Mardi 16 janvier 2007 2 16 /01 /Jan /2007 13:20

Artisan décorateur

Par Estonius

 

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... 

Je suis artisan décorateur, je me suis mis à mon compte depuis peu, en fait je n'y connais pas grand-chose, mais je bricole bien et j'ai acheté quelques bouquins. Je pense pourvoir me débrouiller.


Le problème c'est de trouver la clientèle, j'ai donc fait imprimer des petits flyers que j'ai distribués dans les quartiers bourgeois de la capitale, et j'attends.


Ce jour-là, coup de fil, une dame qui me téléphone, me dit qu'elle a un truc spécial à me demander, en fait il s'agit de déplacer quelque chose, mais me confie que plutôt que d'en parler au téléphone, elle préférerait que je passe faire un devis.


Je ne cherche pas trop à comprendre et prends rendez-vous le lendemain matin.


Agnès est une jolie femme mature, entre quarante et cinquante ans, pas un canon, mais un visage très souriant, ses cheveux bruns sont coiffés d'une espèce de chignon qui fait un peu années 60. Et la poitrine parait avantageuse.


L'appartement est ancien et richement décoré, il est aussi complètement tarabiscoté, des couloirs, des marches, des portes, des murs en biais, tout le charme de ces appartements qui sont en fait la réunion de plusieurs petits lots situés au même étage. Elle me conduit dans la chambre de l'un des enfants et me montre une espèce de renfoncement où trône de chaque côté du mur une collection de petits sujets, sur une débauche de planchettes fixés n'importe comment.


- Voilà, je veux déplacer ces machins de l'autre côté, mais je veux que tout soit redisposé exactement pareil !


Et elle me montre l'endroit du transfert. 


Au moins ce n'est pas compliqué. Je fais une estimation à la louche, que j'augmente de 30% parce que ces gens-là peuvent payer... et lui dis qu'éventuellement je peux commencer de suite. Elle hésite, m'informe qu'elle attend un coup de fil, mais que si je veux, je peux commencer à prendre les mesures... ce que je fais.


Moins d'une heure après, les cotes sont prises, et je prends quelques photos afin que je puisse redisposer les bibelots à l'exacte. Elle me demande le temps que je vais passer à transférer les planches. Finalement ça ne colle pas avec son emploi du temps. Je lui propose de revenir demain. Elle me fixe un rendez-vous en fin de matinée. Pas pratique mais comme je n'ai pas d'autres commandes...


Le lendemain, j'arrive à l'heure prévue, il me semble qu'il y a une certaine agitation dans cette maison. Effectivement elle n'est pas seule. Je vais pour serrer la main d'Agnès qui me dit carrément :


- J'ai les mains sales, je suis en pleine cuisine, c'est le jour de congé de la bonne... faisons-nous la bise, on ne s'est pas encore fait la bise, je crois ! me dit-elle, goguenarde.


Etonnant, non, allons-y pour la bise... et voici Betty, c'est sa fille, elle lui ressemble mais elle est moins gracieuse. Une vingtaine d'années et des lunettes.


- Je vous fais la bise aussi ? Demandais-je.

- Non, jamais la première fois, me répond cette dernière en me tendant la main.


Je croise deux mômes, habillés en gosses de bourgeois qui gambadent partout, ils m'énervent. Je pose ma boite à outils dans la chambre et constate avec horreur que l'un des papiers que j'avais punaisé avec les cotes a disparu. Quelle andouille de ne pas les avoir notés sur le carnet que j'ai toujours sur moi, il va falloir que je recommence... Je le signale à Agnès qui ne sait pas ce qui s'est passé, mais qui me demande si elle peut profiter de ma gentillesse (sic) pour me demander autre chose. Il s'agit d'une espèce de moulure en bois d'une laideur absolue qu'elle veut coller en haut de l'armoire du gamin. Elle me demande de faire des repères pour qu'il soit bien à niveau. Je grimpe sur la chaise... Grosse question de savoir si c'est horizontal ou pas... Je décide donc de redescendre pour aller chercher mon niveau dans la boite à outils.... Et voici le mari qui se pointe, large bonhomme brun au visage bronzé, veste en peau retournée, chemise blanche et cravate, pas bonjour... 


- Les niveaux ça va être comme les portables, bientôt chacun aura le sien ! Déclare-t-il doctement.


J'avoue ne pas comprendre s'il s'agit d'une vanne ou d'une idiotie, mais il disparaît... je demande si je dois coller le machin.


- Vous allez me prendre combien en plus ?

- Oh, pas grand-chose.

- Alors allez-y, collez-le


Je commence par ça, puis entreprends de reprendre les cotes manquantes, mais revoilà Agnès qui déboule :


- Euh, on prend un petit apéro rapide, si vous voulez nous rejoindre ?


Ça m'embête, moi l'apéro c'est entre amis que je le bois, et là je vais apparaître comme un cheveu sur la soupe, mais d'un autre côté je ne veux pas être impoli, je tente une diversion classique :


- Merci, je ne bois pas d'alcool (gros mensonge)

- Il y a du jus d'orange.


Je n'aime pas le jus d'orange, mais bon, j'y vais, j'ignore ce qu'ils fêtent, il y a donc Agnès, Betty, le mari, les deux gosses et un autre homme plus âgé (Monsieur René). On lève notre verre. J'en bois quelques gouttes et en profite pour demander les toilettes. Agnès m'explique et je m'éclipse. Une porte à franchir et me voici dans un petit vestibule, j'ouvre une autre porte, et me retrouve dans un escalier de service. C'est vraiment une maison de dingues. Il y a deux autres portes, l'une ressemble à une entrée d'appartement, l'autre plutôt à une porte de service que j'essaie d'ouvrir mais en vain. Qu'à cela ne tienne, je me suis trompé, je vais rebrousser chemin, mais j'ai refermé la porte qui m'a conduite ici et elle ne s'ouvre pas dans ce sens ! 


Bon, je descends, toujours avec mon envie de pisser. J'examine quelques portes au premier et au rez-de-chaussée, mais rien pour satisfaire mes besoins. Me voici donc dehors, dans une cour, j'inspecte la cour, pas de toilettes, il y a apparemment deux sorties, j'en emprunte une au hasard, ce n'est pas la bonne, je ne sais plus trop où je suis, mais bon on fait les choses dans l'ordre, d'abord pisser ensuite revenir chez les bourges.


Me voici dans la rue, je fais le tour du pâté de maison, je scrute à la recherche d'une sanisette, ça commence à me monter à la gorge ce truc là... Pas de sanisette, reste le café, mais mon portefeuille est resté dans ma veste qui est restée chez Agnès, et mon porte-monnaie n'est pas assez rempli. J'y vais au flan et rentre dans un café, direction tout de go les toilettes. Un joli panneau m'avertit que l'endroit est réservé aux consommateurs. Je sors en rageant afin de chercher une petite rue tranquille munie d'un coin discret où je me dépêche de me soulager... Maintenant il faut revenir, je me trompe de direction, reviens sur mes pas, perds un temps fou... enfin je retrouve l'entrée principale, évidemment, je n'ai pas le code sur moi, mais quelqu'un sort et m'ouvre, je m'engouffre, monte au deuxième étage où une grosse femme sort, me dévisage et dit en se retournant :


- Le voilà votre décorateur !


Comment peut-elle me connaître ? Peut-être la gardienne ?


Je rentre, ce n'est pas la même porte que tout à l'heure (il y a combien de portes dans cet appartement ?) et me retrouve dans la cuisine où Agnès est en train de préparer une salade.


- Ben alors vous aviez disparu ?


Je lui raconte ma mésaventure en la simplifiant un peu...


- Vous savez que c'est très mauvais de faire pipi en état de stress, parce que dans cet état là, vous ne faites jamais à fond... Je vais vous accompagner cette fois, vous allez pouvoir finir....

- Merci, ça devrait aller, je vais reprendre les petits travaux.

- Vous ne prenez pas de pause pour manger ?

- Ça dépend des jours, dès fois je mange, dès fois je ne mange pas...

- Ça vous dirait de partager notre repas !

- Merci mais je crois que je ne serais pas à l'aise !

- Je ne vous mets pas à l'aise ?

- Vous, si, mais les autres...

- Il n'y a personne d'autres, les gosses sont partis en activité, mon mari est allé travailler et Monsieur René est rentré chez lui. Il n'y a que ma fille et moi.


Je finis par accepter. Je ne vois pas bien de quoi on va pouvoir causer mais bon...


- Vous êtes sûr que ça ne vous fait pas peur de déjeuner avec deux femmes ? Plaisante-elle

- Non, non !

- Vous verrez ma fille est très sympa et pas très farouche, si elle vous intéresse, n'hésitez pas...


Alors là je n'en reviens pas ! Je ne sais pas quoi dire...


- Vous devez en avoir des occasions avec le métier que vous faites, non ? Insiste-t-elle

- Ben, euh...

- Allons, allons, ne dites pas le contraire.


Son visage est à ce moment-là à quelques centimètres du mien.


- J'ai oublié de vous dire, ma fille n'est pas farouche, mais en fait ça vient de famille, moi non plus je ne suis pas farouche ? Bisous ?


Ce n'est même pas une proposition, j'ai déjà sa langue dans ma bouche, nous voici en train de nous rouler une pelle magistrale. Elle y met beaucoup d'ardeur et histoire de me démontrer ses disponibilités, elle en profite pour me mettre la main à la braguette... Du coup mes mains se baladent sur sa poitrine... Raclement de gorge !


