Samedi 20 avril 2024 6 20 /04 /Avr /2024 08:33

Le chien du vacher par Belle-cour

zoo

Nous finissions nos premières vacances avec une Myriam, une jolie brunette très délurée et fort bien roulée que je connaissais depuis quelques mois et qui depuis est devenue ma femme.

Nous avions fait un petit périple en Espagne où cela avait été bien chaud, et nous remontions vers Paris en faisant une escale dans un gite rural isolé en pleine montagne dans le sud de la France.

Nous étions seuls, la première maison habitée devait être à environ un kilomètre, et comme il faisait très chaud j’étais juste en short. Ma femme, elle se promenait quasiment à poil avec juste un string qui lui mettait son beau cul rebondi bien en valeur.

De la voir se promener, comme ça sans pudeur, le cul à l’air me donnais constamment envie de la sauter où que l’on soit. J’avais, dans mon short, la queue comprimée tellement elle était raide, ce qui obligeait régulièrement Myriam à me soulager en la déballant et en se la fourrant goulûment dans la bouche.

Elle adorait ça, au détour d’un chemin, n’importe où..

Une fois, dans un ruisseau elle me suçait la pine sous l’eau et son cul flottait a la surface, moi je n’en pouvais plus et je lui lâchais toute ma purée dans la bouche.

Elle me provoquait en pissant devant moi avant de me donner ses doigts à lécher

Un jour alors où je l’avais bien tripoter elle était à point, chaude comme une salope prête à tout, sa chatte dégoulinait tellement elle était excitée. J’étais assis, complètement à poil dans une chaise longue devant la maison, ma bite gonflée se dressait, elle, me tournant le dos est venue s’empaler le cul à califourchon dessus.

Elle allait de plus en plus vite, pendant que je lui poignais le cul et lui massais les seins, quand soudain on entendit des bruits de cloches qui venaient dans le chemin.

Ma femme paniquée me poussa, quitta la position et s’étala sur le ventre à même la pelouse, dissimulant ainsi ses seins . C’est alors que le chien gardien du troupeau, un golden, s’approcha d’elle.

– Veux-tu te barrer, sale bestiole !
– N’ayez pas peur, il n’est pas méchant, il est même très affectueux, il veut juste vous dire bonjour ! Intervint le vacher
– Ah, bon ? Bonjour le chien, t’est un beau toutou, maintenant fous moi la paix !

Le chien, loin de partir, se mit alors à lécher les fesses de Myriam.

– Mais t’es un gros vicieux, le chien !
– Il est content, vous le rendez heureux !
– Vous croyez ?
– Je pense qu’il aimerait bien vous lécher devant !
– Non mais vous vous rendez compte de ce que vous dites ?
– Ben quoi, c’est la nature, c’est la campagne !
– Tu parles !
– Laisse-toi faire ! Intervins-je. Tu l’as déjà fais !
– Je l’ai fais une fois et je connaissais le chien !
– Ben justement ça te permettra de faire connaissance.
– Bon, bon !

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Et là je vois Myriam qui se retourne et qui écarte son string permettant au chien de venir lui faire léchouille à grands coups de langues dans la chatte.

– Elle est belle votre copine quand elle se fait lécher ! Commente le vacher. Ça ne vous dérange pas si je me branle en regardant !
– Faites comme chez vous, mon vieux !

Le gars sort alors une bite bien bandée et commence à se l’astiquer frénétiquement.

– Vous avez une bien belle bite ! Le complimentais-je.
– Si vous voulez me la toucher, ou même me la sucer, ce ne sera pas de refus.

Je n’aurais pas fait, j’aurais regretté de ne pas l’avoir fait, alors j’ai sucé la queue du vacher, et m’en régalait et pendant que j’opérais, j’eu la surprise de voir ma femme faire de même avec la bite du chien.

Je fis jouir le bonhomme.. Et apparemment le chien s’était bien défoulé. Mais moi, alors ?

– Mets-toi en levrette, que je t’encule, ! Dis-je à Myriam..

