Lundi 19 janvier 2009 1 19 /01 /Jan /2009 18:46

Le petit endroit par Emmanuel Arago
scat
Vous qui venez ici dans une humble posture,
Débarrasser vos flancs d’un importun fardeau,
Veuillez, quand vous aurez soulagé la nature
Et déposé dans l’urne un modeste cadeau,
Épancher dans l’amphore un courant d’onde pure,
Puis, sur l’autel fumant, placer pour chapiteau
Le couvercle arrondi dont l’auguste jointure
Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau.

Emmanuel Arago (1912-1896)

scat arago
Emmanuel Arago écrivit ce poème pour son ami Maurice Sand, le fils de George Sand, qui l’adressa ensuite à sa mère

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 19 janvier 2009 1 19 /01 /Jan /2009 18:43

Au Viol ! Au Viol ! par Linda_nuit_blanche

Stamp secretaire

Au Viol ! Au Viol !

A la police, une jolie blonde se plaignit

Qu’un jeune homme à l’écart l’attrapât

Adossée à la clôture, l’a retenue captive

Pour neuf mois elle en aurait Belle Naïve.

Au Viol ! Au Viol ! Je le traîne en cour

Et je ne change pas d’avis !

Le jeune homme penaud pense à ses recours

Se gratte la tête et cherche une sortie.

La police souligne un fait et demande :

« Comment s’est fait, lui petit, elle si grande ?

La blonde dit que pour y arriver il fallait

Qu’à sa hauteur elle se baissa.

Linda_nuit_blanche

viol

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 2 novembre 2008 7 02 /11 /Nov /2008 07:08

Le Pharmacien
par Marine et Thibault

 

Gode stamp
Thémes abordés : doigtage masculin, engodage masculin

Je vais vous raconter une petite aventure de jeunesse, du temps où j’étais stagiaire comme préparatrice en pharmacie

 

J’avais 20 ans, et le gérant, Gérard, le pharmacien me reluquait à la façon du loup de Tex Avery. Gérard doit avoir 50 ans peut-être plus, mais belle prestance, lunette, moustache et crane plutôt dégarni laissant apparaitre une couronne de cheveux blanc.

Etourdie de nature, j’avais commis plusieurs bêtises à ce point que le pharmacien me déclara ce soir là, alors qu’il procédait à la fermeture de la boutique :

- Je suis désolée Marine, mais je ne pense pas pouvoir vous garder…

A ces mots, je me mis à sangloter

- Laisser moi encore une chance, je vous en supplie.
- Une chance ? Ecoutez, si vous consentiez à être gentille avec moi, mais vraiment très gentille, à ce moment là je pourrais revoir ma décision.
- Ce n’est pas du harcèlement sexuel, ça ?
- Je ne vous harcèle pas, je vous fais une proposition. Vous l’acceptez ou vous la refusez.
- Je ne la refuse pas, mais promettez moi de ne pas me faire de mal.
- Du mal, moi ? Je suis la douceur incarnée
- Alors d’accord. On fait ça quand…
- Je ne sais pas, je vais voir…

Il s’approcha de moi, un kleenex à la main pour que je puisse sécher mes larmes, et se colla contre moi. Au moment où il m’effleura un sein, j’eus un imperceptible moment de recul mais je me ravisai aussitôt, comme pour montrer que je n’avais pas fait attention au geste. Le pharmacien, engaillardi par mon attitude peu farouche, recommença l’opération de façon plus insistante. Cette fois, mon sourire devint complice. Gérard défit un premier bouton de mon chemisier tout en m’expliquant qu’il fallait être agréable à la vue du client si je voulais bien faire mon travail. Le pharmacien sentit que c’était le moment où tout devait basculer. Il enfouit sa main dans mon corsage et me caressa longuement mes seins doux et fermes à la fois. Je restais immobile, comme pétrifiée par l’excitation que j’étais capable de susciter chez mon patron. Il ouvrit complètement chemisier et soutien-gorge et posa sa bouche avec vigueur sur ma poitrine. Ensuite, n’y tenant plus, il guida ma main jusqu’à sa braguette. Je fis semblant d’être réticente, puis me laissai faire, défit sa braguette, sorti un engin de belle taille, déjà bien bandé et entrepris de le masturber, me prenant au jeu

- Que vous avez une belle bite, Monsieur Gérard.

Lui continuait à dévorer ma poitrine et commença à s’intéresser à mon entrejambe. Il y fourra sa main sans douceur excessive (sans doute à cause de l’excitation) et chercha à écarter le fin tissu du slip en coton. Dès qu’il eut trouvé l’entrée, il insinua deux doigts dans ma chatte brûlante. Je gémis et fit semblant de me débattre comme si je voulais en rester là. Il recula, surpris.

