Mardi 30 avril 2013 2 30 /04 /Avr /2013 18:00

Dialogues scato par Libellule
scat

– Et bien monsieur De Beauvais, c’est vous le seul homme de la soirée, à vous de nous servir le champagne ! Pissez donc dans ces verres.
– Volontiers. Je vous présente la baronne Sophie de la Marche.
– Enchantée Chère Baronne.
– Je suis très heureuse de vous connaitre Madame la comtesse. Monsieur Philibert de Beauvais m’a indiqué que vous étiez une femme unique et… et….
– Et… quoi, Sophie ?
– Et bien que vous aviez des goûts spéciaux. J’aimerai les partager, je l’avoue.
– Je… me trompe peut-être comtesse mais… Je sens une drôle d’odeur dans votre salon.
– Mouhahahahah !
– Allez… Trinquons.
– A nous, à nous. Merci. Votre pisse est fort gouteuse, Monsieur Philippe, mais ne faites pas l’innocent,.. Vous savez très bien que… ça pue la merde chez moi… Délicieusement la merde…
– Ah mais j’me disais aussi qu’y avait une odeur qui me rappelait quelque chose.
– N’est-ce pas ! Vous aimez sentir l’odeur de vos excréments, Sophie ?
– Ça m’a toujours troublé, même excitée. Mais le faire à plusieurs… Mais vous savez, je chie toujours aux cabinets.
– Et dans vos cabinets… quand votre merde sort de votre cul, c’est à ce moment que vous avez des envies bizarres ? Que vous avez des troubles ? Vous êtes-vous torché le cul ce matin ?….
– Je savais que je venais chez vous, alors je me suis abstenue
– Vous permettez….
– Snif snif’ Mmmhhh…. Vous sentez… Votre cul sent la bonne merde, Sophie.
– Et bien je sens que ça va être chaud ce soir !
– Permettez que vous lèche, je vais me faire une joie de gouter à ces impertinentes taches brunes qui ornent le pourtour de votre anus.
– Faite donc, je vous en prie !

Libellule
– Oh, ce petit gout de noisette est divin, il en reste un peu, cela vous tente Monsieur Philippe ?
– Bien sûr, mais je peux faire mieux, offrez-moi votre cul, comtesse que je vous encule.
– Oh oui, c’est trop bon une bonne bite dans le cul.
– Voilà je ressors, ma bite en pleine de merde, régalez-vous gentes dames !
– Une bite à la merde, c’est un régal que l’on sert
– Il faut maintenant que je chie, Sophie, me prêterez-vous votre bouche.
– Assurément, Madame la comtesse !
Au lecteur d’imaginer la suite…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Jeudi 14 mars 2013 4 14 /03 /Mars /2013 10:36

Ne pas confondre le Saint-Siège et le cul du Pape !
(par Caribou)

cure stamp2

Ah, les papes ! il y a parmi eux
Des assassins nauséeux,
Des infâmes voleurs,
Des escrocs magouilleurs,
Mais parlons des faux jetons
Juste quelques-uns
Car il le sont tous plus ou moins
Ces jeunes ou vieux croutons !

Paul II
Il aimait la fête et les queues.
Mort en sodomisant un page
A moins que ce soit ce dernier
Qui força l’étroit passage.
Du pontifical panier

Alexandre VI 
N’est point mort de syphilis,
Mais d’un poison distillé
Dans un verre qui ne lui était pas destiné
Il aimait beaucoup sa fille Lucrèce Borgia
Qu’il chevauchait dans sa loggia.

Paul III
Qui aimait les jeunes garçons au cul étroit.
Ne régna que 26 journées
Avant de mourir empoisonné

Pie IV
Mort dans les bras d’albâtre
De la jolie Elvira Cagliari
Après avoir commis tant de vilainies.

Et vous voudriez qu’on vous respecte ?
Désolé je n’aime ni les gourous, ni les sectes.

pape
Nos excuses à l'auteur du dessin original pour ce petit "detournement

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Jeudi 27 septembre 2012 4 27 /09 /Sep /2012 10:40

Confessions uro - 2
Nadine, astuce et caniveau
Texte collectif

 

Gs2

Thémes abordés : exhibition, fétichismes divers, uro, voyeurisme, uro

 

Ces confessions sont issues des anciennes versions du site. Très différentes dans leur propos, il aurait été dommage de les laisser dans l’oubli !

