Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:43

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 14 – Black and white

Black11


Le loufiat se pointe.

– Monsieur, appelez vite la police, on me retient prisonnière ! Hurle Galia.
– Mademoiselle, calmez-vous, les prostituées ne sont pas les bienvenues dans cet établissement, je veux bien fermer les yeux, mais si vous avez des problèmes avec votre maquerelle, je ne veux pas le savoir.

Evidemment ces paroles ont été dite sous mon emprise. Galia est prostrée et ne sait que répondre.

– Eh oui tu ne t’en sortiras pas comme ça, la différence avec les sectes habituelles, c’est que nous, nous avons de réels pouvoirs magiques.
– Salope !
– Salope, moi ? C’est possible après tout ! Personne n’est parfait ! Et confidence pour confidence, je suis même un peu gouine, ça t’intéresse ?
– Ça va pas, non ?
– Si, ça va bien, je trouve que ce serait une excellente idée, ça scellerait notre collaboration et ça te prouverait que je ne suis pas si méchante que ça !
– J’aurais tout entendu !
– T’as déjà couché avec une femme ?
– Qu’est-ce que ça peut te foutre ?
– J’ai les moyens de le savoir, mais je préfère éviter de violer tes souvenirs.

Et là je bluffe, parce qu’en fait, je sonde son cerveau et justement elle est en train de se remémorer une partie bien arrosée au cours de laquelle elle ne s’est pas privée de se livrer à des attouchements très poussés avec d’autres femmes, des blackettes comme elle..

– T’aimes pas les blanches ? La provoquais-je.
– C’est bien des réflexions colonialistes, ça, le vieux fantasme de coucher avec une esclave noire !

C’est bien la première fois qu’on me traite de colonialiste ! Je ne vais pas la suivre sur ce terrain trop glissant.

– Déshabille-toi !
– Non !
– Il faudra bien que tu le fasses à un moment ou un autre, tu ne vas pas te doucher tout habillée !
– T’es pas obligée de regarder.
– Tu veux que je t’oblige ?
– Et si je me déshabille, ça va m’aider ?
– Tu verras bien ! En fait ce que je veux c’est que tu ais une autre image de moi, pour l’instant, je te renvoie une image de grosse salope, complice d’un réseau de traite d’êtres humains, alors que je ne suis rien de tout ça.
– Et en me déshabillant, ça va changer quelque chose ?.
– Le déshabillage ce n’est qu’un prélude, tiens je vais commencer !

Et je me fous à poil, reste à savoir si elle va kiffer ?

– Alors tu me trouve comment ?
– Pas trop mal dans le genre grosse pute !

C’est pas gagné ! (et d’ailleurs je ne suis pas grosse !)

– Viens me caresser !
– Surement pas, je ne caresse pas les putes !
– Tu as tort ! Allez, juste un peu et on arrête le délire !

Elle avance sa main, directement sur mon sein.

– Approche toi-mieux !

Son visage et a présent à quelques centimètres du mien

– Qu’est-ce que tu vas me faire ?
– T’embrasser !
– Je ne veux pas !
– Tu préfères te déshabiller d’abord ?

Manifestement elle ne sait plus où elle en est, elle se recule, me regarde, se déshabille à l’arrache, et revient se coller contre moi acceptant mon baiser.

– D’accord tu me baises, je me laisse faire, mais promets-moi de me libérer après.
– Je ne suis pas hypocrite, je suis incapable de te promettre ça, par contre je te répète que je souhaite que notre cohabitation se passe le mieux possible.

Je la sonde, en fait elle espère plus ou moins me séduire et s’en servir pour que je la libère ! Mauvais plan, mais je ne vais pas le lui dire.

Bien sûr ma réponse ne lui plait pas. Elle est naïve ou quoi ?

– Bon, c’est pas la peine, je vais me rhabiller… Me dit-elle en se reculant.
– Faudrait savoir ce que tu veux ? Tu préfères que je te baratine et que je laisse de faux espoirs. Encore une fois je n’ai rien contre toi et si tu y mets un peu du tien, tout se passera bien.
– T’es vraiment une salope !
– Si ça peut de faire plaisir ! Allez reviens me voir, je ne vais pas te bouffer !

Elle est revenue, elle en pleine confusion mentale, la pauvre. On s’est embrassées de nouveau, elle embrasse bien. sa peau est douce, très douce, veloutée. Je lui flatte les fesses.

– C’est la première fois que j’embrasse une fille black ! Lui dis-je.
– Ça va ? Je te plais comme esclave noire ? Réplique-t-elle.

Ça y est, ça la reprend. Surtout ne pas la suivre sur ce terrain.

– Par contre une fois j’ai baisé avec un black ! Trouvais-je malin de lui dire.
– Ben oui, c’est bien un fantasme de blanche, ça, parce que tous les blacks ont des grosses queues, c’est ça ? Si c’est pas du racisme ça aussi !

Elle m’énerve, elle m’énerve !

– Ecoute, il y en a un peu marre de tout ramener au racisme, c’est trop facile de raisonner comme ça. Je ne suis pas raciste, mais ce que je sais aussi qu’il n’y a pas que les blancs qui sont racistes.
– Mais…
– Silence, je ne veux plus qu’on aborde ce sujet. On reprend où on en était ou on remet ça à demain ?
– Je sais pas !
– Tu sais pas, ben moi je sais, allez laisse-toi faire ça va te détendre.

Elle hésite ! Je la sonde un peu sans l’influencer, elle sait que sa seule arme est d’essayer de me séduire, persuadée qu’elle est que je possède les moyens de la libérer.

En toute théorie, je pourrais la libérer, mais d’une part, je ne peux pas revenir sur sa morsure, donc il lui faudra vivre en mutante avec tout ce que cela implique, par ailleurs il faudrait que je trouve une autre donneuse, et puis surtout c’est dangereux, si elle se met à parler à tort et à travers, c’est l’existence même des mutants qui serait menacée.

– T’as une belle poitrine de salope ! Me dit-elle en la caressant délicatement.
– Embrasse-la.

Elle hésite un court instant avant de projeter ses lèvres sur mon téton, elle suce, elle aspire, elle ose même mordiller.

– A moi, maintenant !

Elle se laisse faire pendant que je lui lèche ses tétés.

– Plus fort ! j’aime bien !

Ah, bon, mademoiselle est un peu maso des seins, voilà qui va peut-être m’ouvrir d’intéressantes perspectives.

– Comme ça ?
– Oui, tu me fais mal, mais continue, j’aime ça.

Je les lui tortille dans tous les sens, ma main descend au niveau de sa chatte, c’est trempé comme une soupe là-dedans.

-T’as déjà essayé des pinces ? Demandais-je
– Oui, mon ancien mec s’amusait à me faire des trucs sado-maso devant ses potes, moi ça ne me déplaisait pas.
– Il te mettait des pinces, et quoi d’autre ?
– Des fessées à la main ou à coups de ceinturon, et puis je devais sucer ses copains, et leurs copines aussi. On m’a même pissé dessus ! On a fait aussi de ces trucs, je ne t’en parle même pas
– Ben si, parle-en, j’aime bien savoir !
– Un jour on me baladait en laisse à poil dans l’appartement, en me foutant des coups de cravache, un type s’est pointé avec un gros chien et il m’a léché le cul.
– Qui ? Le chien ou le mec ?
– Le chien ! Ça les a fait rigoler, mais ça ne me dérangeait pas, je voyais ça comme une humiliation, j’étais dans mon trip.
– T’as fait d’autre trucs avec le chien ?
– Ouin une nana qui était là lui a sucé la bite, elle m’a mis au défi de faire la même chose.
– Et alors ?
– Ben alors je l’ai fait !
– Et tu aimais bien tout ça ?
– Oui, en fait je dois être pas mal maso.
– Et la scato ?
– Ça ne m’aurait pas dérangé plus que ça, mais ce sont ce messieurs dames que ça dérangeait Sont marrant ces mecs, ils sont sadiques, arrogants mais ils font les chochottes dès qu’ils voient un bout de crotte.
– Mais depuis t’as changé de copain ?
– Pas vraiment, mais je l’ai laissé tomber, un jour ça été trop loin.
– Raconte !
– C’est pas intéressant, Un jour un mec à moitié bourré a voulu m’enculer sans capote, j’ai refusé, le mec a insisté. Je pensais que mon copain prendrait ma défense, mais il n’a pas dit un mot, c’est un de ses cousins qui m’a défendu, ça s’est terminé en bagarre grave. J’en ai profité pour me sauver et je ne les ai jamais revus.

Curieux qu’elle ait eu soudain envie de parler !

– Je peux te taper les fesses, si tu veux !
– Quand on se connaîtra mieux !
– C’est comme tu veux ! Et te pisser dessus ?
– Ça, pourquoi pas ?
– Allonge-toi sur le lit, je vais m’occuper de ta chatte.
– Tu ne peux pas continuer un peu avec mes tétons ?
– On peut faire les deux à la fois, va t’allonger !

