Samedi 2 juillet 2005 6 02 /07 /Juil /2005 17:02

Delphine est mal fringuée
par Mathilda Stenberg

 

 

scat

Thémes traités : feuille de rose, lesbos, party, scato, trio, uro.
Attention, scato explicite dans ce texte.

Bonjour, je m’appelle Mathilda, je suis brune, on ne me trouve pas mal même si je suis un peu forte et que je devrais perdre quelques kilos ! J’ai 26 ans. Parler de mon boulot ne vous intéressera pas, mais à l’époque de ce récit, j’accomplissais une mission de longue durée dans la région languedocienne, et j’avais trouvé une colocation chez une femme charmante, une antillaise d’une bonne quarantaine d’année, plutôt du genre plantureuse qui se prénommait Agnès. Une grande complicité s’est vite établie entre nous. Parfois elle me parlait de sexe, me disait qu’elle aimait s’amuser et m’avait confié qu’elle n’avait rien contre les femmes. Je n’avais jamais relancé, ne pensant pas que je pouvais l’intéresser. En ce qui me concerne j’avais rompu depuis plusieurs mois avec mon petit copain, et ne vivait que d’aventures sans lendemain. Quant aux femmes, j’avais eu une aventure un soir de fête avec une fille, le trip sexuel avait été parfait, mais ma partenaire n’avait pas souhaité donner suite. Ce fut mon unique expérience en la matière

Au moins une fois par semaine, nous partagions notre dîner avec Delphine, une fille blonde d’une vingtaine d’année, c’est la fille d’une ancienne voisine d’Agnès. Je n’ai jamais compris ce qu’elle fabriquait, mais cette nana était en perpétuelle galère, compétemment fauchée et s’habillant n’importe comment avec des vêtements que lui donnait les gens. Pas maquillée et coiffée sommairement. C’était dommage parce qu’un peu arrangée, on aurait certainement pu la classer parmi les « mignonnes ».

Hier soir Delphine est arrivée avec une jupe à bretelles sortant de je ne sais où, mais en plus, elle était tellement courte qu’on voyait ses collants filés et le bas de ses fesses, heureusement qu’elle avait recouvert tout cela d’une espèce de gabardine…

On a d’abord mangé, bu un petit peu ! On s’est mise à déconner sévère… Puis Agnès s’est souvenue que l’anniversaire de Delphine tombait dans une dizaine de jours !

- Est-ce que tu aimerais qu’on te paie des fringues ?
- Pourquoi pas, mais je ne sais pas trop ce qui me va ou pas !
- J’ai une idée, dis alors Agnès, comme tu fais à peu près la même taille que Mathilda, tu vas essayer quelques-unes de ses fringues, comme ça tu pourras nous dire ce qu’il te plait, et la semaine prochaine on ira faire les achats.

Nous nous sommes donc installées dans ma chambre et avons choisis quelques vêtements.

Agnès demande à Delphine de quitter sa jupe et d’essayer une petite robe bleue mignonne comme tout. Elle s’exécute et passe la robe par-dessus son chemisier et son pull. On rigole et on lui dit de quitter tout pour essayer comme il faut.

Delphine se retrouve donc en soutien-gorge et collant devant nous, et remet la robe. Une fois enfilée elle tourne devant nous, toute heureuse.

- Le problème c’est qu’avec le soutif que tu as, ça fait un peu bizarre ! dit Agnès. Laisse-moi arranger ça, on est entre femmes, non ?

Alors, sans autre cérémonie elle lui baisse la robe jusqu’à la ceinture, puis dégrafe son soutien-gorge ! Delphine se retrouve alors la poitrine nue devant nous et son réflexe est de se la cacher en mettant ses mains dessus.

Agnès, en riant lui attrape les bras et les lui place le long du corps.

- Tss, tss, je t’ai dit qu’on était entre femmes… Mais tu as une poitrine superbe ma fille !

Et elle lui met une main sur un sein et le caresse .Puis elle passe derrière elle et la saisit par sa poitrine à pleine mains qu’elle pelote ostensiblement devant moi.

Moi ça me fait rire de voir Delphine se trémousser, se demandant quelle attitude adopter, alors qu’Agnès continue à lui malaxer fermement ses gros nichons.

- Tu rigoles, petite garce, mais je suis sûre que tu n’as pas d’aussi jolis seins ! Me lance l’antillaise avec un sourire complice.
- Chiche que l’on compare ! Dis-je pensant que l’affaire en resterait là.
- Chiche ! Réplique Agnès !

Du coup je rentre dans le jeu et aussitôt dit, aussitôt fait, je tombe ma robe, quitte mon chemisier et mon soutien-gorge et me met en face d’elles, le torse gonflé, les seins en avant.

- Vas-y ! Compare !

Je suis en petite culotte devant Delphine et Agnès lui lâche un sein et commence à me caresser le mien.

- Difficile à dire, ils sont aussi doux et fermes !

Agnès nous fait nous plaquer l’une contre l’autre et nos poitrines se touchent, téton contre téton, ce qui a pour effet de me donner la chair de poule et instinctivement, je me frotte contre la blonde. Je la prends par la taille et me serre contre elle. Je sens alors mes pointes se durcir tandis que Delphine envahie par la chair de poule ne dit plus rien, mais se laisse faire. On se reste comme ça quelques instants, Agnès s’assoit un moment et nous regarde toutes les deux :

- Finis donc de lui enlever sa robe ! Me demande-t-elle

Je m’exécute lentement en lui caressant les hanches. La robe tombe à ses pieds.

- Laissez-moi vous guider toute les deux, mes petites chéries…

Pas de réponse mais nous sommes face à face, troublées et je tiens Delphine par les hanches.

- Bon ma biche, quitte lui son affreux collant.

Une nouvelle fois, je m’exécute lentement, et pour mieux faire, je me mets à genoux devant elle et saisissant l’élastique du collant, je le tire vers le bas. Je sens la peau des fesses douces et lisse, tire plus fort, la culotte viens avec, mais, trop occupée des réactions de Delphine je baisse tout jusqu’à ses pieds et elle se retrouve nue devant moi, son sexe à hauteur de mes yeux. Une sorte d’élan pervers fait alors que je ne peux m’empêcher de passer mes lèvres sur son pubis et de l’embrasser. Ça sent un peu fort, mais ça ne me gêne pas. Delphine réagit en me caressant les cheveux, et moi je laisse traîner ma bouche sur son ventre et sa motte gonflée tout en lui caressant les fesses. Agnès nous regarde faire, puis au bout d’un moment dit :

- A toi Delphine !
- Pardon ?
- Quitte lui sa culotte !

Je me suis relevée et Delphine, timidement se met à genoux devant moi et descend ma culotte sur mes pieds. Elle met du temps pour le faire et je sens ses mains s’attarder sur mes fesses puis sur mes cuisses. Elle fait exprès de me toucher le pubis et sous prétexte de descendre la culotte, passe sa main entre mes jambes et touche furtivement mon sexe. Instinctivement, j’ai d’abord serré les jambes, mais sous sa pression les ai desserrées et même ouvertes légèrement.

- Très bien les filles, vous étes super belles comme ça !

