Dimanche 24 avril 2011 7 24 /04 /Avr /2011 18:33

2 - En rentrant de l'Opéra

 

zoo

 

Résumé du chapitre précédant : Ma voisine du dessous m'ayant fait garder son chien, les circonstances on fait que l'affaire a tournée en zoophilie. Bien évidemment, la voisine n'en a rien su et a tenu me remercier en m'offrant une place à l'Opéra.

 

On a donc été ensemble à l'Opéra, il n'a pas été difficile à mes voisins de deviner que j'adorais ça, je mets parfois mon ampli un peu fort. Je n'étais jamais allé à Garnier et j'en suis sortie enchantée. Serge et Carole eux étaient beaucoup plus nuancés, critiquant la mise en scène, la voix du ténor et d'autres choses encore... Je me doutais bien que cette invitation n'était pas tout à fait innocente mais ignorais bien sûr quel était dans ce cas, leur plan. Pour parer à toute éventualité, je m'étais donc habillée en robe ce qui chez moi reste exceptionnel, une petite robe noire un peu décolletée et laissant les épaules libres, mais ni pendant le spectacle ni pendant le retour en métro, mes voisins ne manifestèrent de velléités de drague. Je finis par me dire que je m'étais peut-être fait des idées, car ce n'est qu'au pied de l'escalier de notre immeuble que Serge me proposa de venir boire un verre chez eux.

 

Allons-y !

 

Chez eux, le chien m'accueillit avec un enthousiasme assez gênant en me suivant jusqu'aux toilettes, puis en m'attendant derrière la porte. Il me sauta sur les cuisses, me renifla l'entre jambe. Un vrai casse-pieds !

 

- Ce chien devient collant, en plus il est tout le temps en rut ! Déclara Serge.

- Que veux-tu, il est comme son maitre ! Répliqua Carole

- Pour qui vas-tu me faire passer ? Répondit l'homme faussement offusqué.

- Pour ce que tu es, mon chéri, mais je n'ai pas dit que je m'en plaignais.

 

Ah ! Les gros sabots de ces messieurs dames ! Il me paraissait évident que ce petit échange m'était destiné, le message étant "on est coquin, alors si ça vous intéresse…". Je ne relance pas, Carole est une femme agréable, mais son mari ne m'attire pas plus que ça.

 

- Souhaitez-vous qu'on enferme Dilos ? demande Carole.

 

Je suppose que Dilos, c'est le nom du chien.

 

- Oh, non, il ne me dérange pas du tout ! M'écriais-je.

- Merci, mais dites-moi, quelle enthousiasme !

 

Je rougis comme une tomate.

 

- Oui, on s'est bien amusé la dernière fois, le garder n'a pas été une corvée.

- Il est parfois très collant, des fois ça en est gênant ! Reprend Carole.

 

Je ne sais pas quoi répondre, je ne réponds pas.

 

- Quand je pense, relance-t-elle, qu'il a été jusqu'à vous voler des culottes dans votre bac à linge, c'est bien ça !

- Ben oui ! Mentis-je.

 

Voilà une réponse qui me libère, mais bon je me fais tout le temps des idées, comment auraient-ils pu deviner ce que j'avais fait avec le chien ?

 

Sauf que voilà que je m'excite à repenser à ce que j'avais fait. Et justement Dilos qui doit lire dans mes pensées se ramène et me fout son mufle entre les cuisses.

 

- Mais, arrête, arrête !

 

Sa maîtresse le rappelle sèchement.

 

- Dilos, couché ! Ça lui arrive de temps en temps, vous allez peut-être me trouver bizarre, mais ce n'est pas forcement désagréable.

 

Cette fois je suis rouge comme un nez de clown. J'ai deux solutions, ou bien ignorer la réplique, ou alors entrer dans son jeu. Je respire un grand coup.

 

- C'est vrai que ce n'est pas forcement désagréable ! Répétais-je bêtement.

 

Je regrettais immédiatement ma répartie. Et s'il s'agissait d'un piège pour m'humilier ?

 

- Il vous l'a fait quand vous l'avez gardé ?

 

Cette fois je n'ose répondre, mais Carole a compris mon embarras.

 

- Je ne cherche pas à vous mettre en difficulté, nous sommes sur ces sujets, très décontractés. Tenez regardez, je vais vous montrer.

 

Et là devant mes yeux effarés, je vois Carole qui se lève et qui baisse son pantalon. Elle appelle alors son chien qui accoure et se met à lui lécher la culotte. Je ne sais plus où me foutre.

 

- Bon, ça va maintenant, Dilos.

 

Elle referme ses cuisses, le chien se recule semble perdu, me regarde, j'ouvre mes cuisses, le chien hésite.

 

- Appelez-le ! me propose Carole.

 

Je le fais, le clébard est entre mes cuisses et cette fois, je me laisse lécher. Mais le chien se lasse et retourne sur le tapis.

 

- Hummm, Fabienne, ce petit spectacle m'a terriblement excité ! Me dit Serge en se tripotant la braguette.

 

Moi aussi je suis excitée, Serge est en train de lancer un ballon d'essai pour lancer la partouze. Je peux l'ignorer, mais c'est au chien que je pense, la dernière fois je n'avais pas réussi à me faire pénétrer, ici si toutefois ils vont jusque-là ça ne devrait pas poser de problème. Et puis bon, je n'ai pas sucé beaucoup de bites dans ma vie, (que voulez-vous je préfère les chattes) mais ça n'a jamais été une corvée.

 

Alors, je n'hésite plus, je pose ma main sur la braguette du bonhomme. Je palpe la marchandise qui grossit encore. Carole se lève, passe derrière moi et commence à me caresser les épaules. Elle veut me faire glisser la fermeture éclair de ma robe. Allons-y, je me positionne pour l'aider, je me lève, la robe tombe à terre, je me rassois mais sans m'adosser de façon à ce que Carole puisse si elle le désire me retirer mon soutien-gorge, ce qu'elle ne tarde pas à faire tandis que j'extrais la bite de Serge.

 

Elle n'est pas mal, cette bite, et le gland est joli, je donne un petit coup de langue coquine, puis un autre, Monsieur est enchanté. Une idée saugrenue me traverse alors l'esprit, je pense à la suite. Je vais devenir définitivement pour ce couple "la salope du dessous". Il faudra peut-être que je trouve le moyen de prendre mes distances, mais bon pour l'instant ma petite langue continue de faire joujou avec la bibite de Serge, tandis que Carole après m'avoir empaumés mes seins se met à me titiller les tétons.

 

J'ai soudain envie de me farcir la Carole, de la prendre dans mes bras, de la cajoler, de la peloter, de la lécher partout… mais bon je ne suis pas un poulpe, je n'ai que deux mains et qu'une bouche et cesser de m'occuper du sexe de monsieur serait considéré comme une impolitesse.

 

Je choisis donc d'engloutir la bite de Serge, elle sent la pisse, mais ce n'est pas pour me déplaire. Je choisis d'être provocatrice et je lui dis :

 

- Cher, monsieur, votre queue a un petit arrière-goût de pipi que je trouve bien agréable !

- Coquine ! Répond-il. Tu aimes le pipi !

 

Tiens il m'a tutoyé !

 

- J'adore !

 

Voilà un aveu qui n'était pas tombé dans l'oreille de sourds, mais n'anticipons point.

 

Je continue à le pomper. Cela ne me déplairait pas de le faire jouir ainsi car à vrai dire je n'ai pas trop envie de me faire baiser. Mais c'est lui qui met fin à ma fellation. Zut alors, il va donc falloir que je passe à la casserole.

 

- Viens t'occuper de moi ? Me propose Carole.

 

Voilà une partie de programme qui me convient bien, nous nous approchons l'une de l'autre, nos visages se touchent, nos lèvres se rencontrent, nos bouches s'ouvrent, nos langues batifolent. Le baiser est long, chaud, et d'une portée érotique inouïe, des frissons de plaisirs me pénètrent, et ma culotte se mouille de nouveau.

 

Je la déshabille n'importe comment à la sauvage, elle a de beaux seins un peu lourds avec de larges aréoles. Je suce tout ça avec avidité. Mais ce n'est pas possible, je suis trop excitée, il va falloir que je jouisse. L'idéal serait qu'on se mette en 69. Mais elle est plus rapide que moi.

 

- Si on allait dans la chambre !

 

On y va, on finit de se déshabiller et nous voici tous les trois sur le lit. Je tiens à mon 69 et je grimpe sur Carole lui offrant ma chatte tandis que je commence à butiner la sienne. Serge a pris son parti d'attendre son tour et me tripote négligemment les fesses.

 

Ah ! La chatte de Carole ! Quel régal ! Elle mouille, mais elle mouille. Je me marre parce que dans sa précipitation, elle a oublié de mettre une serviette sur le lit, il va donc leur falloir changer tous les draps avant d'aller se coucher !

 

Sa mouille a un goût légèrement sucré, un peu comme du miel. Mon plaisir monte, je me raidis, me doigts se referment sur les draps comme les pattes d'un chat sur une pelote de laine. Ça vient, ça vient, ça y est, je ne me contrôle plus, je hurle, je reste un moment à demi inconsciente, puis j'attaque le clitoris de Carole, tandis que le doigt de Serge entre dans mon trou du cul. Faut surtout pas qu'il se gêne celui-ci, ce n'est pas marqué entrée libre. Mais bon, je me laisse faire, ce n'est pas désagréable. Carole ne tarde pas à jouir elle aussi, mais de façon moins démonstrative que moi.

 

Serge est donc le seul à ne pas avoir joui, et il me paraît évident que c'est à moi et non à sa femme qu'incombera cette tâche. Il s'approche d'ailleurs de moi et m'embrasse goulument, je me laisse faire. Mon plan c'est de tenter de plonger vers sa bite et de le sucer à fond afin d'éviter la pénétration. Mais les choses ne se passent pas comme ça. Carole le branle un peu pour assurer son érection puis lui passe un préservatif. Je suis à quatre pattes dans le lit. Il ne me demande pas de m'allonger, mais passe derrière moi :

 

- Je peux ?

 

Monsieur a de la classe, il n'aurait plus manqué qu'il le fasse sans demander, ça ne va pas la tête ?

 

- J'aurais préféré vous sucer à fond ! Répondis-je. (Je n'arrive pas à le tutoyer)

- Alors juste un peu, et tu me finiras avec ta bouche.

 

Monsieur est un habile négociateur. Je me laisse donc faire, mais reste en levrette. Ça y est, j'ai son gros machin dans la chatte, et allons-y que j'avance et que je recule, ce n'est pas désagréable mais que voulez-vous je suis une incorrigible clitoridienne. Je ne simule pas, je ne l'ai jamais fait, je ne vois pas pourquoi je le ferais aujourd'hui.

 

Il n'est d'ailleurs pas dupe, et finit par se retirer, je pensais être tranquille, mais le voilà qui me pelote les fesses, les écarte, avance un doigt vers l'anus.

 

- Humm, que c'est mignon par-là !

- Ben, oui, il ne lui manque que la parole !

- Je crois que je vais lui faire un bisou

 

Ce n'est pas vraiment un bisou, en fait il me lèche le cul. Je me laisse faire, me demandant quand même si la dernière fois que je me suis soulagé, je me suis essuyé à fond, mais lui ne se pose pas de question, il lèche, et continue de lécher. Et le voilà qu'il ose de nouveau un doigt.

 

Je ne suis pas folle, j'ai deux solutions, l'une étant de changer immédiatement de position afin de lui faire cesser ses fantaisies, puis de reprendre (éventuellement) ma fellation. L'autre solution c'est de me laisser faire, et pour l'instant c'est ce que je fais, en fait la situation m'excite, je me demande s'il a envie de m'enculer, je me demande comment il va me le demander, je me demande comment je vais lui répondre.

 

Son doigt s'active à présent en de secs va-et-vient.

 

- Tu aimes ?

- Vous aimeriez bien y mettre autre chose, non ?

- Pas sans ta permission.

- Alors vas-y encule-moi ! Encule-moi bien devant ta femme, allez vas-y !

 

Il ne s'attendait manifestement pas à ce que je l'encourage en ces termes, mais du coup il n'hésite pas, et après avoir pris les précautions d'usage le voilà qui me sodomise.

 

Je me garde bien de lui dire que c'est la première fois. Oh, certes, mon cul n'est pas si vierge que ça, des godes je me m'en suis enfilée pas mal, sois seule soit avec une amie, mais c'est néanmoins la première fois qu'une bite vient y faire de la visite.

 

Serge essaie de se contrôler, mais l'excitation est trop forte, il s'agite comme un damné, commence à me faire mal, puis se retire. Il n'a pas jouit dans mon cul, il le fait maintenant en se branlant sur mon anus ouvert.

 

Je m'apprête à changer de position, mais Carole intervient :

 

- Bouge pas, je vais te nettoyer.

 

Mais voilà qu'on gratte à la porte.

 

- Ouvre-lui ! Demande Carole à son mari.

 

Et voilà Dilos le chien libidineux qui saute sur le lit et qui sans hésiter une seconde vient lécher le sperme que Serge a répandu sur mon cul.

 

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Une fois ce nettoyage insolite terminé, Carole couche le chien sur le côté et commence à donner de grands coups de langues sur sa bite, elle me fait signe de la rejoindre et je ne me fais pas prier, nous voici donc en train de pratiquer une double fellation à ce labrador.

 

- Tu voudrais qu'il te prenne ? Me demande-t-elle

- J'aimerais bien essayer, oui !

- Serge, tu veux bien aller chercher des chaussettes.

 

Des chaussettes ? Pourquoi faire, des chaussettes ?

