Vendredi 1 septembre 2000 5 01 /09 /Sep /2000 12:27

Pastichette se déchaîne

par Jean-Seb


 stamp rousse

 

Hello ! Je m'appelle Orelia, et j'ai eu 18 ans très récemment, je vous livre quelques pages parmi les plus chaudes de mon journal intime

 

Jeudi 1 juin

 

Demain c'est mon anniversaire. Que vont-elles m'acheter ? Je dis "elles" car nous allons faire cela en petit comité, il y aura ma mère, (qui à 40 ans est encore une femme superbe !), ma Tante Sidonie que j'adore et ma grande sœur Bénédicte. Mon père ne sera pas là, il est en prison et on ne veut pas me dire pourquoi !

 

Vendredi 2 juin

 

Oh là, là ! Que d'émotions, ce jour restera à jamais gravé dans ma mémoire, Après un bon repas préparé par ma mère (qui à 40 ans est encore une femme superbe, on ne le répètera jamais assez) celle-ci est allée chercher le dessert. Ma première réflexion fut de m'étonner que les bougies ne soient pas allumées.

 

Je m'aperçus ensuite que ce n'étaient pas des bougies qui ornaient mon gâteau d'anniversaire, mais des godes, 18 godes plantés dans le gâteau au moka !

 

J'embrassais ma mère et ma sœur pour les remercier, puis alors que je m'apprêtais à déposer un chaste baiser sur les douces joues de ma tante Sidonie (qui elle aussi à 40 ans est également une femme superbe !) Cette dernière dévia mon visage afin de coller ses lèvres contre les miennes, et me roula carrément un patin. Quel plaisir divin de se faire rouler une pelle par sa douce tata, je me laissais faire bien sûr. Elle me précisa que ce baiser faisait aussi partie des cadeaux.

 

Bon ! C'est pas tout cela, mais il fallait bien le manger, le gâteau, je fis la remarque qu'il manquait les petites assiettes et les cuillères :

 

- Inutile ! Dit ma sœur. Regarde comment on va faire !

 

Se saisissant de l'un des godes, elle l'enfonça dans le gâteau, le ressortit et le lécha. Voilà une excellente idée. Nous étions toutes les quatre en train de sucer nos godes plein de crème au moka ! Bien sûr ce genre de situation excite, et Tata Sidonie fut la première à enlever sa culotte, pour faire un usage un peu plus classique du godemiché. Quelques instants après elle en prit un deuxième afin de combler son petit trou qui devenait jaloux. Nous n'avons pas tardé à imiter Tata Sidonie (qui à 40 ans est toujours une femme superbe !). Tata Sidonie a voulu m'assister dans cette tâche, pensant que je manquais de pratique (si elle savait la pauvre !). Je me suis laissé faire. Elle m'a aussi demandé de lécher le gode qu'elle s'était introduite dans la chatte, j'ai pu ainsi déguster les saveurs intimes de ma Tata, et c'est moi qui lui ai demandé ensuite de lui nettoyer le gode tout merdeux qu'elle s'était carrée dans le cul. Ensuite Tata m'a demandé de la lécher pour la faire jouir. Cette partie à quatre a alors duré jusqu'à notre épuisement complet.

 

Mardi 6 juin

 

J'ai bouffé trop de gâteau, j'ai été malade, ce matin ça va mieux, j'ai 18 ans, le monde est à moi. Avec l'argent de poche que j'ai eu, je vais renouveler ma garde-robe. Je m'habille très très court, je mets le plus beau des 18 godes dans mon sac à main et je me décide à commencer par le marchand de chaussures. En pleine rue, je me dis que je n'aurais pas dû mettre de culotte, alors je la retire dans l'indifférence générale.

 

J'essaie quelques godasses, la vendeuse est mignonne, et je m'arrange pour qu'elle remarque mon absence de culotte. Mais elle fait semblant de ne pas voir, cette pétasse

 

- Ça ne vous dérange pas que je n'ai pas de culotte ?

- Mais pas du tout, nous avons l'habitude, si vous saviez le nombre d'exhibitionnistes qu'il y a chez les marchands de chaussures !

 

Ça me contrarie ce genre de réponse parce que ça ne correspond pas au scénario que j'avais dans la tête, alors je me décide à forcer la dose, je sors mon gode et me l'enfonce dans la chatte, puis je fais démarrer les piles du vibrateur. Quelques personnes se détournent juste un peu, mais c'est tout ! Un type se pointe devant moi :

 

- Je suis le directeur du magasin, veuillez me suivre !

 

J'accompagne le mec dans une arrière salle, j'espère qu'il va me violer, j'aimerais bien qu'on me viole, aujourd'hui, il paraît que c'est super comme expérience !

 

- Nous, vivons, mademoiselle dans une société, où il est nécessaire de respecter les valeurs morales judéo-chrétiennes. Ce que vous n'êtes vraiment pas en train de faire. Je vais donc appeler les flics sauf si vous consentiez à me faire une petite turlutte !

- Ok !

 

Le type avait une bite monstrueuse, je léchais un peu son gros membre parcouru de grosses veines bleues, mais j'avais du mal à mettre dans ma bouche son énorme gland violacé. Pourtant au bout de trois minutes il me lâcha une considérable giclée. Je croyais que l'affaire allait en rester là, mais il m'indiqua qu'il rebandait déjà et m'intima l'ordre de me tourner afin qu'il m'enculât.

 

Ayant peur que cet engin surdimensionné me déchire le fondement, je décidais de fuir et me mit à courir. En traversant le magasin, je trébuchais sur une boite à chaussures et m'affalait, le cul à l'air. Deux vendeuses m'empoignèrent et me ramenèrent manu militari dans l'arrière-boutique.

 

- Laissez-vous faire, ce n'est une formalité !

 

Il me fit très mal, mais comme dans les histoires, après la douleur vint le plaisir et c'est toute contente que je sortis du magasin avec mes chaussures à l'œil.

 

Tout de même si on ne peut pas venir acheter des chaussures sans culotte, sans se faire enculer, où va-t-on ?

 

Mercredi 7 juin

 

Je cherche un petit ensemble, j'en trouve un super mignon, il faut que je l'essaye, je vais donc dans une cabine. Ils sont fous dans ce magasin, ils mettent des rideaux aux cabines, je laisse bien sûr la mienne ouverte et me déshabille, j'essaie le truc. Il me va très bien, je me déshabille à nouveau et dans la foulée j'enlève aussi mes sous-vêtements. Les gens passent, mais ne s'arrêtent pas. C'est désespérant. Je renouvelle la tactique de la veille et je sors mon gode en réglant le vibrateur à fonds. Une bonne femme arrive en pétard !

 

- Si vous n'arrêtez pas, j'appelle la sécurité !

 

Je ne réponds pas, j'espère bien que la sécurité va venir, j'espère aussi qu'ils vont me violer (j'aimerais bien qu'on me viole, aujourd'hui, il paraît que c'est super comme expérience). Ça y est la sécurité arrive. C'est un grand gaillard d'environ 1 m 98 !

 

- Mademoiselle, votre jouet dépasse le maximum de décibels autorisés dans cet établissement, si vous pouviez le régler ?

- Je ne sais pas faire !

- Donnez !

 

Et joignant le geste à la parole, il m'enlève le gode, baisse le vibrateur, et le remet en place

 

- Euh ! Il était bien dans cet orifice ?

- Non dans l'autre !

- Alors excusez-moi ! Je vais le remettre ou je l'ai trouvé, bonne journée Mademoiselle !

 

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Le goujat, il ne m'a même pas violé. Une fille rentre, une belle fausse blonde

 

- Toutes les cabines sont prises, ça ne vous dérange pas si je rentre ?

- Non, non !

 

La fille baisse son pantalon et sa culotte, s'accroupit et se met à pisser au milieu de la cabine d'essayage, provoquant la création d'une énorme marre d'urine

 

- Hé, mais qu'est ce que tu fais ? C'est des cabines d'essayage, ici pas des chiottes !

- Non, non ! Les cabines d'essayages se ferment de l'intérieur

- Mais les chiottes aussi !

- T'as raison, c'est super mal indiqué !

- T'es lesbienne ?

- Cette question ? Bien sûr ! Toutes les femmes sont lesbiennes !

- Ça te dirait de faire des trucs avec moi ?

- Non désolé, je ne fais cela qu'avec ma sœur, c'est beaucoup plus joli !

