Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:47

Donnant donnant par Elian_Lvekman

Gode stamp

– J’ai une heure avant d’aller à mon rendez-vous. Alors ne me fait pas trop languir.

 

Laura raccrocha son portable. Elle venait de téléphoner à Bobby le jeune frère de son mari. Elle avait 35 ans et était plutôt grande pour une femme. Elle avait les cheveux châtains et les yeux verts. 15 minutes plus tard ils étaient tous les deux enlacés sur le lit conjugal. Bobby avait 13 ans de moins quelle, il avait été facile à séduire.

 

– Si mon frère apprenait ce que l’on faisait il nous tuerait.

– J’ai un moyen pour te faire oublier, dit Laura en ouvrant la braguette de son pantalon.

 

Elle sortit le sexe congestionné du slip et le regarda avec avidité et fierté. Elle le masturba rapidement plus pour durcir le sexe de son amant que pour le faire jouir. Dès qu’elle le trouva très présentable Laura commença à embrasser son ventre, puis elle glissa sa langue sur le nombril de Bobby et couvrit la totalité de son ventre de baisers, il avait comme des frissons qui parcouraient tout son corps. Laura se laissa glisser jusqu’à ce que sa bouche rencontre naturellement le long et puissant sexe et ne l’engloutisse. Elle l’a emprisonné dans sa bouche et le suça goulûment. Laura l’enveloppa de sa langue, lui infligeant un vertige de velours. Elle aspira le membre raidi jusqu’au fond de sa gorge, à s’en étouffer, imprimant à sa tête des mouvements de plus en plus rapides. Bobby se laissait faire savourant l’instant les yeux fermés. Elle le retira de sa bouche, continua avec sa main, faisant danser sa langue un ballet endiablé sur le gros gland.

 

– J’ai mis des traces de rouges à lèvres sur ta queue, mon chéri ! dit-elle avec amusement.

 

Elle se redressa et ouvrit son déshabillé blanc. En-dessous elle ne portait qu’un porte-jarretelles blanc ainsi que des bas assortis et des escarpins à grands talons. Elle se mit à genoux comme pour une prière arabe, les bras allongés devant elle ses grosses fesses rondes et charnues posées sur ses talons. Elle releva légèrement sa croupe cambrée et se tourna vers lui.

 

– Je veux que tu me prennes comme ça, je veux te sentir très fort dans mes fesses, pour qu’à chaque instant quand j’aurais mal je penserai à toi.

 

Bobby se glissa derrière son amante son sexe dans sa main, et le présenta à l’anus largement ouvert et il se laissa tomber de tout son poids. Il l’embrocha jusqu’à la garde comme s’il venait d’enfoncer un trépied dans le sol, il ne s’arrêta que lorsque son ventre musclé fut collé aux fesses dures de Laura. Elle poussa un long soupir ravi.

 

– C’est meilleur comme ça ! murmura-t-elle. Déchire-moi comme tu sais si bien le faire.

 

Il se laissa aller sans retenue, son bas-ventre claquait contre les fesses rondes et fermes, violant les reins offerts aussi loin qu’il le pouvait. Jamais elle n’avait ressentie une telle sensation de plénitude, les 25 centimètres du sexe infatigable de son beau-frère devaient y être pour quelque chose. Laura répondait à chaque coup de boutoir par un feulement rauque. Pour lui, elle avait commençait à faire de la gym pour avoir des fesses plus fermes lorsqu’il la sodomisait, il la prenait ainsi à chacune de leur rencontre. Laura hurlait sans discontinuer, elle chassa de son esprit l’image de son mari qui ne l’avait jamais culbuté ainsi, et se contenta de jouir sous les coups de boutoir. Elle avait toujours été friande de sodomie, les longues années de mariage avait refroidi le feu qu’elle avait au fond de ses reins. Bobby continuait ses longs va et vient entre les fesses superbes de sa belle-sœur.

 

– Continue ! Ah, tu me déchires, tu… tu me fais mal, c’est booon… Aaah…

 

Il se mit à se démener entre les fesses charnues, comme s’il voulait les écraser, les aplatir, les faire exploser. Il avait l’impression de devenir dément. Laura avait pris ses fesses à pleines mains et les écartait encore plus pour qu’il la sodomise mieux. Bobby rebondissait sur les grosses fesses, il était presque devenu un homme primitif qui était dominé par ses pulsions par ses instincts. Un homme animal qui pourfendait une femelle en chaleur. Il se tenait fermement à ses épaules la maintenant au sol. Il sentait la jouissance monter de ses reins. Il donna encore quelques furieux coups de butoir et se répandit dans les reins gracieusement offerts en poussant un hurlement. Il avait l’impression que c’était sa moelle qui se déversait. Qu’elle l’aspirait. Il se retira de cette croupe accueillante et contempla l’œil brun, source de délice anale, ouvert et distendu de sa compagne, d’où suintait quelques gouttes de sperme.

 

Comme souvent son sexe n’était pas ressorti intact de cette folle chevauchée. Du sperme mais aussi des traces brunes. Cet état ne gênait point Laura qui prenait un malin plaisir à narguer son amant en lui nettoyant tout cela de sa langue agile.

 

– On a plus le temps ! Indiqua Bobby voyant ensuite Laura farfouiller dans son sac.

– Si ! Répondit-elle sèchement.

 

Elle s’harnacha de son gode ceinture, et lui fit face, crânement.

 

– Suce, suce cette bonne bite !

 

Donnant

Sans conviction excessive, Bobby entreprit de faire un simulacre de fellation au sex-toy en latex noir de bonnes dimensions que son amante avait accroché entre ses cuisses, puis sans qu’elle ne lui demande il s’allongea sur le dos et releva ses cuisses afin de faciliter la pénétration. Laura commença à embrasser ce charmant anus qui s’exposait à ses yeux, puis elle sortit sa langue, exerçant de savantes circonvolutions afin de la forcer à s’entrouvrir, ce qu’il finit par faire. Elle introduisit alors un doigt, puis un deuxième, les fit aller et venir, provoquant des ondes de plaisir chez son amant.