- On arrête ?
- Non, on continue, mais n’allons pas trop vite.

Il se reprit, se contrôla et je finis par m’abandonner à la caresse digitale, sentant même venir un orgasme. Il accéléra le mouvement jusqu’à ce je jouisse. Sans me laisser reprendre ses esprits, il acheva d’enlever son pantalon. Puis, il me souleva par les fesses, m’assit sur le bureau et approcha son sexe du mien. Naturellement lubrifiée par l’orgasme que je venais d’avoir, il réussit à me pénétrer sans effort malgré la bonne taille de son engin. Je le sentis profondément en moi et ne put réfréner un cri de plaisir. Il s’agita encore et je jouis à nouveau. Il me reposa sur la chaise et s’adossa au bureau. Il m’annonça que c’était son tour de jouir et qu’il voulait le faire dans ma bouche.

- Hum, sucer une si belle bite, ce ne sera pas une corvée.

J’accueillis d’abord timidement cette queue qui occupait toute ma bouche. D’abord un peu surprise (mais non dégoûtée) par l’odeur du membre qui sentait la pisse, je m’habituais vite et commença un long va-et-vient buccal en flattant les bourses de ses doigts. Gérard bandait bien, mais ne semblait pas prêt à jouir de suite, un moment il me demanda :

- Met moi un doigt dans le cul !

J’obtempérai, combinant d’abord le doigtage et la fellation, jusqu’à ce que le pharmacien change de position en se mettant à quatre pattes, je pouvais ainsi mieux le doigter, et de l’autre main je lui branlais la bite

- Vous aimez ça, hein qu’on vous tripote le cul ? Lui lançais-je.
- J’adore répondit-il ! Mets deux doigts.
- Et si on mettait un gode ? Proposais-je
- J’n'en ai pas ici…
- Ne bougez pas Monsieur Gérard, j’ai une idée

sarah strapon
J’avisais alors un dentifrice conditionné dans une sorte de cylindre qui ferait parfaitement l’affaire. Me saisissant de l’objet, je le lui enfonçais dans le cul, lui provoquant des cris de plaisirs inouïs.

- T’aime çà te faire enculer ? Lui demandais-je devenant à la fois familière et vulgaire
- Oui, c’est trop bon ! Continue
- Et une vraie bite, tu n’aimerais pas !
- Je ne suis pas contre !
- Oh ! Le vieux pédé ! Tu veux que je demande à mon copain de venir t’enculer ?
- Pourquoi pas ?
- Mais il faut que tu me garde, alors
- Je te gaaaaaarde ! Répondit-il en jouissant comme un dingue

Qu’est ce qu’il ne faut pas faire pour garder son emploi, je vous jure !

Marine (sans Thibault)

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 22 juin 2007 5 22 /06 /Juin /2007 13:51

Courte paille

par Sylvain Zerberg

 

stamp5

 Courte paille

par Sylvain Zerberg


Bonjour je m'appelle Patrick et j'ai 35 ans, je travaille dans la presse. Nous nous sommes rencontrés Yvette et moi il y a dix ans environ. Elle venait juste de divorcer d'un premier mariage malheureux et m'avait été présentée par une de mes amies qui connaissait bien mes goûts en matière de femme. Grande, bien en formes, fausse blonde aux yeux clairs, cultivée, de dix ans mon aînée : elle avait vraiment tout pour me plaire. Et étant donné moi je lui plaisais également, on ne tarda pas à se retrouver dans le même lit. Dans ce domaine également nous nous entendions parfaitement et à cette époque c'était souvent matin midi et soir. Elle ne tarda pas à se retrouver enceinte et je me décidai à l'épouser pour parfaire notre union. 


Les années qui suivirent furent parfaites, nous nous entendions à merveille et nagions dans le bonheur en toute complicité. Yvette commença à se poser des questions à l'approche de ses 45 ans, elle se sentait sans doute vieillir, avait peur de ne plus être aussi désirable, ni même intéressante au lit. J'essayais évidemment de la rassurer du mieux que je pouvais mais c'était plus fort qu'elle. Sans doute aussi la différence d'âge qui ne l'avait pas gênée jusque-là commençait-elle à l'inquiéter. Elle devenait jalouse et agressive. J'avais entendu dire par des amis que les femmes de cet âge soit commençaient à s'empâter dans la vieillesse en s'éloignant peu à peu des choses de l'amour, soit au contraire devenaient plus salopes et plus vicieuses et avaient besoin de plus de piment dans leurs relations. En ce qui me concerne, je n'avais nulle envie que ma femme opte pour la première solution. 


