La braguette du serveur du restaurant antillais
par Alexis Defond-Rossignol

Caroline n'a pas de culotte
par Enzo Cagliari
Bonjour, je m’appelle Eric et j’ai 23 ans, je suis assez ordinaire, châtain clair, mais il paraît que je plais, je suis en ménage depuis un peu plus d’un mois avec Caroline une belle blonde aux cheveux courts à la peau très blanche et la stature bien charpentée. Ce jour-là, nous avions décidé d’aller au restaurant vers 19 heures, mais, vous connaissez les femmes, elle insiste pour que nous partions au moins deux heures avant afin de faire un peu de lèche vitrines ! Voici qui ne me dit rien que vaille ! C’est alors que je lui proposais ce marché, tout à fait insolite :
- D’accord on fait les magasins, mais je ne veux que tu ne portes pas de culotte !
- Comment ça "je veux" ? Me dit-elle, tu ne vas pas me donner des ordres, non ?
- Ce n’est pas un ordre, c’est une proposition !
- Et en quel honneur ?
- J’ai bien le droit d’avoir des fantasmes farfelus, tu as bien les tiens, toi !
- Mais si quelqu’un me voit !
- Personne ne te verra, ce sera notre secret !
- Tu as de ces idées parfois !
- Allez, donne !
- Non, viens la chercher, toi !
Je lui soulève la jupe, tire légèrement sur l’élastique et descend le petit bout de vêtement jusqu’à sa première cheville, le dégage d’un pied puis de l’autre. Exit la culotte, elle est dans mes mains ! Je la renifle, pas très nette tout ça, mais ses odeurs m’excitent,
- Tu fais quoi gros cochon ? me demande-t-elle
- Hum, ça sent bon tout ça !
- Ben ça sent mon cul et ma chatte !
- J’adore !
- Ça va, t'es pas trop difficile, surtout que je n’ai pas du bien m’essuyer tout à l'heure, je me suis dépêché pour répondre au téléphone... Et toi tu trouves que ça sent bon ?
- Ben oui !
- Et bien c’est dommage que nous soyons prêts pour sortir sinon je t’aurais demandé de me nettoyer le cul avec ta langue puisque tu aimes ça tant que ça !
- Bonne idée ! Dis-je en m’approchant !
- Non ! On a fait un marché ! Je n’ai pas de culotte et maintenant tu me dois deux heures de shopping !
- Mais Caroline ?
Elle ne voulut rien savoir et c’est la bandaison douloureuse que je l’ai accompagné vers le grand centre commercial qui est à 10 minutes de chez nous.
- Tu sais ça fait drôle de me sentir la chatte à l’air, finalement c’est une bonne idée, je suis tout excitée !
Et moi donc !
Pendant une heure elle essaie des trucs et des machins, j’en ai ma claque et mon excitation est complètement retombée, c’est alors que Caroline manifeste le désir de s’acheter une jupe plus courte que celle qu’elle porte !
Elle en essaie une, elle en essaie deux, elle en essaie encore une autre... Ça n’arrête pas ! Finalement elle flashe sur un modèle, un truc tout simple noir, elle sort de la cabine, virevolte, regarde si personne ne la voit et se penche ! Malédiction la jupe est si courte qu’on lui voit la naissance des fesses. Voilà que je bande de nouveau ! Je rentre avec elle dans la cabine, et lui fout la main aux fesses, elle m’embrasse et me chatouille la braguette. On n’en peut plus aussi bien l’un que l’autre on décide de payer la jupe et de se réfugier dans un endroit où nous pourrions décharger (c’est le cas de le dire) notre trop plein d’excitation.
C’est alors qu’un monsieur, très bien sur lui, la cinquantaine, nous aborde, le type est très classe, il est accompagné d’une grande femme blonde du même âge, bourgeoise de chez bourgeoise, mais avec des beaux restes.
- Bonjour, ça vous dirait de gagner 100 euros ?
- Pardon ? C’est quoi c’est un concours, c’est une émission de radio ?
- Non, c’est entre nous ! Je vous ai vu dans la cabine tout à l’heure !
Je rougis comme une tomate, mais pas Caroline qui a l’air de trouver ça très rigolo.
- Nous n’habitons pas très loin, je voudrais juste que vous fassiez l’amour devant nous ?
- Ça va pas non ? Répondis-je en m’apprêtant à laisser là ce vieux vicelard !
Mais Caroline me rattrape par la manche...
- Attends, t’es pas tout seul à décider, ça peut être marrant non ?
- Mais enfin Caroline....
- Marrant et excitant ! Croit devoir préciser le bourgeois
- Moi ça me dit, allez viens ! Me presse ma copine !
On les suit, sans trop rien dire sinon des banalités, ce truc me m’emballe du tout mais Caroline à l’air de s’amuser comme une folle à la perspective de s’exhiber devant ce couple de vieux vicelards.
Arrivés dans leur appartement cossu, ces messieurs dames nous demandent si nous voulons boire un verre ! Pourquoi pas !
- Voici l’argent ! On vous demande juste de faire l'amour sur le canapé, là pendant disons un quart d’heure vingt minutes, et nous on regarde...
- Vous allez juste regarder, vous n’allez pas vous masturber ? Demande Caroline.
- Si, si bien sûr, disons que ma femme et moi, nous allons nous mettre un peu à l’aise en vous regardant...N’est-ce pas Nicole ? dit-il s’adressant à sa femme
- Mais bien sûr mon vieux cochon ! Répondit la grande blonde !
Et sur ce, le "vieux cochon" nous demanda de nous déshabiller, Caroline me précéda dans cette tâche pas gênée du tout ! En deux temps et trois mouvements elle fut nue comme un ver, et s’amusait à se masser les seins avec la paume de ses mains
- Alors ça vous plait ?
- Superbe ! Répondit le bourgeois (allez, on va l’appeler Gérard)
Je me déshabillais à mon tour, je ne bandais plus, et tentait tant bien que mal de tirer sur mon sexe pour le rendre présentable.
- Vous êtes mignons tous les deux, j’adore les belles jeunes femmes... et les beaux jeunes hommes. Rajoute-il
Hein ? Qu’est-ce qu’il raconte ?
- Ça fait plaisir de voir un couple comme ça sans tabou, parce que je suppose que des tabous vous ne devez pas en avoir beaucoup... Vous devez en essayer des trucs ? Reprend Gérard.
J’allais répondre pour recadrer un peu tout ça, mais Caroline me coupe la parole !
- Hum ! C’est vrai qu’on aime bien essayer des tas de choses ! C’est Eric qui m’a demandé de ne pas porter de culotte tout à l’heure... je ne voulais pas et finalement ça m’a excitée...
- Je vois...
- Et attendez... Ma culotte quand je l’ai retiré, il l’a reniflé, elle n’était pas très propre vous auriez vu dans quel état ça l’a mis !
- Caroline ! Tentais-je
- Mais c’est très excitant ce que vous me racontez là ! Savez-vous que j’adore aussi les culottes un peu négligées, n’est-ce pas Nicole ?
- Oui, mon vieux cochon !
- Mais ça veut dire que vous avez le derrière un peu sale, alors ?
- Sale, n’exagérons rien mais il n’est peut-être pas très bien essuyé !
Gérard est complètement excité et se frotte la main sur la braguette.
- Si vous saviez comme j’aimerais vérifier ça par moi-même, mais bon, soyons sage, on vous a dit que nous voulions juste vous regarder faire l’amour...
- A moins que vous acceptiez qu’on double la prime en échange de quelques innocentes caresses ! Qu'en pensez-vous ? Intervient alors Nicole.
- Si c’est juste des caresses, ça marche ! Répond Caroline !
Gérard se déshabille, il n’est pas si mal que ça, il doit faire du sport. Il bande comme un malade, et je me surprends à trouver que sa bite est vraiment bien jolie ! Nicole, elle interrompt son déshabillage au niveau de la culotte et du soutien-gorge ! Dommage j’aurais bien aimé voir ses grosse totoches !
- Venez donc me faire sentir vos fesses ! Demande le vieux pervers à ma douce compagne.
Celle-ci sans rechigner s’approche et se retourne ! Gérard hume son entre-fesse !
- Hum, effectivement vous ne vous êtes pas essuyé le cul ! Constate-t-il
- Et tu aimes ça gros vicieux ? Demande Caroline passant à un tutoiement sans doute plus adapté à ce genre de situation !
- J’adore !
Gérard lui écarte le cul, il a carrément son gros pif à deux millimètres de son anus !
- Hum ! Quelle odeur ! On a fait le bon choix avec ce couple ! S’exclame-t-il. Hum ça sent la bonne merde de jeune femme ! Dommage que je ne puisse pas lécher, nous avons dit que nous limiterions aux caresses...
- Mais je suis sûre que vous allez nous proposer davantage pour en faire un peu plus, n’est-ce-pas vieux coquin ?
Et Caroline en disant cela se retourne et fait un bisou sur le bout du nez de Gérard qui n'en peut plus !
- Et si tu aimes à ce point l’odeur de mon cul, je peux même essayer de te faire une petite crotte ? Tu voudrais ?
Affaire conclue, on empoche la troisième prime, et tandis que Gérard lèche à qui mieux mieux le trou du cul de Caroline, Nicole me demande de venir vers elle !
- Alors toi, je suis certaine que tu aimerais voir mes gros nichons ?
- Oui bien sûr !
- Alors dégrafe-moi mon soutien !
Je le fais, fébrile, libère les grosses mamelles et sans lui demander la permission m’élance vers ses deux épais bourgeons bruns que je lèche avec avidité.
- Retire ma culotte, maintenant !
J’obéis !
- Et fais la même chose que ce que nous a raconté ta copine !
Je vais me priver, tiens ! Je porte l’objet à mes narines, ça sent fort, très fort, mais ma bite est toute raide.
- Tourne-toi je vais te lécher le cul !
A bon, moi aussi ! J’aurais préféré m’occuper de sa chatte que je n’ai pas pu bien voir mais que j’imagine baveuse et grasse à souhait. Mais voilà qu’elle me lèche le trou du cul avec une agilité incroyable, Je me laisse faire, cette Nicole fait ça divinement !
- Alors elle te l’a fait sa petite crotte ? Demande soudain la bourgeoise à son mari interrompant sa feuille de rose.
- Non, ça ne vient pas ! Dommage ! Mais je ne perds pas espoir
- Un peu de patience je vais t’en faire une belle ! Intervient Caroline complètement déchaînée.
- On échange nos partenaires ? Propose alors Nicole
Quoi ! Échanger quoi ? Mais Caroline a parfaitement compris et elle se ramène devant la bourgeoise lui fait une sorte de révérence !
- Je suis à la disposition de madame !
Je ne bouge pas ! Je suis paralysée ! Et c’est encore Caroline qui intervient, me regardant les yeux pleins de malices :
- Allez va voir Gérard, il ne va pas te manger !
- Mais attend, je ne suis pas pédé !
- Moi non plus ! Plaisante-t-elle
- Venez donc jeune homme, je ne suis pas une brute, et j’ai croisé votre regard quand vous me regardiez ma bite tout à l’heure...
- Et puis ça m’exciterait tellement que tu lui suces la queue ! Reprit Caroline, tu peux bien faire ça pour moi, j’ai bien accepté de me balader sans culotte, moi !
- Quelle comparaison !
- Allez, va le sucer, mon chéri ! On a accepté de faire les putes, on a pris l’argent, maintenant faut assumer... et puis j’ai l’impression que ce ne sera pas une corvée...
J’y suis allé comme un zombi, mais c’est vrai que cette bite n’est pas mal, mais c’est la chatte de Nicole qui m’intéressait moi, pas la queue du mari ! Lequel mari s’est emparé de ma propre queue afin de me masturber avec beaucoup de dextérité, il est doué le mec...
- Allez, suce ! Tu vas voir elle est bonne, après tu en redemanderas !
