Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:03

La signature du contrat par Fleur02
Stamp sodo2

Ce soir-là, mon mari avait invité à la maison un important client. Il m’avait demandé de me faire belle. Cette soirée comptait énormément pour lui. Il y avait à la clé un important contrat et de sa signature dépendait une belle promotion pour lui.

Je m’étais donc habillée sexy. Je portais une robe noire très courte qui mettait bien en valeur mes longues jambes. Le haut, décolleté, laissait voir la naissance de mes seins. Un soutien-gorge noir en bandeau se distinguait à peine. En bas, j’avais mis un minislip noir en dentelles et une paire de bas auto-fixants.

A l’heure prévue, son invité est arrivé. Charmant, la quarantaine environ, il avait amené des fleurs ce qui me fit très plaisir. Pour prendre l’apéritif, nous nous sommes installés au salon. Mon mari et cet homme se sont assis sur le divan. Je me suis retrouvée dans un fauteuil en face d’eux. En m’asseyant, ma robe très courte est encore remontée dévoilant nettement le haut de mes bas. Notre invité n’a rien raté du spectacle que je lui offrais involontairement. J’ai surpris son regard et me suis mise à rougir. J’ai ensuite tiré sur le bas de ma robe mais sans grand résultat. J’ai quand même fait attention à garder les jambes serrées. L’apéritif s’est déroulé normalement, mon mari faisant le service.

Puis nous sommes passés à table. Mon mari s’est placé en face de son client et je me suis retrouvée à côté de lui. Au début du repas, je me suis occupée du service pendant que les hommes parlaient entre eux de travail. Le repas était très agréable et les conversations ont vite dévié sur des sujets plus légers. Arrivés au fromage, mon mari s’est aperçu qu’il n’y avait plus de vin et s’est levé pour aller en chercher à la cave.

Je me suis retrouvée seule avec notre invité. Il s’est alors mis à me complimenter. Je le remerciais lorsque j’ai senti sa main se poser sur ma cuisse à la lisière de ma robe.

– Je vous en prie, arrêtez ! Mon mari va revenir, m’exclamais-je totalement surprise par ce geste.
– Allons, vous êtes tellement sexy. Laissez-vous faire. J’ai envie de vous caresser. Vous savez que vous me faites énormément d’effet ?
– Non arrêtez enlevez votre main.

Mais il avait déjà glissé sa main jusqu’au-dessus de mes bas et le contact avec ma cuisse me donna le frisson.

A ce moment-là, un bruit dans le couloir lui a fait enlever sa main. C’était mon mari qui revenait une bouteille à la main. Je me suis alors levée précipitamment pour aller dans la cuisine. Mon mari m’y a suivi, se doutant de quelque chose. Alors je lui ai raconté ce qui venait de se passer. Mais sa réaction ne fut pas celle que j’attendais. Il me dit :

Ecoute, chérie, tu fais comme tu veux et je ne t’oblige en rien mais pense au contrat que je dois signer. Il en va de ma carrière. Puis il m’embrassa et retourna dans la salle à manger. Je restai un moment seule me demandant si j’avais bien compris ce que je venais d’entendre. Puis je me décidai à rejoindre les deux hommes. Le repas se termina rapidement, les hommes faisant les frais de la conversation. Puis nous sommes retournés au salon pour prendre un digestif.

Mon mari avait légèrement tamisé la lumière et mis de la musique douce. Il m’invita alors pour un slow. Je l’accompagnai. Il me tenait serrée contre lui et je sentais ses mains me caresser le bas des reins. Puis ses mains descendirent sous ma robe et remontèrent sur mes fesses. Il me caressa ainsi par-dessus mon slip puis glissa quelques doigts en-dessous. Je le laissais faire et sentais son désir grossir contre moi. Je tournais le dos à notre invité mais je suis sûre qu’il ne perdait rien du spectacle et devait apprécier de voir ma robe retroussée.

Puis brusquement mon mari s’arrêta de danser et déclara qu’il devait gagner son bureau afin de terminer de rédiger le contrat. Il proposa à son client de venir danser avec moi. Celui-ci ne se fit pas prier et prit de suite sa place.

J’eus juste le temps de rabaisser ma robe sur mes cuisses. C’était parti pour un autre slow. Manifestement, cet homme n’était pas resté insensible au spectacle donné avec mon mari car je sentais sa virilité durcie.

Il me serra contre lui et plaça ses mains sur mes fesses. Je murmurai un « non » timide mais il commença à me peloter les fesses. Ses mains parcouraient le haut de mes cuisses et se glissaient sous mon slip. Je ne pouvais pas l’empêcher.

Puis il me plaqua contre un mur et se mit à me peloter les seins. En même temps il me murmurait qu’il avait très envie de moi, qu’il bandait comme jamais. D’un coup il fit glisser les bretelles de ma robe et, accrochant au passage le soutien-gorge, il me dénuda les seins.

Il se pencha vers moi et se mit à me lécher les bouts. Ceux-ci étaient déjà durs car j’étais excitée depuis la danse avec mon mari. Puis il se redressa et dégrafa son pantalon, le baissa avec son slip et je vis surgir sa queue tendue au maximum.

Fleur

Me poussant vers un fauteuil, il me fit me courber contre le dossier et releva ma robe sur mes reins. Il baissa brutalement mon slip et je sentis sa queue se frotter contre mes fesses. Puis, d’un coup sec, il me pénétra analement. Ses mouvements étaient puissants et je le sentais me labourer profondément. Je me mis à jouir sans pouvoir me retenir. Il devait n’attendre que cela car il explosa à son tour. Je sentais son sperme jaillir à grands jets au fond de moi. Puis il se retira, alla quérir son portefeuille dans son veston e sortit trois billets qu’il me glissa dans mon bas sans que je réagisse.

Je me redressai, récupérai mon slip et me rendit à la salle de bains faire un brin de toilette. Quand je revins au salon, mon mari était à en train de lui faire signer le fameux contrat. Je les laissai et partis me coucher, seule. J’étais consciente d’avoir fait la pute, mais étonnement cela ne me traumatisait guère.

Le lendemain, mon mari m’a avoué qu’il m’avait regardé me faire sodomiser par ce client. Cela l’avait beaucoup excité et il s’était masturbé en me regardant. Il m’a dit avoir joui en même temps que moi.

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 4 mars 2023 6 04 /03 /Mars /2023 09:01

Nadège, ma mère de 55 ans par Elian Lvekman
Mat Stamp

Passant par le Limousin, j’en profitais pour faire une halte chez ma mère. Et après avoir déjeuner nous sommes allés faire une promenade digestive en forêt. Malheureusement, nous avons été surpris par la pluie et sommes rentrés en courant et trempés. Je me suis assis devant la cheminée, pour me réchauffer et ma mère est monté se changer dans la salle de bains. Elle est redescendue aussitôt car e chauffage de la salle de bain était déficient, elle a donc décidé de se changer devant la cheminée.

Elle est venue près de moi et a commencé à s’essuyer. Moi, je regardais la télé sans prêter attention à ce qu’elle faisait. Puis, elle a dû se pencher pour attraper sa serviette, et là, je l’ai vu… ses seins nus et fermes dont les tétons se dressaient légèrement, ses belles hanches, ses épaules sur lesquelles tombaient ses cheveux mouillés. Je ne l’avais jamais vu autrement que comme ma mère, et je me retrouvais soudain à l’admirer en sentant naître une érection que je ne pouvais empêcher. Je voyais la serviette frotter ses seins, doucement, ils roulaient entre ses mains alors que mon érection devenait de plus en plus forte. Elle m’a souri et m’a demandé :

– Qu’est-ce qu’il t’arrive ?

Je revenais soudain à la réalité et réalisais que j’étais en train de désirer ma propre mère. Je m’efforçais de me concentrer sur la télé, mais mes pensées me ramenaient sur elle: Nadège, ma mère de 55 ans, que je n’avais jamais comme une femme aussi excitante avec des seins magnifiques et fermes, des jambes superbes et ses yeux…! N’y tenant plus, je me retournais à nouveau vers elle: elle avait posé une jambe sur le rebord de la cheminée, tout près de moi. elle essuyait sa jambe et sa jupe se relevait petit à petit. La peau de sa jambe était à peine à quelques centimètres de ma bouche. Penchée, je pouvais voir ses seins bouger au rythme de ses gestes. Elle ne faisait pas du tout attention à moi, trouvant la situation très naturelle .Je ne pouvais plus décrocher mon regard de ce spectacle. L’atmosphère était bizarre ce jour-là .Elle m’a souri de nouveau et m’a dit :

– Dos donc, tu ferais mieux de regarder la télé au lieu de te rincer l’œil !

Son sourire a achevé de me troubler, et j’ai totalement oublié qu’elle était ma mère. Je lui ai pris la serviette des mains en disant

– Laisse, je vais t’aider !

Je commençais alors à l’essuyer, très lentement, et à chacun de mes mouvements je faisais remonter sa jupe. mon regard allait de ses cuisses à ses seins puis a son visage. Ses cuisses s’écartaient un plus et je pouvais très bien voir son slip.

– Qu’est-ce que tu fais ?

Son sourire avait disparu, mais elle me troublait toujours autant. Elle baissa son regard vers mon pantalon de survêt et, comme je n’avais rien en dessous, elle n’a pas eu de mal à comprendre l’effet qu’elle me faisait tant mon érection était forte.

N’oublie pas que je suis ta mère !

La serviette avait glissé et c’étaient maintenant mes mains qui frôlaient la peau douce de ses cuisses. sa jupe était presque tout à fait retroussée et mes doigts glissaient dessous, sur ces fesses rondes, fermes et si douces.

