Samedi 16 juillet 2005 6 16 /07 /Juil /2005 09:06

Drôle de stage

par Estonius

 

coin102 h

 

Je travaille dans un grand établissement privé en plein cœur de la capitale, j'y ai fait toute ma carrière, et j'aurais pu finir cadre si les circonstances avaient été autres.

 

Plusieurs fois responsable de bureau, puis muté aux études en pleine croissance de la micro-informatique, puis chargé de la formation micro, bref des postes où venir travailler n'était pas vraiment une corvée. En retour j'étais bien noté par mes supérieurs et estimé de mes collègues.

 

Et puis un jour, changement de direction, le responsable informatique étant absent, la nouvelle patronne m'appelle pour dépanner son imprimante, je n'ai pas su faire et j'ai donc été jugé tout de suite : j'étais devenu un incapable en une demi-heure de temps !

 

Quelques jours après on me demandait d'aller en renfort dans un service de production, c'était en 2002, trois ans après, j'y suis toujours et me voici à faire des travaux qui ne m'intéressent pas encadré par une responsable débile !

 

Nous sommes aujourd'hui en juin, dans un mois je serais en préretraite, autant vous dire que je ne me casse plus la tête, je réponds au téléphone, j'aide mes collègues mais sinon c'est service minimum.

 

Et vlatipa…

 

.. que ce vendredi j'ouvre ma messagerie ! Et perdu au milieu de diaporamas rigolos, de vidéos coquines, d'histoires parfois drôles et d'images circulantes, un titre m'interpelle "stagiaire grande école" Je m'attends à une blague à deux euros. Ben non c'est du sérieux

 

"Nous allons recevoir pendant une semaine Mademoiselle Sabrina X, comme tu connais bien les sujets qu'elle veut voir évoqués pendant son stage, tu vas la parrainer toute la semaine prochaine… Ci-joint le plan du stage que tu pourras aménager à ta convenance et suivant ses attentes..."

 

C'est ce connard et fainéant de responsable à la formation qui ose m'envoyer ça ! Le vieux qu'on a mis au rencard après des années de bons et de loyaux services, on vient lui demander de faire le chaperon à moins d'un mois de la retraite ! Je rêve ! Comme si on ne pouvait pas me foutre la paix ! Et puis, je ne vois pas pourquoi on m'obligerait à faire ça ! Ma décision est prise : Je refuse ! Et histoire de bien les faire chier, je ne vais pas répondre au mail, je refuserais lundi matin, quand on m'appellera, et devant la stagiaire ! Qu'est-ce que je risque ?

 

Et nous voici Lundi matin !

 

Le téléphone sonne !

 

- Monsieur Etienne. vous pouvez venir me voir…

 

C'est la chef de service, elle est avec la stagiaire Je monte l'escalier ! J'ai parfaitement répété la scène, les mots que je dois dire, les réponses aux arguments. Ça va leur faire drôle !

 

Et je rentre dans le bureau de la chef !

 

Gloups !

 

Elle est débout, grande ! Grande comment ? Je n'en sais rien mais plus grande que moi ! Elle est vêtue d'un pantalon blanc mais surtout d'une sorte de débardeur bleu faisant briller de splendides épaules couleur chocolat, le décolleté est discret mais laisse rêveur, et ce sourire ! Elle est charmante la stagiaire ! Quel âge ? Une vingtaine d'année comme on dit !

 

- Je te présente Sabrina Duval.

- Enchanté !

- Je te la confie !

- Avec plaisir, m'entendis-je répondre

- Voilà la clé du petit bureau du fond, vous pourrez vous y installer pendant une semaine.

 

J'espère que je ne fais pas une connerie, me voici victime de mes glandes, de mes hormones, de je ne sais pas quoi, mais toutes mes bonnes résolutions sont dégringolées à la vision de cette superbe antillaise ! Comme on dit, la chair est faible !

 

Le premier jour se passe sans problème, je lui fais faire le tour des bureaux, lui demande ce qu'elle souhaite approfondir et répond à ces questions. Elle est très sympathique, assez bavarde aussi, genre "j'ai toujours quelque chose à raconter". Assez pénible ces gens qui ont une version très " scolaire " du monde du travail, mais bon… Il m'apparaît assez vite que le plan de stage qu'on lui a bâti ne correspond pas vraiment à ce qu'elle cherchait, ça l'embête un peu mais on fait avec, du moins ce lundi. On a été au restaurant d'entreprise ensemble, et la conversation est restée très professionnelle.

 

Le mardi, mademoiselle était habillée d'un machin jaune, flashant on ne voyait plus ses épaules mais le décolleté l'était plus que la veille ! Charmant spectacle... et alors que la journée est à peine commencée, les hostilités commencent :

 

- Est-ce que vous avez les pouvoirs de changer mon plan de stage ?

- Oui, mais uniquement sur les détails !

- Qui a ce pouvoir ?

- Le responsable à la formation mais il est en vacances depuis hier…

- Il a bien un adjoint ?

- Non !

- Le problème c'est qu'on ne m'a pas envoyé dans la bonne unité de production. Vous n'y êtes pour rien mais je perds mon temps ici !

- Pourquoi vous ne le faites pas remonter le problème à votre école ?

- Les administratifs s'en foutent ! Ça ne fera que la troisième fois qu'on me fait faire un stage qui ne correspond pas à mes demandes, si je leur en parle je passe pour une râleuse…

 

J'étais parti pour une séance de récrimination quand un collègue entra pour me demander un truc ! Il se présenta à la stagiaire puis ne put s'empêcher de faire une réflexion :

 

- Sois sérieux avec mademoiselle, Etienne, c'est une petite jeune, ce n'est plus de ton âge, fais attention à ton petit cœur…

 

C'est alors que Sabrina fit assez sèchement cette réponse ahurissante :

 

- L'âge ne compte pas quand on se sent bien avec quelqu'un !

 

Le collègue est complètement déstabilisé, esquisse un vague sourire, oublie qu'il était en train de me demander quelque chose et disparaît ! Mais pourquoi donc a-t-elle fait une telle sortie ?

 

- Je suis désolé pour votre collègue, mais dès fois ça m'énerve ce genre de propos et comme en plus je suis de mauvais poil…

- On fait quoi ?

- Je ne sais pas, on pourrait aller prendre un café, déjà !

 

Je lui propose la machine à café, mais elle préfère le bistrot du coin, c'est en principe interdit, mais je m'en fous !

 

Et là j'ai droit à la phase deux des récriminations de la demoiselle :

 

- Si vous saviez ce qu'on peut s'emmerder pour essayer de trouver une bonne situation….

 

Elle m'explique alors avoir obtenu un gros diplôme de comptabilité qui aurait dû lui ouvrir pas mal de portes d'entreprises :

 

- Il faut faire avec les entretiens d'embauche débiles, faut voir les questions qu'ils posent, ceux qui ne me prendront pas de toute façon parce que je suis noire, les gens disent qu'ils ne sont pas racistes, mais parfois ils ne se rendent même pas compte qu'ils le sont… Et ceux qui vous expliquent presque sans précaution que pour avoir le poste, ben il faudrait coucher ! C'est de l'abus de pouvoir… Je ne porte pas de jugement sur celles qui acceptent, mais moi, si je me mets à coucher ce ne sera pas pour me faire embaucher… Parce quel que soit le niveau de rémunération que j'obtiendrais je gagnerais toujours moins qu'une prostituée… et croyez-moi je ne leur jette pas la pierre...

 

Que voulez-vous que je réponde ? Je biaise !

 

- Donc vous n'avez pas trouvé de poste et vous avez décidé de continuer à étudier pour avoir un niveau supérieur, c'est ça ?

- Ouais, et c'est mal parti, si on me fait faire des stages qui ne me servent à rien… J'avais une amie qui a suivi la même filière que moi, c'est pareil elle a été dégoûtée, elle est parti au Québec, elle travaille dans un club de strip-tease. Je me demande si je ne vais pas faire la même chose !

 

Ce discours est tellement surprenant que je ne sais vraiment plus quoi dire !

 

- Vous en pensez quoi, vous, des métiers du sexe ?

- Oh, vous savez, je suis un homme, je ne vais pas faire l'hypocrite, voir une belle femme se déshabiller, ça n'a rien de désagréable.

- Oui ! Ça c'est les strip-teaseuses, mais la prostitution ?

- C'est plus compliqué, si personne ne force la fille à faire ce qu'elle fait, c'est une affaire privée, chacun fait ce qu'il veut, ça ne me choque pas plus que ça !

- Je peux vraiment être indiscrète ?

- Allez-y, mais je ne vous promets pas de vous répondre.

 

Mais je me doute de ce qu'elle va me demander.

 

- Vous êtes déjà monté avec une prostituée ?

- Oui !

- Et c'était bien !

- La fille était gentille !

- Si je le faisais, je crois que moi aussi, je serais gentille. Parfois ça me tente, mais c'est un milieu qui me fait peur… Bon on retourne en stage !

 

Ouf !

 

Plus aucune allusion sur les métiers du sexe de la journée. Quand nous ne bavardons pas, elle écrit des trucs dans son coin. Le mercredi elle eut simplement une petite phrase me confiant que même si tout ce que je lui montrais ne l'intéressais pas, elle était content de m'avoir comme parrain de stage… elle fallut qu'elle conclut par un incroyable :

 

- Je ne sais pas si tout cela me servira à quelque chose... mais si un jour je deviens pute, je vous ferais des prix…

 

C'était dit, bien sûr sur le ton de la plaisanterie, mais c'était dit quand même. Ne dit-on pas qu'il n'existe pas de propos complétement innocents… Puis elle embraya sur autre chose, elle ne souhaitait pas que la conversation dévie, pas ce jour-là… en revanche, le lendemain…

 

Car le jour suivant, il était prévu que nous nous déplacions chez un prestataire de service, autrement dit une boite de sous-traitance qui travaillait pour nous !

