La braguette du serveur du restaurant antillais
par Alexis Defond-Rossignol
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Annette, secrétaire particulière
Par Estonius
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Je travaille à la Banque X... Et j'ai, (on va dire) une quarantaine d'années. J'ai un nouveau job, on m'a confié les dossiers "difficiles" venant de la clientèle, difficile est d'ailleurs un euphémisme, on devrait dire impossible, des réclamations impossibles à démêler, trop anciennes, pas assez documenté. Mais j'ai carte banche.
Ce vendredi matin, j'avais entrepris d'essayer de travailler sur le dossier de la société "M.A.G", une boite qui vend des gadgets par correspondance et qui se plaint de différences systématiques en sa défaveur dans ses remises de chèques. Comme ils ne nous envoient aucun détail, toute recherche est impossible, sauf à contrôler si on ne s'est pas gouré dans les montants, mais ça, c'est déjà vérifié. Je contacte donc le client pour avoir ses propres documents afin de les rapprocher avec les miens. Mais il ne veut pas, il invoque la confidentialité... Refrain connu... Je l'informe alors que c'est dommage, que cela m'aurait permis d'avancer...
- Par contre, vous pouvez venir consulter nos archives chez nous !
Voilà qui me parait une excellente idée...
Lundi
Je suis reçu par Monsieur Ribadier, un type insipide, je lui explique que j'en aurais peut-être pour plusieurs jours
- Ce n'est pas un problème, pourvu qu'il y ait un résultat au bout, je vais vous présenter Annette, une de mes secrétaire, vous travaillerez avec elle !
Il décroche son téléphone afin la faire venir. Chic me dis-je, je vais avoir la compagne d'une jeune fille...
Et voici Annette qui déboule... Comme jeune fille c'est raté, la nana doit bien avoir la cinquantaine, assez grande, légèrement corpulente, fausse blonde, le visage est pour l'instant souriant, doux et agréable et les yeux sont chaussés de lunettes. Elle est vêtue d'un chemisier blanc dans lequel une opulente poitrine a du mal à se positionner.
La présentation est rapide, la femme me dévisage, et fait une drôle de tronche, manifestement, je dérange ses habitudes.
Je m'installe donc dans le bureau de la miss, on me prête une table minuscule dans un coin. Il faudra bien que je m'en accommode. J'explique donc à Annette de quoi j'ai besoin...
- J'ai instruction de ne pas vous laisser seul, on va aller aux archives tous les deux...
Je vois que la confiance règne, comment elle va faire quand elle va avoir envie de pisser ? On arrive dans une salle sombre entourée de rayonnages.
- Restez là, s'il vous plaît !
Ah, bon, je n'ai pas le droit d'avancer. Je sens qu'on va au clash... Elle monte sur un petit escabeau, hésite, puis descend deux boites :
- Ça doit être ça !
- Je vais regarder tout de suite si vous voulez.
- Si c'est pas là-dedans je ne sais pas où ça pourrait être...
Et elle s'apprête à sortir de la salle, ses boites sous le bras.
- Je vais vous aider...
- Merci, je peux encore porter deux boites !
Je la déteste !
Je commence à fouiller dans ce qu'on a rapporté, tout ce qu'il y a dans ces boites n'a rien avoir avec ce que je recherche. Je le fais remarquer à Annette :
- Tout est là, il n'y a rien d'autre ! Répond-elle agacée.
- Bon écoutez, je me suis sans doute mal fait comprendre, je vais vous expliquer...
Elle ne me laisse pas finir
- J'ai parfaitement compris ce que vous cherchiez, je connais mon travail.
- Bon, je vais vous proposer un truc, vous me laisser parler 5 minutes sans m'interrompre, et on essaie de voir ce qu'on peut faire, d'accord ?
- Admettons !
Je lui explique ! Miracle, elle a l'air de comprendre !
- Mais pourquoi vous ne l'avez pas dit tout de suite !
Envie de la tuer, mais il me faut être diplomate.
- Je vous ai dit, j'ai du mal m'exprimer.
Je m'attendais à ce qu'on aille chercher les bonnes boites, mais non, madame se rassied, ouvre un dossier...
- Euh, est-ce qu'on ne pourrait pas aller aux archives de suite ?
- Oui, ben attendez un peu, j'attends un coup de fil, et je n'ai pas que ça à faire...
Je vais craquer... J'essaie de prendre mon mal en patience, et à défaut de regarder les mouches voler, j'observe mon cerbère, dommage qu'elle soit si peu coopérative, sinon, il me faut bien avouer qu'elle est plutôt agréable à regarder.
Elle m'a bien fait poireauter un quart d'heure avant qu'on retourne aux archives. Cette fois, ce sont les bonnes boites, mais quel bordel là-dedans, la mission risque de durer plus longtemps que prévu. Je fais mon travail, dans mon coin, Annette ne m'adresse pas la parole... Et puis survint l'incident.
- Je vais vous demander de sortir du bureau cinq minutes ! m'annonce-t-elle.
Et ce disant, elle se dirige vers la porte.
- Parce que ? Tentais-je.
- Parce que c'est comme ça !
Je sors donc, elle me précise de rester dans le couloir, et qu'elle va revenir de suite. C'est alors que je la vois se diriger vers les toilettes. Non, ce n'est pas vrai, elle ose me faire sortir du bureau pour aller pisser. J'attends son retour et j'éclate !
- Si je ne peux pas travailler chez vous avec un minimum de confiance, je laisse tomber, et avec toutes les conséquences...
- Je ne fais qu'appliquer les instructions...
- On vous a donné comme instruction de me foutre à la porte à chaque fois que vous irez pisser ?
- Vous n'êtes pas obligé d'être vulgaire...
- Et qui c'est qui vous a donné des instructions pareilles ?
Pas de réponse !
- Bon je vais voir ça avec monsieur Ribadier... (Le mec qui m'a reçu à mon arrivée).
Mais on m'apprend que Ribadier est parti en clientèle, je ramasse donc mes affaires, quitte la boite, me dirige vers un bistrot afin d'être assis et téléphone à mon responsable. J'ai peur qu'il me conseille de "faire avec", mais non, il me dit qu'il va essayer d'arranger ça avec les gens de la société et de ne revenir que le lendemain
Mardi
Ribadier me reçoit le jour suivant, très à l'aise, il me fait son numéro :
- Vraiment, nous sommes confus, vous avez été victime d'un énorme quiproquo, je ne peux malheureusement pas vous expliquez tous les détails, mais si vous saviez à quel point nous sommes embarrassés…
- N'en parlons plus l'essentiel est que je puisse travailler dans des conditions normales.
- Pas de soucis, le moins que je puisse faire c'est de vous offrir le restaurant !
Horreur ! J'ai horreur des repas d'affaires où on est obligé de supporter les conversations d'un inconnu. Je m'en sors par une pirouette :
- Volontiers, mais faisons cela quand ma mission sera terminé !
- Aucun problème !
Ouf ! D'ici là il aura peut-être oublié...
Si Ribadier affichait une cordialité sans doute de façade, ce n'était pas le cas d'Annette qui tirait une tronche impossible, à peine avais-je commencé à m'installer qu'elle démarra les hostilités :
- Je vous remercie pour le savon que j'ai reçu à cause de vous, on va être obligé de travailler ensemble, alors d'accord, je ne vous surveille plus, mais je ne vous ferais aucun cadeau, autant que vous soyez prévenu !
Que répondre ? Je n'avais aucune envie de me lancer dans une quelconque polémique et je balbutiais un simple :
- OK, j'ai bien compris !
Le reste de la journée se passa presque normalement, Annette alla me chercher les boites d'archives dont j'avais besoin, et le travail avançait... Je dis presque normalement parce qu'il se passait tout de même des choses bizarres : de façon inexplicable, elle était redevenue souriante et puis surtout, alors que dans un moment où je m'échappais un peu, mon regard tomba sur le chemisier d'Annette, je remarquais alors qu'il était déboutonné jusqu'en haut du soutien-gorge. Je pris cela pour de l'inattention, mais j'eus la surprise de la voir se réajuster avant de sortir du bureau, puis se déboutonner de nouveau en y revenant !
Essayait-elle de m'allumer pour pouvoir dire ensuite que je lui avais manqué de respect ? Voilà une tactique que je trouvais bien primaire...
Mercredi
Le lendemain, Annette s'était habillée d'un tailleur dont la jupe était relativement courte. Elle recommença aussi le même manège avec son chemisier, j'avais beau me raisonner, il m'arrivait de lorgner dans cette échancrure, mais je sais aussi contrôler mes pulsions.
- Je vais avoir besoin des deux journées d'archives suivantes ! Demandais-je.
- OK, mais vous aller venir avec moi comme ça, on pourra ramener un maximum de boites.
Annette se reboutonne, je la suis jusqu'aux archives, on entre, et là pas gênée du tout, elle se redéboutonne. Je sens la provocation imminente, mais que faire ? Il est impensable de lâcher l'affaire à ce stade, c'est moi qui passerais pour un mytho !
- Vous pourriez m'aider à tenir cet escabeau, hier je n'étais pas trop à l'aise là-dessus !
- C'est moi qui vais monter ! Proposais-je.
- Non, vous n'allez pas savoir, c'est trop mal étiqueté.
Et la voilà qui grimpe avec sa petite jupe courte, je tiens le machin d'une main en regardant ailleurs.
- Tenez-le à deux mains s'il vous plaît !
- N'allez pas me reprochez après de voir des choses que je ne devrais pas voir, alors !
- Oh ! Il y a longtemps que j'ai dépassé ce stade !
Je m'efforce de ne pas regarder, mais que voulez-vous, la nature humaine et la mienne en particulier font que je ne peux pas m'en empêcher. Annette trifouille dans les boites, et soudainement tourne la tête, elle a bien vu ce que je regardais :
- Profitez-en, rincez-vous l'œil, après tout c'est plutôt flatteur, dans vingt ans on ne regardera plus mes cuisses !
Je ne sais plus où me foutre, et en plus j'ai un début d'érection, la secrétaire descend de son perchoir avec deux boites, je tends les bras pour les prendre, elle me les passe, et avant que j'ai pu faire un autre geste, elle me colle sa main sur ma braguette.
Le piège est en train de se refermer. Que faire ?
- Ne me touchez pas ! Tentais-je.
- Si vous ne vous laissez pas faire, je hurle ! Non, ne posez pas les boites !
Je suis tétanisé, la nana est en train de me caresser la verge à travers mon pantalon, l'excitation monte, je suis sans doute pris au piège ! Mais quel est-il ?
- Ça vous a excité, hein petit salaud, de mater mes cuisses ?
Voilà que je suis un "petit salaud" à présent ! Je bande maintenant comme un âne. Et la voilà qui me dézipe ma braguette ! J'ai du mal à suivre, voici une femme qui, la veille encore me faisait la gueule et qui maintenant est en train de me tripoter la bite ! Sa main est dans ma braguette, elle me caresse mon membre par-dessus l'étoffe de mon caleçon, et c'est bon ! Elle s'accroupit devant moi, du coup me voici avec une vue plongeante dans son décolleté, bien sûr elle s'en aperçoit.
- Tu aimes ça, regarder mes gros nichons, hein petit salaud ? Attend je vais te les montrer mieux !
Elle défait un bouton supplémentaire de son chemisier, puis fais sauter ses seins par-dessus ses bonnets de soutien-gorge. Je ne sais plus où me foutre. J'ai en principe horreur de cette façon d'exhiber les seins que je trouve à la fois moche et vulgaire, mais dans le cas présent l'apparition de ses gros tétons marrons me trouble profondément. Encore une fois, je cherche à poser mes boites afin de pouvoir toucher à ces fruits exposés à mes yeux, mais une nouvelle fois, elle m'en empêche. Elle joue à quoi ? Impossible à dire mais ce qui est évident, c'est qu'en ce moment je suis son jouet.
- Si quelqu'un vient ? Parvins-je à chuchoter.
- C'est un risque à prendre, répond-elle en me regardant dans les yeux et avec un sourire malicieux
Je me fais la réflexion que c'est la première fois qu'elle me sourit directement ! Sa main cherche maintenant le contact direct avec ma bite, elle extrait ma queue de mon pantalon.
- Hummm, ça bande bien tout ça ! Commente-t-elle tout en effectuant quelques très lents mouvements de masturbation. Puis, je la vois approcher sa bouche... Ce n'est pas vrai qu'elle va me sucer ! Je dois être en train de rêver, je vais me réveiller d'un moment à l'autre dans mes draps tout mouillés ! Mais non, j'ai beau me mordre les joues, on est bien dans le réel, et Annette a bien ma queue dans sa bouche et la fait coulisser entre ses lèvres. Un moment, elle m'abandonne ! Va-t-elle me laisser tomber alors que j'ai à présent une irrésistible envie de jouir ? Non, elle s'en prend à ma ceinture qu'elle déboucle, puis elle fait glisser pantalon et caleçon sur mes chevilles, elle avait donc besoin d'espace, de mon espace, elle me lèche alors les couilles tout en s'agrippant à mes fesses.