Je respire un grand coup et me voilà avec l’objet dans la bouche ! A ma grande surprise je n’ai aucun recul, aucun rejet, c’est doux, c’est chaud c’est excitant, et puisque la Caroline ma mit au défi de le sucer je vais m’appliquer. Caroline et Nicole se sont approchées pour profiter du spectacle, cette dernière doigtant avec énergie l’anus de ma compagne...
- Hummmm elle me ramone trop bien le cul cette salope !
Nicole finit par sortir son index tout pollué qu’elle lèche avec délectation, quelle cochonne ! Gérard me demande de stopper ma fellation, c’est dommage je commençais à y prendre goût ! Ma copine s’est installée par terre, et Nicole à un doigt dans chacun de ses orifices, ...
- Dites-moi Caroline, l’apostrophe Gérard, ça vous plairait que je sodomise votre conjoint ?
- Oh, oui ! Oh ! Oui !
- Mais... Protestais-je.
- Rassurez-vous, je vais passer un préservatif !
- Non. J’ai dit non !
- Dégonflé me dit Caroline ! Pourquoi est-ce qu’il n’y aurait que les femmes qui devraient se faire enculer ?
- Ah, ça c’est un argument surenchérit Nicole !
- Tournez-vous et présentez moi vos adorables petites fesses, jeune homme, ce ne sera qu’une formalité.
Quelque part dans ma nature profonde je ne devais pas y être si opposé que ça puisque j’ai fini par céder, et par offrir mon anus bien préparé et lubrifié par Nicole à cette délicieuse verge qui m’a donc dépucelé ! Il y a mis beaucoup de tact et procédait en des va-et-vient assez lents. A côté les deux femmes s’étaient placées en position de soixante-neuf et se doigtaient le cul mutuellement.
Gérard finit par déculer sans avoir joui, manifestement il avait d’autres projets
- Alors Caroline cette petite crotte que vous m’aviez promise ?
- Tu as de la suite dans les idées toi !
- Vous m’avez mis l’eau à la bouche !
- Ben justement en ce moment j’ai plutôt envie de pisser...
- Mais c’est très bien ça ! Allez, on va tous dans la salle de bain...
C’est qu’elle est large la salle de bain de Gérard et Nicole ! Notre hôte s’allonge alors sur le carrelage et demande à Caroline de lui pisser dessus ! On a déjà joué tous les deux à des jeux semblables mais sans aller très loin. Ma compagne se met donc au-dessus de son receveur !
- Tu veux que je te pisse sur la bite !
- Non ma bite c’est Eric qui va s’en occuper, pissez-moi sur le visage... dans la bouche...
Elle n’hésite pas et bientôt d’étranges chutes du Niagara viennent s’abîmer dans la gorge de Gérard qui avale tout avec une mine réjouie !
- Accroupis toi tu es trop haute ! Précise Gérard se décidant tout de même à tutoyer à son tour !
Caroline obéi, sa chatte est à présent à quinze centimètres de son nez !
- Et maintenant pousse ! demande-t-il une fois le pipi terminé.
- Ça vient gros dégueulasse ! Ouvre bien la bouche !
Moi, pendant ce temps, je le branlote, pas trop énergiquement, je pense qu’il ne souhaite pas jouir avant d’avoir reçu son cadeau… Quand à Nicole elle s’est assise sur le bidet et se masturbe avec frénésie en observant la scène d’un œil égrillard.
Un joli petit étron finit par se faufiler et par s’extraire du rectum de ma douce, le vieux cochon le reçoit en plein visage. J’accélère ma masturbation et fait jaillir son sperme de son sexe en quelques secondes. Il pousse un soupir de contentement tandis que sa femme se lève, ramasse la crotte dans ses mains et se met à la sucer comme s’il s’agissait d’un esquimau tandis que de sa main gauche, elle continue de se branler jusqu’à ce qu’elle jouisse.
- Votre merde est délicieuse Caroline ! La complimenta-t-elle.
- Si vous le dites, moi je n’ai jamais eu l’occasion d’y goûter !
- Vous aimeriez ?
- Excitée comme je suis, je peux essayer.
Nicole détache un petit morceau de caca et s’en barbouille les lèvres.
- Venez m’embrasser Caroline !
Elle le fait ! Je suis sur le cul ! J’ignorais qu’en lui proposant de réaliser mon petit fantasme je libérerais un tel cyclone sexuel !
Et puis, c’est bien joli, tout ça mais je n’ai pas joui, moi et Caroline non plus.
- Vous permettez qu’on finisse ?
- Mais bien sûr ! Répond Nicole !
Gérard lui est en train de s’assoupir…
Alors je la prend Caroline par la main, l’entraîne vers le canapé, la fait se mettre en levrette, je la pénètre et cinq minutes après nous éclations, nous avons échangé un long baiser, nous nous sommes dit des mots tendres et nous avons pris congé de nos hôtes.
Ils voulaient nous payer le restaurant, nous avons refusé, mais quand ils nous ont demandé si nous serions intéressés à revenir, c’est d’une voix commune que nous leur avons dit oui.
Enzo (février 2005)
Ce récit a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle extrême pour l'année 2005
Jeux de garçons, jeux de cochons
par Estonius
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Cela remonte à mes années de stage, j’avais une vingtaine d’années, quelques expériences féminines et pas mal de déceptions. J’avais avec moi, Henri, un jeune homme blondinet décontracté et plein d’humour. Je ne sais plus ni pourquoi ni comment j’ai été amené à lui dire que j’avais les idées larges, qu’il n’était pas question pour moi de renoncer à draguer les femmes, mais que si une expérience homosexuelle se présentait... Et bien, après tout pourquoi pas ? Je lui précisais aussi que si je devais faire cette expérience elle serait sans lendemain, et puis que de toute façon le corps des hommes ne m’intéressait pas, mais que par contre j’étais assez fasciné par les beaux zizis.
Quel ne fut pas ma surprise, quand il m’invita ce vendredi soir à une "soirée mecs" ! Je refusais, mais l’autre de me rappeler mes paroles et de me mettre au pied du mur.
- De toute façon si tu vois que tu es bloqué, tu prétexteras une migraine ou je ne sais quoi, pour nous quitter et personne ne t’en voudra.
C’est ainsi que je me suis retrouvé un samedi soir, une bouteille de Malibu à la main à la porte d’un appartement parisien en plein quartier latin. Je me suis arrangé pour arriver le dernier, n’ayant pas trop envie de gérer l’attente par des discussions avec des gens que je ne connaissais pas. Un homme m’ouvre, un grand brun à la peau blanchâtre :
- Bonjour, je suis Etienne, Henri m’a proposé de passer...
- Rentre ! Je suis Patrice ! m’indique l’hôte. On se fait la bise ?
Je n’ai pas vraiment l’habitude d’embrasser les hommes, mais bon...
- Alors il parait que tu n’as jamais fait ça, mais que tu aimerais bien une petite expérience ? Ajoute-t-il en refermant la porte.
Et sans attendre une quelconque réponse, il me met sa main sur la braguette. Réaction garantie, je me mets à bander, je ne pensais pas que les choses commenceraient si tôt. Il me conduit jusqu’au living.
Henri est là, ainsi que trois hommes assez jeunes... Patrice fait les présentations :
- Je vous présente Etienne, c’est le gars dont Henri nous a parlé....
Et tout en parlant il me pelote les fesses...
- Regardez-moi ce petit cul, on va se régaler !
Il y a donc là Yvon, un joli mec aux cheveux châtains clairs et à la peau bronzé, Vardin un blond aux cheveux longs assez efféminé, et Cheng un asiatique. J’embrasse tout ce petit monde. La première impression est assez sympathique. On est donc six, ça fait du monde pour une courte nouvelle érotique, on va essayer de ne pas trop s’emmêler !
Etant au complet et ces présentations faites, Patrice nous propose d’emblée :
- Si on jouait à "la douche" comme l’autre fois ? Ça m’avait bien plu !
Je m’attends à une espèce d’orgie dans la salle de bain, comme ça d’emblée, ça ne me dit trop rien, mais ce n’est pas ça du tout !
On m’explique le principe, on pose sur la table de la bière, de l’apéritif, et des revues pornos. Mais personne n’a le droit d’y toucher avant d’avoir pris une douche. On n’a même pas le droit de fumer. On tire donc au sort le premier qui va se doucher, il doit revenir à poil devant les autres et gagne le droit de boire, de feuilleter mais aussi de provoquer ceux qui sont encore habillés, mais sans contact, par contre il peut faire ce qu’il veut avec ceux qui sont déjà douchés. Quant au dernier à être tiré au sort, non seulement il n’aura le droit de rien faire mais devra accepter d’être humilié par les autres.
- Tout me monde est d’accord ? Parce que n’allez pas râler après si vous êtes le perdant !
C’est bien ça qui me fait hésiter un petit peu ! Mais bon, il n’y a qu’une chance sur six pour que ça soit moi (comme à la roulette russe) et puis je peux toujours m’échapper, je ne suis pas prisonnier... Et puis j’aime bien prendre des risques, c’est mon côté joueur...
Donc c’est parti !
On tire au sort, c’est Yvon qui est désigné, il s’en va donc.
- Rassure-toi ! Me conforte Henri. Ça se passe toujours super !
- Même pour le perdant !
- Mais, oui, on n’est pas des brutes...
Comme il faut bien qu’on s’occupe en attendant le retour d’Yvon, ça parle sport et bagnole, et comme je n’y connais rien, j’attends que ça se passe.
Et voilà la réapparition d'Yvon à peine sec ! Il tire lui-même le nom du suivant et c’est Vardin que le sort désigne pour gagner la salle de bain ! Yvon est donc nu, il est assez mignon, le corps est pratiquement glabre, je louche vers sa bite, un bien bel objet, évidement avec ma discrétion habituelle il s’en aperçoit !
- On dirait qu’elle te plait ma bite, toi le nouveau ?
- Elle est belle !
- Ça te plairait de la voir au fond de ton cul, hein ?
- Pourquoi pas ? Répondis-je avec prudence. (De toute façon ça n’engage à rien.)
Yvon fait un demi-tour sur lui-même, tortille du cul, écarte ses fesses, joue avec son sexe, se pince les tétons... Il nous la joue très star.
- Ça va ? Ça vous plait tout ça ?
Il se sert une bière, se trempe la bite dedans !
- Ah ! Ah ! Ça vous fait envie, hein ? Vous êtes vraiment des gros cochons ! Bon c’est quoi ces bouquins ? Whah le mec ! La bite qu'il se paie, ça m’excite tout ça !
Puis ne s’occupant plus de nous, il s’assoit, le magasine d’une main, sa queue dans l’autre et il se masturbe très lentement.
Je suis véritablement très excité, alors que je me disais, il y a encore quelques minutes, me mentant sans doute à moi-même, que j’étais d’abord venu pour voir, j’ai maintenant réellement envie de participer, sans doute timidement mais de participer, et j’ai bien l’intention de sucer une bonne queue avant de partir.
On est en fait tous scotchés vers Yvon dont la bite parfaitement dressée est désormais une véritable provocation.
Mais voici Vardin qui revient, il n’a plus un seul poil sur le visage et arbore une belle bite bien bandée. Il tire d’abord un papier dans la corbeille désignant le prochain occupant de la douche, c’est Cheng.
Vardin s’approche d’Yvon. Ce dernier sans quitter son siège lui pose les mains sur la taille, puis approche ses lèvres pour embrasser sa verge, ses mains s’égarent sur ses fesses, puis c’est sa langue qui lèche toute la hauteur de la hampe, avant que d’un coup sa bouche ne l’engloutisse et qu’il commence à le sucer. C’est trop excitant ce truc-là, une fellation devant mes yeux. J’en viens à me demander si quand ce sera mon tour d’aller me doucher, je ne devrais pas me masturber pour être « plus calme » ensuite.
Yvon cesse un moment de sucer son partenaire.
- Ça vous excite, hein, bande de mateurs, vous aimeriez bien être à notre place ? Bon, Vardin, si tu me suçais un peu à ton tour ?
