Samedi 4 juin 2005 6 04 /06 /Juin /2005 07:43

Confessions uro 1 (texte collectif)

 

Gs2
Théme abordé : uro

Potage et limonade
par ppcl98
Il existe d’excellents diurétiques : le bouillon de poireaux (très efficace), le pastis, le thé, la limonade, les boissons sucrées en général, la vitamine C (pour moi, en tous cas), et le froid. Je suis incontinent depuis toujours à cause d’une malformation du système urinaire qui provoque entres autres d’assez fréquentes infections, mais aussi parce que j’aime ça, faire pipi dans ma culotte et dans mes couches.

 

Ma femme n’apprécie guère mes fantasmes urinaires, mais se prête tout de même parfois à mes fantaisies. De son côté, comme beaucoup d’autres femmes, elle est sujette à quelques petits accidents surtout quand elle tousse, éternue, rit ou quand elle a trop bu d’alcool et ça ne la gêne aucunement ! Son problème à elle, serait plutôt qu’elle est capable de se retenir si longtemps que parfois ça déborde ! Ce qui m’excite au plus haut point !
Un soir, il y a quelques années, j’étais seul, et j’ai senti les premiers symptômes d’une grippe qui arrivait. Seul et grippé, je n’avais guère faim mais une énorme envie de soupe de poireaux-pomme de terre ! Je m’en suis fait une comme j’ai l’habitude c’est à dire pour 3/4 personnes au moins. Je n’ai pu résister de tout avaler par gourmandise, mais aussi parce que ça me faisait du bien dans mon état. Je me suis couché juste après et évidemment une envie pressante n’a pas tardé à me torturer. Je me suis levé, mais le temps d’aller aux toilettes, mon slip s’était déjà auréolé d’une belle tâche de pipi et il y eut des dégâts sur la moquette ! Je me suis lavé puis j’ai mis une couche pour adulte (je n’en portais pas systématiquement à l’époque). Un quart d’heure après, j’avais à nouveau envie, mais là j’ai préféré me soulager tranquillement dans ma couche et je me suis endormi. Mais vers minuit je me suis réveillé avec une sensation de forte humidité dans les draps. Ma couche avait débordé car je m’étais à nouveau oublié probablement plusieurs fois pendant mon sommeil. En fait, cette nuit-là, j’ai sali 3 couches, pas moins, sans parler des fuites !

Il m’arrive aussi parfois d’avoir des envies folles de limonade. Un jour, j’ai ouvert une bouteille de 1 litre et demi et, par gourmandise, j’ai tout bu en 1 heure ! Obligés, ma femme et moi, d’aller faire une course au supermarché peu de temps après, j’ai été pris inévitablement par une incroyable envie d’uriner (j’ai souvent ce genre de problème dans les supermarchés). C’était bien le moment ! Évidemment, il y avait la queue aux caisses et évidemment celle que nous avions choisie et qui aurait dû être rapide, n’avançait pas ! J’avais de plus en plus de mal à me retenir et des petites gouttes annonciatrices d’une grande catastrophe commençait à perler dans ma culotte. Ayant payé nos achats enfin, j’ai du laisser ma femme avec le chariot pour courir plus vite jusqu’aux toilettes du Centre commercial. Hélas, elles étaient condamnées pour je ne sais quelle raison. Terriblement anxieux, j’ai été obligé de revenir retrouver ma femme et nous nous sommes hâtés autant que possible vers le parking. Autant dire que mon pantalon commençait à bien s’humidifier ! Quand nous sommes arrivés à la voiture, malheureusement, aucune possibilité pour faire pipi discrètement ! J’étais très malheureux car je voyais bien ce qui allait se produire.

- « Essaye de trouver un coin …, tu vas quand même pas faire pipi dans ta culotte ! » me dit alors ma femme en riant.

Et là, à ce moment, à la seule évocation du « pipi culotte », il y eut un grand malheur, et je sentis que ma vessie commençait à se vider et que je ne pouvais plus rien faire … trop tard ! L’urine envahit alors mon pantalon et mes chaussures, une mare s’élargissant à mes pieds. Le plus drôle et le plus excitant (après !) aussi, c’est que ma femme, en voyant les dégâts et mon air catastrophé, ne put pas, elle non plus se retenir et s’oublia aussi en partie dans son caleçon tellement elle riait ! Moi, je ne rigolais pas, je n’étais pas franchement à l’aise (alors que ma femme, elle, dans ces circonstances, est parfaitement décontractée !)… même si maintenant c’est devenu un plutôt bon souvenir dont on aime se rappeler et rire … au point que la dernière fois, récemment, elle a finit par faire pipi dans sa culotte (véridique !), tellement elle riait au souvenir de ce grand moment ! Moi aussi sans doute, mais comme je mets tout le temps des couches depuis des années, je ne m’en rappelle plus !

Je pourrais aussi raconter l’épisode d’un pipi culotte en autobus parce qu’en l’attendant, j’avais bu 2 bières et qu’il faisait froid, et bien d’autres accidents mémorables, mais ça sera pour une autre fois (si ça intéresse quelqu’un)! Bisous !

 

Envoie de culotte
par Florence
pc2
Un cadeau d’une correspondante

 

La plus belle contribution reçue reste celle-ci : (une petite culotte, mouillée et scannée et envoyé par une douce correspondante -
Il était indiqué sur le petit carton (que j’ai maquillée pour ne pas que l’on reconnaisse l’écriture et signature) « Bisous humides de Florence !  »

Merci encore à toi et bisous quand tu viens sur ce site !

 

Camomille
par Fred
J’ai été amené sur ce site par une voie détournée. Une fille nommée Valy me l’a indiqué, me précisant qu’il avait de nombreuses histoires uro. Jusque-là, j’étais plutôt coincé sur le sujet et je le croyais beaucoup plus pervers qu’il ne l’est. Bref, j’avais découvert la beauté de la femme qui fait pipi dans une cassette du show de la Cicciolina. Elle se mettait face à la salle, elle ouvrait ses cuisses et elle lançait un long jet de pluie dorée (pioggia dorata, en italien) en direction du public. J’avais trouvé cela absolument magnifique, car je trouve qu’une femme ne saurait s’offrir d’une façon plus DELICIEUSEMENT OBSCENE à un homme (ou à une autre femme..). Mais, je ne sais pas trop pourquoi, sinon parce que j’étais coincé, je n’osais pas en parler avec une femme. Bref, après avoir découvert ce site, je l’ai fait découvrir à mon amie du moment.

 

Elle a parue très gênée, mais quand elle a vu que le sujet m’intéressait, elle m’a avoué qu’elle avait toujours rêvé qu’un homme lui pisse dessus parce qu’elle ressentirait ça comme une longue éjaculation (elle adore qu’on lui jouisse sur le sexe, le ventre et les seins). Résultat : le même soir, nous avons bu beaucoup de camomille (j’aime pas vraiment ça) et elle a fait pipi pour moi quatre fois dans quatre positions différentes. Dans la salle de bain, mais aussi dans le salon où nous avions mis les longues éponges par terre, avec des journaux par-dessous pour ne pas mouiller la moquette.

Ce n’est que le deuxième soir (nous avions acheté de l’Evian exprès) que j’ai goûté, ce n’est ni bon ni mauvais, en revanche c’est extrêmement excitant et nous avons encore tout plein de nouvelles choses à essayer, ce qui a renouvelé notre vie sexuelle. Nous pensons acheter une housse de plastique pour recouvrir un matelas, mettre des linges-éponges puis un drap si le tissu de linges est trop rugueux pour pouvoir uriner en position de 69. Mais j’ai un petit problème que je soumets aux pratiquants, hommes et femmes. Je me suis aperçu que je ne peux pas uriner lorsque mon sexe est en érection, ce qui veut dire que je ne peux pas satisfaire pleinement ma compagne à chaque fois que je le souhaiterais et qu’elle le souhaiterait aussi. Tous les hommes connaissent-ils ce problème ou suis-je une exception ? Je n’oserais quand même pas consulter un urologue pour ça.

Et à ceux qui n’aiment pas ça, je dis simplement : n’en dégouttez pas les autres, de toutes façons, vous n’y arriverez pas. Pour celui qui s’étonne en disant que nous sommes des pervers, je dirai que nous n’avons pas besoin de ça, mais que ça représente un plus qui pimente notre vie érotique. S’il ne peut pas comprendre, tant pis pour lui. Je remercie tous les urophiles (je ne sais pas si c’est comme ça qu’on dit) qui ont écrit ici parce qu’ils nous ont ouvert des horizons nouveaux.

