Mardi 12 juin 2007 2 12 /06 /Juin /2007 18:36

Uro in Budapest

Par Enzo 

 

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Le hongrois est une langue difficile, parce que pour nous, francophones, nous n'avons aucun repère... J'avais quand même été intrigué par ce panneau dans cet immense sex-shop de Budapest qui semblait résumer les activités et services offerts par l'établissement. On y voyait à un endroit une femme uriner sur un homme, je pensais alors qu'il s'agissait d'une des spécialités du peep-show local, ce qui ne m'intéressait pas trop, et je me baladais nonchalamment dans la sex shop. Le fond était occupé par un bar, ou officiait quelques belles entraîneuses peu vêtues.

 

Je commandais une bière, elle me fut servie par une serveuse topless qui ne me fit aucune proposition d'ordre sexuel, laissant ce genre de choses aux autres filles. Je fus donc bien sûr abordé par l'une d'entre-elles qui me parla en anglais, me proposant carrément une passe. Je fis semblant de ne pas comprendre, et lui demandait si elle parlait l'islandais ! Non elle ne parlait pas l'islandais... ce vieux truc marche à tous les coups, elle essaya de me faire comprendre par gestes tout le bonheur qui pouvait m'attendre contre un peu d'argent, mais je jouais les abrutis, non pas que cela ne m'intéressait pas mais je voulais profiter pleinement de la soirée et pour l'instant, il était trop tôt...

 

La fille me laissa, en faisant semblant d'être déçue et elle alla aborder un autre touriste avec lequel le dialogue s'engagea et quelques secondes après le mec se faisait carrément sucer devant tout le monde avec force commentaires en allemand. Cette vision était très excitante mais ne dura pas très longtemps, car la fille finit par emmener son client vers une porte donnant vers un endroit sans doute plus discret.

 

Une deuxième fille tenta sa chance, m'expliquant à moitié en anglais, à moitié par gestes qu'on pourrait faire comme le couple en question, je refusais de nouveau. Du coup les nanas me snobèrent... Je pris mon temps pour siroter ma bière, puis me sentant une envie d'uriner je cherchais les toilettes... rien n'était indiqué de façon claire, je me dirigeais à tout hasard vers le sous-sol !

 

C'était là ! Mais juste à côté une autre porte affichait la même photo intrigante que celle du panneau que j'avais vu dans le hall. Je poussais, poussé (justement) par la curiosité et me retrouvait dans un petit vestibule où un gorille me fit comprendre que l'entrée était payante. Qu'à cela ne tienne, je payais, ce n'était pas excessif. Le mec me tendit alors une clé de vestiaire attaché à un bracelet à poche ! Ah ! C'est donc un sauna, je n'avais pas pensé à ça, mais bon j'avais payé...

 

Un minuscule couloir... avec des vestiaires, je me déshabille donc, me rend compte que le type ne m'a pas donné de serviette, je vais pour réclamer, mais voici qu'un autre client rentre, il n'a pas non plus de serviette... je ne cherche plus à comprendre j'avance, et me voici dans une petite salle de projection. Il faut que mes yeux s'habituent à l'obscurité, je ne vois donc que l'écran, où l'on projette un film uro... c'était donc ça, j'aurais dû m'y attendre... mais quelle idée ce vestiaire, peut-être n'était-il pas obligatoire ?

 

Sur l'écran une belle femme entièrement nue est en train de pisser des litres d'urine sur une copine qui rigole comme une bossue en s'efforçant d'en avaler un maximum... J'essaie de m'asseoir sans bousculer personne et en attendant de pouvoir distinguer quelles sont les autres possibilités du lieu je m'intéresse donc au film, où comme souvent dans ce genre de vidéos, les scènes sont interminables et répétitives, heureusement que les modèles sont jolies, et d'ailleurs je me surprends à bander et comme je suis nu et dans un établissement de sexe, je commence à me tripoter...

 

Et voilà qu'une main arrive sur ma cuisse... je regarde sur ma gauche, j'y vois mieux à présent, un mec nu bien sûr, c'est lui qui me tripote, ça ne me dérange pas, je me laisse tripoter, je regarde sa queue, un bel objet bien raide... j'y touche ou j'y touche pas... j'avoue m'être (assez rarement toutefois) laissé aller à ce genre de fantaisies dans quelques cinés parisiens assez spéciaux... Comme dit l'autre : "ça change !" J'empoigne donc la bite du monsieur, et commence à la branler... Nous voici donc à nous branler mutuellement. Il me demande si je suis Anglais ? Non ! Allemand ? Non, French !

 

- Ah ! Je suis suisse ! Me dit le type ! Avec un accent caractéristique.

 

Je lui demande de quelle ville, histoire de dire quelque chose !

 

- Fribourg ! Tu veux me sucer ?

 

Oui, je veux bien le sucer ! Souvent les masturbations mutuelles dans ces endroits finissent en sucette, et il se trouve qu'à tout prendre je préfère sucer que de l'être...

 

Sa queue a un bon goût salée, je me régale, en la travaillant de la langue et des lèvres... mais pas longtemps, monsieur est au bord de la jouissance, me prévient et comme je ne veux pas de son sperme je me retire !

 

- On inverse ?

 

Bien obligé de rendre la politesse, je me laisse faire, ce con suce comme une pro, je suis aux anges, d'autant que deux mimines sont arrivées derrière moi et me pincent les tétons... Moment d'extase, mais je n'ai pas envie de jouir de suite, je dégage poliment le suisse. Je m'aperçois alors que les mains qui continuent de me caresser ont les ongles manucurés et vernis, des mains de femmes... je me retourne, la frimousse est agréable et souriante, les seins sont adorables. Elle me baragouine en anglais :

 

- Un petit plan uro ça te dit ?

- Bien sûr !

- On va faire ça gentiment c'est xxxx forints (monnaie locale)

 

Aïe, une racoleuse, mais là, je sens que je vais me laisser faire... J'hésite encore un peu

 

- Je n'ai pas d'argent sur moi

- Je sais, mais tu en as dans ton vestiaire, va le chercher, je t'attends, Humm, on va faire ça très bien, tu m'as excité, j'adore les mecs qui sucent des bites... T'aime ça sucer des bites, hein toi ?

- Ce n'est pas désagréable !

 

Je suppose qu'elle tient le même discours à tout le monde, mais ce n'est pas bien grave ! Je vais chercher les sous en faisant attention que personne ne me suive. La fille m'attend à la sortie du vestiaire. Je lui tends le fric, j'espère que je ne vais pas me faire arnaquer...

 

- Si tu as un peu plus, je peux te dominer si tu veux, je te tiens en laisse, je te pisse dessus, je te fais sucer des bites, je peux aussi te faire enculer, te fouetter et tout un tas de trucs très cochons...

 

Je lui demande combien, j'hésite :

 

- Non on va faire comme on a dit, et si ça me plait, je reviendrais te voir et on fera la totale ! Tentais-je

- Je te fais un prix...

 

J'ai la faiblesse d'accepter, j'ai bien conscience que je prends un risque... Elle ouvre alors son propre vestiaire et en sort un collier de chien qu'elle me passe autour du cou, une laisse y est accrochée. Elle me demande de me positionner à quatre pattes et d'avancer.

 

J'obéis donc pendant qu'elle me fouette le cul !

 

- Allez viens, esclave, on va bien trouver quelqu'un qui va bien t'enculer...

 

Bon, je peux arrêter le jeu quand je veux. Une petite salle carrelée jouxte la salle de projection, ce devait sans doute être un hammam dans un concept antérieur, au milieu un mec se fait pisser dessus par une belle blonde, et autour sur les marches une dizaine de personnes, que des hommes, assistent au spectacle, certains se branlent, d'autres le font mutuellement, un autre se fait sucer... ambiance hot.