– Je vous laisse, il faut que j’y aille ! nous précisa le vacher !
– Ça vous dirais de venir chez nous boire un coup en fin d’après-midi, on pourrait faire une petite partie. Lui proposais-je
– C’est pas de refus, je viendrais avec le chien ?
– Bien sûr !

Le vacher parti, ma femme me demanda :

– Tu n’as pas l’intention de me faire enculer par ce type ?
– On verra bien comment ça se passe ! On improvisera.
– Je me méfie de tes improvisations !
– Mais tu les adores !
– Bien sûr mon chéri ! Me répondit-elle en écartant bien ses fesses afin que je l’encule bien comme il faut.

Fin du délire

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Jeudi 18 avril 2024 4 18 /04 /Avr /2024 12:10

Confessions voyeurisme

Voy

En face par Charlotte

Assise bien tranquille sur mon balcon, je profite de la douceur d’une soirée bien étoilée.

Une lumière s’allume dans un logement en face. Je vois un homme y entrer et après quelques minutes, il enlève tous ses vêtements. Il fume une cigarette tout en se promenant nu dans son appartement.

Peu après, il va prendre sa douche dans la pièce contiguë. Je m’avance un peu, pour mieux voir. Il laisse justement la fenêtre ouverte. Pendant quelques secondes, il laisse couler l’eau sur son corps. Je le regarde se détendre. Il a un beau visage, de long doigts et de belles fesses bien galbées.

Tout à coup, il commence à se caresser. Je m’avance un peu plus pour mieux l’observer. Et voilà que sa bite se met à gonfler. De sa longue main, il se branle tout doucement, pour faire durer son plaisir. Son sexe grandit encore plus. Il se recule sous le jet d’eau et par le regard de ses yeux, je sens qu’il y prend beaucoup de plaisir. Il continu à bien se masturber. Il prend son temps et sa bite est devenue toute raide. De son autre main il s’introduit un doigt dans l’anus !

– Oh, le cochon !

Tout en le regardant, je sens pour moi aussi le désir d’en faire autant. Je me caresse les seins qui se mettent à durcir. Je sens monter une grosse chaleur en moi. Je ne peux faire autrement que de continuer à me caresser les seins, le ventre, les cuisses tout près de ma chatte qui réclame de plus en plus de caresses.

Je continue à regarder le charmant spectacle qui se déroule devant mes yeux. Pendant les caresses de cet inconnu, j’accentue mes caresses. Son sexe est toujours en érection et il continue de faire des va-et-vient intempestifs.

Pour ma part, je rentre mes doigts dans mon vagin, qui est plein de jus, de chaleur et regarder cet homme, me donne encore plein de désir. Pendant plusieurs minutes, nous nous caressons à l’unissons. J’ose même me tripoter mon anus et ça me fait un bien fou. Tout à coup il se colle à la douche, pour laisser couler l’eau sur son sexe. Ensuite tous les deux nous nous laissons aller à notre plaisir. Il se caresse plus vite et pendant ce temps, mes caresses se multiplient pour me laisser aller à ma jouissance. Avec cet inconnu nous atteignons ensemble le septième ciel, moment sublime que l’on voudrait perpétuer .

Après quelques secondes de calme, tous les deux nous nous nous remettons de nos émotions. L’inconnu se met à pisser d’abondance puis se douche et s’essuie tout doucement, et ensuite il s’approche de la fenêtre, enroulé dans sa serviette de bain, et regarde dans ma direction et m’envoie un salut de sa main et un sourire de satisfaction.

Il ferme son rideau et je reste surprise. Il savait donc que j’étais là et que je le regardais. Je reste encore sur mon balcon pour penser encore aux bons moments que je venais d’avoir.

Lanzarotte par Timothé

Avec ma copine nous avons gagné un séjour de vacances. Nous avons pris l’avion pour Lanzarote, une charmante petite île des Canaries. Le climat était superbe, notre bungalow très confortable, bref, j’étais aux anges.