- Je vais jouir ! Balbutiais-je
Elle s'arrête, me demande si j'ai un préservatif. Ben non je n'en ai pas !
- Dommage ! Dit-elle, je me serais bien fait bourrer !
Quel langage !
Puis elle me reprend en bouche et cette fois de façon très énergique. Je sens mon désir, un court moment interrompu, monter de façon irréversible. Elle garde mon sexe dans ses lèvres pendant que j'éjacule. Elle ne recrache rien. J'ai toujours mes boites dans les bras
- Maintenant tu peux les lâcher !
Elle m'enlace, elle m'offre sa bouche pleine de mon sperme, ce n'est pas trop mon truc, mais franchement, je ne me vois pas la repousser.
- C'était bon ? Demande-t-elle.
- Super, mais...
- Allez, plus un mot, c'était un coup de folie, ça me reprendra peut-être...
Drôle de bonne femme ! Je n'arrivais pas à comprendre ce brusque changement d'attitude ! Elle était à présente toute guillerette mais toujours aussi peu communicative. Je lui ai proposé de lui payer le restaurant le midi, mais elle a refusé, j'en ai profité pour acheter des capotes chez le pharmacien. Nous sommes retournés aux archives l'après-midi, je lui ai caressé les jambes pendant quel grimpait sur son escabeau, mais on en est resté là.
Ma mission avançait, et la situation devenait plus claire, les boites contenaient des listes détaillées de chèques, je les comparais avec nos propres listes et trouvait à chaque fois la raison du litige, il s'agissait d'un chèque manquant. Ainsi environ une fois par semaine, un chèque manquait à l'appel. Un incident aussi répétitif me paraissait bien bizarre, mais je décidais de continuer avant d'avancer une hypothèse.
Je dormis mal cette nuit-là, hanté par le souvenir de cette incroyable pipe, et me demandant s'il y aurait une suite.
Jeudi
C'est avec le sourire que m'accueillit Annette le lendemain matin, et vers 10 heures je lui indiquais que j'allais avoir besoin de nouvelles boites.
- Tu vas avoir une surprise me dit-elle, alors que nous pénétrions dans le local d'archives.
J'espère que la surprise sera bonne, je reste sur mes gardes !
Annette grimpe sur son escabeau, je ne me gêne plus pour regarder... Et la surprise est au-dessus de moi : cette coquine n'a pas mis de culotte ! Et ça y est je bande déjà !
- Je peux toucher ?
- Bien sûr, c'est fait pour ça ! Attends, je vais déjà te passer les boites, voilà, et puis je vais descendre d'une marche, ce sera plus pratique. Maintenant vas-y pelote moi les fesses !
Vous vous imaginez bien que je ne me fais pas prier. Sa peau est douce et je ne lasse pas de triturer ce joli fessier.
- Tu peux me mettre un doigt dans le cul si tu veux !
Ben voyons ! Je mouille mon doigt et l'introduit dans son arrière-boutique ! Inutile de vous décrire dans quel état je suis !
- Hummmm j'adore qu'on me ramone le cul... T'as une capote aujourd'hui ?
- Dans ma poche !
- Super, tu vas m'enculer mais pour l'instant met moi un deuxième doigt !
Je le fais, madame se régale !
- Humm, c'est bon, tu as déjà essayé, toi ? Reprend-elle
- Essayé quoi ?
- De te doigter le cul !
En voici une question !
- Oui !
- Et tu aimes ça ? Continue c'est trop bon !
- Ce n'est pas désagréable !
- Je m'en doutais, tu es un petit vicieux, toi, tu dois aimer un tas de bonnes choses !
- On ne vit qu'une fois !
Quand même, je me demande ce qu'elle peut bien me trouver pour me faire participer à des trucs pareils ! Elle est peut-être tout simplement nymphomane !
Je la ramone à présent avec trois doigts, elle a du mal à étouffer ses gémissements. Puis elle me demande d'arrêter, vient devant moi constater l'état de ma bite. J'ai sa grosse poitrine sous le nez, je fais le geste de vouloir m'en approcher, mais mes doigts de la main droite ne sont pas très nets. Tant pis, j'ai deux mains, et de la gauche je lui pelote un sein. Annette entreprend de me baisser mon pantalon, puis elle s'accroupit, me gobe la bite quelques instants, avant de me demander d'enfiler la capote, elle se tourne, se plie en deux, écarte les fesses et d'un coup je la pénètre ! J'y vais d'abord doucement, puis comme tout se passe bien si j'en crois ses "hi" et ses "han" j'augmente la cadence de façon frénétique, puis incapable de me contrôler je finis par jouir dans un grand spasme, elle se retourne, retire mon préservatif, me nettoie la verge, puis me fais signe de ramasser les boites. Expéditif, presque bestial, mais il faut bien avouer que ce trip m'a bien plu !
De retour au bureau, Annette est toujours aussi peu bavarde.
- Je peux te poser une question ?
- Pose toujours, mais je ne te promets pas de répondre.
- Quand je suis arrivé, tu m'as complètement rejeté, qu'est ce qui t'a fait changer d'attitude ?
- La façon dont tu regardais ma poitrine !
- Je ne comprends pas bien !
- Cherche pas !
Il faut mieux en effet que je ne cherche pas !
L'enquête avance : un chèque disparaît toutes les semaines, puis en avançant dans les dates, je m'aperçois qu'on passe parfois à deux voire trois par semaine. Par contre aucune disparition ni en août ni en février, rien non plus ces cinq derniers mois ! C'est donc clair c'est du vol ! Mais pourquoi donc aller voler des chèques ? Il existe un vol classique de chèques dans les boites de ventes par correspondances au moment de leurs réceptions, et ceci n'a de sens que si le client a omis de renseigner l'ordre. Ensuite soit on n'honore pas la commande, mais c'est risqué, soit on l'honore tout de même, mais ça casse l'équilibre comptable... A moins de trouver une astuce... On peut même imaginer une complicité extérieure....
On peut aussi concevoir une complicité entre un client de la boite et une personne chargé de traiter les chèques à la banque. A ce moment-là il fait disparaître les chèques avant traitement et le client n'est jamais débité de ces achats. ... J'examine les périodes sans incidents, découvre que la signature des bordereaux est différente... L'affaire devient claire, le voleur est ici, et il s'agit de la personne qui signe. On m'a demandé d'éviter de faire des photocopies ou des fax, mais je la mémorise. Il ne me reste plus qu'à faire mon rapport à mon chef, la suite ne m'intéresse pas, je ne suis pas flic... Il est autour de 15 heures quand je décide de sortir afin de l'appeler, mais sans ranger mes affaires...
- Je sors cinq minutes ! Indiquais-je simplement à Annette
- La mission est terminée alors !
Comment a-t-elle devinée ?
- Quasiment !
- Tu vas téléphoner à ta boite ?
- On ne peut rien te cacher !
- Pourquoi tu ne le fais pas d'ici !
- C'est délicat, je suis lié par le secret professionnel ! Balbutiais-je faute de mieux.
- Je peux te faire une petite suggestion ?
Quelle question ! Je ne vais quand même pas lui dire non...
- Qu'est ce qui t'empêche de prolonger ta mission d'un jour ou deux, personne ne te surveille ?
Elle me dit ça en me gratifiant d'un clin d'œil tout à fait évocateur. Alors là, je suis sur le cul ! Il est évident que le seul motif ne peut être que celui de renouveler nos fantaisies dans le local des archives... Je me dis alors que je serais bien bête de ne pas profiter de cette incroyable occasion, mais d'un autre côté je ne vois pas bien à quoi je vais occuper mon temps. D'autant qu'il me semble qu'on peut toujours s'envoyer en l'air à l'extérieur... Je le lui dis.
- Non, moi l'hôtel ça me coupe tous mes effets, je trouve ça sordide. Par contre tu ne peux pas savoir ce que ça me fais nos petites galipettes, tu sais c'est vraiment mon fantasme de faire l'amour au bureau, les occasions sont si rares, et puis j'aime bien faire ça avec toi...
Elle va me faire rougir si elle continue...
- J'avoue que c'est tentant... commençais-je, tentant de tergiverser.
- Tu sais j'adore le sexe, je suis très coquine et je peux faire plein de choses, si tu aimes certaines fantaisies, même des choses un peu spéciales, ça ne me dérange pas, il y a des mecs avec qui ça me gênerait, mais toi, t'es cool....
Oh, là là.... Des fantaisies ! Même "un peu spéciales"... qu'elle a dit... Si j'osais, depuis le temps que je rêve d'une femme qui partagerait ce fantasme... Je respire un grand coup. Je me lance... et si elle est d'accord, alors je resterais un jour ou deux de plus comme elle me le propose....
- Tu sais, il y un truc que j'aimerais bien faire... ou plutôt voir...
- Dis-moi, je suis sûre que je vais pouvoir t'arranger ça !
- J'aimerais bien te regarder faire pipi !
- Ah ! C'est ça ? Mais ce n'est pas un problème ! Humm, je crois qu'on va bien s'éclater... par contre on ferra ça quand tout le monde sera parti, tu peux rester jusqu'à 18 heures ?
Pour ça, bien sûr que je peux rester !
- Heu, ce que je peux faire c'est aller faire un tour et revenir un peu avant 18 heures
- Non, non tu restes là, on ne sait jamais, si quelqu'un te voit partir et revenir à cette heure-là, ça peut paraître bizarre.
Admettons ! Je m'occupais alors à des tâches personnelles sur mon portable. Vers 17 heures 45, une femme pénétra dans le bureau !
- Ah, t'es encore là, Annette... Oh, pardon, bonsoir Monsieur ! Tu fermeras et tu mettras les alarmes alors ?
- Pas de problèmes, bonne soirée !
Annette m'indiqua qu'on allait encore attendre cinq minutes, afin d'éviter un retour inattendue de cette personne, il y a toujours des gens qui oublient un tas de trucs et qui reviennent sur leur pas. .. La perspective de voir réaliser mon fantasme dans quelques courtes minutes me faisait déjà bander....
- Allez viens !
Nous sommes entrés dans la cabine des femmes qu'elle laissa ouverte volontairement afin d'avoir plus de place.
- Voilà, je vais m'accroupir comme ça, avec les pieds sur la cuvette, comme ça tu verras bien ! Approche-toi, et baise ton pantalon, moi aussi j'ai le droit d'avoir ma part de spectacle aussi, non ?
Je fis comme elle disait, et attendait fébrile, la bite à l'air dressée comme un mat. Annette se concentra quelques instants, puis quelques gouttes dégringolèrent de son petit minou, suivies aussitôt d'un jolie jet doré ! J'étais au paradis... Mais l'homme est ainsi fait qu'il en veut toujours plus, j'aurais voulu mettre le doigt sur la trajectoire de cette source, le porter à ma bouche, m'en régaler. Mais je n'osais rien de tout cela de peur de passer pour un pervers. Toute à une fin est le pipi aussi. J'avais eu ce qu'elle m'avait promis, c'était déjà énorme. J'imaginais la suite beaucoup plus triviale et déjà je cherchais le préservatif dans ma poche... Mais Annette sut encore me surprendre :
- Je m'essuie ou tu veux t'en occuper ?
- Je veux bien !
Je déchirai un peu de papier...
- Viens me sentir le minou avant d'essuyer !
L'occasion sans doute ! J'approchais, me collais carrément le nez dans sa chatte !
- Lèche ! tu en meurs d'envie !
Comme un fou je passais ma langue dans sa vulve humide absorbant l'urine qui la mouillait ! J'étais heureux comme un pape.
- Je n'ai pas fait à fond, si tu veux je peux te faire boire le reste !
- C'est vrai ?
- Bien sûr que c'est vrai puisque je te le propose !
J'étais comme un gosse qui du jour au lendemain est soudain trop gâté. Elle me fit coller ma bouche ouverte contre sa vulve et quelques instants plus tard un liquide tiède envahissait mon palais, j'avalais quelques trop courtes rasades...
- Alors ça ne valait pas le coup de rester ? demanda Annette avec malice ?
- Oh que si !
- Dis donc dans quel état je t'ai mis ! Rien que le fait de te mettre la capote tu vas jouir, moi qui voulais que tu m'encules !
- On peut attendre un peu !
- Je ne vais pas te gâcher ta jouissance, mais tu me dois une sodo, aux archives demain matin, d'accord ?
- No problème !
- Elle prit alors mon sexe dans sa bouche, les lèvres placées juste à la base du gland et la langue sur le méat, elle imprima alors de très légers mouvements de succion....
- Attends !
- Mais, non jouis !
J'éclatais !
- Alors franchement je ne t'ai pas offert un souvenir inoubliable ?
