Samedi 11 octobre 2003 6 11 /10 /Oct /2003 19:16

Plaisirs sylvestres
par Marc02

POUR PUBLIC AVERTI – PAGE CONTENANT DE LA SCATO EXPLICITE

 

scat

Plaisirs sylvestres

Nous étions sur un banc du chemin forestier,
Quand Julie m’avoua son envie de chier.
 » Tu veux voir ? « , me dit-elle, prenant un air coquin.
 » Et comment que je veux, espèce de catin !
Mais fais-le, je t’en prie, dans une pose obscène :
Libre à toi de choisir la bonne mise en scène.  »
Elle enlève aussitôt son tout petit slip blanc,
Trousse bien haut sa jupe et monte sur le banc,
Avant de s’accroupir, le cul tourné vers moi.
Je ne puis m’empêcher d’y enfoncer un doigt
Afin de m’assurer que l’œuf est bien au nid.
O promesse tenue ! Il est là, bien tapi
Dans sa chaude tanière, prêt à pousser la porte.
Julie, n’y tenant plus, juste avant qu’il ne sorte,
Fait bien saillir sa croupe en creusant bien les reins.
Elle écarte à présent les fesses à deux mains :
O vision délicieuse, lorsque son trou du cul
S’ouvre comme une bouche d’ombre ! Je n’y tiens plus,
J’ai la chair tout en feu et ma raison vacille !
Je sors alors ma queue qui bande et qui frétille,
Et quand l’étron enfin pointe le bout du nez,
Puis descend tout entier, énorme et bien moulé,
Je lui gicle dessus, juste avant qu’il ne tombe,
Emportant avec lui mon foutre qui l’inonde.

nature455

Par Maco02 - Publié dans : Poèmes divers
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Lundi 29 septembre 2003 1 29 /09 /Sep /2003 08:57

Clairière

par Nicolas Solovionni

Gs2

 

Mes pas m'avaient conduit dans ce bois.

Il est le lieu de toutes les rencontres, je crois.

Les fortuites, les interdites, les ahurissantes,

Et puis il y a ceux que seule la vision hante,

Ceux qui viennent sachant qu'on va les voir.

Je ne saurais dire aujourd'hui quel est mon espoir ?

Le hasard comme toujours sera mon laquais.

Je croise des hommes, des couples sous la futaie

Parfois je risque un sourire, il se veut complice.

Mais aucun n'aboutit, cela me hérisse.

Et bientôt, voilà que je désespère

Heureusement il y avait cette clairière

 

Elle est brune, les cheveux permanentés,

Le nez allongé et les escarpins ôtés

Plongée dans la lecture d'un ouvrage de poche.

Je me dis " ciel cette créature n'est point moche.

Mais que fait-elle donc ici à cette heure ?

Professionnelle ? Je n'en ai point peur,

Mais je doute qu'elle le soit !

Rendez-vous ? Voilà qui me rendrait pantois !

Une épreuve ou un jeu ordonné par un amant ?

Qu'importe ? Je saurais dans un moment ?

 

Je l'aborde, elle hésite, me dévisage

M'examine, sait déjà que je ne serais pas sage

Puis m'invite à m'asseoir à ses côtés.

Le profil de son sein est de toute beauté

Je hasarde : " Vous attendez quelqu'un ? "

" Qui sait ? Peut-être mon destin ? "

 

Elle me relate alors son émoi.

Me dit qu'elle est seule depuis des mois

Lassée des rencontres urbaines

Et des amants à la peine

Elle aime l'amour, elle a soif de désir

Il lui faut du sexe fou, du sexe en délire.

 

La suite " pipe, baise et sodo " ne l'intéresse guère.

Elle me parle de ses parties de fesses en l'air

Des hommes, des femmes, des groupes,

Tout est bon pour lui flatter la croupe.

Des fessées des liens, des chaînes

Du plaisir, elle veut être la reine !

 

C'est par défi qu'elle est venue dans ce bois.

" Si tu le veux, maintenant, je peux être à toi.

Tu peux me faire tout ce que tu veux.

Mais respecte-moi, des tabous j'en ai peu. "

 

Alors l'inconnue du bois quitte ses vêtements

Et de suite, sa poitrine je l'embrasse goulûment.

Nu à mon tour, ma verge se dresse à la vue de sa chatte.

La femme se tourne, se met à quatre pattes.

Puis de fort belle façon, elle relève les fesses.

Révélant à mes yeux une vision enchanteresse.

 

Elle veut que je lui urine sur son fessier rebondi

" Pas facile quand en érection ! " Lui ais-je dis

 

Mais persévérant j'y parviens et l'arrose de ma bière

Son cul est luisant de ma pisse et reflète la lumière.

 

Son petit trou souriant est trop tentant

D'autant que désormais il devient béant.

Ma langue s'en approche, virevolte et butine

S'enivrant de curieuses saveurs intimes.

 

Je finis par y glisser un doigt, je le remue, je l'agite

Je le tourbillonne, le ressort, le lèche, le remets vite.

De goûter mon index à son tour, elle me demande.

Je ne la déçois pas, cette belle gourmande.

Je remets un doigt, puis deux, puis trois

Ils rentrent facilement dans son conduit étroit.

 

Les voyeurs sont arrivés, bruits de branches.

Mains nerveuses qui s'astiquent le manche.

 

Jusqu'à quelles limites ma tendre inconnue me conduira ?

Un regard dans ses yeux, je sais que ça ira.

 

Nicolas (9/2003)

 

 

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Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Samedi 20 septembre 2003 6 20 /09 /Sep /2003 07:34

Le chemisier à rayures par Nicolas Solovionni

 

Gs2

 

C'était un matin. J'avançais ma carcasse à pas lents sur ce boulevard dont les arbres me rendaient l'âme mélancolique, non par la faute des premières feuilles automnales venant perturber la verdure de leur feuillage, mais à cause de leurs écorces pelées. Ces grands troènes censés oxygéner la ville étaient en train de périr de mort lente, victime de la chimie citadine.

 

Sans que je comprenne quel rapport ceci avait avec cela, je décidais alors que je devais avoir une petite faim...

 

Il est rare que je prenne mon petit déjeuner au bistrot, il l'est encore plus que je le consomme en terrasse. Faut-il aussi parler de la rareté du spectacle qui s'offrait à ma droite ? Bien sûr puisque c'est le sujet de cette nouvelle !

 

Grande, brune, les cheveux courts sur un visage doux, régulier et souriant, cette inconnue portait un chemisier à bandes mauves et grises dont les premiers boutons n'étaient pas attachés. Jusque-là rien de bien original sauf qu'il m'apparaissait que le degré de déboutonnage allait juste un peu plus loin que ce qui est communément admis comme étant décent. C'est pratiquement par réflexe que j'analysais la situation sur l'air de " en verrais-je davantage ? " Car il faut bien dire que pour l'instant ce bouton non attaché se contentait de jouer le rôle de la porte qui ne serait plus fermée mais qui resterait poussée. Illusion / Désillusion…

 

Je ne décèle aucune présence de soutien-gorge, mais les seins sont petits. Ce n'est pas vraiment mon genre, moi qui adore les pulpeuses mammaires aux longs cheveux blonds. A la plage, les seins nus, je l'aurais sans doute peu regardé, mais là, je scotche. Je suis persuadé que si elle bouge d'une certaine façon, je vais apercevoir son téton droit.

 

Alors j'attends, m'interrogeant sur la raison de cet intrigant déboutonnage. Simple inadvertance ? On ne peut en écarter l'hypothèse ! Désir d'allumer ? Elle n'en donne pas vraiment l'impression ! Volonté d'envoyer un signe fort à une personne avec qui elle aurait rendez-vous ? Bizarrement cette hypothèse me contrarie et j'essaie de trouver le petit truc qui me confirmerait que ce n'est pas ça. Et puis je trouve, bien sûr que ce n'est pas ça, elle ne regarde jamais sa montre, donc elle n'attend personne ! Simpliste, primaire et peut-être même complètement faux, mais tellement rassurant !

 

Sa tasse de café est consommée depuis longtemps, et elle occupée à gribouiller je ne sais quoi sur un cahier d'écolier.

 

Comment est-ce que je peux perdre mon temps à ce point ? Question de glandes qui mettent en action cette curieuse alchimie masculine ! Mais qu'importe, il y a longtemps que j'ai abandonné honte et culpabilité aux moralistes de tous poils, je me classe parmi les obsédés heureux. J'essaie de me raisonner, non pas sur mon état mental mais sur la possibilité que j'aurais de finir par apercevoir l'objet de ma convoitise. Le principal obstacle est le temps. Elle peut se reboutonner, partir, rencontrer quelqu'un (mais non, j'avais écarté cette dernière hypothèse) ou tout simplement ne jamais rien montrer.

 

Je n'avais pas trop compté le temps, mais cela faisait bien une dizaine de minutes que je l'observais en train de remplir des lignes d'une écriture nerveuse, entrecoupée d'instants où son visage se redressait, les yeux dans le lointain, les lèvres entrouvertes, comme si elle cherchait l'inspiration de ses mots.

 

Abandonnant l'espoir de pouvoir observer ce qu'avait semblé me promettre l'ouverture de son chemisier, je commençais à réunir ma monnaie afin de régler ma consommation.