Rapidement, je me suis rendu compte que j’avais un rythme assez différent de celui du reste de ma famille. En effet, ma copine, plutôt que de profiter pleinement des plages idylliques de l’endroit passait un temps fou à roupiller comme une marmotte. Moi, je voulais profiter à fond de ce séjour. Un matin, exaspéré par l’immobilisme et les ronflements de ma copine, je la réveillais.

– Ecoute Sophie, ça me fait chier de roupiller ici toute la matinée. Je vais chercher des coquillages !. -; – Comme tu veux mon amour, à tout à l’heure
Je me renseignait auprès de la cabane administrative

– Essayez d’aller derrière la grande colline qui se trouve sur la gauche. Derrière, il doit y avoir peu de monde, contrairement à la grande plage. Avec un peu de chance, vous trouverez un coin sauvage

Mon seau à la main, je parvins donc à l’endroit conseillé assez rapidement et contournai cette espèce de grande colline de sable. Derrière, je trouvai une petite crique sympa. Effectivement l’endroit sympa. Je me mis donc à m’emparer de coquillages et de crustacés.

Au bout d’un petit moment, j’entendis des bruits. Comme un brouhaha étouffé. J’identifiai rapidement son origine. Un bosquet à l’extrémité de la crique. Je m’y aventurai prudemment. Il me fallut gravir une pente de sable pour y parvenir. J’entendis à nouveau le bruit. Il venait d’un peu plus loin en réalité. Je compris qu’il y avait une autre crique. Il me suffisait de traverser le bosquet pour la voir. C’est ce que je fis et la scène que je découvris me laissa stupéfait.

Conf voyToute une bande de nudistes avait peuplé la crique. Une quinzaine de personnes. Tout le monde était complètement nu. C’était incroyable. Je n’en croyais simplement pas mes yeux. Il y avait tout aussi bien des jeunes que des vieux. Ils étaient pour la plupart tranquillement étendus au soleil et, fort heureusement, personne ne m’avait vu. Je décidai de rester là un moment pour les observer.

Les silhouettes étaient parfois amusantes. Il y avait, notamment un vieux beau tout bronzé. Celle qui devait être sa compagne était ses côtés, une belle brune aux cheveux bruns coupés courts, elle devait avoir dans les cinquante ans sinon plus mais affichait une belle prestance et des seins magnifiques. Et elle était chaude, comme je pus le remarquer rapidement. Elle glissa sa main vers la queue du mec et se mit à la lui caresser

Franchement, pensai-je, elle ne manque pas de culot.? En effet, j’étais convaincu que les nudistes se contentaient d’aimer être nus, mais que ça n’en faisait pas des gens plus portés sur la chose que les autres. Soit je m’étais trompé, soit j’étais tombé sur un groupe un peu particulier.

La belle mature continua un moment à caresser la queue du mec, avant de finalement l’empoigner vigoureusement.

Nooooooon ! me dis-je. C’est incroyable.? Elle le branlait, on ne pouvait pas dire autrement. Elle le branlait comme une damnée avec toute son énergie. Deux hommes et une femme se sont levés et sont approchés du couple. L’un des hommes se branlait carrément. Il avait une jolie bite.

J’étais halluciné, et ce n’était que le début. Pendant que le vieux beau restait couché, presque amorphe, sa partenaire s’excitait de plus en plus. Elle lui grimpa dessus, fesses du côté de sa bouche, et se mit à le sucer. C’était un rêve ! J’étais en train de mater une fellation de nudistes. Et je restais le regard fixé là-dessus et la bite toute raide Je ne parvenais pas à m’en détourner.

Je continuais à mater. D’autres personnes s’étaient levés et les voyeurs formaient maintenant un cercle autour du couple mature.. L’une des voyeuses s’empara de la bite de son voisin et commença à le masturber. Un mec pelotait les fesses d’un autre qui se laissait faire avec un sourire béat.

