Vendredi 6 septembre 2013 5 06 /09 /Sep /2013 09:12

Essayage chaud par Marine et Thibault

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Théme abordé : doigtage masculin, feuille de rose

Il y a deux semaines, je faisais des courses avec ma copine et nous sommes entrés dans une petite boutique de vêtements pour hommes car un pantalon de toile à prix abordable était dans la vitrine. Nous demandons à la femme qui est en train de ranger des cartons si je peux essayer. Elle m’aide à trouver la bonne taille et me dirige vers une cabine d’essayage.

A sa façon de parler, ça doit être la patronne. Elle doit avoir la trentaine, brune avec des cheveux mi-longs assez raides, des yeux verts magnifiques (moi qui ne les remarque jamais), et un corps à faire envie à beaucoup de jeunes de 20 ans. Elle a la taille de « guêpe », des petits seins qui semblent fermes et des fesses serrées dans un pantalon élastique.

J’entre donc dans la cabine et tire le rideau. Mon amie reste devant et jette un coup d’œil de temps en temps pour voir si j’ai fini. Le pantalon est un peu petit et j’ai du mal à fermer la fermeture éclair qui doit être dure. La vendeuse (ou la patronne ?) s’approche et tout en ouvrant le rideau me lance un :

- « Alors monsieur, comment vous va cet article ? »

Je lui dis qu’il est un peu juste et elle m’en amène un autre immédiatement. Celui-là me va comme taille mais la fermeture doit être cassée. La vendeuse pousse le rideau et me voit me bagarrer avec la braguette, avec ma copine à côté de moi qui essaie de m’aider.

- « Pardon, j’ai l’habitude, je vais essayer ! » Nous lance la vendeuse.

Elle se met à genoux devant moi et tente d’actionner la fermeture éclair qui résiste. Je sens ses doigts qui effleurent mon intimité et je n’ose plus bouger. Il n’y a rien à faire, et elle me dit qu’elle va en recevoir la semaine prochaine. Je me rhabille et nous sortons avec ma copine.

Je me sens très troublé par ces presque attouchements et je projete d’y retourner la semaine suivante. Le mardi, en sortant du bureau, je décide donc d’y aller pour voir si elle a reçu sa marchandise. Le temps de m’y rendre, il est presque 18 h 45. J’entre dans le magasin et la même charmante femme m’accueille avec le sourire et me reconnaît car elle me dit tout de suite qu’elle a reçu les pantalons.

Elle m’en sort un et m’invite à entrer dans la cabine pour l’essayer. Elle me dit qu’elle va boucler la porte du magasin car elle ferme dans quelques minutes et que c’est toujours à ce moment-là qu’il y a plein de gens qui viennent. Je m’excuse de la déranger à cette heure, mais elle me répond :

- « Oh non vous ce n’est pas pareil, je vous avais dit de revenir aujourd’hui « .

Je me déshabille dans la cabine, consciemment ou inconsciemment, je m’aperçois que ce matin j’ai mis un slip qui est très petit et presque transparent. Je me dis « heureusement que je n’allais pas chez le médecin ».

Je viens à peine d’enlever mon pantalon et je commence à enfiler le pantalon de lin écru, que le rideau s’ouvre avec ma vendeuse qui me dit :

- « Alors cher monsieur, comment vous va-t-il, celui-ci ? »

CE Gêné, je me dépêche d’enfiler le pantalon et je m’emmêle les pinceaux comme on dit souvent. Enfin bref, je le boutonne et je monte la fermeture éclair et là encore, ça bloque. Elle me dit « laissez-moi faire ». Elle s’agenouille devant moi et essaye de monter cette fermeture récalcitrante. Elle aussi a du mal et elle passe carrément une main à l’intérieur du pantalon et de l’autre essaie de forcer. Je suis seul avec elle et ma gêne se transforme vite en excitation. Je ne peux pas la cacher longtemps et je me mets à bander comme rarement. Je sens ma queue qui se raidit prête à exploser hors de mon slip. Elle fait celle qui ne remarque rien et me dit :

- « Bon enlevez-le je vais vous en donner un autre ! »

Elle joint le geste à la parole, le déboutonne et tire sur les jambes du pantalon pour le faire glisser.

Ce qui devait arriver, arrive. Mon slip suit en partie le pantalon et elle se retrouve avec ma queue gonflée et écarlate qui rebondit devant ses yeux.

- « Oh » me dit-elle d’un air surpris. « c’est moi qui vous fait cet effet ? »

Je lui réponds que c’est à cause de sa main en essayant de monter la braguette. Je bredouille un « désolé » mais elle ne semble pas offusquée du tout. Au contraire.