 

C'est à ce moment-là qu'elle eut ce geste, bref, anodin mais si troublant consistant à se passer l'index et le majeur réunis, par-dessus le chemisier à l'endroit où devait être son téton. Bien que le geste fût très bref, la façon dont elle opéra me convainquit qu'il s'agissait de tout autre chose que d'un simple grattage. Du coup je retardai mon départ, les yeux rivés sur cette femme au comportement étrange.

 

Une seconde fois elle refit le même geste, il m'apparaissait probable que ces mouvements de doigts avaient un rapport avec ce qui se trouvait sur son cahier, ou sur ce qui allait s'y trouver... Mais que pouvait-elle bien écrire ?

 

Déjà je cherchais un plan, afin de m'approcher d'elle et peut-être d'en savoir davantage. Il sera forcément primaire. J'attends quelques instants, mais voici qu'elle pose son stylo, soupire, jette autour d'elle un regard semi circulaire (je dis bien semi circulaire car je ne fus pas inclus dans ce panoramique inachevé) puis la voilà qui plonge sa main à l'intérieur du chemisier par l'échancrure ouverte... Je vois les doigts s'agiter l'espace de quelques courts instants. Je n'ai plus aucun doute, ce n'est pas une impertinente bestiole qui lui a piqué le bout du sein, non elle se le serre de plaisir, ses yeux se ferment, et sa bouche s'ouvre. C'est très bref, mais très fort, très érotique. Et cette scène a sur moi l'effet d'un puissant stimulant, ma braguette est soudain pleine de mon sexe.

 

Cette fois, je ne tiens plus en place, je me lève, et passe derrière elle comme si je cherchais quelqu'un. Pauvre stratagème puisqu'elle ne fait aucunement attention à moi, je pourrais être transparent que cela reviendrait au même.

 

J'essaie de fixer mon attention sur le cahier, pas facile, elle écrit comme un cochon, mais j'ai le temps de déchiffrer plusieurs fois le mot sexe : " son sexe, mon sexe, leurs sexes ". Ne pouvant m'attarder dans cette partie de la terrasse sans éviter l'attention, je repars dans l'autre sens et fait semblant de chercher les toilettes, avant de m'y rendre réellement.

 

Rendu dans la cabine appropriée, j'envisageais deux solutions, l'une d'elle consistait à me masturber afin de conclure toutes ces émotions, puis une fois calmé de me rendre à mon travail. L'autre était de tenter une approche de la dame, au risque de me voir prendre un râteau. Mais après tout qu'importe, la vie de dragueur n'est pas sans risque, mais on s'y retrouve... 

 

Sortant mon sexe raidi, je le contemplais et hésitais sur la conduite à tenir, malgré tout, l'excitation était telle que je ne me dispensais pas de quelques mouvements masturbatoires... c'est à ce moment-là que mon téléphone portable sonna. Pourquoi ne l'avais-je pas coupé celui-ci ? Mais comme toujours dans ces moments-là, on se dit que ça peut être important... Je prends l'appel, un emmerdeur professionnel au sens propre du terme. Quelqu'un à qui j'avais promis quelque chose et que j'ai complètement oublié, je suis trop gentil, je fais des tas de promesses à un tas de gens... Le type n'est pas trop aimable, il faut que je le calme, je m'assois sur la cuvette, le type me cause, me débite un flot de paroles, soudain j'en ai marre, je ne l'écoute plus. La réalité me revient à la gueule, ce boulot qui ne marche plus, les réclamations qui me tombent toutes sur la gueule, mon ménage qui va à l'eau, ma santé qui sans être alarmante m'oblige à me surveiller... Un moment j'avais oublié tout cela avec cette fille sur la terrasse... Quelle idée j'ai eu de descendre ? Je fous le téléphone dans ma poche, la tête me tourne, ça ne va pas fort, je ne me sens pas bien...

 

J'ai dû rester comme ça quelques minutes à moitié dans les vapes, une sorte de malaise. Je refais surface, j'ai l'air fin avec mon sexe qui pendouille à ma braguette, j'ai l'impression d'avoir rêvé de cette fille, c'est flou, mais ça me redonne confiance... Si elle est encore là, je l'aborde, qu'est-ce que je risque ? Je sors de la cabine, je me mets un peu d'eau sur le visage, je me repeigne, et hop je remonte...

 

Elle est toujours là, elle griffonne encore, je rejoins ma place mais sans m'y asseoir, j'attends le moment où elle va rechercher son inspiration.

 

Hop, ça y est !

 

- Bonjour, mademoiselle, je suis représentant en chapeau de paille.

 

Un regard de tueuse ! (De beaux yeux bleus, pourtant) Elle me menace d'appeler le patron du café " qu'elle connaît fort bien " si je ne disparais pas immédiatement... Pas aimable !

 

- Et si je vous disais que moi aussi j'écris des nouvelles érotiques ? Lui lançai-je alors en abordant mon plus joli sourire.

- Je vous ai dit... Hein quoi ? Qu'est-ce que vous racontez ? On se connaît ? On s'est déjà rencontré ? En tous les cas je ne me souviens pas de vous ! Je vous ai peut-être marqué, mais ce n'est pas réciproque !

 

Je vous dis, elle est charmante !

 

Et n'espérant plus grand-chose, je décide d'opter pour le délire complet !

 

- On ne s'est jamais rencontré, du moins dans la vie réelle !

- OK, alors foutez-moi la paix !

- En fait c'est vous qui m'avez créée !

- Euh, pour la dernière fois, vous me laissez, où j'ameute le quartier !

- Mais bien sûr, c'est vous qui décidez, je suis l'un de vos personnages, mais si vous décidez que je dois disparaître, ce n'était pas la peine de me créer !

 

Elle me regarde, dubitative, m'ausculte de la tête au pied.

 

- Comment savez-vous ce que j'écris ? Comment savez-vous qui je suis ?

- Je vous dis, j'écris moi-même, je vous ai observé, parce que j'ai trouvé votre visage intéressant, et puis je me suis dit, elle doit écrire quelque chose de passionnant, et quand je vous ai vu vous porter la main sur votre sein, je me suis dit que ce que vous écriviez devait être très coquin. Euh, je peux m'asseoir ?

 

Et joignant le geste à la parole, je vais pour m'installer en face d'elle !

 

- Non pas là, venez près de moi !

 

Je n'y crois pas !

 

- Ne vous méprenez pas, c'est pour mieux vous gifler si vous dépassez certaines bornes !

 

Je me disais aussi...

 

- Rassurez-vous je souhaite juste parler de l'écriture érotique, c'est un sujet qui me passionne ! Déclarais-je.

- Tu parles ! Vous voulez que je vous dise pourquoi je ne vous envoie plus promener ?

- Ça m'intéresserait en effet !

- Parce qu'il y a des hasards qui m'interpellent. Il n'y pas longtemps, j'ai écrit un truc où je me décris à la terrasse d'un café et un mec s'aperçoit de ce que j'écris et il vient m'aborder.... J'ai l'impression de vivre ma propre nouvelle, c'est dingue non ?

- Dingue, en effet, et ça continuait comment ?

- Justement je n'ai pas su la continuer, mais vous avez peut-être une idée, vous ?

 

J'espère que je ne me goure pas ! Elle s'est rebellée quand elle s'est sentie draguée, et puis c'est l'aspect jeu qui l'a calmé, et qui finalement l'a presque accroché ! Pourvu que ça tienne !

 

- Il était comment votre inconnu ! Macho ? Poète ? Direct ? Compliqué...

- Je ne sais pas ce qu'il était, je sais ce qu'il n'était pas !

- Il n'était pas quoi ?

- Classique ! Je n'aime pas les rapports ordinaires, les faire passe encore, mais les décrire, une pénétration c'est nulle, une fellation c'est toujours pareil, une sodo également. Si vous arrivez à me surprendre, je vous laisse votre chance...

 

Et, voici que je suis tombé sur une compliquée de chez compliqué !

 

- Vous savez ce qui m'a attiré chez vous ? Tentais-je en guise de digression temporaire.

- Mes jambes !

- Pas du tout, d'ailleurs je ne les ai même pas regardé !

- Vous n'aimez pas les belles jambes ?

- Si mais ce n'est pas ça que j'ai regardé, c'est votre chemisier ouvert, ouvert plus que ce qu'on voit d'habitude et je me disais que peut-être je pourrais voir votre téton !

 

La tronche de la fille !

 

- Ça alors !

- Vous n'aviez pas pensé que quelqu'un pourrait le voir !

- Non, je ne me déboutonne qu'ici et... mais... dites-moi vous l'avez vu ?

- Hélas non !

- Je crois que vous allez m'aider à trouver des idées pour la suite de mon histoire. Dit-elle en tout en jetant un coup d'œil dans notre environnement immédiat !

 

Et alors, sans que je m'y attende, elle écarte le bord du tissu et me laisse enfin voir l'objet de ma convoitise. Un téton, c'est un téton et celui-ci n'a rien de vraiment particulier, il est un peu sombre, assez gros et surplombe un sein que j'aurais préféré plus ambitieux, mais que voulez-vous c'est le téton que je rêvais de voir depuis tout à l'heure et il est là devant moi comme une offrande. Mes réactions sont purement physiques, me revoilà en train de bander comme un sapeur.

 

- Si vous saviez dans quel état ça me met ?

- Mais je ne demande qu'à vérifier ! Répond-elle du tac au tac en me mettant la main sur ma braguette qui du coup n'en peut mais...

 

Elle est folle si quelqu'un nous voit... Mais elle retire rapidement sa main !