Agnès nous a rejoint et a relevé la blonde. Maintenant elle nous caresse toute les deux, les seins, le ventre, les fesses et nous nous laissons faire avec toutes les deux la chair de poule. Puis en même temps, Agnès passe sa main entre nos cuisses et nous caresse le minou. Je sens ses doigts s’infiltrer en moi et je vois que pour Delphine, c’est la même chose. Je m’accroche à ma partenaire et ouvre un peu plus mes cuisses. Delphine vient se frotter ses seins contre moi et je lui caresse les fesses. Elle aussi a ouvert davantage ses jambes et la caresse d’Agnès se transforme en une masturbation en règle pour toutes les deux. Nous nous embrassons et jouissons ensemble sous la caresse.

Après nous avoir faites jouir Agnès, toujours habillée, s’est rassise, a ouvert ses jambes et se caresse en nous regardant avec un petit sourire moqueur.

- Restez comme ça mes chéries, regardez-moi si vous voulez et continuez de vous toucher.

Agnès a maintenant quitté sa culotte et jupe relevée, jambes ouvertes se doigte devant nous, très vite elle rejette la tête en arrière et commence à jouir, ce qui ne l’empêche pas de continuer à se doigter et s’exciter toute seule. Alors, on s’est approché d’elle, et on l’a caressé d’abord timidement, sur les cuisses, puis j’ai découvert sa superbe poitrine noire que j’ai pris plaisir à parcourir de ma paume et de mes doigts puis de ma bouche. Delphine a remplacé la main d’Agnès par sa propre main sur son sexe gluant.

Puis, abandonnant les seins d’Agnès, je suis passée derrière la blonde, approchant ma bouche de ses fesses, lui écartant les globes, dirigeant ma langue vers son petit œillet ! Ça sent fort, cette fille a dû oublier de s’essuyer le cul après avoir été chier ! J’ai un réflexe de recul !

- Ça pue !
- Qu’est ce qui pue ? demande Agnès.
- Son, cul, ça pue la merde !
- Ah, ouais, attends je vais me rendre compte moi-même !

Sans doute vexée par mon attitude, Delphine se dégage et va pour ramasser ses vêtements ! Agnès se penche vers elle, lui caresse le dos !

- Tss, tss, Mathilda est une méchante fille, elle n’y connaît rien, montre-moi tes fesses, moi je suis sûre que je vais les aimer !
- Non, laissez-moi tranquille !
- Mathilda disait ça pour rire ! N’est-ce pas Mathilda ?

Je ne voudrais pas qu’il y ait un drame, aussi j’abonde dans le sens d’Agnès !

- Bien sûr que je disais ça pour rire !
- Je sais bien que je suis un peu sale… mais j’avais pas prévu que la soirée finirait comme ça, sinon j’aurais pris une douche !
- Tu ne me comprends pas ! Repris-je ! En fait, l’odeur ne me dérange pas tant que ça…
- Alors continue de lui lécher le cul ! Me coupe l’antillaise, me mettant au défi.
- J’arrive !

Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour éviter un drame ! Je ne sais pas si je vais en être capable, je me verse un grand verre du vin blanc qui traînait sur la table et reviens butiner le trou du cul de Delphine. Ça pue toujours, ça pue toujours la merde, mais bon, on s’habitue, on s’habitue même très rapidement. J’essaie de lécher, quelque part maintenant cette situation m’excite, je lèche maintenant avec frénésie, je ne me reconnais plus ! Il faut dire objectivement que l’odeur ne persiste pas, et que les traînées brunâtres qui me tombent sous la langue sont certes un peu âcres mais n’ont rien de pestilentielles ! Alors je décide que j’en veux encore, ma langue est dans son trou du cul, je le fore, je l’explore je m’en enivre !

- Alors ? Me demande Agnès ? Tu te régales ?
- Super ! C’est vraiment super de lécher un trou du cul qui pue !
- Tu m’en as laissé ?
- Je te laisse la place !

La langue d’Agnès remplace donc la mienne dans le troufignon de Delphine !

- On ne sent plus grand-chose ! C’est dommage, il n’y a que quand je suis super excitée que je peux faire des trucs pareils.

Agnès plonge un doigt dans le trou de Delphine, le ressort au bout d’un moment, tout merdeux et le lèche !

- Hum c’est délicieux ! Tu veux goûter, Mathilda ?

Je ne réponds pas, je ne sais pas quoi répondre.

- Vous êtes vraiment dégueulasses, toutes les deux, dit alors Delphine pour se moquer !
- Ça c’est vrai !

Agnès replonge une nouvelle fois son index dans l’anus de la blonde, puis me le tend.

Je ferme les yeux et j’ouvre la bouche, l’instant d’après je léchais avec passion, je ne me reconnais plus… Puis Delphine se dégage…

- Faut que j’aille pisser !
- Bonne idée on va te regarder ! Réplique Agnès !
- Tu veux voir mon pipi ?
- Tu as dit voir ou boire ?
- J’avais dit boire, non j’avais dit voir, je ne sais plus !

On se met toutes à rigoler !

- Bon vous voulez quoi ? demande Delphine
- Tu vas nous pisser dessus propose Agnès ! Ça te dit, Mathilda ?

Au point où en en est… Une fois un de mes ex m’a pissé sur les seins alors que je prenais mon bain, ça m’avait fait rigoler ! On s’allonge Agnès et moi sur le carrelage, l’une à côté de l’autre ! Delphine nous chevauche au niveau de nos ventres :

- Serrez-vous bien l’une contre l’autre, je n’ai pas des jambes de basketteuse !

Et le pipi sort, j’en reçois plein sur le ventre, c’est chaud, c’est rigolo, Agnès se marre comme une bossue tandis que la pisseuse s’avance vers nos seins, puis vers nos visages, je ferme la bouche instinctivement mais quand je vois l’antillaise avaler une rasade, je me décide à goûter ! Ça ne vaut pas le muscadet mais ça se boit…

- Bougez pas, je crois bien que je vais chier…

Non elle ne va pas faire ça ! Ben si et personne ne bouge, j’ai son sphincter à trente centimètres de mon visage ! Et Agnès qui attend la bouche ouverte, elle est folle ! Et moi je ne bouge pas, tétanisée.

- Ah ! Vous auriez bien voulu !

L’anus s’écarte, un étron brun commence à sortir. Je le regarde fasciné. Un long boudin descend à présent du cul de Delphine et dégringole sur les seins d’Agnés.

Elle rigole, elle prend l’étron dans sa main et en porte l’extrémité à sa bouche comme s’il s’agissait d’une bite, puis donne des coups de langue.

- Tu veux goûter ! Me propose-t-elle.
- Non peut-être pas !
- Juste un coup de langue, comme ça, pour voir !

Je ne sais ce qu’il m’a poussé à le faire mais je le fais.

- On lui nettoyer le cul toutes les deux !

Je m’acquitte de cette tâche avec une facilité et une décontraction que je n’aurais jamais imaginé. C’est vrai que tout cela est dans la tête, on s’attend à un goût abominable alors qu’il n’en est rien du tout.

- A ton tour de me lécher le cul, maintenant ! Lui dit alors Agnès, je crois qu’à cette heure-là il ne devrait pas sentir la rose !

      fdr-l1176

Et tandis que la blonde prodigue une jolie feuille de rose à la belle black mature, je reste allongée, ma tête me tourne un peu ! Cinq minutes plus tard, Agnès revient vers moi et me caresse.

 

- Viens me rejoindre, Delphine ! On va s’en occuper à deux !