Elle le fait et m’attend les cuisses écartées, j’en profite pour les lui caresser, cette fille a décidemment une peau de soie. Un petit bisou sur ces douces cuisses avant d’atteindre ma cible.

C’est pour moi une découverte que ce sexe da blackette, une fois les grandes lèvres (charnues) écartées, l’intérieur est tout rose ! Je commence à lécher mais en même temps, j’allonge les bras pour que mes doigts puissent lui pincer les tétons.

Elle est mouillée de chez mouillée, elle dégouline, je vais pas m’en plaindre, j’adore ce goût, je lape tel un chaton assoiffé.

Galia gémit, sa respiration se saccade, ma langue pointe vers son gros clito. Quelques lèches ont suffi pour lui provoquer un orgasme violent et spectaculaire à ce point que j’ai cru l’espace d’un instant qu’elle allait nous faire une crise de tétanie.

Elle se relève, viens me rejoindre, m’enlace et m’embrasse. Est-elle domptée à présent ? Pas si sûre !

– A toi de me faire jouir maintenant
.
Elle ne s’est pas fait prier et j’ai joui assez rapidement.

– Bon, je vais aller pisser ! L’informais-je.
– On fait comme on a dit ?

Ah c’est vrai, j’avais complètement oublié… Mais si c’est elle qui demande je ne vais pas la décevoir.

Annabell14Elle s’est assise sur le carrelage de la salle de bain, bouche grande ouverte. Je m’approche et lui pisse d’abondance dans le gosier. J’avais une très grosse envie et du mal à contrôler mon débit, elle ne peut bien sûr tout avaler, et en met partout, on se marre comme des bossues… Tout va bien… Du moins je l’espère.

Pour la suite je lui ai laissé le champ libre, établissant juste une barrière mentale l’empêchant de s’éloigner de trop et de parler de sa condition à n’importe qui.

Au bout de quatre jours Galia a manifesté des singes de faiblesse. Il a donc fallu que je lui explique pour l’élixir de survie.

– Et si je ne le prends pas
– Tu vas dépérir, tu ne mourras pas, mais tu vas tomber dans une sorte de catalepsie. Si quelqu’un te découvre dans cet état, il te prendra pour morte
– Mais pour l’urine, ce doit être la tienne !
– Eh oui !

C’est faux, elle peut aussi bien utiliser la sienne, mais je vais pas aller lui dire, il est bien trop tôt !

– C’est pour ça que tu ne peux pas me libérer ?
– Oui !
– C’est la cata !
– Fais la part des choses, tu es immortelle sauf si on te coupe la tête, et puis je ne te rendrais pas malheureuse !

Elle s’est mise à chialer, une crise nerveuse inévitable que j’ai laissé passer. Il faudra bien qu’elle fasse avec sa nouvelle condition !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:42

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 13 – Trio salace

scat

Scato explicite inside !

Un raclement de gorge dans l’embrasure de la porte des chiottes, c’est Corenta !.

– Je ne vous dérange pas ?
– Non ! (Je ne vais pas dire oui !)

Alors Corenta s’approche de moi, très, très près et m’enlace carrément.

– J’ai envie de toi !

J’avais compris ! On s’embrasse, profondément bien sûr. Rapidement, les fringues de Corenta tombent au sol, on se caresse, les mains vont partout.

– Je vous laisse entre vous ! Suggère Jenny.
– Mais non, viens donc nous rejoindre !

Elle n’hésite pas une seconde, et nous voici en train de faire à trois ce nous faisions à deux

– Tu peux t’assoir sur la cuvette, je vais te lécher le minou ? Me propose Corenta.

J’y vais, j’écarte bien les cuisses et la douce langue de la blondinette vient me fouiller mes chairs intimes.

– Je fais quoi, moi, je fais banquette ? Intervient Jenny.
– Passe derrière moi et occupe toi mon cul !
– Assise comme tu es, ça ne va être évident.
– Attend une seconde, je crois qu’il faut que je chie. Précisais-je
– Tourne toi qu’on puisse voir !

Toujours aussi salope, la Corenta, mais je ne me défile pas et démoule un long boudin qui tombe avec un bruit flasque dans l’eau dormante de la cuvette des chiottes.

– Oh ! que c’est beau ! S’extasie Corenta en regardant au fond de la toilette ! Tu en penses quoi, Jenny ?
-Je pense que c’est de la merde !
– Certes mais elle est trop belle !
– Si tu le dis !
– Hé, les filles, vous n’allez pas vous engueuler ! J’aimerais bien qu’on me nettoie le cul maintenant, je ne vais quand même pas me servir de papier. Corenta tu te dévoues ?

Elle n’hésite pas une seconde et se met à me lécher mon cul, manifestement elle se régale.

– Hum, qu’est-ce qu’elle est bonne ta merde.! Je t’en ai laissé un peu Jenny.
– Non merci ! Répond l’intéressée.
– Ce n’était pas une proposition, c’était un ordre ! Croit devoir préciser Corenta.
– Je m’en fous je n’ai pas envie de faire ça !
– Essaie, ça ne va pas te tuer.
– J’ai dit non !
– Tu préfères que j’aille chercher la cravache pour te forcer un peu.
– Vous êtes des catins !
– Ah, enfin un compliment ! se gausse Corenta.
– Jenny, tu approches ta langue et tu lèches juste un peu, fais-le pour me faire plaisir !
– Vous êtes chiantes, toutes les deux,
– Allez au boulot !

Jenny se lance, elle a maintenant le nez sur mon trou du cul, elle hésite, retient sa respiration et lèche et peu, puis se redresse.

– Alors ?
– C’est moins pire que ce que je pensais.
– Lèche encore, il en reste. lui dit Corenta

Cette fois, elle n’hésite même plus !

– Finalement ce n’est pas mauvais… mais vous me faites faire de ces choses, j’ai honte !
– Faut pas !

Corenta récupère l’étron au fond de la cuvette, le regarde d’un air attendri, puis en lèche l’extrémité.

– Hum, c’est trop bon ! Tu veux lécher, Annabelle ?

Pourquoi pas, au point où on en est ! Soyons folles

Alors on a léché de conserve, mais la surprise vint de Jenny, excitée comme une puce par la situation qui de façon complétement inattendue, quémanda sa part.

On s’est ensuite embrassé toutes les trois et je n’ai pas besoin de vous préciser quel gout avait ce baiser pervers !

Annabelle13
Jenny a ensuite voulu faire pipi, Corenta et moi, lui avons offert nos bouches. Puis nous lui avons nettoyé la chatte de nos langues allant jusqu’à la faire jouir.

Et tandis que Jenny s’en alla prendre une bonne douche bien méritée, nous nous sommes fait jouir Corenta et moi à grands coups de langues là où il le faut, avec en bonus le doigt de Corenta dans le trou de mon cul.

Elle n’est pas belle, la vie ?

Je retrouvais Jenny dans la salle de bain

– Pisse encore une goutte, je vais te prélever un peu d’urine, elle est où la potion magique ? Demandais-je à Jenny
– Dans la cuisine !

Ben oui il ne faut pas que je m’affaiblisse !

Cette fois, je n’ai plus rien à faire ici, je décide de repartir et en informe Malvina.

– Et Lukas, tu vas le laisser comme ça ?

(souvenez-vous que je l’ai transformé en mouton au chapitre précédent)

– Ce n’est pourtant pas l’envie qui m’en manque…

Je lui ai rendu sa forme humaine, il est monté à l’étage, pour bouder, je suppose.

Et après plusieurs heures de vol, me voici de nouveau chez Lothaire.

– Bon je vais t’expliquer ce que j’attends de toi…

Je m’attends au pire !

Il ouvre un coffre en bois, il y a plein de grandes feuilles là-dedans avec des schémas compliqués.

– Il y en a un paquet, c’est intransportable, mais rassure toi j’ai appris à numériser tout ça, ça tient sur un téléphone portable.

Mais qu’est-ce qu’il raconte ?

– Tu parles anglais ?
– Je me débrouille. Pourquoi ?
– Parce que tu vas partir aux Etats-Unis.
– Hein ?
– Le moment est venu de rentrer chez nous. La Terre possède maintenant ce qu’il faut pour construire une fusée interstellaire à moteur mixte, nucléaire et ionique…
– Epargne moi le charabia.
. S’ils ne le font pas c’est qu’ils considèrent que ça ne sert à rien… mais toi tu vas aller influencer ces gens-là. Avec tes pouvoirs, ça va faciliter les choses.
– Non mais tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
– Ce ne sera pas si difficile que ça, il faudra trouver le bon ingénieur et le persuader de mener ce projet à bien.

Je reste sans voix, je ne m’attendais pas du tout à ce qu’on me confie une mission de cette envergure.