- Et pourquoi c'est plus joli ?

- Parce que l'inceste c'est beau ! Si tu ne comprends pas ça, c'est que t'es lourde !

 

Jeudi 8 juin

 

Bon c'est pas tout cela, mais on m'a pas encore violé (j'aimerais bien qu'on me viole, aujourd'hui, il paraît que c'est super comme expérience) Je décide de forcer la chance et je prends un train de banlieue aux heures creuses, je m'installe dans un wagon à moitié vide, il n'y a que trois loubards dans le fonds, et un vieux monsieur qui est à moitié planqué derrière un journal. Je retire ma culotte devant leurs yeux médusés et commence à jouer avec mon gode.

 

- Wha ! T'as vu l'autre salope ?

- Je t'ai toujours dis, il n'y a pas plus vicieux qu'une femme !

 

Evidemment ils s'approchent. Il faut que je résiste un peu, sinon c'est plus du viol (ben oui, le viol c'est comme le football, ça a des règles très strictes !)

 

- Laissez-moi tranquille !

- Wha l'autre ! Elle allume les mecs, et elle voudrait qu'on la laisse peinarde dans son coin. T'es qu'une grosse pute ! T'es qu'une salope !

 

Hmmmm, ça m'excite tous ces mots doux !

 

- On va te prendre tous les trois et on va t'enculer ! Tu vas voir ce que c'est qu'une vraie bite !

- Laissez-moi tranquille, vous n'avez pas le droit !

- On va se gêner !

 

Et après avoir rigolé grassement, déjà deux d'entre eux m'immobilisent, le troisième s'approche de moi, son haleine sent la bière trop forte et le big mac mal digéré. Il sort son énorme bite (les violeurs ont toujours des bites énormes) mal lavée et sans préliminaires me la fourre dans le con (c'est plus littéraire de dire con que chatte, personne ne parle comme ça, mais ça ne fait rien). Il jouit illico presto. Ils me retournent et le deuxième s'attaque carrément à mon trou du cul. Je hurle ! Il me fait très mal ! Il ne s'occupe évidemment pas de mon propre plaisir et ne pense qu'a lui, il ressort son énorme pieu et me le fourre dans la bouche tandis que le 3ème le remplace derrière. Je nettoie la bite du 2ème. Elle ne sent vraiment pas la rose, mais que voulez-vous un viol c'est un viol, je ne vais pas en modifier les règles ! Le troisième n'arrive pas à jouir. Mon cul est en marmelade. Tout d'un coup l'un des loubards, se rappelant la présence du petit vieux à l'autre bout l'appelle !

 

- Viens là toi, y a du spectacle !

 

Le type ne bronche pas

 

- Viens ici ou alors on t'encule !

 

Le type affolé se précipite vers le signal d'alarme ce qui ne tarde pas à immobiliser le train. Les trois loubards sautent par la portière et disparaissent dans la nature. Dans la foulée ils ont eu le courage et la bonté de me piquer mon sac à main. Les braves violeurs ! Qu'ils étaient beaux mes violeurs !

 

Quand même quand on y pense, se faire prendre comme cela par des individus mal lavés, mal éduqués, à moitié bourrés, qui ne respectent pas les femmes, qui nous insultent, nous considèrent toutes comme des salopes, disposent de notre corps comme des brutes en ne pensant qu'à leur propre plaisir, en nous faisant mal ! Quel pied ! Et en plus ils piquent les sacs à main. Tiens, rien que d'y penser, je mouille !

 

Vendredi 9 Juin

 

Je vais passer chez Pépé ! Pépé c'est mon grand-père maternel, donc le père de ma mère, je vous ai, je crois parlé de ma mère (qui à 40 ans est encore une femme superbe) Ma mère est fâchée avec son propre père depuis qu'elle a surpris ce dernier en train d'enculer son mari (donc mon père, vous suivez ?) Ce sont des choses qui ne se font pas. La sodomie est chez la femme un plaisir exquis, c'est le dessert de l'acte, et même si ça fait mal, quel plaisir de voir cette douleur se transcender en plaisir (au fait j'ai encore mal au cul suite à mes conneries d'hier). Tandis que chez l'homme la sodomie est un avilissement honteux.

 

Mais j'aime bien mon pépé ! Il est encore bel homme et n'a que 56 ans.

 

- Je suis venue pour que tu me souhaites mon anniversaire !

- Bien sûr je ne te vois que pour cela ! Alors cette fois désolé, pas de nouvelle pendant un an et aujourd'hui tu te pointes comme un cheveu sur la soupe !

- Dis pépé c'est quoi l'inceste ?

- Tu ne vas pas me reparler de cette histoire, on était bourrés et entre beau-père et gendre, ce n'est pas de l'inceste !

- Et si on faisait des trucs tous les deux ce serait de l'inceste ?

- Oui ?

- Ça te tente ?

- Non !

 

Il m'énerve, il ne veut pas me donner d'argent, et voilà qu'il se met à avoir des principes !

 

- T'as vu ? Je n'ai pas de culotte !

 

Il devient cramoisi.

 

- Et je vais te montrer comment je joue avec mon petit gode !

 

Le pépé sort alors son énorme gland et s'avance vers moi. Je recule !

 

- L'argent d'abord !

- Mais t'es une vraie pute !

- On ne parle pas comme cela a sa petite fille !

 

Il va chercher quelques billets

 

- Encore un effort !

- C'est tout ce que j'ai !

- Alors c'est juste une pipe !

 

En sortant, je me demandais ce que cet acte avec ce vieux dégoûtant m'apportait de plus ! Mais je me disais que l'essentiel était de l'avoir fait, de pouvoir me dire que je l'avais fait et de pouvoir écrire que je l'avais fait.

 

Ce week-end je me repose, lundi j'ai rendez-vous chez Sonia car je veux absolument essayer Kiki. Kiki c'est son doberman !

 

FIN

 

Jean-Sébastien Tiroir © 2000

monsieur_tiroir@hotmail.com 

 

Postface du webmaster :

Un pastiche bien sûr ! Un pastiche d’histoires que l’on trouve ici et là, (mais pas sur ce site) Publié à l’origine sur l’excellent site de Revebebe, certaines des illusions passeront ici inaperçues. Ainsi Orelia se réfère à Aurelia, une série mettant en scène une petite délurée n’ayant pas atteint l’âge légal pour ce genre de choses. Les redondances "ma mère qui à cet Age est encore une femme parfaite..." se référaient à un auteur assez grave qui non content de fantasmer sur sa maman, invectivait copieusement les malheureux qui n’avaient pas la bonne idée de partager son fantasme.

 

Tel que, ce récit reste savoureux. Trop de sites d’histoires sont envahis par les histoires de familles tuyau de poêle, et par les histoires de viol ou l’infortunée violée se retrouve toute contente d’être passée à la casserole ! Et tout cela au nom de la liberté d’expression ! Chez ces curieux libertaires, cela semble passer avant le respect de la personne humaine ! N’empêche le père Tiroir dans ce récit à l’immense talent d’une seule phrase et sans aucun didactisme de remettre à leur place les violeurs et leurs thuriféraires ! Merci Jean-Sébastien !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Jeudi 31 août 2000 4 31 /08 /Août /2000 11:51

Chaud, le Peep-Show !

par Jean-Seb

 

Voy

 

Ma femme et les gosses sont partis une semaine en Normandie, bravant le mauvais temps. Cela ne me disait trop rien et il fut convenu que je ne les rejoindrais que les tous derniers jours. J'ai pu ainsi pour un temps, goûter les quelques joies du célibat occasionnel. Ainsi, ce mardi 22 août 2000, je décide de m'offrir une petite fin d'après-midi parisienne. Mes pas m'entraînent vers la rue Saint-Denis, et plus précisément vers cette célèbre officine où je m'excite un peu en visionnant quelques vidéos fort coquines. J'aime en quittant ces lieux loucher vers les demoiselles qui tentent de racoler les badauds vers les cabines dites spéciales. Mais rien d'affolant ce soir ! J'allais partir quand l'aboyeur de service annonce au micro :

 

- Exceptionnel ! Trois lesbiennes sur le plateau ! C'est exceptionnel !

 

Ça ne coûte rien d'aller voir ! Me dis-je, et j'attends patiemment qu'une des cabines du peep-show se libère.

 

Peep-show ? Ai-je dit ?

 

Et si avant toute chose on en parlait un peu du peep-show ?