Fred

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Vendredi 3 juin 2005 5 03 /06 /Juin /2005 07:22

     Confessions SM – 1 (texte_collectif)
Fetish2


Thémes abordés :  bisex masculine, domination hard, domination soft, donjon, uro

Jennie, chef comptable à Limoges
par Michael
Bonjour à vous et merci pour ce site où se retrouvent (presque) tous mes fantasmes. Je voudrais vous raconter une petite histoire qui m’est arrivée, il y a presque quinze ans. Je me suis retrouvé seul à Limoges après avoir rompu avec ma copine. J’ai donc du rechercher du boulot, (ses parents m’employaient dans leur dépôt de matériel) Je me suis retrouvé dans une entreprise de bois à la découpe ou j’assurais la gestion des stocks. J’avais donc affaire à la chef de la comptabilité, une jolie rousse, très autoritaire. Elle m’a dragué à sa façon avec des allusions

 

 » je vais te donner une fessée  »

moi je lui ai répondu un jour

 » pourquoi pas !  »
 » T’aimeras ça, hein ?  »

Je lui ai répété

 » pourquoi pas ?  » avec un sourire un peu coquin, et puis ça c’est enchaîné, elle m’a demandé de rester le soir après l’heure pour me donner ma fessée, elle m’a demandé de retirer mon pantalon, mais pas mon slip, qu’elle a juste un peu descendu mais sans libérer mon pénis, elle m’a battu les fesses une vingtaine de fois et puis elle m’a demandé

 » tu en voudrais plus ?  »
 » Bien sur  »
 » oui mais faut le mériter !  »

C’est comme cela qu’est née une relation très trouble qui a duré quatre mois.
C’est ainsi que le jour ou elle le décidait, elle me confiait ses clés et une liste de taches, je me rendais chez ma maîtresse Jennie, et je lui faisais son ménage et d’autres taches domestiques entièrement nu. Quand elle rentrait, je me prosternai devant elle, alors elle s’emparait d’un martinet et me flagellait pendant plusieurs minutes, parfois c’était des gifles ou d’autres sévices. Ensuite je devais la suivre jusque dans la salle de bain et la déshabiller comme un domestique. Je lui fais couler un bain, et en attendant, elle s’assoit sur la cuvette des W-C. et pisse devant moi ; moi, l’esclave à genoux devant ma reine, j’écoute le jet qui gicle sur la paroi et admire ce doux sifflement. Puis elle se lève, m’indique le sol sans un mot sur lequel je me couche. Elle s’assied cuisses écartées sur mon visage, je suis sa paillasse, et elle frotte sa chatte brune sur ma bouche et je souffre sous son poids. C’est divin.

Parfois, telle une amazone elle caracole sur moi pour s’amuser un peu. Elle me chevauche et je me laisse faire, et quand mon sexe est bien bandé, elle s’empale sur ma bite du chien soumis et là, elle se déchaîne, elle me domine complètement tout en me pinçant les seins pour que je puisse bander au maximum de ma puissance. Mais je n’éjacule jamais car, là, j’ose à peine dire ce qui pourrait m’arriver. Le sperme d’un esclave ne doit jamais souiller sa Maîtresse. Maîtresse Jennie continue jusqu’à ce qu’elle ait un orgasme. C’est dit-elle sa façon à elle d’éliminer le stress de la journée ! Ce n’est qu’après que j’ai enfin droit à ma récompense :
La douche dorée, elle dégouline dans mon gosier, et me fait boire ce nectar clair qui est parfumé car elle boit beaucoup de thés à la menthe. Puis je la pelote dans la baignoire, après avoir avalé sa boisson tonique, et je la remercie pour ce qu’elle m’a donné. Je la frotte de partout et doucement.

Lorsqu’elle sort du bain, je lui essuie tout le corps et je lèche mes seins sur son ordre :

- Michael, fais pointer les seins de ta dominatrice, chien !

Je la suce avec passion jusqu’à ce que pointent ses bouts ; mais ce n’est pas fini.
Je reçois l’ordre à genoux, de baiser ses fesses, de réciter une prière dédiée à son cul. Après je dois enfoncer mon museau de porc dans sa raie culière et lécher le petit trou.

Voilà, chers lecteurs un aperçu de mes fins d’après midi avec ma maîtresse ! Il y eu bien sûr de multiples variantes.

Au mois de Juin, on me proposa un poste à Paris, plus dans mes capacités et mieux payé, j’acceptais et proposais à Maîtresse Jennie de revenir une fois par mois à Limoges ! Elle refusa, me dit que c’était bien mieux si je gardais notre aventure dans mon souvenir ! Je n’ai pas su lui dire adieux, et lui ai fais livrer des fleurs juste après mon départ.

Ce souvenir je l’ai gardé, c’était en 1988 ! Je n’ai jamais connu d’autres aventures similaires, ma femme n’est pas très branchée sur ce genre de jeux et les professionnelles ne m’ont jamais fait retrouver ces sensations, malgré leur savoir-faire ! Forcément je l’aimais ma Jennie ! Je l’aimais ma Maîtresse ! Alors il me reste ce magnifique souvenir, c’est la première fois que je l’écris ! Et croyez moi je suis dans un drôle d’état.

Michael (10/02)

 

Alexia reçoit
par « soumis du Mans »
sm lu03 Je sais que sur votre site vous n’aimez pas les esclaves, pourtant je peux vous affirmer que ma condition d’esclave n’est pas un renoncement à ma liberté. Je choisis d’être l’esclave de ma maîtresse quand je fais des déplacements à Paris, je les prolonge de quelques jours de vacances et je mets à la disposition de maîtresse Alexia. Et je pense être une personne équilibrée et saine !

 

Dans les soirées SM qu’elle fréquente ou qu’elle organise, elle aime m’exhiber travesti et féminisé.
Elle me fait porter des robes en latex ou en vinyle pour recevoir nos invités, ensuite je passe une tenue de soubrette en satin noir ou rose avec tablier blanc pour servir les membres de la soirée, je porte de très hauts talons ainsi qu’un corset lacé dans le dos sous ma robe de soubrette. Ensuite Maîtresse Alexia me corrige elle-même ou me confie à d’autres personnes pour un dressage soutenu sans être excessif. Pour faciliter cette opération je suis vêtue uniquement de mon corset et je suis attachée sur une croix ou suspendue à une barre par les poignets, ma tête enserrée d’une cagoule, ma bouche obstruée par un bâillon ; le martinet sert à me chauffer la croupe et prépare mes fesses pour la cravache et le fouet. En général je gigote énormément et nécessite d’être attachée très serré ; elle complète mon harnachement par des pinces aux seins et un joli plug à queue dans l’anus : j’ai l’air ainsi d’un animal en stage de dressage.

Les maîtresses et maîtres se succèdent pour rougir et strier mes fesses de ma soubrette, que l’on dit jolies. Lorsque la saison s’y prête, Maîtresse Alexia utilise souvent un beau bouquet d’orties fraîches qu’elle promène sur mes fesses, mon sexe et dans ma raie. Je suis ensuite détachée et ma tête est enserrée dans un carcan à hauteur réglable ; ma bouche est libérée de son bâillon pour faire place au sexe d’un participant, maître ou soumis alors qu’une maîtresse remplace le plug à queue par des godes un peu plus gros afin de dilater mon fondement de soubrette avant que la queue d’un maître n’en prenne possession !

Lorsqu’aucun maître ne veut de mon cul, maîtresse Alexia me prend avec son gode-ceinture ou alors elle me fait empaler sur une chaise à gode, de taille respectable et je passe ainsi le reste de la soirée.

Bises d’un soumis bien dans sa peau
(soumis_du_mans) 10/02

PS du webmaster : Je ne sais pas pourquoi dans la deuxième confession le type dit que nous n’aimons pas les esclaves ? cette affirmation est sans fondement

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Lundi 2 mai 2005 1 02 /05 /Mai /2005 17:02

Sauna des ombres et des miroirs par Alexis Defond Rossignol

 

  zyzybande


Thémes abordés : bisex masculine, domination soft, exhibition, gay, party, pluralité masculine, sauna, uro

Chapitre 1 – Eric
Un an, cela fait un an aujourd’hui que Julie est partie ! C’était bien la peine d’avoir acheté ce pavillon qu’il va falloir revendre, c’était bien la peine d’avoir fait un mariage de « première classe », avec robe hors de prix, location de limousine, traiteur très cher, et photos obligées !

 

…Et surtout c’était bien la peine que je sois resté fidèle pendant 24 ans.

Comment, vous ne me croyez pas ? Pourtant c’est vrai ! Je croyais ma femme fidèle, alors pourquoi ne l’aurais-je pas été ? Il faut dire aussi que je n’ai jamais eu d’occasions. Nous n’avons pratiquement pas de famille, peu d’amis et ne fréquentons pas le voisinage, je me rends en voiture à mon travail et j’ai fais toute ma carrière dans les bureaux d’une maison d’édition catholique ! Oh, n’allez pas croire que ce sont des saints, il y a même beaucoup d’hypocrisie dans ce milieu, n’empêche que comme lieu de drague…

Et puis surtout, j’ai toujours été très timide, pourtant on m’a souvent dit que j’étais plutôt bel homme sauf que j’ai une jambe un tout petit peu plus courte que l’autre… Et au temps des premiers amours, ben les filles, elles préfèrent les mecs avec les deux jambes pareilles.

Jeune, j’allais d’échec en échec, et puis un jour de kermesse je me suis mis à discuter avec Julie. Mignonne, un peu forte, les yeux bleus et le nez retroussé, je l’ai fais rire, ma compagnie lui a plu, je l’ai invité au restau le lendemain et miracle elle a accepté, en sortant on s’est embrassé, puis tout s’est enchaîné jusqu’au mariage.

On a eu une vie tranquille, on a élevé un gosse, maintenant casé. Julie travaillait dans une pharmacie, nos finances ne nageaient pas dans pas l’abondance, mais on était loin d’être malheureux. En amour elle savait être coquine, mais après avoir traversée une période plutôt délurée à nos débuts, il ne fallait plus compter sur elle ni pour la fantaisie ni pour l’improvisation, sinon elle n’était pas farouche, quand je voulais, elle voulait bien, elle avait rarement « mal à la tête » elle le faisait au début avec plaisir, puis après… puis après… je ne me suis rendu compte que bien plus tard qu’elle simulait souvent…

Et moi pendant ce temps là, j’accumulais les fantasmes dans ma tête, une vraie collection, des pratiques, des situations, des mises en scènes, mais ça restait mon jardin secret, je n’en parlais jamais à Julie… alors quand l’occasion se présentait je me masturbais, je ne trouvais pas ça très « normal » au début et puis j’ai su dépasser le stade de la culpabilité. Je me branle, j’aime me branler et voilà !

