotte, que c’est la condition pour bosser et qu’à part ça l’ambiance est sympa, Roger n’exigeant rien de plus. Je ne sais pas pourquoi mais cette situation commence malgré moi à m’émoustiller, et je décide de retourner là-bas pour voir de plus près comment est l’ambiance de travail.

Je suis reçue par les deux femmes (sans le chef) qui se montrent très gentilles et très persuasives, n’hésitant pas à relever leurs courtes jupes pour me montrer qu’en effet… Bref, je passe sur les détails et mes dernières hésitations.

J’ai finalement accepté de tenter l’expérience, et j’ai effectivement été engagée à 2.300 € (pour un job de standardiste !). Ce que mes collègues ne m’avaient pas dit à l’époque c’était que Roger avait tout de même les mains très baladeuses, et j’ai pu m’en apercevoir très vite. Il ne se passe jamais un jour sans qu’il nous colle les mains aux fesses sous les jupes, mais c’est exact qu’il ne cherche jamais à aller plus loin. Aujourd’hui, je suis très satisfaite de ce travail cool et très bien payé, d’autant plus que le fait d’avoir les fesses à l’air et de ressentir une main s’y balader de temps en temps me maintient dans un état d’excitation permanent très agréable.

Mon petit ami ne sait évidemment rien de cette situation, mais il trouve que je suis devenue beaucoup plus portée sur le sexe qu’avant que je trouve ce travail ! Je sais que ce genre de situation peut être considéré comme du harcèlement sexuel (c’est d’ailleurs ce que j’ai pensé au début), mais il est des fois où ce « harcèlement » peut être très agréable, surtout s’il correspond à des fantasmes que l’on a, et si le chef est habile et sympa.

Je suis sûre que d’autres femmes pensent comme moi et connaissent ce genre d’expérience au boulot.

Bisous à tous les lecteurs.

Au bord de la rivière par Mike67

C’est le printemps, nous allons souvent au bord d’une petite rivière passer l’après-midi. Tandis que je pêche, ma copine Yolande lit et bronze au soleil. L’endroit est très isolé, nous y sommes seuls tout le temps

 

Ce jour-là avant de partir, je lui suggère d’enfiler un débardeur très court et une minijupe ample très raz des fesses. Elle est nue dessous mais elle sait qu’où nous allons il n’y a personne. (du moins c’est ce qu’elle croit)

 

Je descends son sac pour le ranger dans le coffre, dans le garage je l’ouvre et vérifie ce qu’elle emporte. Il y a un maillot de bain et une serviette, je les retire du sac et les cache puis referme le sac et le remets dans le coffre.

 

Elle me rejoint et monte en voiture. Tandis que nous roulons je la félicite pour sa tenue sexy et la rassure de nouveau en lui rappelant que toutes les fois l’endroit est désert, elle me répond que c’est pour cette raison qu’elle a accepté de garder cette jupe sans culotte sinon elle n’aurait pas cédé car c’est vraiment trop court.

 

Nous arrivons à la rivière, je me gare et prends les sacs dans le coffre. Yolande est déjà engagée dans le petit sentier qui mène à la crique, elle s’est hâtée pour éviter d’être vue sur la route. Il y a 5 mn de marche encore à travers des buissons, je la regarde marcher, sa jupe est vraiment courte elle couvre à peine le pli des fesses et le vent qui s’est levé la lui soulève facilement découvrant ses rondeurs généreuses. Enfin nous arrivons, j’installe nos tapis sur les galets ronds, elle ouvre le sac et s’aperçoit qu’il n’y a pas de maillot:

 

– J’ai oublié mon maillot et les serviettes ! Dit-elle

– Ma pauvre, tu n’as pas de tête !

– C’est que tu étais tellement pressé de partir…

– Ça y est, ça va être de ma faute…

 

Elle ne répond pas et s’assoit sur son tapis.

 

– Tu vas pas rester comme ça ! Lui dis je

– Ben si, puisque je n’ai pas de maillot !

– T’as qu’à te foutre à poil ! Y’a personne !

 

Elle se met debout et quitte ses vêtements en les rangeant soigneusement dans le sac et va s’allonger au soleil sur une pierre plate au milieu du ruisseau. Je reste près des sacs à l’ombre pour lire un peu. Le temps passe, je vais voir Yolande et comme elle ne répond pas je lève ses lunettes de soleil, je constate qu’elle s’est assoupit, je la laisse dormir, le soleil est faible et avec la crème elle ne craint rien. Je me replace sur mon tapis et reprends ma lecture.

 

Un homme surgit, il me salut en passant. Tandis qu’il continue de descendre la rivière , je fais mine d’être plongé dans ma lecture et l’observe discrètement. Il est debout sur la berge juste en face de Yolande et la regarde en se tripotant la braguette. Yolande est sur le dos, ses cuisses légèrement ouvertes dévoilent ses lèvres intimes, son pubis rasé la rend indécente, ses seins lourds aux larges aréoles roses sont bronzés mais invisibles pour le moment.

 

– Ne la réveillez pas ! Lui dis-je doucement en m’approchant.

 

Il se recule un peu gêné en me souriant et se sauve rapidement dans les buissons. Je reste seul déçu qu’il ne comprenne pas. Me retournant, je vois Yolande assise sur la pierre:

 

– Il est parti?’ demande t elle

 

Elle m’avoue s’être rendu compte qu’on l’observait et par peur elle est restée immobile.

 

– Tu vois c’est pas difficile de s’exhiber ! Lui dis je

– Oui, bon ! On ne va pas épiloguer…

 

Je m’approche et la caresse entre les cuisses, elle est vite excitée

 

– Tu as apprécié d’être matée on dirait ?

– Oui j’avoue… un peu… Mais tu ne vas pas me demander de recommencer ?

– Disons que c’est un jeu !

– Tu exagères !

 

Je lui pelote les fesses, elle se laisse faire en gémissant.

 

Un homme sort des buissons, il s’approche timidement. Je lui fais signe de venir plus près, sa braguette est ouverte.

 

– Tu ne la touches pas, mais si tu veux te branler, tu peux.

 

Le mec à sorti son chibre et se masturbe frénétiquement. Ça ne dure pas longtemps et il envoie son sperme sur les fesses de Yolande.

 

– Cochon ! Lui dit-elle.

 

L’homme disparaît.

 

– Salaud qu’est-ce que tu m’a fait faire ? me reproche-t-elle

– Mais je ne t’ai rein fais faire tu avais toute liberté pour l’envoyer promener , tu ne l’as pas fait!

– Ah, c’est vrai !

– Tu vas faire quoi maintenant ?

– Je vais attendre, dès fois qu’l vienne un autre cochon !

 

 

Glups !

 


Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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