Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:30

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 4 -La cérémonie
stamp rousse

Intermède – Lukas

Cette fois son frère l’a mieux briefé, il lui faut faire deux choses, sélectionner une jeune femme possédant des taches de rousseurs, puis une fois à bord de la voiture, se débarrasser de son téléphone portable.

Il se dirige vers la sortie de Malibourg que les automobilistes voulant se rendre à Paris empruntent avant de gagner l’autoroute.

Une rouquine en pantacourt, frisée comme un mouton fait du stop avec un carton marqué Paris.

« Trop la chance ! »

Il s’arrête.

– Bonjour, vous pouvez me conduire à Paris ?
– Bien sûr, ! Répond-il en descendant. Attendez, vous avez une grosse poussière au coin de l’œil !
– Ah bon ?
– Je vais vous passer un mouchoir en papier.

La diversion n’avait pour but que de vérifier si la demoiselle possédait bien les petites tâches requises.

« Pouah, elle n’est pas à jeun, la nana, son haleine pue la bière ! Comment on peut boire des horreurs pareilles ? »

Lukas loge le sac à dos dans le coffre arrière et démarre.

– Je m’appelle Jenny, et vous ?
– Moi c’est Lukas !
– Je suis un peu pompette, ça ne vous dérange pas ?
– Non, non !
– Je vais peut-être dormir, je suis crevée.
– Dans la voiture ?
– Ben, oui dans la voiture !,
– Vous seriez mieux dans un bon lit ?
– Vous êtes marrant vous, vous allez me proposez le vôtre? C’est ça ?
– Pourquoi pas ?
– Et comme ça vous pourriez me baiser ? Vous allez vite en besogne, vous.!
– Vous savez la vie est courte, surtout pour les humains ! Moi je m’en fous, j’ai le temps, je suis un mutant !
– On me l’avait jamais faite, celle-ci !
– Normal, il n’y a pas beaucoup de mutants.
– Si vous voulez me baisez, je veux bien, mais il faudra me donner un petit billet !
– Vous êtes une pute, alors ?
– Oh ! De façon très occasionnelle.
– Bon on y va ! Vous pouvez me prêtez votre téléphone, j’ai oublié le mien et je voudrais regarder le résultat du match !
– Le match ? Quel match ?
– Ben le match, quoi !
– Hum, ce doit être un drôle de match ! Répondit-elle en lui passant le portable

Lukas fit passer le téléphone sur sa gauche, puis profita d’un moment de distraction de Jenny pour le balancer par la vitre.

Arrivée au repaire, il lui présente sa famille.

– Malvina ma maman, qui est aussi la reine des mutants en exil, mon frère Viktor, ma sœur Corenta et Annabelle, une salope qui est à notre service.
– Vous m’avez l’air tous un peu spécial !
– Tu veux qu’on baise devant tout le monde ou tu préfères qu’on s’isole ? Demande Lukas à la petite rousse.
– Un peu d’intimité quand même…
– Bon on va monter !
– Tu t’occupes de tout ? Lui demande son frère !
– Je sais ce que j’ai à faire ,je ne suis pas un gamin !
– Bon, alors bonne bourre !

Lukas n’a rien d’un gentleman, une fois en chambre, tout en se déshabillant, il interpelle la jeune fille :

– Elle te plait ma queue ?
– Ben c’est une queue, quoi !
– T’apprécie pas ?
– Mais si, mais si !
– Alors, à poil !
– Attends un peu, je fumerais bien une cigarette.
– Non, j’ai envie de te baiser tout de suite.
– Bon, bon ! J’arrive.

Jenny se déshabilla sans trop de se presser.

– Ça va, je te plais ?
– Ça ira !
– T’es pas vraiment romantique, toi !
– Ça ne sert à rien le romantisme !
– Ah, bon ? Je me mets comment ?
– Tu me suces un peu et après je te prends en levrette.
– Oui mais pas dans le cul !
– Si, justement, dans le cul !
– Elle est trop grosse tu vas me faire mal.
– Ta gueule, suce !
– T’es d’un romantisme, toi !
– Bien sûr que je suis un romantique, d’ailleurs j’ai envie de t’embrasser dans le cou.

Lukas ouvrit une large bouche et mordit brièvement la jeune fille.

– Aïe, tu m’as mordu, t’es con ou quoi ?
– C’est rien du tout, allez suce !

Jenny eut alors l’idée (classique) de le sucer si bien qu’il jouisse dans sa bouche, cela afin d’éviter une sodomie qu’elle craignait douloureuse.

Alors elle sortit le grand jeu : mouvements de langue, pompages effrénés, titillement du gland, gobage des couilles… Et elle met tant de cœur à l’ouvrage qu’une impertinente goutte de pré-jouissance finit par venir perler à la sortie du méat.

Aurait-elle gagné son challenge ! Que nenni ! Lukas se dégage et ordonne à la pauvrette d’adopter la bonne position pour la pénétration anale.

– Pas dans le cul, je t’ai dit…
– Tu n’as pas confiance ? Tu me prends pour qui ? S’énerve Lukas.
– Je ne veux pas, c’est tout !

Et de façon tout à fait inattendue, la pauvre Jenny se ramasse deux baffes en pleine poire. Davantage vexée qu’endolorie, elle se met à sangloter.

– C’est ça, chiale, tu pisseras moins !

Puis comprenant qu’elle n’aura pas le dessus, elle se met en position, non sans avoir de son regard projeté toute sa haine vers le jeune homme.

La sodomie fut rapide, mais comme prévu, elle fut douloureuse.

– Je t’avais dit que tu me ferais mal, pauvre crétin, Regarde, tu m’as déchiré le cul !
– Pisse un coup ça ira mieux après !
– N’importe quoi !
– Si, si c’est prouvé scientifiquement, uriner, ça fait partir le stress.
– Je vais y aller alors !
– Pas la peine, il y a un broc dans le coin, tu n’as qu’à pisser dedans.
– N’importe quoi !
– Fais ce que je te dis !
– Non, je vais aller aux toilettes.
– Tu veux trois baffes ?
– Bon, bon !

Ce fut donc la première fois de sa vie que Jenny pissait dans un broc. Il y a toujours une première fois

Lukas se rhabilla prestement et quitta la chambre.

Sans perdre de temps, Viktor profita du retour de la voiture pour s’en aller chercher les gadgets réclamés par Malvina.

J’avais hâte que cette cérémonie débile se déroule et que je puisse enfin avoir l’occasion de quitter cette bande de cinglés.

Viktor revient assez vite avec tous les accessoires demandés mais il fallut attendre que Lukas redescende et que son frère analyse son urine.

– Elle fait quoi la nana ? demande ce dernier.
– Elle roupille !
– Tu ne l’as pas mordu trop fort, j’espère !
– Tu m’énerves, va contrôler toi-même si tu ne me crois pas
– Je vais me gêner, tiens !
– Du calme les garçons, Corenta va voir là-haut si tout est normal.

Corenta redescendit quelques minutes plus tard assurant le petit groupe que Jenny n’avait été mordu que superficiellement et ronflait comme un loir.

La présence de Jenny me pose un problème moral, si je parviens par la ruse à faucher compagnie à cette bande de guignols, je ne peux décemment laisser cette pauvre fille entre leurs mains. Mais comment faire ?

– Dis-moi Lukas, lui demande sa mère, est-ce qu’elle suce bien ?
– Ah ! C’était pas mal !
– Oui, mais est-ce quelle suce mieux que moi ?
– Oh, non maman, toi tu es la reine des suceuses de bites !

Et sur ces entrefaites, Viktor revient tout joyeux :

– C’est bon, T’as assumé sur ce coup-là, Lukas, pour une fois !
– Hi ! Hi !
– Je vais avoir une récompense alors ?
– Bien sûr tu l’as bien mérité, qu’est ce qui te ferait plaisir ?
– Il y a longtemps que je ne t’ai pas enculé, Maman !
– D’accord on fera ça ! Mais d’abord la cérémonie, les garçons et Corenta : allez vous mettre en tenue !
Leurs tenues tiennent du bricolage de carnaval, un grand tee-shirt blanc sur lequel ont été dessiné des machins incompréhensibles..

On recouvre la table d’un drap blanc pour figurer un autel, on dispose les cierges et on m’invite à m’y allonger, complètement nue comme on peut bien s’en douter.

On me fait boire un machin liquoreux, un peu comme du Porto mais en plus amer. C’est très fort ce truc, ça me rend un peu pompette, mais je reste consciente.

Malvina s’approche, retire son tee-shirt et s’alonge sur moi, la pointe de ses seins balaie mon corps, c’est très agréable, très sensuel, très érotique. On s’embrasse, elle me pince les tétons, tandis que je sens une langue me lécher ma touffe, j’essaie de tourner ma tête pour voir qui c’est.

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– C’est Corenta ! Me précise Malvina, ce n’est pas encore le tour du chien !

Pourquoi me parle-t-elle du chien ? Mais je ne trouve pas les mots pour le lui demander.

A deux mètres sur ma gauche, Lukas est en train de sodomiser son frère lequel éjacule dans le calice rapporté de l’église. Il tend ensuite le calice à Malvina qui pisse dedans.

– Bois, juste une gorgée !
– C’est quoi ?
– Pisse de salope et sperme d’enculé.

N’importe quoi, mais j’en avale un peu. Corenta trempe ensuite une ostie dans le calice et me la fait avaler.

Ça va durer longtemps ces conneries ?

Corenta allume les deux grosses bougies attend un moment que la cire commence à fondre puis sans prévenir me fait couler la cire sur mes tétons. Je crie mais davantage de surprise que de douleur, la sensation de chaud restant très supportable. N’empêche que j’ai maintenant mes bouts de seins pris dans une gangue de cire solidifiée. On fait plus joli !

Malvina revient vers moi et s’assoit sur mon visage, j’ai carrément son gros cul sur ma bouche. Ça ne sent pas précisément la rose, elle a dû oublier de s’essuyer quand elle est allée faire caca. Je n’attends pas qu’on m’ordonne de lui lécher l’anus, je le fais spontanément et j’y prends du plaisir. Des fantasmes scatos me remontent à l’esprit, je crois que si en ce moment elle me chiait dans la bouche, je me laisserais faire. Mais cela ne devait pas être dans ses intentions.

Et voilà qu’on me lèche à nouveau la chatte, de grands coups de langue, ce n’est ni Corenta qui est restée à mes côtés, ni Malvina qui est près de moi sur ma gauche. Pas les garçons non plus qui sont allés s’assoir un peu plus loin ! Alors qui ? Jenny ? Mais je la croyais endormie.

– Lèche-là bien mon toutou, après c’est elle qui va te sucer !