Elles m’ont alors exploré tout le corps, dans ses moindres détails. Tout n’était que caresses et douceur. Mise sur le ventre, Delphine sous moi, nous étions sexe contre sexe, puis suivant les conseils d’Agnès, tête bêche, bouche coutre sexe. Agnès me caresse le dos descend sur mes fesses, me les malaxent, passe sa main entre le sillon, s’arrête un instant, trouve mon petit trou et le caresse, le masse. Cette caresse, doublée de la langue de Delphine sur mon bouton me fait me cambrer et elle en profite pour de nouveau me pénétrer avec son doigt. L’antillaise profite de la situation et le massage de mon anus devient insistant et pénétrant. Je sens son doigt me pénétrer doucement puis se retirer. Je me cambre davantage, l’appelle. Il revient et rentre facilement plus loin et commence un doux va-et-vient alternatif avec celui de Delphine Je suis comme folle, comme une chienne et me cambre encore, suis à quatre pattes, ouverte, offerte et encore plus. Je jouis, me frotte la poitrine sur la motte de Delphine. Le doigt d’Agnès disparaît dans sa bouche, elle est partie. Mon corps désespéré l’appelle !

J’ouvre mes fesses, me frotte plus fort contre mon amie. Miracle, Agnès est de retour, elle me caresse, j’ouvre mes fesses l’invite. Je sens de nouveau son doigt, il pousse, entre, se retire et de nouveau entre par la petite porte. Je crie, j’en veux plus, je la lèche.

Le « plus » c’est Agnès que me l’offre. Son doigt s’est retiré et je sens la pression de quelque chose sur mon petit trou affamé. C’est gros, énorme et ça rentre lentement, je suis écartelée et heureuse, ça vibre en moi et provoque une décharge électrique si intense que je me vide, ma chatte n’est que ruisseau, fontaine. Jamais je n’ai été si comblée, pourtant l’engin que m’a enfoncé Agnès est plus que respectable par sa taille. Maintenant il me fait peur à voir, mais au fond de moi une envie de le remettre me poursuit et en plus mon trou me fait mal, il me brûle et en redemande…

Je m’empare du gode et je le lèche, le nettoie de toute ma merde. Je suis chienne et j’aime ça…

Agnès me roule un patin, j’ai l’impression que sa bouche a conservé l’odeur de ce qu’elle a léché, mais j’en ai cure, ce baiser est trop bon. Delphine vient s’immiscer, c’est amusant de mélanger nos langues à trois.

je crois que je vais dormir un peu… Non peut-être une douche avant…

Mathilda Stenberg 2005

Rewriting de « ma meilleur amie et ma belle-mère » paru jadis sur Sophiexxx sans mention de nom d’auteur, ni la moindre correction

Par Mathilda Strernberg - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mardi 21 juin 2005 2 21 /06 /Juin /2005 09:55

Confessions de clients (prostitution) – 1 (texte_collectif)

 

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Themes abordés : domination soft, engodage masculin, prostitution, uro. 

Les souvenirs de Claudius par lui-même

J’aurais voulu écrire le point de vue du client, mais cela n’aurait sans doute pas rajouté grand chose. Pourtant j’en aurais des choses à dire ! Plus de 30 ans de pratiques et, malgré une vie sexuelle et familiale  » normale « , ce besoin toujours renouvelé de pouvoir découvrir, admirer, caresser des corps féminins…

Jeune, j’hésitai à franchir le pas, et arpentai la rue St Denis en de longs va-et-vient dont les images alimentaient mes fantasmes nocturnes. La première fois fut à Amsterdam. Je m’étais figuré qu’il fallait arriver bandé devant la fille et je m’y étais préparé en visitant les sex-shops de la vile. Une fois chez la fille -je ne comprenais rien de son anglais approximatif-, je ne bandai plus et m’enfuis lui laissant mes florins. Plus tard à Paris, je montai rue Blondel avec une fille gentille, qui sut m’exciter mais pas me faire jouir. J’en ressortis dubitatif. Quelques semaines après je croisai une femme vers la rue Beaubourg vêtue en Domina, martinet à la main. Tout de suite sa vue m’excita. Je n’ai plus le souvenir de son visage, mais de ses paroles, si :

- Alors ? Tu veux que je te fasse des petites misères ?

Oui, je voulais, elle me fit tout : mon premier gode (je crois encore en entendre les vibrations), mes premières pinces, mon premier face siting,

- Je vais te rougir le cul !

Et, oui, mon premier martinet. Elle ne tapait pas très fort, juste ce qu’il faut pour exciter… puis à un moment :

- Tu veux que je te brûle avec la bougie ?

Ne sachant pas de quoi il s’agissait, je refusai, effrayé. J’ai néanmoins compris ce jour là que quelques petits stimulants ne pouvaient pas me faire grand mal.
Puis les habitudes se prirent :

…Au début je changeai systématiquement de fille à chacune de mes envies. Mon coin préféré était le secteur des Lombards, dont il ne reste pratiquement plus rien… Ce coin était le quartier des  » dominas « . Sans être exagérément masochiste, leur tenue me fascinait…

Souvent j’étais déçu, mais il m’arrivait aussi d’être surpris, ainsi :

Cette grande femme au look à la Anne Bancroft, qui a depuis longtemps quitté la profession, mais qui continue à hanter le quartier, habillée en bourgeoise, porte-documents sous le bras, affairée à je ne sais quelle tâche et qui, alors que je lui réclamai une domination légère, m’a ordonné de me coucher par terre. Ses propos sont encore dans ma mémoire :

- Elle bande bien ta bite, je lui pisserais bien dessus !

Elle le fit, ce fut ma première séance uro.

Ou cette autre qui, sans que je demande quoique ce soit, m’a offert son anus ! Ce fut la seule à le faire.

Malgré tout, je ne me fidélisai pas… Jusqu’au jour où j’en ai rencontré une qui m’a donné l’envie de revenir (Jackie peut-être mais je ne suis pas sûr). Je me suis aperçu alors de l’immense complicité que ce genre de relations pouvait faire naître. Alors j’ai alterné : tantôt les nouvelles, tantôt les complices. Oh ! J’ai bien rencontré quelques folles, pas mal aussi qui ne m’ont pas donné envie d’y revenir… mais les autres….

Souvenirs.

Certaines ont disparu de ma mémoire. Toutes les filles ne se présentent pas si on ne leur demande pas, alors parfois il me reste un vague visage, une imprécise silhouette. Pour d’autres, le souvenir est vivace.

Brigitte et sa tenue de cuir, blonde tressée à la frimousse coquine, la première qui m’ait complètement déculpabilisé. Brigitte pour qui les hommes faisaient la queue rue des Lombards. Elle s’est reconvertie et elle fait les marchés.

Sylvia, blonde sculpturale, qui illuminait la rue Joubert de sa présence, revêtue de sa tunique diaphane qui dissimulait à peine son impressionnante poitrine, et qui m’a fait découvrir que je ne connaissais pas toutes mes zones érogènes. Reconvertie dans l’élevage des chevaux

Cette grande espagnole plus toute jeune et à la poitrine de rêve, reconvertie dans la restauration « si tu viens dans mon restaurant je te ferai un prix » me disait-elle, mais j’ai perdu l’adresse !