La mature du sentir que le vieux beau était près d’éjaculer, elle dégagea la bite au moment où il fit jaillir son sperme, elle en reçut partout, sur le visage, sur les seins et ça l’a fit rigoler

Elle resta immobile, les jambes écartées puis fit un singe de la main invitant qui le voudrait à venir la baiser. Un type profita de l’occasion (si l’on peut dire) et vint la sauter, tandis qu’n deuxième attendait son tour. Un peu plus loin l’homme qui se faisait peloter les fesses était maintenant en train de sucer la bite de son comparse. Je n’en pouvait plus, et me mit à me branler, arrosant de mon sperme le sable chaud.

Je compris bien sûr que j’étais tombé sur un groupe de joyeux obsédés du cul qui se réunissaient ici pour mêler plage et sexe tranquillement. J’étais convaincu que si je restais, je verrais d’autres scènes bien chaude, mais pour l’instant j’étais rassasié.

Quand je revins, Sophie m’interpelle :

– Alors la cueillette a été bonne ? Mais dis-moi : t’as l’air bien pâle, t’es blanc comme un linge.

Je lui répondis la première bêtise qui me vint à l’esprit :

Sans doute l’odeur des moules qui m’est montée à la tête !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Samedi 30 mars 2024 6 30 /03 /Mars /2024 13:28

La suceuse de clown (Coutumes, mœurs et métiers d’antan) par Ursulin Neveway

Elle était là, en coulisse attendant le retour de Dario, Mimile et Pipo qui pendant 20 minutes se faisaient humiler par le vilain clown blanc. Il fallait bien qu’après, ils déstressent, heureusement Gloria était là et faisait ce qu’il fallait pour ôter leur stress.

suce clown
Gloria c’est mieux qu’un qu’un Xanax !
Hélas la pudibonderie et le putophobie ambiante ont mis au chômage Gloria et ses charmantes collègues. C’était pourtant le bon temps !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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Samedi 23 mars 2024 6 23 /03 /Mars /2024 08:04

Les chaleurs de Jodelle par Belle-cour

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Je dois tout d’abord nous présenter : moi Antonin jeune informaticien 30 ans et vivant en province, et aimant le sexe. Jodelle ma femme (même si pour le moment ne sommes pas marié) est brune cheveux presque au carré, les yeux bleus, 1m 70; une belle fille, 90B et un bon cul. Elle est prof d’histoire dans un lycée, ce n’est pas une sportive mais une véritable intello à lunettes.

Je vais donc vous narrer une anecdote un peu coquine… non… très coquine !

Ce jour-là en quittant le boulot, je fus invité à faire une belotte avec mes collègues: Jocelyn, Mathieu et René. Les deux premiers ont comme moi presque 30 ans et René lui est plus vieux, 45 ans je crois.

Tout en jouant, comme d’habitude on parle de cul, comme quand plusieurs males sont ensembles. Et que je fantasme sur celle-ci et sur celle-là… toutes les nanas du boulot en prennent pour leur grade, ou plutôt leur cul.

René pour pimenter la partie propose de jouer avec du fric, moi bon joueur je ne doute de rien et c’est partie pour 5 euros le point. Faite le calcul, ça grimpe vite

Mathieu et moi avons perdu pas mal de fric et ce dernier m’en veut d’avoir accepté :

– Tu es un vrai con, voilà; on a perdu…
– Ne t’inquiète pas…

Je propose alors à mes collègues de venir diner chez moi, afin que le repas solde le compte… ils acceptent

8 heures, on arrive chez moi, Jodelle n’est pas au courant que je débarque avec mes potes ! Je ne vous dis pas la tête qu’elle a fait en nous voyant:

– Mais que ce passe-t-il ?
– Ecoute ma chérie, j’ai perdu à la belotte alors j’ai invité mes potes chez nous à diner; c’est comme un gage.
– Ah, mais tu sais il n’y a pas grand-chose au frigo, on peut commander des pizzas ça vous va les gars ?

Ça leur va ! On passe la commande par téléphone… Mais ça ne les empêchent pas de déshabiller Jodelle du regard.

Elle est très belle ce soir avec sa petite robe noire à bretelles, bien décolletée et sans soutif.