 

Pipi-culotte
par Nadine
Je voudrais apporter mon témoignage personnel sur l’ondinisme. Je suis mariée, j’ai 50 ans et j’ai eu trois enfants. Quand j’étais plus jeune, il m’arrivait de souvent de faire pipi dans ma culotte, lors de fou-rires… Je me souviens qu’à l’âge de 19 ans j’étais en vacances en Suisse et lors d’une descente dans la poudreuse je suis tombée dans une telle épaisseur de neige que je n’arrivais pas à me relever, j’étais avec 2 copines et on riait fort. J’ai senti que je faisais pipi de rire et je ne pouvais pas me retenir ayant une grosse envie, j’ai pissé dans ma culotte à travers mon pantalon, mes deux amies ont pissé aussi en même temps que moi dans leur culotte et on est rentré se changer car nos pantalons fuseaux étaient auréolés à l’endroit des fesses.

 

Quand j’ai connu mon mari, je me souviens d’une sortie en forêt de Chantilly, je ne voulais pas faire pipi devant lui et je me retenais, il m’a caressé le sexe dans la voiture à travers ma gaine-culotte et au moment de l’orgasme, j’ai fait pipi dans ma gaine-culotte blanche qui était toute mouillée. Mon mari a bien rigolé et cela a dû le marquer car il m’en parle encore et m’a demandé souvent de pisser volontairement dans mon slip…

A mon 2 accouchement, j’ai eu un gros bébé et j’ai été recousue, pareil pour le 3° et depuis j’ai de gros problèmes de vessie. Pratiquement tous les jours je fais pipi dans ma culotte en riant ou éternuant, parfois il y a juste une auréole jaune sur le fond mais il m’arrive aussi de faire pipi dedans et à travers. au début cela me gênait, et puis je me suis habituée à avoir l’entre-jambe mouillé. Il m’arrive même, de ne plus aller aux toilettes quand j’ai envie, je fais pipi dans ma culotte au bureau, en regardant la télé ou au cinéma et cela m’excite. Souvent quand je rentre le soir, j’ai la culotte toute jaune bien au-delà du fond doublé, souvent je pisse debout à travers dans la rue avant de rentrer, je mets des culottes en coton blanc (Sloogy™ ou Playtex™) bien absorbantes une gaine-culotte par-dessus et des jupes foncées qui cachent l’auréole de pipi quand je mouille ma culotte.

Au lit, je garde ma culotte de la journée et mon mari est toujours excité par cela, il regarde si j’ai pissé dans la journée (c’est presque toujours le cas…) me caresse à travers et je fais pipi dedans avant qu’il me pénètre ou alors, il introduit son sexe en écartant la culotte et je fais pipi quand il est dans moi, cela nous conduit à un orgasme simultané et rapide.

Parfois, je me mets sur lui et je fais pipi dans ma culotte et mon pipi coule sur son pénis (il adore…) La femme de ménage était étonnée de voir tous les matins une culotte trempée de pipi ou tout jaune d’urine dans le linge sale aussi je lui ai expliqué que je faisais pipi dans ma culotte ayant des problèmes de vessie. Elle m’a dit qu’elle aussi faisait souvent pipi dans sa culotte en faisant le ménage.

Bref, les pipi-culotte nous excitent tous les deux, il paraît que la plupart des femmes pissent régulièrement dans leur culotte, souvent par plaisir, je ne suis donc pas la seule !
(18/12/02)

