Dimanche 10 avril 2011 7 10 /04 /Avr /2011 17:39

Envie pressante

par Marie-Paule Perez

 

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Pour lecteur averti – Scato inside

Thémes abordés :  coprolalie, domination soft, feuille de rose, lesbos, scato, uro

Qui suis-je ? Je me prénomme Lynn et je suis une vraie rousse, avec tout ce qui va avec, la peau laiteuse, les taches de rousseurs, la peur du soleil et parait-il l’odeur…

A l’époque je vivais avec un copain, ça marchait assez moyen et je savais déjà que nous ne nous éterniserions pas ensemble

Il faut aussi que je vous dise quels étaient mes rapports avant ces événements avec les fantasmes dont il va être question ici, c’est à dire l’homosexualité féminine, l’urolagnie et la scatologie.

Pour les femmes, je ne sais pas trop expliquer, je crois que c’est une expérience qui m’a toujours tentée, périodiquement en croisant une jolie femme, je me suis toujours dis que je ne dirais pas non si les circonstances… mais cela était resté un fantasme, les fameuses circonstances n’ayant jamais été réunies, et puis il faut dire que je ne cherche pas non plus, si ça vient tant mieux, mais je ne me vois pas faire les premiers pas…

L’uro c’est plus compliqué, j’ai vu les premières photos par hasard, alors que mon copain cherchait je ne sais quoi sur les sites pornos sur le net ! Curieuse réaction, je savais qu’on pouvait s’amuser à se montrer en train de pisser ou le contraire s’exciter en regardant quelqu’un uriner, mais là voir des gens se pisser dessus et même dans la bouche, je ne pensais pas que ça pouvait exister. Et mon premier sentiment a été le rejet, relayé d’ailleurs par mon copain qui ne cherchait pas ça… Mais ces images aperçues brièvement m’ont trotté dans la tête, une sorte de lutte incompréhensible entre la répulsion et la curiosité… C’est cette dernière qui l’emporta et entraîna l’uro dans mes fantasmes. Je ne voyais pas trop comment concrétiser tout cela d’autant que je n’avais pas non plus l’intention d’aller très loin. Je multipliais les signes auprès de mon copain, comme pisser avec la porte des toilettes ouvertes, m’essuyer de façon incomplète alors que je savais que nous allions faire l’amour ensuite… mais en vain… Je tentais aussi de lui sucer la bite alors qu’il venait juste de faire pipi, mais il refusa. Monsieur n’a pas beaucoup de fantasmes ou alors il les cache bien et monsieur n’a pas beaucoup de pratiques hors-normes, monsieur commence à m’ennuyer ferme… Mais je voulais tout de même savoir quel goût ça avait. J’ai dû mouiller mon doigt une bonne vingtaine de fois, puis l’approcher de ma bouche avant de me dégonfler, jusqu’au jour où je me suis lancée, j’ai trouvé ça pas mauvais, très particulier, alors j’ai l’ai refait plusieurs fois, parce que j’aime bien faire la cochonne et pour le reste, je rangeais l’uro dans mon tiroir à fantasmes

Quant à la scato, à part être tombée par hasard sur des photos Internet où des femmes faisaient ce genre de choses en toute décontraction, ce qui me provoqua un trouble bien réel, je ne pratiquais rien du tout. Mais cochonne pour cochonne, je me suis dit que ce que j’avais fait pour le pipi, je pourrais le faire pour le caca ! Ben mes amis, je vais vous dire, c’est loin d’être évident, j’essayais deux ou trois fois de m’imbiber le doigt avant de m’essuyer le cul et y renonçait aussi sec. Sauf qu’un jour je suis retombée sur des images Internet où des filles avaient l’air de se régaler. Excitée comme une puce, et ayant justement une petite envie, je refis l’opération doigt dans le cul, soupirais un grand coup, fermais les yeux et hop tout dans la bouche. Il n’y a effectivement pas de quoi s’enfuir en courant, j’ai gouté des aliments plus horribles que ça, et d’ailleurs ce n’est pas horrible, c’est particulier. Néanmoins je ne m’adonnais à cette pratique que dans mes moments de grande excitation solitaire. Et je ne l’avais jamais partagé.

Le récit maintenant :

Pour bien comprendre cette folle soirée que je vais essayer de vous décrire, il faut revenir plusieurs mois en arrière…

Je faisais de l’intérim à l’époque et j’avais reçu une invitation pour un pot célébrant le cinquième ou le dixième (on s’en fout) anniversaire de la boite. C’était un vendredi soir, et comme j’étais en fin de mission et que je tenais à retrouver du boulot, j’ai préféré y aller. Je ne connaissais pas grand monde, seulement quelques collègues croisés au hasard de mes missions. Le temps a passé assez vite, j’ai évité de boire trop d’alcool, mais j’en ai bu quand même, je me suis retrouvé face à face avec une bonne femme qui m’a raconté sa vie et dont j’ai eu un mal de chien à me débarrasser, c’était pour tomber ensuite dans les pattes d’un type qui voulait me draguer, il a dû mettre une demi-heure avant de comprendre que ça ne marcherait pas…

Puis, je me suis retrouvée, je ne sais pas trop comment, dans un groupe de commères que je connaissais à peine :

– Tiens, elle est là l’autre gouine ! Dit une première parlant de je ne sais qui ! Où est-ce qu’elle travaille en ce moment ?
– J’en sais rien, elle était chez Martin-Duval le mois dernier, il parait qu’elle s’est envoyée une nana dans les chiottes…

Allez donc savoir pourquoi ma curiosité s’est alors éveillée…

– C’est laquelle ? M’entendis-je demander.
– La pétasse en pull bleu, les cheveux longs avec un gros cul.

Ah, bon ! J’engrange l’information… et puis cinq minutes plus tard, je quitte ce groupe de cancanières aigries pour aller me servir un jus de fruit. Ce doit être inconscient, j’aurais pu faire ça n’importe où, ce ne sont pas les bouteilles qui manquent, non il a fallu que je me place à côté de cette fameuse fille en bleu. Echange de regards. Je souris, elle me sourit. J’engage la conversation, elle est un peu boulotte, mais mignonne, elle répond au doux nom de Sylvaine. On parle de tout et de rien, de nos missions, des anecdotes. Le courant passe bien, on reboit un coup, et puis bon l’heure passe…

– Il va falloir que j’y aille ! Finis-je par dire
– Moi aussi, tu m’attends, on va au métro ensemble ? Me propose la nana.
– Ok ! Faut que j’aille pisser

Il n’y a qu’une seule cabine, elle est occupée, j’attends…. Cinq minutes passent, toujours rien. Sylvaine vient me rejoindre :

– Ah, tu es là ! Je te croyais disparue !
– Non, mais les chiottes sont occupées !
– Frappe !

On y retourne, ensemble, je frappe à la porte.

– Une seconde ! Répond une voix féminine !

On attend, mais l’endroit ne se libère pas !

– Bon ben tant pis, j’espère que ça ira ! On y va ! Me décidais-je.

Et nous voici sorties, on cherche le métro, on se perd à moitié, l’envie d’uriner commence à me tenailler sérieusement.

– Il faut que je trouve un bistrot…
– Ok, je reste avec toi…

Pas grand-chose d’ouvert, mais on finit par en dégoter un… Un petit coup d’œil dedans… Je ne vous dis pas la faune, on se sauve en courant… Pas de solution, faire entre deux voitures, pourquoi pas, mais il y a toujours un peu de monde… Situation absurde ! D’autant que dans quelques minutes ça va être intenable et que je vais lui demander de faire le pet (quelle expression !) tandis que je vais faire mon petit pipi dans le caniveau…

Un taxi dans la rue ! J’ai une idée ! Je lui fais signe d’arrêter…

– Je te laisse ! Dis-je à Sylvaine ! A moins que tu veuilles profiter du taxi ?

Je prie le ciel qu’elle n’en profite pas ! Ça va me retarder, mon plan est simple, tenir jusqu’à la gare de Lyon, puis directo les toilettes des dames….

– OK ! Je viens, vous pouvez faire un crochet par la porte de Bagnolet ?

L’horreur ! Je ne tiendrais jamais ! Je serre les fesses, je serre les dents, je serre tout ce que je peux, dans un instant je vais éclater, je ne vais quand même pas pisser dans la bagnole…

– Ça ne va pas, Lynn ?
– Si, si ! Mais bon…

On se farcit un nombre incalculable de feux rouges, je vais craquer, je vais en foutre partout. J’arrive quand même à me retenir… Et on finit par arriver devant chez elle !

– Monte chez-moi, tu ne tiendras pas jusqu’à la gare !
– Je crois que je vais faire comme, ça, oui ! Vous pouvez m’attendre, j’en ai pour cinq minutes, dis-je au chauffeur !
– Oui, mais vous me payez déjà le bout de course et après je fais tourner le compteur.

Sylvaine paie le mec, je monte avec elle, je suis blanche comme un linge. Ça y est, on est sur le palier. Elle cherche ses clés, je sens que je vais me lâcher dans quelques instants. Elle les trouve ses clés, oui ou merde ? Enfin, la clé tourne dans la serrure, la porte s’ouvre… J’entre !

– C’est où ?
– Au fond…

Trop tard !

– Excuse-moi…
– Ce n’est rien…

Tu parles que ce n’est rien, mon jean est plein de pisse, je n’ai pas eu la volonté de faire ces derniers mètres.

– Me voilà fraîche !
– Ce n’est rien, on est entre femmes, ça aurait pu m’arriver aussi….
– Je vais finir là-bas, j’ai encore envie !
– Tu peux finir, ici, au point où tu en es ! De toute façon, faudra que je nettoie !

Hein ? Elle n’est pas bien celle-là ! Mais la surprise me cloue sur place, elle s’accroupit devant moi, me caresse les cuisses, étalant de la main l’urine sur mon pantalon…

– Tu vas croire que je suis folle, mais j’aime bien caresser les femmes… mais bon, je n’impose rien à personne… mais tu ne peux pas savoir comme cette situation m’excite.
– C’est parce que je pisse que ça t’excite ?
– Bingo !

Pour moi l’érotisme était bien loin depuis cette envie de pisser, et soudain le voici qui se rapproche, mon fantasme ressurgit, deux fantasmes… Je lutte… Pas avec cette fille qui ne m’attire pas, et puis entre les fantasmes et la réalité, ce n’est pas la même chose… Et puis je la vois faire, elle porte sa main humide d’urine à son nez, semble s’enivrer de l’odeur, puis la porte devant sa bouche, sa langue sort, elle lèche… mon dieu…

– Retire ton pantalon ! Dit-elle
– Et pourquoi ?

J’essaie de ne pas perdre top l’initiative !

– Parce qu’il est mouillé !
– Et je vais repartir comment ?
– En taxi, s’il n’est pas parti, Rigole-t-elle
– Et sans pantalon ?
– Je te prêterais un truc !

Je retire le bazar, toute mouillée, ma petite culotte est une vraie serpillière, mes cuisses sont trempées. Sylvaine me les lèche comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Et moi grande idiote, je me laisse faire.

– La culotte ! Indique-t-elle
– Quoi, la culotte !
– Retire là !
– Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
– Tout à fait, oui !
– Alors d’accord ! Dis-je en la retirant.
– Donne !

Je lui tends la culotte, elle la tord au-dessus de sa bouche, avale les gouttelettes chassées par l’essorage. Elle est folle à lier, et moi je suis excitée comme pas possible. Elle retire son haut mais conserve son soutien-gorge ! Dommage j’aurais bien aimé voir sa grosse poitrine. Je suis un peu bête, il me suffirait de lui demander, mais je suis comme ça, il faut toujours que je temporise, on ne me refera pas…

– Tu serais cap’ de me pisser dessus ? Demande-t-elle.
– Je ne sais pas !
– Quand on dit « je sais pas », c’est qu’on dit pas « non »
– On est folle toutes les deux !
– C’est pas grave ! Alors d’accord ?

Elle n’attend pas ma réponse, et retire son pantalon, puis sans crier gare, s’étale sur le sol dans la marre d’urine !

– Vas-y !

J’y vais ! Je me lâche, une véritable cascade jaunâtre lui dégringole sur le visage, elle ouvre la bouche, elle en avale une partie, rejette le reste. Je dois être en train de rêver. Le jet finit par se tarir… Elle se relève alors, elle dégage ainsi mouillée un érotisme auquel je ne suis pas insensible, les bonnets de son soutien-gorge sont tout humides, elle prend ses seins et les fait pigeonner pardessus… Pas très élégant, je préférerais qu’elle enlève tout… Alors je me surprends à me baisser pour passer mes mains derrière son dos afin de lui dégrafer le soutif. C’est la première fois que je défais le soutien-gorge d’une femme, il y a toujours une première fois.

Je ne sais pas comment elle a fait, mais voilà Sylvaine entre mes cuisses, sa langue cherche ma chatte, je me laisse faire, je suis si excitée que cela ne peut que me faire du bien. Elle me tire le bras, elle veut quoi ? Je comprends qu’elle souhaite que je me baisse, je me retrouve par terre, le cul dans la pisse, le visage de la petite grosse dans mon entre-jambe, elle lape, elle bave sur mon sexe, je le sens tout gluant, drôle d’impression, quand mon copain me fait un cuni, c’est beaucoup plus light, et puis elle concentre ses efforts sur mon clitoris, ça me démange un maximum, je sens que je vais exploser dans tous les sens, ça ne rate pas, je jouis comme je l’ai rarement fais, bruyamment et violemment.

Je regarde ma montre, ça fait combien de temps que je suis ici, à peine plus de cinq minutes… Je pense au taxi, ça m’étonnerait qu’il s’éternise, tant pis, je rentrerais comme je pourrais, mais quelle expérience !

