Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:38

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 13 – L’avocat lubrique par Chanette

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Mercredi 21 avril

Et donc ce matin-là nous étions, Amandine et moi dans la salle d’attente de Maître Doubise.

« Jupes courtes et décolletés » nous avait conseillé Estelle.

Après un bon petit moment d’attente, celle-ci nous fait entrer et s’efface.

Effectivement il n’est pas beau, le Doubise, gras, rouge de peau, calvitie avancée. J’espère qu’il aura la bite propre, j’aurais dû me renseigner auprès d’Estelle.

– Entrez, mesdames et asseyez-vous, je n’ai pas beaucoup de temps et je n’ai consenti à vous recevoir que parce que ma secrétaire m’a assuré que vous étiez des canons ! Que voulez-vous, je ne suis pourtant pas militariste, mais les canons, j’adore. Bon je vous écoute, laquelle de vous deux est la plaignante ?
– Nous ne sommes pas plaignantes ! Répondis-je.
– Et vous êtes donc là à quel titre ?
– Un individu bien placé, directeur de société pour tout vous dire, m’a fait une vacherie. Je cherchais à me venger et je suis tombée sur une fausse facture.
– Ah ! Ce n’est que ça ?

Il a l’air déçu, l’avocat…

– Sauf que la fausse facture couvrait un vol de bijoux réalisé à Rotterdam et au sujet duquel, j’ai tous les renseignements nécessaires.
– Ah, ça commence à devenir intéressant, vous me donnerez des détails plus tard, mais dites-moi déjà ce que vous attendez de moi !
– Nous voulons savoir à qui nous adresser afin que l’affaire soit instruite rapidement.
– Et pourquoi « rapidement » ?
– Parce que nous sommes probablement en danger !
– Oh, lala, mais c’est vrai roman feuilleton que vous m’apportez. Vous comptez me payer comment, je prends 150 euros la demi-heure et nous allons sans doute être amené à nous revoir plusieurs fois.

C’est dans mes prix d’autant que je ne vois pas bien pourquoi nous serions amenés à le revoir après avoir eu notre renseignement, l’opération charme devient donc inutile, mais il faut croire qu’Amandine était d’un avis différent.

– Espèces, chèques, carte bleue ? Demande-t-elle.
– Non pas de chèques !
– Alors espèces, carte bleue, câlins ?
– Vous êtes amusante, vous ? Comment voulez-vous faire entrer des câlins dans ma comptabilité ?
– Ce n’était qu’une proposition ! Je ne suis pas toujours très sérieuse… Rétropédale Amandine.
– Et si je vous prenais au mot ? Réplique l’avocat.
– Si vous n’avez rien contre et nous non plus, peut-être pourrions-nous procéder ainsi !
– Vous aviez raison, la vie est courte, et les occasions perdues ne se rattrapent jamais. On peut donc s’accorder une demi-heure de folie.

Maître Doubise prend alors l’interphone :

– Estelle, soyez gentille, décalez tous mes rendez-vous d’une demi-heure… Et je vous interdis de ricaner.

Il raccroche, le regard lubrique…

– Quelle impertinence, cette secrétaire, je vais encore être obligé de la punir… D’ailleurs j’ai envie de le faire de suite, vous verrez ça va vous plaire…

Il prend le téléphone et demande à Estelle de venir.

– Estelle, vous m’avez ricané au nez pendant le travail, cela mérite une punition.
– Tous les prétextes sont bons !
– Taisez-vous, penchez-vous, jupe relevée, fesses à l’aire…
– Comme d’habitude, quoi !

Soubise s’empare d’une réglé plate transparente et colle une vingtaine de coups sur le popotin d’Estelle qui s’accommode fort bien de cette petite séance récréative.

– Voilà, tu peux retourner bosser… attends ! Dit-il en lui glissant un doigt dans la chatte Mais ça t’a fait mouiller, t’es vraiment une salope !
– Comme d’habitude maître Soubise !

Il sort ensuite deux feuilles blanches qu’il nous tend à chacune d’entre-nous…

– Voilà vous allez me signer une décharge… commence-t-il
– Une décharge de quoi ? M’étonnais-je.
– Un simple document précisant que nous nous sommes livrés à des ébats de nature sexuelle de façon consentante.

Mais il est complétement givré ce mec !

– Bon, ça devient n’importe quoi ! Dis-je à Amandine en me levant de mon siège, des avocats il y en a partout, on en trouvera un autre.
– Laissez-moi juste vous expliquer, asseyez-vous, vous n’êtes pas à cinq minutes…

Je me rassois, me demandant ce que va encore nous sortir ce type.

– C’était il y a deux trois mois, j’avais pour cliente une belle dame, très élégante, et aux formes parfaites. Son dossier était indéfendable et je le lui ai expliqué. Elle m’a alors demandé si une partie de jambes en l’air me permettrait d’être plus efficace. J’ai eu la faiblesse de lui dire que ça ne coutait rien d’essayer… On a donc baisé, un sacré tempérament, la dame ! Mais j’ai perdu l’affaire. La dame m’a copieusement engueulé. Pas grave, ça fait partie des risques du métier. Mais là où ça a dégénéré, c’est que cette furie a porté plainte pour viol. Mon nom a été jetée en pâture à la presse, et les féministes ont expliqué que dans ce genre d’affaire, la parole de la femme était forcément la bonne. Bon, je m’en suis sorti, peu importe comment, mais j’ai vécu trois semaines d’enfer et j’ai perdu des bons clients.
– Donc et maintenant vous demandez une décharge ? Demandais-je.
– Ben oui !
– Une décharge pour baiser ! Mais dans quel monde vivons-nous ?
– Je ne vous le fais pas dire !
– Bon je vais vous la signer !
– Comme vous pouvez le constater, j’ai équipé mon bureau d’un petit canapé, autant avoir son petit confort n’est-ce pas ? Je vais m’y installer au milieu et vous voua aller venir me rejoindre, chacune d’un côté….Non, non, restez habillées pour l’instant. Ah, je n’ai pas retenue vos prénoms…
– Moi c’est Christine et mon amie c’est Amandine.

On s’assied comme indiqué, et d’emblée Soubise se met à peloter Amandine. Normal elle est plus jeune et mieux foutue que moi…

– Voyons voir les merveilles que vous cachez-là, chère Capucine.
– Amandine, pas Capucine !
– Bien sûr, où ais-je la tête ? Ah Christine pendant que vais à la découverte des trésors de votre amie, occupez-vous donc de ma braguette.

Je palpe donc l’endroit et me rend compte que ça bandouille, et quand ma main se met à bouger, ça bandouille encore mieux.

– J’ouvre ? Demandais-je.
– Ouvrez, ma chère, ouvrez, mon oiseau a besoin d’air !

Un coup d’œil sur ma droite, Amandine et maintenant complètement dépoitraillée, et Maître Doubise joue avec ses nénés comme le ferait un nourrisson avec sa nounou.

J’ouvre sa braguette et là ou je pensais trouver une fermeture éclair je trouve des boutons… étrange conception du progrès vestimentaire. Cette étape franchie il faut aller piocher dans le caleçon et sortir l’engin, il est moite et bandé, il est aussi assez conséquent. Je le masturbe à la paresseuse, s’il veut que je le suce, il n’aura qu’à demander.

Et hop, le Doubise pivote très légèrement, en fait ce qu’il veut faire, c’est une inversion des rôles ! Autrement dit, mais vous l’aviez compris, j’ai droit au pelotage de nénés, tandis qu’Amandine se farcit le tripotage de bite.

