Samedi 11 novembre 2023 6 11 /11 /Nov /2023 11:59

Les zoophiles célèbres : Catherine II de Russie (1719-1796)

Selon une rumeur, Catherine II de Russie serait morte le 17 novembre 1796 à Saint-Pétersbourg après avoir eu des relations sexuelles avec un cheval, la machine qu’elle utilisait pour mener cette idylle s’effondrant sous le poids de l’animal… Elle avait 67 ans.

Cathy2Si rien ne permet d’étayer cette légende, aussi tenace que celle voulant qu’elle ait passé en revue sa garde prétorienne en érection, le tempérament de feu de l’impératrice de toutes les Russies ne fait aucun doute. Selon les historiens, elle aurait eu une bonne vingtaine d’amants recensés, dont Gregori Orlov et le fameux Grigori Potemkine, un officier de sa garde, qu’elle couvrit de présents. Lorsqu’il s’éloigna de son lit, Potemkine resta son conseiller politique et lui fournit des amants. L’un d’eux, Zimski Kosakov, serait mort à 24 ans en sa compagnie après un abus d’aphrodisiaque.

La construction d’une Chambre des Plaisirs
Pour recevoir ses amants la grande Catherine se serait fait construire une Chambre des Plaisirs. Selon certains ce « cabinet secret » disposait de machines lui permettant d’assouvir tous ses fantasmes. Il contenait aussi du mobilier comme une table au piétement phallique, un fauteuil décoré avec d’explicites sculptures en ronde-bosse, etc… Les murs auraient aussi été couverts de peintures polissonnes, de lustres évocateurs et même de cloisons sculptées. Le réalisateur germano-belge Peter Woditsch a réalisé un documentaire sur ce sujet porté à l’écran en 2002 sous le titre The Lost secret of Catherine the Great. Est-ce l’impératrice qui fit réaliser ce cabinet ou le fut-il par l’un de ses successeurs ? Aucun élément ne permet de trancher.

Toutes ces frasques, qui amuseraient chez un homme et qui ont fait scandale parce qu’elles étaient l’œuvre d’une femme, ne doivent pas faire oublier que Catherine II fut l’une des plus grandes monarques du 18ème siècle. Amie de la raison et des philosophes français des Lumières, elle racheta notamment la bibliothèque de Diderot afin de lui venir en aide et entretint une correspondance fournie avec Voltaire.

article original source : De quoi sont-ils morts ? Le cheval coquin de Catherine II… (planet.fr)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Biographies
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Samedi 4 novembre 2023 6 04 /11 /Nov /2023 14:00

Confessions de travestis - 1 
Fetish

 

Première sortie par Marguerite

zz131027 travBonjour je suis un jeune homme de 19 ans un peu efféminé, mon prénom n’a aucune importance, puisque dans cette histoire je serais Marguerite. Et oui vous le devinez mon fantasme est de m’habiller en fille.
En chattant sur le net, j’ai fait connaissance d’un type qui m’a suggéré des sortes de gages que je devais exécuter. L’un d’eux consistait à m’habiller d’un soutien-gorge et d’une petite culotte de fille sous mes vêtements de garçon et de sortir en ville faire les boutiques. Vola qui tombait très bien puisque cela rejoignait mes fantasmes. Si l’envie de me branler me prenais, je devais me retenir le plus longtemps possible et enfin en désespoir de cause je pouvais me finir dans les toilettes d’un bistrot.
Décidant de réaliser ce gages, je me préparais donc à sortir, j’étais vêtue d’un jean, d’un T-shirt d’un blouson de jeans qui venaient par-dessus un soutien-gorge rose en dentelle blanche avec un petit laçage devant et un string assorti. Dans l’ascenseur je me mirais dans la glace et me trouvais satisfaite de l’image qu’il me renvoyait

Je quittais le quartier puis me jugeant à bonne distance, j’enlevais mon blouson et pris un bus. Il était bondé et je m’avançais au milieu de cette foule en ayant l’impression que l’on voyait au travers de mon jean que tout le monde devinait ce que je portais. Je me demandais si l’un des passagers n’allait pas crier : « Oh le travelo ! » !