Elle pose sa main gauche sur ma cuisse et je sens sa main droite qui remonte vers mes couilles. Je me laisse faire. Elle finit de descendre mon slip de sa main gauche et commence à me caresser la queue sur toute la longueur. Elle approche sa bouche et pose quelques délicats baisers sur mon gland avant de la prendre entièrement dans la bouche. Je suis aux anges, je n’y crois pas. Cette beauté est en train de me sucer la bite et elle a l’air d’y prendre goût. Je lui maintiens la tête de peur qu’elle n’arrête, mais pas de problème elle me suce comme une reine.

Je lui dis d’arrêter car je vais jouir. Elle se redresse et m’embrasse à pleine bouche. Nos langues se mêlent et j’en profite pour passer mes mains sous son pull de coton. Je dégrafe rapidement le soutien-gorge et soulève le pull pour sucer ses petits seins. Le bout est très dur et elle soupire des « oh oui c’est bon » entrecoupés de soupirs.

Sans m’arrêter, ma main s’insinue sous sa jupe et je sens une petite culotte de dentelle qui est déjà très humide. Je passe un doigt puis deux vers sa chatte qui s’ouvre comme la caverne d’Ali-Baba. De mon autre main, je défais la fermeture éclair sur le côté et la jupe ne tient plus que par ma main qui s’occupe dans sa fente trempée.

Je la soulève à moitié et la fait s’asseoir sur la chaise qui est dans la cabine. Je plonge ma tête entre ses cuisses et lui bouffe sa chatte inondée. Je passe du clito à son petit trou et m’attardant entre ses lèvres gonflées. Ce coup-ci c’est elle qui me tient la tête pour me maintenir en place.

Je ne sais pas combien de temps durent ces caresses, mais je n’en peux plus, j’ai envie d’elle.

Un préservatif arrive dans ma main (Madame avait donc prémédité tout ça), je me le place vite fait. Je relève la femme qui se retourne, m’offrant la vue de son petit derrière superbe. Je me colle à elle et m’enfonce dans sa chatte. Je l’ai tellement léchée et elle a tellement joui que ça rentre tout seul. Je suis si excité et elle aussi que nous jouissons ensemble en moins de deux minutes. Nous restons collés encore une minute, puis elle se retourne et recommence à me sucer.

Je suis persuadé que je ne pourrai pas rebander tout de suite mais je ne la connais pas encore.

Elle me suce, m’aspire, pendant qu’avec une main elle me caresse les couilles et avec l’autre elle entre un puis deux doigts dans le cul. Elle est très douée car en deux minutes de ce traitement, ma queue reprend des dimensions très honorables. Elle se redresse, se retourne et m’offre son petit derrière si excitant. Je lui lèche la raie et lui titille son petit trou avec la pointe de la langue. Je lui enfonce les doigts dans la chatte et de l’autre main je lui travaille l’anus. Elle commence à gémir et à se tortiller, preuve qu’elle aime ça.

Je me relève et me présente à l’entrée de son entrée secrète. Je l’ai tellement léchée, que ça entre tout seul sans forcer. Mes mains s’agrippent à son dos, à ses seins. Les siennes me caressent les couilles qui tapent contre sa chatte et elle se caresse elle-même. Je tiens le rythme pendant cinq bonnes minutes vu qu’elle m’a déjà vidé les couilles tout à l’heure, et elle jouit dans un râle de plaisir bruyant. Je la suis de très près et je vide mon reste de foutre au fond de son cul chaud. Nous sommes restés ainsi collés au moins deux minutes tellement c’était bon.

Après un brin de toilette dans l’arrière-boutique, je suis reparti en promettant de revenir quelques jours plus tard pour réessayer un autre pantalon et surtout pour recommencer la même partie de plaisir.

Je vous raconterai dès que j’y serais allé. 

M et T Devillers septembre 2013

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Samedi 20 juillet 2013 6 20 /07 /Juil /2013 23:46

Moi, j’aime le Music-hall !
Par Marine et Thibault

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Thémes abordés : travestis

Je n’ai donc pas le droit de citer le nom de ce célèbre music-hall un peu coquin, il paraît que son nom est une marque déposée et qu’il n’est pas dans le domaine public.

J’ai par contre celui de vous le décrire.

Alors vous sortez du métro, non ne cherchez pas les complications, il n’y a qu’une sortie, en queue de station (quoi que ça dépend d’où vous venez !) Vous marchez 200 mètres devant vous ! Et il est là, majestueux, sa façade a été ravalé. Grâce à des subventions publiques ce travail a bénéficié d’un gros budget et donc d’entreprises compétentes ! Les colonnades sont maintenant impeccablement blanchies et sont artistiquement illuminées la nuit. Le dôme a été refait et les ardoises crasseuses ont été remplacées à l’identique par des matériaux neufs.

