Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:23

Plage perverse par Elian_Lvekman

Fetish

C’était en Août, en vacances : un soir que je me promenais seul sur une plage tiède et déserte…

 

Au bout d’un bon quart d’heure, je rencontrai une femme d’environ 26 ou 28 ans qui s’était assise sous la lune, dans une petite robe légère, une blonde et frisée avec un visage atypique mais jolie. Elle me regardait approcher depuis un moment. Je suis un peu sauvage et je n’aime pas me sentir observé, aussi, j’avais hâte de la dépasser pour continuer ma promenade nocturne (non que je n’espérasse pas secrètement une rencontre fortuite, mais je savais d’expérience que cela n’arrive jamais…)

 

Or, ce soir-là me fit mentir, car la femme me tendis rapidement une « perche » pour lui faire la conversation ! Ce fut bien sûr d’abord les banalités d’usage, mais bien vite, elle m’invita à s’asseoir à côté d’elle mais en me précisant :

 

– Je ne suis pas une femme, si ça te choque on en reste là, sinon tu peux t’asseoir.

 

Je dévisageais la créature, de vieux fantasmes refirent surface, et un début d’érection envahit ma braguette. Je m’assis et je sentis son parfum m’envahir :

 

(Et à partir de cette ligne nous continuerons à conjuguer cette troublante créature au féminin ! Et pourquoi demanderez-vous ? Eh bien, parce que ç’est mieux !)

 

En écoutant sa voix légèrement rauque, j’eus soudain envie de la serrer dans mes bras. Elle sembla s’en apercevoir et me regarda un peu effrontément ; je me dis tout d’abord que je devais me faire des idées, mais après tout, il est assez rare qu’une fille (et qui plus est, une transsexuelle) invite quelqu’un à s’asseoir à côté d’elle sans arrière-pensées, et fort de cette prise de conscience, je lui pris la main, et m’approchai doucement pour l’embrasser.

 

Elle n’attendait apparemment que cela et nos deux langues se mêlèrent frénétiquement. Nous étions comme électrisés par nos audaces réciproques. Sans préambule, elle ouvrit ma braguette et défit ma ceinture pour atteindre mon sexe où le sang battait avec force. Continuant à m’embrasser, elle me masturba un peu maladroitement d’abord, puis ses caresses devinrent plus subtiles. Au comble de l’excitation, j’espérais qu’elle se pencherait sur moi pour me faire une fellation, mais cela n’avait pas l’air d’être dans ses intentions immédiates. Je me dis alors qu’elle pouvait avoir les mêmes attentes, et j’entrepris d’ôter sa culotte afin de lécher sa bite. A vrai dire je n’avais jamais fait une chose pareille, et je craignais un peu que l’expérience ne soit rebutante, mais à ma grande surprise, sa jolie verge rose et son gland violacé décalotté et légèrement humide et salé n’étaient pas désagréables à léchouiller, et leur discrète odeur âcre avaient même quelque chose d’enivrant qui m’encouragea à être plus fougueux dans mon étrange baiser… Je la léchais bientôt abondamment, puis m’enhardissant je fis pénétrer sa bite dans ma bouche et commença à la sucer en usant des lèvres et de la langue.

 

– Je m’appelle Mandy ! me dit-elle. J’aimerais bien que tu me suces le cul.

 

Sucer le cul d’un travelo ? En voilà une idée incongrue, la bite passe encore, mais pas le cul. Je changeais rapidement d’avis quand Mandy se mit en levrette, cambrant son fessier magnifique. Ne me reconnaissant plus, je fonçais langue en avant vers cette vallée des trésors. Son trou du cul sentait un peu fort, mais ce n’était pas pour me déplaire, j’aime les odeurs un peu relevées. Ma langue quémandait l’entrée de cet anus qui finit par s’entrouvrir.

Tv beach

Je ne me serais jamais cru si ardent et si comblé moi-même par la pratique de cet anulingus hors norme… Tout essoufflée, c’est elle qui m’arrêta bientôt pour se jeter à son tour sur mon sexe. Elle n’avait pas froid aux yeux et s’appliqua à enserrer mon gland avec ses lèvres rondes et un peu fraîches, et fit de délicates et lentes allées et venues. Je ne savais pas quelle attitude prendre, et je lui caressai les cheveux pendant qu’elle osait enfoncer de plus en plus profondément mon pénis dans sa bouche. On entendait des bruits de succion pas très esthétiques, mais assez excitants. Comme je l’avais fait, elle se montra de plus en plus fougueuse, et je dû bientôt l’arrêter pour ne pas éjaculer dans sa bouche…

 

– Tu veux jouir, me demanda-t-elle ?

– Je vais avoir du mal à me retenir encore longtemps…

 

Elle me regarda et sembla réfléchir quelques instants, puis redescendit vers mon sexe bouillant en me disant :

 

– Laisse toi allez, tu peux éjaculer si tu veux !

 

Elle continua ce qu’elle avait commencé en ordonnant soudain :

 

– Éjacule dans ma bouche ! Je veux que tu le fasses !

 

Au bout de nouvelles caresses au rythme maintenant effréné, je sentis l’orgasme m’envahir progressivement ; je balbutiai que j’allais jouir pour lui laisser encore le choix d’éviter la décharge en pleine bouche, ses lèvres continuèrent à sucer mon sexe et je sentis les longs jets chauds se répandre à l’intérieur d’elle. Je fus longtemps secoué par les spasmes de l’éjaculation, et comme elle avalait toujours mon gland, elle en eut littéralement plein la bouche, à tel point que je vis couler de ses lèvres un flot de sperme qu’elle ne pouvait contenir !

 

Ma surprenante partenaire garda longtemps les yeux fermés tandis qu’elle déglutissait patiemment et sans dégoût mon épaisse semence et achevait sur mon pénis les dernières lèches de toilette. Le baiser quelle me donna ensuite me laissa un petit goût particulier…

 

N’étant pas un surhomme, j’aurais été en mal de continuer à lui faire l’amour, car mon sexe était maintenant devenu lourd et flasque et toute nouvelle performance m’était provisoirement interdite… A dire vrai, je n’en éprouvais même plus l’envie sur le moment, tant mon orgasme fut intense et puissant ; je ne me souvenais d’ailleurs pas avoir déjà éjaculé autant et si longtemps.