 

- Ça ne m'intéresse pas, j'ai visité une boite comme ça, quand on en a fait une on les a toutes faites, ce sont des gros cons qui exploitent leur personnel, qui leur imposent des rendements de dingues et des conditions de travail dégueulasses.

- On fait quoi ?

- On fait semblant d'y aller, vous me donnerez deux trois indications pour que j'en parle dans mon rapport de stage et ça ira très bien comme ça !

 

En fait on y est allé quand même mais nous ne sommes restés qu'une heure, cela avait le mérite de donner le change !

 

- Vous faites quoi, maintenant alors, vous rentrez chez vous ? Lui demandais-je.

- A moins que j'aille me promener… et vous ?

- Je ne sais pas trop !

- On se boit un café, alors !

 

Sabrina s'était aujourd'hui habillée d'un petit ensemble rose, le haut était légèrement décolleté mais étant pourvu de boutons pouvait s'ouvrir d'avantage ! Et alors que nous venions de nous asseoir, c'est exactement ce qu'elle fit. J'avais maintenant les yeux rivés sur la naissance de sa poitrine !

 

- Ça vous plait ?

- Je ne vais pas dire le contraire !

- Tu aimerais bien la toucher, hein ? (brusque passage au tutoiement)

- Certes !

- Ça peut se faire, tu sais !

- Bon, écoutez, Sabrina, je crois comprendre à quel jeu vous jouez, ça ne me choque pas du tout, mais je n'ai pas envie d'y jouer !

- Menteur !

- Non !

- Qu'est-ce que tu risques ? On va dans un hôtel dans le coin, on reste une heure ou deux, j'ai des préservatifs dans mon sac, le risque c'est moi qui le prends, c'est celui que tu ailles répéter à tout le monde ce qu'il m'arrive de faire, mais bon je l'assume ! Je ne te prendrais pas cher, je peux pas prendre les tarifs d'une professionnelle, je le suis pas !

- Arrête, Sabrina, j'ai dit non !

- Ou alors si tu préfères, on descend aux toilettes, je te laisse juste voir et toucher ma poitrine, pour disons 20 euros !

 

Elle est en train de m'ensorceler ! Son doigt a pénétré dans l'échancrure de son haut et l'écarte un peu plus dévoilant maintenant la naissance de l'aréole !

 

- On ne vit qu'une fois, si tu ne le fais pas, tu regretteras de ne pas l'avoir fait !

 

Je suis en sueur, je bande, je suis mal !

 

- Je te laisserais même l'embrasser un petit peu… Imagine un peu ta petite langue sur mes seins…

- Bon d'accord on descend !

 

Nous descendons dans les toilettes après avoir payé la conso sous le regard goguenard du patron du bistrot. En bas elle déboutonne entièrement son haut, libérant un soutien-gorge à balconnets bas, laissant libre tout le haut des mamelons ! Je deviens dingue !

 

- Vas-y touche !

 

Bien sûr que je caresse, sa peau est d'une infinie douceur, et mon sexe le sait bien, qui manque maintenant de place derrière ma braguette. Elle n'est pas folle, elle l'a vue, elle y met la main, je la laisse faire tandis que ma bouche s'approche de cette poitrine qui m'attire comme un aimant, j'embrasse, je donne des petits coups de langue, m'approche du téton !

 

- Je peux ici aussi !

- Bien sûr !

 

Sa main n'a pas lâché ma braguette et elle me caresse désormais carrément le sexe à travers le tissu.

 

Il me vient une idée un peu foldingue c'est de lui demander d'enlever son soutien-gorge pour 20 euros de plus, j'aime bien voir les seins entièrement libres… avant de réaliser que de toute façon je n'ai pas besoin de demander, la suite est maintenant devenu inéluctable !

 

- Alors on y va à l'hôtel ?

- Oui, on y va ! Répondis-je

 

Je m'enquière juste du prix, il était raisonnable !

 

Elle sut gérer le temps de trajet jusqu'à un hôtel que nous avons dégoté non loin de là, en philosophant sur les bonnes choses de la vie et en me parlant de sa passion pour la bonne bouffe ! A l'hôtel nous avons demandé une chambre pour deux heures…

 

Je me retrouve un peu con, dans cette chambre au décor nul ! Je me demande quoi faire ? Me déshabiller ? Attendre qu'elle le fasse ? Attendre qu'elle me dise de le faire ?

 

- Tu aimerais quoi ? Que je te fasse un petit strip-tease pour commencer ?

- Ça me parait une bonne idée !

- Mais déshabille-toi d'abord sinon tu vas faire craquer ta braguette.

 

Je ne sais pas pourquoi, mais ça me gêne un peu de me foutre à poil devant elle alors qu'elle ne l'est pas ! Mais je le fais quand même !

 

- Ah, toi aussi tu gardes tes chaussettes ?

- Pourquoi " moi aussi " ?

- Approche-toi de moi, après je te dirais un truc !

 

J'approche, elle me prend par la taille !

 

- Il parait que les putes n'embrassent pas, mais moi comme je n'ai pas encore le statut, je peux le faire…

 

Avant que j'aie pu réaliser quoique ce soit, son visage s'est rapproché du mien, nos bouches sont entrées en contact et sa langue s'est faufilée dans mon palais ! Le baiser fut bref mais je ne vous dis pas le résultat, ma bite est de nouveau au garde à vous.

 

- Tu dois bien t'en douter, ce n'est pas la première fois que je fais ça, en fait j'ai déjà fait payer des mecs une dizaine de fois, et mes tarifs, c'est à la tête du client. Un jour je sauterais le pas, mais je ne suis pas encore prête. Et puis la particularité de ce genre de relation, c'est qu'au lieu de faire de la baise classique, les mecs se disent "si c'est une pute, elle doit connaître des tas de trucs !" Comme ils ont payé ils se lâchent et demandent parfois des bizarreries. Alors si tu veux des choses qui sortent de l'ordinaire, n'hésite pas à me le dire, moi je n'ai pas de tabous !

 

Je ne réponds pas, je n'ose pas… mais elle insiste :

 

- Tu n'as pas des petits trucs que tu aimerais que je te fasse, des petits fantasmes secrets ?

- Euh si… comme tout le monde…

- Ben dis-moi, c'est compris dans le prix !

- Je pourrais te regarder faire pipi ?

- Pas de problème, on va incorporer ça au programme ! Allez assieds-toi sur le bord du lit, je vais te faire un show !

 

De nouveau elle déboutonne son haut et l'enlève, elle virevolte plusieurs fois, tout n'est que merveille chez cette fille, même son dos dont le sillon et les courbes créent d'étranges jeux d'ombres et de lumière. Le soutif vole dans les airs et atterrit sur le lit ! Splendide poitrine qui semble défier les lois de la pesanteur, mon sexe me fait mal et je me surprends à le tripoter d'une main distraite. Et la fête continue… mademoiselle enlève ses bottines, le pantalon dégringole, elle est maintenant en string, un joli string rose ! Oh les jambes ! De longues jambes noires qui n'en finissent pas, des cuisses de rêve, j'attends qu'elle se tourne... Mon dieu les fesses, incroyable cambrure ! Me voilà deux heures dans une chambre d'hôtel minable avec un top model qui m'a demandé pour ça sans doute que le quart du tarif syndical ! Je dois être en train de rêver !

 

- J'enlève le string aussi ! Demande-t-elle, rigolarde !

- Ce serait mieux ! Répondis-je sur un ton faussement sérieux !

 

C'est parti, elle s'écarte maintenant son sexe devant moi ! Quelle merveille que ce petit écrin tout rose au beau milieu de cette belle peau mousso-chocolatée ! Elle me fout son sexe sous le nez !

 

- Lèche ! Tout à l'heure je pisserai pour toi, lèche !

 

Je ne m'attendais pas à ce qu'on aille jusque-là, ma langue s'immisce à l'intérieur, y recueille le goût de son intimité, je farfouille à l'intérieur mais quand je m'attarde sur le clitoris elle me fait arrêter, peut-être ne désire-t-elle pas jouir ou alors pas si tôt !

 

Elle se tourne :

 

- Lèche-moi derrière !

 

Elle écarte ses globes fessiers, me donnant son petit trou à lécher ! Ça tombe bien, j'adore faire ça, j'essaie de forcer l'entrée avec le bout de ma langue, l'anus finit par s'entrouvrir, l'odeur très légèrement acre du lieu me plait, mais mademoiselle a envie de varier les plaisirs et finit par se retourner.

 

- Tu as une bonne langue, toi ?

 

Propos peut-être uniquement commercial, mais ça ne fait rien, ça fait toujours plaisir à entendre !

 

Je suis toujours assis, elle se penche et me caresse le sexe !

 

- Doucement je ne voudrais pas jouir tout de suite !

- Mais si tu jouis tout de suite, ça n'a aucune importance, on était d'accord pour deux heures, on fera deux heures !

 

C'est ce qui s'appelle de la conscience professionnelle !

 

Elle me branlotte quelques instants pendant que mes mains s'égarent sur son corps, puis elle penche son visage, dépose un bisou du bout des lèvres sur mon gland, avant de l'attaquer de la langue et de finir par mettre tout ça dans sa bouche.

 

- On s'allonge on sera mieux ! Propose-t-elle

 

Bonne idée !

 

Je me couche sur le dos au milieu du plumard, elle vient me déposer un très léger bisou sur les lèvres puis se met sur ses genoux entre mes cuisses, et recommence à me sucer, ses mains se projettent en avant et cherchent mes tétons, les trouvent, les serrent, les serrent encore plus fort ! Elle redresse son visage un instant !

