Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 06:36

Les survivants de la fin du monde - 6 – Les « frigos » par Léna Van Eyck

 

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La société Grangel est spécialisée dans la fourniture de produits surgelés à destination des collectivités et des restaurants bas de gamme. Elle possède pour ce faire d’un immense dépôt souterrain dans lequel sont stockés les produits.

 

Une équipe revêtue de combinaisons spéciales y travaille en quasi-permanence afin de préparer les commandes.

 

Aujourd’hui, Rochedoux le chef d’équipe, grand brun bouffi, est en train de vérifier le contenu d’une palette quand il entend le signal d’alarme. Dans ce cas il faut sortir. Mamadou et Fulbert deux immigrés congolais et Mylène une belle antillaise assez délurée le rejoignent. Cette dernière sent sa tête lui tourner, mais à peine ses trois compagnons s’apprêtent à lui porter secours qu’ils tombent à leur tour dans les pommes.

 

Fulbert sort le premier de son inconscience au bout de trois heures, il secoue ses camarades afin de les réveiller.

 

– Qu’est-ce qui nous est arrivé ? Demande Mamadou !

– J’en sais rien mais je ne reste pas ici ! J’en ai marre de cette boite ! Il n’y a aucune sécurité, on a failli mourir…

 

Les quatre employés ouvrent la première porte du sas, y pénètrent, referment, mais ne parviennent pas à actionner la seconde. Ils font alors ce que tout le monde fait en pareil cas, ils appuient un nombre incalculable de fois sur le bouton en s’énervant passablement.

 

Finalement quelqu’un appuya sur le bouton d’urgence… Sans résultat.

 

– C’est quoi ce bordel ? S’excite Mylène.

– On va prendre la sortie de secours ! Indique Rochedoux.

 

Ben oui, c’est ce qu’il aurait fallu faire depuis le début !

 

La sortie de secours est une lourde porte qui s’actionne grâce à un volant, ils débouchent dans un sas dont la porte de sortie s’ouvre de façon similaire et se retrouvent au pied d’un escalier en colimaçon menant au parking.

 

Très vite, ils ouvrent leur combinaison et vont pour se diriger vers le bureau central afin de se renseigner quand Mylène fait signe à ses collègues.

 

– Un gars d’allongé là !

 

Effectivement un type gît à côté d’un camion. Le petit groupe s’approche. Mylène se penche sur le corps.

 

– Il respire plus. Je ne sais pas qui c’est !

– Bon on va le signaler.

 

Rochedoux en tant que chef d’équipe entre le premier dans le bureau central.

 

– Eh ! Oh ! Qu’est-ce qu’il vous arrive ?

 

Les membres du petit groupe comprennent ses propos quand ils aperçoivent à leur tour les corps inanimés du responsable du centre et de sa secrétaire. Très vite ils constatent qu’ils sont morts.

 

– Mais bordel, qu’est-ce qui se passe ? Hurle Mylène avant de fondre en larmes, pendant que Mamadou piquait une crise de nerf.

– Je vais appeler les flics ! Se propose Rochedoux en sortant son téléphone portable.

 

Evidemment il n’obtint aucun réseau et quand ses camarades l’imitèrent, ils ne purent que constater la même chose.

 

– Mais enfin, qu’est-ce qui se passe ? Répéta quelqu’un.

– Vous ne voyez pas que c’est un incident atomique ! Répond Mylène très énervée.

– Pourquoi ? Y’a une centrale atomique dans le coin ?

– J’en sais rien, mais qu’est-ce que ça peut être d’autre !

– Si c’est ça, on est contaminé ?

– Y’a des chances !

– On va crever alors ? Demande Rochedoux qui devient blanc comme un linge.

– J’en sais rien ! Et puis y’a rien qui fonctionne dans ce bureau, tout le jus est coupé ! Se désole Mylène

– Tu voulais faire quoi ?

– Ben allumer l’ordinateur pour aller sur Internet.

