Partager l'article ! Chanette 30 – La disparition de Carole – 3: Chanette 30 – La disparition de Carole – 3 – Réunion orgiaque par Chanette La ...
La réunion n’a pas lieu dans une salle publique ni dans l’arrière-salle d’un bistrot mais carrément chez l’habitant. Et il doit avoir du fric, l’habitant, faut voir la baraque et le terrain !
Un type est à l’entrée avec un chien peu aimable en laisse.
– On vient pour la réunion. Croit devoir indiquer Anna vêtue très décontractée, short en jeans et débardeur bleu ciel sans soutif.
Ben oui, on ne vient pas pour repeindre le plafond !
– Vous montez les marches et c’est la grande salle sur la gauche. Nous indique le cerbère.
Pas grand monde dans la salle, environ une vingtaine de personnes. Ces gens-là semblent surpris de voir arriver quatre personnes supplémentaires, mais nous ne serons pas les derniers
J’aperçois Jérémy, il me fait un sourire niais, j’en fais autant.
– Soyez les bienvenus ! Nous accueille un grand échalas. Prenez place, je vous en prie.
On attend un quart d’heure. Un couple entre deux âges rejoint l’assistance, et ça commence.
Un playboy sur le retour aux dents écarlates mais qui est autant orateur que moi nonne carmélite commence un speech d’une voix monocorde. Il explique que le sexe c’est bien, que l’hypocrisie c’est mal… Je ne peux être que d’accord mais pourquoi organiser une réunion pour nous raconter ça d’autant que la salle semble d’ores et déjà acquise à ce discours.
Je laisse mon esprit vagabonder, je ne l’écoute même plus.
Il conclut je ne sais plus comment mais recueille les applaudissements du public y compris ceux d’Anna et de Carole.
Le bonhomme reprend la parole :
– Merci mes amis pour ces applaudissements qui me vont droit au cœur, mais je vais vous dire un truc : la théorie c’est super, mais rien ne vaut la pratique…
– Clap, clap, clap (applaudissements frénétiques de l’assistance)
– Alors pour la pratique, on a disposé quelques matelas confortables sur les côtés, mais si vous préférez vous isoler, des chambres sont à votre disposition au premier étage. Et maintenant
faisons comme au bal des pompiers : choisissez votre partenaire.. Et youppie, ce soir c’est la fête !
Ça applaudit, puis ça gesticule en tous sens, chacun cherche sa chacune…
Dingue, un type m’aborde, il ne me dit rien du tout, je l’éconduis poliment, se pointe un second, même punition, me voilà tranquille, du moins je l’espère.
Je décide de me barrer, mais où sont les autres ?
Valentin me fait signe qu’il doit se rendre aux toilettes, je ne l’ai pas revu de suite… mais il m’a raconté… Il va donc falloir que je prenne mon mal en patience…
Anna s’est branchée avec une dame mature assez imposante quant à Carole, j’ignore où elle est passée.
La femme qui drague Anna se prénomme Jackie, ce que nous n’apprendrons que plus tard. Très élégante vêtue d’une robe jaune citron décolletée jusqu’au nombril.
D’où je suis, je peux tout voir et presque tout entendre.
– Tu me plais, toi ! Lui dis la dame.
– Alors je te laisse faire.
– Ouvre moi ce short que je passe ma main.
Anna déboutonne le vêtement.
– Mais t’es une petite cochonne, tu n’as pas mis de culotte.
– Tu ne vas pas t’en plaindre.
Jackie ne répond pas, ses doigts le faisant à sa place pénétrant dans les chairs humides de l’intimité de ma copine.
– Mais t’es toute mouillée, ma cocotte,
– Je mouille souvent.
– On se prend un matelas ?
Le matelas en question n’est pas très loin de ma place, Je vais pouvoir mater, ça m’occupera (et comme ça, je peux vous raconter…)
Anna dégage la poitrine de sa partenaire, (elle est superbe la dame dans le genre grand cheval) et se jette sur ses gros tétons qu’elle tète avec avidité.
Les deux femmes se retrouvent rapidement à poil, d’ailleurs tout le monde ou presque est à poil sur les matelas. C’est vraiment l’orgie romaine ici.
Au milieu de la salle il n’y a pratiquement plus personne. Un mec s’approche de moi, bite en étendard. Il sort d’où celui-là ?
– Vous restez seule ? Me demande-t-il.
– Oui et oubliez moi, vous serez gentil.
– C’est dommage, j’en ai une grosse.
– Je n’aime pas les grosses.
Il s’en va, dépité et je peux continuer à mater. Anna est en train de lécher le cul de Jackie, et quand je dis « lécher le cul », c’est vraiment lécher le cul. Je peux voir l’extrémité de la langue de la copine entrer dans le trou du cul de sa partenaire.
– Ben dis-donc, on voit que tu aimes bien lécher les culs, toi, tu ne fais pas semblant
– J’adore ça !
– Il y a pas comme une petite odeur ?
– C’est très léger, mais ça ne me gêne pas, au contraire.
– T’aimes bien les trucs un peu crades ?
– Non, ce n’est pas ça, mais disons que je n’ai pas de tabous.
– Fous-moi un doigt dans le cul !
Anna ne se fait pas prier et entreprend de doigter vigoureusement l’anus de sa complice du moment., laquelle semble apprécier si l’on en croit les petits cris qu’elle ne peut s’empêcher d’emmètre.
