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Très brèves - inceste
vickyor18 :
Au Cap j’ai vu une femme hollandaise encourager son fils à se faire sodomiser. Elle s’est paluchée pendant l’acte et ensuite elle a demandé à son fils de lui lécher la chatte
Peggy :
Je ne me souviens plus pourquoi ce jour-là ma mère et moi avions pris notre douche ensemble. Nous étions toutes deux d’humeur rigolarde, et nous nous sommes savonné mutuellement, puis de façon presque imperceptible nos mains se sont aventurées en des terrains plus osées. Un petit curieux qui serait passé là aurait pu nous voir nous embrasser, les doigts dans la chatte de l’autre. Après rinçage et séchage c’est spontanément que nous sommes rendu dans sa chambre pour continuer nos ébats
Maya :
J’ai sucé la bite de mon père ! Plusieurs fois ! On n’a jamais baisé ! Ce n’est pas lui qui était demandeur ! C’était moi, quand je l’ai vu un jour avec la bite bandée, j’ai eu une pulsion
irrésistible. Je lui ai demandé si je pouvais le faire. Il a été surpris et m’a envoyé promener. Je suis revenue à la charge quelques jours plus tard et là il a accepté ! Quelle était bonne sa
bite.
Maya, (majeure au moment des faits)
Lavenu :
J’étais dans la salle de bain après ma douche, le peignoir ouvert, Ma mère est rentrée je ne sais plus pourquoi.
– Tu en as des gros tétons Me dit-elle.
– C’est à force de me les faire pincer ! Répondis-je
– Cochon, et si moi je te les pinçais ?
Elle n’a pas entendu de réponse mais ses doigts sont venus me les tortiller. Résultat érection immédiate. (la grosse érection !)
– Arrête, Maman, ça me fait bander !
– Ou, on dirait bien !
Et là l’impensable s’est produit, elle s’est penchée et m’a gobé la bite, Sa pipe était fabuleuse, je me suis laisse faire, après elle s’est tournée, m’a présenté ses jolies fesses et ma demandé
de l’enculer
Gardel :
J’étais à poil dans la salle de bain et je me branlait la bite, peinard. Ma mère arrive subrepticement et me voit faire. On est d’abord gênés tous les deux et elle me dit « Ben dis donc tu m’as l’ai en forme, quelle belle bite ! ». Et moi de répondre sur le ton de la plaisanterie : « Elle t’intéresse ? » « Et si je te disais oui, tu serais bien embêté ? » Me répond-elle. Je ne dis rien mais par pure provoc je reprends ma branlette. Alors ma mère m’a saisi la bite et m’a branlé avant de se baisser pour la prendre en bouche. On est devenu tous les deux fous de désir, on est allé dans ma chambre, elle s’est déshabillée, m’exhibant ses beaux nichons et je l’ai baisé. Ne me censurez pas, j’étais majeur au moment des faits 😉
Fleur02 :
Aujourd’hui je n’ai pas cours, Il est 10 heures c’est l’heure du facteur. Ma mère lui ouvre, et après m’avoir adressé un coup d’œil complice, elle l’emmène dans la chambre. Ils vont donc baiser, ce n’est pas la première fois.. Je cherche mon portable avant de me souvenir l’avoir laissé dans la chambre de ma mère. Je décide d’aller le récupérer en me faisant la plus discrète possible. Et là je vois ma mère à poil lécher les couilles du facteur. Spectacle fascinant. Ma mère me dit « Si tu veux regarder, ne te gêne pas ! », j’ai regardé et quand ma mère m’a proposé de le sucer avec elle je ne me suis pas dégonflée. Le facteur a juté assez vite, foutant plein de sperme sur les lunettes de ma mère. Le facteur est parti en laissant un petit billet. Ma mère me voyant tout excitée m’a proposé de me lécher la figue. Qu’est-ce que c’était bon !
Vidia :
Pourquoi dit-on que l’inceste est toujours mal vécu ?
J’ai eu des rapports incestueux avec mon père chéri quand j’avais 18 ans ça ne m’a jamais posé de problème.
On n’a jamais baisé mais j’ai aimé lui sucer la bite et j’ai aimé quand il m’a léché la chatte
Vous allez me lyncher mais l’inceste pour moi fut une histoire d’amour, certes passagère, mais heureuse et sans conséquence dramatique.
Pourquoi ne parle-t-on que des drames ?
Suis une exception ou d’autres ont aussi vécu un inceste heureux ?
Jimmy :
C’était au cap d’Agde, j’étais en vacances avec mon père et ma mère, nous étions dans le coin coquin et tous les trois assez excités par la vision de tous ces gens qui se donnaient du plaisir. Ma mère fut attirée par un beau monsieur avec une belle bite bien bandée et lui a fait signe de s’approcher, le type s’est fait sucer devant mon père et moi. Je n’en pouvais plus tellement que je bandais. Une fois le mec parti m’a mère s’est tournée vers moi « T’es jaloux, t’aurais voulu être à sa place ? » « Peut-être » « Alors allons-y » Et l’instant d’après j’avais ma bite dans la bouche de ma mère, je l’ai ensuite sodomisé à sa demande et pendant que je le faisais, mon père me pelotais le cul, il m’a demandé si ça me générait qu’il m’encule. Au point où j’en étais… Je me suis posé la question ensuite de savoir si cette situation n’avait pas été plus ou moins « arrangée »
Temis :
Il est agaçant que le terme d’inceste soit systématiquement collé à celui de victime ! Il y a victime si la relation est subie et uniquement dans ce cas-là. Si la relation est consentie il ne peut y avoir de victime. Et pour avoir vécu ce genre de situation, je peux vous assurer que je n’ai rien d’une « victime qui s’ignore »
Honorine :
Il m’arrive (de plus en plus souvent d’ailleurs) de prendre ma douche avec ma mère, alors évidemment on se caresse mutuellement et parfois ça dérape, les lèvres sur les seins, les doigts dans la chatte… et toujours dans la bonne humeur
Marylu :
Un jour nous étions ma mère et moi dans le même lit… Ça a commencé par des caresses innocentes (les bras, les épaules les mollets… et puis c’est venu comme ça, on s’est mutuellement tripoté les seins. Ma mère m’a dit qu’elle était excitée et de façon presque inconsciente je me suis retrouvée entre ses cuisses en train de lui lécher la chatte. Qu’elle était bonne la chatte de Maman !
Guenièvre :
Un jour ma mère m’a saccagé un petit haut que j’aimais bien en le lavant à la machine. « Ça mérite une fessée, lui-dis- je ! » « Et bien vas-y donne-moi une fessée si ça peut de faire plaisir ! », me répondit-elle, elle m’a présenté ses fesses nues et j’ai tapé, ça nous a excité toutes les deux comme des folles, j’ai arrêté de fesser et je lui ai embrassé les fesses. « oh les lèvres de ma fille sur mes fesses ! S’est-elle exclamée ! J’ai continué, et c’est tout naturellement qu’on s’est retrouvé sur le plumard, elle avait la chatte toute dégoulinante, je me suis régalée et elle aussi !
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