Instants de panique ! Je me dérobe, me retourne, c'est Betty 


- Je ne vous dérange pas au moins ? Intervient cette dernière.

- Tu veux regarder, ou tu veux nous rejoindre ? lui demande Agnès avec un air faussement innocent.

- Si monsieur permet, j'aimerais bien m'approcher ! répond-elle.

- Elle attend votre réponse ! Me précise la maîtresse de maison.


Sans dire un mot, je lui fais signe de venir plus près de nous, et elle ne se fait nullement prier, adressant une grosse tape amicale sur le popotin de sa mère, puis cherchant fébrilement la fermeture éclair de ma braguette. Evidemment, je bande comme un âne ! Et c'est un engin tout dur que Betty extrait de sa cachette.


- C'est tout raide, ça ! Commente la jeune femme.


J'espère seulement que je vais tenir la distance et pas me mettre à éjaculer prématurément... Betty a déjà mis mon engin dans sa bouche et le suce avec avidité en utilisant une technique très particulière qui lui fait tourner sa langue autour de ma verge, j'en ai des frissons partout. Agnès passe dernière moi et laissant sa fille opérer me baisse carrément pantalon et caleçon et se met à me peloter les fesses en me complimentant pour leur rotondité.


- Avec un cul comme ça, tu as dû te faire draguer par les mecs, non ?

- Euh, non pas spécialement...


Elle me fout alors un doigt dans le cul, comme ça sans crier gare. J'apprécie quand c'est fait avec douceur, mais c'est le cas !


- Mais il aime ça ce gros cochon ! Constate la bourgeoisie.

- C'est pas désagréable.

- Tu te fais mettre un petit gode parfois ?

- Ça m'est arrivé !

- T'entends ça Betty, on va bien s'amuser.

- Je peux pas te répondre, j'ai la bouche pleine ! Répond la fille

- Et une vraie bite, ça t'est arrivé ? me demande Agnès.


Je garde le silence, je ne vais pas lui confesser tous mes fantasmes.


- Tu ne réponds pas...je parie que tu as déjà essayé !

- Il y a bien longtemps...

- Et ça t'a plu ?

- Comme ça...

- T'as jamais eu envie de recommencer ?

- Je n'ai jamais eu l'occasion, et je ne cherche pas...

- Et si on te la fournit, l'occasion...


Je ne réponds pas. Elle va finir par me déconcentrer.


- On inverse ? Propose alors la bourgeoise à sa fille


Elle remplace donc Betty dans le rôle de la suceuse, tandis que cette dernière s'attaque à mon cul, mais cette "petite salope" m'a à présent introduit deux doigts... et putain que c'est bon... Par contre ce que me disait Agnès tout à l'heure était vrai, j'ai toujours une légère envie de pipi, et il faudrait mieux que je la satisfasse pour le confort de la suite... Je fini par leur dire.


- On va t'accompagner aux toilettes, et après on ira dans la chambre, c'est quand même plus confortable que la cuisine ! Propose la jeunette.

- T'as déjà joué à des jeux de pipi ? me demande alors Agnès.

- Oui, j'avais une copine qui kifait là-dessus, c'est rigolo dès fois...

- Alors pas besoin d'aller aux toilettes, tu vas me pisser dessus !

- Mais là je peux pas, je bande !

- Alors on va te donner la fessée jusqu'à ce que tu ne bandes plus.

- Chiche !


Betty ne se le fait pas dire deux fois, elle saisit une petite planchette de cuisine et commence à m'en foutre un coup sur les fesses. Comme je ne dis rien, elle se croit autorisée à taper plus fort, puis les coups tombent à la volée... Ce n'est pas désagréable mais si elle continue comme ça, demain je ne pourrai pas m'asseoir. Ça m'excite assez mais mon sexe perd quand même une partie de sa vigueur !


- Allez, pisse !

- Euh, tu n'enlèves pas tes vêtements ! Demandais-je passant à mon tour au tutoiement de rigueur dans ces circonstances particulières.

- Non, au contraire, c'est bien plus excitant comme ça !


Je me concentre, je ferme les yeux, je me reconcentre et finalement ça sort, un petit jet qui lui atterrit en haut de son chemisier. Elle ouvre alors la bouche, voulant me montrer par-là qu'elle en boirait bien quelques gouttes... Quelle adorable petite vicieuse. Je rectifie le tir et étanche donc sa soif tandis que sa mère qui ne semble pas intéressée par ce genre d'amusement farfouille dans les tiroirs et finit par dégoter un mini rouleau à pâtisserie. Je sais déjà ce qu'elle va en faire. Et c'est là que sans doute un petit lutin facétieux a envahi mon esprit, je me baisse légèrement et j'ouvre mon cul !


- Regarde-moi ce pédé ! Commente Betty, il a vraiment envie de se faire enculer !

- Je crois qu'on devrait appeler Monsieur René, depuis le temps qu'on rêve d'une occasion comme ça !

- Euh... je...

- Mais tais-toi, tu vas voir, il a une super bite, tu vas bien la sucer et après il va t'enculer.

- Mais je n'ai pas dit que j'étais d'accord !

- Bon, écoute, pépère, nous on te fait plaisir on s'amuse avec toi, on te demande juste en échange de satisfaire un de nos petits fantasmes... Tu ne vas pas nous faire un mélodrame...

- Alors je l'appelle ou pas ? Demande Betty

- Bien sûr que tu l'appelles !


Je cherche quelque chose à répondre, mais Agnès à maintenant entrepris de se déshabiller, son chemisier est déjà ôté, j'ai la promesse de sa poitrine devant les yeux, je me tais, attendant. Elle libère deux jolis globes, j'ai vu des seins plus beaux et plus fermes mais c'est néanmoins charmant comme tout, et par réflexe j'y mets d'abord les mains avant d'approcher ma bouche de ses gros tétons.


Quant à cette coquine de Betty, elle n'a pas renoncé à ses intentions, d'une main, elle me pilonne le fondement avec l'ustensile de cuisine en bois et de l'autre actionne son téléphone portable :


- Allo Monsieur René, c'est Betty ! Dites voir, on fait une petite partie avec le décorateur... il ne serait pas contre le fait se faire enculer, ça vous dit ?


Elle nous précise en raccrochant qu'il arrive tout de suite...


- Tu lui ouvres et tu nous rejoins dans la chambre.... Indique-t-elle à Betty


Je suis Agnès, qui cette fois est complètement nue, elle s'étale sur le lit, les jambes largement écartées :


- Viens me lécher un peu...


Je ne me fais pas prier, me voici la tête entre ses cuisses en train de lui faire minette, c'est tout mouillé, c'est tout sucré, elle est vraiment très excitée la coquine. J'espère simplement que l'autre cornichon qui veut me sodomiser ne va pas se pointer trop vite, j'ai horreur d'interrompre un cuni. Je lèche un peu partout me régalant de ses sucs intimes avant de me concentrer sur son clitoris érigé comme un petit champignon que je titille d'un mouvement latéro-lingual (joli, non ?) Je la sens qui agrippe le dessus de lit de ses mains. L'explosion est proche, l'explosion arrive, un cri, elle se tétanise, semble se soulever de deux ou trois centimètres avant de retomber toute flasque et en sueur. C'est en principe chez moi le signal d'une pose tendresse... mais là...


- Rebonjour monsieur !

- Salut ! Répondis-je en cherchant mentalement comment je pourrais me sortir de ce guêpier.


Le mec est déjà à poil, Betty aussi qui le masturbe doucement sans doute pour me narguer. C'est vrai que ce zigomar à une superbe bite. Imperceptiblement la bite de Monsieur René guidée par la main de la fille s'approche de mon visage. Je sais déjà que je ne fuirais pas, du moins pas à ce stade.


- Suce ! m'ordonne Betty.


Je temporise.


- Suce sa bonne queue ! Tu en meurs d'envie ! Tu vas voir comme elle est bonne...

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L'instant d'après, elle est dans ma bouche, délicieuse texture, délicieuse odeur, je suis là chez des babas bourgeois parisiens en train de sucer la queue de leur voisin bisexuel alors que je devrais être en train de fixer des petites planches dans la chambre du gamin... Et le pire c'est que je me régale. Le mec m'encourage :


- Tu suces bien, dis donc !


Et comme je me tais, vient la proposition tant redoutée :


- Tu veux que je te prenne ?

- Euh, non pas aujourd'hui...

- Tsss, tss, laisse-toi faire... et tu ne vas pas le regretter, après on sera toutes les deux à toi ! Intervient Betty


C'est un argument comme un autre, j'hésite une seconde, puis sans répondre je me mets en position, je m'assure simplement qu'il se mette une capote... Et déjà le voici qui force l'entrée. Je "pousse" afin de faciliter l'entrée de cette bite qui va m'enculer devant la mère et la fille... Il faudra plusieurs tentatives, mais le bougre pénétrera dans mon étroit conduit. Quelques légers allers et retours pour bien installer la chose, une autre poussée pour la glisser plus au fond, puis c'est parti, un petit coup en avant, un petit coup en arrière et voilà qu'on me sodomise de la façon la plus classique possible... Et je commence à frétiller parce que je trouve ça vachement bon. Les deux nanas gloussent, le spectacle les excite, et elles se tripotent la foufoune mutuellement ! Quelle famille ! L'autre derrière commence à respirer très fort, ses coups de boutoir sont plus vifs, plus nerveux, et puis c'est l'accélération brutale, il prend son pied, se retire, se décapote, s'essuie le front, souffle un grand coup !