– Avant de partir, tu devras lire et apprendre par cœur un petit argumentaire que j’ai rédigé, ça répond aux questions qu’on te posera là-bas..
– Euh attention, en ce qui me concerne, je n’ai aucunement l’intention de m’embarquer pour l’espace.
– Mais personne ne te demande une chose pareille. Nous étions douze rescapés du crash originel. Vico s’est fait bouffer par une araignée et nous avons dû nous débarrasser d’Amaury. Nous serons donc dix pour ce voyage et pour cela nous reprendrons notre aspect alien, tu verras, ça ressemble un peu à des sauterelles !
– Dix, seulement ?
– Moi ma femme et mes filles Perrette que tu ne connais pas Il y aura aussi Rosalio et Philippine s’ils désirent venir, mais je me fais fort de les convaincre… et trois autres.
– Et le voyage prendra combien de temps ?
– 40 ans !
– C’est long !
– On s’en fout, on est immortel !

Il fallut bien que je pose la question qui me brulait les lèvres :

– Et les mutants ?
– Il faudra les organiser, ce ne sera pas une mince affaire, et surtout faire en sorte que personne ne découvre leur état. C’est là que tu interviendras, tu es la plus douée des mutantes, tu seras donc leur Reine.

Je vous dit pas mon égo ! Et du coup j’acceptais la mission !

J’ai donc fait une demande de visa pour les Etats-Unis. En attendant je suis allé voir ma petite famille.

– A Houston ? Mais tu vas faire quoi à Houston ? Je croyais que tu travaillais sur un bateau de croisière.
– Ça n’a pas marché, je suis tombé sur un mec qui cherchait une hôtesse française pour le musée de la NASA.
– Ça me paraît bizarre ton truc. Et on te revoit quand ?
– J’en sais rien mais je vous donnerais des nouvelles.

Lothaire m’a briefé assez longuement, je peux désormais soutenir une conversation sur l’astronautique sans avoir l’air d’une idiote. Il s’est occupé des billets d’avion et je l’ai retrouvé à Roissy

– Je te présente Galia ! Me dit Lothaire. Elle va voyager avec toi.

Galia est une charmante jeune blackette, mais je m’interroge sur les raisons de sa présence.

– Elle sera ta réserve d’élixir de survie. Pour le reste tu te débrouilleras sur place, il y a des herboristes à New York…
– Euh, attends, je ne comprends rien, je n’ai rien contre mademoiselle et je ne suis pas raciste, mais elle ne correspond pas aux critères…
– Ben si, justement, le critère ce ne sont pas les tâches de rousseurs mais le pigment qui les compose, la mélanine. Et notre amie, du point de vue mélanine, elle est servie.
– Mais il lui faut un visa
– Elle en a un ! Ce n’est pas elle mais ça lui ressemble, pareil pour le passeport, tu feras ce qui faut aux contrôles et à la douane…

Et discrètement Lothaire me refile le téléphone portable qu’il lui a subtilisé.

Elle n’a pas l’air joyeuse, la Galia. Cela se comprend aisément.

Avion jusqu’à New York puis un autre avion jusqu’à Houston où je loue une chambre d’hôtel.

Pendant tout le trajet, Galia assise à mes côtés n’en a pas décroché une, je la laisse tranquille par discrétion.

Mais arrivées à notre chambre d’hôtel, il fallut bien que nos rapports se définissent.

– Bon, je voudrais que tu m’expliques ce qui t’es arrivée ? Lui demandais-je
– Qu’est-ce que ça peut te foutre, pétasse !
– Bon, je suis peut-être une pétasse, mais je peux t’obliger à faire tout ce dont j’ai envie ? Seulement ce ne sera pas marrant ni pour moi ni pour toi, alors OK, t’es en galère, je n’y suis pour rien, je ne peux pas te sortir de là…

(En fait, si, je pourrais l’en sortir, mais outre le fait que ce soit assez compliqué, je serais obligée de rechercher une autre donneuse, alors autant conserver celle-ci)

– Mais, continuais-je, je peux m’arranger pour que ça se passe le mieux possible.
– C’est quoi votre truc, c’est une secte ?
– Non, mais ça y ressemble, alors raconte-moi ton histoire.
– C’est tout simple, je me suis fait piéger comme une conne, je revenais de Martinique. A Roissy il y avait une file d’attente impossible pour les taxis. Un type m’a proposé de me prendre dans sa voiture. On a roulé un peu et un moment il a stoppé sur une route déserte. J’ai d’abord cru qu’il voulait me violer, mais en fait il m’a mordu au cou, tu vois j’ai encore la trace. J’ai dû tomber dans les vapes et quand je suis revenue à moi, je n’avais plus de volonté, le type me dominait complètement.
– Il t’as dit quoi ?
– Je n’ai pas tout compris, mais en gros que désormais je serais une espèce d’esclave. C’est d’un gay !
– Et après ?
– Il m’a ramené à Roissy et il m’a livré à toi.

Rapide, le mec !

– Tu allais où en France ?
– A Paris, je suis en coloc.
– T’as un boulot ?
– Préparatrice en pharmacie.
– T’as des amis ou de la famille qui risquent de s’inquiéter ?
– Plutôt, oui !
– O.K. tu va les prévenir que tu as rencontré quelqu’un dans l’avion, et que tu as une belle opportunité professionnelle, tu ne donneras pas de détails, mais tu préciseras que tu vas rester au Etats-Unis environ une année entière.
– Une année ?
– Ben oui !
– Vas-y téléphone, tu peux envoyer ta photo si ça peut rassurer, mais si tu déconnes je coupe.
– Faut que tu me prêtes un téléphone, le connard qui m’a mordu, m’a piqué le mien.
– Non, c’est moi qui l’ai, vas-y téléphone !

Elle s’est prêtée au jeu sans que j’aie besoin d’intervenir.

– Donc toi t’es complice d’un réseau ! M’apostrophe-t-elle. Et t’es contente ? T’es fière de toi ? T’as la conscience tranquille ?
– Je viens de te dire que je m’efforcerais afin que notre collaboration se passe le mieux possible, Point barre.
– J’ai un peu soif !
– Tu veux quoi, je vais faire monter des boissons.

Je sonde juste un peu son cerveau, je comprends qu’elle va essayer de dire au garçon d’étage, qu’elle est prisonnière. Ça ne marchera pas, je vais lui montrer de quoi je suis capable.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:41

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 12 – Bérénice puis Roland
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J’ai dû attendre jusqu’à minuit, toute nue dans son studio. Quand elle est rentrée accompagnée de sa colocataire, je les ai fait se mettre à poil toutes les deux par la force de ma pensée !

– Alors salope, surprise de me revoir ? Et cette fois inutile d’appeler Rosalio à la rescousse, ça ne marchera pas. Persiflais-je

Je sens qu’elle essaie quand même, c’est de bonne guerre, mais ça ne le fait pas !

– Bon tu vas te venger, c’est ça ? Répond Bérénice, peu rassurée.
– T’as tout compris…
– Alors deux choses, déjà laisse ma copine en dehors de ça, elle ne t’a rien fait.

Non elle ne m’a rien fait mais elle doit se poser beaucoup de questions, et parfois les gens qui se posent des questions se mettent à perler à tort et à travers.

– C’est un témoin gênant ! On ne peut pas la laisser comme ça !
– Qu’est-ce que tu vas lui faire ?
– Il faut la vampiriser !
– Mais elle n’a pas les critères, ça risque de la tuer !

Elle n’a pas tort, j’ai bien une autre solution, c’est de lui retirer de sa mémoire toutes les images où elle m’a vu ! Mais pendant cette opération, je vais être vulnérable, je la remets donc à plus tard et envoie simplement la nana se coucher dans la chambre.

Passons aux choses sérieuses !

– Avant de faire quoi que ce soit, écoute-moi une minute ! Me dit Bérénice.
– Je suis tout ouïe !
– La violence avec laquelle je t’ai traitée n’était pas de mon fait, c’est Rosalio qui commandait à mon cerveau à distance. Moi je ne suis pas une fille méchante. Maintenant crois ce que tu veux.. Mais là je te dis : tu es en train de te tromper de coupable.

Elle a sans doute raison, et je suis idiote de ne pas y avoir pensé. Et phénomène plus étrange, je me sens frustrée de ne pas pouvoir la corriger.

Alors je fais quoi ?

– Tu n’es peut-être pas méchante, mais moi je le suis ! Lui déclarais-je
– Ben vas-y frappe moi, ce ne sera qu’un mauvais moment à passer, je suppose que tu n’iras pas jusqu’à me couper la tête
– Passe-moi ta cravache ! Mais dis-moi puisque tu n’es pas méchante, pourquoi tu as besoin d’une cravache !
– C’est pour Sylvette, elle aime bien que je lui tape les fesses !

Ah ! voilà qui va peut-être arranger tout le monde !

