Jeudi 3 septembre 2009 4 03 /09 /Sep /2009 19:19

Club trans

par Eddy

stamp trans h

 

Comment introduire cette histoire ? Rapide présentation, la quarantaine, physique moyen, obsédé sexuel et grand amateur de belles femmes, je ne dédaigne pas de temps à autre m'égarer vers d'autres plaisirs et j'avoue bien volontiers ma fascination pour les transsexuelles.

 

Une passion pas si facile à assumer que ça, je n'aime pas l'ambiance du bois de Boulogne, reste les clubs et il faut souvent être un peu initié si on ne veut pas être déçu.

 

On m'avait fourni, bien difficilement, les coordonnées d'un club très privé où officiaient certaines de ces créatures. C'était dans mes prix, et l'endroit était facilement accessible par les transports en commun.

 

Je m'y rends donc vers 20 heures. Immeuble cossu, je sonne l'interphone au nom que l'on m'avait indiqué, on m'invite à monter, bel escalier, c'est au deuxième, on m'ouvre, et me voici dans une petite entrée où une créature est assise derrière une petite table basse. Elle est blonde claire, les cheveux bouclés mi-longs encadrant un visage très agréable et souriant, un joli petit nez légèrement pointu, de beaux yeux bleus. Elle est vêtue d'une nuisette jaune transparente sous laquelle je perçois un petit soutien-gorge en dentelle. Je ne sais pas à ce moment-là s'il s'agit d'une transsexuelle ou d'une femme, toujours est-il qu'elle me dévisage de haut en bas !

 

- Bonjour, c'est pourquoi ?

- Bonjour, j'ai eu vos coordonnées sur le net...

- C'est un club privé, ici, réservé aux adhérents, mais si vous voulez adhérez... me chuchote-t-elle.

- Ben oui...

 

Je paie, on me donne une jolie carte en plastique :

 

- Voilà, je t'explique un peu, tu dois acheter un ticket...

- En plus de l'adhésion ?

- Ben, oui, ça te donne droit à une heure et demie, si tu prends deux tickets, il n'y a plus de limite de temps.

 

Ça commence à faire un peu plus cher que prévu, mais bon ça va encore... Je me fends de deux tickets.

 

- Il y a toujours en permanence au moins quatre trans. Il y a une salle principale, deux chambres pour les gens qui veulent s'isoler, une salle de bain, et une salle spéciale pour les masos... Pour le reste c'est comme au sauna, tu mets ce que tu veux dans un de ces petits vestiaires et tu gardes la clé... La plupart des clients se mettent à poil, mais pas tous, et d'autres se travestissent un peu... tu vas faire quoi toi ?

- Ben je vais me mettre à poil !

 

Elle me tend la clé et je me déshabille donc.

 

- Je ne me suis pas présentée, je suis Angel ! Tu aimes quoi toi ? Tu es passif, actif ?

- Plutôt passif, mais pas exclusivement.

- Je vois, tu aimes sucer les bites alors ?

- Oui j'aime bien !

- Ben, tu vas te régaler ici, les belles bites ce n'est pas ça qui manque !

- Chic alors !

- Oh, mais tu as de jolis tétons, je suis sûre que tu aimes qu'on te les pinces !

- Oui j'adore !

 

Elle ne fait ni une ni deux et me serre les bouts de seins avec une certaine force. C'est plus fort que moi, cette caresse me fait bander instantanément.

 

- Et ben dis donc, ça te fait de l'effet, on dirait, tu ne serais pas un peu soumis, toi ?

- Très légèrement...

- Hum intéressant… j'aime bien les soumis parce qu'avec eux on peut faire plein de choses qui sortent de l'ordinaire. Mets-toi à genoux une minute.

 

Je suis dans un rêve, je ne réfléchis plus et j'obéis.

 

- Renifle ma bite ! Me dit-elle en écartant sa nuisette.

 

Je m'approche de sa culotte, mon nez cogne contre le renflement de son sexe.

 

- Ça sent bon ?

- Oui, mentis-je, en fait ça ne sentait pas grand-chose, par contre la sensation d'avoir cette queue collée à mon visage, simplement séparée par une fine barrière de tissu, m'excitait terriblement.

- Vas-y, sort là !

 

Je ne me le fis pas dire deux fois, j'extrayais donc son pénis semi bandé de sa culotte et je le caressais.

 

- Elle te plait, ma bite ? Elle est belle, hein ?

- Oui, beaucoup !

- T'aimerais bien la sucer ? Dis-moi ?

- Oui, je peux ?

- Non pas maintenant, mais tout à l'heure, oui… et si tu me le demandes gentiment je pourrais même te la foutre dans le cul ! Tu voudras ?

- Oui…

- Compte sur moi, je vais te la foutre bien profond dans ton petit cul, je vais te défoncer comme on ne te l'a jamais fait.

 

C'est qu'elle va me faire peur, la transsexuelle, si elle continue sur ce registre…

 

- Allez, viens, on va continuer dans la salle.

 

On pousse le rideau. Me voici dans une grande salle, trois grands canapés sont disposés sur trois côtés. Celui du fond est très occupé, un mec chauve, la soixantaine, complètement nu est en train de sucer la queue d'une très belle trans black avec avidité. A gauche un mec à lunettes entre deux âges et qui a gardé son caleçon tape la causette avec une grande bringue en sous-vêtements à l'allure vaguement asiatique tout en buvant je ne sais quoi. Et à gauche deux trans également en sous-vêtement semblent attendre... sans doute le client. Au milieu une petite table avec des bouteilles d'eau et des jus de fruits, des gobelets jetables, quelques revues pornos, des préservatifs et du gel intime. Dans un coin, un écran large diffuse silencieusement un porno dans lequel s'activent deux transsexuelles et un homme.

 

- Ces deux beautés sont disponibles, commente Angel en m’indiquant le canapé de gauche, moi je le serais tout à l'heure, un client m'a réservé, il va arriver d'une minute à l'autre. Il ne reste pas longtemps, je le suce avec une copine, ensuite il encule l'une des deux et il s'en va. Tu pourras regarder, il aime bien faire ça devant tout le monde.

 

Elle me conduit vers les deux trans.

 

- Voilà, ce gentil jeune homme vient pour la première fois, il m'a dit qu'il adorait sucer des bites, je vous le confie, je le reprendrais quand j'aurais fini avec Monsieur Benjamin.