- Putain quel pied ! Vous donnerez mes coordonnées à Monsieur, si un jour l'envie vous prend, je vous recevrai avec grand plaisir, et d'ailleurs en y réfléchissant j'aurais sans doute quelques petits travaux de décoration à effectuer...


Puis il disparaît de la chambre et part s'habiller dans la pièce d'à côté... Moi je suis sur le lit, le corps groggy, la bite flasque et le cul mal refermé. Agnès a alors le geste tendre de me caresser un peu le dos... oh juste quelques minutes, puis elle me dit :


- Lève-toi une seconde, on va faire un truc !


J'obtempère, me demandant ce qu'il peut encore m'arriver... et là je n'en crois pas mes yeux : Agnès s'est étalé de tout son long, les cuisses écartées et Betty vient lui lécher la moule. Ça ne dure que très peu de temps, Agnès jouissant de façon fulgurante. Spectacle sublime, grandiose, génial, unique, pervers, interdit... Je rebande en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire ! Mais ce n'était pas terminé :


La mère et la fille se sont mises l'une à côté de l'autre en levrette, le cul relevé et offert, la chatte béante. Elles m'attendent en se faisant des petits bisous... 


- Les capotes sont sur le chevet... m'indique Agnès.


J'en enfile une et commence à lécher l'intimité de Betty.


- Prends-moi ! me supplie-t-elle. 


Je le fais, je la pénètre dans sa chatte humide, elle se trémousse...


- Un peu à moi ! Quémande sa mère.


Je change de cible et m'occupe de la maîtresse de maison, puis je vais de l'une à l'autre... je fais attention de ne pas aller trop vite pour ne pas jouir de suite. Betty finit par s'écrouler, épuisée de plaisir. Je la laisse après lui avoir fait un chaste baiser sur la fesse et demande par geste la permission à Agnès de pénétrer son petit trou.

 

- Bien sûr ! Encule-moi bien ! Répond-elle


Je commence par lui lécher la rondelle. L'odeur est un peu forte, elle a dû s'essuyer le cul avec un courant d'air, mais quand je suis bien excité, ça ne me dérange pas. Je lui enfonce un doigt qui glisse tout seul dans son conduit anal, ça lui fait un tel effet qu'elle en miaule de plaisir. Je ressors mon doigt très légèrement souillé, et pris d'une impulsion subite, je le lèche.. 


- Fais moi goûter ! Me demande Betty 


Je ne cherche pas trop à comprendre, je replonge mon doigt, puis le fais sucer par la fille.


- Moi aussi, j'aime bien doigter le trou du cul de ma mère ! Commente-t-elle.


Quelle famille ! Toujours est-il qu'après ces fantaisies, j'encule Agnès, ça passe avec une facilité déconcertante mais le sphincter me serre tout de même le sexe. Je sens que je ne vais pas durer longtemps, je fais ce que je peux, elle pousse des petits cris qui m'excitent encore plus, et je finis par lâcher ma semence, et on s'écroule ensemble...


Quelques instants plus tard après avoir soufflé un peu, Agnès me propose de profiter de la douche, j'espère un moment qu'elle me rejoindra, elle et/ou sa fille, mais non... 


J'ai donc repris le boulot après avoir demandé un grand verre d'eau. Les deux femmes ont vaqué à leurs occupations me laissant œuvrer seul.


En fin d'après-midi, j'avais terminé ! Agnès m'a félicité pour mon travail.


- Allez, je m'en vais, je ne sais pas si on se reverra, on se fait un bisou ? Demandais-je

- Et la facture ?

- Cadeau !

- Arrête, on n'est pas dans le besoin il est normal qu'on te paie... et puis je crois qu'on se reverra, je vais demander à Monsieur René de ne pas vous oublier pour les travaux qu'il a à faire chez lui...

- Ok ! Je vous envoie la facture par la poste...


On s'est embrassé, sagement, sa fille est aussi venue me dire au revoir. 


- Ça t'a excité de me regarder en train de lécher ma mère, hein mon cochon ?

- J'avoue ! Vous faites-ce depuis longtemps ?

- Non, quelques mois, un jour je regardais un film cochon dans le salon en me paluchant, Maman est venue s'assoir à côté de moi, et puis disons que ça s'est fait spontanément, on s'est amusé à se tripoter mutuellement, juste un tout petit peu, pour rigoler, et puis ça été l'engrenage. Je ne regrette pas, elle lèche trop bien !


Dans l'escalier j'ai croisé le mari qui rentrait du travail et qui a royalement fait semblant de ne pas me reconnaître. S'il savait... Voilà qui m'a amusé ! Finalement j'ai passé toute la journée à m'amuser... un peu mal au cul quand même...


Estonius, janvier 2007


Quelques-uns des faits racontés ici sont réels, mais je ne vous dirais pas lesquels !


Ce récit a eu l'honneur d'être nommé Prix Spécial Bi pour 2007


Ce texte a primitivement paru dans un version auto-censuré dans lequel Betty était la sœur d'Agnès. Voyant que le site s'enrichissait de quelques récits de ce genre, j'ai demandé l'autorisation au webmaster de publier la version non expurgée, ce qu'il a accepté. Je l'en remercie.

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Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Samedi 18 novembre 2006 6 18 /11 /Nov /2006 19:15

La nuque de la mulâtresse

Par Enzo

 

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Ce fut d’abord sa nuque qui m’intrigua. Lassé ce jour-là des restaurants asiatiques, je cherchais autre chose, irrité par les tenanciers des officines turco-gréco-brochettes qui racolent littéralement le chaland, je me retrouvais un peu par hasard dans ce restaurant français traditionnel. On me place en terrasse près de la vitre dont la vue donne sur la place du petit pont surplombée par les majestueuses tours de Notre Dame...

 

Et puis donc, mais je l’ai déjà dit...

 

La peau mate, légèrement mate, des cheveux très bruns et très fins probablement défrisés mais laissant à l’arrière s’échapper quelques jolies impertinentes bouclettes sauvages, un vague chignon (pas terrible) maintenu par une sorte de chichi de lin blanchâtre. Une vingtaine d'année sans doute.

 

Sa nuque, était, je l’ai dit, dégagé, juste un peu avant les épaules par cet étrange pull-over écru, très traditionnel par ailleurs, sauf en haut ou il comportait un col rabattu (à la façon des cols marins), à larges mailles d’environ un centimètre.

 

Donc, un filet de poils en arête courait du haut de la nuque jusqu’à la naissance du dos, pour ensuite continuer jusqu’à je ne sais où mais en quantité moindre, me sembla-t-il. Je découvris après que cette jeune personne était accompagnée de ses parents, le père probablement réunionnais ou mauricien, la mère une méditerranéenne assez piquante.

 

Je n'ai pas arrêté de reluquer cette nuque pendant que je dégustais mon entrée, puis mon plat... Parfois quand elle gigotait un peu je pouvais apercevoir un petit peu de ses profils, celui de son visage avait un joli nez, celui de son torse, de troublantes formes.

 

Elle profita de l'intermède entre le plat et le "fromage ou dessert" pour descendre aux toilettes. J'ai eu conscience à ce moment-là que moi aussi j'avais envie, je me dirigeai donc à mon tour vers ces lieux une petite minute à sa suite.

 

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Deux cabines ! Je tente d'ouvrir celle des hommes, mais elle est fermée et quelqu'un me répond à l'intérieur en grognant... Est-ce alors le réflexe, le destin, l'inconscience, allez savoir... qui me fit pousser la porte des femmes... Celle-ci n'était pas verrouillé, et voilà que l'espace d'un instant j'entraperçois ma mulâtresse en train de pisser.

 

Je referme vite fait, marmonne un mot d'excuse..., je bande comme un âne... j'essaie de me calmer et j'attends.

 

Le mec dans la cabine s'éternise, si bien que la fille sort avant lui. Nos regards se croisent. Je rougis comme une tomate.

 

- Je suis vraiment désolé pour tout à l'heure... balbutiais-je.

- Vous n'avez pas à être désolé, c'est moi qui aie oublié de fermer la porte... et puis bon, vous avez fait quoi ? Vous avez vu une fille en train de pisser, quelle affaire ?

- C'est vrai, j'aime bien la façon dont vous prenez la chose !

- Il parait que je suis un peu extravertie, parfois, j'aime bien qu'on me regarde, c'est peut-être pour ça que inconsciemment j'ai oublié de fermer la porte.

 

Oh ! La la, qu'est-ce qu'elle me raconte ? J'essaie d'en savoir plus :

 

- Vous n'auriez rien dit si je vous avais regardé plus longtemps ?

- Je ne sais pas... mais peut-être que je n'aurais rien dit !

- J'ai raté quelque chose alors ?

- Vous voudriez que j'essaie d'en faire encore quelques gouttes ?

- Chiche !

- Je ne sais pas si je pourrais, Mais dites-moi, et si on faisait le contraire ?

 

Le contraire de quoi ? J'ai peur d'avoir du mal à suivre.

 

- Ben, moi je vous regarde pisser, c'est coquin aussi ça ?

- Euh... oui....

- Et bien allez-y !

 

Et elle me fait signe d'entrer dans la cabine. Je dois être en train de rêver, ce n'est pas possible... Mais comme un zombi, je pénètre dans l'étroit local, elle me suit.

 

- Ben allez-y, sortez là votre bite !

 

Mon dieu, quel langage dans la bouche d'une aussi jolie jeune femme. Je libère mon sexe, il est tout raide, j'essaie de me concentrer pour pisser, pas moyen, mettez-vous à ma place !