Cela n’a l’air de poser aucun problème pour le grand blond qui file entre les jambes de son complice et qui commence à son tour à lui sucer sa jolie pine.
- Hum, elle est bonne ta bite, c’est dommage qu’elle sente la savonnette, finalement cette idée de douche je ne sais pas si c’est une si bonne idée que ça ? Moi j’aime bien les bites qui sentent un peu le pipi.
- C’est pas un problème, si tu veux, je te pisse dessus !
- C’est une promesse j’espère ?
- Oui, mais avant je vais te flanquer une fessée, ça t’apprendra à raconter des cochonneries.
- OK, ça fait deux promesses !
- Bon, alors maintenant suce-moi en silence et excite-moi mes bouts de seins en même temps !
Vardin obéit ! Rapidement son partenaire se pâme.
- Attend ne me fait pas jouir tout de suite ! Putain les mecs, ce type suce comme un dieu, une vraie bouche de pute... mais arrête... oh puis non continue, c’est trop bon !
Yvon finit par décharger dans la bouche de Vardin, ce dernier proposera à son partenaire de l’embrasser, la bouche pleine de sperme, mais l’autre refuse.
Mais voici Cheng qui est de retour, sa bite de taille moyenne est comme chez beaucoup d’asiatique plus sombre que le reste de son corps. Il tire au sort ! Cette fois c’est pour moi ! Ouf, je ne serais pas le perdant ! Et tandis que je me dirige vers la salle de bain je me retourne pour apercevoir l’asiatique recevoir de Vardin, le baiser dont Yvon ne voulait pas.
Inutile de vous dire que je me douche à la vitesse grand V, je n’ai qu’une hâte c’est de revenir. Je bande sans arrêt depuis un bon quart d’heure. Allez hop, je me rince, je m’essuie un peu, je m’asperge un peu d’eau de toilette. Je vérifie dans le miroir si je suis présentable, finalement je n'en sais trop rien, en fait je me suis mal préparé pour ce truc, j’aurais dû me raser le torse...mais bon, on va dire que ça devrait aller. Et hop, je reviens dans le salon laissant la place à ce pauvre Patrice qui doit être dans un état pire que moi. Quand à Henri qui n’a pas été tiré au sort, il a l’air tout content de sa situation, et le fait de servir éventuellement de souffre-douleur à l’ensemble du groupe n’a pas l’air de le gêner plus que ça.
Yvon est dans son coin, il ne bande plus, et « récupère » en sirotant une bière. Mais ce n’est pas là qu’est le spectacle, en effet Cheng est en train de sodomiser Vardin qui se pâme de plaisir. Quel spectacle que la bite de l’asiatique qui effectue de longs et profonds coulissages réguliers dans l’anus de ce bel homo chevelu ! Inutile de vous dire dans quel état j’étais quand ce dernier m’appela :
- Mets-toi devant moi, je vais te sucer, pendant qu’il m’encule !
Ça m’embête un peu, je ne suis pas vraiment venu pour ça, mais une partouze c’est aussi un partage, il faut savoir donner de sa personne, c’est encore la meilleure façon d’espérer un « retour »
Je lui présente donc ma queue à hauteur de sa bouche et sans préliminaire, il l’engloutit. C’est incroyable comme ce mec suce bien, aux mouvements de pompage imprimés par ses lèvres s’ajoute des mouvements de langue sur mon gland qui me font frétiller de plaisir. A ce rythme et compte tenu de l’excitation accumulée, je ne vais pas durer longtemps. Je le préviens que je vais venir, mais il s’en fiche et j’éjacule dans sa bouche.
Un peu secoué, je vais m’asseoir, continuant à assister à la sodomie de Vardin.
- Qu’est-ce qu’il m’encule bien ce mec, je te le recommande ! S’amuse-t-il à me dire !
- C’est quand tu veux ! Rajoute l’asiatique ! Je vais bien te la mettre, tu vas voir !
Je ne réponds pas, je suis un peu dépassé par les événements. Cheng semble accélérer sa cadence !
- Me jouis pas dans le cul ! Viens dans ma bouche !
L’asiatique décule alors, enlève précipitamment le préservatif et offre sa queue à finir à Vardin. En quelques mouvements seulement il atteint la jouissance. Puis pour la deuxième fois de la soirée les deux hommes s’embrassent sur la bouche.
Patrice sort à son tour de la douche, Vardin attrape sa queue de la main et décidément insatiable, lui la prend en bouche.
- Hum ! Tu suces toujours aussi bien, mais moi aussi je voudrais bien ta bite, allonge toi par terre on va se mettre en 69.
Les deux coquins se mettent ainsi en position de tête bêche et se lèchent mutuellement la bite. C’est Vardin qui jouira le premier, son compagnon quelques minutes après.
Henri lui revient à ce moment-là, il s’est pourtant dépêché de prendre sa douche, il regarde l’assistance, constate que tout le monde a joui et qu’il faudra attendre quelques minutes pour la suite des événements. Il va s’asseoir dans un coin et commence à se masturber plutôt mollement.
- Je te signale que tu as perdu, tu n’as donc pas le droit de jouir, par contre on peut te faire ce qu’on a envie, mais pour l’instant viens donc me voir, ma bibiche, je vais sucer le trou de balle pendant que tu te branles ! Propose alors Vardin, décidément en grande forme.
Vardin commence à donner de grands coups de langues dans la rondelle du perdant du jeu. Il s’arrête un moment !
- Décidément, la prochaine fois, il faudra trouver autre chose que la douche, moi j’aime bien qu’un trou du cul ça sente le trou du cul !
Yvon s’approche alors des deux hommes, il a retiré le ceinturon de son jean et le tient à la main faussement menaçant !
- Dis donc, toi ! On t’a dit d’aller prendre une douche, on ne t’a pas dit de te parfumer le trou de balle à la savonnette !
Eclat de rire de l’assistance !
- Mets-toi à quatre pattes et cambre bien tes fesses.
Il obéit sans discuter, Yvon cingle alors le cul de ce pauvre Henri, il le cingle une seconde fois, et encore une troisième... à la cinquième il s’arrête, il rebande de façon magnifique, tandis que les fesses de sa victime ont rougis de façon impressionnantes.
Yvon passe alors le ceinturon à Patrice qui à son tour lui administre cinq coups. Puis c’est Cheng, puis Vardin. Je constate alors que même si les coups sont donnés avec force, il n’y a aucun excès, ces mecs comme le disait Henri lui-même ne sont pas des brutes... Je n’avais pas réalisé qu’il me faudrait moi aussi me servir de ce ceinturon et flageller ainsi mon collègue... Drôle d’impression que de devoir ainsi taper sur le derrière de mon collègue de travail. J’ai peur de taper trop fort, mais une curieuse réaction s’empare de moi pendant que j’opère, je m’aperçois en effet que non seulement ça me plait mais que cela me fait bander... Bizarre !
- Bon aller relève-toi ! Lui dit Patrice, tu vas te mettre le petit tablier de boniche qui est là-bas et tu vas nous servir de soubrette pour le restant de la soirée.
On se sert à boire, ou plutôt on se fait servir par Henri, on rigole, certains caressent leur voisin, et Chang a carrément posé sa main sur mon sexe ce qui a pour effet de le maintenir bandé.
Un moment Vardin lance dans la conversation :
- N’empêche que c’est moi la plus belle salope ici, j’ai déjà sucé quatre bites et je me suis fait enculer une fois. Il y a un record à battre, là, si on faisait des paris !
Mais personne n’a l’air de vouloir relever ce défi ! Alors Patrice nous fait une proposition.
- Je vous propose un jeu ! On tire au sort celui qui va essayer de faire mieux que Vardin, et on va tous l’aider. Mais pour intéresser la partie, on met tous 20 € au pot, si le gars qui est tiré au sort fait mieux que Vardin, il empoche la cagnotte, sinon....
- Sinon, ben sinon, c’est pour moi rajoute Vardin !
- Et puis le perdant prendra la place d’Henri, ce sera notre soubrette pour le restant de la soirée !
Voilà des propositions qui ravissent toute l’assemblée. Henri prépare cinq bouts de papier. J’ai l’honneur de tirer le nom du challenger ! Je ferme les yeux, prend le papelard, le déplie, et....
...C’est mon nom qui est sur le papier....
Je vais pour protester, dire quelque chose... mais tous ces cornichons ne trouvent rien de mieux à faire que de m’applaudir... Moi qui venais pour juste voir un peu, et éventuellement faire un bisou sur une belle verge, me voici...
- Commence par la mienne ! Propose Cheng !
- Met toi à genoux ! Me dit quelqu’un d’autre !
Et comme je n’obtempère assez vite, on me tire sur les mains, je ne sais pas trop comment je me retrouve agenouillé devant la bite de l’asiatique... Bon, je peux toujours m’enfuir à toutes jambes, mais bon... la verge se rapproche de mon visage !
- Allez, ouvre la bouche !
Je finis par le faire, je comprends que je serais plus à l’aise si c’est moi qui prend les initiatives, me voilà comme un gland avec un gland dans la bouche, je le ressort l’embrasse tendrement. La texture en est surprenante de douceur, je donne des petits coups de langue, puis je respire un grand coup et en met la moitié en bouche, je le suce comme je le ferais d’un énorme sucre d’orge, puis j’opère comme j’ai vu le faire dans les vidéos ou ici il y a quelques instants, des mouvements coulissants des lèvres, en m’aidant un peu de mes mains !
- Tu apprends vite ! Me dira Cheng !
Merci pour le compliment... Mais voilà que je me pose une question, il faut aller jusqu'où pour que ça compte pour une fellation.... J’espère que je ne vais pas être obligé de finir ! Je finis par poser la question !
- Soit cinq minutes, soit une éjac pour ça compte ! Si Vardin est d’accord !
- Ça colle ! Mais il faut qu’il fasse soit 5 pipes et une sodo, ou alors 4 pipes et 2 sodos.
La sodo, je l’avais oublié, celle-là ! Je crois que je vais abandonner l’affaire...
- Là ça ne fait pas cinq minutes, faut continuer ! ajoute Vardin
- Suce-moi encore, et après je vais te préparer le cul ! Me précise Cheng.
J’en suis à me demander de quelle façon je vais pouvoir quitter ce jeu sans trop me ridiculiser, j’essaie de me concentrer sur ma fellation, c’est vrai que c’est agréable de sucer une belle bite bien tendue. Je ferme les yeux pour essayer de ne pas me faire distraire. Quand je les rouvre, je vois Yvon à côté de mon asiatique qui réclame la place, cinq minutes sont donc déjà passées... Je change de bite, celle-ci est plus grosse, plus belle aussi, mais moins pratique à mettre en bouche, mais je me débrouille... Cheng est passé derrière moi et me pelote les fesses de façon assez inquiétantes car ses mains se rapprochent ostensiblement de la région anale. Ça y est, il a le doigt sur mon anus, je comprends qu’il va vouloir me doigter ! Du coup je stoppe ma fellation, me retourne !
- Veux-tu rester tranquille ! Ais confiance en Cheng, il est très doux, tu ne sentiras rien !
Tu parles que je ne sens rien, j’ai son doigt dans le cul qui rentre et qui sort, si je ne trouve pas le moyen d’arrêter tous ce bazar dans cinq minutes, je vais me faire enculer. Quelque chose de froid sur l’anus... c’est quoi ça encore, puis quelque chose qui force.
- Laisse toi aller !
Je viens de réaliser, que si je ne l’aide pas un peu, il ne va jamais y arriver, et je n’ai pas l’intention de l’aider. C’est cela la solution pour échapper à la sodo, c’est tout simple. Effectivement il ne rentre pas ! Ouf ! Et pendant ce temps-là je suce cette bonne pine, c’est dommage que je sois perturbé par ce qui se passe derrière moi car ça m’empêche d’en profiter pleinement.