 

Sabrina0705.jpg

 

- Tu aimes ?

- J'adore !

- Essaie de ne pas me jouir dans la bouche, préviens-moi si tu viens !

 

Les deux caresses combinées finissent par provoquer un état extatique, je suis bien, merveilleusement bien ! Le plus dur ça va être de m'approcher de la jouissance sans la réaliser…. Je finis par lui dire que mon plaisir monte !

 

- Ok, je vais préparer un préservatif, mais on va faire un petit break, mais avant c'est à ton tour de me caresser.

 

Voici une excellente suggestion !

 

Je la caresse donc partout, les bras, le ventre, les cuisses, et bien sûr les seins, je ne m'en lasse pas ! Le grain de sa peau est d'une douceur à peine croyable ! J'ai rarement eu l'occasion de coucher avec des femmes noires (ce doit être la troisième si je n'ai pas de trous de mémoire) mais à chaque fois deux choses m'ont impressionné, leur chute de rein et la douceur de leur peau. Ma bouche ne reste pas inactive et j'embrasse tous les centimètres carrés de peau qui me tombe sous les lèvres ! Là encore ses nénés de rêves ont eu ma priorité comme vous vous en doutez ! Je me place un moment entre ses cuisses pour lui lécher la chatte, elle se laisse faire mais comme tout à l'heure m'empêche de m'attarder sur son clitoris ! Je décide donc de ne plus faire de tentative de ce côté !

 

- Tu veux me prendre comme ça ou tu préfères une autre position ! Me demande-t-elle tandis qu'elle ouvre l'étui du préservatif, je pense alors qu'elle va soit me le tendre soit qu'elle va me le poser elle-même !

 

Et bien non !

 

- J'ai appris un truc sur Internet, je vais te montrer !

 

Me montrer quoi ?

 

J'ai bien l'impression que le préservatif disparaît dans sa bouche, Sabrina se penche pour me sucer, Et hop c'est magique ! Elle vient de me poser la capote avec sa bouche !

 

- Super ! J'y arrive bien maintenant ! Commente-t-elle amusée !

- Tu viens sur moi ! Proposais-je

- Je l'aurais parié, comme ça qui c'est qui fait tout le boulot, c'est Sabrina ! Mais ça fait rien, ce ne sera pas une corvée...

 

Et la voilà qui s'empale sur moi, et qui commence à coulisser, je participe au mouvement en gigotant des reins comme je peux ! J'adore cette position car outre le fait qu'elle est reposante (du moins pour moi) j'ai une vue d'enfer sur sa poitrine qui ballote au rythme de ses chevauchées. Après dix minutes de cet exercice, elle me dit alors :

 

- Ne bouges plus, on va faire quelque chose !

 

Elle se dégage et positionne ma bite à l'entrée de son anus ! Non, je vais même avoir droit à ça ! Je vous dis que je rêve !

 

- Surtout ne bouge pas, c'est moi qui conduis, c'est comme au bal !

 

Tu parles d'un bal, ma queue est absorbée par son cul millimètre après millimètre, quand je la sens bien enfoncée, prisonnière de ses sphincters, elle se met à coulisser d'abord très doucement puis plus violement, elle pousse des petits cris, incroyable, mademoiselle jouit du cul ! Je crois un moment qu'elle simule pour me faire plaisir, mais non, son vagin s'humidifie de façon évidente ! Encore plus vite ! Je suis au bord, je lui dis, elle ne répond pas, elle s'en fout, je lui redis, elle se contente de gémir ! Je pars ! J'ai joui, elle continue quelques instants ! Je suis crevé ! Des trucs pareils c'est plus de mon âge !

 

- Super ! Que je lui dis. Je ne regrette pas d'être venu !

- Et attends, c'est pas fini, je t'avais promis que tu regarderais mon pipi, tu vas le voir ! Mais on a le temps, on se fume une clope ?

 

C'est la première fois que je la vois fumer ! Je suis pour ma part un fumeur d'occasion mais je l'accompagne !

 

On a parlé d'un tas de trucs comme ça tous les deux à poils sur le lit pendant vingt minutes, puis coquinement elle me remit la main sur le sexe !

 

- Alors on est prêts pour la seconde mi-temps !

- Tu sais à mon, âge tirer deux coups de suite comme ça, je ne sais plus faire.

- Tss Tss ! Justement ça fait partie des choses qu'il faut que j'apprenne, à remettre un mec en forme !

 

Elle me dit ça en rigolant comme une bossue !

 

- Allez viens, je vais pisser ! On va voir ce que ça te fait !

 

Je la suis dans la salle de bain, (si on peut appeler ainsi ce minuscule réduit muni juste d'un lavabo et d'une cuvette de chiotte)

 

- Tu veux que je pisse comment, debout, accroupie ?

- Et si tu me pissais dessus ?

- Hummn, normalement c'est 20 euros de plus ! Mais comme tu es sympa… Le problème c'est qu'on va faire comment pour essuyer, il n'y a rien ou alors du papier à cul, mais c'est pas très romantique tout ça… Mais bon Ok, je vais te le faire !

- Et si tu me faisais goûter ?

- Petit cochon ! Mais c'est une excellente idée, comme ça on n'en foutra pas partout ! Allez allonge-toi par terre je vais m'accroupir sur ta bouche !

 

J'ai un peu de mal parce que le sol carrelé est froid, ça va vite, mademoiselle avait une petite envie, et tout de suite un filet tiède me coule dans le gosier, elle essaie de temporiser, mais elle a quelques difficultés, ce qui fait de temps à autre le débit devient trop rapide et le surplus s'en va à côté ! Ce n'est pas grave et ça l'a fait rigoler !

 

- Y'en a plus ! Dira-t-elle pour conclure, c'était comment ?

- Délicieux, il est vraiment délicieux ton pipi !

 

Il y a combien de temps qu'on ne m'avait pas fait ça ! Et quand je pense que j'ai failli refuser cette petite séance !

 

- Ça bandouille pas trop ! Hein ?

- Ouais, je n'ai plus 18 ans !

- Une petite fessée ça te dirait ?

- Pourquoi pas, mais essaie de me pincer les seins ça sera sans doute plus efficace !

- Ok mais on commence par la fessée !

 

Elle a dû me taper sur le cul pendant cinq bonnes minutes, à ce point que l'endroit finit par chauffer ! Agréable, excitant mais sans doute pas assez pour réveiller ma pauvre bite … alors elle me pinça le bout des tétons comme je lui avais demandé, le résultat était meilleur mais pas encore assez… Non ma dernière jouissance était trop proche….

 

- Bon on laisse tomber… de toute façon c'était très bien et j'en ai eu pour mon argent, tu es une chic fille, je te remercie pour tout ça !

 

C'est alors qu'elle me dit :

 

- Tss, tss, on essaie un dernier truc :

 

Alors elle se mit sur le lit sur le dos, écarta les jambes :

 

- Viens me sucer ! Viens me faire jouir !

 

Non ? Je n'en reviens pas, j'y vais, je me précipite ! J'espère avoir bien compris ce qu'elle m'a dit et histoire d'en avoir le cœur net après quelques coups de langue pour le fun j'attaque tout de suite son clitoris ! Elle ne me dit pas d'arrêter, alors je continue, Très vite elle se met à haleter, puis à émettre de petits gémissements, elle raidit ses muscles et pratiquement sans préambule se met à jouir, en criant comme une dingue !

 

- Ah ! Ben toi alors ! Dira-t-elle simplement !

 

Du coup je bande ! Pas de façon fantastique, mais je bande, mais c'est intérieurement que je suis le plus heureux des hommes ! Sabrina me prend ma quéquette et se met à la branler ! Pas évident !

 

- Laisse, tout va bien ! Je suis comblé ! Lui dis-je !

- O. K. ! On va y aller, demain je ne ferais pas mon dernier jour de stage, je vais te donner mon numéro de portable ! Appelle-moi quand tu veux !

 

Après une petite toilette intime minimum, nous avons pris le métro ensemble, puis on s'est séparé quand nos itinéraires le furent aussi… Gros bisous ! Je me suis peut-être trompé mais j'ai cru apercevoir une larme dans ses yeux, moi j'ai retenu les miennes…

 

Mais allez donc savoir pourquoi je sifflotais comme un pinson en prenant le métro quelques minutes plus tard ?

 

 

Estonius © juillet 2005

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Samedi 2 juillet 2005 6 02 /07 /Juil /2005 17:02

Delphine est mal fringuée
par Mathilda Stenberg

 

 

scat

Thémes traités : feuille de rose, lesbos, party, scato, trio, uro.
Attention, scato explicite dans ce texte.

Bonjour, je m’appelle Mathilda, je suis brune, on ne me trouve pas mal même si je suis un peu forte et que je devrais perdre quelques kilos ! J’ai 26 ans. Parler de mon boulot ne vous intéressera pas, mais à l’époque de ce récit, j’accomplissais une mission de longue durée dans la région languedocienne, et j’avais trouvé une colocation chez une femme charmante, une antillaise d’une bonne quarantaine d’année, plutôt du genre plantureuse qui se prénommait Agnès. Une grande complicité s’est vite établie entre nous. Parfois elle me parlait de sexe, me disait qu’elle aimait s’amuser et m’avait confié qu’elle n’avait rien contre les femmes. Je n’avais jamais relancé, ne pensant pas que je pouvais l’intéresser. En ce qui me concerne j’avais rompu depuis plusieurs mois avec mon petit copain, et ne vivait que d’aventures sans lendemain. Quant aux femmes, j’avais eu une aventure un soir de fête avec une fille, le trip sexuel avait été parfait, mais ma partenaire n’avait pas souhaité donner suite. Ce fut mon unique expérience en la matière

Au moins une fois par semaine, nous partagions notre dîner avec Delphine, une fille blonde d’une vingtaine d’année, c’est la fille d’une ancienne voisine d’Agnès. Je n’ai jamais compris ce qu’elle fabriquait, mais cette nana était en perpétuelle galère, compétemment fauchée et s’habillant n’importe comment avec des vêtements que lui donnait les gens. Pas maquillée et coiffée sommairement. C’était dommage parce qu’un peu arrangée, on aurait certainement pu la classer parmi les « mignonnes ».