 

- Alors, on n'y arrive pas !

- Ben non !

- Je vais vous donner un coup de main...

 

Et la voilà qui comme si on se connaissait depuis trois siècles, m'attrape le sexe et commence à me masturber ! Je suis tombé sur la reine des nymphos, ma parole !

 

- Hummm, elle est mignonne ta bite, je te la sucerais bien un petit peu, tu me laisses faire...

- Heu...

- Ben tourne toi, et rassure toi je ne vais pas te mordre.

 

Je me tourne, elle s'accroupit, et sans autre formalité elle me gobe la quéquette. La porte des hommes s'ouvre, je m'aperçois avec horreur que la nôtre n'est pas fermée ! Je vois le mec qui nous regarde et qui fait des yeux de hiboux en découvrant le spectacle

 

- Faut pas vous gêner ! Rouspète-t-il.

 

Je ne sais plus ou me foutre, j'espère qu'il va partir, qu'il ne va pas ameuter tous le quartier. Il finit effectivement par partir en grommelant quelque chose....  Du coup ma bite a pas mal ramollie...

 

- On ferme la porte ! Proposais-je

- Oui, maintenant on peut ! T'as vu, il nous a vu ! J'en suis toute excitée ! Si t'as une capote tu peux me prendre...

- Ben non, j'en ai toujours une dans mon portefeuille, mais c'est resté en haut dans ma veste...

- Tant pis, mais ça te dirais de me lécher...

- Oui, oui...

 

On se contorsionne pour changer de position, elle se met debout, descend son pantalon et sa culotte et j'ai sa chatte devant les yeux, une chatte très poilue avec un filet de poils qui remonte sans doute jusqu'au nombril.

 

- Allez, vas-y, je ne voudrais pas que me parents s'inquiètent....

 

Alors d'accord, on y va, je plonge dans cette touffe de poils à l'odeur prononcée, de mes doigts j'écarte les lèvres. Joli contraste entre sa peau couleur café et cet écrin rose vif. Puis, je donne de longs lapements de bas en haut, me délectant de cette curieuse saveur aigre douce, la belle commence à respirer bizarrement, je m'attaque alors au clitoris et effectue des mouvements plus petits mais plus rapides. Je la sens venir ! J'ai peur qu'elle ameute tout le restaurant. Heureusement elle semble savoir ce qu'elle fait et après un petit cri étouffé elle se reprend, puis semble tout d'un coup assommée.... Mais ça ne dure pas... Elle lorgne mon sexe dont la vigueur est revenue. On ne dit rien, un seul regard et on a compris : la voici de nouveau en train de me sucer. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps... Je lui dis... Sa bouche lâche ma queue, à regret, semble-t-il, mais sa main la relaie, elle me branle, et quelques instants plus tard mon sperme allait maculer les murs de la cabine. On se regarde, on ne sait pas trop quoi se dire, j'ai envie de l'embraser tendrement...

 

...mais voilà qu'on frappe à la porte.

 

- Occupé ! Répond la belle

- Vous êtes combien là-dedans ? dit une voix

 

Ainsi donc l'affreux grognon est allé cafter aux gens su restaurant.

 

- On est deux ! Indique la coquine !

- Oui, ben c'est interdit ! Vous sortez maintenant !

- D'accord on sort !

 

On entend le type qui remonte l'escalier. On s'en sort bien sa protestation aura été très formelle.

 

J'ouvre, après avoir mis un peu d'ordre dans ma tenue, mais la fille ne me suit pas... je me retourne, la voici assise sur la cuvette :

 

- Ça m'a redonné envie de pisser cette affaire, tu veux regarder ?

 

Bien sûr que je veux voir ! Oh ! C'était un tout petit pipi mais qu'est-ce qu'il était beau, ce petit filet doré jaillissant de ce petit écrin rose entouré de jolis poils bruns...

 

Cette fois, il nous faut remonter, je n'ose pas lui proposer de nous revoir, j'attends un signe d'encouragement un déclic, quelque chose... rien.

 

- Allez, on ne se connaît plus ! Me dit-elle simplement en me faisant un mini bisou sur la joue !

 

Triste, je suis !

 

Je m'assois à ma place, où mon camembert qui sans doute las de m'attendre avait décidé de rompre l'ennui en se mettant à couler. Mon inconnue me présente de nouveau sa nuque. J'entends les brides de conversation :

 

- On commençait à s'inquiéter, tu n'es pas malade au moins ? Demande sa mère.

- Ben non, il y avait la queue, et la cabine n'arrivait pas à se libérer... et quand elle s'est ouverte, je vous le donne en mille, c'est un couple qui en est sorti !

- Ça alors !

- Il y avait même des traces de sperme sur le mur ! Ajoute-t-elle

- Il y a des gens quand même...

 

Enzo (novembre 2006)

(D'après de notes prises en avril 2002...)

 

 

 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mercredi 18 octobre 2006 3 18 /10 /Oct /2006 18:59

La grande Claire

par Enzo

 

Stamp uro

 

Cela faisait désormais plus d'un an que je restais célibataire. Certes je ne suis pas resté abstinent, plusieurs rencontres sans lendemain, pas mal de professionnelles dont certaines remarquables... mais il n'y a pas que le sexe dans la vie et la solitude commençait à me peser.

 

Un jour un collègue me proposa de venir déjeuner un samedi midi chez lui.

 

- On invitera une voisine, elle est seule depuis plusieurs mois, c'est une nana assez délurée, elle couche à droite à gauche, mais elle voudrait trouver quelqu'un pour se fixer... Je crois que vous devriez vous plaire....

 

Ça me fait marrer ces gens qui jouent les entremetteurs, mais bon, on peut toujours essayer, et je me pointais donc ce jour-là chez Elodie et Gilles. Elodie est un petit bout de femme, fausse blonde d'une quarantaine d'année avec un visage sympathique et quelques rondeurs. Elle s'était habillée très simplement d'un jean et d'un petit haut légèrement déboutonné sur l'échancrure d'une poitrine qu'on devinait mignonne...

 

On commença à prendre l'apéro en parlant de tout et de n'importe quoi, puis Claire arriva, grande bringue, à la peau très blanche, cheveux bruns, assez courts, et pas mal de poitrine dissimulée sous un haut en coton blanc. On se présente.

 

- C'est vous Hervé ? Il parait que Gilles veut nous marier ! Plaisante-t-elle

- Ben, oui, on se mariera peut-être tout à l'heure ? Répondis-je bêtement

- Je suis votre genre au moins ? demande-t-elle

 

Elle va m'embarrasser... en fait non ce pas vraiment mon genre mais je ne vais pas le lui dire.

 

- Et moi, je suis votre genre ! Biaisais-je

- Non, je n'aime pas les hommes à lunettes, ni les hommes à moustaches, en plus vous avez un petit ventre...

- Ok, on ne se mariera pas ce soir, alors ?

- Je ne crois pas non !

- Tant pis !

 

Du coup on parle d'autres choses, les conversations se croisent avec Gilles et Elodie. On finit par passer à table. Le repas est classique mais délicieux et assez arrosé.

 

C'est au moment du café que les choses commencèrent à dévier... Claire parle beaucoup de cul, parfois assez vulgairement, et chose étonnante Elodie n'est pas en reste... La grande brune évoque un moment une aventure avec une autre femme en terme assez crus

 

- Tu ne changeras jamais ! Rétorque Elodie

- Faut goûter à tout ce qui est bon ! Tu vas pas faire ta mijaurée, tu m'as bien roulé un patin il n'y a pas si longtemps !

- C'était un jeu !

- Oui, mais ça ne t'as pas déplu

- C'est vrai !

- Et je suis sûre que t'aurais bien été plus loin ?

- J'aurais peut-être été plus loin avec toi, si tu ne m'avais pas laissé tomber pour aller sucer des bites ! Rétorque Elodie.

- Oui, mais c'est parce que j'étais prise dans l'ambiance !

 

Et la voilà qui évoque cette soirée, avec force détails, ça commence à m'exciter tout ça !

 

- Ça te dirait que je t'embrasse à nouveau ? Demande-elle en conclusion à l'adresse d'Elodie

- Arrêtes, tu vas choquer notre ami

- Me choquer, moi, non pas du tout ! Protestais-je

- Ah tu vois ! Fit-elle s'avançant déjà vers sa victime.

 

Ce fut très rapide, Elodie accepta d'abord timidement le baiser de Claire avant d'entrer complètement dans son jeu. Elles se bouffent carrément le museau, se dégoulinant de salive... Et pendant ce temps la main de la grande brune ne reste pas inactive, elle déboutonne un peu plus le chemisier de sa complice, lui met la main sur la naissance des seins, continue à déboutonner et fait jaillir un joli petit nichon hors de son bonnet. Et voilà que je bande !

 

Finalement, elles se calment, Elodie se réajuste, un peu confuse !

 

- C'est très joli, il fallait continuer suggère Gilles !

- T'as qu'à en faire autant avec ton collègue, au lieu de nous mater ! Répond Claire.

- Ça va pas non !

- Pourquoi, je croyais que tu étais un peu bi !

 

Mon collègue devient rouge comme une tomate...

 

- J'ai jamais dit ça ! Tente-t-il de protester.

- Ben si, tu l'as dit souvent, pourquoi tu te défends ? Intervient Elodie

- Bon, si on parlait d'autre chose...

- Tiens je vous propose un truc les mecs, on se refait un bisou avec Elodie, mais après vous sortez vos queues et vous vous branlez, d'accord !

