Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:00

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 8 – Partouze cosmique avec Indira par Nicolas Solovionni
Solo

Après une petite douche réparatrice, je m’en allais voir Edina…

– Je voudrais te demander une faveur.
– Tout ce que tu veux mon petit chou. Me répond la maîtresse des lieux, d’humeur joyeuse.
– Il s’agit d’Indira …
– Mais encore ?
– Elle voudrait venir avec moi…
– Sûrement pas. Pas elle, choisis-en une autre si tu veux.

J’avoue ne pas comprendre ! Mais devant mon air décontenancé, elle daigne m’expliquer :

– C’est la seule fille à savoir qui je suis réellement, je ne peux pas prendre le risque de l’envoyer dans la nature.
– Mais quelle importance maintenant ?
– Ah oui, c’est vrai ! Alors d’accord embarque-la.

Il fut donc convenu que je décolérai le lendemain. Auparavant je contactais le capitaine Trujillo :

– Tu vas pouvoir repartir, le poulet je m’en charge !
– OK. Mais ce n’est pas possible de faire un peu de commerce, ici ?
– Je vais voir si je peux t’arranger ça !

Edina me souffle qu’elle a des glochtons surgelés en rabe.

– Ce sont des espèces de poisson, c’est délicieux, si tu veux je te donne l’adresse d’un restau sur Vargala, tu viendras de ma part. Précisais-je à l’attention de Trujillo.

Baboukar s’est occupé des détails de la transaction et après que Trujillo ait rempli ses calles, il redécolla en direction de Vargala, son port d’attache.

Trois semaines plus tard sur Vargala

– Le Dolphin du capitaine Trujillo est à l’approche, je vous préviens comme convenu. Indiqua Rudy, le contrôleur de l’astroport dans son spacephone.

Dix minutes plus tard Kloben était sur les lieux.

– Attention, attention, contrôle bactériologique, veuillez tous sortir du vaisseau et rester sur le tarmac en attendant que l’équipe sanitaire fasse son travail. Un gaz mortel sera utilisé pour l’opération, ne laissez aucun être vivant à l’intérieur y compris les chats et les oiseaux.

Et tandis qu’une équipe gaze l’intérieur du vaisseau un logiciel de reconnaissance faciale scanne l’ensemble des personnes présentes sur le tarmac.

– Merde il n’est pas avec eux ! Rouspète Kloben, le mafieux

Il reprend le micro.

– On va rouvrir votre sas. Attendez dix minutes avant de réintégrer le vaisseau si vous avez des choses à y faire. Capitaine Trujillo, merci de vous présenter à la capitainerie du port pour quelques courtes formalités ?

Trujillo a déjà vu cet homme, mais ignore ce qu’il est.

– Bonjour capitaine, z’avez fait bon voyage ?
– Très bien, mais vous êtes qui ?
– J’y viens, vous connaissez la loi de Vargala ?
– Evidemment ! Mais quel rapport avec moi ?
– Le rapport c’est que vous avez embarqué comme passager un criminel… nous attendions son retour, mais il n’est pas là
– C’est de Topar que vous parlez ?
– Oui c’est l’un de ses pseudos…
– Quand il m’a proposé de le prendre comme passager, vous vous doutez bien qu’il n’est pas venu se vanter de ses activités criminelles. Alors vous me reprochez quoi ?
– Rien du tout, j’aimerais juste savoir ce qu’il est devenu ?
– Il ne m’a jamais donné l’impression d’être un homme en fuite, il m’a précisé sa destination et m’a payé. On a appris ensuite qu’il était flic et qu’il voulait exfiltrer un otage…
– Et…
– Après je ne sais pas, soit il lui est arrivé quelque chose soit-il simplement resté sur place.
– Donc vous ne l’avez pas attendu, mais qui vous a donné instruction de repartir sans lui ?
– Je suis capitaine et seul maître à bord, et je n’ai pas d’instructions à recevoir pour prendre mes décisions, je fais encore ce que je veux ! S’énerve Trujillo.
– Je ne voulais pas vous froisser, mais c’est Topar qui vous a dit de repartir sans lui ?
– Le dôme m’a prévenu que Topar ne repartirait pas avec moi..
– Le dôme ?
– Ben, oui le dôme ! répliqua Trujillo.

Son interlocuteur ne comprenant rien, le capitaine se lança dans des explications complémentaires.

– Vous savez précisément quelle est la personne qui vous a indiqué que vous pouviez repartir sans votre passager ?
– Oui.
– Et donc ?
– Ce n’est pas un peu fini cet interrogatoire ?
– Ce n’en est pas un, c’est une discussion amicale.
– Tu parles !
– Répondez-moi et nous en aurons terminé.
– Je suis obligé ?
– Non mais ça nous fera gagner du temps, sinon on finira par trouver.
– C’est le capitaine Stoffer.
– Stoffer, mais qu’est-ce qu’il est allé foutre là-bas ?
– Vous lui demanderez, maintenant si vous me permettez, j’ai du poisson à décharger.
– Du poisson ?
– Oui vous savez, ces machins qui vivent dans l’eau avec des arrêtes.

Kloben donna ensuite instruction à Rudy de le prévenir dès que je reviendrais.

– Même procédure qu’avec Trujillo !
– Bien chef !
– Et on ne se moque pas.
– Bien chef !

Trujillo, fort énervé rejoignit son staff.

– C’était quoi ? Demande Angie, sa technicienne de bord.
– La mafia ! Ils en ont après Topar, d’après ce que j’ai compris, il aurait tué un mec.
– Et qu’est-ce qu’on à voir là-dedans ?
– Rien, mais ça m’a pris la tête, on va faire entreposer le poisson dans les docs, tu peux t’occuper de voir avec le restau que nous a indiqué Stoffer ?

Angie sauta sur l’occasion, préleva une grosse tranche de poisson, se dirigea vers le « Fumet des étoiles » et demanda à voir le chef.

– Je viens de la part du capitaine Stoffer, on a un stock de poisson à écouler, il parait qu’il est génial…
– Faudrait vraiment qu’il soit génial, parce que du bon poisson, on a ce qu’il faut, mais si c’est Stoffer qui t’envoie je veux bien faire un petit test.

Et le chef s’empara du filet de poisson, le décongela puis le poila de façon toute simple.

– Putain, c’est délicieux ce truc, ça sort d’où ?
– Je vous dirais, j’en ai un bon lot en dock, vous êtes preneur ?
– Oui, mais une fois que le stock sera épuisé…
– J’ai les coordonnées de la planète d’origine, on y est allé un peu par hasard… le poisson ils en ont à foison, mais il n’y a pas que du poisson…
– Quoi d’autre ?
– C’est là que serait détenue Edina Von Graz.
– Non ?
– Si !
– Y’a une prime pour sa récupération, je crois.
– Oui, une bonne prime !
– Et votre capitaine, ça ne l’intéresse pas ?
– Laissez-moi mes petits secrets, mais si vous connaissez quelqu’un que ça intéresse, je me contenterai du tiers de la prime. Répondit Angie.
– Laissez-moi vos coordonnées, je vais examiner le problème.

Je pris congé d’Edina le lendemain matin.

Vous allez donc penser que je vais arriver sur Vargala 24 heures après Trujillo, ben non, ça ne se passe pas comme ça, les étoiles ne sont pas fixes et gravitent autour du centre galactique à la vitesse de 250 km/seconde. Donc tout cela est variable. Je peux très bien arriver avant lui ou le suivre d’une semaine.

On a donc embarqué Topar, qui tire une tronche pas possible, ce qui peut se comprendre aisément. Et on l’a enfermé dans une cabine.

Ce type pose problème, je suis persuadé qu’il ne renoncera pas à sa prime et qu’il va trouver le moyen d’essayer de pourrir la vie d’Edina. Mais bon, ce ne sont plus mes oignons. Edina est bien consciente de la situation et aurait aimé que je le fasse disparaître… désolé, je n’ai pas l’âme d’un assassin

La cabine de Topar est munie d’un interphone, il me fait donc savoir qu’il aimerait bien me causer.

Qu’est-ce que cet abruti peut avoir à me dire ? Je le fais poireauter, je ne suis pas à sa disposition.

J’ai attendu qu’on soit passé dans l’hyperespace, ce qui fait que je me suis pointé dans sa cabine une bonne heure après son appel.

– Je vous écoute.
– On va où ?
– Demandé de cette façon, je ne risque pas de vous répondre.

La tronche qu’il me tire, s’il pouvait me bouffer, je suis sûr qu’il le ferait.

– J’aimerai savoir où nous allons, capitaine ?
– Je rentre sur Vargala.
– Ça ne m’arrange pas …
– Eh bien tant pis pour vous !
– Je vais vous faire une proposition, débarquez-moi sur Derell, je vous paierai largement.
– Non.
– Vous seriez gagnant …
– J’ai dit non et ce n’est pas négociable. C’est tout , Je peux m’en aller ?
– Si je débarque sur Vargala, je suis en danger de mort.

En me disant ça le mec est devenu blanc comme un ours polaire.

– Ce n’est pas mon problème !

N’empêche que m’a curiosité naturelle fait que j’aimerais bien savoir pourquoi il me sort ça.

– Et pourquoi seriez-vous en danger de mort ?
– J’ai tué un mec. !
– C’est très vilain, ça. Me gaussais-je.
– C’est ça. Foutez-vous de ma gueule !
– Et vous aviez une bonne raison de commettre un crime ?
– Bof.
– J’ai peut-être une solution pour vous éviter de vous faire trucider mais ce n’est pas gratuit.
– J’ai de l’argent.
– Je m’en fous de l’argent, ce qui m’intéresse c’est de comprendre vos motivations.
– Mes motivations ?
– C’était quoi ton plan, à l’origine ?
– Récupérer Edina, ensuite sur Vargala je demandais l’aide et la protection de la police locale.
– Et t’empochais la prime ?
– Oui.
– Donc t’es un chasseur de primes.
– Non, mais c’est l’occasion qui fait le larron.
– Drôle de larron ! Et si tu as l’occasion de récupérer la prime, je suppose que tu n’hésiterais pas ?
– Je ne vois pas comment ?
– Ne me prends pas pour un con, je vois d’avance comment tu pourrais te débrouiller.
– Ben non, j’ai joué une carte, j’ai perdu, il me faut tourner la page.

Ce mec me paraît aussi sincère qu’un candidat aux élections. Mais j’ai tendance à lui accorder le bénéfice du doute. J’ai bien le droit d’avoir mes faiblesses.

– Une fois qu’on sera posé, tu fileras au Bar du Destin, ils possèdent un passage vers la presqu’île des exclus, là-bas on te foutra la paix, c’est pas le paradis, c’est plein de voyous mais c’est mieux que de se faire égorger. Il est possible qu’on te demande un code, ce sera « crocodile »…
– Merci m’sieur.
– On dit « merci capitaine ».
– Merci capitaine.
– De rien, salut.

Et je m’en allais rejoindre ma petite compagnie.

Parce que j’aime bien respecter certaines traditions, et notamment celle qui consiste pour le staff à boire un coup après être passé dans l’hyperespace.

