Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:00

Oscar au Cap – 1 – Le coin gay par Elian Lvekman

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Bonjour, je m’appelle Oscar et je viens d’avoir 40 ans. Célibataire depuis mon récent divorce. C’était la première fois que j’allais au Cap d’Agde dans la zone naturiste, Remy, un collègue qui connaissait déjà le lieu m’a fait, le premier jour, visiter la plage, Nous nous sommes longtemps attardés dans le coin coquin, ou ça baisait en duo, en trio, en partouze devant des tas de mecs ou de nanas agglutinés qui se tripotaient en jouissant du spectacle (je passe, l’objet de ce récit étant ailleurs) Puis mon copain me précise que plus loin, c’est le coin gay.

 

– On y va ? Proposais-je

– Non, ce n’est pas intéressant !

– Juste pour voir !

– Vas-y si tu veux, tu me rejoins à la location.

 

Je ne vois pas pourquoi il fait la fine bouche, regarder et être curieux, ça n’a jamais tué personne !

 

Je me dirige donc dans ce fameux coin. Un mec y va, je le suis, il faut pénétrer dans les buissons, jusqu’à une petite clairière. Il y a un groupe de mecs entourant une scène que je peux pas voir, un peu plus loin un type chauve à lunettes d’une cinquantaine d’année, un peu bedonnant est en train de tripoter la bite d’un jeune mec blond comme les blés, allongé sur le dos, quatre voyeurs sont à quelques mètres et regardent en se tripotant la quéquette.

 

Je m’approche aussi, le chauve s’est enhardi et a maintenant la bite du jeune dans la bouche. Mon voisin de droite tend sa main vers ma bite, je me recule instinctivement. Le mec n’insiste pas et s’en va attraper la bite de son autre voisin, qui lui se laisse faire. Petite branlette et le mec s’accroupit pour le sucer, d’autres types arrivent. Ça commence à me troubler, tout ça !

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Le gros chauve après avoir bien sucé le blondinet lui confie devant tout le monde qu’il aimerait bien se faire enculer. Le jeune est d’accord. Le vieux se met en levrette exposant son gros cul de pédé ! Je bande comme un dingue. Le jeune vient lécher la rondelle du chauve, je ne comprends pas, moi qui suis hétéro, pourquoi cette scène m’excite autant, mais je commence à me branler mollement. Le blond entre maintenant sa bite dans le cul offert, c’est la première fois que je vois deux hommes s’enculer. Mon voisin a lui aussi offert son cul à son partenaire, il y a donc maintenant deux couples qui s’enculent, Il y a de plus en plus de mecs autour d’eux, certains se branlent mutuellement, d’autres se sucent, c’est la méga orgie. Et moi je suis paralysé, je n’ose pas bouger mais je me branle toujours.

 

Un mec m’attrape mes tétons et me les tortille, je me laisse faire, le type me fait comprendre qu’il aimerait bien une certaine réciprocité. Au bout d’un moment sa main descend sur mes couilles et les serre ! Maman ! Ses mains vont partout, ses doigts s’approchent de mon trou du cul ! Il faut que je fasse quelque chose mais j’en suis incapable.

 

Devant moi, le blondinet a éjaculé dans le cul du chauve. Ce dernier reste en place et s’écarte les fesses, invitant ainsi un éventuel volontaire à le sodomiser de nouveau. Mon partenaire constatant mon attitude empruntée me laisse choir et s’en va enculer le bonhomme.

 

Bon, je ne vais pas rester comme une andouille; certes je suis hétéro, mais j’ai aussi quelques fantasmes, et si je suis là c’est aussi parce que voir des actes entres mecs ne me répugne pas.

 

Je jette un coup d’œil sur ma gauche, un gars se fait branler mollement par son voisin, j’approche ma propre main, le masturbateur me laisse la place, me voilà entrain de palucher un mec.

 

– Suce-moi !

 

Je me suis penché et j’ai pris sa bite dans la bouche, que c’est doux, c’est vivant, c’est chaud, c’est salé, c’est bon, c’est délicieux.

 

Non, ce n’est pas ma première bite, j’avais déjà eu l’occasion de sucer un mec dans une cabine de sex-shop, j’avais trouvé l’acte agréable par contre le contact humain m’avait déçu par son impersonnalité ce qui fait que je n’avais jamais renouvelé l’expérience.

 

Un autre type se pointe à côté du premier, du coup j’ai deux bites à sucer alternativement, je deviens une vrai salope. Et une troisième maintenant…

 

Un autre me tripote le cul, enfonce ses doigts dans mon anus et les fait bouger. Maman ! Je me laisse faire, je frétille du cul, je sens maintenant sa langue. Je sais comment tout cela va se terminer, je n’ai jamais pris de bite dans le cul, mais quelques godes ont eu cet avantage. J’assume, et quand l’un des lascars manifeste le désir de m’enculer, je me positionne comme il le faut et j’attends l’assaut. J’ai juste vérifié que le gars se mettait une capote !

 

C’est maintenant moi la vedette, on m’encule, et les mecs se branlent autour de moi. Le type a déchargé rapidement. Salope pour salope, je fais comme le chauve de tout à l’heure, je reste en position le trou du cul béant, en écartant les fesses et j’en redemande. Un type arrive, c’est un black avec une queue au-dessus de la moyenne, je n’ai pas le temps de protester, je l’ai déjà dans le cul.

 

Le mec me bourre quelques minutes avant de décharger, il retire sa capote et me propose sa bite pleine de sperme à sucer, et la grosse salope que je suis devenue lui nettoie tout ça ! C’est bon !

 

– Tu veux goûter ma pisse ?

 

Pourquoi pas ? J’ai déjà fait de l’uro avec des femmes, de la pisse d’homme ou de la pisse de femme ce ne peut être différent, alors j’en bois quelques goulées avant de me relever.