Sophie : une merveille de gentillesse et de savoir-faire, avec son rideau fenêtre pour dire si elle était libre ou pas, sa salle de bain en guise de salle d’attente et le whisky qu’elle m’offrait à la fin, comme un privilège. Quand elle m’a annoncé son intention de se retirer et de repartir en Aquitaine, j’en ai été malade. Revenu pour lui faire mes adieux, la veille de son départ, j’étais incapable de bander correctement. Sophie l’une des plus gentilles et des meilleures filles que j’ai rencontré. Celle qui sera impérissable dans mon souvenir.

Et puis celle-ci (ai-je un jour su son nom ?) qui ,un jour où la chaleur était suffocante m’a demandée de la faire jouir en la suçant afin de  » la détendre  » ! Le toc-toc d’une copine interrompit hélas ma bonne volonté et elle ne renouvela jamais sa demande.
Maud, la petite Maud, que ses copines appelaient Momaude, avec son visage de fouine, sa patience et sa gentillesse.

Marie-Christine qui a depuis changé de nom, et ses spots à la fenêtre, Rachel, somptueuse brune aux cheveux qui n’en finissaient pas, à la peau mate et à l’accent que je n’ai jamais identifié

Monique, à Pigalle qui avait la particularité d’avoir un sexe d’homme entre les cuisses. Et oui, les travestis m’intéressaient aussi…

Ou cet autre travesti, une brésilienne belle comme une déesse, à peine aimable au début, me demandant de ne pas enlever mes vêtements du haut, puis se prenant au jeu et qui finira par s’exciter, me sodomiser (mon unique sodo) m’embrasser sur la bouche, et éjaculer sur ma cravate (foutue, la cravate !). Ou celle-ci qui paradait entièrement nue devant son miroir s’admirant toute seule et me lançant avec son accent :

- Jolie, une femme à bite ?

Mais les travestis n’ont été qu’une parenthèse.

Il y a aussi toutes les autres : Nathalie, ses petits seins, son grand nez et ses mains de velours, Patricia qui a la peau la plus douce que j’ai jamais caressé, l’autre Patricia et son petit sourire moqueur. Marianne qui faisait aussi dans la domination et qui une fois m’a demandé de sucer un client qu’elle avait laissé attaché. Karine, véritable canon égaré rue St Denis et d’un savoir-faire époustouflant. Stella toujours en train de rigoler ou de parler avec l’accent de Marseille. Françoise qui me parlait de ses chevaux et de ses chats. Pamela l’Antillaise à la peau de satin, et son studio décoré de portraits de musiciens et bercé par la voix de Billy Holiday. Josie sa peau de soie, ses cuisses de rêve, et son sourire malicieux qui me disait qu’à chaque client elle avait l’impression de jouer un rôle comme au théâtre. Celle-ci fréquentait les galeries de peintures tout comme la grande Carole, qui me disait aimer l’art moderne et qui faisait sa prestation sur fond de musique de jazz ou comme Catherine abonnée des ballets de l’opéra Garnier. Et cette québécoise rousse dont le nom m’échappe et qui vivait dans un incroyable bordel, de livres, des cahiers… m’approchant un jour de son fouillis, elle m’indiqua alors qu’elle poursuivait ses études. Ses ébats étaient complètement fantaisistes. Un jour j’appris qu’elle était repartie dans sa belle province…

Certaines un jour disparaissent : Cynthia dont le studio était gardé par un énorme chien beige pleins de poils partout. Dany disparue du jour au lendemain, petite blonde qui avait le truc pour me mettre en condition dès la porte du studio franchie. Certaines parfois reviennent comme Josée, dont la simple vue de son corps me provoquait une érection immédiate, d’autres, mais c’est rare restent là comme Nina, l’une de ce celles que j’ai vu rester le plus longtemps, mais je ne l’ai pas vu vieillir. C’est aussi elle qui m’a organisé l’une de mes rares séances avec deux femmes, celle-ci fut inoubliable. Ou la grande Tina, fille des îles, décontractée comme pas possible.

Et puis Solange, bien sûr, celle avec qui la complicité à été la plus loin…

Et puis au-delà du plaisir sexuel, du plaisir de se retrouver, parfois un mot, un simple mot m’a rempli de bonheur comme celle-ci qui alors que je partais me lança :

 » je te garderais bien… « ,

et moi comme un con, qui n’ai même pas rebondi là-dessus. Ou cette autre que sa copine interpellait d’un

 » Quand faut y aller, faut y aller ! »

et qui lui répondit :

 » Monter avec lui, c’est un plaisir ! « .

Dans les deux cas il n’y avait rien de sexuel dans ces propos, juste l’expression de ce plaisir complice d’être ensemble entre personnes qui se respectent…

Bien sûr que le métier fait quelquefois froid dans le dos, on m’a raconté des choses affreuses, y compris des meurtres… Pour ma part, je trouve que la prostitution devrait être encadrée autrement, mais là n’est pas mon propos.

Merci à vous Mesdames d’avoir mis un peu de fantaisie dans ma vie. Je suis maintenant en retraite à 300 km de Paris, et mes visites deviennent rarissimes. Si vous saviez comme elles me manquent !

Encore merci Sonia, pour cet article. Peut-être nous sommes-nous connus, mais je ne chercherais pas à savoir…

Claudius

 

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Le placard par Bob

Il y a de ça 20 ans, je monte avec une fille rue Joubert, très gentille et des seins de rêve, je la fréquentais depuis quelques temps déjà et une certaine complicité s'était instaurée entre nous. Elle plaisantait souvent mais dès fois je ne comprenais pas toujours ces blagues assez hermétiques, et ce jour là, elle me sort un truc du genre :

- Ça ne te gène pas de savoir que j'ai mis un de mes client dans le placard ?
- Pourquoi ? Tu ne l'as tué ? continuais-je sur le même ton.
- Non, non pas encore !

On fait nos petites affaires, je me lave la zigounette, je vais pour me rhabiller et qu'est-ce que je vois : un mec qui sort du placard ! Ce n'était pas une blague ! Le type était voyeur et avait payé pour mater trois passes à travers un œilleton. Il est ensuite parti assez vite !

- Ben ça alors ! T'aurais pu me prévenir !
- Mais je t'ai prévenu ! Tu ne m'as pas cru ?
- Et si je n'avais pas été d'accord ?
- Très simple je collais un papier sur l'oeilleton !
- Et tes clients d'avant tu les avais prévenus aussi ?
- Ne cherche pas à tout savoir, mon bébé !

Quand elle m'appelait mon bébé je fondais... (Authentique)

Bob

Dolores par Jean-Charles K

Madame, je ne défends ni le proxénétisme ni la prostitution mais je défends les prostituées et les respecte ! Jamais de ma vie je n’avais été les voir (mais elles me fascinaient)  jusqu’au jour où, en parlant à un ami qui je le sais les fréquentait, celui-ci me donna quelques conseils. Malgré ceux-ci ma première expérience fut désastreuse, à ce point que je me crus vacciné. Et puis ça m’a repris, j’en ai parlé à l’ami, il m’a dit

« Tu es mal tombé, ça arrive ! Soit sympa avec elles, respecte-les, et elles te le rendront au centuple ! »
« Mais j’ai été correct et sympa la fois d’avant ! » Me disais-je !