Rentrons : La salle des billets est assez étroite, mais on a voulu la garder ainsi, le billet étant pris, on passe dans une espèce de corridor ou un préposé vérifie. Vous pouvez alors bénéficier du vestiaire, puis vous rentrez directement dans la grande salle ou l’immense et fier rideau rouge cache pour l’instant cette magnifique scène. La fosse d’orchestre est toujours là. Elle ne sert plus beaucoup. Il est tellement tentant dans un compte d’exploitation de remplacer les salaires de bons musiciens par un simple enregistrement sur cassette payé une misère à un stakhanoviste du synthétiseur

Mais moi je ne rentre pas par ce chemin, je pénètre carrément par l’entrée des artistes. Et pourtant je n’ai rien d’une artiste. Je me prénomme Marie-Lyse, j’ai 30 ans, vraie blonde (si ! Si ! Vous pouvez vérifier ! Une petite poitrine genre  » y a ce qu’il faut « , pas assez de fesses, on ne peut pas tout avoir. J’ai des yeux bleus et j’ai gardé de ma province un accent bourguignon dont je n’arrive pas à me débarrasser. Malgré ces quelques handicaps, le bilan n’est pas trop mauvais, et en règle générale je plais à ces Messieurs.

Parce que je ne vous ai pas tout dis, dans ma culotte, niche une jolie bite, bien blanche parcourue par une jolie veine bleue et terminée par un gland tout rose et tout lisse.

Je suis sûre que vous aimeriez bien la sucer, bande de petits cochons que vous êtes !

Mais confidence pour confidence, j’aime mieux sucer que me faire sucer ! C’est comme ça, ça ne se commande pas !

Mon métier n’est pas toujours facile, mais je n’en changerais pour rien au monde. Je suis habilleuse. Bien sûr mon rôle est avant tout d’habiller mais il arrive qu’entre deux tableaux mes fonctions dérivent vers quelque chose de moins sérieux. L’autre soir par exemple à l’entracte, il y avait Conrad J. Hamilton, vous savez le chanteur noir ! Non vous ne savez pas ! Plus personne ne se souvient de lui, mais ça ne fait rien, c’est un géant baraqué superbement monté. Il m’a fait appeler dans sa loge. Quand je suis arrivée, je l’ai trouvé entièrement nu, installé devant sa table de maquillage

J’ai vu tout de suite qu’il bandait, surtout qu’il n’a pas eu un geste pour cacher sa grosse bite qui se dressait entre ses cuisses. Il m’a jeté un coup d’œil fiévreux et m’a dit d’emblée :

- Je ne sais pas ce que j’ai, je suis excité comme un dingue, ça m’a pris tout à l’heure et depuis moi ne peux plus m’arrêter de bander !

Puis il a ajouté en matant la bosse qui pointait sous ma blouse

- Je sais bien que c’est pas ton boulot, mais j’aimerais bien que tu m’achèves, autrement je ne pourrais pas remonter sur scène !

Au lieu de me choquer la proposition m’a aussitôt fait monter l’adrénaline. Je ne pouvais détacher mes yeux du superbe engin qui pointait d’entre ses cuisses puissantes. Les mains moites, la gorge sèche et la bite en feu, je lui ai murmuré :

- Tu veux que je prenne ta grosse queue dans ma bouche ? C’est ça que tu veux ? Ou bien tu veux me la mettre directement jusqu’à la gorge ?
Marylise
Ses mâchoires ont frémi et il s’est mis à bander encore plus dur !

- Je vais te la mettre direct ! A-t-il gémi en me faisant pivoter sur lui.

Puis il a relevé ma blouse, s’est amusé un moment avec ma bite, puis s’est introduit dans mon petit cul. Le temps de quelques secousses hyper violentes et nous nous sommes explosés la tête de plaisir

- T’as aimé ça, hein, tantouse ?
- La tantouse, elle t’emmerde !

C’est vrai ça, j’ai horreur qu’on me manque de respect ! Mais…

…Moi j’aime le music-hall…

Publié sur revebebe le 2/12/2000, puis passé à la trappe

Par Marine et Thibault Devilers - Publié dans : Marine et Thibault
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Mardi 2 juillet 2013 2 02 /07 /Juil /2013 06:57

Un bon coup de crayon.
par Marine et Thibault

 

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Thémes abordés : masturbation

 

Hello, vous vous rappelez de moi, c'est Marine ! (Deux qui la tiennent...)