 

– Alors, tu le veux ? demanda-t-elle

– Oui, vas-y ?

– Demande le moi mieux que ça !

– Enfonce-moi ton gode, Laura

– Plus crûment !

– Encule-moi !

 

Après avoir tartiné de gel le fondement de son amant, elle fit pénétrer le gode d’un mouvement sec, avant de le faire aller et venir.

 

– Qu’est-ce que c’est bon ! C’est bon, c’est trop bon ! Psalmodiait-il.

– Qu’est ce qui est donc si bon ?

– Ce que tu me fais ?

– Et je te fais quoi ?

– Tu m’encules !

 

Du sperme finit par s’écouler du sexe semi-bandé de Bobby.

 

– Alors ?

– Je ne te remercierais jamais de m’avoir fait découvrir ce plaisir !

– Un jour je tacherais de te dégoter une vraie bite, ça sera mieux que le gode !

– Il n’en est pas question !

– On dit ça, on dit ça !

 

FIN

 

Rewriting d’une nouvelle non signée titrée  » Gail  » parue sur SophieXXX en 1999. Le style d’origine a été respecté.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 11:31

Solange et son fils par Elian Lvekman

 blob

- Regarde comme je suis écartée, salaud, je suis toute mouillée à cause de toi !

 

Voilà plus d'un quart d'heure que Solange est empalée sur la queue de Cédric, son fils de dix-neuf ans.

 

- Et alors, tu n'aimes pas, salope ? Ton clito est tout dur, je sûr qu'il est tout rouge. Papa te donne pas assez, c'est pour ça que tu fais la pute avec moi.

- Tais toi, tu sais que j'aime ta queue. Même si c'est celle de mon fils. Oh, que c'est bon, ce que tu me fais, oui...ouiii.

- Moi aussi je viens, salope, ouais, prend ça. Que c'est bon de tremper sa queue dans ta chatte de sa mère.

 

Le couple s'écroule sur le canapé.

 

- Hum c'était trop bon, il faut que je pisse maisnteant !

- Pisse moi dans la bouche, mon fils, je vais tout boire…

 

Solange est entièrement soumise à son fils, depuis qu'il l'a surprise au lit avec le voisin

 

Ça c'était passé très simplement :

 

- Ben maman, tu t'envoie en l'air avec le voisin !

- Et alors ? Tu n'as pas à me juger !

- Je te juges pas, mais je trouve qu'il a beaucoup de chance, le voisin, j'aurais bien voulu être à sa place !

- Chiche ?

- Euh…

- Ben qu'est-ce que t'attends, viens me montrer ta bite, je vais te la sucer…

 

Et ce fut le début d'une relation torride.

 Frankie

- Demain, y a Paul qui vient, dit Cédric. On va le chauffer, Alors, mini-jupe et rien dessous !

- Hi, hi !

- Ça t'excite déjà on dirait ?

- Oh, oui !

- T'es vraiment une cochonne, j'ai bien envie de te donner une fessée !

- Vas-y ne te gêne pas, rougis-moi le cul.

 

Cédric à couché sa mère sur ses genoux et l'a fessée à la volée jusqu'à ce qu'il en attrape mal aux mains, ensuite il l'a enculé sauvagement.

 

Paul est le cousin de Cédric, donc le neveu de Solange. Il arrive à quatorze heures.

 

- Bonjour tout le monde : Dit-il, ça va tata ? En forme ?

- Et toi , tu t'es enfin décidé à venir me voir. Comment va ma sœur ?

- Très bien, le trantran.

 

Cédric est installé sur le canapé. Il prend sa mère par la taille, la tire vers lui et l'assoie sur ses genoux. il glisse une main entre ses cuisses.

 

- Tu t'es épilé la chatte, m'man, ça m'excite ça !

- J'ai fait ça pour toi, mon chéri.

 

Paul est sidéré par la scène. Il aperçoit l'entre-jambe de sa tante.

 

- Mais, Cédric tu es fou ! Dit-il. Qu'est-ce-que tu fais ? C'est ta mère enfin !

- Approche Paul, viens voir la petite chatte de ma maman comme elle est belle. Elle est déjà toute mouillée. Viens la lui caresser.

- Arrête de parler comme ça ! Gémit Solange, tu vas me faire jouir. Tu sais que je résiste pas longtemps. Tu me rend folle. Allez viens Paul, tu n'en mourras pas, au contraire ça devrais te plaire !

 

Paul s'avance timidement, et caresse la chatte de sa tante.

 

- C'est vrai qu'elle mouille ! Constate-il.

- Je vous en prie, supplie-t-elle, niquez-moi, les garçons ! Vous ne voyez pas que j'en crève d'envie.

 

Tout le monde se déshabille.

 

- Oh la belle queue que tu as, Paul, et tu bandes bien ! Tu l'as déjà sucé, Cédric ?

- Ben non, je ne suce pas les garçons !

- Même si c'est moi qui te le demande ?

- Dans ce cas…

- Mais moi, je ne veux pas, proteste Paul.

- De qui, tu ne va refuser de faire plaisir à ma mère, d'autant qu'après tu vas pouvoir la baiser.

 

Et c'est ainsi que Cédric se mit à sucer la bite de son cousin.

 

- Allez maman, maintenant une petite turlutte à ton fils, ça te dis? Regarde comme elle est raide !

 

Paul se place derrière sa tante, la queue en érection. Il la fait aller et venir entre les lèvres humides, puis la pénètre.

 

 -Ha.. ha.. l'enfoiré ! Hurle Solange, quelle bite, oh putain, il est mieux monté que toi, ton cousin, oh le con. Et ses couilles, fait moi toucher tes couilles !

 

Solange passe une main entre les jambes de son neveu, et fait rouler les testicules entre ses doigts.

 

Paul accélère ses coups de queue dans la chatte en feu de Solange. Cédric donne des signes de faiblesse.

 

- Salope, pipe, avale bien, brave maman. Que tu es bonne ! Pauvre papa, s'il savait que sa femme se fait tirer par son fils. Quel cocu !