– Ça va ? Demande-t-elle !
– Pas mal comme coup de folie !
– J’étais sûre que tu aimerais mes caresses !
– Comment tu pouvais être sûre ?
– L’habitude, il y a certains regards qui ne trompent pas, quand t’es venu me parler, je me doutais que tu essayais quelque chose…
– Ce devait être inconscient…
– Je ne dis pas le contraire ! J’avais envie de m’amuser, tu sais ce que je voulais faire ? Reprend-elle
– Non, dis ?
– Ben, je voulais éviter toute allusion sexuelle, jusqu’au moment de nous séparer, et là on se serait fait un bisou, et en fait de bisou je t’aurais roulé un patin !
– Génial !
– Mais ton envie de pisser a modifié mes plans… Je n’avais pas prévu que ça tourne en uro, mais quand je t’ai vu pisser dans ton pantalon, je suis devenue complètement folle. Ça passait ou ça cassait, et il y avait bien plus de chances pour que ça casse, les filles qui aiment ce genre de choses ne sont pas si nombreuses…. Tu fais ça souvent ?
– Ben, c’est la première fois ! Avouais-je..
– Ok, je vois, bon tu sais j’aimerais bien jouir aussi…

Je ne sais pas trop ce que j’allais répondre, mais soudains ses lèvres se sont collées aux miennes, et voilà que nous échangeons un baiser baveux, c’est incroyable ce que cette fille peut sécréter comme salive…

– Et si tu te mettais à poil ? T’es pas trop pressée j’espère !
– Non, je vais juste passer un coup de fil à mon copain pour lui dire que ça dure plus longtemps que prévu.
– OK ! Passe-lui un coup de fil, et tout à l’heure tu lui en passeras un autre, tu lui diras que tu as raté le dernier train et que tu es allé coucher chez une copine…
– Ça ne marchera pas, il me dira de prendre un taxi…
– Mais si ça marchera…

Dingue ! Elle dispose de moi sans à peine me demander ce que j’en pense et moi je me laisse faire…

– T’aimes qu’on te domine ? Demande-t-elle alors
– Comment ça ?
– Ben par exemple je pourrais te donner des ordres, comme ça pour jouer…
– Je ne comprends pas bien.
– Par exemple, je peux te dire de nettoyer toutes tes cochonneries, et si tu ne vas pas assez vite, je te fesse le cul !
– Mais pour jouer ?
– Oui, pour jouer !
– D’accord, je veux bien !
– Tu vas être ma petite esclave, alors, tu feras tout ce que je te dirais !
– Tout, peut-être pas !
– T’inquiètes pas, je sais jouer ! Et si je te traite de tous les noms, ça ne va pas te traumatiser ?
– Ben non puisque c’est un jeu !
– Alors on y va ! Et je te signale que tu ne pas encore mise à poil !

Pas de panique, je ne sais pas dans quoi je m’embarque, mais quelque chose m’empêche maintenant de reculer, j’enlève le haut, dévoile mes seins à Sylvaine !

– Hum pas mal tes nichons ! Ce doit être un plaisir de leur tirer dessus !
– On peut les caresser sans leur tirer dessus ! Répondis-je par réflexe !
– Ta gueule, poufiasse ! M’interrompt-elle !

C’est vrai j’avais déjà oublié qu’on jouait… Elle m’attrape mes bouts de seins, les serre entre le pouce et l’index, un frisson me parcoure le corps, je soupire de plaisir, la pression s’accentue, elle tord à présent la petite excroissance de chair.

– Tu aimes ?
– Oui !
– Je savais bien que tu étais une petite salope…

Elle penche la tête, me lèche le sein, donne des coups de langue sur le téton, puis je sens ses dents qui me mordillent, j’espère qu’elle sait ce qu’elle fait… apparemment, oui, et cela n’a rien de désagréable….

– Mets-toi à quatre pattes, j’ai envie de m’occuper de ton gros cul !

Amusant, parce que mon cul est bien loin d’avoir la largeur du sien, mais je ne dis rien et obtempère.

– Joli cul, je vais me régaler en tapant dessus !
– Pas trop fort !
– Tu vas la fermer, oui, petite pute !

Un coup arrive, frappé du plat de la main sur ma fesse gauche. Ça fait un peu mal, mais quelque part j’aime bien, je cambre les fesses, attendant la suite

– Tu veux encore, hein ?
– Oui !
– Tu es bien une chienne !
– Je suis tout ce que tu veux, vas-y fais-moi tout ce que tu as envie !
– Hummm tu devrais pas me dire des choses comme ça, tu ne sais pas de quoi je suis capable !

Et la voilà qui me frappe à la volée, elle n’arrête pas, mon cul me fait mal, il est tout chaud, ça pique de partout, et en même temps ça m’excite, ce soir je suis une vraie chienne en chaleur et j’en ai conscience… mais jusqu’où vais-je aller ?

Sylvaine a arrêté sa fessée, et sa langue vient s’immiscer dans mon trou du cul ! Voilà encore un truc qu’on ne m’avait pas fait depuis belle lurette.

– Ouvre un peu tout ça que je mette la langue !
– Oui.
– Tu sais qu’il pue ton trou du cul ?

Voilà qui me surprend, ce n’est pas vraiment mon genre… mais peut-être me fait-elle simplement « marcher » ?

– Je suis désolée, tu veux que j’aille me le laver ? Proposais-je
– Sûrement pas, il est très bien comme ça ! J’aime bien qu’un cul ça sente le cul ! Mais le tiens, je te dis pas ! Tiens viens m’embrasser salope !

On se roule une nouvelle gamelle, c’est toujours aussi baveux, toujours aussi excitant…

– Ça t’excite de m’embrasser la bouche alors que je viens de foutre ma langue dans ton cul tout sale ?

Pour être honnête, non, et d’ailleurs je ne sens pas grande différence avec tout à l’heure mais je joue son jeu…

– Oh, oui ça m’excite !
– OK, alors on permute !

Et la voilà à son tour à quatre pattes, le cul tendu ! Je ne sais pas si je vais pouvoir faire ça ! Je m’approche, commence par lui caresser et embrasser les fesses, ça va, elle se laisse faire, elle n’est pas pressée, moi non plus, mais au bout d’un moment elle me rappelle à l’ordre :

– Bon, alors petite leçon d’anatomie, le trou du cul c’est au milieu ! Et c’est là que j’aimerais bien sentir ta langue !

Plus moyen de tergiverser, j’y vais, je lui écarte ses deux gros globes fessiers, je regarde, ça me semble mignon tout plein ce petit trou là, j’approche ma langue, l’odeur est un peu forte, mais ça n’a rien de repoussant ni même de gênant, Je lui farfouille l’anus ainsi pendant quelques minutes, sous ma caresse l’orifice s’ouvre légèrement, excitant ce truc-là !

– Bon, ça va, t’est une bonne lécheuse de cul ! Maintenant tu vas t’allonger par terre sur le dos, et je vais te faire pipi dessus.
– Moi, je veux bien mais c’est tout mouillé, il faudra que je prenne une douche avant de rentrer.
– Pourquoi veux-tu rentrer ? Tu ne veux plus que je te garde pour la nuit ?

C’est qu’elle insiste ! Je ne réponds pas, je m’allonge dans ma pisse à présent refroidie. Sylvaine m’enjambe au niveau de mon ventre et remonte vers mon visage.

– Pas sur le visage !
– Pourquoi tu ne veux pas goûter à mon champagne.
– J’ai déjà gouté du pipi, mais là il va y en avoir de trop !
– Dis donc, qui c’est qui commande, ici ? Répond-elle !

J’avais oublié son jeu idiot !

– Bon écoute pisse-moi dessus si tu veux, mais pas sur le visage, tu n’as qu’à m’asperger les seins ou le ventre…
– Si tu n’essaie maintenant pas tu n’essayeras jamais…

Lynn Sylvaine Mais, elle se recule, se concentre un moment, puis elle m’arrose le nombril ! Drôle d’impression c’est tout chaud, c’est amusant, finalement ça me plait bien ce truc-là ! Et puis elle s’arrête, je suis persuadée qu’elle se retient… Elle se baisse, humecte son doigt avec l’urine qui stagne sur mon corps, puis le pointe vers ma bouche.

– Suce !
– Mais, je…
– Juste ça, ça ne va pas te tuer…
– Arrête !
– Obéis, obéis à ta gentille maîtresse, cela lui ferait tellement plaisir !

Quelle chieuse ! Effectivement ça ne va pas me tuer, je fini par lui lécher le doigt, son urine me paraît plus forte que la mienne… Mais ça n’a rien de désagréable. Le problème c’est qu’elle va vouloir savoir ce que j’en pense, et que si je lui dis la vérité elle va s’entêter à chercher à m’en faire avaler de vraies rasades….

– Alors ?
– Alors, bof !
– Deuxième essai

Deuxième doigt, je m’habitue au goût de sa pisse, cette fois si, il y a l’effet de surprise en moins.

– Allez je vais te donner deux ou trois gouttes !

Elle s’accroupit, la chatte à quelques centimètres de mon visage… Je ne lui ais pas dis que j’étais d’accord, elle fait ce qu’elle veut, et moi, je n’ai rien refusé malgré mes résolutions, on ne se refait pas…

– Ouvre la bouche !
– Juste un peu, hein !
– T’inquiètes pas !

Un petit filet d’urine me dégringole dans le gosier, drôle d’effet, je ne suis pas obligée d’avaler, je peux tout cracher, mais j’avale… amusant, excitant et délicieusement pervers… Allez ça marche, le pas est franchi, maintenant il faut assumer !

– Encore ! Lui demandais-je par pure provocation
– On y prend goût, hein ?
– C’est excitant, j’avoue !

J’ai plein de pisse dans le gosier, Bon dieu que je suis excitée.

– Ça fait du bien faire pipi ! Commente-t-elle, maintenant je ferais bien caca. T’aimerais me regarder faire ?

Elle est folle !

– Non, peut-être pas !
– Je demandais juste comme ça !

Elle a dû sentit mon trouble car elle me relance

– On dirait que tu hésites ?
– En fait, oui !
– T’as jamais fait des trucs comme ça ?
– Si je me suis déjà léché les doigts…
– Et c’était bon ?
– On va dire que c’était pas mauvais
– Je suis sûre que tu aimerais me regarder chier ?
– On peut toujours essayer.

Fallait vraiment que je sois super excitée pour répondre ça !

– J’aime bien qu’on me regarde chier, j’aime bien regarder aussi.

Oui, bon, ça va, j’avais compris !

Elle s’accroupit, me présentant ses jolies fesses bien rebondies, l’anus s’ouvre, un petit bout de crotte apparaît, ça grossit, l’étron devient boudin et dégringole. Il est joli, bien moulé, je n’irais pas jusqu’à dire qu’il est attendrissant mais le fait est que je suis plus fasciné que révulsé.

– Alors ? Me dit-elle
– Ben alors je ne sais pas trop quoi dire !
– N’empêche que tu mouilles !
– Ben oui je mouille !

Sylvaine ramasse son étron et le prend dans ses mains, je ne sais pas ce qu’elle à l’intention de faire mais j’interviens.

– Non on passe à autre chose !

J’ai dit ça par réflexe, je l’ai aussitôt regretté mais Sylvaine a reposé le caca.

– Allez, viens me faire une rincette !
– Une rincette ?
– Ben oui, tu me nettoies la chatte avec ta langue !

Sylvaine s’installe sur le dos. Allez, on se dégonfle pas, on y va ! Bien sûr que sa chatte sent la pisse, bien sûr que je lape tout ça, allant jusqu’à regretter que le petit goût particulier disparaisse aussi vite. Elle a un gros clito, il doit faire le double du mien, je le lèche, je le suce, je l’aspire, je joue avec. Sylvaine se crispe, ses cuisses deviennent toute raides, sa respiration ressemble à celle d’un teckel qui respire les traces d’un lapin. Le problème c’est que je jouirais bien encore une fois. L’idée c’est de me mettre en soixante-neuf… On y va !

– Non continue !

Elle est chiante la Sylvaine. D’accord je reste en place. J’active ma langue jusqu’à m’en faire mal, elle jappe maintenant, elle coule sur ses cuisses, et sentir son excitation monter dédouble la mienne. Je crains un moment de ne pas arriver à la satisfaire. Il va falloir que je fasse une pause, sinon je vais me faire mal à la langue. Encore un petit effort… Et boum, la voilà qui orgasme comme une damnée, elle hurle, semble partie on ne sait où pendant de longues secondes puis me sourit, m’enlace, m’embrasse, me serre dans ses bras. On rigole, on est heureuses toutes les deux.

– A toi ! Lui demandais-je.
– Ne t’inquiètes pas, je vais m’occuper de toi, mais dis donc espèce de vilaine, tu m’as nettoyé la chatte mais pas le trou du cul.
– Ben, c’est-à-dire…
– C’est-à-dire quoi, fais moi plaisir, et comme t’es excitée comme une puce, ça va être le pied.

Alors je me suis lancée et je lui ai nettoyé son trou du cul merdeux pendant que ma chatte dégoulinait de mouille.

J’avoue avoir pris un plaisir intense à lui nettoyer l’anus.

Puis comme promis, elle m’a de nouveau fait jouir, on est allé se doucher puis se coucher avec pleins d’idées salaces dans la tête, mais aussi crevées l’une que l’autre, on s’est endormi de suite et on a dormi comme des souches.

Au réveil, Sylvaine est restée gentille, mais ce n’était plus la même, elle m’a fait comprendre qu’elle avait été ravie de passer un moment de folie en ma compagnie mais qu’elle ne souhaitait pas prolonger cette relation. Un instant je m’étais fait des illusions, mais je n’étais que son « coup d’un soir ». J’ai encaissé le coup, on s’est embrassée plutôt chastement quand je l’ai quitté. Dans l’escalier, j’ai versé une larme.