J’ai invité Indira à partager ce pot de l’amitié en la mettant toutefois en garde.

– Ce genre de chose a tendance à finir de façon très débraillée, si tu vois ce que je veux dire…
– Humm.
– Si la situation devient gênante, tu pourras toujours t’éclipser discrètement, personne ne t’en tiendra rigueur.

Elle n’eut pour seule réponse qu’un petit sourire énigmatique.

On se sert à boire, on trinque, l’ambiance est bon enfant. Nadget est complétement déconnante.et au bout de quelques minutes seulement elle provoque Indira.

– Tu me plais bien, toi ! J’aimerais bien te caresser.
– Me caresser comment ?
– Gentiment !
– Oui mais me caresser quoi ? Les joues, les avant-bras, le bout du nez.
– Un peu partout !
– Même dans les endroits cachés ?
– J’aimerais bien, oui !
– Tout à l’heure peut-être ! Indique Indira.

Du coup Nadget est un peu refroidie. Dyane se rapproche à son tour.

– Et toi tu aimes caresser les femmes ?
– Ça m’arrive !

Et sans plus de discours, Dyane se dépoitraille.

– Ils te plaisent ?
– C’est une jolie poitrine !
– Tu veux caresser ?
– Avec plaisir.

Et sans hésiter davantage, les mains d’Indira se posent sur les seins de Dyane et se livrent à de sensuelles caresses.

En même temps, Nadget qui a de la suite dans les idées passe derrière Indira et entreprend de la déshabiller en douceur. Cette dernière se laisse faire…

Et les garçons, pendant ce temps ? Me direz-vous.

Il existe une règle implicite (mais pas toujours respectée) voulant que lorsque des femmes se caressent ensemble pendant une partouze, la venue d’un mâle est toujours contreproductive.

Alors on reste en place, la main sur la braguette, mais comme Nerren est proche de moi, sa main s’égare là où devrait être la mienne.

Je me laisse faire, j’adore qu’on me tripote la bite et afin de lui en faciliter l’accès, je vais même jusqu’à baisser mon pantalon.

Ce gros coquin s’empare de mon sexe et le branle jusqu’à ce qu’il bande correctement, puis il se baisse et met tout dans sa bouche.

C’est qu’il suce bien l’animal, mais j’aimerais bien sucer aussi, je le lui fais comprendre… Pas de problème, on se déshabille tous les deux. Et c’est donc mon tour d’emboucher cette jolie bite dont je ne saurais me lasser.

Dilos est peu intéressé par la bisexualité masculine, il préfère regarder les filles, mais pour ne pas avoir l’air idiot il s’est néanmoins débarrassé de ses vêtements et se branle mollement.

Les filles parlons-en un peu, en ce moment ça se passe sur la couchette où Dyane est entre les cuisses d’Indira et lui lèche la chatte, tandis que cette dernière gougnotte celle de Nadget.

Un joli trio qui s’agite frénétiquement, ponctuant ses débats de râles de plus en plus expressifs. Et bientôt ce sont des cris de jouissances dont j’ignore de qui ils proviennent. Je peux pas tout voir, c’est que j’ai une bite dans la bouche, moi !

Ces femmes se sont un peu calmées et s’échangent de tendres câlins. Du coup Dilos va tenter sa chance.

– Alors les filles, on s’est éclaté !
– Ben oui, je te vois venir, toi ! Lui répond Dyane.
– Comment ça ?
– Tu aimerais bien une petite sucette ?
– Ce sont des choses qui ne se refusent pas !
– Bon on va pas être vache, on ne va pas te laisser faire banquette ! Reprend Dyane en lui saisissant la bite et en l’embouchant tout de go.

C’est qu’elle la connait par cœur, Dyane la pine de Dilos, ces deux-là ont longtemps été très proches, ils le sont moins maintenant, mais ne sont pas fâchés.

– Les filles si vous voulez sucer, c’est délicieux et c’est tout raide, mais moi je fatigue un peu de la bouche.

Nadget et Indira répondent à l’appel avec une telle célérité qu’elles s’en cognent la tête. Petit moment de rigolade puis les deux filoutes entament une fellation à deux bouches.

Stoffer08Quelle partouze mes amis ! Quelle partouze ! Et ce n’est pas terminé. Nerren est maintenant derrière moi à me flatter les fesses, enfin quand je dis les fesses, il faudrait plutôt dire le trou du cul. Et vas-y que je te lèche et vas-y que je te fous un doigt agitateur !

Et après la langue et le doigt… Devinez quoi qu’y a ? Ben oui, il m’encule, le gaillard et il le fait très bien, j’adore ça et je n’ai même pas honte !

Et tandis que Nerren s’agite comme un forcené dans mon intimité, Dilos, ce petit cochon a trouvé le moyen de prendre Indira en levrette. Dans quel trou ? Ah, je ne vois pas bien mais je crois bien qu’il la sodomise !

La partouze bat son plein, je me fais enculer, Indira aussi tandis que Dyane et Nadget se gamahuchent à qui mieux mieux.

Qu’est-ce qu’il m’encule bien, le Nerren, tous ces coups de pistons dans mon cul me procurent des frissons de plaisir intenses. Et puis tout d’un coup un cri se jouissance, non ce n’est pas Nerren, c’est Dilos… qui du coup sort du cul d’Indira exhibant une bite visqueuse de sperme et de merde. Indira complétement barré se précipite sur l’organe et lui nettoie tout ça de sa petite bouche vicieuse.

Et c’est au tour de Nerren de jouir et de déculer, il s’essuie le zigouigoui et part s’assoir, épuisé, il manque d’exercice ce garçon.

– J’ai envie de pipi ? Ça intéresse quelqu’un ? demande Indira à la cantonade.
– Moi, moi, moi ! Répond Dyane.
– Faites pas ça ici ! Indiquais-je
– On épongera ! Me répond ma seconde de vaisseau

J’ai donc pu assister une nouvelle fois au charmant pipi d’Indira… juste assister pour cette fois, on ne peut pas tout avoir ! Dommage… mais voici Nerren qui s’est relevé.

– Si tu veux du pipi, je peux t’offrir le mien !
– Vas-y mon grand pisse-moi dans la bouche

Et pendant que j’avalais son champagne maison, une main m’attrapa la bite et la branla jusqu’au bout, c’était la main de Nadget…. Je l’adore cette fille… En fait j’adore beaucoup de monde, j’ai un cœur d’artichaut.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:58

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 7 – Topar, puis Indira par Nicolas Solovionni
Solo

Le capitaine Trujillo s’installa aux commandes et amorça sa descente, sortant son train d’atterrissage.

– Merde ! Trop court ! Je ne vais avoir assez de longueur de piste.

Il freina à mort mais rien n’y fit, il redressa le vaisseau afin de l’empêcher d’aller dans les décors.

– On recommence !

La seconde tentative fut pire, Topar s’agaça :

– Vous avez appris à piloter où ça ? A la fête foraine ?
– Vous commencez à m’énerver, prenez les commandes si vous n’êtes pas content !

A la troisième tentative le vaisseau parvint à se poser… de justesse

Topar s’empare du micro :

– Allô le dôme, ici la police galactique, nous allons procéder à une inspection de routine. A vous !
– Je vous rappelle de suite, répondit Baboukar avant de se précipiter chez Edina.
– J’ai entendu ! répondit cette dernière. On applique le plan rouge. Tu te souviens de tout ?

L’une des composantes de ce plan consiste à dissimuler l’entrée de l’appartement d’Edina derrière une cloison théoriquement indétectable, une opération qui ne prend qu’une petite minute.

Baboukar reprend le micro.

– Veuillez nous envoyer votre mandat.
– Nous n’en avons pas, nous sommes arrivés fortuitement dans votre système.
– Alors je ne vous laisse pas entrer.
– C’est comme vous voulez, mais on reviendra plus tard avec un mandat et en attendant on vous interdira toute sortie.

Edina dans l’oreillette lui indique de le faire entrer…

– Bon, c’est OK, mais une fois dans le sas, vous déposerez toutes vos armes.

Topar accepte se disant que ce détail pourra aisément se régler.

– Maintenant, dit-il à Trujillo, il me faut cinq hommes avec moi.
– Je vous ai déjà dit qu’il n’en était pas question…
– Je vous rappelle que j’ai pouvoir de réquisition.
– Ça ne marche pas s’il y a des risques, faites ce que vous voulez mais je ne vous fournirai personne.
– Connard !
– Et vous avez le droit de rester poli.
– J’irais donc seul, je suppose que vous avez une combinaison adaptée.
– Mais bien sûr, monseigneur.
– Pfff.

Sur l’écran de contrôle d’Edina le vaisseau est bien visible.

– On peut zoomer ? Demandais-je.

On zoome, ce vaisseau me dit quelque chose.

– C’est le Delphin, le vaisseau du capitaine Trujillo.
– Vous le connaissez ?
– Pas plus que ça. Mais ce n’est pas un vaisseau de flics, c’est un cargo !.
– On fait quoi ? Demande Edina qui commence à s’angoisser.
– Je ne sais pas trop, à mon avis il s’agit d’une bande d’aventuriers qui a pris le contrôle du vaisseau de Trujillo.

La vidéo de contrôle montre le sas du vaisseau qui s’ouvre, un homme sort, personne ne le suit.

– Un mec tout seul ! Ça n’a aucun sens ! M’écriais-je.

On attend, il se confirme que l’homme est bien seul. On le laisse entrer, il pénètre dans le sas et se débarrasse de sa combinaison antifroid pour revêtir une tenue banalisée mise à sa disposition, il tente d’y dissimuler une arme de poing.

– Posez cette arme, sinon on ne vous laisse pas entrer. Lui signifie Baboukar dans le micro.

Topar n’a d’autres options que d’obtempérer.

– Ne lui ouvrez pas de suite, je voudrais vérifier quelque chose. Suggérais-je à Edina
– Vous voulez faire quoi ?
– Juste un petit contrôle, j’aimerais qu’on me connecte à ce vaisseau.

L’opération fut rapide.

– Allô, le Delphin, ici le dôme, pourrais-je parler au capitaine Trujillo. ?
– C’est moi, qui vous a donné mon nom ?
– Je suis le capitaine Ajas Stoffer, ça vous dit quelque chose ?
– Oui…
– Je suis de passage ici. Vous pouvez parler librement ?
– Oui.
– La communication est sécurisée. C’est quoi ce flic ?
– Un cinglé.
– Il cherche quoi ?
– Il ne m’a pas précisé, il m’a juste fait comprendre qu’il s’agissait d’exfiltration.
– Il y a combien d’hommes avec lui ?
– Il est tout seul, il a voulu réquisitionner des gars de mon équipage, j’ai fermement refusé en usant de mon droit de retrait.
– Vous allez faire quoi ?
– Je ne sais pas trop, on décollerait bien sans l’attendre, mais il a peut-être signalé sa destination, ça peut être gênant.
– Ok, je vous rappelle.

Edina se tourne vers moi.

– J’ai compris, on le neutralise. Dit-elle.
– Attendez…
– C’est moi qui commande !

