Partager l'article ! Le collier de Marcia – 11: Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 11 – Le cadeau de la Duchesse par Nicolas Solovionni A bord ...
A bord du vaisseau l’ambiance devient pesante, l’échec de la récupération de Sierra est mal vécu et est ponctué de réflexions à deux balles du genre « on aurait dû faire ceci, on aurait dû faire cela… Ça le don de m’énerver. De plus le staff et l’équipage ne comprennent pas pourquoi nous nous dirigeons vers Idoxa au lieu de rentrer au bercail.
Bon, ça leur passera…
Sur Idoxa la Duchesse m’accueille avec le sourire. J’y suis venu seul. Elle est en compagnie de la belle Ingrid dont j’ai pu apprécier les charmes précédemment.
– Alors tu as récupéré ta chouchoute ?
– Non, elle a été vendue à un bordel sur Mabilla, elle s’en est échappé et elle est introuvable.
– Espérons qu’il ne lui soit pas arrivé malheur ?
– Espérons ! Et toi ?
– Je suis quasiment devenue la reine de la planète depuis l’élimination de Fitoussi, Grunberg s’est écrasé, il est devenu un vrai toutou et ne peut plus rien me refuser, mais je reste sur les
gardes…
– Félicitations !
– J’ai un petit cadeau pour toi, ça devrait te consoler, bouge pas je vais le chercher.
Un cadeau ? Elle veut m’offrir un cadeau ! Je m’attends au pire.. elle revient avec une pochette
– Ouvre, c’est à l’intérieur.
Et je me retrouve avec le collier de Marcia dans les mains.
– Mais comment tu as fait ? C’est le vrai ?
– Bien sûr que c’est le vrai !
– Mais il était où ?
– Au drugstore de Kederest, et en vitrine en plus.
– Mais comment est-ce possible ?
– Ah ! Ah ! C’est tout simple, quand maître Tongo a appris que tu t’intéressais au collier, elle a cru qu’il renfermait je ne sais quel secret, elle l’a donc fait rapatrier en donnant
instructions à Kederest de la fermer, elle l’a fait analyser et comme les analyses n’ont rien donné, elle l’a redéposé au drugstore
– Et comment tu as appris ça ?
– Mais de la bouche de Maître Tongo
– Eh bien dis-moi ça valait le coup que je revienne !
– Ça vaut toujours le coup de revenir chez la Duchesse
– Je te dois combien ?
– Rien du tout, mais on va arroser ça.
– Volontiers.
– Déshabille-toi !
– Vraiment ?
– Puisque je te le dis !
Elle est insatiable, cette duchesse, mais je ne saurais refuser. D’autant qu’Ingrid se déshabille également.
– Eh bien dis donc espèce de vicieuse, fait mine de la réprimander la Duchesse, qui t’as demandé de faire ça ?
– Il ne fallait pas ? Répond innocemment l’intéressée.
– Ben non et ça mérite punition, Capitaine prenez donc la cravache qui est dans le porte parapluie sur votre droite et fouettez-moi cette morue !
Je n’ai pourtant pas d’instincts sadiques (du moins c’est ce que je me dis), mais j’avoue avoir pris un plaisir certain à flageller le joli cul de cette blondasse. D’ailleurs je bande !
Je m’étonne auprès de la duchesse de l’absence de Swan.
– Ah, tu voulais le voir ? Il est puni, il n’a pas été foutu de m’enculer correctement ce matin, viens je vais te le montrer.
On se dirige tous les trois vers son petit donjon. Effectivement Swan est là, attaché sur une croix de Saint André, des pinces aux seins et aux testicules, des traces de flagellation sur le torse et les cuisses, il n’a pas l’air malheureux malgré sa situation inconfortable.
J’aperçois dans un autre coin de la pièce une cage, et dans cette cage, il y a un type tout nu…
– Euh, et lui ? Demandais-je.
– Un client !
– Un client ?
– Oui, j’ai été pute, je ne le suis plus vraiment mais j’ai conservé quelques clients que j’aimais bien. Ça te choque ?
– Non, pas du tout.
– Il a une belle queue ! Ça te ferait plaisir de la sucer ?
– Ma fois je n’étais pas venu pour ça…
– Je le conçois aisément, mais on peut toujours joindre l’utile à l’agréable.