poire h

Une super-astuce !
par Christophe
Voici une astuce qui devrait intéresser de nombreux lecteurs : Comment retrouver les joies provoquées par le jet du pipi dans la bouche lorsqu’on est trop souvent célibataire (du moins dans l’accomplissement du fantasme) ? Il y a bien la méthode de la baignoire qui consiste à se positionner de telle façon de recevoir sa propre urine dans le gosier, mais avouez que ça manque de confort ! Alors voilà ! Il faut acheter une petite ‘poire pour hygiène intime  » ça s’appelle comme ça et ça s’achète chez le pharmacien ! Si le pharmacien vous pose des questions répondez que c’est pour faire des bains d’oreilles (ça sert aussi à ça !) Mais les pharmaciens ne sont pas curieux, ça fait partie de leur métier. Donc, vous pissez dans une cuvette, vous y plongez la petite poire en la pressant puis en relâchant la pression afin qu’elle se remplisse. Il ne reste plus qu’à vous en projeter le contenu dans la bouche par petites giclettes successives ? Ais-je gagné la meilleure astuce de l’année ?
(08/12/02)

 

 

Le caniveau
Par Luc, en Bretagne
C’est une histoire, mais vraie, c’est-à-dire plutôt un fait divers vécu. Ça se passe à Paris 14ème, rue Delambre je crois, vers 1995. Je marche sur le trottoir, il y a peu de monde dans la rue. J’aperçois un type qui travaille pour la propreté de Paris en tenue verte, un grand noir.
Un couple à pied me dépasse. Ordinaire. Quelques mètres plus loin, j’entends la femme qui dit à son mari :

 

Uro Rue

- « J’ai une de ces envies de pisser ! J’en peux plus, faut que je pisse ou je vais pisser dans ma culotte ! »

La vache ! elle commence à m’exciter celle-ci ! Elle se cambre, se contorsionne comme si elle offrait aux passants, son beau cul moulé par la jupe de coton blanc à travers laquelle je distingue déjà la culotte. Je ralentis le pas, pour ne pas les dépasser et savourer le spectacle, et je sens ma braguette qui gonfle et mon zob qui se déplie dans mon slip comme un jet quand on ouvre le robinet. La femme se caresse les fesses presque accroupie ; on croit que sa jupe va craquer, elle cherche désespérément des toilettes publiques… mais rien à l’horizon. Elle aperçoit l’éboueur et s’avance vers lui.

- « Je peux faire pipi dans le caniveau ? » dit-elle en riant.
- « Ah ! si vous voulez » répond le grand noir en souriant aussi, surpris, son balai à la main.

Elle ne le fera pas bien sûr. Le type à la cotte verte et blanche retourne à sa poubelle. Et moi je rêve… Lorsque j’arrive à hauteur du couple je vois la femme qui se retourne enjambe le caniveau, écarte les cuisses, remonte sa jupe, baisse sa culotte. Elle s’accroupit et se met à pisser. La salope ! Jamais j’aurais crû ça possible !

Y a que dans les films pornos qu’on voit ça ! même pas dans les érotiques ! Elle pisse, un jet dru gicle de sa fontaine ; je regarde sa chatte poilue comme un touriste japonais éberlué devant les grandes eaux des pelouses de Versailles. Le noir fixe la scène lui aussi paralysé de plaisir et de surprise.

« Allez tant pis pour les risques, me dis-je je tente le tout pour le tout! ».

Et devant le mari médusé je dis :

 » Madame excusez-moi, mais je collectionne les culottes portées, si je pouvais avoir la vôtre, ça me ferait grand plaisir  »

Elle finit de pisser, se relève et sort ses chevilles de sa culotte. Elle s’essuie la moule avec d’un geste rapide, me la donne

…et repart avec son mari qui n’a rien dit. Le grand noir l’appelle en se marrant :

 » Hé ! Madame on peut s’amuser tous les deux ! non ?

incroyable ! »

Le couple se met à courir et disparaît… Je porte la culotte chaude et mouillée à mes narines.
(23/10/02)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Vendredi 21 septembre 2012 5 21 /09 /Sep /2012 10:29

 

coin102

Thémes abordées : engodage masculin, prostitution

 

Ces confessions sont issues des anciennes versions du site. Nous les republions aujourd’hui non pas pour faire du remplissage, mais parce qu’elles n’ont rien perdu de leur force de témoignage, ni de leur actualité

 

Histoire Flash ! Par Jean-Claude

Le couloir d’un bordel rue St Denis, j’attends que J. soit libre, une oreille discrète, des bruits de sommier, j’attends quelques instants, puis j’entends une conversation, c’est fini mais ça s’éternise, je frappe. Peut-être suis-je arrivé un peu tard, elle quitte vers midi en principe. Elle m’ouvre, me demande d’attendre 5 minutes ! Ce n’est pas un problème et m’en vais fumer une clope. La porte s’ouvre ! Le client sort hilare :

-  » Je vous la laisse, elle est à vous  » me dit-il manifestement enchanté de sa prestation.  »
- C’est sympa bonne journée ! « , Répondis-je.