Le premier choc, ça a été quand j’ai reçue ce mail, un(e) inconnu(e) sur une messagerie anonyme.

« Je suis désolée de vous envoyer ça, mais vous êtes aveugle et ça ne m’arrange pas » pas de signature, je craignais une plaisanterie douteuse, j’ouvris la première des trois images attachées : Julie sur un banc dans un jardin public en train de se faire peloter par un mec ! Et pas le petit pelotage, une main du type dans le chemisier, l’autre dans la culotte… J’ai gueulé « la salope ! » avant de m’écrouler en larmes… Les deux autres photos, c’était pire… Et puis j’ai essayé de me raisonner me disant que dans une vie de couple ça pouvait arriver, et qu’il suffisait qu’on en parle ensemble… Tu parles, on n’a jamais parlé beaucoup tous les deux, alors parler de ça ? J’ai imprimé les photos et je les ai laissé sur la table de la cuisine dans une enveloppe.

Julie rentre un peu après moi, je ne savais comment elle allait prendre ça ?

- Il y a du courrier ?
- Sur la table de la cuisine !

Elle ne revient pas, je vais voir, elle chiale comme une madeleine.

- Je voulais t’en parler, mais je vois qu’il y a des gens qui feraient mieux de s’occuper de leurs oignons !
- Si c’est juste un truc sans lendemain, on peut faire comme si ça n’avait jamais existé ! Proposais-je, bon prince.
- Ce n’est pas un truc sans lendemain ! Répondit-elle, cinglante.

Et toc ! Ce fut le deuxième choc !

Le troisième ce fut quand elle fit sa valise…. Et le quatrième fut quand je compris qu’elle ne m’avait pas trompé au bout de 24 ans, mais qu’elle me trompait depuis 24 ans, ce qui n’est pas la même chose…

J’ai eu du mal à m’en remettre ! Quand je pense que… non on va pas recommencer au début…

« Alors puisque c’est comme ça… » Me suis-je dis au bout de quelques semaines, « je vais rattraper le temps perdu ! »

Tu parles ! Est-ce à cause de mon manque d’expérience ou de ma patte plus courte que l’autre, mes tentatives allaient droit dans les murailles de l’échec et de la déconvenue.

Alors j’ai fais autrement, je suis allé voir des prostituées, la première fois carrément deux d’un coup, l’un de mes fantasmes, l’une des deux était super gentille, l’autre n’en avait rien à cirer…

Puis je me suis tourné vers les clubs de rencontres, les bistrots pour célibataires, les saunas.

C’est dans ces derniers que je me trouve le mieux, il y a parfois des femmes, mais jamais je n’ai eu de contacts avec, d’autres ont eu plus de chances. Il y en a qui viennent simplement pour s’exhiber, d’autres qui viennent en couple avec un autre couple d’amis, ils font de l’échangisme mais entre eux.

Par contre je ne m’imaginais pas que mes fesses et mon sexe auraient autant de succès dans ces endroits. La première fois qu’une main est arrivée sur ma bite, je me suis reculé, et j’ai failli quitter l’établissement, pourtant dans mes fantasmes… mais bon, les fantasmes ce sont les fantasmes… Je me suis raisonné et la deuxième fois je me suis laissé faire ! J’aime maintenant cette sensation d’une main sur mon sexe, certains masturbent très bien, et ceux qui le font mal je les envoie promener… J’ai fini par faire pareil, et j’ai appris le plaisir à branler une belle queue. Je n’aime pas trop qu’on me suce. Pour moi la fellation c’est la rencontre d’un beau visage féminin avec une belle queue. Donc me faire sucer par un mec, je laisse parfois faire mais sans plus. Par contre le contraire me plaît bien, j’adore sucer un beau membre. Mais enfin ça ne vaut pas les femmes tout ça…

Un an jour pour jour qu’elle a fait ses valises ! C’est samedi, j’ai acheté de quoi me faire un bon petit gueuleton ce soir, j’ai tout acheté en double, dés fois que je ramène quelqu’un à la maison… On peut toujours rêver ! Et en attendant, direction le sauna :

Un attroupement, c’est bon signe, cela signifie qu’il y a une femme, le temps de m’approcher, un cri d’orgasme crève le silence feutré du lieu, le groupe se disloque, je continue à avancer afin de me rendre compte de ce que j’ai manqué : il y a là deux femmes, l’une est un véritable canon, brune aux cheveux frisés, le corps intégralement bronzé, élancée, cambrée, des seins magnifiques, la trentaine, l’autre est plus mûre, plus massive, mais non dénuée de charmes.

Au moins l’une des deux va rester, me dis-je ! Ben non, elles quittent toutes deux l’endroit accompagnées de leurs mecs ! Frustration !

Il n’y a plus que des mâles à présent. Un premier mec me croise, approche sa main de mon entrejambes, je le regarde, il ne m’inspire pas, je fais une dénégation de la tête, il n’insiste pas, en principe ici les gens sont bien élevés. Mais c’est qu’en voilà un second, des cheveux blonds jusqu’aux épaules et des moustaches, en voilà un look ? Il passe à côté de moi, la pine tendue comme un piquet. Joli bite en vérité, un peu sombre, assez longue et pas trop épaisse, le gland brillant. Un petit sourire, je lui rends. Ma main a du s’avancer vers son sexe en même temps que la sienne faisait la même chose, c’est beau la simultanéité improvisée !

Je branlote quelques instants cet attendrissant cylindre de chair soyeuse, j’espère qu’il va accepter que je le suce !

- Je m’appelle Bertrand !

Surpris ! Non pas qu’il s’appelle Bertrand, mais qu’il se présente. J’ai en effet appris avec quelque tristesse que dans ce lieu les rapports étaient silencieux, on se touche, on se suce, on s’encule, tout cela parfois s’en échanger un seul mot. Dans le meilleur des cas on a droit à un sourire, à un merci, à un « ça va ? », mais c’est tout. Je lui réponds en inventant un prénom au hasard.

- Tu viens souvent ? Demande-t-il
- Non, il n’y a pas longtemps que j’ai découvert ce truc, et toi ?
- Je suis de province, j’y viens quand je monte à Paris, une fois par an…. Tu la trouves comment ma bite ?
- Elle est superbe !
- En principe elle plait bien, mais la tienne n’est pas mal non plus… Tu as envie de me sucer ?

Oh oui, oh oui…. Je lui dis, bien sûr, lui demande si je peux y aller, me baisse, et glop ! Me voici en train d’embrasser la hampe, c’est doux, c’est frais, c’est excitant… Ma langue entre ensuite en action mais sans changer de place, je remonte ensuite vers le gland, il a une légère odeur, peut-être vient-il de pisser mais ça ne me dérange pas, je fais des petits mouvements linguaux sur la couronne, ça a l’air de lui plaire au viking, puis embouche carrément l’extrémité de cette trop jolie quéquette. Et je pompe et je pompe, l’autre est aux anges. Ayant l’intention de faire durer le plaisir, je m’interromps de temps à autre pour aller gober ses testicules, je ne suis pas trop friand de la chose mais je sais que les mecs aiment bien ça !

- Tu me suces un peu derrière ?

Aïe ! Je craignais cette demande, mais allez savoir pourquoi, j’ai envie de lui faire plaisir au moustachu, je vais derrière, il écarte ses fesses, et j’avance ma langue dans son troufignon, ça va, monsieur est bien propre sur lui, il ne l’aurait pas été, j’aurais sans doute abrégé la chose (quoique, allez donc savoir… avec l’excitation) mais là, c’est rassuré que je lui fais un furetage anal en règle…. A tel point que j’attrape des crampes à la mâchoire… Il est temps de revenir devant ! Ça bande toujours autant ! Cette fois j’essaie d’en pénétrer le maximum dans la bouche, pas si évident, puis je coulisse en de larges mouvements badigeonnant son sexe de ma salive. Et pendant ce temps là ma propre bite est devenue raide comme la justice.

- Ne me fais pas jouir ! Dit-il

Pourquoi ?

- Tu veux que j’arrête ?
- Tu suces super bien ! T’aimerais que je t’encule ?
- Je ne suis pas contre, mais il est un peu tôt… tout à l’heure peut-être…
- Tout à l’heure il sera peut-être trop tard….

Je ne sais pas ce que j’allais répondre, mais notre tête à tête (si je puis dire) est alors interrompu par le bruit d’une arrivée….

Et quelle arrivée, des types se retournent. Et on aperçoit alors ce spectacle complètement dingue d’un mec qui débarque en tenant une femme en laisse, laquelle est accrochée à un collier de chien qu’elle a autour de son cou. La soumise a les yeux bandés d’une bande de tissu noir. Le maître l’aide à s’asseoir sur un rebord, puis prend place à ses côtés. Je rage d’avoir laissé mes lunettes au vestiaire, déjà la dernière fois j’avais commis cette erreur.

- S’il y en a qui veulent se faire sucer, elle peut vous le faire, mais attention, comme elle a les yeux bandés, c’est moi qui choisit à sa place et c’est moi qui surveille !

Oups ! Depuis le temps que j’attends une occasion comme celle-ci ! Mais toujours ma timidité, je n’ose pas y aller en premier. Et là, même si j’avais voulu, j’aurais été battu sur le poteau par un grand chauve qui s’approche la bite en avant.

Le maître lui fait signe qu’il peut y aller.

Je vois mal ce qui se passe, le mauvais éclairage de ce coin, mes problèmes de vue, et puis ses cheveux qui lui dégringolent sur le côté et qu’elle ne pense pas toujours à dégager. De plus, pratiquement tout le sauna s’est pointé, et évidemment je ne suis pas au premier rang,

L’homme lui a placé son membre contre la joue, la femme s’en empare de ses mains, le caresse quelques instants avant d’embrasser la hampe, puis le gland, elle fait durer ce manège quelques minutes avant de sortir sa langue pour la faire virevolter, léchant de sa pointe le méat et la couronne de cette virilité offerte à sa gourmandise. Puis soudain elle engouffre tout ça, elle agrippe l’homme par l’arrière de ses cuisses en s’efforçant d’effectuer des mouvements longs.

