Samedi 24 février 2024 6 24 /02 /Fév /2024 06:45

Surprise-partouse 9 – Katia ou le plaisir dans l’humiliation par Enzo_Cagliari

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Au chapitre 1 : en sortant d’une fête, Angéla, Carole et Thibault m’emmènent chez ce dernier, la partie à quatre me fera sucer ma première bite et subir ma première sodo
Au chapitre 2 : Thibault me fait faire la connaissance d’un couple d’Antillais, Gwladys et Simon. Partouze à quatre puis à cinq avec Carole
Au chapitre 3 : On prend les mêmes et on recommence mais on va plus loin, c’est un tout petit peu scato et voici Alain et Katia, un couple mature, qui s’en mêle
Au chapitre 4 : Une partouze est organisée chez Alain et Katia qui reçoivent Monique et Philippe, mais aussi Thibault, Carole et moi-même.
Au chapitre 5 Monique nous raconte sa rencontre avec un autre couple
Au chapitre 6 Alain nous narre un épisode un peu gay. A la fin Katia branche Monique sir la zoophilie, celle-ci répond qu’elle a expérimenté la chose…
Au chapitre 7, Monique nous a raconté sa soirée à Luxembourg où il fut question de toutous.
Au chapitre 8, Thibault évoque ses années chez les scouts

C’est au tour de Katia d’être interpellée.

– Alors Katia tu n’as pas un truc bien bandant à nous raconter.
– Si bien sûr, mais c’est pas facile Thibault n’arrête pas de me peloter les seins.
– Bon, bon, j’arrête ! Répond à regret ce dernier.
– Non, n’arrête pas mais fais ça plus doucement !

Le récit de Katia.

J’étais en séminaire professionnel à Barcelone, j’avais sympathisé avec Enrique, un beau mec, Passant le soir sur les Ramblas, nous longions un des nombreux cafés libertins.

– Tu sais ce qui se passe là-dedans ? Me demande-t-il.

– Ben non, comment pourrais-je savoir ?

On s’est posé en terrasse, il m’a sorti son téléphone et m’a dévoilé une série de photos. Et là j’ai été subjugué par ce que je voyais. Des nanas apparemment consentantes et complétement nues se faisait bousculer sexuellement par un groupe d’hommes et de femmes.

Et quand je dis bousculée, c’est un euphémisme, en fait les filles étaient bondagées, fouettées, godées, sodomisées. On y voyait des pinces, des doubles pénétrations, des rapports entre femmes, du sperme, de la pisse.

La vue de ces photos m’avait profondément excitée.

– C’est malin, maintenant je mouille !
– Est-ce que je peux faire quelque chose pour toi ?
– Oui, tu vas m’enculer ! On va dans mon hôtel…

Il y a des choses qu’il n’est jamais nécessaire de dire deux fois à un homme et une fois dans la chambre je lui dis tout de go :

– Je voudrais que tu m’encules comme un sauvage !
– Je ne suis pas un sauvage !
– Je sais bien mais je veux que tu me prennes sans douceur et en m’insultant.
– Mais enfin Katia !
– Quoi ? C’est mon fantasme du moment, et d’abord c’est de ta faute tu n’avais qu’à pas me montrer ces putains de photos…
– Mais…
– Bon tu te décides, sinon tu me laisses et je fais venir un escort boy !

Enrique a fini pas accepter, on se déshabille en silence, chacun dans notre coin. Il bande mou, mais je vais arranger ça…

Je m’empare de sa bite, la branle légèrement, la suce un peu, et quand j’estime qu’elle a atteint sa raideur optimum, je saute sur le plumard et me positionne en levrette en attendant l’assaut.

– N’oublie pas le préservatif ! Lui dis-je
– Mais je n’en ai pas !
– Ben moi non plus. ! Téléphone au service d’étage…

J’ai conservé la position et trois minutes plus tard la soubrette sonnait à la porte de la chambrette.

– Voilà, je vous en ai apporté trois ! Dit-elle avec un large sourire.
– Super, merci !
– Je vois que Monsieur bande bien, si vous souhaitez un petit trio, c’est dans mes possibilités.
– Non merci, c’est gentil. Répond Enrique
– C’est dommage j’ai des beaux nénés, vous savez.
– Non merci…

Mais j’interviens.

– Moi je suis d’accord, je vais lui lécher la chatte pendant que tu m’enculeras.
– C’est 100 euros ! Prévient la soubrette.
– Ah, vous vous faites payer ?
– Faut bien que j’arrondisse mes fins de moi, j’ai un enfant à charge…
– OK, Enrique, prend 100 balles dans mon portefeuille et paie moi cette coquine !
– Non, c’est moi qui vais payer ! Répond Enrique dans un grand élan de générosité.

La fille se déshabille, elle est jeune et jolie et possede effectivement une poitrine de rêve.

– Viens là que je te la lèche ! lui demandais-je.

Je lui agace un peu les tétons avec ma langue, elle aime ça, moi aussi.

– T’es aussi salope que moi, à ce que je voie ! Lui dis-je
– On me demande parfois de faire la pute, ça ne me dérange pas et j’y trouve mon compte.
– Bon toi Enrique, qu’est-ce que t’attends ? Mon cul brule d’impatience. Et rappelle-toi de ce que je t’ai dit, tu me fais ça à la macho sans oublier les gros mots !
– Je vais lubrifier quand même !
– Sers-toi de ma mouille, ça devrait le faire !

Il est entré d’une seule poussée et a commencé à coulisser tandis que je me régalais de la chatte de la soubrette.

– J’entends rien ! Protestais-je !
– Tiens, morue, tiens, poufiasse, t’es bonne qu’à te faire enculer par tout le monde.
– Oui, continue !
– Et en plus tu te payes des putes d’hôtel, gouinasse !
– Encore !
– Demain je vais faire venir des amis, ils vont tous te défoncer ton cul de putain dévergondée.
– Chic alors

Et de façon plutôt inattendue et prématurée, Enrique s’est mis à jouir.

– Je suis désolé, je n’ai pas tenu la distance, je vais te laisser, on se voit demain…
– Non reste cinq minutes, il faudra que je te demande quelque chose…

Mais chaque chose en son temps, pour le moment je me suis allongée sur le lit, jambes écartés et j’ai demandé à la soubrette de me brouter le gazon, et excitée comme j’étais, ce ne fut point long.

J’ai roulé un patin à cette gentille soubrette avant qu’elle ne nous laisse, puis j’ai demandé à Enrique :

– Tu connais le patron de la boite où t’as pris les photos ?
– Je le connais comme ça…
– T’as son numéro ?
– Euh, oui j’ai une carte, elle ne me sert à rien, je vais te la donner… Mais pourquoi ? Tu veux voir ça de près ?
– Non je veux me faire dominer !
– T’es sûre que ça va !
– Ça va même super bien !
– Je te paie le restau ?
– Non, j’ai pas trop faim, on se voit demain, c’est la dernière journée du séminaire.

Dès qu’il fut parti, je sautais sur mon téléphone et appelait cette curieuse boite dont Enrique m’avait fourni les coordonnées.

– Oui, bonjour Monsieur, j’aimerais participer à l’une de vos soirées spéciales…
– Comme spectatrice ?
– Non, comme soumise.
– On est complet cette semaine et la suivante aussi… si vous êtes encore à Barcelone dans 15 jours…
– Ben non ! Tant pis…
– Vous êtes française n’est-ce pas ?
– Oui !
– De quelle région ?
– Paris !
– J’ai un ami qui fait ça à Paris dans un bistrot qu’il privatise, voulez-vous ses coordonnées.
– Avec plaisir !
– Notez, vous pourrez dire que vous venez de ma part , je suis Julio.

Contrariée par ce contretemps ! Mais pas si pas grave, je voulais terminer en beauté mon séjour catalan je n’en mourrais pas.

A Paris la vie a repris, et non, je ne me suis pas pressée pour téléphoner au numéro que m’avais indiqué Julio. Le fantasme s’était un peu éloigné.

Et puis peut-être quinze jours après, ça m’a repris et rien que de penser aux photos je me suis excitée toute seule, alors je me suis lancé. en téléphonant à cet inconnu.

– Je vous donne mon mail, envoyez-moi une photo de vous à poil ou en maillot de bain et je vous répond par retour de courrier.

Je n’ai pas de photos de moi à poil mais j’ai quelques photos de plage, je lui en envoie une. Il me répond que je suis charmante (je le sais bien que je suis charmante… et modeste) et qu’il souhaite une rencontre préalable.

– Prenez 100 balles avec vous !
– Ah c’est payant ?
– Pas du tout, c’est une caution, on vous la rendra.

40 ans bel homme.

– Pour le physique ça va ! Vous savez dans quoi vous vous embarquez au moins ?
– C’est mon fantasme !
– J’entends bien, mais quelles sont vos limites.
– Je n’ai pas de limites, c’est une expérience que je veux vivre, c’est tout. Je souhaite simplement que toutes les pénétrations soient protégées et je ne veux pas qu’on me fasse des choses irréversibles ?
– C’est quoi des choses irréversibles ?
– Des tatouages, des cicatrices…
– Soyez rassurée de ce côté-là… Il y a des pratiques qui vous rebutent ?
– Non!
– Même la scato ou la zoo.

