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Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck.
1 – Thomas le palefrenier
Je me prénomme Margot et serais la narratrice de ce récit libertin qui je l’espère vous mettra les sens en émoi.
Mais déjà, plantons le décor.
Nous sommes en l’an de grâce 1708, sous la régence de Duc d’Orléans.
Rendons-nous pour l’instant à Gouvion le Château quelque part en Ille de France, le baron Philippe Savourey de la Treille y réside (ou plutôt y résidait, mais n’anticipons pas trop) avec son épouse Catherine, ses trois enfants et sa domesticité.
Catherine est une très jolie femme, brune et souriante elle porte fièrement ses 44 printemps, il y a longtemps qu’elle ne partage plus la couche de son époux et elle se console avec ses amants et ses amantes et s’amuse même parfois avec sa progéniture.
Parlons-en justement, passons rapidement sur François le fils ainé qui n’interviendra pas dans ce récit. Mais parlons de ces demoiselles.
Moi je suis Margot, 24 ans, brune aux yeux verts comme ma mère, amoureuse d’un roturier, le paternel a tout fait pour rendre ce mariage impossible et depuis je me console comme je peux, le jardinier, ma mère, ma sœur, mes godemichets, je ne suis pas bien compliquée.
Pauline a 22 ans, elle est aussi délurée que moi, elle est blonde ce qui pourrait laisser supposer que le père n’est pas Philippe, mais ce sont des choses qui ne vous regardent pas.
Mon père, Philippe est un joueur invétéré, il a eu en son temps de la chance au jeu avant que le vent tourne, il a donc fait attention jusqu’au jour où perdant une grosse somme, il s’est mis à miser de plus en plus gros… Bref au moment où commence le récit, notre baron est endetté jusqu’au trognon.
Les débiteurs lassés d’attendre le remboursement de leur dette finirent par porter plainte et Philippe fut sommé de rembourser dans un délai d’un mois
Mais comment faire ? C’est bien connu, les problèmes d’argent éloignent irrémédiablement amis et famille, donc il ne rembourse pas. On lui octroya généreusement une semaine supplémentaire de délai. Au cours de laquelle il put vendre quelques bricoles mais on restait loin du compte, très loin même.
La décision du tribunal fut inéluctable, tous les biens mobiliers et immobiliers du Baron seraient vendus aux enchères.
Les choses allèrent très vite, les meubles furent emportés, les domestiques furent congédiés, le fils trouva refuge dans la marine royale, quant à Philippe, on le conduisit sans ménagement en prison, à cette époque on ne rigolait pas avec les débiteurs.
Ma mère Catherine, ma sœur et moi-même se trouvèrent donc désemparées, et comme nous l’avons dit en pareille situation les amis et la famille sont aux abonnés absents, sauf que parfois l’assistance vient de là où on ne l’attend guère
Thomas n’est pas précisément un ami de la famille, c’est un palefrenier qui a à plusieurs reprises vendu des chevaux à mon père. Et le voilà qui se pointe et tient discours à ma mère :
– J’ai appris le grand malheur qui vous frappe, j’en suis profondément navré d’autant que je tenais Monsieur le baron en grande sympathie…
– Merci de cette sollicitude mais nous ignorons ce que nous allons devenir. Certes les filles pourraient trouver des emplois de dames de compagnies dans de grandes maisons, mais moi, à mon
âge…
– Puis-je vous suggérer une solution ?
– Suggérez mon ami, suggérez.
– Pourquoi ne pas vous faire héberger chez les sœurs de Sainte Agathe ?
– Il n’entre pas dans nos intentions de prendre le voile.
– Bien sûr que non, mais elles pourraient se contenter de vous héberger le temps que je trouve une solution plus adaptée
– Ne me faites pas croire que vous feriez ça sans contrepartie.
– Hélas, le monde est ce qu’il est et tout peine mérite salaire…
– Arrêtez, vous n’ignorez pas que nous sommes ruinées ! Répondit ma mère.
– Vous n’avez plus d’argent mais vous avez vos charmes…
– Pourceau !
– Tout de suite les grands mots, je vous rends un réel service et en ce qui concerne la contrepartie, vous n’en mourrez pas.
– Et vous souhaiteriez baiser qui ? Moi ?
– Non toutes les trois.
– Vous êtes gonflé, vous !
– Ce n’est qu’une proposition.
– Eh bien, je vais me concerter avec mes filles, repassez dans une heure.
Pauline et moi nous gaussèrent d’abord de ce marché déplaisant.
– Nous n’avons pas besoin de lui, on se débrouillera ! Indique Pauline
– C’est vrai, Pauline et moi on pourra toujours se débrouiller, mais pour toi et maman, ça risque d’être un petit peu plus difficile… Ce type est palefrenier, c’est un métier qui lui fait
rencontrer beaucoup de monde, il aura probablement une solution par l’intermédiaire de ses relations.
– Oui évidemment !