- Ne jouis pas dans sa bouche ! Prévient le maître.

Le mec se dégage, va pour partir mais le maître lui prend sa queue en main et la dirige vers celle de la femme afin qu’elle le masturbe à l’aveuglette. Quelques instants plus tard, un jet de sperme lui atterrit sur le ventre. La femme rit !

- Un autre volontaire !

Le problème, c’est qu’ils sont tous volontaires. Le maître en refuse un premier pour des raisons qui m’échappent, puis un second, il y a un mouvement de foule, je me retrouve au premier rang. Oserais-je ? Non je n’ose pas, le maître choisit deux mecs, s’arrange pour placer leur queues l’une à côté de l’autre, puis guide le visage de la femme ! 

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Je vois mieux à présent ! Quel choc ! Je voulais une fête, je suis comblé par ce spectacle, même si je n’y participe pas directement je me sens comblé et heureux. On est bizarre parfois !

 

Cette fois ça dure plus longtemps, elle passe d’une pine à l’autre et pompe avec un plaisir non dissimulé ! Ce doit être communicatif, je plane devant cette scène surréaliste, je suis au ciel et ma bite en montre la direction !

L’un des types finira par envoyer une décharge peu abondante sur le ventre de la soumise, l’autre suivra cinq bonnes minutes plus tard, en expédiant de larges giclés.

Je crois alors que son maître va demander un ou deux autres volontaires, je commence à m’approcher, fébrile… mais pas du tout

- Allez, je veux que tout le monde la pelote, mais attention, pas de brutalité, vous avez deux minutes pas une de plus, après à mon signal, vous la laisserez, d’accord. ?

On entend un vague murmure d’approbation !

- Allez !

Il y a combien de mains sur elle ? Certains sont un peu empruntés à cause de la présence du sperme sur le ventre, mais sinon chacun veut son bout de peau, les seins ont été choisi par les plus rapides, les pieds ont leurs amateurs, je me contente de l’avant bras que je caresse comme je le ferais d’un petit animal domestique ! Drôle de sensation….

- C’est fini !

Déjà ?

Tout ce petit monde recule, il y en a deux qui essaie de tricher !

- C’est fini, j’ai dis ! Répète sèchement le « maître »

Je crois alors la séance terminée, mais non, le maître de cérémonie improvisé reprend la parole !

- Il y a des volontaires pour la sucer ?

Je n’ai pas ouvert la bouche ! J’ai simplement fait ce geste antique consistant à pointer mon doigt plusieurs fois sur mon torse, mais sans y croire…

- Viens !

Non, ce n’est pas possible, il va m’arriver ça ! Ce soir ! Je m’avance, la queue frétillante ! Pourvu qu’elle n’enlève pas son bandeau, je n’ai pas envie qu’elle me voit.

Me voici entre ses cuisses, ses effluves intimes me montent aux narines et me rendent fou, mélange de sueur, d’urine et de mouille. Sa chatte est humide, ses grosses lèvres gonflées, son clitoris érigé. Je sors ma langue au maximum et je lape, une fois, deux fois, plein de fois. Madame se met à gémir ! C’est moi qui la fais gémir comme ça, je n’en reviens pas ! J’écarte très largement ses chairs pour m’enfouir dans son intimité, mon excitation est au maximum, je ne sais pas comment je vais pouvoir tenir comme ça !

Quelqu’un est en train de me tripoter les fesses ! Il ne peut pas me laisser tranquille celui-ci, obligé de me tourner pour protester, mais me rendant compte qu’il s’agit de Bertrand, je le laisse faire.

Je reprends, je vais partout, au fond, sur les côtés, je joue avec les lèvres !

- Fais moi jouir ! Dit-elle.

Sa voix ! C’est la première fois que je l’entends depuis qu’elle a pris possession du lieu, j’en suis tout chaviré. OK ! Direction le clitoris, il est dur, décapuchonné, en attente. Je donne de brefs coups de langue comme pour le cogner, puis je fais de mes lèvres un mouvement de succion, j’alterne les deux méthodes, pas longtemps… je sens la femme se raidir, échapper à mon étreinte de quelques millimètres avant de crier sa jouissance avec un cri à ameuter tout le quartier

C’est fini !

C’est fini ! Je vois le maître qui tirant la laisse dirige mon ex femme vers la sortie !

Pour son maître ce sauna n’était donc qu’un préliminaire… N’empêche que désormais je me compte dans le nombre des ex amants de ma femme ! Drôle de situation, l’émotion du moment me fait venir une petite larme que je n’ai pas demandée et que je m’empresse d’essuyer…

Je me dirige vers Bertrand !

- Ça te dirait si je t’invitais chez moi pour finir la soirée ?

Il me sourit… je vous dis, aujourd’hui c’est la fête !

 

Chapitre 2 – Julie
J’ai toujours eu la mémoire des dates, cela fait un an que j’ai fait mes valises et que j’ai quitté comme une voleuse le domicile conjugal…

 

Ça me fout le vague à l’âme, pas tant d’être partie, car après tout ce départ m’a apporté plus d’avantages que d’inconvénients… mais j’ai une pensée pour Eric, quelque part, je l’aimais bien…

J’en parle à Max, mon compagnon, j’ai peur qu’il se foute de moi !

- Non, je te comprends ! Tu veux que je te sorte ?
- Oui, sors moi !
- Ok, on fait les courses en vitesse, et je t’emmène au restau.
- Non pas ce midi, je n’aurais pas faim.
- Alors on sortira cet après midi… Tu veux aller où ? Au ciné ?
- Improvise, j’ai pas envie de chercher, décide pour nous deux…
- Tu voudrais être soumise cet après midi !
- Pourquoi pas ?
- Je crois que j’ai une petite idée ! Dépêche toi de finir de t’habiller, il va y avoir la queue au super marché !

Il a une petite idée, il est comme ça, Max, des idées il en a plein, il en a mille, qui s’entassent et qui s’empilent, on ne s’ennuie jamais avec un mec comme ça !

Quand même, que doit faire Eric en ce moment ? Est-ce qu’il y pense lui, à cette date…

Il était (presque) le type de l’homme que je recherchais dans mes années de jeunesse… Oh, il y en avait de plus beau, de plus séduisant, de plus craquants mais ceux là se réservaient les canons qui mimaient les starlettes de l’époque…. Moi, je ne venais qu’en seconde catégorie, tout cela parce que j’étais un peu forte, cela me mettait d’emblée hors compétition… j’en ai été malheureuse, puis je me suis dis que cela était peut-être un avantage, tous ces bellâtres courant après des imitations de mannequins n’avait aucune imagination, aucune culture, et pas beaucoup de conversation… Au plumard peut-être étaient-ils bons, mais ça m’arrangeait de penser qu’ils ne l’étaient pas….

Je me suis longtemps réfugié dans la masturbation, m’inventant des scénarios dans un monde personnel d’une absolue complication, à tel point que j’en notais les noms des personnages et ce qu’ils faisaient sur un petit carnet afin de ne pas trop m’y perdre…

J’avais eu l’occasion d’entendre Eric discuter à l’occasion d’un pot dans un bistrot, je l’avais trouvé intelligent et plein d’humour… A la première occasion, je l’ai dragué. Ça a marché tout de suite…

Adieu les branlettes solitaires, adieu mes personnages de carnets, et vive la vraie vie, me disais-je, sauf que les premiers ont fini par me rattraper.

Au lit, Eric acceptait pas mal de choses, mais cela restait tout de même très classique. Et lui si loquace sur tous les sujets n’aimait pas qu’on parle sexe… un jour je me suis acheté un string et je me suis baladé devant lui. Je croyais l’allumer, il m’a simplement dit qu’on n’était pas au carnaval… De rage j’ai jeté le string… Une autre fois je lui ai demandé s’il voulait me regarder pisser, il m’a répondu que « j’avais du trop boire de bière »… J’ai fait la grève de l’amour 10 jours, au-delà je ne peux plus…

Je me suis dit qu’à la première occasion j’irais voir ailleurs… mais les choses ne se passent jamais comme prévues. Les occasions, je les ai eus, mais je suis restée avec Eric… Après tout, mis à part son manque de fantaisie sexuelle, il ne manquait pas de qualités…

Et puis un jour, plus de 20 ans plus tard, j’ai découvert en rentrant du travail les photos où on me voyait dans les allées du parc avec Max ! Quel connard avait donc pris ces clichés ? Gérard, bien sûr, il avait été mon amant trois ans et avait fini par me demander de rompre avec mon mari ! J’ai refusé ! Il l’a mal pris, on s’est engueulé et on a rompu, il m’avait alors menacé de faire éclater notre couple ! Il l’a donc fait ! Quel salopard !

Je crois qu’Eric aurait pu me pardonner ! Mais moi par pur masochisme ou voulant expier ce que je ressentais comme une faute, j’ai aggravé mon cas et je suis partie…

- Bon alors tu t’amènes !
- Voilà, voilà.

Vers le milieu de l’après-midi, Max m’a demandé de me chausser et de mettre un manteau.

- On va où ?
- Au sauna !
- Bonne idée ! J’espère que ça va bien m’exciter.
- Mais tu vas être mon esclave, je vais te faire faire des pipes et te faire peloter par tous ceux qui voudront…
- Et après ?
- Après, on rentre et je te baise ! Et après, on ira au restau en amoureux.
- Pas chiche !
- Tu vas voir si je suis pas chiche !