C’est bien la première fois que je rigole avec un autre client… Cette rencontre commençait donc sous les meilleurs auspices. Je rentre, me déshabille (mon intention n’est pas de tout vous raconter). On se caresse un peu debout et elle me retourne pour me flanquer une fessée. Elle connaît mes habitudes, elle connaît aussi mes autres fantasmes, ceux que nous ne faisons pas, parce que… et bien parce que ça me ferait trop cher ! Elle a l’air en pleine forme, elle a l’impression de cacher quelque chose, mais comme elle commençait à ranger ses affaires pendant que je me déshabillais, je n’y fais pas attention plus que ça ! Elle se place derrière moi, quelque chose de frais force mon anus. Et me voilà avec un gode dans le cul, que je n’avais pas demandé. Elle l’agite, je suis aux anges… On rigole, on passe à la suite, mais je conserve le gode planté… j’ai joui comme rarement cela ne m’était arrivé. Superbe souvenir ! Pourquoi je vous raconte ça, me demanderez-vous ? Et bien parce que je voulais simplement rendre hommage à celles d’entre elles (et elles ne le sont pas toutes) qui font leur métier (leur métier je dis bien) avec gentillesse, décontraction et conscience professionnelle. Et puis moi d’abord j’ai même pas honte, je suis bien dans ma peau, nananére.
(JC 21/05/03)

 

Je suis un vilain client par Patrick

R Pross99 Je suis un vilain client. Je consomme du sexe ! Vous vous rendez compte à quel point je suis un être asocial ? Et alors ? Moi, je suis aussi pour la banalisation du sexe ! En matière de consommation on fait bien pire, et ça ne choque pas trop les ligueurs de la morale qu’ils soient de gauche, de droite ou du centre (parce que consommer des vêtements ou des chaussures de marques fabriquées dans des conditions d’exploitation incroyables en Asie du sud-est, vous croyez que c’est bien, vous ?).

Envie d’écrire ce petit courrier de Paris, où je me rends chaque mois… La rue St Denis… Mais la personne que je rencontre d’habitude n’y était point. Cela arrive. Alors coup de poker, car il m’est déjà arrivé de choisir des filles qui se sont révélées peu consciencieuses, regardant leur montre (l’horreur) ou bâclant la prestation sur fond de blabla radiophonique (l’horreur – bis) …

Deux choses m’ont attiré chez cette jeune femme : sa grande taille et son sourire qui éclairait son visage de blonde vénitienne. Peu de seins, peu de fesses, mais une belle allure. Elle m’a fait ce que je lui demandais avec art et manière, puis elle m’a pratiqué une fellation d’anthologie… j’ai eu beau rechercher dans mes souvenirs, je ne me souviens pas avoir été un jour aussi bien sucé ! Quelle fougue ! Quelle ardeur ! Mais aussi quelle gentillesse. Cette fille possédait un certain niveau culturel et un humour détonnant, ne pratiquant bizarrement le tutoiement prostitutionnel qu’en fin de prestation.

Elle m’a sorti un truc assez spécial, me disant qu’elle aussi jouissait en même temps que son client, mais qu’il s’agissait d’une jouissance cérébrale, le plaisir de voir l’autre jouir, quoi … Blabla commercial qui ne rajoute pas grand-chose, mais du même ordre d’idée que la boulangère qui vous demande si ça va… Après tout être comme on dit : commerçante, n’est jamais un défaut.
J’ai passé un excellent moment. Et je ne comprends pas moi non plus l’entêtement de ceux qui s’acharnent contre nous au point de ne pas nous entendre. Vive les filles !

