Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 09:15

Le hérisson tout chaud de la Reine Margot (anecdote historique)

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(texte anonyme paru il y a quelques années dans la Vie Parisienne, et proposé par Benoît de Macadamia)

 

Au début de 1576, la Reine Margot se promène dans les couloirs du Louvre des yeux enfiévrés et une mine défaite.

 

Elle n'en peut plus, le moindre frôlement de tissus sur la pointe de ses seins la fait gémir et le bas de son ventre lui rappelle à chaque instant qu'elle est seule depuis plus de trois mois. Son doigt l'a bien calmé un peu au début... mais ça ne peut suffire

 

Elle rêve tout éveillée de verges charnues et solidement dressées. Sa gorge s'assèche à l'évocation de glands veloutés puissamment dilatés et humidifiés par le désir. Elle se souvient de délicieux glissements. Son frère, le duc d'Alençon et son mari le roi de Navarre (futur Henry IV) ont conspiré contre son autre frère, Henri III. Ils ont même réussi à s'évader du Louvre.

 

Depuis on la retient prisonnière de crainte qu'elle les rejoigne. On la surveille jour et nuit. Elle qui n'a jamais manqué de sexes masculins en est privée depuis de longues semaines. Elle hurlerait rien qu'à imaginer les phallus qui gonflent les chausses de ses gardiens.

 

Surtout qu'elle se sait belle. La plus belle femme de France.

 

Et les hommes bandent pour elle. Tous les hommes, catholiques ou protestants, seigneurs et valets, blonds et bruns. Peu lui importe du moment qu'ils bandent. Du moment qu'elle peut serrer dans ses mains leur dure virilité et tenter de la faire durcir encore plus. En respirer le parfum qui la chavire. En goûter la saveur sans pareille quand elle y promène ses lèvres et sa langue.

 

margot43L'idée qu'une belle queue brûlante pourrait frôler (oh ! pas bien fort !) l'entrée de sa bouche lui laisse échapper une plainte. Le ventre lui brûle et palpite. Le frottement de ses cuisses l'une contre l'autre la met hors d'elle. 

 

"Sans doute", écrit l'un de ses proches, "aurait-on pu cuire un œuf sur son hérisson tant celui-ci était chaud et ardent".

 

Cependant elle parvient à informer le Duc d'Alençon, son frère de son état. Contre son aide, elle lui promet tout ce qu'il désire. Et ce que désire pardessus tout François d'Alençon, c'est sa sœur Marguerite ! Par pure politique, leur mère Catherine de Médicis, persuade Henri III de laisser partir Margot avec elle en ambassade pour tenter d'amadouer Alençon. En effet une alliance entre lui et Henri de Navarre serait très dangereuse pour la couronne de France.

 

C'est décidé ! .Au soir de la première journée de négociations entre Catherine de Médicis, Margot et François, la sœur s'en va retrouver le frère dans sa chambre. Le duc d'Alençon n'est ni très beau, ni très intelligent. Il a d'autres qualités. Il est très endurant et remarquablement membré. Malgré l'épaisseur de murs du château de Chatenay, personne ne peut ignorer que la belle Margot a hurlé sa jouissance à sept ou huit reprises. Un chroniqueur rapporte "que tout le linge était à tordre".

 

Le lendemain matin, malgré des yeux un peu battus, Marguerite de Navarre affiche une mine éblouissante. Le prodigieux appétit de son "hérisson" et celui non moindre de son trou plissé, viennent d'éviter une guerre civile.

 

Quelques précisions :

 

Marguerite de ValoisMarguerite de Valois dite la Reine Margot (1553-1615),

c'est la fille de d'Henri II et de Catherine de Médicis, et donc la sœur de François II, Charles IX et Henri III. Elle est contrainte par sa mère d'épouser le roi de Navarre, le futur Henri IV, pour des raisons politiques, mais le mariage est stérile et Henri de Navarre la trompe à tour de bras. Elle enchainera à son tour les liaisons amoureuses notamment Joseph Boniface de La Molle (décapité sur ordre de Charles IX en 1574). En 1586, Henri de Navarre la fait enfermer au château d'Usson, en Auvergne, où elle subit une demi-captivité de dix-huit années. C'est là qu'elle a une liaison avec son écuyer Jean

d'Aubiac, (pendu sans procès en 1586 sur ordre d'Henri III). En 1589 Henri de Navarre devenant roi de France, elle devient donc Reine de France.

 

A partir de 1594, elle écrit ses Mémoires (publiées en 1658), tandis qu'elle se fait remarquer par ses beuveries et ses fêtes galantes. En 1599 son mariage avec Henri IV est dissout. Elle revient à Paris et séjourne d'abord à l'hôtel de Sens, puis rue de Seine. Elle est devenue énorme et s'entoure de gigolos.

 

(C'est ainsi que le 5 avril 1606, le comte de Vermont, 20 ans, ex-gigolo de Marguerite de Valois, assassine son remplaçant, Gabriel Dat de Saint-Julien, 18 ans, sous les yeux de celle-ci, devant l'hôtel de Sens.).(1) Sa réputation de nymphomane. "Sans doute, aurait-on pu faire cuire un œuf sur son hérisson tant celui-ci était chaud et ardent" fut établi par ses contemporains (Brantôme, Agrippa d'Aubigné)(2).

 

En revanche, contrairement à ce qu'affirma Alexandre Dumas, elle avait un physique ingrat. Et à ce propos, Chéreau en la faisant interpréter par Isabelle Adjani, s'est carrément planté ! Vous la trouvez sexy, vous, la Margot ?

 

Notes :

(1) cité dans "Juliette Faure - Le Marais, promenade dans le temps - L'Harmattan 2007"

(2) Certains historiens pudibonds s'offusquent de cette réputation, et leurs points de vue sont largement relayés par l'article très orienté consacré à Marguerite de Valois sur Wikipédia.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Biographies
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:52

C’est tout à fait Claire – 2 – par Nicolas Solovionni

 

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La seconde partie (tout comme la première) de cette histoire date des débuts de l’Internet, ce qui explique que certaines précisions techniques soient complètement dépassées, j’aurais bien sûr pu actualiser ! Mais à quoi bon ! Il me faudrait encore réactualiser dans trois ans. !

 

Ça se bouscule trop dans ma tête ! J’ai couché sur le papier cette incroyable expérience avec Claire et Patrick. (voir le chap 1) On s’est dit au revoir au premier degré car on souhaitait réellement encore sous le feu de l’action jouer une suite. Avec un peu de recul, je pense plutôt en rester là, qu’est ce qu’une seconde rencontre pourrait bien ajouter au souffre de la première. Mais j’avoue être hésitant. Pour m’aider à y voir clair, je décide de tenir pendant quelques jours une sorte de journal sur lequel je noterais mes impressions et le reste.

 

Mercredi 28 janvier

 

Les quelques jours qui ont suivi mon premier contact avec Patrick et Claire ont été déprimants. J’ai beau me raisonner, cette expérience m’apparaît comme traumatisante. Je suis de mentalité très libérale sur les choses du sexe, et je n’ai absolument rien contre les homosexuels, ni contre les bisexuels, mais quelque chose au plus profond de moi n’admet pas que j’ai pu un après-midi effectuer certains gestes ! Et pourtant ces gestes m’ont donné du plaisir ! C’est à rien ni comprendre ! J’ai pourtant franchi d’autres interdits et cela ne m’avait posé aucun problème. Alors ? Est-ce que je suis en train de changer de bord, comme on dit ?

 

Jeudi 29 janvier

 

Je souhaite en avoir le cœur net. Je poste mon problème sur une page de news sur le net. (les forums n’existaient pas encore) Au milieu de réponses farfelues, deux personnes me disent à peu près la même chose :

 

– Sors dans la rue et fixe le visage des hommes, ignore les femmes et tu verras bien si un déclic se produit !

 

En voilà une idée qu’elle est bonne.

 

Vendredi 30 janvier

 

Je ne pourrais faire ça que lundi soir. En attendant je risque de gamberger tout le week-end.

 

Lundi 2 février

 

Ce soir en sortant du boulot, au lieu de rentrer directement à la maison, j’ai traîné dans la rue, dévisageant délibérément chaque mâle que je croisais, dans l’attente de ce fameux déclic… Au bout d’une heure j’ai arrêté, parce que ce fameux déclic, et bien il n’y pas eu lieu ! Décidément je ne flashe pas sur les hommes ! Alors ? Alors ?

 

Un peu plus tard

 

J’ai réfléchi ! Tout cela a commencé par un commentaire de Patrick sur une image de fellation. J’ai une idée, demain soir j’irais aux chiottes du métro H…

 

Mardi 3 février

 

Une éternité que je n’ai pas mis les pieds dans ce truc, d’ailleurs je ne le connais que de réputation. La seule fois où j’y suis allé, une envie pressante, j’ai dû me faire tout petit pour éviter qu’on me regarde. J’ai le cœur qui bat à cent à l’heure, j’angoisse. Il me faut supporter le regard méprisant de la dame pipi à qui j’ai pourtant laissé un petit pourboire. Des hommes se masturbent hardiment de chaque coté de cette petite salle. D’autres attendent. Un urinoir s’est libéré, j’y suis allé. J’ai jeté un coup d’œil à ma droite, un coup d’œil à ma gauche, et horreur ! Je bandais comme un dingue ! Je me suis enfui !

 

J’ai eu la confirmation de ce que je supposais déjà : Ce ne sont pas les hommes qui me font bander, mais leurs appendices sexuels. Je suis barge !