Aussi, je lui proposai de partir en vacances, rien que tous les deux pour un peu faire le point. 


Pendant le voyage, je lui fis part d'une idée. 


- J'ai lu un truc sur Internet, un jeu érotique, on tire au sort et le perdant doit obéir au gagnant pendant une période qu'on détermine, une heure, une journée, une semaine... Ça te dirait ?

- Je veux bien essayer ! 


Elle avait effectivement l'air intéressée... Et nous voici partis tous les deux en amoureux faire un peu de randonnée en montagne ce dont nous avions aussi perdu l'habitude depuis pas mal de temps. Et cette année-là le mois de septembre est radieux. Le premier jour, alors que nous faisons une halte près d'un petit étang, je dis à Yvette :


- Si on jouait au petit jeu dont on parlait hier !

- Ok on y jouera ce soir !

- Pourquoi pas tout de suite ?

- Pas dehors quand même ?

- Rassure toi je ne vais pas te demander des choses impossibles ! Et puis on n'a pas tiré au sort, c'est peut-être toi qui vas gagner !


Je me préparai à la faire tirer à la courte paille, mais une question restait en suspens :


- Pour la durée...

- La durée, ce sera nos huit jours de vacances, me proposa Yvette, le jeu ne s'arrêtera qua quand on repartira !


Bon pourquoi pas, je me demandais quand même ce qu'elle pourrait bien exiger de moi si je perdais, mais le sort me fut favorable...


- Ce n'est qu'un jeu, si tu veux qu'on arrête, on arrête !

- J'ai bien compris mais pour l'instant on n'a même pas commencé !

- Alors je vais commencer : J'aimerais que tu baisses ton pantalon et que tu me montres tes belles fesses, chérie, j'ai très envie de te faire l'amour.


Elle a l'air estomaquée. Elle se retourne et son regard me dit que je suis devenu fou, que ça ne se fait pas, pas ici... qu'on pourrait nous surprendre... Mais je réitère ma demande, cette fois de façon plus grossière :


- Oui tu as bien entendu, cela fait dix kilomètres que je vois ton cul balancer devant mes yeux et ça me donne la trique, tu comprends ? Alors défais-toi vite que je te baise et viens tâter ma bite pour voir si je mens.

- Non, arrête, pas ici, c'est tout dégagé, on pourrait nous apercevoir, on fera ça tout à l'heure à l'hôtel.


Mais je m'approche et fermement commence à dégrafer son pantalon


- Tu ne veux déjà plus jouer ?

- Si, mais fais attention...

- Pas de chichi Madame, vous n'aviez qu'à pas m'allumer en vous déhanchant, maintenant c'est trop tard.


Je baisse son pantalon et la culotte avec. C'est vrai qu'elle pourrait faire des efforts et s'habiller un peu plus sexy. Je m'agenouille derrière elle et commence par lui lécher les fesses et l'anus, j'adore lui lécher le trou du cul, en plus il n'est pas très net, et sent un petit peu la merde, mais ça ne me dérange pas du tout, au contraire, ça aurait tendance à m'exciter. Puis je la retourne et entreprends un savant cunnilingus qui ne peut que la troubler. Debout, les jambes écartées, sans rien pour se tenir, elle commence à fondre dans ma bouche. Je redouble d'effort et avale sa cyprine. Quoiqu'elle en dise cela fait longtemps qu'elle n'a pas été aussi trempée. Je me relève, on verra pour une petite pipe plus tard, pour le moment j'ai surtout envie qu'elle reste debout, penchée en avant, le cul bien tendu et que je la prenne debout face au lac. Et me voici en train de baiser cette cochonne près d'un lac en attendant de lui asperger copieusement son intimité. 


Ce qui devait arriver arriva, tandis que nous nous rhabillons, nous voyons arriver un couple dans la cinquantaine ainsi qu'un type entre 20 et 30 ans genre étudiant sérieux, peut-être leur fils. En dévalant le plateau, ils ont bien eu le temps d'observer toute la scène, il suffit de voir les regards lubriques des deux hommes pour en être assuré. Quant à la femme elle est pour le moins ulcérée quand son mari s'adressant à ma femme : 


- C'est un très beau panorama que l'on a ici et cela fait toujours plaisir de rencontrer une femme charmante !