Hier soir Delphine est arrivée avec une jupe à bretelles sortant de je ne sais où, mais en plus, elle était tellement courte qu’on voyait ses collants filés et le bas de ses fesses, heureusement qu’elle avait recouvert tout cela d’une espèce de gabardine…

On a d’abord mangé, bu un petit peu ! On s’est mise à déconner sévère… Puis Agnès s’est souvenue que l’anniversaire de Delphine tombait dans une dizaine de jours !

- Est-ce que tu aimerais qu’on te paie des fringues ?
- Pourquoi pas, mais je ne sais pas trop ce qui me va ou pas !
- J’ai une idée, dis alors Agnès, comme tu fais à peu près la même taille que Mathilda, tu vas essayer quelques-unes de ses fringues, comme ça tu pourras nous dire ce qu’il te plait, et la semaine prochaine on ira faire les achats.

Nous nous sommes donc installées dans ma chambre et avons choisis quelques vêtements.

Agnès demande à Delphine de quitter sa jupe et d’essayer une petite robe bleue mignonne comme tout. Elle s’exécute et passe la robe par-dessus son chemisier et son pull. On rigole et on lui dit de quitter tout pour essayer comme il faut.

Delphine se retrouve donc en soutien-gorge et collant devant nous, et remet la robe. Une fois enfilée elle tourne devant nous, toute heureuse.

- Le problème c’est qu’avec le soutif que tu as, ça fait un peu bizarre ! dit Agnès. Laisse-moi arranger ça, on est entre femmes, non ?

Alors, sans autre cérémonie elle lui baisse la robe jusqu’à la ceinture, puis dégrafe son soutien-gorge ! Delphine se retrouve alors la poitrine nue devant nous et son réflexe est de se la cacher en mettant ses mains dessus.

Agnès, en riant lui attrape les bras et les lui place le long du corps.

- Tss, tss, je t’ai dit qu’on était entre femmes… Mais tu as une poitrine superbe ma fille !

Et elle lui met une main sur un sein et le caresse .Puis elle passe derrière elle et la saisit par sa poitrine à pleine mains qu’elle pelote ostensiblement devant moi.

Moi ça me fait rire de voir Delphine se trémousser, se demandant quelle attitude adopter, alors qu’Agnès continue à lui malaxer fermement ses gros nichons.

- Tu rigoles, petite garce, mais je suis sûre que tu n’as pas d’aussi jolis seins ! Me lance l’antillaise avec un sourire complice.
- Chiche que l’on compare ! Dis-je pensant que l’affaire en resterait là.
- Chiche ! Réplique Agnès !

Du coup je rentre dans le jeu et aussitôt dit, aussitôt fait, je tombe ma robe, quitte mon chemisier et mon soutien-gorge et me met en face d’elles, le torse gonflé, les seins en avant.

- Vas-y ! Compare !

Je suis en petite culotte devant Delphine et Agnès lui lâche un sein et commence à me caresser le mien.

- Difficile à dire, ils sont aussi doux et fermes !

Agnès nous fait nous plaquer l’une contre l’autre et nos poitrines se touchent, téton contre téton, ce qui a pour effet de me donner la chair de poule et instinctivement, je me frotte contre la blonde. Je la prends par la taille et me serre contre elle. Je sens alors mes pointes se durcir tandis que Delphine envahie par la chair de poule ne dit plus rien, mais se laisse faire. On se reste comme ça quelques instants, Agnès s’assoit un moment et nous regarde toutes les deux :

- Finis donc de lui enlever sa robe ! Me demande-t-elle

Je m’exécute lentement en lui caressant les hanches. La robe tombe à ses pieds.

- Laissez-moi vous guider toute les deux, mes petites chéries…

Pas de réponse mais nous sommes face à face, troublées et je tiens Delphine par les hanches.

- Bon ma biche, quitte lui son affreux collant.

Une nouvelle fois, je m’exécute lentement, et pour mieux faire, je me mets à genoux devant elle et saisissant l’élastique du collant, je le tire vers le bas. Je sens la peau des fesses douces et lisse, tire plus fort, la culotte viens avec, mais, trop occupée des réactions de Delphine je baisse tout jusqu’à ses pieds et elle se retrouve nue devant moi, son sexe à hauteur de mes yeux. Une sorte d’élan pervers fait alors que je ne peux m’empêcher de passer mes lèvres sur son pubis et de l’embrasser. Ça sent un peu fort, mais ça ne me gêne pas. Delphine réagit en me caressant les cheveux, et moi je laisse traîner ma bouche sur son ventre et sa motte gonflée tout en lui caressant les fesses. Agnès nous regarde faire, puis au bout d’un moment dit :

- A toi Delphine !
- Pardon ?
- Quitte lui sa culotte !

Je me suis relevée et Delphine, timidement se met à genoux devant moi et descend ma culotte sur mes pieds. Elle met du temps pour le faire et je sens ses mains s’attarder sur mes fesses puis sur mes cuisses. Elle fait exprès de me toucher le pubis et sous prétexte de descendre la culotte, passe sa main entre mes jambes et touche furtivement mon sexe. Instinctivement, j’ai d’abord serré les jambes, mais sous sa pression les ai desserrées et même ouvertes légèrement.

- Très bien les filles, vous étes super belles comme ça !

Agnès nous a rejoint et a relevé la blonde. Maintenant elle nous caresse toute les deux, les seins, le ventre, les fesses et nous nous laissons faire avec toutes les deux la chair de poule. Puis en même temps, Agnès passe sa main entre nos cuisses et nous caresse le minou. Je sens ses doigts s’infiltrer en moi et je vois que pour Delphine, c’est la même chose. Je m’accroche à ma partenaire et ouvre un peu plus mes cuisses. Delphine vient se frotter ses seins contre moi et je lui caresse les fesses. Elle aussi a ouvert davantage ses jambes et la caresse d’Agnès se transforme en une masturbation en règle pour toutes les deux. Nous nous embrassons et jouissons ensemble sous la caresse.

Après nous avoir faites jouir Agnès, toujours habillée, s’est rassise, a ouvert ses jambes et se caresse en nous regardant avec un petit sourire moqueur.

- Restez comme ça mes chéries, regardez-moi si vous voulez et continuez de vous toucher.

Agnès a maintenant quitté sa culotte et jupe relevée, jambes ouvertes se doigte devant nous, très vite elle rejette la tête en arrière et commence à jouir, ce qui ne l’empêche pas de continuer à se doigter et s’exciter toute seule. Alors, on s’est approché d’elle, et on l’a caressé d’abord timidement, sur les cuisses, puis j’ai découvert sa superbe poitrine noire que j’ai pris plaisir à parcourir de ma paume et de mes doigts puis de ma bouche. Delphine a remplacé la main d’Agnès par sa propre main sur son sexe gluant.

Puis, abandonnant les seins d’Agnès, je suis passée derrière la blonde, approchant ma bouche de ses fesses, lui écartant les globes, dirigeant ma langue vers son petit œillet ! Ça sent fort, cette fille a dû oublier de s’essuyer le cul après avoir été chier ! J’ai un réflexe de recul !

- Ça pue !
- Qu’est ce qui pue ? demande Agnès.
- Son, cul, ça pue la merde !
- Ah, ouais, attends je vais me rendre compte moi-même !

Sans doute vexée par mon attitude, Delphine se dégage et va pour ramasser ses vêtements ! Agnès se penche vers elle, lui caresse le dos !

- Tss, tss, Mathilda est une méchante fille, elle n’y connaît rien, montre-moi tes fesses, moi je suis sûre que je vais les aimer !
- Non, laissez-moi tranquille !
- Mathilda disait ça pour rire ! N’est-ce pas Mathilda ?

Je ne voudrais pas qu’il y ait un drame, aussi j’abonde dans le sens d’Agnès !

- Bien sûr que je disais ça pour rire !
- Je sais bien que je suis un peu sale… mais j’avais pas prévu que la soirée finirait comme ça, sinon j’aurais pris une douche !
- Tu ne me comprends pas ! Repris-je ! En fait, l’odeur ne me dérange pas tant que ça…
- Alors continue de lui lécher le cul ! Me coupe l’antillaise, me mettant au défi.
- J’arrive !

Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour éviter un drame ! Je ne sais pas si je vais en être capable, je me verse un grand verre du vin blanc qui traînait sur la table et reviens butiner le trou du cul de Delphine. Ça pue toujours, ça pue toujours la merde, mais bon, on s’habitue, on s’habitue même très rapidement. J’essaie de lécher, quelque part maintenant cette situation m’excite, je lèche maintenant avec frénésie, je ne me reconnais plus ! Il faut dire objectivement que l’odeur ne persiste pas, et que les traînées brunâtres qui me tombent sous la langue sont certes un peu âcres mais n’ont rien de pestilentielles ! Alors je décide que j’en veux encore, ma langue est dans son trou du cul, je le fore, je l’explore je m’en enivre !

- Alors ? Me demande Agnès ? Tu te régales ?
- Super ! C’est vraiment super de lécher un trou du cul qui pue !
- Tu m’en as laissé ?
- Je te laisse la place !

La langue d’Agnès remplace donc la mienne dans le troufignon de Delphine !