L’envie m’a tenaillé, et j’ai été voir D… Une demi-heure sublime ! Un visage fatigué mais un corps de déesse, une gentillesse incroyabl. Pour un supplément dérisoire elle m’a laissé (presque) tout faire. La prostitution est un « mal » nécessaire, il y a tant de désaxés, mais je ne me considère pas comme tel, je suis normal, et mes quelques fantaisies sont du tout venant. Alors pendant que je jouissais en me masturbant pour finir et qu’elle était occupée à me donner mes innocentes fantaisies, elle est littéralement tombée sur moi dans un grand élan de tendresse, et s’est mise à bouger tout doucement. Je me demandais ce qu’elle faisait, elle m’a simplement dit

« - Je me frotte la chatte contre ta cuisse, je suis vicieuse, hein ? »

Pendant que je me rhabillais, on a discuté de choses et d’autres, pas de sexe. Par jeu, sans y croire du tout, je lui ai proposé de l’inviter au restau, elle a accepté. La suite est trop intime, mais cette soirée fut inoubliable. J’ignore si je la reverrai, l’occasion de monter à Paris ne se renouvellera pas de si tôt.

Merci Dolorès. Et tous mes respects à vous mesdames, qui accomplissez votre fonction avec conscience et fantaisie.

Jean-Charles K (21/02/02)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Mardi 7 juin 2005 2 07 /06 /Juin /2005 09:39

Confessions transsexuelles – 1 (texte_collectif)

Fetish

Thémes abordés : prostitution, transsexuelles, travestis

Comment je suis entré en trans
par Dimoitou

D’abord, je me suis reconnu (moi aussi) dans ta définition de la « bitophilie » tout a commencé il y a de cela quatre ans, après une vie (bien remplie) d’hétéro, un soir je dîne avec un ami, on s’est retrouvés au restau et de ce fait nous étions garés dans des endroits opposés, on se quittent vers 23 heures après un dernier café et chacun de nous repart dans une direction différente.

Quand j’arrive à ma voiture, je vois une grande pute appuyée sur mon coffre.

- Vous voulez l’acheter?
- Je l’abîme pas.
- Non bien sûr, je crois même que vous l’avez gardé, c’est peut être grâce a vous si elle est encore là.

On a continué a discuter cinq minutes, j’ai le nez dans ses nibards (malgré, mes un mètre quatre vingt) et par fanfaronnade je déclare:

- J’ai pas le temps aujourd’hui, mais la prochaine fois que je passe par là et que vous voie je m’arrêterai.
- Volontiers, mais je vous préviens je suis transsexuelle, non opérée.

Là, je dois préciser deux choses un, c’est que j’en parle au féminin, parce qu’elle à choisi d’être ce qu’elle est et que ce choix lui appartient et deux, c’est que je ne m’étais rendu compte de rien…
J’ai bien du mettre six mois avant de tenir ma promesse, tenaillé que j’étais entre l’envie de voir et la crainte d’être vu.
Et je me suis décidé un jour, elle m’a emmené dans un parking pour une fellation, je lui ai demandé de me montrer sa bite, ce qu’elle a fait et je me suis surpris a jouer avec, ce soir là je n’ai pas osé aller plus loin, mais j’étais devenu « bitophile »
Depuis je la revois, souvent, moyennant un supplément nous nous retrouvons dans un studio qu’elle partage avec une copine, il y a une sorte de complicité et une énorme gentillesse, elle a trente quatre ans de moins que moi, elle me traite « d’hommes a femmes » ce qui est, je crois, un compliment pour nous deux, j’adore sa bite, ses hanches étroites, ses petites fesses bien hautes et son petit cul serré.
C’est avec elle que je suis « entré en trans!… »
J’en ai connu d’autres, avec le même plaisir, des transsexuelles et des travesties et j’alterne mes relations féminines avec mes plaisirs bitomaniaques…

Voilà, je veux témoigner ici que bien que prostituées je les ai toujours toutes trouvées débordantes de gentillesse, je les remercie et je leur rend hommage, qu’elles trouvent ici de manière anonyme l’expression de mon respect et de mon affection…
J’habite en province, il n’y a pas besoin d’être riverain du bois de Boulogne pour en rencontrer…

Allez, je te laisse, je te promets une participation plus active dans les jours qui viennent, je t’enverrai quelques récits et quelques dessins de mon cru, je te remercie pour m’avoir donné l’occasion de m’exprimer, continue….

Dimoitou 2002

 

Un ange dans le Paris-Montparnasse
par Etienne

Toutes ces analyses, ces messages sur la bisexualité m’ont intéressé car cela m’a permis de mieux me situer et aussi de me déculpabiliser. Mais il y a des situations complètement ingérables ! Je vous raconte :

 

J’étais mardi en fin d’après midi dans ce train de banlieue, essayant de m’intéresser à un incompréhensible article d’un numéro spécial de Science et Vie sur la structure de l’Univers ! Il y avait quelqu’un en face de moi, mais je n’y avais pas fait attention. Mes yeux se relèvent je ne sais plus pourquoi, se redirigent vers ma lecture ! Tilt ! C’est quoi en face ? Perturbé, je regarde mieux en essayant de ne pas croiser son regard, un léger duvet moustachu, quelques tous petits poils en bas du menton ! Bon ok c’est un mec ! Plus moyen de m’accrocher à cette foutue lecture ! Les traits sont fins, il n’y a pas de trace de barbe ailleurs, les ourlets des oreilles sont finement découpés et une petite boucle orne le lobe gauche, les cheveux retenus en queue de cheval ont subis une légère décoloration  » en mèche « , les mains sont fines. Les lunettes sont très féminines et mettent en valeur de magnifiques yeux gris clairs ! Donc Ok c’est une nana ! Je regarde le reste, son blouson m’empêche de deviner sil y a des formes la dessous ! Je n’arriverais pas à reprendre ma lecture ! Un mec ? Une nana ?

Arrivé gare Montparnasse, je la suis un moment afin d’essayer d’en savoir plus ! Impossible, la créature est vêtue d’une espèce de pantalon en jean avec une fourche descendant à mi-cuisse ! La démarche évoque plus celle d’un loubard que celle d’une danseuse ! Je n’en saurais pas plus ! Si c’est une femme, même tendance lesbos-routier pourquoi ne pas s’épiler ! Si c’est un homme jouant de son ambiguïté, en voilà une drôle de façon de la jouer ! J’aurais pu lui demander, je suis assez baratineur et gonflé pour obtenir parfois des renseignements de la part d’inconnus ! Il suffisait en fait d’écouter la voix…. Mais je n’ai pas voulu le faire, j’ai voulu garder ce secret, j’avais rencontré un ange, un ange n’a pas de sexe, et le soir dans mes fantasmes, la créature me faisait mille caresses…. Mais sans retirer sa culotte !