Ça il aurait pu s'en passer, il ne va pas tarder à se faire remonter les bretelles. Quant à l'étudiant, il a les yeux rivés sur les fesses de mon épouse et ne sait pas comment camoufler la bosse qu'il a sur son pantalon. En définitive ils poursuivent leur chemin en se faisant incendier par leur mégère et nous leur emboîtons doucement le pas pour être sûr de ne pas les rattraper. Finalement, tout ceci me donne une idée. Au lieu de redescendre vers le village pour rejoindre notre hôtel, nous continuons de loin à suivre cette petite famille. Ma femme est un peu inquiète mais je lui dis qu'il y a un chalet en haut, un refuge pour les alpinistes, sans doute pas autant de confort qu'à notre hôtel mais ce sera plus sympa. Et j'ai fait mouche, c'est bien par-là que nos voyeurs se dirigent. Nous nous y retrouvons, le vieux est apparemment content de retrouver ma femme, il lui fait tout de suite la causette et elle a du mal à s'en dépatouiller. Pendant ce temps, je m'arrange pour que nous ne soyons pas trop loin d'eux dans le dortoir. Il n'y a que des petits lits superposés et je décide que je dormirai en haut et que ma femme prendra celui du bas. Le soir venu, après le repas, je propose à mon épouse d'aller faire un tour dehors et une fois à l'écart je lui dis.


- Quand on va retourner là-bas, je veux que tu te déshabilles entièrement près de ton lit et sans précipitation pour que ce type te regarde bien entièrement.

- Ça ne va pas, tu es complètement fou, c'est hors de question.

- Si tu vas le faire et ça va t'exciter de jouer l'allumeuse, je suis sûr que tu vas le faire bander ce cochon.

- Oh non, on arrête le jeu ! Je ne peux pas faire ça !

- Mais si tu veux, tu n'es pas obligée de faire un strip-tease non plus, tu n'as qu'à faire ça comme si tu étais habituée.

- Bon je te promets pas, on va voir !


Et le pire d'en tout ça c'est qu'elle a eu le cran de le faire. Elle retirait ses habits les uns après les autres, mimant calme et décontraction. Et il y avait au moins cinq personnes qui la regardaient, moi bien sûr, les trois membres de l'autre famille et un homme célibataire qui dormait de l'autre côté. Elle est d'abord restée très longtemps torse nu, seins à l'air à faire semblant de trier des papiers. Puis elle a ôté le reste et s'est carrément allongée nue sur le lit en train de feuilleter un dépliant. Au bout d'un moment elle a même posé sa main sur sa chatte, en faisant mine de se gratter, plusieurs fois de suite en écartant les cuisses à chaque fois un peu plus. Puis elle a fini par se glisser dans son duvet. 


Durant la nuit, je suis descendu de mon couchage et ai dégrafé lentement le duvet avant de m'allonger nu près d'elle et je l'ai caressée dans son sommeil. Evidemment, elle s'est réveillée en sursaut et j'ai dû lui mettre la mettre devant la bouche. Puis, sans plus hésiter, je l'ai pénétrée et ai commencé à la raboter. Et tandis que je la défonçais, l'étudiant s'est réveillé et nous a regardés en s'astiquant dans son duvet. Et lorsque j'ai sorti ma queue pour cracher ma semence sur ses fesses et dans son dos, je suis certain que le voyeur lui aussi a tout craché. 


Le lendemain, nous sommes repartis vers le village. Nous sommes redescendus vers la rivière. Il y avait de ce côté beaucoup plus de monde : Des pêcheurs et même des gens qui se baignaient. Je l'entraîne sous un arbre, un peu à l'écart des autres.


- Tourne toi chérie et montre-moi ton cul, j'ai envie de te donner une fessée.


Elle proteste à nouveau, menace de s'en aller. Mais je lui explique que vu la distance qui nous sépare des gens qui sont près de la rivière, ils pourront mater, mais pas la reconnaître ensuite. Je ne la convins qu'à moitié mais elle accepte de se tourner, elle m'exhibe ses fesses, du coup je c'est moi qui la retourne et qui la fesse. Ça m'existe terriblement, rapidement elle a le cul tout rouge, je lui dis de ne pas bouger d'un pouce, et fait quelques mètres pour approcher d'un arbuste dont je détache une toute petite branche assez souple que je débarrasse de ses feuilles. Je m'aperçois alors que plusieurs personnes plus loin regardent dans notre direction, plus près je perçois une sorte de mouvement derrière des fourrés. Un ou plusieurs zigotos ont donc décidé de s'approcher pour voir mieux ! Ça m'embête un peu pour la suite, mais je décide de faire comme si de rien n'était. Muni de ma mini branche, je vise le fessier de ma moitié et la cingle joliment. Le traitement à l'air de lui plaire, les rares fois où je lui ai donnée des fessées comme ça pour rire, cela lui avait plu, mais je n'avais jamais tapé si fort et je ne m'étais jamais servi d'autre chose que de mes mains.