On arrive, on se déshabille. Devant les vestiaires, Max me fixe un collier de chien auquel est attaché une laisse ! Bizarre son idée, mais ce n’est pas bien grave, c’est surtout la suite qui m’intéresse !

- On mate un peu avant, ou on y va direct ? Demandais-je.
- On va se planquer cinq minutes !

On se place derrière une glace sans tain ! Cela a toujours été l’un de mes fantasmes de voir des mecs faire des trucs ensembles. Comme Max est assez libéré de ce point de vu là, cela ne pose pas de problèmes entre nous. Ce soir, il n’y a pas grand chose à voir, les hommes ne sont pas terribles à l’exception d’un grand blond à moustaches et aux cheveux longs. Il croise un autre mec, marrant celui-ci, il ressemble a mon ex, c’est à s’y méprendre ! Mais… Mais… C’EST mon ex ! Mais qu’est ce qu’il fout là ! C’est à peine croyable. Je le dis à Max.

- Tu veux qu’on s’en aille ?
- Je ne sais pas, attends…

Je vois Eric qui maintenant se branle mutuellement avec le blondinet. Ainsi c’était donc ça, mon ex devait être un homosexuel qui refoulait ses pulsions, le fait de nous être séparés l’a donc sans doute libéré. Voilà qui explique rétrospectivement bien des choses… Je me demande jusqu’où il va aller, et c’est à ce moment là que je le vois se pencher pour sucer la bite de son partenaire ! Eric en train de sucer une bite ! Dingue ! J’ai soudain une idée, je la chuchote à Max, puis regagne mon vestiaire ou je récupère l’un de mes bas noirs !

- Voilà tu me le mets sur les yeux !
- Tu arrives à voir au travers ?
- Pas beaucoup, mais ce sera suffisant… Ce qui compte c’est que mon ex croit que je ne vois rien… On y va, je vais jouer à l’esclave. Tu fais ce que tu veux de moi mais j’aimerais bien que tu te débrouilles pour me le garder pour la fin… si toutefois, ça l’intéresse !
- Tu espères quoi ?
- Je n’en sais rien à vrai dire.

On a fait notre entrée, Max devant, moi derrière tirée en laisse comme une chienne ! Dingue, les voilà tous autour de nous comme une nuée de sauterelles. Ça fait plaisir d’être encore maté comme ça à quarante ans bien passés, ma stature, inconvénient de ma jeunesse est devenue un avantage à ma maturité. Max demande un premier volontaire, il y en a trop de volontaires, et dans les volontaires il y a Eric ! Vous pouvez pas savoir ce que ça me fait, il n’est donc pas homo, mais bi, mais bon dieu pourquoi n’en n’avons-nous jamais parlé… Max choisit l’heureux élu. Joli choix, le mec à une jolie bite, du moins pour ce que je peux en voir à travers le brouillard de mon voile. Je le branle un peu ! J’adore branler des bites, mais j’aime encore mieux sucer ! J’ai envie d’en avoir plein dans ma bouche ce soir. Celle-ci, je la gâte, la couvrant de baisers, la taquinant de ma langue avant de l’engloutir. J’ai peur que le mec parte trop vite, Max doit aussi s’apercevoir de quelque chose et lui interdit de jouir dans ma bouche ! Pourquoi ? Le mec va pour s’en aller mais finalement décharge sur mon ventre ! Max me demande de ne pas m’essuyer et réclame deux autres volontaires…

Ça m‘amuse parce que Eric est dépité de ne pas être choisi ! M’a-t-il à ce stade reconnu ! Pas sûr, j’ai changé de look, il n’a pas ses lunettes et le coin est obscur. Tant mieux, tout à l’heure la surprise n’en sera que plus grande ! J’espère simplement que je ne joue pas à un jeu trop dangereux et que tout cela ne va pas virer au drame ! Mais non, j’ai confiance… Pour l’instant je m’occupe de ces deux queues, pas évident de se coordonner, mais ces messieurs ont l’air satisfaits de mes traitements, tout va bien, l’un des deux se lâche, le second est un peu plus lent à la détente, mais ça ne me dérange pas, j’aime bien faire durer le plaisir… Me voici avec trois spermes différents sur le ventre… J’ignore ce que va inventer Max à présent, deux autres bites, trois ? Non ce n’est pas ça, il demande à tous les présents de me peloter : N’importe quoi ? Me voilà avec dix, vingt, trente, (je ne compte plus) paluches sur l’ensemble du corps ! Ils évitent le ventre tout « spermeux », par contre les seins ça y va, les cuisses aussi, d’autres s’occupent de mes pieds, il y en a un qui me chatouille, il est fou celui-là ! Je cherche Eric. Il est là il et me pelote l’avant bras, il est si près de moi qu’il n’a sans doute pas pu faire autrement que de me reconnaître… Il me faut aller jusqu’au bout de mon défi, je fais un petit signe à Max qui demande à la petite assemblée se s’écarter de ma personne.

- Avant de partir, je voudrais que quelqu’un la lèche ! demande Max

Va-t-il oser maintenant qu’il m’a reconnu ? Oui il est volontaire. Max le choisit ! Tout va bien !

Eric est entre mes cuisses, je mouille comme une fontaine à l’idée de ce qu’il va se passer : Il croit que je ne le vois pas, aura-t-il l’intelligence de conserver l’anonymat ? La situation me ferait presque oublier l’action, du moins dans un premier temps, car bientôt sa langue révélait son efficacité. Eric a rapidement su et aimé pratiquer le broute minou… Il me faisait toujours monter au ciel à nos débuts, et puis la pratique est devenu monotone, j’avais parfois l’impression qu’il s’ennuyait à me lécher, ça ne venait pas, je faisait parfois semblant, la monotonie et l’habitude sont sans doute les pires ennemies de l’amour, mais recommence t-on si souvent les mêmes conquêtes ? Par contre aujourd’hui, il est en pleine forme le salopard, sa langue va partout. Je frissonne de tous les endroits et des ondes de plaisirs me traversent les pores.

- Fais moi jouir ! Demandais-je

Aïe, j’ai parlé ! Pourvu qu’il n’en profite pas pour me répondre, pour se dévoiler… non….il attaque le clitoris. Je sens que ça ne va pas être long. La nébuleuse est proche de l’éclatement, ma respiration se saccade, mon corps se tétanise. Je jouis en braillant comme une dingue, puis me recroqueville sur mon siège, pantelante.

Je ne peux pas le laisser partir comme ça ! Il ne sait pas évidemment que je l’ai reconnu ! Mais je ne sais ni quoi dire, ni quoi faire, le voilà qui discute avec son blondinet… Drôle de penser qu’on a vécu pendant 24 ans avec quelqu’un sans le connaître… mais lui peut aussi en dire autant….

Cette expérience m’a troublé, mélange de soulagement car je suis consciente d’avoir pris un risque, d’interrogations en tous sens et d’excitation, car je ne suis pas rassasiée.

Max me tire vers les vestiaires !

- Allez, après tout ces préliminaires, on va passer aux choses sérieuses. Direction la maison ! Toujours d’accord, ma chérie !
- Bien sûr

Une idée folle me traversa la tête alors que Max m’enlevait mon collier de chien : « et si je prenais comme amant mon ancien mari ? »

Fin

Alexis Defond-Rossignol
(mai 2005)

ce récit a été écrit pour le concours organisé en mai 2005 par notre confrère « revebebe », ils souhaitaient un récit sans pénétration, avec uniquement des préliminaires. Bien que très bien classé tant par le public que par la critique (16//20) il n’a pas gagné, sans doute trop éloigné de la ligne actuelle de ce site ? Nous on adore !

Cette nouvelle a obtenu le 3ème Prix de la meilleure nouvelle pour l’année 2005 sur le site de Vassilia

Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
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Vendredi 22 avril 2005 5 22 /04 /Avr /2005 13:29

Aude au Sauna

Révisé et complété par Sylvain Zerberg

 

pluralite

 

Ma copine et moi nous rendons assez régulièrement dans un sauna échangiste, car de tous les établissements échangistes que nous avons fréquenté, c’est le sauna qui nous a le plus séduit. Aude a 30 ans, moi 37. Nous nous fixons souvent des défis, pour pimenter nos sorties, et ce samedi soir, comme d’habitude, je posais sur le lit, la tenue dans laquelle je voulais que ma copine se rende au sauna. Je ne sais pas pourquoi, mais très excité ce soir-là, je décidais de l’habiller vraiment comme une pute. Je lui mis un petit short qui dévoile les trois quarts des fesses, des cuissardes, un haut noir transparent, et un petit blouson en cuir noir. Je rigole tout seul, sachant qu’elle refusera de s’y rendre comme cela. Je redescends dans le salon et lui dis qu’elle peut aller se préparer, elle monte, j’attends la réaction, il se passe bien dix minutes avant qu’elle ne redescende, j’entends ses pas dans l’escalier, et attends de découvrir sa tenue.

 

Surprise, elle s’est habillée juste avec ce que je lui ai mis. J’en ai presque peur, sa tenue risque de provoquer une émeute. Mais toujours et encore plus sous le coup de l’excitation, je ne dis rien si ce n’est :

 

- Tu es très sexy, une vraie salope. On y va ?

- Allez ! me dit-elle. Seulement on va changer un peu ce soir, on va y aller ensemble, mais vers le sauna on se sépare afin que les mecs ne sachent pas qu’on est ensemble.

 

Cette idée me paraît géniale, et arrivés à proximité du sauna, on se concerte, qui y va en premier ?

 

- Moi me dit-elle, toi tu viens dans un quart d’heure.