La maitresse des lieux donne quelques instructions à Baboukar.. Pourvu qu’elle ne fasse pas de conneries !

Baboukar et Arkon appréhendent Topar. Celui-ci après avoir élevé une protestation de principe se laisse conduire pacifiquement dans une petite pièce où il est invité à s’assoir.

Pendant ce temps, Indira s’en va fouiller dans le sas, confisque son arme et son spacephone puis déniche son badge d’agent galactique.

– C’est bien un flic ! Nous confirme-t-elle.
– Tout seul, dans un vaisseau cargo ! M’exclamais-je. Ce gars-là se la joue tout seul, il n’est pas en mission, à mon avis il cherche la prime.
– J’avais compris ! Dit Edina.

Elle m’énerve de nous faire croire qu’elle comprend tout avant les autres !

Baboukar commence l’interrogatoire. On ne voit rien mais on entend tout.

– Bon alors, vous cherchez quoi ?
– Je suis sur la piste d’Edina Von Graz.
– Ah ! On vous aura mal rencardé.
– On peut négocier ? Demande Topar

Ce mec fait décidément preuve d’un culot monstre !

– Négocier de quoi ? Vous cherchez quelqu’un qui n’est pas ici !
– Je la récupère et je vous laisse la moitié de la prime.
– Non, il n’y a personne à récupérer, on va vous raccompagner jusqu’à votre vaisseau et vous allez nous foutre le camp.
– Et je vais revenir avec toute une équipe et un mandat de perquisition.
– Vous bluffez !
– Peut-être que oui, peut-être que non !

Baboukar ne sait plus quoi dire.

Edina se lève, fort énervée.

– Bon, j’y vais, cette histoire commence à me prendre le chou.
– Vous n’allez pas vous dévoiler ? Osais-je.
– Laissez-moi faire !
– On peut venir avec vous ?
– Oui, mais c’est moi qui parle, seulement moi !

Le bonhomme est surpris, il dévisage Edina bizarrement.

– Vous êtes…
– Non mais il paraît que je lui ressemble, c’est sans doute ce qui a abusé votre informateur. Je me prénomme Eugenia Deglys. Maintenant que vous savez, faites-moi part de vos intentions.
– Si vous acceptez que je contrôle votre identité, nous en resterons là.
– Vous n’avez aucun mandat pour faire ça !
– Donc vous n’êtes pas Eugenia machin-chose, sinon vous vous seriez plié à cette formalité sans conséquences.

Ben oui !

Un moment à court d’arguments, Edina me souffle dans l’oreille :

– Vas-y, démoli-le !

Je vais me défouler…

– Ecoute pépère, tu te crois malin mais ton jeu est pourri. Tu espérais faire une opération de commando, mais tout a foiré.
– Je ne vous permet pas…
– Je n’ai pas besoin de ta permission, tu ne t’attendais pas à te trouver devant un dôme, tu ne t’attendais pas à être obligé d’agir seul… une opération comme ça, ça se prépare, tu n’es qu’un loser. Alors on t’a posé une question, on attend ta réponse.

Le moins qu’on puisse dire c’est que le gars paraît maintenant complètement déboussolé.

– On peut discuter ? Balbutie-t-il.
– Discuter de quoi ? On n’a pas que ça à foutre ! Lui répond Edina.
– Etes-vous retenue en otage ?

Gonflé le mec !

– Est-ce que j’ai l’air d’une otage ? Non mais franchement !
– Le syndrome de Stockholm, ça existe.
– Les imbéciles aussi ! Alors si vous ne voulez pas répondre, je vais le faire à votre place. Admettons qu’on vous relâche, vous allez revenir soit avec une bande de mercenaires, dans ce cas je vous souhaite bon courage avec les complications, genre partage de la prime… soit avec la police galactique, ce sera bien plus efficace et moins risqué, mais adieu la prime, d’autant que je ne suis pas la personne que vous recherchez…
– J’en doute !
– Soit je vous supprime, ce qui supprimera le problème en même temps.
– Mais comme j’ai laissé une instruction en cas de non-retour, vous aurez la police sur le cul.
– Mais comme c’est peu probable, je suis prête à prendre ce risque.

Il est tout pâle le type !

– Et maintenant une question, quel est l’auteur de ce tuyau foireux ?
– Et si je vous le dis, vous me laissez la vie sauve ?
– Si on te répond oui, tu ne seras pas obligé de nous croire, à toi de voir.
– Il me dit s’appeler Ravo, mais en fait il s’appelle Herman Schumacher, j’ai sa photo sur mon spacephone mais je l’ai laissé dans le sas.
– On l’a récupéré, intervient Baboukar, je vais le chercher.

C’est bien ce que je pensais, ce connard de Ravo a refilé le tuyau à tout le monde. Ils vont être combien à se pointer ici ? Cela promet pas mal de complications. Mais pour le moment j’aimerais savoir si Edina connait Ravo.

On refile le spacephone à Topar qui trouve de suite la trombine de Schumacher. Edina la découvre et me fait signe de sortir un instant. Je la suis.

– C’est le responsable de l’équipe qui m’a acheminé ici. Me dit-elle avant que nous regagnions la salle.
– Enfermez-moi ce connard ! dit simplement Edina. Conseil de guerre chez moi, faut qu’on cause !

Avec Dyane, je suis Edina dans ses appartements, Baboukar et Arkon nous rejoignent après avoir bouclé Topar.

– J’ai ma petite idée pour la suite, mais j’aimerais d’abord savoir ce que vous en pensez, Capitaine Stoffer ?
– C’est compliqué, ce type est un danger potentiel, j’ai peur que l’on soit obligé de l’éliminer…
– Vous vous en chargeriez, capitaine ?
– S’il le faut. Mais il y a autre chose, si vraiment Ravo a refilé vos coordonnées à tout le monde on n’est pas couché.
– Vous ne connaissez pas un coin de planète peinard où je pourrais déménager ?
– Les coins de planète habitables sont soit déjà occupés, ce qui risque d’être une source de problèmes, soit ils ne sont pas si habitables que ça…
– Parce que ?
– Les sales bestioles, les plantes agressives, les virus super-résistants, les volcans, les tremblements de terre, les grêlons…
– Arrêtez, vous allez me faire peur.
– Non, mais autant être réaliste.

Edina semble un moment perdue dans ses pensées avant de dire :

– Vous avez une suggestion ?
– Je suppose que vous ne souhaitez pas réintégrer la vie publique ?
– Vous supposez très bien.
– Il existe des planètes où des parcelles sont en ventes, les livraisons alimentaires sont assurées, La sécurité est assurée, des petits paradis en quelque sorte.
– Sauf que les journalistes vont venir me faire chier.
– Non, vous achèterez sous un nom d’emprunt.
– Et je le finance comment ? Mon compte a dû être bloqué par ma famille.
– Débloquez-le.
– Et du coup mon anonymat tombe. Non merci, je vais faire un communiqué que vous diffuserez dans lequel j’indiquerai que je ne suis plus otage, mais que je me retire de la vie publique. Au moins si les journalistes se pointent, ils ne franchiront pas le sas. Je rédige ça de suite, vous vous chargerez de la diffusion.
– C’est comme vous voulez.
– Ce soir on bouffera tous ensemble, ah j’ai quand même un petit service à vous demander …
– Si je peux…
– Si vous pouviez débarrasser le monde de ce Ravo !
– Hum, ce n’est pas si évident, il y a la loi de Vargala… mais je m’arrangerai.
– La loi de Vargala ?
– Je vais vous expliquer.

J’explique donc, mais le lecteur qui n’a pas lu mes précédentes aventures ni le cycle de Vargala Station voudrait bien être au courant.

Pour faire rapide, l’activité des capitaines sur Vargala intéresse l’empire terrien qui du coup peut faire l’économie de missions d’explorations aussi coûteuses qu’aléatoires. Seulement voilà, entre eux c’était la guerre avec règlements de compte sanglants permanents. L’Empire ne pouvait pas se permettre de voir la situation continuer à se dégrader.

Alors les agents impériaux réunirent une table ronde avec les personnes les plus influentes de la planète. Il fut convenu que tout crime de sang serait désormais interdit su Vargala Station, la mafia locale ayant pour mission d’exécuter les contrevenants. En échange, l’Empire fermerait les yeux sur certains trafics douteux, promesse qui n’engage pas à grand-chose.

Ceux, mais qui devinrent rares, transgressaient cette règle n’avaient d’autres choix soit de s’envoler vers l’Espace soit de se réfugier dans une zone attenante, la presqu’île des exclus géré par la pire lie de la planète.

Et du coup allons-y pour un petit flash-back.

La découverte du cadavre de Ravo n’eut lieu que quarante-huit heures (locales) après le crime, le gérant appela de suite Kloben, un type connu pour ses accointances avec la mafia locale.

Ce dernier se fit passer les derniers enregistrements de sa chambre. Topar fut vite repéré.

« Un traîne-savate qu’on voit un peu partout, sans doute un flic ou un indic…  »

Dans ces cas-là la procédure est simple. Un coup d’œil sur le « bar du destin » passage quasi obligé quand on veut se rendre à la presqu’île des exclus ne donna rien. En revanche l’examen des sorties du cosmoport indiquait que l’homme en question avait embarqué sur le Delphin commandé par le Capitaine Luis Trujillo.

« On n’a plus qu’à attendre son retour et on le cueille comme une fleur ! » Se dit Kloben.

Fin du flashback

Quelques minutes avant le repas, Indira vint me trouver.

– Est-ce que je peux espérer que vous défendiez ma cause ?
– Pardon ?
– Je veux toujours partir d’ici.
– Ah bon, je pensais que c’était du bluff.
– Ben non !
– T’es malheureuse ici ?
– Non pas du tout, mais j’en ai un peu marre, je voudrais bien voir autre chose.
– T’es prisonnière ?
– Mais pas du tout, je pourrais partir avec le vaisseau ravitailleur mais je n’ai pas vraiment confiance.
– Parce que moi, je t’inspire confiance.
– Oui et si je me trompe ce sera tant pis pour moi.

Indira m’expliqua ensuite son rôle ici. En fait Edina possédait son petit harem qui lui permettait d’assouvir ses penchants pour le broutage de minettes. Les filles étaient recrutées dans différents bordels de cosmoports mal famés. Les filles étaient bien payées et quand Edina en avait marre, elles les échangeaient.

– Tu possèdes une formation quelconque pour être employée sur un vaisseau ?
– Rien du tout
– Il faudrait que je te prenne comme passagère gratuite ?
– C’est en effet ma requête.
– Je vais sur Vargala, tu y feras quoi ?
– Je trouverais bien, vous m’aiderez peut-être ?

Tu parles ! A force de conseiller des bordels à des pauvres filles en détresse, je vais finir par passer pour un maquereau alors que je n’en tire aucun bénéfice.

– Tu veux un câlin ? Me demande-t-elle.
– Si c’est pour influencer ma décision, ce n’est pas la peine, je veux bien t’embarquer, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai envie de te faire plaisir. Cela dit je ne refuse jamais un câlin !
– Je me disais aussi… je vais faire pipi avant… tu veux mater ?
– Avec plaisir !