- Bon ça va aller tu peux te reculotter, ma chérie !

- Ok, mais avant je voudrais bien faire pipi, je vais aller dans les fourrés là-bas !

- Sûrement pas, tu ne changes pas de place et tu pisses ici !

- Tu exagères !

- Je sais !


Yvette baisse son pantalon et sa culotte et s'accroupit, elle devait avoir une grosse envie car de suite son urine jaillit de sa chatte et dégringole en formant une petite flaque sur la terre grasse qui finit par l'absorber.


- Je vais aller plus loin, je crois qu'il faut que je fasse caca.

- Non, non, fais ici, tu sais bien que j'aime te regarder quand tu chie.

- Gros cochon !


Elle pousse, me fait un gros boudin et s'essuie avec des feuilles d'arbres


- Ne te rhabilles pas, du coup, j'ai moi aussi envie de pisser !

- Qu'est-ce que tu vas encore inventer ?

Yvette.jpg

Sans lui dire je m'approche d'elle, sort ma bite et avant qu'elle ne réalise, je l'arrose, elle se détourne alors que je visais son sexe mais en reçoit plein les cuisses.


- Tu es fou, tu m'en mets partout !


Mais elle rigole comme une bossue et moi aussi d'ailleurs, on attrape un vrai fou rire, on se rapproche on s'embrasse tendrement. Une folle envie de faire l'amour m'envahit, mais on ne fera le fera pas ici


- On va faire un tour par là-bas ! Proposais-je à Yvette !

- Mais non, on descend vers la rivière, ils vont pas nous tuer !


Nous tuer, non mais ils font des drôles de têtes quand on s'approche. Pas un mot, des regards étranges ! L'un deux très courageux attendra qu'on les ait dépassés de 20 mètres avant de lâcher :


- Faut pas vous gêner surtout !


Du coup les autres se déchaînent, on se fait traiter de tous les noms ! On accélère le pas ! 


- La prochaine fois on vous jette des pierres ! Nous prévient un autre abruti !


Quelles bandes d'hypocrites, ils se sont rincés l'œil et maintenant ils nous menacent d'un Intifada ! On emprunte un petit pont et on se sauve...


On a été trop loin, pas question de rester dans ce coin. Revenu dans la vallée on décide de quitter l'hôtel le lendemain. Entre temps nous apprenons qu'il y a un bal dans un bourg voisin, du coup j'emmène Yvette choisir une robe très décolletée et très provocante, le genre de truc à porter sans presque rien en dessous. Le hasard a voulu qu'il y ait dans le public l'un des types qui étaient au bord de la rivière l'après-midi ! Mais ici pas question de lui jeter des pierres, ils sont tous à essayer de l'inviter à danser en bavant comme des crapauds. On les laisse faire un peu mais ils commencent vraiment à la coller de très près, l'un d'entre eux lui a peloté les nichons, l'autre a essayé de l'embrasser. Je me rapproche, il ne faudrait pas que ça tourne en bagarre non plus... Alors je leur dis.


- Ma femme a très envie de vous montrer sa petite chatoune. Seulement montrer, alors pas touche, c'est chasse gardée. Chérie si tu remontais ta robe, je crois que nos amis sont intéressés.


Elle devient écarlate, Ils sont au moins six ou sept à nous entourer. Son regard semble m'implorer, elle espère encore que je vais la sortir de ce mauvais pas. On sort de la salle de bal.


- Vas-y chérie montre-nous tes belles fesses bien pleines et ta petite moule poilue.


Elle finit par y consentir et relève timidement sa robe laissant apparaître le haut de ses cuisses. Les autres sont très excités, ils l'incitent à aller plus loin, à montrer son cul et pourquoi pas le reste. Ils lui demandent de se mettre à poil. Je ne sais pas ce qui lui prend, mais cette cochonne le fait. Elle se retrouve entièrement nue au milieu de tous ces mecs et ça n'a pas l'air de la gêner. Des mecs sortent leurs queues et commencent à se branler. J'ai bien peur de ne plus trop contrôler la situation car Yvette est au milieu en train de se caresser devant eux. L'un d'eux essaie de la toucher.


- On ne touche pas ! Répétais-je !