Etienne

 

Rencontre d’un soir
par Reynald
Bonjour, félicitation pour ce site qui est une merveille de dialogues et de témoignages. Je vous envoie ce mail pour vous raconter ma rencontre avec une personne sublime qui m’a fait rêver et qui continue à hanter mes rêves. Je suis marié et j’ai un enfant, et un soir ou ma femme et ma fille étaient dans la famille pour plusieurs jours, je suis sorti la nuit pour faire un tour dans Lille (j’habite près de Lille, dans le Nord) Au hasard de ma route, je me suis retrouvé dans une rue de Lille fréquentée par des prostituées. J’ai croisé la une femme brune, grande et belle, habillée toute de noir, avec une minijupe en cuir laissant entrevoir ses bas et le haut de ses cuisses. Elle m’a abordée, elle parlait doucement et tendrement. Nous sommes partis dans ma voiture, dans un endroit très calme.

trans bl  

C’était une prostituée, elle me plaisait, nous avons commencé à parler de fantasmes, l’un des miens est de sodomiser une femme. Elle m’a dit que cela ne la dérangeait pas! Elle a commencé à me déshabiller. Elle a déboutonné mon pantalon, enlevé mon caleçon, puis elle a ôté sa culotte. J’ai voulu lui caresser le sexe, mais elle a pris ma main et l’a posée sur ses fesses pendant qu’elle commencer à me sucer. Cette fellation en douceur et très longue m’avait bien excité, c’est alors qu’elle s’est mise à quatre pattes sur le siège passager et m’a demandé de passer derrière elle pour la sodomiser. J’ai donc commencé à la prendre par derrière, mon excitation ne faisait que croître. Cela ne devait pas lui déplaire, puisqu’elle a commencée à bouger de plus en plus, me serrant le sexe dans son anus tout en gémissant de plaisir. Son cul devenait une bouche qui avalait ma bite et l’enserrait au grès de son plaisir. Plus la sodomie continuait, plus je la prenais fort et en profondeur et plus elle en demandait. Je me suis retiré de son cul pour jouir dans sa bouche. Je n’avais jamais joui comme cela. Nous nous sommes écroulés chacun de notre côté après cette scène épuisante. Elle m’a demandé si j’avais joui, je lui ai dit que je n’avais jamais joui comme cela avec une femme.

Elle m’a dit qu’elle aussi avait pris un grand plaisir avec moi, et m’a embrassé. Je lui ai rendu son baiser passionné. Elle a recommencé à me caresser, j’ai senti mon sexe se dresser à nouveau. Elle m’a demandé si je voulais à nouveau la prendre et lui faire « l’amour et vraiment la baiser ». Je me suis jeté sur elle, l’ai embrassé et j’ai voulu à nouveau lui caresser le sexe, mais elle a de nouveau enlevé ma main qui se glissait entre ses jambes pour me passer un préservatif avec la bouche et m’avaler goulûment le sexe. Elle m’a fait la plus belle fellation que l’on ne m’avait jamais faite. Elle s’est ensuite couchée sur le dos et m’a demandé de venir lui faire l’amour. Je me suis glissé entre ses jambes, elle m’a demandé de me baisser plus pour pouvoir la pénétrer. J’ai remarqué qu’elle mettait la main sur son sexe et se caressait, mais dans la pénombre, je ne pouvais distinguer grand chose. Je l’ai prise doucement au début, puis de plus en plus vite. Elle jouissait visiblement à nouveau, mais la position étant inconfortable, elle s’est à nouveau retournée pour que je l’encule encore. J’était excité comme jamais, je me suis mis à l’enculer en lui disant des mots orduriers, ce qu’elle aimait visiblement puisqu’elle gémissait et s’est mise à me crier de continuer. Je me suis penché sur elle, j’ai mis mes doigts dans sa bouche. Elle me les suçait en gémissant pendant que la sodomisait frénétiquement en lui léchant le visage. Au bout d’un long moment, j’ai senti que j’éjaculais dans son cul tout en criant.

Si l’orgasme existe, alors je l’ai rencontré.

Elle faisait de même et nous avons passé ensuite un long moment à nous embrasser dans la voiture. Je lui ai demandé si elle faisait l’amour comme cela avec tous ses clients, mais elle m’a répondu que je lui plaisais et que c’était exceptionnel, qu’elle ne faisait pas cela à tout le monde. Elle a continué à caresser mes cheveux (que j’ai très long) et à m’embrasser. Je lui ai dit que je l’aimais, et c’était vrai, j’étais tombé amoureux d’elle. Mais il fallait bien que je rentre, et je l’ai donc ramené sur le trottoir ou je l’avais rencontré. Toute la route s’est passée entre caresses et baisers. Elle posait sa tête sur mon épaule et semblait de plus en plus triste plus elle se rapprochait du but. Quand j’ai arrêté la voiture et que je me suis tourné vers elle, elle m’a pris le visage entre ses mains et donné le baiser le plus fougueux que l’on ne m’ai jamais donné. J’aurai voulu lui dire tant de choses, que j’avais encore envie d’elle, que je ne voulais pas la quitter, elle aussi avait des regrets dans les yeux, mais elle est sortie de la voiture et j’ai démarré, après un autre regard pendant lequel nos yeux ne pouvaient se détacher de ceux de l’autre.

En rentrant chez moi, je pensais encore à elle (je revis ce moment en écrivant ses lignes). Je ne pouvais pas faire autrement que me poser des questions quand à son attitude, sa carrure (elle est très grande, je mesure pourtant 1m85 et elle était plus grande que moi), ses mains et ses doigts plutôt masculins, le fait que je n’ai jamais pu toucher son sexe et qu’elle ai tout fait pour éviter cela… Je crois que cette nuit là, j’ai fait l’amour pour la première fois avec une transsexuelle, et je crois que je ne pourrai jamais l’oublier. J’aimerais la revoir, et aussi savoir ou rencontrer d’autres transsexuelles à Lille, car je crois que j’ai enfin trouvé ma vraie voie amoureuse. Qui que soit cette apparition, je l’embrasse et ne désespère pas de la revoir un jour.

Reynald

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Dimanche 5 juin 2005 7 05 /06 /Juin /2005 08:55

Confessions bitophiles – 1 (texte collectif)

BiteFlag
Thémes abordées : ) bisex masculine, doigtage masculin, exhibition, feuille de rose, party, trio, voyeurisme. .

J’ai pris sa queue dans ma bouche
par Michel
Salut princesse vassilia

 

J’ai fais la connaissance de ton site il y a très peu de temps et je répète peut être mais c’est SUPER ET TRES BIEN FAIT

Je voudrai te raconter mon histoire, je suis marié depuis un quart de siècle et nous avions voulu avec ma femme faire connaissance avec l’échangisme.

Bon au début c’était barbant, il y avait comme d’habitude plus de voyeurs que d’acteurs, des gens coincés et on se demandait la raison pour laquelle ils venaient dans ces clubs si c’était pour rester assis sur un fauteuil.

Comme avec ma femme nous n’avons aucuns tabous, nous étions en train de nous caresser quand un monsieur est venu et a caressé ma femme, comme je ne suis pas du tout jaloux, j’ai laissé faire et même pris du plaisir.

Elle lui a pris son membre dans la main, et s’activa à l’exciter par des mouvements de va-et-vient, comme j’étais derrière elle, et face au gars devant j’ai eu une envie subite de lui prendre sa queue dans la main comme ma femme et de le masturber, ma femme me laissa faire, et j’ai éprouvé un réel plaisir.

J’ai eu un moment d’hésitation, je me suis dit que je suis devenu homo, mais non, pas du tout, j’aime les femmes, mais à cet instant la situation n’était pas désagréable et le gars n’a pas bronché

M’approchant petit à petit, et je ne sais pourquoi, j’ai pris sa queue dans ma bouche pendant que ma femme me caressait mon membre.

Puis changeant de position, je me suis mis derrière le gars prenant son membre dans la main et le présentant à ma femme pour sucer.

Le gars était heureux, car j’étais derrière lui, pendant que ma femme le suçait.