 

La plus grande se décale un peu, et me fait signe de m'asseoir entre elle et son amie. Elle est belle, la peau est très claire, les cheveux sont coiffés au carré, légèrement frisés et châtains foncés, et la poitrine semble prometteuse.

 

- Je suis Lisa ! Se présente-elle et ma copine c'est Vanity.

 

Vanity est plus petite, plus dodue, elle a la peau café au lait, et malgré ses cheveux teints en roux, elle ne peut cacher son métissage, son sourire est charmant.

 

- Alors c'est vrai, t'aimes bien sucer les bites ? Me demande Lisa en me mettant sa main sur la mienne.

- Oui, entre autre !

- Je me doute bien que tu n'aimes pas que ça... Qu'est-ce que tu aimes d'autre, laisse-moi deviner... Je crois que tu aimes bien sucer les culs aussi...

- Oui aussi...

- Super, je vais t'offrir le mien, les mecs en raffolent...

- Hummmm, volontiers !

- T'aimes te faire enculer aussi ? Poursuit-elle.

- Pourquoi pas ? Si c'est bien fait, ce n'est pas désagréable.

- Tu as vu le gars à côté comme il suce bien notre copine !

- Oui, c'est excitant !

- Ça t'excite de regarder ? Viens, on va le regarder de près, il adore qu'on le regarde.

 

On se lève tous les trois et on se place à cinquante centimètres du couple.

 

- C'est un habitué ! Me précise Lisa, un vrai petit cochon, il suce toutes les bites qui sont à sa portée, même parfois celle des autres clients... N'est-ce pas, Monsieur André ?

- Bien sûr ! Répond l'homme interrompant un moment sa fellation.

- Ça ne te dérange pas s'il te suce un peu ? Me demande la trans.

- Non, non…

 

En fait je comprends que les trans essayent de faire plaisir à ce bonhomme qui est probablement un client régulier. Le voilà donc qui me suce, je n'étais pas venu pour ça, mais la soirée ne fait que commencer. Il suce plutôt bien, même très bien, il ne faudrait pas que ce zigoto me fasse jouir déjà. Je me retire donc au bout de quelques instants.

 

- Tu veux me sucer, toi ? Me propose-t-il.

- Bien sûr qu'il va te sucer, il m'a dit tout à l'heure qu'il adorait sucer des bites ! Répond Lisa à ma place.

- Heu…

- Ben quoi, elle n'est pas belle sa bite ?

- Si, mais…

- Suce ! Tu en meurs d'envie !

 

Que j'en meurs d'envie est une exagération, d'autant que je suis venu ici pour faire des trucs avec des transsexuelles, pas avec leur clients, mais il est vrai que l'objet est joli. Une queue très droite, un gland foncé et luisant bien dans le prolongement de la verge. Allez, j'y vais, la texture est agréable, le goût plutôt neutre, ses sucs ayants probablement été absorbés par ceux (pardon, celles) qui l'ont sucé avant moi. La taille est moyenne, je peux donc jouer avec dans ma bouche sans m'étouffer, j'alterne la position classique de pompage avec des introductions en biais à l'intérieur des joues. Je suçote un peu aussi les couilles, mais ça ne me passionne pas trop. Je m'amuse à lui lécher le gland, mais voilà qu'il se retourne, m'offrant son cul, j'ai un mouvement de recul.

 

- Lèche-lui le cul ! Me demande Lisa.

- Ça ne me dit rien…

- Essaie…

- Pas maintenant !

- Je croyais que tu aimais sucer les culs ?

- Ceux des trans, oui…

- Et tu crois vraiment qu'il y a une différence de goût ? Allez suce, quand on est un petit vicieux comme toi, on ne refuse pas de lécher le cul d'un mec. Me dit-elle en me tripotant la bite.

 

Voilà un argument ! Bon allez, je me lance, je lui écarte les globes, dégage sa rosette et me présente langue en avant, son trou s'entrouvre et mon bout de langue le pénètre un petit peu… une première. Et tandis que je pratique cet anulingus, Vanity s'est positionné derrière moi et me fait la même chose. Sentir cette langue virevolter autour de mon anus me procure un plaisir rare, d'autant que bientôt sa langue est remplacée par son doigt qui s'agite frénétiquement. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier, puis plus rien… Quelques secondes passent, quand je sens quelque chose de froid sur mon anus. Du gel ! Ça y est, je vais passer à la casserole, c'est ce qui s'appelle ne pas perdre de temps. Effectivement le gland de Vanity ne tarde pas à quémander l'entrée de mon petit trou. Je l'aide comme je peux, abandonnant mon léchage de cul. Une tentative, deux tentatives, la troisième est la bonne, ça entre, ça entre très bien même, me voici avec une bite dans le cul qui commence à me pilonner… qu'est-ce que c'est bon. Je m'en tortille d'aise.

 

- Ça va ? Tu la sens bien ma bite ? Me demande-t-elle.

- Hummm, oui, c'est bon, continue !

- Bien sûr que je vais continuer, j'adore ça enculer les mecs.

 

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A côté de nous, Monsieur André a offert son cul à Carita, la superbe black qui l'encule avec énergie. C'est très excitant de se faire enculer tout en en regardant d'autres le faire aussi. Des ondes de plaisir me traverse le corps, comme je la sens bien cette bite qui va et qui vient dans mon cul. Je voudrais que ce moment se prolonge, mais se prolonge… se prolonge encore. Lisa se pointe devant moi, m'offre sa queue, c'est vraiment la fête, et je la prends en bouche. Vanity ralentit ses mouvements afin que je puisse sucer plus confortablement. Je suis aux anges.

 

- Vanity, viens une seconde ! Dit une voix

 

Voilà qui s'appelle un contre temps ! La belle rousse sort de mon cul et jette son préservatif à la corbeille. J'ai compris : C’est ce Monsieur Benjamin qui vient d’arriver ! C'est super frustrant ! Qu'est-ce que c'est que ce club à la con où certains clients sont plus clients que d'autres à ce point qu'on en laisse carrément certains en plan pour aller en satisfaire d'autres, tout ça parce qu'ils ont plus de fric. Je commence à me dire qu'ils ne risquent pas de me revoir… Lisa, qui a dû voir ma mine déconfite tente de me consoler :

 

- Suce-moi bien, régale-toi avec ma bonne bite… Vanity va bientôt revenir…

 

Monsieur Benjamin, la cinquantaine, trône en plein milieu de la pièce, il est resté habillé, dans son triste costume cravate de businessman. Angel lui tripote la braguette et lui en extrait la bite, puis commence à le sucer. Vanity les rejoint donc et dégage le pantalon du client, lui baisse son ridicule caleçon à petites fleurs, puis lui lèche les testicules. Les deux trans sucent alors la verge à tour de rôle. Puis le type se dégage, il désigne Lisa qui s'arcboute contre un canapé, puis il s'encapote et sodomise la belle rousse sans autre forme de procès.