- O.K., et tu vas faire quoi ce soir ? Lui demandais-je

- On verra selon l’ambiance et les personnes ! me répondit-elle.

 

Ca y est, elle est partie, je la vois franchir la porte de l’immeuble où se trouve le sauna, et disparaître, je prie pour qu’elle ne croise personne, sinon elle va droit au viol. Le quart d’heure passé, je me dirige à mon tour vers le sauna, j’entre et on me demande si je viens seul, je réponds oui, et le patron rechigne, me dit que ça fait beaucoup, que ce soir il n’y a que des mecs, une quarantaine et une seule fille... Aude est donc la seule femme ! Voilà qui commence à m’inquiéter, du coup je lui décris ma copine, le met dans la confidence et ouf, il me laisser entrer, et me remet une serviette comme à l’accoutumé.

 

J’entre aux vestiaires, me fous à poil, et m’entoure de la serviette. Il me tarde de savoir où Aude se trouve et ce qu’elle fait. Je connais pas mal les lieux alors je me rends au bar en cheminant par les couloirs qui donnent sur de nombreuses petites pièces, dont chacune comporte des particularités. Un attroupement s’est formé vers le « glory-hole » autrement dit « la cabine à trous », il s’agit d’une petite pièce meublée d’un lit, et dont la particularité est qu’elle comporte tout autour une vingtaine de trous dans les murs à la hauteur d’une bite et à peu près assez gros pour le passage d’une verge et des couilles. Mais trop étroits pour passer une main.

 

J’en fais le tour et constate que curieusement tous les trous sont occupés, et à moins d’avoir un groupe d’homos à l’intérieur, je suppose qu’il s’agit de ma Aude. De toute façon les commentaires vont vite confirmer ma pensée lorsque j’entends. « Comme elle suce bien cette salope ! » Pas de doute c’est bien elle. Malheureusement, je ne peux rien voir de ce qui se passe, et donc je m’approche de celui qui semble être l’élu du moment. Aude adore sucer, et tout autant avaler le sperme, ce qui n’est pas toujours le cas lorsque des filles sucent des inconnus. Le mec qu’elle suce va bon train de commentaires, et sans rien pouvoir voir, je devine assez bien selon ses dires ce qu’elle lui fait.

 

- Putain elle me lèche les couilles, elle tire me décalotte à fond, elle va m’arracher le frein, maintenant elle me lèche le gland…

 

Il est plaqué contre le mur sans même bouger, apparemment ce qui se passe de l’autre côté lui suffit, il annonce qu’il va jouir,

 

- Une vraie pute, elle m’a gardé dans sa bouche, pourtant qu’est ce que je lui ai mis !

 

Aude.jpg

 

Cela ne m’étonne pas, elle n’a jamais aimé qu’il en soit autrement. Après un bref instant, il dégage le trou qui est aussitôt pris d’assaut. Je suis très excité de savoir que ma salope de copine est là-dedans, mais un peu frustré de ne rien pouvoir voir. C’est vers le dixième mec, que j’arrive enfin à avoir un trou libre, mais je n’introduis pas ma bite, mais mon œil afin de pouvoir voir ce qui se passe. Aude est bien là, le visage collé au mur, elle sur l’autre cloison ce qui me permet de la voir très bien de profil, j’adore la voir sucer, et les propos tenus par le mec qui se fait astiquer reflètent bien la réalité de ce qui se passe dans la cabine. Elle passe de bite en bite, et c’est vers la vingtième, qu’elle change de stratégie, je la vois se tourner et plaquer ses fesses contre le mur à l’emplacement d’un trou, en fait elle vient de choisir une bite recouverte d’un préservatif. La longue bite qui en sortait disparaît dans son ventre, là je suis fou ! Du coup tous les mecs qui ont une capote sur eux la revêtent, et attendent leur éventuel tour et se plaquent encore un peu plus contre le mur des fois qu’on viendrait à leur piquer leur trou. La situation est des plus perverses, ma copine se fait mettre par des inconnus à travers un trou...

 

Elle se donne comme jamais, à fond et sans limite. Si elle voyait la gueule de certains, elle ferait des bonds, mais elle ne voit que leur bite, et heureusement. Elle passe de bite en bite, tantôt se faisant prendre quand l’engin est protégé, tantôt suçant tout en branlant les deux bites voisines. A un moment, sûrement trop excité, de la bite qu’elle avait en main, coule un liquide épais et blanc, n’hésitant pas une seconde, elle délaisse la bite qu’elle avait en bouche, pour engloutir celle qui se vide. Le spectacle est des plus érotique, j’en jouis presque rien qu’au contact de ma serviette. Après avoir vidé la moitié des mecs présents, il semble qu’elle se dirige vers la porte.

 

Par mon trou je l’aperçois qui va sortir, je ne sais que faire, aller la voir ou la suivre de loin. Je m’arrange pour qu’elle me voie sur son passage, mais fais comme si de rien n’était. Elle se dirige vers les douches, entièrement nue, tenant sa serviette à la main. Au passage pleuvent les réclamations :

 

- C’est fini ?

-  Et moi ?

 

Elle leur répond qu’elle a quand même le droit de souffler cinq minutes, que de toute façon elle ne doit rien à personne, que c’est une femme libre et j’en passe, faut pas trop l’asticoter ma Aude !

 

Mais les mecs ont décidé de ne pas la perdre, ils la suivent aux douches communes, prétextant eux aussi une chaleur subite. Moi je me tiens vers l’entrée d’où j’assume mon rôle de cocu voyeur.

 

Aude prend une douche, des mains se baladent sur elle sans qu’elle donne l’impression d’y faire attention. Puis une chose curieuse se produit, le mec à côté d’elle se met à uriner devant lui, puis observe la réaction de Aude, elle l’a vu, mais ne dit rien, engaillardi par son attitude, le mec se tourne vers elle et lui pisse carrément dessus maintenant. En souriant, elle lui dit

 

- Hummm c’est chaud.

 

Jamais je n’aurais cru ma nana aussi salope, je la reconnais pas, elle qui voulait toujours que je sois près d’elle, et qui était contre certaines pratiques…Je faillis m’étaler par terre, lorsque je la vis se baisser et prendre dans sa bouche la queue de ce mec qui pissait encore. Curieusement rien ne sortit de sa bouche, je la voyais déglutir rapidement, elle le buvait comme elle ne m’avait jamais fait à moi. La scène avait déclenché diverses réactions, certains mecs disaient que c’était dégueulasse, et s’étaient retirés, d’autres au contraire s’étaient rapprochés et se mirent en devoir de lui pisser dessus.

 

Aude toujours à genoux, recevait sur tout le corps l’urine de 7 ou 8 gars. Elle les léchait à tour de rôle, les suçait, jouait avec ces bites molles, avalant des lampées d’urine par-ci par-là. Je n’osais pas me joindre à eux de peur de tout gâcher. Et Aude ne me fit aucun signe en ce sens. Après qu’ils se soient bien vidés la vessie sur et dans ma copine, ils commencèrent un joyeux gang bang, l’enfilant d’abord les uns après les autres, puis par deux et enfin par trois, un dans chaque orifice. Ma serviette tenait seule pendue à mon sexe comme à un portemanteau. La vue de ma copine dans cette copulation sauvage était presque insoutenable d’excitation. Chacun se vidèrent les burnes dans l’orifice qu’il occupait, puis tous prirent une vraie douche cette fois. Je pensais que c’était terminé et qu’on allait enfin se concerter discrétos. Aude avait les jambes un peu écartées, ils n’avaient pas fait semblant.

 

Aude croisa mon regard certainement pour jauger où en était ma pensée, je ne sais pas ce qu’elle lut sur ma tête, mais tout en se frottant le corps, elle prit dans sa main la verge de son voisin, fit comme si elle le lavait, puis elle le fit tourner et glissa sa main entre ses jambes par derrière pour lui saisir les testicules, elle aimait triturer les couilles. A l’expression du visage de l’homme, elle semblait le broyer dans ses doigts, et quelques sursauts me le confirmèrent. Puis elle s’agenouilla derrière le gars, et approcha son visage de ses fesses. A ce moment elle me toisa du regard, sortit sa langue, et la promena entre les fesses du gars. Celui-ci semblant apprécier la caresse, écarta les jambes pour permettre à Aude une caresse plus appuyée, ce qu’elle fit, je voyais sa langue s’attarder sur l’anus, et y entrer sur quelques centimètres. J’aurais donné n’importe quoi pour être à la place du mec. Elle lui léchait le cul tout en lui broyant les couilles, puis elle commença à le branler. Sans lâcher son trou du cul, elle le fit jouir dans sa main, avec le contact de l’eau, le sperme se transforma vite en gelée épaisse. Elle étala cette gelée entre les fesses du mec, et continua de le lécher, si bien qu’elle avala cette purée. Après cet épisode mémorable sous la douche, elle me rejoignit, et me demanda pour la première fois.

 

- Tu viens avec moi ?

- Où çà répondis-je ?

- Suis-moi. !

 

Je la suivis et elle m’entraîna dans la première cabine de ses exploits. Les mecs pensèrent que j’étais l’heureux élu avec qui elle avait décidé de s’isoler. Mais à peine avions nous fermé la porte à clef, que comme des chenilles, les bites traversèrent à nouveaux les trous de la pièce. Mais cette fois j’allais pouvoir contrôler la situation, enfin c’est ce que je croyais. Elle m’entraîna avec elle vers une cloison et elle se mit à sucer un sexe comme j’aimais en voir, épais, un gros gland, très volumineux par rapport à la tige, très long, et de toute évidence circoncis. Après une pipe assez rapide, je vis qu’elle se retirait de sa proie, et fit jouir le mec sur ses seins. Elle avait des coulures abondantes sur les joues, les seins, le ventre.

