Julie à la plage par Elian Lvekman
Sur cette plage d’Aquitaine, on peut pratiquer le naturisme sauvage sans problème. J’étais à regarder les nanas sur la plage, et malgré que l’on soit début juin, il y avait pas mal de petites foufounes à se faire dorer, quand je vis remonter du bord de l’eau une superbe femme, la quarantaine passée, que j’avais déjà remarqué la veille au soir en compagnie d’un homme. Joli bronzage, seins superbes. Je m’assois sur ma serviette afin de ne pas la mater bêtement debout. Elle s’arrête pour ramasser quelque chose. Un coquillage ? Elle ne se presse vraiment pas, si elle ne comprend pas que je la mate, c’est qu’elle est miro ! Elle arrive à ma hauteur :
– Alors jeune homme, on se fait bronzer la bite ?
Imaginez ma surprise d’être ainsi interpellé de façon si triviale !
– Heu, bonjour, balbutias-je.
– Je peux m’assoir à côté de vous ? Demande-t-elle. Je m’appelle Julie.
Je pensais que vu sa réflexion, elle allait me brancher sexe, mais non on se met à discuter de banalités… de fil en anguille, on parle d’un peu de tout, elle m’indique que son mari est parti avec des amis faire de la voile pour la journée, et que préférant se prélasser sur la plage, plutôt que de se faire secouer dans un bateau, elle attendait son retour en fin de soirée.
Elle remarqua mon regard plein d’envie.
– Vous me trouvez comment ? Désirable ? Me demande-t-elle.
– Oh ! Oui ! Vous me faites de l’effet !
Elle regarda vers ma bite, et ne put constater que je ne mentais pas. Elle n’y alla pas par quatre chemins, elle se pencha vers moi, et m’embrassant à pleine bouche, nos langues s’emmêlèrent, c’était divin, je sentis sa main descendre vers ma queue qui était déjà très tendue, elle me branla un peu, puis se mis à genoux entre mes cuisses et prit mon gland dans sa bouche, fit rouler sa langue dessus, puis d’un seul coup, se l’enfila au fond de la gorge, elle se mit à faire des aller-retour, je sentais sa langue qui me caressait la queue en même temps qu’elle me suçait, c’était divin, c’était une experte, on voyait qu’elle prenait un pied royal rien qu’à sucer, et jamais on ne m’avait sucé comme ça, elle me caressait les testicules en même temps
Puis d’un coup je sentis un doigt caresser mon anus, et soudain, d’un p’tit coup sec, elle me l’introduit, en reprenant de plus belle sa succion sur ma queue, je crois que si j’avais essayé de lui l’enlever de la bouche, je n’y serai pas arrivé, elle est accrochée à ma queue comme une sangsue, la plage était remplie de bruits de succion et de nos râles.
Un petit regard circulaire ! Horreur il y a un mec à quinze mètres sur la droite qui nous mate en se tripotant la queue.
– Arrêtez, il y a un mec…
– On s’en fout, et puis ça ne me dérange pas, j’aime bien qu’on me regarde ! Me dit-elle.
Je vis sa main descendre vers son minou, je la vis se caresser, je ne pouvais plus tenir, j’allais jouir, je le lui dit, et se mis à me branler en même temps qu’elle me suçait, et là c’était trop bon, et je lui déchargeais dans la bouche de longs jets de sperme tout chaud. Après deux ou trois jets, elle sortit ma queue de sa bouche et continua à me branler, se prenant tout le reste de mon sperme sur le visage et dans les cheveux… c’était une vraie chienne… j’étais vidé, mais bien décidé à lui rendre la pareille.
Elle s’allongea et m’ouvrit ses cuisses et je pus enfin me retrouver nez à nez avec son joli p’tit minou tout blond et impeccablement taillé, juste un p’tit trapèze sur le pubis, qui s’arrêtait au bord des grandes lèvres, le reste était totalement épilé, c’était très excitant. Je plongeais ma tête vers ce sexe gonflé par le désir qui n’attendait que ça, mais si elle était experte en fellation, j’en étais pas moins expert en cunnilingus, j’adore ça, je pourrai bouffer un minou des heures durant, si on ne me suppliait parfois d’arrêter. Je titillais son clito avec ma langue, alternant les succions, les mordillements, et bien sûr je ne laissai pas de côté son vagin, d’où sortait un jus abondant, une vraie chienne je vous dis, elle mouillait comme une salope, c’était divin de laper ce miel qui coulait de son sexe, tout en continuant à lui lécher le clito, je lui introduit un doigt, puis deux dans le vagin, elle me prit la tête à deux mains et compressa mon visage contre son sexe, elle prenait son pied, elle eut un orgasme terrible, je sentis son corps se tendre sous les caresses de sa langue.