 

- J'aimerais mettre un prénom sur votre visage ! Repris-je

- Inventez en un puisque vous êtes écrivain !

- Pourquoi pas Nadège ?

- Pourquoi pas, en effet ! Je serais votre Nadège et vous vous serez mon Roméo !

 

Roméo et Nadège ! N'importe quoi !

 

- Mon vrai prénom c'est... Commençais-je !

- Chut, ne me le dites pas, qu'est-ce que ça peut faire, nous ne sommes que des personnages d'histoires érotiques... Au fait, Roméo...

 

J'ai un peu de mal à m'habituer à ce nouveau prénom, je dois bien le dire

 

- Oui, Nadège !

- Savez-vous pourquoi je me mets toujours un chemisier quand j'ai décidé d'écrire, et pourquoi ce chemisier je l'entrouvre plus que nécessaire ?

- Pour pouvoir vous caresser les seins plus facilement.

- Gagné ! J'adore me serrer les pointes des seins, j'adore aussi qu'on me le fasse.

 

Si ce n'est pas un appel du pied, c'est quoi ? Alors j'y vais, je plonge ma main, lui caresse le sein, assez vite puisque ce n'est pas précisément cela qu'elle souhaite et puis j'agace le téton, il est curieux au toucher, une texture un peu velouté, je serre, je tourne, je serre en tournant. Nadège soupire ! Cette affaire tournera-t-elle en rut bestial ou en nœud de boudin ?

 

- J'ai envie de vous ! Finis-je par avouer.

- Ça j'avais compris, mais tu peux me tutoyer !

- Je vous... pardon, je t'emmène à l'hôtel !

- Tu ne m'emmènes nulle part, on y va ensemble, mais pour l'instant on se contentera des toilettes.

- Alors d'accord !

 

Mais mademoiselle reste assise ! Lentement elle range son cahier dans son sac, puis me dit :

 

- Rappelle-toi, il me faut des souvenirs pour mon récit, je veux de l'imprévu, de l'étonnant, n'essaie pas de faire des performances, ce n'est pas ça qui m'intéresse...

 

Un peu embêté, quand même, mais je me disais que ma faculté d'adaptation pourra sûrement m'aider...

 

Nous descendons, un type est en train de s'essuyer les mains, il ne peut pas ne pas nous voir entrer ensemble dans la cabine, et il est d'ailleurs possible qu'il s'en foute complètement. Mais puisque madame veut de la folie, je déverrouille la porte juste après l'avoir verrouillé. On verra bien !

 

Nadège se retourne. Nous sommes face à face. J'ai une envie folle de l'embrasser, mais je me demande si ce n'est pas trop classique pour elle. Par quoi commencer ? Elle ne me laisse pas le temps de réfléchir et déboutonne intégralement son chemisier.

 

J'ai déjà mentionné que ses seins étaient petits, mais l'ensemble est plaisant, ces gros tétons arrogants m'invitent trop à les sucer. Je m'y précipite. Elle a l'air d'apprécier. Pendant ce temps, je baisse mon pantalon et mon slip, libérant ma verge tendue, je ne sais pas trop à quoi elle va servir, mais au moins elle sera prête !

 

- Attends !

 

Nadège se dégage, elle baisse alors sa culotte (un minuscule string noir, en fait) puis, s'assoit sur le bord de la cuvette, et finit de l'enlever !

 

- Tiens, c'est un cadeau ! Ça se fait beaucoup dans les récits érotiques d'offrir son string à n'importe qui ! Me dit-elle avec un sourire malicieux !

- Merci, mais je ne suis pas n'importe qui, je suis un de tes personnages !

- Drôle de personnage ! Ça te fait plaisir au moins parce que si c'est pour la jeter tout à l'heure, autant que je la garde !

 

Je vous dis, parfois elle est charmante !

 

Je renifle l'objet ! Ça pour sentir la culotte, ça sent la culotte, je n'irais pas jusqu'à dire qu'elle est trempée, mais elle bien mouillée. Pour lui montrer que j'apprécie le cadeau, je le lèche un peu, puis finis par le glisser dans ma poche.

 

Toutes ces odeurs me sont montées au cerveau. Nadège se tripote le sexe, contrairement à ce que j'aurais cru il n'est pas glabre, les poils ont juste été semble-t-il légèrement désépaissis. Je me baisse afin d'approcher ma bouche de cet endroit.

 

- Attends !

- Tu n'aimes pas !

- Si, mais j'ai envie de pisser !

- Et alors ? Tu écriras dans ta nouvelle que Roméo a décidé de te lécher le sexe, bien que tu lui ais fait part de ton envie d'uriner.

- Et que c'est à ses risques et périls !

- Absolument.

 

En fait, je ne pense pas qu'elle ait envie, je suppose qu'elle l'aurait fait en préalable. Elle me teste, cherche mes limites. Si c'est ça, c'est mon jour de chance, car des limites je n'en ai pas beaucoup.

 

J'adore pratiquer le cunnilingus, j'y vais à grands coups de langue, commençant par le bas puis remontant, je néglige pour l'instant le clitoris que je me réserve pour la fin, pour la faire jouir, si toutefois ça marche. Je jette un coup d'œil sur ce qu'elle fait, elle se triture ses bouts de seins, c'est une véritable manie. Je continue de lécher. Mais soudain, la porte grince.

 

- Tu as mal fermé !

- La serrure doit être cassée, ne t'inquiètes pas.

 

Il y a en effet neuf chances sur dix que la personne qui découvre ce genre de spectacle laisse faire et reparte, mais c'est surtout au type qui s'essuyait les mains que je pense. Quelqu'un de non averti aurait ouvert la porte en grand, là il l'a juste entrebâillée. Je lui fais signe de venir nous rejoindre !

 

- Tu es fou ! Me dit Nadège !

- Il va juste nous regarder !

- Ça me gêne un peu !

- Tu voulais du surprenant, en voici !

- Alors d'accord !

 

Pas de réaction, j'observe à nouveau, ce voyeur invisible m'emmerde parce que ça m'oblige à interrompre ce que je faisais.

 

- Tu rentres ou tu te casses !

 

Bruits de pas... Il va partir, non il revient, il entre, il n'y plus beaucoup de place !

 

- Tu regardes et c'est tout ! Tu peux te branler, mais tu n'en fous pas partout.

 

Il ne répond pas, sort sa queue et commence à la manipuler. Je reprends mon ouvrage.

 

- Attend !

 

Attend quoi ? 

 

- Colle bien ta bouche, sur mon sexe, et ne bouge plus, je vais essayer de faire un peu.

 

Dingue, elle est dingue, elle va me pisser dans la bouche dans une toilette de bistrot devant un inconnu qui est en train de se branler ! Et moi je suis d'accord ! Comment a-t-elle deviné que j'adorais ça ? Sans doute le vieux principe suivant lequel plus on s'intéresse au sexe, plus on est sensible à l'ensemble de ses pratiques, allez savoir ?

 

N'empêche que j'obéis, j'immobilise ma langue quelques instants avant de recueillir le petit jet de son pipi qu'accompagne une très légère fragrance. J'adore ça ! Plus rien ne vient ! J'attends une éventuelle seconde salve ! Manifestement elle essaie, quelques nouvelles gouttes viennent alors compléter mon bonheur de l'instant.

 

- C'était bon ? S'enquière-t-elle.

- Délicieux !

- On inverse ?

- Je bande de trop !

- Tu vas bien y arriver ! Réplique-t-elle.

 

Elle enlève complètement son chemisier, ça m'a toujours ému de voir une femme avec le haut dénudé et le reste juste débraillé (ou même non retiré, d'ailleurs). J'aime bien la voir comme ça, je lui tripote les épaules, (j'aime bien les épaules), le haut des bras.

 

- Ne me caresse plus, sinon, ça ne va jamais marcher...

 

Elle a raison, je bande de trop pour même juste tenter d'uriner.

 

- C'est de ta faute, tu m'excites de trop ! Tentais-je de m'excuser !

- Tu fermes les yeux, et tu penses à ta dernière engueulade, ça va aller mieux !

 

N'importe quoi ? Voilà qui me rebranche sur mon boulot. Effectivement comme remède à la bandaison c'est radical, je chasse ces pensées trop intruses et vise mon inconnue. Elle m'attend, la bouche ouverte ! Une sacrée coquine. Elle reçoit mon jet, en engloutit une partie, en bave une autre, ça lui coule sur sa poitrine, elle a alors le réflexe de projeter son torse en avant afin de ne pas risquer de mouiller sa jupe, remontée sur sa taille. J'entends derrière moi un marmonnement qui n'a rien d'érotique, c'est notre voyeur dérouté par la tournure des événements qui quitte les lieux. 

 

- Attends ! Me dit Nadège

 

Décidément c'est son mot en ce moment, elle dit toujours " attends " Elle veut que j'attende quoi, je m'arrête de pisser. Et la voilà qui se retourne, elle se place à quatre pattes sur la cuvette, le cul à l'air ! Putain que c'est beau !

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Je me dépêche de lui arroser tout cela avant que je ne rebande (que je ne rebandasse ?) J'ai fini, elle ne bouge pas. J'approche mes lèvres, un bisou sur une fesse, c'est tout humide, mais ça ne me dérange pas, un bisou sur l'autre fesse ! Mais ce trou du cul offert qui s'ouvre devant moi est trop tentant, je m'en approche langue tendue, je goûte à son œillet, ça sent bon la femme, ça sent bon la chair, ça sent bon tout court. Je m'en enivre, je me mouille un doigt, l'approche, guette ses réactions. Va-t-elle me dire encore " Attends " ?