- Claire, voyons ! Tente d'objecter la femme de Gilles

- J'arrive ! Se contente de dire l'autre qui de nouveau et sans attendre de réponse cherche la bouche de l'autre femme...

 

C'est reparti pour un tour, cette fois ce sont les deux seins Elodie qui sont à l'air. Un moment de pause, Claire enlève son haut, puis elles repartent dans leur séance de fricotage....

 

- On se met à poil ! Propose la grande brune au bout de quelques instants !

- Attends, que font les hommes ? Répond la femme de Gilles.

- Allez, montrez-nous comment vous bandez bien ! Nous interpelle Claire.

 

Gilles me lance un regard interrogateur ! Je lui réponds par une mimique que je veux bien me lancer. Il sort alors son engin et commence à le branler, une belle bite bien raide avec un joli gland foncé, je l'imite donc...

 

- Non, ce n'est pas ça le jeu, il faut que vous vous branliez mutuellement !

 

On se regarde mutuellement

 

- Si ça peut leur faire plaisir, et si ça ne te dérange pas... Murmure-t-il

- Non tu peux y aller, ça ne me déplait pas de branler une belle bite !

- Ah oui, tu la trouve belle ?

- Superbe, oui !

- T'entends, Elodie, il trouve ma bite superbe, Hervé !

- Demande-lui qu'il te la suce, alors ! Réplique sa femme ! Depuis le temps que ça te trotte dans la tête, tu as l'occasion, là juste à côté de toi !

- Je peux ? Demandais-je alors à la grande stupéfaction de mon collègue à qui je n'avais jamais confié mes propres tendances bitophiles

- Allez ! Vas-y, suce !

 

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Et me voici avec son sexe dans la bouche ! Je le suce, je le lèche, je le gobe, ce n'est pas si souvent que j'ai l'occasion de sucer des bites, et puis celle-là est délicieuse.... Les femmes passent derrière nous, Elodie derrière moi et Claire derrière Gilles. Elles font descendre nos pantalons et nos caleçons... On fait une pause et on se met tous à poil...

 

- Alors elle était bonne sa bite ? Me demande Claire

- Délicieuse ! J'y regoûterais bien !

- Je peux y goûter aussi ? Demande-t-elle à l'adresse Elodie

- Ne me pique pas mon homme toi ? Rigole-t-elle

- Je ne veux pas te piquer ton homme, je veux juste lui faire une pipe.

- Non, il ne le mérite pas, il n'avait qu'à pas mentir tout à l'heure !

- Bon tant pis, je vais sucer celle d'Hervé mais elle est moins grosse !

 

Et me voilà avec Claire à genoux entre mes cuisses.

 

- Attends, il faut que j'aille faire pipi ! Protestais-je

- OK, ne bouge pas ! Gilles tu peux aller nous chercher une serviette...

 

J'ai eu un moment un peu de mal à suive, mais quand elle pose la serviette à nos pieds, je comprends mieux...

 

- Vas-y pisse moi dessus ! J'adore me faire arroser !

 

C'est décidemment la soirée des surprises. Je me concentre un peu mais ça ne vient pas !

 

- Tu vas pisser ou pas ?

- Je bloque !

- Concentre-toi !

 

Je finis par y arriver et je lâche mon jet sur la belle poitrine de Claire qui se barbouille avec...

 

- Vise ma bouche, je vais en boire un peu !

 

Je le fais, comme dans un rêve, lui emplissant le gosier de liquide jaune qui produit dans son palais un curieux bruit de bouche assez comique. Elodie excitée par le spectacle finit par rejoindre l'autre femme. Il ne restait que quelques gouttes mais elle les avala gloutonnement.

 

- T'aimerais qu'on t'arrose aussi ? me propose Claire

- Oui, oui, bien sûr !

- Et bien allonge toi ! Ah... il va falloir changer de serviette... Gilles une serviette...

 

Claire me chevauche et commence à me faire quelques gouttes sur le sexe. Elle me demande si elle peut remonter jusqu'à mon visage, m'asperge et me fait boire...

 

- Bon allez relève toi je vais te sucer... mais c'est pas parce que je te fais une pipe qu'on va se marier, hein d'accord ?

- Ne t'inquiète pas ! Je peux te peloter les seins !

- Pelote, pelote, c'est fait pour ça non ?

 

Elle me suce divinement ma bite pleine de pisse, à ce point que je lui demande d'arrêter, étant sur le point de jouir... Pendant ce temps-là, Elodie regarde la scène en se masturbant assez mollement, Gilles pour sa part s'astique comme un forcené. Claire me contourne et entreprend de me sucer le trou du cul ! Mon dieu quelle sensation que cette langue experte sur le bord de mon anus ! Il finit par s'entrouvrir et la voilà qui me mets un doigt !

 

- T'aimes ça, hein, t'es vraiment un gros vicelard, toi ? Plaisante-t-elle

- Pourquoi gros !

- Je suis sûr que t'aimerais bien te faire enculer ? Continue-t-elle.

- Je l'ai déjà fait, ce n'est pas désagréable !

- Ah ! Oui ? Tu la voudrais bien la bonne bite de Gilles dans ton petit cul de pédé ?

- Pourquoi pas ? S'il est d'accord ?

 

Claire alla fouiller dans son sac et en sortit un préservatif

 

- J'en ai toujours sur moi ! Précisa-t-elle.

- Je peux, chéri ? Demande alors Gilles à sa femme avant d'enfiler la capote

- Oui mais, juste un peu, je ne veux pas que tu jouisses, je veux que tu me prennes juste après.

 

Je me penche, je m'ouvre. Gilles force, mais ça ne passe pas, il aurait fallu un peu de gel... Il recommence, j'essaie de m'ouvrir plus, ça passe un peu, il donne un grand coup, ça y est, il est dans mon cul ! Il me remplit complètement, s'agite, je suis aux anges, c'est trop bon, Gilles s'excite, il accélère, accélère encore, incapable de se retenir et finit par jouir.

 

- Connard, je t'avais demandé de me réserver la fin ? Lui dit sa femme.

- Je suis désolé !

- Puisque c'est ça, c'est Hervé qui va me prendre ? T'as quelque chose à dire ?

- Ben...

- Ben quoi ? Allez viens Hervé, viens enculer la femme de ton collègue.

 

Je lance quand même un regard à Gilles, la situation pourrait être gênante, mais il me fait signe d'y aller. Elle se met en levrette sur le canapé et je me place derrière. Excité comme je suis j'ai un peu peur de bâcler l'affaire, mais j'arrive à me contrôler. Au bout de cinq minutes, madame se met à jouir comme une malade... du coup j'accélère et me délivre à mon tour.

 

On se regarde tous, un peu bizarre, on se sert de l'eau minérale, personne n'ose faire de commentaire après cette séance de folie collective au cours de laquelle seule Claire n'a pas joui.

 

Elle s'approche de moi :

 

- Tu m'invites ce soir ?

- Avec plaisir !

- Ce doit être une drôle d'expérience de vivre avec un mec aussi vicieux ?

- Je ne suis pas vicieux, j'aime bien les plaisirs de la vie, et j'ai peu de tabou.

- Et toi tu vivrais avec une fille comme moi ?

- On ne peut pas dire à l'avance, mais pourquoi pas ?

- On s'essaye alors ?

- On s'essaye !

 

Enzo, octobre 2006

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'être nommé Prix spécial bi pour 2006 (ex-aequo)

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Samedi 7 octobre 2006 6 07 /10 /Oct /2006 20:01

Un lit pour deux par Nicolas Solovionni

 

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De gros problèmes de train pour rentrer, me voici bloqué dans cette petite et inintéressante ville de province que je ne nommerais pas par respect pour ses habitants. 

 

Pas envie d'attendre le dernier moment pour me réfugier à l'hôtel. J'aurais même dû y penser avant. Le premier est complet, le second itou, et dans le troisième il ne reste qu'une chambre pour deux personnes, je la prends !

 

- Si je comprends bien, il ne reste plus rien pour moi ! Dit alors une énergique voix féminine juste derrière moi.

 

Je dévisage l'apparition, une sorte de caricature de la voyageuse de commerce typique, fausse blonde à la coiffure apprêtée, lunettes bordées de noir, maquillage abusif, sourire carnassier, tailleur pied de poule, talons vertigineux, sans doute proche de la quarantaine. Belle prestance.

 

- Désolé, c'était à une minute près ! Confirme le réceptionniste, à moins que monsieur accepte de vous céder sa place ?

- Votre galanterie irait-elle jusque là ? Ose ajouter la blondasse.

 

Non mais c'est quoi ce cirque ? Je suis arrivé avant elle, cette chambre est pour moi et point barre !

 

- Je suis désolé... balbutiais-je

- Et qu'une femme soit sans doute obligée de passer la nuit dehors, ça ne vous gêne pas un peu, quelque part ? Me dit la voyageuse.

- Il y a des tas de gens qui risquent de passer la nuit dehors...

 - Et bien, justement, faite une bonne action, permettez à l'une de ces personnes de dormir à l'abri !

 

Elle m'énerve ! Et ce con de réceptionniste qui ne se décide pas à me filer la clé !

 

- Bon, écoutez, j'étais là le premier, tout ce que je peux vous offrir c'est de partager ma chambre !

 

J'ai lancé ça comme une boutade, mais l'autre prend ça au premier degré.

 

- A la limite, pourquoi pas ? Ce sont des lits jumeaux ?

- Non c'est un grand lit !