Je vais avoir du mal à contrôler la situation. D'autant qu'Yvette complètement à l'ouest se masturbe en plein milieu du groupe d'homme. Je ronge mon frein. Pourvu que ce ne soit pas elle qui leur disent de la toucher ! Ma femme se branle sans retenue, je ne l'ai jamais vue ainsi, d'ailleurs je ne l'ai jamais vue se branler. Deux des mecs se mettent à décharger, le jus de l'un d'eux gicle sur les fesses de ma femme, puis c'est au tour d'un deuxième et enfin deux autres mecs dont l'un encore lui projettent son foutre sur les cuisses. Les autres ont abandonné, nous ramassons vite fait nos affaires et rentrons à l'hôtel après les avoir salués.


C'est alors qu'elle m'a dit :


- Pour l'instant c'est toi qui me commande, quand j'en aurais marre on échangera les rôles ! Mais tu as joué avec le feu, j'ai réellement pris goût à ces petits jeux, j'ai encore des trucs à essayer, la prochaine fois que je me trouverais au milieu d'un groupe d'hommes, je leur sucerai la bite devant toi...

- Euh !

- Ben oui !


Sylvain Zerberg


Adaptation d'un récit intitulé " Je montre ma femme " signé " Jean-Paul " et publié en septembre 1999 sans mail d'auteur puis supprimé sur le site de revebebe


Juin 2007

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 17 juin 2007 7 17 /06 /Juin /2007 17:49

Ma tante et ma voisine
2 - Le jouet de deux femmes matures

par Enzo Cagliari

 

culmat

Texte comprenant des passages scato explicites

 

Bonjour, vous vous souvenez peut-être de moi, Pierre, jeune, brun, grand, fin… et très intéressé par tout ce qui touche au sexe, et plus particulièrement par les femmes mures… 


Je vous ai donc narré, il y a quelques temps dans une histoire intitulée " juste un peu de Chantilly " mes aventures avec ma tante Yvette et ma voisine Béatrice… 


L'après-midi nous avons mangé le gâteau ensemble mais ses dames étant fatiguées, nous n'avions rien fait d'autre. 


Quelques semaines après ces événements, je recevais un coup de fil de ma tante, j'étais ravi, m'imaginant déjà qu'elle allait me proposer une autre séance de folie sexuelle comme je les adore… Mais il ne s'agissait pas du tout de ça : 


- Pierre, tu pourrais me rendre un petit service ? 

- Mais bien sûr, ma tante… 


Déception ! Elle souhaitait en fait, que je lui enregistre un film à la télé… 


Le samedi suivant, je téléphonais à mon tour. 


- Allô, ma tante, je t'ai enregistré ce que tu m'as demandé, si tu veux, je t'apporte le DVD en fin d'après-midi. 

- C'est gentil, mais je ne sais pas si on sera rentré, mais ça ne fait rien, tu le laisseras dans la boite… 


Pourquoi avait-elle dit " on " ? Peut-être s'était-elle dénichée un copain. Quelque part cette idée m'embêtait, car si c'était le cas, cela voulait sans doute dire que nous n'aurions pas de sitôt l'occasion de nous amuser comme la fois précédente… 


Vers 18 heures je me rendis donc au domicile de ma tante Yvette. Personne ! J'attendais patiemment, un quart d'heure… une demi-heure… au bout de trois quarts d'heures, un peu dépité, je déposais le DVD dans la boite aux lettres et m'apprêtait à prendre le chemin du retour… 


Un coup de klaxon ! La voiture de ma tante qui stationne. Les portières s'ouvrent. Elle n'est pas seule, elle est avec ma voisine Béatrice ! Alors ça pour une surprise ! 


(Sans doute est-il temps maintenant de vous décrire de nouveau ces deux belles personnes : Béa ma voisine mesure 1 m 70 pour 65 kg bien répartis, elle fait du 95 D, elle a les cheveux bruns coupés assez courts. Ma tante Yvette est d'une taille identique, rousse, plus maigre 55 kg et 85 B et elle porte des lunettes qui lui vont très bien. 


- Pierre ! Comment vas-tu ? Tu tombes bien, tu vas nous aider à porter les paquets ! 


Je me retrouve avec plein de sacs dans les mains, on monte à l'appartement. 


- On revient du salon de la lingerie, on a acheté plein de trucs ! Me dit tante Yvette. Béa s'est trouvé un petit ensemble, c'est très sexy, ça devrait te plaire, tu veux voir ? 