Nous nous retrouvâmes ensuite tête-bêche, et elle se remit à me sucer pour que ma queue retrouve toute sa vigueur, et nous voilà parti dans un soixante-neuf fort agréable
J’avais au-dessus de ma tête un cul splendide, je lui aspirait son clito, tout en la fouillant avec l’index, puis je ressortis mon doigt, lubrifié par sa mouille et lui l’introduit dans l’anus, elle avait l’air d’aimer ça, ce qui m’encouragea, à en introduire un deuxième, sans avoir besoin de salive, elle était de plus en plus mouillé, ne tenant plus et ayant envie de me bourrer ce p’tit cul, je lui arrachais ma queue de sa bouche, et pris un préservatif dans ma petite pochette, elle me l’arracha des doigts, l’ouvrit et le pris dans la bouche et se baissa sur ma queue, elle me l’enfila avec la bouche, j’avais déjà vu faire dans une vidéo, mais jamais on ne me l’avait fait, j’avais vraiment eu raison de venir sur cette plage ce soir-là, j’étais tombé sur une salope en chaleur !
Elle me suça un peu avec la capote, mais maintenant je voulais la prendre, la remplir de ma queue, je lui dit de se mettre à quatre pattes, je frottais mon gland contre sa fente et son clito, elle poussait des soupirs, j’alignais ma queue face à son vagin et d’un coup de rein, je m’enfonçais jusqu’à la garde, lui arrachant un râle de plaisir, je la saisis fortement par les hanches et je commençais à lui défoncer la chatte, mon pubis venant à chaque fois claquer fortement contre son cul, elle se cambra au maximum, pour sentir ma queue le plus profond en elle, elle avait la tête et les épaules sur ma serviette, et elle se mit à prendre ses fesses dans ses mains et à les écarter, comme pour que j’aille encore plus profond.
Je voyais sa p’tite rosette se détendre, je compris qu’en fait elle voulait que je l’encule, ne réfléchissant pas plus longtemps, je sortis ma queue de son sexe, positionnais mon gland contre son anus, et je commençais à pousser doucement, pour faire glisser ma queue dans ses entrailles, et là elle donna un grand coup de bassin en arrière et, ma bite la pénétra d’un trait, je n’allais pas assez vite à son goût, et elle avait très envie de se faire défoncer la rondelle apparemment, alors je commençais à lui limer le cul tout doucement, et puis de plus en plus fort, elle était déchaînée, et elle remuait en même temps que moi, je lui défonçais littéralement le cul, et elle aimait et en redemandait, elle gémissait et se tordait de plaisir, à bout d’un moment un peu fatigué par ce pilonnage en règle, je me retirais de son p’tit trou et m’allongea sur le dos, elle se mit à califourchon sur moi, et fit glisser ma queue dans sa p’tite chatte, et elle reprit les va-et-vient, elle était en pleine extase, son visage était beau à voir, avec le plaisir qui lui donnait un autre aspect, puis d’un coup sans crier gare, elle se leva un peu plus que d’habitude, faisant sortir ma queue de son sexe, puis le guida vers son anus et exerça un forte pression et s’empala à nouveau l’anus sur ma bite, elle se déchaîna comme une folle sur ma queue et d’un coup, elle se raidit, et parti en arrière, elle venait d’avoir un orgasme foudroyant
Je me remis sur elle, et lui remis ma queue dans son vagin, je repris de plus belle les va-et-vient, elle criait son plaisir, elle gémissait comme une folle, une vraie furie, je sentais le plaisir monter pour moi aussi, je me retirais, ôtais la capote et je lui tendis ma queue, qu’elle commença juste à sucer, quand je lui envoya la purée en plein visage, elle était aux anges, elle me suça jusqu’à la dernière goutte, ma queue reluisait de sa salive, elle était nickel …
Je me suis couché à ses côtés, elle est venue se blottir dans mes bras, elle m’a dit que cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu une baise comme ça et que maintenant avec son mari, ce n’était plus aussi intense qu’avant, et qu’il lui arrivait de temps en temps de trouver des jeunes hommes assez gentils pour combler son manque de queue.