Elle finit par sortir son doigt en regarde l’état et s’en amuse.
– Dis donc, t’as pas vraiment le cul très propre, t’as vu comment tu m’as sali mon doigt !
– Oh, désolée, je vais te le nettoyer… répond Jackie en balayant le doigt d’Anna d’un coup de langue.
– Ça va, c’est bon ?
– J’aime bien ! Je suis un peu spéciale.
– Ne t’inquiètes pas, moi aussi il m’arrive de faire des trucs un peu trash.
– Des trucs un peu extrêmes ?
– Eh, oui ! Mais c’est quand je suis super excitée.
– Tourne toi, j’ai envie de te lécher le cul à mon tour.
Et la Jackie, non plus ne fait pas semblant. Faut voir les grands coups de langue qu’elle prodigue à ma copine !
Les deux femmes s’agitent de plus en plus, ça se caresse, ça se pelote, ça s’embrasse, ça se lèche et ça se termine dans un soixante-neuf complétement débridé au terme duquel les deux femmes jouissent comme des malades.
Et pendant ce temps-là Valentin…
Le récit de Valentin.
Je me rends aux toilettes afin de satisfaire une petite envie de pipi… Elles sont assez grandes, plusieurs urinoirs, plusieurs cabines, plusieurs lavabos…normal puisque le site avait été réaménagé pour recevoir des colonies de vacances !
Il y a un monsieur, genre très distingué, cheveux et barbe blanche. Il est à poil et occupe l’un des urinoirs.
A mon arrivé, il se recule, bite à la main et se masturbe. J’hésite un peu et me dirige vers l’urinoir contiguë tout en étant troublé par l’attitude de ce type.
Il m’adresse un sourire qui se voudrait complice, je le lui rends volontiers.
– Vous avez une bien belle bite ! Le complimentais-je
– Si vous voulez la toucher, ne vous gênez surtout pas.
Alors je la prends en main, la caresse et la branle un petit peu.
– Tu suces ? Me demande le vieux.
– Oui !
Et je me baisse afin de mettre en bouche ce joli sexe bien bandé. Inutile de dire que je me régale et que ma propre bite devient à l’étroit dans mon pantalon.
Un mec entre et s’approche de nous, il sort sa queue et nous regarde faire.
– Joli spectacle ! Commente-t-il.
– Il me suce trop bien ! Répond le vieux.
– Vous allez l’enculer ?
– Pourquoi pas ? Qu’est-ce que tu en penses ? Me demande-t-il.
– Moi je veux bien !
Je baisse mon pantalon et offre mes petites fesses au vieux qui vient alors me lécher le troufignon. J’adore cette caresse !
Il s’encapote et me pénètre d’un grand coup de rein. Il m’a fait un peu mal et je pense même à stopper l’affaire, mais la suite est agréable, il m’encule comme un chef ! Je sens ses grosses couilles qui me claquent derrière. Le troisième larron vient au-devant de moi et me propose sa bite à sucer ! Pourquoi pas, une bite dans la bouche, une bite dans le cul, c’est la fête !
Le mec de devant est parti, sans avoir joui, sans doute réserve-t-il sa jouissance à d’autres plaisirs.
Le vieux derrière n’en peut plus, il souffle comme un bœuf et s’agite de plus en plus. Je le sens décharger, il se retire.
– Ça fait du bien ! Commente-t-il sans me regarder.
Et il s’en va sans un mot de plus, moi je n’ai pas joui. J’ai failli me branler et puis je me suis dit que la soirée n’était pas finie… J’ai quand même pissé, c’était pour ça que j’étais venu.
Fin du récit de Valentin
Anna et Valentin ont fini par me rejoindre.
– Alors, on fait banquette ?
– Ben oui, pas trop motivée…
– Je suis tombée sur une de ces brouteuses, elle avait une de ces langues ! Elle m’a emmené au plafond. Croit devoir me préciser Anna.
– Je sais, j’ai vu et entendu, bon, où est Carole ? J’aimerai bien ne pas m’éterniser ici.
Personne ne sait où est Carole, alors on attend.
La frénésie sexuelle semble se calmer, des gens quittent les lieux.
Bientôt il ne reste plus que nous.
– Mais enfin, qu’est-ce ce qu’elle fout ?
Je lui téléphone, mademoiselle est en répondeur. Elle se fout de notre gueule.
Le grand échalas de tout à l’heure s’approche de nous :
– Nous allons fermer, messieurs dames, j’espère que vous vous êtes bien amusés.
– On attend notre copine, elle doit être en haut.
– Il n’y a plus personne en haut, je viens de faire le tour.
– Ah ?
– Votre amie a dû aller ailleurs avec son partenaire pour finir la soirée…
Gonflée quand même, elle aurait pu nous prévenir.
On est rentré manger un morceau et on est allé se coucher.
Le lendemain nous étions toujours sans nouvelles de Carole.
Nous avons attendu toute la journée, l’angoisse à la gorge.
Vingt-quatre heures ont passé, on est allé voir les flics. Ils s’en foutent nous expliquent que la personne est majeure, qu’on n’est pas de la famille et que les plaintes pour disparition ne sont recevables qu’au bout de 48 heures. Bref ils ne vont pas se bouger.
A suivre
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