Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 14 – Black and white
Le loufiat se pointe.
– Monsieur, appelez vite la police, on me retient prisonnière ! Hurle Galia.
– Mademoiselle, calmez-vous, les prostituées ne sont pas les bienvenues dans cet établissement, je veux bien fermer les yeux, mais si vous avez des problèmes avec votre maquerelle, je ne veux pas
le savoir.
Evidemment ces paroles ont été dite sous mon emprise. Galia est prostrée et ne sait que répondre.
– Eh oui tu ne t’en sortiras pas comme ça, la différence avec les sectes habituelles, c’est que nous, nous avons de réels pouvoirs magiques.
– Salope !
– Salope, moi ? C’est possible après tout ! Personne n’est parfait ! Et confidence pour confidence, je suis même un peu gouine, ça t’intéresse ?
– Ça va pas, non ?
– Si, ça va bien, je trouve que ce serait une excellente idée, ça scellerait notre collaboration et ça te prouverait que je ne suis pas si méchante que ça !
– J’aurais tout entendu !
– T’as déjà couché avec une femme ?
– Qu’est-ce que ça peut te foutre ?
– J’ai les moyens de le savoir, mais je préfère éviter de violer tes souvenirs.
Et là je bluffe, parce qu’en fait, je sonde son cerveau et justement elle est en train de se remémorer une partie bien arrosée au cours de laquelle elle ne s’est pas privée de se livrer à des attouchements très poussés avec d’autres femmes, des blackettes comme elle..
– T’aimes pas les blanches ? La provoquais-je.
– C’est bien des réflexions colonialistes, ça, le vieux fantasme de coucher avec une esclave noire !
C’est bien la première fois qu’on me traite de colonialiste ! Je ne vais pas la suivre sur ce terrain trop glissant.
– Déshabille-toi !
– Non !
– Il faudra bien que tu le fasses à un moment ou un autre, tu ne vas pas te doucher tout habillée !
– T’es pas obligée de regarder.
– Tu veux que je t’oblige ?
– Et si je me déshabille, ça va m’aider ?
– Tu verras bien ! En fait ce que je veux c’est que tu ais une autre image de moi, pour l’instant, je te renvoie une image de grosse salope, complice d’un réseau de traite d’êtres humains, alors
que je ne suis rien de tout ça.
– Et en me déshabillant, ça va changer quelque chose ?.
– Le déshabillage ce n’est qu’un prélude, tiens je vais commencer !
Et je me fous à poil, reste à savoir si elle va kiffer ?
– Alors tu me trouve comment ?
– Pas trop mal dans le genre grosse pute !
C’est pas gagné ! (et d’ailleurs je ne suis pas grosse !)
– Viens me caresser !
– Surement pas, je ne caresse pas les putes !
– Tu as tort ! Allez, juste un peu et on arrête le délire !
Elle avance sa main, directement sur mon sein.
– Approche toi-mieux !
Son visage et a présent à quelques centimètres du mien
– Qu’est-ce que tu vas me faire ?
– T’embrasser !
– Je ne veux pas !
– Tu préfères te déshabiller d’abord ?
Manifestement elle ne sait plus où elle en est, elle se recule, me regarde, se déshabille à l’arrache, et revient se coller contre moi acceptant mon baiser.
– D’accord tu me baises, je me laisse faire, mais promets-moi de me libérer après.
– Je ne suis pas hypocrite, je suis incapable de te promettre ça, par contre je te répète que je souhaite que notre cohabitation se passe le mieux possible.
Je la sonde, en fait elle espère plus ou moins me séduire et s’en servir pour que je la libère ! Mauvais plan, mais je ne vais pas le lui dire.
Bien sûr ma réponse ne lui plait pas. Elle est naïve ou quoi ?
– Bon, c’est pas la peine, je vais me rhabiller… Me dit-elle en se reculant.
– Faudrait savoir ce que tu veux ? Tu préfères que je te baratine et que je laisse de faux espoirs. Encore une fois je n’ai rien contre toi et si tu y mets un peu du tien, tout se passera
bien.
