Partager l'article ! Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 10: Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 10 -Petit déjeuner spécial par Chanette ...
Mercredi 21 avril
Je n’ai pas l’habitude me lever si tôt, mais bon, c’est pour la bonne cause !
Je sonne chez Tommy, c’est Nadège qui m’ouvre… en nuisette quasi transparente. Bisous, bisous.
Euh… faudrait peut-être pas se tromper de programme, je ne suis pas venu pour partouzer !
Tommy nous rejoint, déjà en costume cravate, nouveaux bisous.
– Vous avez déjeuné ? Me demande Nadège.
– Juste un café !
– Installez-vous, il y a tout ce qu’il faut, des tartines, du beurre, de la confiture…
– O. K. merci ! Bon Tommy tu as une idée ?
– Oui mais elle ne vaut pas grand-chose, on pourrait accuser Chauvière de proxénétisme…
– Et qui va témoigner ?
– Toi !
– On ne va pas aller loin avec ça ! Je n’ai pas de témoin, on va dire que je peux raconter ce que je veux…
– Et Amandine Cantal, elle ne pourrait pas témoigner ?
– Je lui dois une fière chandelle, mais dans cette affaire, au départ, elle est davantage complice qu’autre chose. Je préfère donc qu’on la laisse en dehors de tout ça. Par contre, moi j’ai
peut-être quelque chose, mais est-ce que tu peux avoir accès aux factures ou aux bons de livraison archivées de la société ?
– Je ne me suis jamais posé la question, mais je présume que ça doit être possible ! Parce que ?
– Pace que je cherche un faux bon de livraison de diamants, voilà je t’ai noté la fourchette de dates et le contenu, je ne connais pas le nom du fournisseur, qui doit être bidon, ni le montant.
Mais en fait ce document est un faux, il n’y pas eu d’achat, L’entrée en stock des diamants a fait suite à un casse organisé par Chauvière.
– Ola ! Où tu nous embarques ? On sait tous que Chauvière n’est pas toujours très clean avec ses transactions diamantaires mais de là à l’accuser de vol…
– Je tiens l’information d’une personne qui a participé à la préparation d’un vol à Rotterdam, j’ai tout un dossier dans cette enveloppe…
– Fais voir !
Je lui montre, il est dubitatif !
– Ça ne prouve rien, ça peut être de la mise en scène
Il se contente de feuilleter rapidement…
– Si on retrouve la facture et qu’on prouve qu’elle est bidon, ce ne sera plus de la mise en scène !
– Oui évidement… Bon je vais regarder, si je la trouve et que c’est numérisé je te l’envoie sur ton téléphone… et si ce n’est pas numérisé, ben je prendrais une photo.
– T’es un amour !
– Je ne te promets rien ! Bon, il va falloir que j’y aille !
Il se lève, je m’apprête à prendre congé également mais Nadège me retient.
– Restez encore un peu, juste cinq minutes.
N’étant pas vraiment née de la dernière pluie, je comprends parfaitement ce qu’elle souhaite. Bah, ce ne sera pas une corvée !
– Ça vous dérange si je loue vos services pendant une heure ?
– Maintenant ?
– C’est juste une idée comme ça… en fait j’ai très envie.
– Ça peut se faire
– Super, tu veux combien ?
– Ecoute, ton mari est en train de me rendre service, j’aurais mauvaise grâce à te faire payer, on va faire ça en copines.
– Ça marche.
Et elle se débarrasse de sa nuisette. m’exhibant fièrement sa jolie nudité. On s’embrasse…
Et pendant que je me déshabille elle me confie :
– Tu sais, j’ai adoré quand on a joué avec le pipi, l’autre fois.
– Pas de problème, je suis une bonne pisseuse, tu veux qu’on commence par ça ?
– Oui, pourquoi pas ?
Elle m’entraine vers la salle de bain.
– Je veux en boire plein ! Me dit-elle.
– Allonge-toi par terre et ouvre la bouche, je vais essayer de te gâter.