 

L'affaire a duré à peine trois minutes.

 

- Tu m'as bien enculé, chéri ! Lui dit Vanity.

- Et moi, tu n'aimes plus mon cul, je suis fâchée ! Minaude Angel.

 

Le mec ne répond même pas, il retire la capote, la jette dans une corbeille, se kleenexe le zizi, se reculotte et se dirige vers la sortie.

 

Vanity revient vers moi :

 

- Je suis désolée, suce-moi un peu que je rebande bien et je vais continuer à te bourrer le cul.

 

O.K. et comme Lisa reste là, me voici avec deux bites à sucer, je les suce donc à tour de rôle, ça me donne une de ses triques… Et voilà Angel qui les rejoint ! Trois bites ? Non, car cette fois Lisa quitte le groupe, elle va rejoindre Monsieur André et relayer, dans son cul, Carita qui donnait des signes de fatigue. Sur le canapé du fond, la très belle trans asiatique et son client se masturbent maintenant mutuellement tout en continuant à papoter.

 

Lisa et Monsieur André ont très vite inversés les rôles et c'est désormais ce dernier qui sodomise la belle trans.

 

- Il va jouir, m’indique Vanity, mais il va demander qu'une d'entre nous reste à côté de lui pendant qu'il récupère. C'est le moment le plus pénible, il nous pelote sans arrêt et raconte des trucs qui ne nous intéressent pas, mais faut faire semblant…

 

Certes, ça a le mérite d'être lucide mais pourquoi me confie-t-elle ça à moi ?

 

- Je t'avais promis de t'enculer, autant le faire maintenant, alors qu'il n'y a pas grand monde ! Me propose Angel. Toujours d'accord, mon biquet ?

 

Je n'ose pas refuser, mais j'aurais préféré que Vanity me reprennes, j'ignore pourquoi, question de feeling sans doute. Mais ça n'empêche pas Angel d'être adorable !

 

- A tout à l'heure ! Me dit Vanity en m'offrant le plus beau des sourires.

 

Je fonds !

 

Vanity s'en va remplacer Angel au guichet d'entrée. Cette dernière me pelote le cul !

 

- C'est un joli petit cul de pédé que tu as là !

- Ah ! On me l'avait jamais dit !

- Je te donnerais bien une petite fessée !

- Si tu veux !

- Tu veux qu'on joue un peu à la maîtresse et à l'esclave ?

- Pourquoi pas ?

- Bouges pas, je reviens.

 

Effectivement, elle revient avec un collier d'esclave qu'elle m'attache autour du cou, une laisse et une cravache.

 

- Avance à quatre pattes, comme un bon chien ! Me dit-elle en faisant cingler la cravache.

- Aïe !

 

Elle m'emmène vers le canapé où Carita se repose :

 

- Suce, suce sa bonne queue !

 

Des punitions dans ce genre, j'en veux bien tous les jours, c'est avec gourmandise que je me jette sur ce bel organe et que j'entreprends de la langue de lui donner de la vigueur.

 

- Elle est bonne sa queue, hein ? Tu la prendrais bien dans ton cul !

- Oh, oui, alors !

 

La trans asiatique et son client sont partis s'isoler dans une des chambres. Il n'y a plus grand-chose à voir…

 

Angel m'inflige plusieurs coups de cravache successifs, ça commence à me chauffer les fesses, mais faudrait peut-être qu'elle arrête sinon je ne vais plus pouvoir m'assoir. Elle me tire par la laisse.

 

- Viens avec moi, il faut que j’aille pisser, et après je t'encule !

 

Je la suis à quatre pattes jusqu'à la salle de bain.

 

- Je te pisserais bien dessus ! Me confíe Angel.

- Vas-y ! Lui répondis-je.

- Ouvre la bouche, tu vas te régaler, c'est de la bonne pisse de femme à bite, ça !

 

OK, ça va son urine n'est pas trop forte, j'en avale pas mal, j'en laisse couler aussi pas mal à côté, Je me rince le visage, mais j'ai une petite envie moi aussi, je le dis à Angel.

 

- D'accord mais tu me pisses sur la bite, sur le visage, ce n'est pas possible… à cause du maquillage.

 

Je commence à lui pisser dessus, elle se retourne en me montrant son cul et en l'écartant. Je lui urine dans la raie culière, elle rigole. Je m'essuie le visage, tandis qu'Angel se passe un peu d'eau sur le bas ventre et sur les fesses. Puis elle me fait ressortir, toujours à quatre pattes.

 

Monsieur André se repose et est en train d'expliquer quelque chose avec force détails à la belle Lisa qui approuve mollement de la tête. Au milieu c'est plus intéressant, deux bellâtres, genre tennismans en parade viennent d'arriver, ils sont debout et Vanity les suce à tour de rôle.

 

Je reçois encore quelques derniers coups de cravache, puis Angel m'offre sa bite à sucer afin de la faire rebander correctement. Je m'en régale quelques minutes, ensuite, ma partenaire me contourne, et après m'avoir léché quelques instants le troufignon, en quémande l'entrée d'une poussée de sa bite.

 

Et hop ! Voilà ma deuxième sodo de la soirée, elle est moins douce que Vanity, plus rapide aussi, (j'allais dire plus sauvage), mais c'est néanmoins bien agréable. Cette sensation d'être rempli par quelque chose de vivant a quelque chose de fascinant et d'extraordinairement excitant. Je lui dis que c'est bon (pas très original)

 

Au centre, Vanity a fait placer les deux bellâtres en soixante-neuf et ils se sucent donc la queue mutuellement. J'ai l'impression que l'un des deux a déjà joui. Oui effectivement, du coup, il abandonne son partenaire. Celui-ci rouspète, alors que l'autre lui demande de faire un break. Vanity propose alors gentiment de "finir" le deuxième, il accepte, mais le premier se dirige vers le vestiaire, le second le suit, toujours sans avoir joui. J'entends des éclats de voix à l'entrée. C'est Carita qui se déplace pour tenter de les calmer.

 

Elle revient deux minutes plus tard, informant ceux que ça intéresse que les deux zouaves sont partis. J'avoue ne pas comprendre ce qu'ils venaient chercher.