 

Quand il revient, Carole enfile une chaussette à chaque patte du chien.

 

- C'est pour éviter qu'il te griffe !

 

Oui, bon, ben ça va, j'avais compris !

 

On me fait mettre en levrette, j'attends. Derrière ces messieurs dames s'activent à motiver la bestiole… et tout d'un coup j'ai ses pattes sur les épaules tandis que sa bite me pénètre et s'active à qui mieux mieux.

 

Drôle d'impression : physiquement parlant c'est du grand n'importe quoi, un gode ferait mieux… En fait c'est psychologiquement que c'est excitant, je suis là en train de me faire prendre comme une chienne par un chien.

 

Et puis tout d'un coup ça se termine, le clébard s'en va à l'autre bout de la chambre et s'enroule pour s'endormir. Ben oui, ce n'est qu'un chien ! Qu'auriez-vous voulu qu'il fasse, qu'il me prenne dans ses pattes et qu'il m'offre une cigarette ?

 

Je regarde autour de moi. Petit moment de flottement.

 

- Et bien quelle fin de soirée ! S'exclame Carole, histoire de dire quelque chose.

- Oui, on s'en souviendra ! Je vais vous laisser, je vais monter me coucher, répondis-je.

- D'accord, dis Carole, je voulais te faire goûter ma pisse, mais ce sera pour une autre fois.

- A moins que tu ais une petite envie, là tout de suite, rétorquais-je.

- J'ai même une grosse envie !

- Alors viens dans la salle de bain, tu viens aussi, Serge ?

 

On y va, on y va.

 

- Voilà, baisse-toi, on va te faire un super arrosage !

 

Je m'accroupis, j'attends, c'est Carole qui m'envoie son jet la première sur le corps, j'en reçois partout sur les seins, sur le ventre, j'ouvre la bouche.

 

- Mais c'est qu'elle veut en boire, cette cochonne, tiens bois, ma salope, bois ma bonne pisse !

 

Et voilà que Serge se met à son tour à pisser, le goût est légèrement différent, plus musqué. J'en avale une bonne rasade, j'en recrache une partie. Les jets se sont taris.

 

- Tu me fais un petit nettoyage ? Me propose Serge.

 

J'en étais sûr de celle-là ! Je ne vais pas lui dire non, d'autant que cette séance de pissette a réactivé mon excitation, j'embouche le dard de monsieur et le pourlèche en de larges coups de langue. Le Serge ne tarde pas à rebander de fort belle façon.

 

Bander c'est bien, mais jouir ce n'est pas mal non plus, et manifestement monsieur se bloque. Il interrompt ma fellation afin de se branler frénétiquement, le regard fixé sur ma poitrine pleine de pisse. Des gouttes se sperme ne tardent pas à atterrir sur mes nénés. Je n'attends pas qu'il me demande un nouveau nettoyage, je prends les devants et avale les dernières gouttes de sperme trainant sur sa bite.

 

Ouf ! Je suppose qu'il va falloir que je nettoie madame à présent. Ce ne sera pas une corvée.

 

Mais Madame a un autre plan :

 

- T'as pas une petite envie de pipi, toi ?

- J'sais pas, j'ai fait tout à l'heure, mais je veux bien essayer.

 

C'est que pisser devant quelqu'un n'a rien d'évident, je n'ai jamais fait ça, moi ! Carole fait couler l'eau du robinet du lavabo pour "m'aider". Je ferme les yeux je me concentre.

 

- Viens !

 

Elle se colle à ma chatte, je lui fais quelques gouttes dans la bouche, manifestement, elle est contente avec ça, se relève et m'embrasse. Voilà un bisou baveux avec plein d'arrière-goût divers et variés, et je suis de plus en plus excitée.

 

Trou de mémoire

 

Je ne me souviens plus comment on s'est retrouvées sur le tapis de bain, toutes les deux, en soixante-neuf, nous léchant comme des forcenées. Je me souviens du goût de sa mouille dégoulinante, je me souviens de l'odeur de son cul, je me souviens n'avoir jamais joui comme j'ai jouis cette fois-ci.

 

J'ai soif, j'ai faim, j'ai sommeil, j'ai envie de prendre une douche. Je fais ça dans quel ordre ?

 

- Tu veux grignoter quelque chose avec nous ?

- Ben, oui, je veux bien !

 

Ces messieurs dames ont passé un peignoir, moi je me suis rhabillée, le grignotage a été fort sage et après quelques échanges de peu d'intérêt, Carole prit la parole

 

- Serge est muté à Bordeaux, on va visiter l'appartement de fonction et remplir quelques formalités ce prochain week-end. Donc sauf imprévu de dernière minute nous déménagerons dans le courant de la semaine prochaine.

 

Etonnant qu'alors la traduction dans mon esprit, ne fut qu'un moment de contrariété en pensant que je ne reverrais probablement jamais plus Dilos.

 

Fin

 

24/04/2011

 

Marie_paule_perez@hotmail.fr

 

 

Le première partie de ce texte écrite en 2004 a eu l'honneur d'être désigné comme premier prix du meilleur récit extrême pour l'année en question

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Dimanche 24 avril 2011 7 24 /04 /Avr /2011 18:00

Labrador

Fantasmes de femmes - Fantasmes interdits

par Marie-Paule Perez

 

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Je m’appelle Fabienne, je suis brune et j’ai 28 ans, je suis célibataire et vit seule dans un petit studio dans un immeuble ancien dans un quartier assez bourgeois. Je suis traductrice dans une maison d’édition. Je suis d’origine portugaise et si je trouve débile les blagues qui sont faites sur mes compatriotes de naissance, il n’en reste pas moins vrai que je suis dotée d’une pilosité supérieure à la moyenne de l’esthétiquement correcte, ce qui m’a valu durant ma scolarité quelques vexations de la part de mes camarades qui m’ont marquées à vie. Bien sûr, je me suis vite mise aux manches longues et aux pantalons, n'empêche que les heures de sports étaient pour moi un véritable enfer !

 

C’est ainsi que je me suis écarté très vite de la gent masculine dont l’imbécillité à l’âge de l’adolescence me paraît encore aujourd’hui effarante. Corollairement je me suis rapprochée des filles, puisqu’au moins l’une d’entre elles savait me consoler quand certains allaient trop loin. Et par effet de spirale cela renforça encore mon isolement, non contente de m’entendre reprocher à longueur de journée mes poils et mon origine, voilà maintenant qu’on m’attachait le qualificatif de gouine.

 

Il a fallu que je lutte pour redevenir bien dans ma peau, je me suis aperçu que des poilues il y en avait d’autres et que cela n’avait pas empêché certaines de faire du cinéma (Alyssa Milano, Christina Applegate, Sarah Michele Gellar...) que les surabondances pubiennes pouvaient s'enlever facilement, mais aussi que certains hommes aimaient ça ! Mais le mal est fait, je ne suis vraiment pas pressée de trouver l’âme sœur, l’idée de vivre avec un mec me paraît d’une incongruité totale, quant aux femmes, si je n'ai rien contre, il faut bien admettre qu'il n’y a que dans les films ou dans les récits érotiques que l’on trouve des lesbiennes ou des femmes bisexuelles qui ressemblent à "madame tout le monde" à chaque coin de rue ! Je ne refuse pas les occasions, mais ne me lie pas. Cela dit j’aime le sexe, mais me suffit la plupart du temps à moi-même.

 

L’histoire peut à présent commencer

 

Nous sommes au mois de Juin, un samedi en milieu d’après-midi. Il fait chaud et je suis nue, j’adore être nue.

 

Je n’ai pas de projet pour le week-end, j’ai envie ce soir de me faire un grand plat de nouilles, et après je me "ferais" un opéra, je me suis équipée en home cinéma et j’adore le soir me passer une œuvre lyrique dont je suis l’unique spectatrice. Voici une activité qui a le don d’élimer toute la dose de stress accumulée au cours de la semaine...

 

...mais pour l’instant je termine le ménage, j’ai hâte de finir, car cette activité me gonfle, mais je ne la néglige pas ! Une envie de pipi commence à me tenailler depuis tout à l’heure, je fais avec, il y a un certain plaisir masochiste à se retenir jusqu’à ce que la chose devienne impossible.

 

"- Encore cinq minutes !"

 

N'empêche que je commence à serrer les cuisses. Je décide alors de jouer à l'un de mes petits délires favoris, je vais chercher une petite culotte et je l'enfile... Puis je finis de passer l'aspirateur...

 

Ouf, le ménage est presque fini, il me restera la salle de bain à ranger, mais je ferais ça après ma douche, mais pour l'instant il faut que je gère mon envie de pipi qui devient intenable, je me lâche alors, mais juste quelques gouttes, puis j'arrête ! Résultat, le devant de ma culotte devient trempé et de l'urine me coule sur les cuisses, j'adore ça ! Je suis une petite cochonne et j'adore me sentir cochonne ! J'ai envie de me passer un peu de musique, un peu de jazz cet après-midi serait très bien, je vais chercher une serviette éponge et m'assois dessus dans un bon fauteuil bien moelleux. Pas longtemps, il faut que je pisse encore, je me relève et refais le même manège, cette fois ma culotte est trempée, et la pisse coule jusqu'au sol ! Pas bien grave, c'est du carrelage, je vais chercher de quoi éponger. D'habitude j'arrive mieux à contrôler mes petits pipis, j'ai peut-être trop attendu ! Mouillée pour mouillée je décide alors de finir tout ça dans l'endroit approprié, je vais donc m'asseoir sur la cuvette, mais en gardant ma culotte ! J'adore pisser dans ma culotte ! L'effet de l'urine chaude sur mon corps a le don de m'exciter, et déjà je sens que je vais me farcir une bonne petite branlette, bien comme il faut !

 

Pour l'instant j'attends que la culotte ne s'égoutte plus avant de me lever du siège, j'en profite pour me caresser les bouts des seins, qui sont, les coquins, déjà dressés comme des petites bites... Bon ça y est, ça ne goutte plus, je me relève, je décide de rester un moment avec ma culotte mouillée, après on improvisera. Vive les petits bonheurs simples !

 

- Dring !

 

Ça c'est la sonnette de la porte ! A cette heure-ci, ça ne peut être qu'un emmerdeur ! J'enfile une robe de chambre et je vais ouvrir !

 

C'est Madame R, la bourgeoise du dessous, une grande blonde avec les cheveux ramassés sur la tête, joli visage et beau sourire mais peu communicative, jusqu'à présent nos échanges n'ont pas été plus loin que des "bonjour bonsoir" Elle m'a l'air angoissée ! Qu'est-ce qu'elle me veut ? Peut-être me reprocher de passer mes opéras trop forts ?

 

- Je suis désolée de vous déranger, mais il n'y a personne dans la maison cet après-midi, et je cherche quelqu'un pour me rendre service !

- Oui, quel genre de service ?

- Ben voilà, avec mon mari on est obligé de partir précipitamment, là tout de suite, en province pour régler une affaire de famille, je pense qu'on sera revenu demain en fin de matinée. Heu, vous restez chez vous ce week-end ?

- Je n'ai rien de prévu, mais...

- C'est à cause de mon chien, on ne peut pas l'emmener.

 

A ben voilà autre chose, elle me demande de garder son clébard ! J'aime pas trop les chiens, mais il est vrai que le sien n'a rien d'une bête féroce, mais bon... vite trouver un prétexte.

 

- Ça aurait été avec plaisir, mais c'est que j'ai un chat...

- Oh, vous savez, il adore les chats, il ne leur fait jamais de mal. Je peux peut-être le monter pour voir... Vous êtes la seule personne à qui je peux demander, sinon il va falloir que je retarde notre départ... et bon je ne vais pas vous raconter ma vie, mais...

- Bon, allez le chercher, on va voir !

 

J'ai toujours été bonne poire ! Mais j'espère quand même que mon matou va lui manifester sa haine en lui crachant dessus... Je sais qu'un service en vaut un autre, mais bon...

 

Et voilà la dame qui revient, elle ne doute de rien, elle a remonté non seulement la bestiole, un grand labrador fauve, mais aussi un sac avec de la bouffe, le panier, la laisse...

 

Le chat rapplique, renifle l'intrus, le chien s'approche et veut contourner le chat, lequel se recule et manifeste une royale indifférence et s'en va regagner son propre panier. Pas d'incident, je suis coincée !

 

- Vous me rendez un fier service, nous saurons vous remercier, soyez en assurée ! Vous n'aurez à le sortir que dans la soirée et demain matin, ce sera suffisant ! Voilà, tenez-le sinon il va vouloir me suivre.

 

Je me retrouve avec la laisse dans la main, l'autre s'en va. Je ne me suis pourtant pas entendue dire "oui"... et me voilà avec un chien à garder jusqu'au lendemain midi ! J'aurais dû faire semblant de ne pas entendre la sonnette ! Mais avec des si....

 

Je ne sais même pas comment il s'appelle, ce labrador ! Le voilà qui se met contre la porte d'entrée, il ne comprend pas ce qu'il fabrique ici, il se met à aboyer, il ne manquait plus que ça ! Je le caresse, me veut rassurante.

 

- Elle est parti faire un tour ta maîtresse, mais elle va revenir....

 

Il finit par se calmer, entreprend de faire un tour dans l'appartement. Pas gêné ! Du coup mes intentions masturbatoires sont désormais devenues assez lointaines. Je me débarrasse malgré tout de ma robe de chambre qui me donne chaud. J'hésite... prendre ma douche maintenant ou...