 

Mercredi 4 février

 

Je prends rendez-vous chez un sexologue. Miracle il y a un désistement dans ses rendez-vous et il peut me prendre demain après midi, je sécherais le boulot

 

Jeudi 5 février

 

Une montagne ce sexologue, genre pilier de rugby. Mais non il ne m’attire pas ! Par contre, il m’a rassuré, m’a expliqué que c’était très courant et qu’il ne fallait surtout pas culpabiliser… Bref il a fait son métier.

 

– Bon, alors je suis bisexuel ou pas ?

– Les pulsions qui vous inquiètent, bien à tort, sont effectivement de nature bisexuelle !

– Et qu’est-ce qu’il faut faire ?

– Assumer !

– Comment ?

– Parlez-en à votre épouse ! Essayez de la convaincre que la présence d’un autre homme donnerait du piment à vos rapports. Essayez du côté des travestis ou des transsexuels, beaucoup de personnes dans votre cas y trouvent la solution.

 

C’est vrai que les travestis et les trans me fascinent alors que les machos pur et dur ont tendance à les mépriser.

 

– Vous ne dites plus rien ?

– Je réfléchis !

– Je suppose que vous aimez la cuisine française ?

– Oui, mais quel rapport ?

– Mais aimez vous aussi la cuisine chinoise ?

– Oui ! Répondis-je sans comprendre où il voulait en venir.

– En cuisine on peut aimer plusieurs choses assez différentes, en sexualité c’est la même chose, La bisexualité est à la sexualité ce que la cuisine chinoise est à la cuisine.

 

La réponse m’a plus, à défaut d’être entièrement convaincante, elle me donne bonne conscience, c’est déjà énorme.

 

Vendredi 6 février

 

J’ai fait un rêve, un rêve érotique et j’ai mouillé mes draps. Ma femme m’a juste dit :

 

– C’est pas étonnant, obsédé comme tu es ! Faudra que tu m’aides à changer les draps.

 

Ce rêve il faut que je le note avant qu’il ne disparaisse de ma mémoire

 

Mon rêve

 

Je suis chez le sexologue qui se veut rassurant etc… etc…

 

– Et confidence pour confidence, je suis moi-même bisexuel, je peux donc parler de tout ça en toute décontraction. Me dit-il

– Ah ?

– Seriez vous prêt à vous livrer à une petite expérience pratique. Vous êtes ici chez un sexologue, rien de doit vous choquer.

 

Il me regarde bizarrement le sexologue, je ne sais pas quoi répondre.

 

– La question vous embarrasse, c’est que je ne vous ai pas complètement convaincu.

– Si quand même !

– Je ne crois pas ! Supposons que je vous montre ma bite ?

– Pardon ?

– Vous avez très bien entendu. Si vous dites non, nous nous arrêterons là.

 

Ce mec est complètement fou, mais au lieu de lui dire « non », je reste tétanisé. Une partie de mon cerveau veut que j’accepte cette proposition incongrue

 

Le type se lève, contourne son bureau, s’approche de moi et sort sa bite de sa braguette…

 

– Touchez là, je vous en prie, et considérez ce geste comme purement professionnel.

 

Tu parles !

 

Je le fais, je suis comme dans un rêve (c’est le cas de le dire), je branle un peu ce joli membre.

 

– C’est doux n’est-ce pas ?

– Oui !

– Sucez-là donc, vous en mourez d’envie !

 

Et me voilà avec la bite du sexologue dans la bouche, je m’en régale et je bande comme un cerf.

 

– Humm, vous sucez bien ! J’ai la queue toute raide.

 

Il me la retire de la bouche, me la fait admirer, c’est vrai qu’elle est jolie toute droite avec un jolie veine violette qui la parcoure, avec le gland d’un joli mauve luisant.

 

– Retirez votre pantalon, je vais vous sodomiser !

– Mais ça ne va pas ?

– Rassurez-vous, je vais mettre un préservatif.

– La question n’est pas là !

– Si justement ! Vous ne savez pas si vous allez le faire ou pas, Quand vous aller rencontrer vos amis vous en mourriez d’envie, mais soit, il ne sera pas disposé, soit vous trouverez un prétexte pour retarder l’acte, et vous en souffrirez.

– Bon, je vous laisse, combien je vous dois ?

– Dès ce soir vous regretterez de ne pas l’avoir fait, demain vous me téléphonerez pour reprendre rendez-vous. Passez à l’acte, bordel !

 

Alors j’ai retiré mon pantalon, le docteur ma demandé de me mettre en levrette sur le divan, il m’a tartiné le trou du cul de gel, et m’a introduit sa bite dans le fondement sans doute de la façon la plus douce possible, mais n’empêche que j’avais mal.

 

– On arrête ça, ça me fait mal !

– C’est normal, ça ne va pas durer.

– Arrêtez je vous dis

– Comptez jusqu’à cent et j’arrête.

 

Le temps de compter, la douleur avait disparu remplacé par un sentiment de gêne, mon cul se rebellait de ce corps étranger qui n’avait pas été invité !

 

– J’arrête ou on continue un peu ?

– Je sais pas !

– Alors je continue !

 

Curieuse sensation, quelque chose de nouveau, d’indéfinissable, ça me fait du bien, je plane, je suis dans état second.

 

Le mec finit par sortir de mon cul, j’ignore s’il a joui et je m’en tape.

 

– Et bien voilà, vous êtes fait enculer, vous allez pouvoir voir les choses autrement, il vous faut assumer, vous êtes un suceur de bite et un enculé, mais vous devez vous sentir bien dans votre peau.

 

Ce mec est complétement fou, mais quelque part il a sans doute raison.

 

Et puis là tout de suite, je bande comme un malade, je voudrais bien me finir.

 

– Vous avez vu mon état ?

– Oui, et d’ailleurs je dois dire que vous avez une belle bite, mais nos relations doivent rester professionnelles.

– Bon, ben je vais vous laisser, je vous dois combien ?

– Remarquez que si ça vous intéresse, on peut se retrouver ailleurs ?

– Non merci, docteur.

 

J’ai payé le mec, une fois dans la rue l’esprit d’escalier avait commencé son travail, je regrettais de ne pas avoir accepté la proposition de ce curieux praticien. Mais bon, je n’allais pas revenir… Alors je me planque derrière un gros platane, je me branle…

 

Et je me réveille

 

Mercredi 11 février

 

6 jours sans rien écrire sur ce cahier. Il ne sert peut-être à rien. Mais je ne suis pas plus avancé. Ce que m’a dit le sexologue m’a rassuré mais pas transformé. Et puis le souvenir de ce rêve qui ne cesse de me poursuivre… Où mon subconscient est-il allé chercher des précisions pareilles, y compris sur la pénétration anale ? Sans doute des souvenirs inconscients de lectures cochonnes ?

 

Au bout de cette période l’envie de revoir Patrick et Claire me tenaillait. Une envie extrêmement trouble puisque si je souhaitais recommencer les gestes que nous avions fait ensemble, il n’était pas question pour moi d’aller plus loin. Mais comment concilier tout cela ? D’autant que l’image de Patrick caressant ma raie culière avec un gode vibreur m’apparaissait comme une menace !

 

Je patientais, m’étant malgré tout persuadé dans ma petite tête que bien qu’ils aient assimilé ce que je leur avais montrés, ils ne tarderaient pas à me recontacter pour des précisions. Et ça n’a pas raté ! Mais lors de ce premier nouveau contact, c’est la crainte qui l’a emporté ! Et alors que j’avais là un magnifique prétexte pour me déplacer de nouveau chez eux, je ne l’ai pas fait, leur indiquant par téléphone comment réparer. Après je m’en suis voulu ! Je leur ai quand même précisé que s’ils avaient besoin que j’intervienne chez eux je le ferais volontiers et sans problèmes, et… gratuitement, bien sûr ! J’attends donc ! On verra bien !

 

Dimanche 15 février

 

Je devais revoir Claire et Patrick, en fait je les ai vu hier samedi, mais ça ne s’est pas très bien passé. On s’est quittés très en froid. Ils devaient me téléphoner, ils ne l’ont pas fait, je ne les reverrais sans doute jamais. Dommage car j’aurais préféré rester sur la délicieuse journée d’il y a quelques semaines.

 

Je raconte :

 

Donc je me pointe, je m’étais fait mon cinéma dans ma tête, persuadé que la journée serait chaude, j’avais d’autre part emmené une sacoche pleine d’outils informatique pour réparer leurs trucs, des logiciels pour les aider, et des banques d’images pour les épater.

 

Il me tardait d’ailleurs de savoir quelles images ils avaient capturé sur Internet, cela afin de connaître un peu leur jardin secret. Toujours est-il que j’y allais en pleine forme fantasmant déjà sur l’inévitable conclusion. Je suis tombé de haut ce jour-là.

 

Ces messieurs dames n’étaient pas seuls. Ils finissaient leurs repas en compagnie d’un autre couple, on me présente, la bonne femme ne me plaît guère, une vulgarité comme on n’en fait plus… J’espère simplement qu’ils n’ont pas combiné un projet de partouze avec ces zigotos… Evidemment, j’ai droit au « ah ! vous êtes dans l’informatique justement j’ai un problème… » Je réponds que je ne sais pas (alors que je sais très bien), mais cette bonne femme non seulement fout mes plans en l’air mais je sais que je ne vais pas la supporter longtemps. Bon, je me mets au boulot, c’est un désastre ! Un plantage pas possible !

 

Après avoir examiné tout cela je propose à Patrick plusieurs solutions dont une très longue, consistant à faire une réparation provisoire, puis sauver ce qui peut l’être, puis un re-formatage et une réinstallation. (8 heures de boulot !) Cette solution a bien sûr l’avantage de sauver toutes les images qu’il a pu glaner. (Cette andouille n’a pas pensé une seconde à sauvegarder tout cela malgré mes conseils). Je démarre donc, assez énervé, et ne sachant quand les deux olibrius vont se décider à dégager.