 

Un raclement de gorge !

 

Deux gars sont là à deux mètres de nous, la bite à l’air en train de se branler.

 

– On peut se joindre à vous ? Demande le premier.

 

Je cherchais une réponse polie afin de les éconduire, mais Mandy parla avant moi.

 

– Bien sûr, vous tombez très bien, car mon nouvel ami, dit-elle en me désignant est momentanément hors service.

 

Les gars s’avancent, Mandy s’approche du premier et lui gobe la bite. L’autre s’approche de moi. Au secours ! Je ne veux pas le sucer, je vous l’ai dit, toute excitation m’a quitté, et ensuite je ne suis pas homo ! Avec un travelo, ce n’est pas la même chose, mais là, ce sont des mecs ! Il faut tout de même avouer que cette bite qui est devant moi et qui me nargue est vraiment très belle. Allez, j’y touche un petit peu, mais juste un peu, hein ? Je peux même la sucer un peu, juste un peu… Et me voici l’air de rien en train de sucer la seconde bite de ma soirée. Que c’est bon ! Quelle douceur, quelle texture ! Mon excitation et la bandaison qui va avec reviennent.

 

Je regarde du côté de Mandy où les choses sont allés très vite puisqu’elle tend ses fesses à l’un des gars, lequel ne tarde pas à l’enculer comme il se doit.

 

J’espère que mon partenaire ne va pas vouloir me faire la même chose. Une seule solution : le sucer à fond et le faire jouir comme ça. Je mets donc tout mon cœur (à défaut de mettre mon expérience) à faire tourner ma langue autour de ce gland divin, à faire coulisser cette verge si douce.

 

– Qu’est-ce que tu suces bien, toi ! Me dit le gars.

– Hummmpf, hummmmpf…

– Tu veux que je te prenne !

– J’ai pas l’habitude ! Répondis-je spontanément en lâchant sa bite.

– Je suis très doux, tu verras, tout se passera bien, mets-toi en levrette.

– Non, non !

– Si ça te fais mal, on arrêtera, mais tu n’auras pas mal.

 

A côté de moi, Mandy essuie les coups de boutoir de son sodomiseur et semble y prendre un plaisir inouï.

 

– D’accord, si ça fait mal, tu arrêtes !

 

Me voilà en levrette, pour la première fois de ma vie, je vais me faire enculer, et finalement l’idée ne me déplait pas. Le gars me prépare le cul de la langue et du doigt. J’aime la façon dont il me doigte, avec d’abord un seul doigt, puis deux, peut-être trois, ce n’est pas facile de compter les doigts qu’on vous fourre dans le cul ! Puis un moment le gars me dit qu’il se met une capote et sa bite réclament le passage, je m’ouvre au maximum. C’est entré assez vite, ça fait mal et puis cette sensation de corps étranger est bizarre. Le type commence à remuer un peu.

 

– Ça fait un peu mal !

– Normal au début, je vais aller doucement.

 

Effectivement il va doucement, ça fait moins mal mais ça n’a rien d’extraordinaire. Il accélère un peu, la sensation devient différente, il accélère encore, je suis bien, j’aime ce qu’il me fait, il accélère encore, puis il ralentit, décule, se débarrasse de la capote.

 

– Tu veux mon sperme ?

– Hein ?

– Suce ma queue !

 

Ah, ça y est j’ai compris, je prends la bite en bouche, elle est de plus en plus salée, quelques moments de fellation et mon gosier est envahi de sperme. J’en ai gouté un peu, j’ai recraché le reste. Pas tout le même jour.

 

Mandy est en train de se bécoter avec son biquet. Je n’ai pas vu tout ce qu’ils ont fait. Peu importe !

 

– On vous laisse, merci pour le trip !

 

Les deux biquets s’en vont. Mandy m’informe qu’elle a envie de pisser. Voilà une information fondamentale.

 

– Tu veux ma bière ? Me propose-t-elle

– Volontiers, j’ai un peu soif.

– Alors ouvre bien la bouche !

– Hein, tu vas faire quoi ?

– Ben pisser !

 

Elle est folle ! J’ai déjà fait ce genre de truc, mais jamais avec un travelo.

 

Mandy m’arrose le torse, le ventre la bite, il remonte, j’ouvre la bouche et j’avale quelques gouttes. Il paraît que c’est bon pour la santé… et puis c’est tellement pervers…

 

– Tu veux dormir chez moi ? Me demande-t-elle.

– Tu es seule ?

– Non, je suis en vacances avec une copine. Mais elle est très sociable.

 

Je ne lui demande pas si sa copine est une copine à foufoune ou une copine à bite, on verra bien j’adore les surprises.

 

Elian

 

PS : au fait j’ai un peu mal au cul, mais ça doit être normal !

 

D’après un texte intitulé « léches amoureuses » dont j’ai oublié la provenance

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:17

Papa, maman, ma bite et moi – chapitre 2 par Elian Lvekman

 

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Evidemment après ces événements, il y a eu une sorte de contre coup. Pendant une semaine aucune allusion à ce qui s’était passé n’a été formulé par quiconque, et le dimanche pour éviter toute « tentation », je m’en suis allé au cinéma.

 

Je ne savais plus trop où j’en étais, je n’avais pas le sentiment d’avoir fait quelque chose de mal, mais quelque chose que les gens ne font pas.

 

J’essayais de me renseigner sur Internet pour savoir ce que l’on reprochait exactement aux relations incestueuses.

 

Et là je fus frappé par la pauvreté des démonstrations.

 

Certains en était encore, à l’aube du XXIème siècle, à associer toute relation sexuelle à la procréation de l’espèce, et nous racontaient des trucs impossibles où se mêlait le médical, le juridique et le devenir de la société.. Mais ils n’ont jamais vu une capote ou une pilule ces mecs !