- J'espère que vous ne ronflez pas et que vous ne gigotez pas de trop ?

 

L'homme doit être faible, j'aurais pu effectivement lui répondre que je ronflais comme un moteur, qu'il était dans mes habitudes de me retourner en faisant des bons tous les quarts d'heures, et ajouter quelques horreurs comme par exemple m'inventer une maladie de peau très contagieuse, et j'aurais peut-être été débarrassé de cette emmerdeuse ! Mais non, la perspective de partager mon lit avec cette belle blonde fut plus forte que le reste. 

 

Et cinq minutes plus tard, nous étions ensemble dans la chambre que j'avais loué.

 

- Voilà, je vous rembourse la moitié de la location... Me dit-elle en me tendant la somme... Demain matin, je vous demanderais une photocopie de la note, pour que je me fasse rembourser.

- Pas de problème !

- Je tiens à vous remercier d'avoir accepté cette solution, mais je voudrais que les choses soient bien claires : j'ai toujours été fidèle à mon mari, je suis catholique pratiquante et je suis ceinture noire de karaté. 

 

Je n'en croyais pas un mot, mais ce genre de réflexion qui voit chez chaque homme un violeur en puissance a le don de m'agacer sérieusement.

 

- Rassurez vous, en ce qui me concerne, je n'aime pas les femmes, les hommes non plus d'ailleurs, je suis monosexuel contemplatif !

 

Elle se contenta pour toute réponse d'hausser ostensiblement les épaules. Puis elle farfouilla dans ses bagages, rangea quelques affaires dans la penderie puis disparut dans la salle de bain d'où elle ne ressortit qu'après une demie heure.

 

Elle était à présent vêtue d'une chemise de nuit assez vaporeuse, mais le haut était recouvert d'un insolite gilet noir, et en bas, elle avait visiblement passé une culotte. D'un geste nerveux, elle retira le couvre-lit :

 

- Vous préférez dormir à gauche ou à droite ? Demanda-t-elle. Moi je préfère à droite !

- Alors je me mettrais à gauche !

 

Elle s'empara alors du traversin qu'elle installa en plein milieu du lit dans le sens de la longueur.

 

- Voilà, ça fera une séparation, on ne sait jamais, si vous êtes somnambule !

 

Elle m'énerve, elle m'énerve !

 

- Je vais lire un peu au lit, j'espère que ça ne vous dérange pas ? Ajouta-t-elle en s'y installant.

- Du tout ! Faites comme chez vous !

 

Ras le bol de cette bonne femme, je me déshabille, pose mes affaires sur une chaise, mais je garde mon slip. Et l'autre qui me regarde bizarrement, très bizarrement. C'est vrai aussi que je n'ai rien d'un play boy, mais quelle importance en ces circonstances !

 

- Au cas où il vous resterait des illusions, je tiens à vous dire que vous n'êtes pas du tout mon genre d'homme !

 

De la méchanceté gratuite ! Pourquoi ? Je cherche une vacherie à répondre, mais préfère me taire, et me couche à mon tour.

 

- Vous ne faites pas un brin de toilette avant de vous coucher, vous ? M'apostrophe-t-elle.

- Foutez moi la paix, je vais essayer de dormir !

 

Je me tourne vers l'extérieur du lit, ferme les yeux et appelle le sommeil, évidemment ça ne vient pas, je ne sais pas dormir la lumière allumée, et puis la situation m'énerve, au bout de quelques instants je me surprend à fantasmer sur ma voisine de lit, et du coup me voici en train de bander, il ne manquait plus que ça ! J'essaie de penser à autre chose, je ne vais quand même pas me masturber à côté d'elle ! Une demi-heure après j'ai réussi à chasser mes pensées coquines, mais n'en dort pas plus ! Elle va lire jusqu'à qu'elle heure cette pétasse ? Et puis je décide d'aller pisser...

 

Quand je reviens, elle y va à son tour ! Chic cela veut sans doute dire qu'après, elle va se décider à éteindre.

 

- Dites donc espèce de dégueulasse, quand vous pissez sur le rebord de la cuvette, vous pourriez au moins essuyer !

 

Hein ? Qu'est-ce qu'elle raconte cette furie ? Et puis quand même ça m'étonne ! 

 

- Je commence à vraiment regretter d'avoir partagé cette chambre, s'il y a une malheureuse goutte de pipi, vous l'essuyez et vous me foutez la paix !

- Vous allez me faire le plaisir de vous bouger et d'essuyer ça, sinon je fais un scandale, ce n'est quand même pas moi qui vais nettoyer vos saletés !

- Et bien allez y, faites un scandale ! Et puis informez vous au lieu de dire n'importe quoi, l'urine n'est pas sale !

- Comment ça ? C'est propre peut-être ?

- Non seulement c'est propre, mais c'est stérile !

- Ah ! Vous aussi, vous défendez cette théorie, c'est la théorie des urophiles, ça ! Ca doit être un de vos trucs, je vous vois bien faire ça !

- Ce n'est pas une théorie, c'est une vérité scientifique !

- Peut être mais il n'y a que les urophiles pour en parler comme ça !

- Qu'est ce que vous en savez, vous en avez côtoyé beaucoup ?

- Non, mais j'ai eu le malheur de lire Françoise Rey ! Vous connaissez ? Reprend-elle soudain plus calme.

- Oui, et je trouve ça très bien !

- Ah oui ! Pratiquant ?

- Pratiquant de quoi ?

- Uro

- Ça ne vous regarde pas !

 

Quand même, c'est surréaliste, cette nana qui a lu Françoise Rey au point de se souvenir de son nom et qui cherche à savoir... À savoir quoi d'abord ? 

 

- Bon écoutez, je regrette sincèrement le ton que j'ai employé, mais je vous en prie soyez gentil d'essuyer ça, ça me gène !

 

Je me suis alors levé, pas tellement parce que la chose était demandée différemment, mais parce que d'un geste mécanique, elle venait de se débarrasser de son gilet.... la semi transparence de sa chemise de nuit me faisait apercevoir à présent le galbe de ses seins dont les tétons dardaient derrière le tissu. En me levant je passerais ainsi près d'elle et aurait la possibilité m'en mettre plein la vue...

 

Je me dirige vers la salle de bain. Mon inconnue reste sur le pas de la porte, elle ne se pousse pas.

 

- Pardon !

- Vous avez vraiment des gros tétons, vous ! Me fait-elle alors remarquer !

 

Que voulez-vous que je réponde ? Je fais un sourire amusé !

 

- Ils ont toujours été comme ça ?

- J'en sais rien, mais je suppose que c'est à force de me les faire tripoter !

- C'est impressionnant !

- Bon, je vais aller faire ce que vous m'avez demandé !

- J'aimerais bien vous poser une question ?

- Posez toujours...

- Ce n'est qu'un caprice, je ne voudrais surtout pas que vous vous mépreniez...

 

Qu'est ce qu'elle va encore me sortir comme bêtise ?

 

- Je vous écoute !

 

Je me force à ne pas regarder sa chemise de nuit en laissant mon regard à la hauteur de son visage, mais c'est dur !

 

- Je pourrais les toucher ! Demande-t-elle alors

 

Elle montre du doigt ce qu'elle désire toucher, afin que se soit bien explicite.

 

- Me toucher mes tétons ?

- Oui, juste un peu, je n'en ai rarement vu d'aussi gros chez un homme !

- Vous êtes consciente au moins de ce que vous allez déclancher ?

- Mettez vos mains derrière le dos, s'il vous plait ! Je vous dis, c'est juste un caprice !

 

J'obéis, bêtement !

 

- Je m'appelle Sonia, c'est comment votre petit nom ?

- Euh, on m'appelle Sylvain !

 

Ça y est, ses doigts enserrent mes tétons, je pousse un râle, elle accentue sa pression, ma bite dans mon slip se met à bander comme une folle, et je n'hésite plus à regarder l'arrondi de ses seins mal dissimulés derrière son vêtement de nuit.

 

- Vous bandez, Sylvain ! Constate-t-elle sans relâcher son emprise !

- Vous jouer à quoi en ce moment ?

- Vous allez le savoir dans un instant ! Enlevez moi ce slip, il est affreux, vous devriez vous achetez des caleçons c'est bien plus joli !

- Je l'enlève si vous retirez votre chemise de nuit !

- Tss Tss, si vous ne l'enlevez pas, j'arrête tout...

 

Elle retire ses mains. 

 

- Et à mon avis, dans ce cas, vous allez avoir de sacrés regrets !

 

Que faire ? Cette garce est en train de me dominer, je retire mon slip.

 

- Pas mal, j'en ai vu des plus belles, mais pour ce que je veux faire ça conviendra très bien !

- Et vous voulez faire quoi ?

- Ha ! Ha ! Et bien depuis que j'ai lu Françoise Rey, je me suis découvert quelques fantasmes, je crois que vous allez pouvoir m'aider à en réaliser un ! Est-ce que ça vous plairait de me regarder uriner ?

 

Je rêve !

 

- Bien sûr !

- Alors on va le faire, je vais pisser, et vous vous aller vous masturber, vous masturber à fond, quand ça va venir je veux que vous m'aspergiez le corps, le corps, hein, pas le visage, de votre sperme et après vous me nettoierez avec un gant et du savon ! Ça vous va ?

- C'est dingue !

- Qu'est ce qui est dingue ?

- La situation !

- Ne vous en plaignez pas ! Alors d'accord ? 

- Oui, mais on pourrait peut-être améliorer le scénario !