Quoi ? qu’entends-je ? C’est donc le chien qui me lèche. Je vais pour protester, je n’en ai pas la force, alors je m’abandonne à cette caresse contre nature que je fini par trouver très agréable.

On me fait mettre à quatre pattes sur l’autel improvisé, Malvina y fait monter le chien, l’excite en le caressant sous le ventre, puis fait apparaître entre ses pattes de derrière une bite rouge et bandée.

-Tu dois le sucer maintenant ! Me dit Malvina.

Non, mais ça va pas non ?

– Juste un petit coup de langue, c’est pour le symbole ! Ajoute Corenta.

Si c’est juste un coup de langue, je peux le faire… en fermant les yeux, ensuite on me foutra peut-être la paix.

J’ai donc approché timidement ma bouche et j’ai donné un très bref coup de langue.

– Non mieux que ça quand même ! Me dit Corenta.

Je me disais aussi…

– Regarde comment je fais ! Continue-t-elle et joignant le geste à la parole, elle embouche la bite de l’animal devant mes yeux subjugués.

Alors, l’effet d’engrenage fonctionna à fond et quelques minutes après je me surprenais à pratiquer cette fellation hors-nature avec un certain plaisir trouble, celui de transgresser un tabou tenace.

– Et maintenant il va te baiser ! M’informa Malvina.

Ben voyons, pendant qu’on y est, il n’y a pas de raisons…

Et curieusement j’acceptais cette situation, je me demandais ce que ça pourrait bien me faire d’être baisée par un chien.

Drôle d’impression, comme celle de se faire baiser par un vibromasseur bloqué sur sa plus grande vitesse, les coups de boutoir sont terribles et ils arrivent à me faire jouir rapidement puis plusieurs fois de suite. Je jouis en me faisant baiser par un chien, je suis vraiment une grosse salope !

Et alors que j’étais encore en plein trip, on a fait dégager le chien (pour ne pas que je reste coincé m’expliquera-on plus tard).

On me relève, on m’enlève la cire agglutinée sur mes tétons, on me passe une nuisette rose à moitié transparente et on me donne à boire. Tous ces messieurs dames se prosternent devant moi.

– Gloire à la princesse ! S’écrièrent-ils

Tu parles d’une princesse ! Je suis fatiguée et j’ai besoin d’une bonne douche, mais je me sens merveilleusement bien.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:28

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 3 – Corenta

bisou1719

J’ai donc été sélectionnée par ces dingues en raison de mes quelques taches de rousseur sous les yeux et autour du nez !

– Ça devrait être bon ! S’exclame Viktor en revenant dans la pièce.
– Déjà !
– Ce n’est pas fini, mais la couleur est bonne, l’odeur aussi !
– Eh bien voilà une excellente nouvelle ! S’exclame Malvina, tu vas donc rester avec nous pendant 33 ans !

Le délire continue, mais au moins, ils n’ont pour le moment apparemment pas l’intention de me maltraiter, alors je décide de jouer le jeu, il faudra bien qu’à un moment ils relâchent leurs attentions. Je suppose qu’ils ne vont pas dormir à tour de rôle en prenant des tours de garde, rien que pour mes beaux yeux !

– Je suppose que tu as envie de te reposer ! Me dit Malvina, nous avons une chambre d’amis, Corenta va-t’y conduire..

C’est vrai que je suis crevée avec toutes ces émotions, mais je ne sais pas si j’arriverais à dormir. Ma priorité étant de fausser compagnie à cette bande de cinglés.

On me rend mon sac à main et je suis Corenta dans l’escalier, puis dans un couloir, j’entends des ronflements derrière une porte.

– C’est Madame André, la propriétaire, elle ronfle très fort !
– Ah bon !

Corenta m’ouvre une porte.

– C’est là, le lit est fait, les draps sont propres.

C’est peut-être propre, mais ça sent le renfermé.

– Faut peut-être aérer un peu ! Fis-je remarquer.
– Pas possible, la fenêtre est cassée ! Les toilettes c’est la porte du fond ! T’as besoin de quelque chose ?
– Je boirais bien un verre de flotte !
– Je vais m’en occuper ! Je m’excuse pour la gifle de tout à l’heure, mais je ne pouvais pas faire autrement !
– Ben voyons !
– Et un câlin ça te dirait ?
– Pardon ?
– Oui, un câlin pour me faire pardonner. J’ai la peau très douce et il paraît que je lèche très bien ! J’adore lécher les chattes.
– Non, merci !
– Tu as tort ! Tu vas rester un bon bout de temps avec nous, autant que ça se passe le mieux du monde.
– Je ne suis pas gouine !
– On l’est toutes un peu !
– Pas moi !
– Je vais quand même te montrer ce que tu rates !

Et, hop, la voilà qui se débarrasse de sa robe sous laquelle il n’y avait que son corps nu. Faut avouer qu’elle est canon, la fifille. Dommage cette peau trop pâle, quoi que ça lui donne un genre.

– Alors t’en dis quoi ?
– T’es très belle, mais les filles, c’est pas mon truc !
– Tu préfères que j’appelle mes frères ?
– Ah, non, sûrement pas !
– Tu ne les connais pas, Lukas est un peu rustre mais il a un bon fond, quant à Viktor, il est adorable et il a une très jolie bite. Mais si tu veux les éviter, le meilleur moyen c’est de leur faire savoir qu’on couche ensemble.

Elle commence à me les gonfler, la blondinette !

Ouvrons une parenthèse, chers lecteurs, vous voudriez, j’en suis sûre en connaitre davantage sur ma sexualité ! Patience tout viendra à temps si on sait attendre ! Mais bon, nous sommes dans un récit érotique, et dans les récits érotiques, toutes les femmes sont bisexuelles, c’est bien connu ! Pourquoi voudriez-vous que je déroge à cette règle ! C’est tellement beau deux femmes ensemble, ça fait bander les mecs, et ça excite ces dames !

Alors, oui, je n’ai rien contre les femmes, même si je préfère une bonne bite, mais je ne couche pas non plus n’importe quand avec n’importe qui !

– Touche moi juste un peu les seins et après je te laisse !

Je n’y crois pas trop, mais on ne sait jamais… Alors j’ai avancé la main vers son sein gauche. C’est doux, très doux !

– L’autre va âtre jaloux !

Allons-y pour l’autre…

– Tu peux toucher les tétons j’aime bien !
– Tu m’avais dit que tu me laisserais…
– Et tu m’as cru ?
– En fait, non !
– Alors pourquoi tu m’as touché ?
– Tu sais que tu es chiante ?

Et soudain l’idée, mon plan d’évasion est très vague, mais si je pouvais gagner la confiance de cette blondasse… je n’y crois pas trop, mais ça ne me coûte pas grand-chose d’essayer. Alors je joue un peu la comédie.

– Je peux te les lécher, tes seins ?
– Ma bien sûr ma chérie, je te les offre ! Me répond-elle.

Alors j’y vais carment, je lui aspire carrément le téton et quand j’ai terminé avec le droit, je m’occupe du gauche.

Je souffle un peu, et c’est au tour de Corenta de se jeter sur moi, de me dégager mon haut et de me dépoitrailler. Une vraie furie.

– Tu peux pincer, mais pas trop fort ! La prévins-je.
– Ne t’inquiètes pas, je n’ai jamais abîmé personne.

Et après cette « néné-partie », c’est tout naturellement que nous sommes retrouvées sur le plumard. J’ai écarté les jambes et l’ai laissé s’occuper de mon minou, ce qu’elle fit avec une langue diabolique.

Elle s’interrompt un moment. Mais pourquoi donc ? C’est pur venir me rouler une pelle, mademoiselle est donc très affectueuse. Tant mieux, si ça peut faciliter mon projet d’évasion. Et après ce baiser bien baveux, elle a voulu s’occuper un peu de mon petit trou intime.

Là, elle m’a fait la totale, jeu de langue sur ma rosette (c’est trop bon) et introduction d’un doigt coquin qu’elle fit aller et venir comme il se doit.

Annabelle03Après ces fantaisies anales, Corenta a repris son léchage de minou, et cette fois, elle n’a pas trainé, en moins de cinq minutes je jouissais comme une malade !

Elle m’a évidemment demandé lui rendre la pareille, c’est la moindre des choses n’est-ce pas ?

Je me suis donc occupée d’abord de son petit trou au goût un peu acre avant de rendre hommage à sa chatte au gout de miel ! Un régal, j’ai fait durer le plaisir tant que je pouvais avant d’attaquer son clito que je ne pouvais décemment laisser dans cet état.

Et gros bisous pour finir ! Me suis-je fait une copine ? L’avenir très proche me le dira ?

Ça y est, elle est repartie, Voyons voir cette fenêtre ! Effectivement elle est bloquée de chez bloquée. Je ne m’évaderais donc pas par la fenêtre. Je sors de la chambre, me retrouve dans le couloir. Je descends les escaliers à pas de loup, le salon est resté allumé et ces messieurs dames font la causette ! Ils dorment quand ces gens-là ?

Bon, je vais attendre, je retourne dans ma chambre. Privée de téléphone, je ne peux prévenir personne, il va falloir que je me débrouille pour en trouver un…

Dimanche

Mais où suis-je ? Je viens de me réveiller et les événements de la veille me reviennent en mémoire. J’ai ronflé comme un bébé, vaincue par la fatigue. Pourquoi suis-je à poil ? Je n’ai pas dû me rhabiller après avoir baisé avec Corenta. Du coup, j’enfile mes vêtements afin de gagner les toilettes.

Ouf ! Ça fait du bien de pisser un coup ! Je descends l’escalier, il n’y a plus personne dans le salon, super la voie est libre ! Je retourne chercher mon sac à main, je redescends, me dirige vers la porte en espérant qu’elle ne soit pas fermée à clé. Non un simple verrou et me voilà dans la courette. ! Plus que 20 mètres et je serais dehors. Reste la grille…

Celle-ci est verrouillée, probablement par un dispositif électrique, et à côté se sont des grillages assez classiques d’environ 2 mètres de haut. Je n’ai rien d’une sportive de haut niveau, mais franchir cet obstacle ne me semble pas insurmontable. Ma liberté vaut bien quelques égratignures.

Je prends mon élan, pour gagner quelques centimètres, je m’élance, m’agrippe, je me fais horriblement mal aux mains. Je suis presque en haut, là ça devient difficile, le grillage se recourbe et est hérissé de pointes aux extrémités, j’essaie plusieurs fois, je n’y arrive pas. Je renonce, la rage au cœur

Je vais voir à droite, puis à gauche afin de découvrir une éventuelle faille dans ce foutu grillage ! Je t’en fous, oui !