Temps d’arrêt, je n’avais pas pensé à ça, mais je me dis que d’une part s’il y a scato, ça ne peut pas aller bien loin et que ça ne me bloque pas, quand à la zoo, si on veut me faire lécher la chatte par un clébard, après tout pourquoi pas ?

– Je prends le risque ! Répondis-je
– OK je dois vous prévenir qu’il n’y a pas de mot de sécurité, quand la séance est commencé, on va jusqu’au bout…
– Même si ça devient insupportable !
– Je serais toujours non loin de vous, il y a parfois des types qui ne se sentent plus et qui font n’importe quoi, ceux-là on les vire, je sais très bien faire, ça fait presque trois ans qu’on fait ce genre de truc, pendant cette période nous n’avons jamais eu d’accident sérieux, juste quelques bricoles mais on a su gérer.
– OK on ferait ça quand ?
– Vendredi si vous voulez, c’est au 14 rue des Hirondelles vous rentrez par la cour, vous frappez à la porte verte marquée « service ». Vous avez apporté l’argent ?

Je lui tends deux billets de 50. Il les coupe en deux et me rend la partie gauche.

– Voilà, on vous rendra l’autre moitié vendredi.

Ça me rappelle une technique de gangsters que j’ai dû voir dans un film…

Dans le vif du sujet.

Une bonne femme pas toute jeune mais plutôt bien conservée me fait entrer dans une sorte de vestiaire encombré d’un tas d’objets hétéroclites

– Déshabillez-vous entièrement et patientez quelques minutes ! Me dit-elle. Je m’appelle Greta.

Je me fous donc à poil et faute d’avoir mieux à faire, pose mon cul sur un tabouret en bois qui avait eu la bonne idée de se trouver là.

Cinq minutes plus tard, on frappait à la porte, ça devait s’entendre de loin parce que Greta la bonne femme de tout à l’heure vint ouvrir.

– Tu te grouilles, on commence dans cinq minutes ! Lui dit-elle.

La nouvelle venue est une petite brune un peu potelée visage intéressant, joli petit nez retroussé, cheveux bruns en chignon… et fines lunettes

– Bérénice salut ! Me dit-elle en me tendant la main !
– Katia !
– Je ne t’ai jamais vu, c’est la première fois ?
– Oui ! Et toi tu fais ça souvent ?
– Deux trois fois par mois j’adore !

Je suis saisi d’un sentiment bizarre, je pensais être la seule soumise de la soirée, la vedette en quelque sorte, il me faudra donc partager… et puis arriverais-je à me comporter aussi bien qu’elle ?

J’ai compris bien plus tard pourquoi le spectacle se déroulait avec deux ou trois soumises et non pas une seule. Imaginez qu’il n’y ait qu’une seule soumise et que celle-ci ne fasse pas l’affaire… Les spectateurs ont payé leur présence assez cher et la direction se trouvera obligée de les rembourser. Tout cela n’est donc qu’une affaire de gros sois… Ainsi va le monde !

Bérénice se déshabille. Pas mal, jolie poitrine !

– Comment tu me trouves ?
– Très jolie !
– T’es un peu gouine ?
– Ça m’arrive !
– Moi j’aime bien lécher une bonne chatte.
– Coquine
– Je peux te lécher, là tout de suite, juste un peu ?
– Vas-y !

Mais cette intéressante discussion fut interrompue par le retour de Greta tenant un tube de rouge à lèvres dans la main, elle s’en sert pour écrire sur le front de Bérénice « Bérénice grosse pute gratuite ». Ensuite c’est mon tour, je ne vois pas ce qu’elle m’écrit, mais peu importe. Elle nous bondage les seins, nous place un collier de chien muni d’une laisse, puis nous attache les mains dans le dos.

– Maintenant en scène !

On y va, il y a une bonne trentaine de personnes attablées dans la salle, des hommes seuls et des couples, pour l’instant ils sont à peu près sages. Je dis bien à peu près, parce qu’il y en un qui à la bite de sortie et qui se fait tripoter par son voisin… ça promet !

On est reçus par des cris et des applaudissements…

Greta nous demande de rester debout au milieu de la scène et vient nous pincer les tétons avec fermeté avant de nous accrocher des pinces munies de poids.

Elle s’approche de moi, enlève tout son haut dévoilant une jolie poitrine puis elle soulève ses bras découvrant des aisselles poilues.

– Chacune une aisselle, léchez-moi ça !

Jamais je n’aurais imaginé ce genre du truc, on ne peut pas penser à tout, je lèche donc l’aisselle de madame qui sent la transpiration mais je fais avec.

– C’est bien ! Vous êtes de bonnes putes ? Vous aimez lécher ?
– Oui, oui ! Répond Bérénice.

Et je reçois une gifle.

– Dis donc toi la morue, ça te ferais mal à la chatte de répondre quand je te pose une question ?
– Oui, oui, j’aime bien lécher.
– Ça tombe bien, tu vas me lécher le cul, le jour des shows, je ne m’essuie pas après mes besoins et je reste avec le cul plein de merde. Alors dis-moi que tu vas le faire. Je ne demande pas à Bérénice, je sais qu’elle adore ça…

Je ne pensais pas qu’on ferait ce genre de chose à ce moment-là, je me sens coincée mais d’un autre côté je suis venue pour être humiliée, alors autant jouer le jeu. J’espère simplement que je ne vais pas gerber !

– Oui je vais le faire !

Elle retire sa jupe en vinyle sous laquelle il n’y avait rien, puis se cambre en écartant les cuisses.

J’hésite quand même devant ce cul merdeux mais voilà qu’une fausse blonde entièrement nue plutôt dodue vient derrière nous avec une badine et nous cingle les fesses sans ménagement.

– C’est des coups de badines qu’il vous faut pour vous faire obéir ?
– J’allais y aller ! Se défend Bérénice

Et effectivement elle y va et commence à lécher. Je respire un grand coup et m’approche à mon tour.

C’est que ça ne sent pas la lavande. Je laisse le côté droit à Bérénice et avance ma langue à gauche en fermant les yeux. Ça y est ma langue est en contact avec la merde. En fait je connais ce goût…

Réminiscence.

J’étais jeune et déjà plutôt délurée, ma copine Rachel m’avait initié aux amours saphiques, elle était d’une imagination débordante, on jouait avec des godes, on se pissait dessus, on se donnait des fessées… et un jour où on ne s’était pas encore rhabillées après avoir fait quelques galipettes…

– J’ai envie de chier, tu viens !
– Non je t’attend !
– Mais moi j’ai envie que tu me regarde chier, ça va m’exciter.
– T’es un peu timbrée.
– Y’en a qui paierait cher pour voir ça !
– Passe une annonce !
– J’y penserais, allez viens fais moi plaisir !

Alors je l’ai suivi, elle s’est mise à califourchon et de dos sur la cuvette, elle a poussé et j’ai pu voir un long boudin sortir de son cul. J’aurais pu être dégoutée, j’aurais pu être indifférente, non j’étais fascinée et excitée de façon incompréhensible.

– Tu veux m’essuyer.
– Euh, oui ! Répondis-je en déroulant quelques feuille de papier toilettes.
– Non, avec ta langue, conasse !
– Pourquoi tu me traites de conasse ?
– Parce que on est en plein jeu de rôle. Allez essaies, tu ne le regretteras pas.
– Mais enfin Rachel !
– Tu sais comment on appelle la merde dans les milieux branchés ? On appelle ça le caviar ! C’est qu’il doit y avoir une bonne raison. Non ?
– Bon, on fera ça un autre jour !
– C’est-à-dire jamais, ne bouge pas, on va faire un truc.

Rachel se fout alors un doigt dans le cul qui ressort légèrement pollué, elle le porte à sa bouche et le nettoie.

– Hum ! Un régal !
– Je n’en doute pas un seul instant !
– Si je le fais, je ne vois pas pourquoi tu ne le ferais pas ? Dit-elle en se remettant le doigt dans son cul

Elle me le tend…

– Suce, conasse !

Je me suis lancée, je n’ai pas trouvé ça mauvais.

– Ben voilà ! Maintenant nettoie moi le cul, grosse pute !

Le fait qu’elle me traitait de tous les noms d’oiseaux renforçait mon excitation, Et je me surpris à lécher son cul merdeux sans aucun problème..

– Alors, comment tu la trouve ma merde ?
– Délicieuse ! Me surpris-je à répondre.
– Ah bon ? Fais-moi voir !

Je ne comprenais pas.

– Roule moi un patin, conasse !
– Mais j’ai la bouche pleine de…
– Ben justement.

Alors on se l’est roulé ce patin et je mouillais comme un fontaine.

– Puisque tu as été une bonne fille, je vais t’offrir un cadeau.

Rachel plonge sa main dans la cuvette, récupère un partie de l’étron et me nargue.

– Regarde comme c’est beau !

Elle le porte à sa bouche, le lèche à grands coups de langue.

– Hum délicieux, à toi de jouer !
– Ça va trop loin, Rachel !

Elle devient provocante, faisant aller et venir l’étron entre ses lèvres comme si elle lui pratiquait une fellation.

– Bon donne, je vais essayer !

J’ai récupéré le colombin dans mes mains et je l’ai approché de ma bouche, j’ai sorti ma langue et e l’ai léché. Juste quelques instants.