Ne fais pas ça. Il ne faut pas !

Je n’entendais plus. Ma joue frôlait maintenant ses cuisses, mes lèvres se délectaient de la peau sucrée et de la chaleur qui provenait de son slip.

– Non, arrête !

J’écartais son slip et voyais sa belle toison déjà toute humide. Je savais que plus rien ne pourrais m’arrêter, maintenant , et j’enfournais ma langue entre les lèvres de son sexe. J’aimais la sentir mouiller;! je la buvais carrément alors qu’elle n’arrêtait pas de répéter mon prénom en me disant d’arrêter. Je suçais son clito avec un appétit féroce, pendant que mes mains écartaient ses fesses et que mes doigts s’enfonçaient dans son anus. Elle répétait toujours mon prénom, mais sa voix était plus douce et plus saccadée. Mon visage, blotti entre ses cuisses, était ruisselant de son plaisir. Je n’en pouvais plus;! J’avais l’impression que mon sexe allait exploser. je me relevais et plongeais mon regard dans ses yeux brillants de plaisir. Elle me dit une nouvelle fois d’arrêter, me rappelant qu’elle était ma mère. Mon sexe dressé frottait sur le sien au travers de mon survêtement. Je passais derrière elle et posais mes mains sur ses seins dont les tétons étaient durs. Ils se sont mis à durcir encore alors que je les faisais rouler entre mes doigts. Sa respiration était devenue très saccadée et sa tête tomba sur mon épaule. Je l’embrassais tendrement derrière ses lobes d’oreilles, dans son cou.

Je sentis alors sa main glisser dans le pantalon de mon survêt et ses doigts saisir mon sexe. Elle commençait à me masturber pendant que je caressais ses seins et son sexe. Ma bite glissait maintenant entre ses cuisses. doucement, elles s’entrouvraient. Puis elle posa une jambe sur le rebord de la cheminée et mon gland commença à rentrer dans son anus. tout doucement, centimètre par centimètre. Je la sentais respirer de plus en plus vite, ses lèvres pincées, pour se retenir encore. Alors je la pénétrais tout à fait, d’un coup qui lui arrachais un cri. j’accélérais mon va-et-vient alors qu’une de mes mains s’agrippait à ses seins et que l’autre écartait les lèvres de sa chatte. Elle relevait ses jambes et se penchait pour que je puisse m’enfoncer encore davantage. Ma bite entrait tout entière dans son cul. Elle poussait des râles de plus en plus fort. Je l’agrippais par les hanches et accélérais encore le mouvement.

J’étais tellement excité que je ne pouvais plus retenir mon sperme plus longtemps. Mon jus giclait entre ses fesses, sur ses hanches. D’un mouvement, elle se retournait et se mit à genoux devant moi. Sa langue nettoyait le sperme et le jus de mon cul qui coulaient de mon sexe. Elle suçait mon gland pour ne pas perdre une goutte. Puis elle pris ma queue à pleines mains et se mit à me sucer goulument. Je sentais mon sexe rouler sous sa langue, puis s’enfoncer jusqu’au fond de sa gorge. Elle me suçait si fort que j’ai eu l’impression que ma bite allait imploser. Mes râles devenant de plus en plus fort, elle comprit que j’allais jouir une nouvelle fois. Alors elle se releva en me souriant.

– Doucement, mon fils. Pas encore…

Elle s’assit sur le canapé en me faisant signe d’approcher. Elle prit ma bite dans ses mains et m’attira vers elle. Je me retrouvais à califourchon sur elle et elle glissait ma queue entre ses deux seins superbes, gonflés et durs. Elle pressait ses seins sur mon sexe et je commençais à le faire glisser vers sa bouche. A chaque fois que ma bite s’approchait de sa bouche, je sentais sa langue caresser mon gland devenu hyper sensible. J’adorais sentir la peau de ses seins sur celle de mon sexe ! Elle me sourit et me dit

– Maintenant , vas-y !

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J’accélérais le mouvement jusqu’à ce que je jouisse à nouveau et que mon sperme aille gicler sur sa figure, ses seins, sa poitrine, ses cheveux. Elle étalait mon jus sur son corps puis se léchait les doigts. Comme elle écartait ses jambes, je ne pus m’empêcher d’approcher mon sexe

– Oui, prends-moi… Fais-moi encore jouir…

A ce moment, je suis revenu à moi une fraction de seconde et je réalisais que je m’apprêtais à baiser ma propre mère, mais ses mains guidaient déjà ma queue vers son minou humide et mon désir repris le dessus: je me laissais guider et la pénétrais d’un coup. Ses jambes venaient bloquer mes hanches comme pour ne pas me laisser ressortir. Mais mon intention était toute autre alors que ma langue léchait ses seins encore imprégnés de mon sperme. Elle ne me disait plus d’arrêter, maintenant, mais au contraire d’aller plus vite, plus profond. Je m’exécutais avec joie en mordillant ses tétons devenus extrêmement durs. Elle remonta ses jambes et posa ses talons sur mes épaules, s’ouvrant totalement. Je la pénétrais entièrement et chaque fois que mes bourses venaient heurter sa chatte, elle poussait un cri qui m’excitait encore davantage. Finalement un flot de sperme jaillit de mon sexe alors que mon cri de plaisir se mêlait au sien

Nous sommes restés un long moment comme ça, l’un dans l’autre, puis nous sommes relevés. Une fois rhabillés, nous nous sommes longuement embrassés; elle m’a dit qu’elle avait rarement été aussi excitée puis m’a fait promettre de ne plus recommencer. Mais quelques temps après, c’est elle qui est venu me retrouver sous la douche et là….. Mais ceci est une autre histoire !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 11 février 2023 6 11 /02 /Fév /2023 13:40

Lilly Firefly par Léna Van Eyck – 19 – Sur la route de Las Vegas

Lilly

On a laissé Bob en plan dans ce récit, Bob qui s’est sauvé comme un voleur sur son cheval pendant que Howard Buchanan se faisait trucider par Davy.

Au terme de sa fuite, Bob s’est arrêté à Havelock Valley. Il prend une chambre d’hôtel qu’il paie avec ses gains aux dés.

Il pense sérieusement à laisser tomber la recherche du magot de McGregor, n’ayant plus aucun plan de rechange. Mais quand il apprend incidemment que William va hériter de la fortune et des terres de son oncle, il devient fou de rage.

Il enfourche son cheval et galope jusqu’au ranch de William Buchanan. L’endroit est bien gardé et quand il se présente à l’entrée en demandant à rencontrer le propriétaire du lieu, on le fait d’abord poireauter, puis le garde lui fait part de son intention de le désarmer.

– Il n’en est pas question !
– Dans ce cas foutez le camp !
– Bon, bon je vous confie mon flingue.

Le garde retire les balles du révolver et lui rend, puis après l’avoir fouillé, lui confisque son couteau de trappeur.

On le fait entrer dans le bureau de William. Celui-ci sait qu’il en fera pas le poids face à Bob qui est une force de la nature, mais le garde est là, il veille au grain et il est costaud.

– On peut se parler en tête à tête ? Demande Bob !
– Surement pas !
– Ton garde n’a pas besoin de savoir ce que j’ai à te dire.
– O.K. Tom, laisse-nous.

William fait glisser son revolver sur ses cuisses prêt à tirer.

– Alors ?
– Alors si tu ne me donnes pas ma part du magot de McGregor je vais expliquer au nouveau shérif tes attaques de diligences en fournissant tous les détails.
– Et comme tu y as participé, tu seras pendu en même temps que moi ! Ça t’arrive de réfléchir parfois ?
– Je te dénoncerais par lettre, je resterais caché…
– A bon tu as appris à écrire ? Et ç’est tout ce que tu veux ?
– Oui !
– Recule !
– Pourquoi ?
– Parce que tu pue le chacal !

Vexé, Bob s’avance, William dégage son révolver et fait passer Bob de vie à trépas !

Bien sûr j’ignorais cet évènement que Kate me narra un peu plus tard.

Parce que Kate s’est pointée un beau matin au Pretty Saloon en demandant après moi.

On est toute contente de se retrouver, bisous, bisous.

– On s’est engueulé ce matin avec William, M’explique-t-elle, ce type est de plus en plus violent, j’en ai marre de lui, je me suis cassée en douce pendant qu’il cuvait son whisky. Et puis c’est pas une vie, j’ai des belles robes, des bijoux, je mange de bonnes choses mais je me fais chier, il me laisse de moins en moins de liberté. Alors je vais prendre la prochaine diligence, je trouverais bien un saloon qui veut de moi.
– Tu sais que tu me donnes une idée, moi aussi j’ai envie de changer d’air ! On part ensemble ! Si on allait à Las Vegas, il parait qu’ils cherchent tout le temps de nouvelles filles !
– Quand ?
– Je vais regarder les horaires des diligences… Il y en a une cet après-midi, on peut la prendre. Il faudra faire plusieurs changements
– Oui !
– Mais avant il faut que je dise au revoir à ma mère ?
– Ta mère ?
– Ben oui, ma mère !

Molly draguait dans le saloon je l’aborde discrètement.

– Je vais partir d’ici… demain de bonne heure… je t’expliquerais, mais avant j’aimerais qu’on se dise au revoir gentiment.
– O.K, viens me voir demain avant le service. Viens une heure avant qu’on prenne notre temps.

Pourquoi une heure avant ? Il ne faut pas une heure pour se dire aurevoir ?