 

Le principe : Vous entrez dans une cabine, et vous introduisez la somme demandée (actuellement 3 euros). Une glace sans tain s'actionne alors vous permettant de regarder ce qui se passe sans être vue. Vous avez donc accès à une scène en principe circulaire et tournante. Et vous pouvez alors assister aux déshabillages et aux trémoussements de jeunes filles plutôt bien faites (Il est bien loin le temps où n'évoluaient dans ce genre d'endroit que d'anorexiques limandes…) De façon relativement fréquente vous pouvez aussi voir les ébats de couples hétéros, sans simulation avec fellation et pénétration ! On a aussi parfois la chance de voir des lesbiennes ou du triolisme mais c'est quand même plus rare. Tout cela dure peu de temps (cela varie suivant les établissements) disons 3 minutes. Après il faut remettre des pièces… Certaines boutiques cherchant à fidéliser leur clientèle vendent des cartes à puces qui remplacent avantageusement la menue monnaie.

 

Jusque-là rien à dire, le rapport qualité prix est somme toutes sans surprise.

 

Deuxième stade : la cabine spéciale : Après avoir évoluées sur la piste, les filles se baladent dans la partie " libre-service vidéo " et vous proposent un petit moment en cabine spéciale. De quoi s'agit-il ? D'une cabine relativement spacieuse (une dizaine de m²) séparée en deux parties : une partie basse avec un fauteuil dans lequel vous vous installez après vous êtes mis " à l'aise ". Une partie surélevée sur laquelle va évoluer la fille. Il n'y a aucune séparation physique entre les deux parties, mais des faisceaux infrarouges provoqueront des alarmes si d'aventure un client cessait d'être sage. Il y a également des caméras ! La fille va vous faire une prestation comme on dit, en fait un strip-tease et/ou une exhibition que vous allez pouvoir plus ou moins diriger. Vous êtes invité à vous masturber pendant ce temps-là. Ça s'arrête avec votre éjaculation, et si ça ne vient pas la lumière se coupera de toute façon après 10 petites minutes !). Tout cela pour un tarif de base de 30 ou 40 euros....

 

Et jusque-là ça va encore ! C'est un peu cher la branlette, mais bon on ne vit qu'une fois !

 

Troisième stade : et c'est là que ça se corse ! Et c'est là aussi que ça se diversifie parce que tout dépend des établissements !

 

De même que dans la prostitution, il y a deux attitudes " commerciales " carrément opposées :

 

La première attitude consiste à ne cibler que la clientèle de passage, en se disant qu'il y en aura toujours, que les bénéfices réalisés avec cette dernière sont loin d'être négligeables, et que de toute façon, il n'y a pas à se gêner à gruger le client. Tout ce qui lui arrive étant de sa faute, il n'avait qu'à être moins con !

 

La deuxième attitude consiste au contraire à fidéliser le client. Tout est fait pour qu'il soit content, pour qu'il revienne et aussi (pourquoi pas ?) qu'il en parle !

 

De toute façon, dans la cabine spéciale, la fille va systématiquement vous proposer une prestation plus osée :

Dans les établissements corrects, elle n'insistera pas trop, dans les autres elle deviendra collante ! (Dans ces milieux-là le terme " fauché " reste une insulte !)

 

Mais la différence va encore plus loin : si vous doublez ou si vous triplez la mise dans une officine ou l'on pratique la fidélisation, la fille va surtout jouer sur le temps et prolonger ainsi son tête à tête avec vous. Les choses seront aussi un peu plus hard, et elle n'hésitera pas à sortir toute une batterie de godemichés et à se pratiquer avec des introductions y compris anales. On a le droit de trouver ça cher pour ce que c'est ! Mais il y a des amateurs…

 

Rendons nous maintenant dans cet établissement où le client n'est là que pour " laisser son fric " ! L'ami Jean Guillaume, venu de sa province profonde est dans sa cabine spéciale !

 

- Si tu remets un peu d'argent, je peux te faire plein de trucs !

 

Jean Guillaume hésite, il n'a pas envie de dépenser tout son argent de poche le premier jour.

 

- Tu sais, je pratique la fellation !

 

Notre Jean Guillaume devient cramoisi, sort quelques billets de son portefeuille, les tends à la demoiselle et savoure d'avance les délicieux moments qui ne vont pas tarder à arriver. La demoiselle sort alors un beau gode bien membré et se met à lécher goulûment... le morceau de plastique.

 

C'est absolument inattaquable ! Jamais au grand jamais, la fille n'a prétendu faire une fellation avec Jean Guillaume. C'est ce dernier qui a interprété ! (On apprend ce genre de truc dans les séminaires sur la communication ! Si ! Si !).

 

Jean Guillaume irait bien protester, mais à quoi bon, il ne fait pas le poids devant le videur stationné non loin de la caisse !

 

En conclusion le peep-show, pourquoi pas ? Mais suivez mes bons conseils :

 

1 - Limitez-vous au peep-show " public ". Si vous êtes trop excité et que vous n'êtes pas certain de pouvoir résister au racolage de ces dames, n'hésitez pas à jouir dans la cabine, c'est aussi prévu pour ça !

 

2 - Souvenez-vous que les cabines spéciales sont très chères pour ce que c'est. Faites-le éventuellement, juste une fois pour voir. Sinon réservez cela aux soirs de coups de folie.

 

(Pendant assez longtemps, j'allais une fois par mois en cabine avec la même fille, (Samantha, je crois) il s'était créé entre nous une certaine complicité, puis elle a disparu de la circulation. C'est vrai que cela peut avoir un petit côté fascinant de discuter de n'importe quoi avec une nana qui est là devant vous la chatte à l'air ! )

C'est aussi dans ce genre de cabines que j'ai rencontré deux actrices X (Marilyne Jess et Elodie Chérie) Elles étaient d'ailleurs très sympas, et puis surtout, c'était le seul moyen d'obtenir un autographe !

 

3 - Une fois dans la spéciale, quel que soit l'établissement, quelle que soit la fille, n'acceptez jamais de remettre de l'argent !

 

Une dernière précision pour ceux qui auraient encore quelques illusions :

 

- La législation française telle qu'elle existe au moment de la publication de ce texte conduirait à accuser les responsables de l'établissement de proxénétisme si des attouchements de types sexuels étaient pratiqués entre les filles et les clients.

-

- Aucun établissement ne courra ce risque !

- Aucun établissement ne permettra à une fille de leur faire courir ce risque !

 

Ceci dit personne ne peut vous empêcher si ça vous chante de prendre un rendez-vous à l'extérieur… mais ce n'est plus du peep-show !

 

Et si après toutes ces infos, nous faisions un peu dans l'érotisme ?

 

Revenons à notre premier paragraphe !

 

Je me méfie un peu, il y a des mois qu'il n'y a pas eu de show de lesbiennes dans cet endroit. Et puis j'ai toujours un peu peur des " fausses lesbiennes ", qui se touchent à peine et s'embrassent encore moins. Et là, il y en aurait trois ? Mais comme je l'ai dit, ça ne coûte pas trop d'aller voir :

 

Mais voici que je suis subjugué ! Trois déesses blondes entièrement nues, la chatte intégralement rasée et la poitrine superbe sont sur le plateau. La première d'entre-elles, la plus petite et la plus belle doit avoir une trentaine d'année, elle a le teint légèrement mate, un visage très ovale, et les cheveux coiffés à l'Africaine avec des tresses. Les deux autres sont plus jeunes. L'une (Priscilla) a la peau très pale, c'est une belle et pulpeuse brune décolorée, son visage respire la gentillesse et la malice et son éternel sourire sous son petit nez coquin et un peu retroussé est un ravissement ! La troisième (Aurore) fait beaucoup plus BCBG, sans doute une vraie blonde, genre égarée dans ce milieu, très étudiante qui fait des extras.

Au moment où le spectacle s'offre à moi, la fille aux tresses est à quatre pattes au milieu de la scène, elle lèche la chatte de Priscilla qui est debout devant elle. A l'autre extrémité, Aurore lui lèche le sexe et l'anus en de grands coups de langue.

Ce qui est remarquable, c'est la décontraction avec laquelle elles accomplissent leur prestation. Elles en oublient l'invisible public, se racontent d'incompréhensibles bêtises qui les font rire aux éclats, et surtout elles ne font pas semblant. Certains gestes sont assez fabuleux, ainsi un moment, Aurore ramasse avec sa main la mouille qui dégouline de la chatte de sa partenaire tressée, la redépose un peu plus haut, puis entreprend de lécher tout cela.