Il s’est passé ensuite quelque chose de bizarre, comme si je culpabilisais d’avoir accompli pareille chose. J’évitais Rachel plusieurs fois de suite avec des prétextes à la noix. Rachel n’était pas du genre à m’attendre, elle s’est dégoté une autre copine dont elle s’est emmouraché, et je l’ai pour ainsi dire perdue de vue.

J’ai refoulé cette expérience pendant longtemps puis ça a refait surface. Alors quelque fois dans des périodes de très grande excitation je me foutais un doigts dans le cul et je léchait me remémorant cet épisode de mes aventures sexuelles avec Rachel..

Et on revient au présent !

J’ai donc de conserve avec Bérénice léché le dargeot de Greta.

Celle-ci nous ensuite demandé de nous rouler une pelle. Pas de problème.

– Ouvrez la bouche, maintenant ! Bien ouvert, mieux que ça !

Et cette salope nous crache en plaine bouche. Moi qui voulait être humiliée, je suis servie d’autant qu’elle a recommencé plusieurs fois.

– Je vais vous fouetter les fesses, je veux que vous restiez à vous embrasser pendant que je vous rougirais le cul.

Ça cingle fort, j’ai du mal à retenir mes cris, pas facile de rouler une pelle dans ces conditions, en fait on fait presque semblant en s’embrassant du bout des lèvres. Je me demande quand elle va s’arrêter je dois avoir les fesses dans un drôle d’état.

Enfin elle stoppe, mais nous n’étions pas au bout de nos douleurs… elle nous fait mettre dos contre dos en solidarisant nos liens. Elle enlève nos pinces (ça fait mal quand on les enlève) et se met à nous fouetter devant… et partout, les cuisses, le ventre, mais aussi les seins et le sexe Je supporte mais ne peux retenir mes larmes, je ne vous dis pas l’état du Rimmel !

Il fallait bien que ça se termine, et Greta ne trouve rien de mieux à faire que nous raccrocher les pinces (avec les poids, bien évidemment)

– Tout à l’heure on vous chiera dessus, il y aura bien quelqu’un qui aura envie. Dites-moi que vous avez envie de ça !

– Oui Greta, je veux qu’on me chie dessus ! Répond Bérénice.
– Dans la bouche ?
– Oui, dans la bouche !
– Et toi la morue ?
– Oui, moi aussi !
– Bon on passe à autre chose, à genoux les pétasses !

Greta désigne dans l’assistance quatre mecs, l’un se dégonfle, qu’à cela ne tienne il est vite remplacé.

Nous voilà avec quatre bonhommes autour de nous. Pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre ce qui va se passer. Ces messieurs sortent leur engin de leurs braguettes, se branlotent un petit peu pour donner davantage de rigueur à leur zizi…

Et c’est partie pour une séance de turlutte. On se met, Bérénice et moi à sucer ces bonnes queues… Ça ne me dérange pas j’adore sucer des bonnes bites. Et nous passons de l’une à l’autre… et de l’autre à l’une…

– Non mais regardez moi cette morue, t’es vraiment une vraie pute ! Me dit Gloria. Dis-le que tu es une vrai pute !
– Je suis une vraie pute !
– Et ça te plait ?
– Beaucoup !
– Suce derrière maintenant !

J’aime pas trop, préférant pratiquer cette fantaisie avec les femmes plutôt qu’avec les hommes, mais je suis bien là pour me faire humilier, non ? Alors allons-y ! Je ne suis plus qu’une lèche-cul fourrant ma langue dans des anus de mâles en rut. Et ça me plaît !

Tout en besognant le cul d’un mec, je jette un coup d’œil à ma collègue qui manifestement se régale ! Elle est encore plus salope que moi, c’est pas juste !

Mon partenaire se retourne et me fait signe de revenir sur sa bite ! Pas de problème, je suce comme une sangsue tandis que ma main droite s’égare sur la queue d’un autre. Au bout de quelques courtes minutes il se dégage, se recule un peu.

– Ne bouges pas, je vais te balancer ma purée !

Il se branle frénétiquement…

– Ouvre la bouche, salope !

Son sperme m’atterrit un peu dans la bouche, pas mal sur le visage.

– Bouge pas, j’ai pas fini !

En fait si, il avait fini mais maintenant il me pissait dessus.

– Garde la bouche ouverte, trainée !

J’en ai avalé une bonne rasade, le reste me dégouline un peu partout, C’est moi Katia la souillon !

Le type regagne sa place, Gloria fait entrer dans le cercle une dame mature, très mature même mais fort bien conservée. Elle attend que j’en ai terminée avec mon second partenaire.

Bérénice pour sa part est venu à bout de ses deux mâles, elle est barbouillée de sperme et de pisse et je vois qu’on l’emmène un peu plus loin et qu’on l’attache sur une espèce de planche inclinée.

Sonia (la mature) interpelle le gars que je turlutte.

– Alors, elle suce bien, cette pute ?
– Oui, Maman, mais pas aussi bien que toi !

A parce que… mais sans doute faut-il ne s’étonner de rien dans ce genre de soirée !

J’ignore ce qui se passe, mais malgré toute ma bonne volonté, (et mon savoir-faire) le mec débande.

– Je vais t’aider ! me dit Sonia.

Elle arrive à côté de moi se baisse et c’est parti pour une pipe à deux bouches La bite du fiston reprend un peu de volume, mais ce n’est que provisoire.

– Bon, c’est un cas désespéré, on arrête ! Va te faire enculer !
– Oui maman !
– Un volontaire pour enculer mon fils ! Demande-t-elle à la cantonade.

Il y en a plusieurs ! Mais c’est la foire aux pervers, ici ? Sonia désigne l’un d’entre eux.

Le fiston est déjà en position. L’enculeur dégage sa bite. Elle est demi-molle pour l’instant mais Sonia m’invite à là sucer avec elle afin de lui donner une rigidité convenable.

Un petite capote et l’homme encule le fiston sous les applaudissements de l’assistance qui n’a maintenant d’yeux que pour eux. Du coup je ne suis plus la vedette de la soirée j’attends que ça se passe, et Bérénice attachée sur sa planche en fait autant.

La petite séance d’enculade a bien duré dix minutes aux termes desquelles, l’enculeur est ressorti du trou du cul du fiston, puis se débarrassant de la capote, il m’intime l’ordre de lui nettoyer sa bite de son sperme. Ce que je fis consciencieusement puisque je suis là pour ça !

– Si je comprend bien, tu n’as pas été capable de faire jouir mon fils ! Non seulement tu es une trainée, mais tu ne sais même pas faire ton boulot…

Et elle me balance deux gifles, elle me fait mal cette conne.

Elle me fait ensuite mettre à quatre pattes et me fait me balader de long en large. Le problème c’est que mes poids attachés aux tétons se brinquebalent et qu’à ça devient douloureux.

Je ne dois pas avancer asse vite, on me fout des coups de badines.

A coté de la planchette où est immobilisée Bérénice, il y en a une autre. Elle m’était donc réservée, on m’attache là-dessus, après m’avoir retiré mes pinces (ça fait mal quand on les enlève, je confirme). et voici la petite blonde de tout à l’heure qui s’amène avec deux grosses bougies rouges allumées.

La cire de bougie ne tarde pas à me dégringoler sur mon corps, j’en reçois un peu partout y compris sur la chatte et sur les tétons.

On nous détache les chevilles mais c’est pour mieux nous faire lever les jambes à l’aide d’une corde reliée à une poulie.

C’est quoi ce cirque ?

SP09Un type se pointe, la bite encapotée, j’ai compris, pas de lubrifiant, pas de vaseline, il entre dans mon trou de balle comme dans un fast-food. Je n’ai rien contre le fait de me faire enculer mais j’aime bien qu’on y mette la manière. Mais après tout puisque je voulais qu’on m’humilie je n’ai qu’à fermer ma gueule. Et tandis qu’on me sodomise, la blonde me branche un vibreur électrique sur la chatte. Alors là, trop c’est trop, entre les vibrations devant et l’enculade derrière, me voilà en train de mouiller comme une éponge. Je hurle, je reçois des baffes, je hurle encore, on me crache dessus, je ne sais plus où je suis… Ouf c’est fini !

A coté de moi Bérénice subit le même sort de la part de Greta.

La blonde et Greta nous quittent un instant et reviennent très vite chacune tenant un gros labrador en laisse.

Je n’ai pas peur, c’est un fantasme que je voulais réaliser depuis bien longtemps. Et je me laisse lécher la chatte sans protester, je commence même à ressentir un plaisir trouble au contact de cette large langue qui n’en finit pas de me confondre avec un bol de lait !

On nous détache, la blonde s’est saisi de la bite du chien et la fait ressortir par l’arrière entre ses pattes.

– Viens sucer ! M’ordonne-telle

Du fantasmé à la réalité, il y a quoi ? Il n’y aura qu’un soupir, je me lance en embouchant ce membre rougeâtre au gout particulier.

– Vous êtes vraiment des sales putes ! Sucer un chien, il faut vraiment être perverse ! Me balance la blonde, qui joue très mal la comédie.
– Bon assez sucé, intervient Greta, embrassez-vous toutes les deux.

On le fait, on se caresse un peu…

– Je ne vous ai pas demandé de vous peloter sales gouines ! Vous n’avez pas honte de vous embrasser après avoir sucé des chiens et sans vous rincer la bouche ? En levrette maintenant, toutes les deux.