 

Et voilà le chien qui se radine devant moi ! Qu'est-ce qu'il me veut ? Le problème c'est qu'il a son mufle juste devant ma culotte... C'est sans doute l'odeur de l'urine qui l'attire !

 

- Bon, tu vas te coucher, machin !

 

Pas très obéissant la bestiole ! Il se rapproche un peu plus ! Non mais ce n'est pas possible ils m'ont refilé à garder un chien vicelard !

 

- Allez, couché !

 

Je dois manquer d'autorité... et voilà que je sens une large langue balayer ma culotte. Le chien est en train de me lécher le pubis à travers le tissu ! Ça va pas non ? Il est trop grave ce chien ! Déjà j'ai l'idée d'enfiler ma robe de chambre et de redescendre ce clébard à sa propriétaire en lui expliquant que je ne vais pas passer mon temps à garder un chien obsédé... Mais quelque chose me retient, cette langue n'est à la réflexion pas du tout désagréable ! Un curieux sentiment m'assaille ! Je me suis souvenue à ce moment là d'une réflexion que j'avais écrite sur un forum de discussion "Je ne me vois pas faire l'amour avec une bête mais le fantasme m'intéresse" Oui, et bien, pour l'instant le fantasme il est entre mes cuisses et je suis en train de devenir toute chose, moi qui voulait me faire une séance de branlette, voilà que je me fais lécher par un chien ! Lécher par un chien ! Fabienne, reprend toi ma fille !

 

Je me recule, décidemment je suis ballottée entre des sentiments contradictoires, je retire ma culotte, et la jette à l'autre bout de la pièce. Si cet abruti de chien veut s'amuser avec ma culotte qu'il le fasse mais qu'il laisse ma chatte tranquille !

 

Le chien, cours après l'objet, le renifle, le met dans sa gueule, elle va être foutue la culotte ! Et il me la ramène ! Il est vraiment con ! Je la relance, même réaction, il commence par m'emmerder, du coup je la garde en boule dans ma main, et voilà le toutou qui reprend ses mouvements de langue, mais du coup je n'ai plus rien pour me protéger ! Et ça y va les coups de langue, un vrai gant de toilette !

 

Folie, pour folie, autant assumer, je vais m'asseoir sur le fauteuil, où j'ai laissé ma serviette et j'écarte les jambes.

 

- Bon allez, régale toi !

 

Je n'ai pas besoin de lui dire deux fois, évidemment il fait ça un peu n'importe comment et je dois me surélever un peu pour que sa langue descende jusqu'à ma vulve ! Hein ! Je suis en train de réaliser que je l'aide à me lécher, je suis complètement folle. Il lèche, il lèche, c'est surtout la situation qui m'excite, je me tords le bout des seins, je vais finir par jouir comme ça sous les coups de langue d'un labrador d'un couple de bourgeois ! Je délire !

 

J'ai joui tellement fort que j'ai dû perdre conscience quelques instants. Je plane, me retrouve en train de caresser le toutou, le traiter de brave chien... Bon, ce n'est pas tout ça, mais il faut absolument que je me douche surtout après ce débarbouillage canin !

 

Il ne sait rien passé d'autre ce samedi, c'est déjà pas mal me direz-vous ! Le clébard est parti roupiller, je l'ai sorti, lui ai fait faire le tour du pâté de maison, je me suis mis mon opéra, il est venu à mes pieds ronfler de nouveau et je me suis couchée, beaucoup plus troublée par cette expérience canine que je voulais bien me l'avouer. J'ai pas mal fantasmé en essayant de m'endormir me promettant le lendemain de me laisser aller à mes pulsions si elles étaient encore là.

 

Dimanche matin :

 

Une drôle de contrainte ces bestioles, moi qui aime traîner le dimanche matin, à poil ou presque et qui aime prendre ma douche qu'en fin de matinée, me voilà obligée de changer toute mes habitudes, tout ça pour que cet andouille à quatre pattes puisse satisfaire ses fonctions naturelles dans les caniveaux de la ville ! Pourquoi n'a-t-on jamais essayé de les dresser comme les chats, c'est quand même plus simple à gérer ! Et d'ailleurs c'est plus doux !

 

On rentre ! Je me refous à poil, mais je garde ma culotte. J'ai envie de savoir si le chien va refaire son numéro de la veille. Pas trop envie de pipi mais j'arrive à faire quelques gouttes qui finissent par faire une tache fort sympathique sur le devant. J'appelle le quadrupède. Pas de réaction ! Me voilà presque déçue. Je retire la culotte et lui jette. Il me la rapporte. Bravo, ça il sait faire ! Je reprends la culotte et me frotte le pubis avec tout en caressant la bestiole. Et hop ! Le revoilà qui me lèche avec sa langue baveuse ! Je vous dis je suis folle ! Je me laisse faire quelques courtes minutes, puis mes idées biscornues qui me sont venues dans la tête dans mon lit hier soir ressurgissent avec force, je m'accroupis, ma main en le caressant se déplace sous lui, je trouve sa bite, je suppose qu'il bande, je regarde mieux, c'est bizarre une pine de chien, ça n'a rien de la beauté d'une bite d'homme (enfin certaines) mais ça n'a rien non plus de répugnant, c'est même assez rigolo, alors je la tripote un petit peu. Le chien se laisse faire sans vraiment réagir. L'essentiel c'est qu'il ne soit pas malheureux et il n'a pas l'air de l'être. Je sens que d'une minute à l'autre je vais faire quelque chose qui pourra me faire dire qu'un jour j'ai osé transgresser le tabou de la zoo !

 

Je m'allonge sous le labrador, j'approche mon visage de son membre, mais ce n'est pas évident, le chien ne tient pas en place, j'ai alors l'idée de tenir son pénis à la base avec une main. Je respire un grand coup ! Vas-y ma fille ! De toute façon tu en meurs d'envie ! J'ouvre la bouche, refermant mes lèvres sur l'organe de la bestiole.

 

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Ça y est j'ai la bite du chien dans la bouche, je la suce, j'ai un peu peur qu'il éjacule, je ne suis pas trop prête pour ça ! Alors je vais essayer autre chose. J'ai lu sur Internet qu'il fallait recouvrir les pattes inférieures avec des moufles afin d'éviter de se faire griffer ! Des moufles ? Est-ce que j'ai une tête à porter des moufles ? Mais je dois avoir quelque part des grosses chaussettes de laine "spéciale montagne", il faut quand même que je farfouille dans trois valises pour les retrouver, je vous dis, je ne suis pas nette ! Je passe les chaussettes au chien qui se demande ce qui se passe ! Imaginez un chien en chaussettes rouges ! Puis je me mets à quatre pattes, croupe offerte, j'écarte mon trou du cul, si d'aventure il préfère cet endroit à l'autre. J'attends. Le chien ne vient pas ! Comme je commence à mouiller un peu, j'en ramasse un peu et lui tend ma main humide, il vient la lécher, je pose ma main sur mon cul, il me le lèche de deux ou trois coup de langue, puis s'en va ! Bon ça ne marche pas, il va falloir que je me documente pour savoir comment on fait ! J'ai bien dis "il va falloir que je me documente..". J'ai donc bien franchi un pas ! Je quitte ma position, m'empare à nouveau du sexe de l'animal, je m'aperçois alors que sa bite est manipulable et peut se placer à contre sens, complètement dirigée vers l'arrière, c'est peut-être ça la solution, mais je n'arrive pas à trouver la bonne position et le chien n'a pas trop envie de rester en place. Il m'énerve, du coup tout en laissant sa bite dans cette inclinaison insolite, je la remets dans la bouche et recommence à sucer, curieux goût décidément un peu fort mais ça n'a rien de désagréable, en fait ça sent le chien mouillé

 

Je continue à sucer, je sens le sexe grossir, puis soudain quelque chose me mouille la bouche, le chien est en train d'éjaculer, je recrache ce que j'ai dans la bouche et lâche son sexe d'où du sperme continu à s'écouler. Il se retourne, lèche son propre sperme puis s'en va regagner son panier. C'est un peu simplet les chiens je trouve ! N'empêche j'ai sucé un chien, j'en suis disons le assez fière ! L'occasion n'est pas prête de se représenter, j'ai bien fait d'oser l'expérience, ça me fera un souvenir. Je pars dans la salle de bain me masturber sous la douche en repensant à tout ça...

 

Un peu avant midi, la bourgeoise est venue récupérer le clébard.

 

- J'espère qu'il a été sage !

- C'est un amour ! Répondis-je !

- Je passerais demain soir pour vous remercier mieux, vous serez là ?

 

Epilogue

 

- Voilà, je voulais vous remercier, je sais que vous aimez l'opéra, voilà une très bonne place à Garnier, c'est le 16, vendredi soir, ils passent 'La Traviata", mais si vous voulez changer la date...

- Mais il ne fallait pas... mais bon, je ne vais pas refuser, le 16 ça m'ira très bien.

- Nous irons aussi, donc on pourra y aller ensemble... Ok ?

- D'accord !

- Au fait, j'ai vu que vous aviez donné des chiffons au chien pour qu'il joue avec, je les ai retrouvé dans son panier. Je me suis permis de les passer en machine !

- Des chiffons ?

 

Elle me tend alors un sac en plastique, je découvre à l'intérieur ma culotte de la veille et celle de samedi ! Je deviens rouge comme une tomate ! Madame R me fait alors un clin d'œil.

 

- Je vous remercie encore, vous pouvez m'appelez Carole, c'est mon prénom !

- Ben moi c'est Fabienne, bonne soirée alors.

 

Je referme la porte ! Plein d'idées trottent dans ma tête ! Bien sûr que je suis contente d'aller à l'opéra, mais c'est surtout sur l'après que je fantasme, peut-être me proposeront-ils le fameux dernier verre chez eux, peut-être que tout cela va finir en partouze, peut-être que ce soir-là, ils m'aideront à me faire prendre par le chien....

 

MP Perez (en plein délire) Novembre 2004

 à suivre

 

  Marie_paule_perez@hotmail.fr

 

 

<i>Ce texte a eu l'honneur d'être désigné comme premier prix du meilleur récit extrême pour l'année 2004</i>

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Dimanche 10 avril 2011 7 10 /04 /Avr /2011 17:39

Envie pressante

par Marie-Paule Perez

 

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Pour lecteur averti – Scato inside

Thémes abordés :  coprolalie, domination soft, feuille de rose, lesbos, scato, uro

Qui suis-je ? Je me prénomme Lynn et je suis une vraie rousse, avec tout ce qui va avec, la peau laiteuse, les taches de rousseurs, la peur du soleil et parait-il l’odeur…

A l’époque je vivais avec un copain, ça marchait assez moyen et je savais déjà que nous ne nous éterniserions pas ensemble

Il faut aussi que je vous dise quels étaient mes rapports avant ces événements avec les fantasmes dont il va être question ici, c’est à dire l’homosexualité féminine, l’urolagnie et la scatologie.

Pour les femmes, je ne sais pas trop expliquer, je crois que c’est une expérience qui m’a toujours tentée, périodiquement en croisant une jolie femme, je me suis toujours dis que je ne dirais pas non si les circonstances… mais cela était resté un fantasme, les fameuses circonstances n’ayant jamais été réunies, et puis il faut dire que je ne cherche pas non plus, si ça vient tant mieux, mais je ne me vois pas faire les premiers pas…

L’uro c’est plus compliqué, j’ai vu les premières photos par hasard, alors que mon copain cherchait je ne sais quoi sur les sites pornos sur le net ! Curieuse réaction, je savais qu’on pouvait s’amuser à se montrer en train de pisser ou le contraire s’exciter en regardant quelqu’un uriner, mais là voir des gens se pisser dessus et même dans la bouche, je ne pensais pas que ça pouvait exister. Et mon premier sentiment a été le rejet, relayé d’ailleurs par mon copain qui ne cherchait pas ça… Mais ces images aperçues brièvement m’ont trotté dans la tête, une sorte de lutte incompréhensible entre la répulsion et la curiosité… C’est cette dernière qui l’emporta et entraîna l’uro dans mes fantasmes. Je ne voyais pas trop comment concrétiser tout cela d’autant que je n’avais pas non plus l’intention d’aller très loin. Je multipliais les signes auprès de mon copain, comme pisser avec la porte des toilettes ouvertes, m’essuyer de façon incomplète alors que je savais que nous allions faire l’amour ensuite… mais en vain… Je tentais aussi de lui sucer la bite alors qu’il venait juste de faire pipi, mais il refusa. Monsieur n’a pas beaucoup de fantasmes ou alors il les cache bien et monsieur n’a pas beaucoup de pratiques hors-normes, monsieur commence à m’ennuyer ferme… Mais je voulais tout de même savoir quel goût ça avait. J’ai dû mouiller mon doigt une bonne vingtaine de fois, puis l’approcher de ma bouche avant de me dégonfler, jusqu’au jour où je me suis lancée, j’ai trouvé ça pas mauvais, très particulier, alors j’ai l’ai refait plusieurs fois, parce que j’aime bien faire la cochonne et pour le reste, je rangeais l’uro dans mon tiroir à fantasmes

Quant à la scato, à part être tombée par hasard sur des photos Internet où des femmes faisaient ce genre de choses en toute décontraction, ce qui me provoqua un trouble bien réel, je ne pratiquais rien du tout. Mais cochonne pour cochonne, je me suis dit que ce que j’avais fait pour le pipi, je pourrais le faire pour le caca ! Ben mes amis, je vais vous dire, c’est loin d’être évident, j’essayais deux ou trois fois de m’imbiber le doigt avant de m’essuyer le cul et y renonçait aussi sec. Sauf qu’un jour je suis retombée sur des images Internet où des filles avaient l’air de se régaler. Excitée comme une puce, et ayant justement une petite envie, je refis l’opération doigt dans le cul, soupirais un grand coup, fermais les yeux et hop tout dans la bouche. Il n’y a effectivement pas de quoi s’enfuir en courant, j’ai gouté des aliments plus horribles que ça, et d’ailleurs ce n’est pas horrible, c’est particulier. Néanmoins je ne m’adonnais à cette pratique que dans mes moments de grande excitation solitaire. Et je ne l’avais jamais partagé.