Et puis l’idée ! La faille je peux la créer ! Dans un pavillon de banlieue, on bricole, il y a donc forcément quelque part des tenailles, des pinces coupantes ou quelque chose dans le genre.

C’est risqué, je ne sais pas où je vais trouver ça, et puis il ne faudrait pas que les autres me tombent dessus. J’ouvre les tiroirs de la cuisine mais ne trouve rien qui convienne. Je tournicote, je repère trois portes… verrouillées. Ça commence à devenir compliqué !

Et puis l’idée ! Madame André, la vieille dans la chambre du couloir.

Je frappe le plus discrètement possible.

– Qu’est-ce qu’il y a ?
– Ouvrez-moi je vais juste vous demander un truc !

Miracle, elle ouvre !

– Vous êtes qui vous ? Me demande-t-elle d’une voix revêche
– On m’a hébergé pour la nuit, mais maintenant il faut que je parte, et je ne sais pas ouvrir la grille.
– C’est pas mes oignons !
– Vous ne pouvez pas me prêter la clé ?
– Je ne vous connais pas, foutez-moi la paix.

Et elle me claque la porte au nez !

Dépitée, je retourne observer le portail de plus près, ne voyant pas de trou de serrure, il se confirme donc que la fermeture est électrique. Et qui dit fermeture électrique suppose un bouton distant. Reste à le trouver.

Retour dans la cuisine, je cherche un éventuel bouton de commande, mais je n’en trouve pas. Rien dans le salon non plus. Et si c’était une télécommande ? Je fouille de nouveau dans les tiroirs. Je tombe sur un petit boitier, je le prends, et sors avec, je l’actionne, la grille s’ouvre ! Miracle !

Je m’approche de la grille, je vais pour la franchir et… Mais c’est quoi ce délire,. impossible d’avancer… Je veux dire : je peux bouger mes jambes, mes bras, mais je bute sur quelque chose d’invisible qui fait que je fais du surplace. C’est un peu la même impression que quand vous tentez de prendre un escalator à contre sens !

Mais quelle est donc cette diablerie ? Je me déporte d’un mètre sur la gauche, puis sur la droite. Non, rien à faire, j’essaie à quatre pattes, et je tente même un roulé-boulé à plat vente. Rien à faire ! Cette putain de maison ne veut pas que j’en sorte ! Me voilà fraîche !

Je suis restée comme une conne devant l’entrée pendant un quart d’heure avant de me convaincre qu’il me faudrait faire autrement pour quitter ce lieu de plus en plus bizarre.

Je suis donc rentrée, j’ai ouvert le frigo, il y avait une bouteille de rosé entamée, je m’en suis servi un verre ! Je n’allais tout de même pas me gêner, non ? Dans le buffet j’ai piqué du chocolat, des biscuits et des chips, et j’ai été grignoter tout ça dans la bibliothèque.

Elle est bien poussiéreuse cette bibliothèque, des classiques français, des Agatha Christie, pas grand-chose qui me branche, mais je prends un bouquin au hasard, faut bien s’occuper.

C’était tellement passionnant que je me suis endormie.

– Alors, ma puce ? On roupille ?

C’est Corenta !

– Faut bien que je m’occupe ! En fait j’aimerais bien partir d’ici vois-tu ?
– Je vois très bien mais c’est impossible !
– J’ai des amis, des parents, ils vont s’inquiéter…
– Pas grave.
– Comment ça, pas grave ?
– Malvina va t’expliquer

Elle va m’expliquer quoi ? Et justement la voilà la Malvina ! Toujours avec sa petite robe noire en vinyle et sa cape de vampire.

– J’ai demandé à Viktor de m’établir un état des lieux, c’est affolant, si ça continue comme ça, nous allons disparaître. Annonce-t-elle doctement.
– Ah ? (qu’est-ce qu’elle raconte ?)
– Oui, c’est pire que ce que j’imaginais, dans 10 ans, 20 ans, mais peut-être avant, nous ne pourrons plus nous cacher !

J’ai du mal à suivre.

– Viktor, explique-lui, elle est bouchée !
– Aujourd’hui la police peut retrouver disons 90% des gens qu’elle recherche, Tout le monde est tracé avec les téléphones portables, les cartes de paiements, les caméras de surveillance, et puis il y a l’ADN. Dans quelques années, ce sera 100 % de la population qui sera tracé, les récalcitrants seront probablement pourchassés comme asociaux. Et nous qu’est-ce qu’on devient là-dedans ? Hein Je vous le demande ?

Je ne vois pas quoi répondre sinon entrer dans leur jeu.

– Oui, effectivement, c’est fâcheux !
– Pire, c’est catastrophique. Et quelle solution ? Faire voter une loi supprimant les téléphones portables et les cartes bleues, c’est impossible dans une démocratie !
– Ah, oui, ça me paraît compliqué. (surtout ne pas la contrarier)
– Du temps de Louis XIV ou de Napoléon, ça aurait été possible..

Ce doit être nerveux, mais l’image de Louis XIV signant un édit interdisant les téléphones portables et les cartes bleues me fait tordre de rire.

– Y’a pas de quoi rire ! Me tance Malvina.
– Il doit y avoir une autre solution que l’interdiction… Tentais-je.
– Non ! Ce qui est nuisible doit être interdit !
– C’est un point de vue !
– Il faut donc rétablir la monarchie absolue, une fois que ce sera fait on interdira toutes ces saloperies.

Complètement givrée la Malvina !

– Et vous avez un plan ? Demandais-je curieuse de voir jusqu’où pouvait aller son délire.
– Parfaitement ! Et le plan c’est toi !
– Moi ?
– Oui, tu vas provoquer un coup d’état et mettre sur le trône je ne sais pas qui, il doit bien y avoir un descendant de Louis XIV ou de Napoléon quelque part… tu trouveras bien.

Bon, l’important c’est qu’ils me laissent sortir, si pour cela il faut que je fasse semblant d’accepter cette mission farfelue, ce ne sera pas un problème.

– Bon d’accord, je m’en occupe !
– Evidemment si tu réussis, ta position dans notre hiérarchie évoluera jusqu’à son sommet.
– Bien sûr ! Le mieux c’est que je m’y mette tout de suite…
– Ne sois pas si pressée, il faut auparavant que nous t’intronisions dans les règles et aussi que nous t’expliquons comment nous sommes organisés.

Je me disais aussi…

– O.K. Ce que je vous propose c’est de passer chez moi, me changer et rassurer mes proches, ensuite je reviens et on fait comme vous avez dit.
– Nous prendrais-tu pour des andouilles ? Me répond Malvina.

Au moins j’aurais essayé ! La Malvina n’est malheureusement pas complètement conne.

– Et puis il y a autre chose ! Reprit-elle. Au départ nous souhaitions te sélectionner comme donneuse, mais tu mérites mieux que ça… ton urine est vraiment exceptionnelle et révèle un énorme potentiel. Seulement le souci c’est qu’il va nous falloir une autre donneuse. En attendant d’en trouver une, on se servira de ton urine, tu ne pourras partir en mission qu’après.

Ça promet !

– Lukas, tu pars tout de suite nous chercher une donneuse.
– Mais pourquoi c’est toujours moi ?
– Parce que c’est moi qui décide ! Allez, exécution !.
– Oui Maman !

Et le voilà parti !

– Le plus urgent c’est la cérémonie d’intronisation ! Reprend Malvina. Viktor tu vas aller à l’église récupérer sept grosses bougies, un ciboire, et si tu trouves des hosties ce serait bien sinon on peut s’en passer…
– Mais Maman je fais comment ? Lukas a pris la voiture !
– Transforme-toi ?
– Je ne peux pas rapporter des objets en étant transformé !
– Oui bien sûr ! Il y a un vélo dans la courette !
– Mais je ne sais pas en faire !

Corenta ne sait pas non plus en faire ! C’est dingue personne ne sait monter sur un vélo dans cette famille de tarés !

Alors l’idée !

– Je peux peut-être y aller ! Proposais-je moi je sais faire du vélo !
– Sûrement pas, mais tu vas apprendre à Lukas à en faire.

Manquait plus que ça ! Mais il me vient une amorce de plan, étant donné que la courette devant la maison n’est pas du tout adaptée à l’apprentissage de la bicyclette, il faudra que l’on fasse ça sur la route, et une fois sur la route, je monterais sur le vélo pour montrer comment il faut procéder, un bon coup de pédale et je filerai la route !

Mais ça va foirer je le sens ! J’explique donc à Malvina qu’il va nous falloir aller dehors. Ce fut un refus catégorique et elle m’a demandé d’essayer d’effectuer cet apprentissage dans la courette. Evidemment le résultat fut catastrophique, il faut quand même une distance minimum pour faire ça.

– Bon tant pis, on attendra que Lukas soit de retour ! Admit-elle

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:27

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 2 – Annabelle fait du stop
stamp rousse

Et maintenant revenons au XXIème siècle !

Je suis donc Annabelle, 1 m 65, châtain clair, yeux bleus, 95 D, et on va dire que j’ai 20 ans. (quand on est jeune on a toujours 20 ans). Je ne me considère pas comme un canon, mais je plais. Je suis étudiante en histoire de l’art.

Cette histoire n’aurait jamais dû arriver, et d’ailleurs vous n’allez pas la croire, mais qu’importe, je vous la raconterais quand même.

Samedi

Je m’étais ce soir-là rendu avec mon copain à une boom à plusieurs kilomètres de ma petite chambrette d’étudiante.

Je m’étais habillée « sexy mais pas trop », une minijupe écossaise et un chemisier blanc décolleté en « V » laissant apparaître la naissance de ma poitrine.

Vers deux heures du matin, l’alcool aidant, il y eut une embrouille entre mon copain et deux autres connards. Ça aurait pu tourner en baston mais mon copain ne faisant pas le poids, a préféré quitter les lieux en m’entrainant vers sa voiture.

Dommage, je m’amusais plutôt bien et la musique était sympa.

On roule un peu sans échanger un seul mot et voilà que mon copain reçoit un texto.

Il prend le temps de l’ouvrir (pas très prudent, ça !) et se met à criser.

– C’est quoi ça ? Me hurle-t-il au visage en me mettant la photo qu’il vient de recevoir sous mon nez.

La photo en question me voit rouler une pelle à l’un des participants de la boom.

– Ben quoi ? J’ai rien fait de mal !

Il me montre le commentaire

« Amuse-toi bien avec ta pute, tu devrais la mettre sur le trottoir, elle est très douée. »

Mon copain (qui n’allait plus être mon copain longtemps) stoppe sa voiture, me débloque ma ceinture de sécurité, me jette carrément dehors et me laisse là au bord d’une départementale peu fréquentée et mal éclairée avant de repartir seul.

Et en plus ça caille !