Et quelques secondes plus tard les chiens nous couvraient s’activant en cadence dans nos petites chattes…

Dans nos petites chates ais-je dis… sauf que nos tortionnaires vinrent rectifier le tir afin que la suite se passe dans nos trous du cul..

Le mémère surveillait la chose, voulant éviter que nous restions coincées (parfois ça arrive)

C’est fini, on évacue les toutous. Je me demande ce qui peut encore m’arriver.

Greta nous demande de nous coucher par terre puis demande à l’assistance :

– Si des personnes ont envie de caca, c’est le moment de vous manifester, ces putes vous attendent.

Ce sont deux femmes qui se présentent l’une est une grosse rousse au visage agréable, elle s’approche de moi.

– Mets-toi à poil ma grande, se sera plus fun. Lui demande Greta
– Le bas !
– Non tout !
– Je me place comment ?
– Au-dessus de son visage. Tu ne l’as jamais fait ?
– Y’a si longtemps …

Je ferme les yeux et j’ouvre la bouche (pas trop grande, pas envie de m’étouffer)

– Garde les yeux ouvert, conasse ! Me dit Greta

Elle m’énerve, elle m’énerve, mais puisqu’il me faut vivre mon humiliation jusqu’à plus soif …

Putain, qu’il est beau son étron à la dame ! J’avais un peu peur d’une bouillie infecte, non là c’est du bien moulé, j’ouvre mieux la bouche… et paf… le machin tombe, par un réflexe inconscient je pivote un peu la tête et referme la bouche mais le caca me dégringole à cheval sur la joue et les lèvres. Je m’en débarrasse, l’approche de mes lèvres, je lèche un peu ayant l’impression de me balader dans un monde parallèle.

On me demande à présent de nettoyer le cul de la dame, ce que je fais avec empressement.

Bon, c’est fini ?

Non, Greta me promène en laisse jusqu’à une chaise que je n’avais pas remarqué. Mais cette chaise est particulière. Au lieu et place d’un petit coussin pour se reposer le joufflu, il y a un lit d’orties fraiches.

– Non ! Protestais-je malgré moi
– Si ! Me répond Greta.
– Ah bon ?

Et je me suis assise, c’est fou, ça pique, ça démange, ça donne envie de se gratter. J’essaie de sublimer la douleur, pas facile, je voudrais bien vous y voir, vous !

Qui va siffler la fin de la partie ? Peut-être ce grand dadais qui s’approche de moi, bite en dehors de la braguette… Non il ne siffle rien du tout, il voulait me pisser dessus. Me voilà convertie en urinoir à présent, tu parles d’une promotion sociale, mais j’accepte l’offrande en ouvrant une large bouche ! Il n’y en a pas d’autres ? Non.

On nous détache.

Chez les spectateurs c’est le grand défoulement, ça se lèche, ça se suce, ça baise, ça s’encule.

– Si vous voulez rester, c’est possible, sinon je vous raccompagne aux vestiaires ! Me dit Greta.
– Non, je vais rentrer me reposer…
– OK, surtout ne te grattes pas, les démangeaisons vont partir toutes seules…

Bérénice a choisi de rester, grand bien lui fasse
!

Greta me tend une carte.

– C’est quoi ?
– Le téléphone de Sonia, elle m’a demandé de te le donner, tu en fais ce que tu veux !

J’ai attendu une semaine avant de téléphoner à cette Sonia, elle souhaitait une rencontre coquine à deux j’ai accepté, c’était sympa mais on n’a pas renouvelé.

Fin du récit de Katia

– Et tu n’a jamais recommencé ! lui demande
Monique.

Elle esquisse un énigmatique petit sourire.

– Laisse moi donc mes petits secrets, je vous en ai raconté pas mal ce soir, non ?
– Au fait il y avait quoi d’écrit sur ton front ?
– Je ne l’ai jamais su et quand j’ai voulu me regarder dans une glace avant de repartir, la pisse avait tout effacé !

Fin de l’épisode.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 19 février 2024 1 19 /02 /Fév /2024 15:29

Séance de bronzage par Julien03

Catland

Salut tout le monde, au fait, je ne me suis pas présentée la dernière fois,
je m’appelle Catherine, j’ai 18 ans, j’ai des cheveux châtains bouclés qui
descendent un peu plus bas que mes épaules. Je mesure 1m 65, je ne me trouve
pas trop moche, je ne suis ni obèse ni mannequin, mais je me plais et c’est
ça qui compte !

Depuis une semaine, je suis toute seule chez moi, ma mère et mon frère sont
partis en vacances chacun de leurs cotés quant à moi, je pars demain pour la
Grèce. Je me réjoui vraiment car je pars dans l’appartement de mon oncle, il
me le prête, sympa non ?

Toujours est-il, qu’il fait aussi chaud qu’en Grèce aujourd’hui, du moins,
j’en ai l’impression ! Après avoir déjeuner, je décide d’aller me relaxer
sur ma terrasse pour peaufiner un peu mon bronzage en espérant ne pas
débarquer en vacances blanche comme une russe ! Je monte dans ma chambre, me
déshabille, ouvre ma garde-robe, et je me rappelle que trois de mes maillots
sont déjà dans ma valise, quant au 4e, je l’ai prêté à une amie, et je ne
pense pas le revoir de sitôt ! Tant pis, on bronzera en petite culotte !

Je descends donc avec sur moi, une culotte bleue ciel et un t-shirt blanc
sur ma terrasse. De là où je suis, seule ma voisine peut me voir et encore,
il faut qu’elle sorte dans son jardin et il y a peu de chance, à mon avis
elle fait sa sieste vu la chaleur ou bien elle m’espiègle encore mais ça je
m’en fou, j’ai l’habitude ! Je dépose mon magazine et ma crème solaire et
décide tout d’abord de faire un petit plongeon dans ma piscine pour me
rafraîchir. Je garde quand même mon t-shirt, car là, tout le pâté de maisons
peut me voir (ce n’est pas que ça me gêne, mais je n’ai pas envie que tout
le monde regarde ma mère bizarrement chez le boulanger) ! Plouf…… Je remonte
à la surface, regarde ma poitrine et me dit qu’avec ou sans t-shirt, c’est
pareil. Je l’enlève donc (désolé maman !!!), fait 2 ou 3 longueurs et puis
je sors. Je m’allonge sur mon transat et en 5 minutes, je suis sèche, le
soleil tape vraiment fort ! Je prend ma crème solaire (je n’ai pas non plus
envie d’arriver comme un homard en Grèce !), je commence à m’en mettre dans
le dos comme je peux, j’en dépose 2 petits trais sur mes seins, et je m’en
étale sur ma poitrine, le ventre, mes cuisses, mes jambes mes pieds, bref
partout… ça me rappelle la crème au chocolat, l’autre fois dans ma cuisine
(voir : tâches ménagères). Toutes ces pensées m’excitent un peu quand même,
et cette excitation me donne envie de pisser.
Après tout, je suis dehors tout de même, je ne vais pas rentrer pour aller
aux toilettes, ce serait absurde ! Je commence alors à me laisser aller dans
ma culotte à peine sèche, c’est un long pipi, il faut dire, avec toute l’eau
qu’on boit par ce temps ! L’urine toute chaude reste dans le transat
légèrement renforcé à certains endroits… quel plaisir de rester couchée
comme ça, le cul dans sa pisse…

amy871Tout cela m’excite encore plus, et je repense à cette histoire de crème au
chocolat l’autre fois, je retire ma culotte et vais dans la cuisine, je
regarde dans le frigo et je vois des yaourts nature, j’en prend 2, et
retourne me coucher sur la terrasse. Je commence à me caresser les tétons,
je joue avec, je les pince légèrement, puis plus fort, ensuite, je prend mes
seins en main, j’ouvre un yaourt, et le vide sur mes seins, je me l’étale
comme la crème solaire tout a l’heure, de mon autre main je joue dans mon
entrecuisses en effleurant mes lèvres, mon petit bouton, ainsi que mon petit
trou. Je prend le 2eme yaourt, et me le verse sur mon bas-ventre, je m’en
mets partout entre mes cuisses, je m’enfonce 2 doigts dans ma chatte bien
trempée d’excitation, avec, je fait des va et vient, tantôt rapide, tantôt
plus lent, je remonte mes doigts jusque ma bouche et je me lèche les doigts,
d’autres doigts titillent et jouent avec mon anus, je me retourne et me mets
à quatre pattes, en me retournant, j’aperçois le sèche-linge, je me lève, je
prends 2 pinces à linge que je fixe au bout de mes tétons, je me remets en
position et continue de me masturber mon anus et ma chatte en me pénétrant
d’abord un et puis deux doigts dans chaque trous. Tout à coups, je sens
quelque chose de doux qui m’effleure les orteils ! Je m’arrête, me retourne
sur le dos et voila que j’aperçois le petit chaton tout blanc de la voisine.
Je le regarde un instant, je l’effraye un peu et il s’en va. 30 secondes
plus tard, je n’y prête plus attention, je reprends mes occupations
!J’écarte bien mes jambes que je mets en l’air et rejoue un peu avec mes
seins, je n’en peu plus, je mouille comme un fontaine, je reprends mes
caresses dans mon entrejambes, je me caresse mon clitoris et m’introduit 2
doigts dans le cul, les mouvements s’accélèrent de plus en plus, je sens que
je vais venir, je retire les pinces à linge et là je jouis, je sens le
liquide qui coule le long de mes doigts je les lèches et reste couchée sur
mon transat quelques minutes, je ferme les yeux et je m’endors en ne pensant
plus à rien.