– Je vais la faire revenir, tu vas me présenter comme étant une vielle camarde de classe ou un truc dans le genre, et tu vas la cravacher devant moi, tu me diras si je peux intervenir et comment. Ça te convient ?
– Elle va trouver ça un peu bizarre, mais je peux m’arranger.
– Bon, je la fais revenir !
– Attends, on fait la paix alors ?
– Bien sûr !
– Bisous alors ?

Sauf que le bisou s’est vite transformé en roulage de pelle à ce point que le salive dégoulinait sur nos mentons Et bien sûr nos mains n’allait pas rester inactives, aussi nous pelotons-nous avec frénésie, les fesses, les seins et tout le restant.

– On l’appelle ou on se gouine ? Me demande-t-elle.
– On peut faire les deux, non ?

Bérénice va chercher Sylvette qui parait en pleine confusion (on le serait à moins)

– T’es qui toi ? M’apostrophe-t-elle.
– C’est Annabelle, je l’ai rencontré au boulot, on a un peu sympathisé.
– Mais attends, c’est quoi ce cirque, elle était là avant qu’on arrive, et comment ça se fait que je me retrouve à poil ?
– Annabelle est un peu magicienne, vois-tu ?
– Non je ne vois pas du tout !
– Ce n’est pas grave, quand je lui ai confié que ma coloc était maso, ça l’a amusé, alors je lui ai proposé de passer.
– On va pas faire du cul à cette heure-là !
– C’est que ma copine repart vers Paris demain…
– Ce n’est pas mon problème !
– Laisse toi faire, de toute façon, ça ne va pas durer trois heures !

Et tout en parlant Bérénice s’est saisie de la cravache et en en assène un coup sur le sein de Sylvette.

– Mais ça ne va pas, non ?
– Allez, tu arrêtes de bouger et de discuter ! Lui répond Bérénice en la ciglant une seconde fois.

Et c’est parti, Bérénice enchaîne les coups sur les seins de la pauvre Sylvette qui se tortille de douleur dans tous les sens, pourtant j’ai l’impression qu’elle ne tape pas très fort, il doit y avoir une part de comédie là-dedans.

Au bout d’un moment, Bérénice me tend la cravache.

– Tiens, tape-lui les fesses, moi je vais lui faire un peu les tétons !

Je vais pouvoir enfin me défouler, et je me mets à cingler le cul de cette jolie personne tandis que devant, Bérénice après lui avoir accroché des pinces à liges sur les tétons et sur les lèvres vaginales, s’amuse à faire bouger tout cela, tirant, tortillant, tournicotant.

Anabelle12– Assez les filles, je n’en peux plus.

Bérénice lui enlève les pinces sans aucun ménagement, la gifle, lui crache dessus, puis l’embrasse à pleine bouche. Si ce n’est pas de l’amour vache, ça, c’est quoi ?

Quelques instants plus tard, nous nous sommes retrouvées toutes les trois sur le plumard

Mélange infernal avec baisers profonds, léchage de seins, caresses et pelotage. Puis doigt dans la chatte et dans le trou du cul, langue dans la chatte, léchage de l’anus. Toute la bonne gamme des amours goudous.

On s’est ensuite endormi toutes les trois comme des bienheureuses…

Au petit matin, je me suis levée, je n’ai pas pris de douche pour ne pas réveiller les deux donzelles qui dormaient du sommeil du juste. Pas de petit déjeuner non plus. Et maintenant, direction la ferme des Burnettes afin de rencontrer Roland.

Il est tout content de me voir, pépère.

– Alors jolie fille, tu as avancé dans ta quête ?
– Oui et non ! J’ai rencontré Rosalio, j’ai aussi rencontré Lothaire, il m’a livré une version des évènements selon laquelle les massacres ne seraient pas de son fait…
– Ce serait qui alors ? Le pape ? Se gausse-t-il.
– Un dénommé Gandoni qui aurait outrepassé les ordres de Lothaire. Il aurait été mis hors d’état de nuire !
– Bizarre ça ! Quand on est sous emprise, on n’outrepasse pas les ordres… ou alors ça veut dire que Lothaire avait toute confiance en lui ! Bref c’est possible, mais comment être sûr ?
– D’autant que Rosalio prétend que sur ce coup-là, je me suis peut-être fait manipuler. Tu crois que c’est possible ?
– Je n’en sais rien. Il faut qu’on fasse un test, mais je ne vois pas comment. Cela dit il est vrai que les exactions semblent avoir cessées, je n’ai plus de remontées en ce sens.
– On va réfléchir chacun de notre côté, il faut absolument qu’on soit sûrs.
– Peut-être qu’en baisant, cela activerait nos neurones ?
– Ben voyons…

Il ne va pas me sauter dessus tout de même, non Roland est un délicat

– Tes petits pieds sont toujours aussi beaux ?
– Ben, oui, il n’y pas de raison.
– Ça me fait envie !
– Ecoute il y a un problème, je n’ai pas pu prendre de douche ce matin et…
– Ce sera encore meilleur !

Il a réponse à tout, ce con !

Je lui ai donc de nouveau « prêté » mes pieds , il m’a bien sucé les gros orteils et ensuite il était tout fier de m’exhiber sa bite bandée comme un bout de bois.

– Dis donc, si tu n’as pas pris de doche tu dois avoir le cul qui sent fort ?
– Ben, oui c’est possible.
– Je peux en profiter ?
– Tu ne serais pas un petit peu vicieux, toi ?
– Oui, mais ne fait de mal à personne.
– Alors d’accord, bouffe-moi le cul.

Je lui présent mon joufflu, il l’écarte et me lèche le trou du cul, sa langue me chatouille un peu, j’ignorais être chatouilleuse de l’anus.

Et après la langue c’est le doigt, d’ailleurs il en met deux. Il me ramone bien come il faut, la suite logique ce devrait être la sodomie.

– Je peux y mettre ma bite ?

Qu’est-ce que je disais !

– Mais bien sûr mon cher, enculez-moi comme la salope que je suis !
– En voilà un langage !
– J’ai quelques lettres…

Et c’est parti, il me sodomise en de larges mouvements de bite et je dois avouer que c’est très agréable, d’ailleurs je ne tarde pas à jouir du cul. Lui, il continue encore quelques minutes avant de décharger en criant comme un âne !

Sa bite ressort, je ne vous dis pas l’état, du sperme bien sûr mais aussi de la merde. Je me régale en nettoyant tout ça bien comme il faut.

– Bon maintenant je voudrais prendre une douche et manger un morceau, ensuite tu me diras si le fait de m’avoir enculé t’as fait venir une idée géniale.

On a grignoté ensemble et il s’est mis à parler.

– Voilà l’idée, on va faire passer un message télépathique informant qu’il a des mutants cachés au camping des Gambettes… Commence Roland.
– Mais tu sais faire ça ?
– Non pas très bien, mais toi tu sais faire !
– Mais ça ne marchera pas, si des mutants hostiles viennent, ils vont s’apercevoir très vite qu’il n’y a aucun mutant dans le camping..
– Si, il y en aura deux : toi et moi, ils vont nous sentir, tu as assez de pouvoir pour les détecter avant qu’ils le fassent. Et dès qu’ils s’approchent de trop près, on se dématérialise.
– Donc si des mutants hostiles se pointent, ça veut dire que Lothaire nous ment et nous manipule, c’est ça ?
– Absolument, et si personne ne vient c’est qu’il ne ment pas !

Plan adopté, on a squatté un mobil-home dont les occupants étaient partis on ne sait où. On a attendu trois jours, il ne s’est rien passé. La version de Lothaire se confirmait donc !

Tant mieux, on y voit plus clair !

Survolant la forêt de Longdard, je suis descendue saluer Constance et Albertine, les deux sorcières.

– La version que tu m’as décrite n’est pas la bonne… Je te laisse lire dans mon esprit
– Je vais pouvoir quitter cette baraque pourrie, alors ! Mais tu es certaine que tout risque est écarté.
– On ne peut jamais être certain à 100 %, mais il faut que cette rumeur mensongère cesse. Nous avons autre chose à foutre que de nous épuiser dans des luttes intestines.
– Ça m’embête quand même de laisser Albertine…
– T’inquiète pas pour moi, mais viens me voir de temps en temps, ça me fera plaisir. Répondit l’intéressée.

Etape suivante : Lucien et sa fille, planqués à l’étage au-dessus d’une boutique de cordonnier

– On avait reçu quelques ondes télépathiques en ce sens ! M’informe Lucien, on attendait une confirmation plus sérieuse.

Ils étaient tellement contents qu’ils ont tenus à me payer le restaurant, c’était leur première sortie depuis des semaines !

Evidement après ce bon restau assez arrosé, je n’avais pas trop envie de reprendre mon chemin de suite, Lucien m’a alors proposé de m’héberger pour la nuit et vous vous doutez bien de ce qui arriva avant que je m’endorme ! Mais c’était bien !