 

Le gros chauve est à côté de moi !

 

– C’est bon de se faire enculer ! Me dit-il.

– C’est super

 

Et il me prend ma bite dans sa bouche tandis qu’un autre zig me tortille les tétons, je me laisse faire, je jouis dans un spasme, le chauve avale tout avec délectation, puis me roule une pèle avec le goût de mon sperme dans la bouche !

 

– T’es sympa, toi ! Me dit-il

– Toi aussi ! Répondis-je par politesse.

– On se reverra peut-être à l’occasion !

– Avec plaisir.

 

Je suis rentré au bungalow.

 

– Alors c’était intéressant ? Me lance Remy.

 

J’ai envie de le provoquer !

 

– Super ! Il y avait une de ces ambiances !

– Ah ?

– Du coup, j’ai un peu participé.

– Comment ça ?

– Ben j’ai sucé quelques bites…

– Je savais pas…

– Ben maintenant tu sais…

– Je vais te dire quelque chose, moi aussi j’aime bien ces trucs là, mais comme je ne savais pas que tu serais tenté, je n’ai pas osé t’en parler… Au dernier moment je me suis dégonflé.

– Sans déconner ? Et tu voudrais que je te suce la bite ?

– Oui, pourquoi pas ?

– Et après tu m’enculeras ?

– Chacun son tour, alors !

 

Sa bite bande, je la branle un peu et la porte à ma bouche, c’est la combientième que je suce aujourd’hui ? Quand on aime, on ne compte pas !

 

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 06:56

La géante par Elian Lvekman

 

photo

La géante

Ce texte relate une rencontre ayant eu lieu à la fin du siècle dernier, à cette époque internet était très lent et la photographie numérique peinait à entrer dans les mœurs

 

C’était pendant les vacances. Dans un hôtel de Sicile, non loin de Palerme. …

 

Tout a commencé au restaurant de l’hôtel, Valérie et moi nous sommes retrouvés assis à la même table. Valérie est une jeune femme de 25 ans, simple mais un peu timide, avec un très joli sourire. Brune et très grande, elle mesurait près de 1, 90 mètres, et une corpulence en rapport, c’est-à-dire environ 75 kilos. Elle avait une belle silhouette, une poitrine avantageuse qui semblait l’embarrasser, et des fesses rondes et fermes. Sa chute de reins la rendait provocante bien malgré elle, ce qu’elle semblait dissimuler par des vêtements amples et un gilet coloré.

 

Ses parents, âgés de quelques soixante ans, l’accompagnaient, ce qui semblait accentuer sa timidité. Pour ma part, je mesure seulement 1 m 60, ce qui provoque chez moi un fort sentiment d’infériorité que je tente de compenser par un surcroît d’humour et d’esprit.

 

La conversation s’est assez vite portée sur l’art et la photographie. Ce que je n’avais pas dit c’est que je vis de photographies de nus féminins, dont j’ai fait mon métier depuis plusieurs années. Durant cette conversation, Valérie semblait sincèrement intéressée par mon activité. Puis, à la fin du repas, je lui proposai de prendre un verre au bar de l’hôtel, ce qu’elle accepta avec un sourire, avant de s’excuser auprès de ses parents. Je parvins avec difficulté à cacher mon plaisir.

 

Attablé près du bar, nous commencions à discuter de divers sujets, de la vie, et de l’amour. Soudain, Valérie, entrepris d’enlever son gilet, ce qu’elle fit en projetant en avant son abondante poitrine. La tension du tissu s’écrasant sur ses seins dessina alors de superbes mamelons. Durant ce court instant, des idées pornographiques me vinrent en tête. Une lueur lubrique éclairait mon regard, ce qu’elle perçu immédiatement en rougissant.

 

Valérie avait eu quelques petits amis, mais ne fréquentait personne en ce moment Pour ma part, une longue fréquentation des mannequins féminins, m’avait depuis longtemps déniaisé. Nombreuses sont les modèles qui contre un petit billet supplémentaire acceptent de faire autre chose que de la pose. Tout cela se passe entre adultes consentants et chacun y trouve son compte. Ma longue expérience des corps de femmes me laissait pressentir que cette Valérie devait être une véritable bombe…Cependant, j’avais bien l’impression qu’elle semblait l’ignorer.

 

Peu à peu, par allusion, je parvins à lui dire que je photographiais surtout des femmes nues. Ses pommettes gardaient une rougeur tendre, tandis qu’elle se mouvait lascivement dans son fauteuil. Quant à moi, la bouffée de désir de l’instant passé, m’avait pris de court et un peu déstabilisé, ce qui me rendit timide. Je pris le parti de la faire parler d’elle-même. Je voulais qu’elle se rende intéressante et qu’elle se dévoile davantage, afin de susciter en elle le désir de me rejoindre le soir même dans ma chambre…

 

Non, elle n’avait jamais posé nue, mais, oui, cela l’attirait. Cependant, elle craignait plus que tout le regard que les autres poseraient sur elle. Je lui suggérais alors de se couvrir la tête d’un masque. Comme un bal masqué était organisé le soir même, l’idée lui parut immédiatement séduisante. Nous décidâmes donc de nous préparer, chacun de notre côté pour le bal du soir en nous déguisant, moi en pirate, elle en Shéhérazade.

 

Le soir venu, nous nous sommes retrouvés au même endroit, elle en danseuse orientale, la poitrine galbée par un soutien-gorge orné de fausses pierres précieuses. Elle avait une longue robe de soie flottante, qui épousait ses fermes rondeurs. Durant notre première danse, elle se tint devant moi, et fixant mon regard, elle souriait avec une étrange timidité. Elle dansait avec une élégance féminine incroyable et, me dominant d’une tête, elle me laissait admirer deux sphères de chair blanche et tendre. Je recommençais à bander ferme !