Quel con ce mec quand j’y pense ! Enfin, d’un côté c’est aussi bien que ça se termine comme ça, qu’est-ce que vous voulez que je foute avec un jaloux compulsif ?

Il ne me reste plus qu’à faire du stop ! Sur quel genre de citoyen je vais tomber à cette heure-ci ? J’en ai froid dans le dos !

Une voiture, deux voitures, trois voitures… Mais de quoi ont-ils peur tous ces conards ?

Et enfin voilà une bagnole qui consent à s’arrêter ?

– C’est combien ? Me demande le type.
– Je ne tapine pas, je fais du stop.

Il avait l’air contrarié, il a re démarré. Une voiture, deux voitures, trois voitures… la quatrième s’arrête.

– Je vais à Malibourg ! Dis-je au Monsieur.
– Ça me fera faire un tout petit crochet, montez !

Ouf !

Le gars dans les 25 30 ans, me déshabille du regard. Je ne m’en offusque pas outre mesure, m’étant habillée sexy pour cette soirée, comme écrit plus haut, mais reste sur mes gardes. Il a d’abord le tact de ne pas me poser de questions, mais au bout d’un moment le voilà qui déblatère.

– Autant vous prévenir de suite, je suis un mutant !
– Ben oui, faut de tout pour faire un monde ! Répondis-je à ce qui ne pouvait être qu’une plaisanterie même pas drôle.
– J’ai 400 ans bien tassés, je ne les fais pas, hein ?

Je commence à le trouver légèrement inquiétant le bonhomme !

On roule et j’ai soudain l’impression qu’on ne va pas dans la bonne direction.

– Euh, vous êtes sûr que c’est par là ?
– Mais bien sûr !

S’il le dit ! Mais en regardant la route, cette fois le doute n’est plus permis, le type me conduit je ne sais où mais pas vers Malibourg. Je commence à baliser.

– Ecoutez monsieur, vous allez être gentil, vous allez vous arrêter et me déposer.

Je m’attendais à des complications, mais contre toute attente le type se gare sur un bas-côté. Je m’apprête à descendre.

– Je suis confus, Me dit-il, j’ai l’impression que vous me prenez pour un satyre ! Qu’est-ce qui vous a fait peur à ce point ?
– On n’allait pas vers Malibourg.
– Mais si, je faisais juste un crochet !
– Bon salut !
– Vous savez, j’aurais voulu vous agresser, ce serait déjà fait, je ne suis pas méchant.
– Bon, vous débloquez la portière s’il vous plait ?
– Vous savez que vous avez des belles cuisses ?
– Si vous me touchez, je hurle !
– Qui vous entendra ? Mais je n’ai pas l’intention de vous toucher…
– Ben alors ouvrez-moi !
– Vous risquez d’attendre longtemps, il ne passe pas grand monde sur cette route.
– Je m’en fous !

Et à ma grande surprise le type débloque l’ouverture et me voilà dehors. Le type file la route.

Je me dis que ce mec devait être à moitié dingue, à défaut d’être dangereux.

J’ai attendu un quart d’heure, je ne sais pas ce qu’est cette route mais il n’y passe personne.

Et soudain revoilà le cinglé qui revient et stationne à ma hauteur.

– J’ai récupéré ce dont j’avais besoin, maintenant on peut aller à Malibourg, direct !

J’ai eu la faiblesse de le croire.

– Votre maquillage !
– Qu’est-ce qu’il a mon maquillage ?
– Essuyez-vous, ça dégouline.

Je n’ai pas du tout cette impression mais s’il le dit… je m’essuie légèrement avec un kleenex. Il me regarde de très près !

– Super ! On peut y aller !

Mais au bout d’un moment, j’ai de nouveau la certitude qu’il ne prend toujours pas la bonne direction.

– Vous le faites exprès ou quoi ? Malibourg c’est de l’autre côté.
– Ta gueule, pétasse !
– Hein ? Quoi ? Soyez poli ! Et arrêtez cette bagnole.
– Personne ne t’as obligé à monter une seconde fois, maintenant tu la fermes !

Bon il faut que je m’en sorte, le rapport de force ne m’est pas favorable, il me faut donc l’embobiner.

– Si vous voulez une pipe, ça ne me dérange pas, il paraît que je suce bien !
– Grosse pute !
– Je ne suis pas grosse ! Mais dites-moi ce que vous voulez et je me laisserai faire.
– Montre-moi tes nibards !
– Ben voilà quand c’est demandé gentiment, on peut toujours s’arranger

Je soulève mon top, puis fais sauter les bonnets de mon soutif. Le mec est scotché !

– Hé ! regarde la route !
– Je vais m’arrêter !

Chic, je vais pouvoir faire quelque chose ! Mais j’ignore où il faut appuyer pour débloquer les portières dans cette bagnole. Il faut donc que je continue à le distraire.

– Vous voulez toucher ?
– C’est combien ?
– Hein ? Mais rien du tout !
– Vous n’êtes pas une pute, alors ?
– Non, je suis une fille en galère qui essaie de rentrer chez elle !
– Ah ! Donc je peux vous toucher gratuitement ?
– Voilà, c’est ça !
– Mais si Malvina l’apprend, elle va me punir !
– C’est qui, Malvina ?
– Ma Maman, mais c’est aussi la reine des Mutants.
– La reine des quoi ?
– Des Mutants ! Mais c’est une reine en exil, son pouvoir n’est pas reconnu par les autres mutants.

Je vous dis, ce mec est fêlé.

– Alors tu me la caresses, ma poitrine ?
– Non !

Et il redémarre. Je cherche désespérément un plan pour m’en sortir, j’ouvre mon sac à main, je dégotte une lime à ongles assez pointue. Un grand coup dans la cuisse devrait faire l’affaire, mais il faut que j’attende qu’il stoppe et ouvre la portière…

L’idée !

– J’ai une grosse envie de pisser ! Si vous pouviez vous arrêter !
– Retiens-toi, on arrive dans pas longtemps !
– Je risque de pisser sur moi et de salir le siège.
– Ça ne prend pas !
– Mais tu vas t’arrêter, connard ! Hurlais-je.
– Passe-moi ton téléphone portable.
– Hein ! Pourquoi faire ?
– Pour te montrer quelque chose !
– Non, arrête-toi !

Et soudain, le type m’arrache mon sac à main. Je n’en reviens pas de la force avec lequel il a fait ça ! Toujours est-il qu’il l’ouvre avant que j’aie le temps de réagir, en extrait mon téléphone portable… et le jette par la fenêtre.

– Mais t’es complètement taré !
– Ta gueule ou je t’en fous une !

Et soudain la voiture s’arrête, et fait des appels de phares, c’est le moment ou jamais. Ma lime dans la main, je plonge sur sa cuisse. Raté ! Le mec m’a saisi le bras et le tord.

J’en chiale de rage et de douleur.

La portière s’ouvre, un type est là dehors.

– C’est elle ? Demande ce dernier !
– Oui, tiens la bien, elle n’est pas rassurée.

Ben non je ne suis pas rassurée ! Vous le seriez, vous ?

Le complice me tire hors de la voiture et me maintien immobilisée en me tordant le bras. Je hurle, le mec me pose sa main sur ma bouche pour étouffer mes cris. Et avec l’autre il balaie mon visage avec une torche électrique.

– Ça devrait le faire et en plus elle est belle, Maman va être contente ! Commente-t-il
– Espérons que ça va marcher ce coup-ci ? Répond le conducteur.
– Si ça marche pas on pourra s’amuser quand même !
– T’as regardé les taches ?.
– Evidemment que j’ai regardé, je viens de le faire !

Des taches de quoi, d’abord ? Ces mecs sont donc deux frangins ! Au secours ! Je suis tombée sur une famille de psychopathes tarés. Il faut absolument que m’échappe de leurs griffes, mais comment faire ?

– C’est une pute ? Demande le second frangin.
– Non, elle a voulu me sucer gratuitement, mais je n’ai pas voulu. Elle aurait pu me mordre la bite !

Tiens, je n’y avais pas pensé !

– Bien, vous allez avancer gentiment vers la villa, si vous êtes sage tout va bien se passer.

Propos complètement idiots, je suis bien obligée d’avancer, et je balise de plus en plus.

On entre tous les trois dans la baraque que je distingue mal, l’éclairage n’étant pas terrible.

Une bonne femme m’accueille, proche de la cinquantaine mais belle prestance, joli visage, les cheveux très noirs, le rouge à lèvres cerise. Elle est vêtue d’une petite robe noire en vinyle, très décolletée et s’est affublée d’une cape ! Oui une cape, comme Vampirella ! Et l’autre qui me parlait de mutants ! Je suis chez les dingues ! Il y a aussi un grand chien noir dont je ne vous dirais pas la race n’y connaissant rien, mais à priori il n’a pas l’air méchant et vient me renifler.

– Bienvenue chez nous ! Je suis Malvina, je suppose que mes fils ne se sont pas présentés, ce sont Viktor et Lukas. Ah, et voilà ma fille Corenta !.

Je dévisage brièvement celle-ci, Blonde aux cheveux raides, le teint pâle revêtue d’une robe blanche assez transparente à ce point que l’on peut apercevoir la forme de ses seins dont les tétons dardent.

– Et vous ? Me demande Malvina.
– Quoi, moi ? Pourquoi m’a-t-on emmené ici ? Qu’allez-vous me faire ?
– Tout va bien se passer, mais vous ne m’avez pas répondu.
– C’était quoi la question ?
– Qui êtes-vous ?
– Mais qu’est-ce que ça peut bien vous foutre ?
– Son sac à main ! Demande-t-elle à l’un de ses fils.

Elle s’en empare, fouille à l’intérieur, regarde mes papiers.

– Annabelle ! C’est joli comme nom !
– Bon, vous me relâchez ou quoi ?
– Mais nous ne vous voulons aucun mal ! Attendez donc de savoir pourquoi on vous a amené ici avant de vous énerver.
– Pfff !
– Vous me donnez quel âge ?
– Je m’en fous, voyez-vous.
– Vous avez grand tort, je suis né au 16ème siècle en pays poitevin, j’ai été mordue et transformée avec mes trois enfants par les aliens de Lothaire De Castignac, j’ai été sa maîtresse et quand il s’est lassé de moi, nous avons été affectés à sa domesticité…

J’ai connu des mythos, mais elle, elle est vraiment trop grave.

– Quand, poursuit-elle, la populace, lassée des exactions des mutants, s’est révoltée et a enflammée le château, nous avons été plusieurs à utiliser les sorties secrètes pour nous échapper. S’en est suivi une vie d’errance que je vous raconterais si ça vous intéresse, Bon qui veut opérer ?
– Moi ! Répond Corenta !
– Les garçons, immobilisez-la !