C'est notre troisième histoire ! Elles n'ont pas un succès fou ! Que voulez-vous, comme dirait l'autre, on ne peut pas plaire à tout le monde. Mais l'essentiel c'est qu'elles ont plu à certains ! Faut de tout pour faire un monde !

Pour ceux qui débarquent, on vous refait la description : Je ne suis pas Claudia Chou-fleur mais je n'ai rien d'un laideron. Je suis assez grande, assez fine, des seins moyens, un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teints en blonds, un joli petit sourire ! Ça ira ?

Vous en voulez encore ? J'ai un joli nez et surtout une bouche qu'on dirait dessinée pour faire des pipes !

Faut pas que je me plaigne ! Avec le salaire de mon époux, j'aurai pu rester chez moi à ne rien foutre, mais qu'est-ce que vous voulez, à la maison je m'emmerde, alors je travaille dans la boite de mon mari comme secrétaire de direction. Et comme nous prenons mon homme et moi nos vacances au mois de juillet, au mois d'août, et bien je suis au bureau, et au mois d'août ce connard de directeur adjoint n'est pas là. C'est son tour de partir en vacances. Donc je me satisfais très bien de cette situation, et en fait au mois d'août je baise au bureau au lieu de baiser à la maison. Parce que mon mari, lui qu'est-ce qu'il fait ? Lui qui ne s'occupe pratiquement pas de la gestion de la boite, et bien au mois d'août il trouve toujours un voyage d'affaire à se farcir ! En fait de farcir, il doit se faire une cure d'escorts-girsl de toutes nationalités et de toutes couleurs. Alors pourquoi, je me priverais ?

Donc, vous avez compris, quand les patrons ne sont pas là, les souris dansent et se tripotent ! C'est ce qui m'est arrivée l'autre jour sous le coup de quatre heures de l'après-midi. J'étais assise dans le fauteuil de l'adjoint en train de consulter un dossier quand celui-ci a téléphoné de Saint-Tropez (encore un qui doit se croire indispensable !) C'est alors qu'il m'est venu une envie irrésistible de me doigter la minette. Il faut dire que chez moi, ce genre de choses arrive n'importe où et n'importe quand.

Tout à coup ma chatte s'embrase, mes tétons durcissent et il faut alors que je me soulage, que mon minou explose de plaisir ce qui n'est pas toujours évident. Mais tandis que ce connard d'adjoint monologuait sur un dossier dont je me fichais royalement, je n'ai pas hésité, j'ai posé le combiné et j'ai branché l'ampli. Puis j'ai pris dans le pot à crayon un gros stylo à bout lisse, j'ai écarté les cuisses et la dentelle de ma petite culotte et je me le suis enfoncé en imaginant que l'homme de ménage, un gros black qui m'excitait me baisait comme une chienne.
marine
Quand cet imbécile d'adjoint m'a demandé pourquoi je criais comme ça, je lui ai raconté que je venais de me pincer avec une agrafeuse. Pendant que cet ahuri me plaignait et m'expliquait dans quel tiroir il rangeait ses pansements, je me suis amenée tout droit à un orgasme d'enfer, mais quand le gros black du ménage a frappé à la porte avec son seau et sa serpillière, j'ai coupé la communication et je me suis précipitée au-devant de cette grosse bite qui allait me défoncer sans plus tarder.

 

Je vous l'ai dit : le mois d'août au bureau, c'est show !!!

Publié sur revebebe le 21/12/2000 puis passé à la trappe

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Lundi 1 juillet 2013 1 01 /07 /Juil /2013 06:35

Magique Provence
Par Marine et Thibault

stamp blackette

Thémes abordées : bisex féminine, scato hard, soubrette, triolisme, uro

Provence ! Provence ! Je suis amoureux de ton ciel. Provence ! Provence ! Je suis amoureux de ta mer, de tes filles brunes et de ton mistral. De tes pins parasols et de tes cigales. De ta soupe de poisson, de ta bouillabaisse et de ton pastis. De l’odeur des herbes de Provence et de la lavande. De cet arrière-pays qu’on si bien dépeint Alphonse Daudet et Marcel Pagnol à tel point que je ne peux y croiser une chèvre sans me dire que ce doit être celle de Monsieur Seguin, à tel point que je ne peux y croiser un chat sans qu’il ne me rappelle Pomponnette, la chatte de la « femme du boulanger », celle qui se fait engueuler par Raimu au lieu et place de sa femme ! Ah Pomponnette ! La chatte la plus célèbre du 7ème art.