– T’es vraiment une salope !
– Si ça peut de faire plaisir ! Allez reviens me voir, je ne vais pas te bouffer !
Elle est revenue, elle en pleine confusion mentale, la pauvre. On s’est embrassées de nouveau, elle embrasse bien. sa peau est douce, très douce, veloutée. Je lui flatte les fesses.
– C’est la première fois que j’embrasse une fille black ! Lui dis-je.
– Ça va ? Je te plais comme esclave noire ? Réplique-t-elle.
Ça y est, ça la reprend. Surtout ne pas la suivre sur ce terrain.
– Par contre une fois j’ai baisé avec un black ! Trouvais-je malin de lui dire.
– Ben oui, c’est bien un fantasme de blanche, ça, parce que tous les blacks ont des grosses queues, c’est ça ? Si c’est pas du racisme ça aussi !
Elle m’énerve, elle m’énerve !
– Ecoute, il y en a un peu marre de tout ramener au racisme, c’est trop facile de raisonner comme ça. Je ne suis pas raciste, mais ce que je sais aussi qu’il n’y a pas que les blancs qui sont
racistes.
– Mais…
– Silence, je ne veux plus qu’on aborde ce sujet. On reprend où on en était ou on remet ça à demain ?
– Je sais pas !
– Tu sais pas, ben moi je sais, allez laisse-toi faire ça va te détendre.
Elle hésite ! Je la sonde un peu sans l’influencer, elle sait que sa seule arme est d’essayer de me séduire, persuadée qu’elle est que je possède les moyens de la libérer.
En toute théorie, je pourrais la libérer, mais d’une part, je ne peux pas revenir sur sa morsure, donc il lui faudra vivre en mutante avec tout ce que cela implique, par ailleurs il faudrait que je trouve une autre donneuse, et puis surtout c’est dangereux, si elle se met à parler à tort et à travers, c’est l’existence même des mutants qui serait menacée.
– T’as une belle poitrine de salope ! Me dit-elle en la caressant délicatement.
– Embrasse-la.
Elle hésite un court instant avant de projeter ses lèvres sur mon téton, elle suce, elle aspire, elle ose même mordiller.
– A moi, maintenant !
Elle se laisse faire pendant que je lui lèche ses tétés.
– Plus fort ! j’aime bien !
Ah, bon, mademoiselle est un peu maso des seins, voilà qui va peut-être m’ouvrir d’intéressantes perspectives.
– Comme ça ?
– Oui, tu me fais mal, mais continue, j’aime ça.
Je les lui tortille dans tous les sens, ma main descend au niveau de sa chatte, c’est trempé comme une soupe là-dedans.
-T’as déjà essayé des pinces ? Demandais-je
– Oui, mon ancien mec s’amusait à me faire des trucs sado-maso devant ses potes, moi ça ne me déplaisait pas.
– Il te mettait des pinces, et quoi d’autre ?
– Des fessées à la main ou à coups de ceinturon, et puis je devais sucer ses copains, et leurs copines aussi. On m’a même pissé dessus ! On a fait aussi de ces trucs, je ne t’en parle même
pas
– Ben si, parle-en, j’aime bien savoir !
– Un jour on me baladait en laisse à poil dans l’appartement, en me foutant des coups de cravache, un type s’est pointé avec un gros chien et il m’a léché le cul.
– Qui ? Le chien ou le mec ?
– Le chien ! Ça les a fait rigoler, mais ça ne me dérangeait pas, je voyais ça comme une humiliation, j’étais dans mon trip.
– T’as fait d’autre trucs avec le chien ?
– Ouin une nana qui était là lui a sucé la bite, elle m’a mis au défi de faire la même chose.
– Et alors ?
– Ben alors je l’ai fait !
– Et tu aimais bien tout ça ?
– Oui, en fait je dois être pas mal maso.
– Et la scato ?