Et le lendemain après quelques heures de vol, je me matérialisais dans le salon de Malvina.

– Te voilà donc !
– Ben oui me voilà !
– Et quand est-il de ta mission ?
– Ça avance, ça avance ! Bluffais-je en fermant l’accès à mon cerveau. Mais la situation a changé…

Et je mets à expliquer le quiproquo impliquant Lothaire avant de réaliser que Malvina ne m’avait jamais évoqué ce sujet.

– N’importe quoi, Lothaire est loin d’être un saint mais je ne le vois pas aller couper des têtes, ce mec est profondément pacifiste, ce sont ses rivaux qui lui ont fait porter le chapeau quand un cinglé a pété les plombs.

Ah, bon, elle savait ?

– Lothaire n’est pas un mauvais bougre, j’ai été sa servante et sa maîtresse pendant des années, j’ai aussi été la maîtresse de sa femme. Il avait parfois des moments de folie et s’amusait à me punir pour des fautes imaginaires, cravache, humiliations, mais ça n’allait jamais bien loin et après il me faisait un gros câlin.

C’est amusant tout ça, mais du coup, je me demande pourquoi suis-je revenue ici, puisque je n’ai rien à leur apporter.

Et pendant que nous parlions, la petite bande nous a rejoint. Corenta, la jolie blonde qui m’embrasse sur la bouche, les deux frangins débiles Viktor et Lukas, Ce deux-là ne me saluent pas, mais la haine que Lukas me porte est quelque chose d’imaginable. Il y a aussi le chien qui vient me renifler, je dois lui rappeler quelques souvenirs !

Et voilà Jenny qui leur sert de réserve d’élixir de survie.

Je lui avais fait une promesse à celle-ci ! Comment vais-je pouvoir la tenir ?

Comme je viens de le dire, je n’ai plus rien à faire ici et m’apprête à quitter les lieux. Mais c’est sans compter sur Lukas qui manifestement cherche la bagarre.

Il ne se doute de rien, ce type ! Dans mon périple le seul qui a réussi à me dominer, c’est Lothaire, les autres y compris Rosalio n’ont pas réussi sur le long terme, alors le Lukas, il peut toujours s’aligner.

– Et t’es venue faire quoi, ici, salope ?

Ça y est, il attaque, avec la délicatesse d’un loubard imbibée.

– Lukas, calme-toi ! Lui dit Malvina.
– Non, je ne vais pas me calmer, vous ne voyez pas que cette salope manigance pour devenir la reine des mutants.
– Et elle est où la manigance ? Demande Corenta
– Une fois qu’elle sera reine, on sera ses esclaves ! Eructe-t-il.
– Tu ne te défends pas, Annabelle ? S’étonne Malvina.
– Ça ne sert à rien de discuter avec quelqu’un en état de stress. Par contre je peux le calmer.

Je me concentre un peu et transforme Lukas en mouton. Je rigole parce que pendant la transformation ses vêtements ont littéralement éclaté.

– Mais qu’est-ce que tu lui as fait ? S’gosille Malvina.
– Rassure-toi, c’est provisoire, je peux le faire revenir à son état normal quand je veux. Mais en attendant il va nous foutre la paix.
– On pourrait l’équarrir et en faire un bon gigot ! Propose Corenta le plus sérieusement du monde.
– Bééééééééé ! Proteste Lukas qui est privé de parole, mais qui entend fort bien.

Je prends Jenny par le bras et l’entraine vers la salle de bain.

– Tu fais quoi ? Demande Malvina.
– On va faire pipi !

Elle n’en croit pas un mot, mais je m’en fous.

– Ça se passe comment pour toi ici ! Lui demandais-je.
– Disons que je m’adapte, ils ne sont pas méchants, mais ils m’ont obligé à avoir des relations sexuelles avec tout le monde. Je n’étais pas trop gouine, mais j’ai l’impression que j’y prends gout. Ils m’ont même fait sucer le chien.
– Ils t’ont obligé ?
– Obligé, non, mais disons qu’ils ont mis la pression pour que je le fasse.
– Et alors ?
– Alors bof,
– Et sinon ?
– Sinon, je m’emmerde, moi j’adore sortir en boite, j’ai demandé aux garçons de me sortir, ils ne veulent pas…
– Bon je t’avais promis un truc, ça tient toujours mai il va falloir être patiente.
– T’as pas un téléphone portable, j’aimerais rassurer mes copines.

Ben non, je n’ai pas l’article, je me sens conne, je ne sais plus quoi dire, je vais pisser… pour de vrai.

Elle me regarde ça l’amuse.
A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:40

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 11 – Pute occasionnelle
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– Je ne m’étais pas rendu compte de la panique que le comportement de Gandoni a provoqué, et en plus tout le monde s’imagine que c’est moi le responsable et qu’on est en train de décapiter tout le monde. Il va falloir arrêter! Commence Lothaire .Ce sera ta première tâche, tu vas retourner chez Rosalio et tu le laissera sonder ton cerveau. Comme il sera de mauvaise foi, il croira d’abord que je t’ai manipulé avant de se rendre à l’évidence. Il faudra ensuite que tu retournes voir tous les mutants que tu as rencontré y compris Malvina bien sûr. T’as une semaine pour faire ça, après j’ai un autre projet…
– Autrement dit, tu me donnes des ordres ,
– La situation l’impose ! De mon côté, Chapine et mes filles vont faire également passer le message…
– Bon, je partirais demain… Mais cet autre projet ?
– C’est une autre paire de manche, je t’expliquerais les détails à ton retour, mais si tu réussis, ton rêve de devenir la reine de mutants s’exaucera !
– Sérieux ?
– Je suis toujours sérieux ! Bon, allons dîner.

Je me demande bien où il veut nous emmener.

– On va au restaurant ? Demandais-je
– Dans mon restaurant !
– Je ne comprends pas !
– C’est très simple, ici tu as vu, il n’y a pas grand-chose, c’est une cache dont je me sers tant que la crise avec Rosalio n’est pas réglée.
– Je ne comprends pas !
– Ma vraie planque, c’est le « Café des oiseaux », j’en suis le propriétaire, ça fait un peu brasserie, hôtel et bar à putes. Rosalio ignore cette cache, je ne voulais pas qu’il la découvre et qu’il fasse un massacre.

Lothaire m’informa par la même occasion que les serveuses et serveurs du restaurants étaient tous des mutants

On s’installe, on commande, un type apparemment habitué des lieux s’approche :

– Bonjour patron, bonjour tout le monde ! T’es nouvelle, toi ? Demande-t-il en s’adressant à moi.
– Oui elle est nouvelle, mais pour l’instant on mange ! Répond Lothaire
– Bien sûr, je peux réserver pour tout à l’heure ?
– Pas de problème !

Je suis un peu larguée, là. Lothaire m’explique.

– Mes filles et ma femme viennent parfois faire des passes, le type t’a pris pour une pute. Il faudra bien donner le change
– Ne t’inquiètes pas il est rapide et pas compliqué ! M’informe Herma (l’une des filles de Lothaire).
– Attendez, vous voulez que je fasse la pute !
– Juste une passe, après on rentrera !
– Mais enfin ce n’aurait pas été plus simple de lui dire que j’étais pas une pute ?
– Ah, oui c’est vrai, ça on n’y a pas pensé ! Répond Herma.

Elle se fout de moi en plus, celle-ci.

Et à la fin du repas, le méché est revenu me solliciter.

– On peut monter maintenant ?
– Attends deux minutes ! Monte dans la 14, elle va te rejoindre.

Bon , me voilà au pied du mur, je ne vois pas comment reculer !

Herma profite de ces quelques instants pour me livrer quelques renseignement pratiques afin que je ne paraisse pas trop gourde.

Je monte dans la chambre 14, le type est déjà à poil sur le lit.

– Euh ! Rebonjour ! Qu’est-ce qui te ferais plaisir, mon grand ?
– Déjà tu te mets à poil !
– D’accord ! tu m’as donné les sous !
– C’est sur la table !

Je me déshabille comme demandé.

– Whah, quelle paire de nichons ! Viens me les donner à lécher !

J’ai un peu peur qu’il me brutalise, Mais en fait non, ses gestes sont même plutôt doux et il parvient à me faire raidir mes petits bouts de seins.

– Tu veux quoi, maintenant ? Je te suce ? On fait l’amour ?
– T’as un gode ?

Herma m’avait indiqué qu’il y en avait un dans le tiroir du chevet.

– Tu le veux dans le cul ?
– Oui, mais avant tu vas me le faire sucer !

Ah bon ! Probablement un bisexuel refoulé ! Mais je ne suis pas là pour juger les gens !

Je porte le gode à quelques centimètres de sa bouche.

– T’as envie de sucer de la bite, c’est ça ?
– Oh, oui, une bonne bite qui bande bien !
– Alors vas-y, montre-moi comme tu suces !