 

La fille attend que le couple ait finit ce qu'ils sont en train de faire, ça va d'ailleurs assez vite parce que le mec se masturbe comme un malade en avalant l'urine de sa partenaire et finit par jouir avec un grognement sourd. Nous prenons leurs places. Elle me fait tendre le cul et commence à me fouetter, d'abord doucement puis de plus en plus fort. Hé, c'est que ça commence à chauffer. Je le lui dis. Bonne fille, elle diminue la force de ses coups mais continue à taper, je dois avoir le cul tout rouge, au bout de cinq minutes de ce traitement elle arrête, et entreprend de me tripoter le cul, un doigt me pénètre le fondement, puis un second.

 

- Un volontaire pour l'enculer ? demande-t-elle à la cantonade, et ceci en plusieurs langues.

 

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Situation assez surréaliste quand on y pense... Un grand blond finit par arriver, bite en avant, me revoilà avec une bite dans la bouche, pas très longtemps, car dès que le gaillard se sent assez dur, le voilà qui me contourne et me force l'anus. Un peu de mal à entrer, un peu douloureux mais ça va ! Me voilà en train de me faire sodomiser, l'affaire dure un peu trop longtemps, je me débrouille pour le faire savoir, la fille demande au mec de se retirer, puis me fait coucher sur le carrelage. Elle vient alors sur moi, et sans transition m'arrose la bite, je lui fais signe de monter vers mon visage, miracle elle comprend tout de suite, et les derniers jets de son pipi seront pour mon visage. Comment fait cette fille pour être tout le temps en train de pisser, mystère, mais pour l'instant elle lorgne vers mon sexe, constate qu'il est bien rigide, le suçote légèrement, mais je bloque un peu, ça doit être l'émotion. Elle me propose un truc que je ne comprends pas bien, mais c'est plus cher, je refuse, elle n'insiste pas, et me se met à me branler vigoureusement, je finis par lâcher mon sperme, je suis à moitié dans les vapes...

 

Ça tambourine à la porte de ma cabine, je me réveille, j'ai le pantalon et le slip sur les chevilles, un kleenex autour du gland, j'ai dû m'endormir

 

- Vous remettez du crédit ou vous sortez ! hurle le videur !

- Une seconde ! Répondis-je, le temps de me reculotter...

 

Le mec m'attendait à la sortie !

 

- Ça va ? Me demande-il

- Oui, oui, je reviens juste de Budapest, j'étais bien là-bas...

 

Le mec me regarde d'un drôle d'air... pourtant des fous il doit en voir tous les jours, sauf que moi, je ne suis pas fou, juste un peu rêveur... très rêveur...

 

 

FIN

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Jeudi 18 janvier 2007 4 18 /01 /Jan /2007 10:06

Confessions SM – 2 (texte collectif)

Fetish2

 Thémes abordés : bisex masculine, domination hard, domination soft, donjon, prostitution

Ce week-end ma femme m’a fouetté par Renard

Ce week-end ma femme m’a fouetté à l’aide d’une ceinture épaisse doublée durant plus de 45 minutes. Ce fut le cas samedi où j’ai reçu plus de 100 coups de ceinturons sur chaque fesse, puis rebelote dimanche après-midi. Il faut dire à sa décharge que j’ai pris un plaisir insolent à recevoir cette « punition ». Ma femme aidée par l’idée que j’avais une Maîtresse a été stimulée pour me frapper avec cette ceinture. Habituellement elle me donnait la fessée mais là elle m’a bien laissé entendre que ce ne serait pas de l’amusement. Au début j’ai eu un petit souci, puis pensant à ma Maîtresse, j’ai eu un plaisir fou à recevoir cette correction. Je pense que cela ne sera plus comme avant, car à peine me voit elle les fesses à l’air qu’elle se sent investie de la mission de me corriger. Autant dire que j’en profite au maximum tout en lui laissant croire qu’elle me fait très mal.

C’est le cas mais je me suis découvert une nouvelle passion. Le ceinturon à quelque chose de bénéfique. Il claque et fait mal. Je vous tiendrais au courant de la suite de mes corrections car je compte bien ne pas en rester là !
Renard – Montreux – Suisse

 

Maîtresse Laurie par Phigolu

Mistress R85J’en suis désormais convaincu, ma femme n’acceptera jamais de me dominer comme je le souhaiterais, elle est bloquée, complètement bloquée.
Alors j’ai pris la décision d’aller voir une maîtresse que j’ai dénichée par petites annonces. C’était payant, ce qui pour moi était de nature à fausser un peu les rapports, mais je n’en avais pas trouvé de « gratuite ». La fille était très belle, un très joli visage, elle me reçoit dans une petite entrée et me fait entrer dans un petit cagibi, elle me demande ce qui m’intéresse, je lui dis :

- « Des fessées et des pinces aux seins, mais pas trop fort ».

Elle ne me pose pas d’autres questions, me demande l’argent et de me déshabiller. Je me déshabille et pose mes affaires sur une chaise, elle me passe un collier de chien autour du cou et me demande de me tenir à quatre pattes. Puis elle m’emmène dans son « donjon ».

Horreur ! Il y a déjà deux mecs, l’un est attaché sur une croix de Saint André, il a la poitrine et le ventre barrés de traces de flagellation, l’autre est recroquevillé par terre, ses grosses fesses semblent avoir été mise à rude épreuves. Ces présences me gênent mais comment m’en sortir ? La maîtresse me demande de me lever et m’accroche des pinces aux seins. Ça me fait bander direct et du coup j’oublie les deux bonshommes. Je dois ensuite me tourner pendant qu’elle me fouette les fesses avec un martinet. Je suis excité terriblement. Un moment la maîtresse me demande si j’aimerais bien voir sa poitrine. Je dis « bien sûr », elle me gifle, je ne comprends plus rien, elle me tire sur mes pinces, puis elle me demande de regarder la bite du gars qui est attachée sur la croix. Drôle d’idée. Je la regarde, il bande mou. La maîtresse va vers lui et le fouette un peu, du coup il rebande. C’est à ce moment qu’elle me dit :

- « Si tu veux voir mes seins, tu dois d’abord lui sucer la bite ».

Alors j’ignore ce qui s’est passé, mais comme un zombi, j’ai sucé la bite du mec et j’ai eu ma récompense. Je suis retourné quatre fois voir ma maîtresse, à chaque fois il y avait une bite à sucer, de plus les deux dernières fois, j’ai demandé à rester plus longtemps et on a aussi inversé les rôles. Maîtresse m’a dit que la prochaine fois elle me ferait enculer par l’un de ses esclaves.

Rien que d’y penser en l’écrivant je bande.

Phigolu

Plaisir d’orties par Crabou

Ah le retour du printemps et des premiers beaux jours, que de plaisir en perspective !

Une petite balade dans le jardin m’a permis de découvrir les premières orties. Je m’en suis approché et ….je n’ai pas résisté à l’envie de me dénuder.

Un premier contact m’a permis d’apprécier la vivacité de leur piquant.

Sans plus attendre, j’ai confié à ces merveilleuses plantes le soin de caresser différentes parties de mon corps
Petit à petit, j’ai ressenti monter ces délicieux picotements et j’ai vu apparaître ce beau rouge qui suivent le contact avec des orties.

Après cette petite promenade dans mon jardin, je devais aller faire quelques courses.

J’ai donc passé un string puis un short qui laissait deviner mon string à un œil aguerri et je suis parti en ville. Je ne vous raconte pas le plaisir qui m’envahissait en marchant au milieu des gens de sentir encore la tendre morsure des orties sur mon corps. Je suis un adepte convaincu des fouets, martinets et autres cravaches ainsi que des bougies mais les orties savent se rappeler plus longtemps à votre souvenir et cela n’est pas dénué de charme.