-Tais-toi ! Gémit Solange, laisse-moi jouir tranquille, vas-y Paul, nique-moi, bourre-moi, vide tes grosses couilles dans la chatte de tata ! Ha..ha..oui..ouiii, je jouiiis.

 

Paul envoie sa semence dans le ventre de sa tante, en hurlant de plaisir. Elle se retourne, l'embrasse sur la bouche..

 

-Petit vicieux ! Plaisante Solange, tu n'as pas honte de niquer ta tante ? Tu le ferai avec ta mère ? Vilain !

 

Paul se recule. Cédric tend une main, et lui prend la queue.

 

- C'est vrai que tu es bien membré ! Dit-il. je comprends que tu ais fais gueuler ma mère. Tu veux qu'il t'encule maman ?

- Non, dit Paul, pas ça, je peux pas me permettre. Restons-en là.

- Comme tu veux, répond Cédric, ce sera pour moi ce soir, hein m'man ?

- Bien sur mon chéri, dit Solange, ton père ne rentre pas ce soir, on aura toute la nuit.

 

Elle se retire dans la salle de bains. Les deux cousins restent assis sur le canapé. Cédric prend la main de Paul, et la porte à son sexe.

 

- Caresse moi, lui dit-il, décalotte-moi comme il faut. Prends-moi les couilles aussi.!

- Je n'ai pas osé dire devant ta mère qu'on se tripotait de temps en temps. Tu veux un doigt dans ton cul, Cédric ?

- Bien sûr !

- Comment tu es devenu, Cédric. Baiser avec sa mère ! Quand même !.

- Tu devrais essayer avec la tienne, répond-il. Du reste, tu devrais l'emmener un jour pour qu'elle se gouine avec sa sœur devant nous, ça doit être excitant, non ? Oh putain, je crache, regarde, tu as fait jouir ma mère, maintenant tu fais jouir son fils, quel famille.

- T'as joui trop vite, c'est dommage, je t'aurais bien fait une bite au cul ! Attend je vais lécher ton sperme tu en a mis partout.

 

Deux jours plus tard, Solange appelle sa sœur.

 

- Allo, allo.

- Ha.. ha.. oui.

- Mais qu'est-ce qu'il t'arrive ? Demande Solange.

- Si tu savais, c'est mon fils, il m'a tout raconté…

- Oh !

- Et là, il est en train de me mettre des coups de queue ce salaud, ça fait deux fois qu'il me fait jouir. Tu m'entendrais crier. Ha.. ha... oui, je viens encore, je jouiiiis.

 

Tut. tut. tut. tut.

 

Rewriting d'un texte signé Frankie publié sur le site "Histoire érotique" (au singulier) titré :"Une maman soumise", catégorisé dans Histoire "Extra conjugale", bourrée de fautes de toutes sortes et encombré de caractères exotiques.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 08:13

Deux mecs et leur mère par Elian Lvekman

Rosemonde

Bonjour je suis Gilles, j’ai 24 ans, étudiant, j’habite encore chez papa maman, de même que mon frère Cédric qui en a 22, étudiant comme moi.

 

J’ai toujours été obsédé par tout ce qui touchait au sexe, j’aime la compagnie des femmes, surtout quand elles sont plus âgées que moi, mais ne dédaigne pas celle des hommes. J’aime avoir une bonne bite dans ma bouche ou dans mon cul.

 

Mon frère est aussi cochon que moi et… mais laissez-moi vous raconter :

 

Ce matin, je me dirige vers la salle de bain après une nuit calme, Cédric y est déjà, il est à poil et il bande comme un malade.

 

– Tu m’as l’air en forme ce matin !

– T’as vu, hein ! Me nargue-t-il en me faisant face. Ça c’est de la bite, c’est pas de la rigolade !

– Hum je crois bien que je vais la sucer.

 

Un petit scénario qui se répète parfois, mais dont je ne me lasse pas…

 

Je me baisse et prends ce magnifique cylindre de chair dans ma bouche de salope, je pompe, je pompe, je me régale de la bonne bite de mon frère

 

– Relève-toi et tourne-toi ! Je vais t’enculer ! Me dit Cédric.

 

Il ne l’a pas fait de suite, souhaitant me préparer le cul en me léchant consciencieusement la rondelle… W?h ! Quelle langue ! Puis il m’a pénétré avec beaucoup de douceur jusqu’à ce qu’il jouisse dans mon petit cul.

 

Quand il s’est retiré, sa bite était gluante de sperme et du jus de mon cul. J’ai nettoyé tout ça avec ma langue en me branlant.

 

Puis Cédric a quitté la salle de bain, je m’en étonnais car à l’évidence il n’avait pas terminé ses ablutions.

 

Qu’importe, je pris une douche rapide et revigorante, et me séchait sommairement avant de remonter pour m’habiller.

 

En passant, je constatais que la porte de la chambre de mes parents était restée entrouverte. j’y entendais des cris étranges.

 

Je m’approche à pas de loup. Et là, je découvre une scène hallucinante. Ma mère est à genoux sur le lit, appuyée sur les mains, et se fait prendre en levrette par Cédric.

 

– Ah, mon salaud ! Gémit-elle. Ah, comme tu me niques ! Tu n’as pas honte de faire ça à ta mère ? Oui, vas-y mon chéri, bourre-moi bien avec ta bonne bite ! Je joui, oui, oui…

– C’est bon ça, hein maman ? Un bon coup de queue. Tu sens comme je te baise. moi aussi je viens, ouah…. que tu es bonne, maman, ha, oui. oui….

 

Cédric se retire prestement et vient se placer devant sa mère.

 

– Ouvre la bouche, dit-il.

 

Mon frère tient sa queue en main, et se branle au bord des lèvres de ma mère. Les jets de sperme giclent au fond de sa gorge. Elle suce le gland, pendant que Cédric, par de lents va-et-vient, évacue les dernières gouttes. Ma mère s’écroule sur le lit, les yeux fixés au plafond.

 

J’aurais peut-être dû partir, non je restais là complètement halluciné, et puis j’ai dû faire un faux mouvement ce qui fait que la porte s’ouvrit carrément.

 

– Oh, mais qui est là ? Demande ma mère en me découvrant.