 

D’autres, trop forts, arrivaient à remplir des pages et des pages en ayant que pour seul argument « si ça ne se fait pas, c’est que ça ne se fait pas » ! Tout cela en invoquant « l’ordre naturel des choses ». Drôle de dialectique.

 

D’autres encore, plus pernicieux, nous racontaient que ce genre de rapports n’étaient jamais véritablement complètement consentis, que seuls des esprits faibles et influençables pouvaient l’accepter et qu’ils ne pouvaient à posteriori que provoquer des traumatismes graves et durables.

 

Bizarre, mais moi, je ne me sentais pas traumatisé du tout et pas malade non plus.

 

Je décidais donc que la meilleure façon de savoir où j’en étais serait de recommencer, mais je ne souhaitais rien provoquer, me disant que si vraiment les parents avaient quelques idées salaces, ils ne manqueraient pas de les manifester.

 

Je n’eu pas à attendre très longtemps.

 

Le samedi matin, je me lève avec une belle érection (je dors tout nu) et me dirige vers les toilettes. Je croise mon père dans le couloir qui lui en revient. Il est aussi nu que moi.

 

– Eh bien Bertrand, tu m’as l’air en forme, me salue-t-il en me mettant la main sur la bite.

– T’as vu !

 

Mon père me lâche la queue et attrape mes tétons qu’il tortille légèrement !

 

– C’est bon ? Hein ?

 

Il revient vers ma bite et la branlotte.

 

– Papa, j’ai envie de pisser, si tu as envie de me caresser, tu le feras après.

– Humm, attend un seconde, on va faire un truc…

 

Et le voilà qui appelle ma mère, laquelle se radine avec sa nuisette transparente qui dévoile sa magnifique paire de loches.

 

– Va t’assoir sur les toilettes, Bertrand va te pisser dessus.

– Mais, ça ne va pas ! Protestais-je

– Si, si essaie, j’adore ces trucs là et elle aussi !

 

Comme dirait le philosophe, « les choses ne se passent décidemment jamais comme on croit qu’elles vont se passer. »

 

Maman enlève sa nuisette et s’assoit sur la cuvette.

 

– Maintenant pisse !

 

Vous croyez que c’est facile, vous ?

 

Finalement j’ouvris les vannes er envoyais mon pissou sur les nichons de ma mère. Elle se les badigeonnai vicieusement et léchait ses mains., puis elle me fis signe de viser sa bouche ouverte..

 

Ma mère resta assise sur la cuvette, je compris alors qu’elle était en train de chier, j’aurais voulu voir ça de près mais elle ne me donna pas se plaisir.

 

– Tu veux m’essuyer ? Me demanda-t-elle

 

Je m’emparais de quelques feuilles de papier à cul.

 

– Tu ne veux pas le faire avec ta langue, mon chéri ?

 

Ben, si, je veux bien elle se retourna écarta les fesses et ma petite langue s’engouffra près de son bel œillet brun afin de nettoyer toutes les traces de merde.

 

– On file tous dans la chambre, proposa mon père.

 

Nous voilà sur le lit, mon père me tripote la bite, la masturbe un peu, me flatte les roustons et me complimente.

 

– Humm, quelle belle bite !

 

Il la prend dans sa bouche ! Qu’est-ce qu’il suce bien ! Sa langue tournoie autour de mon gland me provoquant des sensations inouïes. Pendant ce temps, maman m’introduit un doigts dans le cul et le fait aller et venir en cadence.

 

A ce rythme je risque de ne pas conserver la distance longtemps. Effectivement, j’éclate dans la bouche de mon père, il garde mon foutre en bouche puis le partage avec ma mère dans un baiser profond.

 

Mon père me demande alors de me mettre en levrette, je compris qu’il allait m’enculer. Se faire sodomiser par son propre père, c’est divin, non ?

 

J’étais analement vierge et donc étroit, mon père fit plusieurs tentatives, mais rien ‘y fit quand ça ne veut pas rentrer, ça en rentre pas ! Ma mère eu alors l’idée de m’enfoncer le gode fin de « faire le passage ».

 

Sensation divine de sentir cette fausse bite vibrer dans mon fondement me provoquant des sensations inconnues jusqu’ici.

 

Ma mère après avoir pilonné le gode pendant plusieurs minutes, le retira d’un coup sec, me provoquant un spasme de plaisir. Elle le lécha avec gourmandise, puis laissa la place à mon père qui cette fois ci pu me pénétrer. La sensation est différente qu’avec le gode, après un début bizarre et pas forcément agréable, , la sensation change rapidement pour faire place au déploiement d’ondes de plaisir, c’est chaud, c’est vivant, c’est autre chose.

 

Mon père jouit dans un râle et décula. Je lui nettoyais la bite comme je l’avais fait l’autre fois.

 

Pendant ce temps-là ma mère s’était mise en levrette m’offrant une vue imprenable sur tous ses trésors.

 

– Encule moi mon chéri, encule ta maman !

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Excité comme jamais, j’introduisit ma bite dans le troufignon de ma mère et la pilonnais comme un sauvage, lui provoquant des gémissements de plaisirs

 

– Ah, c’est trop bon de sentir la bite de son fils dans mon cul de salope ! Dis-moi que je suis une salope, mon fils !

– T’es un salope maman !

 

Soudain elle poussa un cri fulgurant en jouissant, j’accélérais la cadence et c’est les yeux exorbités, le sang à la tête et le cœur battant la chamade que je jouissait à mon tour.

 

Ma mère chercha mes lèvres et nous nous embrasâmes profondément..

 

Il était temps d’aller déjeuner après toutes ces galipettes incestueuses, c’est que ça creuse tout ça. Café, jus d’orange tartines beurrées et confiture, peu de mots échangés mais nous nous sentions bien tous les trois, sans gêne, sans honte, sans remord.

 

Après avoir terminé son café, mon père me demanda :

 

– Bertrand, je voudrais que tu m’encules !