 

En plus, je fais des conneries. Voici que derrière, tout ce beau monde se lève de table, je reprends espoir, mais patatrac, c’est pour s’installer sur le canapé à quatre mètres derrière moi, la bonne femme n’arrête pas de parler, je me demande comment des gens aussi calmes, aussi gentils, aussi tolérants, peuvent s’acoquiner avec ce couple de beauf. J’essaie de ne pas écouter, mais j’en reçois plein les oreilles, je passe… Faut voir les conneries qu’elle débite, elle est pratiquement seule à parler. Un moment Patrick lui coupera sèchement la parole en lui disant

 

– Ecoute tu sais très bien que l’on ne sera jamais d’accord sur ce sujet, alors parlons d’autres choses !

 

Mais bon sang pourquoi ne les foutent-ils pas à la porte. Un moment j’en ai marre, je laisse tout tomber, je me contente de réinstaller Windows mais pas Internet, et me tournant vers Patrick je lui dis :

 

– Pour faire ça il me faut un minimum de concentration, cet après-midi ce n’est, pas possible, j’arrête !

 

Stupeur de ce dernier ! Je lui explique que j’ai fait une réparation minimum et que par conséquent cela risque de replanter bientôt. Il ne sait pas quoi dire, il n’a pas manifestement l’intention de se fâcher, mais il est très froid, je me tire, refusant le fric qu’il me tend et lui demande de me téléphoner si cela le chante.

 

Samedi 21 février

 

Patrick m’a rappelé une semaine après. J’ai bien aimé sa démarche au téléphone – très « catho de gauche » : « Je crois qu’on a été un peu con tous les deux l’autre fois ! ». Moi, je ne pense pas avoir été con, mais si cela peut l’aider à renouer le contact… Et de m’expliquer que Claire et lui ont subi une épreuve extrêmement grave (je n’aurais pas plus de précision), et que pendant cette période toute sa famille et tous ses amis les ont laissés tomber sauf justement ce couple.

 

– Je leur dois, me dit-il, une reconnaissance infinie, et même si je suis obligé de supporter leurs conneries, alors tant pis.

 

Curieuse situation qui m’a fait un peu réfléchir, mais bon il me demande si je peux repasser samedi prochain. Je peux !

 

Samedi 28 février

 

Me voilà chez eux ! Et là, nouveau coup de théâtre, Patrick me fait entrer, Claire est dans le salon, elle est vêtue en haut d’un truc en soie noir complètement transparent. J’imagine un moment que c’est une tenue d’accueil pour me faire pardonner la dernière fois, mais pas du tout, elle enfile un manteau et s’en va !

 

– Je serais rentrée pour le dîner, j’espère que vous serez encore là !

 

Je ne saurais pas ce qu’elle partit faire dans une tenue pareille pendant quatre heures, d’autant qu’à part ce détail vestimentaire sa tenue n’a rien de provoquant !

 

Je me mets au boulot. Je renonce à comprendre ces gens. Patrick me dit qu’il a du travail et qu’il me rejoindra plus tard… et que je ne m’inquiète pas si je le vois pas, il fera peut-être une sieste… En fin d’après midi, allant pisser, je l’aperçois dans la chambre en train de repasser du linge…

 

Les choses ne se passent pas trop mal, et vers 18 heures j’ai presque tout réinstallé, après avoir pu sauver l’essentiel de leurs images, reste Internet, la partie la plus chiante, avant d’en commencer l’installation je mate un peu les images cherchant quel peut bien être son « truc », beaucoup de lesbiennes, des gros seins, des pipes… que du classique, mais il a bon goût.

 

Sur ce, Claire rentre et se renseigne sur l’avancée de la réparation, rejoint par Patrick, toujours occupé dans les travaux ménagers.

 

– Alors, ils te plaisent, les images cochonnes de mon mari ?

 

Elle dit cela sans aucune provocation, tout n’est que calme chez cette femme, tout est en douceur, le visage, le maquillage, la coiffure, mais pourquoi donc cette tenue incongrue, je lorgne bien sûr ses seins super bien visibles sous son chemisier.

 

Je leur propose de leur montrer les images que j’ai amenées, remettant à un peu plus tard la réinstallation d’internet (qui est semi-automatique). J’ai étiqueté des disquettes par catégorie, et puisqu’ils ont l’air d’aimer les lesbiennes, les pipes et les gros seins je leur montre, les gros seins excite surtout Patrick mais les autres catégories ont l’air de les brancher tous les deux. J’attends, il va bien se passer quelque chose, mais ça ne démarre pas au quart de tour comme la dernière fois.

 

Et puis tout se passera très vite, elle retire carrément son chemisier en nous narguant :

 

– Ça vous plaît, les garçons ?

– C’est très mignon ! Répondis-je

– Alors sortez-moi vos bites, que je joue un peu avec.

 

Je ne me fais pas prier et j’ouvre ma braguette, et quand je vois Patrick retirer carrément pantalon et caleçon, j’en fait de même.

 

Claire gobe la bite de son mari, puis s’empare de la mienne, pour la branler avec beaucoup de délicatesse. Elle alterne assez vite, masturbant Patrick tandis qu’elle me suce, puis faisant les mêmes gestes que l’autre fois, léchant les couilles et la verge, mais très peu le gland… Dommage quelque part, mais la pipe reste agréable d’autant que mes mains ne restent pas inactives et s’égarent sur ses petits seins et en éprouve la douceur.

 

De façon insolite je me fais la remarque que je suis aussi excité par la vision des seins de Claire que par celle de la bite de Patrick. Et quand Claire me demande avec un air faussement vicieux :

 

– Tu la sucerais bien, la bite à Patrick, hein mon salaud ?

 

Voilà un vocabulaire auquel elle ne m’avait pas habitué, mais qu’importe, ça ne me dérange pas le moins du monde. Et je réponds bien sûr par l’affirmative.

 

Ma bouche se remplit de salive tandis qu’elle s’approche de la belle bite de Patrick, je me régale de sa douce texture et de ce petit arrière-goût légèrement musqué, je suce partout, tout ce que je peux, le gland, la hampe, les testicules. J’essaie de tout mettre dans la bouche mais n’y parvient pas, je triche donc en envoyant tout ça au fond de mes joues, mais ce que je préfère encore c’est donner des petits coups de langue très rapides sur le méat.

 

– Où est-ce que tu as appris à sucer aussi bien ma salope ?

 

Tiens, lui aussi fait dans la vulgarité, aujourd’hui ?

 

La question est bonne, mais je n’ai pas la réponse, à moins que ce soit le souvenir inconscient de quelques films pornos, allez savoir…

 

– On va dans la chambre ! propose Claire

 

On passe dans la chambre. Là, je peux enfin lui sucer les tétons, ils sont gros et tendre, un régal ! Patrick la prend en levrette, tandis qu’elle me suce. Et puis voilà qu’elle s’empare du gode, ce fameux gode !

 

– Tu le veux dans ton cul ? Me demande-t-elle.

 

Je suis au pied du mur ! je pourrais répondre « non », mais pourquoi ne pas essayer, si ça ne le fait pas je pourrais toujours arrêter le massacre.

 

Je me mets en levrette pour faciliter la chose, mais au lieu de sentir le gode tentant de pénétrer mon intimité, c’est la langue de Claire que je sens sur ma rosette. Putain que c’est bon, que c’est excitant de se faire lécher le trou de balle !

 

Je m’entrouvre légèrement laissant passer un doigt qui vient remplacer la langue. Et puis ça y est le gode veut entrer, ça ne s’est pas fait du premier coup mais ça s’est fait.

 

– Non, ça fait mal !

– Compte une minute, ça ne fera plus mal !

 

Elle en a de bonnes, elle ! Quand ça fait mal, ça fait mal. Pourtant elle y va doucement, mais je ne supporte pas ce truc.

 

– Alors ?

– Ça fait moins mal, mais retire-le, j’aime pas trop.

– Allez encore une minute et j’arrête !

 

Par quel miracle la douleur a-t-elle disparue laissant la place à un étrange trouble ?

 

– J’arrête ?

– Je sais pas

– Alors je continue !

 

Logique ! Elle m’a godé comme ça, je ne sais pas, cinq minutes, dix minutes, le temps ne passe pas à la même vitesse quand on baise que quand on attend le bus !

 

Elle finit par retirer le gode ! Pas mal la sensation quand on le retire ! Je vais pour me retourner.

 

– Ne bouge pas, maintenant Patrick va t’enculer !

– Non, non, une prochaine fois peut-être !

– La prochaine fois on ne sera pas forcement dans les mêmes dispositions, aujourd’hui Patrick a envie et moi j’ai envie de te voir.

– Non, mais mettez-vous à ma place, je n’ai jamais fait ça !

– Il y a toujours un commencement à tout, et mieux vaut le faire avec des gens sympas que tu connais qu’avec je ne sais pas trop qui.

 

L’argument est fort. Une petite voix intérieure me dit « Vas-y, ne te dégonfle pas ! »

 Claire2a

– D’accord on va essayer.

 

Alors Patrick m’a bien lubrifié le cul, et m’a pénétré sans trop de difficultés. Il m’a fait ça en douceur, et c’était bon. Tellement bon que quand il est ressorti après avoir éjaculé dans la capote, je regrettais que cela soit déjà terminé.

 

– Viens me lécher, me dit Claire, on va se mettre en 69. Je me régale de sa chatte tandis que ma partenaire me fait une fellation bizarre dans la mesure où sa langue ne touche jamais le gland. J’ai connu mieux comme pipe.

