Partager l'article ! Deux filles et leur mère - 2: Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 2 – Les brigands lubriques Evidemment les bandits ...
Evidemment les bandits nous dépouillèrent de nos bagues, bracelets et colliers, faisant pleurer de rage ma pauvre maman.
– Vous avez remarqué comment mes compagnons vous regardent ? Nous nargua le moustachu.
– Oui bon, on a compris… répondit ma mère.
– Ces gens ont des besoins, il faut les comprendre.
– Et nous sommes là pour assouvir leurs besoins ?
– La destinée vous a en effet placée là ! Qu’elle en soit remerciée ! Alors soit vous vous laissez faire gentiment soit vous ne vous laissez pas faire et dans ce cas nous passerions outre votre
volonté. C’est vous qui voyez…
– Je peux vous demandez une faveur ? Intervient Pauline à la surprise générale.
– Et vous vous croyez en position de négocier ?
– Je peux essayer ?
– Exprimez-vous, on va voir.
– Je peux vous sucer, vous pouvez me prendre par le petit trou mais laissez le reste tranquille, je n’ai nulle envie d’avoir un enfant de brigand
Voilà qui fait rire la vilaine bande à gorge déployée
– Tu entends Roger, cette salope veut qu’on l’encule !
Et encore une fois ça les fait rigoler, il n’y a vraiment pas de quoi !
– Eh bien, voici une proposition originale ! Elles veulent être enculées, alors enculons ces salopes !
L’un des bandits s’approche de moi :
– Toi tu as vraiment une frimousse à faire des pipes, tu vas me sucer, mais attention ne mords pas sinon je t’embroche comme un poulet.
Je dois bien reconnaitre que l’individu à une jolie bite, bien raide, avec le gland décalotté et brillant. En revanche il sent un peu fort.
Je ferme les yeux, m’imaginant que j’ai affaire à un brave soldat revenant de la guerre et m’efforce de sucer le mieux possible.
Je me dis que si j’arrivais à le faire jouir, cela m’épargnerait une pénétration malaisante. Mais je dois être tombé sur un « peine à jouir », ça ne vient pas… et pourtant je ne ménage pas mes efforts.
Je finis par ouvrir les yeux et je peux voir ma mère se faire culbuter par le chef de bande tandis qu’un autre encule Pauline à la façon d’un bourrin.
Le quatrième brigand nous regarde en se paluchant la bite et en tenant en respect Thomas qui se demande à quelle sauce il va être mangé.
Mon brigand finit par jouir dans ma bouche, j’en avale un peu, laisse le reste dégouliner sur mon menton.
Les deux autres semblent également avoir terminé. Ils se regroupent autour de Thomas, blanc comme un linge.
– Ben alors qu’est-ce que tu attends pour l’enculer ? Lui demande le chef
– C’est que j’aurais préféré l’une de ces dames…
– Tu ne vas pas faire le difficile, un cul c’est un cul !
– Oui mais celui-ci n’est point féminin !
– Ce n’est pas pour cela qu’il ne serait point accueillant.
– Non, non, mon cul n’est pas accueillant du tout ! Croit devoir ajouter Thomas à qui on n’avait rien demandé.
– Toi, on ne te demande pas ton avis.
Et pendant ces tergiversations, nous nous sommes regroupées, ma mère et ma sœur et moi, en s’octroyant d’innocentes caresses en guise de consolation.
– Non mais regardez-moi ces trois gouines ! Dit alors le chef. Ne vous gênez pas pour nous, si vous voulez vous caressez, allez-y carrément. Toi la brune, qu’est-ce que tu attends pour lécher ta mère. Vicieuse comme elle est, elle doit adorer ça.
Echange de regards avec ma mère qui sans le dire semble me faire comprendre que si ça pouvait le calmer…
Et me revoici entre les douces cuisses de ma génitrice. J’adore lécher ma mère et ne me demandez pas pourquoi, c’est comme ça, c’est tout !