C’est impressionnant, on s’y croirait ! Il suce, il lèche, il s’essaie même à la gorge profonde.

– C’est bon la bite , hein ?
– Humpf, humpf !

Ben, oui, il a la bouche pleine, il ne va pas me répondre.

Cette petite fantaisie dure plusieurs minutes aux termes desquelles il sort le gode de sa bouche

– Tu veux quoi, maintenant, que je t’encule avec ?
– Oui, mais avant si tu pouvais me pisser dessus ?
– Ah, il faudrait que j’aie envie… oui je peux te faire une petite goutte… on va se mettre par terre…

Annabell11Le gars s’allonge, je m’accroupis sur lui, chatte conte bouche, je me concentre et lâche quelques gouttelettes qu’il avale comme si c’était du pur malt.

– Je ne peux pas en faire davantage désolée…
– Pas grave, c’était délicieux !
– Et maintenant je te mets le gode dans le cul ?
– Oui vas-y, encule-moi !

Il revient sur le lit, se met en levrette, jambes écartées, croupion relevé, j’introduis le gode.

– Le vibreur, le vibreur ! Me dit-il.

A oui c’est vrai que ça marche à pile, j’active donc le vibreur en puissance maximum et fait aller et venir l’objet dans son cul. Pendant ce temps il se branle frénétiquement.

S’il pouvait jouir de cette façon, cela m’épargnerait la corvée de baise !

Ben non, il me demande de retirer le gode et de m’allonger sur le plumard, Il s’est enfilé un préservatif (ben oui il ignore que je suis mutante). La pénétration a été rapide mais relativement douce, ce mec n’a rien d’une brute.

– Tu vas revenir quand ? Me demande-t-il en se rhabillant
– Pas tout de suite, j’étais juste de passage chez mes cousines !
– C’est dommage tu as été très gentille !

Il a réussi à me toucher, ce con !

Quand je descendis de l’escalier, Lothaire et sa petite famille se levèrent signifiant par-là que nous allions quitter l’établissement.

– Vous partez ! Me dit un grand benêt.
– Ben oui !
– C’est dommage, je serais bien monté avec vous !
– Une autre fois, mon biquet !

Comme Lothaire et moi-même le pressentions, Rosalio n’a absolument pas été convaincu par ce que je lui rapportais.

– Il t’a complètement conditionné et t’a fait gober des sornettes. Je n’en crois pas un mot.
– Mais dans quel but ?
– Pour que les mutants cachés réapparaissent, cela lui permettra de les tuer !
– J’ai sondé le cerveau de sa femme et de ses filles, ce que j’y ai vu est conforme au récit de Lothaire…
– Puisque je te dis que tu es complètement manipulée. Maintenant tu te tais et je t’interdis de prendre n’importe quelle initiative.

Tu parles qu’il va m’interdire quelque chose, ce gros lard, j’ai davantage de pouvoirs que lui… Aussi je me dématérialise, quitte les lieux et me dirige vers Darmou, ayant très envie de me retrouver face à face avec cette peste de Bérénice

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:38

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 10 – Dans les griffes de Lothaire
stamp slave

C’est en fin d’après-midi en survolant une bourgade que je sentis l’odeur caractéristique.

Je suis la piste qui m’emmène dans une villa toute neuve. Non seulement elle est neuve mais elle est à peine aménagée, des lits, une table, quelques chaises, une caisse de bouquins et pas grand-chose dans la cuisine.

Lothaire est bien là, son visage lisse et sa barbiche soigneusement entretenue, lui donnent l’aspect d’un vieux sage, il n’a vraiment pas l’allure d’un coupeur de têtes, deux femmes entre deux âges, plutôt jolies bouquinent chacune dans leur coin, une autre plus âgée roupille.

O.K. Inutile que je m’attarde ! Je vais rentrer et rapporter tout cela à Rosalio.

– Bien, il ne nous reste plus qu’à y aller, on fera ça cette nuit ! Décida le mutant.
– Mais concrètement on fait comment ? Demandais-je
– On se dématérialise chez eux en pleine nuit, on trouvera bien un couteau de cuisine.

C’est donc ce que nous avons fait… sauf qu’une fois sur place, pas moyen de trouver un couteau digne du crime que nous apprêtions à commettre. Il a parfois des ces impondérables !

– Pas de plan B ? Demande Rosalio.

Ben non, pas de plan B, nous sommes rentrés.

Nous nous sommes essayés à bâtir des plans sur la comète afin d’essayer de trouver une astuce pour faire entrer un couteau dans la villa de Lothaire.

Ben oui, ça paraît simple, mais ça ne l’est pas du tout. Imaginez un peu. Pour se rendre sur place il faut y aller en nuage en sachant qu’en se dématérialisant on va être à poil. Il faut donc trouver des fringues avant d’acheter un couteau. Et après ? On ne peut pas entrer dans la maison sauf en se dématérialisant, mais à ce moment-là le couteau ne suit plus ! Quand je vous dis que ce n’est pas simple !

Alors autre solution, on vient en vouture avec le couteau… mais pour entrer dans la maison, il faut se dématérialiser. on fait comment pour faire entrer le couteau dans la maison ?

Autre solution, attaquer dans la rue ! Mais dans ce cas, pas d’effet de surprise, il risque de sentir notre présence et de se défendre !

Non, il faut trouver autre chose.

– On n’est peut-être pas obligé de le décapiter, si on réduit sa tête en bouillie, ça devrait le faire ! Proposais-je.
– Et on fait comment ?

J’exposais mon plan, je le trouvais un peu farfelu mais ne dit-on pas que pour réussir il faut avoir de l’audace ?

Et le lendemain, après « emprunté » une voiture nous avons stoppé à 500 mètres de l’entrée d’une base militaire toute proche. Nous avons attendu un certain temps qu’une Jeep daigne en sortir. J’ai alors pénétré le cerveau du conducteur lui demandant de stopper son véhicule, tandis que Rosalio pénétrait celui de son accompagnateur, lui intimant l’ordre de rester tranquille., Puis nous avons demandé aux deux militaires de nous faire cadeau de leurs armes et de leurs munitions.

On s’est donc retrouvé avec deux HK 416 et comme je n’y connais rien et la bande à Rosalio non plus, nous sommes rentrés et avons regardé sur Internet le mode d’emploi de ces engins meurtriers. Nous avons appris qu’il est possible de dégommer quelqu’un à 300 mètres de distance. Super !

Et le lendemain (ça en fait des lendemains, tout ça !) nous repartions tous les deux en voiture, nous nous sommes garés pratiquement devant la villa des Lothaire et avons attendu qu’ils sortent.

On m’a gentiment proposé de tenir l’un des fusils, l’autre restant dans les mains de Rosalio.

Alors là problème, je n’ai jamais tué personne et n’ai aucune envie de commencer, je viserai donc dans le vide et laisserai Rosalio faire le sale boulot.

Et c’est parti ! Il n’y a aucun passant dans cette zone pavillonnaire qui offre peu de lignes droites, ce n’est pas la peine d’avoir un fusil qui tire à 300 mètres pour se retrouver à 50 mètres de notre cible !. Après une attente interminable, Lothaire sort avec sa femme et ses deux filles. On peuvent-ils aller ? On s’en fiche ! Simple promenade de confort, je suppose ? Il va forcément nous sentir, vu la distance, il faudra donc tirer très vite avant qu’il ne réagisse.

Ce devait être bref ! On éclatait la tête de Lothaire et dans la foulée on se dématérialisait laissant vêtements, armes et voiture.

Mais comme disait Lao Tseu, les choses ne se passent jamais comme on croit qu’elles vont se passer.

On tire ! Moi dans le vide comme prévu, Quant à Rosalio qui manque cruellement d’entrainement, il atteint l’une des filles de Lothaire, ce n’est pas la tête qui est touchée, donc elle s’en tirera !

On vise de nouveau, mais nous voilà pris dans une chappe qui nous immobilise. Impossible de faire un geste. Et Lothaire s’approche de nous… et il n’est pas content… pas content du tout même !

– Toi tu te barres ! Ordonne-t-il à l’intention de Rosalio. Et inutile de revenir, tu ne fais pas le poids, tu ne l’as jamais fait de toute façon ! La pétasse, elle reste avec moi, j’ai envie de m’amuser.

– C’est moi la pétasse ?
– Oui ! Rentre dans la maison..

Je ne peux pas faire autrement, ce mec me domine complètement.

– A poil ! M’ordonna-t-il
– Pourquoi faire ?
– Tu ne discutes pas. Il faut que tu comprennes que quand je te donne un ordre, si tu ne l’exécutes pas je peux te forcer à le faire
– O.K. Mais dites-moi pourquoi je devrais me déshabiller.
– Parce que j’aime bien voir les femmes à poil ! Répondit-il ! Provoquant les rires de sa petite famille.

Je tentais de résister, comme ça, juste pour voir, et me rendis compte que j’étais contre mon gré en train de me dévêtir.