- C'était fabuleux Annette, mais toi tu n'as pas jouis !
- Pas grave, je suis content de t'avoir rendue heureux, et ce soir je me ferai un petit câlin toute seule dans mon lit en repensant à tout cela.
On discutait en remettant de l'ordre dans nos fringues.... C'est en regagnant le bureau que le ton changea !
- Bon, et maintenant avec tout ce que je t'ai offert, tu vas je l'espère trouver un moyen pour ne pas me dénoncer !
J'avoue ne pas avoir bien compris de suite de quoi elle voulait parler :
- Pourquoi veux-tu que je te dénonce ?
- Demain on discutera, tu as toute la soirée pour réfléchir, tu dois trouver une explication pour les chèques qui ont disparus sans qu'on sache que c'est moi !
Oh, la la ! Mais qu'est-ce qu'elle me raconte ? Je ne l'ai jamais soupçonné, et d'ailleurs je ne n'étais pas là pour faire une enquête policière ! Par contre en déposant des conclusions selon laquelle les disparitions procédaient d'un vol au sein de l'entreprise, il y aurait une enquête interne... Mais tout n'est pas clair, quelque chose m'avait échappé...
- Je savais que c'était un vol, mais je n'ai pas été plus loin !
- J'ai regardé tes notes pendant que tu t'absentais du bureau, tu avais déterminé que pendant mes vacances, il n'y avait pas de vol.
- Je n'ai pas recherché qui c'était !
- Il te suffisait de demander à qui appartenait la signature sur les bordereaux !
Et en plus elle me reproche de ne pas avoir tout découvert !
- Et puis il n'y a que moi qui ai les initiales A.G. !
Mais qu'est-ce qu'elle raconte ?
- Explique moi tout, on va voir ce qu'on peut faire !
- Quand les commandes arrivent les chèques sont complétés et endossées par le service clientèle, ensuite ça passe à la compta qui vérifie et qui passe les écritures, puis après on me les porte, je les vérifie, je signe, les met sous enveloppe et un coursier vient les chercher. On demande aux clients d'indiquer "Société MAG" ! Certains n'écrivent que "MAG", un jour un type a rempli ça très espacé, j'ai compété pour faire Madame Annette Galuchet ! En regardant attentivement j'en trouvais un comme ça presque toutes les semaines. C'est tout il n'y a rien d'autre à raconter ! Maintenant le traitement a changé, on envoie des fichiers par informatique, je ne vérifie plus les bordereaux... Tout ça, c'est donc de l'histoire ancienne...
- D'accord ! Et vous m'avez offert vos charmes pour que je ne vous dénonce pas, c'est ça ?
- On ne se tutoie plus ? Je vais être très franche ! Oui, j'ai fait ça ! Quand j'ai su pourquoi vous veniez, j'ai d'abord voulu vous rendre la vie impossible, vous faire travailler dans des mauvaises conditions afin que vous n'ayez pas envie de rester longtemps. J'ai été trop loin et je me suis fait engueuler. Après j'ai voulu faire de résistance passive en vous faisant la gueule, mais ça ne menait nulle part, alors j'ai essayé la séduction. Vous êtes maintenant libre de votre décision ! Je n'ai plus rien à vous proposer en échange, et je ne me prêterais à aucun chantage. Ne soyez pas hypocrite dites-moi ce que vous allez faire ! Ne me laisser pas passer la nuit sans savoir, c'est si facile de juger les autres... et puis...
Elle ne termina pas sa phrase, éclatant en sanglot ! J'étais là comme un con ! Furieux de m'être fait manipulé, mais aussi vexé de ne pas avoir été jusqu'au bout de ce que je pouvais trouver alors que la solution était sous mes yeux. Voilà qui prouvait que je n'étais pas parfait (je n'ai jamais prétendu le contraire d'ailleurs) Pas parfait, elle non plus ! Que faire ? Etre salaud envers Annette en la dénonçant (même de façon indirecte) Ou faire dans la faute professionnelle en la couvrant ! Alors Je me suis remémoré l'épisode des toilettes, j'ai regardé ses yeux de chien battu, je me suis approché d'elle !
- Annette, ça ne plait qu'à moitié, mais je te promets que je ne te dénoncerais pas !
- C'est vrai !
- Je te le promets !
- Merci ! Mais ça ne suffit pas, il faut trouver une explication qui tienne la route... mais bon merci déjà de ne pas me dénoncer.... Je ne suis qu'une salope ! Dit-elle fondant de nouveau en larmes !
On a été boire un pot après, puis je l'ai quitté, j'ai cherché toute la nuit, je n'ai rien trouvé de vraiment génial. ....
Vendredi
Je me rends directement à la banque rendre compte à mon supérieur ! Il a entièrement confiance en moi ! C'est mon seul atout dans cette affaire mais il est énorme !
- Pour l'affaire M.A.G, j'ai tout contrôlé, ils font des bordereaux, mais ils n'envoient pas de doubles, en plus ils n'utilisent pas les pochettes transparentes qu'on leur a données. Mais sinon je ne vois pas bien où ils auraient tort, je pense simplement que des chèques sont restés coincés dans les enveloppes.
- Les chèques sont tous endossés ? Il y a bien les bénéficiaires ?
- Il y a trois points de contrôle !
- Et maintenant, il n'y plus aucun problème ?
- Aucun !
Le téléphone sonne, mon chef répond interrompant notre entretien. Je n'en mène pas large parce que mon explication est débile et aussi parce qu'elle a une faille ! Il suffirait de demander à M.A.G. d'écrire aux clients pour lesquels les chèques ont disparu, et de leur demander le numéro du chèque et la banque ! Dans le lot il suffit qu'au moins un réponde. Ensuite on se procure la photo du chèque auprès de sa propre banque et le pot aux roses est découvert... Il raccroche, il a l'air préoccupé. C'est vrai qu'à son niveau tous les cas difficiles lui tombent dans les bras ! Mon affaire n'est qu'un cas parmi plein d'autres...
- Bon je vais appeler le mec de chez MAG, je vais lui dire qu'ils n'ont pas respecté le contrat de conditionnement et je vais lui proposer de faire moitié-moitié... Ça fait combien d'abord ? Mouais ! Et s'il rouspète on s'écrase... Et puis non, gagnons du temps, tu vas le voir, tu t'aplatis, tu lui dis qu'on a aucune raison de mettre sa bonne foi en cause... bref tu sauras faire, tu lui dis qu'on régularise dans la semaine et on clôture cette affaire ! Qu'est ce qui t'arrive, tu transpires comme une bête, tu as de la fièvre ?
- Ouais je dois couver quelque chose ! Faut vraiment que j'aille le voir, je ne peux pas faire un courrier !
- Non, de son point de vue, on a été mauvais, alors on s'écrase jusqu'au bout...
Je me rendis alors compte que j'étais en train de négocier le fait d'échapper au restaurant avec Monsieur Ribadier... alors que je venais d'obtenir le " non-lieu " pour Annette...
Epilogue
10 ans ont passés, il y a maintenant prescription sur ces événements, je n'ai jamais revu Annette, mon chef est en retraite, et j'ai grimpé dans la hiérarchie. Je ne suis pas fier de ce que j'ai fait, mais en ai pas honte non plus, il y a des choses tellement plus graves.... Quant à mon fantasme, je me suis aperçu que des tas de personnes charmantes étaient prêtes à m'aider à l'assouvir... à condition qu'on les rétribue... je ne m'en plains pas mais je n'ai jamais retrouvé le bonheur de cette première fois.
Toute ressemblance avec une véritable société M.A.G ou avec une Annette Galuchet (Il doit y en avoir plein) ne saurait être que fortuite et d'ailleurs dans la réalité elles ne portaient pas ces noms-là !
Estonius - 12/2004
estonius@hotmail.com
Thémes abordés : bisex féminine, bisex masculine, exhibition, party, pluralité masculine, soubrette, uro.
Isabelle et Alexis, la trentaine, Isabelle est blonde décolorée, les yeux bleus, de taille moyenne, les cheveux courts, des lunettes, des formes là où il faut, sans exagération….
Ce soir là nous avions, ma femme et moi envie d’aller au restaurant, une accumulation d’événements (des amis qui s’éternisent au téléphone alors qu’on allait partir, des travaux sur la route nous faisant avancer à pas de tortue) fait que nous nous y sommes rendus vraiment très tard, et l’établissement où nous avions nos habitudes était complet. Il a donc fallu en chercher un autre et ça n’allait jamais, trop cher, trop de bruit, trop de gosses, trop commun, trop ceci, trop cela… bref ça n’allait jamais….
- On va finir par rentrer s’ouvrir une boite de choucroute ! Proposais-je !
- Ok on fait comme ça !
Mais miracle sur la route du retour, on passe devant un petit truc, un restaurant antillais qui à l’air pas mal du tout ! On y va ! On a pas regretté, mais n’anticipons pas et disons simplement que le… le repas était très bien.
Le serveur s’approche, un grand noir, très jovial et très sympathique !
- Des cafés, ces messieurs dames ?
On refuse, j’ai peur que ça nous empêche de dormir et on commande l’addition. C’est alors que je remarquais mon épouse qui regardait avec une attention toute particulière la braguette du serveur. Effectivement ce qu’il y avait à l’intérieur paraissait de bonne taille.
Une fois, à l’extérieur, je dis à Isabelle sur le ton de la plaisanterie :
- Alors on se rince l’œil ?
Elle rougit d’abord puis se défend :
- Dis donc tu regardes bien les nanas, je peux bien regarder les mecs, non ?
Argument choc ! Que voulez vous répondre à ça ? Et puis je me suis dis que j’avais peut-être là l’occasion de réaliser un fantasme qui me trottait souvent dans la tête :
- Ça te dirait de te taper une grosse queue comme ça ?
- Mais non, tu sais bien que je t’aimes, allez on rentre, je fatigue un peu !
- Tu sais, insistais-je, si c’est juste physique, sans conséquence, ça ne me dérange pas, je crois même qu’au lieu de me déranger ça m’exciterait de te voir sucer une grosse queue !
- Ben v’la autre chose !
- Ça te dit ?
- N’insiste pas tu vas me faire faire des bêtises !
- Allez, on ne vit qu’une fois, on va essayer un truc, si ça marche pas on n’insistera pas !
On retourne au restaurant, où il n’y pratiquement plus personne, les derniers clients sont en train de payer. Le serveur est surpris !
- Vous avez oublié quelque chose ?
- On a changé d’avis, ça vous embête de nous faire un café !
- Non, non pas du tout !
- Des décas !
- D’accord des décas !
- Je me demande bien comment tu vas faire ? Me demande Isabelle !
- Quand il va revenir mate lui carrément la braguette, on improvisera !
- Tu es fou, on va passer pour des obsédés !
- C’est pas grave, on est loin de chez nous….
Le serveur revient avec les cafés. Isabelle fait comme on a dit et regarde ostensiblement l’entre jambe du serveur. Du coup il se demande se qui se passe, regarde si parfois sa braguette ne serait pas ouverte ou tachée !
- Isabelle, arrête de regarder la braguette du monsieur ! Dis-je alors !
Ça passe ou ça casse ! On va le savoir dans un instant ! Le garçon prend ça à la rigolade !
- Pourquoi ? J’ai une tache ?
- Plutôt une bosse ! répond Isabelle du tac au tac !
- Hi ! Hi Hi ! répond l’autre manquant totalement de répartie !
- J’y toucherais bien, il parait que ça porte bonheur ! Reprend Isabelle !
- Voyons, madame ! Que va dire votre mari ?
- Oh, vous savez moi je suis un mari très compréhensif ! Expliquais-je.
- Alors je peux ?
- Ben puisque tout le monde est d’accord !
Incroyable ! Isabelle caresse ostensiblement la braguette du serveur qui évidement est aux anges et se laisse faire. La bosse a changé d’aspect et laisse maintenant deviner un joli cylindre. Ma femme dézipe carrément la braguette du mec et s’en va fouiner dans son caleçon. La situation commence à m’exciter et comme il n’y a apparemment que nous trois, je m’occupe avec une main de mon propre sexe tandis que l’autre va fouiller dans les dessous de mon épouse.
Et tout d’un coup ma femme extrait la quéquette du serveur qui sort de son pantalon ! Superbe objet, un belle verge très noire et terminée par un joli gland long, bien brillant ! J’aurais presque envie de m’en mêler mais je n’ai jamais confié à mon épouse mes fantasmes bisexuels, et puis il faudrait qu’il soit d’accord ce qui n’a rien d’évident, restons sage. Ce qui se passe est déjà inespéré, ne demandons pas la lune !