Dix minutes plus tard, mes yeux s’ouvrent et là, je pense à quelque chose !
Je pense au chaton, celui la même qui est venu m’interrompre tout a l’heure,
celui la même qui a été attiré par je ne sais quel odeur (mouille, pisse ou
yaourt ?) toujours est il, qu’il est en train de me nettoyer la chatte ce
vicieux et moi, petite cochonne que je suis, je me laisse faire ! Il faut
dire que cette sensation est fort bizarre mais très agréable, cette petite
langue rugueuse qui donne l’impression de s’appliquer, me procure un bien
fou, et je ne mets pas longtemps à avoir un second orgasme ! Je referme les
yeux tandis que le chat termine son nettoyage, lorsque je me réveille, ce
n’est pas à cause du chat cette fois ci, mais de sa vieille propriétaire qui
le rappelle, si elle savait…. !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Lundi 19 février 2024 1 19 /02 /Fév /2024 08:45

Janice, ma femme par ArthurX
sperm stamp

Commençons ce petit récit en vous décrivant un peu, Janice, celle qui partage ma vie.. Cette jeune brunette de 25 ans, très mignonne, possède des mensurations communes mais qui lui vont à ravir. Du haut de son 1m55, et sous ses 45 kg, c’est une féline aux seins de 85b qui se cache. Longtemps bloquée par son éducation puritaine, elle s’est rapidement découverte pour jouir des plaisirs du sexe.

Il faut dire qu’il s’agit de quelqu’un d’impudique, pas trop conformiste, qui, lorsqu’elle sort en boite de nuit, même seule, adore allumer les mecs, être regardée et se faire caresser. Janice, prend un malin plaisir sur la piste de danse à coller son cul bien moulé sur ceux qui la collent de près. Il est vrai qu’elle s’en sert à merveille, tantôt découvrant sa culotte lorsqu’elle est en jupe ou en robe courte ou en balançant de façon très provocante son arrière-train. Elle prend un malin plaisir à me raconter la façon dont un mec lui a peloté le cul ou touché des parties plus intimes afin de m’exciter et la sauter virilement.

Un soir, alors que nous étions depuis peu résidants parisiens, nous avons découvert dans une revue, l’existence d’endroits insolites sur la capitale. Nous avons donc décidé de nous rendre Porte de la Muette pour qu’elle reluque les queues de toutes sortes qui décorent les trottoirs. C’était une première et il faut dire que Janice est une cochonne qui n’aime pas les situations programmées et qui aurait refusé si je lui avais proposé cette sortie et ce qui l’y attendait.

Dans un premier temps, elle a été déçue de voir que les personnes qui se trouvent à cet endroit n’avaient pas un physique à sa convenance, elle regrettait qu’il n’y ait pas de jeunes mignons. Après plusieurs passages, la chatte à l’air et quelque refus de notre part aux vues de la personnalité de certain personnage, nous nous sommes retrouvés suivi par un véhicule dans lequel se trouvait un jeune homme qui lui a plus tout de suite. Arrivés à un feu, il s’est adressé poliment à Janice en lui demandant s’il était possible d’aller plus loin. Elle a accepté et nous nous sommes retrouvés dans un bois au milieu duquel nous ne nous sentions pas tout à fait rassurés. Janice a alors tout de suite pris la situation en main, gesticulant devant moi comme une chienne et voyant que je bandais, elle m’a descendu le pantalon pour me sucer magistralement. Pendant ce temps, ce jeune inconnu qui se trouvait face à son cul lui relevé la jupe, puis lui a descendu sa petite culotte qui pour l’occasion n’était pas très large. Voyant ce joli cul devant lui, il a sorti son chibre énorme de son caleçon et s’est branlé devant elle. Je la sentais transformée, poussant des gémissements comme jamais, se dandinant dans tous les sens.

JanicePensant que le spectacle ne suffisait pas à notre partenaire, j’ai retourné Janice qui a basculé sa tête sur mon épaule en tenant des deux mains sa jupe. J’ai alors vu les yeux du jeune homme se fixer sur sa petite chatte toute mouillée de plaisir. Le jeune homme lui a ensuite déboutonné son haut et lui a relevé son soutien-gorge pour se mettre à lui malaxer les seins.

Elle n’en pouvait plus, et nous non plus. Ce jeune homme n’avait vraisemblablement pas l’intention d’aller plus loin, il voulait toucher et la peloter, ce qui convenait parfaitement pour nous, novices dans cette pratique. Je l’ai ensuite enculé debout, en levrette jusqu’à ce qu’elle jouisse et je lui ai craché toute ma semence sur le cul. Les yeux exorbités par le plaisir elle s’et mise alors à pisser d’abondance en éclatant de rire.

Elle m’a avoué avoir pris son pied grâce à ce jeune homme qui était très poli et respectueux. Nous n’avons jamais eu d’autres expériences car comme je l’ai dit plus haut, elle se refuse des expériences programmées. Elle serait prête à tout si l’occasion se prêtait et malgré tout, continu à se faire régulièrement peloter, et mater en boite de nuit ou dans les magasins dans lesquels elle n’hésite pas à entraîner des voyeurs dans des rayons de petites lingeries pour les exciter et ne saurait protester quand on lui met gentiment la main aux fesses !

Quelle coquine ! Et quelle chance j’ai de vivre avec une telle coquine !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 10 février 2024 6 10 /02 /Fév /2024 07:59

La représentante en lingerie par Belle-Cour
Stamp secretaire

Bonjour je suis André j’ai 40 ans et aujourd’hui j’ai un jour de repos

9 heures !

Je me suis couché tard hier soir et il était encore trop tôt pour me lever, je décidai donc de me rendormir un peu. A peine le sommeil me revint que le timbre de la porte d’entrée retentit. Surpris, je me décidai quand même à me lever, et j’ouvris… en tenue du matin, c’est-à-dire robe de chambre et un bas de pyjama laissant deviner mon érection matinale..

– Bonjour Monsieur, je suis représentante en lingerie féminine, votre femme est-elle là?’
– Non, lui répondis-je, elle est en déplacement
– D’accord, mais mes produits pourraient vous intéresser… pour lui offrir un petit cadeau…
– Bon alors entrez cinq minutes !

Faut dire que la dame avait des arguments, dans les 35 ans, joli minois de brune à lunettes avec un sourire ravageur, joli décolleté, minijupe…

– Je n’ai pas pris mon café j’allais m’en faire, vous en voulez un ?.
– Volontiers !

Elle s’assit dans le fauteuil, et j’allais m’habiller.

Puis du coup, des souvenirs du jour précédent me revinrent et je me mis à craindre le pire tout en étant excité…

Ma femme étant en déplacement, je m’étais soulagé devant une vidéo porno sur Internet, une vidéo gay dans laquelle on voyait deux mecs matures se sucer la bite et s’enculer.. Je ne suis pas gay, mais j’ai quelques tendances bisexuelles et j’adore ce genre de film !

Le souci c’est que je n’avais pas éteint l’ordinateur en me couchant et le site internet non plus. Pas grave me direz-vous, sauf que la fonction veille déconne et un simple frémissement de ma souris suffit pour tout rallumer !

Je terminai donc de m’habiller, lorsque j’entendis un gémissement féminin provenant de la pièce où j’avais laissé la dame. Je vis alors la représentante, les mamelons à moitié à l’air, en train de s’enfoncer dans la chatte la souris de l’ordinateur, tout en matant le film oublié la veille qui tournait en boucle !

Merde! Qu’est-ce que je fais ?.’

Lingerie24Elle me vit la mater et continua son exhibition.

– Oh, excusez mon comportement, mais vous regardez de ces choses !
– Oh, je suis tombé dessus par hasard ! mentis-je
– On dit ça, on dit ça ! En tous les cas moi ça m’excite grave !
– Je vois ça !

Je suis tombé sur un nympho ou quoi ? Mais après tout pourquoi pas ?

Apparemment ça lui plaisait que je la mate, et loin de s’arrêter elle eut soudain envie de s’occuper de son fion, chose qu’elle fit, immédiatement en y insérant deux doigts illico. La souris toujours fichée dans son vagin, les doigts trifouillant son cul, elle pelota aussi ses seins lourds en se pinçant vigoureusement les bouts. Son regard vers moi me fit chavirer. C’était trop tard, je fondais dans son désir. Une femme qui ne devrait être là que pour vendre de la lingerie et voilà qu’elle allait m’offrir son corps et son cul à la place de dessous féminins !

– Vous voyez je n’ai pas de culotte ! Ça me permet d’être plus vite excitée, je peux sentir mon odeur même après avoir pissé, mais aussi me doigter l’importe quand, quand j’en ai envie.
On peut dire qu’elle aimait les détails ! De sa franchise à ma queue dans sa bouche, il ne fallut que quelques secondes. Je lui empalai la bouche, clouant ma queue au fond de sa gorge, n’hésitant même pas à insérer des doigts en plus pour qu’elle me les lèche ensuite. Entreprenante, elle décida de m’enlever mon caleçon et commença à me peloter les fesses avec énergie.