 

J’avais avec moi mon appareil photo mais je l’avais laissé dans ma chambre (cette histoire date d’avant le numérique). Durant une pose, de nouveau près du bar, je me jetais à l’eau en lui proposant de me suivre dans ma chambre pour quelques photos. Elle accepta mais me fit promettre que nous ne prendrions par de photos de nu, ce que je promis, bien entendu…

 

Une fois dans ma chambre je lui demandais de s’accouder à la fenêtre, ce qu’elle fit. Je lui demandais de se cambrer un peu, ce qu’elle fit également. Ses longs cheveux noirs tombaient en cascade sur son dos, jusque sur sa croupe vaste et ronde, ses fesses rondes et fermes exprimait une puissante sexualité, que son expression timide de femme enfant relevait d’un contraste incompréhensible. Après quelques photos dans cette position, je m’accroupis à quelques pas d’elle et lui demandai de ramener ses bras en arrière, les mains jointes autour de sa nuque. Je voulais la saisir ainsi, sa silhouette massive se dessinant dans le ciel bleu sombre de la nuit lunaire.

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Le rythme des photos aidant, les clics de mon appareil et les rires de Valérie, l’amenèrent à se détendre et à se laisser aller à des positions de plus en plus osées. Ainsi, elle commençait à prendre elle-même des initiatives, elle se débarrassa de son haut, fit glisser son soutien-gorge dévoilant deux énormes mamelles, et bientôt, elle se retrouva à quatre pattes sa croupe géante projetée vers le ciel. Après deux photos de cette pose, et sans qu’elle s’en rende compte, je me mis derrière elle et, la saisissant par les hanches je mimais sur le ton de la plaisanterie une somptueuse levrette. Surprise, elle cria :

 

– Nooooooon !

 

Mais ne fit rien pour m’échapper. C’est pourquoi je continuais à mimer cette levrette obscène et puissante. Sur le côté, il y avait une glace de verre dans laquelle elle pouvait suivre toute la scène. L’air faussement choquée, elle regardait bouche ouverte cette scène irréelle où elle se tenait à quatre pattes devant un quasi inconnu de 30 centimètres moins grand qu’elle.

 

Je lui attrapais alors le bas de sa robe et la soulevais de quelques centimètres, attendant une réaction.

 

– Je peux ?

– Si tu veux !

 

Du coup, je soulevais sa robe sur ses hanches et introduisit un doigt timide dans l’ourlet de la culotte.

 

– On l’enlève ?

– Au point au j’en suis…

 

J’eus un cri de surprise et d’admiration devant le spectacle ahurissant de cet énorme cul. Sa raie semblait une vallée entre deux montagnes d’Auvergne. Sa chatte brune était couverte d’une forêt de poils noirs et bouclés. Fou de désir, je me dégageais de mon short et de mon boxer. Elle put donc admirer dans la glace un pénis orgueilleusement dressé vers son trou. Comprenant mes intentions, elle me demanda simplement si j’avais des préservatifs. J’en avais !

 

Et après avoir enfile le condom, je la pénétrais jusqu’à la garde, la tenant fermement par les hanches. La bouche ouverte, sa langue dehors…elle se léchait les babines. La belle grande femme timide se faisait chienne. Déniaisée, elle commença à se balancer d’avant en arrière venant à la rencontre de mes coups de boutoir.

 

Elle connut ainsi un profond et violent orgasme. Je m’allongeais près d’elle afin qu’elle puisse s’asseoir sur moi. Dans la position de la fille qui fait pipi, elle s’assit sur ma queue dressée. Elle entreprit ainsi de coulisser sur ce pieux, toute honte bue. Enfin, soudainement, elle se souleva et, d’un coup, s’empala sur mon membre. Tandis que je l’enculais sans l’avoir voulu, j’admirais, bouche ouverte ses gros seins en mouvement au-dessus de moi et finis par jouir dans un spasme.

 

En se dégageant, elle me fit un magnifique sourire complice, je pensais qu’elle allait m’embraser mais elle ne le fit pas et me demanda où se trouvait les toilettes. C’est à ce moment que je lui confiais avec un air faussement innocent qu’il m’était arrivé lors de mes séances photographiques d’immortaliser certains de mes modèles en train de faire pipi. Elle me répondit alors qu’il était hors de question que je la prenne en photo dans cette situation, mais que si je voulais la regarder pisser, elle n’avait rien contre.

 

Je m’installais près de la cuvette et la contemplait en train d’uriner, ce magnifique flot d’or qui retombait en faisant floc-floc dans la cuvette m’arrêtait irrésistiblement, je résistais à l’envie de glisser mon doigt sur le jet et de le porter en bouche.

 

– Maintenant, tourne-toi, il faut que je fasse caca.

 

Je me tourne, mais voilà qu’elle ajoute :

 

– A moins que tu veuilles me regarder faire ?

– Pourquoi pas ? Répondis-je, un peu abasourdi quand même !

– Je vais m’assoir sur le côté de la cuvette comme ça tu verras mieux !

 

Elle fait comme elle vient de dire, et elle pousse, un timide étron apparait à la sortie de son anus, elle pousse, et cette fois un magnifique boudin se faufile hors de ses entrailles et viens chuter dans la cuvette.

 

Elle se lève, regarde au fond de la cuvette :

 

– J’aime bien regarder mes cacas, je suis peut-être un peu scato ?

– Ça ne me dérange pas !

– Tu veux m’essuyer ?

– Euh….

 

Je déroule quelques feuilles de papier toilettes.

 

– Attends, regarde mon cul, il est beaucoup sale ?