Indira commence par se déshabiller entièrement, elle est trop mignonne avec sa peau légèrement dorée. Puis elle se pose sur la cuvette de telle façon que sa miction soit parfaitement visible..

Je m’approche, je m’accroupis entre ses jolies cuisses, j’ouvre la bouche et j’avale quelques rasades de son petit pipi. Je me régale.

– Et toi tu n’as pas envie ? Me demande-t-elle.
– Parce que tu voudrais…
– Ben oui ! J’aime bien moi aussi…

Dans ce cas, je ne vois pourquoi je lui refuserai ce plaisir !

Je sors ma queue de ma braguette, difficile de ne pas bander quand on a devant soi une si jolie donzelle, les nénés à l’air et le sourire enjôleur. Je me concentre, ça jaillit, elle avale, pas tout mais presque et même que le surplus lui dégouline sur le menton et sur les nichons. On se marre. Je l’aime bien c’est une brave fille.

Elle me fait signe d’approcher, et elle me gobe la bite dont le gland est encore imprégné de mon urine et elle me lèche tout ça avec gourmandise. Alors évidemment, maintenant je bande comme un bout de bois !.

Elle me lâche la bite, se relève, m’attrape la main et m’entraine sur la couchette… et nous voilà en soixante-neuf.

Sucer et être sucé en simultané, en voilà un petit bonheur dont on ne saurait se lasser. Je suis en dessous d’elle, normal la galanterie voulant que l’homme n’écrase pas la femme de son poids, le souci c’est qu’elle se place mal, car au lieu d’avoir sa chatte au niveau de son visage, c’est son anus qui vient me narguer.

Et, idiot que je suis, je réalise, elle n’est pas du tout mal positionnée, elle le fait exprès, mademoiselle aime qu’on lui lèche le trou du cul ! Pas de problème, c’est une caresse que j’adore prodiguer. D’autant qu’il est charmant ce petit trou, délicieusement plissé et assombri. Et puis ce petit goût particulier… Bref je me régale.

Et je me régale d’autant plus qu’Indira est loin d’être inactive, non seulement elle me suce la bite avec avidité mais elle m’a enfoncé un doigt dans le cul et le fait aller et venir.

Je vais devenir complétement fou à ce régime !

– Attends, ne me fais pas jouir de suite ! L’implorais-je.

Elle se redresse, elle est dans un drôle d’état, quasiment extatique, les yeux hagards, les cheveux en fouillis.

– C’est mon léchage de cul qui t’a rendu comme ça ?
– Prends-moi, prend moi dans le cul, comme une chienne.
– On ne peut pas faire une petite pause ?
– C’est comme tu veux, je suis à ta disposition.

Je m’approche d’elle, tout près, je l’embrasse, un vrai baiser, un french-kiss tandis que ma main lui pelote les nichons. Au bout d’un moment j’abandonne sa bouche pour venir butiner ses gros tétons, j’adore faire ça !

Je ne débande pas, j’ai une trique d’enfer.

La main d’Indira s’approche de ma bite et commence à la branler. Elle ne va pas me faire jouir comme ça quand même ?

– Non…
– Pourquoi, je ne branle pas bien ?
– Si, mais…
– Mais quoi ?
– Tu ne préfères pas que je te prenne ?
– Hi, hi ! Je te l’ai proposé tout à l’heure, tu t’es défilé.
– Je ne me suis pas défié je voulais faire une pause.
– OK.

Stoffer07Et la voilà qui se couche sur le lit, sur le dos, puis qui balance ses jambes à la verticale.

– Encule-moi dans cette position, c’est mieux comme ça, on peut se regarder, non ?

C’est effectivement un point de vue !

Je pénètre d’un coup dans son intimité rectale, je m’applique afin de ne pas partir trop rapidement. Pas facile de se contrôler quand on est dans un état d’excitation tel que le mien.

Indira commence à emmètre des miaulements de plaisir accompagnés de propos assez peu compréhensibles.

Elle transpire, son visage rougit, j’accélère, elle râle comme une bête en rut, j’accélère encore et décharge dans son cul.

Je décule, Indira baisse ses jambes, je me précipite sur elle et la couvre de baiser. Je suis content, c’était bien.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:56

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 6 – Stanislas Topar par Nicolas Solovionni

Solo

Topar

Il nous faut à présent revenir un petit peu en arrière et parler de Stanislas Topar, grand, souriant, bel homme et garçon de salle au restaurant des « Trois Lézards », du moins c’est sa couverture car en fait Topar est flic.

Vous me direz, voilà qui est bizarre, il y a déjà une police sur Vargala dirigée par le commandant Jiker, (voir les chapitres précédents), mais en fait Topar est membre de la police secrète galactique.

Et son rôle, alors ? Il n’est pas là pour arrêter les truands locaux, il ne ferait que ça, ceux-ci, les autorités s’en accommodent et ils se révèlent même parfois bien pratiques. Non ce qu’il piste ce sont les gros poissons, ceux qui font l’objet de mandats interstellaires suite à des opérations meurtrières gravissimes.

Pour ce faire, il examine attentivement le cursus des nouveaux arrivants. Et depuis qu’il est en poste ici il n’a pas dégoté grand-chose, il aurait pu une fois, mais comme il n’est pas totalement incorruptible…

Sa méthode est simple, pendant ses heures de repos, il s’installe au bar de l’un des principaux hôtels de voyageurs, quand quelqu’un y descend il se connecte à son spacephone et avise, et à chaque fois il fait chou blanc…

Sauf que cette fois, ce bonhomme avec sa plaque métallique sur l’œil et qui ne semble pas posséder de spacephone l’intéresse.

Topar a évidemment accès à tous les fichiers de l’astroport, le souci c’est qu’il ne trouve aucune trace du bonhomme.

« Il a débarqué comment ce mec ? »

Il s’aperçoit en regardant à nouveau les fichiers qu’un vaisseau s’est posé récemment sans que ses occupants n’aient été enregistrés.

Topar ne peut mener d’enquête sans se dévoiler, il ne lui reste donc que la méthode frontale.

C’est complétement par hasard qu’il assiste de loin à la rencontre discrète que j’ai eue avec cette personne. Il ne peut en deviner l’objet mais flaire un coup fumeux.

Puis il fait ce qu’il aurait dû faire depuis un bon petit moment, il consulte le fichier des personnes dangereuses recherchées.

Aucun type dans cette liste avec un bandeau sur l’œil mais le comparateur d’images lui suggère un certain Herman Schumacher recherché pour plusieurs crimes et trafics d’êtres humains.

Topar ne s’embarrasse pas de procédure, il a l’intention d’appréhender le type et de le confier à la police locale en attendant qu’on vienne le récupérer.

Il attend que l’individu remonte dans sa chambre. Il le suit mais sans le coller, il repère la chambre. L’homme y entre et referme. Topar ne frappe pas mais ouvre la porte à l’aide de son passe universel. Puis il entre, arme au poing.

– Police galactique, plus un geste, vous êtes en état d’arrestation.
– J’ai pas vu votre insigne.
– Et qu’est-ce que ça change ? C’est moi qu’ai le flingue et si tu déconnes je te pète les rotules.

Ravo (puisque c’est bien de lui qu’il s’agit) tente de jauger son adversaire, mais il est clair qu’il ne fait pas le poids alors la diversion est toute trouvée :

– Si je vous file un tuyau qui peut vous apporter une fortune, vous me foutrez la paix ?
– Tentative de corruption de fonctionnaire ! Tu aggraves ton cas !
– Pourquoi ? Vous êtes incorruptible ?
– Evidemment… sinon par curiosité, c’est quoi votre tuyau ?
– Je sais où se trouve Edina Von Graz.
– Ben voyons, et comment vous croire ?
– Vous devez me croire sur parole.
– Si vous ne m’apportez pas une preuve, je vous désintègre sur le champ.
– D’une part vous n’avez pas le droit et d’autre part si vous avez envie de me tuer, ne vous gênez surtout pas, je n’en mourrai pas !
– Ben si, justement.
– Pff.
– Et bien sûr, vous avez les coordonnées… Demande Topar
– Ils sont sur mon spacephone, sur la table là-bas.

« Dingue, ce mec possède un spacephone indétectable ! Il a trouvé ça où ? Seul l’armée en possède, et ils sont hypersécurisés. J’ai vraiment ferré un super gros poisson »

– Asseyez-vous, j’ai besoin de réfléchir ! Lui dit Topar. Mais laissez vos mains loin du corps.

« Bon il est évident que ce mec avait préparé cette diversion depuis un certain temps en cas d’arrestation. Ou bien il bluffe, ou alors c’est vrai. Ça ne me coûte rien d’aller voir, ce n’est pas moi qui paie, si je trouve la fille, je démissionne de la police et j’empoche la prime ! Reste un souci, si je le libère et que d’autres personnes le recherchent, il risque de leur filer son tuyau, et je n’ai pas du tout envie de me faire doubler… »

– Ce tuyau, tu l’as déjà refilé à d’autres ?
– Non, mentit crânement Ravo.
– Alors c’est d’accord ! Ouvre-moi ton spacephone là où sont les coordonnées, et envoie-les-moi sur le mien..

Ravo obtempère, Topar vérifie que les coordonnées ressemblent à quelque chose, puis lui tire dessus.

Le pistolet du policier lui envoie une très fine aiguille autodestructrice. Dans un premier temps la victime va perdre conscience, dans deux heures, elle sera morte. En cas d’autopsie, on ne trouvera rien et on conclura en déclarant que la mort était « naturelle »

Topar doit ensuite trouver le moyen de joindre cette fameuse planète. Après quelques recherches infructueuses il tombe sur le capitaine Luis Trujillo qui accepte de l’accompagner.

– Hum, faire ça où autre chose, du moment que vous payez bien, mais dites-moi on peut faire du commerce sur cette planète ?
– Je n’en sais fichtre rien.
– La base de données ne raconte pas grand-chose, il y aurait eu une base scientifique, aujourd’hui abandonnée. Les températures n’ont pas l’air terribles
– Je sais…
– Je vais emporter quelques produits de luxe et un peu de high-tech, ça se vend toujours… s’il y a des acheteurs…
– Faites comme ça !
– Mais dites-moi, ce n’est pas trop indiscret de vous demander ce que vous allez faire sur cette planète ?
– Ben si justement, c’est indiscret.

Et c’est ainsi que le vaisseau du capitaine Trujillo baptisé fièrement le Dolphin, me suivit dans l’espace profond.

Angie Rochester occupe à bord du Dolphin, les fonctions de technicienne de bord, c’est une jolie blonde peu farouche à la poitrine avantageuse. Elle possède une formation médicale.