Et voilà Patrice qui se pointe pour remplacer Yvon, belle queue également un peu dans le même genre, un peu moins épaisse... Et derrière l’autre qui continue à faire le guignol, je sens Cheng qui continue en vain ses tentatives. Tranquille je suce donc ma troisième pine... j’ai quand même m’impression que mon anus à tendance à s’ouvrir... Est-ce que... Une petite poussée, ce salaud a failli rentrer... une autre poussée, une très légère douleur, ça pousse encore ! C’est rentré ! Je suis en train de me faire enculer ! Tant pis pour moi, il fallait que j’agisse avant ! Encore une poussée, il doit m’avoir tout mis, et puis il commence à s’agiter. J’ai du mal à contrôler tout ça et à m’appliquer à sucer. Je décide de laisser faire ce qui se passe derrière, après tout ce n’est pas si terrible et je me concentre sur ce joli membre.
Drôle d’impression, on s’habitue à ce membre fiché dans l’anus, la sensation n’a vraiment rien de désagréable. A tel point que quand quelqu’un me demande si c’est bon, je lui réponds, qu’effectivement c’est super bon !
Puis on appelle Henri qui remplace Patrice, lequel Patrice prend lui la place d’Henri derrière moi ! C’est que sa bite n’a pas la même dimension, mais il faut croire que le « chemin est fait » ça pénètre bien et le maître des lieux me lime à son tour ! Me voici en train de sucer mon collègue ! Je réalise que j’ai déjà gagné mon challenge, quand ces deux-là auront fini, j’aurais donc fait quatre pipes et deux sodos !
J’ai du mal à sucer, tellement Patrice gigote derrière, il s’agite comme un dingue, puis s’affaisse sur moi, je viens de réaliser qu’il a jouit en me prenant. Plus personne derrière, drôle d’impression, on dirait que mon anus ne veut pas se refermer. Bon, je continue à sucer, je vais avoir une crampe de la mâchoire tout à l’heure. J’ai compris un peu trop tard pourquoi la bite d’Henri faisait tout d’un coup des soubresauts dans ma bouche, ce con vient de jouir. Je recrache tout ça... Ça commence à faire beaucoup de choses pour une première fois...
Et voilà qu’on applaudit ! C’est moi la vedette ! On me remet les 6 billets de 20 € !
- Donc pour l’instant la plus salope, c’est Etienne, si quelqu’un veut relever le défi ?
Non personne ! Et personne ne veut non plus d’un nouveau tirage au sort, on s’approche tous des boissons et on se rafraîchit un peu.
- Il faudra que tu reviennes, j’aurais ma revanche, me dit Vardin en souriant !
Tiens, je ne l’ai pas sucé celui-ci, ça manque à ma collection...
- Bon, Henri donne ton tablier à Vardin, c’est notre nouvelle boniche !
- Tiens, viens là, ajoute Yvon, je te devais une fessée !
Il fait mettre son camarade en travers de ses genoux et commence à lui administrer une fessée à main nue, ne s‘arrêtant que quand le cul fut devenu rouge comme une tomate, à moins qu’il est tout simplement attrapé mal aux mains.
- Bon j’aie envie de pisser ! Vardin va me servir de pissotière, s’il y en a qui veulent en profiter...
J’ai un peu de mal à suivre, mais tout le monde se dirige vers la salle de bain, je fais donc pareil, là Vardin se couche dans la baignoire.
- Wha ! C’est froid !
- Justement on va te réchauffer ! Répond Yvon qui après quelques secondes se met à lui pisser sur tout son corps !
Vardin se caresse le corps avec l’urine, les autres se mettent à pisser à leur tour, et je suis aussi le mouvement, tout le monde rigole, l’ambiance est bon enfant ! Quand tout le monde a terminé d’uriner Vardin s’y met à son tour et sans se relever....
- Bon je prends une vraie douche et je vous rejoins, ça creuse tout ça !
On grignote quelques bricoles, on plaisante, on est toujours tous entièrement nus. Des couples se forment, Patrice est en train de branler Henri tandis que Cheng suce Yvon qui commence déjà à rebander. C’est Vardin qui s’occupe de moi, je n’ai joui qu’une fois, il le sait, il a commencé par s’occuper de ma bite avec sa bouche, et puis je ne sais trop comment on s’est retrouvé en 69, j’ai joui dans sa bouche et lui dans la mienne, après nos visages se sont rapprochés dans un grand élan de tendresse et pour la première fois de ma vie j’ai embrassé un homme !
- Ça te dirais qu’on sorte un de ces jours tous les deux, rien que tous les deux !
J’ai failli lui répondre que même si je m’étais éclaté ce soir, je préférais quand même les femmes... mais j’ai fini par accepter. On est resté longtemps dans les bras l’un de l’autre assistant avec amusement au spectacle d’Henri sodomisant Patrice tandis que Cheng s’empalait lui-même sur la bite d’Yvon...
Le lendemain matin, j’ai eu un petit mouvement d’étonnement en sentant une forme se lover contrer moi, puis la mémoire me revint vite, Vardin dormait à mes côtés. J’eus alors hâte qu’il se réveille afin de mélanger à nouveaux nos corps.
Estonius – février 2005
Ce récit a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle Gay pour l'année 2005
Annette, secrétaire particulière
Par Estonius
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Je travaille à la Banque X... Et j'ai, (on va dire) une quarantaine d'années. J'ai un nouveau job, on m'a confié les dossiers "difficiles" venant de la clientèle, difficile est d'ailleurs un euphémisme, on devrait dire impossible, des réclamations impossibles à démêler, trop anciennes, pas assez documenté. Mais j'ai carte banche.
Ce vendredi matin, j'avais entrepris d'essayer de travailler sur le dossier de la société "M.A.G", une boite qui vend des gadgets par correspondance et qui se plaint de différences systématiques en sa défaveur dans ses remises de chèques. Comme ils ne nous envoient aucun détail, toute recherche est impossible, sauf à contrôler si on ne s'est pas gouré dans les montants, mais ça, c'est déjà vérifié. Je contacte donc le client pour avoir ses propres documents afin de les rapprocher avec les miens. Mais il ne veut pas, il invoque la confidentialité... Refrain connu... Je l'informe alors que c'est dommage, que cela m'aurait permis d'avancer...
- Par contre, vous pouvez venir consulter nos archives chez nous !
Voilà qui me parait une excellente idée...
Lundi
Je suis reçu par Monsieur Ribadier, un type insipide, je lui explique que j'en aurais peut-être pour plusieurs jours
- Ce n'est pas un problème, pourvu qu'il y ait un résultat au bout, je vais vous présenter Annette, une de mes secrétaire, vous travaillerez avec elle !
Il décroche son téléphone afin la faire venir. Chic me dis-je, je vais avoir la compagne d'une jeune fille...
Et voici Annette qui déboule... Comme jeune fille c'est raté, la nana doit bien avoir la cinquantaine, assez grande, légèrement corpulente, fausse blonde, le visage est pour l'instant souriant, doux et agréable et les yeux sont chaussés de lunettes. Elle est vêtue d'un chemisier blanc dans lequel une opulente poitrine a du mal à se positionner.
La présentation est rapide, la femme me dévisage, et fait une drôle de tronche, manifestement, je dérange ses habitudes.
Je m'installe donc dans le bureau de la miss, on me prête une table minuscule dans un coin. Il faudra bien que je m'en accommode. J'explique donc à Annette de quoi j'ai besoin...
- J'ai instruction de ne pas vous laisser seul, on va aller aux archives tous les deux...
Je vois que la confiance règne, comment elle va faire quand elle va avoir envie de pisser ? On arrive dans une salle sombre entourée de rayonnages.
- Restez là, s'il vous plaît !
Ah, bon, je n'ai pas le droit d'avancer. Je sens qu'on va au clash... Elle monte sur un petit escabeau, hésite, puis descend deux boites :
- Ça doit être ça !
- Je vais regarder tout de suite si vous voulez.
- Si c'est pas là-dedans je ne sais pas où ça pourrait être...
Et elle s'apprête à sortir de la salle, ses boites sous le bras.
- Je vais vous aider...
- Merci, je peux encore porter deux boites !
Je la déteste !
Je commence à fouiller dans ce qu'on a rapporté, tout ce qu'il y a dans ces boites n'a rien avoir avec ce que je recherche. Je le fais remarquer à Annette :
- Tout est là, il n'y a rien d'autre ! Répond-elle agacée.
- Bon écoutez, je me suis sans doute mal fait comprendre, je vais vous expliquer...
Elle ne me laisse pas finir
- J'ai parfaitement compris ce que vous cherchiez, je connais mon travail.
- Bon, je vais vous proposer un truc, vous me laisser parler 5 minutes sans m'interrompre, et on essaie de voir ce qu'on peut faire, d'accord ?
- Admettons !
Je lui explique ! Miracle, elle a l'air de comprendre !
- Mais pourquoi vous ne l'avez pas dit tout de suite !
Envie de la tuer, mais il me faut être diplomate.
- Je vous ai dit, j'ai du mal m'exprimer.
Je m'attendais à ce qu'on aille chercher les bonnes boites, mais non, madame se rassied, ouvre un dossier...
- Euh, est-ce qu'on ne pourrait pas aller aux archives de suite ?
- Oui, ben attendez un peu, j'attends un coup de fil, et je n'ai pas que ça à faire...
Je vais craquer... J'essaie de prendre mon mal en patience, et à défaut de regarder les mouches voler, j'observe mon cerbère, dommage qu'elle soit si peu coopérative, sinon, il me faut bien avouer qu'elle est plutôt agréable à regarder.
Elle m'a bien fait poireauter un quart d'heure avant qu'on retourne aux archives. Cette fois, ce sont les bonnes boites, mais quel bordel là-dedans, la mission risque de durer plus longtemps que prévu. Je fais mon travail, dans mon coin, Annette ne m'adresse pas la parole... Et puis survint l'incident.
- Je vais vous demander de sortir du bureau cinq minutes ! m'annonce-t-elle.
Et ce disant, elle se dirige vers la porte.
- Parce que ? Tentais-je.
- Parce que c'est comme ça !
Je sors donc, elle me précise de rester dans le couloir, et qu'elle va revenir de suite. C'est alors que je la vois se diriger vers les toilettes. Non, ce n'est pas vrai, elle ose me faire sortir du bureau pour aller pisser. J'attends son retour et j'éclate !
- Si je ne peux pas travailler chez vous avec un minimum de confiance, je laisse tomber, et avec toutes les conséquences...
- Je ne fais qu'appliquer les instructions...
- On vous a donné comme instruction de me foutre à la porte à chaque fois que vous irez pisser ?
- Vous n'êtes pas obligé d'être vulgaire...
- Et qui c'est qui vous a donné des instructions pareilles ?
Pas de réponse !
- Bon je vais voir ça avec monsieur Ribadier... (Le mec qui m'a reçu à mon arrivée).
Mais on m'apprend que Ribadier est parti en clientèle, je ramasse donc mes affaires, quitte la boite, me dirige vers un bistrot afin d'être assis et téléphone à mon responsable. J'ai peur qu'il me conseille de "faire avec", mais non, il me dit qu'il va essayer d'arranger ça avec les gens de la société et de ne revenir que le lendemain
Mardi
Ribadier me reçoit le jour suivant, très à l'aise, il me fait son numéro :
- Vraiment, nous sommes confus, vous avez été victime d'un énorme quiproquo, je ne peux malheureusement pas vous expliquez tous les détails, mais si vous saviez à quel point nous sommes embarrassés…
- N'en parlons plus l'essentiel est que je puisse travailler dans des conditions normales.
- Pas de soucis, le moins que je puisse faire c'est de vous offrir le restaurant !
Horreur ! J'ai horreur des repas d'affaires où on est obligé de supporter les conversations d'un inconnu. Je m'en sors par une pirouette :
- Volontiers, mais faisons cela quand ma mission sera terminé !
- Aucun problème !
Ouf ! D'ici là il aura peut-être oublié...