 

J’ai réussi à la faire jouir, mais moi je suis resté en rade, alors Claire, bonne fille m’a fini à la main, elle branle bien.

 

Ce soir sur mon journal intime, je vais pouvoir marquer : Aujourd’hui je me suis fait enculer ! »

 

Après bouffe chinoise comme il y a un mois, tandis que d’un œil, je surveillais l’installation d’internet, puis rien d’autre, on a pas mal parlé cul, mais Claire était fatiguée.

 

Vivement leur prochaine panne !

 

Malgré tout, ce couple est un peu bizarre, en y réfléchissant il n’y a pas dans leur appartement ces petits détails qui font « vécu », des photos, des cartes postales, tout se passe comme s’ils n’habitaient pas vraiment ici, et puis j’ai beau me poser la question dans tout les sens : où pouvait bien aller Claire ce samedi après-midi avec un chemisier quasi transparent et sans soutien-gorge ?

 

Elle me fascine quelque part, elle n’a pas des formes exceptionnelles, ce serait plutôt du petit format, mais il y a quelque chose d’angélique dans son visage, et surtout elle est reposante, j’ai rarement vu quelqu’un d’aussi calme. On dirait que mutuellement avec son mari ils font tout pour se faire plaisir et ne pas se contrarier, pourtant j’ai cru comprendre qu’il ne s’agissait pas d’un nouveau couple. Je ne suis pas d’un naturel fouineur, et je respecte le droit à l’intimité de chacun cela ne m’empêche pas d’être curieux, mais les deux ou trois questions (à peine indiscrètes) que je leur ai posées n’ont eu pour réponse qu’un sourire poli. J’ai essayé d’en savoir plus par l’intermédiaire de la personne à qui j’avais donné quelques cours, mais ce fut peine perdue,

 

Samedi 7 mars

 

J’ai eu Patrick au téléphone. Evidemment leur ordinateur est encore à moitié planté, j’ai des vacances courant mars et je leur ai proposé de leur faire deux jours non-stop de formation de base, ils ont d’accord et vont s’organiser en conséquence, mais ils voulaient que je vienne quand même en urgence, j’ai essayé de les guider par téléphone, mais ca n’a pas marché, j’y suis donc allé, mais malheureusement il ne s’est rien passé, sinon la vision sublime de Claire se changeant le haut à un mètre de mois, pour aller je-ne-sais-où (mais contrairement à la dernière fois, elle n’a pas mis de truc transparent)

 

J’ai donc pris rendez-vous chez mes deux zouaves les 14 au 15 mars. Et je vais complètement changer de tactique, j’ai en effet remarqué que quand je leur apprenais quelque chose, il le faisait très bien, mais quand ils ne savent pas quelque chose ils essayent un tas de trucs et c’est ça qui fout le bordel, je vais donc en tenir compte. Et surtout j’espère que j’aurais droit aux grandes manœuvres, j’ai dû déjà écrire que la dernière fois nous n’avions rien fait (coté sexe). Je n’avais pas accepté d’argent, mais quelle ne fut pas ma surprise de recevoir par la poste du champagne à la maison en remerciement ! Ce n’est pas vraiment ce que j’attendais.

 

Week-end du 14 au 15 mars

 

J’ai fait la formation prévue, ils m’ont généreusement payé, mais question sexe, zéro, la bulle. A peine installé voilà que Môssieu me tient un discours du genre

 

– Tu sais, j’ai l’impression que je te paye en nature, avec ma femme, quelque part ça me gène, au début on a eu un coup de folie, mais c’est terminé, maintenant si tu viens uniquement pour ça, ce serait dommage, mais je sais que ce n’est pas le cas.

 

Ça sentait le discours qu’il avait dû répéter quinze fois devant sa glace. Je réponds hypocritement que je les comprends très bien … mais je fais l’erreur de lui préciser que j’ai néanmoins apporté plein de disquettes de cul… Il me coupe alors en me précisant qu’il préfère qu’on ne les regarde pas, pour ne pas être à nouveau tenté…

 

La rage. Et la Claire qui m’excite avec son visage de Madone et ses yeux de chatte. Je ravale ma déception, espérant sans trop y croire que quelque chose se produira. Je n’aurais pas dû parler d’emblée des photos, j’aurais dû attendre un moment un peu opportun, le repas par exemple. Pourtant le lendemain, vers 10 heures alors que nous faisions une pause café, Claire me dit :

 

– Tu sais j’ai discuté hier soir avec Patrick, tu as l’air tout malheureux, je veux bien te faire un petit câlin, mais se sera le dernier…

 

Et comme un con j’ai refusé.

 

Bref je ne suis pas près de les revoir, s’ils cassent encore tout, ils se démerderont sans moi. Ah mais !

 

Mai 2001

 

Ils ne m’ont plus appelé. Ça m’a paru bizarre, deux mois sans rien casser ! Le hasard a voulu que je me déplace à Montgeron pour le boulot, un petit détour là où habite Claire et Patrick, sans plan précis, et faisant confiance à mes facultés d’improvisation… pour constater qu’ils avaient déménagé sans laisser d’adresse. J’ai essayé le truc classique (d’habitude ça marche) aller à la poste (au cas où ils auraient demandé une réexpédition automatique de leur courrier) et fournir un gros baratin, mais je suis tombé sur une fonctionnaire aussi revêche que zélée…

 

Non daté

 

J’ai fini par m’accepter comme je suis, j’ai arrêté de vouloir me mettre une étiquette sur le slip. Je me fous de savoir si je suis hétéro-machin, homo-truc, ou bi-chose. J’aime les femmes, je ne suis pas attiré par les hommes sauf les travestis et les transsexuelles, mais j’aime les bites. Alors j’ai voulu retrouver ces sensations, avoir une bite dans la bouche ou dans le cul. J’ai trouvé un bon sauna et j’ai même une carte de fidélité, mais restons dans le sujet, ce récit concerne Claire.

 

Avril 2002

 

Je dois ce jour là effectuer une démarche professionnelle à Brunoy, dans la banlieue sud de la capitale. Un peu en avance, je décide d’aller me goinfrer un bon café crème avec des tartines. Je m’installe dans la terrasse vitrée et en attendant qu’on me serve, je laisse courir mon regard. Mon attention est alors attirée par une femme au visage ovale semblant perdue dans la lecture d’un gros bouquin ! Claire ! Je ne me pose même pas la question de savoir si elle a envie de me revoir et de me parler, et me lève pour aller la saluer.

 

– Pardonnez-moi si je me trompe, mais je me demandais…

– Ne vous le demandez plus. Je vous avais reconnu, je ne peux pas vous parler pour l’instant. Je suis désolée.

– Je…

– N’insistez pas, si vous voulez on peut se voir à midi… midi et demi plutôt !

– Je vous paie le restau alors ?

– Oui, pourquoi pas !

– Je vous retrouve ici ?

– Non ! Dans le hall de la gare

 

Je regagnais ma place avec des sentiments assez contraires, il était clair que je n’étais pas le bienvenu, mais pourquoi alors avait-elle alors proposé un rendez-vous. Je craignais bien que celui-ci ne fut qu’un lapin.

 

Quelques minutes plus tard, un homme, très classe vint l’accoster, ils quittèrent ensemble les lieux après s’être salués d’un chaste bisou.

 

Il fallu que j’insiste ensuite lourdement auprès de mon interlocuteur professionnel qui voulait absolument m’emmener au restaurant pour lui expliquer que je n’étais pas libre à cette heure.

 

A midi 50, Claire n’était toujours pas là, je lui laissais encore un quart d’heure, mais n’y croyais plus trop. Elle finit pourtant par arriver, essoufflée, et sans s’excuser le moins du monde et de façon très peu courtoise elle me demande :

 

– Comment vous avez fait pour me retrouver ?

– Le hasard !

– Le hasard, le hasard, il a bon dos le hasard !

– Je devais voir un type à la banque Machin, j’étais en avance et comme il n’y a pas trente six…

 

Elle ne me laisse pas finir, elle a l’air super énervée.

 

– J’en ai marre, tout le monde me cherche, tout le monde me retrouve, c’est plus une vie. Et d’abord, vous voulez quoi ?

– Mais rien du tout, je vous ai aperçu, j’étais content de vous retrouver, maintenant si je vous importune à ce point, on peut en rester là.

– C’est ça restons-en là !

 

Et elle s’en va ! Me voilà contrarié, je ne devrais pas mais c’est comme ça ! Et en plus ça m’a coupé l’appétit. Je retourne m’attabler à la brasserie juste pour boire un coup, je ne reste que cinq minutes et me dirige vers la gare pour regagner Paris. A peine entré dans le hall une voix m’interpelle :

 

– Nicolas !

 

Je me retourne, c’est Claire ! Imaginez mon incompréhension. Je la laisse s’approcher.

 

– Tu vas me trouver folle, mais je vais essayer te t’expliquer, j’ai cru que tu me suivais, que tu me cherchais, alors quand je t’ai quitté tout à l’heure j’ai regardé ce que tu fabriquais, ça m’a rassuré. Donc t’étais bien là par hasard ?

– Pour le boulot…

– J’ai envie de parler à quelqu’un, tu veux qu’on se mange un petit truc ?

 

On commande, je sens Claire assez mal à l’aise.

 

– Il est possible que tu sois choqué par ce que je vais dire.

– Je prends le risque.

– Alors deux choses : Patrick est en prison, oh, il n’a tué personne, il s’est fait manipuler par une bande de truands qui lui ont fait porter le chapeau, mais un gros chapeau. Ils ont rien trouvé de mieux que de l’enfermer aux Baumettes à Marseille, il en chie en prison, faut voir les abrutis qu’ils y enferment. Tout ça, ça me coute des ronds, le voyage, les frais d’avocats, les colis que je lui envoie…Heureusement, j’ai deux gros clients réguliers…

– Des gros clients réguliers ?