En vacances je ne fous rien ! J’emmène toujours le nécessaire pour faire un peu d’aquarelle, mais je sais que je me lasserais vite, finalement je ne dois pas être doué !

J’ai du fric et je n’ai aucun mérite à en avoir, j’ai simplement hérité de la boite de mon père ! Je ne m’en occupe pas trop ! Mais je peux vivre tranquille. Je ne suis ni beau ni moche, je suis moyen ! Je me prénomme Thibault, c’est con comme prénom, hein ! Je le sais bien ! Et ma femme vous savez comment elle se prénomme : Marine ! Franchement c’est-t-y pas ridicule ? Dans le genre nouveau beauf on ne fait pas mieux !

Et puisqu’on parle de beauf c’est notre fête à tous les repas ! Ça commence par :

« Un Thibault, deux Thibault, trois Thibault doudou ! »

et quelques verres plus tard c’est le tour de bobonne

« Marine, deux qui la tiennent, trois qui la pinent !

S’ils savaient ces pauvres cloches qu’elle ne dirait pas non ma Marine !

Tiens, je vous la décris, mais retenez bien, je ne vais pas remettre ça à chaque histoire (ben oui ! Je vais peut-être vous en raconter plein !)

Bon ce n’est pas Paméla Anderson, mais ce n’est pas non plus un laideron. Non elle est moyenne, assez fine, assez grande, des seins moyens un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des cheveux mi longs teint en blonds, un joli petit sourire ! Faut pas que je me plaigne

L’été les vacances, la Provence. Il faut que ce soit fun et super éclatant à tous les niveaux. Pour cela Marine et moi avons trouvé une solution. Chaque année on emmène avec nous dans notre maison du midi, une sorte de fille au pair qui moyennant un salaire coquet, non seulement assure les tâches ménagères, mais se soumet à nos caprices, principalement sexuels (il y a des officines spécialisées pour ce genre de choses ! faut chercher un peu, je ne peux pas tout vous dire !)

Cette année on s’y est pris assez tard et le connard qui s’occupe de cela me dit d’un air désolé qu’il ne lui restait plus qu’une antillaise ! Et alors ? Non seulement je ne suis pas raciste (on ne peut pas avoir que des défauts !) Mais j’adore ! Ça ne gêne pas non plus ma femme ! Alors allons-y et on embauche Margotte pour un mois !

En plus elle est superbe, Margotte, une jolie frimousse, des nichons pas possible, un cul d’enfer cambré comme un slalom modélisé !

Elle doit donc être à notre disposition à toutes heures du jour et de la nuit, prête à me tailler une pipe, à sucer ma femme ou à se faire enculer par-devant ou par derrière, bref elle doit exaucer le moindre de nos fantasmes.

Mais nous sommes de gens bien éduqués, nous la payons bien et la respections pourvu qu’elle joue le jeu que nous lui demandons.

La nuit dernière par exemple, je me suis réveillé à trois heures du matin avec une trique d’enfer et une seule obsession : baiser la Margotte à moitié endormie sur la table de la cuisine. La queue à la main je me suis donc précipité vers sa chambre et je l’ai réveillée et emmené à moitié dans les vapes en direction de la cuisine.

- Monsieur vous exagérez !
- Ça ne sera pas long !
- Alors ça va !

margotte
Je l’ai hissée sur la table et d’une main je lui ai ouvert la chatte. Toujours à moitié endormie elle a gémi et s’est mise à remuer des reins et à faire son cinéma :

- Oui allez y baisez-moi comme une chienne !

Elle nous vouvoie, cette petite à de l’éducation !

- En fait j’ai envie de t’enculer !
- Oui, enculez-moi Monsieur Thibault

Au moment où je me hissais sur la table pour la pénétrer, j’ai entendu la voix ensommeillée de ma femme :

- Espèce de salaud, tu aurais pu me réveiller pour que je profite du spectacle.

Puis elle a ajouté avec un petit rire :

- Vas-y encule la bien profond, mais ne jouis pas, c’est dans mon cul que tu vas décharger  »

J’ai enfourché d’un coup la belle blackette tandis que derrière moi ma femme se branlait…

Au bout de dix minutes, j’ai déculé. Ma bite était recouverte de merde.

- Eh bien Margotte ! En voilà des façons !
- Je vais nettoyer la bite de monsieur ! répondit-elle en prenant mon engin en bouche et en entreprenant un joli nettoyage de la langue et des lèvres.

Mais voilà que Margotte quitte la cuisine.

- Mais Margotte pourquoi es-tu si pressée ?
- Je vais pisser ! Monsieur !
- Non retiens-toi, tu nous pisseras dessus quand j’aurais baisé Madame

- Mais il faut aussi que je fasse caca.