Si Ribadier affichait une cordialité sans doute de façade, ce n'était pas le cas d'Annette qui tirait une tronche impossible, à peine avais-je commencé à m'installer qu'elle démarra les hostilités :
- Je vous remercie pour le savon que j'ai reçu à cause de vous, on va être obligé de travailler ensemble, alors d'accord, je ne vous surveille plus, mais je ne vous ferais aucun cadeau, autant que vous soyez prévenu !
Que répondre ? Je n'avais aucune envie de me lancer dans une quelconque polémique et je balbutiais un simple :
- OK, j'ai bien compris !
Le reste de la journée se passa presque normalement, Annette alla me chercher les boites d'archives dont j'avais besoin, et le travail avançait... Je dis presque normalement parce qu'il se passait tout de même des choses bizarres : de façon inexplicable, elle était redevenue souriante et puis surtout, alors que dans un moment où je m'échappais un peu, mon regard tomba sur le chemisier d'Annette, je remarquais alors qu'il était déboutonné jusqu'en haut du soutien-gorge. Je pris cela pour de l'inattention, mais j'eus la surprise de la voir se réajuster avant de sortir du bureau, puis se déboutonner de nouveau en y revenant !
Essayait-elle de m'allumer pour pouvoir dire ensuite que je lui avais manqué de respect ? Voilà une tactique que je trouvais bien primaire...
Mercredi
Le lendemain, Annette s'était habillée d'un tailleur dont la jupe était relativement courte. Elle recommença aussi le même manège avec son chemisier, j'avais beau me raisonner, il m'arrivait de lorgner dans cette échancrure, mais je sais aussi contrôler mes pulsions.
- Je vais avoir besoin des deux journées d'archives suivantes ! Demandais-je.
- OK, mais vous aller venir avec moi comme ça, on pourra ramener un maximum de boites.
Annette se reboutonne, je la suis jusqu'aux archives, on entre, et là pas gênée du tout, elle se redéboutonne. Je sens la provocation imminente, mais que faire ? Il est impensable de lâcher l'affaire à ce stade, c'est moi qui passerais pour un mytho !
- Vous pourriez m'aider à tenir cet escabeau, hier je n'étais pas trop à l'aise là-dessus !
- C'est moi qui vais monter ! Proposais-je.
- Non, vous n'allez pas savoir, c'est trop mal étiqueté.
Et la voilà qui grimpe avec sa petite jupe courte, je tiens le machin d'une main en regardant ailleurs.
- Tenez-le à deux mains s'il vous plaît !
- N'allez pas me reprochez après de voir des choses que je ne devrais pas voir, alors !
- Oh ! Il y a longtemps que j'ai dépassé ce stade !
Je m'efforce de ne pas regarder, mais que voulez-vous, la nature humaine et la mienne en particulier font que je ne peux pas m'en empêcher. Annette trifouille dans les boites, et soudainement tourne la tête, elle a bien vu ce que je regardais :
- Profitez-en, rincez-vous l'œil, après tout c'est plutôt flatteur, dans vingt ans on ne regardera plus mes cuisses !
Je ne sais plus où me foutre, et en plus j'ai un début d'érection, la secrétaire descend de son perchoir avec deux boites, je tends les bras pour les prendre, elle me les passe, et avant que j'ai pu faire un autre geste, elle me colle sa main sur ma braguette.
Le piège est en train de se refermer. Que faire ?
- Ne me touchez pas ! Tentais-je.
- Si vous ne vous laissez pas faire, je hurle ! Non, ne posez pas les boites !
Je suis tétanisé, la nana est en train de me caresser la verge à travers mon pantalon, l'excitation monte, je suis sans doute pris au piège ! Mais quel est-il ?
- Ça vous a excité, hein petit salaud, de mater mes cuisses ?
Voilà que je suis un "petit salaud" à présent ! Je bande maintenant comme un âne. Et la voilà qui me dézipe ma braguette ! J'ai du mal à suivre, voici une femme qui, la veille encore me faisait la gueule et qui maintenant est en train de me tripoter la bite ! Sa main est dans ma braguette, elle me caresse mon membre par-dessus l'étoffe de mon caleçon, et c'est bon ! Elle s'accroupit devant moi, du coup me voici avec une vue plongeante dans son décolleté, bien sûr elle s'en aperçoit.
- Tu aimes ça, regarder mes gros nichons, hein petit salaud ? Attend je vais te les montrer mieux !
Elle défait un bouton supplémentaire de son chemisier, puis fais sauter ses seins par-dessus ses bonnets de soutien-gorge. Je ne sais plus où me foutre. J'ai en principe horreur de cette façon d'exhiber les seins que je trouve à la fois moche et vulgaire, mais dans le cas présent l'apparition de ses gros tétons marrons me trouble profondément. Encore une fois, je cherche à poser mes boites afin de pouvoir toucher à ces fruits exposés à mes yeux, mais une nouvelle fois, elle m'en empêche. Elle joue à quoi ? Impossible à dire mais ce qui est évident, c'est qu'en ce moment je suis son jouet.
- Si quelqu'un vient ? Parvins-je à chuchoter.
- C'est un risque à prendre, répond-elle en me regardant dans les yeux et avec un sourire malicieux
Je me fais la réflexion que c'est la première fois qu'elle me sourit directement ! Sa main cherche maintenant le contact direct avec ma bite, elle extrait ma queue de mon pantalon.
- Hummm, ça bande bien tout ça ! Commente-t-elle tout en effectuant quelques très lents mouvements de masturbation. Puis, je la vois approcher sa bouche... Ce n'est pas vrai qu'elle va me sucer ! Je dois être en train de rêver, je vais me réveiller d'un moment à l'autre dans mes draps tout mouillés ! Mais non, j'ai beau me mordre les joues, on est bien dans le réel, et Annette a bien ma queue dans sa bouche et la fait coulisser entre ses lèvres. Un moment, elle m'abandonne ! Va-t-elle me laisser tomber alors que j'ai à présent une irrésistible envie de jouir ? Non, elle s'en prend à ma ceinture qu'elle déboucle, puis elle fait glisser pantalon et caleçon sur mes chevilles, elle avait donc besoin d'espace, de mon espace, elle me lèche alors les couilles tout en s'agrippant à mes fesses.
- Je vais jouir ! Balbutiais-je
Elle s'arrête, me demande si j'ai un préservatif. Ben non je n'en ai pas !
- Dommage ! Dit-elle, je me serais bien fait bourrer !
Quel langage !
Puis elle me reprend en bouche et cette fois de façon très énergique. Je sens mon désir, un court moment interrompu, monter de façon irréversible. Elle garde mon sexe dans ses lèvres pendant que j'éjacule. Elle ne recrache rien. J'ai toujours mes boites dans les bras
- Maintenant tu peux les lâcher !
Elle m'enlace, elle m'offre sa bouche pleine de mon sperme, ce n'est pas trop mon truc, mais franchement, je ne me vois pas la repousser.
- C'était bon ? Demande-t-elle.
- Super, mais...
- Allez, plus un mot, c'était un coup de folie, ça me reprendra peut-être...
Drôle de bonne femme ! Je n'arrivais pas à comprendre ce brusque changement d'attitude ! Elle était à présente toute guillerette mais toujours aussi peu communicative. Je lui ai proposé de lui payer le restaurant le midi, mais elle a refusé, j'en ai profité pour acheter des capotes chez le pharmacien. Nous sommes retournés aux archives l'après-midi, je lui ai caressé les jambes pendant quel grimpait sur son escabeau, mais on en est resté là.
Ma mission avançait, et la situation devenait plus claire, les boites contenaient des listes détaillées de chèques, je les comparais avec nos propres listes et trouvait à chaque fois la raison du litige, il s'agissait d'un chèque manquant. Ainsi environ une fois par semaine, un chèque manquait à l'appel. Un incident aussi répétitif me paraissait bien bizarre, mais je décidais de continuer avant d'avancer une hypothèse.
Je dormis mal cette nuit-là, hanté par le souvenir de cette incroyable pipe, et me demandant s'il y aurait une suite.
Jeudi
C'est avec le sourire que m'accueillit Annette le lendemain matin, et vers 10 heures je lui indiquais que j'allais avoir besoin de nouvelles boites.
- Tu vas avoir une surprise me dit-elle, alors que nous pénétrions dans le local d'archives.
J'espère que la surprise sera bonne, je reste sur mes gardes !
Annette grimpe sur son escabeau, je ne me gêne plus pour regarder... Et la surprise est au-dessus de moi : cette coquine n'a pas mis de culotte ! Et ça y est je bande déjà !
- Je peux toucher ?
- Bien sûr, c'est fait pour ça ! Attends, je vais déjà te passer les boites, voilà, et puis je vais descendre d'une marche, ce sera plus pratique. Maintenant vas-y pelote moi les fesses !
Vous vous imaginez bien que je ne me fais pas prier. Sa peau est douce et je ne lasse pas de triturer ce joli fessier.
- Tu peux me mettre un doigt dans le cul si tu veux !
Ben voyons ! Je mouille mon doigt et l'introduit dans son arrière-boutique ! Inutile de vous décrire dans quel état je suis !
- Hummmm j'adore qu'on me ramone le cul... T'as une capote aujourd'hui ?
- Dans ma poche !
- Super, tu vas m'enculer mais pour l'instant met moi un deuxième doigt !
Je le fais, madame se régale !
- Humm, c'est bon, tu as déjà essayé, toi ? Reprend-elle
- Essayé quoi ?
- De te doigter le cul !
En voici une question !
- Oui !
- Et tu aimes ça ? Continue c'est trop bon !
- Ce n'est pas désagréable !
- Je m'en doutais, tu es un petit vicieux, toi, tu dois aimer un tas de bonnes choses !
- On ne vit qu'une fois !
Quand même, je me demande ce qu'elle peut bien me trouver pour me faire participer à des trucs pareils ! Elle est peut-être tout simplement nymphomane !
Je la ramone à présent avec trois doigts, elle a du mal à étouffer ses gémissements. Puis elle me demande d'arrêter, vient devant moi constater l'état de ma bite. J'ai sa grosse poitrine sous le nez, je fais le geste de vouloir m'en approcher, mais mes doigts de la main droite ne sont pas très nets. Tant pis, j'ai deux mains, et de la gauche je lui pelote un sein. Annette entreprend de me baisser mon pantalon, puis elle s'accroupit, me gobe la bite quelques instants, avant de me demander d'enfiler la capote, elle se tourne, se plie en deux, écarte les fesses et d'un coup je la pénètre ! J'y vais d'abord doucement, puis comme tout se passe bien si j'en crois ses "hi" et ses "han" j'augmente la cadence de façon frénétique, puis incapable de me contrôler je finis par jouir dans un grand spasme, elle se retourne, retire mon préservatif, me nettoie la verge, puis me fais signe de ramasser les boites. Expéditif, presque bestial, mais il faut bien avouer que ce trip m'a bien plu !
De retour au bureau, Annette est toujours aussi peu bavarde.
- Je peux te poser une question ?
- Pose toujours, mais je ne te promets pas de répondre.
- Quand je suis arrivé, tu m'as complètement rejeté, qu'est ce qui t'a fait changer d'attitude ?
- La façon dont tu regardais ma poitrine !
- Je ne comprends pas bien !
- Cherche pas !
Il faut mieux en effet que je ne cherche pas !
L'enquête avance : un chèque disparaît toutes les semaines, puis en avançant dans les dates, je m'aperçois qu'on passe parfois à deux voire trois par semaine. Par contre aucune disparition ni en août ni en février, rien non plus ces cinq derniers mois ! C'est donc clair c'est du vol ! Mais pourquoi donc aller voler des chèques ? Il existe un vol classique de chèques dans les boites de ventes par correspondances au moment de leurs réceptions, et ceci n'a de sens que si le client a omis de renseigner l'ordre. Ensuite soit on n'honore pas la commande, mais c'est risqué, soit on l'honore tout de même, mais ça casse l'équilibre comptable... A moins de trouver une astuce... On peut même imaginer une complicité extérieure....