Soudain je vois un mec se diriger vers moi, il me fixe je sens son regard sur mes fesses je suis sûr qu’il va me mettre la main au cul, il s’engage vers la porte, il passe derrière moi, le revers de sa main effleure mes fesses, je sursaute littéralement secoué d’une décharge électrique, le mec est déjà dehors

A l’arrêt suivant je me dirige vers le premier bar venu, je rentre, commande un Orangina, et me dirige sans attendre vers les toilettes. Elle sont spacieuses, deux mecs pissent côte à côte, je m’avance poussée par je ne sais quel démon et là je constate qu’ils ne pissent pas, ils se branlent l’un l’autre. Je bande. L’un des types se retourne et me demande si ça m’intéresse, je me suis dégonflé.

Je l’ai regretté, maintenant J’ai besoin de jouir, ça m’obsède je ne vois plus rien, ma tête tourne je suis comme fou, il faut que je rentre chez moi me soulager, puis je reprends mes esprits. Je dois trouver mieux, je prends machinalement la route du bord de mer là où passe les touristes. J’entreprends de faire du stop, mais auparavant j’enlève mon t-shirt et met mon blouson de jean suffisamment entrouvert pour qu’on puisse voir mon soutif. J’arpentais ainsi la route espérant une rencontre, je n’avais pas fait 300 mètres, qu’un grosse Volkswagen break se gare sur le côté. Le conducteur m’interpelle avec un accent allemand à couper au couteau, je me dirige vers la voiture et remarque du même coup qu’il n’est pas seul dans la voiture, il y a sa femme, grassouillet mais le visage agréable.

– C’est Helga, elle ne nous dérangera pas, elle dore me regarder quand je suce un travelo !

Il me fait monter devant demandant à sa femme de passer derrière. Je m’assied ferme la portière, la voiture démarre. L’allemand me demande mon âge, ce que j’aime où je vais. Je me sens en confiance et du coup, j’écarte le pan de mon blouson dévoilant davantage un bout du soutif. La réaction du conducteur est immédiate il commence à lorgner sur le côté, sa main frôle mon genoux lorsqu’il passe les vitesses et pour finir il appuie sur la bosse qui déforme son entre jambe et remonte comme s’il dézippait une fermeture éclair. Malheureusement c’est là qu’on arrive en ville il me dit qu’il doit me déposer; mais prend bien soin de me dire qu’il va séjourner 15 jours au camping au club rose (est-ce une invitation ?) toujours est-il, que je reste là planté au milieux de la rue quelques secondes perplexe, puis je reprends mes esprit j’ai littéralement le feu au cul . Du coup je fonce chez moi, m’enferme à double tour dans la salle de bain et là devant la glace je m’enfourne un gros gode dans le cul…. Quelle joie et quel plaisir d’assouvir enfin mes pulsions : Le gode entre comme dans du beurre dans mon petit trou de salope et je le fait aller et venir pesant lentement sur chaque mouvement. Le miroir me renvoie mon image avec cette petite poitrine dessiné par le soutif rose, ma bite super tendue qui sort de ce petit slip dentelé et enfin ce pieu planter en moi… Je ne tarde pas à jouir dans un râle sonore et prolongé, je me laisse terrasser par la jouissance, de long jets de sperme éclaboussent le miroir et je m’effondre comme un sac sur le tapis de bain. Je reste bien quelque minutes le corps poisseux de sperme le gode toujours dans le cul puis je reprends mes esprits me dégage du gode, tout est fini je suis repu.

Demain j’irais faire un tour au club rose, j’espère que je rencontrerais l’allemand et que je pourrai lui sucer la bite avant qu’il ne m’encule.

Jany par William

En rencontrant Jany, Maggy et moi ne nous attendions pas à une soirée aussi surprenante.

Mon amie Maggy et moi sommes liée par une complicité quelque peu perverse qui nous permet de jouir de tous les plaisirs sexuels). Si nous ne courons pas les partouzes, notre excitation et notre jouissance sont chaque fois majorées par la rencontre d’un troisième partenaire.

Maggy tous en me faisant une pipe, aime se faire sauter par un gars qui lui plait, mais la plupart du temps c’est une demoiselle a qui ont fait appel pour se joindre à nos ébats amoureux.