- Essaie de te retenir.

 

Puis j'ai été m'occuper de ma femme qui m'attendait à quatre pattes sur le carrelage, ses fesses rondes et potelées offertes à ma bite prête à décharger. J'ai lubrifié son petit trou avec ma salive puis, je me suis frayé un passage. Alors Margotte est allée se poster sous la chatte de Marine et l'a sucée pendant que je prenais possession de son cul.

 

Quelques minutes plus tard la cuisine retentissait de nos cris aigus !

 

Alors Marine et moi nous nous sommes allongés sur le sol, avons ouvert la bouche afin de recueillir le joli pipi de Margotte. Son caca à suivi juste après.

 

Je vous disais la Provence c'est magique !

 

Fin

Publié sur revebebe le 20/11/2000 puis passé à la trappe

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Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Dimanche 23 juin 2013 7 23 /06 /Juin /2013 11:19

Coiffeur pour dames

par Enzo

 

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A l'époque j'avais trouvé un petit boulot de coursier, non seulement c'était horriblement mal payé mais c'était à moi d'entretenir la bicyclette… Passons, j'avais 22 ans, pas de liaisons… Enzo, brun, presque imberbe, et plutôt allergique au sport sinon celui en chambre et la marche à pied.

 

J'apportais un paquet chez un coiffeur pour dame dans une rue bobo du 7ème arrondissement. Le mec, un quinquagénaire plutôt bien conservé me regarde comme si j'étais une apparition. La légende qui veut que tous les coiffeurs soient homos serait-elle fondée ?

 

Le type me file un pourboire de prince !

 

- Je vous trouve charmant ! Dommage que vous ne soyez probablement pas homo ? Me dit-il… Carrément.

- Je peux l'être si on me paie ! Répondis-je du tac au tac.

- Et bien passez me voir ci soir à 20 heures, vous aurez peut-être trois clients d'un coup.

- Sérieux ?

- Très sérieux.

 

Et à 20 heures, j'étais là ! La porte est fermée, je toque, une femme vient m'ouvrir. Une femme ?

 

- Bonjour, je suis Marie-Claire, la femme du patron, asseyez-vous, il est avec deux amis, je vais lui dire que vous êtes là ! Amusez-vous bien !

 

Ça alors !

 

Marie-Claire ferme le rideau de fer de la boutique, disparait dans une arrière salle et revient avec son mari et deux autres hommes, puis va tranquillement s'assoir sur un fauteuil d'attente.

 

- Je ne me suis pas présenté, je m'appelle Max me dit le patron

- Moi, c'est Enzo !

- Et voici mes amis Gérard et Edmond.

- Il est mignon ! Commente Gérard !

 

L'autre me touche le cul ! Faut surtout pas se gêner ! Je me dégage avec un sourire de politesse

 

Max doit avoir la cinquantaine, cheveux grisonnants et petite moustache il est en chemise ouverte, grise et bordeaux à rayures. Les deux autres ont plutôt la soixantaine.

 

- Voilà une enveloppe pour vous, on se donne une heure et demie, ça te va ?

 

Je regarde dans l'enveloppe sans toutefois recompter, ça a effectivement l'air d'aller.

 

- OK quel est le programme ? Demandais-je.

- D'abord je te baise, mes amis se contenterons de regarder, ensuite ce sera la seconde partie, ce sera à eux de jouer… Toutes les pénétrations seront avec capotes. Ça te va ? Des questions ?

- Non, ça va !

- Et bien, allons-y mets-toi à poil !

 

Gérard et Edmond vont s'assoir mais du côté opposé à Marie-Claire.

 

Me voilà face à face avec Max. Je me déshabille devant lui sous son œil concupiscent. Lui aussi se déshabille, il est plutôt bien conservé avec quand même un petit peu de bedaine.

 

- Hum pas mal du tout ! Me flatte-t-il en me caressant.

 

Il bande bien

 

- Vas-y suce moi la queue !

 

Ben, oui, je suis venu pour ça ! Elle me plait bien sa queue, bien droite, terminé par un joli gland violacé. Allez hop dans la bouche, la bite, je fais des longs mouvements de va-et-vient, Max est aux anges. Histoire de faire durer un peu le plaisir, je lui gobe les couilles, il apprécie.

 

- T'es une bonne salope de suceuse ! Me dit-il dans un moment de poésie. Suce moi aussi un peu derrière.