 

Vanity est revenue vers moi et me donne à nouveau son sexe à sucer. Angel m'indique qu'elle veut changer de position, elle m'entraine vers le canapé, s'y assoit et je m'empale sur elle, c'est donc moi qui fait "le travail" et dans cette position je ne peux plus sucer Vanity, alors du coup, c'est elle qui me suce.

 

- Tu viens me remplacer ? demande Angel à Carita.

- Tout à l'heure ! Tergiverse la blackette.

 

Je ne dois pas être son genre, ce sont des choses qui arrivent, dommage j'aurais bien aimé sucer de nouveau cette jolie queue. Je continue à faire le piston sur la bite d'Angel, c'est assez fatigant comme truc, même si l'effort est compensé par le plaisir.

 

- Attends, attends ! Me dit Angel

- Attendre quoi ?

- Ça ne fait rien continue… Aaaaaaaah.

 

Je viens de comprendre qu'elle vient de jouir. Je me dégage, Elle se relève, m'embrasse sur la joue.

 

- Tu m'as fait jouir, petit salaud !

 

Elle se dirige vers Carita, les deux trans échangent à voix basses des propos que je ne distingue pas, mais apparemment, elles ne sont pas d'accord. Puis elles se dirigent l'une après l'autre vers le vestiaire. De nouveau des éclats de voix, mais cette fois c'est en portugais.

 

- Elle est chiante, la Carita, me dira Vanity… On a toujours le droit de refuser un client, mais elle, elle fait le contraire, elle en choisit un ou deux et ne s'occupe pas des autres. Tout à l'heure quand Monsieur André est arrivé, elle l'a piqué à Angel qui devait commencer avec elle… tout ça parce que Monsieur il donne des bons pourboires.

 

Je m'aperçois qu'être prostituée transsexuelle en club n'est parfois pas toujours si simple.

 

- Elle est partie ! Viendra dire Angel à sa collègue.

- Tu appelles une copine pour la remplacer ?

- Je sais pas, je vais voir, ça ne se bouscule pas trop ce soir…

 

Elle se met entre mes cuisses et commence à me sucer tandis que je caresse la belle Vanity.

 

- Ohé ! Il y a une fille de libre, mon client voudrait finir en trio ! Dit une voix provenant de la porte d'une des chambres

 

Ça c'est la belle asiatique enfermée avec son client depuis tout à l'heure qui fait sa réapparition.

 

- J'y vais ! Me dit Angel, tu es en bonnes mains.

 

Le salon n'a jamais été aussi vite, nous ne sommes plus que deux couples, Monsieur André qui continue sa causette avec Lisa qui a l'air de s'emmerder comme pas possible. Et puis moi et Vanity. On se regarde, on se sourit, nos visages se rapprochent, on se roule un patin, je lui pelote les seins, elle me pince les miens, je touche à sa bite, elle tripote la mienne, et puis surtout nous nous caressons longuement, sensuellement. Cette fille est trop câline, trop sensuelle.

 

- Tu bandes bien ! Constate-t-elle.

- C'est parce que tu m'excites.

- Tu veux jouir ?

- Peut-être, oui…

- Je te suce à fond, où tu m'encules ?

- Suces moi un peu et on finira en sodo, mais laisse-moi te caresser avant.

 

En fait, je la caresse déjà, ma main teste le satiné de sa peau, j'explore son corps, ses cuisses, son ventre, ses bras, ses seins bien sûr, dont je palpe le galbe, deux de mes doigts viennent ensuite effleurer un téton, je l'interroge du regard, elle me répond d'un petit sourire. Me sentant encouragé, je pince le téton, le tortille un petit peu, puis passe à l'autre, puis ma bouche remplace mes doigts, je la tête, et m'enivre de sa douceur. Je fais une petite pause, croise son regard. Et c'est à ce moment qu'elle approche son visage du mien, bientôt nos bouches se collent, nos langues se mélanges, nos salives s'échangent. Je suis à ce moment-là le plus heureux des hommes. Elle m'attrape ma bite bandée au maximum, la masturbe un peu, s'apprête à descendre pour la sucer.

 

- Vanity !

 

Catastrophe, c'est Lisa qui l'appelle, Monsieur André la réclame. Comme je l'ai déjà remarqué tout à l'heure, certains clients ici sont favorisés par rapport à d'autres et je trouve que la façon dont ça se passe n'est pas très fine. Encore que, Lisa a sans doute eu l'intelligence de ne pas appeler sa collègue en pleine fellation.

 

Du coup, mon excitation est retombée.

 

- Excuse-moi, chéri, je reviens ! me dit Vanity avec un merveilleux sourire.

 

Cette perspective m'empêche bien sûr de partir, je pensais que Monsieur André voulait changer de partenaire, non il voulait finir avec deux filles ! Gonflé le mec. Il s'est assis sur le canapé et Vanity s'est empalé sur lui. En même temps Lisa, debout lui donne sa bite à sucer. Cette jolie figure de style ne dure pas bien longtemps, il chuchote quelque chose aux filles qui viennent alors entre ses cuisses le sucer à deux en s'aidant un peu de leurs mains. Il finit par jouir au bout d'un quart d'heure.

 

Les deux trans raccompagnent Monsieur André au vestiaire, ça bavarde pas mal, ça rigole, et moi je m'emmerde.

 

Enfin, elles reviennent, se dirigent vers moi et s'assoient à mes côtés. Lisa est très belle, n'empêche que j'aurais préféré terminer en solo avec Vanity, mais bon…

 

Cette dernière me caresse un peu pour me faire rebander, et agace un peu mes tétons, je la caresse à mon tour. Lisa descend entre mes cuisses et me branle un peu avant de me prendre en bouche.

 

- Je te suce aussi ? Me demande Vanity

- Embrasse-moi !

 

Comme tout à l'heure, nous nous roulons un long baiser baveux, mon sexe n'en peut plus et libère sa semence dans la bouche de Lisa. Je suis épuisé, mais satisfait.

 

- Tu veux rester encore ? Me demande Vanity

- Non, je vais rentrer !

 

Je me dirige vers la salle de bain pour me nettoyer le zizi, me fait la réflexion que Monsieur André, lui est parti sans le faire, Vanity m'a suivi.

 

- Ça te dirait qu'on se voit tous les deux, juste tous les deux ?

- Bien sûr !

- Ça me fait plaisir, je vais te donner mon numéro de portable au vestiaire… appelle moi quand tu veux après 10 heures du matin.