Le récit maintenant :

Pour bien comprendre cette folle soirée que je vais essayer de vous décrire, il faut revenir plusieurs mois en arrière…

Je faisais de l’intérim à l’époque et j’avais reçu une invitation pour un pot célébrant le cinquième ou le dixième (on s’en fout) anniversaire de la boite. C’était un vendredi soir, et comme j’étais en fin de mission et que je tenais à retrouver du boulot, j’ai préféré y aller. Je ne connaissais pas grand monde, seulement quelques collègues croisés au hasard de mes missions. Le temps a passé assez vite, j’ai évité de boire trop d’alcool, mais j’en ai bu quand même, je me suis retrouvé face à face avec une bonne femme qui m’a raconté sa vie et dont j’ai eu un mal de chien à me débarrasser, c’était pour tomber ensuite dans les pattes d’un type qui voulait me draguer, il a dû mettre une demi-heure avant de comprendre que ça ne marcherait pas…

Puis, je me suis retrouvée, je ne sais pas trop comment, dans un groupe de commères que je connaissais à peine :

– Tiens, elle est là l’autre gouine ! Dit une première parlant de je ne sais qui ! Où est-ce qu’elle travaille en ce moment ?
– J’en sais rien, elle était chez Martin-Duval le mois dernier, il parait qu’elle s’est envoyée une nana dans les chiottes…

Allez donc savoir pourquoi ma curiosité s’est alors éveillée…

– C’est laquelle ? M’entendis-je demander.
– La pétasse en pull bleu, les cheveux longs avec un gros cul.

Ah, bon ! J’engrange l’information… et puis cinq minutes plus tard, je quitte ce groupe de cancanières aigries pour aller me servir un jus de fruit. Ce doit être inconscient, j’aurais pu faire ça n’importe où, ce ne sont pas les bouteilles qui manquent, non il a fallu que je me place à côté de cette fameuse fille en bleu. Echange de regards. Je souris, elle me sourit. J’engage la conversation, elle est un peu boulotte, mais mignonne, elle répond au doux nom de Sylvaine. On parle de tout et de rien, de nos missions, des anecdotes. Le courant passe bien, on reboit un coup, et puis bon l’heure passe…

– Il va falloir que j’y aille ! Finis-je par dire
– Moi aussi, tu m’attends, on va au métro ensemble ? Me propose la nana.
– Ok ! Faut que j’aille pisser

Il n’y a qu’une seule cabine, elle est occupée, j’attends…. Cinq minutes passent, toujours rien. Sylvaine vient me rejoindre :

– Ah, tu es là ! Je te croyais disparue !
– Non, mais les chiottes sont occupées !
– Frappe !

On y retourne, ensemble, je frappe à la porte.

– Une seconde ! Répond une voix féminine !

On attend, mais l’endroit ne se libère pas !

– Bon ben tant pis, j’espère que ça ira ! On y va ! Me décidais-je.

Et nous voici sorties, on cherche le métro, on se perd à moitié, l’envie d’uriner commence à me tenailler sérieusement.

– Il faut que je trouve un bistrot…
– Ok, je reste avec toi…

Pas grand-chose d’ouvert, mais on finit par en dégoter un… Un petit coup d’œil dedans… Je ne vous dis pas la faune, on se sauve en courant… Pas de solution, faire entre deux voitures, pourquoi pas, mais il y a toujours un peu de monde… Situation absurde ! D’autant que dans quelques minutes ça va être intenable et que je vais lui demander de faire le pet (quelle expression !) tandis que je vais faire mon petit pipi dans le caniveau…

Un taxi dans la rue ! J’ai une idée ! Je lui fais signe d’arrêter…

– Je te laisse ! Dis-je à Sylvaine ! A moins que tu veuilles profiter du taxi ?

Je prie le ciel qu’elle n’en profite pas ! Ça va me retarder, mon plan est simple, tenir jusqu’à la gare de Lyon, puis directo les toilettes des dames….

– OK ! Je viens, vous pouvez faire un crochet par la porte de Bagnolet ?

L’horreur ! Je ne tiendrais jamais ! Je serre les fesses, je serre les dents, je serre tout ce que je peux, dans un instant je vais éclater, je ne vais quand même pas pisser dans la bagnole…

– Ça ne va pas, Lynn ?
– Si, si ! Mais bon…

On se farcit un nombre incalculable de feux rouges, je vais craquer, je vais en foutre partout. J’arrive quand même à me retenir… Et on finit par arriver devant chez elle !

– Monte chez-moi, tu ne tiendras pas jusqu’à la gare !
– Je crois que je vais faire comme, ça, oui ! Vous pouvez m’attendre, j’en ai pour cinq minutes, dis-je au chauffeur !
– Oui, mais vous me payez déjà le bout de course et après je fais tourner le compteur.

Sylvaine paie le mec, je monte avec elle, je suis blanche comme un linge. Ça y est, on est sur le palier. Elle cherche ses clés, je sens que je vais me lâcher dans quelques instants. Elle les trouve ses clés, oui ou merde ? Enfin, la clé tourne dans la serrure, la porte s’ouvre… J’entre !

– C’est où ?
– Au fond…

Trop tard !

– Excuse-moi…
– Ce n’est rien…

Tu parles que ce n’est rien, mon jean est plein de pisse, je n’ai pas eu la volonté de faire ces derniers mètres.

– Me voilà fraîche !
– Ce n’est rien, on est entre femmes, ça aurait pu m’arriver aussi….
– Je vais finir là-bas, j’ai encore envie !
– Tu peux finir, ici, au point où tu en es ! De toute façon, faudra que je nettoie !

Hein ? Elle n’est pas bien celle-là ! Mais la surprise me cloue sur place, elle s’accroupit devant moi, me caresse les cuisses, étalant de la main l’urine sur mon pantalon…

– Tu vas croire que je suis folle, mais j’aime bien caresser les femmes… mais bon, je n’impose rien à personne… mais tu ne peux pas savoir comme cette situation m’excite.
– C’est parce que je pisse que ça t’excite ?
– Bingo !

Pour moi l’érotisme était bien loin depuis cette envie de pisser, et soudain le voici qui se rapproche, mon fantasme ressurgit, deux fantasmes… Je lutte… Pas avec cette fille qui ne m’attire pas, et puis entre les fantasmes et la réalité, ce n’est pas la même chose… Et puis je la vois faire, elle porte sa main humide d’urine à son nez, semble s’enivrer de l’odeur, puis la porte devant sa bouche, sa langue sort, elle lèche… mon dieu…

– Retire ton pantalon ! Dit-elle
– Et pourquoi ?

J’essaie de ne pas perdre top l’initiative !

– Parce qu’il est mouillé !
– Et je vais repartir comment ?
– En taxi, s’il n’est pas parti, Rigole-t-elle
– Et sans pantalon ?
– Je te prêterais un truc !

Je retire le bazar, toute mouillée, ma petite culotte est une vraie serpillière, mes cuisses sont trempées. Sylvaine me les lèche comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Et moi grande idiote, je me laisse faire.

– La culotte ! Indique-t-elle
– Quoi, la culotte !
– Retire là !
– Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
– Tout à fait, oui !
– Alors d’accord ! Dis-je en la retirant.
– Donne !

Je lui tends la culotte, elle la tord au-dessus de sa bouche, avale les gouttelettes chassées par l’essorage. Elle est folle à lier, et moi je suis excitée comme pas possible. Elle retire son haut mais conserve son soutien-gorge ! Dommage j’aurais bien aimé voir sa grosse poitrine. Je suis un peu bête, il me suffirait de lui demander, mais je suis comme ça, il faut toujours que je temporise, on ne me refera pas…

– Tu serais cap’ de me pisser dessus ? Demande-t-elle.
– Je ne sais pas !
– Quand on dit « je sais pas », c’est qu’on dit pas « non »
– On est folle toutes les deux !
– C’est pas grave ! Alors d’accord ?

Elle n’attend pas ma réponse, et retire son pantalon, puis sans crier gare, s’étale sur le sol dans la marre d’urine !

– Vas-y !

J’y vais ! Je me lâche, une véritable cascade jaunâtre lui dégringole sur le visage, elle ouvre la bouche, elle en avale une partie, rejette le reste. Je dois être en train de rêver. Le jet finit par se tarir… Elle se relève alors, elle dégage ainsi mouillée un érotisme auquel je ne suis pas insensible, les bonnets de son soutien-gorge sont tout humides, elle prend ses seins et les fait pigeonner pardessus… Pas très élégant, je préférerais qu’elle enlève tout… Alors je me surprends à me baisser pour passer mes mains derrière son dos afin de lui dégrafer le soutif. C’est la première fois que je défais le soutien-gorge d’une femme, il y a toujours une première fois.

Je ne sais pas comment elle a fait, mais voilà Sylvaine entre mes cuisses, sa langue cherche ma chatte, je me laisse faire, je suis si excitée que cela ne peut que me faire du bien. Elle me tire le bras, elle veut quoi ? Je comprends qu’elle souhaite que je me baisse, je me retrouve par terre, le cul dans la pisse, le visage de la petite grosse dans mon entre-jambe, elle lape, elle bave sur mon sexe, je le sens tout gluant, drôle d’impression, quand mon copain me fait un cuni, c’est beaucoup plus light, et puis elle concentre ses efforts sur mon clitoris, ça me démange un maximum, je sens que je vais exploser dans tous les sens, ça ne rate pas, je jouis comme je l’ai rarement fais, bruyamment et violemment.

Je regarde ma montre, ça fait combien de temps que je suis ici, à peine plus de cinq minutes… Je pense au taxi, ça m’étonnerait qu’il s’éternise, tant pis, je rentrerais comme je pourrais, mais quelle expérience !

– Ça va ? Demande-t-elle !
– Pas mal comme coup de folie !
– J’étais sûre que tu aimerais mes caresses !
– Comment tu pouvais être sûre ?
– L’habitude, il y a certains regards qui ne trompent pas, quand t’es venu me parler, je me doutais que tu essayais quelque chose…
– Ce devait être inconscient…
– Je ne dis pas le contraire ! J’avais envie de m’amuser, tu sais ce que je voulais faire ? Reprend-elle
– Non, dis ?
– Ben, je voulais éviter toute allusion sexuelle, jusqu’au moment de nous séparer, et là on se serait fait un bisou, et en fait de bisou je t’aurais roulé un patin !
– Génial !
– Mais ton envie de pisser a modifié mes plans… Je n’avais pas prévu que ça tourne en uro, mais quand je t’ai vu pisser dans ton pantalon, je suis devenue complètement folle. Ça passait ou ça cassait, et il y avait bien plus de chances pour que ça casse, les filles qui aiment ce genre de choses ne sont pas si nombreuses…. Tu fais ça souvent ?
– Ben, c’est la première fois ! Avouais-je..
– Ok, je vois, bon tu sais j’aimerais bien jouir aussi…

Je ne sais pas trop ce que j’allais répondre, mais soudains ses lèvres se sont collées aux miennes, et voilà que nous échangeons un baiser baveux, c’est incroyable ce que cette fille peut sécréter comme salive…

– Et si tu te mettais à poil ? T’es pas trop pressée j’espère !
– Non, je vais juste passer un coup de fil à mon copain pour lui dire que ça dure plus longtemps que prévu.
– OK ! Passe-lui un coup de fil, et tout à l’heure tu lui en passeras un autre, tu lui diras que tu as raté le dernier train et que tu es allé coucher chez une copine…
– Ça ne marchera pas, il me dira de prendre un taxi…
– Mais si ça marchera…

Dingue ! Elle dispose de moi sans à peine me demander ce que j’en pense et moi je me laisse faire…

– T’aimes qu’on te domine ? Demande-t-elle alors
– Comment ça ?
– Ben par exemple je pourrais te donner des ordres, comme ça pour jouer…
– Je ne comprends pas bien.
– Par exemple, je peux te dire de nettoyer toutes tes cochonneries, et si tu ne vas pas assez vite, je te fesse le cul !
– Mais pour jouer ?
– Oui, pour jouer !
– D’accord, je veux bien !
– Tu vas être ma petite esclave, alors, tu feras tout ce que je te dirais !
– Tout, peut-être pas !
– T’inquiètes pas, je sais jouer ! Et si je te traite de tous les noms, ça ne va pas te traumatiser ?
– Ben non puisque c’est un jeu !
– Alors on y va ! Et je te signale que tu ne pas encore mise à poil !

Pas de panique, je ne sais pas dans quoi je m’embarque, mais quelque chose m’empêche maintenant de reculer, j’enlève le haut, dévoile mes seins à Sylvaine !

– Hum pas mal tes nichons ! Ce doit être un plaisir de leur tirer dessus !
– On peut les caresser sans leur tirer dessus ! Répondis-je par réflexe !
– Ta gueule, poufiasse ! M’interrompt-elle !

C’est vrai j’avais déjà oublié qu’on jouait… Elle m’attrape mes bouts de seins, les serre entre le pouce et l’index, un frisson me parcoure le corps, je soupire de plaisir, la pression s’accentue, elle tord à présent la petite excroissance de chair.