Ces petites fantaisies durent plusieurs minutes avant que l’avocat se relève en déclarant d’un ton solennel :

– Embrassez-vous les filles et ne faites pas semblant, j’adore voir de belles salopes se gouiner, voilà comme ça, toi Amandine bouffe le sein de ta copine ! Oh que c’est beau ! Inversez les rôles maintenant…

Faut voir l’effet que ça lui fait au type, sa bite est raide comme un bout de bois.

Chanette2913– Sucez-moi ensemble, je veux une double langue sur ma bite…

Il devient exigeant pépère mais nous lui accordons néanmoins cette privauté avec amusement.

Et maintenant les filles on baise ! Permettez que je retire mon pantalon, je ne voudrais pas le tacher, j’en ai pas de rechange ici .

Qu’est-ce qu’il est drôle !

– Je vais vous prendre en levrette toutes les deux mettez-vous l’une à côté de l’autre et dégagez-moi votre cul, pendant ce temps-là je vais chercher les petites capotes dans mon tiroir.

C’est moi qui l’honneur et l’avantage de passer en première, Doubise me baise à la hussarde à coups de « Hi » et de « Han ».

– Vous avez le trou du cul charmant ! Une petite sodo, ça ne vous dérange pas ?
– Elle est un peu grosse !
– J’essaie, si ça ne le fait pas, je n’insisterais pas !

S’il nous fait ça à la gentilhomme, je n’ai plus rien à dire, il m’a tartiné de gel, il est passé, s’est contenté d’une dizaine d’aller et retour avant de déculer et de changer de capote pour aller enfiler Amandine.

Et là il n’a pas pu tenir la distance, excité comme il était, il a pris son pied en gueulant comme un veau qu’on égorge.

– Ne vous inquiétez pas, c’est insonorisé ! Commente-t-il

Après que nous fûmes rhabillées, Maître Doubise entra dans le vif du sujet.

– Deux services peuvent s’occuper de l’affaire, la répression des fraudes et la brigade financière, mais ce sera plutôt les fraudes. Encore faut-il que ça les intéresse et qu’ils n’essaient pas de s’arranger avec Chauvière. Tout dépendra de l’interlocuteur. Mais on peut faire autrement, Il faut, documents à l’appui, obtenir une plainte urgente de la partie hollandaise. Celle-ci va donc transmettre le dossier aux autorités françaises qui dans ce cas de figure vont se trouver obligés de faire diligence.
– Donc dans la pratique, on fait quoi ?
– Vous prenez le TGV ou l’avion pour Rotterdam, je vais vous rédiger une lettre d’introduction à l’adresse de la société spoliée pour éviter qu’on vous fasse poireauter.

Par téléphone, j’ai fait part à Gollier de l’avancée de nos démarches.

– O.K. il faut que les hollandais se bougent, téléphone-moi dès que tu as leur accord et je te donnerai un nom.

Jeudi 22 avril

Nous voilà donc à Rotterdam, ni moi ni Amandine ne parlons le néerlandais, l’entretien chez Kuipper and Son se fera donc en anglais.

Le responsable de la sécurité de la boite fait très militaire de carrière en retraite, ce qu’il est peut-être d’ailleurs. Il feuillette le dossier et ne sachant pas lire le français, nous pose des tas de questions

– Vous avez trouvé ça comment ?
– Une complice de Chauvière se méfiait de lui, elle s’est mise à table… anonymement… elle pensait que ces documents pourraient la protéger.
– Et ça ne sort que maintenant ?
– Oui !
– Et votre rôle dans cette affaire ?
– Nous avons un contentieux avec Chauvière, alors on a fouiné un peu.
– Hum, vous savez, on est assuré pour les vols, le souci c’est qu’à chaque fois la prime augmente, alors évidemment s’il y avait un procès… Mais vous croyez que les bijoux sont encore en possession de Chauvière ?
– J’en suis persuadée ! Répondis-je avec force malgré le fait que je n’en sache rien du tout.
– Je vais voir avec ma hiérarchie ! Finit par nous dire le bonhomme, restez assises, je reviens. Ah, prêtez-moi la fausse facture…

Une demi-heure qu’il nous a laissé poireauter !

Enfin le revoilà !

– Nous allons porter plainte, je peux faire un double de tous ces documents ?
– Bien sûr !
– Ah, la fausse facture est au nom de Van Halen International à La Haye, on vient de les appeler ils feront une plainte conjointe pour faux et usage de faux.
– Super ! Vous permettez que je passe un coup de fil à mon conseiller juridique ?
– Je vous en prie.

Dans le couloir, je téléphone à Gollier, lui annonce que les hollandais vont déposer plainte…

– OK, dis leur d’envoyer tout ça à la répression de fraudes à l’attention de Mathieu Morani, je vais le prévenir.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:35

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 12 – Trio de coquines par Chanette

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N’empêche que pendant la discussion Estelle et Amandine se sont respectivement trouvées sympathiques.et en sont déjà à se tutoyer.

– Mais tes fonctions à bord, ça consistait en quoi ? demande Estelle à Amandine.

– Officiellement, j’étais directrice adjointe de la croisière, en fait je devais assurer l’encadrement des filles, ça n’avait rien de compliqué, avec ce qu’elles se mettaient dans la poche, les problèmes étaient rares.
– Et en ce qui te concernes, tu as eu droit à des sollicitations de passagers ?
– Je m’efforçais de garder mes distances mais j’ai eu quelques sollicitations…
– T’as donné suite ?
– Dis donc, toi t’es bien curieuse… Mais comme la philosophie de la croisière était de contenter le client, ben oui, j’ai donné suite, j’ai payé de ma personne !
– Et tu t’es barrée comme ça ? Quand tu as deviné que Chanette était en danger ?
– Non c’est plus compliqué que ça…

C’est vrai que lorsqu’on raconte une histoire fut-elle vécue, on oublie toujours des passages, et parfois des passages importants…

Alors Amandine raconte l’épisode de l’escort russe (voir plus avant)

– Quand j’ai compris que Chanette allait connaître le même sort, j’ai trouvé ça dégueulasse, mais que les choses soient claires, je ne suis pas une sainte non plus, j’ai été lâche avec la russe, j’ai fermé ma gueule, j’ai laissé faire, je n’en suis pas fière mais c’est comme ça ! Alors bon quand on est lâche une fois, on peut l’être une seconde fois, sauf que ça devient super dangereux, en cas d’enquête, en tant que sous-directrice de la croisière je suis complice de tout ce qu’y s’y passe, je n’avais aucune envie de me retrouver accusée de complicité de trafic d’êtres humains.
– Donc tu ne l’as pas fait que pour les beaux yeux de Chanette ?
– Qu’est-ce que ça peut de foutre ? Et confidence pour confidence, Chanette, je l’adore, n’est-ce pas ma biche que je t’adore ?
– Mais moi aussi je t’adore, mais on s’écarte un peu du sujet, là ? Répondis-je.
– Je voulais juste montrer à Mademoiselle qu’on s’adorait ! Réplique Amandine en trouvant mes lèvres.

Elle commence à déconner Amandine, avec sa petite provocation, Estelle va finir par faire la gueule.

A moi de remettre tout ça sur les bons rails.

– Mais avec Estelle, aussi, on s’adore, n’est-ce pas Estelle.
– Ben bien sûr qu’on s’adore.

Elle m’enlace, me roule un patin et me pelote les nichons.

– Oh les beaux nénés que je suis en train de toucher !