– C’est là que tu veux en venir ou quoi ? Pourquoi tu insistes comme ça, coquine ?
– Laisse-moi faire, je vais te faire quelque chose de succulent, mon cochon !

J’ai plutôt été brusqué. Elle retira ma bite de sa bouche pleine de la mouille qu’elle avait lapé de ma queue et plongea sa langue dans ma bouche, tout en commençant à entrer ses doigts dans mon cul… Je ne me fis pas prier et fit de même avec le sien, jouant à l’occasion avec son clito et sa fente. Le problème était que son cul n’était très propre mais je ne pus lui en faire part. Elle me dominait complètement, sa langue parcourait l’intérieur de ma bouche, passant sur mes oreilles, revenant à mes lèvres, pendant que mon cul commençait à s’ouvrir à ses doigts. Putain! J’avais jamais ressenti un tel plaisir !

Tout à coup, elle me fit mettre sur le canapé à quatre pattes, je pris un peu peur. Mais merde à la fin ! C’était moi le mec ! Mais je me laissais faire. Pendant que ses doigts fouillaient mon fion, elle branlait ma bite de l’autre main. Ainsi à quatre pattes, ma représentante se mit à me lécher le trou cette fois… Décidément elle avait l’air de n’en vouloir qu’à mon cul ! Et comment savait-elle que j’aimais ça d’ailleurs? Car en fait, je suis un véritable amateur de sexe anal, d’homme à femme et inversement !

Elle lapait donc le pourtour de mon fion, entrait, sortait, puis tout à coup, elle me dit

– Je vais te fister le cul, mon salaud, ça te tente hein ?
– Euh, je, en fait… je ne sais pas si…

Je n’ai jamais pu terminer ma phrase, j’ai dû enfouir ma tête dans un coussin et le mordre quand j’ai réalisé qu’elle entrait de plus en plus de doigts dans mon cul ! Il faut avouer que c’était infiniment le pied, car se sentir ouvert par une femme c’est une sensation unique. Elle me labourait donc le trou avec sa main, elle eut même le culot de tourner sa main plusieurs fois, alors que mon cul n’avait jamais servi qu’à des caresses beaucoup plus douces ! A un moment, elle sortit sa main merdeuse et se mit à la lécher. J’ai été un peu décontenancé sur le coup mais quand elle commença à se caresser tout le corps avec la jouissance anale qui était sur sa main, j’ai recommencé à bander comme lorsqu’elle m’avait sucé.

Elle se retourna, à quatre pattes à son tour, et tira sur ses fesses, je fus stupéfait: elle s’était personnellement fisté le cul à elle pendant qu’elle élargissait le mien ! Décidément ! Maintenant, je pouvais enfin un peu m’occuper d’elle. Je pris son clito entre mes dents et le suçotait en le faisant rouler entre mes lèvres, mes mains s’occupant de sa poitrine qui était restée libre pendant tout ce temps. Elle aimait que je lui triture ses bouts, que je les tire très forts, que je les pince et que les étire. Après les dilatations qu’elle s’était fait subir, ma queue s’enfonça très facilement d’un orifice à l’autre, alternant les plaisirs, mélangeant les jus et les sécrétions. Son trou du cul restait ouvert à chaque fois que je faisais sortir mon sexe en dehors, ma bite ressortait merdeuse, je l’essuyait sommairement contre ses jolies fesses. j’eus même l’audace de lécher un peu, par curiosité et de trouver ça bon. L’excitation nous fait faire de ces choses parfois ! J’enfilai ensuite sa chatte puis de nouveau son tunnel sombre. L’apothéose à tout cela finit par arriver, elle se dégagea de ma bite qui ramonait sa chatte toute trempée par tant de plaisirs, et me fit une étrange suggestion

– Tu vas me montrer comment un salaud de baiseur pisse dans le cul de sa chienne !
– Mais, tu n’es pas une chienne, tu…
– Fais-le, je te dis !

Disons-le clairement: pisser c’était pas trop mon truc, mais comme au moment où; elle lécha sa main tachée de la merde de mon cul, j’en fus inexplicablement excité. C’était bel et bien une femme qui me proposait de faire quelque chose de totalement nouveau pour moi et sur le champ ! Je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin, j’enfonçai donc ma queue dans son cul pour l’élargir un peu et elle me dit ensuite des mots dont je ne peux plus me souvenir, pris dans un tourbillon malsain sur le moment mais ce qu’elle me dit finit par me faire pisser à l’intérieur de son cul !

Quel pied ce fut ! Evidemment, physiquement, elle profitait plus que moi, d’ailleurs elle me proposa de passer la paume de ma main sur ses fesses, pour absorber l’urine qui y dégoulinait et lui donner à boire car elle m’appris qu’elle goûtait souvent sa pisse…

Cette baise sans tabou n’aurait pas pu prendre fin sans que, à mon tour, je décharge tout le sperme que j’avais emmagasiné durant ces exaltations. La jouissance fut classique mais intensément profonde. Elle fit regonfler ma bite en l’absorbant bien à fond et en jouant avec sa langue sur les bords de mon gland. Ses lèvres n’étaient pas pulpeuses comme dans nos rêves de mâles mais fines et sa bouche n’avait que peu de place pour contenir un sexe qui allait bientôt envoyer toute sa crème. Mes boules étaient malaxées, elles aussi, j’eus même droit à son index entier dans mon anus pour me rappeler comment elle m’avait enculé environ une heure plus tôt. Et là, accompagné de ses mots cochons, étant investi physiquement et mentalement, ma queue bougea un peu dans sa bouche pour jouir dans la seconde et tout mon foutre se déversa en elle, tellement puissant que même avec sa bouche fermée, du sperme coula vers le bas de son menton. Elle m’embrassa encore, me faisant goûter à mon propre sperme.

– Ta femme reviens quand ?
– Elle est au Danemark avec son chef elle rentre lundi.
– Ça t’intéresserait que je revienne avec mon directeur des ventes
– Pourquoi aire ?
– Parce qu’il est sympa, il a une belle bite et il pourra t’enculer !
– Alors d’accord !

9 h 30

Je me réveille… encore dans mon rêve ! Mais quel rêve ! Et voilà que l’on sonne ! Mon rêve va-t-il se réaliser ?

J’ouvre et découvre un couple de témoins de Jéhovah ! Le rêve s’est transformé en cauchemar !

– Vous venez pour la partouze ? Vous êtes en avance c’est à 22 heures ? leur dis-je

Ils sont partis sans demander leur reste. Et moi je suis allé me branler dans la salle de bain.

Au revoir !

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 11:49

Martinov 26 – Les sculptures incas – 13 – Partouze parisienne par Maud-Anne Amaro

stamp partouz

L’affaire ne traîna pas, à peine une heure plus tard la maréchaussée, munie d’un mandat de perquisition faisait irruption dans le pavillon des Laurensot, confirmait l’objet du délit et menottait Camille en lui énonçant ses droits.

– Tu vis seul ici ?
– Euh…
– C’est pas une réponse !
– Y’a mes frères, mais ils n’ont rien à voir avec tout ça.
– Sont où ?
– En courses à Alençon
– Reviennent quand ?
– Devraient pas tarder, mais je vous dis, ils n’ont rien à voir avec tout ça !
– Ta gueule !
– Pourriez être polis.

Les gendarmes attendirent patiemment le retour de Raoul et de Louis Laurensot, puis embarquèrent le trio après avoir posé les scellés d’usage sur le pavillon

Gérard est garé sur le bas-côté de la départementale, quand il voit les gendarmes repartir pour Alençon avec les trois prévenus il téléphone à son ami Suchet à la brigade des stups :

– La gendarmerie d’Alençon vient d’arrêter trois abrutis à Vertgland dans l’Orne, si tu pouvais t’arranger pour que l’affaire fuite bien comme il faut dans la presse.
– T’inquiètes, on sait faire !

Il téléphone ensuite à Martinov :

– Mission accomplie, leur cave était pleine de statuettes fourrées à la cocaïne ! Les poulets les ont embarqués !
– Quelle efficacité, je n’en reviens pas !
– Un peu de chance, un peu de métier !
– Je ne sais comment te remercier !
– Laisse tomber, on passera très bientôt vous faire un gros bisou.
– Avec plaisir !

Devant les enquêteurs Camille Laurensot adopta une attitude curieuse, déjà il tenta contre toute évidence de dédouaner ses frères, il reconnut les faits, mais usa de son droit au silence quand on lui demanda le nom de son fournisseur et ceux de ses clients.

– J’ai fait ça pour la bonne cause, il me fallait de l’argent pour servir mes amis extraterrestres.
– Tu arrêtes de te foutre de notre gueule !
– C’est pour cela que j’invoque mon droit au silence puisque vous me paraissez incapables de comprendre mes motivations.

Louis ne nia rien mais expliqua qu’il était sous l’emprise de son frère. Quant à Raoul, il se mit à grogner et à insulter les enquêteurs.

L’AFP ne tarda pas à publier un communiqué repris en chœur par les médias dès le lendemain.