Quel plaisir pour moi d’enculer l’une ou l’autre pendant qu’elles se mange !!!!!!…..

En rentrant un soir du travail, Maggy m’a dit avoir fait la connaissance dans une boutique de lingerie sexy, d’une jeune femme brune avec un charme exceptionnel : les yeux verts et des taches de rousseur se mariant très bien à une chevelure auburn assez court, petits seins dont on devinait les aréoles roses et les pointes érigées sous sa chemise, fesses rondes et musclées sous une mini-jupe moulante .

Elle a accepté une invitation à diner pour le lendemain et j’ai partagé l’excitation de Maggy dans l’attente de cette rencontre .

Jany étais en effet une rousse au charme indéfinissable (que j’adore). De plus elle était grande, avec des épaules larges et des hanches étroites. Sa voix un peu rauque étais prenante et j’ai vite été persuadé que cette femme androgyne étais dotée d’une sensualité propre à nous ravir, mon amie et moi .

Après une conversation qui devint osée à la fin du diner, Maggy assise à côté de notre invitée sur le divan, entreprit de lui caresser les seins tous en l’embrassant.

Sans se dérober, Jany garda son regard rivé au mien, ce qui m’incita à les rejoindre.

Une main de notre amie s’est alors portée sur mon sexe qui durcissait .

Abaissant mon pantalon, elle délaissa la bouche de Maggy pour me sucer. En commençant par son haut, mon amie déshabilla Jany et, sous une ravissante petite culotte de dentelle noire, elle découvrit à notre étonnement un sexe d’homme qui bien que modeste, bandait fièrement, c’est un travesti qu’avait dragué Maggy sans le savoir (du moins c’est ce qu’elle m’a laissé entendre)

Son excitation redoubla et elle saisit cette petite queue entre ses lèvres charnues .

Le va-et-vient qu’elle entreprit mit du temps à déclencher l’orgasme de notre invitée, alors que depuis un moment déjà, j’avais joui dans sa bouche .

Après une période calme, Jany me demanda si je serais d’accord pour le sucer. J’hésitais un peu mais Maggy m’encouragea, je me retrouvais donc avec ce délicieux pénis dans la bouche, puis au bout d’un moment, saisi d’une pulsion folle, je me retournais et lui offrais mes fesses tandis que Maggy se branlait compulsivement.

Première fois en travestie par Maria50TV

Cette histoire se passe dans les années 80, à l’époque je venais d’avoie 18 ans

Avec un ami cela faisait plusieurs temps que l’on avait une relation. Un jour en discutant il me dit qu’il aimerait bien me voir porter des vêtements féminins. Tout en me disant ça il m’explique qu’il a trouvé des sous-vêtements affriolant dans les affaires de sa mère.

Je lui dis que cela serait très intéressant donc on prit rendez-vous un jour où nous serions sûr d’être seul, un après-midi complet. Le jour convenu j’arrive chez lui là nous allons directement dans la chambre de sa mère où il a déjà sorti tous les habits qu’il voulait que je porte.

Je me déshabille pour mettre la tenue qu’il a choisie pour moi, je commence par enfiler une guêpière puis les bas qui vont avec, pour les chaussures nous regardons dans le placard par chance sa mère fait la même pointure que moi, je prends une paire d’escarpins avec des talon de 7 cm, une fois vêtu il me fait défiler devant lui pour voir le résultat.

Après on se dirige vers sa chambre, il se déshabille on s’assied sur le lit, je le rejoins et m’agenouille devant lui. On commence à se caresser tous en s’embrassant, je sens ses mains sur mon corps, son sexe qui grossit contre mon torse. Il s’allonge sur le lit, je viens prendre son sexe en bouche, je le fais aller et venir en variant l’allure, lui pendant ce temps me prépare l’anus en le lubrifiant et en me pénétrant avec ses doigts.

Quand je sens que je suis prêt je viens m’empaler sur son sexe qui rentre en moi sans effort, je le sens bien au fond de moi; là je commence à monter et descendre sur sa queue puis au bout de quelques minutes il me fait mettre à quatre pattes et me pénètre, ses mouvement sont plus puissants, il me défonce le cul.