 

Au vestiaire, nous nous sommes de nouveau embrassés sur la bouche. Finalement malgré quelques côtés agaçants, il n’est pas si mal ce club ! Dans la rue je sifflotais comme un pinson.

 

Le lendemain, je n'étais pas libre, mais le jour d'après elle m'avait donné rendez-vous dans un café

 

- On va parler un peu ! avait-elle dit.

 

Elle est marrante en tenue de ville, un jean et un tee-shirt avec un petit blouson et un immense sac à main.

 

- Voilà, j'ai senti qu'il se passait quelque chose entre nous, me dit-elle, je ne cherche pas un amant, je cherche un ami, quelqu'un avec qui je puisse sortir du cadre de mon milieu, quelqu'un qui me fasse visiter Paris, qui m'emmène dans les musées, au restaurant, au théâtre… Attention, je ne cherche pas à me faire entretenir, d'ailleurs aujourd'hui c'est moi qui te paie le restaurant… Ça te convient !

 

Oups ! Ce n'est pas du tout ce que j'escomptais, je pensais simplement qu'elle me proposerait ses propres prestations en dehors de ses heures de club. Mais bizarrement sa proposition me plait bien.

 

- Ça me convient, mais pourquoi moi ?

- Je cherchais un homme qui nous prenne pour des êtres humains et pas pour des poupées gonflables, ce n'est pas si courant dans ce milieu, mais il y en a, tu n'es pas le seul, mais disons que tu es arrivé au bon moment ! M’indique-t-elle avec le plus merveilleux des sourires.

- Et si je veux du sexe avec toi, il faudra que je retourne au club ?

- Obsédé ! Rigole-t-elle. Mais non on fera ça chez moi, tu seras alors mon client pendant une heure… et je te gâterais…

 

On s'est levé, elle m'a pris la main, et j'ai eu à ce moment-là du mal à réprimer une larme de bonheur.

 

FIN

 

 

© Edvard Stokien, Septembre 2009

Par Eddy - Publié dans : Eddy
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Lundi 19 janvier 2009 1 19 /01 /Jan /2009 18:46

Le petit endroit par Emmanuel Arago
scat
Vous qui venez ici dans une humble posture,
Débarrasser vos flancs d’un importun fardeau,
Veuillez, quand vous aurez soulagé la nature
Et déposé dans l’urne un modeste cadeau,
Épancher dans l’amphore un courant d’onde pure,
Puis, sur l’autel fumant, placer pour chapiteau
Le couvercle arrondi dont l’auguste jointure
Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau.

Emmanuel Arago (1912-1896)

scat arago
Emmanuel Arago écrivit ce poème pour son ami Maurice Sand, le fils de George Sand, qui l’adressa ensuite à sa mère

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Lundi 19 janvier 2009 1 19 /01 /Jan /2009 18:43

Au Viol ! Au Viol ! par Linda_nuit_blanche

Stamp secretaire

Au Viol ! Au Viol !

A la police, une jolie blonde se plaignit

Qu’un jeune homme à l’écart l’attrapât

Adossée à la clôture, l’a retenue captive

Pour neuf mois elle en aurait Belle Naïve.

Au Viol ! Au Viol ! Je le traîne en cour

Et je ne change pas d’avis !

Le jeune homme penaud pense à ses recours

Se gratte la tête et cherche une sortie.

La police souligne un fait et demande :

« Comment s’est fait, lui petit, elle si grande ?

La blonde dit que pour y arriver il fallait

Qu’à sa hauteur elle se baissa.

Linda_nuit_blanche

viol

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Dimanche 2 novembre 2008 7 02 /11 /Nov /2008 07:08

Le Pharmacien
par Marine et Thibault

 

Gode stamp
Thémes abordés : doigtage masculin, engodage masculin

Je vais vous raconter une petite aventure de jeunesse, du temps où j’étais stagiaire comme préparatrice en pharmacie

 

J’avais 20 ans, et le gérant, Gérard, le pharmacien me reluquait à la façon du loup de Tex Avery. Gérard doit avoir 50 ans peut-être plus, mais belle prestance, lunette, moustache et crane plutôt dégarni laissant apparaitre une couronne de cheveux blanc.

Etourdie de nature, j’avais commis plusieurs bêtises à ce point que le pharmacien me déclara ce soir là, alors qu’il procédait à la fermeture de la boutique :

- Je suis désolée Marine, mais je ne pense pas pouvoir vous garder…

A ces mots, je me mis à sangloter

- Laisser moi encore une chance, je vous en supplie.
- Une chance ? Ecoutez, si vous consentiez à être gentille avec moi, mais vraiment très gentille, à ce moment là je pourrais revoir ma décision.
- Ce n’est pas du harcèlement sexuel, ça ?
- Je ne vous harcèle pas, je vous fais une proposition. Vous l’acceptez ou vous la refusez.
- Je ne la refuse pas, mais promettez moi de ne pas me faire de mal.
- Du mal, moi ? Je suis la douceur incarnée
- Alors d’accord. On fait ça quand…
- Je ne sais pas, je vais voir…

Il s’approcha de moi, un kleenex à la main pour que je puisse sécher mes larmes, et se colla contre moi. Au moment où il m’effleura un sein, j’eus un imperceptible moment de recul mais je me ravisai aussitôt, comme pour montrer que je n’avais pas fait attention au geste. Le pharmacien, engaillardi par mon attitude peu farouche, recommença l’opération de façon plus insistante. Cette fois, mon sourire devint complice. Gérard défit un premier bouton de mon chemisier tout en m’expliquant qu’il fallait être agréable à la vue du client si je voulais bien faire mon travail. Le pharmacien sentit que c’était le moment où tout devait basculer. Il enfouit sa main dans mon corsage et me caressa longuement mes seins doux et fermes à la fois. Je restais immobile, comme pétrifiée par l’excitation que j’étais capable de susciter chez mon patron. Il ouvrit complètement chemisier et soutien-gorge et posa sa bouche avec vigueur sur ma poitrine. Ensuite, n’y tenant plus, il guida ma main jusqu’à sa braguette. Je fis semblant d’être réticente, puis me laissai faire, défit sa braguette, sorti un engin de belle taille, déjà bien bandé et entrepris de le masturber, me prenant au jeu

- Que vous avez une belle bite, Monsieur Gérard.