Mais qu’est-ce qu’ils vont me faire, je ne peux pas bouger, la blondasse approche sa bouche de mon cou, je sens ses dents, un picotement. On me relâche, je mets la main là où elle m’a mordu, ça saigne !

– Vous êtes complètement malades !

Il faut que je tente quelque chose pour m’échapper d’ici, mais je sèche, j’essaie quand même un truc.

– Je voudrais aller aux toilettes.
– Corenta va vous accompagner.
– Indiquez moi où c’est, je peux y aller toute seule.
– Corenta va vous accompagner ! Répète-t-elle fermement.

Je n’avais pas de plan précis, peut-être m’emparer d’un objet qui pourrait servir d’arme… Mais avec l’autre qui me chaperonne, ça risque d’être compliqué !

La blondasse ouvre la porte des chiottes.

– C’est là ! Dit-elle.

J’entre, elle aussi.

– Euh ! Je peux avoir un peu d’intimité ?
– Non !
– Comment ça « non » ? Je ne peux pas pisser si on me regarde !
– Eh bien, dans ce cas tu ne pisses pas !

Mais c’est que j’ai réellement envie, alors tant pis, je soulève ma petite jupette, je baisse ma culotte, je m’assoie. L’autre n’en perd pas une miette.

– Ça t’excite de regarder une fille pisser ? Lui lançais-je.
– Je ne suis pas autorisée à répondre à ce genre de question.
– Et tu es autorisée à répondre à quelles questions ?
– Aucune !

Inutile d’insister, je pisse, je vais pour m’essuyer…

– Ne t’essuie pas ?
– Et pourquoi je ne m’essuierais pas ?
– Je ne suis pas autorisée à répondre à ce genre de question.

Par pure provocation je m’empare du papier-toilette…. Et shalck je me reçois une tourniole ! C’est qu’elle a la main leste la pétasse, elle n’y est pas allée de main morte !

– Pas de rébellion ici ! Tu ne feras jamais le poids ! Se croit-elle obligée d’ajouter. Et ne tire pas la chasse !

On revient dans la grande salle, inutile de vous dire que je suis très énervée. J’apostrophe la « vieille ».

– On peut m’expliquer pourquoi on m’empêche de m’essuyer la foufoune ?
– Parce que, répond Malvina, ça va nous faire gagner du temps et éviter une situation qui pourrait être stressante.

Qu’est-ce qu’elle nous raconte ?

– Retire cette jupe !
– Non !
– Je vais répéter ce que j’ai déjà dit, je ne le répéterai pas une troisième fois : Il ne te sera fait aucun mal, on va juste faire un petit test, mais pour cela il faut que tu collabores gentiment… sinon…

Elle laisse son dernier mot en suspens. Tactique connue, elle a dû faire du théâtre !

– Sinon quoi ?
– Sinon on t’attache !

Il est bien évident que si on m’attache, mes velléités de fuite seront réduites à néant. J’essaie de me composer un visage le plus méprisant possible et je tombe ma jupette.

– La culotte maintenant !

Je l’aurais parié. Je résiste à l’envie de la lui balancer en pleine poire, et me voilà la chatte à l’air.

– Approche-toi !

J’ai comme l’impression que je vais me faire tripoter ! Ça ne rate pas, Malvina me fout sa main sur la chatte, mais à ma surprise ce contact ne s’éternise pas, elle porte ses doigts mouillés de ma pisse à sa bouche et semble en apprécier le goût.

– Viktor, à toi l ! Lui dit-elle

Viktor s’approche, ce n’est pas le conducteur foldingue, c’est son frère et il s’apprête à me tripoter à son tour.

– Non pas lui ! Criais-je par reflexe.
– Tss ! tss ! Veux-tu vraiment que l’on t’attache ?

Je me laisse faire, avec lui aussi, c’est bref, juste le temps de se mouiller les doigts et le voilà qui quitte la pièce.

– Il n’y en aura peut-être pas assez ! Se désole-t-il
– Va dans les chiottes, on n’a pas tiré la chasse ! Lui fait remarquer Corenta
– O.K. Ça ne sera pas long ! Une vingtaine de minutes…

Je ne comprends pas de quoi ils parlent, mais je m’en fous un peu !

– Tu peux te rhabiller si t’as froid !

Je n’ai pas froid mais je me rhabille, si je parviens à sortir d’ici, je ne vais pas le faire à poil !

– Assis-toi, on va attendre ! Tu veux boire quelque chose ?
– Non merci !

Pas envie qu’on me drogue ou qu’on m’empoisonne… Et voilà Malvina qui se met à me raconter ses prétendues aventures. Je suis bien obligée de l’écouter.

Le récit de Malvina

– Mon mari était parti à la guerre et j’ai été sollicité avec mes trois enfants par Amaury, l’homme de main de Lothaire De Castignac. Ils ne nous ont pas transformé de suite, je plaisais au comte et à sa femme et il leur fallait des petites mains pour entretenir cet immense château. Nous étions plutôt bien traités si l’on excepte quelques punitions corporelles, mais nous mangions à notre faim et étions en sécurité. Lothaire De Castignac et ses quelques compagnons aliens allaient assez loin pour se ravitailler en sang frais en mordant leurs victimes, et évitaient le village avoisinant ainsi que les endroits occupés par la soldatesque.

Tout cela a duré plusieurs années et mes enfants sont devenus adultes. Et puis il y a eu un conflit personnel entre Lothaire De Castignac et Amaury, son homme de main. Je n’ai pas tout compris mais il semble que Lothaire a été neutralisé et a dû s’enfuir. Amaury avait la folie des grandeurs et contrairement à Lothaire, il choisissait ses victimes dans le village proche et ses environs immédiats et les transformait en créatures hybrides. Physiquement humain, mais cérébralement moitié alien moitié humain, ne vieillissant jamais mais désormais incapables de procréer. C’est de là que sont nés plusieurs légendes, les vampires, les loup-garou, les elfes !

Bientôt près d’une centaine de mutants se sont mis à terroriser la région. C’est à ce moment-là que j’ai été moi-même transformée ainsi que mes enfants. J’ai pris la chose avec philosophie, après tout on nous offrait la vie éternelle ou presque !

Mais la répression s’est organisée, des commandos de chasseurs de mutants surgirent de partout enfonçant des pieux dans le cœur des victimes, les décapitant, les brulant. La plupart des victimes étaient d’ailleurs parfaitement innocentes, mais un simple soupçon, une dénonciation et c’était l’exécution. Le château ne tarda pas par être entouré par les assaillants, il nous fallait fuir.

Nous connaissions les souterrains secrets et nous étions tout un petit groupe quand nous nous sommes échappés du château de Lothaire De Castignac. Nous avons erré en pleine campagne sachant que le manque de sang finirait par nous affaiblir, jusqu’à ce qu’on aperçoive un campement de nomades. Evidemment nous avions l’intention de les mordre jusqu’au sang…

Ils n’étaient pas très nombreux, une dizaine environ, ils jouaient de la viole de gambe et chantaient autour d’un feu de bois. Nous nous sommes avancés à pas de loup.

C’est Horacio qui commandait notre groupe. A son signal nous nous sommes élancés vers les campeurs., mais une espèce de force nous a immobilisé, impossible d’avancer.

Un homme nu s’est détaché du groupe des campeurs et est venu vers nous.

– Qui êtes-vous ? Demanda-t-il.
– Et vous qui êtes-vous ? Quelle est cette sorcellerie ? Répondit Horacio.
– C’est toi qui commandes cette bande de minables ?
– Oui c’est moi, mais nous ne sommes point minables !

Le type pointa alors sa main vers Horacio et le réduisit en cendres. Nous voulions fuir, mais nous étions toujours paralysés par cette force mystérieuse.

– Vous êtes lamentables ! Repris l’homme, vous ne vous êtes même pas rendu compte que nous étions des aliens. Nous, nous avions compris tout de suite que vous étiez des mutants ? Vous espériez quoi ? Nous attaquer ? Eh bien c’est raté ! Vous avez le choix, si je vous libère, vous ne vivrez pas longtemps, dans moins d’une semaine vous serez massacrés ! Si vous vous joignez à nous, nous avons les moyens de subvenir à vos besoins et vous serez en sécurité, mais vous serez nos esclaves. Décidez-vous vite, nous n’avons pas que ça à faire !

Le groupe s’est alors divisé, la majorité est repartie er nous ne les avons jamais revus, Je fus la seule avec mes trois enfants à accepter l’esclavage.

– Je suis Rosalio, se présenta l’individu, et voici Philippine ma première femme, entrez dans la roulotte, nous allons nous livrer à une petite cérémonie d’incorporation.

Il est plutôt bel homme pour qui aime le genre grand ténébreux (dans les 1,90 m), très brun les sourcils envahissants, les pommettes relevés, un sourire charmeur, de beaux yeux…

A l’intérieur Rosalio nous a demandé de nous présenter et nous a ordonné de nous déshabiller, demande qui ne nous a pas posé problème mais que nous avons trouvé étrange ! Puis il nous a fait ressortir sans que nous soyons rhabillés

– Maintenant, vous allez nous obéir, sans élever aucune protestation, sinon je vous vire ! Après ces petites formalités vous aurez la possibilité de vous rassasier !

Le petit groupe nous a ensuite entouré, nous a caressé, nous tripotant sans aucune retenue. Une main me pinçait les tétons, des doigts s’aventuraient dans ma chatte et dans mon trou du cul. Corenta subissait le même sort en fermant les yeux et en se mordant les lèvres. Quant à Lukas et Viktor, ils bandaient comme des cochons sous les attouchements. !

– Regarde tes dépravés de fils, ils ont la bite toute raide ! Me dit Rosalio ! Tu ne vas pas les laisser comme ça ! Suce-les !

Et là j’ai voulu m’enfuir ! Au château, le comte Lothaire pratiquait l’inceste aves ses filles, y compris parfois devant mes yeux, mais ne m’avait jamais demandé de l’imiter.

– Fais-le Maman ! Me chuchote Viktor, ça ne nous tuera pas, et on va leur montrer qu’on est au-dessus de ça.
– Ton fils est un grand philosophe ! Commente Rosalio qui avait l’ouïe fine.

Lukas s’est approché, et tremblante j’ai pour la première fois sucé la bite d’un de mes garçons et curieusement j’en ai ressenti un plaisir très trouble, Lukas sans doute afin de dédramatiser la situation accompagnait ma fellation de commentaires salaces

– Continue ! Maman, tu suces trop bien !
– Humm
– Oh c’est trop bon de se faire sucer par sa mère.