– Euh rien, je passais dans le couloir et la porte s’est ouverte. Je vous laisse.

– Tu ne te demandes pas ce qu’on fait tous les deux à poil ? Me chambre-t-elle.

– Euh…

– Tu sais, Gilles quand il y en a pour un il y en a pour deux.

– Ben… Il y a longtemps que vous faites ça ?

– Plusieurs semaines on va dire, même un peu plus ! Allez viens, approche que je goûte à ta queue. On va voir si elle est aussi bonne que celle de ton frère !

– Je, je…

– Tu ne vas pas te dégonfler, intervient Cédric, viens te faire sucer par maman, elle est très douée, tu sais.

 

J’étais fasciné de voir ma mère à poil avec ses gros nichons si excitants avec leurs grosses pointes durcies.

 

Alors comme un zombi, je me suis approché et j’ai laissé ma mère me prendre en bouche !

Mother 2son

Putain qu’est-ce qu’elle suçait bien ! Et en même temps mon frangin m’introduisait un doigt dans le cul.

 

Puis ma mère s’est retournée, elle s’est mise en levrette, me demandant de l’enculer, j’étais tellement excité que je suis parti en moins de deux minutes. Elle s’est couchée sur le dos, a commencé à se palucher avant de me demander de la relayer

 

Ce fut le début d’une longue série de baise à trois, souvent ma mère nous demande à mon frère et à moi de nous sucer et de nous enculer devant elle avant que nous la prenions en sandwich.

 

Tiens à propos de sandwich, j’ai comme un petit creux.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 08:07

Bouboule par Elian Lvekman

zoo

 

Ma tante Margot, était une très belle femme de cinquante-trois ans, mince, très sexy, les fesses bien pommelées, une taille fine et une poitrine ferme, très haute, en forme de grosses poires. Je l’avais vue en maillot de bain, et son corps me faisait fantasmer.

 

Veuve depuis quatre ans, elle habite seule dans un petit pavillon en banlieue parisienne. Mon cousin Paul, son fils unique, travaille dans le sud de la France. Nous ne l’avions jamais vue en compagnie d’un homme. Une rente confortable laissée par son mari lui permettait de bien vivre sans travailler.

 

Pour éviter un éventuel cambriolage, son fils lui avait offert un chien, un Labrador baptisé Bouboule à qui elle parlait et qu’elle cajolait comme un enfant.

 

Elle m’avait demandé de lui poser des étagères dans un débarras. Un vendredi après-midi, je passais chez elle, mon sac à outils en main. La porte était close, j’entrais avec la clé qu’elle m’avait confiée.

 

Persuadé que j’étais seul, je me dirigeais vers le grand ’débarras’ ou devait être installée l’étagère. J’entendis un bruit. Craignant de me retrouver nez à nez avec un cambrioleur j’avançais en silence. La porte était légèrement entrebâillée, je poussais doucement.

 

Ma crainte fit place à la stupéfaction. Margot à quatre pattes, en tee-shirt, les fesses nues se faisait saillir par Bouboule. Le chien agrippé aux hanches de la femme, le dos arrondi, les pattes arrière tendues, limait à toute vitesse. Je voyais son sexe entrer et sortir à une cadence étonnante. Le gros bulbe de chair rouge à l’embase de sa pine ressortait de temps à autre, venait frapper contre le vagin de la femme avant d’entrer de nouveau arrachant des râles de plaisir.

1 Indira

Le couple insolite me tournait le dos, ma Tante ne s’était pas aperçue de ma présence. Elle continuait de se masser les seins d’une main énergique. Elle serrait les dents pour ne pas crier plaisir sous les coups de boutoir vigoureux de l’animal.

 

La surprise passée, je fus pris d’une violente excitation, mon sexe se dressait à en faire mal. J’étais hypnotisé par le spectacle de la belle et de la bête enlacées.

 

Voyant le chien se dégager, ma tante restait agenouillée continuant à se caresser pour prolonger son plaisir, le chien se léchait le sexe pour le faire rentrer dans son fourreau.

 

J’allais me retirer discrètement, quand Bouboule reniflant ma présence, bondit vers moi pour me faire des joies.

 

Margot qui s’était retournée pour savoir où se trouvait Bouboule, me vît dans l’entrebâillement de la porte, devînt cramoisie et s’écroulât en larmes, la tête nichée au creux de son bras, sanglotant :

 

– Quelle honte?! Quelle honte?!

 

Aussi gêné qu’elle, je m’avançais pour m’asseoir à ses côtés, la saisissant par un bras je la relevais pour la serrer contre moi. Plaçant son visage au creux de mon épaule, je tentais de calmer ses sanglots en caressant ses cheveux et en la rassurant :

 

– N’aie pas peur, je n’en parlerais à personne. Tu n’es pas la seule à le faire. C’était d’ailleurs très beau. Tu étais magnifique et excitante. Allons calme-toi, ça restera entre nous deux.

 

Ses sanglots calmés, je relevais son visage, je séchais de grosses larmes qui ruisselaient sur son visage. Elle reniflait comme une enfant répétant :

 

– Que j’ai honte, que j’ai honte?!

 

Je continuais de la rassurer :

 

– Ne soit pas inquiète je serais discret. J’ai trouvé cela très beau. C’était même très excitant, regarde j’en bande encore.

 

Elle regardait vers ma braguette, tendue par mon sexe raide, et réalisait soudain qu’elle même était nue jusqu’à la taille. Elle se serrait encore plus contre moi. Ensemble nous avons éclaté de rire. Bouboule s’était relevé, il sautillait autour de nous.

 

Je posais une main sur ses seins en forme de poires, je réalisais mon rêve. Elle se laissait faire. J’allongeais Tante Margot délicatement à terre pour l’embrasser goulûment. D’une main preste elle débouclait ma ceinture et libérait mon sexe raide pour le masser délicatement. M’interrogeant, inquiète :

 

– Je suis une chienne ! Tu veux de moi quand même ? Veux-tu que j’aille me laver ?

 

– Non, non, je trouve cela plus excitant de baiser après le chien ! J’espère que tu recommenceras pour moi. C’était très beau de te voir saillie par Bouboule. Soit chienne j’adore ça.