- On ne sent plus grand-chose ! C’est dommage, il n’y a que quand je suis super excitée que je peux faire des trucs pareils.

Agnès plonge un doigt dans le trou de Delphine, le ressort au bout d’un moment, tout merdeux et le lèche !

- Hum c’est délicieux ! Tu veux goûter, Mathilda ?

Je ne réponds pas, je ne sais pas quoi répondre.

- Vous êtes vraiment dégueulasses, toutes les deux, dit alors Delphine pour se moquer !
- Ça c’est vrai !

Agnès replonge une nouvelle fois son index dans l’anus de la blonde, puis me le tend.

Je ferme les yeux et j’ouvre la bouche, l’instant d’après je léchais avec passion, je ne me reconnais plus… Puis Delphine se dégage…

- Faut que j’aille pisser !
- Bonne idée on va te regarder ! Réplique Agnès !
- Tu veux voir mon pipi ?
- Tu as dit voir ou boire ?
- J’avais dit boire, non j’avais dit voir, je ne sais plus !

On se met toutes à rigoler !

- Bon vous voulez quoi ? demande Delphine
- Tu vas nous pisser dessus propose Agnès ! Ça te dit, Mathilda ?

Au point où en en est… Une fois un de mes ex m’a pissé sur les seins alors que je prenais mon bain, ça m’avait fait rigoler ! On s’allonge Agnès et moi sur le carrelage, l’une à côté de l’autre ! Delphine nous chevauche au niveau de nos ventres :

- Serrez-vous bien l’une contre l’autre, je n’ai pas des jambes de basketteuse !

Et le pipi sort, j’en reçois plein sur le ventre, c’est chaud, c’est rigolo, Agnès se marre comme une bossue tandis que la pisseuse s’avance vers nos seins, puis vers nos visages, je ferme la bouche instinctivement mais quand je vois l’antillaise avaler une rasade, je me décide à goûter ! Ça ne vaut pas le muscadet mais ça se boit…

- Bougez pas, je crois bien que je vais chier…

Non elle ne va pas faire ça ! Ben si et personne ne bouge, j’ai son sphincter à trente centimètres de mon visage ! Et Agnès qui attend la bouche ouverte, elle est folle ! Et moi je ne bouge pas, tétanisée.

- Ah ! Vous auriez bien voulu !

L’anus s’écarte, un étron brun commence à sortir. Je le regarde fasciné. Un long boudin descend à présent du cul de Delphine et dégringole sur les seins d’Agnés.

Elle rigole, elle prend l’étron dans sa main et en porte l’extrémité à sa bouche comme s’il s’agissait d’une bite, puis donne des coups de langue.

- Tu veux goûter ! Me propose-t-elle.
- Non peut-être pas !
- Juste un coup de langue, comme ça, pour voir !

Je ne sais ce qu’il m’a poussé à le faire mais je le fais.

- On lui nettoyer le cul toutes les deux !

Je m’acquitte de cette tâche avec une facilité et une décontraction que je n’aurais jamais imaginé. C’est vrai que tout cela est dans la tête, on s’attend à un goût abominable alors qu’il n’en est rien du tout.

- A ton tour de me lécher le cul, maintenant ! Lui dit alors Agnès, je crois qu’à cette heure-là il ne devrait pas sentir la rose !

      fdr-l1176

Et tandis que la blonde prodigue une jolie feuille de rose à la belle black mature, je reste allongée, ma tête me tourne un peu ! Cinq minutes plus tard, Agnès revient vers moi et me caresse.

 

- Viens me rejoindre, Delphine ! On va s’en occuper à deux !

Elles m’ont alors exploré tout le corps, dans ses moindres détails. Tout n’était que caresses et douceur. Mise sur le ventre, Delphine sous moi, nous étions sexe contre sexe, puis suivant les conseils d’Agnès, tête bêche, bouche coutre sexe. Agnès me caresse le dos descend sur mes fesses, me les malaxent, passe sa main entre le sillon, s’arrête un instant, trouve mon petit trou et le caresse, le masse. Cette caresse, doublée de la langue de Delphine sur mon bouton me fait me cambrer et elle en profite pour de nouveau me pénétrer avec son doigt. L’antillaise profite de la situation et le massage de mon anus devient insistant et pénétrant. Je sens son doigt me pénétrer doucement puis se retirer. Je me cambre davantage, l’appelle. Il revient et rentre facilement plus loin et commence un doux va-et-vient alternatif avec celui de Delphine Je suis comme folle, comme une chienne et me cambre encore, suis à quatre pattes, ouverte, offerte et encore plus. Je jouis, me frotte la poitrine sur la motte de Delphine. Le doigt d’Agnès disparaît dans sa bouche, elle est partie. Mon corps désespéré l’appelle !

J’ouvre mes fesses, me frotte plus fort contre mon amie. Miracle, Agnès est de retour, elle me caresse, j’ouvre mes fesses l’invite. Je sens de nouveau son doigt, il pousse, entre, se retire et de nouveau entre par la petite porte. Je crie, j’en veux plus, je la lèche.

Le « plus » c’est Agnès que me l’offre. Son doigt s’est retiré et je sens la pression de quelque chose sur mon petit trou affamé. C’est gros, énorme et ça rentre lentement, je suis écartelée et heureuse, ça vibre en moi et provoque une décharge électrique si intense que je me vide, ma chatte n’est que ruisseau, fontaine. Jamais je n’ai été si comblée, pourtant l’engin que m’a enfoncé Agnès est plus que respectable par sa taille. Maintenant il me fait peur à voir, mais au fond de moi une envie de le remettre me poursuit et en plus mon trou me fait mal, il me brûle et en redemande…

Je m’empare du gode et je le lèche, le nettoie de toute ma merde. Je suis chienne et j’aime ça…

Agnès me roule un patin, j’ai l’impression que sa bouche a conservé l’odeur de ce qu’elle a léché, mais j’en ai cure, ce baiser est trop bon. Delphine vient s’immiscer, c’est amusant de mélanger nos langues à trois.

je crois que je vais dormir un peu… Non peut-être une douche avant…

Mathilda Stenberg 2005

Rewriting de « ma meilleur amie et ma belle-mère » paru jadis sur Sophiexxx sans mention de nom d’auteur, ni la moindre correction

Par Mathilda Strernberg - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mardi 21 juin 2005 2 21 /06 /Juin /2005 09:55

Confessions de clients (prostitution) – 1 (texte_collectif)

 

coin102

Themes abordés : domination soft, engodage masculin, prostitution, uro. 

Les souvenirs de Claudius par lui-même

J’aurais voulu écrire le point de vue du client, mais cela n’aurait sans doute pas rajouté grand chose. Pourtant j’en aurais des choses à dire ! Plus de 30 ans de pratiques et, malgré une vie sexuelle et familiale  » normale « , ce besoin toujours renouvelé de pouvoir découvrir, admirer, caresser des corps féminins…

Jeune, j’hésitai à franchir le pas, et arpentai la rue St Denis en de longs va-et-vient dont les images alimentaient mes fantasmes nocturnes. La première fois fut à Amsterdam. Je m’étais figuré qu’il fallait arriver bandé devant la fille et je m’y étais préparé en visitant les sex-shops de la vile. Une fois chez la fille -je ne comprenais rien de son anglais approximatif-, je ne bandai plus et m’enfuis lui laissant mes florins. Plus tard à Paris, je montai rue Blondel avec une fille gentille, qui sut m’exciter mais pas me faire jouir. J’en ressortis dubitatif. Quelques semaines après je croisai une femme vers la rue Beaubourg vêtue en Domina, martinet à la main. Tout de suite sa vue m’excita. Je n’ai plus le souvenir de son visage, mais de ses paroles, si :

- Alors ? Tu veux que je te fasse des petites misères ?

Oui, je voulais, elle me fit tout : mon premier gode (je crois encore en entendre les vibrations), mes premières pinces, mon premier face siting,

- Je vais te rougir le cul !

Et, oui, mon premier martinet. Elle ne tapait pas très fort, juste ce qu’il faut pour exciter… puis à un moment :

- Tu veux que je te brûle avec la bougie ?

Ne sachant pas de quoi il s’agissait, je refusai, effrayé. J’ai néanmoins compris ce jour là que quelques petits stimulants ne pouvaient pas me faire grand mal.
Puis les habitudes se prirent :

…Au début je changeai systématiquement de fille à chacune de mes envies. Mon coin préféré était le secteur des Lombards, dont il ne reste pratiquement plus rien… Ce coin était le quartier des  » dominas « . Sans être exagérément masochiste, leur tenue me fascinait…

Souvent j’étais déçu, mais il m’arrivait aussi d’être surpris, ainsi :

Cette grande femme au look à la Anne Bancroft, qui a depuis longtemps quitté la profession, mais qui continue à hanter le quartier, habillée en bourgeoise, porte-documents sous le bras, affairée à je ne sais quelle tâche et qui, alors que je lui réclamai une domination légère, m’a ordonné de me coucher par terre. Ses propos sont encore dans ma mémoire :

- Elle bande bien ta bite, je lui pisserais bien dessus !

Elle le fit, ce fut ma première séance uro.

Ou cette autre qui, sans que je demande quoique ce soit, m’a offert son anus ! Ce fut la seule à le faire.

Malgré tout, je ne me fidélisai pas… Jusqu’au jour où j’en ai rencontré une qui m’a donné l’envie de revenir (Jackie peut-être mais je ne suis pas sûr). Je me suis aperçu alors de l’immense complicité que ce genre de relations pouvait faire naître. Alors j’ai alterné : tantôt les nouvelles, tantôt les complices. Oh ! J’ai bien rencontré quelques folles, pas mal aussi qui ne m’ont pas donné envie d’y revenir… mais les autres….