 

- Vas-y !

 

J'avance mon doigt en le tourbillonnant légèrement !

 

- Doucement !

 

Je fais tout doucement ! J'en enfonce la phalange, la phalangine et la phalangette. 

 

- C'est bon, un peu plus vite, maintenant !

 

J'obtempère ! 

 

- Attends !

 

Ça recommence !

 

- Retire-le et remet de la salive !

 

Si je n'avais pas été excité comme je l'étais je n'aurais jamais fait une chose pareille, mais je n'hésitais pas, je ressortais mon doigt, évitais de le regarder, le portais à ma bouche, l'humectais aussi vite que possible et recommençais mon geste...

 

- T'es pressé ?

 

La phrase que j'attendais depuis le début, je suppose qu'en répondant oui, nous irons conclure ailleurs nos ébats, lui donnant ainsi de quoi alimenter la fin de sa nouvelle

 

- Je peux m'arranger !

 

Du coup elle s'essuie les endroits de son corps qui sont restés mouillés avec du papier toilette, je l'aide un peu. On se refroque, on s'apprête à sortir et c'est à ce moment-là que mon téléphone portable sonne. 

 

- Je te laisse répondre, tu me rejoins là-haut !

 

Pourquoi ne l'avais-je pas coupé ce con de téléphone ? Mais comme toujours dans ces moments-là, on se dit que ça peut être important... Je prends l'appel, un emmerdeur professionnel au sens propre du terme. Quelqu'un à qui j'avais promis quelque chose et que j'ai complètement oublié, je suis trop gentil, je fais des tas de promesses à un tas de gens... Le type n'est pas trop aimable, il faut que je le calme, je m'assois sur la cuvette, le type me cause, me débite un flot de paroles, soudain j'en ai marre, je ne l'écoute plus. La réalité me revient à la gueule, ce boulot qui ne marche plus, les réclamations qui me tombent toutes sur la gueule, mon ménage qui va à l'eau, ma santé qui sans être alarmante m'oblige à me surveiller... Un moment j'avais oublié tout cela avec Nadège... Quelle idée j'ai eu de décrocher ? Je fous le téléphone dans ma poche, la tête me tourne, ça ne va pas fort, je ne me sens pas bien...

 

J'ai dû rester comme ça quelques minutes à moitié dans les vapes, une sorte de malaise. Je refais surface, j'ai mal au sexe, j'ai l'impression d'avoir rêvé de cette fille, c'est flou, mais ça me redonne confiance... Si elle est encore là, je l'aborde, qu'est-ce que je risque ? Je sors de la cabine, je me mets un peu d'eau sur le visage, je me repeigne, et hop je remonte...

 

Elle est encore là ! Elle ne griffonne plus ! Elle me regarde bizarrement ! Je m'assois à ma place ! Je ne sais comment l'aborder ! Putain je fais des rêves en plein jour ! Son visage exprime l'incompréhension, je dois lui faire peur ou quoi ? Je vais mal finir... L'asile psychiatrique, les calmants, les piqûres, les électrochocs, les infirmiers sadiques, les autres fous. Me calmer... Le docteur m'avait filé un médicament à prendre en cas de crise, c'est le moment, il est dans une petite boite métallique, toujours prêt au fond de ma poche, c'est pour me calmer le cœur si tout s'emballe. Je mets la main dans mes fouilles, il y a quelque chose d'humide, un tissu... C''est quoi ce truc ? Et voilà que je déballe en pleine lumière un petit string noir de rien du tout !

 

Tilt !

 

Je m'assois. La tête me tourne, je me la tiens entre mes mains ! 

 

- Ça ne va pas ? Qu'est ce qui t'arrive ? C'est le téléphone ? Tu as appris une mauvaise nouvelle ?

 

Elle me saoule !

 

- Nadège, je ne t'ai pas rêvé ? On a fait tout ça en vrai ?

- Bien sûr ! Bouge pas je vais te demander un verre d'eau !

 

Elle revient vite, elle est devant moi, elle est belle désirable ! Je me bois mon verre de flotte !

 

- Ça va mieux ?

- Oui, merci !

- On fait quoi ? Demande-t-elle.

- On va faire des choses coquines !

- Tu ne vas pas me tomber dans les pommes ?

- Mais non ! Maintenant que tu m'as créé je crois que je vais prendre goût à la vie !

 

Elle me dévisage, peu rassurée ! Je me lève, lui prend le bras et l'entraîne hors du bar.

 

Je suis condamné à la satisfaire, je ne suis qu'un de ces personnages, si elle me raye d'un coup de plume, je n'existerais plus. Tiens bon Roméo !

 

Septembre 2003

© Nicolas Solovionni

nikosolo@hotmail.com

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Lundi 1 septembre 2003 1 01 /09 /Sep /2003 19:05

Une bonne fessée pour Marie, texte proposé par Cosi-Cosa

 

scat

   RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Ce texte dont nous aimerions connaître l'auteur est paru primitivement sur le site de Sophiexxx.com (aujourd'hui fermé) sous le Titre Original : LA FESSEE ET LE CAVIAR, puis sous le même titre qu'ici sur Revebebe qui l'a ensuite archivé. Cosi-Cosa nous a proposé de l'éditer sur notre site sans rien en modifier

Ce texte décrit des pratiques un peu limites, ce sont mes fantasmes à moi et je n'en ai pas honte. Mais si vous craignez d'être choqué, n'allez pas plus loin ! Vous voici prévenus.

Un jour, alors que je rentrais du travail, je trouvais Marie dans la cuisine, penchée en avant, ramassant les morceaux d'un verre qu'elle venait de laisser tomber. Elle était vêtue d'un chemisier et d'une jupe courte qui, dans la position où elle était, laissait entrevoir le début de ses fesses, ce qui me donna des idées on ne peut plus salaces. M'approchant d'elle, alors qu'elle venait de se redresser, je l'embrassais légèrement sur ses lèvres et, tout en caressant ses fesses, je lui disais en souriant :

- Cela mérite au moins une fessée !

Me prenant au mot, elle me répondit :

- Si tu penses que je le mérite, alors punis-moi !

Cet accord tacite me fit brutalement bander et, la penchant en avant pour bien dégager ses fesses, je soulevais sa jupe et commençais à la fesser, d'abord doucement et en me limitant aux zones recouvertes par le slip. Progressivement, j'appuyais mes coups en commençant à claquer la peau nue. A un moment, Marie poussa un cri et je lui demandais si je devais m'arrêter. Elle me répondit :

- Non, au contraire, vas-y plus fort !

Je baissais alors sa culotte et frappais alternativement et de plus ne plus fort ses fesses qui, sous les coups devenaient cramoisies. A chaque coup, Marie poussait un cri mais ne voulait toujours pas refuser la " correction ". M'arrêtant, je passais mes doigts dans sa fente et me rendais compte qu'elle était toute mouillée, témoignant de son excitation.

spanking glassJe décidais d'aller plus loin dans la correction. Je redressais Marie et lui demandais de maintenir sa jupe soulevée. Puis j'enlevais ma ceinture et commençais à la fouetter, d'abord doucement, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que chaque coup de ceinture marque ses fesses d'une traînée rouge accompagnée d'un cri et d'un mouvement de recul. Je m'arrêtais, vérifiais que sa fente était toujours aussi " émoustillée ", puis enlevais sa culotte que j'enfonçais dans sa bouche afin que ses cris ne réveillent pas tout le quartier. Puis je dégrafais sa jupe et lui demandais d'écarter les jambes. Je recommençais alors à la fouetter, en accentuant bien mes coups, d'abord sur ses fesses déjà bien striées, puis sur ses cuisses. A chaque coup, elle poussait un gémissement étouffé par le bâillon, et je lui demandais si elle voulait que je m'arrête. Devant son mouvement de tête négatif, je continuais la correction en portant mes coups, d'abord à l'intérieur de ses cuisses, puis sur son sexe, la ceinture allant claquer son pubis. Au premier coup, elle resserra ses jambes, puis les écarta à nouveau, encore plus qu'auparavant, m'invitant à continuer, ce que je fis avec bon cœur. A chaque coup, elle faisait un bond mais maintenait ses jambes écartées, attendant les prochains coups.

Après avoir fouetté son entrejambe pendant plusieurs minutes, je m'arrêtais et lui enlevais son bâillon, puis baissant mon pantalon, je pénétrais sa chatte toute humide, ce qui la fit gémir, non plus de douleur, mais de plaisir. Après quelques mouvements de va-et-vient profonds et amples, je la penchais en avant et, me positionnant devant son anus, la sodomisait brutalement et m'enfonçais jusqu'à la " garde " dans son cul. Elle poussa un cri puis commença à bouger d'avant en arrière, pendant que ma main, tenant toujours sa culotte humidifiée par ses sécrétions vaginales et sa salive, allait branler son clitoris. Je la pistonnais de plus en plus rapidement, réveillant des cris mêlés de plaisir et de douleur, alors que j'enfonçais toute sa culotte puis quatre doigts dans son vagin largement ouvert. Brutalement je déchargeais dans son cul, alors qu'elle atteignait l'orgasme en poussant un long gémissement et en plaquant ma main aussi loin que possible dans sa chatte.