 

- Maintenant nettoie !

- Quoi !

- Tu as voulu que je sois salope, je l’ai été, alors à moi de réaliser mes fantasmes ! Nettoie-moi !

 

Comme dans un rêve, je nettoyais de la langue les traînées de sperme rependues sur le corps de ma copine. J’avais un peu peur qu’elle ne m’impose de faire la même chose avec la quinzaine de bites qui en demandait encore... mais ce n’était pas tout à fait son plan. Elle me prit par la main, se dirigea vers une des bites qui émergeait d’un trou, elle choisit une belle queue noire, épaisse, longue et luisante, et commença à la sucer avec application, puis par gestes me fit signe de prendre le relais. Je n’hésitais même pas, et commençais à la sucer avec application. La queue du mec était particulièrement raide et après quelque mouvements de va-et-vient je reçu tout dans la bouche, Aude me choisit après une autre bite, une belle blanche au gland violacé, et tandis que je la suçais, elle s’en choisit une autre.

 

Les mecs à l’extérieur comprirent ce qui se passaient et plusieurs d'entre aux quittèrent l’endroit. Tandis que je suçais cette nouvelle bonne bite, je vis sortir Aude qui me chuchota qu’elle revenait de suite. Effectivement, trois minutes après alors que je finissais ma fellation, je l’aperçu, elle avait un type à ses côtés, le genre de mecs comme on en voit partout !

 

- Tends ton cul ! Il va t’enculer ! Me dit simplement Aude

 

Alors je me mis à quatre pattes et attendis, je savais qu’après cette ultime expérience, nous quitterions Aude et moi le sauna en amoureux, plus amoureux que jamais sans doute.

 

Fin

 

Reprise des pages 1 et 2 d’un récit de SophieXXX intitulé "Au sauna", modification des prénoms et réecriture de la page 3 introuvable. Si l’auteur initial veut nous contacter ce sera avec plaisir

 

 

Sylvain

4/2005

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Jeudi 17 février 2005 4 17 /02 /Fév /2005 18:49

Caroline n'a pas de culotte

par Enzo Cagliari

 

Voy

 

Bonjour, je m’appelle Eric et j’ai 23 ans, je suis assez ordinaire, châtain clair, mais il paraît que je plais, je suis en ménage depuis un peu plus d’un mois avec Caroline une belle blonde aux cheveux courts à la peau très blanche et la stature bien charpentée. Ce jour-là, nous avions décidé d’aller au restaurant vers 19 heures, mais, vous connaissez les femmes, elle insiste pour que nous partions au moins deux heures avant afin de faire un peu de lèche vitrines ! Voici qui ne me dit rien que vaille ! C’est alors que je lui proposais ce marché, tout à fait insolite :

 

- D’accord on fait les magasins, mais je ne veux que tu ne portes pas de culotte !

- Comment ça "je veux" ? Me dit-elle, tu ne vas pas me donner des ordres, non ?

- Ce n’est pas un ordre, c’est une proposition !

- Et en quel honneur ?

- J’ai bien le droit d’avoir des fantasmes farfelus, tu as bien les tiens, toi !

- Mais si quelqu’un me voit !

- Personne ne te verra, ce sera notre secret !

- Tu as de ces idées parfois !

- Allez, donne !

- Non, viens la chercher, toi !

 

Je lui soulève la jupe, tire légèrement sur l’élastique et descend le petit bout de vêtement jusqu’à sa première cheville, le dégage d’un pied puis de l’autre. Exit la culotte, elle est dans mes mains ! Je la renifle, pas très nette tout ça, mais ses odeurs m’excitent,

 

- Tu fais quoi gros cochon ? me demande-t-elle

- Hum, ça sent bon tout ça !

- Ben ça sent mon cul et ma chatte !

- J’adore !

- Ça va, t'es pas trop difficile, surtout que je n’ai pas du bien m’essuyer tout à l'heure, je me suis dépêché pour répondre au téléphone... Et toi tu trouves que ça sent bon ?

- Ben oui !

- Et bien c’est dommage que nous soyons prêts pour sortir sinon je t’aurais demandé de me nettoyer le cul avec ta langue puisque tu aimes ça tant que ça !

- Bonne idée ! Dis-je en m’approchant !

- Non ! On a fait un marché ! Je n’ai pas de culotte et maintenant tu me dois deux heures de shopping !

- Mais Caroline ?

 

Elle ne voulut rien savoir et c’est la bandaison douloureuse que je l’ai accompagné vers le grand centre commercial qui est à 10 minutes de chez nous.

 

- Tu sais ça fait drôle de me sentir la chatte à l’air, finalement c’est une bonne idée, je suis tout excitée !

 

Et moi donc !

 

Pendant une heure elle essaie des trucs et des machins, j’en ai ma claque et mon excitation est complètement retombée, c’est alors que Caroline manifeste le désir de s’acheter une jupe plus courte que celle qu’elle porte !

 

Elle en essaie une, elle en essaie deux, elle en essaie encore une autre... Ça n’arrête pas ! Finalement elle flashe sur un modèle, un truc tout simple noir, elle sort de la cabine, virevolte, regarde si personne ne la voit et se penche ! Malédiction la jupe est si courte qu’on lui voit la naissance des fesses. Voilà que je bande de nouveau ! Je rentre avec elle dans la cabine, et lui fout la main aux fesses, elle m’embrasse et me chatouille la braguette. On n’en peut plus aussi bien l’un que l’autre on décide de payer la jupe et de se réfugier dans un endroit où nous pourrions décharger (c’est le cas de le dire) notre trop plein d’excitation.

 

C’est alors qu’un monsieur, très bien sur lui, la cinquantaine, nous aborde, le type est très classe, il est accompagné d’une grande femme blonde du même âge, bourgeoise de chez bourgeoise, mais avec des beaux restes.

 

- Bonjour, ça vous dirait de gagner 100 euros ?

- Pardon ? C’est quoi c’est un concours, c’est une émission de radio ?

- Non, c’est entre nous ! Je vous ai vu dans la cabine tout à l’heure !

 

Je rougis comme une tomate, mais pas Caroline qui a l’air de trouver ça très rigolo.

 

- Nous n’habitons pas très loin, je voudrais juste que vous fassiez l’amour devant nous ?

- Ça va pas non ? Répondis-je en m’apprêtant à laisser là ce vieux vicelard !

 

Mais Caroline me rattrape par la manche...

 

- Attends, t’es pas tout seul à décider, ça peut être marrant non ?

- Mais enfin Caroline....

- Marrant et excitant ! Croit devoir préciser le bourgeois

- Moi ça me dit, allez viens ! Me presse ma copine !

 

On les suit, sans trop rien dire sinon des banalités, ce truc me m’emballe du tout mais Caroline à l’air de s’amuser comme une folle à la perspective de s’exhiber devant ce couple de vieux vicelards.

 

Arrivés dans leur appartement cossu, ces messieurs dames nous demandent si nous voulons boire un verre ! Pourquoi pas !

 

- Voici l’argent ! On vous demande juste de faire l'amour sur le canapé, là pendant disons un quart d’heure vingt minutes, et nous on regarde...

- Vous allez juste regarder, vous n’allez pas vous masturber ? Demande Caroline.

- Si, si bien sûr, disons que ma femme et moi, nous allons nous mettre un peu à l’aise en vous regardant...N’est-ce pas Nicole ? dit-il s’adressant à sa femme

- Mais bien sûr mon vieux cochon ! Répondit la grande blonde !

 

Et sur ce, le "vieux cochon" nous demanda de nous déshabiller, Caroline me précéda dans cette tâche pas gênée du tout ! En deux temps et trois mouvements elle fut nue comme un ver, et s’amusait à se masser les seins avec la paume de ses mains

 

- Alors ça vous plait ?

- Superbe ! Répondit le bourgeois (allez, on va l’appeler Gérard)

 

Je me déshabillais à mon tour, je ne bandais plus, et tentait tant bien que mal de tirer sur mon sexe pour le rendre présentable.

 

- Vous êtes mignons tous les deux, j’adore les belles jeunes femmes... et les beaux jeunes hommes. Rajoute-il

 

Hein ? Qu’est-ce qu’il raconte ?

 

- Ça fait plaisir de voir un couple comme ça sans tabou, parce que je suppose que des tabous vous ne devez pas en avoir beaucoup... Vous devez en essayer des trucs ? Reprend Gérard.

 

J’allais répondre pour recadrer un peu tout ça, mais Caroline me coupe la parole !

 

- Hum ! C’est vrai qu’on aime bien essayer des tas de choses ! C’est Eric qui m’a demandé de ne pas porter de culotte tout à l’heure... je ne voulais pas et finalement ça m’a excitée...

- Je vois...

- Et attendez... Ma culotte quand je l’ai retiré, il l’a reniflé, elle n’était pas très propre vous auriez vu dans quel état ça l’a mis !

- Caroline ! Tentais-je

- Mais c’est très excitant ce que vous me racontez là ! Savez-vous que j’adore aussi les culottes un peu négligées, n’est-ce pas Nicole ?

- Oui, mon vieux cochon !

- Mais ça veut dire que vous avez le derrière un peu sale, alors ?

- Sale, n’exagérons rien mais il n’est peut-être pas très bien essuyé !

 

Gérard est complètement excité et se frotte la main sur la braguette.

 

- Si vous saviez comme j’aimerais vérifier ça par moi-même, mais bon, soyons sage, on vous a dit que nous voulions juste vous regarder faire l’amour...

- A moins que vous acceptiez qu’on double la prime en échange de quelques innocentes caresses ! Qu'en pensez-vous ? Intervient alors Nicole.