– Non, faut juste essuyer un peu je suppose.

– Tu le ferais avec ta langue ?

– Ce n’est peut-être pas très hygiénique.

– Alors torche moi avec le papier.

 

S’étant rhabillée, je trouvais Valérie embarrassée, rougissante.

 

– Quelque chose ne va pas ?

– Si, mais j’attends quelque chose !

 

J’espérais alors ne pas comprendre de travers :

 

– Oui évidemment, tu souhaites que je remercie…

 

Elle me fit un petit geste d’approbation

 

– C’est normal, ajoutais-je ! Avec une pro je l’aurais payé, tu veux combien ?

– Je n’ai aucune idée des tarifs.

 

En la matière, les tarifs sont très variables, mais je ne me montrai pas pingre.

 

– Si mes parents apprenaient que je viens de faire la pute… me dit-elle en prenant l’argent.

– Tu n’as fait de mal à personne !

– Je sais, et toi non plus. Allez salut !

 

Le lendemain, Valérie devint distante, juste bonjour, bonsoir. A la fin du séjour nous nous échangeâmes nos adresses afin que je puisse lui envoyer les photos. Je les ai faites développer mais je ne les ai jamais envoyées, parce que je voulais pas les envoyer comme ça, je voulais lui écrire quelque chose, mais ce quelque chose je ne suis jamais arrivé à l’écrire. De son côté, elle ne me les a jamais réclamées et je n’ai jamais plus eu de contact.

 

Ce matin en cherchant quelque chose dans mon fouillis, j’ai retrouvé ces photos, alors l’histoire m’est revenue en mémoire et j’ai voulu l’écrire.

 

Elian Lvekman

 

D’après un texte paru en 2000 sur le site de Sophiexxx signé Person

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 06:51

La créature de la plage par Elian Lvekman

cupidon

Merci à Michel L sans lequel ce récit ne serait pas.

 

Bonjour, Ce récit commence un jour d’été très chaud, je suis un homme d’une trentaine d’années. Je portais ce jour-là une casquette noire à la mode et aussi des lunettes fumées à petites montures. J’avais décidé d’aller me faire bronzer à la Playa del Corrazon. Un site merveilleux pour la pratique du naturisme.

 

Arrivant à destination, je marchais le long de la plage et approchais ainsi de plus en plus des corps intégralement dénudés. J’avais chaud, glacière verte à la main, sac à dos rouge et chaise de plage à l’autre main.

 

Mon regard commençait à s’enivrer de la vision des femmes et des hommes nus et déjà bien installés sur le sable chaud.

 

Je trouve une petite place parmi cette mosaïque de chair humaine bien bronzée.

 

Je me dévêts, puis aperçois une femme qui pose un regard sur moi. J’aime cette sensation de savoir qu’elle me dévisage tout discrètement. Je vois bien qu’elle reluque mes fesses, ma queue, mes cuisses assez musclées. J’en attrape même une petite érection toute discrète. J’essaie de me changer les idées car je me dis qu’une bandaison publique me compliquerait les choses.

 

Je place donc ma chaise et ma serviette. J’ai un regard amusé vers cette serviette. Je l’aime bien, c’est ma serviette fétiche, elle m’a toujours porté bonheur. Elle est lignée de plusieurs couleurs, du vert, du jaune, du rouge, du bleu et du mauve. Je me suis astucieusement placé de façon à ce que cette femme voie toujours mon membre se faire bronzer au soleil chaud.

 

Au soleil, mes testicules dansent et deviennent très mous, et mon scrotum très bas, mon pénis s’allonge et devient tout doré ! J’écarte davantage les jambes pour qu’elle puisse voir sous mes couilles, mon entre jambe et un peu de mon anus. Ne voyant pas mon regard grâce à mes lunettes de soleil, cette jolie femme prend plaisir à regarder mon organe génital et mon corps. Elle est couchée de dos face à moi. A peine une dizaine de mètres nous séparent. Pas un mot ne se prononce, mais nous savons tous les deux que nous nous apprécions mutuellement.

 

Par cette chaleur torride, je décide de me lever.

 

Elle me regarde avec encore plus d’intention ! Un regard fixe à mes yeux et à ma queue. Je peux voir ses jambes ouvertes me dévoilant à son tour son sexe, ses lèvres, cette chair qui ne demande qu’à être goûtée par ma bouche au soleil ardent. Ses seins déjà passablement bronzés, m’invitent déjà à les prendre comme des lingots d’or, une richesse et de ce fait, une beauté inestimable. Des seins bien ronds et au mamelon à faire rêver.

 

Le temps d’avoir retiré casquette et lunettes, elle découvre mes yeux en ce moment profondément vicieux et concupiscent de désir.

 

C’est alors que je me dirige vers l’eau, elle regarde mes petites fesses se dandinant de droite à gauche, les yeux littéralement fixés sur elles. Sa bouche devient gourmande de me manger mes petites joues.

 

Elle se décide à son tour de venir à l’eau. Je ne me doute pas de son arrivé. Je suis de dos pour elle et assez loin de la rive. Personne autour de moi. Je suis immobile face au large, l’eau au nombril et par conséquent ma queue qui flotte comme une petite bouée à la mer.

 

Soudainement, son visage surgit de l’eau peu profonde. Elle apparait tranquillement et ses yeux fixent ma bouée. Précédé d’un seul regard, elle pose sa bouche et sa langue sur mon membre surpris par la tournure de l’événement. Elle empoigne mes testicules et commence à me sucer doucement. Mon gland se gonfle dans cette bouche qui ne veut qu’une chose, me goûter, m’avaler.

 

Durant ce temps je me mets à regarder autour de moi et d’un air inquiet regarde si personne ne nous a vu faire. Non ! Personne en vue, nous sommes bel et bien seuls à cet endroit précis du plan d’eau.