 

Le show dure, pour mon plus grand plaisir, et voici que le présentateur indique au micro que les filles vont devoir rester un peu plus longtemps que prévu sur la scène. Elles rouspètent un peu, changent légèrement de position, puis rigolent, mais aussi s'excitent de plus en plus. C'est un spectacle rare que de voir leur langue s'agiter comme cela dans la chatte, dans le cul et dans la bouche de leurs copines. C'est un délice de les voir se sucer les seins, et c'est un régal de les voir prendre plaisir à se caresser la peau que j'imagine évidemment d'une infinie douceur. Les filles sont en sueur, elles n'en peuvent plus !

 

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A un moment elles tentent un truc un peu acrobatique ! Ça ne tient pas et les voilà les quatre fers en l'air ! Ça rigole et ça se remet en place ! Un peu après, elles adoptent une figure super bandante, elles se placent toutes à quatre pattes en cambrant leur cul et de façon que leurs visages se rejoignent au centre. Leurs langues peuvent ainsi se réunir en un ballet torride. La vue de ces magnifiques culs superbement offerts et ruisselants m'achève. Je sors ma queue et commence à me branler. C'est à ce moment-là que le D.J. annonce le changement de modèle. (Un couple, dira-t-il !). Je suis un peu déçu, j'aurais aimé jouir devant elles Tant pis pour moi, je n'avais nulle raison d'attendre le dernier moment ! Je range donc mon engin. Et m'apprête à retirer ma carte.

 

Mais un démon devait être à ma cotés. Je décide sur ses conseils d'attendre qu'elles aient complètement quitté la scène pour sortir de la cabine. Bien m'en a pris ! Cela me permit d'assister à cette scène incroyable : la fille du couple arrive, une grande noire aux formes sculpturales, elle veut entrer, mais la fille aux tresses la gêne par taquinerie, puis de façon tout à fait inattendue se jette à son cou pour lui rouler un patin. Un long patin, il faudra que quelqu'un les sépare. Je sors cette fois-ci, dans un drôle d'état !

Par exception aux règles que je me suis imposé, je me dis que si l'une des trois blondes m'aborde, je me laisserais peut-être faire afin de me masturber devant elle dans une cabine spéciale, j'attends donc un peu, le temps qu'elles se changent ! (Peut-être même qu'elles ont eu besoin d'une bonne douche !) Effectivement, Priscilla, la fausse blonde coquine apparaît 5 minutes après, mais elle a fini son " service " et quitte l'établissement ! Tant pis, j'attends encore un peu ! Le D.J. continue ses annonces !

 

- Sur le plateau du peep-show, un triolisme exceptionnel !

 

Triolisme ? Il doit se tromper, il avait parlé d'un couple ! La curiosité est la plus forte, j'attends qu'une cabine se libère pour y retourner et devant mes yeux médusés j'aperçois maintenant la fille aux tresses qui suce goulûment la bite d'un mec pendant que la grande black lui lèche la chatte avec une gourmandise non dissimulée. C'est splendide et là encore il y aura toutes les positions possibles et imaginables, mais c'est quand même (pour moi) loin de valoir le show précédent. Je sors, je suis un peu saturé ! Aurore est sortie, mais elle m'attire finalement un peu moins que ses deux copines.

 

Je quittais alors l'établissement allant calmer un peu plus loin dans cette même rue, ma libido qui n'en pouvait plus...

 

Cette ultime partie de la soirée ne fut pas mal du tout ! Merci ! Mais sans être de nature à rester gravé dans ma mémoire, alors que ces trois blondes ! Hum !

 

Notes : Certains détails de la partie " technique " ont été empruntés à un article de M.G (qui se reconnaîtra et qui j'espère ne m'en tiendra aucune rigueur !)

 

La partie " descriptive " est absolument authentique. Mais il faut bien comprendre qu'elle est aussi exceptionnelle. D'autre part, il n'est pas dans ma vocation, ni dans celle du site de faire de la publicité, d'autant que rien n'est immuable, et que ce qui est vrai aujourd'hui ne le sera pas forcément demain ! Malgré tout je m'engage à renseigner par e-mail ceux et celles qui souhaiteraient connaître l'adresse de l'établissement dont il était question ici !

 

Jean Sébastien Tiroir - Août 2000 ©

 

monsieur_tiroir@hotmail.com 

 

Deux petites précisions :

 

Un lecteur ayant reconnu la "fille aux tresses" m'a communiqué son prénom. C'est Eva ! (Cela lui va à ravir)

 

 

Priscilla_Lenn.jpg J'ai plus tard rencontré séparément Aurore et Priscilla en cabine spéciale. Elles s'y sont montrées charmantes. J'ai pu aussi apprendre que Priscilla avait fait une courte carrière dans le cinéma X sous le nom de Priscilla Lenn dans des spécialités très vassiliesques (uro, sm...) Elle m'a dédicacé une page de cahier que je garde précieusement

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Jeudi 31 août 2000 4 31 /08 /Août /2000 09:17

Radio Fantasme

Petit délire radiophonique

par Jean-Seb

 

cochon

 

 

 

Nous sommes dans les locaux de Super Sexy Interdit FM. Il est 2 heures du matin et les studios sont pratiquement déserts. Jean-Sébastien Tiroir et Cathy Roflan, sa pulpeuse collaboratrice sont prêts à prendre l’antenne

 

- Bonne nuit à tous et à toutes ! Ici Monsieur Tiroir votre animateur préféré, assisté de la voluptueuse Cathy et de son 95 D ! Et bienvenue dans notre émission favorite « Radio Fantasmes » Cathy quel va être le thème de ce soir ?

 

 - Le thème d’aujourd’hui sera : « L’amour dans des lieux insolites »

 

- Tout un programme ! Je vous répète la règle, il ne faut pas improviser mais lire un petit texte que vous avez écrit vous-même et comme on est à la radio vous avez même le droit de faire des fautes d’orthographes, personne ne les verra ! Allons-y, et j’espère qu’aujourd’hui nous aurons des filles!

 

- Allô !

- Bonne nuit Jean-Sébastien !

- Vas-y raconte-nous ton fantasme !

 

- J’étais dans un camping fin juillet à Anglet ou il m'est arrivé une aventure peu commune. Ma femme me dit un soir d'aller laver la vaisselle au sanitaire. "- Ok pas de problème chérie !" J'avais presque terminé quand tout à coup une superbe fille rentra dans les sanitaires, elle me regarda, et m'indiqua de la suivre d'un clin d’œil, ce que je fis. Elle m'attira dans une douche non loin, et mit directement sa main sur mon sexe. Elle enleva mon caleçon et pris ma queue dans sa bouche, jamais, je n'avais été sucé comme ça. Sa langue passait sur mon gland et me faisait frémir. Je n'en pouvais plus, je lui ai dit que j'allais jouir et qu'il fallait qu'elle se retire, elle insista pour que j'éjacule dans sa bouche. Je me suis laissé aller et lui ai envoyé quelques giclées qu'elle avala goulûment.

 

- C’est pas mal ! Tu as quelque chose à rajouter ?

- Oui il y a une morale à cette histoire !

- Une morale ? Ah bon laquelle ?

- Les femmes ! Continuez de faire la vaisselle !

 

- Rigolo va ! Vous pouvez voter pour cette histoire elle s’appelle le camping. Allez, on enchaîne…

 

- Allô Monsieur Tiroir !

- Vas y

 

- Je me souviens d'une fellation que ma femme m'a pratiquée dans la voiture tandis que nous roulions sur une petite route pour rentrer chez nous, un soir, il n'y a pas très longtemps.

Je roulais (très) doucement pour apprécier pleinement cette caresse buccale pour laquelle ma femme se laissait guider par les sursauts de la voiture sur la route cahoteuse.

Et me souviens surtout qu'en traversant un village, j'ai dû m'arrêter à un stop où un piéton indiquait sa route à un cycliste. Ce dernier se trouvait donc à notre droite et n'a manqué de voir à quoi était occupée mon épouse (qui, elle, n'a rien vu !). J'ai redémarré rapidement, non sans voir dans le rétro l'air interloqué du cycliste qui commençait à raconter au piéton ce qu'il venait de voir.

Ma femme a continué ses caresses et n'a pas tardé à me faire jouir. Génial !