Et le lendemain matin, alors que le jour n’était pas encore levé, je frappais à la porte de sa chambre

– Alors tu te barres ? Ça te prend comme une envie de pisser ?
– Envie de changer d’air ! Et puis croiser Davy tous les jours, ça commence à me gonfler.
– Bien, c’est ta vie, j’espère qu’elle sera heureuse. On s’embrasse !
– Bien sûr !

Sauf que la baiser n’a rien de maternel, c’est carrément une galoche bien baveuse !

– Si je te dis que j’ai envie de toi, tu me réponds quoi ? Me dit ma mère
– Tu y prends goût si je comprends bien…
– Attends, ça me ferait plaisir, mais si tu ne veux pas, je ne serais pas fâchée ! Poursuit ma génitrice.
– Mais voyons, j’en ai autant envie que toi, tu le sais bien !

C’est donc pour ça qu’elle souhaitait qu’on se retrouve une heure avant le service.

Alors on s’est déshabillées de conserve. Nues l’une face l’autre on s’est échangé quelques douces caresses jouant chacune avec les nénés de l’autre, avant que nos mains redescendent dans un endroit plus stratégique.

On n’allait pas rester debout, le lit nous attendait et là nous avons repris nos pelotages, nos caresses et nos baisers avant de nous retrouver en position de soixante-neuf.

J’ai donc à nouveau tous les trésors de ma mère à portée de bouche. Bien sûr que je vais lui lécher l’abricot pour la faire jouir, mais auparavant je veux encore une fois gouter à la douceur de son anus.

– Oh, ta langue ma fille !
– Chut personne ne doit le savoir !
– Le couloir est vide et puis maintenant que tu vas partir, quelle importance ?

Ma langue revient sur sa figue, ruisselante comme un torrent de montagne.

– Qu’est-ce que tu mouilles.
– Vite, mon clito fais-moi jouir.
– Toi aussi, on va essayer de jouir ensemble !

J’ai léché son clitoris noyé dans un océan de mouille, ma mère est partie au quart de tour, je n’ai pas joui en même temps qu’elle, mais quelques minutes après.

Et avant de quitter sa chambre, j’ai demandé à ma mère de me pisser dans la bouche. Quand on est coquine autant l’être complétement.

– T’est vraiment une belle salope ! Me dit-elle
– Comme toi, Maman !
– Alors ouvre bien ta bouche, j’ai déjà pissé mais je vais essayer de te faire quelques bonnes gouttes…

Finalement mon départ risquait d’être un peu trop voyant. J’avais profité d’un moment d’inattention de Dorothy et de Davy pour cacher Kate dans le petit grenier du saloon.

Et aux premières lueurs de l’aube, alors que tout le monde ronflait, je suis allé réveiller ma copine et nous sommes sorties, bien sûr il n’y a aucune diligence à cette heure matinale, mais la cariole de Davy est entreposée dans l’écurie et je sais comment y pénétrer. Le temps d’atteler un cheval et nous voilà parties.

J’ai déposé une enveloppe dans le tiroir-caisse de Dorothy.

« Je m’en vais vers d’autres horizons. Je me suis permis d’emprunter la cariole et le cheval de Davy. Tu trouveras quelques billets que tu lui remettras (c’est uniquement pour le cheval). Je t’embrasse. Lilly  »

Eh oui, dans l’Ouest, on ne rigole pas avec les voleurs de chevaux…

– Tu connais le chemin ? Me demande Kate

– Faut aller vers le sud, on trouvera bien, mais avant je vais passer voir le shérif de Norton City.
– Hein ! Tu vas aller voir un shérif alors qu’on vient de voler un cheval ?
– J’ai volé la cariole, pas le cheval !
– Hein ?
– Je t’expliquerai. Ces derniers temps, j’ai croisé pas mal d’emmerdeurs dont certains voulaient carrément me faire la peau. Le Shérif Taylor ne peut rien me refuser, je veux simplement savoir si j’ai encore des ennemis qui trainent !
– Tu t’inquiètes pour rien, personne n’ira nous trouver à Las Vegas !
– Ne crois pas ça, le monde est petit…
– Tu me raconteras tout ça, mais je te signale que tu viens de t’en faire un nouveau ?
– Un nouveau quoi ?
– Un nouvel ennemi ! Dit-elle en me montrant la cariole.
– Davy ? Il ne tentera rien contre moi, il est trop péteux.

Effectivement Davy n’a pas l’intention de faire quoique ce soit, il est même plutôt ravi de me voir partir. Mon départ lui aura juste coûté le prix d’une carriole !

En revanche, il y en a un autre qui n’est pas content du tout, c’est William Buchanan.

Flashback, la veille

– Putain, la salope ! Avec tout ce que je lui ai acheté, les robes, les bijoux. Je ne pouvais la forcer à m’aimer, mais elle aurait pu me montrer un peu de respect, non ?
– Vous voulez que je me renseigne pour savoir où elle est passé ? Propose Peter.

Peter est allé de suite au Pretty-Saloon, il sait très bien que les filles ne diront rien. En revanche les clients.

– Oui, elle est passée dire bonjour à ses copines…
– Et ensuite, elle est partie où ?
– Je ne sais pas je ne l’ai pas vu ressortir.

Quand il rend compte à son patron, celui-ci semble un peu calmé.

– Bon, faut que j’en prenne mon parti, si on la retrouve, elle s’enfuira de nouveau, je n’ai pas que ça à faire. Qu’elle aille au diable !
– Je laisse tomber alors ?
– Va quand même te renseigner au saloon demain. Ce n’est pas normal que personne ne l’ai vu sortir…
– Et si je la retrouve ?
– Tu me la ramènes pas ! Mais tu as le droit de lui foutre trois baffes, et si tu veux la violer, tu as ma permission.

Fin du flashback

En début d’après-midi, Peter s’attable au Pretty-Saloon. C’est Cindy qui vient le brancher.

– Alors beau cow-boy, ça te dirait un petit moment avec moi ?
– Pourquoi pas ? Je suis passé hier, il y a un gars qui m’a dit que Kate était passée…
– Ben, oui, elle passé dire bonjour !
– Et elle est partie où, parce qu’il paraît qu’elle n’est pas retournée chez William Buchanan ?
– Ça mon grand, tu m’en demandes de trop !

Peter sait très bien que Cindy ne dira rien ! D’ailleurs sait-elle vraiment quelque chose ? Mais parler un peu fort attire toujours les bavards.

– Y’a Lilly qui s’est sauvé ce matin en piquant la cariole de Davy. Si ça se trouve Kate était avec elle.
– Et elles seraient allées où ?
– Ça ?
– Lilly disait toujours qu’elle voulait aller à Las Vegas.
– Et elles seraient parties quand ?
– Cette nuit, il paraît.

« Est-ce que je peux les rattraper en galopant ? se demande Peter ! Ça ne coute rien d’essayer ! »

– Alors, tu montes avec moi ? lui demande Cindy.
– Non, je viens de me rappeler que j’ai une course à faire.

Et le voilà qui se met à galoper. Il se dit que malgré le retard qu’il a pris un cheval au galop finira bien par rattraper une cariole. Et il a chevauché ainsi jusqu’à une heure tardive.

« Bon, j’y renonce, elles sont du prendre une autre direction ‘

Et il rebroussa chemin.

Eh oui, il ne risquait pas de nous trouver, puisque nous étions à Norton City…

En partant du Pretty-Saloon nous avons chevauché jusqu’à environ un mile, là ou Kate savait que se trouvait une grange non protégée. Notre intention était de nous y reposer et de reprendre notre route après le lever du soleil.

Mais fatiguées et stressées, nous nous sommes réveillées alors que le soleil était déjà très haut dans le ciel.

Et quand nous somme arrivées au bureau du shérif de Norton City, c’est l’adjoint Davenport qui nous a ouvert. Je ne vous raconte pas sa tronche. Gêné le mec, mais gêné !

– Heu, c’est pourquoi ?
– On vient voir le shérif Taylor.
– Il n’est pas là, il y a eu une bagarre au ranch des alouettes, il y a un gars qui est mort… Je peux peut-être vous renseigner.
– Ben, non, c’est un peu personnel, on peut l’attendre ici ?

Il n’a pas osé nous refuser ça, alors on a attendu, Davenport nous a alors proposé de jouer aux cartes. Pourquoi pas ? Ça nous a passé le temps !

Et au bout de deux heures Taylor finit par revenir.

– Bonjour mesdames, que me vaut cet honneur !
– Juste une question, mais je préfèrerais qu’on ne soit que tous les trois.
– Bon, Davenport, va faire un petit tour pendant une heure, tu seras gentil !
– T’as arrêté personne au ranch ! S’étonne tout de même l’adjoint avant de se préparer à quitter les lieux.
– Pff ! Toujours le même cirque, soi-disant légitime défense, et des témoins aussi fiables que des couteaux ébréchés.

J’attends que Davenport ait quitté le bureau pour poser la question qui me brule les lèvres.

– Tu m’as fait parvenir un message en me disant que Stanley n’était plus dangereux, mais…
– Tu voudrais des détails ?
– Ben oui !

Alors il m’a raconté, sa version me paraît un peu arrangée, mais bon l’essentiel c’est que le risque de ce côté-là a disparu pour de bon ! Ouf !

Je lui fais part ensuite de mes intentions de quitter la région en compagnie de Kate, ça a l’air de le rendre tout triste. L’idée de lui proposer un câlin d’adieu m’a traversé l’esprit mais je pense que Kate qui ne lui doit rien ne serait pas partante.