Je n’ai jamais revu Sylvaine

Devant la porte de l’appartement de mon copain, deux valises et un sac poubelle. Il y a un petit mot aussi, je le découvre :

« Tu t’es bien foutu de ma gueule, puisque tu as trouvé mieux que moi cette nuit, reste avec lui et ne cherche plus à me revoir, je te fais cadeaux des valises. »

J’aurais pu entrer, j’avais la clé, je ne l’ai pas fait, j’ai embarqué tout le bazar et je suis retourné chez moi, là où je n’avais pas mis les pieds pendant six mois. J’ai défait les valises, mon ordinateur portable y était. Alors je l’ai branché, je me suis mise à poil, pas complétement puisque j’avais conservé ma petite culotte, je me suis amusé à pisser dedans. Puis je suis allé sur un site d’annonces, j’ai regardé si quelque chose me branchait, et comme ce n’était pas le cas, j’ai décidé d’en poster une.

« Jeune femme ayant découvert récemment les plaisirs saphiques et uro recherche relation suivie basée sur le respect mutuel et la tendresse, peut être donneuse ou receveuse… scato légère possible »

Epilogue

Le lendemain j’avais rendez-vous avec Annabelle, 28 ans. On a tout de suite sympathisé. Cela fera 10 ans demain que nous vivons ensemble, je suis heureuse, même s’il m’arrive d’avoir parfois une pensée nostalgique pour Sylvaine.

Fin

 

© Marie-Paule Perez et Vassilia.net. Tout droit réservé avril 2011, complété en 2018

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Dimanche 10 avril 2011 7 10 /04 /Avr /2011 07:38

Orgie dans la clairière

par Enzo

 

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C'était un samedi après-midi sous le radieux soleil du mois de juin.

 

Je me suis engueulé avec ma femme. Pour des bêtises en plus. Alors j'ai pris la bagnole et j'ai filé la route plus ou moins par hasard. Je me suis retrouvé à 20 kilomètres au bois de Capet.

 

Je me suis garé et me suis enfoncé dans la forêt, le lieu avait la réputation d'être un peu chaud il y a des années, j'ignore s'il l'est encore ?

 

Une heure que je marche, j'ai bien croisé un couple mais ils m'ont ignoré. Le problème c'est que je suis un peu perdu, il va falloir que je trouve le moyen de me repérer.

 

Ah, un type au loin, je vais lui demander où est la route quand je le croiserai. Le mec est en bermuda, chemise ouverte. A dix mètres de moi, il s'arrête, se met sur le côté et sort sa bite pour pisser sans se cacher. Je vais vers lui, il me sourit, il se branle maintenant devant moi. Je fais quoi ? Je me dégonfle ou je me lâche ?

 

- Si tu aimes la bite, je suis très doux ! M'indique-il.

- Elle est belle ! Parvins-je à articuler.

- Vas-y, touche !

 

Je lui branle un peu la bite, voilà des années que je n'ai pas fait des trucs avec un homme. Mais là je suis prêt, je bande comme un malade. Pendant que je lui astique la bite, il dégrafe mon pantalon et le fait tomber au sol, le caleçon suit. Me voici le cul et la bite à l'air. J'aimerais bien qu'on me regarde, je jette un regard circulaire, mais hélas les voyeurs ne sont pas là, ou alors ils sont bien planqués.

 

Ça y est, il a ma bite dans sa main, on se branle mutuellement et c'est bon. La main de l'inconnu s'égare, il me pelote les fesses et un doigt tente l'entrée de mon trou du cul.

 

- Tu aimes ?

- Oui Vas-y !

- Tu m'a l'air d'être une belle petite salope ? Me dit-il

- Toi aussi, non ?

- Dis-moi que tu sens bien mon doigt !

- Humm, j'adore qu'on me foute un doigt dans le cul !

- T'aime quoi d'autre ?

- Sucer, me faire enculer !

- Comme moi, alors on est deux belles salopes toutes les deux, embrasse-moi !

 

Ça par contre, ce n'est pas vraiment mon truc, mais bon, si ça peut lui faire plaisir ! En plus, il pique ce con, il s'est rasé avec du papier de verre.

 

- T'es plutôt passif, alors ? Me demande le type

- Je peux être les deux, mais c'est vrai que préfère être passif.

- Vas-y goûte à ma bite !

 

Bien sûr que je goûte à cette bonne bite, bien raide et au bout luisant, je lui pourlèche le gland sur lequel plane encore l'odeur de sa pisse. Puis je me lance dans une série de va-et-vient qui me remplisse la bouche. Quel plaisir de sucer une bonne bite, j'espère qu'il va ensuite me la mettre dans le cul.

 

- Tu peux me sucer un peu derrière ?

 

Encore un truc qui ne me branche pas trop, mais je le fais et lui colle ma langue contre son petit trou du cul.

 

- Faut que je te dise un truc ?

 

Ho, là là, qu'est-ce qu'il va me raconter ?

 

- Je ne suis pas venu seul dans ce bois, je suis un soumis, et ma maitresse m'a ordonné de lui ramener un esclave, si je le fais j'aurais une récompense.

- Et si tu ne le fais pas ?

- Ben, je serais puni !

- Et bien c'est très bien, si t'es maso, tu dois aimer être puni, non ?

- Heu, c'est beaucoup plus compliqué que ça, en fait !

- Elle est comment ta maîtresse ?

- Elle est belle, très belle, une très belle femme, elle est accompagnée d'une amie, très belle aussi.

- Et si je vais la rejoindre avec toi, elle va me faire quoi ?

- Rien de bien méchant, mais on s'enculera devant elles, ça c'est sûr.

 

L'idée finit par me plaire, on y va !

 

A notre arrivée, les deux maîtresses sortent de la voiture. Jennifer est une grande brune bronzée d'une quarantaine d'année, joli visage et attitude volontaire, vêtue d'un pantalon de cuir noir et d'un gilet de la même matière se fermant par une fermeture éclair sur le devant. Cynthia est une petite blackette habillée d'une minijupe et de collants. Son petit haut blanc est décolleté de façon très impudique, le haut des aréoles étant nettement visibles. Deux belles salopes, quoi !

 

- Alors, esclave, tu as fait une trouvaille ?

- Oui, maîtresse !

- Raconte !

- Ben j'ai croisé ce mignon petit pédé, j'ai sorti ma bite, il me l'a tripoté, après on s'est tripoté tous les deux, je lui ai mis un doigt dans le cul, puis il m'a sucé la bite et le trou du cul.

- Et, bien on trouve de ces salopes dans les bois ! Commente Cynthia en rigolant.

- M'en parle pas ! Les mœurs se dégradent de jours en jours, ma chère.

- Approche-toi ! Et met toi à genoux devant moi ! M'ordonne-t-elle

 

Je le fais !

 

- Tu vas ouvrir la bouche et je vais te cracher dedans ! Tu es d'accord ?

 

Je m'entends dire "oui". Rêvé-je !

 

- Mais avant tu vas me le demander, je veux que tu dises "Maitresse crachez moi dans ma gueule de salope !"

- Maitresse crachez moi dans ma gueule de salope !

 

Elle le fait, puis invite Cynthia à faire de même.

 

- C'est bien, on va te tester mieux, allez, en route

 

On s'enfonce dans le sous-bois, jusqu'à une petite clairière.

 

- A poil, tous les deux !

 

Ce n'est pas un problème, nous voilà rapidement nus comme des vers. Jennifer retire son pantalon et son string. Elle m'exhibe ses fesses, des belles fesses bien lisses. Elle en écarte ensuite le sillon.

 

- Viens me lécher le trou !

 

On y va ! Petit problème, le cul de la dame n'est pas très propre. Certes cela n'a rien d'une catastrophe, mais il est clair qu'elle s'est bien mal essuyé le troufignon après avoir fait sa grosse commission. Du coup, me voici stoppé dans mon élan.

 

- Ah, oui ! Viens me dire Cynthia ! Maîtresse Jennifer n'utilise jamais de papier toilettes, ce sont ses esclaves ou ses amies qui remplissent cette fonction. C'est moi qui me suis dévoué tout à l'heure, mais j'en ai laissé, oh, un tout petit peu. Allez approche- toi, tu as le droit de sentir avant de lécher.

 

Elle en profite pour m'assener un coup de cravache sur les fesses. Je fais quoi ? Je me barre en courant ! Ces fesses sont trop belles, j'ai trop envie de me prendre au jeu, je m'habitue à l'odeur qui n'a d'ailleurs (heureusement) rien d'insoutenable, puis pris d'une frénésie incontrôlable, je me mets à lécher tout ça avec application.

 

- Je veux sentir ta langue dans mon cul.

 

Oui, ben je fais ce que je peux, je n'ai pas une langue de caméléon, j'introduis juste le bout, c'est délicieusement pervers. Je parie qu'après on va m'intimer l'ordre de lécher le cul de la jolie doudou. D'ailleurs la voici qui retire sa culotte…

 

Déception ! Ce n'est pas pour moi, c'est l'autre esclave qui s'y colle ! Ce n'est pas juste.

 

Jennifer se dégage, je me relève, elle me fait face et me gifle. Elle est con, ça fait vachement mal. Je cherche où sont mes fringues pour quitter cette bande d'abrutis, mais la voilà qui m'enlace et qui m'embrasse. Décidemment, que voilà une maîtresse qu'elle est étrange ! D'autant que la baiser doit avoir un goût particulier après mon petit nettoyage.

 

- Tu aimes qu'on te domine ? Demande-t-elle.

- Non, ou alors juste des petites misères.

- Des petites misères ? Comme ça !

 

Et la voilà qui se met à me pincer et à me tordre les tétons ! Comment a-t-elle deviné que j'adorais ça ?

 

- C'est bon ?

- C'est trop bon !

- Alors laisse-moi faire, je vais te faire plein de bonnes choses, aussi bonnes que celle-là ! Tu veux ?

- On peut toujours essayer.

 

Elle ordonne à l'esclave de l'aider à m'attacher au tronc d'un arbre, face devant, puis sort d'une mallette deux pinces à seins qu'elle m'accroche aux tétons. Cynthia se marre, elle s'était éloignée et la voilà qui revient avec un bouquet d'orties. Au secours !

 

- Détachez-moi, je ne joue plus !

- Tu n'y connais rien, si les gens ont les orties en horreur, c'est parce qu'ils se grattent. Si tu ne te grattes pas, tu vas voir comme c'est bon.

- Pas envie, détachez moi, s'il vous plait.

- Alors juste une fois.

 

La salope ! Le bouquet atterrit sur ma poitrine. Toute de suite ça me picote.

 

- On arrête !

- Non, je veux que tu me dises de continuer, tu seras récompensé… Tiens regarde !

 

Elle dézipe lentement son haut, dévoilant un joli soutien-gorge rouge.

 

- Esclave, enlève moi-ça.

 

Il le fait, j'ai maintenant ces deux magnifiques seins terminé par de jolis et épais tétons bruns, à quelques centimètres de moi.

 

- Tu aimerais les lécher ?

- Oui !

- Alors laisse-moi jouer avec toi !

 

J'hésite, mais je me sais déjà vaincu.

 

- Alors !

- J'ai confiance, je me laisse faire.

 

Le picotement semble baisser d'intensité, mais Jennifer met maintenant l'intérieur de mes cuisses en contact avec les orties. Je la vois approcher le bouquet de mon sexe. Je ferme les yeux, le contact est terrible. Là où la douleur avait cessé elle revient, différente. L'envie de me gratter est énorme.

 

Jennifer se dirige alors vers l'esclave qui à son tour subit la caresses des orties, mais sans être attaché.

 

La douleur cesse peu à peu, mais j'ai la peau comme un chef indien partant à la guerre. Jennifer revient vers moi et joue avec mes seins pendant plusieurs minutes m'arrachant des cris ou la douleur se mélange au plaisir dans une curieuse symphonie de sensations...

 

- Approchez-vous vous verrez mieux !

 

Mais à qui parle-t-elle ?

 

J'aperçois alors un groupe de trois jeunes asiatiques, une femme et deux hommes. Les deux gars ont coiffés moderne, c'est-à-dire n'importe comment, mais la femme est très belle avec un visage délicat et de belles lèvres bien ourlées. Elle tient les bites parfaitement bandées des deux gars dans chaque main.

 

- Vous voulez participer ?

 

Pas de réponse.

 

- Vous pourriez répondre ! Si vous dites non, on ne sera pas fâchés et vous aurez même le droit de continuer à regarder.

- On regarde un peu, ça nous excite et après ils vont me sauter tous les deux ! Répond la fille.

- Comme vous voulez, prenez-en plein la vue, c'est gratuit.

 

Jennifer, me détache.

 

- Et surtout, ne te gratte pas ! Mets-toi en levrette et ouvre la bouche

 

Je suppose donc qu'il va me falloir sucer l'esclave avant qu'il ne me prenne le cul, mais il y avait autre chose avant. Je le vois se concentrer quelques instants avant de se mettre à pisser. Son jet m'atterrit dans la bouche.

 

- Maintenant, il va t'enculer avec sa bonne bite. Suce-la un peu avant pour qu'elle soit bien raide.

 

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J'obtempère. Je me régale de nouveau du contact de cette belle bite dans ma bouche. Je la gâte et elle grossit bien. Je sens alors qu'on me tartine du gel à l'entrée de mon petit trou. L'esclave fait plusieurs tentatives avant que mon anus accepte ce corps étranger. (Eh, c'est que je ne me suis pas fait faire ça si souvent, on a bien un gode à la maison, mais il n'est pas très gros).