 

- M’ouai, on va appeler ça la voiture, donc vous pouvez voter pour la voiture ou pour le camping, on en prend une autre !

 

- Allô Jean-Sébastien !

- Vas-y

 

- Tiens, mézigue j'ai eu une expérience dans une rame de métro (à heure creuse, certes, mais quand même), la cochonne était assise en face de moi, à l'heure de Jacques Dutronc, et elle voyait bien que je matais ses jambes jusqu'a la limite de sa mini-jupe. Autant dire que je me contorsionnais un max pour voir la couleur de sa culotte. La dessus, elle a fini par se laisser aller à me montrer l'objet de ma convoitise... niet culotte ! Glups ! N'étant pas de marbre, mon pauvre jean a commencé à accuser une violente protubérance, la rame étant déserte, et souhaitant garder une certaine pudeur, je vous laisse imaginer la suite...

 

- C’est tout ?

- C’est tout !

- Et la suite ?

- Ben justement je vous la laisse imaginer !

 

- Ah bon, on a donc 3 histoires, le métro, la voiture, le camping et toujours pas de filles, on en prend une autre !

 

- Allô ! Cathy !

- Non c’est Jean-Sébastien !

- J’aurais voulu faire un bisou à Cathy

- Elle est partie faire pipi, Cathy, je lui transmettrais ; Vas-y

 

- C'était un dimanche après-midi, en plein été, il faisait une chaleur torride, et croyez-moi quand il fait chaud à Lyon, ça fait pas semblant. Je devais prendre le train à la Part-dieu pour rentrer sur Metz. Mais franchement, avant de partir j'avais envie de faire l'amour à ma copine.

Il me restait plus de 2 heures avant le départ, alors une petite balade dans le centre commercial était le mieux à faire. Je n’arrêtais pas de la titiller, de l'embrasser, de la tripoter, histoire de lui faire comprendre qu'elle allait prendre une bonne ramonée... Elle me dit qu'elle avait envie d'aller aux toilettes. Je l'ai suivie, les chiottes étaient désertes... Quelle bonne aubaine ! On y rentrait largement à deux !

Une fois nos vessies soulagées, il était logique qu'on passe à des choses plus sérieuses, donc un début en levrette, puis elle finit assise sur moi sur la cuvette... la chaleur était au top ! Bref ce petit jeu dura une petite demi-heure et fini dans une super jouissance.

En sortant des toilettes, ruisselants de sueur, on s'est aperçu qu'environ dix personnes attendaient devant la porte ! La gueule qu'ils faisaient nous a pliés de rire !

 

- Pas mal ! Je récapitule. On a donc la voiture, le camping, le métro et les toilettes, et toujours pas de nanas

 

Allez, un autre auditeur ! On vous écoute.

 

J'avais ce jour là, rendez-vous avec la responsable d'un chenil; car je devais livrer un dalmatien à une bourgeoise des beaux quartiers

 

Quand je suis arrivé, il n'y avait personne, j'ai remarqué la porte de ce qui devait être une arrière-salle, j'ai poussé la porte, et la un spectacle fantastique m'attendais : la responsable à poil et en levrette se faisait sodomiser par son dalmatien qui la bourrait en haletant et en faisant gigoter sa queue. J'étais ébahi par ce spectacle que l'on ne voit guère tous les jours

 

"Venez, jeune homme !" M'a dit la responsable, je vais vous sucer la bite pendant que le chien m'encule.

 

- Eh bien elle est sévère, celle-ci ! On a donc la voiture, le camping, le métro, les toilettes et le chenil, et toujours pas de nanas

 

 X003

 

- Allô !

- Bonsoir Jean-Séb !

- Vas-y

 

Avec ma femme nous pratiquons l'échangisme, il y a quatre mois nous avons rencontré un jeune couple 19 et 20 ans. Nos deux femmes bi jusqu'au plus profond de leur âme se font souvent des câlins très intimes sous nos regards excités, un jour nous avons cédé à leur insistance : Les deux mecs devaient se faire de gros câlins voire beaucoup plus sinon on faisait ceinture ce soir-là.

Pendant que nous pratiquions un 69 torride (c'était ma première fois avec un homme et quelle excitation !!!!!) j’ai senti les doigts d'une des deux femmes me fouiller l'anus. J'ai demandé à mon jeune amant de me pénétrer. Sous ses assauts et les regards excités de ces deux chiennes, j'ai connu l'un de mes plus profonds orgasmes.

 

- A ben voilà qui change un peu, mais tu es hors sujet, c’était les endroits insolites ce soir !

 

- Ça se passait sur une falaise, et même que de temps en temps un gros hélicoptère venait nous survoler

 

- Bon vous allez pouvoir voter ! La voiture, les toilettes, le métro, le camping, le chenil ou l’hélicoptère. En attendant un peu de musique !

 

Jean-Sébastien souffla un peu, cette émission l’épuisait, mais c’était quelquefois amusant voir surprenant, Cathy lui communiqua les résultats du vote, l’hélicoptère arrivait bon dernier, c’était toujours pareil, dès que les fantasmes devenaient un peu particulier, c’était le rejet, il froissa le papier et le mit à la corbeille. Cathy attendit un moment et lui indiqua qu’il était temps de reprendre l’antenne

 

- Repasse un disque, on va les faire poiroter.

- Ça m’excite toutes ces conneries !

- A qui le dis-tu ! Allez viens, tu as trois minutes pour me sucer !

- Si on que trois minutes, je ne fais rien du tout !

- S’il te plait ?

 

Jean-Sébastien sorti son sexe de sa braguette et Cathy vint s’agenouiller, elle lui imprima quelques mouvements de masturbation avant de le lécher du bout de la langue, puis de l’engloutir dans sa bouche. Le disque finissait, il fallait vraiment reprendre l’antenne. Il avait envie de proclamer « l’hélicoptère » vainqueur, mais se ravisa, il fallait respecter un certain consensus, alors tandis que Cathy continuait de le pomper de plus belle il déclara :

 

- L’histoire qui a gagné ce soir c’est…. Je vous le donne en mille… C’est… « le studio de radio !

 

Cathy abandonna sa pipe pour partir d’un fou rire nerveux, tandis que Jean-Sébastien recoupait précipitamment l’antenne.

 

J.S Tiroir – Eté 2000.

 

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Samedi 5 août 2000 6 05 /08 /Août /2000 08:58

Jennifer Plait

récit trans

par Jean-Seb

 

stamp trans

 

Jennifer est une belle femme aux longs cheveux blonds et raides, son visage s'orne d'un sourire malicieux, elle est un peu grande, un peu forte, mais elle plait. Jennifer a malgré tout quelque chose de très particulier. Et cette particularité se trouve là, un peu plus bas, entre ses cuisses, sous la forme d'une belle verge de dimension fort correcte. Jennifer est une transsexuelle non opérée (et qui n'en a d'ailleurs pas du tout l'intention)

 

Jennifer sort de prison. De la prison pour trafic de drogue, alors qu'elle n'avait rien trafiqué du tout, se contentant de stocker chez elle des paquets que lui avait confiés une connaissance, des paquets ne contenant rien d'illégal, lui avait-on mentit. Une bouffé de haine l'envahit quand elle repense à tout ça, la perquisition, la garde à vue avec les injures et les coups gratuits des flics, la tronche de ce salaud de juge, et puis la prison où proche de la déprime elle avait failli se suicider. Pour lutter, elle s'était mise à écrire, d'abord des romans érotiques, mais l'état dans lequel cela la mettait, l'incita à chercher autre chose. Alors elle avait eu l'idée de rédiger des bouquins pour les gosses, des histoires toutes fraîches se passant chez les esquimaux, loin des embrouilles de la civilisation. Elle contacterait des éditeurs dès qu'elle aurait réglé le reste. Finalement elle fut libérée pour bonne conduite.

 

Le reste ! Oui parce que sortir de prison c'est bien beau, mais si vous n'avez ni famille, ni amis, vous faites quoi ? Il existe des associations caritatives qui s'occupent des transsexuelles, heureusement que ce genre de truc existe, mais elle pensait pouvoir se débrouiller toute seule.