Lui continuait à dévorer ma poitrine et commença à s’intéresser à mon entrejambe. Il y fourra sa main sans douceur excessive (sans doute à cause de l’excitation) et chercha à écarter le fin tissu du slip en coton. Dès qu’il eut trouvé l’entrée, il insinua deux doigts dans ma chatte brûlante. Je gémis et fit semblant de me débattre comme si je voulais en rester là. Il recula, surpris.

- On arrête ?
- Non, on continue, mais n’allons pas trop vite.

Il se reprit, se contrôla et je finis par m’abandonner à la caresse digitale, sentant même venir un orgasme. Il accéléra le mouvement jusqu’à ce je jouisse. Sans me laisser reprendre ses esprits, il acheva d’enlever son pantalon. Puis, il me souleva par les fesses, m’assit sur le bureau et approcha son sexe du mien. Naturellement lubrifiée par l’orgasme que je venais d’avoir, il réussit à me pénétrer sans effort malgré la bonne taille de son engin. Je le sentis profondément en moi et ne put réfréner un cri de plaisir. Il s’agita encore et je jouis à nouveau. Il me reposa sur la chaise et s’adossa au bureau. Il m’annonça que c’était son tour de jouir et qu’il voulait le faire dans ma bouche.

- Hum, sucer une si belle bite, ce ne sera pas une corvée.

J’accueillis d’abord timidement cette queue qui occupait toute ma bouche. D’abord un peu surprise (mais non dégoûtée) par l’odeur du membre qui sentait la pisse, je m’habituais vite et commença un long va-et-vient buccal en flattant les bourses de ses doigts. Gérard bandait bien, mais ne semblait pas prêt à jouir de suite, un moment il me demanda :

- Met moi un doigt dans le cul !

J’obtempérai, combinant d’abord le doigtage et la fellation, jusqu’à ce que le pharmacien change de position en se mettant à quatre pattes, je pouvais ainsi mieux le doigter, et de l’autre main je lui branlais la bite

- Vous aimez ça, hein qu’on vous tripote le cul ? Lui lançais-je.
- J’adore répondit-il ! Mets deux doigts.
- Et si on mettait un gode ? Proposais-je
- J’n'en ai pas ici…
- Ne bougez pas Monsieur Gérard, j’ai une idée

sarah strapon
J’avisais alors un dentifrice conditionné dans une sorte de cylindre qui ferait parfaitement l’affaire. Me saisissant de l’objet, je le lui enfonçais dans le cul, lui provoquant des cris de plaisirs inouïs.

- T’aime çà te faire enculer ? Lui demandais-je devenant à la fois familière et vulgaire
- Oui, c’est trop bon ! Continue
- Et une vraie bite, tu n’aimerais pas !
- Je ne suis pas contre !
- Oh ! Le vieux pédé ! Tu veux que je demande à mon copain de venir t’enculer ?
- Pourquoi pas ?
- Mais il faut que tu me garde, alors
- Je te gaaaaaarde ! Répondit-il en jouissant comme un dingue

Qu’est ce qu’il ne faut pas faire pour garder son emploi, je vous jure !

Marine (sans Thibault)

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Vendredi 22 juin 2007 5 22 /06 /Juin /2007 13:51

Courte paille

par Sylvain Zerberg

 

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 Courte paille

par Sylvain Zerberg


Bonjour je m'appelle Patrick et j'ai 35 ans, je travaille dans la presse. Nous nous sommes rencontrés Yvette et moi il y a dix ans environ. Elle venait juste de divorcer d'un premier mariage malheureux et m'avait été présentée par une de mes amies qui connaissait bien mes goûts en matière de femme. Grande, bien en formes, fausse blonde aux yeux clairs, cultivée, de dix ans mon aînée : elle avait vraiment tout pour me plaire. Et étant donné moi je lui plaisais également, on ne tarda pas à se retrouver dans le même lit. Dans ce domaine également nous nous entendions parfaitement et à cette époque c'était souvent matin midi et soir. Elle ne tarda pas à se retrouver enceinte et je me décidai à l'épouser pour parfaire notre union. 


Les années qui suivirent furent parfaites, nous nous entendions à merveille et nagions dans le bonheur en toute complicité. Yvette commença à se poser des questions à l'approche de ses 45 ans, elle se sentait sans doute vieillir, avait peur de ne plus être aussi désirable, ni même intéressante au lit. J'essayais évidemment de la rassurer du mieux que je pouvais mais c'était plus fort qu'elle. Sans doute aussi la différence d'âge qui ne l'avait pas gênée jusque-là commençait-elle à l'inquiéter. Elle devenait jalouse et agressive. J'avais entendu dire par des amis que les femmes de cet âge soit commençaient à s'empâter dans la vieillesse en s'éloignant peu à peu des choses de l'amour, soit au contraire devenaient plus salopes et plus vicieuses et avaient besoin de plus de piment dans leurs relations. En ce qui me concerne, je n'avais nulle envie que ma femme opte pour la première solution. 


Aussi, je lui proposai de partir en vacances, rien que tous les deux pour un peu faire le point. 


Pendant le voyage, je lui fis part d'une idée. 


- J'ai lu un truc sur Internet, un jeu érotique, on tire au sort et le perdant doit obéir au gagnant pendant une période qu'on détermine, une heure, une journée, une semaine... Ça te dirait ?

- Je veux bien essayer ! 


Elle avait effectivement l'air intéressée... Et nous voici partis tous les deux en amoureux faire un peu de randonnée en montagne ce dont nous avions aussi perdu l'habitude depuis pas mal de temps. Et cette année-là le mois de septembre est radieux. Le premier jour, alors que nous faisons une halte près d'un petit étang, je dis à Yvette :


- Si on jouait au petit jeu dont on parlait hier !

- Ok on y jouera ce soir !

- Pourquoi pas tout de suite ?

- Pas dehors quand même ?

- Rassure toi je ne vais pas te demander des choses impossibles ! Et puis on n'a pas tiré au sort, c'est peut-être toi qui vas gagner !


Je me préparai à la faire tirer à la courte paille, mais une question restait en suspens :


- Pour la durée...

- La durée, ce sera nos huit jours de vacances, me proposa Yvette, le jeu ne s'arrêtera qua quand on repartira !


Bon pourquoi pas, je me demandais quand même ce qu'elle pourrait bien exiger de moi si je perdais, mais le sort me fut favorable...


- Ce n'est qu'un jeu, si tu veux qu'on arrête, on arrête !

- J'ai bien compris mais pour l'instant on n'a même pas commencé !

- Alors je vais commencer : J'aimerais que tu baisses ton pantalon et que tu me montres tes belles fesses, chérie, j'ai très envie de te faire l'amour.