Tous en me prenant il me traite de pute, de chienne, moi je lui dis que j’aime être pris comme ça, que je suis sa chienne. Il se retire de moi me tend sa queue pour que je le suce et pour recevoir son sperme au fond de ma gorge.

Le temps de prendre un petit café pour nous remettre, je me glisse sous la table pour aller prendre son sexe en bouche. Grâce à mes aller-retour sa queue reprend de la vigueur et devient bien raide.

Il me demande de me relever, je place mes mains sur la table et lui présente mes fesses qu’il commence à malaxer puis il sort de la pièce pour aller chercher des objets.

Quand il revient il a plusieurs objets différents il prend le premier qui est une brosse à cheveux il commence à me taper sur les fesses avec, je sens les coups qui au début sont désagréables puis au fur et à mesure cela devient très agréable puis il m’enfonce le manche de la brosse avant de le faire entrer et sortir en le tournant dans mon anus.

Puis il prend un morceau de manche à balai qu’il m’introduit à la place de la brosse il l’enfonce de plus en plus profondément en moi et recommence les allers retours. Avec la brosse il me tape sur les fesses, je sens le plaisir monter, je lui demande de me prendre. Il retire le manche et me pénètre d’un seul coup je sens son sexe qui rentre en moi jusqu’à la garde il commence à me pilonner de plus en plus vite, puis il me demande de m’allonger par terre les jambes bien relevées.

Là il me défonce comme si j’étais une femme je sens son sexe qui grossit en moi, son sperme qui gicle dans mon cul en plusieurs jets, pour finir il me donne sa queue à sucer.

Voilà comment ce termine ma première journée en travestie !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Samedi 4 novembre 2023 6 04 /11 /Nov /2023 07:29

La blondasse de la plage par Jean-Sébastien Tiroir
stamp trans

La blondasse de la plage

Elle se faisait dorer sur le sable brulant
Les seins nus, les bras ballants
Un grande perche, blonde platinée
Lèvres charnues et joli nez
Et plein de bijoux
Un peu partout
– Vous ne m’avez jamais vu ?
M’interpella la belle inconnue
– Vous ne seriez pas si troublante
– J’aurais passé mon chemin en dilettante
– Voici une réponse flatteuse
– Et qui me rend heureuse
– Posez-vous à mes cotés
– Nous allons papoter
Et là, j’ai vu la bosse dans son bas de maillot
Une bosse en forme de petit tuyau
– Hi, hi, je suis une fille à braquemart
– Je vous ai bien eu, mon gaillard !
– Et si je vous disais que cela ne me dérange pas
– Alors venez me sucer chez moi , c’est à deux pas.

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Lundi 30 octobre 2023 1 30 /10 /Oct /2023 20:36

Jennifer et les schtroumpfettes par Geneviève01

 

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Bonjour du Québec ! C’est Jennifer! J’ai 18 ans et j’ai une belle histoire à vous raconter.

Depuis toujours, je fantasmais que mon milieu de travail se transforme en orgie et ça s’est réalisée hier soir. Il était 10 heures du soir et nous étions 7 dans la boulangerie. Notre quart de travail était sur le point de se terminer.

Soudainement, je ressentis une main voyageuse s’approchant dangereusement de mes miches. Je me retournai et vu Mike tout excité qui commençait à me taponner. Le désir coulait en moi et à travers ma petite culotte. Ne pouvant résister au péché de la chair, j’offrais ma bouche à un bon « french », il me bécota goulûment. Pendant que nous nous embrassions, j’ai sentit son petit pain devenir baguette. Je baissai sa braguette pour le laisser lever à tous vents. Je pris son membre et commençai à le lui sucer.

La contremaître, Vanessa, voyant le manège, s’approcha et commença à me licher l’entre fesses. À force d’aspirer, Mike me beurra la cavité buccale et j’avalai sans dédain et nettoyai le tout avec ma langue pour recommencer. Puis, Isabelle arriva, se déshabilla rapidement et Mike commença à lui humecter la chatte et je taponnai les seins d’Isabelle au même moment.