- Non, c'est mon fantasme, il est comme ça ! Et on ne fera rien d'autre ! On y va ?

 

Elle retire sa chemise de nuit, elle est magnifique, ses seins sont ronds à souhait et la rotondité de leur chair reflète divinement la lumière sur leur peau laiteuse. Elle s'installe sur la cuvette, très en arrière, sa chatte brune et modérément poilue s'ouvre !

 

- Allez branle-toi, ma salope ! Viens plus près !

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Comment qu'elle me cause ! Les premières gouttes tombent dans la cuvette, suivi bientôt d'un flot ininterrompu, quel dommage qu'elle n'ai pas écouté mon propre scénario, ce pipi, comme je l'aurais reçu volontiers dans la bouche.

 

- Allez dépêche toi, je veux te voir gicler !

 

Je me branle comme un malade, tandis qu'elle termine de pisser ! Comme j'aurais aimé lui nettoyer la chatte avec la langue ! Elle se passe la main sur le corps, se tripote les seins, se tortille les tétons. Je n'en peux plus, je jouis, mon sperme atterrit sur sa poitrine et sur son ventre !

 

- Aucun contact avec tes mains, juste le gant !

 

Cruelle, mais l'excitation est quand même pas mal retombée ! Je mouille un gant, l'ensavonne, et lui passe sur les endroits pollués, une première fois, puis une deuxième fois pour rincer. Elle ne fait aucun commentaire, elle a la main droite enfouie dans sa chatte, en train de se frotter le clitoris de façon frénétique, ses yeux sont clos, je ne sais pas à quoi elle pense, sa main s'agite de plus en plus vite puis elle finit par étouffer un râle avant de retomber affalée sur la cuvette, de grosses gouttes de sueur sur le front !

 

- Je suis bien contente, depuis le temps que je trimbalais ce fantasme ! Bon maintenant dodo !

 

Je me nettoie la bite au lavabo, pendant que madame vérifie si je l'ai bien dépolluée...

 

- Tu fais beaucoup de déplacements ? Demande-t-elle !

- Oui pas mal depuis mon divorce !

- Tu as du en avoir des aventures ?

- Pas tant que ça, mais c'est vrai que j'en ai eu !

- Des femmes, des hommes ?

- Des femmes !

- Tu es hétéro exclusif ?

- Exclusif, c'est un grand mot, mais j'aime tellement les femmes ! Mais je n'ai rien contre les homos.

- Un mec à poil, ça ne te fait rien ?

- Rien du tout !

- Et une belle bite !

- Ben, on en voit pas souvent se balader dans la rue... Répondais-je

- Je vais te dire un truc, quand tu t'es déshabillé j'ai flashé sur tes tétons, mais ce n'était pas parce que je les trouvais jolis, bien qu'ils aient leur charme...

- Merci...

- Non ! En fait, je me suis dis : un mec qui se les fait tripoter à ce point c'est forcément un soumis, c'est une copine qui m'avait appris ce truc, et ce qu'il y a de bien avec les soumis c'est qu'ils aiment un tas de choses. Je t'ai provoqué sur l'uro pour savoir si ça te branchait, en principe il suffit de dire que le pipi c'est sale, si le mec est urophile, il va sortir sa science... Je suppose que tu n'aimes pas que ça, un petit gode dans le cul, ça ne te déplait pas, je suppose ?

 

- Je ne suis pas contre, mais...

- Pourquoi faut-il que les mecs s'en défendent toujours, tu l'a fais oui ou non ?

- Oui !

- Et ça t'a plu ?

- Ça ne m'a pas déplu !

- Bon, on va se coucher, si demain matin, je suis en forme, je t'encule.

- Demain, je pars de bonne heure ! Concluais-je. Allez, bonne nuit.

 

Cette fois, je trouve le sommeil rapidement...

 

Le lendemain matin, je suis réveillé le premier, je lambine un peu au lit, repensant à sa "promesse" d'hier soir ! Pour un peu je me demanderais si je n'ai pas rêvé, tellement le comportement de cette femme avait été étrange. Je décide au bout d'un moment de me lever, l'envie d'uriner me montant à la gorge.

 

- Stop !

 

Ce n'est pas vrai, elle est réveillée !

 

- Vous êtes réveillé ? Demandais-je stupidement.

- Non, vous voyez bien que je dors encore, je suis somnambule ! Plaisante-t-elle.

 

Tiens, elle me vouvoie de nouveau...

 

- J'espère que ce n'est pas moi qui vous ai réveillé.

- Non ! Mais n'allez pas dans la salle de bain, s'il vous plait.

- Pourquoi ? Il y a un cadavre !

 

Elle se lève, elle a des petits yeux cernés, mais ce ne sont pas ses yeux que je regarde, mais les seins dont les pointes dardent comme la veille, en dessous du déshabillé.

 

- Dites donc vous assez une de ses triques ce matin !

- Oui, et une grosse envie de faire pipi aussi...

- Il n'en est pas question !

- Pardon ?

- Vous allez m'aider à accomplir un autre fantasme, j'y ai pensé hier soir...

- Oui, ben on verra ça plus tard, là je ne tiens plus...

- Je vous demande juste trente secondes...

- Mais...

- Mais tu vas m'obéir, oui ! Rouspète-t-elle.

 

Ce brusque changement de ton a pour effet de me figer sur place. Sonia balance alors son vêtement de nuit et se dirige toute nue vers la salle de bain en me demandant de la suivre... Je lui emboîte le pas et voilà qu'elle s'accroupit dans le carré à douche, les jambes très légèrement écartées, les bras détachés du corps, le visage redressé.

 

- Pisse moi dessus !

- Hein ?

  C'est un ordre !

- Vous alors...

- Ben qu'est ce que t'attends, je croyais que tu avais une envie pressante ?

- Je bloque un peu... ce doit être psychologique !

- T'as plus envie !

- Si mais je n'y arrive pas !

- Attends je vais t'arranger ça...

 

Elle se relève, va chercher son sac, fouille à l'intérieur, en sort une espèce de stick de déodorant, le truc doit faire deux centimètres de diamètre 25 centimètres de long, elle farfouille encore et sort cette fois un préservatif dans lequel elle enferme le machin ! Elle est complètement folle ! Elle n'a pas tout de même l'intention de me foutre ça dans le cul ! Pour désamorcer, j'essaie de me concentrer sur mon envie de pisser bloquée. Je sens que ça va venir. Je le lui dis.

 

- Non, c'est trop tard, tu te retiens ! Mets toi sur le lit, à quatre pattes et le cul tendu !

- C'est que je n'ai pas trop envie de faire ça !

- OK ! dit-elle.

 

Ouf ! Mais son acquiescement n'était qu'un leurre, voici qu'elle se dirige vers la chaise où j'ai laissé mon pantalon, d'un geste rapide elle en défait la ceinture ! Je la regarde ébahi alors qu'elle en fait claquer le cuir !

 

- Tu es mon esclave ! Tu as compris ? Pas pour très longtemps, parce qu'il va falloir que je reparte, mais même si ça ne dure que dix minutes, je suis ta maîtresse ! D'accord ?

- D'accord ! M'entendis-je prononcer

- Tourne-toi !

 

Et voila qu'elle me cingle les fesses ! Je ne me rebelle même pas, j'encaisse en silence tandis qu'un deuxième coup tombe... Heureusement cela reste mesuré... et après une dizaine de coups, elle m'indique de nouveau le lit en m'intimant l'ordre de m'y rendre dans la position demandée plus avant... Je ne proteste plus, j'y avais et j'attends, j'ai envie qu'elle me rentre son tube de machin dans le troufignon, la seule chose que je craigne c'est que je me mette à pisser et que j'arrose le plumard à tout va...

 

Le truc rentre, elle l'agite, mais tout mon être est dominé par cette envie d'uriner qui refuse de passer au second plan. Autrement dit son introduction anale ne me fait ni chaud ni froid... à ce point que je me vois obligé de lui dire... Elle n'est heureusement pas idiote et se doute bien que si elle ne cesse pas elle-même, je ne vais pas m'éterniser sur ce lit dans ces conditions.

 

- T'es prêt ? Me demande-t-elle de confirmer.

- Je pense, oui !

 

On se précipite dans la salle de bain où elle reprend sa position, assise dans le carré de douche... Je vise et ça part tout de suite ! Je lui arrose les seins, le ventre, les cuisses...

 

- C'est bon c'est chaud.... Je suis une vraie cochonne ! Commente-t-elle

 

Je continue, j'ai l'impression de ne jamais avoir pissé autant de ma vie, je fais des petits mouvements pour asperger toutes les parties de son corps, j'évite simplement le visage, espérant jusqu'au dernier moment quelle me demande de le viser, mais elle ne fera pas.... 

 

J'espérais qu'à la fin nous nous orienterions vers des plaisirs plus classiques, mais non, mademoiselle me déclare qu'elle va maintenant prendre une vraie douche, et elle ferme le rideau.

 

Me voilà comme un con, elle me parle, mais le bruit de l'eau fait que je ne comprends rien à ces paroles. Tant pis, j'attends négligemment que Sonia ai terminé ses ablutions.... Mais elle est longue, trop longue, je ne bande même plus. Je finis par entendre un curieux petit cri qui couvre le bruit de l'eau qui coule... Mademoiselle vient de se donner un petit plaisir solitaire... 

 

Enfin la voici qui sort, elle s'entoure le corps d'une large serviette...

 

- Allez retourne sur le lit, je vais te finir le cul ! Déclare-t-elle

- C'est que...