(Patrick 13/03/03)

 

Merci à vous, mesdames ! par Bernard

A l’âge de 22/23 ans j’étais puceau, n’arrivant pas à m’affirmer auprès des filles. Je n’avais donc jamais connu l’amour physique et cela me travaillait… j’ai donc été voir les prostituées. Et là je me suis aperçu que je développais un blocage : je bandais correctement mais pas moyen de jouir. La première fois, je m’en tirais avec un piteux, « ce doit être la fatigue… la chaleur « . Les autres fois cela n’a pas été mieux. Je changeais de fille à chaque fois, à raison d’une ou deux fois par mois. Et à chaque fois, l’échec. Et à chaque fois j’invoquais la chaleur, la fatigue, et même la marche à pied…. J’envisageais assez mal l’avenir, je me voyais vieux garçon refoulé, aigri, sans perspective, l’horreur ! Et puis un jour, il pleuvait des cordes, je monte avec une fille super gentille, qui commence par me sécher les cheveux, sans doute plus pour ne pas mouiller son dessus de lit que pour m’être agréable, mais elle était souriante et avenante. Le scénario se répétait. « La chaleur, la fatigue… » -

« Mais non, faut que tu jouisses ! » Me dit-elle et elle commença à me masturber.

Puis me demanda de le faire moi-même en se laissant caresser par mon autre main. Le fait d’avoir joui me fit changer complètement la vision que j’avais des séances avec ces dames. Et à partir de cet instant, après mes tentatives, au lieu d’invoquer la chaleur… je proposais : « Je vais me finir à la main… «  pas facile à sortir la première fois, mais on s’y fait vite !

Et puis un jour, une fille, (je me souviens de son prénom -c’était Brigitte-, de son visage malicieux et de ses grands cheveux blonds) me répondit « Mais, non, laisse toi faire ! »elle me chevaucha avec application et décontraction, y mit tout son savoir-faire, et pour la première fois de ma vie, j’éjaculais en faisant vraiment l’amour… J’en avais les larmes aux yeux de bonheur.

Le déclic fut radical, mon blocage disparut… Quelques mois après je rencontrai une femme, et ma vie sexuelle est devenue normale, à ceci près que parfois je retourne voir les filles. Mais non, je corrige, cela n’a rien d’une anormalité !
Simplement la question que je me pose, c’est : quelle aurait été ma vie, si je n’avais pas rencontré ces deux filles ? Merci encore, à toutes les deux et merci encore à toutes les autres, je vous dois ma vie d’homme. !

B. (14/06/02)

ce dernier témoignage est tout simplement l’un des plus beaux et des plus touchants qu’il m’a été donné de lire sur le sujet.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Dimanche 2 septembre 2012 7 02 /09 /Sep /2012 23:37

Je voudrais être chien !
(dégotté et proposé par Jean-Sébastien Tiroir)
zoo

Je voudrais être chien,
Car du soir au matin,
Je pourrais me sucer la pine.

Franchement, Dieu, lorsqu’il nous fit,
Nous a bougrement mal construit ;
C’est surtout lorsqu’il fit l’échine.
Les quadrupèdes ont les reins
Bien plus souples que les humains.
Je voudrais être chien,
Car du soir au matin,
Je pourrais me sucer la pine.

Les largues nous pompent le nœud,
Mais nous nous le pomperions mieux,
Si, comme la race canine,
Nous pouvions, sans gêne et sans mal,
Nous gamahucher le canal.
Je voudrais être chien,
Car du soir au matin,
Je pourrais me sucer la pine.

Les hommes, lorsqu’ils ont foutu
À double couillon rabattu,
Se lavent dans une terrine.
En cela, moins bêtes que nous,
Les chiens se lèchent ; c’est plus doux.
Je voudrais être chien,
Car du soir au matin,
Je pourrais me sucer la pine.

Avec mon nez, bien qu’il soit long,
Je ne puis me faire’ postillon,
Et voilà ce qui me chagrine.
Avant ma mort j’aurais voulu
Foutre mon nez dans l’ trou d’mon cul.
Je voudrais être chien,
Car, du soir au matin,
Je pourrais me sucer la pine.

chien keu

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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