 

Et ça y est, ça coulisse dans mon cul, ce con me fait un peu mal, mais je ne dis rien, me souvenant qu'en principe la douleur initiale ne dure pas.

 

- Quel magnifique spectacle ! Commente Jennifer, je ne connais rien de plus excitant que deux mecs qui s'enculent.

- Pourquoi ne le font-ils pas tous ? Interroge Cynthia.

- C'est un mystère, ma chère, c'est un mystère répond-elle, mais en attendant lèche moi la chatte, elle dégouline.

 

Cynthia ne se le fait pas dire deux fois et se plaçant entre les cuisses de son amie, elle lui lape la chatte avec frénésie. La clairière s'emplit bientôt du cri de jouissance de Jennifer, laquelle après un nécessaire petit répit en redemande en se plaçant en soixante-neuf cette fois, afin qu'il n'y ait point de jalouse. L'affaire est rondement menée, Jennifer jouira une seconde fois avant que Cynthia la rejoigne au septième ciel. Quelques instants plus tard, l'esclave se retirait après avoir joui, me laissant le cul béant.

 

La petite asiatique intervient alors.

 

- Je proposerais bien un jeu !

- Dis toujours. répond Jennifer.

- J'aimerais bien qu'un de mes copains se fasse enculer !

 

Protestations de deux mâles qui ne s'attendaient pas à ça !

 

- Juste l'un des deux, précise-t-elle !

- Pas moi dis le premier

- Moi non plus dis le deuxième.

- On va tirer à pile ou face, le perdant se fait enculer, le gagnant me baise. C'est un jeu !

 

Les deux gars se concertent et finissent pas accepter.

 

- D'accord, tire une pièce, cet esclave (elle me désigne) enculera le perdant.

 

Le perdant n'élève aucune protestation, il se pointe devant moi après avoir retiré ce qui restait de ses vêtements et approche son visage du mien pour m'embrasser, je n'en demandais pas tant, mais accepte le baiser. Il embrasse super bien comme une femme, et au moins lui il ne pique pas. Il se met en position, je m'encapote. Et allons-y, excité comme je suis l'affaire ne dure pas bien longtemps. Il me remercie, me dit que je lui avais fait ça très bien, et le trio disparaît dans les fourrés.

 

- Bon, c'est l'heure des récompenses. Indique Jennifer.

 

Si je comprends bien, on commence par moi. J'ai donc le bonheur, le plaisir et l'avantage de sucer comme un soiffard les merveilleux nichons de Dame Jennifer. Voilà qui me fait rapidement rebander.

 

Hélas, les meilleures choses ont une fin. Jennifer me laisse et fait signe à l'esclave de se coucher dans l'herbe sur le dos. Elle s'accroupit au-dessus de sa bite, tandis que Cynthia s'accroupit au-dessus de sa bouche. Et avec une synchronisation remarquable, les deux femmes se mettent à pisser d'abondance. L'esclave boit ce qu'il peut, et est visiblement ravi de ce qui lui arrive. Quand je pense que j'ai raté ça !

 

L'esclave s'essuie, puis tout comme nous se rhabille. Il embrasse ensuite Jennifer avec tendresse et complicité. Le trip est fini, il n'y a plus d'esclave, ni de maîtresse.

 

- Ça m'a donné faim toutes ces bêtises, dites les mecs, si vous nous offriez, le restaurant ? Un petit truc, une bonne pizza par exemple. Propose Jennifer

 

L'esclave (qui ne l'était plus à cet instant) me fait signe qu'il est d'accord. Alors allons-y

 

Petit problème pour retrouver ma voiture mais ce ne fut là qu'un détail. Le restau s'est bien passé, ces braves gens se sont révélés aussi charmants qu'intéressants. On ne m'a pas demandé mes coordonnées, ce fut l'occasion qui aura fait le larron. On s'est quitté avec de gros bisous, même de la part de l'esclave qui piquait de plus en plus.

 

Quand je rentrais à la maison, ma femme m'attendait en grignotant un paquet de chips devant la télé.

 

- T'es toujours fâché ? Me demande-t-elle.

- Meu non, viens me faire un bisou.

 

 

FIN

10/4//2011

 

© Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Samedi 2 avril 2011 6 02 /04 /Avr /2011 07:49

Des fleurs pour Marie-Laure

2 - Retour chez Michelle

par Nicolas Solovionni

 

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L’idée me taraudait de trouver un prétexte pour revenir chez Michelle. Je cherchais, mais ne trouvait rien de bien génial. Ce fut presque un an après que je me jetais à l’eau. Je composais son numéro et fit l’andouille :

 

- Allo, Sophie ?

- Non, c’est une erreur, Monsieur !

- Mais je reconnais votre voix, vous êtes Michelle !

- Peut-être, mais vous, vous êtes qui ?

- Nico !

- Je ne vois pas

- Mais, si il y a un an, j’avais un bouquet de fleur à la main dont je ne savais que faire...

- Ah, oui ! On avait été boire un coup au café du coin, puis vous m’aviez enculé dans l’entrée de mon appartement de fort belle façon !

 

Oups ! Je ne m’attendais pas à une remémoration si triviale !

 

- Cela vous dirait de me revoir ? Proposais-je avec une pointe d’anxiété.

- Hum… oui pourquoi pas, permettez que je regarde mes disponibilités… mardi prochain en début d’après-midi ça vous dirait ?

- Oui !

 

Dingue, je ne pensais pas décrocher un rendez-vous aussi vite, je fixais donc une journée de vacance avec mon employeur, prétextait une journée de séminaire auprès de mon épouse, et après avoir acheté un joli bouquet fleuri, arrivait vers 14 heures chez cette perverse bourgeoise. Et là première surprise alors que je m’attendais à voir Fathia m’ouvrir la porte, ce fut en son lieu et place un blondinet habillé comme Nestor dans les aventures de Tintin, qui me fit entrer dans le salon, là Michelle se leva pour m’accueillir, m’embrasser sur la bouche et me mettre la main sur la braguette, avant de me présenter à une autre femme assise dans le canapé.

 

Michelle n’a guère changée, belle quadragénaire, légèrement forte, le visage un peu fatigué, de jolis yeux bleus, très bien maquillée, sa coiffure blond cendré est coupée au carré. Elle est habillée d’une jupe noire un peu longue et assez transparente, alors qu’en haut seul un imposant soutien-gorge noir constitue son seul vêtement. J’avoue que tout cela est fort troublant.

 

- C’est Jackie, ma meilleure amie… et une sacrée cochonne. Elle adore les bites, le chattes, les culs… tout quoi…

- Oh ! Michelle ! Que va penser Monsieur ?

- Monsieur ne s'offusque pas de ce genre de choses ! Rétorque-t-elle.

 

Je me fends d'un sourire un peu gêné.

 

Jackie est d'un tout autre genre que Michelle, nonobstant la tranche d’âge qui est la même, fine, cheveux teints en roux, visage très souriant avec un grand nez fouineur, des yeux bleus et des lunettes. Elle est vêtue d’un jeans assez banal et d’un chemisier blanc déboutonnée jusqu’à l’échancrure d’une poitrine qu’on devine généreuse. Je lui tends la main, mais elle préfère m’embrasser, ce n’est pas un problème.

 

- Je vous offre un café ? me propose Michelle.

 

Va pour le café, qu’elle commande auprès de Ghislain… elle m’explique :

 

- Fathia est toujours à mon service mais elle a pris des vacances, j’ai donc demandé à l’agence de me la remplacer, et histoire de changer, j’ai choisi un jeune homme, il me donne d’ailleurs toute satisfaction. Il a une très belle bite, vous ne tarderez pas à la découvrir.

- Très belle et très bonne ! Renchérit Jackie

 

Je m'en fous de la bite du larbin et suis un peu déçu, moi qui pensais pouvoir admirer enfin les seins de la petite Fathia…

 

On me fait asseoir, et Michelle, debout se positionne à mon côté, me remettant de nouveau la main sur la braguette mais cette fois de façon beaucoup plus ostensible. Qu’auriez-vous fait à ma place, bander bien sûr ! Par reflexe, je lui caresse les seins d'abord par-dessus le soutien-gorge, puis en en dégageant les bonnets. J'ai bientôt son téton dans ma bouche… tandis que mon sexe est en train d'éclater.

 

- Hum, ça a l’air en forme tout ça ! Commente la coquine.

- Montre-nous ça, Michelle ! Intervient Jackie.

 

Sans me demander quoique ce soit, Michelle me dézippe ma braguette et s’en va à la recherche de ma bite qu’elle finit par extraire. Les choses ne se passent pas du tout de la façon dont je les avais imaginées, tout cela va beaucoup trop vite. Et tandis que mon hôtesse imprime à mon membre quelques mouvements masturbatoires, je m’enhardis à lui caresser les deux tétons en écartant complètement le tissu du soutien-gorge.

 

- Attend je le retire ! Me précise-t-elle.

 

Michelle2.jpg

 

Elle le fait libérant deux globes impressionnants. C’est le moment que choisit Ghislain pour apporter les cafés. Du coup Michelle se dégage. Par reflexe, je vais pour remettre ma queue dans ma braguette.

 

- Tss, tss, veux-tu laisser ça sorti, garnement ! Intervient-elle.

 

Bon Ok, je vais boire mon café, la bite à l’air, c’est une première, mais il est trop chaud.

 

- Alors quoi de neuf depuis tout ce temps ? Me demande Michelle.

- Bof, la routine, le temps passe si vite… et vous ?

- Je t’en prie, tutoyons-nous… ben moi, je rattrape le temps perdu, je suis de plus en plus cochonne… rigole-t-elle. Putain, mais c’est vrai qu’il est trop chaud ce café… Ghislain !

 

Revoilà le biquet.

 

- Madame !

- Ghislain, ton café est imbuvable, il est bouillant !

- Je suis désolé, madame !

- A ton avis, ça vaut combien de coups de martinet ?

- C’est vous qui décidez, madame !

- Alors déshabille-toi, et va me chercher le martinet.

 

Il va pour s'en aller. Michelle le reprend :

 

- Non, tu te déshabilles ici et tout de suite.

 

Il est bien obéissant ce garçon, il se déshabille entièrement, je ne suis pas attiré par les hommes, mais ce mec est troublant, le visage est fin, il est très peu musclé, entièrement épilé, et il faut bien que j'admette qu'il a une jolie bite ainsi que de belles petites fesses bien rebondies. Michelle a surpris mon regard.

 

- Il n’est pas mal, hein ?

 

J’esquisse un sourire, ne voulant pas m’aventurer dans un terrain que je ne saurais pas forcément maîtriser.

 

- Ghislain, approche-toi de Niko, qu’il te voit mieux !

 

Qu’est-ce que vous voulez que je fasse, je ne vais pas m’enfuir ? Et l’autre qui s’approche, il est à 50 centimètres de moi. Je ne sais pas quoi dire, je ne sais pas quoi faire. Je suis comme un con.

 

- Tu peux le caresser ! Me précise Michelle.

- Peut-être pas ! Parvins-je péniblement à articuler.

- Comment ça "peut-être pas" ? Regarde comme sa peau est douce, presque aussi douce qu’une femme.

 

Michelle m’a pris la main et sans que je m'y oppose me la place d'abord sur le torse du zigoto, puis l'a fait rapidement glisser et voilà que quelques instants plus tard je me retrouve avec sa bite dans la main.

 

- Vas-y branle-le !

 

Je le fais, je suis sur une autre planète. Me voici dans un trip qui me ramène à mes années collège, où lors d’une sortie j’avais sucé un de mes camarades suite à un pari. L’occasion ne s’était jamais représentée, mais il faut dire que je ne cherchais pas non plus. Et voilà que moi, l’amoureux fou des femmes, je suis rattrapé par ce vieux fantasme, cette bite j’ai envie de la sucer… J’attends que Michelle me le propose, mais le fera-t-elle ?

 

- Tu m’avais caché que tu aimais bien branler les bites ?

- Ben à vrai dire, je n’ai pas fait ça très souvent !

- Mais je peux te faire rattraper le temps perdu, si tu veux…

 

Je ne réponds pas et continue à branler la bite de Ghislain. Jackie s’est approchée de moi et entreprend de me descendre mon pantalon et mon slip, puis m’ouvre ma chemise et se met à me pincer mes tétons, Comment a-t-elle deviné que cette caresse m’excitait terriblement ? Me voilà complètement débraillé à défaut d’être déshabillé.

 

- Attends, dit-elle, finit d’enlever tout ça, et mets-toi à quatre pattes sur le canapé, ce sera plus pratique !

 

Si elle le dit… j’obtempère, Ghislain est invité à se rapprocher de moi, j’ai à présent sa bite à vingt centimètres de mon visage. L’une des nanas va-t-elle se décider à me proposer de la sucer ? Peut-être n’osent-elles pas ? Pendant ce temps-là, Jackie me pelote les fesses avec ardeur.

 

- Qu’est-ce qu’il a un beau petit cul ! Commente-t-elle.

- Un vrai petit cul de pédé ! Renchérit Michelle.

 

On ne me l’avait jamais faite celle-là encore ! Je sens la langue de Jackie fureter dans ma rosette, j’adore cette caresse qu’on ne m’a prodigué que trop rarement…

 

- Il est bon son cul ? demande Michelle.

- Moins bon que le tien, mais ça va, on va en faire quelque chose…

 

Je ne cherche pas trop à comprendre et continue de masturber le biquet. Derrière, le doigt de Jackie a remplacé sa langue, et s'agite en va-et-vient rapides. Ça me plait bien ce truc !

 

- Tu aimes ? Me demande la coquine à lunettes.

- Oui !

 

Du coup, j'ai droit à un deuxième doigt et c'est encore meilleur.