Je dois la faire arrêter, craignant que ça tourne mal…

– Je vais peut-être vous laisser ! Nous dit Amandine en se levant de son siège.
– C’est moi qui te fais fuir ? lui demande Estelle.
– Ce n’est pas une fuite, mais comme vous m’avez l’air très intimes toutes les deux, autant que je respecte votre intimité.
– Mais on n’est pas intime, on se connait à peine, on s’est vu deux ou trois fois et on a bien aimé faire des trucs ensemble.
– Ah ?
– Je peux te raconter si tu veux, c’est assez marrant. Propose Estelle
– Vas-y, je t’écoute…
– Figure-toi que mon patron avait besoin de détails sur une partouze qui avait été organisée chez Chanette (voir Chanette 28 – Magazines littéraires) Il fallait donc que je la rencontre et je ne savais pas du tout comment m’y prendre, alors j’y suis allé au culot et je lui ai dit que je voulais apprendre le métier.
– Comme ça ?
– Non je résume ! Mais toujours est-il que du coup je suis tombée sous son charme !
– T’as donc raté la mission que t’avais confié ton patron ?
– Même pas ! Mais dis donc toi, je te regarde depuis tout à l’heure, t’es vraiment canon !
– On me le dit souvent, mais parfois j’aimerais me faire toute petite, qu’on ne me remarque pas…
– Ben ce soir c’est raté ! Dis-moi je peux t’embrasser ? Tu veux bien ?
– Tu m’as l’air bien excitée !
– Ce sont des choses qui arrivent… Tu ne veux pas me monter comment tu embrasses ? Minauda Estelle.

La demande est faite d’une voix tellement suave qu’Amandine se demande s’il faut en rire ou accepter le défi. Elle approcha ses lèvres, les deux femmes se lancent alors dans un patin d’enfer, tandis que leurs mains loin de rester inactive jouent à « Vas-y que je te pelote ! »

Et moi, je fais quoi ? Je fais banquette ?

– Eh, les filles, si vous voulez vous amusez, on serait mieux dans ma chambre !

Je m’y suis dirigée la première, Estelle m’a suivi entrainant Amandine par la main.

Une fois en chambre, il y a un petit moment de flottement, personne ne prend l’initiative de se déshabiller la première.

– T’es lesbienne ou bi ? Demande Amandine à Estelle.
– Je ne sais pas trop ce que je suis, j’ai rarement été avec les femmes, mais disons que la petite aventure que j’ai eu avec Chanette m’a réveillé de vieux souvenirs… et puis ça change… Mais dis-moi, tu nous le montres ton corps de déesse ?
– Faut peut-être pas exagérer !
– On se déshabille toutes alors ? Proposais-je

C’est donc ce que nous avons fait.

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Estelle a entrainé Amandine sur le plumard et se jette littéralement sur elle, mais de travers, lui bouffant les seins avec une fougue de sauvage.

Etant donnée la position d’Amandine, sa chatte reste offerte, elle sera donc pour moi et je m’en délecte d’autant que la coquine mouille déjà.

Estelle complétement barrée dans son trip ne tarde pas à vouloir sa part de chatte, elle change de position, descend et vient me rejoindre m’invitant à partager mon cuni !

Elle est gonflée, celle-ci ! Mais je ne suis pas mauvaise fille et lui cède la place

Je me recule, le spectacle d’Estelle en train de brouter le gazon d’Amandine a quelque chose de fascinant d’autant qu’elle accomplit sa tâche en relevant le croupion de façon obscène.

Je me précipite vers ces chairs offertes, je caresse, j’embrasse, je malaxe, j’écarte les globes, lèche le trou étoilé avant d’y introduire un doigt inquisiteur que je fais aller et venir en bonne cadence.

Un cri fulgurant…

Amandine vient de jouir sous les coups de langue d’Estelle… Et après celle-ci viendra nous raconter qu’elle n’a aucune expérience des amours lesbiens. Ou bien c’est une sacrée menteuse, ou alors elle a été touchée subitement par la grâce de Sainte Cunégonde, patronne des cunis !

Toujours est-il que le trio se disloque…

Mais vous vous doutez bien que nous n’en avons pas terminé pour autant.

C’est au tour d’Estelle de se coucher sur le lit, les jambes écartées, nous invitant à continuer à lui procurer du plaisir. Amandine est la plus rapide est plonge son visage entre ses cuisses. Quant à moi, je m’accroupis au-dessus de son visage afin qu’elle s’occupe de ma propre chatte.

La position n’est pas des plus pratiques pour Estelle qui est obligée de me lécher, menton relevé. Elle finit par laisser tomber s’abandonnant à la langue d’Amandine tandis que je lui caresse ses gros bouts de sein.

Après qu’Amandine l’ai fait jouir, elle revient vers moi et dans une position cette fois plus pratique parvient à me faire jouir à mon tour.

Nous sommes toutes les trois un peu épuisées par ce quart d’heure de folie (eh, oui, ça n’a pas duré plus longtemps !)

– Si on allait manger le gâteau ? Propose Estelle.
– Volontiers, mais je vais pisser avant ! Tu veux me regarder ! Lui lance Amandine.
– Te regarder pisser ? En voilà une idée ?
– Je te proposais ça comme ça, je m’étais dit que ça te plairait peut-être…
– Me prendrais tu pour une oie blanche ?
– Vu la façon dont tu m’as léché, ça m’étonnerait. Alors tu viens ?
– J’arrive !

Amandine s’accroupit sur la lunette de la cuvette et se mit à pisser d’abondance.

– Alors c’est beau ? La nargua-t-elle
– Bien sûr que c’est beau, je crois que je vais pisser aussi.

Amandine eu le tact de ne pas aller plus loin dans ce qui n’était même pas une provocation.

J’appris beaucoup plus tard, que les rapports à l’uro d’Estelle étaient en fait assez compliqués. Quand son patron, Maître Doubise entreprenait de la baiser il n’était pas rare qu’à la fin, il lui pisse dessus et même dans la bouche. La pratique n’incommodait pas Estelle, elle trouvait même la chose relativement amusante, mais ça restait dans son jardin secret.

On s’est placé autour de la table, j’ai débouché une bouteille de rosé bien frais et on s’est partagé le gâteau.

– Tu veux bien que je tartine ? Demande alors Estelle à Amandine
– Me tartiner quoi ?
– Tes seins ?
– Hein ?
– Lisse-moi faire.

Estelle a pris alors du gâteau et en a écrasé des morceaux sur les seins d’Amandine qui s’est mise à rigoler comme une bossue.

Evidemment Estelle et moi, avons dégusté tout cela en léchant chacun un sein, tandis qu’Amandine se laissait gagner par l’extase.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:32

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 11 – La vengeance, ce n’est pas si simple ! par Chanette

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Chanette

Bingo, j’ai la facture (la fausse facture donc) devant les yeux, Elle est à l’en-tête d’une société Van Halen International à La Haye.

Est-ce que j’ai tout ce qu’il faut ? Si la société hollandaise n’existe pas, ça va être facile, sinon on verra, Je compose le numéro de téléphone indiqué sur le document

– Allo, Van Halen International ?
– Ja !
– Merci !

Donc la société n’est pas bidon, reste deux hypothèses. Si Van Halen n’a rien à voir là-dedans cela prouvera de suite que la facture est fausse, S’ils sont complices ça risque d’être plus compliqué, mais je suppose que la police saura faire, après tout c’est leur métier.