Souvenirs.

Certaines ont disparu de ma mémoire. Toutes les filles ne se présentent pas si on ne leur demande pas, alors parfois il me reste un vague visage, une imprécise silhouette. Pour d’autres, le souvenir est vivace.

Brigitte et sa tenue de cuir, blonde tressée à la frimousse coquine, la première qui m’ait complètement déculpabilisé. Brigitte pour qui les hommes faisaient la queue rue des Lombards. Elle s’est reconvertie et elle fait les marchés.

Sylvia, blonde sculpturale, qui illuminait la rue Joubert de sa présence, revêtue de sa tunique diaphane qui dissimulait à peine son impressionnante poitrine, et qui m’a fait découvrir que je ne connaissais pas toutes mes zones érogènes. Reconvertie dans l’élevage des chevaux

Cette grande espagnole plus toute jeune et à la poitrine de rêve, reconvertie dans la restauration « si tu viens dans mon restaurant je te ferai un prix » me disait-elle, mais j’ai perdu l’adresse !

Sophie : une merveille de gentillesse et de savoir-faire, avec son rideau fenêtre pour dire si elle était libre ou pas, sa salle de bain en guise de salle d’attente et le whisky qu’elle m’offrait à la fin, comme un privilège. Quand elle m’a annoncé son intention de se retirer et de repartir en Aquitaine, j’en ai été malade. Revenu pour lui faire mes adieux, la veille de son départ, j’étais incapable de bander correctement. Sophie l’une des plus gentilles et des meilleures filles que j’ai rencontré. Celle qui sera impérissable dans mon souvenir.

Et puis celle-ci (ai-je un jour su son nom ?) qui ,un jour où la chaleur était suffocante m’a demandée de la faire jouir en la suçant afin de  » la détendre  » ! Le toc-toc d’une copine interrompit hélas ma bonne volonté et elle ne renouvela jamais sa demande.
Maud, la petite Maud, que ses copines appelaient Momaude, avec son visage de fouine, sa patience et sa gentillesse.

Marie-Christine qui a depuis changé de nom, et ses spots à la fenêtre, Rachel, somptueuse brune aux cheveux qui n’en finissaient pas, à la peau mate et à l’accent que je n’ai jamais identifié

Monique, à Pigalle qui avait la particularité d’avoir un sexe d’homme entre les cuisses. Et oui, les travestis m’intéressaient aussi…

Ou cet autre travesti, une brésilienne belle comme une déesse, à peine aimable au début, me demandant de ne pas enlever mes vêtements du haut, puis se prenant au jeu et qui finira par s’exciter, me sodomiser (mon unique sodo) m’embrasser sur la bouche, et éjaculer sur ma cravate (foutue, la cravate !). Ou celle-ci qui paradait entièrement nue devant son miroir s’admirant toute seule et me lançant avec son accent :

- Jolie, une femme à bite ?

Mais les travestis n’ont été qu’une parenthèse.

Il y a aussi toutes les autres : Nathalie, ses petits seins, son grand nez et ses mains de velours, Patricia qui a la peau la plus douce que j’ai jamais caressé, l’autre Patricia et son petit sourire moqueur. Marianne qui faisait aussi dans la domination et qui une fois m’a demandé de sucer un client qu’elle avait laissé attaché. Karine, véritable canon égaré rue St Denis et d’un savoir-faire époustouflant. Stella toujours en train de rigoler ou de parler avec l’accent de Marseille. Françoise qui me parlait de ses chevaux et de ses chats. Pamela l’Antillaise à la peau de satin, et son studio décoré de portraits de musiciens et bercé par la voix de Billy Holiday. Josie sa peau de soie, ses cuisses de rêve, et son sourire malicieux qui me disait qu’à chaque client elle avait l’impression de jouer un rôle comme au théâtre. Celle-ci fréquentait les galeries de peintures tout comme la grande Carole, qui me disait aimer l’art moderne et qui faisait sa prestation sur fond de musique de jazz ou comme Catherine abonnée des ballets de l’opéra Garnier. Et cette québécoise rousse dont le nom m’échappe et qui vivait dans un incroyable bordel, de livres, des cahiers… m’approchant un jour de son fouillis, elle m’indiqua alors qu’elle poursuivait ses études. Ses ébats étaient complètement fantaisistes. Un jour j’appris qu’elle était repartie dans sa belle province…

Certaines un jour disparaissent : Cynthia dont le studio était gardé par un énorme chien beige pleins de poils partout. Dany disparue du jour au lendemain, petite blonde qui avait le truc pour me mettre en condition dès la porte du studio franchie. Certaines parfois reviennent comme Josée, dont la simple vue de son corps me provoquait une érection immédiate, d’autres, mais c’est rare restent là comme Nina, l’une de ce celles que j’ai vu rester le plus longtemps, mais je ne l’ai pas vu vieillir. C’est aussi elle qui m’a organisé l’une de mes rares séances avec deux femmes, celle-ci fut inoubliable. Ou la grande Tina, fille des îles, décontractée comme pas possible.

Et puis Solange, bien sûr, celle avec qui la complicité à été la plus loin…

Et puis au-delà du plaisir sexuel, du plaisir de se retrouver, parfois un mot, un simple mot m’a rempli de bonheur comme celle-ci qui alors que je partais me lança :

 » je te garderais bien… « ,

et moi comme un con, qui n’ai même pas rebondi là-dessus. Ou cette autre que sa copine interpellait d’un

 » Quand faut y aller, faut y aller ! »

et qui lui répondit :

 » Monter avec lui, c’est un plaisir ! « .

Dans les deux cas il n’y avait rien de sexuel dans ces propos, juste l’expression de ce plaisir complice d’être ensemble entre personnes qui se respectent…

Bien sûr que le métier fait quelquefois froid dans le dos, on m’a raconté des choses affreuses, y compris des meurtres… Pour ma part, je trouve que la prostitution devrait être encadrée autrement, mais là n’est pas mon propos.

Merci à vous Mesdames d’avoir mis un peu de fantaisie dans ma vie. Je suis maintenant en retraite à 300 km de Paris, et mes visites deviennent rarissimes. Si vous saviez comme elles me manquent !

Encore merci Sonia, pour cet article. Peut-être nous sommes-nous connus, mais je ne chercherais pas à savoir…

Claudius

 

angel505

 

Le placard par Bob

Il y a de ça 20 ans, je monte avec une fille rue Joubert, très gentille et des seins de rêve, je la fréquentais depuis quelques temps déjà et une certaine complicité s'était instaurée entre nous. Elle plaisantait souvent mais dès fois je ne comprenais pas toujours ces blagues assez hermétiques, et ce jour là, elle me sort un truc du genre :

- Ça ne te gène pas de savoir que j'ai mis un de mes client dans le placard ?
- Pourquoi ? Tu ne l'as tué ? continuais-je sur le même ton.
- Non, non pas encore !

On fait nos petites affaires, je me lave la zigounette, je vais pour me rhabiller et qu'est-ce que je vois : un mec qui sort du placard ! Ce n'était pas une blague ! Le type était voyeur et avait payé pour mater trois passes à travers un œilleton. Il est ensuite parti assez vite !

- Ben ça alors ! T'aurais pu me prévenir !
- Mais je t'ai prévenu ! Tu ne m'as pas cru ?
- Et si je n'avais pas été d'accord ?
- Très simple je collais un papier sur l'oeilleton !
- Et tes clients d'avant tu les avais prévenus aussi ?
- Ne cherche pas à tout savoir, mon bébé !

Quand elle m'appelait mon bébé je fondais... (Authentique)

Bob

Dolores par Jean-Charles K

Madame, je ne défends ni le proxénétisme ni la prostitution mais je défends les prostituées et les respecte ! Jamais de ma vie je n’avais été les voir (mais elles me fascinaient)  jusqu’au jour où, en parlant à un ami qui je le sais les fréquentait, celui-ci me donna quelques conseils. Malgré ceux-ci ma première expérience fut désastreuse, à ce point que je me crus vacciné. Et puis ça m’a repris, j’en ai parlé à l’ami, il m’a dit

« Tu es mal tombé, ça arrive ! Soit sympa avec elles, respecte-les, et elles te le rendront au centuple ! »
« Mais j’ai été correct et sympa la fois d’avant ! » Me disais-je !

L’envie m’a tenaillé, et j’ai été voir D… Une demi-heure sublime ! Un visage fatigué mais un corps de déesse, une gentillesse incroyabl. Pour un supplément dérisoire elle m’a laissé (presque) tout faire. La prostitution est un « mal » nécessaire, il y a tant de désaxés, mais je ne me considère pas comme tel, je suis normal, et mes quelques fantaisies sont du tout venant. Alors pendant que je jouissais en me masturbant pour finir et qu’elle était occupée à me donner mes innocentes fantaisies, elle est littéralement tombée sur moi dans un grand élan de tendresse, et s’est mise à bouger tout doucement. Je me demandais ce qu’elle faisait, elle m’a simplement dit

« - Je me frotte la chatte contre ta cuisse, je suis vicieuse, hein ? »

Pendant que je me rhabillais, on a discuté de choses et d’autres, pas de sexe. Par jeu, sans y croire du tout, je lui ai proposé de l’inviter au restau, elle a accepté. La suite est trop intime, mais cette soirée fut inoubliable. J’ignore si je la reverrai, l’occasion de monter à Paris ne se renouvellera pas de si tôt.

Merci Dolorès. Et tous mes respects à vous mesdames, qui accomplissez votre fonction avec conscience et fantaisie.