– Mais bien sûr papa !

 

Je pensais qu’il parlait de ça pour plus tard, mais non, il retira sa robe de chambre, s’arbouta contre le plan de travail et m’invita à venir

 

Je m’acquittais de cette tâche avec plaisir, après avoir enculé maman , il était bien normal que j’encule papa, non ?

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:14

Papa, maman, ma bite et moi – chapitre 1 par Elian Lvekman

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Bertrand, étudiant en lettres, bonjour messieurs dames !

 

Cela faisait bien 20 minutes que je les entendais baiser et il y en avait bien pour deux bonnes heures encore.

 

Irrémédiablement, tous les dimanches après-midi, mes parents baisaient et cela faisait des années que cela durait, j’avais maintenant l’âge adulte et je vivais toujours chez eux car je poursuivais mes études.

 

Je me branlais au rythme des bruits provenant de la chambre de mes parents autant dire presque tous les soirs et le dimanche après-midi comme je ne sortais guère, j’étudiais dans ma chambre. Souvent mon père reprochait aux maisons modernes d’avoir des murs fins comme du papier à cigarette, ce n’était pas possible qu’il puisse ignorer que j’entende les cris de ma mère et ces grognement à lui.

 

Quant à leurs commentaires au moment sublime, je les connaissaient par cœur

 

– Suce salope, oui, encule-moi bien. et tout le reste…

 

Je n’avais pas de petite amie, mais n’était qu’à demi-puceau. Lors de soirées estudiantines, j’avais roulé quelques galoches à de belles demoiselles et pelotés quelques belle paires de nichons. L’alcool aidant, je m’étais allé à sucer quelques bites bien tendues et bien juteuses et je dois dire que j’avais apprécié la chose.

 

Le soir je me branlais dans le lit mais le dimanche comme je savais qu’il y en avait pour un certain temps, je me déshabillais et me branlais dans mon fauteuil face au mur mitoyen d’avec leur chambre. Leur lit touchait la cloison que je sentais vibrer et j’avais l’impression d’être avec eux.

 

J’en rêvais et je me voyais pénétrant ma mère comme sur les photos et les bouquins cochons et revues d’amateurs qu’ils avaient dans leur chambre bien cachés au fond de l’armoire. Je les connaissais par cœur et je me demandais parfois si les visages masqués sur les photos en noir et blanc n’étaient pas ceux de mes parents avec leurs amis prises par des amateurs.

 

Un dimanche d’été, alors que j’étais en pleine masturbation en les écoutant, la porte de ma chambre s’ouvrit brutalement et mon père nu comme un ver, la queue demi-dressée me fit signe d’approcher. J’étais nu et si honteux que ma bite très raide un instant plus tôt était déjà à l’état de limace.

 

J’eu très peur que les choses se compliquent, mais avec un regard sympa mon paternel me pris par les épaules et me dit :

 

– Avec ta mère on a décidé de te proposer quelque chose.

– Ah ?

– Oui ! Plutôt que de te branler, vient donc nous regarder, ce sera beaucoup plus agréable !

 

Dans un état second, je le suivis. Nous entrâmes dans la chambre parentale et je vis immédiatement ma mère nue étendue sur le lit bras et jambes écartées, le visage radieux et qui me dit :

 

– Approche mon chéri !

 

Une boule me bloquait la gorge et je m’exécutais comme un automate en me mettant à genoux sur le bord du lit pendant que mon père prenait la même position de l’autre côté de son corps.

 

Son corps était magnifiquement bien conservé. Mes yeux allaient de ces beaux seins laiteux légèrement écartés de chaque côté de son corps et cette envoutante touffe de poils dont je rêvais chaque nuit

 

Ma mère pris mon sexe dans sa main en même temps que celui de mon père…

 

– Deux belles bites dans les mains, que rêver de mieux ! S’exclama-t-elle

 

Mon père commençait à lui malaxer le sein gauche et me dit de faire de même car selon ses termes : « elle adore les caresses, cette pute »

 

– Mets-lui ta main sur la chatte, histoire de la faire mouiller !

 

Je posais ma main sur la touffe tant désirée et c’est ma mère qui me guida pour que je la caresse ainsi qu’il se doit..

 

J’étais comme dans un brouillard et je caressais la chatte de ma mère avec la main droite tandis que je lui malaxait un sein avec l’autre main.

 

Quant à mon père il avait approché sa belle queue de la bouche de ma mère qui commença à lui sucer sous le commentaire cru de mon père :

 

– Tu aimes, hein ! Une bonne bite dans la bouche, mais regarde bien celle de notre fils, tu vas pouvoir la sucer aussi !

 

De tels mots avaient un effets sur ma bite qui devenait très dure et même si elle était beaucoup plus fine que celle de mon père je constatais qu’elle était de la même longueur avec de belles couilles lourdes et pendantes, la branlette de ma mère commençait à avoir un effet terrible je senti que ma queue tressautait et par quelques giclées puissantes guidées par ma mère, je lui arrosait les seins et le ventre.

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Un peu dépité d’avoir si vite vidé mes couilles, je regardais mon père qui souriait en me disant que c’était bon et que j’allais voir…

 

Il se pencha alors sur le corps de ma mère et lécha tout mon sperme en dirigeant sa bouche vers sa chatte touffue.

 

C’est alors que ma mère lâchant nos queues respectives, tout en restant sur le dos relevant ses jambes se mis en position d’écart maximum offrant sa chatte et son cul bien en évidence. Mon père se mis à genoux sur le sol et me fit signe de faire pareil.

 

Dans cette position, il me fit faire le « tour du propriétaire » m’exhibant tous les trésors de ma mère, écartant les lèvres très longues et caressant son clitoris très proéminant, puis achevant en caressant l’anus et en y entrant la première phalange de son index.

 

– Tu vois cette pute elle adore qu’on lui enfonce le doigt dans le cul, vas-y essaye.

 

Ma mère excitée par ces attouchements criait :

 

– Allez-y, caressez-moi la chatte et le cul, faites-moi jouir à mon tour !