– Tu aimes ?
– Oui !
– Je savais bien que tu étais une petite salope…

Elle penche la tête, me lèche le sein, donne des coups de langue sur le téton, puis je sens ses dents qui me mordillent, j’espère qu’elle sait ce qu’elle fait… apparemment, oui, et cela n’a rien de désagréable….

– Mets-toi à quatre pattes, j’ai envie de m’occuper de ton gros cul !

Amusant, parce que mon cul est bien loin d’avoir la largeur du sien, mais je ne dis rien et obtempère.

– Joli cul, je vais me régaler en tapant dessus !
– Pas trop fort !
– Tu vas la fermer, oui, petite pute !

Un coup arrive, frappé du plat de la main sur ma fesse gauche. Ça fait un peu mal, mais quelque part j’aime bien, je cambre les fesses, attendant la suite

– Tu veux encore, hein ?
– Oui !
– Tu es bien une chienne !
– Je suis tout ce que tu veux, vas-y fais-moi tout ce que tu as envie !
– Hummm tu devrais pas me dire des choses comme ça, tu ne sais pas de quoi je suis capable !

Et la voilà qui me frappe à la volée, elle n’arrête pas, mon cul me fait mal, il est tout chaud, ça pique de partout, et en même temps ça m’excite, ce soir je suis une vraie chienne en chaleur et j’en ai conscience… mais jusqu’où vais-je aller ?

Sylvaine a arrêté sa fessée, et sa langue vient s’immiscer dans mon trou du cul ! Voilà encore un truc qu’on ne m’avait pas fait depuis belle lurette.

– Ouvre un peu tout ça que je mette la langue !
– Oui.
– Tu sais qu’il pue ton trou du cul ?

Voilà qui me surprend, ce n’est pas vraiment mon genre… mais peut-être me fait-elle simplement « marcher » ?

– Je suis désolée, tu veux que j’aille me le laver ? Proposais-je
– Sûrement pas, il est très bien comme ça ! J’aime bien qu’un cul ça sente le cul ! Mais le tiens, je te dis pas ! Tiens viens m’embrasser salope !

On se roule une nouvelle gamelle, c’est toujours aussi baveux, toujours aussi excitant…

– Ça t’excite de m’embrasser la bouche alors que je viens de foutre ma langue dans ton cul tout sale ?

Pour être honnête, non, et d’ailleurs je ne sens pas grande différence avec tout à l’heure mais je joue son jeu…

– Oh, oui ça m’excite !
– OK, alors on permute !

Et la voilà à son tour à quatre pattes, le cul tendu ! Je ne sais pas si je vais pouvoir faire ça ! Je m’approche, commence par lui caresser et embrasser les fesses, ça va, elle se laisse faire, elle n’est pas pressée, moi non plus, mais au bout d’un moment elle me rappelle à l’ordre :

– Bon, alors petite leçon d’anatomie, le trou du cul c’est au milieu ! Et c’est là que j’aimerais bien sentir ta langue !

Plus moyen de tergiverser, j’y vais, je lui écarte ses deux gros globes fessiers, je regarde, ça me semble mignon tout plein ce petit trou là, j’approche ma langue, l’odeur est un peu forte, mais ça n’a rien de repoussant ni même de gênant, Je lui farfouille l’anus ainsi pendant quelques minutes, sous ma caresse l’orifice s’ouvre légèrement, excitant ce truc-là !

– Bon, ça va, t’est une bonne lécheuse de cul ! Maintenant tu vas t’allonger par terre sur le dos, et je vais te faire pipi dessus.
– Moi, je veux bien mais c’est tout mouillé, il faudra que je prenne une douche avant de rentrer.
– Pourquoi veux-tu rentrer ? Tu ne veux plus que je te garde pour la nuit ?

C’est qu’elle insiste ! Je ne réponds pas, je m’allonge dans ma pisse à présent refroidie. Sylvaine m’enjambe au niveau de mon ventre et remonte vers mon visage.

– Pas sur le visage !
– Pourquoi tu ne veux pas goûter à mon champagne.
– J’ai déjà gouté du pipi, mais là il va y en avoir de trop !
– Dis donc, qui c’est qui commande, ici ? Répond-elle !

J’avais oublié son jeu idiot !

– Bon écoute pisse-moi dessus si tu veux, mais pas sur le visage, tu n’as qu’à m’asperger les seins ou le ventre…
– Si tu n’essaie maintenant pas tu n’essayeras jamais…

Lynn Sylvaine Mais, elle se recule, se concentre un moment, puis elle m’arrose le nombril ! Drôle d’impression c’est tout chaud, c’est amusant, finalement ça me plait bien ce truc-là ! Et puis elle s’arrête, je suis persuadée qu’elle se retient… Elle se baisse, humecte son doigt avec l’urine qui stagne sur mon corps, puis le pointe vers ma bouche.

– Suce !
– Mais, je…
– Juste ça, ça ne va pas te tuer…
– Arrête !
– Obéis, obéis à ta gentille maîtresse, cela lui ferait tellement plaisir !

Quelle chieuse ! Effectivement ça ne va pas me tuer, je fini par lui lécher le doigt, son urine me paraît plus forte que la mienne… Mais ça n’a rien de désagréable. Le problème c’est qu’elle va vouloir savoir ce que j’en pense, et que si je lui dis la vérité elle va s’entêter à chercher à m’en faire avaler de vraies rasades….

– Alors ?
– Alors, bof !
– Deuxième essai

Deuxième doigt, je m’habitue au goût de sa pisse, cette fois si, il y a l’effet de surprise en moins.

– Allez je vais te donner deux ou trois gouttes !

Elle s’accroupit, la chatte à quelques centimètres de mon visage… Je ne lui ais pas dis que j’étais d’accord, elle fait ce qu’elle veut, et moi, je n’ai rien refusé malgré mes résolutions, on ne se refait pas…

– Ouvre la bouche !
– Juste un peu, hein !
– T’inquiètes pas !

Un petit filet d’urine me dégringole dans le gosier, drôle d’effet, je ne suis pas obligée d’avaler, je peux tout cracher, mais j’avale… amusant, excitant et délicieusement pervers… Allez ça marche, le pas est franchi, maintenant il faut assumer !

– Encore ! Lui demandais-je par pure provocation
– On y prend goût, hein ?
– C’est excitant, j’avoue !

J’ai plein de pisse dans le gosier, Bon dieu que je suis excitée.

– Ça fait du bien faire pipi ! Commente-t-elle, maintenant je ferais bien caca. T’aimerais me regarder faire ?

Elle est folle !

– Non, peut-être pas !
– Je demandais juste comme ça !

Elle a dû sentit mon trouble car elle me relance

– On dirait que tu hésites ?
– En fait, oui !
– T’as jamais fait des trucs comme ça ?
– Si je me suis déjà léché les doigts…
– Et c’était bon ?
– On va dire que c’était pas mauvais
– Je suis sûre que tu aimerais me regarder chier ?
– On peut toujours essayer.

Fallait vraiment que je sois super excitée pour répondre ça !

– J’aime bien qu’on me regarde chier, j’aime bien regarder aussi.

Oui, bon, ça va, j’avais compris !

Elle s’accroupit, me présentant ses jolies fesses bien rebondies, l’anus s’ouvre, un petit bout de crotte apparaît, ça grossit, l’étron devient boudin et dégringole. Il est joli, bien moulé, je n’irais pas jusqu’à dire qu’il est attendrissant mais le fait est que je suis plus fasciné que révulsé.

– Alors ? Me dit-elle
– Ben alors je ne sais pas trop quoi dire !
– N’empêche que tu mouilles !
– Ben oui je mouille !

Sylvaine ramasse son étron et le prend dans ses mains, je ne sais pas ce qu’elle à l’intention de faire mais j’interviens.

– Non on passe à autre chose !

J’ai dit ça par réflexe, je l’ai aussitôt regretté mais Sylvaine a reposé le caca.

– Allez, viens me faire une rincette !
– Une rincette ?
– Ben oui, tu me nettoies la chatte avec ta langue !

Sylvaine s’installe sur le dos. Allez, on se dégonfle pas, on y va ! Bien sûr que sa chatte sent la pisse, bien sûr que je lape tout ça, allant jusqu’à regretter que le petit goût particulier disparaisse aussi vite. Elle a un gros clito, il doit faire le double du mien, je le lèche, je le suce, je l’aspire, je joue avec. Sylvaine se crispe, ses cuisses deviennent toute raides, sa respiration ressemble à celle d’un teckel qui respire les traces d’un lapin. Le problème c’est que je jouirais bien encore une fois. L’idée c’est de me mettre en soixante-neuf… On y va !

– Non continue !

Elle est chiante la Sylvaine. D’accord je reste en place. J’active ma langue jusqu’à m’en faire mal, elle jappe maintenant, elle coule sur ses cuisses, et sentir son excitation monter dédouble la mienne. Je crains un moment de ne pas arriver à la satisfaire. Il va falloir que je fasse une pause, sinon je vais me faire mal à la langue. Encore un petit effort… Et boum, la voilà qui orgasme comme une damnée, elle hurle, semble partie on ne sait où pendant de longues secondes puis me sourit, m’enlace, m’embrasse, me serre dans ses bras. On rigole, on est heureuses toutes les deux.

– A toi ! Lui demandais-je.
– Ne t’inquiètes pas, je vais m’occuper de toi, mais dis donc espèce de vilaine, tu m’as nettoyé la chatte mais pas le trou du cul.
– Ben, c’est-à-dire…
– C’est-à-dire quoi, fais moi plaisir, et comme t’es excitée comme une puce, ça va être le pied.

Alors je me suis lancée et je lui ai nettoyé son trou du cul merdeux pendant que ma chatte dégoulinait de mouille.

J’avoue avoir pris un plaisir intense à lui nettoyer l’anus.

Puis comme promis, elle m’a de nouveau fait jouir, on est allé se doucher puis se coucher avec pleins d’idées salaces dans la tête, mais aussi crevées l’une que l’autre, on s’est endormi de suite et on a dormi comme des souches.

Au réveil, Sylvaine est restée gentille, mais ce n’était plus la même, elle m’a fait comprendre qu’elle avait été ravie de passer un moment de folie en ma compagnie mais qu’elle ne souhaitait pas prolonger cette relation. Un instant je m’étais fait des illusions, mais je n’étais que son « coup d’un soir ». J’ai encaissé le coup, on s’est embrassée plutôt chastement quand je l’ai quitté. Dans l’escalier, j’ai versé une larme.

Je n’ai jamais revu Sylvaine

Devant la porte de l’appartement de mon copain, deux valises et un sac poubelle. Il y a un petit mot aussi, je le découvre :

« Tu t’es bien foutu de ma gueule, puisque tu as trouvé mieux que moi cette nuit, reste avec lui et ne cherche plus à me revoir, je te fais cadeaux des valises. »

J’aurais pu entrer, j’avais la clé, je ne l’ai pas fait, j’ai embarqué tout le bazar et je suis retourné chez moi, là où je n’avais pas mis les pieds pendant six mois. J’ai défait les valises, mon ordinateur portable y était. Alors je l’ai branché, je me suis mise à poil, pas complétement puisque j’avais conservé ma petite culotte, je me suis amusé à pisser dedans. Puis je suis allé sur un site d’annonces, j’ai regardé si quelque chose me branchait, et comme ce n’était pas le cas, j’ai décidé d’en poster une.

« Jeune femme ayant découvert récemment les plaisirs saphiques et uro recherche relation suivie basée sur le respect mutuel et la tendresse, peut être donneuse ou receveuse… scato légère possible »

Epilogue

Le lendemain j’avais rendez-vous avec Annabelle, 28 ans. On a tout de suite sympathisé. Cela fera 10 ans demain que nous vivons ensemble, je suis heureuse, même s’il m’arrive d’avoir parfois une pensée nostalgique pour Sylvaine.

Fin

 

© Marie-Paule Perez et Vassilia.net. Tout droit réservé avril 2011, complété en 2018

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Dimanche 10 avril 2011 7 10 /04 /Avr /2011 07:38

Orgie dans la clairière

par Enzo

 

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C'était un samedi après-midi sous le radieux soleil du mois de juin.

 

Je me suis engueulé avec ma femme. Pour des bêtises en plus. Alors j'ai pris la bagnole et j'ai filé la route plus ou moins par hasard. Je me suis retrouvé à 20 kilomètres au bois de Capet.

 

Je me suis garé et me suis enfoncé dans la forêt, le lieu avait la réputation d'être un peu chaud il y a des années, j'ignore s'il l'est encore ?

 

Une heure que je marche, j'ai bien croisé un couple mais ils m'ont ignoré. Le problème c'est que je suis un peu perdu, il va falloir que je trouve le moyen de me repérer.

 

Ah, un type au loin, je vais lui demander où est la route quand je le croiserai. Le mec est en bermuda, chemise ouverte. A dix mètres de moi, il s'arrête, se met sur le côté et sort sa bite pour pisser sans se cacher. Je vais vers lui, il me sourit, il se branle maintenant devant moi. Je fais quoi ? Je me dégonfle ou je me lâche ?

 

- Si tu aimes la bite, je suis très doux ! M'indique-il.

- Elle est belle ! Parvins-je à articuler.

- Vas-y, touche !

 

Je lui branle un peu la bite, voilà des années que je n'ai pas fait des trucs avec un homme. Mais là je suis prêt, je bande comme un malade. Pendant que je lui astique la bite, il dégrafe mon pantalon et le fait tomber au sol, le caleçon suit. Me voici le cul et la bite à l'air. J'aimerais bien qu'on me regarde, je jette un regard circulaire, mais hélas les voyeurs ne sont pas là, ou alors ils sont bien planqués.