– Ne fait pas semblant de ne pas comprendre. Je fais la pute. Si ça te choque on va en rester là.

 

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– Non, non, ça ne me choque pas du tout. Mais ton ancien métier…

– Je n’ai pas d’ancien métier, je faisais la pute dans des boites de nuit, c’est là que j’ai rencontré Patrick, il a d’abord été mon client, puis on s’est mis en ménage, il gagnait bien sa vie, il bossait dans le design. Et puis la catastrophe, une bonne femme a porté plainte contre Patrick pour tentative de viol, sans la moindre preuve évidemment, la nana étant un peu connue, elle travaille à la télé, ces connards de média se sont emparés de l’affaire.

– Eh ben !

– On a tout perdu, Patrick son emploi, nous tous nos amis à l’exception d’un couple qui nous a dépanné quelque temps, obligé de déménager… et tout ça pour que dalle, l’affaire c’est terminé par un non-lieu ! Mais Patrick n’a pas retrouvé son emploi, alors j’ai refait la pute… Ça va, je ne te saoule pas ?

– Non, non, t’as envie de parler, tu peux y aller je t’écoute.

– T’es gentil ! J’ai eu du bol j’ai dégoté assez vite deux gros clients, ça nous a permis de voir venir, mais Patrick voulait trouver autre chose et il a fait la connerie de servir de porte-valise dans une affaire de drogue, il s’est fait pincer, et comme il n’a voulu dénoncer personne, tu sais ce qui se passe dans ces milieux-là quand tu dénonces ?

– Hélas !

– Donc il n’a dénoncé personne mais il a pris le maximum. Et c’est pas fini, il y a encore une suite. Un jour alors que je tapinais, un mec m’a abordé et m’a carrément dit que si je lui filais pas la moitié de mes gains, il s’en prendrait à Patrick. J’ai eu peur et au début je lui ai filé de l’argent. Puis j’ai été voir les flics. Bizarrement mon récit les a intéressés, sans doute parce qu’ils ont dû penser que le mec en question le mettrait sur la piste des trafiquants qui ont fait porter le chapeau à Patrick. Je ne sais pas ce qu’ils on fait mais, c’est peut-être une coïncidence, quinze jours plus tard Patrick était transféré aux Baumettes. Par précaution j’ai déménagé et je n’ai communiqué ma nouvelle adresse à personne. Voilà, ça fait du bien de parler.

 

Elle essuie une larme, je ne sais pas trop quoi faire.

 

– Merci de m’avoir écouté, je n’ai pas de rendez-vous, si tu veux qu’on fasse l’amour, je suis partante, moitié copain, moitié client.

 

Je n’ai pas trop compris ce que ça voulait dire : « moitié copain, moitié client », mais pas grave, j’ai accepté.

 

Nous n’avons pas été chez elle, ni à l’hôtel mais dans un coquet studio qu’elle louait pour y faire ses passes.

 

– Tu sais me dit-elle, faire la pute, c’est un business, mais c’est aussi un fantasme, c’est fabuleux pour une femme de se dire « je suis tellement désirable qu’on me paie pour coucher avec moi ! » je sais bien que je ne suis pas un top model mais penser comme ça a pour moi quelque chose de gratifiant.

– Si les féministes t’entendaient !

– Je les emmerde ! Mais c’est pour cela que j’aimerais que tu me donnes un petit billet, juste symbolique, comme ça on reste dans le fantasme.

– Tu veux combien ?

– Tu me paieras après, c’est le privilège des clients qu’on aime bien ! On se fout à poil !

 

Je ne m’attendais pas à une prestation de ce genre, alors je décidais de me laisser faire, après tout n’étais-je pas en bonnes mains ?

 

Elle me demanda de m’allonger sur le lit, là elle me pinça les tétons, assez fort, afin que je bande bien comme il faut., puis elle m’encapota et s’apprêta à me prodiguer une fellation.

 

– Mais qu’est-ce qu’il t’arrive ? Ne soit pas timide, tu peux me toucher, me caresser.

 

Ben oui ! Qu’est ce qu’il m’arrive ? Mais puisque j’ai la permission, je me lâche, je la caresse, ma bouche s’approche de ses petits seins et gobe ses tétons avec gourmandise.

 

On se caresse mutuellement comme ça pendant quelques minutes, puis Claire plonge sa bouche vers ma bite et cette fois ne la lâche plus, me gratifiant d’une fellation de première classe, qu’elle accompagne par une introduction de son doigt dans mon trou du cul.

 

Un moment elle marque une pause, c’est pour m’annoncer fièrement qu’elle a un gode à ma disposition.

 

Ça a l’air de lui faire tellement plaisir de me le l’introduire, et comme je ne suis pas contre, on fait joujou avec un moment. Finalement j’adore cette sensation, cette petite chose étrangère qui voudrait s’en aller mais qu’on sent si bien aller et venir et qui nous fait tant du bien.

 

– Si tu veux des choses spéciales, tu me dis ! je n’ai pas de tabous ! M’avertit-elle avec un sourire format commercial.

– Choses spéciales ? Quoi par exemple ?

– Je ne sais pas, des trucs que t’aimes bien et que tu ne m’aurais jamais dit, tu dois bien avoir un jardin secret non ?

– Je ne vois pas ?

– Une petite fessée ?

– Moi je veux bien, mais ce n’est pas trop mon truc !

– Je fais pipi aussi !

– Moi aussi je fais pipi ! Répondis-je bêtement

– Non je suis uniquement donneuse !

 

Cette fois j’ai compris.

 

– Oui, je veux bien !

– On verra ça tout à l’heure, pour l’instant ne bouge pas, et essaie de ne pas jouir de suite, je ne suis pas trop pressée !

 

Et la voilà qui me chevauche, elle monte et elle descend sur ma bite en cadence ! Mon Dieu que c’est bon ! Mais je vais partir trop vite si elle continue à ce rythme, je lui fais signe qu’il conviendrait de faire une pause. On fait la pause

 

– Tu veux me lécher la chatte ?

 

Bien sûr que je veux. Je lèche, c’est délicieux, mais je suis un peu surpris que ce ne soit pas plus mouillée, j’essaie d’y mettre tout mon savoir faire et toute mon ardeur, mais ça ne fait pas, madame semble bloquée, je lui attaque le clito, le titille de la langue et le suce comme une petite friandise, je sens quelques vibrations, Claire se met à crier, elle a probablement simulé, allez savoir ?

 

– Maintenant viens à côté, je vais te pisser dans la bouche, tu vas voir il est délicieux mon pipi !

 

A l’époque les photos d’uro gratuites étaient assez rare sur Internet et seuls les danois en diffusaient, ce qui fait que j’en avais vu assez peu, mais ceux qui m’étaient passés sous les yeux représentaient des jeunes filles et des jeunes gens effectuant ce genre de chose dans la plus parfaite rigolade. Alors allons-y.

 

Et son pipi était délicieux, je me suis branlé pendant qu’elle pissait. J’aurais préféré un peu plus de romantisme mais bon…

 

Un peu plus tard, Claire m’a proposé qu’on se mette en ménage, j’ai donc annoncé à ma femme que je foutais le camp. Elle a réagi curieusement :

 

– Bof c’est pas grave, dans 15 jours tu seras revenu, et en attendant ça me fera des vacances.

 

C’est exactement ce qui s’est passé, je n’étais pas fais pour vivre avec Claire, on s’est quitté bons copains et je n’ai plus souhaité la revoir. Il y a des pages qu’il faut savoir tourner.

 

Septembre 2018

 

17 ans ont passé, j’étais attablé à une terrasse de bistrot près de la Tour Saint-Jacques, quand je vois s’approcher une femme, proche de la soixantaine, bien conservée. C’est elle qui m’a reconnu.

 

– Nicolas ?

– Claire c’est bien toi ?

– Eh, oui !

 

Elle est méconnaissable avec sa nouvelle coupe de cheveux blond cendré. Elle s’est assise à ma table, on était content de se revoir, mais on n’avait pas grand-chose à se dire, elle m’apprit que Patrick avait été libéré et qu’ils vivaient toujours ensemble, bizarrement ça m’a fait énormément plaisir.

 

Fin (ben oui)

 

Nicolas Solovionni ©

 

La première partie de cette histoire authentique a été publié il y a 18 ans. Je ne m’étais jamais décidé à en publier la suite jusqu’à ce que l’événement décrit dans le dernier paragraphe me libère de mes appréhensions. Les noms de lieu et ceux des protagonistes ont été modifiés.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Niko
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:31

Un hôtel à Saint-Brieuc par Elian Lvekman

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Chers amis, nous ne résistons pas au plaisir de vous raconter l’une de nos aventures, très émus à l’idée de nous relire et peut-être d’être reconnus par certains de nos amis. Depuis notre rencontre par une petite annonce, Bénédicte s’est révélée très exhibitionniste, chaude, sensuelle et provocante. J’aime la montrer et elle prend un vrai plaisir à lire l’excitation dans le regard des hommes et le mien. Elle a de jolies jambes découvertes par des jupes souvent très courtes, sous lesquelles elle ne porte que des bas, parfois pas de culotte, et surtout des décolletés assez vertigineux qui attirent les regards. Ses seins superbes sont sa fierté et mon bonheur.