- Oui, bien sûr 

- Montre lui, Béa… 


Béa ouvre un paquet et me montre un petit ensemble rouge, ça a l'air mignon mais comme ça, non porté, ça ne m'émeut pas plus que ça ! 


- Mais non Béa, montre-lui sur toi ! 

- Ça me paraît une excellente idée ! Répond cette dernière qui s'empare du paquet et s'en va dans une pièce voisine afin de se changer… 


Ma tante s'éclipse aussi mais vers la cuisine, afin d'aller chercher des rafraîchissements. Je reste seul un instant, assez confiant sur la suite des événements. Puis tandis qu'Yvette revient avec de la bière et des jus de fruit, Béa fait sa réapparition. Une merveille, ce petit ensemble soutien-gorge et string se marie magnifiquement avec sa belle peau bronzée ; elle pivote un peu afin de me faire admirer le verso, ses jolies fesses me provoquent littéralement. 


- Alors qu'est-ce que tu en penses Pierre ? 

- Superbe ! 

- On va vérifier s'il ne dit pas cela pour te faire plaisir ! Dit alors ma tante en s'approchant de moi et en me mettant alors sa main à la braguette. 


Je me laisse faire. Je bande comme un sapeur. 


- Ben dit donc, on dirait que tu lui as fait de l'effet ! Reprend ma tante à l'attention de son amie. 

- Attend, que je me rende compte… 


C'est maintenant ma voisine qui me tripote, sauf que son mouvement sur ma braguette est beaucoup plus explicite, elle me masturbe carrément à travers le tissu du pantalon. 


- On va sortir tout ça, sinon il va attraper un coup de chaud ! Reprend en plaisantant ma voisine, qui joignant le geste à la parole a déjà descendu la fermeture éclair… 


Puis la voilà qui farfouille, je sens maintenir sa main au-dessus du caleçon, l'exploration se poursuit et finalement elle me dégage tout, me voici le zizi à l'air devant ces deux si désirables femmes matures. 


- Embrasse-lui les fesses ! Me dit alors Yvette, tu en meurs d'envie ! 


Il n'y a pas que cela dont je meurs d'envie, mais évidemment je ne refuse pas l'invitation et pose mes lèvres sur la douce peau de ma tendre voisine. 


- Et toi tu n'essayes rien ? Lance Béa à sa complice. 

- Si, si bien sûr ! 


A son tour elle s'éclipse avec un paquet. Et pendant ce temps Béa me demande de me déshabiller complètement, et en attendant le retour de son amie, elle s'amuse un petit peu avec mon zizi. 


Et voilà ma tante Yvette qui revient ! Whaouuuu ! L'apparition ! Elle est carrément à poil, juste revêtue d'une nuisette rose, mais d'un rose transparent dont le tissu lui colle sur ces tétons turgescents ! C'est trop bandant comme spectacle, je vais finir par exploser. 


- Tourne toi, il va t'embrasser le cul ! Dit alors Béa. 


Je fais ce qu'on me dit, mais voici que ma tante écarte ses globes fessiers dévoilant ainsi son petit œillet brun et plissé. 


- Met-moi ta langue dans le trou du cul. 


Je lèche donc l'anus de ma tante et me régale de son odeur très particulière ! Béa m'encourage… 


- Tu aimes ça, petit cochon, lécher le trou du cul merdeux de ta tante, ça t'excite, hein ! Allez met lui bien ta langue au fond à cette salope ! Je suis sûre que tu aimerais bien l'enculer ta tante Yvette ? 

- Ben... 

- Ben, oui ou non 

- Je ne vais pas dire non ! 

- Ouais, un, jour peut-être... Qu'est-ce que tu en penses Yvette ? 

- Hum… Au fait puisqu'on est dans les essayages, si on ouvrait les paquets de "la petite boutique" ? 


En disant cela Yvette s'est relevée tandis que Béa farfouille dans les emballages. 


- Voilà c'est là, le paquet rouge c'est le mien, le paquet rose c'est le tiens ! Tu vois Pierre, au salon, il y avait quelques exposants très coquins qui avaient aussi autre chose que de la lingerie. ! 


C'est Béa qui ouvre la première boite, elle contient deux godes, l'un d'assez bonne taille et un autre légèrement plus petit. Ils sont très beaux, en matière plastique souple imitant parfaitement la forme d'un phallus dont il ne manque même pas que les grosses veines violacées. 


- Humm… deux bites, ça me plairait bien dit-elle tout en portant le plus gros gode à sa bouche et en le léchant de larges coups de langue vicieuse. 


Puis brusquement elle se le fourre dans le vagin et commence à se pilonner avec, toujours en restant debout. 