 

Ça y est, il a ma bite dans sa main, on se branle mutuellement et c'est bon. La main de l'inconnu s'égare, il me pelote les fesses et un doigt tente l'entrée de mon trou du cul.

 

- Tu aimes ?

- Oui Vas-y !

- Tu m'a l'air d'être une belle petite salope ? Me dit-il

- Toi aussi, non ?

- Dis-moi que tu sens bien mon doigt !

- Humm, j'adore qu'on me foute un doigt dans le cul !

- T'aime quoi d'autre ?

- Sucer, me faire enculer !

- Comme moi, alors on est deux belles salopes toutes les deux, embrasse-moi !

 

Ça par contre, ce n'est pas vraiment mon truc, mais bon, si ça peut lui faire plaisir ! En plus, il pique ce con, il s'est rasé avec du papier de verre.

 

- T'es plutôt passif, alors ? Me demande le type

- Je peux être les deux, mais c'est vrai que préfère être passif.

- Vas-y goûte à ma bite !

 

Bien sûr que je goûte à cette bonne bite, bien raide et au bout luisant, je lui pourlèche le gland sur lequel plane encore l'odeur de sa pisse. Puis je me lance dans une série de va-et-vient qui me remplisse la bouche. Quel plaisir de sucer une bonne bite, j'espère qu'il va ensuite me la mettre dans le cul.

 

- Tu peux me sucer un peu derrière ?

 

Encore un truc qui ne me branche pas trop, mais je le fais et lui colle ma langue contre son petit trou du cul.

 

- Faut que je te dise un truc ?

 

Ho, là là, qu'est-ce qu'il va me raconter ?

 

- Je ne suis pas venu seul dans ce bois, je suis un soumis, et ma maitresse m'a ordonné de lui ramener un esclave, si je le fais j'aurais une récompense.

- Et si tu ne le fais pas ?

- Ben, je serais puni !

- Et bien c'est très bien, si t'es maso, tu dois aimer être puni, non ?

- Heu, c'est beaucoup plus compliqué que ça, en fait !

- Elle est comment ta maîtresse ?

- Elle est belle, très belle, une très belle femme, elle est accompagnée d'une amie, très belle aussi.

- Et si je vais la rejoindre avec toi, elle va me faire quoi ?

- Rien de bien méchant, mais on s'enculera devant elles, ça c'est sûr.

 

L'idée finit par me plaire, on y va !

 

A notre arrivée, les deux maîtresses sortent de la voiture. Jennifer est une grande brune bronzée d'une quarantaine d'année, joli visage et attitude volontaire, vêtue d'un pantalon de cuir noir et d'un gilet de la même matière se fermant par une fermeture éclair sur le devant. Cynthia est une petite blackette habillée d'une minijupe et de collants. Son petit haut blanc est décolleté de façon très impudique, le haut des aréoles étant nettement visibles. Deux belles salopes, quoi !

 

- Alors, esclave, tu as fait une trouvaille ?

- Oui, maîtresse !

- Raconte !

- Ben j'ai croisé ce mignon petit pédé, j'ai sorti ma bite, il me l'a tripoté, après on s'est tripoté tous les deux, je lui ai mis un doigt dans le cul, puis il m'a sucé la bite et le trou du cul.

- Et, bien on trouve de ces salopes dans les bois ! Commente Cynthia en rigolant.

- M'en parle pas ! Les mœurs se dégradent de jours en jours, ma chère.

- Approche-toi ! Et met toi à genoux devant moi ! M'ordonne-t-elle

 

Je le fais !

 

- Tu vas ouvrir la bouche et je vais te cracher dedans ! Tu es d'accord ?

 

Je m'entends dire "oui". Rêvé-je !

 

- Mais avant tu vas me le demander, je veux que tu dises "Maitresse crachez moi dans ma gueule de salope !"

- Maitresse crachez moi dans ma gueule de salope !

 

Elle le fait, puis invite Cynthia à faire de même.

 

- C'est bien, on va te tester mieux, allez, en route

 

On s'enfonce dans le sous-bois, jusqu'à une petite clairière.

 

- A poil, tous les deux !

 

Ce n'est pas un problème, nous voilà rapidement nus comme des vers. Jennifer retire son pantalon et son string. Elle m'exhibe ses fesses, des belles fesses bien lisses. Elle en écarte ensuite le sillon.

 

- Viens me lécher le trou !

 

On y va ! Petit problème, le cul de la dame n'est pas très propre. Certes cela n'a rien d'une catastrophe, mais il est clair qu'elle s'est bien mal essuyé le troufignon après avoir fait sa grosse commission. Du coup, me voici stoppé dans mon élan.

 

- Ah, oui ! Viens me dire Cynthia ! Maîtresse Jennifer n'utilise jamais de papier toilettes, ce sont ses esclaves ou ses amies qui remplissent cette fonction. C'est moi qui me suis dévoué tout à l'heure, mais j'en ai laissé, oh, un tout petit peu. Allez approche- toi, tu as le droit de sentir avant de lécher.

 

Elle en profite pour m'assener un coup de cravache sur les fesses. Je fais quoi ? Je me barre en courant ! Ces fesses sont trop belles, j'ai trop envie de me prendre au jeu, je m'habitue à l'odeur qui n'a d'ailleurs (heureusement) rien d'insoutenable, puis pris d'une frénésie incontrôlable, je me mets à lécher tout ça avec application.

 

- Je veux sentir ta langue dans mon cul.

 

Oui, ben je fais ce que je peux, je n'ai pas une langue de caméléon, j'introduis juste le bout, c'est délicieusement pervers. Je parie qu'après on va m'intimer l'ordre de lécher le cul de la jolie doudou. D'ailleurs la voici qui retire sa culotte…

 

Déception ! Ce n'est pas pour moi, c'est l'autre esclave qui s'y colle ! Ce n'est pas juste.

 

Jennifer se dégage, je me relève, elle me fait face et me gifle. Elle est con, ça fait vachement mal. Je cherche où sont mes fringues pour quitter cette bande d'abrutis, mais la voilà qui m'enlace et qui m'embrasse. Décidemment, que voilà une maîtresse qu'elle est étrange ! D'autant que la baiser doit avoir un goût particulier après mon petit nettoyage.

 

- Tu aimes qu'on te domine ? Demande-t-elle.

- Non, ou alors juste des petites misères.

- Des petites misères ? Comme ça !

 

Et la voilà qui se met à me pincer et à me tordre les tétons ! Comment a-t-elle deviné que j'adorais ça ?

 

- C'est bon ?

- C'est trop bon !

- Alors laisse-moi faire, je vais te faire plein de bonnes choses, aussi bonnes que celle-là ! Tu veux ?

- On peut toujours essayer.

 

Elle ordonne à l'esclave de l'aider à m'attacher au tronc d'un arbre, face devant, puis sort d'une mallette deux pinces à seins qu'elle m'accroche aux tétons. Cynthia se marre, elle s'était éloignée et la voilà qui revient avec un bouquet d'orties. Au secours !

 

- Détachez-moi, je ne joue plus !

- Tu n'y connais rien, si les gens ont les orties en horreur, c'est parce qu'ils se grattent. Si tu ne te grattes pas, tu vas voir comme c'est bon.

- Pas envie, détachez moi, s'il vous plait.

- Alors juste une fois.

 

La salope ! Le bouquet atterrit sur ma poitrine. Toute de suite ça me picote.

 

- On arrête !

- Non, je veux que tu me dises de continuer, tu seras récompensé… Tiens regarde !

 

Elle dézipe lentement son haut, dévoilant un joli soutien-gorge rouge.

 

- Esclave, enlève moi-ça.

 

Il le fait, j'ai maintenant ces deux magnifiques seins terminé par de jolis et épais tétons bruns, à quelques centimètres de moi.

 

- Tu aimerais les lécher ?

- Oui !

- Alors laisse-moi jouer avec toi !

 

J'hésite, mais je me sais déjà vaincu.

 

- Alors !

- J'ai confiance, je me laisse faire.

 

Le picotement semble baisser d'intensité, mais Jennifer met maintenant l'intérieur de mes cuisses en contact avec les orties. Je la vois approcher le bouquet de mon sexe. Je ferme les yeux, le contact est terrible. Là où la douleur avait cessé elle revient, différente. L'envie de me gratter est énorme.

 

Jennifer se dirige alors vers l'esclave qui à son tour subit la caresses des orties, mais sans être attaché.

 

La douleur cesse peu à peu, mais j'ai la peau comme un chef indien partant à la guerre. Jennifer revient vers moi et joue avec mes seins pendant plusieurs minutes m'arrachant des cris ou la douleur se mélange au plaisir dans une curieuse symphonie de sensations...

 

- Approchez-vous vous verrez mieux !

 

Mais à qui parle-t-elle ?

 

J'aperçois alors un groupe de trois jeunes asiatiques, une femme et deux hommes. Les deux gars ont coiffés moderne, c'est-à-dire n'importe comment, mais la femme est très belle avec un visage délicat et de belles lèvres bien ourlées. Elle tient les bites parfaitement bandées des deux gars dans chaque main.

 

- Vous voulez participer ?

 

Pas de réponse.

 

- Vous pourriez répondre ! Si vous dites non, on ne sera pas fâchés et vous aurez même le droit de continuer à regarder.

- On regarde un peu, ça nous excite et après ils vont me sauter tous les deux ! Répond la fille.

- Comme vous voulez, prenez-en plein la vue, c'est gratuit.

 

Jennifer, me détache.

 

- Et surtout, ne te gratte pas ! Mets-toi en levrette et ouvre la bouche

 

Je suppose donc qu'il va me falloir sucer l'esclave avant qu'il ne me prenne le cul, mais il y avait autre chose avant. Je le vois se concentrer quelques instants avant de se mettre à pisser. Son jet m'atterrit dans la bouche.

 

- Maintenant, il va t'enculer avec sa bonne bite. Suce-la un peu avant pour qu'elle soit bien raide.

 

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J'obtempère. Je me régale de nouveau du contact de cette belle bite dans ma bouche. Je la gâte et elle grossit bien. Je sens alors qu'on me tartine du gel à l'entrée de mon petit trou. L'esclave fait plusieurs tentatives avant que mon anus accepte ce corps étranger. (Eh, c'est que je ne me suis pas fait faire ça si souvent, on a bien un gode à la maison, mais il n'est pas très gros).

 

Et ça y est, ça coulisse dans mon cul, ce con me fait un peu mal, mais je ne dis rien, me souvenant qu'en principe la douleur initiale ne dure pas.

 

- Quel magnifique spectacle ! Commente Jennifer, je ne connais rien de plus excitant que deux mecs qui s'enculent.

- Pourquoi ne le font-ils pas tous ? Interroge Cynthia.

- C'est un mystère, ma chère, c'est un mystère répond-elle, mais en attendant lèche moi la chatte, elle dégouline.

 

Cynthia ne se le fait pas dire deux fois et se plaçant entre les cuisses de son amie, elle lui lape la chatte avec frénésie. La clairière s'emplit bientôt du cri de jouissance de Jennifer, laquelle après un nécessaire petit répit en redemande en se plaçant en soixante-neuf cette fois, afin qu'il n'y ait point de jalouse. L'affaire est rondement menée, Jennifer jouira une seconde fois avant que Cynthia la rejoigne au septième ciel. Quelques instants plus tard, l'esclave se retirait après avoir joui, me laissant le cul béant.

 

La petite asiatique intervient alors.

 

- Je proposerais bien un jeu !

- Dis toujours. répond Jennifer.

- J'aimerais bien qu'un de mes copains se fasse enculer !

 

Protestations de deux mâles qui ne s'attendaient pas à ça !

 

- Juste l'un des deux, précise-t-elle !

- Pas moi dis le premier

- Moi non plus dis le deuxième.

- On va tirer à pile ou face, le perdant se fait enculer, le gagnant me baise. C'est un jeu !

 

Les deux gars se concertent et finissent pas accepter.

 

- D'accord, tire une pièce, cet esclave (elle me désigne) enculera le perdant.

 

Le perdant n'élève aucune protestation, il se pointe devant moi après avoir retiré ce qui restait de ses vêtements et approche son visage du mien pour m'embrasser, je n'en demandais pas tant, mais accepte le baiser. Il embrasse super bien comme une femme, et au moins lui il ne pique pas. Il se met en position, je m'encapote. Et allons-y, excité comme je suis l'affaire ne dure pas bien longtemps. Il me remercie, me dit que je lui avais fait ça très bien, et le trio disparaît dans les fourrés.

 

- Bon, c'est l'heure des récompenses. Indique Jennifer.

 

Si je comprends bien, on commence par moi. J'ai donc le bonheur, le plaisir et l'avantage de sucer comme un soiffard les merveilleux nichons de Dame Jennifer. Voilà qui me fait rapidement rebander.

 

Hélas, les meilleures choses ont une fin. Jennifer me laisse et fait signe à l'esclave de se coucher dans l'herbe sur le dos. Elle s'accroupit au-dessus de sa bite, tandis que Cynthia s'accroupit au-dessus de sa bouche. Et avec une synchronisation remarquable, les deux femmes se mettent à pisser d'abondance. L'esclave boit ce qu'il peut, et est visiblement ravi de ce qui lui arrive. Quand je pense que j'ai raté ça !

 

L'esclave s'essuie, puis tout comme nous se rhabille. Il embrasse ensuite Jennifer avec tendresse et complicité. Le trip est fini, il n'y a plus d'esclave, ni de maîtresse.