 

Je doigtais ainsi ma mère et quand je retirais mon doigt, je fus surpris de le trouver pollué de traces marrons.

 

– Lèche ton doigt, me dit mon père, tu vas voir, il est délicieux le jus de cul de ta mère.

 

Excité comme j’étais, j’obéissais et trouvais la chose agréable.

 

Mon père ne restait pas inactif et pendant que je suçait le clito de ma mère, il était allé prendre un gode dans la table de nuit et me dit :

 

– Tu le connais celui-là ?

 

Inutile de mentir, aussi je fis signe que oui, en effet je l’avais découvert il y a bien longtemps.. Mon père l’enduisit de gel et commença à le présenter à l’entrée de l’anus de ma mère qui commença à se tortiller de plaisir.

 

Elle se releva et me fit étendre sur le dos et se mis en position 69 (elle sur le dessus) j’avais une vue imprenable sur sa belle chatte humide et je voyais mon père lui enfoncer le gode dans le cul.

 

– Continue de me bouffer la chatte, mon fils me dit-elle !

– Ta mère est une salope qui adore ça, vas-y !

 

Et moi je continuais de la dévorer pendant qu’elle me suçait avec avidité. Mon père avait une trique terrible et un moment il dit :

 

– Maintenant du sérieux !

 

Et il présenta sa queue à l’entrée de l’anus de ma mère. Je n’imaginais pas que sa bite puisse la pénétrer ainsi.

 

– Vas-y, écarte mes fesses, que ton père puisse me défoncer mon cul !

 

Et mon père d’un cri rauque entra entièrement son engin dans le fondement de ma mère qui poussa un cri de fauve, rauque et long à la fois je sentis mon visage s’inonder de sa mouille qui dégoulinait de sa chatte en feu

 

Les coups de boutoir de mon père créaient un mouvement de va-et-vient naturel sur le sexe de ma mère qui se frottait à ma langue tandis que ma queue entrait et sortait de sa bouche goulue

 

Je ne pus retenir longuement mon plaisir et pour la première fois de ma vie j’éjaculais dans la bouche d’une femme et quelle femme ! Sa langue m’entourait la queue et créait un effet de succion qui attirait mon gland vers le fond de sa gorge comme si elle allait l’avaler.

 

Mon père cria à son tour quand sa bite cracha son sperme et qu’il arrosa l’anus de ma mère, puis il se mis à genoux et lécha tout ce qui dégoulinait. J’en reçu sur le visage et léchais à mon tour le sperme de mon père inondant l’anus et la chatte de ma mère, puis comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, je nettoyais la bite de mon père avec ma bouche. Et appréciait ce mélange subtil de sperme et de merde.

 

Nous tombâmes tous les trois dans les bras les uns et autres et je crois bien avoir dormi trois heures durant.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:11

Oscar au Cap – 3 – Les dépravés du Cap par Elian Lvekman

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ATTENTION / SCATO EXPLICITE

 

Bonjour c’est encore moi, Oscar. L’action se passe au Cap d’Age, où René un partenaire de rencontre m’a présenté sa petite famille, une famille tuyau de poêle où tout le monde baise avec tout le monde.

 

Et pendant que je sirotait un verre de Banyuls en grignotant quelques cacahuètes grillées, René me fit ce qui ressemblait fort à une proposition déguisée.

 

– On s’amuse parfois à un petit jeu, ça pourrait t’intéresser…

– Dis toujours, je suis très joueur..

– Voilà, quand on a un invité, ou même plusieurs on tire au sort le nom de celui qui va être l’esclave de tous les autres pendant une ou deux heures.

– Mwais… répondis-je peu enthousiasmé pour le moment.

– Evidement il ne s’agit pas de faire faire à l’esclave des choses qu’il n’a pas envie… Il faut que ça reste un jeu. La personne n’est pas forcément attachée, et elle peut quitter le jeu quand elle veut. Ça te dirait ?

– Je ne sais pas trop !

– Mais tu ne dis pas non ! Être dominé par Elsa et Marceline, avec en plus nos bites à ta disposition, ça ne te branche pas ?

– Et vous lui faites quoi à l’esclave ?

– On se lâche complètement, du sadomaso de l’uro de la scato.

– De la scato ? Juste un peu alors ?

 

Je viens de me rendre compte que je suis déjà en train d’accepter.

 

– Je vais te montrer des photos ! Me dit Léo, le fils de la famille, en allant chercher sa tablette.

 

Il fait défiler des photos devant moi, toutes ne me branchent pas, mais certaines…. Une femme le dos zébré de traces de flagellation, Elsa les seins pris dans des élastiques, et…

 

– C’est quoi ça ? C’est la bite d’un chien ? demandais-je.

– Oui, c’est un couple qui nous avait amené son labrador, Elsa et moi on lui a léché la bite ! Me répondit la vieille Marceline. Et après on s’est fait grimper, c’était divin, n’est-ce pas ma fille ?

– Oh, la la, maman, quel souvenir !

 

Et voilà que je bande !

 

Sur une autre photo, une jolie femme est en train de chier un bel étron sur le visage de Léo….

 

Si j’accepte, dans quoi je m’embarque ?

 

– Alors c’est d’accord ? Me susurre Elsa, l’épouse de René.

– On peut toujours essayer !

– On verra ça demain matin, pointe-toi à 10 heures ! On ne tirera pas au sort, ce sera toi l’esclave.

– Ah bon ?

– Ben oui, on aurait tiré au sort on aurait triché.

 

J’ai quitté cette bande de pervers, un peu frustré que la chose soit reportée au lendemain.

 

Le temps était brumeux l’après-midi, j’ai glandé, j’aurais pu aller au ciné porno ou au sauna, non, j’ai glandé, et le soir même chose. J’ai finis quand même par me branler comme un malade en regardant une petite vidéo bisexuelle sur mon téléphone portable.

 

Et le lendemain je me suis pointé chez René à 10 heures, Comme je suis un garçon poli, j’ai apporté une bouteille de vin rosé et un bouquet de fleurs.