 

Margot s’était mise à genoux pour sucer ma queue. Bouboule prenant cette position pour une invite revint lui lécher les fesses et la chatte. Elle voulut le chasser, je l’en dissuadais.

 

C’est ainsi que ma Tante devînt ma maîtresse. Dès lors je lui rendais des visites très fréquentes ou elle se faisait saillir et sodomiser par son chien, ensuite nous baisions comme de jeunes fous.

 

Un jour qu’elle se faisait sodomiser par Bouboule, je lui avouais être bisexuel et que j’aimerais aussi essayer de me faire prendre par lui.

 

Sa surprise passée, elle me demandait de me mettre à quatre pattes les fesses bien relevées, elle prit un tube de crème pour me préparer le cul, elle dit :

 

– Il est gros, ce sera mieux.

 

Margot profitait de « l’encrémage » pour me glisser un doigt, puis deux, dans mon petit trou. Elle me branlait le cul en douceur, elle sortit un gode de ne sais ou, me l’introduisit à la place de ses deux doigts. Quel régal ! De son autre main elle me caressait la verge et les couilles à tour de rôle.

 

– Ça te plait, hein petit pédé ?

 

Elle appelât Bouboule, il me reniflait le cul, puis sa langue balayât le petit trou. Un peu râpeuse, ça me faisait une sensation agréable. Elle commençât à branler le chien qui réagit très vite, ce salaud était toujours prêt à baiser?! De lui-même il se montait sur mes fesses, s’agrippant à mes hanches.

 

Margot saisissait sa pine qui n’était pas encore totalement gonflée, mais quand même dure grâce à sa palette (os interne). Elle le guidait elle-même dans mon trou, pour éviter qu’il ne me fasse mal en tapant dans son excitation pour chercher mon anus.

 

Dès qu’il fût en moi il se mit à limer à tout va, je sentais sa queue enfler dans mon ventre grossissant et s’allongeant en moi. Il giclait presque en permanence, je sentais les palpitations de son sexe qui jutait dans cul. Que c’était bon?!

 

La situation aussi me plaisait beaucoup. Me faire saillir par Bouboule comme une chienne ! Je me régalais. Tante Margot aussi, qui, adossée au canapé, nous regardait en se branlant énergiquement avec deux godemichés. Un très gros dans la chatte et l’autre plus modeste dans son cul. Elle râlait de plaisir.

 

Bouboule s’était calmé, il restait planté en moi continuant de décharger. Sa boule n’était pas entrée, je la sentais collée à mes fesses. Il se retirait lentement, sa pine faisait un bruit de ventouse, il se dégageait libérant le flot de son foutre qui me coulait sur les cuisses.

 

Je savais que je recommencerais souvent. Je me promis d’avoir mon propre chien dès que je pourrais. Je me promis aussi d’en parler avec Paul, mon cousin, avait qui j’avais fait mes premiers pas dans la sexualité, puisque nous nous étions sucé la bite, et qu’il m’avait enculé, il était aussi libéré que moi dans ce domaine.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 07:52

Avec un autre couple par Elian Lvekman

 

bi stamp

 

Bonjour, je m'appelle Eric. Je voudrais vous raconter notre première relation sexuelle avec un autre couple. Nous nous sommes rencontrés jeunes, Stéphanie et moi. Les années ont passé dans la joie et le bonheur, le côté sexe n'ayant que progressé pour notre plus grande joie. Ceci dit, nous avons décidé ensemble d'essayer l'échangisme ou plutôt le mélangisme, une partie à quatre en somme. Après avoir cherché quelques temps, nous avons fait la connaissance d'un couple nous " ressemblant ". Le jour J on s'est rencontrés dans un bar. A peine une heure plus tard, chacun se plaisait.


Nous sommes alors allés chez eux pour un repas qui s'annonçait mouvementé. Après avoir pris un apéritif, nous passons à table. La discussion porte sur diverses choses. Vers la fin du repas, je commence à l'orienter vers le but de la soirée. Comme nous-mêmes, c'est la première fois qu'ils sautent le pas. L'ambiance est détendue. Nous passons au salon. Je propose que nous nous mettions à l'aise. Nous voilà donc en petite tenue, uniquement nos sous-vêtements. Ma femme propose un jeu. Quelques questions posées à tour de rôle jusqu'à ce qu'un d'entre nous se trompe pour se voir infliger un gage.


Notre nouvelle amie Sylvie honore le premier gage. C'est ma femme Stéphanie qui lui indique sa pénalité, excitée de découvrir un corps de femme :


- Debout devant nous, tu retires ta culotte, doucement. Tu poses une jambe sur cette chaise et tu nous fais voir ton minou. Si tu mouilles tu auras droit à une autre punition.


Elle se lève et lentement, aussi gênée qu'excitée, fait glisser son slip le long de ses cuisses, assez fortes mais fermes. Nous découvrons un sexe épilé en partie. Je regarde ma femme, elle n'en perd pas une miette. Sa langue sort gentiment de sa bouche.


- La chaise maintenant ! lui lance-t-elle.


Sylvie lève sa jambe gauche et la pose délicatement sur la chaise. Son sexe s'écarte laissant apparaitre ses lèvres charnues.


- Joli, dit Stéphanie, mais tu mouilles et je suis gentille, ton sexe est trempé, alors ton deuxième gage sera de mettre ta chatte près du visage d'Eric.


Elle ne se fait pas prier.


- Ecarte-toi les lèvres devant lui.


Légèrement gêné, mais intéressé, je pose mon regard sur cette chatte gonflée et mouillée de désir. Facile de constater que Stéphanie n'est pas insensible à ce petit jeu. Le prochain gage est pour moi, ai-je fait exprès de répondre de travers ? C'est Marc, le compagnon de Sylvie qui me l'énonce.


- Tu mets ce tablier, sans ton slip bien-sûr, et tu nous sers à boire. Si quelqu'un te touche les fesses, tu ne pourras rien dire.