- Si c’est juste des caresses, ça marche ! Répond Caroline !

 

Gérard se déshabille, il n’est pas si mal que ça, il doit faire du sport. Il bande comme un malade, et je me surprends à trouver que sa bite est vraiment bien jolie ! Nicole, elle interrompt son déshabillage au niveau de la culotte et du soutien-gorge ! Dommage j’aurais bien aimé voir ses grosse totoches !

 

- Venez donc me faire sentir vos fesses ! Demande le vieux pervers à ma douce compagne.

 

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Celle-ci sans rechigner s’approche et se retourne ! Gérard hume son entre-fesse !

 

- Hum, effectivement vous ne vous êtes pas essuyé le cul ! Constate-t-il

- Et tu aimes ça gros vicieux ? Demande Caroline passant à un tutoiement sans doute plus adapté à ce genre de situation !

- J’adore !

 

Gérard lui écarte le cul, il a carrément son gros pif à deux millimètres de son anus !

 

- Hum ! Quelle odeur ! On a fait le bon choix avec ce couple ! S’exclame-t-il. Hum ça sent la bonne merde de jeune femme ! Dommage que je ne puisse pas lécher, nous avons dit que nous limiterions aux caresses...

- Mais je suis sûre que vous allez nous proposer davantage pour en faire un peu plus, n’est-ce-pas vieux coquin ?

 

Et Caroline en disant cela se retourne et fait un bisou sur le bout du nez de Gérard qui n'en peut plus !

 

- Et si tu aimes à ce point l’odeur de mon cul, je peux même essayer de te faire une petite crotte ? Tu voudrais ?

 

Affaire conclue, on empoche la troisième prime, et tandis que Gérard lèche à qui mieux mieux le trou du cul de Caroline, Nicole me demande de venir vers elle !

 

- Alors toi, je suis certaine que tu aimerais voir mes gros nichons ?

- Oui bien sûr !

- Alors dégrafe-moi mon soutien !

 

Je le fais, fébrile, libère les grosses mamelles et sans lui demander la permission m’élance vers ses deux épais bourgeons bruns que je lèche avec avidité.

 

- Retire ma culotte, maintenant !

 

J’obéis !

 

- Et fais la même chose que ce que nous a raconté ta copine !

 

Je vais me priver, tiens ! Je porte l’objet à mes narines, ça sent fort, très fort, mais ma bite est toute raide.

 

- Tourne-toi je vais te lécher le cul !

 

A bon, moi aussi ! J’aurais préféré m’occuper de sa chatte que je n’ai pas pu bien voir mais que j’imagine baveuse et grasse à souhait. Mais voilà qu’elle me lèche le trou du cul avec une agilité incroyable, Je me laisse faire, cette Nicole fait ça divinement !

 

- Alors elle te l’a fait sa petite crotte ? Demande soudain la bourgeoise à son mari interrompant sa feuille de rose.

- Non, ça ne vient pas ! Dommage ! Mais je ne perds pas espoir

- Un peu de patience je vais t’en faire une belle ! Intervient Caroline complètement déchaînée.

- On échange nos partenaires ? Propose alors Nicole

 

Quoi ! Échanger quoi ? Mais Caroline a parfaitement compris et elle se ramène devant la bourgeoise lui fait une sorte de révérence !

 

- Je suis à la disposition de madame !

 

Je ne bouge pas ! Je suis paralysée ! Et c’est encore Caroline qui intervient, me regardant les yeux pleins de malices :

 

- Allez va voir Gérard, il ne va pas te manger !

- Mais attend, je ne suis pas pédé !

- Moi non plus ! Plaisante-t-elle

- Venez donc jeune homme, je ne suis pas une brute, et j’ai croisé votre regard quand vous me regardiez ma bite tout à l’heure...

- Et puis ça m’exciterait tellement que tu lui suces la queue ! Reprit Caroline, tu peux bien faire ça pour moi, j’ai bien accepté de me balader sans culotte, moi !

- Quelle comparaison !

- Allez, va le sucer, mon chéri ! On a accepté de faire les putes, on a pris l’argent, maintenant faut assumer... et puis j’ai l’impression que ce ne sera pas une corvée...

 

J’y suis allé comme un zombi, mais c’est vrai que cette bite n’est pas mal, mais c’est la chatte de Nicole qui m’intéressait moi, pas la queue du mari ! Lequel mari s’est emparé de ma propre queue afin de me masturber avec beaucoup de dextérité, il est doué le mec...

 

- Allez, suce ! Tu vas voir elle est bonne, après tu en redemanderas !

 

Je respire un grand coup et me voilà avec l’objet dans la bouche ! A ma grande surprise je n’ai aucun recul, aucun rejet, c’est doux, c’est chaud c’est excitant, et puisque la Caroline ma mit au défi de le sucer je vais m’appliquer. Caroline et Nicole se sont approchées pour profiter du spectacle, cette dernière doigtant avec énergie l’anus de ma compagne...

 

- Hummmm elle me ramone trop bien le cul cette salope !

 

Nicole finit par sortir son index tout pollué qu’elle lèche avec délectation, quelle cochonne ! Gérard me demande de stopper ma fellation, c’est dommage je commençais à y prendre goût ! Ma copine s’est installée par terre, et Nicole à un doigt dans chacun de ses orifices, ...

 

- Dites-moi Caroline, l’apostrophe Gérard, ça vous plairait que je sodomise votre conjoint ?

- Oh, oui ! Oh ! Oui !

- Mais... Protestais-je.

- Rassurez-vous, je vais passer un préservatif !

- Non. J’ai dit non !

- Dégonflé me dit Caroline ! Pourquoi est-ce qu’il n’y aurait que les femmes qui devraient se faire enculer ?

- Ah, ça c’est un argument surenchérit Nicole !

- Tournez-vous et présentez moi vos adorables petites fesses, jeune homme, ce ne sera qu’une formalité.

 

Quelque part dans ma nature profonde je ne devais pas y être si opposé que ça puisque j’ai fini par céder, et par offrir mon anus bien préparé et lubrifié par Nicole à cette délicieuse verge qui m’a donc dépucelé ! Il y a mis beaucoup de tact et procédait en des va-et-vient assez lents. A côté les deux femmes s’étaient placées en position de soixante-neuf et se doigtaient le cul mutuellement.

 

Gérard finit par déculer sans avoir joui, manifestement il avait d’autres projets

 

- Alors Caroline cette petite crotte que vous m’aviez promise ?

- Tu as de la suite dans les idées toi !

- Vous m’avez mis l’eau à la bouche !

- Ben justement en ce moment j’ai plutôt envie de pisser...

- Mais c’est très bien ça ! Allez, on va tous dans la salle de bain...

 

C’est qu’elle est large la salle de bain de Gérard et Nicole ! Notre hôte s’allonge alors sur le carrelage et demande à Caroline de lui pisser dessus ! On a déjà joué tous les deux à des jeux semblables mais sans aller très loin. Ma compagne se met donc au-dessus de son receveur !

 

- Tu veux que je te pisse sur la bite !

- Non ma bite c’est Eric qui va s’en occuper, pissez-moi sur le visage... dans la bouche...

 

Elle n’hésite pas et bientôt d’étranges chutes du Niagara viennent s’abîmer dans la gorge de Gérard qui avale tout avec une mine réjouie !

 

- Accroupis toi tu es trop haute ! Précise Gérard se décidant tout de même à tutoyer à son tour !

 

Caroline obéi, sa chatte est à présent à quinze centimètres de son nez !

 

- Et maintenant pousse ! demande-t-il une fois le pipi terminé.

- Ça vient gros dégueulasse ! Ouvre bien la bouche !

 

Moi, pendant ce temps, je le branlote, pas trop énergiquement, je pense qu’il ne souhaite pas jouir avant d’avoir reçu son cadeau… Quand à Nicole elle s’est assise sur le bidet et se masturbe avec frénésie en observant la scène d’un œil égrillard.

 

Un joli petit étron finit par se faufiler et par s’extraire du rectum de ma douce, le vieux cochon le reçoit en plein visage. J’accélère ma masturbation et fait jaillir son sperme de son sexe en quelques secondes. Il pousse un soupir de contentement tandis que sa femme se lève, ramasse la crotte dans ses mains et se met à la sucer comme s’il s’agissait d’un esquimau tandis que de sa main gauche, elle continue de se  branler jusqu’à ce qu’elle jouisse.

 

- Votre merde est délicieuse Caroline ! La complimenta-t-elle.
- Si vous le dites, moi je n’ai jamais eu l’occasion d’y goûter !
- Vous aimeriez ?
- Excitée comme je suis, je peux essayer.

 

Nicole détache un petit morceau de caca et s’en barbouille les lèvres.

 

- Venez m’embrasser Caroline !

 

Elle le fait ! Je suis sur le cul ! J’ignorais qu’en lui proposant de réaliser mon petit fantasme je libérerais un tel cyclone sexuel !

 

Et puis, c’est bien joli, tout ça mais je n’ai pas joui, moi et Caroline non plus.

 

- Vous permettez qu’on finisse ?
- Mais bien sûr ! Répond Nicole !

 

Gérard lui est en train de s’assoupir…

 

Alors je la prend Caroline par la main, l’entraîne vers le canapé, la fait se mettre en levrette, je la pénètre et cinq minutes après nous éclations, nous avons échangé un long baiser, nous nous sommes dit des mots tendres et nous avons pris congé de nos hôtes.

 

Ils voulaient nous payer le restaurant, nous avons refusé, mais quand ils nous ont demandé si nous serions intéressés à revenir, c’est d’une voix commune que nous leur avons dit oui.

 

Enzo (février 2005)

 

 

Ce récit a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle extrême pour l'année 2005

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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