 

Elle délaisse alors mes testicules pour porter un doigt à mon anus. Moi immobile et faisant semblant de rien pour ne pas nous faire repérer, j’écarte légèrement les fesses pour laisser passer son index sinueux à l’intérieur tout en continuant de me faire une fellation. Mes fesses se contractent légèrement par-devant, sentant ainsi son doigt dans mon cul tandis que ma verge devient très grosse dans sa bouche. Je ferme les yeux pour laisser mon esprit s’envahir par une nuée de fantasmes.

 

Le temps de rêvasser quelques instants, elle se retire soudainement.

 

Non ! Plus rien ? Je ne me pose pas de question. Je reste immobile pour quelques instants. Le temps pour nécessaire pour elle de regagner la rive et sa place. Moi, durant ce temps, mon sexe en profite pour débander et reprendre sa longueur normale de petit poisson.

 

Je regagne ma propre place avec un rythme cardiaque qui n’a pas décéléré. Plus j’approche de mon espace, plus mon cœur s’emballe. Elle, couchée au soleil et mouillée de partout m’observe, le regard désireux de renouveler l’expérience, ses jambes encore plus écartées pour me montrer son sexe humide de l’excitation récente. Elle a une main sur un sein, se pinçant ainsi le mamelon assez discrètement pour ne pas se faire voir.

 

J’arrive à destination, prends ma serviette de place, m’essuie le visage, remets ma casquette et mes lunettes en la regardant. Je m’allume une cigarette gauchement et en me levant pour une petite promenade, je la regarde avec insistance.

 

Elle a compris mon message de me suivre. Je marche sur la plage et elle me suit à une cinquantaine de mètres. Elle s’amuse même à essayer de mettre ses pas sur les miens dans le sable. Les yeux au sol. Moi je sais qu’elle est derrière moi.

 

Je décide d’accélérer la cadence de mes pas. Elle ne se rend pas compte que notre écart augmente car elle jette un œil trop rapide sur moi, et elle est concentrée sur mes pas imprimés dans le sable mouillé.

 

À un moment, elle lève les yeux et découvre que je ne suis plus devant elle. Un peu paniquée et inquiète, elle se met à me chercher du regard et m’aperçois à la limite du petit bois longeant la plage alors que je m’apprête à disparaître dans les buissons. Angoissée et du même coup inquiète, elle décide de me suivre, mais sans me voir désormais.

 

Elle entre donc à son tour dans la végétation et commences à me chercher. Elle avance tranquillement, sn cœur prend un rythme fou, elle est excitée, mouillée à l’idée de me retrouver. Elle est comme à la chasse à l’homme, mais pour une chose très précise : une sauvageonne dans le bois qui traque sa proie sexuelle.

 

Moi, la voyant s’approcher de plus en plus, je décide de me coucher par terre et entreprends de me masturber, espérant ainsi qu’elle me verrait et entendrait mon souffle s’accélérer. Elle a donc deux sens très aiguisés pour trouver ma piste. Elle marche un peu accroupie, prête à me sauter dessus. Elle ne me voit pas encore mais entends mes rauques gémissements sexuels. Je n’en peux plus d’attendre, je décide de précipiter les choses en faisant bouger les branches d’un buisson à mes côtés. Elle me retrouve, enfin ! Elle a su me rejoindre sans me voir, je l’ai juste un peu aidé à la fin !

 

Elle se met à quatre pattes comme une tigresse, les fesses et le sexe bien exposés vers le ciel, sa chatte mouillée et dégoulinante sur son passage, marquant ainsi son territoire sexuel. Moi, la voyant approcher au travers des buissons je deviens de plus en plus excité et dur, frottant ainsi mon membre et mon gland prêts à la recevoir, mes testicules chauds et dorés guidant le chemin qui sera le sien.

 

Elle arrive donc à moi. Elle écarte tout doucement le buisson qui tout à l’heure l’empêchait de me voir et elle découvre ma bite bien raide à quelques centimètres de sa bouche. Une bite décalottée, dorée, nervuré comme elle doit les aimer, un gland à faire rêver, mes boules dans leur sac pendant sur mon anus rosé. Elle est donc invitée à me prendre comme jamais elle n’a pris un homme. Un homme complètement nu devant elle, un homme à sa merci, un homme se donnant à elle.

 

Mes jambes sont donc ouvertes tout en me masturbant, elle approche encore plus près quand elle aperçoit sur le sol parmi les brindilles une sorte de petit bâton bien lisse au bout bien rond. Elle a l’idée de le prendre sans que je sache ce qu’elle va en faire. Elle s’avance vers moi, prends sa main et me cache les yeux. Que vas-t-elle me faire ? Je n’angoisse pas un instant m’abandonnant ainsi à elle complètement.

 

C’est alors qu’elle prend à deux mains ce curieux bâton pour me l’introduire en moi doucement, à deux mains. Elle avait pris le soin de l’enduire du jus coulant de son vagin pour faciliter son passage secret. Elle me titille l’anus avec le bout, me prends les testicules les relevant ainsi pour dégager mon entrée secrète. J’étais déjà assez dur, elle reprend à deux mains le bout de bois, (il doit faire environ cinq centimètres de diamètre) et me l’enfonce dans le rectum, sachant que mes jambes sont bien écartées et mon cul en l’air.

 

Elle l’enfonce et le retire, caressant mes entrailles interdites. Elle pose sa bouche sur mon gland le faisant ainsi disparaître pour un moment. Elle me suce donc tout en m’enculant avec l’aide de la nature !

 

Après un certain temps, elle décide de me baisser les jambes et de venir m’embrasser tout en laissant en moi ce corps étranger me donner de bonnes sensations.