C’est alors qu’arrivèrent Francine, Mélissa et Monica. Elles se joignirent joyeusement à nous quatre. Mike nous demanda de lui faire un show de lesbiennes pour son fun. Nous avons accepté avec plaisir. Francine me déversa sur moi et sur Isabelle un pot complet de confiture aux bleuets, il fallait licher le dégât. Les quatre autres se roulèrent dans les bleuets. Monica me licha le jus qui était sur mes seins et en même temps, Mélissa commença à licher le petit minois de Monica. Pendant ce temps, Mike se branla devant le spectacle. Disant qu’il était fatigué, Vanessa alla terminer le travail. Francine licha la chatte de Mélissa, moi je lichai celle de Francine. J’étais excitée comme jamais. Je tâtais tous les seins qui passaient. L’odeur mélangée des bleuets et du jus de chatte m’enivrait. Nous ressemblions à des schtroumpfettes en pleine orgie. On se faisait des cunnilingus successivement. Comme je trouvais que les autres commençaient à ralentir, je me dirigeai vers Mike pour qu’il m’encule. Je bondissais de joie sur la verge de Mike qui lui, me tâtais les seins. Vanessa commença à m’embrasser et à (elle aussi) me masser les seins d’une main et de l’autre elle me flattait la chatte. Les quatre schtroumpfettes se dirigèrent vers notre trio et commencèrent à nous embrasser. Mike commença à gicler là, sur nous six.

 

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Nous consommâmes le liquide blanchâtre comme si cela était notre dernier repas. Puis, nous avons crié dans un râle de jouissance tonitruant. Le bruit de notre orgasme rebondit dans toute la boulangerie. Nous nous sommes couchées sur le sol et nous nous sommes lichées délicatement. Nous nous sommes dirigées vers la douche pour nous laver, mais ça c’est une autre histoire…

 

Première publication sur Vassilia, le 25/03/2001

Note du Webmaster : Signalons aux lecteurs peu habitués aux québécismes que la confiture de bleuets dont il est question ici n’est rien d’autre que de la confiture de myrtilles (merci à Joy pour cette indispensable précision)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Années 1990
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Jeudi 19 octobre 2023 4 19 /10 /Oct /2023 15:24

Les tapineuses de la route par Enzo Cagliari – chapitre 2 – Virginie
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Résumé du chapitre précédent :

Voulant bénéficier des services d’une prostituée, je tombe sur Adeline, la meilleure amie de ma fille. Au moment de la quitter, je vois descendre d’une camionnette, ma propre fille Virginie. (voir Les tapineuses de la route - 1)

Virginie ne m’a pas vue et s’avance comme une fleur vers sa camarade. Celle-ci lui fait des signes voulant la dissuader de s’approcher mais elle ne comprend pas et continue d’avancer.

Je me recroqueville dans ma voiture et met le contact.

Trop tard, je cale et Virginie s’avance imprudemment.

Elle me reconnait, pousse un cri.

– Oh !
– Qu’est-ce que tu fous là ? Tempêtais-je en baissant la vitre
– Ce n’est pas ce que tu crois… commence-t-elle
– C’est quoi alors ?
– Je venais dire bonjour à Adeline…
– Dans cette tenue ?

Eh oui, minijupe vraiment mini, haut déboutonnée sur un soutien-gorge à balconnet. Pas vraiment une tenue de jeune fille sage !

– Je voulais juste m’amuser ! Bredouille-t-elle
– Tu t’amuses à faire la pute, c’est cette trainée d’Adeline qui t’as entrainée ,
– Dis donc, la trainée, tu as été bien content de la trouver, si je n’amuse.

Touché !

– Mais pourquoi tu fais ça ?
– Et toi pourquoi tu vas aux putes ?

On ne va pas s’en sortir.

– Je ne suis pas parfait !
– Ben moi non plus et d’abord je ne fais de mal à personne.
– C’est pour le fric ?
– Même pas ! Mais je ne crache pas dessus.
– Alors ?
– C’est un fantasme, j’aime me sentir pute, j’aime que des mecs se dise, elle est tellement jolie que je n’hésite pas à payer pour faire l’amour avec elle.
– Eh bin ! . Et tu en as d’autres des fantasmes comme ça ?
– Ah, si tu savais ,
– Je m’attends au pire !
– Mais je te ne dirais pas !
– Tu te rends compte, si ta mère apprenais ça ?