J’ai senti un soubresaut dans ma bouche, il était en train d’éjaculer, j’ai tout avalé

– L’autre maintenant ! M’ordonna Rosalio

Annabelle02Viktor n’attendait que ça, sa bite était aussi bonne que celle de son frère, j’étais à la fois honteuse et excitée et quand il déchargea dans ma bouche, je laissais baver un peu de son sperme aux commissures de mes lèvres et ainsi barbouillée, je regardais Rosalio avec un air de défi, genre « tu veux que je sois salope, alors d’accord je fais la salope ! »

Mais Rosalio est resté de marbre me demandant à présent de lécher ma fille Corenta,.

– Mais Maman, on ne va pas faire ça ! Proteste-t-elle à voix basse.
– On n’a qu’à faire semblant ils n’iront pas vérifier

Nous nous sommes mises en soixante-neuf, nous contentant de nous embrasser le pubis, cela a duré quelques minutes, puis j’ai senti la langue de Corenta se faire audacieuse et me fouiller mes chairs intimes. Je n’avais rien d’une béotienne en matière d’amours saphiques puisque j’avais été aussi l’amante de la comtesse. C’est donc par quasi-réflexe que j’ai répondu à l’initiative de ma fille. Nous nous nous sommes broutées jusqu’à l’orgasme. Un orgasme très puissant.

Nous nous sommes relevées et j’ai pu voir que mes deux fils se faisaient sodomiser par les sbires de Rosalio.

Bon c’est fini ?

Pas tout à fait, car Rosalio est venu m’enculer avec sa grosse bite pendant que je léchais la chatte de Philippine.

Laquelle Philippine eut la jouissance bruyante.

– Il faut la garder, elle lèche trop bien ! Dit-elle à son mari
– Silence quand j’encule ! Répondit-il

Rosalio sortit de mon cul après avoir jouit, sa bite était gluante de sperme et d’autre chose aussi, Il me la fit nettoyer, tâche dont je m’acquis sans réticence, Le comte Lothaire m’ayant habituée à ce genre de choses.

Philippine me fit allonger par terre, ce n’est pas toujours agréable avec des plantes bizarres et des petits cailloux, mais bon !

Je compris ce qui allait m’arriver quand elle approcha sa chatte de ma bouche. Mais faut bien avouer que son pipi avait fort bon goût.

Bon, c’est fini, maintenant ? Oui ?

– Tout va bien, rentrez, vous allez pouvoir reprendre des forces.

Philippine nous alors fait boire un breuvage assez amer, je n’arrivais pas à l’identifier, mais Corenta m’a fait remarquer que ça ressemblait à de l’urine.

– Nous avons réalisé un breuvage qui remplace le sang, cela nous évite de nous faire remarquer. Pour les gens nous sommes simplement des gens du voyage. Bien sûr la formule est secrète…

Nous sommes restés sept années à leur service, on cuisinait, on s’occupait du linge, du rangement… mais nous étions aussi leurs esclaves sexuels. C’était parfois pénible, mais on s’en accommodait.

Et puis un jour, où je nettoyais un peu le bordel qui régnait dans la roulotte, je suis tombée sur un parchemin coincé dans une couverture de cuir que Philippine avait oublié de ranger. Ne sachant pas lire à l’époque, j’appelais Viktor qui m’indiqua qu’il s’agissait de la formule de l’élixir de survie. Elle n’était pas bien compliquée mais nécessitait une « donneuse ». Le parchemin expliquait que cette donneuse devait posséder quelques taches de rousseurs sur le visage et avoir été mordue par un mutant de façon légère..

La recette paraissait simple, la base étant l’urine de la donneuse dans laquelle devait macérer pendant une heure quatre ingrédients, des pétales d’aubépine, des orties, de l’ocinum et de la nepeta. Le mélange devait s’accompagner d’une incantation dans une langue inconnue et différente pour chaque jour de la semaine.

Le texte précisait que nous pouvions utiliser l’urine de la donneuse pendant 33 ans et qu’ensuite il faudrait en changer.

Tout cela n’était pas évident, Viktor s’est débrouillé pour recopier les incantations, quant à l’ocinum, nous avons vite compris qu’il s’agissait de basilic, tandis que le vocable nepeta recouvrait tout simplement de l’herbe à chat.

Nous nous sommes concertés et d’un commun accord, nous avons un beau matin décampé vers l’ouest. Trouver une donneuse ne fut pas bien difficile… Après deux échecs nous sommes tombés sur une avec laquelle la formule fonctionnait.

Comme dans beaucoup de recettes ésotériques, le mode opératoire s’orne de détails inutiles propres à décourager le commun. En fait seul le mélange compte, et au diable les incantations.

Voilà, voilà…

Fin du récit de Malvina.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:26

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 1 – Lothaire de Castignac

Mutants

Prologue : Poitiers, France, an 1575

Zwak ressemble à une sauterelle, sauf qu’elle n’est pas verte mais rose. Zwak était le commandant de la première mission d’exploration interstellaire organisée par sa planète natale. Une opération de pur prestige destinée à tester la technologie de cette civilisation. Le voyage dura 40 ans à 90 % de la vitesse lumière. Cela n’était pas un inconvénient pour les aliens, le génie génétique de leurs savants les ayant rendus pratiquement éternels, sauf en cas de destruction du cerveau.

Ils partirent donc à 72 individus et le voyage se passa sans soucis majeurs, Zwak étant habile à étouffer dans l’œuf les conflits latents entre ses congénères.

Au moment d’entrer dans l’atmosphère terrestre, la protection thermique de la partie arrière du vaisseau, là où était installé 60 pionniers, s’avéra défaillante, brulant mortellement tous les occupants.

La cabine de pilotage où se tenait Zwak et onze de ses compagnons était dotée d’un bouclier thermique indépendant, mais la catastrophe survenue à l’arrière déséquilibrait le plan de vol et risquait de s’étendre.

C’est donc un vaisseau quasiment en feu que Zwak parvint à faire atterrir, par chance, ce fut au bord d’un mare boueuse trempée par une pluie incessante.

Zwak et ses compagnons sortirent en catastrophe du vaisseau et le virent s’abimer dans la mare boueuse.

Après une longue période de silence due au choc psychologique, Zwak prit la parole.

– Nous allons nous renseigner pour savoir si cette planète abrite des êtres intelligents et s’ils possèdent une technologie qui nous permettra de rentrer chez nous.

La longueur du voyage et ses contraintes avaient affaiblis les aliens, Aussi ils se trouvaient incapables de se dématérialiser, ils avaient été prévenus, et savaient qu’il leur faudrait plusieurs jours pour retrouver l’intégralité de leurs pouvoirs.

Après une petite pause, la petite compagnie s’envola afin de visiter les environs.

– Ah, voici une construction ! Il y a de la civilisation ici, tout espoir n’est donc pas perdu.

Ils s’approchèrent et pénétrèrent dans le château (car oui il s’agissait bien d’un château) par une fenêtre ouverte.

Et là ils aperçurent le comte Lothaire de Castignac donnant des ordres incompréhensibles à un serviteur.

– Ce bipède doit être un représentant de la race évoluée de cette planète, nous allons l’étudier et ensuite nous tenterons un contact.

Zwak et ses compagnons explorent le château, en profitant pour se nourrir de graines et de petits insectes, ils trouvèrent aussi un broc rempli d’eau potable.

Ainsi repus, ils purent entreprendre de sonder le cerveau de celui qui semblait être ici le maître des lieux, le comte Lothaire de Castignac.

La tâche était difficile, les aliens n’ayant pas encore retrouvé l’intégralité de leurs pouvoirs, il fallut se mettre à plusieurs pour pénétrer l’esprit du comte.

Au bout de 10 minutes, les aliens commentaient le désastre :

– Incroyable ! Il ne sait pas ce qu’est une planète, ni une étoile, leur technologie est purement mécanique.
– On pourrait peut-être leur donner un coup de pouce ? Suggéra Vico.
– Ça va prendre des siècles !
– On pourra accélérer les choses, on a l’éternité devant nous.
– Il nous faut un plan, réfléchissons chacun de notre côté, je pense qu’il doit exister des savants, ici, il nous faudra les contacter…

Et en attendant ils allèrent se planquer dans les nombreuses petites alvéoles qui gangrénaient les murs du château.

Mais bientôt ce fut l’enfer, le château était infesté de bestioles, et les aliens n’étaient pas les bienvenus, il fallait faire avec les chats, les chiens, les rats. Ils crurent résoudre le problème en instituant des tours de garde, mais la situation devint vite invivable.

Et un jour Vico fut pris dans une toile d’araignée dont il ne parvint pas à s’extirper. L’araignée rapide comme l’éclair lui bouffa carrément la tête.

– On ne pourra pas survivre dans ces conditions, nous allons être décimés les uns après les autres ! Se lamenta Zwak.
– Quittons cet endroit ! Suggéra l’un des aliens.
– Pour trouver peut-être pire ! A quoi bon ? Non il nous reste qu’une solution : la fusion !

Cette perspective était loin d’enchanter le petit groupe, mais après quelques discussions il fut convenu qu’il n’y avait guère d’alternatives.

Le château était habité par sept personnes, le comte Lothaire de Castignac, Chapine, sa femme, ses deux filles d’une vingtaine d’années, sa vieille mère et un couple de domestiques.

– Je vais m’occuper de ce Lothaire, il faut que cinq d’entre vous se chargent des autres.
– Non six ! Rectifia quelqu’un.
– Non, on ne compte pas la mère, elle est trop vieille, on ne pourra rien en faire. Il restera six corps à habiter, nous irons les chercher dans les environs… si tout va bien..

Les aliens savaient l’opération pas si innocente que ça, la fusion de l’entité alien avec l’entité humaine laisserait des séquelles. Bien sûr les aliens phagocyteraient les humains mais pas complètement, il resterait quelque chose, la langue, les habitudes, les souvenirs, mais aussi certains traits de caractères ainsi que leurs positionnements sociaux et familiaux. Il faudrait donc apprendre à gérer tout ça.

Les premiers résultats furent encourageant. La fusion entre Lothaire et Zwak, fonctionnait. La personnalité du vieux comte était désormais en arrière-plan. Lothaire était devenu un alien à l’aspect humain.

Chaque alien transformé se chargeait de la sécurité de ceux qui restaient encore à l’état de « sauterelles ». Lothaire et ses amis découvraient des sensations nouvelles, le plaisir de gouter des plats nouveaux, celui de boire de la bière, mais aussi celui de forniquer.

C’est au bout de quatre jours que les premiers troubles apparurent, nausées, fatigue, faiblesse, étourdissements. Cela paraissait inexplicable, normalement la fusion entre les deux entités devaient conserver la quasi-immortalité des aliens et par là-même empêcher toute souffrance, et tout dérèglement pathologique.