– Ça ne m’aurait pas dérangé plus que ça, mais ce sont ce messieurs dames que ça dérangeait Sont marrant ces mecs, ils sont sadiques, arrogants mais ils font les chochottes dès qu’ils voient un
bout de crotte.
– Mais depuis t’as changé de copain ?
– Pas vraiment, mais je l’ai laissé tomber, un jour ça été trop loin.
– Raconte !
– C’est pas intéressant, Un jour un mec à moitié bourré a voulu m’enculer sans capote, j’ai refusé, le mec a insisté. Je pensais que mon copain prendrait ma défense, mais il n’a pas dit un mot,
c’est un de ses cousins qui m’a défendu, ça s’est terminé en bagarre grave. J’en ai profité pour me sauver et je ne les ai jamais revus.
Curieux qu’elle ait eu soudain envie de parler !
– Je peux te taper les fesses, si tu veux !
– Quand on se connaîtra mieux !
– C’est comme tu veux ! Et te pisser dessus ?
– Ça, pourquoi pas ?
– Allonge-toi sur le lit, je vais m’occuper de ta chatte.
– Tu ne peux pas continuer un peu avec mes tétons ?
– On peut faire les deux à la fois, va t’allonger !
Elle le fait et m’attend les cuisses écartées, j’en profite pour les lui caresser, cette fille a décidemment une peau de soie. Un petit bisou sur ces douces cuisses avant d’atteindre ma cible.
C’est pour moi une découverte que ce sexe da blackette, une fois les grandes lèvres (charnues) écartées, l’intérieur est tout rose ! Je commence à lécher mais en même temps, j’allonge les bras pour que mes doigts puissent lui pincer les tétons.
Elle est mouillée de chez mouillée, elle dégouline, je vais pas m’en plaindre, j’adore ce goût, je lape tel un chaton assoiffé.
Galia gémit, sa respiration se saccade, ma langue pointe vers son gros clito. Quelques lèches ont suffi pour lui provoquer un orgasme violent et spectaculaire à ce point que j’ai cru l’espace d’un instant qu’elle allait nous faire une crise de tétanie.
Elle se relève, viens me rejoindre, m’enlace et m’embrasse. Est-elle domptée à présent ? Pas si sûre !
– A toi de me faire jouir maintenant
.
Elle ne s’est pas fait prier et j’ai joui assez rapidement.
– Bon, je vais aller pisser ! L’informais-je.
– On fait comme on a dit ?
Ah c’est vrai, j’avais complètement oublié… Mais si c’est elle qui demande je ne vais pas la décevoir.
Elle s’est assise sur le carrelage de la salle de bain, bouche grande ouverte. Je m’approche et lui pisse d’abondance dans le gosier. J’avais une très grosse envie et du mal à contrôler mon débit, elle ne peut bien sûr tout avaler, et en met partout, on se marre comme des bossues… Tout va bien… Du moins je l’espère.
Pour la suite je lui ai laissé le champ libre, établissant juste une barrière mentale l’empêchant de s’éloigner de trop et de parler de sa condition à n’importe qui.
Au bout de quatre jours Galia a manifesté des singes de faiblesse. Il a donc fallu que je lui explique pour l’élixir de survie.
– Et si je ne le prends pas
– Tu vas dépérir, tu ne mourras pas, mais tu vas tomber dans une sorte de catalepsie. Si quelqu’un te découvre dans cet état, il te prendra pour morte
– Mais pour l’urine, ce doit être la tienne !
– Eh oui !
C’est faux, elle peut aussi bien utiliser la sienne, mais je vais pas aller lui dire, il est bien trop tôt !
– C’est pour ça que tu ne peux pas me libérer ?
– Oui !
– C’est la cata !
– Fais la part des choses, tu es immortelle sauf si on te coupe la tête, et puis je ne te rendrais pas malheureuse !
Elle s’est mise à chialer, une crise nerveuse inévitable que j’ai laissé passer. Il faudra bien qu’elle fasse avec sa nouvelle condition !
A suivre
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