Une fois calmé, je me retirai et, alors qu'elle était toujours penchée en avant, je la contournai et lui donnai ma queue encore raide et pleine de foutre et de trace de merde à nettoyer, ce qu'elle fit sans recul. Parallèlement, je retirais sa culotte de sa chatte et nettoyais son anus largement ouvert qui laissait échapper quelques traces de foutre. Brutalement, je quittais sa bouche et, m'agenouillant derrière elle, je commençais à lécher son trou du cul, ma langue pénétrant aussi loin que possible son rectum. A un moment, Marie me demanda d'arrêter car la présence de mon sperme, de ma langue et certainement de selles, comme l'avais montré ma queue souillée, lui donnait envie de chier. Cette idée me fit bander à nouveau, et, voulant voir jusqu'où Marie était prête à aller, et, surtout, envisageant la réalisation d'un fantasme on ne peut plus dérangeant, à savoir, lécher et pénétrer avec sa langue le cul d'une fille qui vient de se soulager, je plongeais mon index profondément dans son rectum, rencontrant rapidement une masse souple, que je malaxais légèrement avant de retirer mon doigt. Ce dernier était effectivement couvert de merde, ce que je montrais à Marie qui, semblant lire dans mes pensées, me demanda avec un sourire espiègle de le lécher, ce que je fis sans hésitation, permettant ainsi de connaître le goût particulier, gras et musqué de la merde. Une fois nettoyé, je replongeais mon index dans ses entrailles à la recherche du " cadeau " qui nous attendais. Puis, je le retirais, à nouveau couvert de merde, et je le présentais à Marie qui, sans plus d'hésitation que moi, le lécha avidement. A l'évidence, la soirée s'annonçait chaude et odorante. Toutefois, par acquis de conscience, je lui demandais si la suite du programme, c'est à dire jouer avec sa propre merde, lui posait un problème. Devant sa réponse négative, nous nous déshabillâmes complètement puis j'allais chercher une grande serviette de toilette que j'étendais dans la salle de bain. Notre " salle de jeux " était prête.

fin de l'épisode 

 

Par ? - Publié dans : Cosi-cosa
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Mercredi 20 août 2003 3 20 /08 /Août /2003 16:52

Psys en Folies

par Estonius

 

BiteFlag

 

Je ne le voyais pas comme ça le psy, il est assez jeune, grand, blond quoique probablement décoloré, de beaux yeux bleus, il doit avoir un succès fou auprès des femmes.

 

- Monsieur Etienne ! Asseyez-vous ! Donc c'est la première fois que vous venez me voir ?

 

Le ton était jovial, rassurant, professionnel....

 

- Oui !

- Avez-vous déjà consulté certains de mes collègues auparavant ?

- Non !

- Bien. Dites-moi ce qui vous amène, je suis là pour vous écouter.

- Voilà, c'est très simple : j'ai découvert que j'étais bitophile, je me demande si c'est vraiment normal ?

- Bito quoi ?

- Bitophile !

- Ah ? Vous êtes sûr du mot ? Parce ce que c'est la première fois que je l'entends, mais il y a toujours une première fois, n'est-ce pas, hi, hi, hi !

- Ben, oui, j'ai trouvé ce mot sur Internet. Je vous ai noté la référence du site, si ça vous intéresse.

- Ah ! Ben oui, pourquoi pas ? Donc en un mot bitophile c'est quoi ?

- Je n'aime pas les mecs, mais j'aime bien leurs bites.

- Ah ! donc vous êtes un peu bisexuel.

- Non justement c'est ce qu'explique l'article, je ne suis pas bisexuel, je suis bitophile.

 

Je crus sentir un soupçon d'agacement chez le psy devant ce qu'il devait prendre pour de l'entêtement.

 

- Ok ! En fait vous avez de forts penchants homosexuels, et vous n'osez pas franchir le pas !

- Pas du tout, j'adore les femmes, je n'arrête pas de les mater dans la rue !

- Parce que vous vous mentez à vous-même...

 

Tout ça pour en arriver là ! Je n'étais pas venu chez un spécialiste pour entendre ânonner les mêmes bêtises auxquelles j'avais eu droit sur les forums de discussion. Je me levais !

 

- On va laisser tomber, dites-moi combien je vous dois ?

- Attendez, attendez, ça fait partie du jeu, enfin... de la mise en condition... c'était pour voir jusqu'où vous pourriez aller ! Mentit honteusement le psy. Essayons de raisonner autrement... Quand vous voyez un sexe d'homme, une bite comme vous dites, ça vous fait quoi ?

- Je la regarde, et si le mec est d'accord, je la touche et parfois je la suce !

- Vous fréquentez donc des endroits on l'on fait ce genre de choses ?

- Fréquenter, c'est un grand mot, disons que j'ai fait quelques rencontres dans des cinémas pornos.

- Racontez-moi.

- Et bien parfois il y des mecs qui se masturbent, j'ai remarqué que parfois ils y en avaient qui ne disait rien si leur voisin les masturbait à leur place. Je dirais même qu'il y en qui ne demande que ça, ils arrêtent de se branler et lancent un regard d'invitation à leur voisin.

- Intéressant ! Bredouilla le psy, assez troublé par mes évocations. Dommage que je n'aie pas de télé ici on aurait fait une simulation !

- Une simulation ?

- Oui, remarquez, on n'aurait peut-être pas besoin de télé... J'ai une idée... Euh, je vais vous demander cinq minutes…

 

Le psy sort alors un gros volume de sa bibliothèque, il l'ouvre, feuillette des pages. Curieux comme je suis j'essaie de voir ce qu'il lit. Mais c'est vraiment trop technique pour moi... Et puis il arrête de lire, il pose son coude sur le bureau, paume ouverte, se niche le menton dedans et regarde au plafond... Je ne sais pas à quoi il réfléchit, mais ça y va ! Puis le voilà qu'il se met à modifier la position de son ordinateur, puis insatisfait du résultat, il le replace comme il l'était au départ.

 

- Bon, aller, on va la faire la simulation ! Prenez votre siège et venez vous asseoir à côté de moi !

 

Je me demande ce que peut cacher une telle requête, mais j'obtempère. Il se branche ensuite sur Internet.

 

- Voilà, on va se brancher sur un site de cul, vous avez peut-être une préférence, un site gay par exemple ?

- Mais non…

- Dites-moi un thème, quelque chose qui vous excite !

- Des gros seins peut-être... Mais excusez-moi d'être curieux, vous voulez faire quoi ?

- Une simulation. Laissez-vous faire et obéissez-moi, laissez-vous allez complètement, il faut absolument que nous retrouvions l'ambiance de ce cinéma et après je pourrais analyser vos réactions. Je voudrais vous entendre dire que vous me faite entièrement confiance.

- Bon admettons, je vous fais confiance.

- Donc on est au cinéma, regardez bien les images, tenez, prenez la souris... Non il faut que vous soyez passif, je vais m'en occuper. Oubliez que je suis votre psy, on fait une reconstitution, je suis votre voisin de cinéma !

 

Je commence à comprendre, il est devenu fou !

 

- Vous n'allez tout de même pas...

- Chut, vous m'avez dit que vous me faisiez entièrement confiance.

- Oui, mais…

- On est obligé de passer par cette phase, nous sommes en séance de thérapie. Répétez après moi, "je suis votre voisin, nous sommes au cinéma".

- Vous êtes mon voisin, on est au cinéma.

- Et qu'est-ce qu'il a fait votre voisin ? Soyez le plus précis possible, on n'est pas pressé.

- Il s'est d'abord caressé la braguette, puis…

- Pas trop vite, pas trop vite ! Il s'est caressé comme ça ?

 

Et spectacle incroyable, voilà mon psy qui se tripote la braguette avec une telle conviction que je la vois grossir à vue d'œil !

 

- Et après ?

- Il l'a sorti, et il s'est masturbé, comme ça, la bite à l'air.

- Allons-y !

 

Le psy se débraguette, sort une fort jolie queue bien droite au gland luisant et tirant vers le mauve. La situation commence à m'exciter, et je me sens bander à mon tour, sans doute est-là la reconstitution que souhaitait ce curieux praticien ?

 

- Donc ensuite ?

- Et, bien ensuite, je me suis mis à admirer cette très belle quéquette…

- Comme en ce moment ?

- Exactement ! Et alors j'ai sorti la mienne et je me suis masturbé à mon tour.

- Allez-y, il faut que la reconstitution soit complète !

 

Mais il n'avait nul besoin d'insister, je suis tellement excité par la situation que je sors mon membre hyper bandé et que je le masturbe assez lentement afin d'éviter de jouir prématurément

 

- Continuez à raconter !

- Le gars lorgnait vers mon propre sexe, un moment il s'est arrêté de se toucher et m'a fait une espèce de signe comme pour m'inviter à prendre sa place.

- Comme ça ?

- Oui, un truc comme ça !

- Continuons la reconstitution.

- Vous voulez que je vous touche ?

- Mais bien sûr ! Je suis votre voisin de cinéma en ce moment, n'ayez aucune appréhension, répétez tous les gestes que vous avez fait.

 

Je m'empare alors de la verge du psy que je masturbe quelques instants. Elle est douce, soyeuse agréable au toucher, bref un vrai plaisir pour le bitophile que je suis… Vais-je avoir le courage d'aller jusqu'au bout ? La reconstitution comme il dit, a-t-elle réellement besoin d'aller jusque-là ?

 

- Et après je l'ai sucé ! Arrivais-je à prononcer dans un souffle.