Julie me caressait de nouveau ma queue, qui avait débandée après tous les efforts fournis, elle branlait ma p’tite queue toute flasque, mais qui sous ces caresses expertes, commença à réagir, il n’en fallut pas plus à Julie pour se rejeter dessus, comme la misère sur le monde, elle recommença à me sucer d’un façon totalement divine, c’était le pied, elle me suça avec frénésie, agaçant mon frein, mon gland avec sa langue, alternant les caresses de la langue, avec des succions terribles accompagnées d’une branlette, à ce rythme-là, ma queue se mit à lui déverser à nouveau mon plaisir dans la bouche, elle frotta ma queue pleine de sperme sur son visage et la remis en bouche pour ne laisser aucune trace, elle remonta vers moi, je l’embrassais à pleine bouche, échangeant nos salives et mon sperme.
Je me levai, regardant ce splendide corps nu de femme mature encore une dernière fois, nous nous embrassâmes, elle me remercia pour ce moment agréable … c’est moi qui la remerciais, car jamais on ne m’avait sucé comme ça, et cela faisait plusieurs semaines que je n’avais pas fait l’amour …
Et alors que j’allais m’éloigner, le voyeur s’approcha de nous, la bite à l’air.
– Félicitations jeune homme, vous avez admirablement baisé ma salope de femme !
Oups !
Je sens venir le traquenard.
– Rassurez-vous jeune homme, je n’ai pas de mauvaises intentions, j’adore la voir se faire baiser.
– Ah bon, ben, tout le plaisir était pour moi, bonne soirée.
– Juste une question ? Comment trouvez-vous ma bite ?
Ça y est j’ai compris, le mec est bisexuel ! Il s’y prend bien lourdement, je trouve ! Je vais l’épater, le bonhomme.
– Elle est très belle !
– Vous voulez la toucher ?
– Je peux même vous la sucer si ça vous fait plaisir, je ne fais pas ça souvent, mais à l’occasion ça ne me déplait pas du tout.
Et c’est l’exacte vérité, j’ai eu plusieurs fois l’occasion d’avoir une bite dans ma bouche, j’ai trouvé l’expérience plaisante, cela dit, je ne cherche pas non plus, je me classe comme hétéro, mais disons que je suis ouvert à la discussion.
Et l’instant d’après j’avais sa bonne bite dans la bouche. Je me régale de sa douce texture, de son goût légèrement fauve. Je lui titille le gland, je lui lèche la hampe, j’essaie aussi de gober ses grosses boules, puis je me livre à des va-et-vient intempestifs, bref je m’amuse bien.
Je ne me suis jamais fait sodomiser, mais je me suis souvent introduit un gode dans le cul, me faire enculer par un homme est un fantasme tenace. Et je me dis que si le mec me le propose, je tenterais volontier l’expérience.
Mais pour l’instant aucun signal, sans doute souhaite-il que je le suce à fond.
Je continue à le sucer, mais ce fantasme me taraude : « il va me le proposer ou pas ? ».
Je fais une pause, pour me reposer la mâchoire et là, je me jette à l’eau :
– Tu voudrais m’enculer ?
– T’es vraiment une petite salope, toi !
– Tu ne veux pas ?
– Mais si ! Je vais t’enculer comme une chienne.
Je me suis mis à quatre pattes, avec un peu d’appréhension quand même. Sa bite est entrée asse facilement, c’est plus gros qu’un gode, j’ai une énorme sensation de gêne qui s’accroit encore quand le mec se met à bouger là-dedans, j’ai failli lui dire d’arrêter, mais je me suis mordu les lèvres, me disant que ça allait s’arranger. Effectivement la gêne a rapidement fait place aux ondes de plaisir. Je me fais enculer et je suis bien. J’ai même trouvé que ça n’avait pas duré assez longtemps, le mec a joui rapidement et a déculé, me laissant le trou du cul béant.
– Alors content ? Me demande Julie.
– Content, mais crevé
J’attendais quelque chose, je ne sais pas quoi, une invitation pour un autre jour ou quelque chose dans le genre, mais non, on s’est dit aurevoir et je suis rentré faire dodo.
Le lendemain je suis allé sur la plage, j’ai attendu Julie, elle n’est pas venue, c’est la vie.
Fin
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