– Attends, c’est un portable, t’as pas besoin de le brancher !

– Ben si, la batterie est à plat !

– On devrait foutre le camp d’ici !

– Ce serait mieux, si on restait ensemble, on va aller voir les flics, ou les pompiers ou les urgences, on verra bien. Propose Mylène.

 

Fulbert trouve un pistolet et un chargeur dans un tiroir du bureau.

 

– Donne-moi ça ! Lui dit Rochedoux

– Eh ! C’est moi qui l’ai trouvé !

– Oui mais c’est moi le chef, j’ai pas envie que tu fasses de bêtises avec !

 

A contrecœur Fulbert obtempéra.

 

Mylène est la seule à être venue en voiture, Rochedoux vient en moto et les deux congolais à pied, leur foyer n’étant distant que d’un petit kilomètre.

 

Le souci, c’est que la voiture ne voulut jamais démarrer.

 

Abord ils partirent à pied se rendant compte en cheminant de l’étendue du désastre.

 

Au foyer des travailleurs où ils commencèrent par se rendre, toutes les personnes présentes avaient succombés. Les cadavres ne montraient aucune trace ni de souffrance ni de stupeur, la mort les ayant surpris sans qu’ils ne s’en rendissent compte.

 

– On reste pas là ! Paniqua Mamadou.

– Attends, on se renseigne ! Répondit Rochedoux.

– Les morts ça ne donne pas de renseignements.

 

Les morts, non, mais l’ordinateur, la télé ou la radio auraient pu le faire mais ne fonctionnaient désespérément pas.

 

Le responsable du foyer est tombé raide mort sur son bureau. Fulbert s’approche du corps et lui subtilise sa montre, ce qui provoque le courroux de Rochedoux.

 

– Tu dévalises les morts maintenant ?

– Et alors ? Elle ne lui servira plus.

– Ce n’est pas correct !

– Si tu arrêtais de me faire la morale !

– C’est pas de la morale, c’est du savoir-vivre !

– Fous lui donc la paix ! Intervient Mylène.

– Et elle va te servir à quoi cette montre ? Insiste Rochedoux

– Ben, à regarder l’heure !

 

Ils fouillent un peu partout, Fulbert trouve de l’argent liquide et l’empoche !

 

– C’est malin, ça va te servir à quoi ? Rouspète Rochedoux.

– A te faire causer !

 

Le petit groupe se retrouva dans la cuisine où ils purent boire et se restaurer.

 

– Ne buvez pas l’eau du robinet, elle doit être contaminée ! Prévint Rochedoux.

– Y’a des bouteilles en plastique !

– Le plastique, j’ai pas trop confiance, il n’y a rien en verre ?

– De la bière.

 

Ils trouvèrent une grosse boite de conserves, genre « spécial collectivité » avec du poulet flotteux.

 

A l’exception de Rochedoux qui s’était trouvé de la limonade, tout le monde s’enfila des bières à la limite du raisonnable.

 

– Il fait une de ces chaleurs là-dedans, ça ne vous gêne pas les mecs si j’enlève ce truc ! Déclara Mylène qui sans attendre de réponse se débarrassa de son haut laissant apparaître une poitrine prometteuse dissimulée par une joli soutien-gorge vert pomme en dentelle.

– T’as qu’à nous montrer tes nichons, pendant que tu y es ! Raille Fulbert.

– Si tu me montres ta bite, je le montre mes nichons. Répliqua-t-elle.

– Chiche ! Répondit l’homme.

 

Et sans hésiter une seconde plus, Fulbert sortit de sa braguette une jolie bite, noire évidemment et au gland luisant.

 

– Wha, pas mal, mais tu bandes même pas !

– Ça ne va pas tarder ! Ben alors tu le retires, ton soutif ?

 

Elle le fit, provoquant une réaction d’enthousiasme du jeune black.

 

– Je peux toucher ? Demande-t-il.