Par politesse, j’ai remercié au téléphone Grace Hernandez, il me reste maintenant à recontacter Amandine Cantal pour lui expliquer où j’en suis. Mademoiselle ne répond pas, je lui envoie un message en la priant de me rappeler. Je vais donc passer à la case Gollier sans m’être concerté avec elle. Tant pis, le temps presse… J’entends déjà le savon que va me passer le policier quand je vais lui narrer mes aventures, mais je suis bien obligée d’en passer par là !

Il peut se libérer à midi et me donne rendez-vous dans une brasserie du Palais Royal.

– Tu es comme la Sainte vierge ! Me dit-il en guise de bienvenue, tu apparais, tu disparais, tu réapparais…
– Sauf que je suis pas vierge !
– Non sans blague ! Persifle-t-il.
– J’ai un truc à te faire écouter, c’est pas bien long, voilà… La voix c’est celle de Chauvière.

Il écoute l’enregistrement, paraît embarrassé.

– Mais encore ?

Alors je lui raconte l’invitation sur le yacht pour rupins, les prestations avec les passagers, l’incident avec l’attacheur fou, le rôle de Patrick Schultz, le vol de mes papiers et de mon téléphone et le rôle providentiel d’Amandine Cantal.

– Excuse-moi, mais sur ce coup-là tu as vraiment été la reine des connes !
– Je l’admets volontiers !
– Pourquoi tu ne m’as pas appelé avant de t’embarquer comme une idiote.
– Tu m’aurais dissuadé de le faire !
– Bien sûr que je t’aurais dissuadé !
– Ça n’aurait pas changé grand-chose, ils m’auraient traqué autrement…
– Hummm… Et en fait, tu viens me voir pourquoi ?
– J’aimerais me venger…
– Je ne suis pas Zorro…
– Moi non plus…

Et sans dévoiler mes sources, je lui explique que je suis en possession d’une fausse facture…

– Je vais te décevoir, je ne peux plus rien faire, j’ai été dessaisi de l’affaire…
– Quand il y a des éléments nouveaux, une enquête, ça peut se relancer, non ?
– Je vais te dire un truc que tu interpréteras comme bon te semble : les fonctionnaires de police seraient mieux payés, la corruption fonctionnerait moins.

J’ai compris le message, il ne m’en dira évidemment pas davantage.

– Donc résumons-nous, tu ne peux pas m’aider ?
– Moi non ?
– Parce que quelqu’un d’autre pourrait le faire ?
– Moi je suis la police judiciaire, pour ta facture, il y a la répression des fraudes, la brigade financière, les douanes… et même la police hollandaise. Tu connais un avocat ?
– J’en ai croisé quelques-uns, mais je les ai un peu perdus de vue, j’en ai surement parmi mes clients mais je ne suis pas assez intime avec eux… sinon j’ai eu récemment de bonnes relations avec la secrétaire d’un avocat…
– Suis cette filière, fais-toi conseiller.
– Ça ne va pas être gratuit !
– Je ne penses pas, non mais tu peux bien t’offrir ça, non ?

Petite allusion vacharde à mes activités réénumérées. Ça ne m’a pas plu.

– Certes !
– Sinon, tu trouveras bien le moyen de t’arranger, non ?
– Je vais voir !
– Christine ?
– Oui, je suis là !
– Il serait préférable qu’on ne se voie plus… cela pour des tas de raisons…
– C’est comme tu veux !

Ça tombe très bien ! Pourquoi le reverrais-je ?

– Mais autant se quitter bons amis.
– Je ne suis pas fâchée.
– On pourrait se faire une petite prestation comme l’autre fois, je ne te demande plus de demi-tarif, je paie plein pot.

J’ai accepté, pensant naïvement que cela pourrait le faire revenir à de meilleures dispositions.

Bizarre quand même qu’il m’ait avoué, sans me le dire vraiment qu’il s’était fait graisser la patte pour ne pas approfondir l’affaire de l’attentat contre Chauvière. Une façon de se libérer d’un poids, sans doute. En fait il est péteux !

– J’ai quelqu’un à 14 heures, un mec qui n’est pas partageux, mais je peux te recevoir à 15 heures.
– On ne sera que tous les deux alors ?
– Oui, sinon, je te téléphonerais quand j’aurais une opportunité…
– Non, non, je t’ai dit il faut mettre un point final à notre relation, je serais à ton studio à 15 heures.

A l’heure dite, il m’a apporté des fleurs, un très joli bouquet, j’ai apprécié. Je l’embrasse sur les joues.

– L’autre fois, on a pas fait de domination, c’est pourtant ce que tu voulais, non ?
– C’est-à-dire, quand j’ai vu comment tu traitais l’autre client, ça m’a refroidi.
– Je ne traite pas tous mes soumis de la même façon, il y a les gros masos et les petits masos.
– Ben, moi je suis un petit maso.
– Maso physique, ou tu aimes bien aussi les insultes.
– Les insultes, je ne sais pas trop, limitons-nous aux trucs physiques.
– O.K. déshabille-toi, je vais te gâter !

Pendant qu’il le fait je me débarrasse de mon kimono sous lequel je suis en bustier noir. J’arrive devant lui, lui passe un collier chien muni d’une laisse autour du cou et le mène au donjon.

Chanette2911Je me pose devant lui en le regardant droit dans les yeux, je lui attrape ses tétons que je serre bien fort entre mes petits doigts coquins.

– Ça, tu aimes, on dirait bien !
– Oui, c’est bon !
– C’est bon et ça fait bander ! T’as vu ta bite elle est devenue raide come un bout de bois. Bouges pas, je vais chercher les petits outils.

Je reviens avec deux pinces que je lui fixe sur les tétons. Oh la vilaine grimace qu’il me fait, mais il supporte ! Puis avec une petite cordelette, je lui ligature les couilles. Je joue un peu avec les pinces, celle-ci offrent plein de possibilités, on peut les tirer vers soi, les tortiller comme des papillotes ou tout simplement augmenter la pression en posant les doigts où il convient

Je le fais ensuite se retourner et s’arcbouter contre le chevalet et m’empare d’un martinet. En principe le martinet est l’instrument de flagellation le moins agressif (je dis bien en principe, parce qu’il y en a.. passons) .

– Je vais t’en donner vingt coups, tu vas compter avec moi !
– Pas trop fort !
– Ta gueule !
– Ben dis donc comment tu me causes ? Fait-il mine de s’offusquer.
– Oh pardon ! J’aurais dû dire « Ta gueule mon petit soumis »

Ça le fait marrer, cette andouille ! Allez, on y va, Gollier compte, arrivé près de la vingtaine, je vois bien qu’il a hâte que ça se termine.

– 19 , 20.

Il souffle ! Pas moi un vingt et unième lui tombe sur les fesses.

– On avait dit 20 ! Proteste-t-il
– Non on avait dit 22 !

Et je lui en envoie encore un.

– Maintenant tu te mets à plat ventre sur le chevalet, les jambes bien écartées, je vais t’enculer ave le gode !

Il n’hésite pas une seconde, à mon avis ce ne sera pas une punition, je parierais même qu’il doit avoir un gode chez lui qu’il s’enfonce dans le cul les nuits de grande solitude.

Je l’ai pilonné un bon quart d’heure avant qu’il ne me demande d’arrêter.

Instinct fatidique, il va vouloir jouir, or la dernière fois, me trouvant complètement hors contrôle je lui ai sucé la bite ! Je peux difficilement faire moins aujourd’hui.

Je ne lui ai pas demandé son avis.

– Tu restes debout et tu ne bouges pas.

Je l’ai pompé en lui caressant les couilles et en lui doigtant l’anus, cela jusqu’à ce qu’il jouisse, ce fut assez rapide. Je n’ai pas avalé, faut pas déconner non plus !