Je m'exécute rapidement et apporte les boissons. D'abord à ma femme, qui en profite pour me toucher les fesses jusqu'aux couilles. Puis c'est Sylvie qui me passe la main. Mon sexe avait déjà gonflé sous les caresses de Stéphanie, quand Sylvie me titille l'anus au passage, ma bite se dresse complètement. Je m'approche de Marc, qui en profite pour soulever le tablier et me regarder ma queue avec attention.


- Qu'est-ce qu'elle est belle ta queue !


Je suis un peu décontenancé mais me dis qu'on est tous ici pour prendre du plaisir. D'autres gages s'enchainent pour nous faire découvrir une Stéphanie à quatre pattes le cul dressé ou Marc devant se décalotter le gland vers la bouche de ma femme. Ce petit jeu terminé, nous sommes tous surexcités. Les hommes bandent dur et ces dames ont la chatte en feu. Sylvie s'approche à présent de Stéphanie, qui se laisse glisser du canapé au tapis comme si elle était devenue lave de volcan.


Côté chaleur aucun doute : La femme de Marc s'empare de la bouche pulpeuse de ma tendre épouse. Leurs langues se mêlent et se lèchent, animées du même désir. Rien que de les voir, je pourrais éjaculer tellement ce moment est intense et beau. Leurs mains caressent leurs corps en chaleur. Les magnifiques seins de Stéphanie sont malaxés par les mains expertes de Sylvie, alors que ma femme pétrit ses fesses. Le corps de Sylvie glisse le long de celui de ma compagne pour atteindre son entrejambe. Là elle plonge son visage, sa langue caresse cette partie intime. Stéphanie gémit, tourne son visage à droite puis à gauche. Elle se fait lécher le sexe par la bouche d'une femme, ça l'excite, et encore plus de savoir que je la regarde. Sylvie lui aspire le clitoris, le fait rouler entre ses lèvres et le suce comme si c'était un bonbon. Ma femme mouille abondamment. Elle écarte ses cuisses le plus possible. Les mains de Sylvie se promènent sur les seins, les hanches, le pourtour des fesses de ma femme, elle lui introduit même un doigt mouillé de sa liqueur dans la bouche. Un premier orgasme survient. Fort. Libérateur.


Sylvie se place maintenant accroupie sur le visage de ma jouisseuse de femme, et lui ordonne de lui rendre la pareille. La phase à peine terminée, Stéphanie enfouit sa bouche dans cette chatte qu'elle découvre pour la première fois. "Quel délice !" doit-elle penser ! Sa langue ne sait plus quel endroit lécher, elle est complètement déchainée. Elle enfonce un doigt dans le vagin, le retire et le suce en me regardant. Sylvie ne résiste pas longtemps à ce traitement de volupté et jouit en criant son bonheur. Quelques instants plus tard nous nous retrouvons entre couples hétéros. Marc est sur sa femme, il la pénètre en de lents mouvements. Stéphanie s'est empalée sur mon sexe en ébullition prêt à exploser. Je lui glisse à l'oreille :


- Alors ? T'as aimé ?

- Adoré tu veux dire, j'ai joui comme une folle.

- Vous m'avez excité !

- Tu veux jouir dans ma chatte ?

- Laissons ça pour quand nous serons seuls. Pour l'instant j'ai plutôt envie d'éjaculer sur ton cul. Répondis-je

- Oui. J'aime quand tu as du plaisir

- J'aime t'en donner aussi.

- Mais, je veux bien que tu m'encules, devant eux.

- Tu as envie de sucer Marc ? Lui demandais-je.

- Bien sûr !

- Je crois que tu en as envie de te faire prendre par tous les trous

- On est là pour ça, non ?


Nos deux couples se rapprochent et finissent par se toucher. Avec Stéphanie on regarde, presque avec passion, la bite de Marc s'enfoncer dans la chatte de Sylvie. De leurs côtés aussi ils matent. Plus aucun tabou ne résiste à cette union sensuelle et charnelle. Chacun d'entre nous est relax. Je me mets à genoux et invite mon amour à se poser à quatre pattes. Je fais signe aux autres de venir voir de plus près.


- Regardez-moi ce cul de salope ! Dis-je, il vous plait ? Je vais l'enculer devant vous ! Vous allez voir comme elle est bonne !


Nos amis sont attentifs, ma femme remue sa croupe, son sexe est bien visible, il coule. Mais avant de lui écarter l'anus, j'ai besoin qu'une langue le lui lubrifie. Sylvie n'hésite pas ! A peine dit, la voilà bouffant le cul de mon aimée, lui picorant le petit trou de sa langue pointue. Stéphanie gémit, son souffle devient court. Cette situation lui plait, elle est devant nous, se faisant lécher le cul par une fille.


- A ton tour Marc, viens bouffer le cul de cette belle salope !.


Il regarde sa femme au visage chaviré de désir. Il s'approche doucement, sort sa langue et la pose délicatement sur le petit trou de Stéphanie. Elle sursaute un peu, de plaisir sûrement. La langue malicieuse tourne autour de ce puits de plaisir. Le sexe de Marc, qui avait perdu un peu de son volume se redresse pour devenir très dur. Après cette excitante lubrification j'approche mon sexe de la croupe que j'aime tant, de ma femme. Sans rien dire, Marc lui écarte les fesses et Sylvie me prend la verge pour la guider vers le trou du cul bien ouvert. Je pousse doucement et finis par m'introduire au plus profond de son corps. Stéphanie gémit alors que Sylvie me caresse les fesses. Je suggère :


- On va se faire une séance spécial cul ! Toi Sylvie, continue de me caresser, toi Marc va te mettre à quatre pattes le cul tourné vers le visage de Stéphanie. Elle va te lécher l'anus, tu vas adorer. Sylvie tu feras de même avec le mien. Ça va être la fête des culs !