– Il manque quelque chose, les fusions ne sont pas achevées. Déclara Zwak (que nous appellerons désormais Lothaire)

Les six aliens transformés se réunirent assis en cercle et entamèrent une longue méditation

– Le sang ! C’est le sang ! s’exclama Dame Chapine.
– Le sang ?
– Oui, nous ne pourrons jamais réaliser une fusion définitive avec ces bipèdes, mais une injection de sang à intervalles réguliers devrait faire l’affaire.

Après une brève discussion, les aliens transformés se rangèrent aux arguments de Dame Chapine.

– Mais comment trouver du sang ? Demanda quelqu’un.
– Il y a des habitants à quelques lieus d’ici ! Déclara Amaury, le domestique. C’est là que je me rends pour faire les courses…
– Alors, allons-y, avant que nos forces nous quittent.
– Il faut mieux ne pas attirer l’attention, je suis connu, attendons la nuit ! Objecta Amaury.

Et la nuit venue, après avoir assuré la sécurité des « sauterelles » non transformées, les six aliens se dématérialisèrent et transformées en nuée invisible, ils parvinrent jusqu’à une ferme.

La suite fut simple. Ils entrent, repèrent les chambres, se matérialisèrent : Six cibles endormis, chacun la sienne. Une morsure au niveau de la jugulaire… et glouglou.

Leur forfait accompli, nos six aliens s’en retournèrent au château et quand ils se matérialisèrent à nouveau, ils étaient en pleine forme.

– C’est pas terrible ce que nous avons fait ! Déplora Amaury
– Non, mais c’était eux ou nous ! Nous rechercherons une solution plus douce, mais en attendant il nous faudra continuer à agir de la sorte ! Déclara Lothaire. Mais par précaution la prochaine fois, nous irons bien plus loin.

Ils laissent passer quatre nouvelles journées au terme desquelles ils allèrent vampiriser quelques paisibles citoyens à plusieurs lieus de là.

A leur retour, il fut décidé que les six sauterelles non encore transformées avaient le feu vert pour fusionner avec qui ils voudraient.

– Bonne chance à vous ! Leur dit Lothaire. Nous resterons en contact télépathique et nous nous rencontrerons tous ensemble régulièrement et en cas de besoin.

La vie au château s’installa, pas grand-chose à faire, de la lecture, profiter de la bonne chère que rapportaient Amaury…

Mais vous allez me dire « avec quoi payait-il tout cela ? » Les impôts naturellement ! A intervalles réguliers, le bourgmestre du village se rendait au château avec les fonds collectés par les habitants. Le seigneur des lieux était donc entretenu à ne rien foutre. Mais en contrepartie ils devaient s’engager à protéger la population contre les invasions barbares.

L’autre activité était le sexe, et tiens, pendant que nous y sommes on va en parler un petit peu, puisqu’après tout on là pour ça, non ?

– Dame Chapine, Voyez comme je bande ! Lui dit Lothaire.
– Mon bon prince, je ne vois rien du tout !
– Venez donc à sa rencontre !

Chapine s’en alla farfouiller dans le haut de chausse du comte et ne tarda pas à faire sortir de sa cachette un magnifique membre bandé comme un arc et sur le gland duquel perlait une impertinente goutte de liqueur séminale.

– Quelle forme ce matin, mon prince ! Dit-elle en prenant en main ce dard arrogant.
– Je présume que vous allez sucer !
– Vous présumez fort bien !
– Mettez-vous à poil, Dame Chapine, que je puisse profiter de la vue de vos gros nichons !
– Lothaire, vous êtes un cochon !
– Je sais !

Chapine se déshabilla et afin d’exciter davantage son époux, elle se mit à faire bouger ses seins et à en tirer les gros bouts turgescents.

– Vous êtes une grosse pute, Chapine !
– Hi, hi ! Ricana-t-elle avant de prendre en bouche le beau vit.

Des bruits de pas, un raclement de gorge…Deux jeunes filles aux cheveux de feu entre dans la pièce

– Alors les parents, on batifole ! S’écria avec amusement Herma, la première fille du couple.
– On peut regarder, ou vous préférez qu’on vous laisse ? Ajouta Gudrun, la seconde fille.
– Mais restez donc mes chéries, plus on des fous, plus la baise est bonne.

Les deux belles rouquines s’approchèrent tout près de leurs parents.

– Hum, qu’elle est belle la bite à papa, tu me la laisses quelques instants, Maman ? Demanda Herma
– Vicieuse, catin !
– Oui, maman, mais ça ne répond pas à la question.
– Pour l’instant, c’est moi qui suce !
– Tu peux bien la partager cinq minutes, en échange je te brouterais la chatte ! Proposa Gudrun.
– Toi tu es encore plus vicieuse que ta sœur ! Mais bon je vais être bonne mère ! Répondit Chapine en se redressant, Régalez-vous, il est en pleine forme !

Et bientôt c’est deux petites langues qui virevoltaient autour de la bite du comte qui se pâmait d’aise.

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Dame Chapine se sentant larguée eut l’idée de sonner la bonne.

– Madame m’a mandé ? demanda Perrette découvrant le spectacle de Lothaire en train de se faire sucer le dard par sa progéniture.
– Tu vas me lécher la moule…
– La moule, le cul, tout ce que voudrez, ma douce maîtresse.
– Alors, exécution !
– C’est que je dois préalablement satisfaire un petit besoin bien naturel.
– Je déteste les contretemps, petite pisseuse ! Ton impertinence mérite une bonne fessée, Allez dégage moi ce gros joufflu que je lui tape dessus !
– Mon pauvre cul ! Qu’est qu’il va prendre ! Il va encore devenir cramoisie. Pitié Dame Chapine !

En fait Perrette joue la comédie, elle adore qu’on lui maltraite son popotin, et Chapine le sait bien qui tape à qui mieux mieux jusqu’à s’en faire mal aux mains.

Rageuse et excité comme une puce, la comtesse, plonge un doigt dans le trou du cul de Perrette qui sursaute de surprise mais qui se laisse faire volontiers.

– Tu aimes ça, traînée !
– Je préfère la queue de Sieur Lothaire, mais ce doigt m’est bien agréable.
– Salope ! Répondit Dame Chapine en introduisant un deuxième doigt.

Et après avoir agité ses jolis doigts pendant quelques minutes, il fallut bien qu’elle les ressorti.

– Regarde-moi ça, poufiasse, tu m’as dégueulassé mes petits doigts délicats.
– Hi ! Hi !
– Et ça te fait rire, catin ! Répondit la comtesse en giflant la pauvre servante.
– Méchante comtesse !
– Parfaitement, et maintenant nettoie-moi mes doigts.
– Avec plaisir, méchante comtesse !

Et Perrette, sans hésiter une seconde nettoya de sa bouche les doigts pollués de sa patronne.

– Et maintenant, lèche-moi.
– Puis-je faire remarquer que je n’ai toujours pas pissé et que ça va devenir urgent.
– Pisse-moi donc dans le gosier, ça t’évitera de trop t’éloigner.
– Madame la comtesse est une vicieuse !
– Parfaitement !

La comtesse s’étala sur le froid carrelage de la pièce, et Perrette vint s’accroupir au-dessus de son visage. Très vite, un joli filet jaune sorti de son intimité pour aller remplir le gosier de Dame Chapine.

– Hum, ta pisse est délicieuse, aujourd’hui !
– Madame me fait beaucoup d’honneur.
– Arrête donc de jacter et viens me brouter la chatoune.

Et pendant que Perrette mettait du cœur à l’ouvrage en butinant le berlingot de sa patronne, intéressons-nous au comte Lothaire et à ses deux espiègles de filles que nous avons délaissées.

Herma suçait d’abondance le dard toujours en étendard de son paternel, tandis que Gudrun, passé de l’autre côté, lui prodiguait une feuille de rose bien profonde

– Stop les filles maintenant il faut que je jouisse sinon je vais me taper un mal de bite !.Voyons voir laquelle de vous deux vais-je enculer ?
– C’est mon tour, je crois ! Indiqua Herma
– C’est sûr, ça ? Demanda Gudrun

Mais Lothaire apercevant Perrette en train de brouter son épouse en tortillant de son croupion rougit par la fessée qu’elle avait reçu eut l’idée de la choisir et passant derrière il l’encula d’un seul coup d’un seul, faut dire que la Perrette était tellement moullée que de partout que ça aidait fortement à la pénétration.

Charmant tableau, le comte sodomise la soubrette qui lèche la comtesse, et bientôt ce joli trio poussa des cris de jouissance qui raisonnèrent en écho dans les murs du château.

Quant à Herma et Gudrun, enlacée en soixante-neuf elles ne tardèrent pas à exprimer à leurs tours leur jouissance de façon fort peu discrète.

Comme vous le voyez, nos aliens avaient complétement assimilés la sexualité des terriens à cette importante nuance près, c’est qu’ils n’avaient aucun tabou.

Les mutants ne se déplaçaient plus en groupe pour se ravitailler en sang frais, chacun maintenant se débrouillait à sa guise et selon ses besoins.

Les grandes découvertes sont parfois le fruit du hasard, ainsi il se raconte que le dénommé Barthélemy Thimonnier (1793-1857) recherchait le mouvement perpétuel, il ne le trouva pas mais le résultat de ces expériences fut… une machine à coudre !

C’est Herma, la fille ainée du comte qui une nuit de collecte de sang eut un remord en commençant à mordre une très jolie jeune fille. Elle stoppa son geste et par reflexe fit cesser l’hémorragie en imbibant la plaie de sa propre salive.

Et soudain la fille se réveilla, Herma s’apprêtait à quitter les lieux mais ne le fit pas tant elle fut surprise par l’attitude la fille qui sortit du lit et se prosterna à genoux devant elle.

– Je suis votre esclave ! Ordonnez et j’obéirais.
– Euh, pour l’instant va faire dodo, tu as fait un cauchemar et tu as été piqué par une vilaine bestiole.

Et quelques nuits plus tard Herma retourna seule dans la chambre de jeune fille, elle n’y était plus. Elle sonda alors le cerveau de celui qui semblait être le maître des lieux.

Et ce qu’elle apprit fut atroce, la fille, en fait une servante, avait été surprise en train de mordre jusqu’au sang son compagnon de cuisine. elle fut brulée comme sorcière sans autre forme de procès.

Herma fit part de son expérience aux autres.

– Cela veut dire qu’on peut créer des mutants acquis à notre cause, en étant plus nombreux, nous serons en sécurité, mais attention il ne faudrait pas non plus que nous terrorisions toute la région.

Pendant quelques mois, les aliens eurent une vie paisible, cela jusqu’au jour où Amaury entra en conflit avec Lothaire.