Isabelle commence à masturber l’engin du serveur avec beaucoup de conviction, puis son visage se rapproche. Elle ose un baiser assez timide sur le flanc de la verge, puis un deuxième, avant de
donner un petit coup de langue. Elle se recule de quelques centimètres, caresse le gland entre le pouce et l’index, rapproche de nouveau son visage, met en contact ses lèvres avec l’extrémité
de son pénis, se contente de l’embrasser, puis la bouche s’ouvre, se referme ! Ça y est, elle a un bout de la bite du serveur dans la bouche ! Et elle se met à le sucer, vu la taille de la
chose il n’est pas question qu’elle essaie de tout avaler, aussi se concentre-t-elle sur ce joli gland. Le type ne reste pas passif et sa main est venue se coller d’abord sur le tee-shirt de ma
compagne. Voulant l’encourager je lui soulève le vêtement pour lui faciliter le passage et fait sauter les bonnets du soutien gorge par-dessus les seins. Du coup notre serveur titille
maintenant la poitrine d’Isabelle. Elle adore ça qu’on lui tripote les seins. Quant à moi, mon excitation ne retombe pas !
- Vous avez peut-être un collègue qui pourrait nous rejoindre ? Vous savez, deux bites ça ne lui fait pas peur !
- Il y a bien Gauthier, le plongeur, mais il n’est pas aussi monté que moi, et puis il est un peu bizarre, mais enfin c’est comme vous voulez, il ne dira pas non !
- Qu’est ce qu’il a de bizarre ? M’informais-je.
- Ben, disons qu’il est un peu à voile et à vapeur !
- Mais ce n’est pas un problème, ça, faites donc venir Gauthier… plus on est de fous plus on rigole !
Le serveur appelle donc Gauthier ! Mais l’autre n’a pas l’air de répondre, il appelle de nouveau…. et surprise ce n’est pas Gauthier qui déboule mais une petite antillaise toute frisée !
- Il est au téléphone, Gauthier…. mais qu’est ce que vous fabriquez ?
- Elle peut venir avec nous ? propose le serveur !
- Bien sûr ! répondis-je
- Allez Mylène, viens te détendre ! Lui lance son collègue.
- Et, ben ! Vous ne vous emmerdez pas ! Ça va ? Elle est bonne la bite à Antoine ?
Chic on sait maintenant comment s’appelle le serveur, ça m’aurait embêté de ne pas le savoir !
- Humm… un régal ! Répond Isabelle, abandonnant sa fellation quelques instants.
- Et donc Monsieur est avec Madame, si j’ai bien compris !
- Ben oui c’est tout à fait ça !
- D’accord, et ça vous excite de voir votre femme sucer une grosse bite !
- Oh, oui, alors, ça m’excite !
- Voyons voir, dit elle en me plaçant alors sa main sur ma braguette.
Comme vous le devinez bien, ce qu’elle touchait était tout dur.
- Alors petit cochon, comme ça on offre une grosse bite à sa petite femme ! c’est pour un anniversaire.
- Non, non, on avait rien prévu, c’est un concours de circonstances…
- Vous avez de la chance, ça m’excite, moi ce genre de situation…. Je vous plait j’espère !
- Vous êtes ravissante !
- Bon, je me débrouille toute seule pour vous sortir ça du pantalon ou vous baissez tout ça vous-même, ce serait quand même plus pratique.
D’accord faisons pratique, je me lève et fais glisser pantalon et caleçon sur mes chevilles.
- C’est jolie aussi une petite bite blanche ! Humm elle est toute raide…
Petite, petite, elle n’est pas si petite que ça… mais c’est vrai qu’en comparaison avec le mandrin d’Antoine, je ne joue pas dans la même division…
- Allez assis-toi petit cochon, tu vas voir comme elles savent bien sucer les antillaises.
Je n’en doute pas un instant, et déjà elle a ma bite dans sa bouche qu’elle fait aller et venir tout en distribuant de savants coups de langues sur les endroits les plus sensibles. Je jette un coup d’œil à côté, Isabelle s’est carrément mis à genoux entre les jambes du grand black et lui fait maintenant une fellation très soutenue, tandis que ses mains lui malaxent les couilles ! Mon dieu que c’est beau…. Dommage qu’il ait vraiment un engin démesuré sinon j’aurais bien proposé à ma femme qu’elle le prenne dans le cul ! Ça m’aurait vraiment bien plu de voir ça, mais ne rêvons pas, quand c’est trop gros, c’est trop gros.
- Je m’appelle Mylène ! Me dis l’antillaise interrompant un moment sa fellation !
Elle n’est pas folle, elle a compris que j’allais tout lâcher d’un moment à l’autre et préfère faire une petite pause. Et puis je trouve ça sympa qu’elle se présente, je n’aime pas trop les rapports anonymes….
- Moi c’est Alexis !
- Vous êtes russe ?
- Non et vous ?
Elle rigole !
- Vous voulez voir mes nénés !
- Bien sur que j’aimerais voir vos nénés !
Pas compliquée, la fille ! Elle enlève son tee-shirt, elle a un joli soutif en voile rouge qu’elle dégrafe dans la foulée. Jolie poitrine ! Attiré comme un aimant j’entreprends de lui lécher les tétons, elle se laisse faire sans problème, ça à l’air de lui plaire…
Un gémissement étouffé, à côté. Je comprends qu’Antoine vient de jouir ! Ce cochon lui a tout lâché dans la bouche. Je croise le regard d’isabelle, elle est radieuse ! En plus d’être excité je suis super content que l’affaire ce soit bien passé, on recommencera !
- Alors elle était bonne la bite à Antoine ? lui demande Mylène.
- Super ! Répond mon épouse en réajustant sa tenue
- Vous savez, on adore les couples coquins, parfois il y en a qui viennent ici, mais c’est quand même assez rare…
En disant cela la petite antillaise lui a mis la main sur l’épaule par dessus le tissu du tee-shirt et la caresse négligemment. Comme Isabelle ne dit rien, ses mouvements de main deviennent plus larges et s’approchent de son sein droit. J’ai compris le manège. Ce que j’ignore c’est comment va réagir mon épouse quand l’autre va lui mettre carrément la main sur le nichon ? Si elle pouvait accepter la caresse, ce serait fabuleux, mais ne soyons pas trop gourmant, je voudrais aussi qu’elle termine sa fellation, mais en a-t-elle l’intention ?
Ça y est, la main de Mylène est sur le sein d’Isabelle qui répond par un sourire complice ! Du coup l’autre met les deux mains, Isabelle lui rend la politesse, leurs visages se rapprochent et « vlatipa » qu’elles se roulent une pelle. Quant à Antoine, il a l’air aussi passionné que moi par ce spectacle
- Tu m’a appelé ! dit alors quelqu’un !
D’où sort-il celui là ? Je comprends qu’il s‘agit de Gauthier le plongeur. Il regarde la scène avec des yeux tous ronds : Les deux femmes en plein élan de tendresse, Antoine debout la bite à l’air, moi aussi d’ailleurs sauf que je suis assis ! Voilà un spectacle que l’on ne voit pas au restaurant tous les samedis soirs !
- Madame avait une grosse envie de bite ! Mais toi tu n’as rien compris, tu passes des heures au téléphone ! lui répond Antoine.
Du coup Isabelle regarde le nouveau venu, ce n’est pas un antillais, ce doit être un réunionnais ou un mauricien métissé avec beaucoup de sang indien. Il est assez mignon.
- Mais vous êtes le bienvenu ! Lui dit Isabelle, plus on est de fou, plus on rigole !
- C’est vrai, vous voulez voir ma bite, mais vous allez être déçu, je n’ai pas le calibre d’Antoine !
- On s’en fout j’ai envie de sucer, répond Isabelle décidément déchaînée !
- OK, je vais me mettre à poil !
Gauthier, ne doit pas aimer l’amour débraillé, il recule d’un mètre ou deux, et se déshabille complètement, plaçant ses affaires méticuleusement sur le dossier d’une chaise. Vraiment troublant le type, imberbe, une belle peau mate, un corps sans musculature exagérée, la verge est plus sombre que le reste, un peu comme chez les asiatiques. Une fois nu, il s’avance vers mon épouse, qui sans aucun préambule se met sa queue dans sa bouche ! Je vous dis, elle est déchaînée !
- J’ai prévenu ces messieurs dames que tu étais un peu bi, ils m’ont dit que ça ne les dérangeait pas !
- Tu parles toujours de trop, Antoine… mais c’est vrai j’aime aussi bien les femmes que les hommes….
Je fais quoi ? Comment va réagir Isabelle si je franchis le pas devant elle ! Et puis que peut-elle me reprocher ? Ne vient-elle pas de rouler un patin à la petite Mylène ! Oui, mais rouler un patin ou faire un pipe ce n’est quand même pas la même chose…. D’un autre côté, des occasions comme celle-ci je ne vais pas en rencontrer tous les jours !
- Je me suis toujours demandé ce que ça faisait de sucer une bite ! Je peux essayer juste un petit peu ? Lançais-je !
La tête d’Isabelle ! Elle n’est pas choquée, mais elle se demande ce qui m’arrive ! J’ai peut-être été trop loin ?
- Ça ne te choque pas ? Isabelle ?
- Choquée, non ! Pourquoi voudrais tu que je sois choquée, mais surprise oui, ça alors, tu peux le dire ! Allez vas-y prend ma place suce lui sa queue à ce charmant jeune homme tu va voir comme
c’est bon !
En fait ce n’est pas ma première, mais il y a des années que je n’ai pas fait ce truc là… Me voilà donc avec une verge dans la bouche….
- Reste là, on peut partager ! Dis-je à Isabelle
Je suce de mon mieux, me régale de cette texture soyeuse et de son petit goût un peu âcre…
- Tu y prend goût on dirait, je croyais que tu voulais juste essayer !
- C’est que ça me plait bien, c’est pour ça !
- Bon ben rends la moi !
Presque à regret je me dégage et passe le relais à Isabelle. Comme cette bite est de taille standard, elle peut la mettre presque en entier dans sa bouche. Manifestement elle se régale. Elle a adopté la même position que tout à l’heure, à genoux entre ses jambes. Mylène s’est immiscée entre eux deux et est venue lui sucer le bout des seins, puis entreprend de lui défaire son pantalon. Isabelle comprend ce qu’elle veut faire, continue quelques mouvements de fellation puis se disant qu’il est peut-être aventureux de faire deux choses à la fois, se dégage et retire elle même tout le bas avec une décontraction et un naturel qui font plaisir à voir. Du coup je reprends ma propre fellation.
Un coup d’œil à côté, Isabelle s’est couchée sur la banquette, et Mylène est entre ses jambes en, train de lui sucer le minou pendant que ses mains lui agacent les tétons ! Je continue de sucer, je suis tout raide ! Je repense à mon fantasme de tout à l’heure ! J’en parle à Gauthier
- Ça te dirait d’enculer ma femme ?
- Si elle est d’accord je veux bien, je peux t’enculer aussi si tu veux…
- Euh… je ne suis pas contre, mais pas tout le même jour !
- OK, suce moi encore un peu, on va les laisser un peu tranquilles toutes les deux….
Bonne mentalité ce mec ! J’apprécie, et je continue à sucer pendant cinq bonnes minutes. Derrière nous le spectacle est devenue incroyable, les deux femmes sont à présent quasi nues et se broutent le minou en position de soixante neuf, elle halètent toutes les deux de plus en plus bruyamment. Du coup on s’arrête pour regarder ça, y compris Antoine qui se masturbe faisant rebander son immense engin. Mylène part la première en poussant un petit cri perçant, j’ai un peu peur de la réaction d’Isabelle qui a l’habitude de jouir en « ameutant le quartier ». Mais ça va, elle sait se tenir mais nous fait malgré tout un boucan impressionnant. Les deux femmes quittent leur position et se jettent dans les bras l’une de l’autre se roulant une incroyable pelle.
Puis elle me fait face, me regarde, regarde Gauthier !
- Ben alors vous deux, vous n’avez pas joui !
- On regardait, c’était beau !
- Tu sais ce qui me plairait…. commençais-je…. c’est que tu…
- Chut…, tu joueras les organisateurs un autre jour, tu ne te rends pas compte de ce que tu as déclanché, on va finir comme j’ai envie, d’accord !
- D’accord ! Répondis-je un peu déçu !
Alors Isabelle se coucha sur le sol !
- Allez, tous les trois masturbez-vous et arrosez-moi je veux plein de sperme sur mon corps !!
Ben v’la autre chose ! Mais après tout pourquoi pas ? On se branle tous les trois tandis qu’elle se tripote le minou. Je part le premier lui balançant mon sperme sur les seins, Antoine me suit giclant une quantité incroyable sur son ventre. Elle se badigeonne avec sur tout le corps tandis que Gauthier vient rajouter sa propre semence…
- C’est bon d’être mouillée comme ça, vous êtes sûrs que vous ne pouvez pas m’en faire encore quelques gouttes les mecs ?
Elle exagère !
- On peut te faire pipi si tu veux ! Propose alors Gauthier !