– Non on va s’en aller, à priori, je n’ai donc plus d’ennemi ?
– Pas que je sache !
– Et Davenport, tu as confiance ?
– Pas trop, mais il ne va pas te courir après. Mais dis-moi Lilly, maintenant que tu vas quitter la région, tu peux peut-être me dire ce que tu sais au sujet du magot.
– Mais je ne sais rien !
– Allons, allons !

C’est alors que Kate vient me souffler je ne sais trop quoi à l’oreille, je ne comprends rien de ce qu’elle raconte. Très diplomate, Taylor quitte la pièce sous le prétexte d’aller pisser.

– Mais t’es complètement conne ! Eructais-je, il va se douter de quelque chose.

Alors elle m’a expliqué son idée, une bonne idée, j’avoue.

– C’est William Buchanan qui est en possession du magot, annonçais-je à Taylor dès son retour
– Quoi ?
– L’argent a été déposé en banque. Personne ne pourra rien prouver.
– Mais comment il a su pour le coffre de McGregor ?
– Là tu m’en demandes trop ! Tu ne pourras rien faire contre William Buchanan, mais si le bruit se répandait, sa superbe en prendrait un sacré coup
– Et comment tu peux être au courant ?
– Je ne peux pas te donner d’autres détails mon gros biquet ! Bisous, on s’en va !

Quand Davenport revint, Taylor voulut tester ses réactions :

– Complètement givrées, ces deux nanas, tu sais ce qu’elles sont allées me raconter ? Que ce serait William Buchanan qui aurait piqué le magot de McGregor. N’importe quoi !!
– Elle ne sait plus qui accuser ! Commenta Davenport.
– Remarque, ça n’a rien à voir, mais on peut quand même se poser des questions sur la façon dont William Buchanan s’est enrichi !
– Oui, c’est vrai que c’est bizarre…

Taylor pensait qu’en chargeant William devant Davenport, celui-ci prendrait sa défense et lâcherait quelques informations sur ma personne. Mais cela ne pouvait fonctionner.

En fait ni Taylor ni Davenport ne croyaient un traitre mot au sujet de la culpabilité de William, mais les deux hommes sont très différents, et si Taylor sait tenir sa langue, Davenport est au contraire un incorrigible bavard…

Alors un jour l’inéluctable se produira, il sera abordé par un soiffard quelconque.

– Le magot de McGregor, vous avez une piste ?
– Bof ! Tout le monde accuse tout le monde… On a même parlé de William Buchanan…
– C’est vrai qu’avec tout le fric qu’il a amassé et qui vient de je ne sais pas où…

La rumeur se répandra, enflera, et viendra jusqu’aux oreilles de McGregor. Le shérif sur l’injonction du maire refusant de se bouger, le vieux patriarche lèvera une milice privée et ce sera l’affrontement sanglant entre les deux riches propriétaires du comté…

On peut toujours rêver, n’est-ce pas ?

Revenons à Peter qui ne nous a pas trouvé et qui revient au bercail…

Nous voilà parties depuis quelques heures. Il nous faudra trouver quelque chose pour nous abriter cette nuit… Un cavalier arrive à contre sens, il va pour nous croiser, mais soudain il pile.

– Bonjour mesdames !

Peter, le bras doit de William Buchanan, qu’est-ce qu’il fabrique ici ? Je réalise alors que nous n’avons pas pensé à nous armer.

– Vous allez où comme ça ? Demande-t-il
– Qu’est-ce que ça peut te foutre ! Répond Kate
– C’est que William est très en colère !
– Ça lui passera !
– Humm
– Qu’est-ce qu’il t’a demandé de faire ? De me ramener à son ranch ? C’est ça ? Lui demande ma copine.
– Non ! Il ne veut plus entendre parler de toi !

C’est donc autre chose, et cet autre chose nous rend blêmes. Que faire ?

– On peut peut-être s’arranger, non ? Intervins-je.
– En fait, William m’a confié une mission, mais je ne l’accomplirais pas.
– Hein ! Quelle mission !
– Vous foutre une bonne raclé Et peut-être même vous violer.

Il n’était donc pas question d’attenter à nos vies ! Du coup je respire mieux !

– Alors qu’est-ce que tu fous là ?
– Fallait bien que je donne le change. Et puis il y a autre chose. Je m’en veux terriblement de vous avoir fouetté dans la grange.
– Sur le coup, ça ne te déplaisait pas tant que ça, tu bandais comme un taureau. ! Ne puis-je empêcher de lui faire remarquer.
– Je sais, je ne suis pas parfait, je me suis déjà excusé auprès de Kate, mais je n’ai pas eu l’occasion de le faire auprès de toi, alors je te présente mes excuses. Me dit-il

Mais c’est qu’il en devient pitoyable.

– Bon, d’accord, tu t’es excusé, maintenant on va reprendre notre route.
– Si vous estimez que je mérite une punition, je me laissais faire ! Ajoute l’homme.

Alors voilà autre chose ! Peter serait maso, pourtant je n’avais rien remarqué de tel quand nous nous sommes côtoyés, mais c’est vrai aussi que dans l’environnement macho de l’Ouest, ce n’est pas si facile à assumer.

– Tu voudrais qu’on te fouette ! Intervient Kate amusée par le discours de l’homme. Ne serait-ce que pour voir ce que ça fait.
– Si ça vous amuse, pourquoi pas ?

Moi j’aurais volontiers continué la route et laissé ce connard en plan, mais Kate avait manifestement envie de se distraire à ses dépens.

Il y avait une baraque abandonnée et en ruines un peu plus loin, on s’y rend et Kate en descendant de la cariole prend soin de s’emparer de la cravache

Je subtilise le fusil accroché au flan du cheval de Peter et on fait entrer l’homme dans la barque en lui intimant l’ordre de se déshabiller.

Personne n’a dû pénétrer dans cette ruine depuis des mois, ça sent la poussière. Un fouillis d’objets déglingués, des vêtements en lambeaux trônent dans un coin. Kate y prélève de la ficelle et un vieux foulard.

– Tiens le en respect pendant que je lui ligature les couilles ! Me demande ma copine.

Mais le type se laisse faire sans protester, sage comme un bon toutou… Et c’est qu’elle les lui serre fort ses couilles, Kate, Mais faut croire qu’il y trouve son compte parce qu’il bande sans vergogne.

– Et maintenant, à quatre pattes, je vais te rougir le cul.

Et c’est parti ! Kate cingle à tout va, elle n’y va pas doucement, de jolies stries écarlates ne tardent pas à apparaître sur le fessier de Peter qui accueille les coups de cris étouffés.

Lilly19

– A ton tour, maintenant ! Me dit-elle en me tendant la cravache.

Assez bizarrement, je ne me sens pas trop motivé. Je trouve qu’on est en train de perdre notre temps avec ce bonhomme qui ne mérite que notre mépris. De plus comme il est maso, la punition n’en est pas vraiment une ! Mais bon, je ne vais pas jouer les rabat-joie non plus, Kate est tellement contente de lui faire des misères…

Alors, je tape, je cingle mais ce cul trop rouge me fait peur, j’ignore avec quelle force je dois continuer.

– Plus fort ! Me dit Kate !

Après tout en tapant plus fort, ce sera peut-être une vraie punition, donc je fais comme ça. Et là je sens qu’il a vraiment mal, il n’ose pas me dire d’arrêter mais il n’est pas bien du tout. Je lui assène encore cinq coups avant de m’arrêter.

– Il ne va pouvoir s’assoir pendant huit jours ! Commentais-je.
– Et je te dis pas comment il va faire sur son cheval !

Du coup on éclate de rire ! Ça fait du bien !

Peter a conservé la position, Kate lui ordonne de se coucher par terre sur le dos, lui détache les couilles, mais lui ligote les mains et les chevilles.

Qu’est-ce qu’elle fout ?

Elle utilise ensuite le vieux foulard trouvé dans le fouillé pour lui bander les yeux.

– C’est bon il ne nous dérangera pas ? Me dit Kate en se dépoitraillant !

J’ai compris, cette petite séance de pur sadisme l’a complètement excité. Mais comment pourrais-je résister à cette magnifique paire de seins qui s’offrent à ma vue !

Je les pelote, j’en aspire les bouts, l’excitation me gagne très vite, et on se déshabille de conserve.

Je ne sais pas comment on a fait, mais on s’est retrouvée par terre, sur le sol poussiéreux. On continue caresses et baisers. Nos doigts vont partout, chacune titillant la chatte de l’autre.

– Mon cul ! Mon cul ! Supplie-t-elle

On y va, on y va, mon doigt entre là-dedans tout seul, elle miaule, elle adore ça, elle se contorsionne, on se retrouve tête bêche en soixante-neuf. Je retire mon doigt et c’est maintenant ma petite langue qui lui butine son petit trou, j’adore ce petit goût acre qui le fait bien.

On a fini par se brouter la chatte jusqu’à ce que nos cris de jouissance envahissent la cabane.

Peter n’aura rien vu, mais tout entendu.

On s’embrasse…

– Te relève pas, je vis te pisser dessus ! Me dit Kate
– Moi je veux bien, mais je vais m’essuyer avec quoi ?
– Si t’avale, tu seras pas mouillée !
– On avale jamais tout !
– Bof, avec cette chaleur, ça séchera vite !

Si elle le dit…

J’ai bu ce que j’ai pu de son délicieux pipi et quand elle m’a demandé la réciproque, c’est avec grand plaisir que je lui ai fait gouter au mien.

Kate enlève le bâillon de Peter.

– Voilà ! Nous on s’en va, on te laisse ici, je n’ai jamais été très forte en nœuds, tu devrais pouvoir te libérer sans trop de difficulté. On te confisque ta carabine et tes cartouches.
– Je…
– On t’a pas autorisé à parler !
– Laisse le causer, on ne sait jamais ! Intervins-je.
– Est-ce que vous m’avez pardonné ? Demande-t-il simplement.