- Montrez-moi ! M'encourage-t-il.

 

J'embouche le membre du psy dont le gland perle déjà d'une fort jolie goutte, et sans plus de manière j'entame une fellation en combinant mes lèvres et ma langue. Elle est trop bonne cette bite, je me régale ! Et le spécialiste a l'air d'apprécier, il est complètement pâmé et pousse de petits cris. J'essaie de ralentir mon rythme, mais il proteste d'un :

 

- Continue c'est trop bon !

 

Tutoiement dû aux circonstances ou soucis extrême de la reconstitution ? Toujours est-il qu'il m'éjacule carrément dans la bouche ! Je n'avale pas, je n'aime pas trop et recrache tout dans un kleenex. Je suis toujours aussi excité. Le psy lui, est en train de récupérer.

 

- Et, bien dites donc, vous sucez très bien mon ami ! S'exclame-t-il ! C'était très bon… Où en étions-nous, ah oui, alors donc, ça s'est passé comme ça avec votre voisin ?

- En fait, non, il n'a pas joui, il ne voulait pas… alors au bout d'un moment il m'a dit d'arrêter, et il est parti s'asseoir ailleurs, mais j'étais quand même content de l'avoir bien sucé…

- Ça veut dire que toute la fin de la reconstitution est ratée ! Ce n'est pas grave, il faudra probablement plusieurs séances pour que j'arrive à y voir clair… Mais dites-moi vous n'avez pas joui alors ?

- Si ! Mais plus tard, j'ai un peu tourné dans le cinéma, j'ai branlé deux ou trois queues, et puis j'en ai eu marre, je suis sorti et j'ai été voir une professionnelle !

- Oh, là là ça se complique ! Et la maintenant tout de suite, vous avez envie de jouir !

- Ben, oui ça m'a drôlement excité tout ça !

- Voulez-vous que je vous aide à jouir. Je vous demande ça par pure conscience professionnelle, soyez en persuadé.

 

Stupéfait devant une telle proposition je bafouillais un "je ne sais pas", mais le psy insiste et argumente

 

- Chez nous, il faut considérer le sexe comme quelque chose de très banal, banal mais agréable, très agréable comme par exemple boire un verre d'eau quand on a soif ou se mettre une musique que l'on aime. Le jour où les gens auront banalisé le sexe, on n'aura plus besoin de sexologues ! Donc qu'est-ce qui vous ferait plaisir ? Une branlette ? Une fellation ?

- Non, non, ça va aller !

- Auriez-vous un autre fantasme ? Quelque chose dont vous n'avez pas encore osé me parler ?

- Non, non.

 

Il devient collant le mec !

 

- Je ne vous propose pas de me sodomiser, je n'ai pas bien l'habitude… Quoi que si vous insistez on peut peut-être s'arranger ! Hi ! Hi !

- Laissez tomber !

 

Et je fis le geste de ranger ma biroute dans ma braguette. C'était sans compter sur la vitesse de réaction du psy qui ne me laissa pas terminer et vint poser sa main dessus. Une onde me traversa, je le laissais faire… Il me masturbe quelques instants avant de s'accroupir devant moi, pour ouvrir une large bouche engouffrant mon sexe de son palais, le léchant de sa langue, l'embrassant de ses lèvres. Une main officieuse vint pendant ce temps me caresser les testicules, alors qu'une autre s'amusait à caresser l'entrée de mon petit trou (il a combien de mains ce mec ?) Le résultat ne se fit pas attendre, j'éjaculais dans sa bouche en quelques longues giclées, et retombait le cul sur ma chaise, groggy.

 

- C'est très bien, vous pouvez vous rincer, il y a un petit lavabo, là-bas ! Je commence à y voir un peu plus clair dans votre problème, sauf que je ne comprends pas ce besoin d'avoir eu recours à une prostituée, il faudra que nous fassions une autre reconstitution. Voyons, mon assistante médicale est en repos, mais elle sera là Jeudi. Jeudi à 20 heures ça vous va ?

 

Je lui répondis qu'effectivement ça m'allait très bien, et sortis du cabinet en oubliant de payer la consultation. Ce psy était complètement frappé ou alors il avait eu un coup de folie assez grave, pourtant je m'étais laissé prendre au jeu, et je ne regrettais rien, mais pour répondre à mes questions existentielles sur la bitophilie il faudra sans doute que j'aille consulter un de ses confrères. Et quant à ce rendez-vous jeudi prochain, il pourra toujours m'attendre, je ne vais pas me prêter à ce genre de charlatanerie une seconde fois. Quand même, il espère quoi ? Faire participer une secrétaire médicale ! Et d'abord, elle est comment la secrétaire médicale ? Et comment va-t-il faire pour la convaincre de se livrer à ce genre de reconstitution burlesque ? Bon, c'est décidé, je n'irais pas !

 

Je reçu deux jours après, un petit carton signé du psy, où celui-ci me confirmait le rendez-vous du jeudi. Il en profitait pour me rappeler que j'avais oublié de le régler, que ce n'était pas grave, et pour m'informer que par "commodité", il serait bien que j'emporte du liquide pour ce faire !

 

Il m'emmerde, je lui enverrais un chèque par la poste, histoire d'être régulier, mais pour la seconde séance, c'était niet, c'était nada, c'était pas question...

 

Le lendemain :

 

...à moins que j'y aille juste pour voir, mais juste pour voir...

 

Le jeudi suivant dans le cabinet du psy :

 

- Entrez, donc Etienne, vous permettez que je vous appelle par votre prénom, nos rapports n'en seront que plus simples, vous pouvez d'ailleurs faire la même chose, je me prénomme Sylvain…

 

Le flash ! Je me foutais un peu de ce qu'il me racontait, n'ayant d'yeux que pour la créature féminine assise au bout de la pièce et qui me dévisageait tout sourire ! C'était donc elle la secrétaire médicale ! Quand je pense que j'avais failli ne pas revenir...

 

Grande brune, le teint légèrement mat, les yeux noirs, le nez finement dessiné, de belles lèvres entourant une bouche délicatement ouverte, elle était vêtue d'une sorte de débardeur rouge mettant en valeur de belles épaules luisantes. Le vêtement semblait assez collant, mais je quelque peu contrarié de constater que la poitrine n'était guère volumineuse... On ne peut pas tout avoir !

 

- Voilà donc, Barbara, une consœur, il nous arrive de travailler ensemble quand nous tombons sur des cas intéressants et complexes.

 

Une consœur ? Ah bon ? Il me semblait qu'il m'avait parlé d'une assistante, amis ma mémoire me joue peut-être des tours ?

 

La nana me fit une espèce de petit bonjour de la tête, sans me tendre la main ! Bêcheuse !

 

- Bien Etienne, autant commencer tout de suite, nous allons reconstituer votre visite chez la prostituée ! Barbara va donc jouer ce rôle. Vous allez essayer de refaire tous les gestes que vous avez faits, de redire toutes les paroles importantes.

 

J'étais un peu embêté, le fait d'aller raconter mes petites perversions devant cette femme ne me disait rien. J'essayais d'atermoyer...

 

- Mais vous savez, j'ai rien fait de spécial, juste une petite passe avec deux ou trois fantaisies ! Tentais-je de temporiser.

- Allez faites-nous confiance ! Reprit le psy, donc vous êtes dans la rue et vous abordez une fille ? Vous l'avez choisi comment ? Vous avez mis longtemps à faire votre choix ?

- Mais non, je suis monté avec une fille que je connaissais et avec qui je monte de temps en temps...

- Ah ! Reprend le psy ! Et elle était sur le trottoir ?

- Oui !

- Donc vous l'avez abordé ! Vous allez vous adresser à Barbara de la même façon que vous êtes adressé à cette personne !

- Mais je ne lui ai rien dit d'extraordinaire.

- Peu importe, quand ce sera fini, nous trierons ce qui est important ou pas, et parfois on a des surprises

 

N'importe quoi, on me fait faire n'importe quoi ! Je m'approche de Barbara !

 

- Bonjour ! Ça va ?

- Qu'est-ce qu'elle vous a répondu ? Intervient Barbara dont je découvre la voix pour la première fois

- Elle a dû dire ! " Bonjour, je t'emmène ? et j'ai répondu "oui" et on est monté !

- Bonjour je t'emmène ? Répète Barbara.

- Oui !

- Vous avez discuté dans l'escalier ! Demande le psy

- De la pluie et du beau temps, je ne me rappelle pas bien...

- OK : Don vous êtes dans la chambre ! Qu'est ce qui se passe alors ? Reprend-il

- Ben je sors l'argent, je le dépose sur la petite table et je commence à me déshabiller, elle aussi !

 

Je suis curieux de savoir comment le psy va nous faire mimer une chose pareille. Il ne va tout de même pas nous demander de nous foutre à poil ?

 

- OK ! Faites comme vous avez fait et sortez l'argent !

- Je dois sortir l'argent ?

- Oui, on répète les mêmes gestes, Monsieur Etienne...

 

C'était donc pour cela qu'il m'avait demandé du liquide ! Je pose le fric sur un coin du bureau. Barbara anticipe alors et va pour le ramasser !

 

- Non, elle ne ramasse l'argent que quand c'est fini ! C'est exprès, c'est pour éviter les contestations... et puis le client n'a pas besoin de savoir où elle range tous ses sous !

 

Barbara qui ignorait ce détail repose l'argent sans discuter...

 

- Le déshabillage, il y a un rite ? Demande-t-elle. Elle enlève tout ?