 

- Attend, je vais te mettre un petit gode, tu m'en passe un, Michelle !

- Non, non ! Protestais-je mollement

- Tu ne vas pas me dire que tu n'as jamais essayé, je ne te croirais pas !

 

Effectivement, j'en ai un à la maison, je l'avais acheté pour varier les fantaisies érotiques avec mon épouse, mais ça lui avait fait ni chaud ni froid, je l'ai essayé un peu sur moi, trouvant la chose plutôt agréable, mais les occasions de faire ça tout seul n’étant pas si fréquentes, j’ai finis par remiser l’objet et serais bien en peine de dire où…

 

- Allez, ouvre-toi bien, je l’enfonce !

 

Je fais comme elle dit et effectivement ça s’enfonce. C’est un machin vibrant qui fait un bruit d’hélicoptère, ce n’est pas très romantique mais il est vrai que ça me donne de bonnes sensations.

 

- T’aimes ça un gode dans le cul ? Me demande Jackie.

- C’est pas désagréable !

- Je m’en doute bien, mais ce n’est pas la réponse que j’attendais ?

- Pardon ?

- J’aimerais que tu répondes avec les mêmes termes que la question !

- J’ai peur de ne plus suivre là…

- Ça nous excite t’entendre un homme dire qu’il aime qu’on lui gode le cul…

- Ah d’accord, alors oui, j’aime bien la façon dont tu me godes le cul !

- Un gode c’est bien, mais ça ne vaut pas une bonne bite ! reprend-elle.

 

Le déclic ! J’ai compris leur truc, les deux nanas fantasment sur ce que peuvent faire deux mecs ensemble. La finalité de leur petit jeu sera que je me fasse sodomiser par Ghislain ! Non, mais ça ne va pas la tête ! Toutes les conditions sont réunies, la mise en place se fait crescendo et en douceur… Il faut que je maîtrise l’envie folle de sucer la bite du biquet, si je fais, rien n’arrêtera plus l’engrenage…

 

- T’es pas d’accord avec moi ? Insiste lourdement Jackie.

- Je n’en sais rien, je ne suis pas prêt pour ça !

 

C’est alors que Michelle s’agenouille près de Ghislain, ou plutôt près de la bite que je tiens toujours à la main.

 

- Tu me la prêtes ?

 

Et hop, voici qu’elle suce la queue bandée avec avidité. Voilà un joli spectacle, jolie visage et belle bite à quelques centimètres de mes yeux… et puis au bout de deux minutes, d’un geste très naturel, elle cesse sa fellation et dirige le sexe du biquet vers ma bouche.

 

- A ton tour !

 

Je n’ai rien calculé, mais voilà que sans le vouloir, je me retrouve avec l’objet dans la bouche, la texture est fine, mais c’est surtout la situation qui est troublante, je suce la bite d’un mec et ça me plait, ça me plait même beaucoup. Je n’ai pas tenu compte de mes propres appréhensions, mon cerveau est descendu dans ma bite, et je sais à présent que la prochaine étape, la sodomie est inéluctable… non pas parce qu’on me forcera, je peux toujours dire non, et je suppose que ces nanas respecteront ma décision, mais tout simplement parce que je n’ai plus aucune envie maintenant de m’y opposer !

 

- Elle est bonne ?

- Hum délicieuse ! Arrivais-je à articuler pendant une pause.

- Pourquoi tu n’essaie pas de te la faire mettre dans le cul ? Si vraiment ça ne te plait pas on arrête…

 

Qu’est-ce que je disais ? Mais je vais les étonner les gonzesses !

 

- Ok, je veux bien essayer !

 

Surprise générale, mais ça va très vite, la bite de Ghislain est encapotée et vient quémander l’entrée intime du milieu de mes fesses. Il force un peu, se reprend et miracle ça s’enfonce… et là c’est vraiment une première, je ne m’étais jamais fait enculer, c’est désormais chose faite, et le gars qui me besogne s’y prend remarquablement, sans violence, tout en douceur et en finesse, un expert. Se faire enculer par ce gars-là, c’est de l’art, du grand art.

 

- Alors ? Demande Michelle.

- C’est trop bon !

- Redis-le mieux !

 

Je me souviens de l’observation de Jackie tout à l’heure…

 

- C’est trop bon de se faire enculer !

- Le vrai délire ce serait que tu suces une bite tout en te faisant défoncer le cul !

- Ce serait super ! Ais-je la grande imprudence de répondre…

- Tu voudrais ?

- On peut toujours fantasmer !

- On va le réaliser ton fantasme… me répond Michelle.

 

Cette dernière s’empare de son téléphone.

 

- Emilio, je ne vous dérange pas… Nous sommes en pleine partouze… On aurait besoin de vos services, si vous pouviez monter… non un ami que je n’avais pas vu depuis un moment, il est mignon et il adore les bites…

 

Qu’est-ce qui va encore m’arriver ? Pas le temps de trop réfléchir, l’Emilio se radine trois minutes après le coup de fil de Michelle. J’ai appris plus tard qu’il s’agissait du gardien de l’immeuble, c’est un quinquagénaire assez banal…

 

- Bonjour M’sieur dames ! Et bien dites donc, il y a de l'ambiance ici ! Qu’est-ce que je peux faire pour vous !

- Sortez donc votre bite, Niko va se faire un plaisir de vous la sucer !

 

Et voilà que sans plus de cérémonie et tandis que Ghislain continue de me pilonner l’anus, Emilio se positionne au niveau de ma bouche et me sort un chibre de taille respectable que je mets un point d’honneur à introduire dans ma bouche sans aucun préalable, et que je me mets à sucer avec gourmandise. Son goût est un peu fort, ça sent un peu la pisse, mais curieusement ça ne me gêne pas trop.

 

- Ne jouissez-pas, Ghislain, réservez votre foutre pour Jackie ! Précise Michelle

- Bien Madame !

- Par contre, Emilio, allez-y ne vous gênez pas, libérez-vous…

- Je peux me mettre derrière ? Demande le nouveau venu

- Bien sûr ! Et Ghislain va venir devant

- OK, passez-moi une capote, je vais le ramoner bien comme il faut, votre ami…

 

Aussitôt dit, aussitôt fait, Ghislain libère la place, et me voilà avec la deuxième bite de mon existence dans mon cul ! Je fais fort aujourd’hui. Le chemin étant préparé il entre facilement, il me remplit toutefois davantage et pilonne plus vite.

 

- T’aimes ça te faire enculer, hein petite salope ? Se croit-il obligé de commenter.

- J’adore ça ! Répondis-je au poète, puisque c'est cette réponse qu'il attendait.

 

Ghislain m’a contourné et se place devant moi, le sexe toujours en érection. Il va pour retirer le préservatif qui est un peu pollué quand Jackie l’en empêche.

 

- Non, tourne toi, donne lui ton trou du cul, je vais m’occuper du reste !

 

Ghislain obéit et me présente son joli fessier à lécher. J'hésite un peu, mais au point où j'en suis… Je commence par un chaste bisou sur la fesse gauche avant de m'enhardir. Ce mec a vraiment un cul de gonzesse, c'est doux, c'est frais, c'est potelé et il n'y a pas un poil qui traîne, je ne tarde pas à lui lécher le trou du cul tandis que la rousse à lunettes à tout l'air de se régaler en nettoyant de la langue les traces douteuses déposées sur la capote. La cochonne !

 

J'ai quand même du mal à synchroniser tout ça, Emilio s'excite de plus en plus et je suis mal calé. Tout d'un coup son mouvement s'accélère, puis s'arrête, il pousse une sorte de grognement. Il a joui et il décule. Jackie attend sa bite à la sortie et effectue son second nettoyage de l'après-midi. J'aurais bien aimé que ça dure un peu plus longtemps, c'était vraiment agréable, et j'ai découvert quelque chose… mais maintenant que c'est fini j'ai quand même un peu mal au cul.

 

- Bon, je vous laisse, j'ai du travail ! Indique Emilio. Mais si vous avez encore besoin de moi, rappelez-moi…

 

- Avec tout ça, on n'a pas bu notre café ! Déplore Michelle.

- C'est de la faute de Ghislain, il ne nous aurait pas servi des cafés bouillants, on les aurait bu avant de faire des bêtises ! Ajoute Jackie.

- Je suis désolé, madame, répond l'intéressé. Souhaitez-vous que je refasse du café ? Je me permets par ailleurs de signaler à ces dames que je suis redevable d'une punition.

- Ok, va déjà refaire du café !

 

J'ai plus envie d'une boisson fraîche que de café. Je demande poliment :

 

- Je boirais bien un verre d''eau !

- Mais si ce jeune homme a soif, je pourrais peut-être lui offrir mon champagne suggère Jackie.

 

Je ne réponds pas, ayant un petit doute…

 

- Je crois en effet me souvenir qu'il aime ça.

 

Et la voilà qui retire son pantalon et sa culotte, tandis que Ghislain revient avec des tasses propres. Jackie lui demande de nous apporter trois verres. Elle s'empare alors d'un des verres et se met alors à pisser dedans, un joli pipi d'un joli jaune, elle remplit ensuite un deuxième verre, puis répartit harmonieusement le liquide doré dans les trois récipients. Je pensais qu'on allait trinquer. Ben non, la coquine est encore plus perverse que je ne le pensais. Elle prend l'un des verres, en absorbe une partie mais sans l'avaler, puis d'un mouvement des lèvres et du doigt, me fait signe de venir l'embrasser. Je m'exécute, et roule une pelle à Jackie dans sa bouche pleine de sa pisse. Imaginez comme je bande. Michelle prend le relais et m'embrasse puis c'est au tour des deux femmes de s'échanger un brulant baiser doré. Jacky enlève enfin son haut et dévoile une jolie paire de seins, très probablement refaits, mais de bonnes tenues avec des jolis tétons qui dardent, elle trempent deux doigts de chaque main dans un verre et s'humecte la poitrine, puis m'invite à venir lécher… Je vous dis, je vais éclater…

 

Ghislain revient avec les cafés. Ça veut dire qu'on va faire une pause… ce n'était peut-être pas nécessaire. Il ne s'est pas rhabillé et nous amène tout ça la bite et le cul à l'air. Troublant je vous dis. Michelle lui ordonne d'aller chercher un martinet et de se tenir prêt à recevoir une bonne fouettée.

 

- Allez, tends bien tes fesses de pédé, on va te rougir tout ça !

 

Michelle commence à le flageller, puis Jackie prend le relais, je n'ai pas compté les coups, mais ça ne doit pas lui déplaire de trop au Ghislain parce que le voilà qui rebande comme un âne… Une envie folle de le sucer de nouveau. Michelle surprend mon regard.

 

- Oh, toi tu aimerais bien le sucer encore une fois !

- C'est vrai !

- Alors vas-y, mais juste un peu, parce que comme vous bandez bien tous les deux, après vous allez nous enculer.

 

Voilà une perspective attrayante, mais en attendant me revoilà avec la bite du biquet dans la bouche. Je me régale, j'ai vraiment découvert quelque chose cet après-midi. Mais alors que mes lèvres et ma langue entamaient un ballet pervers avec cette trop jolie verge, on me fait stopper et après s'être concertées, les deux femmes se mettent en levrette

 

Quels magnifique spectacle que ces deux culs offerts, celui de Michelle est très blanc, très rond, peu poilu attendrissant, celui de Jackie plus mat, plus poilu, et très légèrement pollué. Ghislain se positionne derrière cette dernière.

 

- Comment est mon cul ? demande-t-elle.

- Très beau, madame !

- Non, ce n'est pas ça que je te demande, je te parle de son état.

- Ah… son état ! Et bien disons qu'Il n'est pas très net, madame !

- Mais comment cela se fait-il que mon cul ne soit pas net, d'après toi ?

- Sans doute, madame s'est-elle mal essuyée...

- Ce serait donc des traces de merde ?

- Probablement, je ne vois pas ce que cela pourrait être d'autre, madame !

- J'ai donc le cul merdeux !

- Très légèrement, madame, vous avez le cul très légèrement merdeux !

- Alors nettoie !

- Aved grand plaisir, Madame, répondit-il en s'exécutant.

 

Le cul de Michelle, que je lèche pour ma part sent un peu fort mais n'est pas vraiment pollué… heureusement car je ne pense pas que j'aurais pu aller aussi loin que Ghislain. Après quelques minutes de préparation, elle me présente son fondement et m'invite à la pénétrer, ce que je fais avec une facilité déconcertante. J'encule Michèle tandis que Ghislain fait de même avec l'autre cochonne. Les deux femmes se sont arrangées pour se placer face à face, ce qui fait que malgré nos coups de boutoir, elles trouvent le moyen de se lécher le museau.

 

Je préviens ma partenaire que je vais jouir, et comme elle me dit de ne pas me retenir, me voilà qui décharge bientôt, et je m'écroule sur elle. Les deux zouaves à côté ne tardent pas non plus à terminer leurs petites affaires. On est tous les quatre sur les rotules.

 

- Ghislain, du champagne… du vrai et plus vite que ça... tu prendras une coupe avec nous… lui commande Michelle. Non, non reste à poil, tu es très bien comme ça.

 

Le champagne est arrivé, mais avec ces deux nymphos, les choses ne pouvaient se passer "normalement". Michelle a commencé par se mouiller le sein avec le champagne et m'a invité à la lécher. Du coup Jacky l'imita et invita Ghislain… l'objectif était bien sûr de nous faire rebander. Et nous rebandâmes assez vite.

 

- Si on leur faisait faire un petit soixante-neuf à ces deux pédés ? proposa Jacky

- Ça me paraît une excellente idée… allez messieurs en position, les désirs de mon amie sont des ordres.