Un vrai vicelard, celui-ci !
- Oui, pissez moi dessus !
L’uro n’était pas pour notre couple une nouveauté, nous nous étions essayé à ces jeux que nous pratiquions quand l’envie nous prenait !
C’est Gauthier qui commença les hostilités faisant balader son jet sur tout le corps de mon épouse, y compris sur son visage, mais elle garda la bouche délibérément fermée. Je me concentrais pour participer à la fête, mais ce n’est parfois pas trop évident de pisser sur commande. Antoine l’aspergea à son tour. Elle était trempée de la tête au pied !
- Viens aussi toi ! dit alors Isabelle à Mylène !
- Tu veux que moi aussi je te pisse dessus !
- Bien sûr, et pour toi je vais garder la bouche ouverte !
- T’es vraiment une belle cochonne….
- Oui, c’est vrai, mais c’est de la faute de mon mari !
On s’est calmée ensuite, puis Mylène a emmené Isabelle se rincer et s’essuyer le corps. On a bu un grand verre d’eau gazeuse, et on s’est dit au revoir…
- Revenez un jour vers la même heure… si ça vous dit il n’y a pas de problème, vous pouvez même nous téléphoner avant… Nous précise Mylène !
On a roulé un peu ! Isabelle ne cause pas, elle à l’air crevée, mais elle est tout sourire.
- Tu as bien fait de me proposer de revenir pour le café, mon chéri, je voulais te dire merci ! Dit elle enfin
- Ça me fait plaisir ! C’est vrai qu’on s’est bien amusé !
- On recommencera, dis ?
Moralité : il ne faut jamais réveiller la petite cochonne qui sommeille en votre femme ! Non pardon, c’est le contraire : Faites en sorte de réveiller la petite cochonne qui sommeille en votre femme, cela ne pourra que vous rendre heureux tous les deux !
© 12/2004 Alexis Defond Rossignol
Mon beau travelo
par Estonius
Mon beau travelo
Rue des Martyrs, je l'avais flashé d'assez loin,
Gigantesque silhouette figée dans son coin
Fantasme dans la tête et les deux mains sans les poches
Excité, à grands pas décidés, je m'approche
Son visage malicieux est comme celui d'un ange
Son manteau de fourrure l'engonce, elle l'arrange
Les yeux de biches papillonnent sur mon passage
Je sais déjà que je ne saurais être sage
" Tu viens chérie ? " Demande-t-elle, la voix douce
Ais-je bien hésité, il s'en est fallu d'un pouce
Nous montons, la chambre d'amour est minuscule
" Je me mets toute nue ? " La question ridicule.
Un drôle d'accent. Je ne comprends pas son prénom
Elle se déshabille en riant, son corps sent bon
De beaux globes, ses seins à la vue sont parfaits
Ma main va seulement les effleurer, en fait
Pour que le silicone ne se dévoile pas trop
Elle retire sa culotte, dansant comme un pro
" Alors ? Elle est comment ma belle petite queue ? "
La mienne fait réponse en ne bandant pas qu'un peu
Par réflexe, j'engloutis son sexe dans ma bouche
Mon beau travelo de ses mains, mon corps elle le touche
Je me masturbe en même temps d'une main décidée
J'ai joui trop vite, abandonnant son sexe raidi,
Je n'aurais pas dû, car c'est comme je vous le dis
De sa semence, mon visage est aspergé
" Salaud tu m'as fait jouir ! " Dit-elle pour s'amuser.
Estonius 2004
Thérèse et ses deux colocataires
par Estonius
Thémes évoqués : bisex masculine, doigtage masculin, domination hard, feuille de rose, scato, travestis, trio, uro.
20 ans déjà… souvenirs, souvenirs…
C’est donc à Montpellier que j’allais continuer mes études, pourquoi pas ? La ville n’est pas la 8ème merveille du monde, mais elle est sympathique, et puis la côte languedocienne me convient très bien, avec ses plages de sables fins interminables, sa quasi-absence de plages privées et ses cohortes de touristes hollandaises ou allemandes s’exhibant sans fausses gênes et ravissant l’amateur de belles poitrines que je suis.
On m’avait indiqué qu’il était relativement facile de se loger ici pour peu qu’on ne soit pas trop exigeant, et qu’une formule « chez l’habitant » ne rebute point par ses contraintes.
Je me rendis donc ce vendredi, chez cette madame Thérèse Lelonbec dont on m’avait communiqué l’annonce. J’y allais en toute confiance, me disant que si l’affaire se faisait, je m’y installerais dès le lundi suivant.
Je suis légèrement en avance (d’un bon quart d’heure), j’ai donc le choix ou bien d’attendre dans la rue, ou bien de passer outre et d’y aller au flan, je choisis cette dernière solution et me met à gravir les escaliers. Je croise un type dans les mêmes âges que moi…
– Si c’est pour la location, c’est râpé, la place est prise ! Qu’il se croit obligé de me dire !
Une petite voix intérieure eut alors la bonne idée de me dire d’ignorer la réflexion. (car dans le cas contraire ce récit n’aurais jamais vu le jour). Le gars se vexe.
– Tu ne me crois pas, alors ?
– Oh, vous savez, je viens juste réparer les antennes de télé ! Mentis-je effrontément afin de dégonfler l’agressivité latente de ce citoyen.
Cette rencontre m’avait malgré tout refroidi et c’est sans trop y croire que je sonnais à la porte.
Madame Lelonbec (Mais pour la commodité du récit, et le lecteur devinant bien que cette personne va finir dans ce récit par se livrer à des actes que la morale bourgeoise réprouve, nous l’appellerons désormais tout simplement Thérèse) Donc Thérèse m’ouvrit la porte et je découvrais une femme assez grande et légèrement forte, brune, la peau bronzée, le sourire aux lèvres, revêtue d’une petite robe noire légèrement décolletée. Elle devait avoir dépassé la quarantaine mais sa classe et sa beauté la rendait – osons le mot – désirable. Elle me dévisagea quelques instants…
– Bonjour, je suis Etienne Legrand c’est à propos de la location…
– Vous êtes en avance !
– J’en suis désolé, ma montre est complètement déréglée, il faut que j’en achète une autre.
A mon grand soulagement, elle me fit entrer.
– Suivez-moi, je vais vous montrer où c’est… Ce duplex est trop grand pour moi maintenant que je suis seule… Voilà, j’ai fait mettre un petit lavabo, mais vous pourrez bien sûr utiliser la salle de bain…
C’est propre, c’est coquet, il y a un coin bureau où je pourrais travailler, la fenêtre donne sur la rue, c’est clair….
– Si ça vous convient on va discuter des modalités et de tout le reste…
– D’accord !
– Je peux vous offrir un thé, un café ?
– Non merci !
– Donc voyons, vous faites quoi comme études ?
Qu’est-ce que ça peut bien lui faire ? Mais je lui indique quand même, et voilà qu’elle me pose des questions sur mes loisirs, mes goûts, mes livres, mes films… Du coup ça me refroidit un peu, je me demande si je ne vais pas tomber sur un véritable » pot de colle « .
– Je sais ce que vous pensez en ce moment ! Me dit Thérèse. Vous devez-vous dire « Qu’est-ce que cette bonne femme a besoin de me poser ces questions-là ! » Non ?
– Ben….
– Il y a deux ans, j’ai loué une chambre à un type qui n’avait pas du tout mes idées, et j’ai eu un mal de chien à m’en débarrasser… alors maintenant je me renseigne juste un minimum… Juste un
minimum ! Répétât-elle.
Elle me parle ensuite des modalités pratiques.
– Je loue deux chambres vous aurez donc un (ou une) colocataire. C’est le système pension de famille ici, on prend le petit déjeuner et le repas du soir ensemble. Evidemment vous êtes libre de faire ce que vous voulez mais si vous n’avez pas faim ou si vous mangez en ville, prévenez-moi d’avance…. Ah, au fait, vous ne serez pas autorisé à emmener du monde ici, pas de copains, pas de copines… mais vous avez peut-être une petite amie ?
Et c’est reparti pour les questions indiscrètes…
– Ben, non pas en ce moment !
– Oui mais vous aller en trouver, à votre âge c’est normal !
– On verra bien, pour l’instant l’important c’est mes études…
– Je suis très libérale sur les questions de sexe, mais je ne veux pas me faire envahir, vous comprenez ?
– Ce n’est pas un problème !
– Au fait, j’espère que vous n’êtes pas homophobe ?
Mais bon dieu, c’est quoi ces questions !
– Pas du tout, mais pourquoi me demandez-vous ça ?
– J’ai un candidat pour la deuxième chambre je crois qu’il est un peu… un peu comme ça, je ne voudrais pas qu’il y ait d’incident.
– Ecoutez, je pense être quelqu’un de très tolérant, et je n’ai rien du tout d’agressif…
– Alors ça ira, soyez rassuré, je ne vous poserais plus de question indiscrète
Cette présence d’un second colocataire m’ennuyait un peu, non pas à cause de ses tendances supposées mais simplement parce que je suis de caractère très sauvage et moins je suis obligé de vivre avec les gens plus je me sens bien… Mais les avantages l’emportant sur les inconvénients, je décidais néanmoins que je logerais donc chez Thérèse
Je me faisais mon petit cinéma, peut-être que l’étudiant se désisterait et qu’à la place j’aurais doit à un pulpeuse étudiante… on peut toujours rêver…
Mais il n’y eu pas de désistement… Et c’est le jour même de mon installation que je fis la connaissance de Jean-Yves (on ne rigole pas !) Blond, très pale, peu causant, il s’intéressait au théâtre et jouait dans une troupe amateur.
Le décor est planté, il est grand temps d’entrer dans le vif du sujet…
Thérèse nous avait indiqué quelles étaient les tranches horaires où nous pourrions utiliser la salle de bain. Nous étions là depuis déjà trois semaines et ce mardi, je m’apprêtais à prendre une douche quand poussant la porte juste entrebâillée, je découvris Jean-Yves complètement nu, devant le lavabo et en pleine érection.
– Oh, pardon !
– Il n’y a pas de problème, tu sais j’ai fait du naturisme ! Tu as besoin de quelque chose ? Me répondit-il alors que je rebroussais déjà chemin.
J’ignore alors pourquoi je fis un gros mensonge et répondis que je cherchais mon eau de toilette.
– Non je ne la vois pas, mais entre donc, on ne va pas se gêner, non ?
Je le fis, j’étais, je l’avoue, moi le grand dragueur de beautés féminines, troublé par ce corps lisse et imberbe, et par cette verge qui paraissait me narguer. Je fais semblant de chercher, il se tourne, mais maintenant j’ai ses fesses devant le nez, ce qui ne contribue pas à faire cesser mon émotion.
– Si tu veux prendre ta douche, ne te gêne pas pour moi ! Reprit-il
J’eus à ce moment-là la conviction que comme l’avait supposé Thérèse, il devait être homosexuel, ce qui m’indifférait complètement, mais je lui indiquais que je préférais attendre qu’il soit sorti pour me livrer à mes propres ablutions.
J’ai rejoué dans ma tête cette furtive scène toute la journée, et le soir dans mon lit, je me surpris à m’exciter en y repensant encore. J’ai toujours déclaré à qui voulait l’entendre qu’avoir une expérience avec un autre homme n’était pas exclue, ajoutant immédiatement qu’en la matière je n’étais vraiment (mais alors vraiment pas) pressé. L’occasion était-elle en train de se présenter beaucoup plus tôt que je ne l’envisageais ? Et puis, je me faisais sans doute des idées, il n’était peut-être pas gay, le Jean-Yves, peut-être simplement exhibitionniste sur les bords ?
Le lendemain, je décidais de ne pas me compliquer la vie en questions inutiles et pour éviter de renouveler mon trouble de la veille, je prenais le parti d’aller prendre ma douche le plus tard possible. Mais une surprise m’attendait aussi ce jour-là (nous attendait)
Dans la cuisine où nous prenons le petit déjeuner, Thérèse comme tous les matins n’est vêtue que de sa robe de chambre, j’ai déjà eu l’occasion de plonger dans son coquin décolleté, mais j’ai l’impression qu’aujourd’hui il montre plus de choses que d’habitude. Je remarque aussi que la ceinture est attachée si lâche qu’elle risque de se desserrer d’un moment à l’autre. Et d’ailleurs, ça ne rate pas, alors qu’elle se penche pour reposer une casserole fumante, la robe s’ouvre. Le temps qu’elle reprenne ses esprits et se réajuste, nous avons eu le temps se voir une superbe poitrine et une chatte bien touffue. Elle prit le parti d’en rire :
– Bon, vous n’avez rien vu, les gars, hein ! Dit-elle en souriant.
Je ne sais pas si j’ai vu ou si je n’ai pas vu quelque chose mais je bande comme un malade.