Pendant ce temps, l’un des brigands s’en est allé couper une fine branche de noisetier et la tend à Pauline.
– Toi, tu vas cingler les fesses de ce pourceau, jusqu’à ce qu’elles deviennent rouge, cela lui apprendra à rouspéter quand on veut l’enculer.
Vous pensez bien que Pauline ne se le fait pas dire une seconde fois. Tandis que deux marauds empêchent Thomas de gesticuler, ma sœur s’en donne à cœur joie en fouettant le popotin du palefrenier. Il crie, il hurle, il vitupère, mais Pauline continue tant qu’on ne lui dit pas d’arrêter.
– Bon, il en eu assez, maintenant on va lui ramoner le trou du cul.
Le brigand qui n’avait pas joui lui pénètre le fion faisant râler l’homme sous les encouragements de ses complices..
– Vas-y défonce lui la rondelle à ce pourceau. Faire croire à des gentes dames qu’on les emmène au couvent alors que le couvent est de l’autre côté, tu devrais avoir honte !
– Mais puisque je vous dis que je me suis trompé.
Le brigand a joui dans le fondement de Thomas, ce dernier croyant son supplice s’écroule de honte dans l’herbe.
– Bien, dit le moustachu, être brigand n’empêche en rien d’être gentilhomme, nous n’allons pas vous laisser ici, vous risqueriez d’attraper une mauvaise fièvre, vous vouliez joindre le couvent de Sainte Agathe, rhabillez-vous nous allons vous y mener..
Nous récupérons nos vêtements laissés entassés à même le sol, Thomas s’approche également.
– Oh, toi le drôle, je ne t’ai pas, semble-t-il autorisé à te rhabiller, c’est à ces dames et uniquement à ces dames que je m’adressais.
– Mais…
– Mais quoi ? Ne te plains pas, nous aurions pu t’embrocher comme un vulgaire poulet.
Et tandis que nous prenions place dans la carriole conduite maintenant par le moustachu, Thomas fou de rage se confectionnait une sorte de pagne à l’aide de branchages et de fougères afin de dissimuler sa nudité.
– Je me vengerai, je me vengerai ! grommelait-il avant d’entamer une longue route à pied jusque chez lui…
Et justement parlons-en de ses pieds, puisqu’ils commençaient à le faire souffrir.
– Ils auraient pu au moins me laisser mes chaussures !
A l’aide de feuilles agglomérées dans la boue il put se constituer quelque chose qui ressemblait d’assez loin à des souliers mais qui au moins lui protégerait sommairement les pieds
– Je me vengerai, je me vengerai… répétait-il en boucle.
C’est que pour l’homme la situation était désastreuse. Certes l’humiliation de cette attaque surprise et le sort qu’on lui avait réservé le rendait en rage. Mais il n’y avait pas que ça…
Il avait promis à madame Galoubet la livraison de deux jeunes filles et de leur mère. Et madame Galoubet payait bien, rubis sur l’ongle.
Ce manque à gagner mettait en péril sa situation financière, son commerce de chevaux battait de l’aile depuis qu’un conçurent avait eu le toupet de vendre moins cher et plus performant.
L’unique solution qui lui venait à l’esprit était de récupérer les trois femmes, mais comment procéder ?
Il tenta d’échafauder mille plans, après tout cela agrémentait sa longue marche, mais ne trouvait rien de très pertinent.
– La nuit porte conseil, demain j’aviserai
Quand nous arrivâmes à environ une centaine de toises du couvent, le moustachu nous intima l’ordre de descendre.
– Voilà, c’est là-bas, bonne chance, peut-être nous croiserons nous de nouveau un jour.
– Pour nous prendre quoi ?
– Allez savoir, le destin est tellement facétieux. Je m’appelle Philibert, ce n’est pas mon vrai nom mais je m’en voudrais de n’être qu’anonyme dans vos souvenirs !
A suivre
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