 

Ma queue bien en l’air, elle décide de s’asseoir dessus. Donc tout doucement et en prenant le soin de diriger ma queue vers son sexe, elle me l’enfonce très profondément en elle, ses mains s’agrippant à mon torse poilu. Elle commence à faire des va-et-vient ondulatoires en imprimant des mouvements à son bassin sonnant ainsi la cloche de la récréation. Je lui prends les seins, énormes et bien ronds, je me cambre vers l’avant pour y goûter les mamelons, et cela les deux en même temps, rapprochant ainsi ces derniers l’un de l’autre. Sa tête part en arrière, me laisse deviner l’énorme plaisir qu’elle a à se laisser aller sur cet autre  » bout de bois « . Je la pénètre et elle me pénètre. Une sensation des plus divines et des plus excitantes s’emparent de nous.

 

Elle avait les yeux fermés. Soudain, elle les ouvre… pour s’apercevoir que nous sommes observés par un autre homme errant non loin de nous. Sur le coup, le temps d’une demi-seconde, elle devient mal à l’aise, mais la réalité la rattrape bien vite. Cela l’excitait donc que l’on la regarde s’appliquer à nos ébats sexuels. Moi, j’étais toujours dans cette magie sexuelle, j’avais les yeux fermés et ignorais que nous étions observés.

 

Elle se met à lui faire un sourire, un certain sourire qui l’invite à nous rejoindre. L’homme déjà bien bandé par l’excitation visuelle et tout en se masturbant s’approche de nous. Il se met lui aussi à quatre pattes, il s’approche d’elle et se met en position à genoux pour lui montrer son énorme membre viril de 17 centimètres de long. Elle n’en revient pas. Moi, je la regarde soudainement pour découvrir la présence de cette queue entre elle et moi ! J’ai un petit moment d’hésitation mais me rassure d’un seul regard. Elle empoigne alors ce dernier pour commencer à le sucer. Sa bouche très grande ouverte commence l’opération buccale. Moi voyant cela, recommence à la pénétrer plus fortement. Elle avait deux membres bien durs en elle. Elle est heureuse de pouvoir enfin réaliser ce grand fantasme interdit.

 

Elle sent en elle ce qu’elle sent dans sa bouche. Elle est absolument au septième ciel. Je lui donne la jouissance que l’autre homme lui donne. Elle sent tout son corps vibrer à nos rythmes respectifs. Sa main sur sa tête poussant cette dernière un peu plus profond sur son sexe et moi mes mains sur ses hanches poussant ainsi son sexe plus profond sur le mien.

 

Elle abandonne un moment la fellation de ce bâton de dynamite et se met à nous regarder alternativement plusieurs fois de suite sans prononcer un seul mot. Elle reprend le pénis bien gonflé de l’homme pour l’approcher de ma bouche et de la sienne en même temps. Elle commence à m’embrasser et à me présenter cette verge très dure devant mon visage. C’est à ce moment que je comprends qu’elle souhaite que je la suce avec elle. Moment d’hésitation. Son regard persiste, à la fois coquin et implorant. Je m’incline devant son désir ardent de prendre en bouche avec elle cette ravissante chose. Elle continue de m’embrasser et place cet énorme pénis entre nos quatre lèvres très mouillées. L’homme commence des va-et-vient, se masturbant entre nos deux bouches bien collées. Je recommence l’opération du lapin en elle. J’ai alors une étrange sensation de désir jamais ressenti auparavant. Je suis encore plus dur de par ce contact buccal. Je rends ce qu’elle recherchait, une dureté jamais vécue a envahi mon membre déjà assez dur ! Merci. ! Elle commence à se dandiner sur moi, l’homme va de plus en plus vite et moi de même. Tous les trois formons une bombe bien huilée prête à exploser d’un moment à l’autre.

 

Soudain l’homme s’écrie : « Je vais venir ! » Première parole entendue depuis le début de cette triple rencontre ! Il se retire à peine de nos deux bouches et commence à se masturber à l’aide de sa main. Nous, nos deux bouches ouvertes, joues bien collées, attendions ce moment de vérité qui allait être ma première expérience gustative de la semence masculine. Je continue à la pénétrer fortement pour qu’elle puisse et moi aussi, exploser en même temps que l’inconnu.

 

Et soudain, ça y est ! J’explose en elle par de forts jets de sperme chauds qui aurait percuté son col d’utérus, si je n’avais point chapeauté d’un condom mon engin reproducteur. Je ne lui arrose donc les entrailles que dans mon esprit. Elle cri du même coup, la mèche de sa bombe est consumée. Elle explose de plaisir et de jouissance, moi en même temps je m’agrippe à ses seins et nous jouissons en même temps.

 

Siren89Puis l’homme éjacule à son tour. de grands jets puissants atteignent en premier ses yeux gourmands et sa bouche fixant ce gland arroseur. Et c’est à présent mon tour de recevoir d’autres giclés de sperme, mais cette fois-ci atteignant la cible. Ma langue avait tout de même servi de bouclier prévenant l’arrivé trop rapide de cette liqueur dans le fond de ma gorge. Je la pénètre toujours.

 

L’homme venu s’est retiré tranquillement, a reculé de quelques pas. Elle décide de m’embrasser comme pour me remercier, me remercier de lui avoir fait l’amour, me remercier d’avoir accepté ses fantaisies, par passion et excitation.