Bref, je recommande à tous de tenter un jour cette expérience mais avec une certaine modération surtout si on n’a pas l’habitude.

Crabou

 
Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Mardi 16 janvier 2007 2 16 /01 /Jan /2007 13:20

Artisan décorateur

Par Estonius

 

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... 

Je suis artisan décorateur, je me suis mis à mon compte depuis peu, en fait je n'y connais pas grand-chose, mais je bricole bien et j'ai acheté quelques bouquins. Je pense pourvoir me débrouiller.


Le problème c'est de trouver la clientèle, j'ai donc fait imprimer des petits flyers que j'ai distribués dans les quartiers bourgeois de la capitale, et j'attends.


Ce jour-là, coup de fil, une dame qui me téléphone, me dit qu'elle a un truc spécial à me demander, en fait il s'agit de déplacer quelque chose, mais me confie que plutôt que d'en parler au téléphone, elle préférerait que je passe faire un devis.


Je ne cherche pas trop à comprendre et prends rendez-vous le lendemain matin.


Agnès est une jolie femme mature, entre quarante et cinquante ans, pas un canon, mais un visage très souriant, ses cheveux bruns sont coiffés d'une espèce de chignon qui fait un peu années 60. Et la poitrine parait avantageuse.


L'appartement est ancien et richement décoré, il est aussi complètement tarabiscoté, des couloirs, des marches, des portes, des murs en biais, tout le charme de ces appartements qui sont en fait la réunion de plusieurs petits lots situés au même étage. Elle me conduit dans la chambre de l'un des enfants et me montre une espèce de renfoncement où trône de chaque côté du mur une collection de petits sujets, sur une débauche de planchettes fixés n'importe comment.


- Voilà, je veux déplacer ces machins de l'autre côté, mais je veux que tout soit redisposé exactement pareil !


Et elle me montre l'endroit du transfert. 


Au moins ce n'est pas compliqué. Je fais une estimation à la louche, que j'augmente de 30% parce que ces gens-là peuvent payer... et lui dis qu'éventuellement je peux commencer de suite. Elle hésite, m'informe qu'elle attend un coup de fil, mais que si je veux, je peux commencer à prendre les mesures... ce que je fais.


Moins d'une heure après, les cotes sont prises, et je prends quelques photos afin que je puisse redisposer les bibelots à l'exacte. Elle me demande le temps que je vais passer à transférer les planches. Finalement ça ne colle pas avec son emploi du temps. Je lui propose de revenir demain. Elle me fixe un rendez-vous en fin de matinée. Pas pratique mais comme je n'ai pas d'autres commandes...


Le lendemain, j'arrive à l'heure prévue, il me semble qu'il y a une certaine agitation dans cette maison. Effectivement elle n'est pas seule. Je vais pour serrer la main d'Agnès qui me dit carrément :


- J'ai les mains sales, je suis en pleine cuisine, c'est le jour de congé de la bonne... faisons-nous la bise, on ne s'est pas encore fait la bise, je crois ! me dit-elle, goguenarde.


Etonnant, non, allons-y pour la bise... et voici Betty, c'est sa fille, elle lui ressemble mais elle est moins gracieuse. Une vingtaine d'années et des lunettes.


- Je vous fais la bise aussi ? Demandais-je.

- Non, jamais la première fois, me répond cette dernière en me tendant la main.


Je croise deux mômes, habillés en gosses de bourgeois qui gambadent partout, ils m'énervent. Je pose ma boite à outils dans la chambre et constate avec horreur que l'un des papiers que j'avais punaisé avec les cotes a disparu. Quelle andouille de ne pas les avoir notés sur le carnet que j'ai toujours sur moi, il va falloir que je recommence... Je le signale à Agnès qui ne sait pas ce qui s'est passé, mais qui me demande si elle peut profiter de ma gentillesse (sic) pour me demander autre chose. Il s'agit d'une espèce de moulure en bois d'une laideur absolue qu'elle veut coller en haut de l'armoire du gamin. Elle me demande de faire des repères pour qu'il soit bien à niveau. Je grimpe sur la chaise... Grosse question de savoir si c'est horizontal ou pas... Je décide donc de redescendre pour aller chercher mon niveau dans la boite à outils.... Et voici le mari qui se pointe, large bonhomme brun au visage bronzé, veste en peau retournée, chemise blanche et cravate, pas bonjour... 


- Les niveaux ça va être comme les portables, bientôt chacun aura le sien ! Déclare-t-il doctement.


J'avoue ne pas comprendre s'il s'agit d'une vanne ou d'une idiotie, mais il disparaît... je demande si je dois coller le machin.


- Vous allez me prendre combien en plus ?

- Oh, pas grand-chose.

- Alors allez-y, collez-le


Je commence par ça, puis entreprends de reprendre les cotes manquantes, mais revoilà Agnès qui déboule :


- Euh, on prend un petit apéro rapide, si vous voulez nous rejoindre ?


Ça m'embête, moi l'apéro c'est entre amis que je le bois, et là je vais apparaître comme un cheveu sur la soupe, mais d'un autre côté je ne veux pas être impoli, je tente une diversion classique :


- Merci, je ne bois pas d'alcool (gros mensonge)

- Il y a du jus d'orange.


Je n'aime pas le jus d'orange, mais bon, j'y vais, j'ignore ce qu'ils fêtent, il y a donc Agnès, Betty, le mari, les deux gosses et un autre homme plus âgé (Monsieur René). On lève notre verre. J'en bois quelques gouttes et en profite pour demander les toilettes. Agnès m'explique et je m'éclipse. Une porte à franchir et me voici dans un petit vestibule, j'ouvre une autre porte, et me retrouve dans un escalier de service. C'est vraiment une maison de dingues. Il y a deux autres portes, l'une ressemble à une entrée d'appartement, l'autre plutôt à une porte de service que j'essaie d'ouvrir mais en vain. Qu'à cela ne tienne, je me suis trompé, je vais rebrousser chemin, mais j'ai refermé la porte qui m'a conduite ici et elle ne s'ouvre pas dans ce sens ! 


Bon, je descends, toujours avec mon envie de pisser. J'examine quelques portes au premier et au rez-de-chaussée, mais rien pour satisfaire mes besoins. Me voici donc dehors, dans une cour, j'inspecte la cour, pas de toilettes, il y a apparemment deux sorties, j'en emprunte une au hasard, ce n'est pas la bonne, je ne sais plus trop où je suis, mais bon on fait les choses dans l'ordre, d'abord pisser ensuite revenir chez les bourges.


Me voici dans la rue, je fais le tour du pâté de maison, je scrute à la recherche d'une sanisette, ça commence à me monter à la gorge ce truc là... Pas de sanisette, reste le café, mais mon portefeuille est resté dans ma veste qui est restée chez Agnès, et mon porte-monnaie n'est pas assez rempli. J'y vais au flan et rentre dans un café, direction tout de go les toilettes. Un joli panneau m'avertit que l'endroit est réservé aux consommateurs. Je sors en rageant afin de chercher une petite rue tranquille munie d'un coin discret où je me dépêche de me soulager... Maintenant il faut revenir, je me trompe de direction, reviens sur mes pas, perds un temps fou... enfin je retrouve l'entrée principale, évidemment, je n'ai pas le code sur moi, mais quelqu'un sort et m'ouvre, je m'engouffre, monte au deuxième étage où une grosse femme sort, me dévisage et dit en se retournant :


- Le voilà votre décorateur !