 

On s’embrasse, Léo me roule carrément un patin, les mains de ces messieurs dames sont déjà baladeuses, et je ne tarde pas à bander.

 

– Viens me sucer l’anus ! Me demande Léo.

 

J’ai déjà léché par mal de trous du cul féminin mais pas encore à ceux de ces messieurs. Mais puisqu’aujourd’hui je suis l’esclave de service et qu’en plus le fessier que me présente Léo est absolument charmant, je m’exécute de bonne grâce et me régale de cette texture très particulière et de ce petit goût un peu spécial..

 

– A genoux devant moi esclave ! Me dit soudain Elsa, interrompant ma feuille de rose.

 

Je suis beau joueur, je m’agenouille.

 

– Alors, on a pas été sage ?

– Je ne suis jamais sage !

– T’as fait quoi, hier après nous avoir quitté ? T’as été sucé des bites ?

– Ben non il ne faisait pas beau.

– Tu t’es branlé, alors ?

– Oui !

– C’est très mal de se branler, tu vas être puni pour ça !

 

J’acquisse d’un mouvement de tête, un jeu c’est un jeu.

 

– Ouvre ta bouche connard !

 

Je le fais, elle me crache dedans plusieurs fois de suite, avant de m’envoyer deux ou trois gifles, pas trop fortes, mais bon ce sont des gifles quand même, pas des caresses !

 

– L’ennui vois-tu, avec des cochons comme toi, c’est qu’il y a des trucs qu’on peut faire mais qui ne seront pas des punitions, alors si tu t’attends à sucer de la bite, à te faire enculer ou à nous baiser, ce ne sera pas maintenant, ce sera plus tard ce sera la récompense, mais la récompense il faut la mériter. T’as compris esclave ?.

– Tout à fait.

– Bon, relève-toi !

 

Je le fais, elle me toise et m’accroche une pince à linge à chaque téton, elle fait ça sans grand ménagement et ça serre un peu , mais j’essaie de supporter.

 

Elle me fait ensuite me retourner.

 

– Maman, je te laisse continuer !

 

Marceline s’est emparée d’une cravache (il y a des gens qui apportent leur cravache en vacances !) et commence à me fouetter les fesses. Ça fait drôle au début et après on s’habitue. N’empêche qu’au bout d’un moment ça commence à chauffer sévère.

 

– T’exagères Mamie, d’abimer un si joli cul ! Intervient Léo.

– Ta gueule, pédé ! Lui répond Marceline.

 

Je commençais à me décider à lui demander d’arrêter mais elle le fit d’elle même après trois derniers coups.

 

– Je te le laisse un peu ! Dit-elle à Elsa.

 

Celle-ci me fit de nouveau retourner et après m’avoir joyeusement .craché au visage, comme ça pour le fun, elle se mit à me travailler les tétons. J’adore qu’on me les tripote, et il faut dire que là, j’étais servi, elle les tournait, les tirait, les tordait, toute la gamme, et moi je bandais comme un cerf.

 

– T’aime ça, hein, pédale !

– Ouiiii !

– Tu vois quand on veut, on peut te faire plein de choses que tu aimes, tout à l’heure quand on aura fini de te dominer, tu pourras baiser avec qui tu voudras. Mais avant il faut que tu nous fasse plaisir. Et tu sais ce qui me ferais plaisir ?

– Non !

– J’ai très envie de te chier dessus !

– Ben…

– Ben quoi, ça nous fera plaisir et ensuite tu auras ta récompense, elle n’est pas belle la vie ?

– Je veux bien essayer.

– Bien sûr que tu vas essayer ! Je vais tenter de te rassurer, tu sais je fais de très beaux boudins, bien moulés, d’une jolie couleur, tu vas adorer !

 

Incroyable, elle est en train de me faire l’article.

 

– Bon on va essayer ! Répétais-je.

– Alors si Monsieur Oscar veut bien s’allonger sur le carrelage.

 

On y va, on y va, il est froid leur carrelage !

 

Elsa me chevauche, de face. Je comprends rapidement qu’avant de faire la grosse commission, elle veut faire la petite, celle qui ne me pose aucun problème, et même que j’ouvre une grande bouche et que j’en avale plusieurs lampés. En même temps je me délecte de la vue, une belle contreplongée sur son anatomie avec ses gros seins en ligne de mire ! Mon dieu, que c’est beau !

 

Et la voilà qui se retourne, elle s’écarte les fesses sans doute pour que je voie mieux.

 

Les voilà tous autour de moi, Léo branle mollement la bite de son père. Celle-là j’espère que je pourrais l’avoir dans ma bouche tout à l’heure !

 

– Regarde, me dit Marceline, le petit oiseau va sortir.

 

En fait de petit oiseau, c’est une petite crotte qui en train de se frayer un chemin hors de l’anus de la belle mature !

 

Marceline s’est accroupie derrière moi et a allongée ses bras afin de pouvoir me tordre les tétons afin de maintenir mon excitation et mon érection à un bon niveau. Et ça fonctionne, parce que pour l’instant ce qui se passe devant mes yeux me fascine au lieu de me révulser.

 

L’étron s’allonge et devient boudin, il se décroche de son anus et me tombe sur le ventre. Ça fait bizarre, un deuxième étron tombe et rejoint le premier.

 

Elsa se recule, se baise afin de mettre en contact son anus avec ma bouche.

 

– Lèche-lui l’anus ! M’ordonne Marceline ! Qu’il ne reste pas une seule trace de merde !

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Dans un état quasi-second j’ai effectué ce qu’on me demandait. J’en étais ravi, Une satisfaction sans doute plus psychologique qu’autre chose mais je me sentais fier d’avoir franchis un pas et étonné de l’avoir franchi si facilement.

 

Elsa a ensuite ramassé dans sa main le second étron, l’a approché de son visage, l’a humé avec une expression de satisfaction, puis l’a un peu léché du bout de sa langue.