 

Au moins n'avait-elle pas de soucis de logement, étant propriétaire d'un studio dans le 17ème. Mais tout avait été coupé, le gaz, l'électricité, le téléphone. Personne ne s'était occupé de sa boite aux lettres prête à éclater, des dizaines de courriers avaient probablement été perdues, il y avait quand même une belle lettre d'huissier lui signifiant que l'on faisait une saisie arrêt sur son compte afin de payer les charges… charmant… Il lui faudrait plusieurs jours pour régler tout cela

 

Elle sortit téléphoner dans un bistrot. Un coup de fil chez son ancienne patronne, elle travaillait avant comme manucure chez Arabella. Une bonne boite réservée à une clientèle avertie car il n'était pas rare que certains habitués demandent l'accès à l'arrière-salle dans laquelle les soins prodigués concernaient des parties du corps beaucoup plus intimes.

 

Elle se demanda si la boite était encore ouverte. Oui elle l'était ! On lui demande de patienter. N'importe quel juge d'instruction pouvait la fermer du jour au lendemain pour proxénétisme, mais, il fallait croire qu'ils avaient des complicités bien placées. Enfin elle obtint la patronne. Est-ce qu'elle allait la jeter ?

 

- Jennifer ! Mais que deviens-tu ? Oui on a appris cette affaire ! Mais passe nous voir, ça nous fera plaisir ! Non je n'ai pas de place pour le moment, mais attends j'ai une fille qui doit s'en aller le 15 décembre ? Tu peux attendre jusque-là ? Est que tu veux que je te la réserve ?

- D'accord t'es gentille, réserve là moi !

 

Jennifer calcula, cela faisait presque 4 mois à tenir, elle avait un petit pécule, jusque-là, elle pourrait vivoter.

 

- Je ne peux pas faire des remplacements en attendant ?

- J'ai déjà quelqu'un pour les remplacements, mais si j'ai une opportunité je t'appelle, donne-moi ton numéro ?

- Je suis dans un bistrot.

 

Il faudrait aussi qu'elle s'achète un portable ! Elle remercia la dame et raccrocha. Elle fit rétablir l'électricité, passa à sa banque, fit quelques courses, puis entreprit de faire ses comptes.

 

Ça faisait juste-juste pour tenir jusqu'à la date indiquée, où elle pourrait demander une avance sur salaire. Rogner sur la nourriture, elle pouvait essayer, mais le reste ? Elle avait maigri en prison, il aurait fallu qu'elle renouvelle sa garde-robe, et puis il y a toujours les impondérables. Il lui fallait trouver un petit boulot pour améliorer tout cela. Quelques passes en se limitant uniquement à ses besoins ? L'idée l'effleura. Mais comment ? Le bois de Boulogne ? Ou alors passer une annonce pour faire ça en studio ? NON ! La prostitution c'était l'argent facile, mais aussi des risques énormes, que le fait d'être transsexuelle aggravait encore. Elle refusait pour l'instant cet engrenage !

 

Histoire de se changer les idées, elle entreprit d'allumer la télé, qui ne voulut rien savoir restant désespérément éteinte, elle vérifia la prise, le courant passait, c'était donc une panne d'alimentation, il fallait soit appeler le réparateur soit racheter une télé. Les impondérables commençaient…

 

Elle réglerait ça plus tard, et se prépara à prendre une douche, son regard se porta sur son propre portrait, elle avait pris un coup de vieux, mais elle était toujours désirable. Il était beau ce portrait, ça datait du temps où elle posait pour des photographes…

 

Click !

 

Le déclic ! Elle était là, la solution !

 

- Ma douche, je me fais belle et je fonce

 

Elle revêtit une robe légèrement décolletée de couleur parme qui laissait les bras nus, mais la recouvrit d'un petit corsage transparent assorti, elle sera sa taille d'une ceinture de cuir noir et se chaussa d'escarpins blancs (ce ne fut pas évident car elle avait perdu l'habitude de ce genre de choses.)

 

Un coup de fil d'un bistrot pour s'assurer que l'agence existait encore. Et bien non elle n'existait plus, mais un message enregistré proposait de s'adresser au Photo Model Club de la rue Labas. Elle se rendit à l'adresse indiquée, pas de boutique, rien ! Se serait-elle trompée ? Elle pénétra dans l'immeuble où s'affichait une liste des occupants. Devant le nom de l'un des résidents avait été rajouté "Photo model Club". C'était au 2ème. Elle sonna. Un type vint lui ouvrir. Le genre monsieur quelconque :

 

- Le photo model club ?

- Oui entrez !

 

Il lui sert la main et se présente Charles Van den Meulen.

 

- Jennifer !

- Enchanté !

 

La tête du type qui n'en revient pas d'accueillir ce genre de créature ! Il n'y a pas de bureau, c'est tout simplement l'appartement du responsable de l'agence. Il la fait asseoir sur le canapé, et prend quelques documents dans un tiroir.

 

- C'est pour vous inscrire ?

- Oui !

- Transsexuelle ?

- On ne peut rien vous cacher !

- N'est-ce pas !

- Il y a de la demande pour des gens comme moi ?

- Oh ! Oui ! On a déjà deux travestis, ils sont très demandés, et comme les clients qui les demandent sont répertoriés, je vais pouvoir leur téléphoner et leur annoncer que nous en avons une nouvelle, vous voyez vous allez avoir plein de séances !

 

La chance !

 

- Bon on va faire un pola de votre visage, il est très joli mais parfois certains visages ne sont pas photogéniques, il vaut mieux s'en assurer !

- Vous allez faire quoi ?

- Un pola ! Un polaroïd !

 

Le type prend son " pola ", demande à Jennifer de faire un joli sourire, prend la photo et dégage l'épreuve.

 

- Superbe ! Votre visage est chargé d'un érotisme assez rare.

- Merci !

- Voyez-vous, en ce moment comment vous dire, je suis terriblement excité !

 

Jennifer lui sourit, lui montrant ainsi que ses propos ne la choquent pas

 

- Je vais jouer cartes sur tables ! J'ai beaucoup d'influence sur mes clients, vous savez, un simple mot, "elle n'est pas terrible", ou alors "elle est super", ça change tout ! Je ne demande pas mieux que de vous donner un coup de pouce, mais je, enfin il faudrait, je…

 

Le type bafouille, il ne sait plus où il en est. Jennifer n'est pas folle, elle a compris, encore un salopard qui profite de la situation, alors autant rester maîtresse du jeu, elle lui met carrément sa main à la braguette où elle sent effectivement une rigidité qui n'a rien d'innocente.

 

- C'est ça que tu veux ?

- T'as tout deviné !

- Petit salaud !

- Qu'est-ce que tu veux ? La chair est faible !

 

Jennifer dégrafe la fermeture éclair de Charles, et s'amuse à caresser sa bite à travers le slip, puis la dégage complètement, elle approche sa langue de son gland et le lui lape, comme pour goûter, mais qu'une seule fois. Elle savoure d'avance le plan qui vient s'échafauder dans son esprit !

 

- Si tu veux que je te suce, tu te laves, ou alors tu te mets une capote !

- Non ! Mais tu ne vas pas faire la mijaurée ! Tu suces ou tu te casses… et adieux les contrats…

 

Réaction prévisible, Jennifer se lève pour partir, c'est maintenant que tout va se jouer. Une chance sur deux, si elle perd, il y d'autres agences…

 

- Reste ! Excuse-moi ! C'est l'excitation qui me rend agressif, je suis désolé. Je n'avais pas du tout prévu cette situation, je vais me nettoyer.

 

Gagné ! Le type revient deux minutes après, il est resté tel qu'il était, il ne s'est même pas déshabillé, et son pantalon est légèrement mouillé

 

" Il ne sait plus où il en est le mec ! "

 

Jennifer branle un peu la queue de Charles pour lui redonner de la vigueur, puis porte le gland à ses lèvres, fait tourner sa langue dessus, puis par petits mouvements successifs la fait avancer dans sa bouche. Quand elle estime ne pouvoir en entrer plus, elle commence alors des mouvements de va-et-vient tout en continuant d'astiquer le gland avec sa langue ?

 

" Mais c'est que c'est toute une technique ! "

 

Charles est aux anges

 

" Si seulement il pouvait jouir tout de suite, ce serait une bonne chose de faite ! "

 

- Et si tu me montrais la tienne, de quéquette ?

- On demande gentiment !

- C'était pas gentil ?

- Mieux que ça !

- Ma petite Jennifer, fais-moi plaisir ! J'aimerais tant voir ta quéquette !

- Tu vois quand tu veux !