– Allez soyons fous, c’est dans doute notre dernière baise avant de crever.

 

Fulbert se jette sur les seins de la belle antillaise et commence à lui sucer les tétons avec frénésie.

 

Voyant le spectacle, Mamadou sort à son tour son engin et s’approche :

 

– Je peux venir aussi ?

– Oui, mais soyez doux, les mecs, je n’aime pas la brutalité.

 

Et Rochedoux, me direz-vous ? Eh bien il bande, mais il a honte, alors il s’en va dans la pièce d’à côté en rouspétant :

 

– Vous pourriez vous tenir, on n’est pas dans un claque !

– Ta gueule ! Répondit simplement Mylène qui avait maintenant les deux bites devant sa bouche.

 

Mamadou lui tripote le sein droit, Fulbert lui tripote le sein gauche, quant à elle, elle branle les deux bites qui ont tôt fait de se redresser comme des mâts de cocagne.

 

– Bon les gars, on ne va pas rester comme ça, à moitié débraillés, on va tous se mettre à poil.

 

Et c’est pendant ce déshabillage que Mylène découvrit le cul de Fulbert.

 

– Whaouh ! Putain ce cul !

– Qu’est qu’il a mon cul ?

– Il est superbe, viens ici que je te caresse.

 

L’homme se laissa faire et ne broncha pas quand le doigt de Mylène s’approcha très près, mais alors vraiment très près du trou de son cul. Du coup, elle se le mouilla avant de le replacer et poussa.

 

– Tu aimes ?

– Ce n’est pas désagréable !

– Tu t’es déjà fait enculer ?

– Mais enfin qu’est-ce que ça peut te foutre ?

– Simple curiosité ! Tu peux me le dire, de toute façon qu’est ce ça peut faire, puisqu’on va tous crever.

– Ouais, une petite sodo de temps en temps, ce n’est pas désagréable. Moi j’aime bien ! Hi ! Hi !

– Et t’as sucé des bites, aussi !

– On va dire que ça va avec ! Mais tout ça c’est des fantaisies, je préfère trop les femmes.

– Et toi Mamadou, qu’est-ce que tu en penses ? Lui demande Mylène.

– Il n’y a que des hommes au foyer, faut bien qu’on se débrouille…

– Vous savez les gars, ça me plairait bien de vous regarder.

– De nous regarder faire des trucs tous les deux ? Reformule Fulbert.

– On va pas faire des trucs ensemble alors qu’on peut baiser avec toi ! Ajoute Mamadou

– Je n’ai pas dit que j’étais d’accord pour baiser ! Proteste Mylène

– On aurait bien cru, pourtant !

– Ecoutez, je vous propose un deal, vous me faites un petit show tous les deux et après je me laissera prendre, vous pourrez même me faire une double péné si ça vous tente !

 

Les deux hommes se regardent

 

– On peut faire comme ça ! Admet Fulbert.

– Alors on va faire comme ça !

– Tu me suces ma queue ?

– On y va ! Hum, qu’est ce qu’elle est belle ta queue ! Joli gland, belle paire de couilles…

Surviv06

Et sans autre préambule, Mamadou emboucha la bonne bite de son collègue qui très vite se mit à apprécier la chose.

 

– Il me suce trop bien, ce pédé ! Commenta-t-il.

– Le cul, c’est comme la bouffe, faut gouter à tout, sinon on parle dans le vide ! Annonce Mamadou en interrompant quelques secondes sa fellation.

– Attention les amis, on a un suceur de bite, philosophe ! Bon elle est bien raide maintenant, tourne-toi que je montre à la demoiselle comment je t’encule !

 

Mamadou ne fit aucune difficulté, il se cambre en levrette, s’écarte les fesses avec les mains.

 

– On n’a pas de capotes ! Réalise soudain Fulbert !

– On s’en fout, puisqu’on va crever !

– Et si on crève pas !

– Bon je fais quoi ?