Je m’accroupis de façon à ce que ma chatte soit à quelques centimètres de sa bouche et j’ouvre les vannes. Evidemment elle en fout plein à côté, mais se régale visiblement avec le reste.
– Hum, c’est bon, j’y prends vraiment goût à ce truc là !
On se relève, je lui fais comprendre que j’ai envie de l’embrasser… Les yeux qu’elle me fait… Ben oui sa bouche a le gout de mon urine…
– Ne t’inquiétés pas !
– On est cochonnes, hein ? Commentera-t-elle après ce baiser spécial.
Elle m’entraîne maintenant dans la chambre conjugale, ouvre de suite le tiroir de sa table de chevet et en extrait une gode de facture fort classique.
– Tommy avait acheté ça pour agrémenter nos petits jeux érotiques, on s’en est servi pas mal au début, maintenant on l’a un peu oublié.
Du coup elle actionne le vibreur… qui ne démarre pas.
– Je vais chercher des piles, je reviens !
Ben oui, il faut toujours avoir des piles de rechange !
– Tu me le mets ! Me demande-t-elle
– Devant ? Derrière ?
– Derrière, je préfère ! Je veux que tu m’encules comme une chienne !
– D’accord je vais te préparer un peu avant !
– Me préparer?!
– Fais-moi confiance !
– Mais je te fais confiance !
– Alors tout va bien !
J’ai commencé par lui lécher le trou du cul, il a bon goût malgré le fait que l’odeur du gel douche matinal persiste, et il est très joli, on dirait un étrange fruit couleur de châtaigne et dissimulant son entrée secrète.
Mais cette entrée secrète à une clé et cette clé c’est ma langue qui à force de venir y frétiller, finit par faire bailler de trou charmant.
Du coup, je mouille mon doigt et l’enfonce, le faisant aller et venir et provoquant des petits jappements significatifs de la part de ma complice du moment.
– Mets-moi le gode ! Me supplie-t-elle
C’est comme elle veut, allons-y pour le gode que je recouvre d’un préservatif et fail bouger comme il se doit.
Elle jouit du cul comme une damnée. Elle souffle quelques instants, me caresse, me plote les nénés (c’est une manie)
Bref, on se caresse, on s’embrasse et puis…
– Tu le voudrais, toi, le gode ? Me demande-t-elle.
En fait je n’y tiens pas particulièrement. Certes Nadège est une belle femme mais elle n’a ni le charme particulier de Grace Hernandez, ni l’éclat de la beauté de Amandine Cantal. Les gouts et les couleurs ne se discutent guère.
Mais d’un autre côté je n’ai pas envie de la décevoir en refusant, alors, j’accepte :
– Vas-y encule-moi !
Et la voilà qui me ramone le conduit avec son gode à piles neuves ! Ce n’est pas désagréable mais je sais que je ne jouirais pas ainsi.
Elle s’arrête au bout d’un moment, retire le gode, enlève la capote avec un kleenex, madame est délicate !
– On se clitoune ? Propose-t-elle.
Voilà une formule que je ne connaissais pas, je la trouve jolie, c’est quand même plus classe que de se brouter le gazon !
On s’est mises en soixante-neuf, son abricot est juteux comme un fruit mur, de mon côté ce serait plutôt sec. Je ne peux renouveler l’astuce de l’autre fois, ayant pissé il n’y a pas si longtemps.
Alors je m’évade dans mes fantasmes, Amandine et son corps de déesse, Grace et son clébard, son clébard et sa bite que je n’ai pas osée sucer, alors je la suce dans mes pensées. Et l’impensable se produit, voilà que je mouille…
Et tandis que ma langue s’activait sur le clitoris de ma complice de jeu, cette dernière attaquait le mien, me faisant jouir dans un geyser de mouille.
Je n’en suis pas encore revenue !
C’est en sortant de l’appartement de Tommy et Nadège que mon téléphone portable me signala la réception d’un message. J’ouvris, fébrile, me demandant si Tommy avait réussi ?
à suivre
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