Jodelle nous prépare l’apéro, et quand elle se penche, elle laisse entrevoir ses petits tétons brun doré. Je vois mes potes qui se rincent l’œil mais que faire ? Je me dirige avec elle dans la cuisine pour lui dire de faire attention, car elle a en face d’elle trois obsédés qui sont en fait de véritables baiseurs fous. Mais elle ne tient pas compte de ma remarque et retourne au salon dans la même tenue.

C’est à ce moment que René commence les « hostilités »:

– Jodelle, je peux te tutoyer ?
– C’est déjà fait… mais tu peux continuer !
– Tu sais Jodelle, Antonin il a perdu et il nous a promis un gage…
– Oui le repas… il me l’a dit…
– C’est-à-dire… on pensait à autre chose…
– Quoi donc ?
– Hi, hi, tu ne devines pas ?

Je suis alors intervenu voyant que mon collègue était insistant et par crainte que cela dégénère. Mais Jodelle me coupe :

– Laisse René parler ! Précise ta pensée, René ?
– Non rien
– Si, dis-moi !
– Laisse tomber !
– Tu pensais à des choses sexuelles peut-être ?

Une réflexion qui jeta un froid ! Mais René ne désarme pas

– Tu serais contre ?
– M’enfin !
– Je suis pourtant presque sûr que tu en mouilles d’envie.

Elle rougit et vient vers moi. Excité comme un fou je lui dis

– Laisse toi aller, si tu veux ma chérie. Moi, ça ne me gêne pas !
– O.K., mais ne viens pas te plaindre après…
– Mais non !

Elle revient vers René, le toise d’un air provocateur !

– Tu voulais du sexe, alors déshabille-moi !

René, d’un mouvement brusque lui fit descendre la robe, ma femme se retrouva devant nous les seins à l’air et en string. Elle se laissa faire. René lui pris un sein en bouche pendant que je lui caressais le cul. Jocelyn et Mathieu s’approchaient d’elle :

– Ouah qu’elle est bonne !
– Je suis sûr qu’elle suce comme une reine !
.
Ils enlevèrent leur pantalon et pendant que Jodelle se faisait sucer les tétons par René, et moi je lui caressait la chatte à travers son string. Elle commença à; gémir. Mathieu et Jocelyn sortirent leur membre et s’approchaient de Jodelle. Elle prit une queue dans chaque main et commença à les masturber comme jamais. Ma femme était en ce moment une vraie chienne en chaleur. Je lui enlevai son string pour bien la doigter. C’était tout trempé. René qui s’improvisait leader de la petite bande dit :

– Petite pute mets-toi à quatre pattes et tu vas t’ouvrir.
– Oui, oui, traite-moi encore de pute !

Jodelle exécuta son ordre, il se plaça devant elle et lui offrit sa bite à sucer. Un membre d’une bonne taille par rapport au mien (très large). Jodelle le pris en bouche avec un peu de mal. Pendant ce temps les deux autres admirent la chatte apparente de Jodelle car elle est rasée et ne cache plus rien. Mathieu commence à la lécher et Jocelyn et moi lui caressons les tétons tendus de plaisir. J’entendis soudain qu’elle lâchait un petit cri, car Mathieu lui avait fourré sa queue sans la prévenir elle fut surprise, et pendant ce temps René continuait à se faire sucer. Il lui dit :

– Je vais t’arroser la bouche, je n’en peux plus ! Tiens prend ça, chienne…AHHH !

René lui tient la tête afin qu’elle puisse garder sa queue en bouche.

– Avale ! Morue !
– J’avale si je veux ! Se rebelle-t-elle en crachant le sperme ! Je suis chez moi et ce n’est pas toi qui va me donner des ordres.
– Je suis désolé ! Répond René qui ne s’attendait pas à cette réaction.
– Eh bien si tu es désolé, tant mieux !

Pendant que Mathieu la lime toujours en levrette, Jocelyn lui ouvre le petit trou avec son index. Elle se laisse faire et quand ce dernier présente sa bite devant son trou dilaté, elle s’écrie !

– Oh, oui, encule-moi bien !