Comment peut-elle me connaître ? Peut-être la gardienne ?


Je rentre, ce n'est pas la même porte que tout à l'heure (il y a combien de portes dans cet appartement ?) et me retrouve dans la cuisine où Agnès est en train de préparer une salade.


- Ben alors vous aviez disparu ?


Je lui raconte ma mésaventure en la simplifiant un peu...


- Vous savez que c'est très mauvais de faire pipi en état de stress, parce que dans cet état là, vous ne faites jamais à fond... Je vais vous accompagner cette fois, vous allez pouvoir finir....

- Merci, ça devrait aller, je vais reprendre les petits travaux.

- Vous ne prenez pas de pause pour manger ?

- Ça dépend des jours, dès fois je mange, dès fois je ne mange pas...

- Ça vous dirait de partager notre repas !

- Merci mais je crois que je ne serais pas à l'aise !

- Je ne vous mets pas à l'aise ?

- Vous, si, mais les autres...

- Il n'y a personne d'autres, les gosses sont partis en activité, mon mari est allé travailler et Monsieur René est rentré chez lui. Il n'y a que ma fille et moi.


Je finis par accepter. Je ne vois pas bien de quoi on va pouvoir causer mais bon...


- Vous êtes sûr que ça ne vous fait pas peur de déjeuner avec deux femmes ? Plaisante-elle

- Non, non !

- Vous verrez ma fille est très sympa et pas très farouche, si elle vous intéresse, n'hésitez pas...


Alors là je n'en reviens pas ! Je ne sais pas quoi dire...


- Vous devez en avoir des occasions avec le métier que vous faites, non ? Insiste-t-elle

- Ben, euh...

- Allons, allons, ne dites pas le contraire.


Son visage est à ce moment-là à quelques centimètres du mien.


- J'ai oublié de vous dire, ma fille n'est pas farouche, mais en fait ça vient de famille, moi non plus je ne suis pas farouche ? Bisous ?


Ce n'est même pas une proposition, j'ai déjà sa langue dans ma bouche, nous voici en train de nous rouler une pelle magistrale. Elle y met beaucoup d'ardeur et histoire de me démontrer ses disponibilités, elle en profite pour me mettre la main à la braguette... Du coup mes mains se baladent sur sa poitrine... Raclement de gorge !


Instants de panique ! Je me dérobe, me retourne, c'est Betty 


- Je ne vous dérange pas au moins ? Intervient cette dernière.

- Tu veux regarder, ou tu veux nous rejoindre ? lui demande Agnès avec un air faussement innocent.

- Si monsieur permet, j'aimerais bien m'approcher ! répond-elle.

- Elle attend votre réponse ! Me précise la maîtresse de maison.


Sans dire un mot, je lui fais signe de venir plus près de nous, et elle ne se fait nullement prier, adressant une grosse tape amicale sur le popotin de sa mère, puis cherchant fébrilement la fermeture éclair de ma braguette. Evidemment, je bande comme un âne ! Et c'est un engin tout dur que Betty extrait de sa cachette.


- C'est tout raide, ça ! Commente la jeune femme.


J'espère seulement que je vais tenir la distance et pas me mettre à éjaculer prématurément... Betty a déjà mis mon engin dans sa bouche et le suce avec avidité en utilisant une technique très particulière qui lui fait tourner sa langue autour de ma verge, j'en ai des frissons partout. Agnès passe dernière moi et laissant sa fille opérer me baisse carrément pantalon et caleçon et se met à me peloter les fesses en me complimentant pour leur rotondité.


- Avec un cul comme ça, tu as dû te faire draguer par les mecs, non ?

- Euh, non pas spécialement...


Elle me fout alors un doigt dans le cul, comme ça sans crier gare. J'apprécie quand c'est fait avec douceur, mais c'est le cas !


- Mais il aime ça ce gros cochon ! Constate la bourgeoisie.

- C'est pas désagréable.

- Tu te fais mettre un petit gode parfois ?

- Ça m'est arrivé !

- T'entends ça Betty, on va bien s'amuser.

- Je peux pas te répondre, j'ai la bouche pleine ! Répond la fille

- Et une vraie bite, ça t'est arrivé ? me demande Agnès.


Je garde le silence, je ne vais pas lui confesser tous mes fantasmes.


- Tu ne réponds pas...je parie que tu as déjà essayé !

- Il y a bien longtemps...

- Et ça t'a plu ?

- Comme ça...

- T'as jamais eu envie de recommencer ?

- Je n'ai jamais eu l'occasion, et je ne cherche pas...

- Et si on te la fournit, l'occasion...


Je ne réponds pas. Elle va finir par me déconcentrer.


- On inverse ? Propose alors la bourgeoise à sa fille


Elle remplace donc Betty dans le rôle de la suceuse, tandis que cette dernière s'attaque à mon cul, mais cette "petite salope" m'a à présent introduit deux doigts... et putain que c'est bon... Par contre ce que me disait Agnès tout à l'heure était vrai, j'ai toujours une légère envie de pipi, et il faudrait mieux que je la satisfasse pour le confort de la suite... Je fini par leur dire.


- On va t'accompagner aux toilettes, et après on ira dans la chambre, c'est quand même plus confortable que la cuisine ! Propose la jeunette.

- T'as déjà joué à des jeux de pipi ? me demande alors Agnès.

- Oui, j'avais une copine qui kifait là-dessus, c'est rigolo dès fois...

- Alors pas besoin d'aller aux toilettes, tu vas me pisser dessus !

- Mais là je peux pas, je bande !

- Alors on va te donner la fessée jusqu'à ce que tu ne bandes plus.

- Chiche !


Betty ne se le fait pas dire deux fois, elle saisit une petite planchette de cuisine et commence à m'en foutre un coup sur les fesses. Comme je ne dis rien, elle se croit autorisée à taper plus fort, puis les coups tombent à la volée... Ce n'est pas désagréable mais si elle continue comme ça, demain je ne pourrai pas m'asseoir. Ça m'excite assez mais mon sexe perd quand même une partie de sa vigueur !


- Allez, pisse !

- Euh, tu n'enlèves pas tes vêtements ! Demandais-je passant à mon tour au tutoiement de rigueur dans ces circonstances particulières.

- Non, au contraire, c'est bien plus excitant comme ça !


Je me concentre, je ferme les yeux, je me reconcentre et finalement ça sort, un petit jet qui lui atterrit en haut de son chemisier. Elle ouvre alors la bouche, voulant me montrer par-là qu'elle en boirait bien quelques gouttes... Quelle adorable petite vicieuse. Je rectifie le tir et étanche donc sa soif tandis que sa mère qui ne semble pas intéressée par ce genre d'amusement farfouille dans les tiroirs et finit par dégoter un mini rouleau à pâtisserie. Je sais déjà ce qu'elle va en faire. Et c'est là que sans doute un petit lutin facétieux a envahi mon esprit, je me baisse légèrement et j'ouvre mon cul !


- Regarde-moi ce pédé ! Commente Betty, il a vraiment envie de se faire enculer !

- Je crois qu'on devrait appeler Monsieur René, depuis le temps qu'on rêve d'une occasion comme ça !

- Euh... je...

- Mais tais-toi, tu vas voir, il a une super bite, tu vas bien la sucer et après il va t'enculer.

- Mais je n'ai pas dit que j'étais d'accord !

- Bon, écoute, pépère, nous on te fait plaisir on s'amuse avec toi, on te demande juste en échange de satisfaire un de nos petits fantasmes... Tu ne vas pas nous faire un mélodrame...

- Alors je l'appelle ou pas ? Demande Betty

- Bien sûr que tu l'appelles !