 

Pourquoi pas, je ne déteste pas lécher un joli cul. Je le contourne et lui écarte les fesses, puis ma langue vient lui taquiner l'œillet. Odeur légèrement forte. Normal, un cul c'est un cul. Je parviens à bien lui lubrifier l'œillet, je me demande si je peux me permettre un doigt, mais il ne me le demande pas, il doit être exclusivement actif. Ça arrive !

 

Je repasse de l'autre côté et reprend sa bite en bouche

 

Vous connaissez la chanson ? "La bite en bouche, la voilà la jolie bite, bitons, bitons, bitons…"

 

Je m'amuse à lui titiller le bout du gland avec la pointe de la langue, comme j'adore qu'on me le fasse, je suppose que ça lui plait bien.

 

- Oh, là là, oh, là là là commente-t-il.

 

Je me recule un peu, examine le résultat de mes talents : Sa bite est raide comme la justice, elle est vraiment très jolie. Je sens que l'avoir dans mon cul ne sera pas une corvée. Mais j'attends qu'il me le demande.

 

- Suce encore !

 

Au cas où je n'aurais pas compris…

 

Un petit coup d'œil sur les fauteuils d'attente, sur ma droite Gérard et Edmond ont sorti leur bite et se masturbent en profitant du spectacle comme des gros pervers. Mais les gros pervers, moi, ça m'excite. De l'autre côté Marie-Claire s'est dépoitraillée et a baissé son pantalon, elle se branle la foufoune d'une main pendant que de l'autre elle se tire sur les tétons.

 

Quelle ambiance !

 

Je continue à sucer, mais je commence à avoir mal à la mâchoire, je fais diversion en donnant de grands coups de lèche sur sa verge.

 

- Mets-toi à quatre pattes, je vais t'enculer. Non, pas comme ça, il faut que ma femme puisse bien voir !

 

O.K. Je rectifie la position, je me cambre et m'écarte les fesses. Max me tartine le troufignon avec du gel, puis je sens le gland qui quémande l'entrée. Une petite poussée et ça entre. Il pousse encore, ça y est, j'ai toute sa bite dans mon cul. J'adore cette sensation, et j'adore encore davantage quand il entreprend d'aller et venir d'un bon rythme. Je me sens vraiment salope de me faire enculer comme ça devant trois témoins excités comme des puces.

 

J'ai le cul plein de sensations électriques, je suis bien, je suis aux anges, je plane !

 

Il m'a bien limé comme ça pendant dix minutes, je ne sais pas trop, on perd la notion du temps quand on se fait enculer. Il se retire, il n'a pas jouit. On fait quoi maintenant ?

 

- Mets-toi sur le dos, les cuisses bien en l'air !

 

O.K. Il va m'enculer par devant. Ce vieux cochon veut jouir en me regardant. Il a raison, là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir ! En revanche, pour ce qui me concerne, je n'aime pas trop cette position, d'abord elle devient rapidement fatigante, et puis le Max comme image érotique, on fait mieux quand même ! Mais que voulez-vous, business is business. Max a toutefois la très bonne idée de s'agripper plutôt après mes tétons, et ça c'est un truc qui m'excite super bien. Après dix minutes de "je rentre, je sors "en roue libre", il s'énerve brusquement, accélère et finit par jouir en poussant un cri de loup-garou sous la pleine lune.

 

Il m'a bien enculé, ce vieux cochon, j'ai joui du cul. Curieuse sensation post sodomique d'avoir le cul qui refuse de se fermer. Manifestement, il n'est pas rassasié, mon petit doigt me dit qu'il ne va pas tarder à en avoir encore.

 

Max veut m'embraser, je me laisse faire, mais c'est un supplice, il pue le vieux tabac et pique comme un hérisson. C'est vraiment trop compliqué de se raser avant de recevoir un beau gosse comme moi et de s'asperger de spray buccal ?

 

- Va t'occuper de ces messieurs ! M'ordonne-t-il.

 

On y va, on y va…

 

Gérard est un homme complétement chauve habillé avec élégance, chemise bleue, cravate assortie d'un bleu plus soutenu. Edmond est en chemise blanche et cravate grise. Quel idée de porter cravate lorsqu'on est retraité !

 

Quelle queue entreprendre en premier ? Je choisis la plus belle (Tant qu'à faire !) C'est celle d'Edmond. Je la prends dans ma main, me baisse et l'engloutit aussi sec dans ma bouche. Et pour que Gérard ne soit pas jaloux, je tends la main gauche pour le branler.

 

Je me recule quelques instants pour permettre à ces messieurs le temps de se déshabiller, mais je ne les laisse pas se rassoir, je m'accroupis et joue avec les deux bites, tantôt dans la bouche, tantôt dans la main. Les deux retraités excités comme des puces se roulent des patins et se pince les tétons. Ça chauffe, mais, ça chauffe !