 

Je pressentais ce qui allait se passer maintenant, alors effectivement elle approcha l’étron de ma bouche.

 

– Lèche, lèche ma bonne merde !

 

J’hésite quand même…

 

– Si t’as aimé me nettoyer le cul, tu vas aimer lécher ma merde ! insiste-t-elle.

 

Evidemment, c’est un point de vue !

 

J’approche le bout de ma langue, timidement, ça se passe bien, je continue, ça y est je suce sa merde, je suis dans un autre monde, le monde des scatophiles, je n’ai pas l’impression d’être anormal, j’ai franchi un tabou, c’est tout…

 

Elsa reprend de nouveau l’étron, le porte à sa bouche par l’extrémité et le fait aller entre ses lèvres comme elle le ferait d’une bite. C’est fascinant de voir ça ! Au bout d’un moment elle le passe à sa mère qui en fait autant. Elles en profitent pour se tripoter les tétons avec leur doigts pleins de merde. Elle se roulent un patin, se tripotent mutuellement la chatte. Mais quelles salopes ! Quelles belles et délicieuses salopes !

 

Je me relève, Elsa quémande ma bouche, on s’embrasse longuement malgré que nos langues ne soient pas encore nettoyées de nos turpitudes.

 

Je me demandais où étaient passés les deux hommes. Je les vois un peu plus loin derrière. Léo est en train d’enculer son père. Joli spectacle mais ça m’embête un peu, la bite de Léo je l’aurais bien voulu dans mon cul…

 

La Mamie me nettoie un peu avec une serviette humide, mais avant elle prélève un peu de la merde et se l’étale sur les nichons. Elle me demande ensuite de lécher. C’est rigolo de lécher un téton merdeux !

 

Léo sort du cul de son père, sans avoir joui, peut-être aurais-je donc le plaisir de l’accueillir dans mon propre fondement. Non, sa mère l’a appelé et le voici maintenant en train d’enculer maman ! Quelle famille !

 

– Viens mon grand, viens enculer la vieille ! Me supplie Marceline

 

Je n’ai pas hésité une seconde, ma bite est entrée au milieu de ses fesses comme dans du beurre des Charentes. Quelle sensation d’aller et venir dans ce cul accueillant, je lime je lime, je fais gueuler la vieille. Je vais jouir. Je jouis, je me retire, j’enlève la capote, elle me nettoie la bite de tout son sperme avec sa langue de pute ! Je suis bien.

 

Et pendant qu’Elsa et son fils s’agitent dans un barouf d’enfer, René vient me proposer sa bite.

 

Bien évidement que je l’ai sucé, et à fond en plus.

 

– Un petit verre de Banyuls, maintenant ?

– Volontiers !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:09

Oscar au Cap – 2 – Les libertins du Cap par Elian Lvekman

 

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Bonjour c’est Oscar. Au chapitre précédent, j’ai découvert le coin gay du Cap, j’ai pris plaisir à sucer quelques bonnes bites et à me faire sodomiser. Et je n’ai même pas honte !

 

Mon copain Remy a dû rentrer précipitamment à Paris pour régler une vague histoire de boulot.

 

– Je te laisse la location, profites-en bien !

 

Il me restait huit jours à passer au Cap d’Agde et effectivement j’avais bien l’intention d’en profiter.

 

Le temps était maussade ce matin, j’espérais que ciel se lèverait l’après-midi afin que je puisse retourner au coin gay. J’avais trop envie de sucer à nouveau des bonnes queues et de me faire enculer.

 

Je sortis m’acheter des cigarettes quand je tombais nez à nez avec le bonhomme chauve rencontré la veille.

 

– Tiens, comment ça va depuis hier ? Me lance-t-il d’un air jovial !

 

J’étais ravi qu’il m’aborde, me disant que ce pourrait être le prélude à quelque chose…

 

– Ça peut aller, mais mon colocataire m’a fait faux bond, il faut que je m’organise…

– Tu es seul alors ?

– Oui !

– Viens boire un coup à la maison, ça te détendra !

 

Evidemment il ne m’était pas bien difficile d’imaginer ce que pouvait bien être sa proposition de détente, mais justement j’étais partant et le suivi avec plein d’idées cochonnes dans la tête.

 

Son bungalow n’est pas très loin, on rentre.

 

– Je vais te présenter ma petite famille.

 

Hein, il est en famille ?

 

Il y a là un jeune homme, un peu grassouillet, mais jovial et complètement épilé, j’apprendrais un peu plus tard qu’il a 22 ans. Il y a aussi une femme brune d’une quarantaine d’année dotée d’une très jolie poitrine et une autre grisonnante sans doute proche de la soixantaine.

 

Donc le type a une double vie ! Je décide donc d’accepter un coup à boire vite fait, puis de déguerpir.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises :

 

– Je te présente Léo, mon fils, qui est aussi pédé que son père, n’est-ce pas Léo ?

– Hi ! Hi !

 

Je rêve !

 

Voici Elsa ma femme, une belle salope, et sa mère Marceline, qui n’est pas triste non plus dans le genre vieille pute. Et moi je ne me suis pas présenté, je suis René.

 

Marceline a conservé une belle allure malgré son âge, fine, souriante, les cheveux gris plaqués sur la tête. Les seins sont modestes mais terminés par de gros tétons arrogants. Sa fille est une belle brune aux cheveux mi-longs, légèrement boulotte, ce doit être de famille. Ses seins sont vraiment bandants.

 

– Enchanté, moi c’est Oscar. Me présentais-je à mon tour.

– Et où as-tu fais connaissance de ce charmant Monsieur ? Lui demande Elsa !

– Hier dans les dunes…

– Dans le coin des pédés ?

– Ben oui, c’est toujours là que je fais des bonnes rencontres.

– Il t’as enculé ?

– Non, on s’est fait enculer chacun de notre côté, mais à la fin je l’ai lui ai sucé la bite.

– Cet après-midi tu m’y emmène, papa ? demande Léo

– Bien sûr, s’il fait beau !

 

Je vous dis que je rêve !