– Bon on fait comme on a dit, téléphone-moi quand tu auras vu ton avocat, je pourrais éventuellement te pistonner auprès d’un collègue, mais c’est tout ce que je pourrais faire pour toi.
– Ce sera déjà pas mal !
– Mais après on ne se connait plus…
– J’avais compris.

Bon, je n’ai plus personne cet après-midi, avec toutes ces péripéties, il faut que mon carnet de rendez-vous se refasse une santé.

Et Miss Amandine qui ne répond toujours pas ! J’espère qu’il ne lui a rien arrivé. J’envoie un nouveau message.

« J’ai avancé, j’ai des éléments, mais j’aimerais bien qu’on en parle J’espère que tu vas bien, bisous ! »

Je téléphone donc à Estelle Morin, la secrétaire de Maître Soubise (voir l’épisode précèdent)

– Chanette ! Je parie que tu viens nous voir suite à ton arrestation… Maître Doubise était désolé de ne pouvoir se déplacer lui-même…

Tu parles !

– On a rien retenu contre moi, mais je téléphone pour tout à fait autre chose…
– Tu ne m’as donc pas oublié ?
– Comment pourrais-je ? Répondis-je un peu hypocritement.
– C’est pour un rendez-vous coquin ?
– Disons que ça peut être compris dans le packaging !
– Parce que sinon ?
– Parce que je me suis foutue dans une belle merde et que j’ai besoin des conseils d’un avocat…
– T’as fait des bêtises ?
– Pas du tout, disons que j’ai été victime de quelques salopards.
– Bon OK, on se voit où ça et à quelle heure ?
– Chez moi à 19 heures, on bouffera sur place.

Je fais quelques courses avant de gagner mon appartement, et voilà que mon téléphone m’annonce la réception d’un message.

C’est Amandine ! Enfin !

« Je passe chez toi vers 19 heures ! O. K. »

J’ai failli répondre qu’à cette heure-là je serais prise, mais le temps presse de trop. On sera donc trois je saurais gérer, et je réponds à Amandine que c’est d’accord.

A 19 heures pile, Estelle Morin arrive la première avec un gros gâteau glacé (ma ligne !). Cette fausse blonde MILF un peu dodue est toujours aussi craquante.

– Salut ma biche, contente de te revoir, il y a un petit changement de programme, j’attends une nana qui est impliquée dans l’affaire que je vais t’exposer, mais soit rassurée, elle très sympa et elle ne s’éternisera pas, on pourra donc se faire des coquineries quand elle sera partie.
– Alors tout va bien !
– Tu veux boire quoi ?
– Je suppose qu’il va falloir que je reste l’esprit lucide, alors un jus de fruit ou un coca, on se boira des trucs qui décoiffent plus tard !

Je lui raconte donc toute l’histoire, le client aux diamants, la réception de Chauvière à La Tour Montparnasse qui se fait descendre, les conditions de mon arrestation et de ma libération, le rôle de la police, la proposition d’embarquement formulée par Amandine, puis je m’interromps pour lui faire écouter le message de Chauvière.
– Eh bin quelle salade ! Commente-t-elle.
– J’allais poursuivre quand la sonnette d’entrée retentit, c’est Amandine Cantal.

Présentation et bisous

– Voici donc Estelle Morin, la secrétaire de Maître Doubise, avocat à la cour. Et donc Amandine dont j’allais justement te parler. Excuse-moi Amandine, je vais continuer à raconter pour Estelle et ensuite je t’expliquerai où j’en suis dans mes démarches.

J’explique donc tout ça à mes deux interlocutrices. Manifestement Estelle a un peu de mal à suivre, Amandine est, elle plus préoccupée.

– Manifestement ton flic ne veut pas se mouiller !
– Il me dit que ce n’est pas plus un problème de police judiciaire !

Je ne vais quand même pas leur raconter qu’il s’est laissé corrompre !

– Alors le problème c’est : je m’adresse à qui ? Le flic m’a suggéré plusieurs services, la répression des fraudes, la brigade financière, les douanes et même la police hollandaise, mais quelles chances on a que des plaintes puissent aboutir rapidement ?
– Alors là, je ne sais pas dire, il va falloir que je voie avec Maître Soubise ! Nous répond Estelle.
– Il saura ?
– Bien sûr qu’il saura, il peut aussi faire accélérer les choses, du moins je suppose, mais tu vas le payer comment ? T’as de l’argent ?
– Oui, ce n’est pas un problème, mais si tu pouvais t’arranger pour qu’il nous fasse ça à l’œil, ce serait aussi bien !
– Tu sais Doubise, ce n’est pas le mauvais bougre, loin de là, mais il est très près de ses sous !
– En fait ce n’est pas une question de sous, je me disais simplement que si on pouvait l’avoir au charme, ça faciliterait les choses… ça le motiverait davantage… Mais sinon, c’est pas grave, je paierais !
– A moins que, à moins que… Murmure Estelle
– A moins que quoi ?
– Ça me paraît jouable. Il aime bien les sous, mais il aime bien les câlins aussi !
– C’est quel genre ?
– Ben pas vraiment playboy, ce serait plutôt « gros lard ».
– Je pourrais avoir un rendez-vous demain ?
– Je vais arranger le coup.
– Est-ce qu’il faut que je vienne aussi ? Demande Amandine.
– Il ne faudrait pas que cela constitue un obstacle si Chanette veut lui faire une opération charme…
– Pourquoi les plans à trois, il a quelque chose contre ?
– Dans ce cas…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:30

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 10 -Petit déjeuner spécial par Chanette

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bisou1719

Mercredi 21 avril

Je n’ai pas l’habitude me lever si tôt, mais bon, c’est pour la bonne cause !

Je sonne chez Tommy, c’est Nadège qui m’ouvre… en nuisette quasi transparente. Bisous, bisous.

Euh… faudrait peut-être pas se tromper de programme, je ne suis pas venu pour partouzer !

Tommy nous rejoint, déjà en costume cravate, nouveaux bisous.

– Vous avez déjeuné ? Me demande Nadège.
– Juste un café !
– Installez-vous, il y a tout ce qu’il faut, des tartines, du beurre, de la confiture…
– O. K. merci ! Bon Tommy tu as une idée ?
– Oui mais elle ne vaut pas grand-chose, on pourrait accuser Chauvière de proxénétisme…
– Et qui va témoigner ?
– Toi !
– On ne va pas aller loin avec ça ! Je n’ai pas de témoin, on va dire que je peux raconter ce que je veux…
– Et Amandine Cantal, elle ne pourrait pas témoigner ?
– Je lui dois une fière chandelle, mais dans cette affaire, au départ, elle est davantage complice qu’autre chose. Je préfère donc qu’on la laisse en dehors de tout ça. Par contre, moi j’ai peut-être quelque chose, mais est-ce que tu peux avoir accès aux factures ou aux bons de livraison archivées de la société ?
– Je ne me suis jamais posé la question, mais je présume que ça doit être possible ! Parce que ?
– Pace que je cherche un faux bon de livraison de diamants, voilà je t’ai noté la fourchette de dates et le contenu, je ne connais pas le nom du fournisseur, qui doit être bidon, ni le montant. Mais en fait ce document est un faux, il n’y pas eu d’achat, L’entrée en stock des diamants a fait suite à un casse organisé par Chauvière.
– Ola ! Où tu nous embarques ? On sait tous que Chauvière n’est pas toujours très clean avec ses transactions diamantaires mais de là à l’accuser de vol…
– Je tiens l’information d’une personne qui a participé à la préparation d’un vol à Rotterdam, j’ai tout un dossier dans cette enveloppe…
– Fais voir !