Je cherche quelque chose à répondre, mais Agnès à maintenant entrepris de se déshabiller, son chemisier est déjà ôté, j'ai la promesse de sa poitrine devant les yeux, je me tais, attendant. Elle libère deux jolis globes, j'ai vu des seins plus beaux et plus fermes mais c'est néanmoins charmant comme tout, et par réflexe j'y mets d'abord les mains avant d'approcher ma bouche de ses gros tétons.


Quant à cette coquine de Betty, elle n'a pas renoncé à ses intentions, d'une main, elle me pilonne le fondement avec l'ustensile de cuisine en bois et de l'autre actionne son téléphone portable :


- Allo Monsieur René, c'est Betty ! Dites voir, on fait une petite partie avec le décorateur... il ne serait pas contre le fait se faire enculer, ça vous dit ?


Elle nous précise en raccrochant qu'il arrive tout de suite...


- Tu lui ouvres et tu nous rejoins dans la chambre.... Indique-t-elle à Betty


Je suis Agnès, qui cette fois est complètement nue, elle s'étale sur le lit, les jambes largement écartées :


- Viens me lécher un peu...


Je ne me fais pas prier, me voici la tête entre ses cuisses en train de lui faire minette, c'est tout mouillé, c'est tout sucré, elle est vraiment très excitée la coquine. J'espère simplement que l'autre cornichon qui veut me sodomiser ne va pas se pointer trop vite, j'ai horreur d'interrompre un cuni. Je lèche un peu partout me régalant de ses sucs intimes avant de me concentrer sur son clitoris érigé comme un petit champignon que je titille d'un mouvement latéro-lingual (joli, non ?) Je la sens qui agrippe le dessus de lit de ses mains. L'explosion est proche, l'explosion arrive, un cri, elle se tétanise, semble se soulever de deux ou trois centimètres avant de retomber toute flasque et en sueur. C'est en principe chez moi le signal d'une pose tendresse... mais là...


- Rebonjour monsieur !

- Salut ! Répondis-je en cherchant mentalement comment je pourrais me sortir de ce guêpier.


Le mec est déjà à poil, Betty aussi qui le masturbe doucement sans doute pour me narguer. C'est vrai que ce zigomar à une superbe bite. Imperceptiblement la bite de Monsieur René guidée par la main de la fille s'approche de mon visage. Je sais déjà que je ne fuirais pas, du moins pas à ce stade.


- Suce ! m'ordonne Betty.


Je temporise.


- Suce sa bonne queue ! Tu en meurs d'envie ! Tu vas voir comme elle est bonne...

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L'instant d'après, elle est dans ma bouche, délicieuse texture, délicieuse odeur, je suis là chez des babas bourgeois parisiens en train de sucer la queue de leur voisin bisexuel alors que je devrais être en train de fixer des petites planches dans la chambre du gamin... Et le pire c'est que je me régale. Le mec m'encourage :


- Tu suces bien, dis donc !


Et comme je me tais, vient la proposition tant redoutée :


- Tu veux que je te prenne ?

- Euh, non pas aujourd'hui...

- Tsss, tss, laisse-toi faire... et tu ne vas pas le regretter, après on sera toutes les deux à toi ! Intervient Betty


C'est un argument comme un autre, j'hésite une seconde, puis sans répondre je me mets en position, je m'assure simplement qu'il se mette une capote... Et déjà le voici qui force l'entrée. Je "pousse" afin de faciliter l'entrée de cette bite qui va m'enculer devant la mère et la fille... Il faudra plusieurs tentatives, mais le bougre pénétrera dans mon étroit conduit. Quelques légers allers et retours pour bien installer la chose, une autre poussée pour la glisser plus au fond, puis c'est parti, un petit coup en avant, un petit coup en arrière et voilà qu'on me sodomise de la façon la plus classique possible... Et je commence à frétiller parce que je trouve ça vachement bon. Les deux nanas gloussent, le spectacle les excite, et elles se tripotent la foufoune mutuellement ! Quelle famille ! L'autre derrière commence à respirer très fort, ses coups de boutoir sont plus vifs, plus nerveux, et puis c'est l'accélération brutale, il prend son pied, se retire, se décapote, s'essuie le front, souffle un grand coup !


- Putain quel pied ! Vous donnerez mes coordonnées à Monsieur, si un jour l'envie vous prend, je vous recevrai avec grand plaisir, et d'ailleurs en y réfléchissant j'aurais sans doute quelques petits travaux de décoration à effectuer...


Puis il disparaît de la chambre et part s'habiller dans la pièce d'à côté... Moi je suis sur le lit, le corps groggy, la bite flasque et le cul mal refermé. Agnès a alors le geste tendre de me caresser un peu le dos... oh juste quelques minutes, puis elle me dit :


- Lève-toi une seconde, on va faire un truc !


J'obtempère, me demandant ce qu'il peut encore m'arriver... et là je n'en crois pas mes yeux : Agnès s'est étalé de tout son long, les cuisses écartées et Betty vient lui lécher la moule. Ça ne dure que très peu de temps, Agnès jouissant de façon fulgurante. Spectacle sublime, grandiose, génial, unique, pervers, interdit... Je rebande en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire ! Mais ce n'était pas terminé :


La mère et la fille se sont mises l'une à côté de l'autre en levrette, le cul relevé et offert, la chatte béante. Elles m'attendent en se faisant des petits bisous... 


- Les capotes sont sur le chevet... m'indique Agnès.


J'en enfile une et commence à lécher l'intimité de Betty.


- Prends-moi ! me supplie-t-elle. 


Je le fais, je la pénètre dans sa chatte humide, elle se trémousse...


- Un peu à moi ! Quémande sa mère.


Je change de cible et m'occupe de la maîtresse de maison, puis je vais de l'une à l'autre... je fais attention de ne pas aller trop vite pour ne pas jouir de suite. Betty finit par s'écrouler, épuisée de plaisir. Je la laisse après lui avoir fait un chaste baiser sur la fesse et demande par geste la permission à Agnès de pénétrer son petit trou.

 

- Bien sûr ! Encule-moi bien ! Répond-elle


Je commence par lui lécher la rondelle. L'odeur est un peu forte, elle a dû s'essuyer le cul avec un courant d'air, mais quand je suis bien excité, ça ne me dérange pas. Je lui enfonce un doigt qui glisse tout seul dans son conduit anal, ça lui fait un tel effet qu'elle en miaule de plaisir. Je ressors mon doigt très légèrement souillé, et pris d'une impulsion subite, je le lèche.. 


- Fais moi goûter ! Me demande Betty 


Je ne cherche pas trop à comprendre, je replonge mon doigt, puis le fais sucer par la fille.


- Moi aussi, j'aime bien doigter le trou du cul de ma mère ! Commente-t-elle.


Quelle famille ! Toujours est-il qu'après ces fantaisies, j'encule Agnès, ça passe avec une facilité déconcertante mais le sphincter me serre tout de même le sexe. Je sens que je ne vais pas durer longtemps, je fais ce que je peux, elle pousse des petits cris qui m'excitent encore plus, et je finis par lâcher ma semence, et on s'écroule ensemble...


Quelques instants plus tard après avoir soufflé un peu, Agnès me propose de profiter de la douche, j'espère un moment qu'elle me rejoindra, elle et/ou sa fille, mais non... 


J'ai donc repris le boulot après avoir demandé un grand verre d'eau. Les deux femmes ont vaqué à leurs occupations me laissant œuvrer seul.


En fin d'après-midi, j'avais terminé ! Agnès m'a félicité pour mon travail.


- Allez, je m'en vais, je ne sais pas si on se reverra, on se fait un bisou ? Demandais-je

- Et la facture ?

- Cadeau !