Ça nous a fait bien rigoler alors que lui nous regarde avec des yeux de chien battu.

– Mais oui, on va dire qu’on est quitte, mais t’es quand même un gros connard ! Lui dit Kate
– Un très gros conard ! Renchérissais-je.

Et on a repris la route… pour de nouvelles aventures ? Allez savoir ?

Allez en chœur :

« We’re two nice western hookers and we love what we do » (On est deux belles putes de l’Ouest et on adore ce qu’on fait)

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 11 février 2023 6 11 /02 /Fév /2023 13:38

Lilly Firefly par Léna Van Eyck – 18 – Les aventuriers de l’Ouest

Lilly

Le lendemain matin, Angela prit sa cariole et se rendit au drugstore de Colsontown afin d’acheter du tissu. Du moins était-ce le prétexte de son déplacement ! Et puis on a toujours besoin de tissu !

– Ah Madame Angela comment ça va ? Cela fait une éternité…
– Ben oui, je ne suis bien que chez moi, mais de temps en temps faut bien faire des courses.
– Vous avez appris la nouvelle ?
– La nouvelle ? Quelle nouvelle ?
– Tout le monde en parle… Howard Buchanan s’est fait attaquer.
– Pas des Indiens ?
– Non, un bandit ! On va l’enterrer cet après-midi !
– Le bandit ?
– Non Buchanan !
– Ce n’était pas mon copain, mais paix à son âme !

Angela revint annoncer la nouvelle à Davy qui poussa un long soupir de soulagement.

– Maintenant, tu as deux solutions, ou bien tu t’en vas quelque part en étant tranquille, puisque le vieux Buchanan ne risque plus de te rechercher. Ou alors tu retournes au Pretty Saloon.
– Pourquoi faire ? Dorothy a dû me faire remplacer !
– Tu verras bien, mais rends toi compte que tu vas vivre toute ta vie avec ce sentiment de culpabilité, tu as failli être le complice et même davantage d’un crime sur une innocente.
– Et je fais comment ?
– Tu vas voir la fille en question et tu lui expliques que tu as fait une grosse connerie.
– Et tu crois que c’est facile ?
– Non, c’est même très difficile, mais si elle accepte de t’entendre tu ne feras plus de cauchemars.
– Je vais réfléchir…
– Si tu choisis cette solution, attends huit jours avant de retourner en ville, sinon tous les soupçons vont te tomber dessus.

Si la disparition de Howard Buchanan a laissé la population dans l’indifférence, chez les notables ça s’agite pas mal. Le maire et le shérif qui ne devaient leur poste qu’en raison de leur allégeance au vieux patriarche s’empressent d’organiser une assemblée pour tenter de conserver leurs postes. Le verdict fut sans appel, la ville se choisit un nouveau maire et un nouveau shérif.

Restait à régler le problème de la succession. On alla chercher le notaire qui ne put faire autrement que de constater qu’en l’absence de testament, le seul héritier était son neveu, William Buchanan.

Toute cette agitation n’a entraîné aucune conséquence majeure sur la vie du Pretty Saloon. La place de régisseur est vacante depuis le départ de Stanley. C’est Molly, ma mère qui occupe provisoirement une partie de ses fonctions.

Comme je le pressentais, Davenport est revenu au saloon et m’a sollicité pour une nouvelle passe. Une solution aurait été de l’envoyer bouler. Je peux toujours refuser un client même si je n’ai jamais abusé de ce droit. Seuls quelques poivrots potentiellement agressifs et autres hyper crasseux ont essuyé mes refus.

Alors je l’ai monté.

– Ah Lilly si vous saviez le plaisir que j’ai de partager un moment avec vous !
– C’est gentil ! Me contentais-je de répondre tout en me déshabillant.

On a fait notre petite affaire, une passe sans originalité. Souvent je fais semblant de jouir, en principe ça satisfait l’égo de ces messieurs et ça alimente les conversations post coïtale

« La Lilly c’est une sacré chaudasse, je l’ai fait jouir, et ce n’était pas du cinéma, elle mouillait comme une soupe… »

Pauvre ignares qui ne savent pas faire la différence entre la mouille et l’huile d’olives !

Et en se rhabillant avec une lenteur bien calculée, il commence son petit baratin.

– Lilly, il faudrait que nous parlions !
– Oui je sais ! Mais ça ne te dérange pas de jouer un rôle ?
– Pardon ?
– On s’est connu à Norton City, je t’ai monté plusieurs fois, tu étais un client comme plein d’autres et…
– Mais…
– Laisse-moi finir ! Certains mecs s’emmourachent plus ou moins de moi, ça fait partie du jeu, je le vois dans leurs yeux à la façon qu’ils ont de me regarder. La plupart ne l’avoue pas car ils craignent de se prendre un râteau, d’autres essaient de flirter et comme ça ne marche pas, ils laissent tomber. Très rares sont ceux qui insistent lourdement. Je n’ai jamais senti que tu faisais partie de cette catégorie. Tu aimais bien monter avec moi, tu aimais bien monter avec d’autres aussi, je n’étais qu’une pute parmi d’autres.
– Non Lilly, tu te trompes !
– Je ne crois pas ! Et je vais même t’expliquer ce que tu fabriques ! Cet abruti de Stanley a répandu le bruit selon lequel je serais au courant de quelque chose au sujet du magot de McGregor, alors tu t’es dit…
– Mais c’est un malentendu !
– C’est ça oui ! J’ignore ce que tu allais me proposer et je ne veux pas le savoir. Si je savais quelque chose au sujet de ce magot je l’aurais raconté à Taylor, ne serait-ce que pour me protéger, parce qu’actuellement ils doivent être cinq ou six à me harceler à ce sujet et même que ça commence à bien faire.

Là j’exagère, ils ne sont que trois, (Stanley, Bob et lui) mais ma phrase fait son petit effet et du coup il tente de se justifier mais se plante lamentablement :

– Mais justement, je me proposais de vous offrir mon aide pour vous débarrasser de tous ces enquiquineurs.
– Ah oui et pourquoi donc ? Tu serais devenu mon ange gardien ? Et en quel honneur ? Et t’espérait quoi en échange ?
– Euh, écoutez, ce n’est pas facile à dire !

Il cherche ses mots, je suppose qu’il a compris que s’il répond trop vite, il va encore sortir une connerie.

– Bon, on en reste là !
– Je me disais, reprend-il que si vous me laissiez enquêter, je trouverais peut-être quelque chose, à ce moment-là, avant de rendre le fric à McGregor on pourrait en prélever un peu et se le partager.
– Non, pour la dernière fois, je ne sais rien, et maintenant tu es prié de me foutre la paix, je me réserve le droit de demander à Taylor ce que tu viens foutre ici pendant tes heures de travail.
– Oh, non, je vous en prie ne faits pas cela !
– Alors je ne veux plus entendre parler de ces conneries, si tu reviens pour baiser, tu seras toujours le bienvenu, si tu reviens avec des arrière-pensées, ce n’est même pas la peine de te déplacer.
– Bon sans rancune ! On s’embrasse ?

Si ça lui fait plaisir.

Je ne suis toutefois pas complètement rassurée, ce mec-là est pugnace, et puis l’appât du fric ne disparaît pas comme par enchantement, d’un autre coté je ne lui ai pas laissé beaucoup de marge de manœuvre…

En fait j’aimerais quand même me sentir débarrassée de cette glue, et puis autre chose me tracasse, c’est Stanley, qui est un bonhomme autrement plus dangereux que Davenport.

Je décide d’aller rendre visite à Taylor le lendemain avant ma journée de travail pour essayer d’y voir un peu plus clair.

Je déboule donc dans le bureau du shérif Taylor. Coup de bol, Davenport n’est pas présent, j’avais préparé une petite mise en scène pour me retrouver seul avec Taylor, ce ne sera donc pas la peine.

– Lilly, qu’est ce qui t’amènes, ma grande ?
– Je voulais te faire un petit bisou !
– T’es sûre que c’est pour ça, à mon avis tu viens pour autre chose !
– Oui, mais l’un n’empêche pas l’autre.
– Davenport n’est pas là ?
– Non, pourquoi tu me parles de Davenport ?
– Comme ça !
– Il se repose, il sera là cet après-midi
– Et hier, il était où ?
– Mais enfin pourquoi cette question ?
– Tu vas voir ! Réponds-moi donc, mon biquet.
– Il essaie de savoir ce que fabrique Stanley, mais pour l’instant le Stanley il joue les pères tranquilles.
– Il te ment ! Hier il était au Pretty Saloon, si tu me crois pas tu n’auras qu’à demander à Dorothy. Il est monté avec moi et il m’a fait un petit numéro, assez désastreux d’ailleurs car il est persuadé que j’ai quelque chose à voir avec le magot de McGregor.
– Oh, le salaud, je vais le révoquer !
– Non ne fais pas ça, je lui ai promis que je t’en parlerais pas, mais je voulais que tu le saches.
– O.K., je vais prendre des dispositions, mais il faut que je te dise une chose !

Il reprend sa respiration ! Je n’aime pas trop, à tous les coups il va m’annoncer une catastrophe.

– Je vais te dire le fond ma pensée, je t’aime bien et je ne ferais rien contre toi mais je suis intiment persuadée que tu caches un lourd secret.
– Mais non…
– Si ! Tu sais quelque chose que tu ne peux pas dire, encore une fois je ne cherche pas à savoir et je ne te demande rien.