– Vois-tu, lui dit son capitaine, ce type se rend sur une planète glacée et refuse de me dire ce qu’il va y fabriquer. C’est évidemment son droit, n’empêche que j’aimerai bien savoir s’il ne nous embarque pas dans un truc dangereux…
– Alors tu t’es dit « je vais lui envoyer la petite Angie
-e pour lui tirer les vers du nez ! » C’est ça ?
– En gros !
– Bon, je vais essayer, mais je ne garantis pas le résultat… De toute façon ce ne sera pas une corvée !
– Pourquoi dis-tu ça ?
– Ben il est plutôt beau garçon, non ?
– T’es vraiment une salope !
– T’es bien content de la trouver, ta salope !
– Arrête de jouer à la pauvre femme !
– Et si je te faisais une petite pipe, là maintenant, tout de suite, tu ne dirais pas non, hein ?
– Ce n’est pas à moi que je t’ai demandé de faire ça, c’est au passager.
– L’un n’empêche pas l’autre… Et puis tu sais ce qu’on dit : « Une bonne actrice doit toujours faire une répétition ! »

Et tout en parlant Angie trifouille dans la braguette de son capitaine, trouve la bite demi-molle, la sort de sa cachette et la branlotte afin de la rendre bien raide.

– Mais enfin, arrête de faire ça, après je vais avoir envie de te prendre… Fais mine de rouspéter le capitaine Luis Trujillo.
– Si t’as envie de me prendre, faut pas te gêner, mon capitaine. Mais baisse-moi donc ce pantalon, j’ai horreur des bites entrouvertes !
– Ce n’est pas ma bite qui est entrouverte, c’est mon pantalon.
– Oui, bon…

Stoffer406L’homme obtempère ce qui permet à Angie d’avoir une meilleure visibilité, elle adore jouer avec les couilles de l’homme qu’elle s’amuse à tripoter et à la malaxer… Puis sa main dont elle a préalablement humecté le majeur, passe derrière l’homme, cherche le petit trou intime, le trouve et s’y enfonce.

– Ah, non ! Pas encore le doigt dans le cul !
– Trop tard, c’est déjà fait !
– Salope !
– Tu crois qu’il va aimer ça, le passager ?
– C’est toi qui m’as dit un jour que tous les hommes aimaient ça !
– Oui, mais il y a toujours des exceptons. Tu le sens bien mon doigt, là ?
– Oh, oui !
– Tu ne préférais pas un gode ?
– J’en n’ai pas…
– Oui, mais moi j’en ai un, je vais le chercher dabs ma cabine, je reviens.

Leurs cabines respectives n’étant pas loin l’une de l’autre, elle revint très vite avec le toy en question.

– Regarde comme il est beau, on dirait une vraie bite !
– Bof !
– Quoi, bof ?
– Mets le moi dans le cul au lieu de me faire l’article.
– T’as pas envie de le sucer avant ?
– Quel intérêt ?
– L’intérêt c’est que ça m’excite ! Voir un mec sucer une bite, même en plastique, tu ne peux pas savoir ce que ça me fait !
– T’est vraiment vicieuse !
– Un peu, oui ! Alors ouvre ta bouche et fais-moi plaisir, ça ne va pas te tuer !

Trujillo se sent dominé, manipulé, il sait qu’il n’aura pas le dernier mot alors il se met à sucer la bite en latex.

– Cochon, t’aimes ça les bites, hein ?
– Oui bon ça va !
– Alors en levrette, mon capitaine !

Il s’y met, croupion relevé, fesses écartées avec les mains.

– Je vais verrouiller la porte, il ne faudrait pas que quelqu’un entre et te vois comme ça !
– C’est gentil d’y penser.
– N’est-ce pas ? Et maintenant « introduction et allegro modérato »
– Qu’est-ce que tu racontes ? Aaah ! Vas-y c’est bon !
– Bien sûr que c’est bon !

Angie fit ainsi coulisser le gode dans le cul de son capitaine pendant une dizaine de minutes.

– Attention, je le retire !
– Déjà !
– T’inquiète pas, je vais continuer à m’occuper de toi, retourne-toi mets-toi à plat ventre sur le dos.

Quand il fut en position, Angie vint donner quelques branles à sa bite afin qu’elle parvienne à sa raideur maximum et s’empala dessus, jouant la cow-girl pendant plusieurs minutes.

– Et maintenant, le final.

En fait elle change de trou et s’encule elle-même sur la bite de Trujillo. Celui-ci sent son plaisir monter, Angie tente de faire durer le plaisir en ralentissant la cadence. Mais quand l’excitation est à ce point, difficile de raisonner son corps, alors le capitaine donne des coups de reins, Angie s’agite frénétiquement, et les deux amants finissent par jouir dans un râle presque synchronisé avant de se coller l’un à l’autre pour un long baiser fougueux.

– Tu te rinces la bite, ou tu veux que je m’en charge ?
– Ce n’es pas possible d’être vicieuse à ce point là !
– Si, c’est possible ! Répondit-elle en reprenant la bite de son capitaine en bouche afin de la nettoyer de son sperme et autres traces douteuses.

Après s’être mise en condition et remaquillée, Angie frappa à la porte de la cabine de Stanislas Topar.

– Bonjour, je suis Angie, technicienne de bord, si je peux faire quelque chose pour vous rendre ce voyage agréable je suis à votre disposition.
– Merci, mais je n’ai besoin de rien pour l’instant ! Répondit sèchement Topar.
– Je vous sens un peu tendu. C’est normal l’espace ça fait toujours ça quand on n’est pas habitué. Est-ce que je peux vous suggérer un petit massage relaxant ?
– Non mais je vais vous demander autre chose !
– Et quoi donc ? Minauda la jolie blonde.
– De me foutre la paix et de sortir de ma cabine !
– Vous êtes très aimable ! Répondit-elle, dépitée en quittant les lieux.

Mais Angie n’est pas femme à rester sur un échec.

« Il est peut-être gay, ou alors il n’aime pas les gros nénés… »

L’une des coutumes de l’espace, héritée des traditions de la marine veut que le capitaine invite ponctuellement ses passagers de marque à sa table. Angie suggéra donc à son capitaine de se plier à cette tradition.

– Je serais là aussi, on va le faire boire, on verra bien ! Dit-elle.

Mais Topar déclina l’invitation, arguant qu’il préférait diner seul.

– Quel mal embouché, ce mec ! Puisque les méthodes douces ne fonctionnent pas, on va sortir la grosse artillerie !

Et le soir Topar mangeait sans conviction un pourtant excellent Flaznik aux petits légumes sans se douter un seul instant qu’il avait été savamment saupoudré de dérivés d’amphétamines

Quand Angie vint pour débarrasser, elle le trouva les yeux hagards, très agité et en train de parler tout seul.

– Vous allez bien, Monsieur Topar ?
– Ta gueule, morue !
– Oh, la là, on dirait bien que vous faites une réaction allergique, il est pourtant délicieux ce Flaznik ! Je vais vous donner quelque chose pour soigner ça.

Elle sortit de sa poche un placebo et dû insister lourdement pour que Topar l’avale.

– C’est pas bien grave, ça va s’arranger, l’espace quand on n’est pas habitué, ce n’est qu’un mauvais moment à passer. Ça ira mieux quand vous serez sur votre planète de destination ! Vous avez des amis là-bas ?
– Je n’ai pas d’amis, les flics n’ont pas d’amis !
– Ah, je comprends… vous faites une enquête ?
– Oui c’est moi le grand enquêteur qui fait des enquêtes.
– Mais c’est très bien ça et vous enquêtez sur quoi ?
– J’enquête pour faire avancer les enquêtes !
– Ah ! Ben avec vous l’enquête va avancer vite !
– Evidemment ! Qu’est-ce que vous croyez ?
– C’est un criminel que vous recherchez ?
– Dans les enquêtes il y a toujours des criminels, on est entouré de criminels, ils sont partout, vous savez. On est en sécurité nulle part. L’humanité se portera mieux quand tout le monde sera en prison !
– Et ces criminels, vous allez les arrêter ?
– Tous ! Et je vais libérer les otages !
– Ah, il y a des otages ?
– Ben oui, Edina Von Graz, elle est retenue en otage, et c’est moi qui vais la libérer. Je vais devenir célèbre.

« Bon, comment démêler le vrai du faux dans ses délires ?  » Se demande Angie.

– Vous ne me croyez pas, hein ? Attrapez-moi mon spacephone s’il vous plait.
– Il est devant vous, monsieur Topar !

Topar ouvre l’objet et devant Angie médusée, découvre une photo d’Edina Von Graz, on la reconnait bien, mais elle a les traits tirés, et elle n’est pas maquillée. Une photo peu propice à la diffusion !

Angie se dit alors que l’information pouvait être intéressante mais le compte rendu qu’elle fit à son capitaine se garda d’être complet.

– C’est un flic, il va démêler une histoire d’otages, je n’en sais pas plus.
– Bravo tu as été très bien ! On le laissera se démerder tout seul, personne de mon équipage ne sortira du vaisseau.

Le lendemain Stanislas Topar avisa Angie.

– J’ai été malade hier !
– Oui, une allergie, je vous ai donné ce qu’il fallait pour vous soigner.
– Je n’ai pas raconté trop de conneries ?
– Pas du tout, vous vous êtes endormi.

Le capitaine Trujillo arriva deux jours après moi dans le champ de gravité de la planète !

C’est le moment que choisit Topar pour se dévoiler :

– Capitaine Trujillo, il est temps de vous dire qui je suis. Je suis l’agent de première classe Stanislas Topar de la sécurité galactique et en vertu des pouvoirs qui me sont conférés, je réquisitionne votre vaisseau et en prends le commandement.

A ces mots Trujillo failli s’étouffer.

– Mais vous n’avez pas le droit !
– Si !
– Et vous ne pouviez pas le dire plus tôt ?
– Non ! De plus, vous allez mettre à ma disposition cinq de vos meilleurs hommes afin qu’ils soient prêts à intervenir en cas de besoin.
– Mais vous êtes frappé ! Eructe le capitaine, mon équipage est constitué de techniciens, pas de mercenaires
– Je ne veux pas le savoir. C’est un ordre, débrouillez-vous !
– Je ne peux pas vous fournir ce que je ne possède pas, vous êtes capable de comprendre ça ou pas…

Mais cet échange surréaliste fut interrompu par l’arrivée intempestive de l’ingénieur de bord.

– Capitaine, j’ai tous les relevés, vous voulez-voir ?
– Résume-moi.
– Activité biologique concentrée dans un dôme, température extérieure glaciale, pression normale, pas de radioactivité, atmosphère respirable…
– On savait déjà à peu près…Y’a une piste d’atterrissage ? Demande Topar

L’ingénieur se retourne vers son capitaine, lui demandant du regard s’il doit répondre à cet homme.