– Voilà, vous êtes content, vous pouvez bien vous rincer l’œil ! Et maintenant vous allez me faire quoi ? Faut bien mourir un jour ! Me couper la tête ? Mais si vous pouviez faire vite, ça m’arrangerait.
– Assis-toi ! Tu venais pour me tuer, c’est bien ça ?
– Vous le savez bien puisque vous lisez dans mon cerveau
– Et pour quelle raison ?
– Vous le savez aussi !
– Ben oui, mademoiselle a été investie d’une mission confiée par cette folle de Malvina ! Je la connais bien celle-ci, elle a été ma servante et ma maîtresse pendant des années, elle suçait très bien ! Et ensuite vous avez rencontré des mutants qui vous ont raconté n’importe quoi et vous voilà maintenant sous l’influence de Rosalio qui veut absolument m’éliminer…

Ce en quoi il n’a pas tout à fait tort, Malvina ne m’a pas raconté grand-chose d’intéressant à propos de Lothaire, et après tout ce qu’on m’a dit de lui, j’ai estimé qu’il constituait un obstacle à mes ambitions.

– Tu ne crois pas qu’on devrait la punir, plutôt que de lui raconter des trucs qu’elle ne croira pas ! Intervient Chapine, son épouse.
– Faisons les choses dans l’ordre. Et figurez-vous que mademoiselle a soudain les chevilles qui enflent et a pour projet de devenir la reine de mutants. Y’a vraiment de baffes qui se perdent !

Les trois femmes ricanèrent en chœur.

– Maintenant je vais te raconter quelque chose, écoute bien.

Le récit de Lothaire

Lothaire est un anxieux, membre de la Guilde depuis sa fondation, il a toujours exprimé des positions de défensive, persuadé qu’il était qu’un jour, si l’on n’y prenait pas garde, la communauté des mutants serait révélée au grand jour avec tous les risques inhérents.

Lors de la dernière réunion de la Guilde, Lothaire et Rosalio s’étaient violemment opposés.

– Nous ne sommes plus au 19ème siècle, aujourd’hui il y a de la technologie partout, les gens sont suivis à la trace et ça n’a même pas l’air de les déranger. Ce monde devient dangereux, il n’est pas fait pour nous ! Déclara-t-il devant ses collègues.
– Et alors qu’est-ce que tu proposes ? Lui lança Rosalio en ricanant comme un beau diable.

Il faut dire que les deux hommes se détestaient depuis des siècles (c’est le cas de le dire) .A l’origine une simple histoire de coucherie qui avait pris de proportions inouïes. S’en était suivi des paroles blessantes et définitives sur lesquelles aucun des protagonistes ne souhaitaient revenir. Il aurait pour cela fallut un médiateur, la Guilde n’en possédait pas

– Il faut, répondit Lothaire, vampiriser le maximum de personnes, qui à leur tour en vampiriseront d’autres. Quand nous serons majoritaires parmi la population, nous ne courrons plus aucun risque.
– Tu t’opposais à cette option du temps d’Amaury !
– Les temps ont changés, on doit s’adapter.
– D’une part ce que tu proposes est idiot, et d’autre part c’est impossible, on ne vampirise pas les gens comme ça ! S’égosilla Rosalio. Dans la plupart des cas les victimes succombent.
– Et si j’avais trouvé le moyen pour que ça devienne possible… et sans risque ?
– C’est ça ! On passe à autre chose !
– Non ! Si tu n’es pas d’accord ! Dis-nous ce que tu proposes ? Ragea Lothaire.
– Je propose que Lothaire aille prendre une tisane ! Se gaussa Rosalio gagnant à lui les rieurs.

Fou de colère, Lothaire se leva et quitta la salle.

Rentré dans sa tanière Lothaire ne voulut perdre aucun temps et demanda à Tolmar, le vieil alchimiste d’expérimenter sans attendre son élixir miracle. Puis il fit venir Gandoni, son aide de camp et secrétaire, et après lui avoir expliqué la situation, il ordonna :

– Deux choses : D’abord je veux compter mes partisans, ceux qui me suivront si je crée une nouvelle guilde. Deuxième chose, Tolmar va te confier un élixir, il va falloir que tu l’expérimentes sur n’importe qui pris au hasard.

L’action était facile, le résultat un fiasco. Pour agir Gandoni s’introduit en pleine nuit chez une quinzaine d’habitants et les mordit au cou en injectant dans la plaie quelques gouttes de l’élixir miracle. La victime ne sentait rien et mettrait ça sur le compte d’un facétieux insecte.

Le souci, c’est l’élixir ne fonctionnait pas. La victime ne mutait pas et se contentait de pester contre les moustiques. Lothaire demanda donc à son alchimiste de persévérer dans ses recherches. Que lui demander d’autre ?

La deuxième mission de Gandoni fut également un échec. Certes Lothaire possédait ses partisans, mais ça n’allait pas bien loin et ces gens-là n’avaient rien de virulents.

Alors Gandoni outrepassa des ordres, rendant visite aux mutants de la région, il leur faisait jurer allégeance.

– Je veux que tu fasses allégeance !
– Mais tu es devenu complètement fou ! Répondit le mutant.
– Ce sont les ordres de Lothaire ! Mentit Gandoni.
– Oui, eh bien tu vas me débarrasser le plancher, et en vitesse !
– Tu sais ce qu’on leur fait à ceux qui refusent de faire allégeance ?
– Non, mais je m’en fous !
– On leur coupe la tête !
– C’est ça, on lui dira !

On ne le croyait pas, mais le bruit commença à circuler parmi les mutants selon lequel Lothaire devenait complètement fou.

Pour Gandoni, s’il vouait être crédible, il lui fallait faire un exemple. Il se rendit au château de Glandou où vivait une communauté de sept personnes, qui bien sûr l’envoyèrent paître.

Gandoni attendit la nuit et décapita tout ce beau monde pendant leur sommeil. Il téléphona ensuite à la gendarmerie. Le lendemain tout le monde serait au courant. La presse à scandale avait du grain à moudre et la gendarmerie ne comprenait rien, les victimes n’ayant apparemment aucune identité.

Ce fut la panique chez les mutants qui commencèrent à se planquer comme ils le pouvaient. A leurs yeux, l’assassin était bel et bien Lothaire, personne n’allant imaginer que Gandoni avait pu agir seul en outrepassant sa mission et de quelle lugubre façon !

Voulant mettre fin à ce massacre, Rosalio, manda Roth son fidèle lieutenant. A cette époque Lothaire ne se cachait pas et les deux hommes furent bientôt face à face.

– Vous devenez un danger pour la communauté ! Je dois appliquer la règle qui s’impose dans ces cas là… Déclina solennellement Roth

Cette règle c’était la mort. Lothaire savait que quelles que soient les explications qu’il fournirait, l’autre ne le croirait pas. Alors faute d’avoir une meilleure idée, il le paralysa.

Quelques heures après, Gandoni rentre et se présente devant son maître.

– Je crois que j’ai fait du bon travail ! Déclama-t-il fier comme un petit banc (je sais !)
– Non, tu as outrepassé mes ordres, je ne t’ai jamais demandé de faire ce que tu as fait !
– Seul le résultat compte ! Répondit Gandoni. Et puis qui c’est celui-là ? Demanda-t-il en désignant Roth, ce n’est pas le lèche-cul de Rosalio ?
– On se calme et on reste correct, tu vas expliquer gentiment à Roth que je ne t’ai jamais demandé d’aller couper des têtes

En même temps Lothaire met fin à la paralysie de Roth, lequel fou de rage, sort un couteau de sa poche et fonce sans que l’on puisse dire si c’est sur Lothaire ou sur Gandoni.

Le choc renverse Lothaire qui n’a pas le temps d’utiliser ses pouvoirs. Mais toujours est-il que c’est avec Gandoni que Roth entame un corps à corps. Encore étourdi pas sa paralysie, ce dernier ne fait pas le poids, Gandoni s’est emparé du couteau de son adversaire et lui entame la gorge, puis une fois le corps tombé à terre, il lui tranche la tête sous les yeux horrifiés de Lothaire.

– Bravo, tu es un serviteur fidèle ! Le félicita fort hypocritement Lothaire. Débarrasse-nous de ce vilain cadavre et ensuite nous boirons à nos succès.

Et Lothaire le saoula tant et si bien que Gandoni s’en alla vaquer dans les vignes du seigneur. Alors Lothaire lui coupa la tête, commettant ainsi son second crime en 400 ans d’existence.

(fin du récit de Lothaire)

Je n’étais qu’à moitié convaincue, ce type était diabolique et pouvait aisément me manipuler psychologiquement.

J’eu alors l’idée de sonder le cerveau de sa femme et de ses filles. Cela confirma la version de Lothaire. Je ne savais plus où j’en étais. Je ne savais ni quoi dire, ni quoi faire.