Jodelle CopieEt il vient lui fourrer sa tige dans le cul. Ils la prenaient en double les salauds, mais cela ne dura pas, ils ont joui ensemble dans les deux trous de Jodelle. Quelle chienne ma femme ! Pour ma part après ma longue branlette je viens me placer derrière et je l’ai enculé à; mon tour, elle est si pleine de mouille et de sperme que mes va-et-vient glissèrent à merveille. Je sorti ma queue et me plaça face à Jodelle et lui dit :

– Prend moi en bouche ma chérie, et avale !

Je lui lâchai ma sauce dans la bouche et sur les lèvres, au grand dam de René qui n’avait pas eu droit à cette faveur et elle me nettoya ma queue polluée de sperme et d’un peu de merde avec gourmandise.

Le livreur de pizza sonne, Jodelle se revêt d’une robe de chambre, va ouvrir. Tout le monde ensuite se rhabille et on prépare la table.

– Eh, les mecs, vous n’oubliez rien ? Lance Jodelle à mes collègues.

Ils se regardent tous les trois sans comprendre, moi non plus je ne comprends pas bien

– Vous m’avez considéré comme une pute on est bien d’accord ? Annonce Jodelle
– C’est par jeu… bredouille Mathieu.
– Ça ne me gêne pas de faire la pute, seulement il y a un détail que vous avez oublié. Reprend ma femme.

Encore une fois personne ne comprend….

– Ben les putes, ça se paye, alors aboulez la monnaie.

René a été le premier à sortir un billet de son portefeuille, les autres ont suivi…

– Merci les gars, maintenant on peut trinquer !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Dimanche 25 février 2024 7 25 /02 /Fév /2024 11:40

Confessions bisexuelles – 2
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Trio bi improvisé par Lucas

Je suis depuis 8 mois conseiller en communication après du directeur de l’entreprise Carlson. Quand ce dernier fit valoir se droit à la retraite, Janice Massouilier sa fille le remplaça.
Je la connaissais un peu. Elle m’appela alors et me demanda si j’étais intéressé pour continuer à assumer cette tâche. J’acceptais parce que j’étais flatté et que je me disais que j’aurai souvent l’occasion de la voir. En effet, cette femme de 56 ans possédait sur moi un ascendant que j’avais du mal à m’expliquer. De longs cheveux blonds décolorés, des yeux noisette, un joli nez légèrement retroussé, elle s’habillait de manière bourgeoise avec souvent des fourrures, un maquillage soigné, des toilettes de marque des escarpins noirs et des fragrances opiacés. Notre collaboration commença sous les meilleurs hospices, nous travaillons souvent ensemble, je lui écrivais ses discours…
Souvent en rentrant chez moi, je me masturbais en pensant à elle, me rappelant le moment où j’avais frôlé sa jambe gainée de soie au prétexte de ramasser un stylo. Janice sentait cette attraction. Elle l’a titillé de manière discrète afin de jouir de ma tension permanente. Et, un jour sortant d’un restaurant alors que nous étions légèrement grisé par l’alcool, elle me coinça dans l’ascenseur. M’embrassant à pleine bouche sa main glissa pour tâter mon paquet. Nous prîmes sa voiture et me conduisit chez elle affirmant :
– Ce soir, tu passes à la casserole !
On se déshabilla rapidement, s’installant dans une espèce de boudoir avec divans à velours. Je me régalais de la vision de sa jolie poitrine que je caressait frénétiquement et dont j’embrassais les bouts tendus. A ce moment précis j’étais prêt à tout pour elle. Elle me regardait d’un air de dominatrice, vêtue uniquement de sa fourrure, de sa lingerie, de ses bijoux et de son string..
– Tu as envie hein, ça fait longtemps…Lèche-moi; m’intima t’elle, en écartant le tissu de son string perle.
Son sexe était glabre et son clitoris légèrement proéminent. Je commençais à passer ma langue sur ce qui dégoulinait de désir. Elle m’encourageait !
– C’est ça mon cochon, boit, régales-toi !
Elle appuyait ma tête avec sa main, tout en me caressant. Je m’étourdissais de son parfum, ses odeurs musquées, le crissement de ses bas. Je lui dit
– Fais de moi ce que tu veux, humilies-moi. je m’abandonnes à toi totalement…
– Vraiment ! Me dit-elle avec une voix étrange. Mets-toi à genoux devant moi, tu vas boire ma pisse !
J’ouvrais la bouche, me régalant de cet insolite jet doré à la saveur exquise.
– Et maintenant surprise !
Elle appela alors. Armand…
– C’est mon mari, ça fait longtemps que je voulais me régaler d’un petit trio ! Tu es d’accord ?
Je m’entendis murmurer un vague  » oui ».
Armand descendit son pantalon, arborant une bite en étendard. Une jolie bite !
– Suce, petite salope
Dans un état second, je portais ma langue sur son pénis avant de l’engouffrer dans mon palais et de la sucer comme on voit le pratiquer dans les vidéos pornos.
– Tu sucs bien, petite lopette, relève-toi à présent
Je senti une main derrière moi qui palpait mes couilles, passait un doigt sur ma raie, commençait à la lubrifier. Janice me dit !
– Respire c’est du poppers et détends-toi. Tu vas voir après tu en redemanderas !
Je pris une bouffée du flacon. Je sentit mon anus s’ouvrir. Armand pointait son sexe, le frottait. Puis il commença de n’emmancher, de me prendre, doucement, langoureusement. Douloureux au début, une chaleur intérieure intense commencer de monter
– C’est bon hein, dis-le ! Soufflait Janice, tandis que j’entendais Armand, ahaner derrière moi. Au bout de vingt minutes Il se lâcha dans le préservatif. Je léchais encore la perverse Janice un petit moment avant de l’enculer sous les yeux du mari.
Ce soir-là, j’étais devenu un suceur de bites et un enculé… Même pas honte !