- Arrête, on n'est pas dans le besoin il est normal qu'on te paie... et puis je crois qu'on se reverra, je vais demander à Monsieur René de ne pas vous oublier pour les travaux qu'il a à faire chez lui...

- Ok ! Je vous envoie la facture par la poste...


On s'est embrassé, sagement, sa fille est aussi venue me dire au revoir. 


- Ça t'a excité de me regarder en train de lécher ma mère, hein mon cochon ?

- J'avoue ! Vous faites-ce depuis longtemps ?

- Non, quelques mois, un jour je regardais un film cochon dans le salon en me paluchant, Maman est venue s'assoir à côté de moi, et puis disons que ça s'est fait spontanément, on s'est amusé à se tripoter mutuellement, juste un tout petit peu, pour rigoler, et puis ça été l'engrenage. Je ne regrette pas, elle lèche trop bien !


Dans l'escalier j'ai croisé le mari qui rentrait du travail et qui a royalement fait semblant de ne pas me reconnaître. S'il savait... Voilà qui m'a amusé ! Finalement j'ai passé toute la journée à m'amuser... un peu mal au cul quand même...


Estonius, janvier 2007


Quelques-uns des faits racontés ici sont réels, mais je ne vous dirais pas lesquels !


Ce récit a eu l'honneur d'être nommé Prix Spécial Bi pour 2007


Ce texte a primitivement paru dans un version auto-censuré dans lequel Betty était la sœur d'Agnès. Voyant que le site s'enrichissait de quelques récits de ce genre, j'ai demandé l'autorisation au webmaster de publier la version non expurgée, ce qu'il a accepté. Je l'en remercie.

What do you want to do ?
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Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Samedi 18 novembre 2006 6 18 /11 /Nov /2006 19:15

La nuque de la mulâtresse

Par Enzo

 

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Ce fut d’abord sa nuque qui m’intrigua. Lassé ce jour-là des restaurants asiatiques, je cherchais autre chose, irrité par les tenanciers des officines turco-gréco-brochettes qui racolent littéralement le chaland, je me retrouvais un peu par hasard dans ce restaurant français traditionnel. On me place en terrasse près de la vitre dont la vue donne sur la place du petit pont surplombée par les majestueuses tours de Notre Dame...

 

Et puis donc, mais je l’ai déjà dit...

 

La peau mate, légèrement mate, des cheveux très bruns et très fins probablement défrisés mais laissant à l’arrière s’échapper quelques jolies impertinentes bouclettes sauvages, un vague chignon (pas terrible) maintenu par une sorte de chichi de lin blanchâtre. Une vingtaine d'année sans doute.

 

Sa nuque, était, je l’ai dit, dégagé, juste un peu avant les épaules par cet étrange pull-over écru, très traditionnel par ailleurs, sauf en haut ou il comportait un col rabattu (à la façon des cols marins), à larges mailles d’environ un centimètre.

 

Donc, un filet de poils en arête courait du haut de la nuque jusqu’à la naissance du dos, pour ensuite continuer jusqu’à je ne sais où mais en quantité moindre, me sembla-t-il. Je découvris après que cette jeune personne était accompagnée de ses parents, le père probablement réunionnais ou mauricien, la mère une méditerranéenne assez piquante.

 

Je n'ai pas arrêté de reluquer cette nuque pendant que je dégustais mon entrée, puis mon plat... Parfois quand elle gigotait un peu je pouvais apercevoir un petit peu de ses profils, celui de son visage avait un joli nez, celui de son torse, de troublantes formes.

 

Elle profita de l'intermède entre le plat et le "fromage ou dessert" pour descendre aux toilettes. J'ai eu conscience à ce moment-là que moi aussi j'avais envie, je me dirigeai donc à mon tour vers ces lieux une petite minute à sa suite.

 

toiletstand1b.JPG

 

Deux cabines ! Je tente d'ouvrir celle des hommes, mais elle est fermée et quelqu'un me répond à l'intérieur en grognant... Est-ce alors le réflexe, le destin, l'inconscience, allez savoir... qui me fit pousser la porte des femmes... Celle-ci n'était pas verrouillé, et voilà que l'espace d'un instant j'entraperçois ma mulâtresse en train de pisser.

 

Je referme vite fait, marmonne un mot d'excuse..., je bande comme un âne... j'essaie de me calmer et j'attends.

 

Le mec dans la cabine s'éternise, si bien que la fille sort avant lui. Nos regards se croisent. Je rougis comme une tomate.

 

- Je suis vraiment désolé pour tout à l'heure... balbutiais-je.

- Vous n'avez pas à être désolé, c'est moi qui aie oublié de fermer la porte... et puis bon, vous avez fait quoi ? Vous avez vu une fille en train de pisser, quelle affaire ?

- C'est vrai, j'aime bien la façon dont vous prenez la chose !

- Il parait que je suis un peu extravertie, parfois, j'aime bien qu'on me regarde, c'est peut-être pour ça que inconsciemment j'ai oublié de fermer la porte.

 

Oh ! La la, qu'est-ce qu'elle me raconte ? J'essaie d'en savoir plus :

 

- Vous n'auriez rien dit si je vous avais regardé plus longtemps ?

- Je ne sais pas... mais peut-être que je n'aurais rien dit !

- J'ai raté quelque chose alors ?

- Vous voudriez que j'essaie d'en faire encore quelques gouttes ?

- Chiche !

- Je ne sais pas si je pourrais, Mais dites-moi, et si on faisait le contraire ?

 

Le contraire de quoi ? J'ai peur d'avoir du mal à suivre.

 

- Ben, moi je vous regarde pisser, c'est coquin aussi ça ?

- Euh... oui....

- Et bien allez-y !

 

Et elle me fait signe d'entrer dans la cabine. Je dois être en train de rêver, ce n'est pas possible... Mais comme un zombi, je pénètre dans l'étroit local, elle me suit.

 

- Ben allez-y, sortez là votre bite !

 

Mon dieu, quel langage dans la bouche d'une aussi jolie jeune femme. Je libère mon sexe, il est tout raide, j'essaie de me concentrer pour pisser, pas moyen, mettez-vous à ma place !

 

- Alors, on n'y arrive pas !

- Ben non !

- Je vais vous donner un coup de main...

 

Et la voilà qui comme si on se connaissait depuis trois siècles, m'attrape le sexe et commence à me masturber ! Je suis tombé sur la reine des nymphos, ma parole !

 

- Hummm, elle est mignonne ta bite, je te la sucerais bien un petit peu, tu me laisses faire...

- Heu...

- Ben tourne toi, et rassure toi je ne vais pas te mordre.

 

Je me tourne, elle s'accroupit, et sans autre formalité elle me gobe la quéquette. La porte des hommes s'ouvre, je m'aperçois avec horreur que la nôtre n'est pas fermée ! Je vois le mec qui nous regarde et qui fait des yeux de hiboux en découvrant le spectacle

 

- Faut pas vous gêner ! Rouspète-t-il.

 

Je ne sais plus ou me foutre, j'espère qu'il va partir, qu'il ne va pas ameuter tous le quartier. Il finit effectivement par partir en grommelant quelque chose....  Du coup ma bite a pas mal ramollie...

 

- On ferme la porte ! Proposais-je

- Oui, maintenant on peut ! T'as vu, il nous a vu ! J'en suis toute excitée ! Si t'as une capote tu peux me prendre...

- Ben non, j'en ai toujours une dans mon portefeuille, mais c'est resté en haut dans ma veste...

- Tant pis, mais ça te dirais de me lécher...

- Oui, oui...

 

On se contorsionne pour changer de position, elle se met debout, descend son pantalon et sa culotte et j'ai sa chatte devant les yeux, une chatte très poilue avec un filet de poils qui remonte sans doute jusqu'au nombril.