 

– Vous êtes gay, Monsieur Oscar ou vous appréciez aussi les femmes ? Me demande la vieille Marceline en s’approchant de moi.

– En fait je suis hétéro mais j’ai de grosses tendances bi…

– Donc je peux vous toucher la bite ?

– Mais touchez, chère Madame, je vous en prie !

 

Elle ne se contente pas de toucher, elle me branle carrément sous les yeux des trois autres larrons. Du coup je lui caresse les seins.

 

Léo s’approche très près de moi et vient.me tortiller mes tétons. Du coup Marceline se baisse et m’embouche la bite.

 

Hum, sa langue est diabolique, une façon de l’entortiller autour de mon gland ! Génial ! Quand je pense que je venais juste boire un coup !

 

Je jette un coup d’œil sur la bite de Léo qui a considérablement grossie, quel bel organe !

 

– Je peux te sucer ! Demandais-je ! Ne me contrôlant plus.

– Vas-y suce moi, pédé !

– Heuh !

– Je dis ça pour le fun, ça ne te dérange pas ?

– Non, non !

– Suce moi et après je vais t’enculer !

 

Et me voilà avec la bite de Léo dans la bouche ! Qu’est-ce qu’elle est bonne cette bite ! Je me régale !

 

– Tu la trouves comment la bite de mon fils ? Demande Elsa.

– Hum ! Délicieuse !

– Mets-toi en position il va t’enculer !

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Je l’aurais bien sucé encore un peu, mais bon je suis comme on dit « chez les gens » et je suis très respectueux des convenances. Léo me fait signe de m’installer en levrette sur le canapé. J’y vais et je lui présente mes fesses.

 

– Oh, quelles jolies fesses ! S’exclame-t-il.

 

Un peu de gel une capote, une poussée, ça rentre, et pendant qu’il m’enfile, Mamie Marceline vient me donner sa vieille cramouille à lécher !

 

Ça sent la mouille, ça sent la pisse, mais j’aime bien, au bout de quelques minutes la Mamie pousse un hurlement, je ne pensais pas la faire jouir aussi vite ! Elsa vient la remplacer, mais c’est son anus qu’elle m’offre. Voilà qui n’est pas un problème, j’approche ma langue et commence à sucer, c’est un peu âcre mais ça ne me dérange pas. J’adore sucer les trous du cul.

 

– Mets moi un doigt !

 

Je le fais, je sens quelque chose à l’intérieur, pas la peine qu’on me fasse un dessin mais si elle se met à pousser, ça risque de tourner en scato, cette affaire-là.

 

On ne réagit pas toujours de la même façon devant ce genre de chose, et en ce moment j’ai la bite de Léo dans mon cul et je suis excité comme un fou, prêt à toutes les folies.

 

Je sors mon doigt, évidement il est légèrement merdeux.

 

Marceline qui est à nos côtés n’en perd pas un miette !

 

– Ben, reste pas comme ça, mon grand, lèche !

– Euh !

– Dis-moi Oscar, tu es une petite salope qui est en train de se faire enculer, non ?

– Mais très certainement, chère Mamie !

– Alors tu vas faire comme toutes les petites salopes, tu vas lécher ton doigt.

 

Je l’ai fait, ce n’était pas non plus vraiment une première, je m’étais déjà sucé le doigt après m’être doigté tout seul comme un grand…

 

– Il est bon, le caca de ma fille, non ?

– Délicieux !

– T’en veux encore ?

– Euh…

– Mais si, je vois bien que tu en veux encore ! Pousse Elsa !

 

Elle essaie, mais ça n’a pas l’air de venir ! Mais voilà René qui vient se mettre en levrette à côté de moi :

 

– Dis donc Léo, tu pète la forme, laisse m’en un peu pour moi..

 

Le Léo ne va tout de même pas… ben si, il sort de mon cul, retire sa capote et se met à enculer son père.

 

– Il est formidable ! Me confie Elsa, il encule divinement !

 

Parce qu’elle aussi…

 

– Tu te fais enculer par ton fils ? Demandais-je par reflexe.

– Bien sûr ! Je ne vois pas pourquoi je ne profiterais pas d’une queue pareille, n’est pas René ?

 

René est trop occupé par les coups de butoir se son fils dans son cul pour répondre, Léo s’active de plus en plus et jouit en gueulant comme une baleine Il sort sa bite, gluante de sperme et de merde

 

Les deux femmes se précipitent pour la lui nettoyer ! Je vous dis, c’est une famille de ouf !

 

Avec tout ça, je n’ai pas joui… Mais je bande comme un dingue d’autant que les deux femmes se pelotent mutuellement les nichons devant moi en se roulant une gamelle, alors qu’elles bavent encore des sécrétions de la bite de Léo.

 

Elles se chuchotent je ne sais quoi à l’oreille, et se positionnent de conserve en levrette, les cuisses écartées, le troufignon relevé. Quel spectacle !

 

Allez les garçons, venez nous enculer ! Dit Marceline.

 

Je prends laquelle ?

 

Elsa me fait signe de venir, on me tend une capote et je viens l’enculer pendant que René fait de même avec sa belle-mère.

 

– Maintenant tous dans le jardin ! Dira René après qu’il ait pris son pied, on va arroser les plantes !

 

J’avoue ne pas comprendre, mais Elsa et Marceline agiles comme des sauterelles, sont déjà dehors et s’allongent sur le dos, très proche l’une de l’autre.

 

Léo et René s’approchent d’elles et se mettent à leur pisser dessus, ils arrosent les seins, le ventre et même la bouche. Je suis invité à en faire autant, je suis quelqu’un de poli, je ne saurais refuser.

 

Et maintenant inversion des rôles ! Déclare Elsa en se relevant.

 

Je me suis donc allongé à mon tour avec les deux autres bonhommes et j’ai gouté au divin nectar de ces deux jolies et sympathiques dépravées.

 

– Je crois que maintenant on peut enfin boire un petit coup ! Me dit René en se tripotant la bite.

 

à suivre 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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