Au clos des Merisiers l’ambiance est électrique parce qu’Arsène Chamoulet vient juste de rentrer de son escapade québécoise. Son arrivée en taxi n’étant pas passée inaperçue, c’est toute la petite famille qui lui tombe dessus à bras raccourcis.

– Ah te voilà, toi ! C’est super sympa de nous avoir laissé dans la merde pendant huit jours ! Lui balance Hélène.
– Ben quoi ? Vous devriez être content, je vous ai soulagé de ma présence puisque vous vous êtes mis en tête de soutenir les deux escrocs.
– Moi j’appelle ça de la lâcheté ! Intervient Fanny.
– Toi, la pute on ne t’a pas sonné.
– La pute, tu as été bien content de la trouver quand tu lui pelotais les fesses.
– Tu fantasmes de trop, ma grande !
– Quand même tu aurais pu nous passer un coup de fil. Reprend Hélène, ton téléphone était toujours sur répondeur…
– J’avais pas envie d’être dérangé.
– Bon en attendant, je refuse de rester dans ce patelin, ça devient invivable, tout le monde nous fait la gueule.
– Faut peut-être pas exagérer…
– Je n’exagère pas, si tu veux rester ici ce sera sans moi !
– Et sans nous ! Ajouta Fanny,
– Toi je t’ai dit de te taire. Vous me faites tous chier, je vais faire un somme. Le décalage horaire ça tue.

Gino parvint malgré tout à le convaincre d’écouter le récit des évènements de la semaine.

Arsène ne fit aucun commentaire et s’en alla ronfler.

Quand il réapparut, la nouvelle de l’arrestation des frères Laurensot qui faisait la une des commérages n’était pas encore parvenu à la famille… dame puisque personne ne leur adressait la parole !

Toutes les tentatives pour lui mettre sous le nez la gravité de la situation se heurtèrent à une fin de non-recevoir.

– On attend des nouvelles de Monsieur Martinov et ensuite on se barre ! Déclara Hélène à l’intention de Fanny et de Gino.
– On se barre où ? Demande ce dernier.
– J’ai une copine qui a un grand studio, elle n’est jamais chez elle, toujours en vadrouille, elle acceptera de nous le prêter en attendant qu’on se trouve une location, intervint Fanny,

Les journalistes attirés par l’événement comme des mouches sur du miel ne tardèrent pas à envahir la paisible bourgade de Vertgland. Les habitants du coin n’y comprenaient rien avant que la rumeur prenne forme et enfle : les Laurensot seraient des trafiquants de drogue.

Personne n’y croit

– C’est un coup monté !

Les journalistes interrogent le maire ;

– Et la présomption d’innocence, Vous en faites quoi ?
– Ils ont avoué, monsieur le maire !
– Pfff, on peut faire avouer n’importe quoi à n’importe qui !

Mais deux heures plus tard le discours changeait du tout au tout,

– On est tous choqué, jamais nous n’avons rien soupçonné, les frères Laurensot nous ont bluffé, nous ont trompé, je suis écœuré, je n’ai rien d’autre à ajouter

Quant au brigadier Michel, il étala sa mauvaise foi sans aucune vergogne.

– On se doutait bien qu’il faisait des trucs bizarres, ces gars-là étaient trop lisses pour être honnêtes, mais on n’a jamais rien pu déceler de suspect dans leurs comportements. Ils cachaient bien leur jeu, mais on aurait fini par les coincer.

Lundi 8 mars

Le professeur Martinov et Béatrice se rendent à Vertgland dans ma matinée, c’est Arsène qui les accueille de mauvaise grâce :

– Vous êtes encore là vous ? Se gausse-t-il.
– On dirait bien ! Répond Béa.
– Eh bien tant pis !

Et il s’en va on ne sait où tandis que la petite famille rapplique.

Après les bisous de bienvenue d’usage, Béatrice prend la parole :

– Je suppose que vous êtes au courant ?
– Au courant de quoi ? Y’a du nouveau ? Demande Hélène.
– Les frères Laurensot ont été coffrés, ils trafiquaient de la drogue
– Non ?
– Si ! Et c’est donc la fin de vos ennuis !
– C’est déjà ça, mais on ne va pas rester, tout le monde nous fait la gueule, tout à l’heure je suis allé faire des courses à la supérette, je dis bonjour, on ne me répond pas, la patronne me regardait comme si j’avais assassiné tous les gosses de la région, ça cancanait à voix basse pendant que je choisissais mes produits, et après ni merci, ni aurevoir ! Tu crois vraiment que je vais supporter ça longtemps ? C’est quoi la solution ? Faire toutes mes courses à Alençon y compris le pain.

Du coup ni Martinov ni Béatrice qui n’avaient pas envisager que les choses aillent jusque-là ne savent répliquer.

– Vous savez où aller ? Demande Béa.
– On a une solution provisoire, répond Fanny
– Et monsieur Chamoulet, il est d’accord ?
– Qu’il soit d’accord ou pas, on se barre !

Tout le monde rentra ensuite afin de boire un café, l’ambiance était morose comme vous pouvez le penser

– Je vais essayer un truc. Dit soudain Béatrice en sortant son téléphone portable.

Elle cherche le numéro du maire et le compose.

– Bonjour monsieur le maire, serait-il possible de vous rencontrer brièvement ?
– Hum, si vous êtes journaliste, ce n’est même pas la peine, ça fait dix fois que je raconte la même chose, maintenant c’est fini, ce sera silence radio !
– Mais je ne suis pas journaliste !
– Vous êtes quoi alors ?
– Conseillère juridique.
– Et l’objet de votre demande d’entretien ?
– C’est un peu délicat par téléphone, je préférerais vous rencontrer je n’abuserai pas de votre temps…

– Fanny, prête-moi un truc un peu sexy, ça va m’aider !
– Très sexy ou un peu sexy ?
– Un peu sexy, genre, moulant…

Évidemment quand le maire découvrit sa visiteuse, Il l’a reconnu :

– Vous !
– Ben oui, moi, mais ressaisissez-vous, je ne vais pas vous manger !
– Vous voulez quoi ?
– Je peux m’asseoir ?
– Je vous demanderais d’être brève.

Béatrice n’étant pas invité à s’assoir, le fit d’autorité.

– Ma requête est simple, monsieur le maire, la famille Chamoulet a été harcelé par les frères Laurensot. On sait aujourd’hui à quelles activités illicites ils se livraient…
– Oui bon, et si vous en arriviez aux faits ! S’énerve l’édile.
– La population a pris fait et cause pour les Laurensot considérant les Chamoulet comme des pestiférés…
– Faut peut-être pas exagérer non plus.
– Je n’exagère rien, ces gens ont subi un grave traumatisme…
– Tu parles !
– Bon, est-ce qu’on pourrait se parler cinq minutes entre gens intelligents ?
– Vous allez vous décider à me dire ce que vous êtes venu faire dans mon bureau.
– Monsieur le maire, je suis prête à pardonner votre agressivité, en tant que premier édile de la ville, je pense que vous avez le souci que vos concitoyens vivent en bonne harmonie.
– Pfff…
– Un simple communiqué de votre part rétablissant la vérité serait, sans doute de nature faire taire les animosités…
– Autrement dit vous êtes en train de me dire ce que je dois faire !
– Non…
– Sortez de mon bureau, cet entretien est terminé !
– On ne peut vraiment pas discuter ?
– Sortez, et ce n’est pas la peine de me faire des effets de buste. J’ai horreur des putes et des gros nichons
– Connard !

Voilà ce qui s’appelle un entretien foiré.

Après tout entretien conflictuel vient souvent l’esprit d’escalier. Et s’il est présent chez Béatrice, il devient obsessionnel pour le maire sur l’air de « j’aurais dû dire ceci, j’aurais dû répondre cela… »

« On ne sait jamais à qui on a affaire… cette famille Chamoulet me semble avoir des appuis, il ne faudrait pas qu’une campagne de presse me tombe sur la gueule ! »

Béatrice est de retour au Clos des Merisiers :

– Je reviens de chez le maire, j’ai essayé de discuter, mais ça n’a même pas été possible, ce type est vraiment un gros connard.
– On partira demain, annonce Fanny. On va prendre juste quelques affaires, pour le reste on verra plus tard.
– Et votre beau-père ?
– Il se trouve bien là !
– La situation va être un peu délicate.
– Nous le savons, reprend Hélène mais comment faire autrement ?
– En restant digne, en ignorant les imbéciles, en montrant que vous êtes plus intelligent qu’eux ! Reprit doctement Martinov
– Belle théorie, professeur, je ne voudrais pas vous vexer, mais je me sens incapable de faire ça ! Répondit Hélène

La discussion s’éternisa un bon moment puis la cloche de la grille retentit.

Une femme que personne ici ne connaissait était devant le portail suivie à quelques mètres de distance d’une petite compagnie poussée par la curiosité. Hélène s’approcha.

– Annie Bouriffet, première adjoint au maire, nous faisons le tour des habitants pour vous convier à une réunion publique avec Monsieur le maire, ce soir à 19 heures dans l’arrière-salle de la superette. Il y aura aussi un apéritif. Nous comptons sur votre présence.
– Vous comptez sur ma présence ? Je rêve ! Répondit Hélène en rebroussant chemin.

Petite concertation après le départ de la dame, Les Chamoulet n’ont aucune intention de se rendre à cette réunion. Béatrice et Martinov se propose d’y aller… pour voir.