Je lui montre, il est dubitatif !

– Ça ne prouve rien, ça peut être de la mise en scène

Il se contente de feuilleter rapidement…

– Si on retrouve la facture et qu’on prouve qu’elle est bidon, ce ne sera plus de la mise en scène !
– Oui évidement… Bon je vais regarder, si je la trouve et que c’est numérisé je te l’envoie sur ton téléphone… et si ce n’est pas numérisé, ben je prendrais une photo.
– T’es un amour !
– Je ne te promets rien ! Bon, il va falloir que j’y aille !

Il se lève, je m’apprête à prendre congé également mais Nadège me retient.

– Restez encore un peu, juste cinq minutes.

N’étant pas vraiment née de la dernière pluie, je comprends parfaitement ce qu’elle souhaite. Bah, ce ne sera pas une corvée !

– Ça vous dérange si je loue vos services pendant une heure ?
– Maintenant ?
– C’est juste une idée comme ça… en fait j’ai très envie.
– Ça peut se faire
– Super, tu veux combien ?
– Ecoute, ton mari est en train de me rendre service, j’aurais mauvaise grâce à te faire payer, on va faire ça en copines.
– Ça marche.

Et elle se débarrasse de sa nuisette. m’exhibant fièrement sa jolie nudité. On s’embrasse…

Et pendant que je me déshabille elle me confie :

– Tu sais, j’ai adoré quand on a joué avec le pipi, l’autre fois.
– Pas de problème, je suis une bonne pisseuse, tu veux qu’on commence par ça ?
– Oui, pourquoi pas ?

Chanette2910Elle m’entraine vers la salle de bain.

– Je veux en boire plein ! Me dit-elle.
– Allonge-toi par terre et ouvre la bouche, je vais essayer de te gâter.

Je m’accroupis de façon à ce que ma chatte soit à quelques centimètres de sa bouche et j’ouvre les vannes. Evidemment elle en fout plein à côté, mais se régale visiblement avec le reste.

– Hum, c’est bon, j’y prends vraiment goût à ce truc là !

On se relève, je lui fais comprendre que j’ai envie de l’embrasser… Les yeux qu’elle me fait… Ben oui sa bouche a le gout de mon urine…

– Ne t’inquiétés pas !
– On est cochonnes, hein ? Commentera-t-elle après ce baiser spécial.

Elle m’entraîne maintenant dans la chambre conjugale, ouvre de suite le tiroir de sa table de chevet et en extrait une gode de facture fort classique.

– Tommy avait acheté ça pour agrémenter nos petits jeux érotiques, on s’en est servi pas mal au début, maintenant on l’a un peu oublié.

Du coup elle actionne le vibreur… qui ne démarre pas.

– Je vais chercher des piles, je reviens !

Ben oui, il faut toujours avoir des piles de rechange !

– Tu me le mets ! Me demande-t-elle
– Devant ? Derrière ?
– Derrière, je préfère ! Je veux que tu m’encules comme une chienne !
– D’accord je vais te préparer un peu avant !
– Me préparer?!
– Fais-moi confiance !
– Mais je te fais confiance !
– Alors tout va bien !

J’ai commencé par lui lécher le trou du cul, il a bon goût malgré le fait que l’odeur du gel douche matinal persiste, et il est très joli, on dirait un étrange fruit couleur de châtaigne et dissimulant son entrée secrète.

Mais cette entrée secrète à une clé et cette clé c’est ma langue qui à force de venir y frétiller, finit par faire bailler de trou charmant.

Du coup, je mouille mon doigt et l’enfonce, le faisant aller et venir et provoquant des petits jappements significatifs de la part de ma complice du moment.

– Mets-moi le gode ! Me supplie-t-elle

C’est comme elle veut, allons-y pour le gode que je recouvre d’un préservatif et fail bouger comme il se doit.

Elle jouit du cul comme une damnée. Elle souffle quelques instants, me caresse, me plote les nénés (c’est une manie)

Bref, on se caresse, on s’embrasse et puis…

– Tu le voudrais, toi, le gode ? Me demande-t-elle.

En fait je n’y tiens pas particulièrement. Certes Nadège est une belle femme mais elle n’a ni le charme particulier de Grace Hernandez, ni l’éclat de la beauté de Amandine Cantal. Les gouts et les couleurs ne se discutent guère.

Mais d’un autre côté je n’ai pas envie de la décevoir en refusant, alors, j’accepte :

– Vas-y encule-moi !

Et la voilà qui me ramone le conduit avec son gode à piles neuves ! Ce n’est pas désagréable mais je sais que je ne jouirais pas ainsi.

Elle s’arrête au bout d’un moment, retire le gode, enlève la capote avec un kleenex, madame est délicate !

– On se clitoune ? Propose-t-elle.

Voilà une formule que je ne connaissais pas, je la trouve jolie, c’est quand même plus classe que de se brouter le gazon !

On s’est mises en soixante-neuf, son abricot est juteux comme un fruit mur, de mon côté ce serait plutôt sec. Je ne peux renouveler l’astuce de l’autre fois, ayant pissé il n’y a pas si longtemps.

Alors je m’évade dans mes fantasmes, Amandine et son corps de déesse, Grace et son clébard, son clébard et sa bite que je n’ai pas osée sucer, alors je la suce dans mes pensées. Et l’impensable se produit, voilà que je mouille…

Et tandis que ma langue s’activait sur le clitoris de ma complice de jeu, cette dernière attaquait le mien, me faisant jouir dans un geyser de mouille.

Je n’en suis pas encore revenue !

C’est en sortant de l’appartement de Tommy et Nadège que mon téléphone portable me signala la réception d’un message. J’ouvris, fébrile, me demandant si Tommy avait réussi ?

à suivre

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Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:28

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 9 – Le chien de Madame Hernandez par Chanette

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Mardi 20 avril

J’ai établi une petite liste de gens qui sont susceptibles de m’aider, je me réserve la grosse artillerie si je ne peux pas faire autrement, mais il me faut d’abord voir si je peux glaner des informations auprès des personnes ayant des contacts présents ou passés avec la nébuleuse Chauvière.

J’ai donc commencé par Tommy dont le rôle dans cette affaire me paraît peu clair. Dans son message Chauvière l’a présenté comme quelqu’un non prévu par le scénario initial. Je verrais bien, consciente malgré tout que je prenais un risque.

Il est content de m’avoir au téléphone, mais joue les débordés…

– Tommy il faut absolument que je vous voie, j’ai des choses graves à vous dire…
– Je suis en entretien, là, je ne peux pas trop parler…
– Est-ce qu’on peut se rencontrer, je n’abuserais pas de votre temps
– Ce soir je finis tard, ensuite je suis de sortie avec mon épouse… ça ne peut pas attendre la fin de la semaine.
– Je crains que non …
– Ecoutez je peux vous consacrer un quart d’heure pendant mon heure de déjeuner. Vous pourriez être à midi 30 au café « Le croissant chaud », c’est juste devant la Tour…

Et à l’heure indiquée, après avoir fait un chaste bisou au monsieur, je lui tendis mon téléphone.

– Ecoutez-ça, ça dure à peine 5 minutes…
– Vous m’intriguez…

Au fur et à mesure qu’il prend connaissance du message son visage reflète l’incrédulité.