 

- Ça m'a donné faim toutes ces bêtises, dites les mecs, si vous nous offriez, le restaurant ? Un petit truc, une bonne pizza par exemple. Propose Jennifer

 

L'esclave (qui ne l'était plus à cet instant) me fait signe qu'il est d'accord. Alors allons-y

 

Petit problème pour retrouver ma voiture mais ce ne fut là qu'un détail. Le restau s'est bien passé, ces braves gens se sont révélés aussi charmants qu'intéressants. On ne m'a pas demandé mes coordonnées, ce fut l'occasion qui aura fait le larron. On s'est quitté avec de gros bisous, même de la part de l'esclave qui piquait de plus en plus.

 

Quand je rentrais à la maison, ma femme m'attendait en grignotant un paquet de chips devant la télé.

 

- T'es toujours fâché ? Me demande-t-elle.

- Meu non, viens me faire un bisou.

 

 

FIN

10/4//2011

 

© Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Samedi 2 avril 2011 6 02 /04 /Avr /2011 07:49

Des fleurs pour Marie-Laure

2 - Retour chez Michelle

par Nicolas Solovionni

 

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L’idée me taraudait de trouver un prétexte pour revenir chez Michelle. Je cherchais, mais ne trouvait rien de bien génial. Ce fut presque un an après que je me jetais à l’eau. Je composais son numéro et fit l’andouille :

 

- Allo, Sophie ?

- Non, c’est une erreur, Monsieur !

- Mais je reconnais votre voix, vous êtes Michelle !

- Peut-être, mais vous, vous êtes qui ?

- Nico !

- Je ne vois pas

- Mais, si il y a un an, j’avais un bouquet de fleur à la main dont je ne savais que faire...

- Ah, oui ! On avait été boire un coup au café du coin, puis vous m’aviez enculé dans l’entrée de mon appartement de fort belle façon !

 

Oups ! Je ne m’attendais pas à une remémoration si triviale !

 

- Cela vous dirait de me revoir ? Proposais-je avec une pointe d’anxiété.

- Hum… oui pourquoi pas, permettez que je regarde mes disponibilités… mardi prochain en début d’après-midi ça vous dirait ?

- Oui !

 

Dingue, je ne pensais pas décrocher un rendez-vous aussi vite, je fixais donc une journée de vacance avec mon employeur, prétextait une journée de séminaire auprès de mon épouse, et après avoir acheté un joli bouquet fleuri, arrivait vers 14 heures chez cette perverse bourgeoise. Et là première surprise alors que je m’attendais à voir Fathia m’ouvrir la porte, ce fut en son lieu et place un blondinet habillé comme Nestor dans les aventures de Tintin, qui me fit entrer dans le salon, là Michelle se leva pour m’accueillir, m’embrasser sur la bouche et me mettre la main sur la braguette, avant de me présenter à une autre femme assise dans le canapé.

 

Michelle n’a guère changée, belle quadragénaire, légèrement forte, le visage un peu fatigué, de jolis yeux bleus, très bien maquillée, sa coiffure blond cendré est coupée au carré. Elle est habillée d’une jupe noire un peu longue et assez transparente, alors qu’en haut seul un imposant soutien-gorge noir constitue son seul vêtement. J’avoue que tout cela est fort troublant.

 

- C’est Jackie, ma meilleure amie… et une sacrée cochonne. Elle adore les bites, le chattes, les culs… tout quoi…

- Oh ! Michelle ! Que va penser Monsieur ?

- Monsieur ne s'offusque pas de ce genre de choses ! Rétorque-t-elle.

 

Je me fends d'un sourire un peu gêné.

 

Jackie est d'un tout autre genre que Michelle, nonobstant la tranche d’âge qui est la même, fine, cheveux teints en roux, visage très souriant avec un grand nez fouineur, des yeux bleus et des lunettes. Elle est vêtue d’un jeans assez banal et d’un chemisier blanc déboutonnée jusqu’à l’échancrure d’une poitrine qu’on devine généreuse. Je lui tends la main, mais elle préfère m’embrasser, ce n’est pas un problème.

 

- Je vous offre un café ? me propose Michelle.

 

Va pour le café, qu’elle commande auprès de Ghislain… elle m’explique :

 

- Fathia est toujours à mon service mais elle a pris des vacances, j’ai donc demandé à l’agence de me la remplacer, et histoire de changer, j’ai choisi un jeune homme, il me donne d’ailleurs toute satisfaction. Il a une très belle bite, vous ne tarderez pas à la découvrir.

- Très belle et très bonne ! Renchérit Jackie

 

Je m'en fous de la bite du larbin et suis un peu déçu, moi qui pensais pouvoir admirer enfin les seins de la petite Fathia…

 

On me fait asseoir, et Michelle, debout se positionne à mon côté, me remettant de nouveau la main sur la braguette mais cette fois de façon beaucoup plus ostensible. Qu’auriez-vous fait à ma place, bander bien sûr ! Par reflexe, je lui caresse les seins d'abord par-dessus le soutien-gorge, puis en en dégageant les bonnets. J'ai bientôt son téton dans ma bouche… tandis que mon sexe est en train d'éclater.

 

- Hum, ça a l’air en forme tout ça ! Commente la coquine.

- Montre-nous ça, Michelle ! Intervient Jackie.

 

Sans me demander quoique ce soit, Michelle me dézippe ma braguette et s’en va à la recherche de ma bite qu’elle finit par extraire. Les choses ne se passent pas du tout de la façon dont je les avais imaginées, tout cela va beaucoup trop vite. Et tandis que mon hôtesse imprime à mon membre quelques mouvements masturbatoires, je m’enhardis à lui caresser les deux tétons en écartant complètement le tissu du soutien-gorge.

 

- Attend je le retire ! Me précise-t-elle.

 

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Elle le fait libérant deux globes impressionnants. C’est le moment que choisit Ghislain pour apporter les cafés. Du coup Michelle se dégage. Par reflexe, je vais pour remettre ma queue dans ma braguette.

 

- Tss, tss, veux-tu laisser ça sorti, garnement ! Intervient-elle.

 

Bon Ok, je vais boire mon café, la bite à l’air, c’est une première, mais il est trop chaud.

 

- Alors quoi de neuf depuis tout ce temps ? Me demande Michelle.

- Bof, la routine, le temps passe si vite… et vous ?

- Je t’en prie, tutoyons-nous… ben moi, je rattrape le temps perdu, je suis de plus en plus cochonne… rigole-t-elle. Putain, mais c’est vrai qu’il est trop chaud ce café… Ghislain !

 

Revoilà le biquet.

 

- Madame !

- Ghislain, ton café est imbuvable, il est bouillant !

- Je suis désolé, madame !

- A ton avis, ça vaut combien de coups de martinet ?

- C’est vous qui décidez, madame !

- Alors déshabille-toi, et va me chercher le martinet.

 

Il va pour s'en aller. Michelle le reprend :

 

- Non, tu te déshabilles ici et tout de suite.

 

Il est bien obéissant ce garçon, il se déshabille entièrement, je ne suis pas attiré par les hommes, mais ce mec est troublant, le visage est fin, il est très peu musclé, entièrement épilé, et il faut bien que j'admette qu'il a une jolie bite ainsi que de belles petites fesses bien rebondies. Michelle a surpris mon regard.

 

- Il n’est pas mal, hein ?

 

J’esquisse un sourire, ne voulant pas m’aventurer dans un terrain que je ne saurais pas forcément maîtriser.

 

- Ghislain, approche-toi de Niko, qu’il te voit mieux !

 

Qu’est-ce que vous voulez que je fasse, je ne vais pas m’enfuir ? Et l’autre qui s’approche, il est à 50 centimètres de moi. Je ne sais pas quoi dire, je ne sais pas quoi faire. Je suis comme un con.

 

- Tu peux le caresser ! Me précise Michelle.

- Peut-être pas ! Parvins-je péniblement à articuler.

- Comment ça "peut-être pas" ? Regarde comme sa peau est douce, presque aussi douce qu’une femme.

 

Michelle m’a pris la main et sans que je m'y oppose me la place d'abord sur le torse du zigoto, puis l'a fait rapidement glisser et voilà que quelques instants plus tard je me retrouve avec sa bite dans la main.

 

- Vas-y branle-le !

 

Je le fais, je suis sur une autre planète. Me voici dans un trip qui me ramène à mes années collège, où lors d’une sortie j’avais sucé un de mes camarades suite à un pari. L’occasion ne s’était jamais représentée, mais il faut dire que je ne cherchais pas non plus. Et voilà que moi, l’amoureux fou des femmes, je suis rattrapé par ce vieux fantasme, cette bite j’ai envie de la sucer… J’attends que Michelle me le propose, mais le fera-t-elle ?

 

- Tu m’avais caché que tu aimais bien branler les bites ?

- Ben à vrai dire, je n’ai pas fait ça très souvent !

- Mais je peux te faire rattraper le temps perdu, si tu veux…

 

Je ne réponds pas et continue à branler la bite de Ghislain. Jackie s’est approchée de moi et entreprend de me descendre mon pantalon et mon slip, puis m’ouvre ma chemise et se met à me pincer mes tétons, Comment a-t-elle deviné que cette caresse m’excitait terriblement ? Me voilà complètement débraillé à défaut d’être déshabillé.

 

- Attends, dit-elle, finit d’enlever tout ça, et mets-toi à quatre pattes sur le canapé, ce sera plus pratique !

 

Si elle le dit… j’obtempère, Ghislain est invité à se rapprocher de moi, j’ai à présent sa bite à vingt centimètres de mon visage. L’une des nanas va-t-elle se décider à me proposer de la sucer ? Peut-être n’osent-elles pas ? Pendant ce temps-là, Jackie me pelote les fesses avec ardeur.

 

- Qu’est-ce qu’il a un beau petit cul ! Commente-t-elle.

- Un vrai petit cul de pédé ! Renchérit Michelle.

 

On ne me l’avait jamais faite celle-là encore ! Je sens la langue de Jackie fureter dans ma rosette, j’adore cette caresse qu’on ne m’a prodigué que trop rarement…

 

- Il est bon son cul ? demande Michelle.

- Moins bon que le tien, mais ça va, on va en faire quelque chose…

 

Je ne cherche pas trop à comprendre et continue de masturber le biquet. Derrière, le doigt de Jackie a remplacé sa langue, et s'agite en va-et-vient rapides. Ça me plait bien ce truc !

 

- Tu aimes ? Me demande la coquine à lunettes.

- Oui !

 

Du coup, j'ai droit à un deuxième doigt et c'est encore meilleur.

 

- Attend, je vais te mettre un petit gode, tu m'en passe un, Michelle !

- Non, non ! Protestais-je mollement

- Tu ne vas pas me dire que tu n'as jamais essayé, je ne te croirais pas !

 

Effectivement, j'en ai un à la maison, je l'avais acheté pour varier les fantaisies érotiques avec mon épouse, mais ça lui avait fait ni chaud ni froid, je l'ai essayé un peu sur moi, trouvant la chose plutôt agréable, mais les occasions de faire ça tout seul n’étant pas si fréquentes, j’ai finis par remiser l’objet et serais bien en peine de dire où…

 

- Allez, ouvre-toi bien, je l’enfonce !

 

Je fais comme elle dit et effectivement ça s’enfonce. C’est un machin vibrant qui fait un bruit d’hélicoptère, ce n’est pas très romantique mais il est vrai que ça me donne de bonnes sensations.

 

- T’aimes ça un gode dans le cul ? Me demande Jackie.

- C’est pas désagréable !

- Je m’en doute bien, mais ce n’est pas la réponse que j’attendais ?

- Pardon ?

- J’aimerais que tu répondes avec les mêmes termes que la question !

- J’ai peur de ne plus suivre là…

- Ça nous excite t’entendre un homme dire qu’il aime qu’on lui gode le cul…

- Ah d’accord, alors oui, j’aime bien la façon dont tu me godes le cul !

- Un gode c’est bien, mais ça ne vaut pas une bonne bite ! reprend-elle.

 

Le déclic ! J’ai compris leur truc, les deux nanas fantasment sur ce que peuvent faire deux mecs ensemble. La finalité de leur petit jeu sera que je me fasse sodomiser par Ghislain ! Non, mais ça ne va pas la tête ! Toutes les conditions sont réunies, la mise en place se fait crescendo et en douceur… Il faut que je maîtrise l’envie folle de sucer la bite du biquet, si je fais, rien n’arrêtera plus l’engrenage…

 

- T’es pas d’accord avec moi ? Insiste lourdement Jackie.

- Je n’en sais rien, je ne suis pas prêt pour ça !

 

C’est alors que Michelle s’agenouille près de Ghislain, ou plutôt près de la bite que je tiens toujours à la main.

 

- Tu me la prêtes ?

 

Et hop, voici qu’elle suce la queue bandée avec avidité. Voilà un joli spectacle, jolie visage et belle bite à quelques centimètres de mes yeux… et puis au bout de deux minutes, d’un geste très naturel, elle cesse sa fellation et dirige le sexe du biquet vers ma bouche.

 

- A ton tour !

 

Je n’ai rien calculé, mais voilà que sans le vouloir, je me retrouve avec l’objet dans la bouche, la texture est fine, mais c’est surtout la situation qui est troublante, je suce la bite d’un mec et ça me plait, ça me plait même beaucoup. Je n’ai pas tenu compte de mes propres appréhensions, mon cerveau est descendu dans ma bite, et je sais à présent que la prochaine étape, la sodomie est inéluctable… non pas parce qu’on me forcera, je peux toujours dire non, et je suppose que ces nanas respecteront ma décision, mais tout simplement parce que je n’ai plus aucune envie maintenant de m’y opposer !