Marc est en position, il amène son joli derrière aux fesses lisses, très proche du visage de Stéphanie. Elle regarde, aperçoit les couilles épilées, remonte sur la cible, maintenant elle voit bien la rosette frémissante. Elle revoit mon anus, le mien qu'elle a si souvent honoré en me faisant monter au-delà des étoiles. Ce soir c'est un autre qu'elle va découvrir. Elle sort sa langue et demande à Marc de s'écarter les fesses. Elle pose sa langue sur cette partie si intime. Marc recule encore un peu de manière à être le plus près possible de la bouche lécheuse et suçeuse. De mon côté je me mets sur les pieds, toujours planté dans le trou de ma femme, pour offrir mon cul à Sylvie, qui s'empresse de me le dévorer. Que ceci est bon. Je regarde Stéphanie léchant l'anus et les boules de Marc, qui se tortille comme une femme. Je n'en peux plus, je sens l'orgasme m'envahir. Sylvie s'active sur mon trou. Je me retire et éjacule sur l'anus légèrement dilaté de Stéphanie.


Sylvie en a profité pour se masturber, elle aussi atteint un orgasme puissant. Marc s'est également caressé le sexe durant cette partie de cul léché. Il se retourne et éjacule en l'air, son sperme retombant sur ses couilles. Stéphanie aussi a eu droit à son orgasme, mais uniquement grâce à son cul. Elle transpire et se renverse sur le dos tout en touchant le sperme laissé sur sa raie.


La soirée ne fait que commencer.


Après une pause accompagnée d'un bon verre de vin, nous parlons de certaines anecdotes croustillantes qui nous sont arrivées dans notre vie. L'excitation regagne en puissance. L'éclairage est toujours tamisé et une douce musique vient agrémenter notre réunion. Sylvie, qui au début de la soirée montrait certains signes d'anxiété, était à présent tout à fait décontractée et plutôt excitée. C'est elle d'ailleurs qui ranime la partie. En effet elle nous demande à nous les hommes, de nous coucher sur le dos à l'opposé l'un de l'autre en venant imbriquer nos jambes de sorte que nos pénis viennent presque se toucher, boules contre boules. Elle prend Stéphanie par la main et lui dit de se mettre à la gauche de mon sexe et elle-même se place à la gauche de la queue de son mari. Accroupies l'une en face de l'autre, elles s'enlacent et s'embrassent en un tendre et troublant baiser. Nos sexes dressés attendent juste en dessous, l'un à côté de l'autre. Je sens la chaleur du pénis de mon ami. Ça me trouble. Ça m'excite même un peu. Les femmes se penchent et viennent engloutir le sexe de leurs maris respectifs. En léchant ces bites, nos femmes demeurent comme collées par une de leurs joues et en profitent par moments, pour mêler leurs langues. Puis elles se relèvent, se sourient et changent de partenaire. Stéphanie descend lentement sa bouche en direction de la queue bandée de Marc. Elle lui saisit le sexe avec sa main gauche et tire sur le membre pour laisser sortir le gland. Elle ne l'a pas encore goûté, elle profite de cet instant intense. Elle effectue quelques va-et-vient avec sa main, lui caresse les couilles de l'autre, c'est doux et chaud, et enfin enfonce cette bite qui l'a fait mouiller, au fond de sa bouche. Sylvie me suce avidement, sa langue est douce, elle m'entoure le gland, se promène le long de mon sexe, gobe mes boules et revient en haut de la tige phallique.


Ça m'excite de regarder ma femme suçant un autre homme. La fellation de Sylvie ne me laisse pas insensible. Au contraire, j'ai soudainement envie de la prendre, par devant et par derrière, de lui lécher les seins, la chatte et le cul. Je veux faire tout ça devant les yeux de Stéphanie. Comme si elle m'avait compris, ma chaude épouse, suggère que les hommes doivent rester dans cette position et regardant Sylvie, elle lui dit de venir chevaucher ces queues et de s'y empaler. La bite de Marc dans le vagin et la mienne dans l'anus. Sylvie prend immédiatement la posture mais Stéphanie demande d'abord de reculer sur mon visage pour que je lui mouille le cul de ma salive. Elle recule, se positionne fesses écartées au-dessus de mon visage. Elle dit :


- Je suis la dernière à me faire lécher par ici, alors j'en profite.


Pour ne pas rester inactive, Stéphanie se penche à nouveau sur les bites toujours dressées. De ses deux mains, elle nous saisit nos verges, les faisant se toucher sur toute la longueur. De sa langue experte elle nous lèche. Deux grosses bites pour sa petite bouche. Elle se régale. Je suis toujours en train de préparer le cul de Sylvie, elle en profite pour se masturber sous l'œil intéressé de Stéphanie. Un orgasme lui traverse le corps. Après quelques minutes, le temps de reprendre ses esprits, alors que ma femme est encore affairée à nous donner du plaisir, Sylvie vient se placer sur nos verges tendues et luisantes de salive. Elle s'écarte au maximum, Stéphanie dirige les deux queues à l'entrée de l'anus et du vagin. Elle dit à Sylvie :


- Installe-toi doucement. ! Tu n'as jamais fait de double pénétration ! Tu vas voir, c'est génial !


Mon sexe s'enfonce dans le cul de Sylvie, je sens la bite de son mari, c'est divin. Stéphanie a les yeux fixés sur ce spectacle. Elle n'arrête pas de mouiller et de se caresser. Sylvie ne bouge pas. Elle savoure ce remplissage. Elle se soulève légèrement puis redescend, encore une fois et encore. Son anus se dilate, elle gémit. Ma femme vient se poser sur mon visage, je la lèche avec désir. Je sens le plaisir m'envahir. J'entends mes partenaires jouir. J'explose enfin au plus profond du cul de Sylvie, toujours en léchant la vulve trempée de mon épouse qui vient de prendre son pied avec violence. Nous nous relevons et sirotons un autre petit verre. Soudain Stéphanie se positionne à quatre pattes et fait signe à Marc de venir la prendre en levrette. Me regardant, elle me dit :


- Regarde-moi vous autres, ça m'excite qu'on me regarde quand je me fais baiser.