– On dirait bien la voix de Chauvière, vous êtes sûre que c’est lui ?
– Oui, c’est lui, j’ai eu la faiblesse de tomber dans le panneau, et sans l’intervention de sa secrétaire, je serais aujourd’hui en train de faire des pipes dans un bordel de Tanger !
– Sa secrétaire ? Laquelle ?
– Amandine Cantal !
– Amandine Cantal vous a aidé à vous en sortir ?
– Ben oui ! Vous ne me croyez pas ? Et vous savez qui était le directeur de la croisière, je vous le donne en mille ?
– Dites-moi ?
– Votre ami Patrick Schultz !
– Mais ce n’est pas mon ami !
– J’aurais cru pourtant !
– Ben non, c’est comme on dit un collègue de machine à café, on se retrouve tous les jours à 10 heures, je le trouve plutôt marrant, mais je n’en sais pas plus. Tiens, c’est vrai que je ne l’ai pas vu de la semaine…
– Il est tellement marrant qu’il m’a foutu une baffe parce j’ai refusé qu’un client m’attache.
– Pardon ?
– Ben oui, en un quart d’heure, je n’ai pas le temps de tout vous expliquer…
– Comment faire ? On pourrait peut-être se voir demain matin de bonne heure, à 7 heures…
– Si vous voulez !
– Mais qu’attendez-vous de moi exactement !
– Je cherche à me venger de Chauvière et de Schultz et je manque d’idées !
– Je ne demande pas mieux que de vous aider, mais là je sèche ! Il faut que j’y aille, j’ai un rendez-vous… D’accord pour demain matin ?
– O. K.

Sans doute un coup pour rien ! Carte suivante !

Le temps presse, je prends un taxi pour rentrer à la maison, je récupère les coordonnées de Grace Hernandez et lui téléphone.

– Ah Christine, qu’est-ce qui vous amène (Christine c’est moi, c’est mon vrai prénom !)
– Je dois vous faire part d’évènements assez graves me concernant…
– Vous avez besoin d’argent ?
– Mais pas du tout, en deux mots j’ai été piégé par Chauvière qui a cherché à se débarrasser de moi.
– Faudrait m’en dire davantage.
– Je ne demande pas mieux ! Mais j’aurais aimé que l’on se voie.
– Mais vous désirez quoi au juste ?
– Qu’on discute de tout ça, en fait je cherche à me venger !
– Ah ! Je ne peux pas me déplacer aujourd’hui, j’attends une livraison et c’est le jour de congé de ma bonne, mais venez donc chez moi, je vais vous appeler un taxi…

Et une demi-heure plus tard, j’étais à Montmartre au pied d’un immeuble cossu.

Je sonne à l’interphone, la porte de l’immeuble s’ouvre, je prends l’ascenseur, je ne trouve pas de sonnettes et frappe à la porte ce qui provoque les aboiements peu aimables d’un clébard.

Grace Hernandez m’accueille chaleureusement en m’embrassant sur les joues. Elle me propose un thé, je n’aime pas trop ça mais j’accepte par politesse.

L’intérieur fait très nouveau riche, meubles Regency, reproductions assez lugubres de toiles de Bernard Buffet, armoire vitrée avec une incroyable collection de chats miniatures… Deux gros matous blancs (des vrais cette fois) roupillent sur le canapé. Le chien, un gros labrador noir vient me renifler du bout de son museau avant d’aller s’affaler sur ce qui doit être son tapis attitré.

– Je vous écoute !

Je m’efforce de tout lui raconter par ordre chronologique, elle a le tact (ou l’intelligence) de me laisser parler, ne m’interrompant que pour me faire préciser certains points…

– Ben, n’en voilà une histoire ! Mais vous aviez évoquez une clé d’ordinateur…

Bravo, elle a suivi !

– J’allais y venir, tenez écoutez donc, c’est édifiant !

Elle écoute avec attention, je guette sa réaction.

– Bien, bien, bien ! Eh bien il ne s’arrange pas Chauvière, il est en train de jouer avec le feu !
– Pour le moment il ne risque rien ! Quel genre de plainte je pourrais déposer ? il ne s’est rien passé.
– C’est un malin Chauvière, il s’est toujours sorti des plaintes déposées contre lui. Il a des alibis, des faux témoins et des livres de comptes parfaitement maquillés… quoique vous savez parfois il suffit d’un grain de sable et tout s’écroule !

Un peu de mal à la suivre !

– Donc si j’ai bien compris vous désirez vous venger ? Reprend-elle
– Ben oui !
– Et vous avez pensé que je pourrais vous aider ?
– Ben oui, mais si vous ne pouvez pas, je ne serais pas fâchée !
– Bon dites-moi, vous voulez juste vous venger ou vous garder d’un danger ?
– Les deux options ne sont pas incompatibles, Quand Chauvière va apprendre que je me suis enfuie, il ne va pas rester les bras croisés.
– Alors voilà, on va mettre votre désir de vengeance de côté, la vengeance est toujours contre productrice…
– Je…
– Laissez-moi finir, chère amie ! En revanche, agir afin que Chauvière cesse de vous importunez, je peux peut-être savoir-faire.
– Ah !
– Il faut que je vous explique : avant ma liaison, j’étais l’une des putes attitrées de Chauvière, non seulement il y avait les prestations sexuelles, mais il nous proposait des petits boulots qui n’avaient rien à voir avec la prostitution mais qui avaient à voir avec des trafics douteux. Chauvière n’a jamais touché à la drogue, ni aux armes, ce sont des milieux trop dangereux. Non son truc à lui c’est les diamants. Alors il nous demandait de faire du repérage, de noter des emplacements de véhicules, des identités de convoyeurs, des horaires, et la plupart de ces renseignements s’obtenaient de façon horizontales…
– Horizontales ?
– Oui, en couchant si vous préférez. Pourquoi je vous raconte tout ça ? Ben voilà, il commençait à y avoir de l’eau dans le gaz en ce qui concerne ma liaison avec Chauvière, je passe les détails, ce sont des histoires de bonnes femmes ! On s’est engueulé et il m’a fait une vacherie, en fait il a cessé de me payer en me demandant de me calmer et en me disant que je ne serais payée qu’après la prochaine opération. Donc j’ai effectué cette dernière opération, c’était à Rotterdam, chez Kuipper and son. J’ai tout noté dans un dossier, les immatriculations des véhicules, les noms de convoyeurs, le dates et les heures, et bien sûr le contenu du camion. Et j’ai pris des tas de photos. C’est dans un dossier dans mon coffre, je ne m’en suis jamais servi, je me suis réconciliée avec Chauvière avant qu’on se quitte à l’amiable, mais j’ai gardé le dossier… Encore un peu de thé ?
– Non merci !
– Le souci c’est qu’avec ça, on ne peut pas faire grand-chose ! Par contre… Par contre sa comptabilité est truquée, il faudrait retrouver le faux bon de livraison ou la fausse facture d’achat correspondant à la date du casse du camion. A ce moment-là prouver qu’elle est fausse serait un jeu d’enfant, le fournisseur indiqué sur la facture pourra prouver qu’il n’a rien fourni du tout… Maintenant pour trouver la facture en question, il faudrait quelqu’un dans la place ! En plus j’ignore si la facture est conservée en papier ou si elle a été numérisée, mais enfin bref, elle est quelque part.
– J’ai peut-être une idée, je vois quelqu’un demain matin, vous avez la date de la facture.
– Mais je vais vous la donner ! Et je vais vous faire une copie de l’ensemble du dossier que j’ai constitué. Bien sûr vous m’obligeriez en m’accordant la même faveur que lors de notre dernière rencontre.
– Ce sera avec grand plaisir.