 

Et puis elle s’accroupit au milieu des brindilles, dans une position obscène, comme si elle s’apprêtait à uriner sur le sol. Et je n’en crois pas mes yeux, là devant moi, elle fait pipi dans la nature. Malgré moi ce spectacle me fascine. Ce petit jet doré sortant de cette si belle chatte est un spectacle de premier choix. Mais elle s’arrête. Je ne comprends pas et j’ai bien l’impression qu’elle s’est retenue de tout lâcher. De nouveau elle t’approche de moi, me souris, puis se souvenant qu’il un avait un bâton en moi, me le retire d’un coup sec. Elle me demande de m’allonger sur le sol. Et elle me chevauche, à moitié accroupie, poursuivant son pipi un moment interrompu, mon sexe se mouille de son urine tandis qu’elle avance vers le haut de mon corps m’aspergeant les tétons et le cou. Rien ne semble pouvoir arrêter sa progression, et devinant ses intentions j’ouvre une large bouche recueillant les dernières gouttes de sa douche jaune comme le soleil.

 

Elle se lève d’un seul bond, regarde l’inconnu déjà au loin, me tends la main pour me relever, triomphante devant sa proie. L’allure fière, les seins bien sortis du thorax et sexuellement désirable encore, mon sperme et son urine coulant sur ses jambes. Elle me relève donc, se tournant vers la mer et reprenant en sens inverse le même chemin d’où nous étions venus. Je me mets à marcher derrière elle à une vingtaine de mètres, d’un pas un peu saoul dans ma démarche, indiquant ainsi sous les regards des étrangers que je viens de tomber sous les griffes…

 

…d’une sirène qui tient un pied bien sur terre.

 

© Elian Lveckman

Rewrinting d’une nouvelle signée Michel L, intitulé « Douce Sirène » et parue sur le site SophieXXX en 1999

Première publication sur Vassilia, le 04/11/2001, révisée en mai 2009

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 06:47

L’amant de ma mère par Elian Lvekman

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J’ai 23 ans et j’habite toujours chez mes parents. Cette histoire a commencé le jour où mes horaires ont changé, mon patron m’a fait passer en quatre-cinquième et je libérais les après-midi du jeudi et du vendredi.

 

N’ayant rien d’autre à faire ce jour-là, et le temps étant incertain, je rentrai donc à la maison et je vis dans l’entrée une voiture que je ne connaissais pas, je pensais à un voyageur de commerce ou à un réparateur quelqconque quand j’entendis des bruits caractéristiques venant de la chambre parentale. Je m’approchais à pas de loup et entrebâillais la porte.

 

Et là je vis ma mère se faire culbuter par un bonhomme que je n’avais jamais vu.

 

Je matais…

 

Ma mère… ah oui, il me faut la décrire… 53 ans, belle brune, cheveux mi-courts, bien charpentée, peut-être quelques petits kilos de trop. Donc ma mère disais-je, complètement nue se faisait prendre en levrette par un ce grand brun moustachu qu’on ne m’avais jamais présenté.

 

L’homme y allait de ses coups de boutoir avec une telle énergie que le couple finit par pivoter légèrement sur la droite ce qui me permit de mieux distinguer le détail de la pénétration. Je pu alors constater que c’était dans l’anus de ma génitrice que le salopard s’astiquait la queue.

 

En un mot comme en cent, ma mère se faisait enculer… et moi au lieu de m’en offusquer, je bandais comme un malade.

 

Ma mère piaillait comme un damnée et finit par pousser un cri guttural. Elle fit un geste à l’homme que je ne compris pas, mais celui-ci sortit sa queue et la donna à ma mère qui la pris en bouche.

 

La chose se termina assez vite, l’homme se raidit dans un spasme. Du sperme coula des commissures de lèvres de ma mère.

 

Non mais quelle salope !

 

Ne pouvant plus tenir, je montais dans ma chambre et me branlais comme jamais, puis au bout d’un moment, alors que j’étais soulagé, j’entendis en bas, le type prendre congé en disant.

 

– A jeudi prochain même heure !

 

Voilà qui n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. C’est ainsi que pendant cinq semaines si j’ai bien compté, je matais ma mère en train de forniquer.

 

Et ce soir-là, ma mère m’interpella

 

– Dis donc petit cochon, tu pourrais être plus discret !

– Pardon ?

– C’est pas joli, joli de jouer au voyeur.

– Je ne sais pas ce qui m’a pris… balbutiais-je

– Peu importe, ce n’est pas grave ! Dis-moi ça t’a excité de regarder ta mère faire l’amour ?

– Euh !

– Figure-toi que mon copain, il s’appelle Marc, il a un fantasme, il aimerait qu’on le regarde quand il est en train de me baiser. Il m’a proposé de faire venir un ami, mais j’ai refusé, les gens sont tellement peu discrets. Mais si c’est toi, ça ne sortira pas de la famille.

– Non, mais t’es sérieuse, là ?

– Evidemment que je suis sérieuse, et puis je vois que ma proposition t’excite, n’est-ce pas ? Me dit-elle en me mettant la main à la braguette.

– Mais enfin maman !

– Ben quoi t’es majeur, on ne fait de mal à personne. Et puis tu verras mieux, tu seras tout près, tout près de moi. Touche-moi les seins , je suis sûr que tu en rêvais depuis longtemps.

 

Comme dans un rêve, je caressais ses gros nichons par-dessus son petit haut imprimé et j’ai donc accepté, mais les choses se sont passées un peu différemment que ce que j’imaginais.

 

Marc arrive, on se serre la main, et je m’installe avec lui sur le canapé. ma mère se dandine un peu et nous fait un rapide strip-tease

 

Je commençais à me sentir très à l’étroit dans mon pantalon, et mes mains ne savaient pas où se poser. J’étais tellement fasciné par le corps de ma mère que j’avais oublié où j’étais. Je fus très surpris lorsque je sentis une main se poser sur ma nuque. Ma mère s’était installée à ma droite sans que je m’en aperçoive ! Elle approcha sa bouche de la mienne et nous échangeâmes un baiser délicieux. Mon sexe commence à étouffer et elle pose une main dessus. Elle regarde son amant et lui dit :

 

– Je crois que l’on peut commencer, il est chaud !