 

Je suis un peu crevé, mais je me prête au jeu, je suce la bite de Ghislain tandis qu'il me suce la mienne. Les deux femmes se pelotent mutuellement la chatte en nous regardant. Je profite au maximum de cette queue dans ma bouche, je pense que je n'aurais sans doute pas de sitôt l'occasion de me livrer à ce genre de fantaisie. Nous bandons tous les deux comme des cerfs, je sens que je vais venir, mais Michelle nous fais arrêter et nous lance des capotes.

 

- Allez les garçons, dans nos culs encore une fois.

 

Je pensais qu'on allait changer de partenaire, mais non, me revoilà donc une nouvelle fois en train de pilonner Jacky. J'éjacule assez vite, je suis vidé, j'irais bien faire un somme… Je me sers un jus d'orange, je me rhabille, prend congé de Michelle (gros bisous sur la bouche) et de Jackie (même punition). J'aurais bien dit au revoir à Ghislain mais il semble avoir disparu de la circulation…

 

Je descends l'escalier, la tête pleine d'images, le cul un peu endolori, la quéquette un peu fatiguée. Je passe devant la loge du gardien. La porte s'ouvre pour laisser passer Emilio.

 

- Au revoir, Monsieur, me dit-il.

- Au revoir !

- Vous n'auriez pas cinq minutes ?

- Cinq minutes pourquoi ? Demandais-je.

- Venez ! me répond-il

 

J'entre dans la loge, il referme la porte.

 

- Vous m'avez bien sucé tout à l'heure !

- Ah, oui ? Merci !

- On n'pourrait pas recommencer ? Juste un petit coup vite fait…

 

Ben, non, je suis crevé, il faut que je rentre, je cherche mes mots pour lui dire, alors que lui ne trouve rien de mieux que de sortir sa queue de sa braguette.

 

- Allez suce !

 

Si je ne le fais pas je vais le regretter, me dis-je dans ma tête, et me revoilà en train de le sucer… je sais aussi que s'il me propose une nouvelle sodomie je ne dirais pas non… il me l'a proposé, je me suis laissé enculer, j'y ai pris du plaisir et je suis parti, le mec a voulu m'embrasser, j'ai refusé.

 

Dans la rue, un doute m'asseye, ais-je changé de bord, je regarde les passants autour de moi, je fixe les mecs, ça ne me fait rien du tout, je fixe les femmes, et me retrouve hétéro comme devant, les classant grosso-modo en mémères inconsommables et bourgeoises à butiner… quelque part ça me rassure…

 

Envie de fumer une clope, je fouille dans ma poche, je sens un bout de papier, je le sors… une écriture inconnue : je lis :

 

"Si vous êtes d'accord pour qu'on se revoit en privé, téléphonez moi au 06…"  et c'est signé Ghislain…

 

Mon visage s'éclaire d'un sourire. Je lui téléphonerais demain matin… Je ne suis pas homosexuel, je ne sais pas si je suis bisexuel, mais, au diable les étiquettes, si je peux à nouveau lui sucer la bite à celui-ci qu'est-ce que je vais être content !

 

Fin de l'épisode

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Samedi 2 avril 2011 6 02 /04 /Avr /2011 00:00

Des fleurs pour Marie-Laure

par Nicolas Solovionni

 

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J'ai de drôles d'habitude ! En vacances au bord de la mer, je m'emmerde. Il n'y a que deux choses qui me font passer le temps : Barboter à qui mieux-mieux dans la flotte, et observer les femmes, de préférence celles qui ont les seins nus. De plus la seconde semaine, quand ma peau est devenue moins fragile, je me fais une petite séance le matin pendant que la petite famille vaque à autre chose. C'est comme ça que j'ai connu Marie-Laure ! Un petit bout de femme tout en nerf, amusante, intelligente, Elle aimait bien ma compagnie, moi aussi, moi qui adore les grosses poitrines, je n'arrivais pas à me rassasier de ses tous petits nénés que je ne cessais de caresser, de tripoter, de lécher, d'en sucer les bouts. Quand elle en avait marre, elle se mettait à rire, me signifiant par-là qu'elle ne prenait rien au sérieux. J'ai cru un moment qu'elle était frigide. Mais non pas du tout, un peu longue à la détente, mais est-ce important ? On a fait l'amour, une fois, une seule fois, et c'était bien. La seconde fois, cela n'a pas été possible (passons), elle n'était pas farouche côté sexe, mais pas obsédée non plus ! Quand je lui ai annoncé que mes vacances étaient terminées, j'ai senti que ça l'embêtait un peu !

 

- On peut peut-être se téléphoner ? Que je lui demande avec appréhension !

- On peut toujours !

- T'es d'où ?

- Paris !

- Super moi aussi !

 

Avant de me griffonner son numéro de téléphone, elle m'avertit :

 

- Je veux bien qu'on s'appelle, qu'on se voit, on s'enverra peut-être même en l'air, ça ne me dérange pas du tout. Mais autant te prévenir pour qu'il n'y ait aucune ambiguïté : Je ne recherche pas de liaison. Je tiens à ma liberté et à ma tranquillité. Alors tu le veux toujours mon numéro ? Moi je veux bien te le donner !

 

- Vas-y ! Donne !

 

Ce qu'elle ignorait, (mais pourquoi ne pas le lui avoir dit ?) C'est que c'est justement le genre de relation que je recherchais, une fille sympa que je ne verrais que de temps en temps, quand l'envie s'en ferait sentir et qu'elle en serait d'accord. Et tout cela sans entrer dans le protocole des habitudes adultérines et donc sans mettre ma vie de couple en danger.

 

En rentrant à Paris, un tas de problèmes (d'ordre familial) à régler m'attendait. J'avais, certes, le temps de lui téléphoner, éventuellement celui de tenter un rendez-vous, mais pas celui de le réaliser dans la sérénité d'esprit souhaité pour ce genre de choses. J'attendais donc que tout cela se calme, les choses finissent toujours par se calmer, mais le temps passe vite, et nous voici déjà à la mi-octobre.

 

L'automne arrive, et les femmes se couvrent et les bronzages de l'été palissent déjà, mais la plupart de mes problèmes sont réglés ou en voie de règlement. En tous les cas, je ne suis plus obligé de me presser pour rentrer à la maison le soir, plus obligé de remplir mon agenda avec des rendez-vous pénibles, et je peux même m'octroyer le luxe de prendre une ou deux journées de repos. C'est donc l'esprit tranquille que je m'apprêtais à contacter cette petite coquine de Marie-Laure qui avait si bien pimenté mes derniers jours de vacances.

Je lui téléphonerais demain du bureau, mais d'abord retrouver son numéro. Il n'est pas dans mon carnet d'adresses, il n'est pas non plus dans le petit calepin dans lequel je note tout un tas de choses. Obligé de fouiller dans mes affaires de vacances : la banane, l'étui à lunette de soleil, le sachet de cartes postales... Non rien ! Je suis, je le sais, très fouillis, et je ne me corrigerais plus, j'aime bien mes fouillis, mais je ne jette rien sans avoir regardé ce dont il s'agit ! Ma femme ? Non ! Elle s'est habituée à mon bordel et sait que je supporte mal que l'on me jette mes affaires ! Je me souviens que Marie-Laure avait griffonné ce numéro sur une marge de journal que j'ai ensuite découpé pour la mettre… Pour la mettre où ? J'épluche mon portefeuille, je vide mon porte-monnaie, je regarde dans mes portes cartes ! Rien, cela devient désespérant ! Ce numéro serait-il introuvable !

 

Qui a dit qu'on était moins con le matin que le soir ? Toujours est-il que je me réveille ce matin-là avec un flash dans la tête ! Mes bouquins de vacances ! Ma manie de truffer mes livres d'un tas de trucs en guise de marque page… je me précipite sur la bibliothèque et je récupère mes lectures estivales ! Celui-là ? Non ! Celui-là ? Non plus ! Celui-là ! Et oui, c'est le bon ! Le numéro est là ! Je téléphonerais demain... du bureau...

 

Ça y est ! Les collègues sont partis à la cafétéria, j'ai prétexté je ne sais plus quoi pour ne pas les accompagner, et je me jette sur le téléphone, et… mais c'est quoi ce numéro ?… il en manque un bout ! Les 6 premiers chiffres sont lisibles, le 7ème est sans doute un zéro (même pas sûr ! Si pourtant on dirait bien un zéro) et les 3 suivants sont tout simplement absent ! Enfer et Damnation que vais-je faire ?

 

Bien sûr je suis dépité !

 

Un rapide calcul : Cela fait 1000 numéros de téléphone possible ! Les essayer tous reste humainement possible, même si l'ampleur de la tâche va me mobiliser plusieurs semaines. Après tout je n'ai pas que ça à faire…

 

J'hésite quand même, et l'envie de tout laisser tomber m'effleure, mais non, je me fixe un objectif de 35 appels par jours ! Au pire il me faudra donc 6 semaines !

 

Et ça y est ! C'est parti ! Un petit fichier sous Excel pour lister et suivre tous les numéros à faire ! Et le calvaire commença. Il fallut faire avec les numéros occupés, les répondeurs, les fax, les numéros qui sonnaient désespérément dans le vide. Pourtant parfois, ça décrochait !

 

- Allô ! Je ne suis pas sûr du numéro ! Je voulais parler à Marie-Laure !

- Non désolé, pas de Marie-Laure ici !

 

Et ça continuait, 5 ou 6 fois malgré tout, je tombais sur des Marie-Laure.

 

- C'est bien vous qui étiez en vacances au Grau du Roi cet été ?

- Ah ! Non c'est une erreur !

 

Les travaux d'Hercule devaient être moins pénibles. Ce troisième jeudi de Novembre est traditionnellement (traditionnellement, tiens ça me fait rire !) Celui de la mise en vente du beaujolais nouveau (bof !) et j'avais dépassé les 700 appels, je répétais ma litanie sans réelle conviction :

 

- Allô ! Je ne suis pas sûr du numéro ! Je voulais parler à Marie-Laure !

- Elle n'est pas là ! Elle ne rentrera qu'à 6 heures !

- Attendez, je voudrais être sûr de ne pas me tromper, je cherche une Marie-Laure qui était en vacances au Grau du Roy cet été !

- Ben oui, c'est ma sœur !

 

Sa sœur, elle habite chez sa sœur ? Je ne me souvenais pas qu'elle m'ait dit une chose pareille, mais il est vrai que quelque fois en vacances les gens changent de personnalité

 

- Elle sera là sûr, à 6 heures ?

- Bien sûr qu'elle sera là, c'est l'heure de sa leçon de piano !

 

Leçon de piano ?

 

- Bon merci, bonne journée, dites-lui que Nicolas a appelé !

 

Sous ces apparences de femme libérée, un peu bohème, se cachait donc une petite bourgeoise bien rangée ! Mon espoir de la revoir s'anéantissait, elle m'avait donné son numéro dans l'enthousiasme de notre petit flirt estival, mais il n'y aurait pas de lendemain, elle m'éconduira sous un prétexte quelconque. Je retéléphonerais de toute façon ce soir, on verrait bien…

Dans la journée, un meilleur plan me vint à l'esprit. Pourquoi ne pas y aller ? Il lui serait plus délicat de me larguer surtout si j'apporte un volumineux bouquet de fleur ! En voilà une bonne idée !

 

Me procurer l'adresse ne fut pas difficile… et là nouvelle surprise, la donzelle habite en plein milieu du 16ème arrondissement ! Sa présence au Grau du Roy en devenait presque insolite…

 

En fin d'après-midi, je me dirige donc en métro vers le quartier ou habite Marie-Laure, sur place, je m'inquiète de la présence d'un fleuriste, on m'en indique un, et voulant mettre tous les atouts de mon côté, j'achète un bouquet gigantesque avec carrément 25 roses ! Quand on aime, on ne compte pas !

 

Je repère la baraque ! Quelle baraque ! J'attends 18 heures sonnantes, je laisse encore passer 5 minutes, et actionne l'interphone, le cœur plein d'angoisse !

 

- Je suis le monsieur qui a appelé ce matin, j'ai rendez-vous avec Marie-Laure

- Montez !

 

Pour l'instant ça se passe comme sur des roulettes, je monte deux étages, je repère la porte, je sonne. Une jeune fille m'ouvre, très petite fille du 16ème en petit pull bleu marine

 

- Bonjour j'aurais voulu voir Marie-Laure !

- C'est moi, monsieur !

- Non, écoutez, vous plaisantez !

- Non Monsieur ! Je ne plaisante jamais avec des inconnus ! Mais vous vous trompez peut-être de Marie-Laure…

 

Il y en aurait une autre dans l'escalier, je sens malgré tout mon château de carte en train de se fragiliser

 

- Euh, je cherche une Marie-Laure C… qui était en vacances au Grau du Roy cet été !

- C'est bien moi ! Ma sœur m'a fait part de votre coup de fil !

 

Je reste comme un con incapable de sortir un son.

 

- Bon, écoutez, je ne sais pas ce que vous fabriquez, mais vos fichiers doivent être un peu mélangés. Au revoir Monsieur !

 

Et Bing ! Je viens de comprendre, Bien sûr que je me trompe de Marie-Laure ! Que sur 1000 personnes il y ait au moins deux personnes du même prénom en vacances au même endroit n'est pas aussi surprenant !

 

Je bafouille je ne sais plus quoi ! Elle referme la porte sans brutalité, et me voici sur le palier avec mon gros bouquet qui ne sert plus à rien ! Je sonne de nouveau

 

- Encore vous ?

- Ecoutez, je ne sais pas quoi faire de ces fleurs, acceptez-les, je vous les offre !

 

En guise de réponse elle me claque la porte au nez !