 

Jennifer baisse sa culotte, et déjà la main de Charles s'y aventure et tripote, il se penche pour la sucer

 

" Maintenant l'estocade ! "

 

Soudainement Jennifer le gifle

 

- Mais t'es tarée ou quoi ?

- Tu ne m'as pas demandé !

- Ecoute…

- Demande-moi et tu pourras me sucer !

- S'il te plait Jennifer, pardonne-moi ! J'aimerais tant te sucer !

- Mais avec grand plaisir, Monsieur Charles !

 

Le type se précipite sur la queue de Jennifer et la gobe. A sa grande surprise il suce bien, ce ne doit pas être sa première fellation

 

- Allonge-toi se sera plus pratique !

 

Charles s'allonge, Jennifer se met au-dessus de lui et lui redonne sa bite à sucer, puis elle se couche sur lui afin d'atteindre la sienne. Ils se sucent mutuellement ainsi en 69 pendant plusieurs minutes. Puis Jennifer abandonne sa fellation.

 

- Tu veux m'enculer, je suppose ?

- Oui Jennifer, j'aimerais tellement t'enculer !

- T'as une capote !

- Je vais en chercher

- Tu en prends deux !

- Pourquoi deux ?

- Tu verras bien, et puis mets-toi à poil on va pas faire ça à moitié habillé !

 

Jennifer se déshabille de son côté. Charles revient rapidement. Il a un regard amusé en découvrant la jolie poitrine de la transsexuelle, mais sans plus.

 

" Ça ne doit pas l'intéresser ce connard ! "

 

Jennifer lui demande de se coucher sur le dos sur le canapé, puis se place au-dessus de lui, écarte ses fesses et engloutit sa bite dans son trou du cul. Elle aime cela Jennifer, elle aime jouir du cul et elle aime cette position car elle peut tout contrôler, vitesse et profondeur, mais la position est néanmoins fatigante. Elle pivote alors sur le côté afin de continuer en "paresseuse" du coup c'est Charles qui doit maintenant besogner.

 

" Il manque de technique le mec !"

 

Jennifer13.jpg

 

Jennifer se retire

 

- Tu veux jouir comment ?

- Ben j'aurais bien joui dans ton cul, mais sinon tu peux me sucer à fond !

- Tu rêves ou quoi ? C'est pas la fête !

 

Jennifer place alors la deuxième capote sur sa propre queue

 

- Mais tu fais quoi ?

- Tu veux un dessin, tu en meurs d'envie, mais il faut que tu me le demandes, sinon je ne le fais pas !

- T'es vraiment une salope !

 

Et claque ! Une nouvelle gifle !

 

- Ça c'est pour la salope ! Allez demande !

- Demande quoi ?

- T'en veux une autre ?

- Pourquoi pas ! Même tes gifles m'excitent !

- Bon alors tu demandes, ou pas ?

- Encule-moi ! Jennifer !

- Ah ben quand même...

 

Déjà il se met en position.

 

- Non pas comme ça, reste sur le dos et lève les jambes, et tu vas te branler pendant que je t'encule !

 

Jennifer pose un peu de salive sur l'anus de Charles, puis pousse avec sa bite, la capote lubrifié aide le passage, une fois bien rentrée elle commence ses mouvements alternatifs. Jennifer se sent prête à jouir dans son cul

 

- Branle-toi, on va jouir en même temps

 

Les orgasmes de Jennifer sont toujours très violents, elle pousse un rugissement en lâchant son foutre dans la capote, puis se retire de son cul ! Charles n'a pas encore joui et continue à se branler.

 

- Je peux jouir sur tes seins ?

- Bien sûr, quelle question ?

 

Il est tout étonné Charles, mais c'est aussi ça dominer quelqu'un : c'est lui faire plaisir de façon inattendue. Du coup le Charles ne tarde plus à jouir et lâche son foutre sur les seins de la belle transsexuelle.

 

- Ah ben on peut dire que t'es un fameux phénomène !

- Certes, je pense que les formalités de cuissages sont terminées ?

- Ok ! Je tiendrais mes promesses !

- T'es un chou !

- On recommencera ?

 

" Aie ! Surtout ne pas lui dire non ! "

 

- Pourquoi pas ? Mais j'aurais quoi en échange ?

- Je ne sais pas moi ? Le restaurant ?

- Un bon alors ?

- Ok !

 

Jennifer fit quelques pas et s'empara du téléphone.

 

- Qu'est ce que tu fabriques ?

- Rien, mais si tu pouvais me dégotter un client rapidement, ça m'arrangerait

- A tes ordres princesse !

- C'est bien comme cela que je voyais les choses !

 

© Jean-Sébastien Tiroir - 1983 - revu et corrigé en 2000 et 2010

 

monsieur_tiroir@hotmail.com 

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Août 2000

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Mercredi 2 août 2000 3 02 /08 /Août /2000 00:15

Brigitte Parade,

Récit humide

par Jean-Seb

 

Gs2

 

Brigitte est revenue de ce laborieux voyage professionnel qui a duré dix-sept jours. A l'aéroport, une mélodieuse et suave voix féminine invite les voyageurs à emprunter les transports en communs, les taxis étant affectés par un mouvement social (on ne dit plus en grève !)

 

Elle prend donc le train, puis le bus, le trajet est relativement long

 

Brigitte est une belle jeune femme aux cheveux blonds cendrés s'éparpillant en boucles sur ses épaules. Elle est assez ronde.

 

- " Trop ronde ! "

 

Non ! N'exagérons rien, peut-être légèrement forte, mais elle n'a rien de difforme ni d'obèse, loin s'en faut. Sa belle poitrine fait néanmoins un bon 100 D. cela la complexe un peu. Les femmes ne sont jamais contentes de leur poitrine. Elle est vêtue d'un tailleur gris légèrement rayé, à la coupe très classique, et orné d'une broche dorée en forme de paon. Un chemisier rose et l'inévitable foulard en soie paraphé d'une signature alambiqué complète cette trop sage panoplie.

 

Le trajet s'éternise, il y a des embouteillages partout et l'autobus n'avance pas. Un homme s'assoit devant elle et semble impressionné par le physique de Brigitte. Après être resté quelques minutes en arrêt devant elle il lâche brusquement et de façon tout à fait incongru :

 

-  Tiens bonjour ! J'ai failli ne pas vous reconnaître ! Comment allez-vous ?

 

Elle ne l'a jamais vu ! S'agit-il d'une confusion involontaire ou d'une nouvelle façon de draguer. ? Elle dévisage le type, genre cadre dynamique, la trentaine, pas moche, mais le pauvre n'a pas de chance, il ignore que Brigitte est peu attirée par les hommes. Elle décide de s'amuser et sans se démonter, lui répond le plus sèchement possible ! :

 

-  Je vais très bien, merci, et vous aussi sans doute, mais il ne me semble pas que nous nous connaissions ?

 

Le type est déstabilisé, et bredouille un vague truc, du genre :

 

- J'ai dû confondre avec quelqu'un d'autres !

 

Et il plonge dans son journal, en pleine confusion !

 

Elle décide d'insister un brin sadiquement.

 

- Remarquez, je rencontre beaucoup de monde, il est parfaitement possible que nous nous soyons déjà rencontrés, mais sans doute brièvement, et sans que cela me frappe sinon je m'en souviendrais !

 

Le type répond par monosyllabe, il ne sait plus où se mettre, la partie ne lui appartient plus

 

- Voyons, avec qui pourriez-vous bien confondre ? Vous travaillez dans quelle branche ? ... Ah ! Non alors ce n'est pas moi ! , Quoique. ?...

 

Elle fait semblant de chercher. Le type du coup se retrouve de l'intérêt, et tente de réorienter la conversation. Mais Brigitte ne répond a aucune de ses questions et alors qu'il lui parle d'on ne sait quoi elle n'aura comme toute réponse que :

 

- Quelle chaleur suffocante dans ce bus !

 

Réflexion non innocente qu'elle accompagne du geste en déboutonnant deux boutons de son chemisier. Du coup le type perd le fil de qu'il disait, deviens cramoisi, prend cela pour une invite et cherche déjà dans sa tête la petite phrase magique qui lui permettra d'entrer pour de vrai dans son rôle du dragueur irrésistible.