 

Nous avions décidé d’aller passer deux jours en Bretagne, réservant un hôtel à Saint-Brieuc. Partis nous allonger quelques minutes après le déjeuner, Béné s’installe sur le lit devant la télévision, pendant que je prends une douche pour me délasser du voyage. Sortant de la salle de bain, je m’allonge à côté d’elle, et sans la déshabiller, je caresse ses seins, son ventre, ses jambes. Elle ouvre les cuisses et sous son slip déjà humide, tendu sur sa motte, je sens ses lèvres gonflées.

 

La température monte. Je me lève pour ouvrir la fenêtre en grand. De l’autre côté de la rue, un petit immeuble nous fait face. A l’une de ses fenêtres située légèrement plus haut que la nôtre, j’aperçois un homme d’une vingtaine d’année accoudé à sa fenêtre. Il a l’air un peu surpris de me voir nu, et en pleine érection, et se retranche précipitamment derrière son rideau. Je réalise qu’il doit voir au moins la moitié inférieure de notre lit, et sais qu’une femme y est allongée. Avec un petit coup au cœur, je rejoins Bénédicte, ouvre son chemisier sous lequel ses seins sont nus et gobe entre mes lèvres ses tétons qui durcissent. Je descends le long de son ventre, et la tète à la hauteur de ses cuisses, je distingue derrière la fenêtre qui nous fait face la silhouette du voyeur. Béné ne peut le voir, pas plus que lui ne peut voir autre chose que les jambes de ma compagne. Le cœur battant d’excitation, je m’agenouille au pied du lit, saisit Béné par les chevilles et la tire vers moi. Comprenant que je souhaite m’occuper de sa petite chatte, elle glisse son bassin vers moi, sans pouvoir encore apercevoir notre voyeur. Je roule sa jupe haut sur ses hanches et la déculotte. D’un coup d’œil, je constate que notre spectateur s’est accoudé à la fenêtre et semble très intéressé. Elle ouvre grand les cuisses et je suce longuement sa motte aux poils taillés court, passant la langue dans son sillon rose, comme elle aime et me le fait savoir en gémissant, l’enfonçant à l’entrée de son vagin béant et gluant de mouille, aspirant tantôt son jus, tantôt son clitoris dur et très long. Sachant que l’homme nous regarde et la voit se trémousser sous ma caresse, je suis au bord du plaisir, et la suce longtemps, jusqu’à recevoir un flot de cyprine, accompagnée d’un long gémissement, lorsqu’elle jouit, arc-boutée.

 

C’est là son premier orgasme, et loin d’être le plus violent. Assis en tailleur, toujours au pied du lit, je l’allonge sur mes genoux, fesses tournées vers notre voyeur pour qu’elle ne le remarque pas tout de suite. Elle adore cette position de « grenouille », sur le ventre, cuisses très écartées, cul relevé, la motte bien accessible, offerte, la fente bâillante. Le type doit avoir une superbe vue de ses grosses lèvres béantes, et je lui fais un clin d’œil. Je la branle bien profondément devant lui, enfonçant un doigt, puis deux dans son minou trempé. Le foutre lui ruisselle sur les poils et mes doigts s’agitant dans sa cramouille distendue produisent un bruit de clapot qui nous excite autant l’un que l’autre. Je regarde franchement le type pour lui faire comprendre que c’est à lui que s’adresse cette exhibition, et que je veux qu’il la voie, totalement offerte, dominée, vautrée sur moi, cul nu et chatte ouverte, impudique et salope, tortillant de la croupe sous mes doigts qui la branlent. Elle me dit des choses torrides, qu’elle aime ça, que je lui fais ça bien, que je vais la rendre folle, qu’elle aime que je la traite comme une pute et qu’elle veut que je la remplisse ! J’agite de plus en plus fort les doigts dans son trou alors qu’elle me demande de la baiser, mais je sens que dans mon état, je ne tiendrai que peu de temps si je la prends, et je veux prolonger ce moment.

 

– Non ! Je ne te baiserai que ce soir ! Je veux t’avoir sous la main comme ça tout l’après-midi !

 

Elle rit et me promet que je ne débanderai pas de l’après-midi, risquant de craquer avant elle, et se retournant, aperçoit notre admirateur. Les yeux brillants, elle me demande :

 

– Tu as vu le mec en face ? Tu savais qu’il regardait ?

– Oui, bien sûr !

– Salaud ! Ça ne m’étonne pas de toi ! J’espère qu’il a apprécié ! Il doit être dans un drôle d’état, le pauvre

 

out72Je lui propose d’aller nous balader et comme elle sait ce qui m’excite et n’a pas eu sa ration, elle tient sa promesse. Après une douche rapide, debout face à la fenêtre, elle enfile un mini slip totalement transparent, une petite jupe jaune courte et moulante, et enfin un tee-shirt blanc sur ses seins nus, assez collant pour révéler de façon presque indécente la masse de ses beaux nichons et leur pointe bordée d’une aréole sombre. Une ravissante petite salope sur laquelle les hommes vont se retourner. Nous décidons de quitter le centre pour aller sur le bord de mer. Sitôt assise dans la voiture, elle s’installe comme j’aime, jupe remontée au ras du slip. A ce moment, je vois dans mon rétro notre jeune voyeur enfourcher un scooter, l’air décidé à nous suivre. Je roule lentement, pour que d’éventuels piétons ou cyclistes puissent apercevoir les jambes de ma compagne, mais le scooter squatte la place, et je décide de le semer, pensant le retrouver ce soir. Arrivés près d’une plage, nous entrons dans un bar, peu fréquenté. Les cinq ou six hommes présents suivent Béné du regard, l’air de la trouver plutôt bandante avec ses seins bien visibles sous le tee-shirt et sa jupe moulante. Une fois assise, elle dévoile ses cuisses jusqu’à son slip. Elle sent très bien le regard des hommes, et son calme et naturel m’étonnent encore. Elle ne prend aucune précaution pour que les mouvements de ses jambes ne révèlent pas par instant très nettement le fond de sa culotte, et nous délirons à voix basse :

 

– Tes seins sont superbes ! Tu sais qu’on les voit bien !

– Ça n’a pas l’air désagréable à regarder !

– Tu as l’air d’une vraie petite pute ! Je suis sûr qu’ils essayent de savoir si tu portes une culotte

– D’abord, c’est toi qui m’as rendu comme ça, et ils savent très bien que mon slip est blanc. Ils ne le quittent pas des yeux !

– Salope ! Tu es mouillée ?

– Je suis trempée, et tu le sais bien !

 

Tout l’après-midi, nous nous promenons, profitant des regards tantôt directs, tantôt discrets et timides, tantôt salaces, mais toujours intéressés des hommes que nous croisons. Durant le dîner, un homme d’âge mur, accompagné de sa femme et de deux autres personnes tente d’observer discrètement Bénédicte, allant jusqu’à laisser tomber sa serviette pour jeter un coup d’œil sous la table. A sa deuxième tentative, je demande à ma compagne :

 

– La prochaine fois, récompense-le, ouvre-lui tes jambes

 

Elle sourit sans me répondre, mais dès que la serviette du gars tombe, la petite salope écarte franchement les cuisses. Le spectateur a l’air de plus en plus agité, mais il est coincé à sa table. Comme nous arrivons à la fin du dîner, je lui demande sans trop y croire :

 

– Fais-moi plaisir ! Pour lui offrir un bouquet final, je voudrai que tu ailles enlever ton slip !

 

Elle est bien aussi excitée que moi, car à ma stupéfaction, elle se lève et se dirige vers les toilettes. Le temps que je demande l’addition, elle est de retour, les joues roses et l’œil brillant. En s’asseyant, elle me sourit et me traite de salaud. Elle se tourne légèrement vers notre admirateur, et sans le regarder, ouvre un peu les jambes. Je vois l’homme tressaillir, l’air complètement estomaqué. Sa femme va finir par se rendre compte de quelque chose. Et Béné ouvre franchement ses cuisses en me regardant. J’ai l’impression que le type va suffoquer. Puis brusquement, elle se lève et nous partons sans un regard pour notre victime.

 

Arrivée à notre chambre d’hôtel, nous remarquons la fenêtre ouverte de notre vis à vis. Sa lumière est éteinte, mais nous devinons sa silhouette. Je suis tellement excité que j’assieds Bénédicte au pied du lit, la renverse, m’agenouille entre ses jambes que j’écarte et pose sur mes épaules. Ses lèvres sont gonflées et luisantes de mouille. Je lui bouffe la chatte avec application, gobant son clitoris, enfonçant la langue dans son trou béant. Elle ondule en gémissant de plaisir. Au bout de quelques minutes, elle orgasme sous ma bouche en feulant. Je la relève, et debout devant la fenêtre, achève de la déshabiller.

 

J’aperçois notre admirateur toujours dans l’obscurité. Je lui fais signe de la main. Il comprend et allume la lumière. Il est nu, son sexe tendu à la main. J’attrape un oreiller, le jette à terre et invite Béné à s’agenouiller dessus, face au voyeur. Elle se met à quatre pattes, je m’installe derrière elle et la prends en levrette d’un coup de rein. Elle est béante et brûlante. L’inconnu se branle devant nous. Je la baise comme un fou, faisant claquer mon ventre contre ses fesses. Il doit voir ses seins tressauter à chaque coup de boutoir. Elle gémit de façon continue, et je décharge au moment où elle m’annonce qu’elle jouit, le visage tendu vers son admirateur. Je suis tellement excité que je la retourne à même la moquette, oreiller sous la tête, et me couche sur elle. Le simple fait de frotter ma queue sur sa cramouille gluante me rend une érection qui me permet de la prendre à nouveau. Et nous continuons notre chevauchée, plus tendrement, jusqu’au bout de nos forces. Elle délire à mon oreille, m’encourageant avec des mots obscènes et des ordres crus. Totalement anéanti, je me relève pour fermer les rideaux en adressant au voyeur un signe d’adieu.