Marc se positionne derrière Stéphanie et s'enfonce facilement dans sa chatte lubrifiée à souhait. De voir ça me donne une érection du tonnerre. Sylvie s'en aperçoit et vient se mettre dans la même position que les autres. A mon tour je m'enfonce délicatement dans son sexe, je lui masse les fesses, lui effleure l'anus, puis lui touche la poitrine, tout ça sous le regard de ma femme. Après quelques instants, Stéphanie et Marc viennent sous le corps de ma partenaire pour la lécher. Alors que j'effectue des va-et-vient sur toute la longueur de ma queue bandée, je vois ma chérie venir mettre sa bouche sur le sexe de Sylvie. Elle passe sa langue sur toute la zone intime et en profite même pour me lécher. Doucement, elle me pousse en arrière pour m'obliger à me retirer du vagin de ma partenaire. Alors elle me saute sur la queue pour la gouter mais surtout pour gouter la liqueur de Sylvie qui l'a rejoint, Stéphanie lui offre ma queue. Comme des voraces, mais tendrement, elles lèchent, sucent, gobent, caressent et masturbent mon sexe. Mon sperme finit par jaillir et atteindre les visages de mes deux suceuses. Les filles s'embrassent et se caressent. Plus nous jouissons plus nous sommes excités. Je fais remarquer à ma femme que nous avions apportés un cadeau à nos hôtes. Elle court le chercher et le tend à Sylvie. Elle l'ouvre et découvre un godemichet de taille raisonnable, mais vibrant et ondulant.


- Super ! s'écrie-t-elle. On va l'essayer tout de suite.


Elle place Stéphanie sur le dos et lui écarte doucement les jambes. Son sexe est gonflé de désir. Marc s'avance alors vers ce joyau et plaque sa bouche dessus. Stéphanie ferme les yeux un instant puis les ouvre à nouveau pour contempler ce spectacle qui la rend complètement hors d'elle. Elle bouge son bassin au rythme des coups de langue de son partenaire. L'organe lécheur de Marc s'enfonce dans le vagin, ressort pour lécher le clito et descend sur le petit trou. Sylvie donne le gode à son mari. Il l'emmène à l'entrée du sexe de ma femme. Il pousse et pousse encore. Le vibro pénètre sans mal à l'intérieur du volcan. Il se penche pour s'occuper du clito. Avec Sylvie, on se place de chaque côté du visage de Stéphanie et nous nous caressons mutuellement le sexe.


Les yeux grands ouverts devant cette scène, Stéphanie s'envole en une jouissance des plus puissantes. Sylvie retire le gode et le porte à ses lèvres. Puis elle nous dit de nous rendre à la salle de bains. Assise sur le rebord de la baignoire elle écarte sa chatte et nous dit :


- J'ai une grosse envie de pipi. Caressez-moi la chatte pendant que je pisse.


Nos mains ne se font pas attendre, nous les posons sur son sexe. Le liquide commence à sortir. Nous la masturbons, lui touchons toutes ses parties sensibles. Son urine vient frapper contre ma paume. Stéphanie aussi pose sa main sur le jet, ça l'excite, elle me mets son doigt trempée de la pisse de Sylvie dans ma bouche, c'est délicieux, nous en reprenons un petit peu.


Ensuite, elle se relève, nous prend Marc et moi par la main et nous dit :


- Moi aussi je veux vous sentir tous les deux en moi. Baisez-moi et enculez-moi !


Elle se penche alors pour m'offrir son cul mouillé par le jus de sa chatte. Je m'introduis facilement en elle. Elle se redresse légèrement et attire la bite de Marc à l'entrée de son sexe. Il pousse et s'enfonce. Stéphanie est enfin écartée comme elle le voulait. Nous la baisons par ses deux trous. Elle est remplie. Je vois ses mains caresser les fesses de Marc. J'avance les miennes sur les siennes et je serre nos corps le plus fort possible pour faciliter la pénétration. Nos verges sont complètement à l'intérieur de ma femme. Nous effectuons des va-et-vient ensemble puis alternativement. Dans tous les cas Stéphanie prend du plaisir. Sylvie est revenue à la charge et s'empare sa bouche. Elle lui touche aussi le clito. Chacun de nous gémit. Je passe une main sur les fesses de Sylvie, qui fait ressortir sa croupe pour me faciliter le passage vers ses parties intimes. Stéphanie crie que c'est bon, qu'elle va jouir.


Nous nous dégageons, Marc et moi. Je suis un peu fatigué mais toujours excité. Marc se touche la queue en me faisant un petit geste que je ne comprends pas, ou plutôt qu'inconsciemment je refuse de comprendre. C'est Sylvie qui fournit alors l'explication de texte.

Elian1403

- Je crois que Marc aimerait bien que tu le suces !


Je cherchais une réponse qui me permettrait de me sortit de cette proposition embarrassante mais Stéphanie en rajoute une couche :


- Oh, oui, mon amour, ça me plairait de te voir sucer cette bonne queue.

- Attendez, je vais boire un coup d'abord !

- Allez, suce !


Je me suis donc fait violence, en me disant que toute façon ça ne me tuera pas.


J'ignorais bien sûr qu'une queue dans la bouche pouvait être aussi douce, je la fais aller et venir dans ma bouche. Nos deux femmes sont prises d'un fou rire. Je ne comprends pas.

Sylvie me dit :


- Tu ne sais pas sucer, on va t'apprendre.


Elles me guident, me donne une véritable leçon de fellation, me précisent les endroits où la langue doit jouer. L'ambiance devient tellement chaude que Marc ne tient plus, il se recule et lâche sa semence que je reçois en partie sur le torse.


Je suis sur un nuage, je n'ai même pas protesté quand Marc m'a sucé à son tour, j'ai joui rapidement mais douloureusement.


Nous n'étions pas en état de reprendre la route et nos nouveaux complices nous ont gentiment hébergés pour la nuit. Stéphanie me demande :


- Alors pas de regrets ?

- Non aucun !

- Même la fin ?

- Même la fin !

- Et tu serais prêt à aller plus loin encore ?


J'ai esquissé un sourire, je n'ai pas dit oui, mais je n'ai pas dit non.


 

Cette histoire est parue primitivement sur le site de Sophiexxx en 1999, inachevée, non formatée, truffée de fautes et illustrée de dialogues surréalistes. Le concept en était cependant intéressant, la version présentée ici a donc été quelque peu rewritée.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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