Je reste comme une conne sans savoir quoi rétorquer.

– Tu ne dis rien ! Reprend-il.
– Qu’est-ce que tu veux que je te dise.
– Alors écoute-moi, je vais faire une chose, je vais clôturer pas plus tard que cet après midi l’affaire Stanley. Et comme ça je fais d’une pierre deux coups, Stanley neutralisé et Davenport n’aura plus de prétexte pour aller te pourrir la vie.
– T’es un amour !
– Je ne te demande rien en échange, mais si tu veux être gentille avec moi…
– Mais bien sûr que je vais être gentille avec toi, mon gros biquet ! On fait ça où ? Tu veux qu’on se retrouve au Pretty-Saloon et qu’on fasse comme l’autre fois ?
– Non on va faire ça derrière, à cette heure je ne pense pas qu’on nous dérangera.

Ah bon ? J’avoue ne pas comprendre ! Un type qui a un tel fantasme secret (rappelons aux étourdis qu’il s’est fait sodomiser dans ma chambre par le cuisinier du saloon) va donc le temps d’une baise prendre dans le chemin de la « normalité » !

Et je n’ai même pas de solution de substitution, ne me baladant pas avec un godemichet sur moi ! Restera juste le doigt dans le cul ! Ça tombe bien, j’ai plein de doigts.

On passe dans l’arrière-salle de son bureau, une pièce avec simplement une table et une chaise, et dans le fond un enfoncement barreaudé là où on enferme les ivrognes et les hors la loi. J’ai connu plus convivial comme chambrette d’amour !

– On se déshabille ? Demandais-je.
– Oui, c’est mieux !
– Et si quelqu’un vient ?
– J’ai fermé à clé ! On se rhabillera en vitesse.

Nous voilà donc à poil. Il kiffe sur mes seins, et se met à me les caresser. Sans me demander la permission. Mais c’est vrai que la dernière fois il me l’avait demandé. Il a dû croire que je lui donnais une permission perpétuelle. Il pelote, il pelote, il n’arrête pas !

Je tente une diversion, et lui caresse la bite. Il bande correctement mis il bandait mieux la dernière fois. Bizarre !

Mes mains passent derrière et lui pelote les fesses, il se laisse faire, mais quand je vais pour les écarter afin d’avoir accès à son petit trou, le voilà qui proteste :

– Non, non !
– T’aimes plus ça ?
– J’ai envie d’un truc… j’ai fait une fantaisie avec Molly l’autre jour… comment elle appelle ça déjà ? Une branlette mexicaine, je crois ?

Lilly18C’est quoi ce truc ? Il m’explique. Ça ne me pose pas de problèmes particuliers, je lui coince sa bite entre mes deux nénés et je bouge. Ça lui fait de l’effet, il bande mieux !

On a fait ça quelques minutes, puis il a voulu me baiser. Un peu dur à la détente, il lime, il lime, il s’essouffle, mais ça ne vient pas.

Une bonne solution en pareilles circonstances, c’est le doigt dans le cul, mais puisqu’aujourd’hui il est réticent…

– Si tu veux m’enculer, tu peux ! Lui proposais-je.

Ill ne répond pas, reprend son souffle et redémarre, c’est reparti pour de longues minutes, il ne va jamais y arriver, mais qu’importe je sais les mots qu’il faut dire quand j’ai un partenaire en panne.

Je lui fais un grand sourire et m’apprête à lui débiter le petit refrain de circonstances, mais le voilà qu’il accélère comme un dingue, le sang afflue sur son visage… Un cri de bête fauve. Il jouit, son visage s’éclaire et il me gratifie d’un baiser surprise.

Ce Taylor d’aujourd’hui n’avait donc rien à voir avec le Taylor de l’autre jour. Et je crois comprendre. Dans son esprit il ne souhaitait pas me laisser avec l’image d’un type qui suce des bites et qui se fait enculer. Il agissait comme si ces actes n’étaient que le produit d’un coup de folie sans lendemain. Mais pourquoi ? Pourquoi ?

Je lui dis ou je ne lui dis pas ?

– Tu sais, je vais te dire une chose, il ne faut pas avoir peur de ses fantasmes, l’essentiel c’est que tu ne fasses de mal à personne. Dis-toi bien que tout le monde à ses fantasmes, les refouler est la pire des choses, moi aussi j’ai les miens, et je ne le crie pas sur les toits !
– Mais…
– Chut ! Fais-moi un bisou !

Et l’après-midi, après avoir consulté brièvement le maire de la ville, Taylor fit part à son adjoint Davenport de sa volonté d’en finir avec Stanley.

– On va y aller tous les deux ! En route !

Mais à Havelock Valley, une mauvaise surprise les attendait.

– Stanley ? Connait pas ! Leur répondit le tenancier du saloon local.
– Un joueur de cartes compulsif avec une petite moustache
– Ah oui, mais il ne s’appelle pas Stanley.
– Avec une cariole bâchée et cheval pie ?
– Oui, c’est bien lui, il a quitté la ville il a trois jours après avoir plumé un type qui s’est fait bien pigeonner.
– Comment ça, il y a trois jours, donc hier il n’était plus là !
– Ben non !

La tronche que tire Davenport !

– Evidemment on a aucune idée de l’endroit où il a pu aller
– Il n’allait pas nous le dire ! Par contre je peux vous dire où il n’est pas, le gars qui s’est fait pigeonner s’est baladé avec deux cowboys dans tous patelins proches… et ils ne l’ont pas trouvé.

En sortant du tripot, Taylor laisse exploser sa colère envers Davenport !

– Mais enfin qu’est-ce que tu as foutu ?
– Ben, j’ai cru qu’il était resté dans sa chambre, j’ai attendu au saloon et comme je ne l’ai pas vu redescendre, je suis reparti.
-Tu ne m’as pas dit ça hier, tu m’as juste dit qu’il n’y avait rien de neuf !
– Ben non, je ne pouvais pas soupçonner qu’il était parti.
– T’as même pas pensé à demander ?
– Non ! J’ai peut-être fait une connerie !
– On dirait bien, pauvre connard ! Tu ne vas pas rester longtemps mon adjoint ! Viens, on retourne au saloon, je vais leur demander si tu étais présent hier ?
– Non !
– Comment ça non !
– Je ne suis pas resté très longtemps…
– Et t’a foutu quoi ? Insiste Taylor qui connait évidemment la réponse.

Pendant qu’ils s’engueulent trois cavaliers s’arrêtent devant le saloon, descendent de cheval et pénètrent dans l’établissement.

On entend du saloon des vociférations bruyantes !

– Qu’est-ce qui se passe là-dedans ? Allez suis moi, crétin !

– Ah, vous tombez bien, vous ! Tiens Harry, c’est le shérif de Norton City il recherche le gars qui t’a plumé !
– On revient de Sylvester City, on a retrouvé le type.
– Il est toujours là-bas !
– Oui mais le shérif local l’a mis en tôle, il a voulu arnaquer un mec, ça s’est terminé en bagarre…
– Bon, j’y vais ! Venez me voir dans quelques jours à Norton City, on verra ce qu’on peut faire pour votre arnaque !

Taylor et Davenport chevauchèrent à bride abattue jusqu’à Sylvester City.

Une fois sur place ils contactent le shérif local.

– Nous avons un mandat d’amener contre le dénommé Stanley Hutchinson… Il est accusé de vol, les faits ont été reconnu, nous l’avions arrêté mais il a réussi à s’enfuir…
– Mais attendez, je n’ai personne sous ce nom-là, j’ai bien un prisonnier mais rien ne permet de vérifier son identité.
– Un jouer de cartes compulsif avec une petite moustache
– C’est sans doute ça ! Venez voir… Si c’est bien votre homme embarquez le, ça me débarrassera !

Stanley accueille les nouveaux arrivants avec mépris.

– Tiens, le shérif de Norton City ! Vous venez me libérer, je suppose ?
– Pas exactement ! Elle est où ta cariole ?
– Qu’est-ce que ça peut vous foutre ?
– Elle est restée devant le saloon ! Précise le shérif du lieu.
– Il devait avoir une sacoche avec du fric, il a escroqué un type à Havelock Valley.
– Ah, oui bien sûr ! Je vais vous la chercher !

C’est qu’il l’aurait bien gardé pour lui la sacoche !

Ils installèrent le prisonnier dans la cariole après l’avoir menotté, Taylor se chargeant de conduire, tandis que Davenport sur son cheval tenait la monture de son chef en laisse.

Parvenu dans un endroit dégagé, le trio s’arrêta.

– Bon, Stanley tu descends !
– Vous allez m’abattre ! Quel courage !
– Pas forcément ! Si tu nous dis ce que tu sais au sujet du magot de McGregor, on pourra s’arranger !
– C’est Lilly, la pute du Pretty Saloon qui est au courant.
– Au courant de quoi ?
– Je n’en sais rien, vous n’avez qu’à lui demander ! Je ne suis pas shérif !
– Si c’est tout ce que tu sais, ça va mal finir, parce que je te signale que Lilly n’a rien à voir dans cette affaire !
– C’est vous qui le dites !
– Alors ? T’as autre chose à nous dire ?
– Oui, je peux vous dire que vous allez commettre un assassinat. J’ai droit à un jugement régulier.
– Au terme duquel tu seras pendu !
– Pas forcément !
– Casse-toi !
– Donnez-moi une chance ! Implore-t-il.
– Cours !
– Non !
– Pas grave on va faire autrement…

Taylor fait démarrer la cariole, avance d’une cinquantaine de mètres, stoppe, sort son révolver et tire. Stanley s’écroule.