 

En quittant l’hôtel, le lendemain, nous ne l’avons pas revu, mais sur le pare-brise nous attendait une petite carte de remerciement signé « votre voyeur anonyme » ! Il y a des gens qui ont du savoir vivre, quand même !

 

Une première version de ce texte a été publié anonymement dans le numéro de Lettre Magasine de mars 1995. Je l’ai un tout petit peu arrangé…

 

Elian

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:26

Saucisse de Toulouse par Elian Lvekman

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Parcourant distraitement les annonces de rencontre sur un site spécialisé, je tombais sur l’une d’entre elles dont le texte était plutôt évasif « Couple cherche partenaire sans tabous pour moments intimes », sans trop y croire j’y ai répondu en me présentant : homme 29 ans, 1 m 75, 75 kg mignon et en joignant une photo. Quelques jours plus tard j’ai eu l’heureuse surprise d’avoir Laurent au bout téléphone. Il avait soumis ma réponse et ma photo à sa petite amie qui avait dit oui. Il me demanda si j’avais des tendances bisexuelles, je lui répondis qu’elles étaient fort légères, mais que néanmoins j’avais déjà pris en bouche quelques sexes masculins et que la chose ne m’avait point déplu. On fixa un rendez-vous quelques jours plus tard. Je peux vous assurer que je comptais les heures et j’en devenais fébrile tant la situation était unique.

 

Arriva ce fameux mardi soir. Je me rendis à Toulouse en voiture chez Laurent. C’était un jeune homme souriant et bien bâti, il m’invita à rentrer. Son appartement était minuscule et assez mal entretenu, signe qu’une femme n’y résidait pas souvent. Je ne me trompais pas car il m’annonça que Christelle n’habitait pas ici mais qu’elle passerait dans une demi-heure. Je mis cette attente à profit pour sympathiser et en savoir un peu plus sur eux.

 

Ils formaient un couple bizarre car ils étaient simplement amant et maîtresse et ne nourrissaient pas d’autres sentiments que la recherche du plaisir. Lui, avait trente ans, c’était un éternel étudiant qui avait à peu près tout raté sauf un étonnant palmarès de conquête féminine. C’était, selon, ses propres dires, un vrai drogué du sexe qui avec persévérance ramenait à peu près toutes les filles qu’il voulait dans son lit.

 

Christelle, avait vingt-deux ans, il me l’a décrit belle et intelligente. Commerciale dans le domaine médical, elle gagnait très bien sa vie et n’était pas originaire du coin. Bref, elle avait tous les atouts pour vivre pleinement ses envies ? Et faire l’amour avec deux garçons en même temps était vieux fantasme.

 

La demi-heure finit par passer et Christelle arriva. Je vis apparaître une ravissante jeune femme d’une trentaine d’année, assez grande portant lunettes, la peau blanche, les cheveux bruns méchés de blond, elle était habillée dans un Jeans moulant avec un chemisier qui dessinait de très beaux seins. Elle était plus qu’intimidée et se demandait ce qu’on avait bien plus comploter pendant son absence. On s’est assis dans la cuisine et Laurent nous servit un verre. L’alcool nous mettait à l’aise. On parlait de tout et de rien et je me surpris à ramener régulièrement la conversation au sexe pour éviter que la situation nous échappe. Après un quart d’heure, Christelle vida son verre d’un trait et se leva et nous invita à passer dans la chambre. Laurent avait tout préparé, les stores étaient baissés, des bougies diffusaient une lueur agréable et un grand matelas nous attendait.

 

Il s’est placé derrière elle, a commencé à l’embrasser dans le cou tout en lui caressant les seins. Elle me tendit les bras en m’invitant à les rejoindre. Alors commença le plus doux et langoureux effeuillage de ma vie. Nos mains couraient sur son corps, passant de temps en temps sous sa chemise pour caresser son ventre et ses seins. Elle fermait les yeux, renversait sa tête pour apprécier nos gestes et nous accordait de longs baisers. De ses mains fébriles, elle déboutonnait une chemise, dégrafait une ceinture, caressaient nos torses. Nous l’avons déshabillé très lentement augmentant notre excitation, ses gémissements emplissaient la pièce, c’était divin. Progressivement, nous lui avons retiré son chemisier et son Jean pour découvrir une fine lingerie qui dessinait superbement ces formes. Cette dernière étape franchit, elle se livrait à nous, offerte à nos désirs.

 

Tandis que Laurent caressait ses seins aux pointes érigés, je me mis à genoux et découvrit une toison soyeuse et douce. Doucement, mes doigts passèrent entre ses lèvres intimes déjà humides. De mes doigts trempés, je remontais sur son clitoris où j’entamais une douce caresse. Très vite, ses lèvres se gonflèrent de plaisir. En me penchant, j’ai pointé ma langue sur son bouton d’amour et j’ai longuement savouré ces instants où il roulait et durcissait sous ma langue. Christelle s’est mise à genoux, me donnant un profond baiser pour recueillir son fluide. Laurent, par derrière légèrement accroupi, avait passé son sexe entre ses fesses et commençais un doux va-et-vient en caressant sa vulve de son gland.

 

Tout en embrassant ses tétons durcis, je continuais à la caresser en rencontrant de temps à autre le sexe érigé de Laurent, ce contact éveilla chez moi des sensations indéfinissables. Comment alors que Christelle polarisait toute ma libido, pouvais-je ainsi me laisser distraire par la vue d’un pénis ? Alors que j’espérais secrètement que Laurent ne verrait rien de mon trouble, ce dernier ne trouva rien de mieux que de se déplacer en m’adressant un sourire complice. Etant légèrement accroupi je me retrouvais avec son joli sexe devant mon visage :

 

– Lèche sa bite, met la dans ta bouche ! Me dit alors Christelle.

 

Je ne pouvais refuser, et commençais par balayer le gland violacé du bout de ma langue, une goutte de liqueur séminale ne tarda pas à y perler rendant l’endroit délicieusement salé. Je m’enhardis et engloutis cette jolie verge dans ma bouche en la faisant coulisser.

 

Bi235Christelle me rejoignit en lui léchant les couilles, j’abandonnais alors ma fellation classique pour lécher la hampe, nos deux langues se rejoignirent alors pour un baiser coquin.

 

Elle s’allongea ensuite sur le dos, écartant largement les jambes. Alors qu’il la pénétrait, je m’attardais sur ses seins, et lui tendis mon sexe qu’elle prit en bouche. Sa langue s’attardait sur mon gland alors que sa main me masturbait. C’était agréable car j’étais à la fois acteur et spectateur d’une scène érotique hors du commun. Laurent devait penser la même chose car il n’a pas tardé à jouir tandis que mon sexe étouffait les gémissements de ma partenaire. Il se retira et alla l’embrasser, elle me regardait tant en écartant les cuisses comme une douce invitation. Sans me faire prier, je l’ai pénétré à mon tour, son vagin était serré, soyeux et encore humide du passage de Laurent. Ce détail décuplait mon désir, mes mains couraient sur son corps, attrapaient ses hanches, revenaient sur ses seins ou descendaient sur son clitoris.

 

Chaque coup de rein la faisait gémir et elle s’abandonnait à ce double plaisir. La tension était vraiment trop fort, encore quelques va-et-vient et en m’agrippant à ses jambes j’éjaculais puissamment en elle.

 

Après avoir retrouvé nos esprits, on retrouva Christelle radieuse d’avoir assouvi son rêve et presque maternelle, elle nous serra très fort dans ses bras en nous embrassant longuement.

 

C’est environ dix minutes plus tard, alors que couché sur le ventre, je caressais tendrement Christelle, que je sentis la verge de Laurent caresser mes fesses. Par réflexe je m’écartais et m’apprêtais à protester, mais quand Christelle d’une voix suave me demanda de me laisser faire :

 

– Laisse-toi faire, il va t’enculer ! il ne te fera pas mal.

 

J’écartais alors mes fesses, ouvrais mon anus, facilitant ainsi le passage du pénis de Laurent.

 

Un quart d’heure après nous trinquions tous les trois à mon dépucelage anal.

 

Rewriting d’une nouvelle non signée titrée « Annonces rencontre » parue sur SophieXXX en 1999. Le style et l’esprit d’origine ont été respecté

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:23

Plage perverse par Elian_Lvekman

Fetish

C’était en Août, en vacances : un soir que je me promenais seul sur une plage tiède et déserte…

 

Au bout d’un bon quart d’heure, je rencontrai une femme d’environ 26 ou 28 ans qui s’était assise sous la lune, dans une petite robe légère, une blonde et frisée avec un visage atypique mais jolie. Elle me regardait approcher depuis un moment. Je suis un peu sauvage et je n’aime pas me sentir observé, aussi, j’avais hâte de la dépasser pour continuer ma promenade nocturne (non que je n’espérasse pas secrètement une rencontre fortuite, mais je savais d’expérience que cela n’arrive jamais…)

 

Or, ce soir-là me fit mentir, car la femme me tendis rapidement une « perche » pour lui faire la conversation ! Ce fut bien sûr d’abord les banalités d’usage, mais bien vite, elle m’invita à s’asseoir à côté d’elle mais en me précisant :

 

– Je ne suis pas une femme, si ça te choque on en reste là, sinon tu peux t’asseoir.

 

Je dévisageais la créature, de vieux fantasmes refirent surface, et un début d’érection envahit ma braguette. Je m’assis et je sentis son parfum m’envahir :

 

(Et à partir de cette ligne nous continuerons à conjuguer cette troublante créature au féminin ! Et pourquoi demanderez-vous ? Eh bien, parce que ç’est mieux !)