Elle éclate de rire ! Qu’est-ce que j’ai dit de drôle ?

– Tu ne va pas me dire qu’elle est au courant ? Repris-je
– Non, elle n’est pas au courant.
– Ah, tant mieux !
– Bon alors maintenant à toi de me dire ce que tu vas faire, je suis majeure, donc j’ai parfaitement le droit de me prostituer. Donc, soit tu fais avec, soit tu me fous à la porte.
– Je ne te fous pas à la porte, mais tu arrêtes tes conneries.
– Non, voyons les choses autrement, je ne serais pas ta fille et tu m’aurais vu fringuée comme je suis, tu m’aurais invité à monter dans la bagnole ?.

En voilà une question ! Et la réponse est « oui », mais je ne vais pas lui dire.

– Ben alors tu me réponds ?
– Je ne réponds pas aux questions idiotes.
– Alors renie-moi, dis-moi que tu je ne suis plus ta fille !
– Quel intérêt ?
– Pour que les choses soient claires.
– Non, je ne peux pas faire ça !
– Dis le quand même.
– Mais non !
– Dis simplement que je ne suis plus ta petite fille bien sage !
– Oui ça je peux le dire
– Ben dis-le
– Tu n’es plus ma petite fille bien sage

Je vois alors ma fille comploter à voix basse avec Adeline. Qu’est-ce qu’elles foutent ?,

– Ouvre les deux portières, on va discuter tous les trois… entre adultes responsables.

putes routes2
Tu parles d’adultes responsables ! Mais j’accède à leur demande, Adeline vient s’assoir à ma gauche, Virginie à ma droite.

– Bon je vous écoute les filles !
– Je parie que tu bandes encore ! Me dit Adeline
– Hein ?

Et la voilà qui me tripote la braguette.

– Mais arrête de me tripoter.
– D’accord, alors embrasse-moi les seins ! Répond-elle en me les foutant sous le nez.

Quand un téton érigé se balade à trois centimètres de votre bouche, qu’est-ce que vous faites, vous ? Parce qu’à cet instant ce n’est plus le cerveau qui commande, ni la raison, ce sont les hormones, alors on attrape cet insolent téton et on suce et par effet de contagion la bite de met à bander.

Et d’ailleurs une main se repose sur ma bite, mais cette fois ce n’est pas la main d’Adeline, mais celle de Virginie.

– Mais Virginie tu es malade !
– Mais non, tu m’as bien dit que je n’étais plus ta fille bien sage, je suis juste une pute et je veux te faire plaisir!
– Mais…

J’ai la tête qui tourne, ma fille m’a choppé la bite et la mise dans sa bouche, je suis en train de me faire faire une pipe par ma propre fille ! Je rêve ou quoi. Putain qu’est-ce qu’elle suce bien ! Je ferme les yeux, quand je les rouvre c’est pour constater qu’elles sont deux à me sucer. Et c’est bon

J’éclate mon sperme qui atterrit sur le visage des deux coquines.

Au lieu de s’essuyer avec un kleenex elles se lèchent réciproquement le visage, mais quelles salopes ces deux là !

– Tu vas le dire à Maman ? Me demande Virginie.
– Non !
– Tu sais elle a les idées larges, parfois je lui lèche le minou, elle adore ça et moi aussi !

Oups !

 Tu racontes n'importe quoi ?
 Tu n'auras qu'à lui demander !

Ben non, je ne vais pas lui demander, des images défilent dans ma tête notamment celles de son intérêt jamais démenti pour les jolies femmes. Se pourrait-il que… Mais bon je suis assez mal placé pour lui en faire reproche.


Un peu plus tard

– Un demi comme d’habitude Monsieur Martin ?
– Non un double whisky sans glaçon !

Trop de choses dans ma pauvre tête, je n’arrive pas à trier.

Je ne suis pas parvenu à trouver le sommeil cette nuit, le lendemain matin j’ai pris mon petit déjeuner en face de Virginie, on a fait comme s’il ne s’était rien passé et puis quand mon épouse s’est éloigné :

– Tu fais quoi aujourd’hui ?
– Comme d’hab’ !
– Je passerais peut-être te dire bonjour !
– Comme tu veux, mais ce sera 50 euros.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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