 

Elle libère ma bite de sa braguette, pose ma main dessus, la masturbe un tout petit peu et me dit à l’oreille :

 

– Regarde-nous maintenant, tu es là pour cela non ?

 

Ma mère s’installe alors entre les genoux de son amant et commence à défaire son pantalon. On devine l’érection de Marc, son boxer est tendu et elle le mordille doucement. Elle sort une belle queue et la lèche, en prenant le temps de l’humidifier avec la langue. Toute la verge devient luisante de salive et ma mère ne manque pas une occasion de nous regarder avec un œil vicieux, son amant et moi. Mon sexe raide est caressé par ma main, qui entame une lente masturbation.

 

Le spectacle de cette fellation me fascine. Marc semble planer, il regarde son amante avec des yeux pleins de gentillesse et de plaisir. Ma mère revient vers ma bouche, ses lèvres sont blanchies par une liqueur particulière que je trouve, à ma surprise, délicieuse.

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Elle m’embrasse à nouveau et me demande de me placer derrière elle pour la caresser. Je me régale du spectacle offert, une superbe croupe nue. Mes doigts confirment mon impression : Ma mère est aussi excitée que nous. Ses lèvres luisaient et mes doigts glissaient sans peine. Marc bandait fermement sous l’action de ma mère qui avait repris sa fellation. Elle le caressait à la base des testicules et sa verge disparaissait dans une bouche exquise. Je posais mon sexe à l’entrée de celui de ma mère et je me penchais sur son cou pour sentir son parfum envoûtant. Ses cheveux caressaient ma tête et je l’embrassais sur la nuque en me perdant dans sa chevelure. Je lui caressais ses seins. Ses tétons avaient durci et je bandais en elle. Je sentais une chaleur torride qui enveloppait mon sexe et je me battais contre moi-même pour ne pas jouir. Mais une de ses mains agrippa mes couilles et je ne pus me retenir. Nos sexes étaient inondés par mon sperme et je m’allongeais sur elle, la tête contre son visage. Elle suçait toujours Marc.

 

Pour la première fois de mon existence je sentais une queue proche de moi. Elle me glissa quelques mots à l’oreille, me demandant de l’aider à lécher Marc.

 

– Laisse glisser ta langue en mouillant son sexe.

 

Je n’avais pas bien compris; elle recommença, après avoir mouillé mes lèvres de sa langue trempée :

 

– Pose tes lèvres sur son sexe et embrasse-le. Ensuite branle-le doucement et remonte avec ta langue le long de sa bite.

 

Elle me caressait maintenant la nuque et accompagna ma succion de la sienne. De temps en temps nos lèvres se rencontrèrent. Elle me dit que Marc allait jouir et qu’il fallait que je laisse venir dans ma bouche.

 

– Tu vas sentir son sperme jaillir. Ta bouche sera inondée.

 

En effet, Marc éjacula et je sentis le sperme venir sur mes lèvres et ma langue. Pendant ce temps ma mère m’embrassait et me branlait doucement.

 

– Maintenant tu le suces avec tes lèvres pleines de sperme et tu nettoies tout… Fais le doucement…

 

Marc gémissait et je bandais en sentant ce plaisir partagé.

 

Mais elle ne put s’empêcher de le sucer elle aussi. Elle posa sur cette belle verge une main trempée de foutre et de mouille… Je léchais ses doigts avec une délectation que je ne connaissais pas… J’avais adoré faire une fellation à un homme sous les ordres de ma mère.

 

– La prochaine fois, il t’enculera ! Me dit ma mère ! Tu verras c’est bon.

– Oui maman !

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 18:47

Une lettre de 1933 par Elian Lvekman

1933

 

Voici une lettre dégottée dans un carton de vieux papiers en brocante

C’est authentique (voir photo), et croustillant !

 

Roanne, le 20/Nov1/33

 

Chère amie

 

J’attends de tes nouvelles depuis déjà longtemps ? Que fais-tu ? Moi ça va bien, je vais te raconter ce qu’il m’est arrivé la nuit passée. Tu sais que je couche dans la même chambre que mon frère au 1er. Tout d’un coup dans la nuit que se passe-t-il ?Il vient dans mon lit, j’étais heureuse car je me doutais bien de ce qu’il voulait. Tu sais qu’il a 22 ans , je suis plus jeune de 6 ans .J’ai fait semblant de dormir, il m’a pris dans mes bras, il m’a embrassé, ensuite il a sucé mes seins l’un après l’autre. Que c’était bon, avec ses doigts il caressait mon bouton, je me suis (réveillée ?) et il est alors descendu plus bas et puis il a sucé mon bouton et avec son doigt il caressait mon vagin. Je voulais lui faire plaisir aussi avec ma main, je lui caressais sa verge, je l’ai sucé bien fort, ça m’excitait encore plus. Je jouissais et lui aussi : il s’est arrêté alors j’ai pris sa tige et je l’ai mise dans mon sexe. Que c’était bon. J’avais croisé mes jambes dans son dos et puis je remuais, je sentais sa verge partout. Il s’est arrêté et m’a encore sucé. Alors j’ai joui très fort. Je recommencerais souvent c’est bien bon et puis un frère, il fera attention. Je n’ai rien à craindre avec lui, il fait bien faire l’amour. Ne me juge pas, ce n’est pas du vice, c’est aimer le plaisir. Toi tu vas bientôt te marier, tu auras toutes ces caresses mais moi je suis toujours jeune. Le temps me (dure ?) Je te quitte, à bientôt de te lire .(….?) Baisers

 

Ta Simone

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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