 

En écoutant sa voix légèrement rauque, j’eus soudain envie de la serrer dans mes bras. Elle sembla s’en apercevoir et me regarda un peu effrontément ; je me dis tout d’abord que je devais me faire des idées, mais après tout, il est assez rare qu’une fille (et qui plus est, une transsexuelle) invite quelqu’un à s’asseoir à côté d’elle sans arrière-pensées, et fort de cette prise de conscience, je lui pris la main, et m’approchai doucement pour l’embrasser.

 

Elle n’attendait apparemment que cela et nos deux langues se mêlèrent frénétiquement. Nous étions comme électrisés par nos audaces réciproques. Sans préambule, elle ouvrit ma braguette et défit ma ceinture pour atteindre mon sexe où le sang battait avec force. Continuant à m’embrasser, elle me masturba un peu maladroitement d’abord, puis ses caresses devinrent plus subtiles. Au comble de l’excitation, j’espérais qu’elle se pencherait sur moi pour me faire une fellation, mais cela n’avait pas l’air d’être dans ses intentions immédiates. Je me dis alors qu’elle pouvait avoir les mêmes attentes, et j’entrepris d’ôter sa culotte afin de lécher sa bite. A vrai dire je n’avais jamais fait une chose pareille, et je craignais un peu que l’expérience ne soit rebutante, mais à ma grande surprise, sa jolie verge rose et son gland violacé décalotté et légèrement humide et salé n’étaient pas désagréables à léchouiller, et leur discrète odeur âcre avaient même quelque chose d’enivrant qui m’encouragea à être plus fougueux dans mon étrange baiser… Je la léchais bientôt abondamment, puis m’enhardissant je fis pénétrer sa bite dans ma bouche et commença à la sucer en usant des lèvres et de la langue.

 

– Je m’appelle Mandy ! me dit-elle. J’aimerais bien que tu me suces le cul.

 

Sucer le cul d’un travelo ? En voilà une idée incongrue, la bite passe encore, mais pas le cul. Je changeais rapidement d’avis quand Mandy se mit en levrette, cambrant son fessier magnifique. Ne me reconnaissant plus, je fonçais langue en avant vers cette vallée des trésors. Son trou du cul sentait un peu fort, mais ce n’était pas pour me déplaire, j’aime les odeurs un peu relevées. Ma langue quémandait l’entrée de cet anus qui finit par s’entrouvrir.

Tv beach

Je ne me serais jamais cru si ardent et si comblé moi-même par la pratique de cet anulingus hors norme… Tout essoufflée, c’est elle qui m’arrêta bientôt pour se jeter à son tour sur mon sexe. Elle n’avait pas froid aux yeux et s’appliqua à enserrer mon gland avec ses lèvres rondes et un peu fraîches, et fit de délicates et lentes allées et venues. Je ne savais pas quelle attitude prendre, et je lui caressai les cheveux pendant qu’elle osait enfoncer de plus en plus profondément mon pénis dans sa bouche. On entendait des bruits de succion pas très esthétiques, mais assez excitants. Comme je l’avais fait, elle se montra de plus en plus fougueuse, et je dû bientôt l’arrêter pour ne pas éjaculer dans sa bouche…

 

– Tu veux jouir, me demanda-t-elle ?

– Je vais avoir du mal à me retenir encore longtemps…

 

Elle me regarda et sembla réfléchir quelques instants, puis redescendit vers mon sexe bouillant en me disant :

 

– Laisse toi allez, tu peux éjaculer si tu veux !

 

Elle continua ce qu’elle avait commencé en ordonnant soudain :

 

– Éjacule dans ma bouche ! Je veux que tu le fasses !

 

Au bout de nouvelles caresses au rythme maintenant effréné, je sentis l’orgasme m’envahir progressivement ; je balbutiai que j’allais jouir pour lui laisser encore le choix d’éviter la décharge en pleine bouche, ses lèvres continuèrent à sucer mon sexe et je sentis les longs jets chauds se répandre à l’intérieur d’elle. Je fus longtemps secoué par les spasmes de l’éjaculation, et comme elle avalait toujours mon gland, elle en eut littéralement plein la bouche, à tel point que je vis couler de ses lèvres un flot de sperme qu’elle ne pouvait contenir !

 

Ma surprenante partenaire garda longtemps les yeux fermés tandis qu’elle déglutissait patiemment et sans dégoût mon épaisse semence et achevait sur mon pénis les dernières lèches de toilette. Le baiser quelle me donna ensuite me laissa un petit goût particulier…

 

N’étant pas un surhomme, j’aurais été en mal de continuer à lui faire l’amour, car mon sexe était maintenant devenu lourd et flasque et toute nouvelle performance m’était provisoirement interdite… A dire vrai, je n’en éprouvais même plus l’envie sur le moment, tant mon orgasme fut intense et puissant ; je ne me souvenais d’ailleurs pas avoir déjà éjaculé autant et si longtemps.

 

Un raclement de gorge !

 

Deux gars sont là à deux mètres de nous, la bite à l’air en train de se branler.

 

– On peut se joindre à vous ? Demande le premier.

 

Je cherchais une réponse polie afin de les éconduire, mais Mandy parla avant moi.

 

– Bien sûr, vous tombez très bien, car mon nouvel ami, dit-elle en me désignant est momentanément hors service.

 

Les gars s’avancent, Mandy s’approche du premier et lui gobe la bite. L’autre s’approche de moi. Au secours ! Je ne veux pas le sucer, je vous l’ai dit, toute excitation m’a quitté, et ensuite je ne suis pas homo ! Avec un travelo, ce n’est pas la même chose, mais là, ce sont des mecs ! Il faut tout de même avouer que cette bite qui est devant moi et qui me nargue est vraiment très belle. Allez, j’y touche un petit peu, mais juste un peu, hein ? Je peux même la sucer un peu, juste un peu… Et me voici l’air de rien en train de sucer la seconde bite de ma soirée. Que c’est bon ! Quelle douceur, quelle texture ! Mon excitation et la bandaison qui va avec reviennent.

 

Je regarde du côté de Mandy où les choses sont allés très vite puisqu’elle tend ses fesses à l’un des gars, lequel ne tarde pas à l’enculer comme il se doit.

 

J’espère que mon partenaire ne va pas vouloir me faire la même chose. Une seule solution : le sucer à fond et le faire jouir comme ça. Je mets donc tout mon cœur (à défaut de mettre mon expérience) à faire tourner ma langue autour de ce gland divin, à faire coulisser cette verge si douce.

 

– Qu’est-ce que tu suces bien, toi ! Me dit le gars.

– Hummmpf, hummmmpf…

– Tu veux que je te prenne !

– J’ai pas l’habitude ! Répondis-je spontanément en lâchant sa bite.

– Je suis très doux, tu verras, tout se passera bien, mets-toi en levrette.

– Non, non !

– Si ça te fais mal, on arrêtera, mais tu n’auras pas mal.

 

A côté de moi, Mandy essuie les coups de boutoir de son sodomiseur et semble y prendre un plaisir inouï.

 

– D’accord, si ça fait mal, tu arrêtes !

 

Me voilà en levrette, pour la première fois de ma vie, je vais me faire enculer, et finalement l’idée ne me déplait pas. Le gars me prépare le cul de la langue et du doigt. J’aime la façon dont il me doigte, avec d’abord un seul doigt, puis deux, peut-être trois, ce n’est pas facile de compter les doigts qu’on vous fourre dans le cul ! Puis un moment le gars me dit qu’il se met une capote et sa bite réclament le passage, je m’ouvre au maximum. C’est entré assez vite, ça fait mal et puis cette sensation de corps étranger est bizarre. Le type commence à remuer un peu.

 

– Ça fait un peu mal !

– Normal au début, je vais aller doucement.

 

Effectivement il va doucement, ça fait moins mal mais ça n’a rien d’extraordinaire. Il accélère un peu, la sensation devient différente, il accélère encore, je suis bien, j’aime ce qu’il me fait, il accélère encore, puis il ralentit, décule, se débarrasse de la capote.

 

– Tu veux mon sperme ?

– Hein ?

– Suce ma queue !

 

Ah, ça y est j’ai compris, je prends la bite en bouche, elle est de plus en plus salée, quelques moments de fellation et mon gosier est envahi de sperme. J’en ai gouté un peu, j’ai recraché le reste. Pas tout le même jour.

 

Mandy est en train de se bécoter avec son biquet. Je n’ai pas vu tout ce qu’ils ont fait. Peu importe !

 

– On vous laisse, merci pour le trip !

 

Les deux biquets s’en vont. Mandy m’informe qu’elle a envie de pisser. Voilà une information fondamentale.

 

– Tu veux ma bière ? Me propose-t-elle

– Volontiers, j’ai un peu soif.

– Alors ouvre bien la bouche !

– Hein, tu vas faire quoi ?

– Ben pisser !

 

Elle est folle ! J’ai déjà fait ce genre de truc, mais jamais avec un travelo.

 

Mandy m’arrose le torse, le ventre la bite, il remonte, j’ouvre la bouche et j’avale quelques gouttes. Il paraît que c’est bon pour la santé… et puis c’est tellement pervers…

 

– Tu veux dormir chez moi ? Me demande-t-elle.

– Tu es seule ?

– Non, je suis en vacances avec une copine. Mais elle est très sociable.

 

Je ne lui demande pas si sa copine est une copine à foufoune ou une copine à bite, on verra bien j’adore les surprises.

 

Elian

 

PS : au fait j’ai un peu mal au cul, mais ça doit être normal !

 

D’après un texte intitulé « léches amoureuses » dont j’ai oublié la provenance

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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