– Il doit y avoir un petit nécessaire de pharmacie, dans ce machin. ? intervient Mylène

– Dans le bureau du responsable, où on est passé tout à l’heure…

 

Mylène va voir et revient avec une boite format « King Size ».

 

– Vous pouvez reprendre, les gars !

– Ça va peut-être nous porter chance, peut-être qu’on va survivre ! Dit Mamadou !

– C’est ça, l’espoir fait vivre, en attendant suce-moi un petit peu, j »ai débandé.

 

Petite fellation, encapotage, Mamadou se tourne de nouveau, Fulbert tente de pénétrer mais ripe.

 

– T’aurais dû rapporter du gel intime ! Lance-t-il à Mylène

– C’est tout, tu ne veux pas 100 balles et un Mars, non plus, lèche-lui le cul, ça va le faire.

 

Il lécha et ça le fit

 

– Wha, c’est trop bon là dis donc, là mon vieux !

– T’aime ça, hein, te faire défoncer le dargeot !

– Oh ! Tu m’encules trop bien, c’est trop bon une bonne bite dans le cul ! Continue, continue…

– Ne jouis pas ! Intervient Mylène.

– T’inquiètes pas princesse, on va bien te ramoner tous les deux, hein Mamadou ?

– Ça c’est sûr ! Si t’aimes la bite, on va t’en donner !

 

Et histoire de bien les motiver, Mylène se déshabilla et se mit à prendre des poses suggestives., un doigt dans la chatte, un autre caressant son téton.

 

Du coup, les deux hommes se désemboitent. Mamadou est invité à se coucher sur le sol, Mylène s’empale sur sa bite, puis se penche en avant afin que Fulbert puisse la prendre par le cul. Reste à synchroniser tout cela,, c’est un peu chaotique au début mais le bon rythme est rapidement trouvé. Les deux bites s’agitent en cadence provoquant chez la jeune blackette des sensations inouïes à ce point qu’elle hurle rapidement sa jouissance.

 

Les deux hommes semblent un court moment interloqué par tant de raffut.

 

– Continuez, continuez !

 

Fulbert ne peut plus se contrôler et prend son pied dans l’étroit conduit de la belle, avant de se retirer en sueur. Du coup Mamadou se retire de sa chatte pour l’enculer à son tour. Mylène obtient rapidement un second orgasme tandis que Mamadou pilonnant comme un malade ne tarde pas à cracher sa semence.

 

Il se débarrasse de sa capote et cherche quelque chose pour s’essuyer le zigouigoui, mais Mylène l’intercepte et lui fait un bon nettoyage de bite se régalant de son sperme crémeux.

 

– Ça va, c’est fini votre orgie ? Vous êtes vraiment des porcs ! Et puis d’abord rhabillez-vous. Intervient Rochedoux en pénétrant dans la pièce.

– Tu nous fais un bel hypocrite, tu crois qu’on ne t’a pas vu en train de te branler en nous matant dans l’encoignure de la porte ? Répliqua vertement Mylène, lui coupant le sifflet.

 

De façon toute naturelle Mylène avait pris l’ascendant sur le petit groupe au grand dam de Rochedoux qui avait perdu toute autorité. D’ailleurs la jeune guadeloupéenne prit un malin plaisir à en rajouter une couche :

 

– On ne va pas rester là, on va aller voir à Eyrand si on peut apprendre quelque chose. Toi Rochedoux, t’as le choix, tu peux venir avec nous, mais faudrait que tu comprennes que t’es plus notre chef et qu’il faut que t’arrêtes de nous faire chier.

– Je reste avec vous jusqu’à Eyrand, après je verrais.

 

Mylène soupira d’agacement, ce n’était pas la réponse qu’elle attendait mais puisqu’elle avait fait l’erreur de lui laisser le choix…

 

Parvenu à Eyrand, le petit groupe commença par s’installer dans un pavillon après en avoir dégagé les cadavres. Ensuite, ils tournèrent longtemps dans la petite ville sans toutefois entrer partout, mais se rendirent vite compte qu’ils n’y apprendraient rien de plus.