Jean-Charles K (21/02/02)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Mardi 7 juin 2005 2 07 /06 /Juin /2005 09:39

Confessions transsexuelles – 1 (texte_collectif)

Fetish

Thémes abordés : prostitution, transsexuelles, travestis

Comment je suis entré en trans
par Dimoitou

D’abord, je me suis reconnu (moi aussi) dans ta définition de la « bitophilie » tout a commencé il y a de cela quatre ans, après une vie (bien remplie) d’hétéro, un soir je dîne avec un ami, on s’est retrouvés au restau et de ce fait nous étions garés dans des endroits opposés, on se quittent vers 23 heures après un dernier café et chacun de nous repart dans une direction différente.

Quand j’arrive à ma voiture, je vois une grande pute appuyée sur mon coffre.

- Vous voulez l’acheter?
- Je l’abîme pas.
- Non bien sûr, je crois même que vous l’avez gardé, c’est peut être grâce a vous si elle est encore là.

On a continué a discuter cinq minutes, j’ai le nez dans ses nibards (malgré, mes un mètre quatre vingt) et par fanfaronnade je déclare:

- J’ai pas le temps aujourd’hui, mais la prochaine fois que je passe par là et que vous voie je m’arrêterai.
- Volontiers, mais je vous préviens je suis transsexuelle, non opérée.

Là, je dois préciser deux choses un, c’est que j’en parle au féminin, parce qu’elle à choisi d’être ce qu’elle est et que ce choix lui appartient et deux, c’est que je ne m’étais rendu compte de rien…
J’ai bien du mettre six mois avant de tenir ma promesse, tenaillé que j’étais entre l’envie de voir et la crainte d’être vu.
Et je me suis décidé un jour, elle m’a emmené dans un parking pour une fellation, je lui ai demandé de me montrer sa bite, ce qu’elle a fait et je me suis surpris a jouer avec, ce soir là je n’ai pas osé aller plus loin, mais j’étais devenu « bitophile »
Depuis je la revois, souvent, moyennant un supplément nous nous retrouvons dans un studio qu’elle partage avec une copine, il y a une sorte de complicité et une énorme gentillesse, elle a trente quatre ans de moins que moi, elle me traite « d’hommes a femmes » ce qui est, je crois, un compliment pour nous deux, j’adore sa bite, ses hanches étroites, ses petites fesses bien hautes et son petit cul serré.
C’est avec elle que je suis « entré en trans!… »
J’en ai connu d’autres, avec le même plaisir, des transsexuelles et des travesties et j’alterne mes relations féminines avec mes plaisirs bitomaniaques…

Voilà, je veux témoigner ici que bien que prostituées je les ai toujours toutes trouvées débordantes de gentillesse, je les remercie et je leur rend hommage, qu’elles trouvent ici de manière anonyme l’expression de mon respect et de mon affection…
J’habite en province, il n’y a pas besoin d’être riverain du bois de Boulogne pour en rencontrer…

Allez, je te laisse, je te promets une participation plus active dans les jours qui viennent, je t’enverrai quelques récits et quelques dessins de mon cru, je te remercie pour m’avoir donné l’occasion de m’exprimer, continue….

Dimoitou 2002

 

Un ange dans le Paris-Montparnasse
par Etienne

Toutes ces analyses, ces messages sur la bisexualité m’ont intéressé car cela m’a permis de mieux me situer et aussi de me déculpabiliser. Mais il y a des situations complètement ingérables ! Je vous raconte :

 

J’étais mardi en fin d’après midi dans ce train de banlieue, essayant de m’intéresser à un incompréhensible article d’un numéro spécial de Science et Vie sur la structure de l’Univers ! Il y avait quelqu’un en face de moi, mais je n’y avais pas fait attention. Mes yeux se relèvent je ne sais plus pourquoi, se redirigent vers ma lecture ! Tilt ! C’est quoi en face ? Perturbé, je regarde mieux en essayant de ne pas croiser son regard, un léger duvet moustachu, quelques tous petits poils en bas du menton ! Bon ok c’est un mec ! Plus moyen de m’accrocher à cette foutue lecture ! Les traits sont fins, il n’y a pas de trace de barbe ailleurs, les ourlets des oreilles sont finement découpés et une petite boucle orne le lobe gauche, les cheveux retenus en queue de cheval ont subis une légère décoloration  » en mèche « , les mains sont fines. Les lunettes sont très féminines et mettent en valeur de magnifiques yeux gris clairs ! Donc Ok c’est une nana ! Je regarde le reste, son blouson m’empêche de deviner sil y a des formes la dessous ! Je n’arriverais pas à reprendre ma lecture ! Un mec ? Une nana ?

Arrivé gare Montparnasse, je la suis un moment afin d’essayer d’en savoir plus ! Impossible, la créature est vêtue d’une espèce de pantalon en jean avec une fourche descendant à mi-cuisse ! La démarche évoque plus celle d’un loubard que celle d’une danseuse ! Je n’en saurais pas plus ! Si c’est une femme, même tendance lesbos-routier pourquoi ne pas s’épiler ! Si c’est un homme jouant de son ambiguïté, en voilà une drôle de façon de la jouer ! J’aurais pu lui demander, je suis assez baratineur et gonflé pour obtenir parfois des renseignements de la part d’inconnus ! Il suffisait en fait d’écouter la voix…. Mais je n’ai pas voulu le faire, j’ai voulu garder ce secret, j’avais rencontré un ange, un ange n’a pas de sexe, et le soir dans mes fantasmes, la créature me faisait mille caresses…. Mais sans retirer sa culotte !

Etienne

 

Rencontre d’un soir
par Reynald
Bonjour, félicitation pour ce site qui est une merveille de dialogues et de témoignages. Je vous envoie ce mail pour vous raconter ma rencontre avec une personne sublime qui m’a fait rêver et qui continue à hanter mes rêves. Je suis marié et j’ai un enfant, et un soir ou ma femme et ma fille étaient dans la famille pour plusieurs jours, je suis sorti la nuit pour faire un tour dans Lille (j’habite près de Lille, dans le Nord) Au hasard de ma route, je me suis retrouvé dans une rue de Lille fréquentée par des prostituées. J’ai croisé la une femme brune, grande et belle, habillée toute de noir, avec une minijupe en cuir laissant entrevoir ses bas et le haut de ses cuisses. Elle m’a abordée, elle parlait doucement et tendrement. Nous sommes partis dans ma voiture, dans un endroit très calme.

trans bl  

C’était une prostituée, elle me plaisait, nous avons commencé à parler de fantasmes, l’un des miens est de sodomiser une femme. Elle m’a dit que cela ne la dérangeait pas! Elle a commencé à me déshabiller. Elle a déboutonné mon pantalon, enlevé mon caleçon, puis elle a ôté sa culotte. J’ai voulu lui caresser le sexe, mais elle a pris ma main et l’a posée sur ses fesses pendant qu’elle commencer à me sucer. Cette fellation en douceur et très longue m’avait bien excité, c’est alors qu’elle s’est mise à quatre pattes sur le siège passager et m’a demandé de passer derrière elle pour la sodomiser. J’ai donc commencé à la prendre par derrière, mon excitation ne faisait que croître. Cela ne devait pas lui déplaire, puisqu’elle a commencée à bouger de plus en plus, me serrant le sexe dans son anus tout en gémissant de plaisir. Son cul devenait une bouche qui avalait ma bite et l’enserrait au grès de son plaisir. Plus la sodomie continuait, plus je la prenais fort et en profondeur et plus elle en demandait. Je me suis retiré de son cul pour jouir dans sa bouche. Je n’avais jamais joui comme cela. Nous nous sommes écroulés chacun de notre côté après cette scène épuisante. Elle m’a demandé si j’avais joui, je lui ai dit que je n’avais jamais joui comme cela avec une femme.

Elle m’a dit qu’elle aussi avait pris un grand plaisir avec moi, et m’a embrassé. Je lui ai rendu son baiser passionné. Elle a recommencé à me caresser, j’ai senti mon sexe se dresser à nouveau. Elle m’a demandé si je voulais à nouveau la prendre et lui faire « l’amour et vraiment la baiser ». Je me suis jeté sur elle, l’ai embrassé et j’ai voulu à nouveau lui caresser le sexe, mais elle a de nouveau enlevé ma main qui se glissait entre ses jambes pour me passer un préservatif avec la bouche et m’avaler goulûment le sexe. Elle m’a fait la plus belle fellation que l’on ne m’avait jamais faite. Elle s’est ensuite couchée sur le dos et m’a demandé de venir lui faire l’amour. Je me suis glissé entre ses jambes, elle m’a demandé de me baisser plus pour pouvoir la pénétrer. J’ai remarqué qu’elle mettait la main sur son sexe et se caressait, mais dans la pénombre, je ne pouvais distinguer grand chose. Je l’ai prise doucement au début, puis de plus en plus vite. Elle jouissait visiblement à nouveau, mais la position étant inconfortable, elle s’est à nouveau retournée pour que je l’encule encore. J’était excité comme jamais, je me suis mis à l’enculer en lui disant des mots orduriers, ce qu’elle aimait visiblement puisqu’elle gémissait et s’est mise à me crier de continuer. Je me suis penché sur elle, j’ai mis mes doigts dans sa bouche. Elle me les suçait en gémissant pendant que la sodomisait frénétiquement en lui léchant le visage. Au bout d’un long moment, j’ai senti que j’éjaculais dans son cul tout en criant.

Si l’orgasme existe, alors je l’ai rencontré.