Ils chargent le cadavre dans la cariole et reprenne la route de Norton City.

Les deux hommes restent un long moment s’en s’échanger une seule parole.

– Quand même c’est expéditif ! Finit par dire Davenport.
– Oui et alors ?
– Alors on aurait pu faire autrement, lui laisser une chance, là vous l’avez tué de sang-froid !
– Tu ne vas tout de même pas me faire la morale après la connerie que tu as faite hier ?
– Ça n’a rien à voir !
– Tu ferais mieux de la fermer ! S’énerve Taylor
– Dans sa sacoche il y a de l’argent.
– Oui et alors ?
– On aurait pu en prélever un peu !
– N’y pense même pas !

N’allez surtout pas croire que Taylor soit incorruptible, mais il redoute qu’un tel geste puisse se retourner contre lui… Ah si seulement il avait été seul…

Arrivés à Norton City, ils s’arrêtèrent devant le domicile du maire.

– Nous avons récupéré Stanley à Silvester City, Nous avons fait une halte pour pisser, là le prisonnier a tenté de s’enfuir, nous avons procédé aux sommations d’usages auxquelles il n’a pas donné suite, j’ai donc été obligé de me servir de mon arme.
– Heu ! Ce n’est pas tout à fait exact ! Intervient Davenport, en fait…
– Taisez-vous Davenport ! La version du shérif Taylor me convient parfaitement !

Davenport ne peut faire autre chose que de se taire.

Taylor avait initialement projeté de profiter de cet entretien pour demander la révocation de Davenport, mais il y renonça, un ennemi est toujours plus facile à surveiller à l’intérieur qu’à l’extérieur.

Taylor eut la grande bonté de me faire parvenir un message dans lequel il m’annonçait sans me fournir de détails que Stanley n’était désormais plus dangereux.

C’est quelques jours plus tard qu’une surprise de taille m’attendait. Mon client du moment avait quitté ma chambre et je m’apprêtais à redescendre en salle quand Dorothy entra suivi de… Davy Donaldson.

Instant d’incompréhension et de panique.

Davy sort un révolver de sa poche…

(Je vais me trouver mal !)

… et il le jette sur le lit !

– Tu peux le prendre et me tuer si tu veux, Dorothy sera témoin et invoquera la légitime défense.
– Bon c’est quoi ce cirque ? Je ne vais pas te tuer, ta mort serait trop douce.
– Alors laisse-moi t’expliquer, je ne te demande rien d’autre que de m’écouter.
– Pfff !
– Ecoute-le quand même ! Me conseille Dorothy.
– Howard Buchanan voulait liquider son neveu sans que l’on puisse le soupçonner…
– Qu’est-ce que tu essaies de me raconter ? Je suis au courant de tous les détails de la machination.
– Mais comment…
– Peu importe !
– Je me suis retrouvé coincé, soit je faisais ce que me demandait le vieux Buchanan, soit c’est moi qui y passais. Ses sbires auraient provoqué une bagarre dans le saloon et je recevais un coup mortel.
– Et alors ?
– Rien ne s’est passé comme prévu, tu devais monter avec William Buchanan. Je devais le tuer et t’accuser. Mais en fait il est monté avec Kate. Je l’aimais bien Kate, je ne voulais pas qu’elle ait des ennuis, donc le plan a échoué. Après je me suis fait casser la gueule et sommé de refaire une tentative. Alors je me suis sauvé.
– C’est avant qu’il fallait te sauver !
– On ne prend pas toujours les bonnes décisions ! Je ne te demande pas de me pardonner, tu ne feras jamais, mais de me comprendre, j’ai été salaud, je ne voulais pas être salaud, mais j’étais coincé.

Il a les larmes aux yeux, ce con !

– Tu veux quoi ? Que je te passe un mouchoir ?
– Je vais reprendre ma place de régisseur, il va falloir que tu me supportes !
– Eh bien je vais réfléchir et voir si la situation est supportable ! C’est tout ? Je peux redescendre maintenant ?

Effectivement, la bonne question est : est-ce que je vais supporter de croiser ce connard en permanence ? C’est un pauvre type, un connard et je n’aime pas les connards. J’avais la haine, mais j’ai continué à bosser en évitant de croiser son regard et lorsque je suis allée me coucher j’ai eu du mal à trouver le sommeil.

Et puis au bout de quelques jours, ma haine s’est dissipée, je n’ai pas pardonné, j’ai encore moins oublié mais je fais avec, lui de son côté limite ses contacts avec moi au strict nécessaire. Il doit être mal dans sa peau, ce mec ! Tant mieux.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 11 février 2023 6 11 /02 /Fév /2023 13:36

Lilly Firefly par Léna Van Eyck – 17 – Davy et Angéla

Lilly

Intéressons-nous à présent à Davy Donaldson, le gérant en cavale du Pretty-Saloon. Après s’être fait passer à tabac par les nervis d’Howard Buchanan et ne souhaitant pas accomplir le sale boulot qu’ils lui demandaient, il s’est enfui sans que l’on sache où il se trouve.

Les tueurs de Buchanan se sont lancés à ses trousses sans succès et l’on chuchote que l’un deux est allé jusqu’à Boston vérifier s’il n’avait pas trouvé refuge chez ses cousins.

En fait, il n’est pas bien loin, parti sur son cheval jusqu’à une bourgade proche, il s’empressa de revendre celui-ci afin de brouiller les pistes. Il en acheta un autre et s’éloigna d’une cinquantaine de miles, là où personne ne le connaissait, il changea de nouveau de monture et revint à la tombée de la nuit jusqu’à la fermette d’Angela.

Flashback : Angéla

C’était il y a sept ans : Angéla, une très belle femme mature et autoritaire dirigeait d’une main de fer le Pretty-Saloon. Son régisseur de l’époque avait pris l’habitude de se servir dans la caisse, d’abord de petites sommes puis le sentiment d’impunité le conduisit à devenir plus gourmand. (air connu). Il arriva ce qui devait arriver, Angéla s’en aperçu et chassa le malotru !

Il lui fallait donc un autre régisseur Angela jeta son dévolu sur Davy Donaldson, un client régulier de l’établissement qui travaillait à la menuiserie, ce dernier était correct avec les filles et de plus il plaisait physiquement à la patronne.

Tout se passait bien donc et même très bien puisque Davy devint l’amant d’Angéla.

Flashback

Comme vous le savez, je n’ai jamais couché avec Davy, heureusement dirais-je ! Mais bavard et hâbleur il ne pouvait s’empêcher de raconter ses « exploits » aux filles. Il n’évoquait jamais Angela sauf pour affirmer qu’il avait cessé de la voir depuis que le Pretty Saloon avait changé de propriétaire

Et pourtant…

Davy développe un fétichisme obsessionnel des beaux vêtements. La nudité ne l’intéresse pas du tout. Non son truc ce sont les corsets minutieusement ouvragés, les belles robes aux plis impeccables, des bas en fine résille ou en soie.

Et ce jour-là Davy revenait d’on ne sait où avec une longue boite plate et rectangulaire.

– Oh que c’est beau ! S’exclama Angela en ouvrant le paquet. Et c’est en quel honneur ?
– En l’honneur de rien ! J’avais juste envie de te faire plaisir. Tu l’essaies ?

C’est vrai que c’est beau, couleur parme avec des bords violets en plumes. Angela sait que Davy souhaite qu’il l’essaie sur le champ, aussi se débarrasse-t-elle de ses vêtements devant l’homme absolument pas ému par sa nudité. Elle est pourtant très belle, Angéla, ses jolis seins n’ont pas souffert des outrages de l’âge.et tiennent encore fort bien. Sa peau blanchâtre ne comporte aucun défaut.

Elle passe le corset et l’ajuste, et cette fois Davy est gagné par l’excitation, à ce point qu’il quitte prestement son pantalon et exhibe une bite raide comme la justice.

Angéla a compris le message, elle ne porte que son joli corset. Elle s’assoit sur le bord de la table, fait se rapprocher l’homme et lui gobe la bite en de vigoureux allers et retours.

– Doucement, pas si vite !
– Laisse moi faire, je suis une pro !

Les mains d’Angéla enserrent les fesses de Davy, un doigt fureteur et préalablement humecté s’approche de l’anus et s’y enfonce d’un coup d’un seul.

Davy n’est pas spécialement friand de ce genre de privauté, mais il accepte et laisse faire. Il sait aussi que pour Angéla ce geste tend à lui rappeler que c’est toujours elle qui mène la barque.

Cessant sa pipe, elle fait basculer son corps en arrière, écarte ses jambes et attend l’assaut.

Davy sans se déshabiller davantage vient la pénétrer d’abord à la hussarde, puis ralentit.

– Tu veux mon cul, maintenant ? Lui demande Angéla, certaine de sa réponse puisque leur façon de baiser est devenu un rituel.

Lilly17Sans répondre, Davy se désengage, laissant la femme se retourner en lui offrant l’accès à son anus.

Il y entre comme dans une motte de beurre ! Hé, c’est que le passage a été pratiqué depuis longtemps. Il la lime en cadence et à ce régime la femme sent son désir monter. Du coup Davy se contrôle afin de faire durer la chose. Il aime donner du plaisir à une femme, non pas par soucis de réciprocité, ni par galanterie sexuelle, mais parce que cela le conforte dans son statut imaginaire de super-baiseur.

Angela, habituée à jouir par le cul crie sa jouissance, Davy se déchaine pour la rejoindre dans l’extase et lui éjacule dans son conduit anal.