On peut aussi concevoir une complicité entre un client de la boite et une personne chargé de traiter les chèques à la banque. A ce moment-là il fait disparaître les chèques avant traitement et le client n'est jamais débité de ces achats. ... J'examine les périodes sans incidents, découvre que la signature des bordereaux est différente... L'affaire devient claire, le voleur est ici, et il s'agit de la personne qui signe. On m'a demandé d'éviter de faire des photocopies ou des fax, mais je la mémorise. Il ne me reste plus qu'à faire mon rapport à mon chef, la suite ne m'intéresse pas, je ne suis pas flic... Il est autour de 15 heures quand je décide de sortir afin de l'appeler, mais sans ranger mes affaires...
- Je sors cinq minutes ! Indiquais-je simplement à Annette
- La mission est terminée alors !
Comment a-t-elle devinée ?
- Quasiment !
- Tu vas téléphoner à ta boite ?
- On ne peut rien te cacher !
- Pourquoi tu ne le fais pas d'ici !
- C'est délicat, je suis lié par le secret professionnel ! Balbutiais-je faute de mieux.
- Je peux te faire une petite suggestion ?
Quelle question ! Je ne vais quand même pas lui dire non...
- Qu'est ce qui t'empêche de prolonger ta mission d'un jour ou deux, personne ne te surveille ?
Elle me dit ça en me gratifiant d'un clin d'œil tout à fait évocateur. Alors là, je suis sur le cul ! Il est évident que le seul motif ne peut être que celui de renouveler nos fantaisies dans le local des archives... Je me dis alors que je serais bien bête de ne pas profiter de cette incroyable occasion, mais d'un autre côté je ne vois pas bien à quoi je vais occuper mon temps. D'autant qu'il me semble qu'on peut toujours s'envoyer en l'air à l'extérieur... Je le lui dis.
- Non, moi l'hôtel ça me coupe tous mes effets, je trouve ça sordide. Par contre tu ne peux pas savoir ce que ça me fais nos petites galipettes, tu sais c'est vraiment mon fantasme de faire l'amour au bureau, les occasions sont si rares, et puis j'aime bien faire ça avec toi...
Elle va me faire rougir si elle continue...
- J'avoue que c'est tentant... commençais-je, tentant de tergiverser.
- Tu sais j'adore le sexe, je suis très coquine et je peux faire plein de choses, si tu aimes certaines fantaisies, même des choses un peu spéciales, ça ne me dérange pas, il y a des mecs avec qui ça me gênerait, mais toi, t'es cool....
Oh, là là.... Des fantaisies ! Même "un peu spéciales"... qu'elle a dit... Si j'osais, depuis le temps que je rêve d'une femme qui partagerait ce fantasme... Je respire un grand coup. Je me lance... et si elle est d'accord, alors je resterais un jour ou deux de plus comme elle me le propose....
- Tu sais, il y un truc que j'aimerais bien faire... ou plutôt voir...
- Dis-moi, je suis sûre que je vais pouvoir t'arranger ça !
- J'aimerais bien te regarder faire pipi !
- Ah ! C'est ça ? Mais ce n'est pas un problème ! Humm, je crois qu'on va bien s'éclater... par contre on ferra ça quand tout le monde sera parti, tu peux rester jusqu'à 18 heures ?
Pour ça, bien sûr que je peux rester !
- Heu, ce que je peux faire c'est aller faire un tour et revenir un peu avant 18 heures
- Non, non tu restes là, on ne sait jamais, si quelqu'un te voit partir et revenir à cette heure-là, ça peut paraître bizarre.
Admettons ! Je m'occupais alors à des tâches personnelles sur mon portable. Vers 17 heures 45, une femme pénétra dans le bureau !
- Ah, t'es encore là, Annette... Oh, pardon, bonsoir Monsieur ! Tu fermeras et tu mettras les alarmes alors ?
- Pas de problèmes, bonne soirée !
Annette m'indiqua qu'on allait encore attendre cinq minutes, afin d'éviter un retour inattendue de cette personne, il y a toujours des gens qui oublient un tas de trucs et qui reviennent sur leur pas. .. La perspective de voir réaliser mon fantasme dans quelques courtes minutes me faisait déjà bander....
- Allez viens !
Nous sommes entrés dans la cabine des femmes qu'elle laissa ouverte volontairement afin d'avoir plus de place.
- Voilà, je vais m'accroupir comme ça, avec les pieds sur la cuvette, comme ça tu verras bien ! Approche-toi, et baise ton pantalon, moi aussi j'ai le droit d'avoir ma part de spectacle aussi, non ?
Je fis comme elle disait, et attendait fébrile, la bite à l'air dressée comme un mat. Annette se concentra quelques instants, puis quelques gouttes dégringolèrent de son petit minou, suivies aussitôt d'un jolie jet doré ! J'étais au paradis... Mais l'homme est ainsi fait qu'il en veut toujours plus, j'aurais voulu mettre le doigt sur la trajectoire de cette source, le porter à ma bouche, m'en régaler. Mais je n'osais rien de tout cela de peur de passer pour un pervers. Toute à une fin est le pipi aussi. J'avais eu ce qu'elle m'avait promis, c'était déjà énorme. J'imaginais la suite beaucoup plus triviale et déjà je cherchais le préservatif dans ma poche... Mais Annette sut encore me surprendre :
- Je m'essuie ou tu veux t'en occuper ?
- Je veux bien !
Je déchirai un peu de papier...
- Viens me sentir le minou avant d'essuyer !
L'occasion sans doute ! J'approchais, me collais carrément le nez dans sa chatte !
- Lèche ! tu en meurs d'envie !
Comme un fou je passais ma langue dans sa vulve humide absorbant l'urine qui la mouillait ! J'étais heureux comme un pape.
- Je n'ai pas fait à fond, si tu veux je peux te faire boire le reste !
- C'est vrai ?
- Bien sûr que c'est vrai puisque je te le propose !
J'étais comme un gosse qui du jour au lendemain est soudain trop gâté. Elle me fit coller ma bouche ouverte contre sa vulve et quelques instants plus tard un liquide tiède envahissait mon palais, j'avalais quelques trop courtes rasades...
- Alors ça ne valait pas le coup de rester ? demanda Annette avec malice ?
- Oh que si !
- Dis donc dans quel état je t'ai mis ! Rien que le fait de te mettre la capote tu vas jouir, moi qui voulais que tu m'encules !
- On peut attendre un peu !
- Je ne vais pas te gâcher ta jouissance, mais tu me dois une sodo, aux archives demain matin, d'accord ?
- No problème !
- Elle prit alors mon sexe dans sa bouche, les lèvres placées juste à la base du gland et la langue sur le méat, elle imprima alors de très légers mouvements de succion....
- Attends !
- Mais, non jouis !
J'éclatais !
- Alors franchement je ne t'ai pas offert un souvenir inoubliable ?
- C'était fabuleux Annette, mais toi tu n'as pas jouis !
- Pas grave, je suis content de t'avoir rendue heureux, et ce soir je me ferai un petit câlin toute seule dans mon lit en repensant à tout cela.
On discutait en remettant de l'ordre dans nos fringues.... C'est en regagnant le bureau que le ton changea !
- Bon, et maintenant avec tout ce que je t'ai offert, tu vas je l'espère trouver un moyen pour ne pas me dénoncer !
J'avoue ne pas avoir bien compris de suite de quoi elle voulait parler :
- Pourquoi veux-tu que je te dénonce ?
- Demain on discutera, tu as toute la soirée pour réfléchir, tu dois trouver une explication pour les chèques qui ont disparus sans qu'on sache que c'est moi !
Oh, la la ! Mais qu'est-ce qu'elle me raconte ? Je ne l'ai jamais soupçonné, et d'ailleurs je ne n'étais pas là pour faire une enquête policière ! Par contre en déposant des conclusions selon laquelle les disparitions procédaient d'un vol au sein de l'entreprise, il y aurait une enquête interne... Mais tout n'est pas clair, quelque chose m'avait échappé...
- Je savais que c'était un vol, mais je n'ai pas été plus loin !
- J'ai regardé tes notes pendant que tu t'absentais du bureau, tu avais déterminé que pendant mes vacances, il n'y avait pas de vol.
- Je n'ai pas recherché qui c'était !
- Il te suffisait de demander à qui appartenait la signature sur les bordereaux !
Et en plus elle me reproche de ne pas avoir tout découvert !
- Et puis il n'y a que moi qui ai les initiales A.G. !
Mais qu'est-ce qu'elle raconte ?
- Explique moi tout, on va voir ce qu'on peut faire !
- Quand les commandes arrivent les chèques sont complétés et endossées par le service clientèle, ensuite ça passe à la compta qui vérifie et qui passe les écritures, puis après on me les porte, je les vérifie, je signe, les met sous enveloppe et un coursier vient les chercher. On demande aux clients d'indiquer "Société MAG" ! Certains n'écrivent que "MAG", un jour un type a rempli ça très espacé, j'ai compété pour faire Madame Annette Galuchet ! En regardant attentivement j'en trouvais un comme ça presque toutes les semaines. C'est tout il n'y a rien d'autre à raconter ! Maintenant le traitement a changé, on envoie des fichiers par informatique, je ne vérifie plus les bordereaux... Tout ça, c'est donc de l'histoire ancienne...
- D'accord ! Et vous m'avez offert vos charmes pour que je ne vous dénonce pas, c'est ça ?
- On ne se tutoie plus ? Je vais être très franche ! Oui, j'ai fait ça ! Quand j'ai su pourquoi vous veniez, j'ai d'abord voulu vous rendre la vie impossible, vous faire travailler dans des mauvaises conditions afin que vous n'ayez pas envie de rester longtemps. J'ai été trop loin et je me suis fait engueuler. Après j'ai voulu faire de résistance passive en vous faisant la gueule, mais ça ne menait nulle part, alors j'ai essayé la séduction. Vous êtes maintenant libre de votre décision ! Je n'ai plus rien à vous proposer en échange, et je ne me prêterais à aucun chantage. Ne soyez pas hypocrite dites-moi ce que vous allez faire ! Ne me laisser pas passer la nuit sans savoir, c'est si facile de juger les autres... et puis...
Elle ne termina pas sa phrase, éclatant en sanglot ! J'étais là comme un con ! Furieux de m'être fait manipulé, mais aussi vexé de ne pas avoir été jusqu'au bout de ce que je pouvais trouver alors que la solution était sous mes yeux. Voilà qui prouvait que je n'étais pas parfait (je n'ai jamais prétendu le contraire d'ailleurs) Pas parfait, elle non plus ! Que faire ? Etre salaud envers Annette en la dénonçant (même de façon indirecte) Ou faire dans la faute professionnelle en la couvrant ! Alors Je me suis remémoré l'épisode des toilettes, j'ai regardé ses yeux de chien battu, je me suis approché d'elle !
- Annette, ça ne plait qu'à moitié, mais je te promets que je ne te dénoncerais pas !
- C'est vrai !
- Je te le promets !
- Merci ! Mais ça ne suffit pas, il faut trouver une explication qui tienne la route... mais bon merci déjà de ne pas me dénoncer.... Je ne suis qu'une salope ! Dit-elle fondant de nouveau en larmes !
On a été boire un pot après, puis je l'ai quitté, j'ai cherché toute la nuit, je n'ai rien trouvé de vraiment génial. ....
Vendredi
Je me rends directement à la banque rendre compte à mon supérieur ! Il a entièrement confiance en moi ! C'est mon seul atout dans cette affaire mais il est énorme !
- Pour l'affaire M.A.G, j'ai tout contrôlé, ils font des bordereaux, mais ils n'envoient pas de doubles, en plus ils n'utilisent pas les pochettes transparentes qu'on leur a données. Mais sinon je ne vois pas bien où ils auraient tort, je pense simplement que des chèques sont restés coincés dans les enveloppes.
- Les chèques sont tous endossés ? Il y a bien les bénéficiaires ?
- Il y a trois points de contrôle !