– Bon, si tu me prends pas les sentiments…
La comtesse déverrouille la cage, fait sortir le bonhomme en le tirant pas une laisse de chien
– Ben dis donc Pédro, pourquoi tu ne bandes pas ? Demande-t-elle au type.
– Ben je ne peux pas bander en permanence !
– Je vais arranger ça.
La duchesse lui tortille les tétons et miracle de la nature, notre homme se met à bander et fort joliment en plus !
– Voilà, c’est du prêt à sucer.
La bite est belle pas très grosse mais belle ! Je la verrais bien dans mon cul !
Je suce en faisant coulisser ce joli membre entre mes lèvres gourmandes.
– Tu suces bien ! me dit le Pédro tu es aussi salope que moi.
– A bon ? Enchanté ! Répondis-je bêtement en lâchant ma proie.
– Tu voudrais qu’il t’encule ? Me demande la duchesse.
Elle lit dans mes pensées ou quoi ?
– Bien sûr ! Répondis-je en offrant mes fesses!
L’autre passe derrière moi et me lèche le fion à grand coup de langue, ça me fait frétiller l’anus.
Et le voilà qui me pénètre mon orifice anal. C’est entré tout d’un coup et profondément. Il fait ça bien l’animal je suis aux anges.
– T’aimes ça, pédale ?
Encore un qui ne peut pas baiser sans proférer des cochonneries ! Mais ça ne me dérange pas plus que ça.
Cinq minutes après, il jouit en poussant un cri d’animal disparu.
Sa bite sort de mon cul, elle est gluante e sperme et tachée d’un peu de matière.
Il reste plantée là comme une andouille, en fait il attend les ordres de la duchesse.
Celle-ci s’adresse à moi et me propose de lui nettoyer.
– On va faire ça à deux…
C’est ce qu’on a fait, ensuite la duchesse m’a généreusement offert son cul et je me suis fait un plaisir de l’enculer jusqu’à la garde. Elle n’est pas belle, la vie ?
Vous vous imaginez bien que je suis rentré tout guilleret au vaisseau.
Dilos ne comprend pas de suite ce qui me met en joie…
– Alors, t’as bien tiré ton coup ? Me nargue-t-il sur un ton que je n’apprécie pas
M’énerve ce mec ! Je pète les plombs.
– Monsieur Dilos, considérez que vous n’êtes plus mon ingénieur de bord, consignez-vous dans votre cabine !
Je viens de prendre un risque énorme, ça passe ou ça casse !
– Je n’ai pas l’habitude qu’on me parle sur ce ton ! Eructe Dilos.
– J’allais dire la même chose, foutez-moi ce connard aux arrêts.
Nerren et Nadget s’échangent un regard hésitant sur la conduite à tenir. S’ils refusent de m’obéir, je vais être mal.
Et contre toute attente c’est Dyane qui a débloqué la situation.
– Stop ! S’écrie-t-elle, j’invoque l’article 38.
L’article 38 permet au second du vaisseau, en cas d’empêchement définitif ou temporaire du capitaine de prendre sa place.
Je ne vois pas d’autres options que de la laisser faire.
– Bon écoutez moi, on est tous à cran, c’est une situation où l’on risque de s’envoyer à la figure des propos malheureux, alors on se calme. Voilà mes premières décisions : Dilos tu vas te
consigner dans ta cabine…
– Mais enfin, Dyane…
– Ta gueule ! Ce n’est pas une punition, c’est pour que tu te calmes, au bout d’une heure tu pourras sortir et on se retrouve tous ici. Quelqu’un veut dire quelque chose ?
Personne ne bronche, Dilos quitte la salle, J’essaie d’approcher Dyane qui m’ignore superbement. Je me demande pourquoi elle ne lance pas le compte à rebours du départ ? Ah, c’est vrai qu’on se revoit dans une heure… Qu’est-ce qu’elle va nous faire Dyane, elle a le droit de me destituer comme Capitaine de cette mission, mais à quoi bon, je reste propriétaire de ce vaisseau et si j’ai affaire à une révolution de palais, je me constituerais une autre équipe… En attendant je vais dans ma cabine et m’envoie un grand verre de champagne local lequel n’est vraiment pas mauvais.
A suivre
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