- C'est que quoi ? Tu ne veux plus jouer avec ta maîtresse ?

 

Ben si je veux bien jouer, mais j'aurais tellement préféré autre chose... Et voilà qu'elle me ramone le cul, et voilà que je me pâme, et voila qu'au bout de quelques minutes, je mets à jouir de façon bizarre, sans saccades, et que je m'affale épuisé sur la literie.

 

Elle ne fait aucun commentaire, déjà elle commence à se rhabiller... Je vais prendre à mon tour une douche.... Quand j'en sors à poil, Sonia est rhabillée, prête à partir.

 

- Voilà, je vous attendais pour vous dire au revoir ! Merci pour tout, me dit-elle avec un joli sourire.

 

Mais pas de bisous, même pas une poignée de main, rien...

 

- C'est moi qui vous remercie ! Balbutiais-je, me demandant si je n'avais pas rêvé cette rencontre insolite....

 

Et puis une idée, le petit déjeuner est compris, si je me dépêche je peux la rejoindre dans la salle à manger. On ne va pas se quitter comme ça ! J'ai un prétexte pour la rejoindre puisqu'elle a oublié de me reparler de la photocopie de la note d'hôtel... Je m'habille à grande vitesse, descend, la cherche... elle n'y est pas... Sonia a déjà disparu de ma vie...voilà qui me fera un souvenir, une belle anecdote que je ne raconterais à personne... qui me croirait ? Même pas vous je suis sûr !

 

Nicolas Solovionni Octobre 2006

 

Ce récit à eu l'honneur d'être nommé 3ème meilleure nouvelle pour 2006

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Samedi 22 juillet 2006 6 22 /07 /Juil /2006 16:43

Me faire prendre par ma maîtresse

par Grenouille et Sylvain Zerberg

 

Gode stamp

 

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

 

Est-ce possible que je puisse raconter une histoire excitante ? J'en lis à l'occasion mais jamais je n'aurais cru que je vivrais quelque chose digne d'être raconté… et pourtant…. Lisez donc ce qui suit ; j'espère que cela vous excitera bien

 

Depuis plus d'un an, j'entretiens une liaison virtuelle avec une femme magnifique, grande, bien bâtie, des seins magnifiques, des fesses joufflues et une chatte ravissante. J'en ai fait la rencontre sur un site de chat internet. Elle m'a fait accomplir des actes très osés et provoquer des érections et des éjaculations inoubliables devant mon écran. Je me demandais si un jour nous pourrions passer du virtuel au réel.

 

C'est elle qui me l'a proposé, elle devait monter à Paris le jour de la St Valentin, et elle me promettait l'extase. Je l'ai donc retrouvé à la gare où nous nous sommes enlacés comme de vieux amants en pleines retrouvailles et avec une telle passion que nous aurions fait l'amour sur place sans se soucier des milliers de voyageurs autour de nous.

 

N'y tenant plus, nous nous sommes dirigés vers l'hôtel qu'elle m'avait demandé de réserver. Aussitôt la porte de chambre refermée et verrouillée, elle se transforma en vraie tigresse. Elle me déshabilla en un temps record et elle me projeta sur le lit. Elle se plaça entre mes jambes. À son regard, je n'arrivais pas à deviner quels supplices elle me réservait. Cependant, elle avait déjà saisi mon sexe entre ses deux mains et commençait à me branler, déterminé à m'amener au septième ciel.

 

Sa bouche ne tarda pas, me regardant prendre mon plaisir elle engouffrait ma queue au fond de sa gorge. Elle débutait un va-et-vient rythmé des mains et de sa bouche alternant rythme, pression et succion. À chaque instant où j'étais sur le point de jouir, elle créait une diversion qui m'empêchait d'exploser. Je n'en pouvais plus. Reprenant son manège, elle glissa une main sous mes cuisses et je sentais ses doigts me caresser les couilles. La petite coquine poussa plus loin ses caresses, ses doigts commencèrent à caresser mon anus et se faisant de plus en plus pressés. Elle appuyait de plus en plus précisément de façon à me pénétrer. Je soulevais une jambe afin de lui donner un accès plus facile.

 

Elle enduit copieusement ses doigts de lubrifiant et recommença ses caresses et introduit un doigt en moi, puis un deuxième. À ma grande surprise, je bandais comme jamais et plus elle me prenait avec vigueur plus la jouissance montait en moi.

 

- Tu aimes ça un doigt dans le cul ? Hein ?

- Oui, c'est bon !

- Je t'en mets deux maintenant, tu aimes !

- Oui !

 

Mon cul est en feu, ma bite au bord de l'explosion. Elle retire ses doigts et me les approche de ma bouche.

 

- Nettoie !

- C'est que, heu, ils sont sales

- Et alors ? Quand je te faisais mettre un doigt dans le cul devant ton écran, et que je te demandais de le lécher, ils étaient toujours propres ? Ou alors tu me jouais la comédie, tu ne léchais rien du tout. Si c'est ça, je serais très déçue, mais tant pis on s'arrêtera là !

 

Lui avouer que j'avais (un peu) triché devant l'écran m'est impossible, car la perspective qu'elle me plaque là et sans doute définitivement m'est insupportable. La seule solution est de me faire violence et d'entrer à fond dans son délire en espérant que l'amour que je lui porte et l'excitation de la rencontre m'y aidera. Je lèche donc ses doigts, longuement et complètement.

 

- C'est bien tu es un bon esclave ! On va pouvoir passer à la suite !

 

Elle va ouvrir son sac de voyage et en extrait un dildo en forme de pénis de taille comparable à mon sexe soit près de 18 cm avec un diamètre de 3 cm de diamètre. Elle lubrifie le dildo et m'ordonne de me placer sur le ventre les fesses en l'air. C'est alors que j'ai eu la surprise de sentir ses lèvres et sa langue sur mes fesses. Sa langue caressait mon anus et je la sentais me pénétrer. Quelle merveille ! Malheureusement ça ne dure pas, et la voilà qui se met à me frapper les fesses, je me laisse faire, ce n'est pas désagréable, mais au bout d'une vingtaine de fessées je sens des picotements sur mon cul devenue rouge comme une tomate.

 

Elle prit le gode, bien lubrifié, et me l'enfonça. Il glissa dans mon cul sans résistance et elle le fit aller et venir dans un va-et-vient effréné.

 

- T'aimes ça que je te gode, le cul !

- Oui, c'est trop bon !

- Je sais que c'est bon, mais ça ne vaut pas une vraie bite !

 

Je sais que c'est l'un de ses fantasmes récurent, mais, je pense ne rien risquer en entrant dans ce jeu.

 

- Oui, maîtresse, il faudra que j'essaie un jour avec une vraie bite !

- Bien sûr, une bonne bite que tu aurais bien sucé avant !

- Oui, maîtresse !

 

sucegode.jpg

 

Elle me retire le dildo, la capote qui le recouvre est polluée de quelques taches aux couleurs douteuses, mais je me surprends à nettoyer tout ça quand elle me l'ordonne.

 

- Tu es un bon esclave, maintenant vient dans la salle de bain, il faut que me soulage.

 

Elle me fit me mettre sur le dos sur le carrelage froid, et elle se plaça au-dessus de moi en s'accroupissant au-dessus de mon visage et commença à pisser, elle me demanda d'ouvrir grand la bouche pour je puise la boire, et je recueillis plusieurs lampées au fond de mon gosier. Je me demandais quand et dans quelle condition je pourrais enfin jouir. Quand sa miction fut terminée, je la sentis pousser et ouvrir son anus.

 

- Non, pas ça !

- Arrête, tu en meurs d'envie, te faire chier dessus par ta belle maîtresse, tu ne m'a pas dit un jour que tu serais capable d'accepter ça pour moi.

- Si, mais…

- Tais-toi quand je pousse.

 

Un étron assez long descendit de son anus, se décrocha, je levais le menton, pour ne pas le recevoir sur mon visage et le reçut sur mon cou.

 

- Tu vas maintenant me servir de papier à cul, tu me nettoies bien la chatte et le trou du cul, après tu vas te débrouiller pour me faire jouir et après seulement tu auras l'autorisation de jouir à ton tour.

 

Après m'être sommairement nettoyé, je lui nettoyais donc sa chatte pleine de pisse, puis son trou du cul merdeux, j'entrepris de lui exciter le clitoris, celui-ci dardé comme une petite bite ne demandait qu'à exploser, et je la fis jouir en moins de cinq minutes.

 

- A ton tour ! Dit-elle

 

Elle se plaça à quelques centimètres de ma queue et à quelques instants de ma jouissance m'avala jusqu'au fond de sa gorge où j'y déversai un torrent de sperme qui déborda tant que la quantité et la puissance étaient grandes. C'est à ce moment que je connu ce qu'était l'extase, la jouissance comme jamais je n'avais ressenti. Que demander de plus…

 

Elle sort son téléphone, compose un numéro t se met à parler :

 

- Allo, René, oui, je suis à Paris, à l'hôtel B… Je suis avec un petit soumis très mignon qui aimerait bien sucer une bonne bite et se faire enculer… Tu peux venir, c'est la chambre 43…

 

Elle raccroche

 

- Il sera là dans une demi-heure, tu verras, sa bite est superbe, on va commander du champagne en attendant, me propose-t-elle.

 

J'aurais pu partir, non je suis là, trinquant avec une superbe femme et attendant sans aucune appréhension, ma première bite à sucer…

 

Fin

 

D'après un texte du même titre publié en 1999 sur le site de Sophiexxx et signé Grenouille

 

 

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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