– Alors soyons solidaire, on ne va pas laisser tomber notre mère
– Bof au pire ce sera un mauvais moment à passer, mais il présume de ses forces, il ne tiendra jamais la distance. Ajouta Pauline.
Bref nous acceptâmes, la mort dans l’âme.
L’huissier n’avait pas encore fait embarquer les lits, nous avons donc gagné la chambre conjugale.
– A poil les trainées ! Eructe Thomas
– Holà ! Nous t’avons autorisé à nous prendre, mais pas à nous couvrir de mots orduriers ! Proteste ma mère.
– Alors je reformule, si madame la baronne et sa progéniture pouvait se débarrasser de leur fanfreluches…
Alors nous nous somme déshabillées de conserve, et dans un réflexe de pudeur incongru nous nous retournâmes.
– Oh que voilà des joufflus bien sympathiques ! Je me demande lequel est le plus beau, celui-ci sans doute ! Indiqua-t-il en me gratifiant d’une claque sur mes fesses. Tournez-vous que je profite du spectacle.
La pudeur doit être un réflexe car sans nous concerter, nous nous sommes posé nos mains sur nos seins en nous retournant ce qui eut le don d’énerver le palefrenier.
– Enlevez vos mains, vous croyez que vous allez rester comme ça, à cacher vos trésors ! Enlevez vos mains, j’ai dit ! Hum, c’est fort joli tout ça ! Par quoi commencer quand la coupe de fruits déborde à ce point ? Margot, avance un petit peu !
C’était fatal, il a fallu qu’il me tripote les nichons, et quand je dis tripotage, il faudrait plutôt parler de malaxage, le genre à confondre une poitrine avec une pâte à pain. Il me pince les bouts.
– Si vous pouviez éviter de me faire mal ! Protestais-je.
– Chochotte !
Mais il se recule… pour se débarrasser de sa culotte et nous exhiber une bite monstrueuse au gland en forme de vilain champignon.
– Viens me sucer, ribaude ! M’ordonne-t-il
Si ça bite se contentait d’être laide, j’aurais pu m’en accommoder, mais en plus elle puire.
– Si tu veux que je te suce, va te la passer à l’eau.
– Mijaurée ! Et vous autres vous allez être moins difficile, j’espère ! Dit-il à l’adresse de ma mère et de ma sœur.
– Si tu ne fais pas toilette, nous rompons notre marché ! Lui répond ma mère.
– Ces aristos sont vraiment compliquées commente-t-il
Il restait un peu d’eau dans un broc, qu’il verse dans une cuvette, il se lave ensuite la bite ne se servant de ses mains en guise de gant de toilette. Il en profite aussi pour se rincer le troufignon. A tous les coups il doit avoir l’intention de nous le faire gouter !
– Bon voilà, on peut reprendre ? Allez Margot au boulot et ne me fait pas jouir, je veux profiter de tout le monde.
Quand faut y aller, faut y aller. Je m’accroupis avec toute l’élégance des jeunes filles de mon rang en embouchant sa clarinette baveuse.
– Toi la vielle pute, tu vas passer derrière moi et me lécher la rondelle ! Ordonne-t-il à ma mère.
– Mais bien sûr mon prince ! Se gausse-t-elle.
– Et toi Pauline tu vas aider ta sœur à me gober le nœud, sans oublier mes valseuses.
Nous formons alors un quatuor original. Heureusement que ma sœur m’accompagnait dans cet acte déplaisant (déplaisant parce qu’il nous était imposé, sinon n’allez pas croire, j’aime sucer…) parce que je commençais à fatiguer de la mâchoire.
– Ah ! Ces mises en bouche m’ont fait grand bien, maintenant tout le monde sur le plumard !
– Monsieur, je voudrais vous faire requête… Commençais-je.
– Est-ce bien le moment ?
– Oui, je voudrais que vous laissiez mon con tranquille, je n’ai nulle envie d’être enceinte d’un palefrenier.
– Qu’as-tu contre les palefreniers ?
– Rien quand ils se contentent de faire commerce de chevaux !
– Fi ! Mais peu importe, cela ne me déplait pas de te pédiquer, petite traînée.
– Mais allez-y mollo ! J’ai la rondelle fragile.
– Je ne suis pas une brute !
L’individu m’a fait me mettre en levrette, et après s’être extasié sur la beauté de ma rondelle, il me la lécha quelques instants avant de tenter d’y enfoncer son dard. La première tentative ripa lamentablement.
– Ouvre-toi mieux, catin !
Je fais ce que je peux, ça finit par passer. Aïe, ouille, ouille, j’ai connu des enculades plus romantiques.
– Tu me fais mal, faquin !
– Mais non !
– Mais si, sors immédiatement de mon cul ou je hurle.
Je pensais qu’il s’acharnerait, mais non, il se retire, jette un moment son dévolu sur ma sœur Pauline.
– Non, non, je suis encore plus serré que ma sœur… je vous en prie…
Du coup il se rabat sur Maman !
– Ah, voici un cul qui va savoir m’accueillir ! Tu aimes ça te faire enculer, n’est-ce pas, vieille salope.