 

- Allez, vas-y, je ne voudrais pas que me parents s'inquiètent....

 

Alors d'accord, on y va, je plonge dans cette touffe de poils à l'odeur prononcée, de mes doigts j'écarte les lèvres. Joli contraste entre sa peau couleur café et cet écrin rose vif. Puis, je donne de longs lapements de bas en haut, me délectant de cette curieuse saveur aigre douce, la belle commence à respirer bizarrement, je m'attaque alors au clitoris et effectue des mouvements plus petits mais plus rapides. Je la sens venir ! J'ai peur qu'elle ameute tout le restaurant. Heureusement elle semble savoir ce qu'elle fait et après un petit cri étouffé elle se reprend, puis semble tout d'un coup assommée.... Mais ça ne dure pas... Elle lorgne mon sexe dont la vigueur est revenue. On ne dit rien, un seul regard et on a compris : la voici de nouveau en train de me sucer. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps... Je lui dis... Sa bouche lâche ma queue, à regret, semble-t-il, mais sa main la relaie, elle me branle, et quelques instants plus tard mon sperme allait maculer les murs de la cabine. On se regarde, on ne sait pas trop quoi se dire, j'ai envie de l'embraser tendrement...

 

...mais voilà qu'on frappe à la porte.

 

- Occupé ! Répond la belle

- Vous êtes combien là-dedans ? dit une voix

 

Ainsi donc l'affreux grognon est allé cafter aux gens su restaurant.

 

- On est deux ! Indique la coquine !

- Oui, ben c'est interdit ! Vous sortez maintenant !

- D'accord on sort !

 

On entend le type qui remonte l'escalier. On s'en sort bien sa protestation aura été très formelle.

 

J'ouvre, après avoir mis un peu d'ordre dans ma tenue, mais la fille ne me suit pas... je me retourne, la voici assise sur la cuvette :

 

- Ça m'a redonné envie de pisser cette affaire, tu veux regarder ?

 

Bien sûr que je veux voir ! Oh ! C'était un tout petit pipi mais qu'est-ce qu'il était beau, ce petit filet doré jaillissant de ce petit écrin rose entouré de jolis poils bruns...

 

Cette fois, il nous faut remonter, je n'ose pas lui proposer de nous revoir, j'attends un signe d'encouragement un déclic, quelque chose... rien.

 

- Allez, on ne se connaît plus ! Me dit-elle simplement en me faisant un mini bisou sur la joue !

 

Triste, je suis !

 

Je m'assois à ma place, où mon camembert qui sans doute las de m'attendre avait décidé de rompre l'ennui en se mettant à couler. Mon inconnue me présente de nouveau sa nuque. J'entends les brides de conversation :

 

- On commençait à s'inquiéter, tu n'es pas malade au moins ? Demande sa mère.

- Ben non, il y avait la queue, et la cabine n'arrivait pas à se libérer... et quand elle s'est ouverte, je vous le donne en mille, c'est un couple qui en est sorti !

- Ça alors !

- Il y avait même des traces de sperme sur le mur ! Ajoute-t-elle

- Il y a des gens quand même...

 

Enzo (novembre 2006)

(D'après de notes prises en avril 2002...)

 

 

 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mercredi 18 octobre 2006 3 18 /10 /Oct /2006 18:59

La grande Claire

par Enzo

 

Stamp uro

 

Cela faisait désormais plus d'un an que je restais célibataire. Certes je ne suis pas resté abstinent, plusieurs rencontres sans lendemain, pas mal de professionnelles dont certaines remarquables... mais il n'y a pas que le sexe dans la vie et la solitude commençait à me peser.

 

Un jour un collègue me proposa de venir déjeuner un samedi midi chez lui.

 

- On invitera une voisine, elle est seule depuis plusieurs mois, c'est une nana assez délurée, elle couche à droite à gauche, mais elle voudrait trouver quelqu'un pour se fixer... Je crois que vous devriez vous plaire....

 

Ça me fait marrer ces gens qui jouent les entremetteurs, mais bon, on peut toujours essayer, et je me pointais donc ce jour-là chez Elodie et Gilles. Elodie est un petit bout de femme, fausse blonde d'une quarantaine d'année avec un visage sympathique et quelques rondeurs. Elle s'était habillée très simplement d'un jean et d'un petit haut légèrement déboutonné sur l'échancrure d'une poitrine qu'on devinait mignonne...

 

On commença à prendre l'apéro en parlant de tout et de n'importe quoi, puis Claire arriva, grande bringue, à la peau très blanche, cheveux bruns, assez courts, et pas mal de poitrine dissimulée sous un haut en coton blanc. On se présente.

 

- C'est vous Hervé ? Il parait que Gilles veut nous marier ! Plaisante-t-elle

- Ben, oui, on se mariera peut-être tout à l'heure ? Répondis-je bêtement

- Je suis votre genre au moins ? demande-t-elle

 

Elle va m'embarrasser... en fait non ce pas vraiment mon genre mais je ne vais pas le lui dire.

 

- Et moi, je suis votre genre ! Biaisais-je

- Non, je n'aime pas les hommes à lunettes, ni les hommes à moustaches, en plus vous avez un petit ventre...

- Ok, on ne se mariera pas ce soir, alors ?

- Je ne crois pas non !

- Tant pis !

 

Du coup on parle d'autres choses, les conversations se croisent avec Gilles et Elodie. On finit par passer à table. Le repas est classique mais délicieux et assez arrosé.

 

C'est au moment du café que les choses commencèrent à dévier... Claire parle beaucoup de cul, parfois assez vulgairement, et chose étonnante Elodie n'est pas en reste... La grande brune évoque un moment une aventure avec une autre femme en terme assez crus

 

- Tu ne changeras jamais ! Rétorque Elodie

- Faut goûter à tout ce qui est bon ! Tu vas pas faire ta mijaurée, tu m'as bien roulé un patin il n'y a pas si longtemps !

- C'était un jeu !

- Oui, mais ça ne t'as pas déplu

- C'est vrai !

- Et je suis sûre que t'aurais bien été plus loin ?

- J'aurais peut-être été plus loin avec toi, si tu ne m'avais pas laissé tomber pour aller sucer des bites ! Rétorque Elodie.

- Oui, mais c'est parce que j'étais prise dans l'ambiance !

 

Et la voilà qui évoque cette soirée, avec force détails, ça commence à m'exciter tout ça !

 

- Ça te dirait que je t'embrasse à nouveau ? Demande-elle en conclusion à l'adresse d'Elodie

- Arrêtes, tu vas choquer notre ami

- Me choquer, moi, non pas du tout ! Protestais-je

- Ah tu vois ! Fit-elle s'avançant déjà vers sa victime.

 

Ce fut très rapide, Elodie accepta d'abord timidement le baiser de Claire avant d'entrer complètement dans son jeu. Elles se bouffent carrément le museau, se dégoulinant de salive... Et pendant ce temps la main de la grande brune ne reste pas inactive, elle déboutonne un peu plus le chemisier de sa complice, lui met la main sur la naissance des seins, continue à déboutonner et fait jaillir un joli petit nichon hors de son bonnet. Et voilà que je bande !

 

Finalement, elles se calment, Elodie se réajuste, un peu confuse !

 

- C'est très joli, il fallait continuer suggère Gilles !

- T'as qu'à en faire autant avec ton collègue, au lieu de nous mater ! Répond Claire.

- Ça va pas non !

- Pourquoi, je croyais que tu étais un peu bi !

 

Mon collègue devient rouge comme une tomate...

 

- J'ai jamais dit ça ! Tente-t-il de protester.