Elle a l'air estomaquée. Elle se retourne et son regard me dit que je suis devenu fou, que ça ne se fait pas, pas ici... qu'on pourrait nous surprendre... Mais je réitère ma demande, cette fois de façon plus grossière :


- Oui tu as bien entendu, cela fait dix kilomètres que je vois ton cul balancer devant mes yeux et ça me donne la trique, tu comprends ? Alors défais-toi vite que je te baise et viens tâter ma bite pour voir si je mens.

- Non, arrête, pas ici, c'est tout dégagé, on pourrait nous apercevoir, on fera ça tout à l'heure à l'hôtel.


Mais je m'approche et fermement commence à dégrafer son pantalon


- Tu ne veux déjà plus jouer ?

- Si, mais fais attention...

- Pas de chichi Madame, vous n'aviez qu'à pas m'allumer en vous déhanchant, maintenant c'est trop tard.


Je baisse son pantalon et la culotte avec. C'est vrai qu'elle pourrait faire des efforts et s'habiller un peu plus sexy. Je m'agenouille derrière elle et commence par lui lécher les fesses et l'anus, j'adore lui lécher le trou du cul, en plus il n'est pas très net, et sent un petit peu la merde, mais ça ne me dérange pas du tout, au contraire, ça aurait tendance à m'exciter. Puis je la retourne et entreprends un savant cunnilingus qui ne peut que la troubler. Debout, les jambes écartées, sans rien pour se tenir, elle commence à fondre dans ma bouche. Je redouble d'effort et avale sa cyprine. Quoiqu'elle en dise cela fait longtemps qu'elle n'a pas été aussi trempée. Je me relève, on verra pour une petite pipe plus tard, pour le moment j'ai surtout envie qu'elle reste debout, penchée en avant, le cul bien tendu et que je la prenne debout face au lac. Et me voici en train de baiser cette cochonne près d'un lac en attendant de lui asperger copieusement son intimité. 


Ce qui devait arriver arriva, tandis que nous nous rhabillons, nous voyons arriver un couple dans la cinquantaine ainsi qu'un type entre 20 et 30 ans genre étudiant sérieux, peut-être leur fils. En dévalant le plateau, ils ont bien eu le temps d'observer toute la scène, il suffit de voir les regards lubriques des deux hommes pour en être assuré. Quant à la femme elle est pour le moins ulcérée quand son mari s'adressant à ma femme : 


- C'est un très beau panorama que l'on a ici et cela fait toujours plaisir de rencontrer une femme charmante !


Ça il aurait pu s'en passer, il ne va pas tarder à se faire remonter les bretelles. Quant à l'étudiant, il a les yeux rivés sur les fesses de mon épouse et ne sait pas comment camoufler la bosse qu'il a sur son pantalon. En définitive ils poursuivent leur chemin en se faisant incendier par leur mégère et nous leur emboîtons doucement le pas pour être sûr de ne pas les rattraper. Finalement, tout ceci me donne une idée. Au lieu de redescendre vers le village pour rejoindre notre hôtel, nous continuons de loin à suivre cette petite famille. Ma femme est un peu inquiète mais je lui dis qu'il y a un chalet en haut, un refuge pour les alpinistes, sans doute pas autant de confort qu'à notre hôtel mais ce sera plus sympa. Et j'ai fait mouche, c'est bien par-là que nos voyeurs se dirigent. Nous nous y retrouvons, le vieux est apparemment content de retrouver ma femme, il lui fait tout de suite la causette et elle a du mal à s'en dépatouiller. Pendant ce temps, je m'arrange pour que nous ne soyons pas trop loin d'eux dans le dortoir. Il n'y a que des petits lits superposés et je décide que je dormirai en haut et que ma femme prendra celui du bas. Le soir venu, après le repas, je propose à mon épouse d'aller faire un tour dehors et une fois à l'écart je lui dis.


- Quand on va retourner là-bas, je veux que tu te déshabilles entièrement près de ton lit et sans précipitation pour que ce type te regarde bien entièrement.

- Ça ne va pas, tu es complètement fou, c'est hors de question.

- Si tu vas le faire et ça va t'exciter de jouer l'allumeuse, je suis sûr que tu vas le faire bander ce cochon.

- Oh non, on arrête le jeu ! Je ne peux pas faire ça !

- Mais si tu veux, tu n'es pas obligée de faire un strip-tease non plus, tu n'as qu'à faire ça comme si tu étais habituée.

- Bon je te promets pas, on va voir !


Et le pire d'en tout ça c'est qu'elle a eu le cran de le faire. Elle retirait ses habits les uns après les autres, mimant calme et décontraction. Et il y avait au moins cinq personnes qui la regardaient, moi bien sûr, les trois membres de l'autre famille et un homme célibataire qui dormait de l'autre côté. Elle est d'abord restée très longtemps torse nu, seins à l'air à faire semblant de trier des papiers. Puis elle a ôté le reste et s'est carrément allongée nue sur le lit en train de feuilleter un dépliant. Au bout d'un moment elle a même posé sa main sur sa chatte, en faisant mine de se gratter, plusieurs fois de suite en écartant les cuisses à chaque fois un peu plus. Puis elle a fini par se glisser dans son duvet. 


Durant la nuit, je suis descendu de mon couchage et ai dégrafé lentement le duvet avant de m'allonger nu près d'elle et je l'ai caressée dans son sommeil. Evidemment, elle s'est réveillée en sursaut et j'ai dû lui mettre la mettre devant la bouche. Puis, sans plus hésiter, je l'ai pénétrée et ai commencé à la raboter. Et tandis que je la défonçais, l'étudiant s'est réveillé et nous a regardés en s'astiquant dans son duvet. Et lorsque j'ai sorti ma queue pour cracher ma semence sur ses fesses et dans son dos, je suis certain que le voyeur lui aussi a tout craché. 


Le lendemain, nous sommes repartis vers le village. Nous sommes redescendus vers la rivière. Il y avait de ce côté beaucoup plus de monde : Des pêcheurs et même des gens qui se baignaient. Je l'entraîne sous un arbre, un peu à l'écart des autres.


- Tourne toi chérie et montre-moi ton cul, j'ai envie de te donner une fessée.