– Oui, si on peut appeler ça une piste d’atterrissage, répondit-il après avoir reçu l’assentiment de son supérieur.
– Alors on atterrit ! Ordonna Topar.
– Attendez, elle est comment cette piste ? Demande Trujillo.
– Elle est sur du dur, et semble entretenue ce qui laisserait à penser que ces gens ont des visites régulières. Oh, mais c’est quoi ça ? Il y a déjà un vaisseau sur la piste. S’étonne l’ingénieur du bord.
– On s’en fiche ! Allez-y, procédez à l’atterrissage ! S’impatiente Topar.
– Oui bon, y’a pas le feu non plus ! Vous ne pensez pas qu’il aurait mieux valu établir un contact avant d’atterrir.
– Le contact ce sera après, je veux que l’effet de surprise soit total.
– Vous rêvez, ils nous ont très probablement déjà repérés.
– Bon vous atterrissez ou quoi ?
– Mais bien sûr, monsieur l’agent secret ! A vos ordres, Monsieur l’agent secret se gausse le capitaine Trujillo. Mais on peut peut-être évaluer les risques avant ?
– Quels risque ? La manœuvre devrait être à votre portée, non ?
– L’autre vaisseau va nous gêner, mais en atterrissant à contre sens, ça devrait le faire… difficilement…

Trujillo se dispensa de demander son avis à Topar, il connaissait déjà la réponse.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:56

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 5 – Massage spécial pour Edina par Nicolas Solovionni
Massage3

Edina me reçoit en nuisette rose quasi transparente. Waouh, elle est vraiment canon ! Mais je suppose que le choix de cette tenue n’a rien de gratuit, madame doit avoir un plan ? J’ose espérer qu’il ne sera pas machiavélique.

– Bien, commençons, dois-je vous appeler « capitaine » ?
– Peu importe.
– Vous avez eu toute la nuit pour peaufiner un beau mensonge, donc première question : qu’êtes-vous venu foutre ici ?
– Un type m’a vendu les coordonnées de cette planète…
– En vous disant que j’y étais, c’est ça ?
– Oui.
– Et donc vous êtes venu ici en sachant qu’il y avait une belle prime à l’appui et vous me racontez que l’argent ne vous intéresse pas. Me prenez-vous pour une imbécile ?

Elle m’agace, elle ne va jamais me croire… Et ses tétons qui pointent sous sa nuisette, elle va me rendre dingue.

– Si au lieu de mater mes nichons, vous me répondiez ?
– Je n’ai jamais dit que l’argent ne m’intéressait pas, mais ce n’est pas cela qui a motivé ma venue ici…
– C’est quoi alors ?
– Du fric, j’en ai à ne plus savoir en faire, mais je m’emmerdais sur ma planète, alors j’ai voulu réaliser une bonne action…

Je ne sais pas trop ce que j’ai pu dire de drôle, mais Edina se met à rigoler comme une bossue.

– C’est tout ce que vous avez trouvé, vous ne vous êtes pas trop foulé.
– C’est pourtant la vérité.
– Très crédible en effet. Et je peux vous demander d’où sort votre supposée fortune ? L’héritage d’une vieille tante ? Le piratage d’une banque ?
– Non, j’ai trouvé un trésor.
– Non, sans blague, dites-moi, vous êtes capitaine de vaisseau ou directeur d’une troupe de clown ?

Elle m’énerve, elle m’énerve !

– Comment vous prouver ma bonne foi ?
– Racontez-moi cette histoire de trésor, j’adore les contes de fées !
– C’est une longue histoire.
– Je m’en fous, j’ai tout mon temps, je veux tous les détails.

Je lui ai donc raconté mon aventure dans les labyrinthes d’Orza (voir cet épisode).

J’avais vraiment l’impression d’être comme Shéhérazade dans les 1001 nuits, racontant une belle et passionnante histoire afin d’éviter d’être exécuté trop vite.

– Quelle imagination ! On s’y croirait !

Edina active ensuite son interphone, je n’aime pas trop ça et commence à me demander ce qui va me tomber sur le coin de la tronche.

– Baboukar, va me cherchez les quatre autres et amène-les-moi.

Ah bon ?

Mon staff se pointe, peu rassuré, Edina toise tout ce petit monde avec un regard inquisiteur.

– Votre capitaine m’a raconté une bien belle histoire ! Etiez vous avec lui sur cette planète dont j’ai oublié le nom… Vous savez avec le labyrinthe…
– Orza ? Répond Dyane.
– Donc elle existe bien, alors tu vas rester avec nous, Baboukar, tu raccompagnes les autres en bas. Bon toi, comment tu t’appelles ma grande ?
– La grande elle s’appelle Dyane, et vous ?
– Alors Dyane, figure-toi que ton capitaine vient de nous raconter une histoire abracadabrante qui se serait passé sur Orza, mais comme je n’en crois pas un mot, tu vas me raconter ta version de cette belle histoire et avec tous les détails en commençant par le début et en finissant par la fin.
– Mais quel intérêt ?
– Je t’expliquerai si t’es sage, allez je suis tout ouïe !

Dyane ne comprends pas et se tourne vers moi, le regard interrogateur. Je lui fais signe de faire ce qu’on lui dit.

Elle a donc à son tour raconté l’histoire…

– Bravo, vous m’avez bluffé. Parfois la réalité dépasse la fiction. Donc voilà un point d’acquis, vous n’êtes pas vraiment des chasseurs de primes, vous êtes des rêveurs romantiques. Mais dites-moi, chère Dyane qu’avez-vous fait de cet argent facilement gagné ?
– J’ai investi dans un salon de massage de luxe, j’espère que ça ne vous choque pas ?
– Mais non ! Massages traditionnels ou érotiques ?
– Nous faisons les deux, mais je dois avouer que le massage traditionnel est peu demandé.
– Et en ce qui vous concerne, vous vous contentez de supervisez où il vous arrive de mettre la main à la pâte ?
– Ce serait plutôt la main à la bite… mais dites-moi vous êtes fort curieuse.
– Vous n’êtes pas obligée de me répondre.
– Mais je vais le faire quand même, vous savez une bonne cheffe d’entreprise doit montrer l’exemple.
– Hi, hi ! Et vous capitaine qu’avez-vous fait de cet argent ?
– J’ai racheté un night-club !
– Et on y fait quoi dans ce lieu, on danse, on drague ?
– Et même plus, si affinités.
– Vous m’avez l’air bien délurés tous les deux. Je peux vous poser une question, Dyane ?
– Posez, vous êtes chez vous mais je ne vous promets pas d’y répondre.
– Vous êtes quoi sexuellement ?

Dyane ne put refreiner un petit rire nerveux.

– Avec tout le respect que je vous dois, qu’est-ce que ça peut vous foutre ?
– Ne vous braquez pas, ça vous enlaidit le visage, je vais être plus directe : coucheriez-vous avec moi ?
– Si les circonstances étaient différentes, la chose pourrait éventuellement s’envisager mais…
– On peut voir les choses autrement, cela peut être une façon de modifier nos rapports !
– C’est bien possible mais je ne me sens pas trop motivée.
– Je me sens un peu nouée, vous n’allez tout de même pas me refuser un petit massage en tout bien tout honneur.
– Savez-vous que je suis capable de vous prendre au mot ?
– Comment cela ,
– Et bien de vous masser comme vous dites « en tout bien tout honneur » .
– Alors faisons-le.

Et Edina retire sa nuisette sous laquelle elle n’a rien d’autre et s’affale sur le ventre sur un petit et moelleux sofa

Quel cul, mes amis, quel cul !

– Avec de l’huile de massage et une serviette, ce serait mieux ! Lui précise Dyane.

Voilà qui n’est pas un problème, Edina. demande tout cela par l’interphone.

– Je vais vous laisser ! Crois-je pouvoir dire.
– Mais non restez donc, votre présence ne me gêne absolument pas… A moins que la vue de mon joli postérieur vous importune ?
– Il ne m’importune pas, il me charme !
– Alors continuez à le reluquer si ça vous fait du bien. Et vous chère Dyane vous attendez quoi pour commencer ?
– On y va, on y va… Mais je crains qu’avec cette combinaison trop rigide, je sois gênée dans mes mouvements !
– Mais ma chère, mettez-vous donc à poil et ça résoudra le problème.
– Evidemment, c’est une solution…

Et sans discuter davantage, ma seconde de vaisseau se débarrasse de se combinaison grisâtre pour apparaître nue comme la Venus qui vient de naître. J’ai beau la connaître par cœur, la Dyane, je ne me lasse jamais de la vision de sa nudité provocante.

– Dis donc, t’es drôlement gaulée ! Lui fait remarquer Edina.
– Ben oui, il n’y a rien à jeter… peut-être deux ou trois kilos en trop…
– Mais non, mais non. Je peux te toucher tes nichons ?
– On avait dit que l’on ferait ça en mode soft. Objecte Dyane.
– On a jamais dit ça, j’avais simplement parlé d’un petit massage en tout bien tout honneur. Donc pour le bien, je vous fais justement confiance pour me faire ça bien, quant à l’honneur, c’est compliqué ce truc-là…

Dyane éclate de rire.

– Bon, dites-moi clairement ce que vous souhaitez, parce que là je suis un peu perdue ?
– Massez moi mais promettez-moi que je pourrais ensuite vous embrasser les nichons.
– O.K., ça marche !

Stoffer405
Et cette fois c’est parti. Dyane fait couler de l’huile de massage sur le corps voluptueux d’Edina Von Graz, puis l’étale. Et pour le moment le massage reste traditionnel, la nuque, les épaules le dos, les cuisses, pas les fesses… Mais à mon humble avis ça ne devrait pas tarder.

Ben non, ça ne vient pas, j’ai l’impression que Dyane joue à tester la patience de sa partenaire.

C’était tout à fait ça, et ç’est Edina qui craque la première.

– Et si tu me massais un peu le cul ? Ce ne serait pas mal, non ?
– Mais bien sûr il suffisait de demander.

Et voilà Dyane qui se met à malaxer le cul de la vedette comme s’il s’agissait de pâte à pétrir.

Je me marre, parce que je suis bien placé pour savoir comment ma seconde de vaisseau pratique ses massages et je devine donc comment les choses vont évoluer..

N’empêche que de voir ce joli cul huilé se faire malaxer de la sorte me donne la trique et que je ne peux m’empêcher de me tripoter la braguette.

Evidement Edina s’en aperçoit.

– Dite donc, capitaine, si vous avez des envies masturbatoires, ne vous gênez surtout pas pour moi, sortez votre machin et astiquez-le. J’adore qu’on se branle en me regardant !

Je ne vais quand même pas me dégonfler, je sors ma bite toute raide et me la branle doucement. Et histoire de voir mieux ce qui se passe je me rapproche de la table de massage.

Dyane a maintenant écarté les sillons fessiers de sa patiente, et son doigt vient fureter autour de l’anus brun. Edina ne proteste pas. Le contraire m’eut étonné quand même.

– Je te fous un doigt dans le cul ?

J’aime bien Dyane quand elle fait dans le romantisme !

– Oui, vas-y encule moi bien avec ton doigt de salope !

Voilà, le romantisme est partagé !

Dyane fait aller et venir son index dans le trou de balle de la belle.

– T’aimes ça, hein, salope?
– Oh, oui ! Je suis une grosse pute en chaleur, mais j’aimerais quelque chose de plus costaud que ce doigt, capitaine venez donc m’enculer !

Je ne m’y attendais pas à celle-ci ! Mais bon, il y a des invitations qu’on ne saurait refuser ! Et la bite en avant je me précipite vers ce trou du cul fort accueillant

– Attendez, je vais vous sucer un peu avant, comme cela ça glissera mieux !

Voilà qui n’est pas un problème d’autant que sa langue est diabolique, on la croirait montée sur piles. Si elle continue à ce rythme je risque de lui juter dans la bouche, ce qui n’est pas vraiment le but du jeu..