- Ben si, tu l'as dit souvent, pourquoi tu te défends ? Intervient Elodie

- Bon, si on parlait d'autre chose...

- Tiens je vous propose un truc les mecs, on se refait un bisou avec Elodie, mais après vous sortez vos queues et vous vous branlez, d'accord !

- Claire, voyons ! Tente d'objecter la femme de Gilles

- J'arrive ! Se contente de dire l'autre qui de nouveau et sans attendre de réponse cherche la bouche de l'autre femme...

 

C'est reparti pour un tour, cette fois ce sont les deux seins Elodie qui sont à l'air. Un moment de pause, Claire enlève son haut, puis elles repartent dans leur séance de fricotage....

 

- On se met à poil ! Propose la grande brune au bout de quelques instants !

- Attends, que font les hommes ? Répond la femme de Gilles.

- Allez, montrez-nous comment vous bandez bien ! Nous interpelle Claire.

 

Gilles me lance un regard interrogateur ! Je lui réponds par une mimique que je veux bien me lancer. Il sort alors son engin et commence à le branler, une belle bite bien raide avec un joli gland foncé, je l'imite donc...

 

- Non, ce n'est pas ça le jeu, il faut que vous vous branliez mutuellement !

 

On se regarde mutuellement

 

- Si ça peut leur faire plaisir, et si ça ne te dérange pas... Murmure-t-il

- Non tu peux y aller, ça ne me déplait pas de branler une belle bite !

- Ah oui, tu la trouve belle ?

- Superbe, oui !

- T'entends, Elodie, il trouve ma bite superbe, Hervé !

- Demande-lui qu'il te la suce, alors ! Réplique sa femme ! Depuis le temps que ça te trotte dans la tête, tu as l'occasion, là juste à côté de toi !

- Je peux ? Demandais-je alors à la grande stupéfaction de mon collègue à qui je n'avais jamais confié mes propres tendances bitophiles

- Allez ! Vas-y, suce !

 

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Et me voici avec son sexe dans la bouche ! Je le suce, je le lèche, je le gobe, ce n'est pas si souvent que j'ai l'occasion de sucer des bites, et puis celle-là est délicieuse.... Les femmes passent derrière nous, Elodie derrière moi et Claire derrière Gilles. Elles font descendre nos pantalons et nos caleçons... On fait une pause et on se met tous à poil...

 

- Alors elle était bonne sa bite ? Me demande Claire

- Délicieuse ! J'y regoûterais bien !

- Je peux y goûter aussi ? Demande-t-elle à l'adresse Elodie

- Ne me pique pas mon homme toi ? Rigole-t-elle

- Je ne veux pas te piquer ton homme, je veux juste lui faire une pipe.

- Non, il ne le mérite pas, il n'avait qu'à pas mentir tout à l'heure !

- Bon tant pis, je vais sucer celle d'Hervé mais elle est moins grosse !

 

Et me voilà avec Claire à genoux entre mes cuisses.

 

- Attends, il faut que j'aille faire pipi ! Protestais-je

- OK, ne bouge pas ! Gilles tu peux aller nous chercher une serviette...

 

J'ai eu un moment un peu de mal à suive, mais quand elle pose la serviette à nos pieds, je comprends mieux...

 

- Vas-y pisse moi dessus ! J'adore me faire arroser !

 

C'est décidemment la soirée des surprises. Je me concentre un peu mais ça ne vient pas !

 

- Tu vas pisser ou pas ?

- Je bloque !

- Concentre-toi !

 

Je finis par y arriver et je lâche mon jet sur la belle poitrine de Claire qui se barbouille avec...

 

- Vise ma bouche, je vais en boire un peu !

 

Je le fais, comme dans un rêve, lui emplissant le gosier de liquide jaune qui produit dans son palais un curieux bruit de bouche assez comique. Elodie excitée par le spectacle finit par rejoindre l'autre femme. Il ne restait que quelques gouttes mais elle les avala gloutonnement.

 

- T'aimerais qu'on t'arrose aussi ? me propose Claire

- Oui, oui, bien sûr !

- Et bien allonge toi ! Ah... il va falloir changer de serviette... Gilles une serviette...

 

Claire me chevauche et commence à me faire quelques gouttes sur le sexe. Elle me demande si elle peut remonter jusqu'à mon visage, m'asperge et me fait boire...

 

- Bon allez relève toi je vais te sucer... mais c'est pas parce que je te fais une pipe qu'on va se marier, hein d'accord ?

- Ne t'inquiète pas ! Je peux te peloter les seins !

- Pelote, pelote, c'est fait pour ça non ?

 

Elle me suce divinement ma bite pleine de pisse, à ce point que je lui demande d'arrêter, étant sur le point de jouir... Pendant ce temps-là, Elodie regarde la scène en se masturbant assez mollement, Gilles pour sa part s'astique comme un forcené. Claire me contourne et entreprend de me sucer le trou du cul ! Mon dieu quelle sensation que cette langue experte sur le bord de mon anus ! Il finit par s'entrouvrir et la voilà qui me mets un doigt !

 

- T'aimes ça, hein, t'es vraiment un gros vicelard, toi ? Plaisante-t-elle

- Pourquoi gros !

- Je suis sûr que t'aimerais bien te faire enculer ? Continue-t-elle.

- Je l'ai déjà fait, ce n'est pas désagréable !

- Ah ! Oui ? Tu la voudrais bien la bonne bite de Gilles dans ton petit cul de pédé ?

- Pourquoi pas ? S'il est d'accord ?

 

Claire alla fouiller dans son sac et en sortit un préservatif

 

- J'en ai toujours sur moi ! Précisa-t-elle.

- Je peux, chéri ? Demande alors Gilles à sa femme avant d'enfiler la capote

- Oui mais, juste un peu, je ne veux pas que tu jouisses, je veux que tu me prennes juste après.

 

Je me penche, je m'ouvre. Gilles force, mais ça ne passe pas, il aurait fallu un peu de gel... Il recommence, j'essaie de m'ouvrir plus, ça passe un peu, il donne un grand coup, ça y est, il est dans mon cul ! Il me remplit complètement, s'agite, je suis aux anges, c'est trop bon, Gilles s'excite, il accélère, accélère encore, incapable de se retenir et finit par jouir.

 

- Connard, je t'avais demandé de me réserver la fin ? Lui dit sa femme.

- Je suis désolé !

- Puisque c'est ça, c'est Hervé qui va me prendre ? T'as quelque chose à dire ?

- Ben...

- Ben quoi ? Allez viens Hervé, viens enculer la femme de ton collègue.

 

Je lance quand même un regard à Gilles, la situation pourrait être gênante, mais il me fait signe d'y aller. Elle se met en levrette sur le canapé et je me place derrière. Excité comme je suis j'ai un peu peur de bâcler l'affaire, mais j'arrive à me contrôler. Au bout de cinq minutes, madame se met à jouir comme une malade... du coup j'accélère et me délivre à mon tour.

 

On se regarde tous, un peu bizarre, on se sert de l'eau minérale, personne n'ose faire de commentaire après cette séance de folie collective au cours de laquelle seule Claire n'a pas joui.

 

Elle s'approche de moi :

 

- Tu m'invites ce soir ?

- Avec plaisir !

- Ce doit être une drôle d'expérience de vivre avec un mec aussi vicieux ?

- Je ne suis pas vicieux, j'aime bien les plaisirs de la vie, et j'ai peu de tabou.

- Et toi tu vivrais avec une fille comme moi ?

- On ne peut pas dire à l'avance, mais pourquoi pas ?

- On s'essaye alors ?

- On s'essaye !

 

Enzo, octobre 2006

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'être nommé Prix spécial bi pour 2006 (ex-aequo)

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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