La réunion fut brève…

– Mes chers concitoyens, commença le Maire, notre paisible bourgade est encore aujourd’hui sous le choc. Sous le masque d’honnêtes citoyens, et donateurs de surplus, se cachaient donc d’ignoble crapules…
– Ouh, ouh ! Hurlent quelques excités
– Ces évènements ont créé parmi nous un véritable traumatisme. Nous devons tous nous ressaisir, c’est pour cela que je vous propose de participer à une fête qui sera celle de la fraternité et de la réconciliation, Nous devons nous montrer unis et solidaires, nous sommes une grande famille.
– Clap, clap, clap (applaudissements frénétiques)
– Nous pourrions faire ça dimanche, il faudra venir avec les enfants, que ces dames nous fassent des petits gâteaux, et nous allons commander des tas de ballons gonflables, ce sera une belle fête !
– Clap, clap, clap (applaudissements frénétiques)
– Des questions ?
– J’ai une idée, on pourrait faire un jeu de chamboule-tout avec les noms des frères Laurensot sur les boites de conserves. Intervient un quidam.
– Oui, oui ! Crie la foule.

Béatrice et Martinov ne surent jamais si cette proposition farfelue reçu l’agrément du maire, puisqu’ils quittèrent la salle à ce moment-là.

– Alors ? Demanda Hélène à leur retour.
– C’est n’importe quoi, le maire prévoit une fête avec des petits gâteaux et des ballons gonflables…
– Il pense que ça va arranger quoi ?
– Je n’en sais rien !
– Il fait ça quand ?
– Dimanche !
– On sera barré, mais tenez, voilà notre adresse provisoire à Paris, seriez-vous libre dimanche ou un autre jour, nous ferons la fête entre nous !
– Avec plaisir ! Dimanche se serait bien ! Répondit Béatrice, et toi Martinov.
– Excellente idée !
– Et si Maitre Canaval est libre, elle sera également la bienvenue
– Je lui fais passer le message. Répondit Béa.

Dimanche 14 mars

C’est dans un grand studio du 18ème décoré de façon très « design et tape à l’œil » que la famille Chamoulet accueille Béatrice et le professeur Martinov. Famille Chamoulet sans Arsène évidemment mais Hélène, Fanny et Gino sont bien là… le clébard aussi… ça promet…

Hélène est très élégante avec sa petite robe noire, très décolletée et laissant ses belles épaules dénudées. Fanny est vêtue d’une jupe en jeans « à ras du cul » et d’un tee-shirt blanc très fin, tellement fin que l’on voit ses tétons pointer en dessous, car elle n’a pas mis de soutien-gorge.

Béatrice a fait simple, pantalon blanc cassé et chemisier vert olive, mais elle prend soin en retirant son imperméable de déboutonner « un peu trop » ce ravissant chemisier.

Ces braves gens prennent l’apéritif en attendant Maître Sophia Canaval qui arrive avec un peu de retard mais avec un gros gâteau ! Evidemment son tailleur « pied de poule » jure un peu avec l’accoutrement de ces dames…

Elle en retire la veste, et imitant Béatrice, elle déboutonne légèrement son chemisier blanc…

Autrement dit « la couleur est annoncée » ! On attend plus que le déclic… Mais ça ne vient pas tout de suite, ces dames sont bavardes… et gourmandes… On papote un bon moment jusqu’à ce que Fanny qui vient de finir sa part de gâteau, se lève en se dirigeant tout de go vers l’avocate.

– J’adore ton chemisier ! C’est de la soie ? Demande-t-elle candidement en plongeant sa main dans le décolleté.
– Mais tu me pelotes les seins, là ! Fait semblant de s’offusquer Sophia.
-Tu n’aimes pas ?
– Je n’ai rien contre mais que vont dire ces messieurs dames ?
– Ces messieurs dames vont se rincer l’œil où même peut-être faire des choses cochonnes. D’ailleurs regarde :

Effectivement, à l’autre bout de la pièce, Gino a dépoitraillé Hélène et lui agace les tétons.

– C’est sa mère qu’il pelote ? Demande naïvement Sophia, puisqu’elle connait déjà la réponse.
– On dirait bien ! Mon mari est un cochon, il baise sa maman, il baise les hommes… mais je l’adore. Embrasse-moi !

Et les langues se mélangent tandis que les tétons sont devenus durs sous l’action des doigts.

Quant à Béatrice et Martinov, ils se contentent de mater. Vont-ils faire banquette ? Vous vous doutez bien que non, chez lecteurs…

De par un synchronisme involontaire, Sophia et Hélène se font maintenant sucer les pointes des seins par leur partenaire respectifs, cela dure un petit moment…. Puis Gino roule un patin à sa mère tandis que celle-ci fouille dans la braguette de son fils pour en extraire une bite superbement bandée qu’elle branlotte quelques instants avant de la porter en bouche avec gourmandise.

Le professeur Martinov n’en pouvant plus de regarder cette scène est invité par Hélène à la rejoindre, ce qu’il s’empresse de faire. Et voici donc un insolite trio incestueux et bisexuel ou Maman Hélène et le professeur se repassent la bite de Gino… Un Gino aux anges, vous l’aurez deviné.

Béatrice restée seule pour le moment décide se donner du bon temps en solo, Aussi se débarrasse-t-elle de son pantalon et de sa petite culotte et entreprend de se tripatouiller sa chatoune humide.

Voilà une odeur qui interpelle Muzo, le chien des Chamoulet, et le voilà qui arrive sans y être invité et qui tout de go se place entre les cuisses de notre jolie chimiste et se met à lui lécher l’abricot.

– Oh, mais qu’est-ce qu’il me fait ce vilain toutou ? Tu aimes ça, lécher le minou de Tata Béatrice, hein mon gros !

Voici des paroles qui apostrophe Sophia qui n’a jamais assisté à pareille spectacle.

– Oh, mais que fait Béatrice ?
– Ben tu vois, elle se fait lécher par le chien ! Lui répond Fanny comme si la chose allait de soi !
– Ben ça alors ! Mais ce n’est pas dangereux ?
– Meuh non !
– Je n’oserais jamais faire une chose pareille ! Comment peut-on faire ça ?
– C’est tout simple tu écartes les cuisses et tu te laisses faire ?
– Evidemment, dit comme ça ! Tu le fais toi.
– Oui et ma belle-mère aussi !
– Mais vous êtes une vraie famille de dépravés ! Répond Sophia en rigolant.
– Béatrice viens nous rejoindre avec le chien, Sophia a envie d’essayer ! S’écrie Fanny.
– Hé, j’ai jamais dit ça !

Béa s’est relevée, le chien la suit.

Martinov2613
– Allez Sophia, retire ton futal, tu vas voir c’est magique !
– Vous êtes des salopes.
– On sait, on sait, Répond Fanny.
– Allez, retire tout ça, le chien il ne va pas te manger !
– Juste pour essayer, alors !

Et quelques instants plus tard, Muzo léchait la chatte de Sophia à grand coups de langue…

– Oh, là là c’est bon ce qu’il me fait… Aaaah… oui mais bon maintenant ça suffit.

Elle repousse le chien, personne n’insiste, personne ne va plus loin pour le moment, on ne franchit pas tous les pas le même jour.

Martinov après s’être bien régalé de la bite de Gino dans sa bouche, lui a offert son cul. Sophia s’est rapprochée pour mieux voir laissant Béatrice et Fanny en tête à tête, ou plutôt devrait-on dire en tête à chatte puisque les deux coquines se sont installées sur le tapis en position de soixante-neuf, se léchant la minouche avec frénésie et se livrant à quelques variations coquines, comme s’introduire un doigt ans le cul ou bien le lécher…

Hélène ne pouvait laisser Sophia regarder seule les deux messieurs se sodomiser, aussi vient-elle lui flatter le popotin qu’elle a dodu et doux.

La main de derrière, finit par passer devant et s’intéresser à la chatoune humide, du coup les deux femmes se font face, s’embrassent et se tripotent et le voilà qui à l’instar des deux autres femmes s’affalent sur le tapis pour venir y chercher leur jouissance.

Ambiance de folie, le chien chemine parmi les couples fornicateurs, mais ne trouvant personne pour s’intéresser à lui s’en va roupiller devant la porte.

Et vous vous doutez bien comment cette orgie s’est terminé, c’est grande bousculade dans la salle de bain dans laquelle tout le monde se presse pour aller pisser. Seulement il n’y a pas assez de place, alors ça se passe à tour de rôle.

C’est Fanny qui est entrée la première et s’assoit sur la cuvette, Hélène vient devant elle et lui pisse dessus en restant debout, Du coup Fanny ouvre la bouche, elle adore le pipi de sa belle-mère. Béatrice est entrée dans le carré à douche et reçoit l’urine de Gino en pleine face.

Mais la vraie surprise vient de Martinov qui n’avait pas encore joui et qui après s’être masturbé énergiquement fait jaillir son sperme sur la généreuse poitrine de Sophia.

Allez venez tous, nous avons un autre gâteau au frigo ! Nous dit Hélène, recueillant l’approbation enthousiasme de la joyeuse bande.

Et si vous le voulez bien, nous retrouverons bientôt Béatrice et Martinov dans une nouvelle aventure

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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