Les prélèvements de sang avaient beau se dérouler à des lieus du château, l’ambiance dans la région devenait délétère

– Des gens accusent le château d’abriter des sorciers suceurs de sang. D’où peut venir cette rumeur, nous prenons nos précautions, non ? S’étonna Lothaire.

Soupçonnant quelque chose de louche, Lothaire entreprit de suivre discrètement ses congénères, et c’est là qu’il s’aperçut qu’Amaury ne s’éloignait pas assez du château lorsqu’il allait recueillir du sang.

Parallèlement la population s’organisait, décapitait et brulait tous les supposés sorciers, et menaçait de donner l’assaut au château.

– Espèce d’abruti, tu mets notre communauté en danger… L’invectiva Lothaire
– Ça devait arriver de toute façon, la seule solution c’est de mordre tout le monde, ainsi personne ne sera contre nous. Répondit Amaury
– O.K. je m’incline, c’est toi le chef désormais, puisque cette idée est de toi, je te laisse la mettre en place, mais il faut auparavant que je te confie quelques secrets. Vite le temps presse, retrouvons-nous dans la salle bleue.

Dame Chapine et ses filles s’empressèrent d’invectiver Lothaire, lui demandant s’il n’était pas devenu complétement fou de pendre une telle décision

– Mais non, voilà ce que nous allons faire….

Dans la salle bleue, située tout en haut d’une des tourelles, les trois femmes se concentrèrent de conserve sur Amaury, l’empêchant de se servir de ses pouvoirs, puis Dame Chapine s’empara d’une hallebarde posée sur un râtelier et fit reculer Amaury jusqu’à la fenêtre vitrée. Il passa au travers, brisant la vitre et dégringola. On a beau être immortel mais quand le cerveau est en bouillie, eh bien on ne l’est plus !

Lothaire réuni ensuite la domesticité .

– Nous allons partir les premiers, attendez un peu et empruntez le souterrain secret. Bonne chance à vous ! Nous nous reverrons !

Lothaire, sa femme et ses filles se dématérialisèrent, puis une fois éloigné du château, ils se firent passer pour des paysans fuyant les sorciers, ils furent engagés comme serfs au service d’un chatelain du coin. Pas trop la joie mais en attendant mieux…

En temps Tolmar, l’un des aliens de la seconde vague de transformation qui avait une formation de biochimiste avait découvert un procédé qui évitait les razzias sanguines. Le chef de leur groupe un certain Rosalio ne souhaitait pas que cette découverte soit divulguée (allez savoir pourquoi ?) Tolmar qui n’aimait pas qu’on lui donne des ordres s’en alla voir ailleurs, mais ne divulgua pas sa formule par crainte des représailles. Mais sa formule finit par fuiter. Les aliens pouvaient à présent dormir tranquille.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Samedi 30 septembre 2023 6 30 /09 /Sep /2023 13:20

Luciana, ma première transsexuelle par Enzo
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Ma vie sexuelle a commencé quand j’avais dix-huit ans dans les toilettes de l’université. Alors que je croyais que les mecs ne m’attiraient pas du tout. Ce jour-là une envie de pisser urgente me poussa aux toilettes. Il y avait un monde fou là-dedans. Les toilettes étaient grandes et il devait bien y avoir une dizaine d’urinoirs de part et d’autre de la pièce. Plusieurs personnes semblaient attendre et effectivement je trouvai que c’était long pour arriver à l’urinoir. Observant sans le vouloir l’un des pisseurs, je constatai qu’en fait, il se masturbait. Je ne sais quelle folie me poussa à regarder sur ma gauche, où un homme fort bien monté, était en train d’astiquer sa bite avec une savante lenteur. Je ne peux m’empêcher de la regarder, de la trouver belle, je ne savais pas quoi faire, j’avais fini de pisser. Il opéra un quart de tour dans ma direction, m’exhibant sa bite. J’étais si près de son sexe que je sentais son odeur si particulière qui m’attira sans que je puisse m’y opposer. L’envie de le sucer me devint insupportable et je plongeai d’un coup sur son gland pour le gober et j’avalai sa bite entièrement. Il soupira mais ne dit rien. Je léchai d’abord son gland et son prépuce. Il sursauta et me demanda d’arrêter mais je ne pouvais pas. Il se laissa finalement faire quand je pris sa belle queue entièrement dans ma bouche. Il soupira en essayant de ne pas faire de bruit. Comme dans un rêve, je sortis ma bite et me mis à la branler. Complètement excité, je ne tardai pas à éjaculer. Et je profitai de ce moment de répit dans mon excitation pour m’éclipser.

Après, je multipliai les expériences du genre. Un jour, je sympathisais avec un divine créature à terrasse d’un café. Comment vous la décrire ? Luciana, comme elle se fait appeler, était plutôt une transsexuelle non opérée encore. Grande brune, très brune, très typée italienne, le visage et le nez assez long, de grands yeux brillants, de belles lèvres. Très excitante dans son genre quoique trop maquillée. Elle était vêtue d’un curieux bustier à rayures dorées et vertes devant, l’arrière étant noir. Elle avait revêtu une sorte de minijupe en cuir et gainé ses belles jambes de bas auto-fixant. Comme elle devait chausser du 42, elle avait des tatanes pas possible.,

Elle m’emmena chez elle, et se déshabilla entièrement m’exhibant sa jolie poitrine aux extrémités très brunes et très raides. Son pénis à moitié bandé me narguait.

Elle m’aida à baisser légèrement mon pantalon et colla son corps au mien. Cette fois en m’embrassant sur le cou et la poitrine, elle réussit à sortir mon sexe déjà surexcité, de sa prison. Tout en lâchant de petits râlements, elle me masturba lentement. Sa main massait la hampe de mon membre rigide, soupesant mon sac coincé dans mon caleçon. Elle descendit son corps pour se mettre à genoux entre mes jambes, traçant son chemin sur mon cou, ma poitrine et mon ventre avec sa langue humide. Je sentis sa bouche se serrer comme un étau autour de ma queue. Levant les yeux vers moi, elle commença une succion répétitive. Son visage était comme illuminé pendant qu’elle s’activait à prendre le plus possible de ma bite dans sa bouche gourmande. Elle était devenue une mangeuse de queues. Si elle ne faisait pas attention, elle allait vite recevoir une abondante décharge de sperme. Son regard s’égara, elle semblait se concentrer sur cette pipe comme si la queue qui remplissait sa bouche était la seule chose au monde importante. De temps en temps, elle la sortait de sa bouche et la léchait à grands coups de langue. Cela me permettait d’éviter un orgasme trop vite venu tout en me donnant d’agréables sensations.:

– Vas-y… Tu peux décharger dans ma bouche… J’aime ça ! Me dit-elle

Et elle termina sa pipe endiablée. Elle me branlait d’une main en suçotant sur le gland de ma bite. C’était presque violent. Mon dos se cambra, mes jambes raidirent et je sentis ce courant électrique qui précédait la jouissance. Je giclai avec beaucoup de force une abondante quantité de liquide visqueux et chaud. Elle n’arrêta son pompage que lorsque ma queue fut devenue tellement sensible que c’était douloureux. Puis elle remonta vers moi. Son visage était radieux. Alors, je me jetai sur elle pour l’embrasser, j’aimais sentir sa langue contre la mienne et ses mains qui me caressaient partout. Je pus enfin goûter cette belle et grosse queue. Elle me dit que ma petite bite l’excitait. Nous nous mîmes alors en position de soixante-neuf et nous commençâmes par nettoyer le sperme de la première jouissance, pour ensuite continuer dans une double pipe d’enfer jusqu’à ce que nous jouissions chacun dans la bouche de l’autre. Je l’embrassai encore un peu puis, légèrement épuisé, je la menai vers la douche. Et là, je lui demandai de réaliser un de mes fantasmes : je voulais qu’elle m’urine dans la bouche. Ce fut sublime de sentir sa pisse chaude et un peu amère dans ma gorge et sur ma langue. Ensuite Luciana me proposa de m’enculer. Je léchai alors son pénis bien dur. Son urine m’avait tellement excité que je jouis presque tout de suite. Je voulus que la Luciana m’encule :

– Je vais t’enculer maintenant ! Me confirma-t-elle
– Oui, encule-moi !

Je regardai ses jambes, elle était entièrement épilée. Ce type, que dis-je, cette fille, me fascinait ! Alors, je m’amusai un peu à me frotter contre sa queue de travelo. Cela l’amusa et l’excita, cette petite vicieuse !

Vanity B2Elle mit une capote qu’elle enduit de gel, se mit sur moi mais pas à genoux, accroupie seulement, et commença à me caresser le trou avec son gland. Elle rentra sa queue. Mon étui était chaud et humide. Elle me demanda de ne pas bouger, elle allait tout faire.

– On finiras en levrette, j’adore ça mais laisse-moi commencer à me faire du bien à ma cadence.

Elle commença les va-et-vient, je me branlais doucement. Sa queue était raide. J’avais envie de jouir de suite mais je me retins en pensant à la levrette qui allait suivre

– Viens, maintenant, baise-moi fort en levrette !

Elle descendit du lit, je me mit à quatre pattes face au miroir qui ornait le dressing

– Encule-moi, baise-moi à fond, jusqu’aux couilles mais prend ton temps, j’aime que ça dure…

Mon trou était bien ouvert, la queue rentrait et sortait complètement, elle m’écartait les fesses pour mieux voir sa queue. Le spectacle était magnifique, elle n’allait pas pouvoir tenir longtemps… elle jouit bien à fond en essayant de rentrer au maximum.

– Vas-y, mets-moi tout, continue, baise-moi plus fort, explose mon cul !

Elle sortit en continuant à écarter mes fesses, mon trou restait bien ouvert, je regardais sa queue bien dure.

– J’ai envie de jouir.!
– Tu peux, continue à m’enculer ?
– ;Oui, bien sûr
– Vite, viens !

Elle me ‘réintroduisit sa bite dans mon cul

– Plus vite dans le cul.!

Elle accéléra, donnant un coup de rein pour rentrer le pénis à fond et sa queue déchargea tout son jus dans mon trou. Elle gémit longuement, et décula, se débarrassa de la capote et m’invita à lui nettoyer le sperme qui maculait sa bite. Puis, Luciana m’embrassa tendrement. J’étais épuisé mais heureux.

J’ai fréquenté Luciana plusieurs mois avant que nos vies professionnelles ne nous séparent. Quant à moi j’ai continué à rencontrer des transsexuelles, je suis amoureuse de leur corps et j’aime tant leur sucer la bite ! Mais mon trop préféré c’est quand je fais l’amour avec deux trans, une bite dans la bouche, une autre dans le cul! C’est l’extase.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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