Lothaire me força à me lever et à me coller le cul contre le mur, on m’a fait lever les bras et on me les a attachés auprès de clous qui devaient à l’origine supporter des tableaux. on m’a fait écarter les jambes à l’aide d’une barre improvisée.

Ça va encore être ma fête, j’essaie de sonder Lothaire mais contrairement à Rosalie, celui-ci a des pouvoirs supérieurs aux miens. Je ne peux donc rien faire.

On me laisse comme ça un moment puis Chapine, sa femme revient d’on ne sait où avec un grand sac en plastique. Elle se gante et en déballe le contenu d’un air satisfait.

Horreur, ce sont des orties !

Annabelle10

Elle réunit les branches en bouquet et me flagelle avec. C’est affreux, ça me pique de partout. Elle m’applique le bouquet sur les seins, sur le ventre sur les cuisses. Je suis prise d’un immarcescible envie de me gratter (ce qu’il ne faut jamais faire soit dit au passage)

Après plusieurs minutes de ce supplice épouvantable, on me détache, mais c’est pour mieux m’attacher de l’autre côté et cette fois ce sont mon dos et mes fesses qui sont la proie des orties.

On finit par me libérer de mes liens et on me conduit dans un étroit cellier sans lumière.

Sur place on m’attache les mains derrière le dos.

– C’est pour te faire passer l’envie de te gratter ! Me dit Chapine avant de refermer la porte et de la verrouiller.

Alors là je m’interroge, ça signifie quoi cette étrange sollicitude ? M’empêcher de me gratter ? Sans doute veule-t-ils que mon corps soit vierge de cloques quand ils reprendront leurs tortures. Car je ne me fais aucune illusion, je n’ai pas fini de souffrir aux mains de ces dangereux psychopathes. Et quand ils on en auront marre de me torturer ils me couperont la tête.

Vous me dires, il faut bien mourir un jour, mais je n’étais pas si pressée. Tout cela est la conséquence d’un enchainement de circonstances. Un copain jaloux qui me jette sur la route, un abruti pervers qui me prend en stop, une cinglée qui me découvre des pouvoirs insoupçonnés et qui me propose une mission débile, et moi qui n’en fait qu’à ma tête dans cette fameuse mission où je me persuade qu’il faut éliminer Lothaire.

N’empêche que ça me démange un maximum et ne pouvant me servir de mes mais je me frotte le dos contre les parois du cellier. Le résultat n’est pas terrible, je laisse tomber et tente de prendre mon mal en patience.

Au bout de quelques temps, la démangeaison cesse et j’ai l’impression que les cloques ont disparues. Eh oui les mutants ça se régénèrent vite.

Et voilà la porte qui s’ouvre ! C’est Lothaire en personne.

– Je suis désolé de t’avoir infligé ça, mais admet que tu l’as bien mérité, et en plus ce spectacle n’était pas pour me déplaire.
– Salaud.
– Mais non, ces dames vont se faire un plaisir de te réconforter

Je m’attends au pire !

On me conduit dans une chambre dans laquelle Chapine entreprend de me recoiffer, je devais avoir les cheveux en pétard ! Ils souhaitent sans doute avoir une condamnée à mort bien coiffée c’est plus esthétique, non ?

Chapine me fait assoir sur le lit et vient à côté de moi.

– Laisse-toi faire ! Me dit-elle

Puis-je faire autrement ?

Sa main se pose sur mon sein gauche, le caresse, en pince le bout sans brutalité, approche sa bouche et le tète. Pour l’instant ça va, ça change des orties !

Et quand elle en a marre de me peloter le sien gauche, elle passe au sein droit, comme ça pas de jaloux !

Après plusieurs minutes de ce traitement, elle se relève se déshabille et m’offre sa poitrine.

L’idée m’a un moment effleuré de lui mordre son téton jusqu’au sang pour me venger de ses méchancetés de tout à l’heure, mais j’y renonce, je suis sous emprise et n’ai pas mon entière liberté de mouvements

Faut dire qu’elle n’est pas mal la poitrine de la dame, dans le genre mature, c’est bien galbé ça tient bien et les tétons pointent joliment..

Me voilà donc en train de lécher les seins de ma bourrelle.

– Tu as une vraie langue de pute, voyons si tu vas me lécher le trou du cul aussi bien que mes nichons… Me dit-elle

Chapine se met à quatre pattes et je viens derrière elle m’acquitter de ma tâche.

Mais que vois-je ? Ce cul n’est pas propre, pas propre du tout, Madame a oublié de s’essuyer, elle l’a sans doute fait exprès. Il y a plein de traces de merde et ça ne sent pas la rose !

– Il est comment mon cul ?
– Euh, un peu sale !
– Tu veux dire qu’il y a de la merde ?
– C’est ça, oui !
– Tu vas lécher !
– Je suis bien obligée, j’ai l’impression !
– Non, tu n’es pas obligée !

J’ai dû mal entendre !

– Je ne suis pas obligée !
– Non !

Alors là je ne comprends plus, ou bien il y a un piège derrière ou alors la domination a cessé, mais pourquoi donc ? Je n’y comprends plus rien !

– Alors tu fais quoi ?
– Je vais essayer ! Répondis-je.

J’approche ma langue des taches brunes, après tout j’ai déjà léché des bites qui sortaient de mon cul, le goût n’est ici pas très différent, et je me surprends à accomplir cet acte dégradant avec un certain plaisir trouble.

– Alors, elle est comment ma merde ? Demande-t-elle
– Ma foi, elle n’est pas mauvaise !

La porte qui grince, les deux filles du couple s’amènent.

– On peut venir, Maman ?
– Bien sûr mes chéries ! Si vous avez le cul merdeux, profitez-en, cette trainée adore ça ! Ah, je ne te les ai pas présentés, ce sont Gudrun et Herma, deux belles salopes, pour se faire de la tune, elles vont de temps faire la pute à Darmou.
– Mais dis donc, Maman, toi aussi tu fais la pute !
– Ben oui ! Ça m’arrive !

Et après ces digressions j’ai léché le cul de ces demoiselles, celui de Gudrun était propre, celui d’Herma avait un petit goût un peu âcre.

On s’est ensuite retrouvé à quatre sur le lit et nous nous sommes mélangées furieusement jusqu’à ne plus savoir à qui appartenait la langue qui me léchait, le doigt qui me pénétrait.

Je remarquais néanmoins que c’est Gudrun qui me sollicitait le plus, elle m’offrait sa chatte, je lui offrais la mienne pendant que de l’autre côté du lit Herma gamahuchait sa maman.

Quant à Lothaire, je me demandais où il était passé quand justement le voilà qui arriva !

Il se déshabille à la hâte exhibant une jolie bite correctement bandée.

Gudrun était en train me lécher, et Lothaire ne pouvait voir que son croupion. Il s’approche et d’un coup d’un seul il encule sa fille.

– Doucement papa, doucement, tu me déranges dans mon cuni.
– J’en n’ai pas pour longtemps.

Effectivement ce fut très rapide, car après quelques allers et retour énergiques, il prit son pied en rugissant et ressorti sa bite polluée de sperme et de merde.

– Oh, j’adore ! Commenta Gudrun ! Tu veux qu’on la nettoie à deux !
– Bien sûr !

Ce fut délicieux !

– C’est malin ce qu’il m’a fait, maintenant j’ai envie de chier ! Tu veux que je fasse sur toi ?

C’est depuis un certain temps dans mes fantasmes, ce truc-là, il fallait bien que ça se concrétise un jour, alors je me jette à l’eau et réponds que je veux bien.

Je m’allonge, elle s’accroupit au-dessus de moi, j’ai son magnifique fessier à dix centimètres de mon visage. Son anus s’ouvre, quelque chose demande à sortir…

Puis ce fut très rapide, un joli boudin me dégringola sur la bobine, par reflexe j’ai fermé les yeux et la bouche. L’odeur me surprend mais je m’y habitue très vite. Je ne sais pas quoi faire de cet étron. Gudrun le ramasse, le porte à ses lèvres et le lèche !

Elle me le tend, me suggérant de l’imiter, je ferme les yeux, je lèche, ça n’a rien de différent des taches brunes que j’ai léché sur le derrière de Chapine. Alors je lèche encore, satisfaite d’avoir vaincu ce tabou jusque dans ses dernières limites.

Gudrun s’est emparé de l’étron et me badigeonne le corps avec, j’ai de la merde partout, on me pisse dessus, Chapine et Herma viennent me lécher. On s’embrasse avec le goût de la matière dans la bouche, on est dégueulasse, mais on s’amuse…

On s’est toutes remélangées jusqu’à la jouissance… Puis direction la douche, on en avait grand besoin

– Tu vas rester diner avec nous, tu es notre invitée et puis d’abord il faut qu’on cause. M’informe Lothaire

De toute façon je peux guère faire autrement.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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