 

Elle va donc vraiment le faire ! Je lui réponds que ça doit dépendre des clients, mais qu'en ce qui nous concerne on se déshabille chacun de son côté tout en parlant de banalité... Lesquelles banalités, j'ai beau faire un effort je ne m'en rappelle pas, Une banalité, c'est une banalité quoi !

 

Toujours est-il que pendant que je me déshabille j'ai la vision sublime de Barbara s'effeuillant en me tournant le dos dans un geste de pudeur quelque peu incongru. Elle se met d'abord torse nu, avant de retirer son pantalon, puis sa petite culotte. Elle a de superbes jolies fesses bien rebondies. Elle se tourne, comme je le pressentais ses seins ne sont pas très gros, par contre les pointes le sont ! Le rêve va-t-il se continuer jusqu'à me permettre de les sucer ! Rien que de l'envisager me voici en érection. Elle est superbe cette femme, elle a un petit ventre, une petite toison épilée en maillot ! Craquante !

 

- Vous avez oublié de retirer vos chaussettes, me fait remarquer le psy !

- Je ne les retire jamais !

 

Il découvre un tas de choses, le mec, ce soir !

 

- Donc après vous avez été sur le lit... on va dire que le divan fera l'affaire !

- Non pas tout de suite, j'aime bien d'abord l'enlacer quand on est debout. Je lui pelote un peu les fesses, je lui fais des bisous sur les seins !

- Ah ! Reprend le psy qui soudain à l'air ennuyé ! Barbara doit-on continuer ?

- Il est trop tard pour reculer mon cher Sylvain ! Répond-elle ! Allez-y Monsieur Etienne, venez me peloter les fesses et me sucer les seins. Mais attention, n'en faites pas plus que ce que vous avez fait avec cette personne. Il faut absolument rester dans le jeu !

 

Je me colle carrément contre Barbara, ma bite dressée se retrouve coincée contre son ventre. Elle a un petit mouvement de recul qu'elle surmonte vite, je lui caresse les fesses sans brutalité. Elle ne sait pas trop quoi faire de ses mains

 

- Je suppose qu'elle vous caresse aussi ?

- Oui, oui !

 

Elle m'effleure timidement le dos. Je me recule un tout petit peu, puis penche la tête, ce gros téton m'attire comme si je venais de découvrir une fraise des bois dans un fourré, j'y porte la langue, le titille, puis referme mes lèvres. Barbara pousse un soupir, je fais subir le même traitement au second et ne voulant pas abuser de la situation, j'annonce moi-même la suite des événements.

 

- Après elle m'a posé un préservatif et m'a demandé ce que je souhaitais qu'on fasse aujourd'hui.

 

Je commence à m'amuser, me rendant à présent compte des avantages que je pouvais tirer de la situation. Quelque chose cependant me retiens, j'ai l'impression que si ces deux-là s'aperçoivent que je sors de leur jeu, tout s'arrêtera, alors finalement je prends le parti inverse et évite de les embarrasser, ainsi je passe sous silence le fait que ma petite pute préférée me plaçait le préservatif en se servant de sa bouche. De toute façon ce détail, n'influera probablement pas sur l'analyse psychanalytique que ne manquera pas de faire ce bien curieux docteur... Barbara m'enfile donc le condom sans difficultés particulières puis me demande :

 

- Que souhaitez-vous qu'on fasse aujourd'hui ?

- Euh, en principe on se tutoie ! Rectifiai-je

- Que... que... que souhaite tu que l'on fasse aujourd'hui ? Corrige-t-elle alors !

 

On dirait presque que de me tutoyer est pour elle plus contraignant que de se laisser peloter les fesses. Les gens sont curieux parfois !

 

- Je voudrais que tu t'occupes de mon petit cul, tu vas me donner un peu le martinet, et après tu me mettras un doigt... Et pour finir tu me feras une pipe.

 

Echanges de regards entre le psy et Barbara.

 

- Pouce ! Dit Barbara...

 

Ça y est, elle se dégonfle ! Me dis-je. Mais non, elle s'inquiète simplement du fait qu'elle n'a pas de martinet et se demande par quoi on pourrait bien le remplacer

 

- Une ceinture ! Suggérais-je

- Sylvain, prête-moi ta ceinture ! Demande-t-elle

 

Tiens, ils se tutoient ces deux-là ! Je me rends compte que ça risque d'être n'importe quoi, on ne s'improvise pas fouetteuse. Ou bien elle va me faire mal, ou bien je ne vais rien sentir du tout ! Le premier coup claque ! Limite.

 

- Comme ça, pas plus fort !

- Je t'en donne combien ?

- 20 !

 

Barbara continue de frapper, elle s'en sort pas mal et moi je suis tout excité, aussi bien par la prestation que par la situation. Le psy lui regarde la scène avec des yeux exorbités, il a l'air passionné, je suis sûr qu'il bande comme un cerf. Le 20ème coup donné, elle s'inquiète de ne pas avoir de gant en latex pour la suite. Je lui précise que ma petite pute préfère pratiquer la chose le doigt nu ! Elle n'insiste pas et après l'avoir humecté de sa salive m'introduit son index dans le troufignon. Puis se livre à une série d'allers et retours ! C'est trop bon, le frottement sur ma prostate commence à faire son effet. Quant au psy le voilà soudain occupé à griffonner un paragraphe entier sur son cahier. Facile, j'ai compris, il va me sortir une théorie disant que ma recherche du plaisir anal est aussi une façon d'affirmer mes tendances homosexuelles. N'importe quoi, et quand je lui ai sucé les tétons à la Barbara, c'était quoi comme tendance ?

 

- Je continue ? demande Barbara !

- Non, c'est bon ! Tu peux me sucer maintenant ?

 

Elle va pour s'accroupir. Je lui indique qu'il est dans mes habitudes de faire ça allongé et je m'installe sur le canapé... Pour l'instant je n'avais pas encore dit à ce joyeux couple de psy la façon dont j'avais joui, je n'osais pas. Mais l'excitation étant à son maximum et avant qu'elle ne dirige sa bouche vers ma verge j'interviens.

 

- Au moment de la pipe, elle a voulu me faire plaisir et s'est souvenue que parfois j'aimais bien qu'elle me pisse dans la bouche, alors on s'est mis en 69 et elle m'a envoyé quelques gouttes dans le gosier, après je lui ai sucé la chatte pendant qu'elle me faisait jouir.

 

Nouvel échange de regards entre Barbara et le psy

 

- On peut peut-être simplifier cette séquence ? Avance timidement Sylvain.

- Vu l'état dans lequel je suis, je n'ai pas envie de simplifier, par contre je me demande si je vais pouvoir faire ça...

 

Barbara s'est donc mise sur moi en soixante-neuf ! Je m'apprête à lui lécher la chatte !

 

- Non, attends que je me concentre, sinon je ne vais jamais y arriver !

 

Je ne bouge pas, elle non plus se contentant de me masturber mollement la verge afin de maintenir son érection.

 

- Je crois que ça vient ! Dit-elle au bout d'un moment !

 

J'ai la bouche ouverte, j'attends, quelques gouttes atterrissent au fond de ma gorge, puis un petit filet, puis ça va bien trop vite, elle ne sait pas pisser par à-coup, alors évidemment j'en fous partout, mais elle ne s'en rend pas compte et lorsqu'elle sait avoir fini elle se précipite vers ma bite afin de la sucer par-dessus le revêtement de latex. De mon côté, je lape sa vulve, la nettoie de l'urine qui en est encore imprégnée, mais déjà le goût a changé et tire vers le sucré, Barbara mouille telle une fontaine. Elle ne tient plus en place, se trémousse, pousse des petits cris, je redouble d'ardeur, concentrant le travail de ma langue sur son clitoris. Et alors que je ne m'y attendais pas (du moins pas si vite) la voici qui pousse un cri fulgurant, elle vient de jouir, elle se raidit un moment, puis retombe comme un soufflé. Sa bouche a abandonné ma bite, elle continue néanmoins avec la main, je sens que ça vient. Je le lui dis. Bonne fille elle replonge alors vers ma verge et l'engloutit tandis que je jouis dans la capote.

 

- Ben alors Barbara ? S'inquiète le psy

- C'est malin, je suis complètement entrée dans le trip !

- Je croyais que les prostituées ne jouissaient pas ? Remarque Sylvain.

- Disons qu'elles jouissent très rarement... du moins pendant le travail... mais ça arrive.

- Je vois ça ! Qu'est ce qui s'est passé après, Monsieur Etienne ?

- Ben elle m'a retiré le préservatif, j'ai été me rincer, puis on s'est rhabillé en parlant de choses et d'autres, puis je lui ai fait un petit bisou et je suis parti...

- Oui, ben on arrête de jouer, je suis crevée ! Prévient Barbara.

- Tu ne veux pas qu'on fasse la suite ?

- Si on va la faire, mais sert-nous un verre de flotte.

 

Moi je suis là comme un con, je ne sais même pas si je dois me rhabiller. On a la bonté de me servir un verre d'eau que j'engloutis prestement.

 

- Et puis, j'ai faim, moi, on pourrait commander des pizzas pour tous les trois et on fera la suite après ! Intervient de nouveau Barbara

 

La suite ? Quelle suite ?

 

- Ecoute, Barbara, je ne peux plus tenir, me fait pas attendre plus longtemps, après si tu veux, on ira au restau et si tu veux et si Monsieur Etienne veut bien, on l'emmène aussi.