Nous n’avons pas pu aller plus loin ce soir là, mais depuis, j’ai une attirance vers les trans bien membrés, je me dis que c’est super de pouvoir baiser par derrière, d’avoir dans une main une belle queue bien raide, et de l’autre un sein bien ferme, ça m’excite juste d’en parler…

Je voudrai bien rencontrer un trans, mais dans le 73 ou 74 c’est introuvable.

J’aimerai bien que des trans nous disent vraiment ce qu’ils ressentent vraiment et éventuellement avoir les avis de couples qui ont une expérience dans ce domaine et avoir leur avis (femme et homme)

bye à tous Michel

 

Sous la douche
Par Alexis
J’ai lu ton article sur la bitophilie, je l’ai trouvé intéressant. Comme toi, je ne me retourne pas sur les hommes dans la rue (ça va pas la tête ?) j’aime trop les femmes. Pourtant en certaines circonstances…

 

C’était il y a plus de 10 ans Je m’en souviens comme si c’était hier, nous étions deux dans la douche, ce n’était pas sa bite que je matais au mec, c’était son cul, j’étais fasciné par ses jolis fesses, bien rebondis, sans poils et rendues brillantes par la mousse du savon… à ce point que mon propre sexe commençait à se redresser. Je n’ai pas du être très discret parce que le mec m’a envoyé une réflexion :

- Qu’est ce que tu as à me mater le cul comme ça, ça te donne des idées ?
- Il est pas mal, si j’étais PD je te draguerais, mais tu n’as rien à craindre !

Je me tournais, mais lui me répondait :

- C’est dommage, je me serais peut-être laissé faire, juste une fois dans ma vie, pour ne pas mourir idiot !
- Juste une fois ?
- Juste une fois !
- Je peux te les caresser alors !
- Vas-y !

assgay77Quelques secondes après je lui léchais les fesses, quelques minutes après je lui suçais la bite, il m’a ensuite sucé la mienne et je l’ai enculé. Je n’ai pas voulu qu’il m’encule, ni qu’il décharge dans ma bouche, mais je l’ai sucé à fond et il m’a aspergé le torse. On ne s’est pas embrassé, on ne s’est pas donné rendez-vous. J’ai eu peur des conséquences, et j’ai arrêté de fréquenter la salle de sport, je ne l’ai jamais revu ! Combien de fois je l’ai regretté ? Je n’ai jamais eu d’autres occasions mises à part quelques travestis que je m’offre quand le fantasme me submerge de trop.

Bravo pour votre site, pour la décontraction, et la franchise qu’il y règne

Alexis (peut-être pas bitophile, mais cul-de-mecophile J)

PS : je vous envoie un petit cul pour illustrer ce message

 

Ciné et aire de repos
par un « hétéro-bi anonyme »
Vers mes 18 ans j’ai entendu parler de couple échangistes se retrouvant sur les aires de repos de l’autoroute. Ayant pris une plein poignée de capote, je me suis rendu sur place avec la ferme intention de tirer un coup.

 

C’est dans les WC hommes que je me suis retrouvé avec deux types, assez vieux et assez moches qui se branlaient mutuellement. Je me suis alors caressé au fond de toilettes minables et assez dégoûtantes, puis je suis parti sans rien faire d’autre. Mon courage m’avait lâché !

Je suis retourné cette fois dans un cinéma porno. Cette fois il y avait plusieurs personnes, des hommes, qui se branlaient doucement entre les sièges. Cette fois, alors qu’il me demandait si il pouvait me sucer (j’ai refusé ne me demandez pas pourquoi…) j’ai fini par le branler puis je suis parti un peu honteux.

Puis je suis retourné à de nombreuses reprises sur l’aire de repos. Et une fois, tremblant comme une feuille je me suis approché d’un homme et je lui ai proposé une petite, non une grande pipe. Après lui avoir enfilé une capote je l’ai sucé jusqu’au bout et je suis parti, toujours avec ce sentiment de honte.

Je suis retourné de nombreuses fois dans ces endroits, toujours pour sucer des hommes que je rencontrais. Mais je voulais passer la vitesse supérieure.

Un soir je suis même aller avec une copine de longue date. Après l’avoir doigté sous sa jupe et en se faisant mater par deux mecs la bite à la main, j’ai enfilé une capote sur une de ces deux bites et je l’ai sucé comme un fou sous l’oeil complice de ma copine. Puis j’ai fini ma petite affaire en la baisant comme un fou contre le mur des WC.

J’ai passé la vitesse supérieure un soir. J’ai rencontré un mec bien foutu qui me plaisait. Je lui ai proposé de le sucer. Nous sommes allé dans la petite forêt jouxtant l’air de repos. Après lui avoir enfilé une capote, j’ai commencé à le sucer. Puis j’avais pris un tube de lubrifiant. Je l’ai alors mis dos à la barrière, et je me suis badigeonné la rondelle de lubrifiant. Je me suis alors posé sur son sexe et j’ai gentiment poussé. C’est rentré comme dans du beurre. J’avais déjà pratiqué la masturbation anale, mais c’était la première bite qui passait par là! Je me suis retrouvé, debout, les mains par terre sur le talus, à faire des mouvement d’avant en arrière jusqu’a ce qu’il jouisse. C’était divin.

Puis un soir, avec ma copine j’ai eu une révélation. Elle m’a sucé goulûment avec un doigt dans le cul. Je ne savais plus comment j’allais jouir. C’est depuis ce soir là que j’ai décidé d’aller faire un tour dans un sauna mixte.

Je me suis retrouvé dans un monde que je ne connaissais pas. Mais quel plaisir, des bites à sucer, à caresser et des cabines pour « plus si affinité »

Je n’ai à ce jour, après plusieurs virées sur des aires de repos, dans des endroit gay ou nudistes (où l’on trouve des bites à tous les coins d’arbres) beaucoup de pipes, quelques sodomies (subies mais contrôles) qu’un seul regrets.

Avec cette merde de sida, je n’ai pas encore eu le plaisir de sentir une belle queue m’éjaculer au fond de la bouche, ni sentir le foutre chaud couler au fond de mon anus…

Alors dépêchez vous Messieurs les chercheurs car j’en ai envie !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Samedi 4 juin 2005 6 04 /06 /Juin /2005 07:43

Confessions uro 1 (texte collectif)

 

Gs2
Théme abordé : uro

Potage et limonade
par ppcl98
Il existe d’excellents diurétiques : le bouillon de poireaux (très efficace), le pastis, le thé, la limonade, les boissons sucrées en général, la vitamine C (pour moi, en tous cas), et le froid. Je suis incontinent depuis toujours à cause d’une malformation du système urinaire qui provoque entres autres d’assez fréquentes infections, mais aussi parce que j’aime ça, faire pipi dans ma culotte et dans mes couches.