L’incident n’eut pas de suite immédiate, mais plusieurs minutes plus tard Jean-Yves m’apostropha :
– Dis donc, la Thérèse, je ne sais pas ce qu’en t’en penses mais le peu que j’ai vu, ça m’a bien plu !
– C’est vrai que c’était bien joli à voir ! M’entendis-je répondre !
J’en concluais que mon colocataire n’était sans doute pas homo, mais qu’il était sans doute aussi obsédé (non je n’aime pas ce mot-là, on va dire coquin) que moi et que cela m’ouvrait des perspectives intéressantes.
Je me levais le jeudi matin en me demandant qu’elle serait la surprise de la journée ! Je pénétrais de bonne heure dans la salle de bain où comme l’avant-veille, Jean-Yves finissait ses ablutions dans le plus simple appareil et la quéquette en pleine forme.
– C’est de penser à Thérèse qui te met dans cet état ? Le taquinais-je !
– Tu crois ?
Du coup il regarde sa queue, la prend dans la main et esquisse devant moi quelques mouvements de masturbation.
– C’est vrai que j’aime bien m’exciter le matin en pensant à des tas de trucs… Poursuit-il.
Que voulez-vous que je réponde ?
– T’as raison, y a pas de mal à se faire du bien !
– Et toi aussi, tu aimes bien te branler ? Me demande-t-il ?
– Oui, surtout en ce moment, je suis en panne de nana !
– Et là tout de suite, tu as envie de te branler ?
– Non, pas maintenant ! Mentis-je.
– C’est dommage, c’est super excitant de se branler en duo, t’as jamais fait ça ?
– Ben non !
– Ben essaie, vu la bosse que tu trimballes sous ton pyjama, ça ne devrait pas te poser problème.
– T’es marrant toi !
– Je ne sais pas si je suis marrant, mais j’aime le sexe et je n’ai pas de complexe. J’aime bien délirer, si tu veux délirer avec moi ne te gênes pas, mais si tu ne veux pas, c’est pas un
problème non plus !
– Pour se branler faut quelque chose, je sais pas, moi, un film, des images, quelque chose…
– Et qu’est ce qui te fait bander en ce moment ?
– La conversation, la situation… je suppose
– Peut-être, mais je crois plutôt que c’est ma bite, tiens, regarde comme elle est belle, elle est toute raide.
Il est en train de me piéger, cet olibrius, mais je ne comprends rien à son jeu, il est homo, il n’est pas homo, il est peut-être bisexuel, je n’avais pas encore envisagé cette possibilité, toujours est-il que je suis là en train de lui reluquer la quéquette, et que la mienne est en train de déformer mon pyjama de façon ridicule.
– Elle est belle, hein ? Insiste-t-il
Il s’y prend mal, en fait, il me rend mal à l’aise, je ne sais pas si j’ai envie ou non d’aller plus loin…
– Allez branle-toi, tu en meurs d’envie !
Je réalise que j’ai envie qu’il m’aide à franchir le pas, s’il pouvait faire un geste, je ne sais pas moi me baisser mon pyjama ou me mettre la main sur mon sexe…. Mais le souhaite-t-il ?
– Mets-toi à poil et pense aux gros nichons de Thérèse, imagine qu’elle me coince la bite entre ses seins et que toi tu attendes ton tour…
Je craque, en deux secondes, je me retrouve à poil et je me masturbe, les yeux rivés sur son engin, il en fait de même, on ne fait rien de plus, je dois être complètement frappé, il ne tarde pas à éjaculer une grosse giclée dont la plus grande partie atterrit sur le lavabo, je l’imite assez rapidement.
– Ce soir je sors, nous dit Thérèse quand nous la rejoignons dans la cuisine. Je vous laisse l’appartement !
Sa robe de chambre est aussi mal fermée que la veille. Ce n’est donc pas de l’inattention, c’est de la provocation. Par contre, elle a ce matin pris soin de bien serrer la ceinture. Si elle veut nous jouer une scène ce ne sera donc pas la même que celle de la veille. Elle ne s’assoit jamais pour prendre son petit déjeuner, elle grignote debout. Un moment elle se penche devant moi afin d’attraper le beurrier. Son échancrure se met alors à bailler, j’ai l’espace d’un instant la vision de sa poitrine presque entière. Vite elle se redresse… Mais nous avons alors échangé un regard… Il s’est passé quelque chose, mais quoi…
– OK ! Je serais de retour vers 22 heures ! Vous laissez le téléphone sonner, vous n’ouvrez à personne et surtout pas de bêtises… Sinon…
Ce n’est même pas une menace, où alors c’est une menace pour rire :
– Sinon, qu’est ce qui va nous arriver ? Demande de façon faussement innocente Jean-Yves.
– Une bonne fessée par exemple !
– Humm… du coup ça me donne envie de faire des bêtises !
Il ne perd pas le nord, lui !
– Tu ne serais pas un peu coquin, toi ?
Humm… le visage de Thérèse en disant cela…
– Si, si ! Répond alors Jean-Yves
– Ah, ces jeunes, heureusement qu’Etienne, lui il est sérieux, n’est-ce pas Etienne ! M’interpelle-t-elle.
– Euh ! Pas trop, non…
– Vous devriez faire attention, je tiens toujours mes promesses… allez, je file me préparer…
Je suis rentré en fin d’après-midi, je lance un « y a quelqu’un ? » qui ne reçoit pas d’écho ! Jean-Yves n’est donc pas rentré, je vais pour monter dans ma chambre quand je me rends compte que celle de Thérèse n’est pas fermée. Notre logeuse serait-elle rentrée prématurément. Par correction, je frappe :
– Rentre !
Ce n’est pas la voix de Thérèse, c’est celle de Jean-Yves ! Mais je le reconnais à peine, il a enfilé des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge qu’il a rembourré avec je ne sais quoi, et un chemisier blanc non boutonné ! Son sexe est tendu comme un arc !
– C’est une véritable caverne d’Ali baba qu’elle a là-dedans la Thérèse ! C’est dommage je ne trouve pas de godasses à ma taille.
Je ne réponds pas ! Cette situation m’excite de trop ! Je me jette à l’eau, je lui dis :
– Tu me fais bander avec tes conneries !
– J’espère bien ! Mais regarde un peu ce que j’ai trouvé !
Il me montre un grand sac de voyage ! A l’intérieur il y a deux tenues de cuir noir, des bas, des sous-vêtements, mais aussi une demi-douzaine de godemichés, une cravache, un martinet, des pinces… Un véritable arsenal de maîtresse pour séance sado masochiste.
– Putain, j’ai la trique ! Tu veux qu’on se branle ensemble comme hier ?
– OK, déshabille-toi !
Je le fais à la vitesse grand V et je commence à m’astiquer !
– Ça t’embête si je te la touche ? Me demande alors Jean-Yves.
– Non ! Vas-y ! Répondis-je partagé entre la résignation d’un engrenage annoncé et une réelle curiosité de faire une nouvelle expérience.
Déjà, il a mon sexe dans sa main, il me masturbe, ce n’est pas gênant mais outre l’aspect insolite, ça ne me fait pas grand-chose, il n’a pas le bon rythme, il va trop vite. Je ne lui demande pas par contre si je peux toucher à la sienne, étant certain de la réponse, je le fais ! Le contact est doux, soyeux, agréable et vient ajouter à mon excitation.
– On ne va pas jouir ici ! Me prévient-il, on ne va pas salir sa moquette !
On est allé se finir dans la salle de bain.
– Tu sais ce qu’elle nous a dit pour la fessée, maintenant qu’on connaît ses fantasmes, je crois qu’elle sera d’accord pour jouer avec nous, mais il va falloir rentrer dans son jeu. J’espère que
tu n’as rien contre la fessée qu’elle nous a promise !
– Oh, que non !
– Alors fais-moi confiance, on va peut-être passer une super soirée !
22 heures moins le quart : Jean-Yves et moi nous sommes installés devant la télé, ce dernier a conservé sa tenue semi-travestie, et moi je suis complètement à poil. On zappe, il n’y a rien d’intéressant, on a bien trouvé quelques vidéos (très sage) mais son lecteur n’a pas l’air de fonctionner. On attend, sagement, le risque que notre plan fasse un flop existe mais nous n’y pensons pas, par contre nous ignorons si Thérèse rentrera à l’heure et c’est assez stressant. Toujours est-il que les minutes passent. 10 heures, 10 heures et quart… 10 heures et demi. Si elle arrive trop tard, on pourra toujours refaire ce délire en modifiant légèrement le scénario, mais ce serait quand même frustrant de ne pas pouvoir s’amuser ce soir. 11 heures moins le quart… 11 heures moins dix, un bruit de clés. Comme convenu, on se prend respectivement le zizi en main afin de le faire grossir un maximum dans le bref intervalle de temps qui nous sépare du moment où elle va nous surprendre !
– Ben ! Qu’est-ce que vous foutez tous les deux ?
– Euh, comme il y a rien d’intéressant à la télé on se masturbe un petit peu !
– Non, mais je rêve ou quoi ? Et toi là, où est-ce que tu as trouvé ce que tu as sur toi !
– Ben j’ai un peu fouillé dans vos affaires, je suis désolé.
Il y a comme un instant de flottement. J’ai l’impression que Thérèse n’est pas vraiment certaine de savoir à quel jeu nous jouons. Nous saurons après qu’elle craignait que nous nous soyons enivrés.
– Vous nous aviez promis une fessée si nous faisions des bêtises ! Reprend Jean-Yves ! Punissez-nous, si vous pensez qu’on le mérite !
– Ah c’est donc ça ! Et vous croyez que je vais démarrer comme ça au quart de tour ? J’ai peut-être le droit d’être fatiguée ! Votre punition vous l’aurez, mais quand je l’aurais décidé.
Foutez-moi le camp dans vos chambres et toi tu enlèves mes affaires… Quoi que ça ne te va pas si mal, lève-toi et tourne-toi que je vois ton cul ! Humm finalement reste comme ça ! Joli petit cul
! Bon, vous êtes sûr que vous voulez être punis ? Parce que si c’est oui, vous n’allez pas être déçus !
On lui fait signe qu’oui !
– Bon alors d’accord, jusqu’à ce que je décide la fin du jeu, je suis votre maîtresse, vous allez faire tout ce que je vais vous dire et sans discuter, c’est toujours d’accord ?
– Oui, oui !
– Viens-là-toi ! Dit-elle en me désignant d’un index vengeur.
Je me lève, elle me fait mettre à genoux devant elle !
– Tu comprends maintenant pourquoi je fais passer un petit entretien aux candidats locataires, ça me permet de repérer ceux qui ont une tendance à la soumission, ceux qui sont obsédé par le sexe,
je crois que cette année je ne me suis pas trompé. Vous allez pouvoir être mes petits esclaves adorés pendant toute l’année universitaire. Tu t’es déjà fait dominer, toi !
– Ben non !
– Fais attention c’est un jeu dangereux ! Chacun a ses limites, et ses blocages, mais en principe je sais faire, les gens qui aiment la domination aiment souvent beaucoup de choses. Toujours
d’accord ?
– Oui !
– On dit « oui, Maîtresse ! »
– Oui Maîtresse !
– Bon, toi Jean-Yves, tu te mets à côté de l’autre et vous m’attendez cinq minutes, je vais me préparer !
On se regarde tous les deux !
– Tu es sûr qu’on ne fait pas une connerie ? m’inquiétais-je
– Qu’est-ce que tu veux qui nous arrive ?
– Justement…
Mais voilà Thérèse qui revient, elle s’est revêtue d’une sorte de kimono bordeaux, et tient à la main son sac de voyage, elle en extrait un gode ceinture, un martinet ainsi qu’une boite de pinces et pose le tout sur la table. Puis elle nous fait face, retire le kimono, apparaissant simplement en string de cuir et soutien-gorge assorti. Sa prestance est superbe ! Le corps est magnifiquement entretenu et sa peau légèrement halée brille sous l’halogène du salon. Du coup me revoici en train de rebander. Elle s’approche de moi, baisse ses mains au niveau de mes tétons, s’en empare et me les tord violemment. Voilà une caresse (si toutefois le mot de caresse est approprié) qui me rend fou.
– Ça fait mal, hein ?
– Ça fait mal, mais c’est bon ! Répondis-je
Elle renouvelle l’opération plusieurs fois de suite, puis après avoir dégrafé l’incongru soutien-gorge que Jean-Yves portait, elle lui administra la même torture. Puis de façon complètement inattendue elle nous gratifia chacun de deux paires de baffes. J’encaissais sans rien dire, mon camarade aussi ! Elle prend ensuite des pinces et sans aucun ménagement nous les place sur les bouts de nos seins, je supporte mieux que Jean-Yves qui commence à faire de drôles de grimaces.
– Supporte et tais-toi ! Sinon je te vire d’ici ! Lui lance Thérèse en guise d’avertissement.