Il ressort sa queue maculée de sperme et de taches brunes. Angela se précipite pour la lui nettoyer, elle adore faire ça.

Les deux amants s’embrassent tendrement comme des adolescents venant de découvrir l’amour sur un tas de foin. Tout va bien !

Mais un jour, Angela fit une chute dans l’escalier et se cassa la jambe droite. Le toubib local fit ce qu’il fallait, mais le fit mal, Angela pensait qu’une fois le plâtre retiré, elle serait comme avant. Mais non, elle dut se rendre à l’évidence, elle claudiquerait jusqu’à la fin de ses jours et devrait s’encombrer d’une canne pour l’aider à se déplacer.

Rien de vraiment dramatique me direz-vous, sauf qu’Angéla subit cette situation comme une humiliation et une insulte à sa beauté !

Elle déprima, à ce point qu’elle mit en vente le Pretty Saloon qui fut donc racheté par Dorothy. Angela mis comme condition que Davy reste régisseur du saloon. Dorothy qui avait des vues sur l’homme accepta de bonne grâce…

Avec l’argent de la vente, Angéla s’acheta une petite fermette qui lui permit de vivre en autarcie, elle avait ses poules, ses plans de tomates et de haricots, ses patates et quelques arbres fruitiers. Depuis qu’elle était là, on ne l’avait vu que de très rares fois en ville. Et elle ne recevait personne et passait pour folle aux yeux des commères et des poivrots.

Avant de s’installer, elle avait entrepris Davy :

– Je ne veux plus voir personne, mais avec toi je veux bien faire une exception, parce que tu es le seul en qui je peux avoir confiance, si tu as envie de venir me voir, viens mais sois discret, je ne veux pas qu’on le sache.

Davy n’avait pas abusé de cette invitation, accaparé par Dorothy, il se contenta de venir lui rendre visite une ou deux fois par ans.

Fin du flashback

Et c’est donc tout naturellement, qu’il se refugia chez elle quand il eut les ennuis que l’on sait…

Quelques semaines passèrent aux termes desquelles Angéla mit les choses au point.

– Je t’aime bien mon petit Davy, mais il va falloir que tu te bouges, Ma fermette est conçue pour faire vivre une personne, pas deux !
– Je comprends, je vais prendre la route. J’ai des cousins à Boston, ils pourront peut-être m’accueillir.
– Non ! Ce n’est pas la bonne solution ! Répondit Angéla.
– Pourquoi ?
– Un jour Buchanan te retrouvera, il ne peut pas laisser en vie une personne qui pourrait lui porter une si grave accusation.
– Alors je vais aller dans un patelin où personne ne me connait…
– Le monde est petit ! S’il ne te trouve pas il s’arrangera pour mettre ta tête à prix dans tout le voisinage.
– Alors je fais quoi ?
– Tu dois le tuer !
– Mais enfin, je ne suis pas un tueur !
– Ce n’est qu’un coup à prendre ! Tu sais tirer ?
– Oui, mais je ne suis pas un champion !
– Je vais te prêter un fusil, mais je n’ai pas beaucoup de cartouches, je t’en donne juste quatre, je souhaite garder les autres. Voilà ce que tu peux faire…

Pour se rendre à la messe du dimanche, Howard Buchanan empruntait une petite voie pas mal cabossée qui ne servait qu’à gagner son domaine, puis une portion de la route allant de Norton City à Colsontown…

C’est donc au niveau de la petite voie que Davy devait agir.

Il attendit que la cariole d’Howard escortée de deux gardes du corps passe, pour préparer son coup.

Ne se sentant pas capable de viser correctement une cible en mouvement, il fallait donc créer une diversion afin qu’elle s’arrête.

Davy disposa un sac à patates rempli de feuillages en plein milieu de la route, il le recouvra d’une couverture et d’un vieux chapeau que lui avait donné Angéla. De loin cette mascarade pouvait ressembler à un corps humain… Le subterfuge serait vite découvert mais l’essentiel était de faire stopper Howard et son escorte pendant quelques instants.

Il attendit, caché dans les fourrés. Quand il entendit des bruits de sabots, il se mit en position de tir…

La petite troupe s’arrête, l’un des deux gardes du corps descend de cheval afin d’examiner ce qu’il y au sol.

Davy tire en direction d’Howard… et le rate complétement. Les gardes se mettent en position de défense derrière les roues de la cariole, du côté opposé au tir, Davy tire à nouveau. Cette fois Howard est touché, mais à ce stade il ignore s’il l’a tué ou simplement blessé.

La situation semble bloquée, si Davy sort de sa cachette, il devient une cible facile pour les deux gardes du corps. Mais pour le moment, ceux-ci n’en mènent pas large et ne savent quelle conduite adopter.

En s’efforçant d’éviter tout bruit, Davy recharge son fusil.

« Qu’est-ce que je peux faire ? Je ne vais quand même pas tuer ces deux types ! »

Bob (oui, parce que l’un des deux gardes du corps est bien Bob) croit apercevoir quelque chose dans les fourrés, il tire là où il n’y avait rien, mais Davy par réflexe riposte. Balle perdue !

Le second garde croit à son tour avoir deviné l’emplacement de Davy. Il tire, ça ne passe pas très loin mais c’est raté.

Davy panique complètement, il ne lui reste qu’une balle et il ne peut s’enfuir.

– Il est là ! Couvre-moi ! Crie le garde à l’intention de Bob. Mais qu’est-ce que tu fous ?

Bob dans un moment de panique inexplicable est en ce moment en train de remonter sur sa monture, avant de s’enfuir au galop.

L’autre garde ne comprend pas le comportement de Bob ! Mais il n’y a rien à comprendre, en situation d’exception, les gens ont parfois des réactions aussi illogiques qu’inattendues. En revanche ce qu’il comprend c’est que le tireur embusqué tire comme un cochon. Alors fuir ou le défier ? Sachant que l’affrontement reste aléatoire, il enfourche à son tour son cheval et file vers Colsontown prévenir le shérif.

Davy n’en revient pas de s’en être sorti à si bon compte, il rejoint à son tour son cheval, s’éloigne de la ville et attend la tombée de la nuit pour rejoindre la fermette d’Angéla.

– C’est fait ! Raconte-t-il.
– Et tu n’as pas vérifié s’il était mort ou juste blessé ?
– Non !
– C’est malin ! Comment allons-nous savoir ?

Le shérif de Colsontown fut rapidement sur les lieux, accompagné de deux adjoints et du toubib local.

– Il est touché au ventre, on ne peut rien faire, il va mourir en trois ou quatre heures dans des souffrances atroces. ! Diagnostiqua le médecin en prenant une tête d’enterrement.

On emporta le blessé jusque chez le pasteur où fut dressé une chapelle ardente. Un crieur diligenté par le maire fut prié d’annoncer la nouvelle à la population qui fut invité à se rendre au chevet du moribond.

Il ne vint pas grand monde hormis le noyau dur des bigotes locales, mais la nouvelle fut de tous les commentaires.

Je l’appris en descendant les escaliers du saloon.

– Mais c’est arrivé comment ?
– Un guet-apens !
– Et on a une idée de…
– Non, ça ressemble à une vengeance personnelle, un acte désespéré. D’après le garde, le tueur savait à peine tirer, mais ça ne l’empêchait pas d’être dangereux. Et puis l’un des deux gardes, à carrément disparu, l’autre le cherchait partout il nous a laissé son nom.
– Ah ?
– Oui un certain Bob Fincher !
– Quoi ?
– Tu le connais ?
– Disons que je l’ai croisé… pas un mec très recommandable…

Je ne saurais donc probablement jamais qui a fait ça, mais me voilà vengé de ce salaud.

Vengée d’Howard Buchanan, vengée de McGregor ! Reste Davy Donaldson ! Mais où se cache-t-il celui-là ? Je ne vais pas m’éterniser sur une chimère, j’avais appris qu’Howard Buchanan le recherchait et ne l’avait pas trouvé, dans ces conditions comment pourrais-je, moi, le retrouver ?

Du coup, une fois n’est pas coutume, je vais me boire un bon petit whisky pour fêter l’événement, et comme ma mère vient elle aussi de descendre, nous allons trinquer ensemble.

– Je suis toute joyeuse, lui confias-je, je ferais bien quelques galipettes.
– Des galipettes, mais tu fais ça toute la journée !
– Ou, mais elles ne me font pas jouir !
– Tu veux faire plaisir toute seule ?
– A deux ce serait mieux, non ?
– Et avec qui ?
– Tu veux bien ?
– Lilly tu es une salope !
– Oui, Maman ! On se prend un quart d’heure ?

L’instant d’après nous étions en chambre, ma mère s’est affalée sur le lit cuisses écartées et m’a offert sa moule, curieusement, elle mouillait déjà, sans doute en raison de la situation. Je me régalais de ses sucs mais le plaisir montait en moi de façon inextricable, je ne pouvais rester ainsi, nous nous sommes donc placées en soixante-neuf et la mère m’a butiné pendant que je lui rendais la pareille. Elle a joui dans un geyser de mouille en essayant d’étouffer son cri de plaisir. Je la suivis dans l’orgasme quelques courtes minutes après. Hum ça fait du bien ! C’est très pervers ça, de se gougnotter avec sa mère, mais c’est si excitant et ça ne fait de mal à personne !

Je savais à ce stade que j’avais encore plusieurs ennemis, Bob, bien sûr, mais aussi Stanley Hutchinson, l’éphémère nouveau gérant, qui n’était pas encore neutralisé sans parler de l’inquiétant Davenport qui jouait fort peu discrètement une carte toute personnelle… Tout cela pour ce putain de trésor.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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