- Et maintenant, il n'y plus aucun problème ?
- Aucun !
Le téléphone sonne, mon chef répond interrompant notre entretien. Je n'en mène pas large parce que mon explication est débile et aussi parce qu'elle a une faille ! Il suffirait de demander à M.A.G. d'écrire aux clients pour lesquels les chèques ont disparu, et de leur demander le numéro du chèque et la banque ! Dans le lot il suffit qu'au moins un réponde. Ensuite on se procure la photo du chèque auprès de sa propre banque et le pot aux roses est découvert... Il raccroche, il a l'air préoccupé. C'est vrai qu'à son niveau tous les cas difficiles lui tombent dans les bras ! Mon affaire n'est qu'un cas parmi plein d'autres...
- Bon je vais appeler le mec de chez MAG, je vais lui dire qu'ils n'ont pas respecté le contrat de conditionnement et je vais lui proposer de faire moitié-moitié... Ça fait combien d'abord ? Mouais ! Et s'il rouspète on s'écrase... Et puis non, gagnons du temps, tu vas le voir, tu t'aplatis, tu lui dis qu'on a aucune raison de mettre sa bonne foi en cause... bref tu sauras faire, tu lui dis qu'on régularise dans la semaine et on clôture cette affaire ! Qu'est ce qui t'arrive, tu transpires comme une bête, tu as de la fièvre ?
- Ouais je dois couver quelque chose ! Faut vraiment que j'aille le voir, je ne peux pas faire un courrier !
- Non, de son point de vue, on a été mauvais, alors on s'écrase jusqu'au bout...
Je me rendis alors compte que j'étais en train de négocier le fait d'échapper au restaurant avec Monsieur Ribadier... alors que je venais d'obtenir le " non-lieu " pour Annette...
Epilogue
10 ans ont passés, il y a maintenant prescription sur ces événements, je n'ai jamais revu Annette, mon chef est en retraite, et j'ai grimpé dans la hiérarchie. Je ne suis pas fier de ce que j'ai fait, mais en ai pas honte non plus, il y a des choses tellement plus graves.... Quant à mon fantasme, je me suis aperçu que des tas de personnes charmantes étaient prêtes à m'aider à l'assouvir... à condition qu'on les rétribue... je ne m'en plains pas mais je n'ai jamais retrouvé le bonheur de cette première fois.
Toute ressemblance avec une véritable société M.A.G ou avec une Annette Galuchet (Il doit y en avoir plein) ne saurait être que fortuite et d'ailleurs dans la réalité elles ne portaient pas ces noms-là !
Estonius - 12/2004
estonius@hotmail.com
Thémes abordés : bisex féminine, bisex masculine, exhibition, party, pluralité masculine, soubrette, uro.
Isabelle et Alexis, la trentaine, Isabelle est blonde décolorée, les yeux bleus, de taille moyenne, les cheveux courts, des lunettes, des formes là où il faut, sans exagération….
Ce soir là nous avions, ma femme et moi envie d’aller au restaurant, une accumulation d’événements (des amis qui s’éternisent au téléphone alors qu’on allait partir, des travaux sur la route nous faisant avancer à pas de tortue) fait que nous nous y sommes rendus vraiment très tard, et l’établissement où nous avions nos habitudes était complet. Il a donc fallu en chercher un autre et ça n’allait jamais, trop cher, trop de bruit, trop de gosses, trop commun, trop ceci, trop cela… bref ça n’allait jamais….
- On va finir par rentrer s’ouvrir une boite de choucroute ! Proposais-je !
- Ok on fait comme ça !
Mais miracle sur la route du retour, on passe devant un petit truc, un restaurant antillais qui à l’air pas mal du tout ! On y va ! On a pas regretté, mais n’anticipons pas et disons simplement que le… le repas était très bien.
Le serveur s’approche, un grand noir, très jovial et très sympathique !
- Des cafés, ces messieurs dames ?
On refuse, j’ai peur que ça nous empêche de dormir et on commande l’addition. C’est alors que je remarquais mon épouse qui regardait avec une attention toute particulière la braguette du serveur. Effectivement ce qu’il y avait à l’intérieur paraissait de bonne taille.
Une fois, à l’extérieur, je dis à Isabelle sur le ton de la plaisanterie :
- Alors on se rince l’œil ?
Elle rougit d’abord puis se défend :
- Dis donc tu regardes bien les nanas, je peux bien regarder les mecs, non ?
Argument choc ! Que voulez vous répondre à ça ? Et puis je me suis dis que j’avais peut-être là l’occasion de réaliser un fantasme qui me trottait souvent dans la tête :
- Ça te dirait de te taper une grosse queue comme ça ?
- Mais non, tu sais bien que je t’aimes, allez on rentre, je fatigue un peu !
- Tu sais, insistais-je, si c’est juste physique, sans conséquence, ça ne me dérange pas, je crois même qu’au lieu de me déranger ça m’exciterait de te voir sucer une grosse queue !
- Ben v’la autre chose !
- Ça te dit ?
- N’insiste pas tu vas me faire faire des bêtises !
- Allez, on ne vit qu’une fois, on va essayer un truc, si ça marche pas on n’insistera pas !
On retourne au restaurant, où il n’y pratiquement plus personne, les derniers clients sont en train de payer. Le serveur est surpris !
- Vous avez oublié quelque chose ?
- On a changé d’avis, ça vous embête de nous faire un café !
- Non, non pas du tout !
- Des décas !
- D’accord des décas !
- Je me demande bien comment tu vas faire ? Me demande Isabelle !
- Quand il va revenir mate lui carrément la braguette, on improvisera !
- Tu es fou, on va passer pour des obsédés !
- C’est pas grave, on est loin de chez nous….
Le serveur revient avec les cafés. Isabelle fait comme on a dit et regarde ostensiblement l’entre jambe du serveur. Du coup il se demande se qui se passe, regarde si parfois sa braguette ne serait pas ouverte ou tachée !
- Isabelle, arrête de regarder la braguette du monsieur ! Dis-je alors !
Ça passe ou ça casse ! On va le savoir dans un instant ! Le garçon prend ça à la rigolade !
- Pourquoi ? J’ai une tache ?
- Plutôt une bosse ! répond Isabelle du tac au tac !
- Hi ! Hi Hi ! répond l’autre manquant totalement de répartie !
- J’y toucherais bien, il parait que ça porte bonheur ! Reprend Isabelle !
- Voyons, madame ! Que va dire votre mari ?
- Oh, vous savez moi je suis un mari très compréhensif ! Expliquais-je.
- Alors je peux ?
- Ben puisque tout le monde est d’accord !
Incroyable ! Isabelle caresse ostensiblement la braguette du serveur qui évidement est aux anges et se laisse faire. La bosse a changé d’aspect et laisse maintenant deviner un joli cylindre. Ma femme dézipe carrément la braguette du mec et s’en va fouiner dans son caleçon. La situation commence à m’exciter et comme il n’y a apparemment que nous trois, je m’occupe avec une main de mon propre sexe tandis que l’autre va fouiller dans les dessous de mon épouse.
Et tout d’un coup ma femme extrait la quéquette du serveur qui sort de son pantalon ! Superbe objet, un belle verge très noire et terminée par un joli gland long, bien brillant ! J’aurais presque envie de m’en mêler mais je n’ai jamais confié à mon épouse mes fantasmes bisexuels, et puis il faudrait qu’il soit d’accord ce qui n’a rien d’évident, restons sage. Ce qui se passe est déjà inespéré, ne demandons pas la lune !
Isabelle commence à masturber l’engin du serveur avec beaucoup de conviction, puis son visage se rapproche. Elle ose un baiser assez timide sur le flanc de la verge, puis un deuxième, avant de
donner un petit coup de langue. Elle se recule de quelques centimètres, caresse le gland entre le pouce et l’index, rapproche de nouveau son visage, met en contact ses lèvres avec l’extrémité
de son pénis, se contente de l’embrasser, puis la bouche s’ouvre, se referme ! Ça y est, elle a un bout de la bite du serveur dans la bouche ! Et elle se met à le sucer, vu la taille de la
chose il n’est pas question qu’elle essaie de tout avaler, aussi se concentre-t-elle sur ce joli gland. Le type ne reste pas passif et sa main est venue se coller d’abord sur le tee-shirt de ma
compagne. Voulant l’encourager je lui soulève le vêtement pour lui faciliter le passage et fait sauter les bonnets du soutien gorge par-dessus les seins. Du coup notre serveur titille
maintenant la poitrine d’Isabelle. Elle adore ça qu’on lui tripote les seins. Quant à moi, mon excitation ne retombe pas !
- Vous avez peut-être un collègue qui pourrait nous rejoindre ? Vous savez, deux bites ça ne lui fait pas peur !
- Il y a bien Gauthier, le plongeur, mais il n’est pas aussi monté que moi, et puis il est un peu bizarre, mais enfin c’est comme vous voulez, il ne dira pas non !
- Qu’est ce qu’il a de bizarre ? M’informais-je.
- Ben, disons qu’il est un peu à voile et à vapeur !
- Mais ce n’est pas un problème, ça, faites donc venir Gauthier… plus on est de fous plus on rigole !
Le serveur appelle donc Gauthier ! Mais l’autre n’a pas l’air de répondre, il appelle de nouveau…. et surprise ce n’est pas Gauthier qui déboule mais une petite antillaise toute frisée !
- Il est au téléphone, Gauthier…. mais qu’est ce que vous fabriquez ?
- Elle peut venir avec nous ? propose le serveur !
- Bien sûr ! répondis-je
- Allez Mylène, viens te détendre ! Lui lance son collègue.
- Et, ben ! Vous ne vous emmerdez pas ! Ça va ? Elle est bonne la bite à Antoine ?
Chic on sait maintenant comment s’appelle le serveur, ça m’aurait embêté de ne pas le savoir !
- Humm… un régal ! Répond Isabelle, abandonnant sa fellation quelques instants.
- Et donc Monsieur est avec Madame, si j’ai bien compris !
- Ben oui c’est tout à fait ça !
- D’accord, et ça vous excite de voir votre femme sucer une grosse bite !
- Oh, oui, alors, ça m’excite !
- Voyons voir, dit elle en me plaçant alors sa main sur ma braguette.
Comme vous le devinez bien, ce qu’elle touchait était tout dur.
- Alors petit cochon, comme ça on offre une grosse bite à sa petite femme ! c’est pour un anniversaire.
- Non, non, on avait rien prévu, c’est un concours de circonstances…
- Vous avez de la chance, ça m’excite, moi ce genre de situation…. Je vous plait j’espère !
- Vous êtes ravissante !
- Bon, je me débrouille toute seule pour vous sortir ça du pantalon ou vous baissez tout ça vous-même, ce serait quand même plus pratique.
D’accord faisons pratique, je me lève et fais glisser pantalon et caleçon sur mes chevilles.
- C’est jolie aussi une petite bite blanche ! Humm elle est toute raide…
Petite, petite, elle n’est pas si petite que ça… mais c’est vrai qu’en comparaison avec le mandrin d’Antoine, je ne joue pas dans la même division…
- Allez assis-toi petit cochon, tu vas voir comme elles savent bien sucer les antillaises.
Je n’en doute pas un instant, et déjà elle a ma bite dans sa bouche qu’elle fait aller et venir tout en distribuant de savants coups de langues sur les endroits les plus sensibles. Je jette un coup d’œil à côté, Isabelle s’est carrément mis à genoux entre les jambes du grand black et lui fait maintenant une fellation très soutenue, tandis que ses mains lui malaxent les couilles ! Mon dieu que c’est beau…. Dommage qu’il ait vraiment un engin démesuré sinon j’aurais bien proposé à ma femme qu’elle le prenne dans le cul ! Ça m’aurait vraiment bien plu de voir ça, mais ne rêvons pas, quand c’est trop gros, c’est trop gros.
- Je m’appelle Mylène ! Me dis l’antillaise interrompant un moment sa fellation !