Mon colocataire essaie de prendre sur lui, mais manifestement il a un problème.
– La pince de droite doit être mal placée ! Finit-il par dire !
Il reçoit comme première réponse une jolie paire de gifle… mais Thérèse n’est ni sotte, ni irresponsable, elle enlève prestement la pince litigieuse et la raccroche aussitôt !
– Merci Maîtresse !
– De rien, baisse ta tête et relève tes fesses, tu vas crier pour quelque chose !
Il obtempère !
– En voilà un joli cul de pédale, tu sais ce qui va lui arriver à ton petit cul ? Dit-elle, tenant en main de façon menaçante un superbe martinet.
– Oui, vous allez me frapper, maîtresse !
– Ça c’est clair ! Mais ensuite ?
– Je ne sais pas maîtresse !
Le coup a claqué, surpris Jean-Yves pousse un petit cri !
– Je ne veux pas t’entendre brailler, par contre tu as le droit de me remercier, et tu as même le droit de compter.
– Schlack !
– Deux ! Merci maîtresse !
– Non pas deux, le premier c’était pour rire !
– Schlack
– Deux ! Merci maîtresse !
– Non pas deux, quand on se trompe, on recommence à zéro !
– Schlack
– Un ! Merci maîtresse !
Au bout du quinzième il commençait à donner des signes de lassitude, mais ne se rebella pas. Thérèse alla jusqu’à vingt, le laissant épuisé, les yeux embués mais le sexe fier !
– Alors, maintenant tu vas peut-être pouvoir me répondre, qu’est ce qui pourrait bien arriver d’autre à ce joli petit cul de salope, hein !
– Je ne sais pas, vous allez peut-être me mettre un gode ?
– Ça ne serait pas une mauvaise idée en effet ! Qu’est-ce que tu en penses, toi, Etienne ?
Je ne suis pas fou, je suppose que les punitions dont elle va gratifier Jean-Yves ne me seront pas épargnées, mais je suis tellement excité par la situation que j’abonde dans le sens de Thérèse avec un véritable enthousiasme :
– Ça me paraît une bonne idée, je suis sûr qu’il adore se faire enculer !
– T’entends ce qu’il dit ton copain ? C’est vrai ça que tu aimes te faire enculer !
– Oui, maîtresse !
– Et ben dis donc que de surprise ! Moi qui pensais regarder tranquillement la télé en rentrant ! Bon allez Etienne, en position, je ne voudrais surtout pas faire de jaloux ! Oh ! Mais c’est que
ton cul n’est pas mal non plus ! Toi aussi tu aimes te faire prendre ?
– Je ne sais pas, je n’ai jamais essayé !
– Et tu as envie d’essayer !
– Oui, mais…
– C’est oui, ou c’est non ? « Oui mais », je n’ai pas l’article dans mon catalogue ! Ecarte tes fesses que je me rende mieux compte… Hum, oui effectivement c’est super serré ce machin,
on, va s’occuper de bien dilater tout ça, tu verras à la fin de l’année universitaire tu auras un bon cul d’enculé, je te ferais mettre par un ami à moi, un superbe black avec une grosse queue !
Tiens ça me donne une idée ! Mais en attendant viens voir le cul de ton copain, lui au moins il n’est pas puceau de ce côté-là.
J’essaie d’imaginer ce qu’elle veut que je fasse !
– Lèche !
Hein ! Elle est complètement folle ! Je me demande de quelle façon je vais bien pouvoir refuser quand un coup de martinet me zèbre les fesses.
– Je t’ai dit de lécher !
Un second coup, un peu plus fort vient me rougir un peu plus mon pauvre petit fessier, c’est fou ce que ça fait réfléchir vite ce genre de truc, car je me dis qu’après tout je suis dans le cadre d’une relation sado masochiste et que prendre plaisir à exécuter un ordre à priori absurde fait aussi parti du jeu. Je positionne donc mon visage sur le trou du cul de mon colocataire et me met à le lécher avec application ne faisant pas trop attention à cette saveur un peu âcre qu’il dégageait.
– Schlack !
Mais voici qu’elle me fouette de nouveau, la Thérèse !
– Aie !
– Voilà ce que je leur fais aux lèche-culs !
Je ne comprends pas bien, du coup je m’arrête
– Schlack
– Je ne t’ai pas dit d’arrêter, pédale, continue à bien lui foutre la langue dans son trou du cul !
Je continue donc à m’appliquer sous les coups de martinet de notre logeuse, mes fesses commencent à me cuire sévèrement mais ça n’a rien de désagréable.
– Bien ! Dit-elle après m’avoir asséné le dernier coup, je vous avais promis une surprise, mais il faut que je passe un petit coup de fil, en attendant c’est toi Jean-Yves qui va lécher le cul d’Etienne.
Et tandis que je commence à sentir un gazouillis humide tout à fait insolite au niveau de mon anus, Thérèse se met à parler dans son combiné :
– Allô, Jean-Baptiste ! C’est Thérèse ! Dis donc Jean-Baptiste, j’ai deux petits étudiants bien soumis avec des mignons petits culs qui ne demandent qu’à se faire enculer, ça t’intéresse ?
– …
– Tu es avec un ami, et bien ce n’est pas un problème, passez tous les deux !
Je vous dis, elle est complètement atteinte, la pauvre Thérèse, mais nous sommes tellement partis dans son délire que nous ne protestons mêmes pas !
– Super, vous allez voir ce que vous allez prendre ! J’espère que mes amis seront contents ! Bon alors toi, tu lui a bien léché le cul, voyons voir ce que ça lui a fait, hum… pas grand-chose, je vais mettre un doigt pour voir.
Et voici que Thérèse m’introduit le doigt dans l’anus et commence à l’agiter ! Ce petit manège dure quelques minutes, puis elle ressort son doigt, l’approche de mon nez puis de ma bouche !
– Lèche !
– Non maîtresse, pas ça !
– Et pourquoi donc ?
– C’est peut-être pas très propre…
– Ah, oui ? Alors prenons le problème autrement ! Dis-moi que tu es une petite salope !
– Je suis une petite salope, maîtresse !
– Ok ! Alors tu vas m’obéir, parce que les petites salopes ça sucent les doigts qui ont été dans leur cul ! Compris !
– Oui, maîtresse !
– Bon Jean-Yves, fout lui vingt coups de martinet, ça lui apprendra à discuter… moi j’ai un petit coup de fatigue !
Il me fait mal, ce con ! Mais je sais qu’au bout des vingt coups, j’obéirais à ma maîtresse !
– Alors tu suces maintenant !
– Oui maîtresse !
– C’est comment ?
– Ça va !
– Drôle de réponse ! Maintenant tu me suceras toujours les doigts quand je te les aurais foutus dans le cul !
– Oui maîtresse !
– Alors ne perdons pas de temps !
Et elle me remet tout de suite un doigt dans le troufignon, mais cette fois son tripotage est beaucoup plus appuyé, et donc beaucoup plus agréable, mais j’ai peur de l’état dans lequel il va ressortir…. Mais pour l’instant elle me doigte magnifiquement, c’est trop bon, je pousse des gémissements de satisfaction, pour moi c’est une découverte…
– Allez nettoie !
Le doigt présente quelques traces douteuses, rien d’affolant. Je bande comme un dingue, et me voilà en train de sucer ce doigt, un goût acre m’envahit le palais, ni bon, ni mauvais, c’est particulier et le faire est excitant.
– Tu en voudrais encore ?
– Pourquoi pas Maîtresse ?
Jean-Yves a droit ensuite à la même inspection, mais son anus est vide ce qui a l’air de contrarier notre perverse logeuse.
– Maintenant Etienne, tu vas sucer la bite de ton camarade !
Alors ça ce n’est pas un problème, depuis le temps que j’attends cet ordre. Je prends le membre dans les mains, la situation m’excite, pour la première fois de ma vie, je vais sucer une bite et je suis content de le faire. Je commence par la caresser puis lui imprimer quelques mouvements de masturbation, je tire sur la verge vers le bas de façon à ce que le prépuce dégage au maximum le magnifique gland d’une belle couleur lilas. Je me penche, avance mes lèvres vers la hampe, les frotte dessus, je fais un léger et innocent bisou, puis je m’approche du gland où je recommence mon manège, quelques gouttes de pré jouissance y ont perlé et un léger goût salé m’est déjà perceptible. Dans quelques secondes je sais que je vais franchir le pas. J’ouvre la bouche, déjà le gland est dans mon palais, et ma langue le caresse, le petit goût est désormais beaucoup plus présent, et j’avoue que ça ne me déplait pas, j’avance mes lèvres les resserrant au passage du prépuce, délicieuse impression, je recule un tout petit peu, j’avance de nouveau, par jeu j’essaie de faire pénétrer le membre au maximum, la position droite n’est pas agréable, mais d’instinct je le fais entrer sur le côté où il vient cogner l’intérieur de ma joue. Je prends conscience que j’aime ça, cette bite que je suce, je sais aussi que ce ne sera pas la dernière, c’est trop bon et c’est avec une érection phénoménale que je reprends maintenant de courts coulissages par lesquels je fais aller et venir l’extrémité de son pénis. Jean-Yves se pâme…
– Bon ça va ! Je ne veux pas que tu jouisses tout de suite ! Intervint Thérèse stoppant l’affaire à mon grand dam.
Mon colocataire se retire de ma bouche, lui aussi paraît un peu contrarié, la jouissance devait être bien proche….
– Tu as aimé ça, lui sucer la bite ? Petit pédé. ?
– Humm ! J’ai adoré ! Elle est trop bonne sa bite !
– Super, si vous saviez ce que ça m’excite de voir deux mecs ensemble en train de se faire des trucs…Mais c’est pas tout ça avec tous ces imprévus j’ai même pas été aux toilettes en rentrant et ça commence à devenir urgent ! Bon, on ne va pas salir, la moquette… tout le monde dans la salle de bain !
On la suit.
– Voilà, allongez-vous par terre, non pas comme ça, vous êtes vraiment nuls ! L’un à côté de l’autre, voilà, rapprochez vos visages, je vais pouvoir vous arroser tous les deux… Allez, rapprochez-vous encore, joue contre joue, voilà vous êtes mignons comme ça !
Thérèse retire sa culotte et s’accroupit à environ cinquante centimètres de nos bouches.
– Allez, on ouvre bien la bouche ! Et je ne veux pas une goutte sur le carrelage ! Mieux que ça la bouche !
Vision magnifique que cette petite chatte partiellement rasée s’ouvrant devant nos yeux pendant plusieurs secondes avant de lâcher quelques gouttes de son urine, bientôt suivi par un mince filet doré, elle se retient de temps à autre de façon à nous verser à boire alternativement !
J’avais déjà, par curiosité goûté à quelques gouttes de ma propre urine, juste comme ça pour voir quel goût ça avait… J’avais trouvé ça amusant. La pisse de Thérèse me parait un peu plus forte mais pas mauvaise du tout…
– Qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci maîtresse !
– Et maintenant après le pipi, le caca !
Elle ne va tout de même pas… non elle se dirige vers les toilettes…
– Vous n’êtes pas obligé de regarder, mais j’aimerais bien que vous le fassiez.
Elle se met en position sur la cuvette, mais à l’envers, c’est-à-dire le cul tourné vers nous et légèrement relevé.
Moment d’hésitation, échange de regard entre Jean-Yves et moi, on ne bouge pas. Thérèse pousse, un étron marron s’échappe de son cul et tombe dans la cuvette en faisant floc. Un second ne tarde pas à rejoindre le premier.
– Lequel de vous deux m’essuie ?
C’est moi qui suis le plus près du rouleau de papier à cul, je m’apprête donc à obtempérer.
– Mais non ! Avec ta bouche ! Idiot !
– Non…
– Tout à l’heure tu as sucé mes doigts pleins de merde. Quelle différence ? Sauf que c’est le cul de ta maîtresse et que ça va être encore meilleur.
Je cherche du secours du côté de Jean-Yves qui me fais un geste d’impuissance, Alors je me lance et me mets à lécher le trou du cul de Thérèse. Je nettoie tout, je ne laisse rien pour Jean-Yves. Je ne me reconnais plus. Je bande !
– Allez tout le monde dans la chambre, pour la suite je veux mon petit confort… Mais essuyez-vous, bandes de ploucs, vous êtes encore plein de pisse, vous n’allez pas m’en foutre sur mon lit…
J’ignore ce qu’on va faire, tout cela m’amuse, mais j’ai au fond de moi un peu peur de me laisser entraîner trop loin… et puis cette affaire de ses deux amis qui doivent nous rejoindre ne me dit plus trop rien maintenant.
Dans la chambre, Thérèse finit de se déshabiller, j’aime la vue de ses jolis seins de bonne tenue et intégralement bronzé, je m’en régalerais bien la bouche.
– Maîtresse, vos seins…
– Quoi, mes seins ? Qu’est-ce qu’ils ont mes seins ?