- Bon alors c'est parti pour l'acte 3 ! Concède Barbara !

 

La voici qui se rhabille ! Je vais pour l'imiter !

 

- Non, en ce qui vous concerne, nous allons vous demander de rester nu et de vous asseoir sur le divan. Me dit-elle

 

Je ne cherche pas à comprendre. Et d'ailleurs Barbara ne remet que ses sous-vêtements.

 

- Etienne, nous allons jouer une scène complètement improvisée, quoiqu'il arrive je vous demande de jouer le jeu ! Précise Sylvain. Barbara, on y va ?

- C'est parti !

- Toc, toc, toc ! Fait le psy en tapant sur une porte imaginaire !

 

Ça y est, il a pété les plombs !

 

- C'est quoi ?

- C'est un client, on m'a recommandé vos prestations. Répond Sylvain

- Attendez un peu à la porte, je viens juste de finir un client, attendez qu'il se rhabille !

- Si vous pouviez entrouvrir la porte, je souhaiterais juste une précision.

 

On se croirait au théâtre, Barbara fait semblant d'ouvrir un peu une porte.

 

- Bonjour mademoiselle ! On ne m'a pas trompé sur votre personne, vous êtes ravissante !

- Merci, c'est quoi la précision dont vous avez besoin ?

- Mon truc ce serait de faire une séance à trois, avec vous et un autre homme. comment faut-il procéder ? Faut prendre rendez-vous ?

- Effectivement, à moins que ça intéresse mon client du moment, je vais lui demander, on ne sait jamais...

 

Barbara vient vers moi !

 

- Dis-moi, ça te dirait de faire des trucs avec moi et avec un autre homme ?

 

C'était donc ça le jeu ! Mais tout bitophile que je suis, si j'ai répondu oui, ce n'était pas pour la pine de Sylvain mais pour retrouver la peau douce de Barbara. Elle fait donc semblant de faire entrer le psy et lui demande de se déshabiller.

 

- Euh ! Faut que je garde mes chaussettes ou que je les enlève ?

- Mais, enfin, tu fais ce que tu veux ! Rigole Barbara. Par contre, tu as oublié de me payer !

- Te payer ?

- Ben, oui, tu ne crois pas que je vais te faire ça gratuitement !

- OK, je te payerai tout à l'heure !

- Non, c'est tout de suite !

 

Sylvain à l'air étonné que son "assistante" ou sa consœur (je ne sais plus) entre à ce point dans le jeu, mais il va chercher quelques billets dans son portefeuille et les lui tend

 

Le psy et moi sommes debout plus ou moins face à face, Barbara se met entre nous, à genoux et entreprend de nous masturber en même temps, une bite dans chaque main. Au bout de quelques instants tout cela est bien raide. Elle nous fait rapprocher davantage et se débrouille pour positionner les deux pines l'une sur l'autre tête bêche pour pouvoir les masturber ensemble d'une seule main. Ce n'est pas si évident que cela mais quelle sensation de sentir un autre membre collé au sien !

 

- Ça vous excite ce que je vous fais ? Hein ? Vous n'êtes vraiment que des pédés tous les deux !

- Ben Barbara... Intervient Sylvain

- Je ne suis pas Barbara, pour l'instant, je suis une pute, et ça me plait de jouer la pute et ça me plait aussi de vous voir jouer les pédés. Et puis ça m'amuse de vous le dire, alors silence, les mecs, laissez-vous faire...

 

Elle engloutit la bite du psy dans sa bouche, mais sans insister, juste pour la lubrifier, puis passe à la mienne. Elle essaie un autre truc et nous fais mettre gland contre gland en ligne de prolongement, ça non plus ce n'est pas évident car nous ne faisons pas la même taille, le psy est donc obligé de se baisser un petit peu. Barbara passe alors la langue sur ce double cylindre de plaisir, elle s'amuse comme une folle.

 

- Sylvain, couche-toi sur le divan, sur le dos, et Etienne tu lui grimpes dessus, en 69...

 

Oh ! Oh ! Alors là, c'est super, me voici avec la bite de Sylvain dans la bouche, alors que lui me rend la politesse. C'est la première fois que je fais un soixante-neuf avec un homme. Quelle sensation de sucer tout en étant sucé, en coordonnant nos mouvements, on peut quelque part s'imaginer qu'on est en train de se sucer soi-même. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme, d'autant que Barbara en profite pour m'introduire un doigt dans le cul.

 

- Je vous interdis de jouir dans cette position, les mecs ! Putain que vous êtes raides ! Bon on passe à autre chose. Sylvain, met toi une capote ! Et toi Etienne tu vas te mettre à quatre pattes, comme çà, non écarte mieux les jambes...

 

Et oui, fallait bien que ça arrive un jour, voilà que je vais me faire enculer ! Mais qui aurait dit que ce serait par le psy chez qui j'avais décidé de consulter ? Et en présence et sous la direction de son assistante en plus ! Je ne proteste pas, on verra bien !

 

- Regarde-moi ce petit cul de pédé ! Dit la femme.

- C'est vrai qu'il est mignon ! Répond le psy

 

Tu parles d'une discussion !

 

- Bon, je veux que ce soit toi qui lui demandes ! Me précise Barbara !

- Il faut que je lui demande de m'enculer ?

- Ben oui !

- Bon, ben d'accord, encule moi !

 

bisex99a.jpg

 

Il aurait fallu du gel, le préservatif est bien lubrifié mais sa verge ripe à l'entrée de mon anus.

 

- Ouvre-toi mieux, pousse !

 

Je fais ce que je peux, le gland s'efforce de passer.

 

- Encore un peu, on y est presque !

- Han !

- Oui !

- Aie !

 

Ça y est, c'est entré, enfin juste un peu !

 

- Encore !

- Han !

 

Il ne va pas tout rentrer quand même ! Ben on dirait bien que si, ça fait drôle, une impression de gêne, ce n'est pas trop agréable. Je leur dis. On me répond d'attendre un peu. J'attends. Le psy fait maintenant coulisser son membre d'avant en arrière. La sensation devient un peu plus agréable. Beaucoup plus agréable même. Je suis en train de réaliser que là tout de suite je suis en train de me faire enculer et que j'aime ça !

 

- C'est bon, continue ! M'entendais-je crier

- Ça te plait de te faire enculer par la bonne bite de mon mari ! Ironise Barbara !

 

Comment ça son mari ? Mais laissons ce détail, pour l'instant ça va ! Ça va pas mal aussi pour le psy qui finit par exploser dans sa capote et qui s'écroule sur mon dos. Il est lourd ce con !

 

Il décule ! Drôle de sensation, j'ai l'impression que mon anus a du mal à se refermer !

 

- Merci Etienne, vous avez été très bien ! Tient à me dire Barbara !

 

Elle va me faire rougir, "l'assistante" mais est-ce bien son assistante ?

 

- On vous paie le restau, Etienne ! Vous acceptez, bien sûr ?

- Volontiers !

- On pourrait peut-être prendre une douche avant ? Propose la femme.

- Et on va la prendre où ? Et puis on n'est pas si sale que ça, et il est déjà tard, allez zou !

 

Epilogue !

 

Un très bon restaurant chinois, le patron nous offre l'apéritif maison. On trinque !

 

- A vous Etienne ! On vous doit bien ça ? Dit Sylvain en levant son verre.

- A la vôtre ! Répondis-je ne comprenant pas bien ce que voulait dire mon interlocuteur.

- Voyez-vous, Monsieur Etienne, j'ai en fait les mêmes fantasmes que vous, ça ne m'empêche pas d'aimer les femmes et la mienne est adorable. Ah oui au fait, Barbara est mon épouse. La seule différence c'est que je n'avais jamais concrétisé, alors je ne sais pas ce qui s'est passé, quand vous m'avez raconté votre histoire de cinéma, j'ai flippé et c'est à ce moment-là que j'ai eu l'idée de la reconstitution. ! Et je vais vous dire, je ne regrette pas !

- Il faut toujours essayer de vivre ses fantasmes ! Rajoute, Barbara. Je veux dire quand ce sont des fantasmes entre gens qui sont d'accord !

- Mais ce n'est pas tout ! Reprend le psy. Avec Barbara on se dit nos fantasmes, on joue à des petits jeux de rôles parfois, et l'un de ses trucs c'est de jouer la pute, alors quand à la fin de la première séance vous m'avez dit que vous aviez été en voir une, j'ai tout de suite pensé que je pourrais impliquer ma femme dans le trip !

- Et ça a marché super ! Conclût-elle.

 

Je suis abasourdi, abasourdi, mais content.

 

- Et ma psychothérapie, alors ?

- Mais vous n'en avez pas besoin, vous êtes parfaitement normal !

 

Je ne dis rien ! Je savais bien qu'en fait de thérapie, le psy me jouait un scénario qui n'avait rien de conventionnel, mais je ne m'attendais pas à ces explications. Le pire c'est qu'elles me conviennent parfaitement.

 

- Vous ne dites plus rien, Etienne !

- Je ne sais plus quoi dire !

- J'ai l'impression que vous vouliez nous demander quelque chose ?

- Oui, la permission d'embrasser Barbara, si elle est d'accord bien évidement !

 

Alors Barbara fait un clin d'œil à son mari, approche ses lèvres des miennes et me roule un patin

 

FIN

 

Estonius (août 2003)

 

estonius@hotmail.com

 

 

 

 

  

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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