 

- Elle est bonne ?

- Hum délicieuse ! Arrivais-je à articuler pendant une pause.

- Pourquoi tu n’essaie pas de te la faire mettre dans le cul ? Si vraiment ça ne te plait pas on arrête…

 

Qu’est-ce que je disais ? Mais je vais les étonner les gonzesses !

 

- Ok, je veux bien essayer !

 

Surprise générale, mais ça va très vite, la bite de Ghislain est encapotée et vient quémander l’entrée intime du milieu de mes fesses. Il force un peu, se reprend et miracle ça s’enfonce… et là c’est vraiment une première, je ne m’étais jamais fait enculer, c’est désormais chose faite, et le gars qui me besogne s’y prend remarquablement, sans violence, tout en douceur et en finesse, un expert. Se faire enculer par ce gars-là, c’est de l’art, du grand art.

 

- Alors ? Demande Michelle.

- C’est trop bon !

- Redis-le mieux !

 

Je me souviens de l’observation de Jackie tout à l’heure…

 

- C’est trop bon de se faire enculer !

- Le vrai délire ce serait que tu suces une bite tout en te faisant défoncer le cul !

- Ce serait super ! Ais-je la grande imprudence de répondre…

- Tu voudrais ?

- On peut toujours fantasmer !

- On va le réaliser ton fantasme… me répond Michelle.

 

Cette dernière s’empare de son téléphone.

 

- Emilio, je ne vous dérange pas… Nous sommes en pleine partouze… On aurait besoin de vos services, si vous pouviez monter… non un ami que je n’avais pas vu depuis un moment, il est mignon et il adore les bites…

 

Qu’est-ce qui va encore m’arriver ? Pas le temps de trop réfléchir, l’Emilio se radine trois minutes après le coup de fil de Michelle. J’ai appris plus tard qu’il s’agissait du gardien de l’immeuble, c’est un quinquagénaire assez banal…

 

- Bonjour M’sieur dames ! Et bien dites donc, il y a de l'ambiance ici ! Qu’est-ce que je peux faire pour vous !

- Sortez donc votre bite, Niko va se faire un plaisir de vous la sucer !

 

Et voilà que sans plus de cérémonie et tandis que Ghislain continue de me pilonner l’anus, Emilio se positionne au niveau de ma bouche et me sort un chibre de taille respectable que je mets un point d’honneur à introduire dans ma bouche sans aucun préalable, et que je me mets à sucer avec gourmandise. Son goût est un peu fort, ça sent un peu la pisse, mais curieusement ça ne me gêne pas trop.

 

- Ne jouissez-pas, Ghislain, réservez votre foutre pour Jackie ! Précise Michelle

- Bien Madame !

- Par contre, Emilio, allez-y ne vous gênez pas, libérez-vous…

- Je peux me mettre derrière ? Demande le nouveau venu

- Bien sûr ! Et Ghislain va venir devant

- OK, passez-moi une capote, je vais le ramoner bien comme il faut, votre ami…

 

Aussitôt dit, aussitôt fait, Ghislain libère la place, et me voilà avec la deuxième bite de mon existence dans mon cul ! Je fais fort aujourd’hui. Le chemin étant préparé il entre facilement, il me remplit toutefois davantage et pilonne plus vite.

 

- T’aimes ça te faire enculer, hein petite salope ? Se croit-il obligé de commenter.

- J’adore ça ! Répondis-je au poète, puisque c'est cette réponse qu'il attendait.

 

Ghislain m’a contourné et se place devant moi, le sexe toujours en érection. Il va pour retirer le préservatif qui est un peu pollué quand Jackie l’en empêche.

 

- Non, tourne toi, donne lui ton trou du cul, je vais m’occuper du reste !

 

Ghislain obéit et me présente son joli fessier à lécher. J'hésite un peu, mais au point où j'en suis… Je commence par un chaste bisou sur la fesse gauche avant de m'enhardir. Ce mec a vraiment un cul de gonzesse, c'est doux, c'est frais, c'est potelé et il n'y a pas un poil qui traîne, je ne tarde pas à lui lécher le trou du cul tandis que la rousse à lunettes à tout l'air de se régaler en nettoyant de la langue les traces douteuses déposées sur la capote. La cochonne !

 

J'ai quand même du mal à synchroniser tout ça, Emilio s'excite de plus en plus et je suis mal calé. Tout d'un coup son mouvement s'accélère, puis s'arrête, il pousse une sorte de grognement. Il a joui et il décule. Jackie attend sa bite à la sortie et effectue son second nettoyage de l'après-midi. J'aurais bien aimé que ça dure un peu plus longtemps, c'était vraiment agréable, et j'ai découvert quelque chose… mais maintenant que c'est fini j'ai quand même un peu mal au cul.

 

- Bon, je vous laisse, j'ai du travail ! Indique Emilio. Mais si vous avez encore besoin de moi, rappelez-moi…

 

- Avec tout ça, on n'a pas bu notre café ! Déplore Michelle.

- C'est de la faute de Ghislain, il ne nous aurait pas servi des cafés bouillants, on les aurait bu avant de faire des bêtises ! Ajoute Jackie.

- Je suis désolé, madame, répond l'intéressé. Souhaitez-vous que je refasse du café ? Je me permets par ailleurs de signaler à ces dames que je suis redevable d'une punition.

- Ok, va déjà refaire du café !

 

J'ai plus envie d'une boisson fraîche que de café. Je demande poliment :

 

- Je boirais bien un verre d''eau !

- Mais si ce jeune homme a soif, je pourrais peut-être lui offrir mon champagne suggère Jackie.

 

Je ne réponds pas, ayant un petit doute…

 

- Je crois en effet me souvenir qu'il aime ça.

 

Et la voilà qui retire son pantalon et sa culotte, tandis que Ghislain revient avec des tasses propres. Jackie lui demande de nous apporter trois verres. Elle s'empare alors d'un des verres et se met alors à pisser dedans, un joli pipi d'un joli jaune, elle remplit ensuite un deuxième verre, puis répartit harmonieusement le liquide doré dans les trois récipients. Je pensais qu'on allait trinquer. Ben non, la coquine est encore plus perverse que je ne le pensais. Elle prend l'un des verres, en absorbe une partie mais sans l'avaler, puis d'un mouvement des lèvres et du doigt, me fait signe de venir l'embrasser. Je m'exécute, et roule une pelle à Jackie dans sa bouche pleine de sa pisse. Imaginez comme je bande. Michelle prend le relais et m'embrasse puis c'est au tour des deux femmes de s'échanger un brulant baiser doré. Jacky enlève enfin son haut et dévoile une jolie paire de seins, très probablement refaits, mais de bonnes tenues avec des jolis tétons qui dardent, elle trempent deux doigts de chaque main dans un verre et s'humecte la poitrine, puis m'invite à venir lécher… Je vous dis, je vais éclater…

 

Ghislain revient avec les cafés. Ça veut dire qu'on va faire une pause… ce n'était peut-être pas nécessaire. Il ne s'est pas rhabillé et nous amène tout ça la bite et le cul à l'air. Troublant je vous dis. Michelle lui ordonne d'aller chercher un martinet et de se tenir prêt à recevoir une bonne fouettée.

 

- Allez, tends bien tes fesses de pédé, on va te rougir tout ça !

 

Michelle commence à le flageller, puis Jackie prend le relais, je n'ai pas compté les coups, mais ça ne doit pas lui déplaire de trop au Ghislain parce que le voilà qui rebande comme un âne… Une envie folle de le sucer de nouveau. Michelle surprend mon regard.

 

- Oh, toi tu aimerais bien le sucer encore une fois !

- C'est vrai !

- Alors vas-y, mais juste un peu, parce que comme vous bandez bien tous les deux, après vous allez nous enculer.

 

Voilà une perspective attrayante, mais en attendant me revoilà avec la bite du biquet dans la bouche. Je me régale, j'ai vraiment découvert quelque chose cet après-midi. Mais alors que mes lèvres et ma langue entamaient un ballet pervers avec cette trop jolie verge, on me fait stopper et après s'être concertées, les deux femmes se mettent en levrette

 

Quels magnifique spectacle que ces deux culs offerts, celui de Michelle est très blanc, très rond, peu poilu attendrissant, celui de Jackie plus mat, plus poilu, et très légèrement pollué. Ghislain se positionne derrière cette dernière.

 

- Comment est mon cul ? demande-t-elle.

- Très beau, madame !

- Non, ce n'est pas ça que je te demande, je te parle de son état.

- Ah… son état ! Et bien disons qu'Il n'est pas très net, madame !

- Mais comment cela se fait-il que mon cul ne soit pas net, d'après toi ?

- Sans doute, madame s'est-elle mal essuyée...

- Ce serait donc des traces de merde ?

- Probablement, je ne vois pas ce que cela pourrait être d'autre, madame !

- J'ai donc le cul merdeux !

- Très légèrement, madame, vous avez le cul très légèrement merdeux !

- Alors nettoie !

- Aved grand plaisir, Madame, répondit-il en s'exécutant.

 

Le cul de Michelle, que je lèche pour ma part sent un peu fort mais n'est pas vraiment pollué… heureusement car je ne pense pas que j'aurais pu aller aussi loin que Ghislain. Après quelques minutes de préparation, elle me présente son fondement et m'invite à la pénétrer, ce que je fais avec une facilité déconcertante. J'encule Michèle tandis que Ghislain fait de même avec l'autre cochonne. Les deux femmes se sont arrangées pour se placer face à face, ce qui fait que malgré nos coups de boutoir, elles trouvent le moyen de se lécher le museau.

 

Je préviens ma partenaire que je vais jouir, et comme elle me dit de ne pas me retenir, me voilà qui décharge bientôt, et je m'écroule sur elle. Les deux zouaves à côté ne tardent pas non plus à terminer leurs petites affaires. On est tous les quatre sur les rotules.

 

- Ghislain, du champagne… du vrai et plus vite que ça... tu prendras une coupe avec nous… lui commande Michelle. Non, non reste à poil, tu es très bien comme ça.

 

Le champagne est arrivé, mais avec ces deux nymphos, les choses ne pouvaient se passer "normalement". Michelle a commencé par se mouiller le sein avec le champagne et m'a invité à la lécher. Du coup Jacky l'imita et invita Ghislain… l'objectif était bien sûr de nous faire rebander. Et nous rebandâmes assez vite.

 

- Si on leur faisait faire un petit soixante-neuf à ces deux pédés ? proposa Jacky

- Ça me paraît une excellente idée… allez messieurs en position, les désirs de mon amie sont des ordres.

 

Je suis un peu crevé, mais je me prête au jeu, je suce la bite de Ghislain tandis qu'il me suce la mienne. Les deux femmes se pelotent mutuellement la chatte en nous regardant. Je profite au maximum de cette queue dans ma bouche, je pense que je n'aurais sans doute pas de sitôt l'occasion de me livrer à ce genre de fantaisie. Nous bandons tous les deux comme des cerfs, je sens que je vais venir, mais Michelle nous fais arrêter et nous lance des capotes.

 

- Allez les garçons, dans nos culs encore une fois.

 

Je pensais qu'on allait changer de partenaire, mais non, me revoilà donc une nouvelle fois en train de pilonner Jacky. J'éjacule assez vite, je suis vidé, j'irais bien faire un somme… Je me sers un jus d'orange, je me rhabille, prend congé de Michelle (gros bisous sur la bouche) et de Jackie (même punition). J'aurais bien dit au revoir à Ghislain mais il semble avoir disparu de la circulation…

 

Je descends l'escalier, la tête pleine d'images, le cul un peu endolori, la quéquette un peu fatiguée. Je passe devant la loge du gardien. La porte s'ouvre pour laisser passer Emilio.

 

- Au revoir, Monsieur, me dit-il.

- Au revoir !

- Vous n'auriez pas cinq minutes ?

- Cinq minutes pourquoi ? Demandais-je.

- Venez ! me répond-il

 

J'entre dans la loge, il referme la porte.

 

- Vous m'avez bien sucé tout à l'heure !

- Ah, oui ? Merci !

- On n'pourrait pas recommencer ? Juste un petit coup vite fait…

 

Ben, non, je suis crevé, il faut que je rentre, je cherche mes mots pour lui dire, alors que lui ne trouve rien de mieux que de sortir sa queue de sa braguette.

 

- Allez suce !

 

Si je ne le fais pas je vais le regretter, me dis-je dans ma tête, et me revoilà en train de le sucer… je sais aussi que s'il me propose une nouvelle sodomie je ne dirais pas non… il me l'a proposé, je me suis laissé enculer, j'y ai pris du plaisir et je suis parti, le mec a voulu m'embrasser, j'ai refusé.

 

Dans la rue, un doute m'asseye, ais-je changé de bord, je regarde les passants autour de moi, je fixe les mecs, ça ne me fait rien du tout, je fixe les femmes, et me retrouve hétéro comme devant, les classant grosso-modo en mémères inconsommables et bourgeoises à butiner… quelque part ça me rassure…

 

Envie de fumer une clope, je fouille dans ma poche, je sens un bout de papier, je le sors… une écriture inconnue : je lis :

 

"Si vous êtes d'accord pour qu'on se revoit en privé, téléphonez moi au 06…"  et c'est signé Ghislain…

 

Mon visage s'éclaire d'un sourire. Je lui téléphonerais demain matin… Je ne suis pas homosexuel, je ne sais pas si je suis bisexuel, mais, au diable les étiquettes, si je peux à nouveau lui sucer la bite à celui-ci qu'est-ce que je vais être content !

 

Fin de l'épisode

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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