 

Et me voici dans la rue, complètement décontenancé, je ne sais que faire de ce volumineux bouquet ! Je ne peux même pas le ramener à mon épouse. Elle va me prendre pour un dingue. Alors folie, pour folie, allons-y carrément, j'aborde une jeune femme :

 

- Bonjour mademoiselle, et bien voilà, vous avez gagné ce magnifique bouquet de fleurs !

 

Non elle passe sans même m'accorder un regard ! Pétasse ! J'essaie une autre fois, ce n'est guère mieux ! Si ça continue, je vais les foutre en l'air ces fleurs devenues aussi encombrantes qu'inutiles !

 

- Qui veut mes fleurs ? Qui veut mes jolies fleurs ? C'est gratuit !

 

Le cirque dure bien cinq ou dix minutes. Cette fois j'en ai marre de toutes ces nanas sans aucune fantaisie, sans aucun humour !

 

- Dernier avis ! Si dans une minute personne ne veut de mes fleurs, je les piétine devant vous !

- Ne vous donnez pas ce mal, je les accepterais volontiers !

 

D'où sort-elle celle-ci ? Pas précisément une jeune fille, 45 ans minimum et sans doute plus, mais beaucoup de classe, beaucoup de distinction et remarquablement conservée et entretenue, assez grande, un beau visage, des lunettes, une coiffure argentée, haute et bouclée. Elle est habillée d'une jupe dont je ne me rappelle plus ni la couleur ni la forme, par contre, je me souviens très bien de ce chemisier blanc, dont les deux boutons du haut avaient été négligemment et sans doute volontairement déboutonnées.

 

- Et bien voilà je vous les donne !

- Ce me fait plaisir, mais je ne les prends qu'a une condition !

 

Ah ! Non ! Qu'est-ce qu'il va m'arriver encore ?

 

- Dites !

- Je vais vous remercier en vous offrant une coupe de champagne !

 

Ouf ! J'ai eu peur ! Mais c'est une bonne idée, un petit peu d'alcool me fera du bien !

 

- Mais, bien volontiers !

- Alors allons-y !

 

Je m'attendais à ce qu'elle m'emmène dans un salon de thé super classe ! Mais Non ! On atterrit tout simplement dans le café tabac du coin. Surprise ! Ici tout le personnel à l'air de la connaître ! J'espère quand même ne pas être tombé sur une version féminine du piller de bistrot ? Bof ! Qu'est-ce que ça peut faire après tout ? Je suis libre, si tout ça me prend la tête je ma sauve et c'est tout !

 

Le garçon s'approche pour prendre commande.

 

- Ah ! Madame De la Rocheraie ! Déjà de retour !

- Mais oui ! Regardez le magnifique bouquet que ce bon jeune homme vient de m'offrir. Tenez Hervé ! Faites-le porter chez moi, et que l'on demande à Fathia de les préparer. Dites-lui aussi de vider la baignoire, je serais certainement en retard pour mon bain, je me contenterais d'une douche !

 

Et elle commanda du champagne !

 

- Ah ! Il faut que je vous explique, je suis romancière, enfin, romancière, je débute, je n'ai pas publié grand-chose, mais il faut bien commencer un jour. Mais chez moi, j'ai du mal à travailler, j'ai tendance à me disperser, et puis, je suis souvent dérangée. Alors j'écris ici, une heure, deux heures, parfois beaucoup plus longtemps, ça dépend de mon humeur, de mon inspiration. Alors évidemment ici tout le monde me connaît.

 

- Intéressant ! Et vous écrivez quoi ?

- Rien de précis, des trucs sur la vie des gens… Mais justement quand je vous ai vu avec votre bouquet de fleurs que vous vouliez refiler à tout le monde, je me suis dit, ce monsieur, à sûrement une histoire à me raconter…

 

Alors je lui raconte ! Elle prend deux ou trois notes sur un petit carnet

 

- En voilà une belle histoire !

- Ce n'est pas une belle histoire, c'est tout triste !

- Buvez votre champagne ça vous fera oublier !

- D'accord !

- Et si j'écrivais cette histoire, comment est-ce que je pourrais la continuer ?

- On est peut-être en train d'écrire la suite ?

 

Mais pourquoi ai-je sorti une chose pareille ? C'est venu spontanément, je le regrette aussitôt, mais déjà, elle reprend la parole !

 

- Bien sûr que nous écrivons la suite, mais ce sera quoi comme roman, un roman à l'eau de rose ou autre chose ?

- Je n'aime pas trop les romans à l'eau de roses !

- Un roman un petit peu coquin, alors ?

- Pourquoi pas ?

- Et si je vous disais que j'en écris !

 

Quelque chose cloche, cette femme ne s'est pas réveillé avant hier en train d'écrire des romans cochons dans un bar-tabac, seul îlot un peu populaire de ce quartier bourgeois. Alors elle me raconte. Une éducation bourgeoise classique, quelques années délurées que ses parents ont arrêtées net en la mariant à un officier supérieur à la carrière brillante. Une vie morne, un mari qu'elle s'était forcée à aimer, des enfants qui ne l'aimaient pas, pas d'amant (mais ça, j'ai peine à le croire !) Une vie sexuelle conventionnelle ! Et puis un jour le mari décède brutalement dans un accident de la route. Quelques mois passent, mais un ami de la famille qu'elle avait toujours repoussé, comble sa solitude, d'abord chastement, puis finira par coucher avec. Ce fut une révélation. Elle virera le type qui devenait collant, mais décida de rattraper le temps perdu pendant qu'elle était encore " consommable " (le mot m'a choqué, mais il est d'elle !). Elle me dit avoir tout essayé, les femmes, les partouses, le S.M. l'exhibition, le voyeurisme, l'uro, le gang-band, et qu'après cette frénésie elle s'était calmée. Elle pratiquait maintenant très bien la masturbation, parfois elle se satisfaisait d'une aventure sans lendemain ; et sa femme de ménage recrutée dans une agence bien particulière n'était pas farouche, voilà qui lui convenait à présent très très bien !

 

Le message était clair, c'était maintenant à moi de jouer, sauf à passer pour un imbécile ! Cette bourgeoise avait un charme fou, et la perspective d'une conclusion aussi rapide qu'inespérée me permettait de compenser l'immense déception que je venais d'encaisser. Je lui expliquais que moi aussi j'avais les idées larges en amour, et que seules certaines pratiques un peu limites me bloquaient. Elle s'inquiétât de savoir lesquelles, mais parut rassuré de mes réponses. Il me fallait maintenant entrer dans son jeu, simplement mais sans ambiguïté :

 

- Vous m'excitez !

- Je sais, profitons-en pour arrêter ce vouvoiement qui n'est plus de mise ! Si tu en es d'accord ?

- Alors tu m'excites !

- Et c'est quoi qui t'excite ?

- C'est un tout, ta personnalité, tes réactions, mais ça aussi !

 

Ça c'était l'échancrure de son chemisier.

 

- Tu veux que j'ouvre un autre bouton ?

- Oui ! Oui !

 

Elle regarde autour d'elle, et renonce !

 

- Il y a trop de monde !

- Tant pis !

 

Je réfléchis un instant pour savoir s'il serait opportun que je lui propose un petit tour aux toilettes, mais elle me devance.

 

- Je t'emmène chez moi !

 

Je répondis en opinant de la tête !

 

- Ecoutes-moi, j'ai un fantasme depuis quelques semaines, en fait, un petit scénario tout simple, je vais te le dire ! Ça me plairait tellement que tu me le réalise !

- Dis toujours !

 

Elle me le décrit ! J'acceptais, ce n'était pas si extraordinaire que cela ! Alors nous quittâmes le bistrot sans s'être même touchés. Et nous nous dirigeâmes vers son appartement. Nous franchissons le portail. Toujours rien ! Nous appelons l'ascenseur ! Toujours rien ! C'était prévu ! L'ascenseur arrive, il est étroit. Alors comme convenu, je me jette sur elle, je sens le contact de ses lèvres et de sa langue tandis que ma main plonge dans son décolleté, rencontre un sein que je pelote, continue jusqu'au téton que je pince, l'autre sein subit bientôt le même sort… sa chatte à présent, mais non, l'ascenseur stoppe, je l'interroge du regard !

 

- On fait comme on a dit ! Vient !

 

C'est incroyable ! Elle a les seins à l'air sur le palier, elle sort ses clés, ouvre la porte !

 

- Ferme ! Vite !

 

Je le fais ! Elle est à genoux devant moi. Elle attend haletante que je sorte ma bite, puis l'engouffre dans sa bouche, ça ne dure que très peu de temps car voici qu'elle se met à quatre pattes, me présentant son cul, sa jupe est déjà loin, jetée sur le parquet de l'entrée, je lui déchire sa culotte, et tandis que d'une main j'assure mon érection par un léger mouvement de masturbation, je lui humecte le trou du cul avec ma langue, constatant que l'endroit et ses environs immédiats sont déjà bien humides. L'odeur est légèrement âcre et un peu forte, mais reste agréable !

 

- Encule-moi ! Mon amour !

 

Mon gland est maintenant tout près de son trou le plus intime, je force à peine (miracle de l'auto lubrification, à peine aidée de ma salive !) Je la pénètre avec peu d'effort, ça y est ! Je l'encule, j'imprime des mouvements de va et vient en m'efforçant de retarder le moment de mon plaisir qui ne devrait plus tarder maintenant, mais arrive un moment ou je n'en puis plus, j'éjacule dans un râle et tombe sur elle épuisé ! L'affaire n'a même pas duré 5 minutes. C'est quelque part quelque peu frustrant.

 

Elle se retourne alors sur le dos

 

- Lèche-moi !

 

Je me cale entre ses cuisses et de la langue commence à lui laper le clito, elle est dégoulinante de cyprine. J'avale ce liquide au goût un peu âcre. Sa respiration se saccade de plus en plus et soudain elle tressaute, ses fesses se soulèvent à 10 centimètres du sol, ses cuisses tremblent, elle pousse un invraisemblable cri de jouissance et retombe sur le sol groggy.

 

La porte claque brusquement, pas celle d'entrée, celle qui conduit aux autres pièces de l'appartement

 

- Oh ! Madame !

- Ne t'inquiète pas Fathia ! Tout va très bien prépare-nous du champagne !

- Oui madame, euh lequel ?

- Les deux, Fathia ! J'espère que tu as compris ce que t'as dit le garçon à propos de ma douche !

- Pas de problème madame !

- Je la prendrais avec ce Monsieur, nous en avons besoin tous les deux !

- Oui Madame ! Si vous voulez, vous pouvez passer dans le salon et commencer à vous déshabiller, je serais prête dans un instant… euh je vous apporte le champagne, enfin le vrai…!

- Merci, Fathia !

- Fathia était une belle fille bien faite au visage légèrement mate et aux longs cheveux de jais, une beurette probablement, toujours souriante.

 

Mes fleurs trônaient à présent en plein milieu du salon. Encouragé par Michèle, je me déshabillais complètement, elle m'imita aussitôt, son corps n'avait pas trop souffert des atteintes de l'âge et restait terriblement désirable, seul le ventre était un peu abîmé avec une vilaine cicatrice de césarienne, mais bon ! Quelle ne fut pas ma surprise de voir arriver la soubrette quelques minutes après poussant devant elle un petit chariot sur lequel était disposé un seau à champagne ! Banal certes, mais ce tableau le sera moins quand vous saurez que Fathia n'était alors plus vêtue que d'un unique soutien-gorge ! Elle nous servit !

 

- Prend toi une coupe pour toi, Fathia

- Non, merci madame, vous savez que je ne supporte pas bien l'alcool !

- Une goutte pour trinquer, tu n'es pas obligé de boire, tu pourrais te le verser sur tes seins ! Et d'ailleurs pourquoi gardes-tu ton soutien-gorge ?

- J'ai mal aux seins aujourd'hui madame !

- Et alors ? Ça ne t'empêche pas de nous les montrer ?

- Si je vous les montre, vous allez me les tripoter, et ça va me faire mal !

- Bon ! N'insistons pas ! Et sinon tu es prête ?

- Oui madame ! Je suis prête !

- Alors le temps de trinquer !

 

Michèle leva son verre

 

- A notre rencontre !

- Tchin ! Tchin !

 

Très vite nous avalons cet excellent cru, pressé que nous étions d'en déguster un autre d'un tout autre genre. La baignoire était immense, nous nous y sommes assis tous les deux. Fathia se mit entre nous deux, restant debout !

 

- Je peux y aller ?

- Vas-y Fathia arrose-nous !

 

xx_water3.jpg

 

Fathia se mit alors à pisser d'abondance, son urine coulait en pluie sur nos corps, j'en recueilli un peu avec mes doigts afin de goûter, et la trouvant très bonne, j'ouvris une large bouche afin de recevoir directement son jet doré. Michèle se contentait de ce qui dégoulinait de mon menton. Quand Fathia eu terminée, elle quitta la salle de bain, Michèle m'offrit alors sa bouche et nous échangeâmes un long baiser insolite et salée !

 

Ma queue avait repris une vigueur très convenable.

 

- Veux-tu que je demande à Fathia de te faire une gâterie ?

- Je ne vais pas refuser !

 

Mais c'est Fathia qui refusa ! Je demandais à Michèle de ne pas insister, mais elle n'en avait de toute façon pas l'intention. Elle intima malgré tout l'ordre à sa soubrette de ne point s'éloigner. Alors Michèle du bout de ses doigts me masturba doucement la queue, en dégagea le gland et le caressa du bout de sa langue, avant de tournicoter autour, puis elle referma ses lèvres sur mon sexe, alors que sa langue s'agitait frénétiquement. Après quelques minutes de ce régime elle me fit pénétrer plus en avant mon sexe et le suça de manière plus classique, tandis qu'un doigt polisson, suivi bientôt d'un deuxième allait fureter dans l'intimité de mon anus. A ce régime je ne pouvais tenir longtemps et lui déchargeais dans la bouche. Elle n'avala pas tout et s'amusa à étaler coquinement un peu de sperme sur un sein, puis sur l'autre.