 

Peu de temps après, ils aperçurent le drap blanc accroché par Jack et son groupe.

 

– C’est quoi ça ?

– Peut-être des survivants ?

– On va voir ?

– C’est peut-être dangereux ! Objecte Rochedoux.

– Tiens, il y avait longtemps que tu nous avais pas sorti une grosse connerie ! Réplique Mylène

– Et s’ils nous tirent dessus, ce sera une grosse connerie ?

– Qu’est-ce que ça peut foutre puisqu’on va tous crever.

 

Rochedoux ne répond pas et s’éloigne. Personne ne lui demande où il s’en va, tandis que le trio s’approche du pavillon au drap.

 

– Y’a quelqu’un ? Crie Mylène.

 

Le petit groupe des « gothiques » se précipite vers les fenêtres en prenant garde de ne pas trop se montrer.

 

– C’est les secours ? Demande Lucette

– J’ai pas l’impression ! C’est trois blacks, ils ont l’air paumés. Ne bougez pas, je vais aller voir.

 

La tronche de Mylène et de ses compagnons quand ils voient débouler Jack tout de noir vêtu, tel un Dracula de carnaval.

 

– Vous êtes qui ? Vous savez ce qui se passe ? Vous avez été irradiés ? Vous êtes malades ? Demande Jack.

– Oh là ! Que de questions. Et toi, t’es qui ?

– Je ne suis pas tout seul, on est six !

– On peut se joindre à vous, juste le temps de discuter ?

– Vous êtes malade ou pas ?

– Pour l’instant on à l’air d’aller bien, et vous ?

– Pareil ! Bon entrez !

 

On fait les présentations vite fait. Les trois employés de chez Grangel sont un peu décontenancé par le look de leurs hôtes.

 

« On cherche des survivants ou des secours et on tombe sur des clowns ! » se désole Mylène.

 

Jouant les grands seigneurs et voulant montrer qu’il est le chef ici, Jack demande aux filles d’aller chercher des boissons et des verres en cuisine.

 

Les deux groupes confrontent leurs expériences. Grosso modo, ils ont vécu la même chose : un sous-sol protégé a permis de les épargner d’un fléau non identifié, mais ils n’en savent pas plus. Ni sur l’étendue du désastre, ni sur leur pronostic vital.

 

– Finalement on est pas plus avancé ! Se désole Jack.

 

Mylène se décide à poser la question qui lui brûle les lèvres :

 

– Euh, je ne voudrais pas être indiscrète, mais votre tenue…

– C’est effectivement indiscret ! Disons simplement qu’on appartient au mouvement gothique ! Répond doctement Jack

– C’est quoi ça ?

– On va dire que c’est un jeu, mais ce n’est pas bien grave, de toute façon, vu la situation, tout cela devient dérisoire.

 

Et pendant ce temps-là, Lucette faisait des œillades à Fulbert qui n’y était pas insensible, loin de là, mais ne savait comment se comporter.

 

Finalement Lucette se leva s’approcha du grand black, lui porta la main sur la braguette et lui proposa carrément :

 

– Ça t’excite quand je te fais ça ?

– Forcement !

– Je t’emmène dans la chambre, j’ai des capotes dans mon sac.

 

Fulbert n’en revint pas, mais se garda bien de refuser. Le couple s’éloigna sous les yeux médusés de l’assistance.

 

– Ils vont où, ces deux-là ? Demande Prune qui en fait s’en doutait très bien.

– Ils vont faire golo-golo ! Répond Mamadou provoquant l’hilarité générale.

– Z’ont bien raison, autant en profiter puisqu’on va tous crever ! ajouta Betty.

– Elle va se régaler la petite dame, Fulbert il a une bite d’enfer !

– Et la tienne, elle est d’enfer aussi ?

– Oui, madame, vous voulez voir ?

– Oui !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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