– Allez maintenant tu peux y aller !

Je me déplace vite fait, Edina s’est légèrement relevée afin que je puisse mieux accéder à sa croupe. Je lui écarte les fesses et d’un coup sec je la pénètre.

Pendant ce temps, Dyane est passé de l’autre côté offrant ses jolis seins aux caresses de la vedette en exil.

Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, et malgré mes efforts pour faire durer la chose, j’éclate ma jouissance dans son cul..

Je me retire un peu péteux. J’ai la bite gluante de sperme et d’autre chose aussi.. Je me recule cherchant de quoi me nettoyer.

– Où tu vas ? Viens là que je te rince !

Après tout si ça lui fait plaisir… Et cette grosse vicieuse se mit à me faire une toilette intime qui avait l’air de la régaler.

– Humm, j’adore sucer une bite qui sort de mon cul !

Ben oui on avait compris !

– J’en reprendrais bien encore ! S’écria Edina décidemment excitée comme une puce. Tu peux repartir ?
– Euh il faudrait attendre 10 minutes…
– Ben moi j’attends pas 10 minutes…

Et la voilà qui se dirige vers l’interphone.

– Boubakar, viens nous voir cinq minutes !

Ah bon ?

Et le voilà qui arrive, il ne semble même pas surpris de nous voir tous les trois à poil.

– Dépêche-toi de te déshabiller, j’ai envie que tu m’encules ! Lui lance Edina.
– Bien Madame !

Et le voilà qui déballe la marchandise. La bite est de bonne taille, j’en ai vu des plus grosses, mais elle est très belle et je n’arrive pas à la détourner de mon regard.

– Bel engin, n’est-ce pas ? Me nargue Edina qui a dû lire dans mes pensées cochonnes.
– J’avoue !
– Je parierais que vicieux comme tu es, tu te la foutrais bien dans ta bouche ?
– Ma foi, pourquoi pas ?
– C’est bien ce que je dis toujours, tous les hommes sont à moitié pédés ! Vas-y suce là, mais juste un peu, parce qu’après je la veux dans mon cul !

Comme le corbeau de la fable, j’ouvre une large bouche et tente d’engloutir ce morceau de choix. Quelle douce texture alliée à une odeur musquée, un véritable régal !

Mais ce n’était qu’une mise en bouche, c’est le cas de le dire, et comme toute mise en bouche, ça ne dure que l’espace d’un instant. Boubakar quitte donc ma bouche pour aller planter sa bite dans le trou accueillant de sa patronne.

Joli spectacle, Dyane est venue près de moi tandis que je regarde, du coup je lui pelote les seins, je ne peux pas m’en empêcher.

Edina a fini par jouir du cul comme une bête en rut.

– Ça devait être un massage soft ! Fait remarquer Dyane avec un sourire narquois.
– Ben oui, ça devait… Boubakar passe-moi ma robe de chambre et après tu pourras nous laisser…. Non, sers-nous donc à boire, ça donne soif toutes ces petits jeux !

On nous a servi un truc légèrement alcoolisé au vague gout d’agrumes, pas mauvais du tout…

– Je peux vous poser une question ? Demandais-je
– Posez toujours, on verra bien !
– Je m’attendais à vous trouver prisonnière…
– Eh bien, vous voyez, je ne le suis pas ! Je comprends votre déception, vous vous imaginiez déjà en héros sauvant la belle actrice des griffes des vilains mâles prédateurs. Ben vous arrivez trop tard, ma libération, je l’ai géré toute seule comme une grande fille.
– Et c’est indiscret de vous demander…
– Comment j’ai fait ? Rien de plus simple, après l’attaque du Glory7, nous avons été dispatchés, je passe… je pensais qu’ils nous garderaient en otage contre rançon mais ils ne voulaient pas prendre le risque de ce genre d’opération, donc après quelques pérégrinations, je me suis retrouvée avec quelques autres jolies femmes dans une vente aux enchères. J’ai été acheté par un dénommé Farkinos, un gros con dont je n’avais jamais entendu parler. Il m’a amené ici… Le mec m’a tout de suite mis au parfum. « J’ai été dans l’obligation de me séparer de ma dernière favorite qui a eu la mauvaise idée de se rebeller, je lui ai donc fait couper la tête » ! J’étais donc dans le château de Barbe Bleue…
– Et vous vous en êtes débarrassé comment ?
– J’y viens, j’y viens ! Pendant un mois, j’ai joué les femmes dociles, le temps de comprendre comment son repaire fonctionnait. Puis une nuit j’ai profité du fait que Farkinos était à moitié bourré pour l’étrangler. J’ai fouillé dans sa chambre et trouvé un pistolet désintégrateur. J’ai donc sonné son garde du corps, celui qui était responsable du meurtre de ma prédécesseuse et je l’ai occis.
– Eh bin !
– Comme vous dites ! Vous avez devant vous une redoutable meurtrière, deux cadavres sur la conscience et je n’ai aucun remord.. Il fallait ensuite que je prépare mon départ, un vaisseau ravitailleur se posait, d’ailleurs il se pose toujours, tous les mois, il suffisait que je lui demande de m’embarquer et le tour était joué. Entre temps j’avais tissé des liens d’amitié avec certains de ses employés, Baboukar, Arkon, les filles… On a fêté l’élimination de Farkinos, on a fait la fête, on a bien rigolé… Quand le vaisseau de ravitaillement est arrivé, je me suis dit que je n’étais pas si pressée que ça et que je pouvais attendre un mois de plus, je me trouvais bien là. De façon naturelle, j’étais devenue la chef de ce dôme, tout le monde m’aimait bien. Je me suis dit que finalement j’étais bien ici, loin des journalistes, des fans débiles, des obligations protocolaires à la con… Et que les gens me croient disparue était le moindre de mes soucis.
– Eh bien, félicitations, chère madame.
– Bof ! Disons que j’ai eu du bol !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:52

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 4 – Indira l’intrigante par Nicolas Solovionni
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Je suis assis à côté d’une jolie fille à la peau foncée prénommée Leila qui élude la plupart de mes questions avec un sourire désarmant.

Je n’ai rien appris pendant ce repas (excellent) et n’ai pas trouvé le prétexte pour aborder le sujet qui me préoccupe à savoir s’ils ont entendu parler d’Edina Von Graz, mais je ne désespère pas.

 

Baboukar nous informe qu’on a mis des chambres individuelles à notre disposition afin que nous puissions nous reposer.

 

Ah, bon ? J’aurais voulu me concerter avec mes compagnons afin de savoir s’ils avaient appris quelque chose, on fera donc ça plus tard. C’est vrai qu’une petite sieste ne me fera pas de mal, mais après on fait quoi ?

On nous accompagne dans des chambres, apparemment il y en a beaucoup de libres

Ce n’est pas très spacieux mais c’est propre et confortable. Je m’allonge sur le lit quand voilà qu’on frappe à la porte, et sans que je ne l’autorise à entrer, une des soubrettes qui nous a servi pénètre dans le lieu.

– Je m’appelle Indira !
– Euh oui…
– Avez-vous besoin de quelque chose.
– Pas spécialement, je vous remercie.
– Je peux vous faire un petit massage relaxant, il paraît que je masse très bien.

C’est qu’elle a des arguments, la Indira, sa peau mate et veloutée, un visage d’ange encadré par des cheveux de jais et surtout une poitrine propre à damner un pape.

– Je peux aussi en profiter pour vous sucer la bite, il paraît que je suce très bien !

C’est ce qui s’appelle afficher la couleur ! Mais que voulez-vous la chair est faible, alors je me déshabille et la demoiselle en fait autant.

Indira s’assoit sur le rebord du lit, écarte ses jambes et paraît toute contente de m’exhiber sa chatte.

– Tu la trouves comment ma foufoune ?
– Adorable !
– Viens me la lécher.

Stoffer0404Il est des invitations qui ne se refusent pas

– Hum, tu lèches top bien ! Tu aimes le goût de ma chatte ?
– Bien sûr !
– Elle sent peut-être un peu le pipi ?
– Ça ne me dérange pas !
– Tu aimes le goût du pipi ?
– Disons que c’est amusant.
– Mais tu es un petit cochon ! Tu aimerais que je te pisse quelques gouttes dans ta bouche ?
– Pourquoi pas ?

Indira se posa alors à califourchon au-dessus de ma bouche et après quelques secondes de concentration, libéra un petit filet. La quantité n’y était pas, par contre la qualité… Humm !

– C’est bon, hein ? Me nargue -t-elle
– Délicieux !
– Tu voudrais me lécher le cul ?
– Avec plaisir !

Ma langue s’approche du petit orifice, on ne peut pas dire que l’endroit sente la rose, mais cela ne me gêne pas outre mesure. Le goût est un peu âcre, elle a dû s’essuyer le cul avec un courant d’air.

Ma langue finit par fatiguer un petit peu, alors j’approche le doigt.

– Vas-y fous le moi dans le cul ! Me supplie-t-elle.

Puisque c’est demandé gentiment, je ne vais pas me gêner, mon index coulisse dans le conduit anal, je le fais glisser d’avant en arrière provoquant chez ma partenaire des jappements expressifs.

– Encule-moi, mon chéri, encule-moi !

Ben oui, c’est dans l’ordre des choses, non ? Ma bite bandée comme un arc entre dans son cul avec une facilité déconcertante et c’est parti pour une bonne sodomie en cadence.

– Oh, tu m’encules bien, c’est bon ! Dis-moi que je suis ta chienne, que je suis ta salope…

Si ça lui fait plaisir…

– Tiens salope ! Tiens morue ! T’aimes ça te faire défoncer la rondelle ?
– Oui, oui, encore !

J’essaie de me contrôler afin de faire durer le plaisir mais ce n’est guère évident, je sens ma jouissance monter. Je choisi de faire une pause et je décule.

– Hé, ne t’en va pas, reste dans mon cul !
– Attends, c’est juste un petit entracte !
– Oh ! Qu’elle est belle ta bite quand elle sort de mon cul !

Ah bon ?

Et sans crier gare, la voilà qui me la gobe, sans regarder l’état de la chose, et même qu’elle a l’air de se régaler.

Le souci, c’est qu’avec la fougue qu’elle met à me pomper, je ne vais pas pouvoir ternir longtemps… Et c’est exactement ce qui se passe, j’éclate dans sa bouche.

Elle en avale une partie et recrache l’autre en se l’étalant sur ses seins.

– Tu veux les lécher ?

Je suis toujours un peu démotivé après avoir joui, mais je veux pas refuser de lui faire plaisir. D’ailleurs elle n’a pas joui à fond…

Alors je lui demande de s’étaler sur la couchette, et je viens entre ses jambes lui butiner la chatte jusqu’à ce que mademoiselle monte au plafond.

Un vrai volcan cette nana, mais elle m’a fait jouir de façon fabuleuse ! Je pensais qu’elle allait me laisser me reposer, mais non la voilà qui se met à parler :

– Bon je vais être très directe : j’ai entendu quelques conversations, vous n’êtes pas ici par hasard…
– Pourtant si !
– Non, Arkon pense que votre panne est bidon…
– N’importe quoi !
– Non, vous cherchez quelque chose… ou quelqu’un …

Elle m’énerve, il me paraît évident qu’elle est missionnée pour me tirer les vers du nez. Un peu trop grosse, la ficelle !