Conf bi2
Soirée à gages par Ludovic

Nous étions huit, trois filles et cinq garçons, José nous avait proposé de jouer a un jeu de question réponse avec gages, il avait à ce propos préparé des gages sur des petits papiers pliés en quatre dans plusieurs petites soucoupes. Je n’ai su qu’après qu’il avait truqué le jeu. Cela a commencé par des gages soft, ainsi Marlène dû nous montrer sa chatte… ensuite cela devint plus hard, et Carla du sucer la bite de Jean-Loup… Puis ce fut a mon tour d’être incapable de répondre à une question. Je choppe donc un gage, on tire le papier : « Tu dois te faire enculer devant tout le monde ! ». Je proteste, indiquant que ça allait trop loin et je me fais insulter « Mauvais joueur, dégonflé… » Je m’apprêtais à quitter cette bande de pervers et fit signe à ma copine de venir. Mais au lieu de me suivre elle me dit : »Fais-le ça va pas te tuer. » « Pas question ». « Alors fous le camp, moi je reste. » Du coup me voilà bien embarrassé, pas envie de me fâcher avec ma copine, mais pas envie de me faire enculer. C’est cornélien ! Quelques secondes d’hésitation, l’assistance me chambre : « Allez Gilou, allez Gilou… »Alors j’ai baissé mon pantalon, José s’est recouvert d’une capote, m’a enduit l’anus de gel et m’a pénétré sous les quolibets de mes amis. Après un moment de gêne ou mon cul semblait refuser cette présence inattendue, j’ai ressenti un certain plaisir, on me traitait de tantouse, de tafiolle, de pédé, » mais je m’en foutais, je venais de découvrir quelque chose et j’étais bien.. « T’aime ça la bite, hein ! Me narguait Norbert ! « Oui, oui, c’est trop bon » Et il vint devant moi m’invitant à lui sucer la bite ! Je n’ai même pas hésité… en fait je devais avoir des prédispositions cachées. Maintenant j’assume, avec ma copine on se tape des soirées bisexuelles, et je suce, je me fait pendre pendant qu’elle se fait brouter le minou par ses copines.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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