– Que faudrait-il que je vous réponde ?
– Rien ! Attention… et voilà c’est rentré tout seul.
Et Thomas commence une série de va-et-vient en transpirant comme un malade. Maman prend son mal en patience,… Que faire d’autre ? Je sais pourtant que ma mère ne déteste pas la sodomie, l’ayant plusieurs fois vu à l’œuvre avec ses amants.
Afin de la consoler, je me place devant elle et lui offre ma bouche, on se roule une pelle baveuse tout en se pelotant les nénés.
Ma sœur Pauline ne voulant pas rester inactive vient derrière moi et se sa petite langue agile entreprend de me lécher le fion.
Un cri de cochon ! C’est Thomas qui vient de jouir ! Il décule, s’éponge le front (mais pas la bite) ramasse ses affaires et nous laisse sans un mot.
– Quel soudard ! Commente ma mère, j’ai le cul en compote, venez mes chéries, venez donc vous occupez de moi que je reste pas sur cette impression malaisante.
Voilà une chose qu’il ‘est point nécessaire de me répéter deux fois, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, me voilà entre les cuisses de Maman.. Sa vulve est douce et délicieuse, je m’en lèche les babines. Pauline quémande son tour. Pourquoi faire des tours, on peut bien la lécher à deux, non ?
– Oh, c’est trop bon ce que vous me faites, petites trainées ! Aaaaah !
Elle a joui, elle mouille…
– Faut que je pisse….
– Donne-moi ta pisse, maman ! Lui répondis-je en ouvrant une large bouche.
– Petite vicieuse, tu ne vas pas être déçue…
Le jet d’urine fuse, j’avale ce que je peux, Pauline quémande sa part, on rigole, ça fait du bien… Mais maintenant je veux jouir à mon tour. Je me couche sur le dos jambes écartées.
– Viens Maman, viens lécher ta fille.
Hum, sa langue est diabolique, et après un petit balayage qui lui permit de se délecter de ma mouille, elle vint attaquer mon petit berlingot, m’envoyant au ciel en quelques courtes minutes.
Bien sûr Pauline ne voulut pas être en reste, avec Maman on l’a léché à deux.
Et le lendemain Thomas nous emmenait toutes les trois sur sa calèche.
Une heure après, l’incident eut lieu.
Quatre solides gaillards surgirent des buissons environnants, l’épée à la main et nous barrant la route.
– La bourse ou la vie ? Hurle un grand moustachu.
Thomas est bien obligé de stopper son attelage
– Mais nous n’avons rien… balbutie -il
– C’est ce que nous allons voir, prend le petit chemin sur la droite, nous allons faire ça discrètement.
La carriole avance d’une cinquantaine de toises dans un chemin broussailleux précédée de deux bandits et suivi des deux restants.
– Et maintenant tout le monde descend, et dépêchez-vous nous n’avons pas que ça à faire.
Tout le monde obtempère, la peur au ventre.
– Hum, en voici de belles pouliches, et où allez-vous comme-ça de si bon matin ?
– Ces dames ont été ruinées, je les conduisais là où elles seront en sécurité. Précise Thomas.
– Ah oui et où ça ?
– Au couvent de Sainte Agathe, croit devoir préciser Pauline à qui on avait rien demandé.
Le moustachu se tourne vers l’un de ses acolytes :
– Le couvent de Sainte-Agathe, ce n’est pas de l’autre côté ?
– Ben si, c’est complétement de l’autre côté.
– Dit donc, cocher de mes deux, pourquoi nous racontes-tu des sornettes ?
– J’ai dû me tromper… balbutie -il
Et il se reçoit une baffe qui le laisse stupéfait, c’est qu’ils ne rigolent pas ces bandits de grands chemins !
La voiture et nos pauvres bagages sont fouillés sans que les gredins trouvent grand-chose pouvant les intéresser.
– Bon, c’est la dèche à ce que je vois, reprend le moustachu, mais le canasson à l’air vaillant, on en tirera bon prix, quant à vous, vous avez des bijoux sur vous, on va vérifier tout ça,
déshabillez-vous.
– Jamais ! Répond la mère de toute sa hauteur.
– Vous préférez peut-être qu’on vous arrache vos vêtements, c’est comme vous voulez, mes compagnons s’amuseront beaucoup à vous dépouiller de vos atours
Nous nous concertons du regard, il semble bien que nous n’ayons guère le choix.
C’est Pauline qui s’exécute en premier, elle enlève tout puis dans un geste dérisoire, tente de dissimuler sa nudité de ses mains. Pas si facile en fait, nous n’avons que deux mains !
Ma mère et moi, nous nous sommes retrouvées en tenue d’Eve. Quant à Thomas il est resté en caleçon. Faut voir l’état du caleçon, il est dégueulasse, ce bonhomme.
– J’ai dit à poil ! Retire-moi cette serpillière, espèce de crétin.
Et comme il n’obéissait pas assez vite deux des malfrats le lui retirèrent de force en le déchirant.
A suivre
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