 

Ce qu'il ignore c'est que Brigitte est pratiquement arrivée à destination, et alors qu'il allait balbutier quelque chose, c'est fort sèchement, mais en soutenant son regard qu'elle conclut en ces termes cette rencontre de dupes :

 

- Ecoutez Monsieur, nous ne saurons jamais si nous nous sommes déjà rencontrés. Cela ne fait rien, cela m'a été agréable de causer avec vous, mais je tiens à ma tranquillité, et si vous me croisez de nouveau, je vous remercie de bien vouloir m'ignorer. !

 

Patatras ! Le type devient rouge comme trois tomates et deux poivrons.

 

Elle s'était bien amusée. En rentrant, elle trompe sa faim en mangeant n'importe quoi et se couche, harassée, sans avoir pris le temps de prendre une douche

 

- " On verra ça demain !"

 

Elle se réveille tard, trop tard !

 

- Putain, tout le boulot que j'ai à me taper ce week-end. Il y a tout le linge du voyage à laver, la maison qui est plein de poussière. Autant démarrer tout de suite !

 

Elle s'amuse à se coiffer la tête d'un fichu blanc, cela lui donne un petit côté " Perrette et le pot au lait ", puis va pour se recouvrir d'une simple blouse, puis se ravise

 

- " Si Annette se pointe ! "

 

Elle ouvre une commode

 

- " Plus rien à me mettre ! "

 

Par jeu elle choisit un porte-jarretelles noir ainsi que les bas assortis, un petit corset beige avec des motifs, un joli corsage blanc sans manches, et elle recouvre le tout d'une blouse tablier blanche à pois bleus

 

- " On va commencer par la lessive "

 

Brigitte jette tout le linge dans une panière et va pour descendre à la buanderie.

 

- Hello !

 

Brigitte_Ulla01.jpg

 

Evidemment c'est Annette, sa voisine, c'est bien le moment !

 

- Salut, toi ! Je suis un peu débordée, je démarre la machine à laver et je te fais un bisou !

 

Annette est une petite brune avec des cheveux coupés au carré. Elle est habillée d'un blue-jean et d'une espèce de tee-shirt publicitaire très ample et somme toutes assez nul dont elle s'est amusé à couper les manches. Elle a eu la coquetterie de rajouter une grosse ceinture grise par-dessus. 

 

Annette la suit dans la buanderie. Elle a l'œil coquin ! Elle attend patiemment que Brigitte déverse tout le linge dans le tambour du lave-linge, et fasse démarrer l'appareil, puis lui tend ses lèvres. Les deux jeunes femmes s'embrassent fougueusement un long moment mélangeant langues et salives.

 

- Alors ce voyage ?

- Crevant !

- Tu m'as trompé ! J'en suis sûre !

- Qu'est-ce que ça peut bien te foutre ?

- Alors c'est oui !

- Ben oui, c'est oui !

- Tiens ! Je t'ai fait une surprise ! Regarde ce que j'ai fait à ma petite chatte hier ? 

 

C'est avec un regard pétillant qu'Annette baissa son blue-jean.

 

- Oh ! C'est tout rasé ! C'est super excitant comme ça !

- J'ai une de ses envies !

 

Brigitte crut d'abord que l'envie de sa coquine de voisine était d'ordre sexuel. Et bien non ! Et elle eut la surprise de la voir lâcher un jet d'urine bien dorée dont une partie vint mouiller sa culotte à demi baissée.

 

- Te gênes pas, fais comme chez toi ! Pisse dans ma buanderie !

- C'est pour te punir de m'avoir trompé !

- Tu parles d'une punition !

 

Brigitte voulant montrer à sa copine qu'il en fallait d'autre pour la choquer, lui demanda d'en refaire un petit peu, puis recueillit quelques gouttes du liquide bouillonnant dans sa paume qu'elle lécha.

 

- Hum Délicieux !

 

Annette prit la main de Brigitte pour goûter à son tour

 

- Non ! C'est comme d'habitude !

- Mais c'est toujours délicieux !

- Qu'est-ce que tu en sais ? On a fait ça qu'une fois !

- Non deux fois ! Tu m'excites avec tes cochonneries !

 

Annette ouvrit alors le chemisier de Brigitte libérant ses deux magnifiques globes

 

- Qu'est-ce qu'ils sont beaux ! On ne s'en lasse pas !

- Ils sont trop gros, je vais me les faire raboter !

- Méchante !

 

Et tandis qu'elle pelotait les mamelles de sa copine, ivre de désir, elle lâcha un nouveau jet d'urine dans lequel Brigitte glissa ses doigts

 

Brigitte se débarrassa alors de sa blouse, attirant Annette vers elle pour l'embrasser fougueusement sur la bouche tandis que cette dernière lui tripotait la chatte

 

- T'as pas envie, toi ?

- Si ! Tu veux que je t'arrose ?

- Oui ! Sur ma poitrine ! On va jouer au tee-shirt mouillé !

 

Brigitte écarta bien sa chatte et arrosa copieusement sa copine, le fond blanc du tee-shirt devenait de plus en plus transparent et de plus en plus collant au fur et à mesure de l'opération ! 

 

- On est vraiment un peu dingues ! Commenta Annette d'une voix tremblante.

- Et alors ? Y a pas de mal à se faire du bien, et on ne fait de mal à personne !

 

Mais les apartés de sa voisine n'étaient pas de nature à interrompre l'envie de Brigitte. Et Annette tira sa longue langue sur laquelle le jet vint se briser. Elle ne se contentait pas d'avaler, elle dégustait !

 

- Hum ! Ta pisse est tellement bonne que tu devrais la mettre en bouteille, plaisanta Annette

- Pourquoi pas, la prochaine fois que je pars en déplacement je t'en garde un litre !

- T'es folle ! Frais c'est délicieux, mais après ça fermente ! Oh là là ! Je ne sais pas ce qui m'arrive j'ai encore envie ! répondit Annette se remettant à pisser comme une fontaine

- C'est pas possible ! Qu'est-ce que tu as bu pour qu'il y en ait autant ?

- Du thé au jasmin !

 

Annette retira son tee-shirt trempé, dévoilant une jolie guêpière à fleur de laquelle elle laissa s'échapper deux appétissants petits seins

 

Une banane en plastique traînait dans un coin de la buanderie

 

- Tiens pisse sur la banane demanda Brigitte à Annette qui s'exécuta.

 

Brigitte enfonça alors l'objet ainsi lubrifié dans la chatte d'Annette. Leurs seins se frôlaient leurs donnant la chair de poule

 

- Attends, j'ai mieux, regarde ce que je cache ici, petite coquine ! dit Annette, en exhibant un beau gode noir

- J'aime pas ces trucs-là !

- C'est pas grave, lèche-moi le bout des seins, je vais me le garder pour moi toute seule.

 

Et tandis que Brigitte obtempérait, elle s'enfonça l'objet dans sa chatte humide.

 

- Je ne suis pas vache, je vais te donner un coup de main !

 

Elle demanda à sa voisine de se coucher sur le dos et la chevaucha en lui branlant la chatte avec le gode, tandis qu'elle-même s'excitait. Mais ce sexe offert était trop tentant, il fallait qu'elle le lèche et elle revint titiller le clito de sa copine qui eut un violent orgasme lui provoquant un nouveau jet de pisse, Brigitte s'amusa à en avaler le maximum

 

- C'est mon tour ! décida-t-elle se plaçant au-dessus de sa voisine, qui avait repris son jeu de gode ; visant sa petite chatte rasée.

- Non pas là, dans la bouche, j'ai encore soif

 

Annette sentit le deuxième orgasme s'approcher et alors que Brigitte pissait copieusement dans sa bouche grande ouverte. Annette lampait comme si on lui avait servi une grande bière bien fraîche un jour d'été torride

 

- Moi aussi, je peux encore déclara Annette

- Chouette j'ai encore soif ! répliqua Brigitte

 

Elles changèrent une nouvelle fois de position et tandis que sa copine pissait, Brigitte pressa ses deux seins l'un contre l'autre et les souleva un petit peu de façon à ce que la pisse qui dégoulinerait de sa bouche lui chatouille les tétons.

 

- Tu m’étonneras toujours, mais comme je suis bonne fille je vais maintenant t’aider à finir ton ménage ! Dit Annette !

- Super ! Et qu’est-ce qu’on fait après ? Répondit Brigitte avec une feinte candeur.

- D’après toi ?

 

Fin de l’épisode

 

Jean-Sébastien Tiroir © 2000

 

monsieur_tiroir@hotmail.com

 

Première publication sur Vassilia, le 7/10/2000

 

 

 

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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