– Ecoute ma grande, t’es mignonne comme un cœur mais pour l’instant j’ai envie de dormir, alors tu vas être gentille et me laisser roupiller.
– Bon, dans cinq minutes je disparais, mais juste une question, ça te dirait de faire une bonne action ?
– Quelle bonne action ?
– En bref, j’étais à bord du Glory7 quand il a été piraté, j’étais la dame de compagnie d’une bonne femme. Après l’attaque on a été dispatché, je me suis retrouvée ici. Mais je voudrais partir. J’en ai un peu marre.
– Ah ? Et on te laissera partir ?
– Ben non, je sais trop de choses ! Mais j’ai un plan !
– Ah ?
– Et en échange, je peux te fournir ce que tu cherches.
– Je ne cherche rien !
– Pourquoi tu mens ?
– Bon tu me les lâches maintenant !
– T’es pas gentil ! Mais réfléchis quand-même !

La voilà enfin partie ! Réfléchir ? C’est vrai que tout cela demande réflexion, d’abord une certitude, notre « coup de la panne » ne les a pas trompés. Seconde chose, ils cachent quelque chose ici, à moins que ce soit carrément Edina Von Graz. Quant au baratin d’Indira, de deux choses l’une ou elle dit vrai ou elle bluffe, et je n’arrive pas à savoir qu’elle est la bonne version.

J’ai dû dormir une bonne heure et je dormirais sans doute encore si Indira n’était pas revenue pour me réveiller.

– Alors, tu as réfléchi ?
– Non, j’ai dormi !
– Je vais te conduire à la salle de repos

Je ne cherche pas trop à comprendre et suis la nana jusqu’à une grande salle dans laquelle mes compagnons sont d’ores et déjà installés

– Voilà il y a ici tout ce qu’il faut pour vous détendre. Des films, des jeux, des bouquins. Les toilettes sont dans le coin là-bas. On vous a mis quelques rafraîchissements dans le frigo.

La fille nous laisse, on se regarde tous bizarrement, il me paraît évident que nos hôtes vont nous surveiller et nous écouter.

J’écris un mot sur mon spacephone : « attention à nos paroles, ils nous écoutent sûrement, souriez ! » et je le fais passer à mes camarades en mimant l’attitude du gars qui leur en montre une bien bonne.

Cette précaution étant prise on peut parler de ce qui ne porte pas à conséquence.

– Il y a une nana qui est venue me masser, du moins c’était le prétexte, en fait on s’est envoyé en l’air.
– Moi aussi ! indique Dilos.

Nerren nous dit avoir éconduit une accorte personne qui ne le branchait pas, quant à ces dames, on ne leur a envoyé personne, sans doute n’ont-ils pas de jeunes hommes sexy à disposition.

N’empêche que j’aurais bien voulu savoir ce qui s’est passé avec Dilos, alors faute de pouvoir parler on s’échange du texte sur nos spacephones.

J’apprends donc qu’on a essayé à lui aussi de lui tirer les vers du nez. Mais contrairement à moi, sa partenaire ne sollicita aucun échange éventuel. Bizarre !

A l’étage du dessus Eugenia a réuni Arkon, Baboukar, Indira et Leila, la jeune fille qui a essayé de brancher Dilos

– Si je comprends bien, on n’en sait pas davantage, sinon vous me l’auriez déjà dit !
– Le type n’a pas arrêté de me dire qu’ils avaient une panne. Explique Leila.
– Pareil pour moi ! Ajoute Indira.
– On sait que c’est faux. Intervient Arkon.
– Bon, il ne faut se voiler la face, ces mecs sont des chasseurs de primes, ils me cherchent.
– Ben oui, reste à savoir comment ils t’ont localisé ?
– C’est en effet une question à laquelle il faudra répondre, mais la première chose à faire, c’est de débloquer la situation, quelqu’un a une idée ?
– On les flingue ! Propose Baboukar en toute simplicité.
– J’ai déjà dit « non ». Ils ont dû faire comme tout le monde, indiquer nos coordonnées quelque part, sur le mode « à ouvrir si on n’est pas revenu dans tant de jours », donc ça ne règle rien au contraire.

Moment de silence, tout le monde réfléchit mais tout le monde semble sécher jusqu’à ce que Leila propose :

– On va leur dire que t’es morte et le problème sera réglé.
– Ben non, reprend Baboukar, je leur ai raconté qu’on était une communauté de reclus volontaires, sans évoquer ta présence, c’est pas trop compatible…
– C’est malin, rouspète Eugenia.
– Fallait bien justifier notre présence, si on sort ton baratin, ça nous caractérisera comme menteurs, ils ne goberont jamais ce truc !
– Bon, il ne reste qu’une option, reprit Eugenia, c’est le statuquo, on va leur dire qu’ils peuvent repartir, si comme je le pense, ils viennent pour moi, ils vont forcément tenter quelque chose

Arkon est venu nous voir, et nous a indiqué que le bricolage logiciel avait été plus rapide que prévu.

– Ça vaut bien une caisse de pinard, non ?
– Bien sûr !
– Je vous installe le logiciel demain matin et vous allez pouvoir repartir… Ce soir nous mangerons ensemble, ensuite vous pourrez vous reposer dans vos chambres.
– Et si on n’a pas sommeil on pourra venir ici regarder des vidéos ? Demandais-je.
– Bien sûr, vous êtes nos hôtes, vous n’êtes pas prisonniers.

Faux cul !

On fait comment maintenant ? il nous reste peu de temps pour tenter quelque chose, mais quoi ?

Nous avons attendu en rongeant notre frein et avons convenu qu’après le repas du soir, avant de gagner nos chambres, nous nous rendrons tous dans la salle commune afin de faire une partie de Cosmopoly-simulator.

Le repas fut d’excellente qualité, toujours du glochton mais préparé différemment. Bien sûr nous avons eu droit de nouveau aux questions insidieuses. Si celles de Baboukar purent être éludés facilement, celles d’Arkon autrement plus subtiles nous placèrent dans un certain embarras. Je m’en sortais (si l’on peut dire) par une pirouette :

– Vous savez, mon vieux, on ne fait pas toujours des choses bien légales, alors on s’est fixé une règle : on n’en parle jamais !

Ce mec m’énerve profondément, il est loin d’être idiot et sait qu’on cache quelque chose, alors pourquoi tout ce cinéma ?

On a attendu environ deux heures. J’ai indiqué à mes compagnons qu’ils devaient continuer à jouer.

– Et pendant ce temps-là je vais faire un tour dans les couloirs.

Je jette un coup d’œil, apparemment il n’y a personne en vue, je trouve ça un peu bizarre, ces mecs doivent être persuadés que nous n’allons rien trouver…

Un couloir circulaire court le long de la paroi intérieure du dôme, j’en fais le tour sans trouver quoi que ce soit de particulier, mais je compte les portes.

Un autre couloir, rectiligne celui-ci traverse le dôme dans sa diagonale en croisant un autre perpendiculaire en son centre. Moins de portes mais il est évident qu’une partie de la surface est dédié aux nécessaires installations techniques.

Certaines portes sont protégées par un digicode…

Un digicode ? Voilà qui n’est pas sans me poser questions ! Car enfin, de deux choses l’une : ou bien les types qui sont ici le sont à la régulière et ils ont récupéré les codes comme il se doit, y compris les procédures de reconnaissance faciale, sinon si ce sont des squatters, comment ont-ils fait ?

Mais c’est bien sûr !

Je pousse la porte, elle s’ouvre toute seule comme une grande et me retrouve dans une serre hydroponique !

Le digicode a été saboté, les résidents du dôme sont donc bien des squatters. Le contraire eut été étonnant !

Je n’ai rien à faire dans cette serre, assez jolie, je trouve, je ressors et continue de cheminer.

Autre porte avec digicode, un local technique dont je me fous complètement, troisième porte : un escalier montant, il y a donc un second étage… normal vu la structure du dôme.

J’emprunte donc cet escalier, j’avance un peu, une porte est carrément ouverte et je m’en approche.

– Entrez, jeune homme, je vous attendais !

Imaginez ma surprise car j’ai devant moi, devinez qui ? Edina Von Graz en personne. Je reste muet de stupéfaction.

– Alors on se balade ?
– Je, je…
– Arrêtez donc de bafouiller. Vous recherchez Edina Von Graz, manque de bol, elle n’existe plus. Moi je suis Eugenia Schiller et je me trouve très bien ici, si votre intention était de me récupérer dans l’intention d’empocher une prime, ce n’est même plus la peine d’y penser !

Je m’attendais à tout mais pas à ça. Imaginez ma stupeur !

– Je ne comprends pas, balbutiais-je.
– Il n’y a rien à comprendre, et au risque de me répéter, je me trouve très bien ici. Je comprends votre déception, vous pensiez vous enrichir, ben c’est raté, et confidence pour confidence, sachez que j’ai horreur des chasseurs de primes.
– Je ne suis pas un chasseur de primes.
– Vous êtes quoi, alors ? Ne me dites pas que vous êtes un flic, je ne vous croirais pas.
– Je ne suis pas un flic.
– Bon racontez-moi ce que vous voulez, je m’en fous. Là je suis un peu fatiguée, alors vous allez regagnez gentiment votre chambre. Demain il faudra qu’on cause, je veux savoir le nom du fils de pute qui m’a localisé. Et par ailleurs je tiens à ce que m’a présence ici reste secrète. Si vous avez une idée à ce propos je suis preneuse, ça m’embêterait d’être obligée de vous tuer, ça fait des saletés.
– Mais…
– Plus un mot, allez faire dodo.

C’est qui cette furie ?

Je reviens vers mes compagnons et leur fait part de ma rencontre avec Edina Von Graz.

– Plus la peine de prendre des précautions, j’ignore si on nous écoute, mais maintenant on peut s’en foutre. Précisais-je.
– Pour l’informateur, on peut balancer le nom, elle n’ira pas le chercher. Suggère Dyane.
– On va avoir un problème avec ce mec, il attend la moitié de la prime. Ajoute Dilos.

Bordel, je n’avais pas pensé à ça ! Une complication de plus parce que le souci de discrétion de la miss, je ne vois pas comment le traiter.

On est allé se coucher, pas évident de trouver le sommeil.

Au petit matin, c’est Indira qui vint me réveiller.

– Si je comprends bien Eugenia a changé ses plans, n’empêche que je désire toujours partir, qu’est-ce que je dois faire ?
– J’en sais rien, la situation devient compliquée, mais si j’ai la possibilité de t’emmener, je le ferais.

Voilà qui ne m’engage à rien, mais ma réponse était néanmoins sincère.

– Elle veut vous voir !
– Moi seulement ?
– Pour l’instant. Oui !
– J’aurais bien pris une douche et mangé un petit truc.
– Elle désire vous voir maintenant !insista-t-elle.

On y va, on y va !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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