– Ils sont très beaux !
– T’es gentil, merci !
– J’aimerais les caresser !
– Ah ! Oui ? Eh bien, non aujourd’hui tu regardes, on ne va pas tout faire le même jour !
– S’il vous plait !
Elle me retourne une torgnole !
– Quand je dis non, c’est non, j’ai horreur qu’on insiste !
– Pardon Maîtresse !
– Bon, à présent vous allez me baiser, il y a longtemps que je n’ai pas eu deux bites à la fois… Alors la plus petite dans le cul, et l’autre dans la chatte…
La voici lancée dans des explications techniques… pour débander ce n’est pas mal. Toujours est-il que Jean-Yves est invité à se coucher sur le dos dans le lit.
– Fais le rebander comme il faut, Etienne !
Je branle donc mon camarade quelques instants !
– Ressers-toi de ta bouche ! Précise-t-elle
Alors là je ne vais pas me le faire dire deux fois, je me précipite et gobe à nouveau ce magnifique membre. Du coup, le voici très vite redevenue raide et je dois cesser. Thérèse recouvre alors l’organe d’un préservatif, puis se positionne à califourchon, et s’empale dessus.
– Tu ne bouges pas, c’est moi qui conduis ! Lui indique notre charmante propriétaire…
Et effectivement elle va tout doucement !
– Mets-toi debout devant moi, je vais m’occuper de ta tige ! Me précise-t-elle
Et voilà comment Thérèse m’a sucé pour la première fois, pas longtemps parce que rien que l’idée me provoqua une érection déjà bien solide, aussi abandonnant l’affaire elle m’attribua à mon tour une capote, puis se pencha afin de relever ses fesses tout en continuant à chevaucher Jean-Yves. J’essayais de trouver la meilleure position possible, pas évident de placer ses jambes, et approchais ma bite de son anus. Je n’eus pas à forcer, ça rentrait tout seul.
– Vas-y rentre à fond, encule-moi bien !
Alors Thérèse reprit ses mouvements, pour ma part je me laissais guider par l’ondulation de son postérieur, drôle de sensation de sentir la bite d’un autre homme à une paroi de la sienne. Le mouvement s’accéléra, la chevauchée devint sauvage, et Thérèse se laissa faire. Au bout de quelques minutes je trouvais le rythme, je laissais un peu de répit pour que Jean-Yves puisse accélérer, puis augmentais ma propre cadence quand la sienne baissait. Notre logeuse poussait des cris de jouissance à l’unisson de mes pilonnages, je finis par accélérer sans plus pouvoir me contrôler et éjaculais en restant dans son conduit. Jean-Yves devait attendre ce signal pour se libérer à son tour et jouit à son tour enserrant Thérèse d’un grand mouvement de tendresse. Ne voulant pas être en reste, je lui fis un gros bisou sur les fesses.
– On va se déboucher une bouteille de champagne, ça vous dit les gars !
Quelques instants plus tard, sans nous être rhabillés nous trinquions dans le salon, en parlant de choses et d’autres, nul ne semblant vouloir orienter la conversation vers le sexe malgré le délire que nous venions de vivre. Le temps passait, j’osais soudain :
– Mais, vos deux amis, ils devraient être là, non ?
– Quels deux amis ?
– Mais ceux à qui vous avez téléphoné tout à l’heure ?
– Tout à l’heure ! Ah, oui, tu as cru que je téléphonais pour de vrai…
– A parce que …
– Ben oui, c’était juste pour le fun ! Tu es déçu, tu te serais bien fais enculer, hein ?
– Je ne sais pas, peut-être…
– Et toi Jean-Yves !
– Oui, pourquoi pas !
– Alors on va y penser…
Manifestement fatiguée, Thérèse finit par nous envoyer nous coucher, j’eus quelque mal à trouver le sommeil qui fut ponctué par des rêves où s’agitait devant moi et de multiples façons des dizaines de bites d’une raideur prête à les faire exploser.
Qu’allais manigancer Thérèse ces prochains jours ? Vous le saurez bientôt en lisant le prochain épisode de ce passionnant récit…
Estonius (août 2004)
estonius@hotmail.com
Ce texte a eu l’honneur d’être désigné comme premier prix du meilleur récit bi pour l’année 2004
Le cul de Stéphanie
par: Sylvain Zerberg
RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES
6 heures du matin ! Enfin le programme se mit de nouveau à fonctionner !
- Je n'y croyais pas ! Me dit Stéphanie
- Moi non plus !
- Ça mérite une bise !
Elle me la fit, mais chastement, Stéphanie n'est qu'une collègue, elle n'a pas l'air farouche mais je n'ai jamais tenté quoique ce soit, sans doute parce que l'occasion ne s'était jamais présentée. Cette panne informatique nous réunissait tous les deux pour la première fois...
Stéphanie était une fille de 25 ans, environ 1 m 70, châtain, les yeux verts, elle avait une poitrine magnifique en forme de pomme (95 C), mais ce qui me plaisait le plus chez elle c'était son gros cul, elle avait deux fesses bien rondes et fermes, Elle était habillée aujourd'hui d'une jupe assez courte et d'un chemisier avec un beau décolleté.
Ça faisait 15 heures qu'on essayait de réparer ce fichu machin, un plantage définitif aurait été catastrophique pour la société qui m'employait, mais sans doute aussi pour moi.
Rien dans le ventre, juste un peu de liquide, complètement crevés ! Il nous fallait malgré tout attendre l'arrivée de la première équipe pour leur passer quelques consignes qui nous paraissaient hasardeux de ne le laisser que par écrit... Encore deux heures à tirer et après dodo...
- J'ai mal partout ! Me confia Stéphanie.
- Tu veux un massage ?
- Tu sais faire ça ?
- J'ai des mains de fées, tu sais !
Je commençais par lui frotter le dos, elle en position assise, après quelques minutes de ce massage, elle se décontractait tout en fermant les yeux. De ma place, j'avais une vue plongeante dans son décolleté
- Je te masse devant ?
- T'as pas peur de prendre une baffe ?
- Si un peu ! Alors je le fais ou pas, ça te ferait du bien !
- Obsédé ! Se contenta-t-elle de répondre avec un curieux sourire.
Elle n'avait pas dit "non", alors mes mains descendirent vers son décolleté et je commençais à lui peloter les seins à travers le soutien-gorge, elle se laissa faire, et ne dit rien quand je fis sauter les bonnets pour attraper plus facilement ses gros tétons. Elle poussa un râle, ouvrit les yeux, leva son visage et me fixa avec un grand sourire, puis elle se leva et m'embrassa langoureusement. Je lui massai alors les fesses, passa une main sous sa jupe et je lui caressai sa chatte, la trouvant si mouillé que sa culotte était d'ores et déjà bien trempée.
Elle mit sa main sur ma bite qui était tendue à l'extrême, dégrafa mon jeans qui chuta sur mes chevilles, sortit ma queue de mon caleçon, et me masturba avec tendresse, elle se mit à genoux puis me suça. Elle joua avec mon gland et mes couilles pendant cinq bonnes minutes, elle me lécha, m'aspira les testicules. Je lui dis que j'allais jouir, pensant qu'elle allait se retirer, elle accéléra le mouvement et j'éjaculai de longs jets de sperme dans sa bouche, elle continua de me sucer pour me nettoyer. Je la pris par la taille, la posa sur le bureau, relevai sa jupe, enlevai son string et lui mangea la chatte, elle dégageait une odeur forte qui m'enivrait. Je lui titillai le clitoris, le mordit, le suçota, je lui mis deux doigts dans son vagin bien lubrifié, faisant des va-et-vient tout en lui jouant avec son clito, elle ne put se retenir de jouir comme une folle, me dégoulinant le visage de son miel.
Je l'ai pénétré d'un coup, elle gémissait à chaque coup de rein que je donnais, elle ne put empêcher son corps d'onduler sous la jouissance qu'elle ressentait, en même temps, je lui malaxais les seins dont les tétons se dressaient fièrement.
Je décidai de la retourner et de satisfaire son petit trou du cul.
- Arrête, ça ne doit pas être très propre par-là ! Me dit-elle.
- Il n'y a rien de sale en amour ! Répondis-je, agitant ma langue à l'entrée de son anus et découvrant effectivement un goût légèrement acre.
Je la pénétrais d'un doigt, elle poussa des petits cris appréciant manifestement la chose.
- Mets-moi un deuxième doigt, mais mouille-le bien !
Je ressortis alors celui qui s'activait, le trouvant bien pollué !
- Il est comment ton doigt ?
- Il est un peu marron !
- Ça va ? Ça ne te dégoûte pas ? Demanda-t-elle.
- Pas du tout, ça aurait plutôt tendance à m'exciter.
- Gros cochon ! Lèche, alors !
Je le fis sans problème, le goût n'était pas si désagréable que ça !
- Tu aimes ça lécher ma merde, hein salaud ?
- C'est vrai que c'est excitant !
- Humm, fallait me le dire que tu avais des goûts comme ça, on aurait pu s'amuser...
- C'est que ce n'est pas facile à placer dans la conversation...
- Bon alors il vient ce deuxième doigt ?
Je lui enfonçais ainsi un second, puis un troisième doigt dans l'anus, puis n'y tenant plus je me saisis d'une capote, je mis mon gland à l'entrée et poussa d'un coup sec, elle se crispa sous la conjugaison de douleur et du plaisir. Après plusieurs minutes de ce travail, je sentis la jouissance monter en moi, elle savait que j'allais éjaculer, je ne pus me retenir plus longtemps, je déchargeais dans son cul, puis me dégageais, retirant la capote maculée de merde !
- Tu m'as bien enculé mon salaud, mais maintenant, je crois que j'ai envie de faire un beau caca, ça t'intéresse ?
- Hummm, bien sûr que ça m'intéresse !
- Bon alors viens on va s'enfermer dans les toilettes, ça nous évitera d'en foutre partout, et puis on sait jamais si quelqu'un avait l'idée de venir en avance...
Aux toilettes, elle me fit me déshabiller.
- Voilà je vais m'accroupir au-dessus de ton visage et je vais commencer par pisser, on fera le reste après ! Allez, ouvre
bien la bouche, tu vas voir comme elle est bonne ma bonne pisse bien chaude, ma bonne petite pisse de salope !
Cette ambiance dingue me faisait déjà rebander, je me retrouvais avec son sexe odorant à quelques centimètres de ma bouche, je l'ouvris, avala les premières gouttes, mais le reste déborda, Stéphanie éclata de rire.
- C'était bon !
- Délicieux !
- Bon maintenant on va passer aux choses sérieuses ! Lèche-moi un peu le trou du cul, j'adore !
Je le fis, c'était de plus en plus âcre, mais aussi de plus en plus excitant... Un moment elle péta, ce qui la fit éclater de rire.
- Allez je pousse, n'enlève pas ta langue !
Je n'avais jamais été jusque-là, j'appréhendais un peu, mais j'étais pris à mon propre piège. Après tout c'est moi qui avait commencé, l'anus s'élargit, une masse brune apparut en son centre, je continuais à lécher, puis l'étron se faufila à l'extérieur à toute vitesse pour finir par dégringoler sur mon visage, j'en avais sur les lèvres, je léchais un peu. Je croyais l'affaire terminée quand un second étron rejoignit le premier.
- Tu apprécies, j'espère ! Demanda-t-elle !
- Regarde comme je bande !
- C'est vrai qu'elle a l'air en forme ta bite... Tu en verras beaucoup des nanas qui te font des beaux cacas comme ça ? Mais maintenant tu me nettoies avec ta langue, c'est quand même plus agréable qu'un papier à cul non ?
J'étais tellement excité que je ne réfléchissais plus, je lui nettoyais le pourtour de l'anus comme si j'avais fait ça toute ma vie. Je finis par me relever après m'être débarrassé difficilement des matières accumulées sur mon visage qui s'acharnaient à laisser des traces !
- Il nous faudrait une douche !
- On ira la prendre chez moi me lança Stéphanie... Quel trip, allez viens m'embrasser !
Drôle de baiser puisque je ne m'étais même pas rincé la bouche de l'urine avalée et de la merde léchée, mais quelle excitation et en ce qui la concernait l'affaire avait l'air de l'émoustiller un maximum. Elle se mit à me contourner et à me peloter les fesses, quelques trop brefs instants, elle m'introduit à son tour un doigt dans l'anus !
- Tu sais que tu as des petites miches de pédé ! J'ai bien envie de te présenter à mon copain pour qu'il t'encule... ça te dirais ?
J'ai dû lui répondre que pour l'instant j'avais plus envie d'aller faire un gros dodo qu'autre chose, mais une petite voix intérieure, sans doute un petit diable, me soufflait coquinement "pourquoi pas ?"
© Sylvain Zerberg
Texte réintroduit en 2004 dans sa version non censurée.
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