 

Ma femme n’apprécie guère mes fantasmes urinaires, mais se prête tout de même parfois à mes fantaisies. De son côté, comme beaucoup d’autres femmes, elle est sujette à quelques petits accidents surtout quand elle tousse, éternue, rit ou quand elle a trop bu d’alcool et ça ne la gêne aucunement ! Son problème à elle, serait plutôt qu’elle est capable de se retenir si longtemps que parfois ça déborde ! Ce qui m’excite au plus haut point !
Un soir, il y a quelques années, j’étais seul, et j’ai senti les premiers symptômes d’une grippe qui arrivait. Seul et grippé, je n’avais guère faim mais une énorme envie de soupe de poireaux-pomme de terre ! Je m’en suis fait une comme j’ai l’habitude c’est à dire pour 3/4 personnes au moins. Je n’ai pu résister de tout avaler par gourmandise, mais aussi parce que ça me faisait du bien dans mon état. Je me suis couché juste après et évidemment une envie pressante n’a pas tardé à me torturer. Je me suis levé, mais le temps d’aller aux toilettes, mon slip s’était déjà auréolé d’une belle tâche de pipi et il y eut des dégâts sur la moquette ! Je me suis lavé puis j’ai mis une couche pour adulte (je n’en portais pas systématiquement à l’époque). Un quart d’heure après, j’avais à nouveau envie, mais là j’ai préféré me soulager tranquillement dans ma couche et je me suis endormi. Mais vers minuit je me suis réveillé avec une sensation de forte humidité dans les draps. Ma couche avait débordé car je m’étais à nouveau oublié probablement plusieurs fois pendant mon sommeil. En fait, cette nuit-là, j’ai sali 3 couches, pas moins, sans parler des fuites !

Il m’arrive aussi parfois d’avoir des envies folles de limonade. Un jour, j’ai ouvert une bouteille de 1 litre et demi et, par gourmandise, j’ai tout bu en 1 heure ! Obligés, ma femme et moi, d’aller faire une course au supermarché peu de temps après, j’ai été pris inévitablement par une incroyable envie d’uriner (j’ai souvent ce genre de problème dans les supermarchés). C’était bien le moment ! Évidemment, il y avait la queue aux caisses et évidemment celle que nous avions choisie et qui aurait dû être rapide, n’avançait pas ! J’avais de plus en plus de mal à me retenir et des petites gouttes annonciatrices d’une grande catastrophe commençait à perler dans ma culotte. Ayant payé nos achats enfin, j’ai du laisser ma femme avec le chariot pour courir plus vite jusqu’aux toilettes du Centre commercial. Hélas, elles étaient condamnées pour je ne sais quelle raison. Terriblement anxieux, j’ai été obligé de revenir retrouver ma femme et nous nous sommes hâtés autant que possible vers le parking. Autant dire que mon pantalon commençait à bien s’humidifier ! Quand nous sommes arrivés à la voiture, malheureusement, aucune possibilité pour faire pipi discrètement ! J’étais très malheureux car je voyais bien ce qui allait se produire.

- « Essaye de trouver un coin …, tu vas quand même pas faire pipi dans ta culotte ! » me dit alors ma femme en riant.

Et là, à ce moment, à la seule évocation du « pipi culotte », il y eut un grand malheur, et je sentis que ma vessie commençait à se vider et que je ne pouvais plus rien faire … trop tard ! L’urine envahit alors mon pantalon et mes chaussures, une mare s’élargissant à mes pieds. Le plus drôle et le plus excitant (après !) aussi, c’est que ma femme, en voyant les dégâts et mon air catastrophé, ne put pas, elle non plus se retenir et s’oublia aussi en partie dans son caleçon tellement elle riait ! Moi, je ne rigolais pas, je n’étais pas franchement à l’aise (alors que ma femme, elle, dans ces circonstances, est parfaitement décontractée !)… même si maintenant c’est devenu un plutôt bon souvenir dont on aime se rappeler et rire … au point que la dernière fois, récemment, elle a finit par faire pipi dans sa culotte (véridique !), tellement elle riait au souvenir de ce grand moment ! Moi aussi sans doute, mais comme je mets tout le temps des couches depuis des années, je ne m’en rappelle plus !

Je pourrais aussi raconter l’épisode d’un pipi culotte en autobus parce qu’en l’attendant, j’avais bu 2 bières et qu’il faisait froid, et bien d’autres accidents mémorables, mais ça sera pour une autre fois (si ça intéresse quelqu’un)! Bisous !

 

Envoie de culotte
par Florence
pc2
Un cadeau d’une correspondante

 

La plus belle contribution reçue reste celle-ci : (une petite culotte, mouillée et scannée et envoyé par une douce correspondante -
Il était indiqué sur le petit carton (que j’ai maquillée pour ne pas que l’on reconnaisse l’écriture et signature) « Bisous humides de Florence !  »

Merci encore à toi et bisous quand tu viens sur ce site !

 

Camomille
par Fred
J’ai été amené sur ce site par une voie détournée. Une fille nommée Valy me l’a indiqué, me précisant qu’il avait de nombreuses histoires uro. Jusque-là, j’étais plutôt coincé sur le sujet et je le croyais beaucoup plus pervers qu’il ne l’est. Bref, j’avais découvert la beauté de la femme qui fait pipi dans une cassette du show de la Cicciolina. Elle se mettait face à la salle, elle ouvrait ses cuisses et elle lançait un long jet de pluie dorée (pioggia dorata, en italien) en direction du public. J’avais trouvé cela absolument magnifique, car je trouve qu’une femme ne saurait s’offrir d’une façon plus DELICIEUSEMENT OBSCENE à un homme (ou à une autre femme..). Mais, je ne sais pas trop pourquoi, sinon parce que j’étais coincé, je n’osais pas en parler avec une femme. Bref, après avoir découvert ce site, je l’ai fait découvrir à mon amie du moment.

 

Elle a parue très gênée, mais quand elle a vu que le sujet m’intéressait, elle m’a avoué qu’elle avait toujours rêvé qu’un homme lui pisse dessus parce qu’elle ressentirait ça comme une longue éjaculation (elle adore qu’on lui jouisse sur le sexe, le ventre et les seins). Résultat : le même soir, nous avons bu beaucoup de camomille (j’aime pas vraiment ça) et elle a fait pipi pour moi quatre fois dans quatre positions différentes. Dans la salle de bain, mais aussi dans le salon où nous avions mis les longues éponges par terre, avec des journaux par-dessous pour ne pas mouiller la moquette.

Ce n’est que le deuxième soir (nous avions acheté de l’Evian exprès) que j’ai goûté, ce n’est ni bon ni mauvais, en revanche c’est extrêmement excitant et nous avons encore tout plein de nouvelles choses à essayer, ce qui a renouvelé notre vie sexuelle. Nous pensons acheter une housse de plastique pour recouvrir un matelas, mettre des linges-éponges puis un drap si le tissu de linges est trop rugueux pour pouvoir uriner en position de 69. Mais j’ai un petit problème que je soumets aux pratiquants, hommes et femmes. Je me suis aperçu que je ne peux pas uriner lorsque mon sexe est en érection, ce qui veut dire que je ne peux pas satisfaire pleinement ma compagne à chaque fois que je le souhaiterais et qu’elle le souhaiterait aussi. Tous les hommes connaissent-ils ce problème ou suis-je une exception ? Je n’oserais quand même pas consulter un urologue pour ça.

Et à ceux qui n’aiment pas ça, je dis simplement : n’en dégouttez pas les autres, de toutes façons, vous n’y arriverez pas. Pour celui qui s’étonne en disant que nous sommes des pervers, je dirai que nous n’avons pas besoin de ça, mais que ça représente un plus qui pimente notre vie érotique. S’il ne peut pas comprendre, tant pis pour lui. Je remercie tous les urophiles (je ne sais pas si c’est comme ça qu’on dit) qui ont écrit ici parce qu’ils nous ont ouvert des horizons nouveaux.

Fred

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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