Elle faisait de même et nous avons passé ensuite un long moment à nous embrasser dans la voiture. Je lui ai demandé si elle faisait l’amour comme cela avec tous ses clients, mais elle m’a répondu que je lui plaisais et que c’était exceptionnel, qu’elle ne faisait pas cela à tout le monde. Elle a continué à caresser mes cheveux (que j’ai très long) et à m’embrasser. Je lui ai dit que je l’aimais, et c’était vrai, j’étais tombé amoureux d’elle. Mais il fallait bien que je rentre, et je l’ai donc ramené sur le trottoir ou je l’avais rencontré. Toute la route s’est passée entre caresses et baisers. Elle posait sa tête sur mon épaule et semblait de plus en plus triste plus elle se rapprochait du but. Quand j’ai arrêté la voiture et que je me suis tourné vers elle, elle m’a pris le visage entre ses mains et donné le baiser le plus fougueux que l’on ne m’ai jamais donné. J’aurai voulu lui dire tant de choses, que j’avais encore envie d’elle, que je ne voulais pas la quitter, elle aussi avait des regrets dans les yeux, mais elle est sortie de la voiture et j’ai démarré, après un autre regard pendant lequel nos yeux ne pouvaient se détacher de ceux de l’autre.

En rentrant chez moi, je pensais encore à elle (je revis ce moment en écrivant ses lignes). Je ne pouvais pas faire autrement que me poser des questions quand à son attitude, sa carrure (elle est très grande, je mesure pourtant 1m85 et elle était plus grande que moi), ses mains et ses doigts plutôt masculins, le fait que je n’ai jamais pu toucher son sexe et qu’elle ai tout fait pour éviter cela… Je crois que cette nuit là, j’ai fait l’amour pour la première fois avec une transsexuelle, et je crois que je ne pourrai jamais l’oublier. J’aimerais la revoir, et aussi savoir ou rencontrer d’autres transsexuelles à Lille, car je crois que j’ai enfin trouvé ma vraie voie amoureuse. Qui que soit cette apparition, je l’embrasse et ne désespère pas de la revoir un jour.

Reynald

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Dimanche 5 juin 2005 7 05 /06 /Juin /2005 08:55

Confessions bitophiles – 1 (texte collectif)

BiteFlag
Thémes abordées : ) bisex masculine, doigtage masculin, exhibition, feuille de rose, party, trio, voyeurisme. .

J’ai pris sa queue dans ma bouche
par Michel
Salut princesse vassilia

 

J’ai fais la connaissance de ton site il y a très peu de temps et je répète peut être mais c’est SUPER ET TRES BIEN FAIT

Je voudrai te raconter mon histoire, je suis marié depuis un quart de siècle et nous avions voulu avec ma femme faire connaissance avec l’échangisme.

Bon au début c’était barbant, il y avait comme d’habitude plus de voyeurs que d’acteurs, des gens coincés et on se demandait la raison pour laquelle ils venaient dans ces clubs si c’était pour rester assis sur un fauteuil.

Comme avec ma femme nous n’avons aucuns tabous, nous étions en train de nous caresser quand un monsieur est venu et a caressé ma femme, comme je ne suis pas du tout jaloux, j’ai laissé faire et même pris du plaisir.

Elle lui a pris son membre dans la main, et s’activa à l’exciter par des mouvements de va-et-vient, comme j’étais derrière elle, et face au gars devant j’ai eu une envie subite de lui prendre sa queue dans la main comme ma femme et de le masturber, ma femme me laissa faire, et j’ai éprouvé un réel plaisir.

J’ai eu un moment d’hésitation, je me suis dit que je suis devenu homo, mais non, pas du tout, j’aime les femmes, mais à cet instant la situation n’était pas désagréable et le gars n’a pas bronché

M’approchant petit à petit, et je ne sais pourquoi, j’ai pris sa queue dans ma bouche pendant que ma femme me caressait mon membre.

Puis changeant de position, je me suis mis derrière le gars prenant son membre dans la main et le présentant à ma femme pour sucer.

Le gars était heureux, car j’étais derrière lui, pendant que ma femme le suçait.

Nous n’avons pas pu aller plus loin ce soir là, mais depuis, j’ai une attirance vers les trans bien membrés, je me dis que c’est super de pouvoir baiser par derrière, d’avoir dans une main une belle queue bien raide, et de l’autre un sein bien ferme, ça m’excite juste d’en parler…

Je voudrai bien rencontrer un trans, mais dans le 73 ou 74 c’est introuvable.

J’aimerai bien que des trans nous disent vraiment ce qu’ils ressentent vraiment et éventuellement avoir les avis de couples qui ont une expérience dans ce domaine et avoir leur avis (femme et homme)

bye à tous Michel

 

Sous la douche
Par Alexis
J’ai lu ton article sur la bitophilie, je l’ai trouvé intéressant. Comme toi, je ne me retourne pas sur les hommes dans la rue (ça va pas la tête ?) j’aime trop les femmes. Pourtant en certaines circonstances…

 

C’était il y a plus de 10 ans Je m’en souviens comme si c’était hier, nous étions deux dans la douche, ce n’était pas sa bite que je matais au mec, c’était son cul, j’étais fasciné par ses jolis fesses, bien rebondis, sans poils et rendues brillantes par la mousse du savon… à ce point que mon propre sexe commençait à se redresser. Je n’ai pas du être très discret parce que le mec m’a envoyé une réflexion :

- Qu’est ce que tu as à me mater le cul comme ça, ça te donne des idées ?
- Il est pas mal, si j’étais PD je te draguerais, mais tu n’as rien à craindre !

Je me tournais, mais lui me répondait :

- C’est dommage, je me serais peut-être laissé faire, juste une fois dans ma vie, pour ne pas mourir idiot !
- Juste une fois ?
- Juste une fois !
- Je peux te les caresser alors !
- Vas-y !

assgay77Quelques secondes après je lui léchais les fesses, quelques minutes après je lui suçais la bite, il m’a ensuite sucé la mienne et je l’ai enculé. Je n’ai pas voulu qu’il m’encule, ni qu’il décharge dans ma bouche, mais je l’ai sucé à fond et il m’a aspergé le torse. On ne s’est pas embrassé, on ne s’est pas donné rendez-vous. J’ai eu peur des conséquences, et j’ai arrêté de fréquenter la salle de sport, je ne l’ai jamais revu ! Combien de fois je l’ai regretté ? Je n’ai jamais eu d’autres occasions mises à part quelques travestis que je m’offre quand le fantasme me submerge de trop.

Bravo pour votre site, pour la décontraction, et la franchise qu’il y règne

Alexis (peut-être pas bitophile, mais cul-de-mecophile J)

PS : je vous envoie un petit cul pour illustrer ce message

 

Ciné et aire de repos
par un « hétéro-bi anonyme »
Vers mes 18 ans j’ai entendu parler de couple échangistes se retrouvant sur les aires de repos de l’autoroute. Ayant pris une plein poignée de capote, je me suis rendu sur place avec la ferme intention de tirer un coup.

 

C’est dans les WC hommes que je me suis retrouvé avec deux types, assez vieux et assez moches qui se branlaient mutuellement. Je me suis alors caressé au fond de toilettes minables et assez dégoûtantes, puis je suis parti sans rien faire d’autre. Mon courage m’avait lâché !

Je suis retourné cette fois dans un cinéma porno. Cette fois il y avait plusieurs personnes, des hommes, qui se branlaient doucement entre les sièges. Cette fois, alors qu’il me demandait si il pouvait me sucer (j’ai refusé ne me demandez pas pourquoi…) j’ai fini par le branler puis je suis parti un peu honteux.

Puis je suis retourné à de nombreuses reprises sur l’aire de repos. Et une fois, tremblant comme une feuille je me suis approché d’un homme et je lui ai proposé une petite, non une grande pipe. Après lui avoir enfilé une capote je l’ai sucé jusqu’au bout et je suis parti, toujours avec ce sentiment de honte.

Je suis retourné de nombreuses fois dans ces endroits, toujours pour sucer des hommes que je rencontrais. Mais je voulais passer la vitesse supérieure.

Un soir je suis même aller avec une copine de longue date. Après l’avoir doigté sous sa jupe et en se faisant mater par deux mecs la bite à la main, j’ai enfilé une capote sur une de ces deux bites et je l’ai sucé comme un fou sous l’oeil complice de ma copine. Puis j’ai fini ma petite affaire en la baisant comme un fou contre le mur des WC.

J’ai passé la vitesse supérieure un soir. J’ai rencontré un mec bien foutu qui me plaisait. Je lui ai proposé de le sucer. Nous sommes allé dans la petite forêt jouxtant l’air de repos. Après lui avoir enfilé une capote, j’ai commencé à le sucer. Puis j’avais pris un tube de lubrifiant. Je l’ai alors mis dos à la barrière, et je me suis badigeonné la rondelle de lubrifiant. Je me suis alors posé sur son sexe et j’ai gentiment poussé. C’est rentré comme dans du beurre. J’avais déjà pratiqué la masturbation anale, mais c’était la première bite qui passait par là! Je me suis retrouvé, debout, les mains par terre sur le talus, à faire des mouvement d’avant en arrière jusqu’a ce qu’il jouisse. C’était divin.

Puis un soir, avec ma copine j’ai eu une révélation. Elle m’a sucé goulûment avec un doigt dans le cul. Je ne savais plus comment j’allais jouir. C’est depuis ce soir là que j’ai décidé d’aller faire un tour dans un sauna mixte.

Je me suis retrouvé dans un monde que je ne connaissais pas. Mais quel plaisir, des bites à sucer, à caresser et des cabines pour « plus si affinité »

Je n’ai à ce jour, après plusieurs virées sur des aires de repos, dans des endroit gay ou nudistes (où l’on trouve des bites à tous les coins d’arbres) beaucoup de pipes, quelques sodomies (subies mais contrôles) qu’un seul regrets.

Avec cette merde de sida, je n’ai pas encore eu le plaisir de sentir une belle queue m’éjaculer au fond de la bouche, ni sentir le foutre chaud couler au fond de mon anus…

Alors dépêchez vous Messieurs les chercheurs car j’en ai envie !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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