 

Edmond se dégage un peu, se met une capote sur la quéquette et passe derrière moi. Pas besoin de me faire un dessin, je me penche légèrement et écarte les fesses. Quelques instants plus tard, j'avais sa bite qui me pilonnait le trou du cul... Gérard lui, pendant ce temps s'agenouille devant moi et me suce la bite.

 

C'est à cet instant que j'ai eu un moment de panique, complétement occupé avec ces deux vieux mâles en rut, je ne pouvais observer le siège sur lequel j'avais laissé mes affaires et mon portefeuille. Max ou Marie-Claire pouvait s'en emparer sans problème… et dans ce cas-là, je ferais quoi ? J'étais en infériorité numérique et je ne me voyais pas aller porter plainte. Bon pensons à autre chose, on verra ça après !

 

Je dois avouer que ces deux retraités ne s'y prenaient pas trop mal, j'étais ma foi, bien enculé et bien sucé, mais ils ne souhaitent manifestement pas que l'affaire se termine trop vite. Edmond sort de mon cul, retire la capote et m'offre de nouveau sa bite à sucer pendant que Gérard se branle tout seul quelques instant avant de m'accompagner dans ma fellation. Heureux Edmond qui se fait sucer la bite par deux mecs !

 

Mais rapidement, Gérard a une autre idée en tête, il ne m'avait pas encore enculé celui-ci, alors il le fait pendant que je continue à sucer son ami.

 

coiffeur.jpg

 

Petite pause, puis Edmond encule Gérard qui me suce. Ce dernier semble fatigué et se couche carrément par terre, il change encore une fois de capote (on en fait une de ses consommation) et je m'empale sur lui, il jouit facilement.

 

Au tour d'Edmond maintenant, mais il veut terminer autrement, on se met en soixante-neuf, je l'averti néanmoins de ne pas m'éjaculer dans la bouche.

 

Et tandis que je pompe la bite du retraité, je sens quelque chose de chaud qui m'arrose le cul ! C'est Gérard qui me pisse sur les fesses. Faut pas se gêner, mon vieux ! Je n'ai rien contre, mais les bons usages veulent que l'on demande avant ! Non mais des fois !

 

- Ça vient ! Me prévient Edmond.

 

Je dégage ma bouche et le laisse jouir.

 

Ben si je comprends bien, c'est fini, les trois mecs ont joui, j'étais venu pour ça, moi je n'ai pas joui, mais je n'étais pas venu pour ça !

 

Je me dirige vers le coin où j'ai laissé mes affaires, je prétexte le fait de prendre un kleenex pour m'essuyer le cul et je vérifie si l'enveloppe est toujours dans ma poche ! Oui ! Ouf !

 

- T'a été très bien, me dit Max, laisse-nous tes coordonnées, on pourra peut-être recommencer. Euh, je crois bien que Marie-Claire aimerait que tu la baises ! Mais tu n'es pas obligé, tu n'aimes peut-être pas les femmes ?

- Si, si ! Ce sera un plaisir !

 

Marie-Claire est affalée dans un fauteuil, dépoitraillée et la chatte à l'air.

 

- Baise-moi vite ! Supplie-t-elle

 

J'aurais aimé la caresser, la peloter un petit peu, non Madame veut de la bite, violente et directe, tant pis pour moi ! Je m'encapote, je m'approche, je m'enfonce et je la baise. Trois minutes après c'était fini. Pas très romantique et pas très érotique non plus ! Mais ça fait du bien de se vider les couilles.

 

Les deux cravatés finissent de se rhabiller, j'en fais autant de mon côté. On ne me demande pas si j'ai besoin de quelque chose, j'ai soif, mais on ne pense même pas à m'offrir un verre d'eau. Me voyant prêt, Max, va relever le rideau de fer de la boutique. Il me serre la main, les autres sont allés vers le fond et ne m'ont même pas dit au revoir.

 

Marie-Claire s'approche de moi et me roule une rapide gamelle.

 

- Tu sais, moi aussi j'ai été pute autrefois, me confie-t-elle, je ne regrette rien. Profites en bien.

 

Curieux comme ces quelques paroles m'ont fait un bien énorme.

 

C'est fini, je suis dans la rue ! Moment d'angoisse, pourvu qu'on n'ait pas profité de l'instant où je baisais Marie-Claire pour me faire les poches ! Non tout est là !

 

Allez, de quoi, je me plains, j'ai bien gagné ma journée !

 

Fin

 

23/6/2013

 

© Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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