Et trois minutes après nous étions à poil toutes les deux. On commence à se caresser debout l’une devant l’autre. Je lui lèche ses jolis seins dont les bouts sont déjà érigés, tandis que ses doigts viennent explorer ma chatte.

Le chien vient alors tourner autour de nous.

– Couché, Kellog ! Lui ordonne sa maîtresse.

Il s’affale sur le plancher, au moins il est obéissant. Nous on s’assoit côte à côte sur le canapé, elle ne m’a pas encore dit ce qu’elle souhaitait que nous fassions.

Et voilà le chien qui revient, c’est obéissant ces bestiaux-là mais ça n’a pas beaucoup de mémoire, il tente d’immiscer son museau entre mes cuisses, du coup je serre mes jambes instinctivement

– Kellog, t’es pas sage ! Lui dit Grace Hernandez.

Mais comme la phrase prononcée n’est pas un ordre, le chien ne réagit pas, il me regarde avec de grands yeux étonnés et la langue pendante.

– T’as déjà fait des trucs avec un chien ? Me demande mon hôtesse.
– Non, mais j’ai déjà vu le faire. (voir Chanette 27- L’affaire Manet Carrier)

Pourquoi cette réponse qui ouvre une véritable brèche, le subconscient sans doute)

– Et ça te tente pas d’essayer ?
– Ben non !
– C’est vrai que c’est très tabou, mais tout dépend ce qu’on fait, par exemple si tu écartes les cuisses, le chien va te lécher la chatte et je t’assure que ça n’a rien de désagréable… bien au contraire.
– Je n’en doute pas un seul instant…

Bon on parle d’autre chose ou quoi ?

– Tu veux me regarder ?
– Oui, juste regarder, je veux bien, ça ne me détrange pas.

Grace ouvre alors ses cuisses, et le chien s’y précipite lui lapant la chatte comme à l’abreuvoir.

– Putain, quelle langue ! Commente-t-elle.

Sa respiration devient haletante, ma parole, elle est capable de jouir comme ça, sous la langue du clébard…

Et puis, allez savoir si c’est un acte manqué ou autre chose, mais j’ai fini par desserrer mes jambes. En même temps Grace commençait à piailler, faisant se reculer le chien. Celui-ci apercevant mon entrecuisse disponible est venu le gouter. Tétanisé je n’ai pas réagi, me laissant lécher en fermant les yeux.

Après tout, elle a raison, il n’y a pas de quoi fouetter un chat (ou un chien) c’est même assez troublant, mais pas question que cette bonne femme m’entraine plus loin ! Ah, mais !

– Je te propose un petit jeu… commence-t-elle

Je m’attends au pire…

– Je vais continuer à jouer un peu avec le chien, toi tu vas me regarder, puis quand j’aurais terminé tu vas me punir sévèrement pour t’avoir infligé un tel spectacle ! Ça te convient ?
– Ça me convient très bien ! Répondis-je.

Grace récupère le chien et après lui avoir caressé le dos passe sa main sous son ventre afin d’atteindre son fourreau. C’est spectaculaire, en quelques secondes la bite rougeâtre sort de sa cachette et finit par présenter un bel aspect. Elle fait ensuite passer la bite baveuse derrière son arrière-train et se met à la sucer goulument.

C’est la seconde fois que je vois ce genre de scène en réel (voir Chanette 27- L’affaire Manet Carrier). J’avais été la dernière fois tellement fascinée par le spectacle que j’avais été à deux doigts de participer.

Et là je suis en plein atermoiement, il suffirait d’un petit déclic… Mais il faut croire que le moment n’était pas encore venu. Ivre d’excitation Grace lâche sa proie et s’agenouille sur le canapé offrant ses fesses au chien qui ne tarde pas à comprendre ce qu’on attend de lui. Grace écarte les fesses, le chien monte sur sa maîtresse, trouve l’orifice et se met à baiser en cadence.

En plein trip Grace pousse des cris de plaisir.

– Arrange-toi pour qu’il m’encule ! Me dit Grace au bout de quelques minutes.

Allons-bon ! Voilà qui va m’obliger à toucher à la bite du chien ce sera une première, il y a toujours une première fois, Plus facile à dire qu’à faire, ce qu’elle me demande, Le chien ne comprend pas pourquoi je l’empêche de continuer son labeur, mais quand son sexe se retrouve à proximité de l’anus de la mature, il reprend ses va-et-vient avec une telle frénésie que Grace finit par jouir du cul (et peu silencieusement)

Elle s’est déboitée et elle a repris sa fellation ça ne dure pas longtemps, la bite du chien éjectant en continue un liquide visqueux.

Le chien rejoint son coin et s’assoupit dans l’instant.

– Voilà, maintenant, je suis à ta disposition, Me dit Grace Hernandez. Dans le premier grand tiroir là-bas il y a tout ce qu’il faut, cravaches, toys, menottes…

Je suis encore tellement troublée par le spectacle qu’il m’a été donné de voir que je n’ai aucune idée de la façon dont j’envisage la suite. Bah, j’improviserai ! Elle aime les mots crus et les humiliations, je vais li en servir.

Je prends la cravache dans le tiroir.

– Mets toit en levrette, grosse salope, je vais te rougir le cul

J’arme la cravache, je vise, le coup tombe laissant une trainée rougeâtre sur son gros cul.

– Whaf !

Hé ? Qu’est-ce que c’est ? C’est le clébard qui a décidément le sommeil léger et qui n’a pas l’air d’apprécier du tout que je flagelle sa maîtresse.

– Couché, Kellog, Chanette ne me fait pas de mal, on joue !

Comment voulez-vous qu’il comprenne…

– Continue Chanette !

Pas très rassurée, j’arme mon coup, le chien me grogne après ! Ce n’est plus possible de continuer.

– Bon on va laisser tomber, me dit Grace, je pourrais l’enfermer, mais ça va le traumatiser. On aura l’occasion de se revoir ailleurs.
– Comme tu veux, ma biche !
– Allez on s’embrasse !

On s’est embrassées, pelotées, on s’est léché réciproquement le gazon et l’anus comme deux vieilles goudous, on s’est fourré les doigts dans le cul d’une de l’autre.

Je suis excitée comme je l’ai rarement été. Et c’est dans un souffle que je prononce l’incroyable à ma partenaire

– Je vais le faire, j’ai envie de le faire !
– Tu as envie de faire quoi ?
– De sucer la bite du chien.
– Tu ne le regretteras pas, c’est trop génial.

J’ai peut-être parlé un peu vite, l’excitation parfois fait dire de ces choses… Mais comment me dégonfler à présent.

Grace a rappelé le chien, l’a fait bander et s’est mise à le sucer de nouveau.

– Viens, Chanette, viens.

Je suis tétanisée, elle s’en rend compte.

– Viens tu en as envie, ne réfléchis pas, laisse toi-aller, hum, elle trop bonne cette bite !

Chanette2909
J’ai respiré un bon coup et me suis approchée, ça y est j’ai la bite du chien dans la bouche, c’est visqueux, c’est pervers, je suis une vraie salope et je mouille comme une éponge.

– Alors ? Demande Grace.
– C’est fou , je n’en reviens pas de faire ça !
– Ça te plait !
– Oh, oui !

On s’est embrassé, avec le gout de la bite du chien dans la bouche, puis on s’est remis en soixante-neuf et cette fois j’ai joui pour de vrai.

– La prochaine fois tu aimerais qu’il te prenne ?
– Pourquoi pas ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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