Elle n’est pas folle, elle a compris que j’allais tout lâcher d’un moment à l’autre et préfère faire une petite pause. Et puis je trouve ça sympa qu’elle se présente, je n’aime pas trop les rapports anonymes….
- Moi c’est Alexis !
- Vous êtes russe ?
- Non et vous ?
Elle rigole !
- Vous voulez voir mes nénés !
- Bien sur que j’aimerais voir vos nénés !
Pas compliquée, la fille ! Elle enlève son tee-shirt, elle a un joli soutif en voile rouge qu’elle dégrafe dans la foulée. Jolie poitrine ! Attiré comme un aimant j’entreprends de lui lécher les tétons, elle se laisse faire sans problème, ça à l’air de lui plaire…
Un gémissement étouffé, à côté. Je comprends qu’Antoine vient de jouir ! Ce cochon lui a tout lâché dans la bouche. Je croise le regard d’isabelle, elle est radieuse ! En plus d’être excité je suis super content que l’affaire ce soit bien passé, on recommencera !
- Alors elle était bonne la bite à Antoine ? lui demande Mylène.
- Super ! Répond mon épouse en réajustant sa tenue
- Vous savez, on adore les couples coquins, parfois il y en a qui viennent ici, mais c’est quand même assez rare…
En disant cela la petite antillaise lui a mis la main sur l’épaule par dessus le tissu du tee-shirt et la caresse négligemment. Comme Isabelle ne dit rien, ses mouvements de main deviennent plus larges et s’approchent de son sein droit. J’ai compris le manège. Ce que j’ignore c’est comment va réagir mon épouse quand l’autre va lui mettre carrément la main sur le nichon ? Si elle pouvait accepter la caresse, ce serait fabuleux, mais ne soyons pas trop gourmant, je voudrais aussi qu’elle termine sa fellation, mais en a-t-elle l’intention ?
Ça y est, la main de Mylène est sur le sein d’Isabelle qui répond par un sourire complice ! Du coup l’autre met les deux mains, Isabelle lui rend la politesse, leurs visages se rapprochent et « vlatipa » qu’elles se roulent une pelle. Quant à Antoine, il a l’air aussi passionné que moi par ce spectacle
- Tu m’a appelé ! dit alors quelqu’un !
D’où sort-il celui là ? Je comprends qu’il s‘agit de Gauthier le plongeur. Il regarde la scène avec des yeux tous ronds : Les deux femmes en plein élan de tendresse, Antoine debout la bite à l’air, moi aussi d’ailleurs sauf que je suis assis ! Voilà un spectacle que l’on ne voit pas au restaurant tous les samedis soirs !
- Madame avait une grosse envie de bite ! Mais toi tu n’as rien compris, tu passes des heures au téléphone ! lui répond Antoine.
Du coup Isabelle regarde le nouveau venu, ce n’est pas un antillais, ce doit être un réunionnais ou un mauricien métissé avec beaucoup de sang indien. Il est assez mignon.
- Mais vous êtes le bienvenu ! Lui dit Isabelle, plus on est de fou, plus on rigole !
- C’est vrai, vous voulez voir ma bite, mais vous allez être déçu, je n’ai pas le calibre d’Antoine !
- On s’en fout j’ai envie de sucer, répond Isabelle décidément déchaînée !
- OK, je vais me mettre à poil !
Gauthier, ne doit pas aimer l’amour débraillé, il recule d’un mètre ou deux, et se déshabille complètement, plaçant ses affaires méticuleusement sur le dossier d’une chaise. Vraiment troublant le type, imberbe, une belle peau mate, un corps sans musculature exagérée, la verge est plus sombre que le reste, un peu comme chez les asiatiques. Une fois nu, il s’avance vers mon épouse, qui sans aucun préambule se met sa queue dans sa bouche ! Je vous dis, elle est déchaînée !
- J’ai prévenu ces messieurs dames que tu étais un peu bi, ils m’ont dit que ça ne les dérangeait pas !
- Tu parles toujours de trop, Antoine… mais c’est vrai j’aime aussi bien les femmes que les hommes….
Je fais quoi ? Comment va réagir Isabelle si je franchis le pas devant elle ! Et puis que peut-elle me reprocher ? Ne vient-elle pas de rouler un patin à la petite Mylène ! Oui, mais rouler un patin ou faire un pipe ce n’est quand même pas la même chose…. D’un autre côté, des occasions comme celle-ci je ne vais pas en rencontrer tous les jours !
- Je me suis toujours demandé ce que ça faisait de sucer une bite ! Je peux essayer juste un petit peu ? Lançais-je !
La tête d’Isabelle ! Elle n’est pas choquée, mais elle se demande ce qui m’arrive ! J’ai peut-être été trop loin ?
- Ça ne te choque pas ? Isabelle ?
- Choquée, non ! Pourquoi voudrais tu que je sois choquée, mais surprise oui, ça alors, tu peux le dire ! Allez vas-y prend ma place suce lui sa queue à ce charmant jeune homme tu va voir comme
c’est bon !
En fait ce n’est pas ma première, mais il y a des années que je n’ai pas fait ce truc là… Me voilà donc avec une verge dans la bouche….
- Reste là, on peut partager ! Dis-je à Isabelle
Je suce de mon mieux, me régale de cette texture soyeuse et de son petit goût un peu âcre…
- Tu y prend goût on dirait, je croyais que tu voulais juste essayer !
- C’est que ça me plait bien, c’est pour ça !
- Bon ben rends la moi !
Presque à regret je me dégage et passe le relais à Isabelle. Comme cette bite est de taille standard, elle peut la mettre presque en entier dans sa bouche. Manifestement elle se régale. Elle a adopté la même position que tout à l’heure, à genoux entre ses jambes. Mylène s’est immiscée entre eux deux et est venue lui sucer le bout des seins, puis entreprend de lui défaire son pantalon. Isabelle comprend ce qu’elle veut faire, continue quelques mouvements de fellation puis se disant qu’il est peut-être aventureux de faire deux choses à la fois, se dégage et retire elle même tout le bas avec une décontraction et un naturel qui font plaisir à voir. Du coup je reprends ma propre fellation.
Un coup d’œil à côté, Isabelle s’est couchée sur la banquette, et Mylène est entre ses jambes en, train de lui sucer le minou pendant que ses mains lui agacent les tétons ! Je continue de sucer, je suis tout raide ! Je repense à mon fantasme de tout à l’heure ! J’en parle à Gauthier
- Ça te dirait d’enculer ma femme ?
- Si elle est d’accord je veux bien, je peux t’enculer aussi si tu veux…
- Euh… je ne suis pas contre, mais pas tout le même jour !
- OK, suce moi encore un peu, on va les laisser un peu tranquilles toutes les deux….
Bonne mentalité ce mec ! J’apprécie, et je continue à sucer pendant cinq bonnes minutes. Derrière nous le spectacle est devenue incroyable, les deux femmes sont à présent quasi nues et se broutent le minou en position de soixante neuf, elle halètent toutes les deux de plus en plus bruyamment. Du coup on s’arrête pour regarder ça, y compris Antoine qui se masturbe faisant rebander son immense engin. Mylène part la première en poussant un petit cri perçant, j’ai un peu peur de la réaction d’Isabelle qui a l’habitude de jouir en « ameutant le quartier ». Mais ça va, elle sait se tenir mais nous fait malgré tout un boucan impressionnant. Les deux femmes quittent leur position et se jettent dans les bras l’une de l’autre se roulant une incroyable pelle.
Puis elle me fait face, me regarde, regarde Gauthier !
- Ben alors vous deux, vous n’avez pas joui !
- On regardait, c’était beau !
- Tu sais ce qui me plairait…. commençais-je…. c’est que tu…
- Chut…, tu joueras les organisateurs un autre jour, tu ne te rends pas compte de ce que tu as déclanché, on va finir comme j’ai envie, d’accord !
- D’accord ! Répondis-je un peu déçu !
Alors Isabelle se coucha sur le sol !
- Allez, tous les trois masturbez-vous et arrosez-moi je veux plein de sperme sur mon corps !!
Ben v’la autre chose ! Mais après tout pourquoi pas ? On se branle tous les trois tandis qu’elle se tripote le minou. Je part le premier lui balançant mon sperme sur les seins, Antoine me suit giclant une quantité incroyable sur son ventre. Elle se badigeonne avec sur tout le corps tandis que Gauthier vient rajouter sa propre semence…
- C’est bon d’être mouillée comme ça, vous êtes sûrs que vous ne pouvez pas m’en faire encore quelques gouttes les mecs ?
Elle exagère !
- On peut te faire pipi si tu veux ! Propose alors Gauthier !
Un vrai vicelard, celui-ci !
- Oui, pissez moi dessus !
L’uro n’était pas pour notre couple une nouveauté, nous nous étions essayé à ces jeux que nous pratiquions quand l’envie nous prenait !
C’est Gauthier qui commença les hostilités faisant balader son jet sur tout le corps de mon épouse, y compris sur son visage, mais elle garda la bouche délibérément fermée. Je me concentrais pour participer à la fête, mais ce n’est parfois pas trop évident de pisser sur commande. Antoine l’aspergea à son tour. Elle était trempée de la tête au pied !
- Viens aussi toi ! dit alors Isabelle à Mylène !
- Tu veux que moi aussi je te pisse dessus !
- Bien sûr, et pour toi je vais garder la bouche ouverte !
- T’es vraiment une belle cochonne….
- Oui, c’est vrai, mais c’est de la faute de mon mari !
On s’est calmée ensuite, puis Mylène a emmené Isabelle se rincer et s’essuyer le corps. On a bu un grand verre d’eau gazeuse, et on s’est dit au revoir…
- Revenez un jour vers la même heure… si ça vous dit il n’y a pas de problème, vous pouvez même nous téléphoner avant… Nous précise Mylène !
On a roulé un peu ! Isabelle ne cause pas, elle à l’air crevée, mais elle est tout sourire.
- Tu as bien fait de me proposer de revenir pour le café, mon chéri, je voulais te dire merci ! Dit elle enfin
- Ça me fait plaisir ! C’est vrai qu’on s’est bien amusé !
- On recommencera, dis ?
Moralité : il ne faut jamais réveiller la petite cochonne qui sommeille en votre femme ! Non pardon, c’est le contraire : Faites en sorte de réveiller la petite cochonne qui sommeille en votre femme, cela ne pourra que vous rendre heureux tous les deux !
© 12/2004 Alexis Defond Rossignol
Mon beau travelo
par Estonius
Mon beau travelo
Rue des Martyrs, je l'avais flashé d'assez loin,
Gigantesque silhouette figée dans son coin
Fantasme dans la tête et les deux mains sans les poches
Excité, à grands pas décidés, je m'approche
Son visage malicieux est comme celui d'un ange
Son manteau de fourrure l'engonce, elle l'arrange
Les yeux de biches papillonnent sur mon passage
Je sais déjà que je ne saurais être sage
" Tu viens chérie ? " Demande-t-elle, la voix douce
Ais-je bien hésité, il s'en est fallu d'un pouce
Nous montons, la chambre d'amour est minuscule
" Je me mets toute nue ? " La question ridicule.
Un drôle d'accent. Je ne comprends pas son prénom
Elle se déshabille en riant, son corps sent bon
De beaux globes, ses seins à la vue sont parfaits
Ma main va seulement les effleurer, en fait
Pour que le silicone ne se dévoile pas trop
Elle retire sa culotte, dansant comme un pro
" Alors ? Elle est comment ma belle petite queue ? "
La mienne fait réponse en ne bandant pas qu'un peu
Par réflexe, j'engloutis son sexe dans ma bouche
Mon beau travelo de ses mains, mon corps elle le touche
Je me masturbe en même temps d'une main décidée
J'ai joui trop vite, abandonnant son sexe raidi,
Je n'aurais pas dû, car c'est comme je vous le dis
De sa semence, mon visage est aspergé
" Salaud tu m'as fait jouir ! " Dit-elle pour s'amuser.
Estonius 2004
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