 

- Voilà ! Un sein chacun ! Venez nettoyer !

 

Alors tandis que Fathia lui nettoyait le sein gauche, je m'occupais du droit, les traces de sperme disparurent bien vite, mais elle ne nous dit pas d'arrêter, alors nous avons continué, nous attardant sur ses tétons turgescents que nous aspirions, pressions, pincions. Il ne fallut pas longtemps à Michèle pour atteindre un second orgasme presque aussi intense que le premier. Fathia se recula un peu, le visage rayonnant. Elle était manifestement ravie, les rapports qu'elle avait avec sa patronne devaient être assez compliqués…et assez troubles.

 

Je passais ensuite encore une bonne heure à discuter avec Michèle, tout en terminant le champagne (le vrai) Je m'attardais pas mal, mais il fallut bien qu'un moment je me décide à rentrer ! Je lui promis de revenir (un peu hypocritement car je n'en étais pas si sûr !). Fathia me raccompagna à la porte et au moment de prendre congé me glissa un bout de papier dans la main.

 

Ce n'est que dans le métro que l'éclairage fut suffisant pour lire ces lignes d'une écriture maladroite :

 

" Si je vous avais fait une gâterie, comme vous dites, et si vous étiez revenu, cela aurait été pour en avoir une autre ! Je ne veux pas que vous reveniez pour moi, mais j'aimerais que vous reveniez pour Michèle… et j'espère que vous le ferez parce que cette femme le mérite !".

 

Je ne fus pas insensible à ce message fort, mais je ne savais dire à ce moment-là si je reviendrais, quand soudain je réalisais que je n'avais pas vu la poitrine de Fathia ! Alors je me dis en souriant que je reviendrais pour les deux !

 

Nicolas

 

© 2000 Nicolas Solovionni

 

nikosolo@hotmail.com

Première publication sur Vassilia, le 18/11/2000

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Novembre 2000

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Mercredi 17 novembre 2010 3 17 /11 /Nov /2010 13:14

Sorcières dans le brouillard

Conte d'hiver

par Estonius

 

Batgirl

 

Robert, chauffeur routier, à votre service, bonjour messieurs dames !

 

Ça n'allait pas très fort ? Je n'arrivais pas à digérer cette saloperie d'escalope qui n'avait de Milanaise que le nom. Obligé de m'arrêter sur une aire de repos afin de me débarrasser de tout cela... Et l'autre idiot de Jean-Pierre qui avait eu l'air de se régaler et qui me balançait des grands yeux satisfaits ponctués de réflexions qui se voulaient pertinentes comme "elle est vachement bonne, hein ?" ou pire "Ils me servent toujours bien, je suis un habitué, ici... " Cet abruti ne devait pas avoir de palais, ou alors c'est moi qui devait me faire des idées, mais non, elle avait un goût bizarre cette escalope... Un "goût pas varié" comme disait ma tante Georgette. Berck ! Ça allait mieux à présent, mais je me sentais las, je décidais de me reposer un peu avant de repartir vers Paris au volant de mon quinze tonnes.

 

L'idéal ce serait de pouvoir faire un petit somme, mais je n'ai pas spécialement sommeil. Je jette un coup d'œil dans ma pochette, je range deux trois papelards, en déchire d'autres inutiles dont je stocke provisoirement les morceaux dans la boite à gants. Et ça, c'est quoi ? L'impression d'un mail, c'est Luc, un incorrigible obsédé, toujours en train de m'adresser tantôt un dessin, tantôt une photo, ce n'est pas toujours du meilleur goût, mais bon sur le tas parfois... cette fois c'est un texte de trois pages, une histoire cochonne. Ça s'appelle "C'est moi la sorcière" ! Je n'aime pas les histoires de sorcières ! Et puis, s'il se figure que je vais lire tout ça ? Quoique, pourquoi pas, puisque je n'ai que ça à faire... je me surprends à lire ce récit écrit de façon palpitante et d'une écriture très fluide... Mais voilà que je baille, sans doute faudrait-il mieux que je me réserve ce texte pour quand ça ira mieux...

 

C'est en me réveillant que je prends conscience du brouillard. Dingue ! On n'y voit pas à cinq mètres ! Un coup d'essuie-glace ! Bof ! Les phares ne servent pas à grand-chose. J'allume la radio et je recherche une fréquence d'information. J'apprends alors "qu'une nappe de brouillard d'une rare intensité était tombée sur toute la région". On déconseillait toute circulation automobile, et on était incapable de faire des prévisions sur la durée du phénomène. "Bien, ma chance !"

 

En attendant, j'ai soif, d'habitude j'ai toujours de l'eau en réserve et quelques canette, mais aujourd'hui j'ai oublié de refaire mon stock. De toute façon, j'ai envie de me dégourdir les jambes et de pisser. C'est quoi ces feuilles sur le plancher de la cabine ? J'ai horreur du bordel ! Ah oui le texte érotique de mon collègue, l'histoire de la sorcière, je rassemble les feuilles, les plie en quatre et les mets dans la poche de mon veston, on verra ça plus tard. Je sors du véhicule et je libère ma vessie, ça au moins c'est facile ! Trouver à boire sera plus compliqué, mais ce n'est quand même pas un vulgaire brouillard, aussi épais soit-il qui allait m'arrêter. Il me semble apercevoir une vague luminosité vers la droite de ma voiture, je décide donc d'emprunter cette direction.

 

J'avance doucement, j'ai rarement vu un truc pareil, la lumière est toujours devant moi, mais je n'ai pas l'impression de m'en rapprocher, j'aurais dû emporter une torche électrique. Ce n'est pas possible, cette lumière doit être trop loin, j'y renonce de peur de me perdre dans ce brouillard ! Se perdre dans le brouillard ! N'importe quoi, faut pas charrier tout de même ! Je fais demi-tour, je n'ai plus de repère, ou plutôt le seul que j'ai consiste à tourner radicalement le dos à cette lumière, j'avance, j'avance lentement, j'avance encore. Je n'ai pas fait tant de pas que ça à l'aller ! C'est tout à fait ce que je craignais, j'ai probablement bifurqué. J'aurais dû marquer le sol, tel un petit poucet, j'aurais dû, j'aurais dû... combien de catastrophes petites et grandes aurait été évitées si on avait pensé à tout... Je stoppe, plus je vais zigzaguer, plus je vais me perdre.

 

Je n'entends aucun bruit, ce n'est pas normal… où sont donc passées les voitures ? Peut-être me suis-je trop éloigné de l'autoroute… Mais comment aurais-je fait, il n'y a pas de sortie "piétons". Le sol à mes pieds est meuble, de la terre, de l'herbe humide.

 

- Y'a quelqu'un ?

 

Personne ne me répond. Que faire ? Je ne peux même pas m'assoir, je vais avoir le cul tout mouillé, il me reste qu'à espérer que cette saloperie de brouillard finisse par se dissiper… Et s'il ne se dissipe pas avant la tombée de la nuit, je fais quoi, je ne vais quand même pas dormir dans l'herbe trempée. Il faut que j'avance, il faut que je me remue.

 

- Y'a quelqu'un ? Criais-je.

- Il y a moi !

 

Hein qui c'est ?

 

- Où êtes-vous ? Je ne vous vois pas ! Repris-je.

- J'arrive !

 

C'est une voix de femme, mais une voix rauque, du genre à se fumer ses trois paquets de clopes par jour.

 

- Je ne vous vois toujours pas ! Insistais-je

- Ne bougez pas ! Si vous bougez tout le temps, je ne pourrais jamais vous rejoindre.

 

O.K. je ne bouge plus !

 

Et soudain elle émerge du brouillard ! Une géante, elle doit bien faire ses 1 m 80 et comme si ça ne suffisait pas, elle est coiffée d'un chapeau de sorcière, vous savez le truc comme dans Halloween… Elle est revêtue d'un long ciré noir.

 

- Je suis Katia, la sorcière du brouillard ! M'annonce l'apparition.

 

Merde, c'est bien ma chance, je tombe sur la cinglée du coin.

 

- Ecoutez, je suis perdu, si vous pouviez m'indiquer un endroit où m'abriter.

- Ha ! Ha ! Ha !

- J'espère que vous n'êtes pas perdue, vous aussi ? Relançais-je.

- Une sorcière n'est jamais perdue.

 

Je ne sais pas quoi répondre. La soit-disante sorcière commence alors à déboutonner son ciré en commençant par le haut. Après avoir libéré le troisième bouton, elle écarte le tissu, elle n'a rien en dessous, et m'exhibe sa poitrine, une très belle poitrine, probablement refaite, mais très belle.

 

- Ça te plait ?

- Vous êtes très belle. Répondis-je, un peu gêné.

- J'ai perdu un bouton, là ! J'ai mis une broche à la place, garde-la moi, tu me la redonneras tout à l'heure.

 

C'est une jolie broche dorée décorée avec un paon très coloré, je la mets dans ma poche en faisant attention de ne pas me piquer avec. Katia termine son déboutonnage, écarte tout et m'exhibe alors une magnifique bite bien bandée, la sorcière est donc une transsexuelle.

 

- Ça te plait ?

 

Ben, oui ça me plait... Je lui dis. Elle se masturbe devant moi, sa bite devient magnifique, et voilà que je bande.

 

- Suce-moi la bite !

 

brouillard.jpg

 

Pourquoi pas ? J'ai les idées larges ! Je m'approche et mets ce joli membre dans ma bouche. Pendant que je m'applique et que je me régale à sucer, je sens des mains qui s'activent sur ma ceinture, qui me la dégrafe, qui me baisse mon pantalon, puis mon slip. Je quitte un moment ma fellation, pour voir ce qui se passe. Une deuxième "sorcière" est derrière moi, plus petite, et elle me lèche le trou de balle. J'aime bien ça, une bonne petite langue qui me rafraîchit l'anus !

 

- C'est Sandra, mon apprenti sorcière, elle est très douée ! Me précise la grande Katia, elle va bien te préparer le cul et après je vais t'enculer.

 

Sandra m'a maintenant mis un doigt dans mon orifice et l'agite ostensiblement, c'est bon.

 

- Il aime ça ! Commente cette dernière.

 

Ben, oui, j'aime ça… La route c'est un monde parallèle, un monde de mecs, un monde de queues, au départ on se dit que ces trucs là c'est pour les autres, puis un jour on essaye comme ça pour voir ce que ça fait, comme on essaie le sucré-salé ou le quatuor à cordes (ben oui, on peut être routier et mélomane). Vingt ans j'ai attendu, et puis un jour je me suis retrouvé au milieu d'une orgie dans les chiottes d'une aire de repos. Quand Marcel m'a mis au défi de sucer la bite d'un travelo, je me suis dit qu'il ne fallait pas mourir idiot ! Putain qu'elle était bonne cette bite ! Une révélation ! Douce, veloutée, une friandise. Dix minutes après je m'étais dit "au point où j'en suis, autant continuer", et il me l'a foutu dans le cul. Moins évident, une sensation étrange, un mélange de bonnes choses et de moins bonnes, mais bon j'ai aimé, j'ai recommencé. Mais attention, tout ça c'est la route, quand je reviens chez moi, je me blottis contre la Jacqueline et j'oublie tout ça. Un jour je lui ai dit, parce que j'en avais marre d'avoir une double vie, elle ne m'a même pas cru, après tout c'est peut-être aussi bien comme ça !

 

Un second doigt rejoint le premier, puis un troisième. Je me trémousse, je me sens chienne.

 

- Il est prêt ! Dit alors Sandra.

 

Les deux sorcières échangent leur position, Katia vient derrière moi et m'encule tandis que Sandra me donne sa bite à sucer. Elle est moins belle que l'autre, mais ça va ! Derrière c'est l'extase, les coups de boutoir que je reçois dans mon fondement me font fondre de plaisir. Je vais défaillir si ça continue. Mon cul n'en peut plus de me donner du plaisir. Au bout de quelques minutes, elle se retire, repasse devant moi, se retourne.

 

- A ton tour, viens jouir dans mon cul !

 

Je me précipite pour me mettre une capote que l'on vient de me tendre et je pénètre ce trop joli cul bien cambré. Trop d'excitation accumulée en si peu de temps, je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Alors je jouis, violemment, intensément… Il me semble même que je perds conscience quelques instants

 

…Et quand j'ouvre les yeux, le brouillard est presque dissipé.

 

- Et ben dis donc toi, quand tu jouis tu ne fais pas semblant ! Commente Katia.

 

Me voilà revenu dans la cabine de mon quinze tonnes. Katia et Sandra, deux jolies prostituées transsexuelles m'entourent, elles sont hilares et manifestement d'humeur joyeuse.

 

- Ben alors tu étais parti dans tes rêves ? Me demande Sandra.

- Je crois bien, oui, je vous ai pourtant bien sucé, où c'était dans mon imagination ?

- Qui sait ? Répond Sandra !

- Bon, je vais pouvoir repartir, vous descendez ou je vous dépose quelque part ?

- Ben, tu ne nous avais pas promis de nous payer le restau ?

- Ah bon ? Je vous ai promis le restau ? Alors d'accord, je me refringue un peu et on redémarre.

 

Et nous voilà partis, un moment Katia prend une cigarette, puis farfouille dans la boite à gants à le recherche d'un briquet :

 

- Elle est jolie cette petite broche dorée avec un paon ! Tu as trouvé ça où ?

- Je n'en sais rien, ce n'est pas à toi ?

- Ben non !

 

FIN

 

 

© Estonius - Novembre 2010

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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