Elle proteste à nouveau, menace de s'en aller. Mais je lui explique que vu la distance qui nous sépare des gens qui sont près de la rivière, ils pourront mater, mais pas la reconnaître ensuite. Je ne la convins qu'à moitié mais elle accepte de se tourner, elle m'exhibe ses fesses, du coup je c'est moi qui la retourne et qui la fesse. Ça m'existe terriblement, rapidement elle a le cul tout rouge, je lui dis de ne pas bouger d'un pouce, et fait quelques mètres pour approcher d'un arbuste dont je détache une toute petite branche assez souple que je débarrasse de ses feuilles. Je m'aperçois alors que plusieurs personnes plus loin regardent dans notre direction, plus près je perçois une sorte de mouvement derrière des fourrés. Un ou plusieurs zigotos ont donc décidé de s'approcher pour voir mieux ! Ça m'embête un peu pour la suite, mais je décide de faire comme si de rien n'était. Muni de ma mini branche, je vise le fessier de ma moitié et la cingle joliment. Le traitement à l'air de lui plaire, les rares fois où je lui ai donnée des fessées comme ça pour rire, cela lui avait plu, mais je n'avais jamais tapé si fort et je ne m'étais jamais servi d'autre chose que de mes mains.


- Bon ça va aller tu peux te reculotter, ma chérie !

- Ok, mais avant je voudrais bien faire pipi, je vais aller dans les fourrés là-bas !

- Sûrement pas, tu ne changes pas de place et tu pisses ici !

- Tu exagères !

- Je sais !


Yvette baisse son pantalon et sa culotte et s'accroupit, elle devait avoir une grosse envie car de suite son urine jaillit de sa chatte et dégringole en formant une petite flaque sur la terre grasse qui finit par l'absorber.


- Je vais aller plus loin, je crois qu'il faut que je fasse caca.

- Non, non, fais ici, tu sais bien que j'aime te regarder quand tu chie.

- Gros cochon !


Elle pousse, me fait un gros boudin et s'essuie avec des feuilles d'arbres


- Ne te rhabilles pas, du coup, j'ai moi aussi envie de pisser !

- Qu'est-ce que tu vas encore inventer ?

Yvette.jpg

Sans lui dire je m'approche d'elle, sort ma bite et avant qu'elle ne réalise, je l'arrose, elle se détourne alors que je visais son sexe mais en reçoit plein les cuisses.


- Tu es fou, tu m'en mets partout !


Mais elle rigole comme une bossue et moi aussi d'ailleurs, on attrape un vrai fou rire, on se rapproche on s'embrasse tendrement. Une folle envie de faire l'amour m'envahit, mais on ne fera le fera pas ici


- On va faire un tour par là-bas ! Proposais-je à Yvette !

- Mais non, on descend vers la rivière, ils vont pas nous tuer !


Nous tuer, non mais ils font des drôles de têtes quand on s'approche. Pas un mot, des regards étranges ! L'un deux très courageux attendra qu'on les ait dépassés de 20 mètres avant de lâcher :


- Faut pas vous gêner surtout !


Du coup les autres se déchaînent, on se fait traiter de tous les noms ! On accélère le pas ! 


- La prochaine fois on vous jette des pierres ! Nous prévient un autre abruti !


Quelles bandes d'hypocrites, ils se sont rincés l'œil et maintenant ils nous menacent d'un Intifada ! On emprunte un petit pont et on se sauve...


On a été trop loin, pas question de rester dans ce coin. Revenu dans la vallée on décide de quitter l'hôtel le lendemain. Entre temps nous apprenons qu'il y a un bal dans un bourg voisin, du coup j'emmène Yvette choisir une robe très décolletée et très provocante, le genre de truc à porter sans presque rien en dessous. Le hasard a voulu qu'il y ait dans le public l'un des types qui étaient au bord de la rivière l'après-midi ! Mais ici pas question de lui jeter des pierres, ils sont tous à essayer de l'inviter à danser en bavant comme des crapauds. On les laisse faire un peu mais ils commencent vraiment à la coller de très près, l'un d'entre eux lui a peloté les nichons, l'autre a essayé de l'embrasser. Je me rapproche, il ne faudrait pas que ça tourne en bagarre non plus... Alors je leur dis.


- Ma femme a très envie de vous montrer sa petite chatoune. Seulement montrer, alors pas touche, c'est chasse gardée. Chérie si tu remontais ta robe, je crois que nos amis sont intéressés.


Elle devient écarlate, Ils sont au moins six ou sept à nous entourer. Son regard semble m'implorer, elle espère encore que je vais la sortir de ce mauvais pas. On sort de la salle de bal.


- Vas-y chérie montre-nous tes belles fesses bien pleines et ta petite moule poilue.


Elle finit par y consentir et relève timidement sa robe laissant apparaître le haut de ses cuisses. Les autres sont très excités, ils l'incitent à aller plus loin, à montrer son cul et pourquoi pas le reste. Ils lui demandent de se mettre à poil. Je ne sais pas ce qui lui prend, mais cette cochonne le fait. Elle se retrouve entièrement nue au milieu de tous ces mecs et ça n'a pas l'air de la gêner. Des mecs sortent leurs queues et commencent à se branler. J'ai bien peur de ne plus trop contrôler la situation car Yvette est au milieu en train de se caresser devant eux. L'un d'eux essaie de la toucher.


- On ne touche pas ! Répétais-je !


Je vais avoir du mal à contrôler la situation. D'autant qu'Yvette complètement à l'ouest se masturbe en plein milieu du groupe d'homme. Je ronge mon frein. Pourvu que ce ne soit pas elle qui leur disent de la toucher ! Ma femme se branle sans retenue, je ne l'ai jamais vue ainsi, d'ailleurs je ne l'ai jamais vue se branler. Deux des mecs se mettent à décharger, le jus de l'un d'eux gicle sur les fesses de ma femme, puis c'est au tour d'un deuxième et enfin deux autres mecs dont l'un encore lui projettent son foutre sur les cuisses. Les autres ont abandonné, nous ramassons vite fait nos affaires et rentrons à l'hôtel après les avoir salués.


C'est alors qu'elle m'a dit :


- Pour l'instant c'est toi qui me commande, quand j'en aurais marre on échangera les rôles ! Mais tu as joué avec le feu, j'ai réellement pris goût à ces petits jeux, j'ai encore des trucs à essayer, la prochaine fois que je me trouverais au milieu d'un groupe d'hommes, je leur sucerai la bite devant toi...

- Euh !

- Ben oui !


Sylvain Zerberg


Adaptation d'un récit intitulé " Je montre ma femme " signé " Jean-Paul " et publié en septembre 1999 sans mail d'auteur puis supprimé sur le site de revebebe


Juin 2007

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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