- Pas pratique cette position, si on allait dans ta chambre, Yvette ? 

mature-012.jpg 

Ma tante étant (bien sûr) d'accord ; on change tous de pièce… Béa se précipite alors sur le lit, et se replace illico le gode dans sa chatte trempée dans laquelle il rentre avec une facilité déconcertante, elle se masturbe un peu avec, puis se retourne, se place à quatre pattes et m'exhibe ses belles fesses, mais tout en continuant à se donner du plaisir. 


- Yvette, soit gentille, fous-moi l'autre gode, le plus petit, dans le trou du cul. 


Ma tante s'approche alors de l'anus de ma voisine et lui plante l'instrument là où elle le souhaitait. 


- Ça va comme ça ? 

- Oui, fais-le bouger un peu... oh là là, je suis trop excitée, je sens que je vais jouir, surtout n'arrête pas, c'est trop bon. 


Quel magnifique spectacle de ces deux belles femmes matures qui se donnent en spectacle devant moi ! J'ai bien sûr la queue toute raide, j'interviendrais bien d'une façon ou d'une autre mais je n'ose pas prendre d'initiative. 


- Accélère, je sens que ça vient ! Dit alors Béa, d'une drôle de voix... Oui comme ça, comme ça, Ah oui c'est bon, c'est bon, c'est bon... c'est trop bon ! 


Elle s'écroule sur le lit, son entrejambe dégouline de mouille. 


- Tu m'as bien fait jouir, viens que je t'embrasse ! 


Les deux femmes s'embrassent en un long baiser baveux, je me demande du coup si je ne suis pas de trop... 


Les deux godes sont à côtés d'elles, celui qui était dans le cul de Béa est tachée de merde.


- Tiens suce-le, nettoie-le ! Me demande cette dernière.

- Euh !

- Ben quoi tu ne veux pas gouter au jus de mon cul ?

- Si, si !


Et me voilà en train de sucer le gode.


- Hum tu as vu comme il suce bien ! Fait remarque Béa à son ami.

- Tu as déjà sucé une vrai bite ! Me demande ma tante Yvette.

- Euh, oui, un concours de circonstance…

- Raconte !

- C'est tout bête j'étais dans un sous-sol de sex-shop à Paris, où il y a des cabines avec des films. Je passe devant une cabine non fermée, deux vieux se branlaient mutuellement, ils avaient de très belle bites bien bandées, j'étais fasciné. Il m'ont proposé de m'approcher, puis ça é été un enchainement, je les ai sucés tous les deux.

- Ça t'as plu ?

- Oui !

- T'as recommencé !

- Un peu !

- La prochaine fois qu'on se verra, on te présentera un ami, tu verras, il a une belle bite…

- C'est comme vous voulez !

- T'as vu comme il bande quand il nous raconte ses histoires de pédé ! Fait remarquer Béa

- Quel dommage tous ces poils ! Reprend ma tante Yvette 

- Ben oui, déjà la dernière fois on a été obligé de te raser... ça repousse trop vite ! 

- Allez Pierre ! File dans la salle de bain, on va te raser tout ça.... 


J'y vais, ça ne me dérange pas qu'elles me rasent, j'aime bien qu'on s'occupe de moi... Béa me suit, puis s'amuse à me caresser ma quéquette. Ma tante nous rejoint deux ou trois minutes plus tard, elle s'est harnachée avec le tout nouveau gode ceinture qu'elle a acheté au salon de la lingerie... 


- Tu as besoin d'un gode pour le raser ? S'amuse Béa ! 

- C'est pour après, j'aime bien enculer un beau petit cul bien lisse. 

- T'es vraiment une belle cochonne 

- Je sais, je sais, mais toi aussi répondit ma tante. 


Et tout en disant cela elle m'aspergea le sexe de mousse à raser, elle me fit ensuite asseoir sur le rebord de la baignoire et commença à me raser. Je me laissais faire m'abandonnant à ce curieux traitement avec délice. Ce fut assez long car il fallut plusieurs fois changer de rasoir et remettre de la mousse. A la fin elle me plaça une petite compresse d'eau chaude, puis termina par un peu d'after-shave " spécial ladie" Les deux femmes portaient des propos flatteurs sur mon pénis tout glabre, c'est vrai que le résultat n'était pas mal. Je croyais qu'on en avait terminé à ce genre de chose et qu'on pourrait passer à d'autres divertissements, mais c'est que ma tante Yvette a plus d'un tour dans son sac. 


- Tourne-toi, maintenant on va te raser les poils du cul ! Penche-toi, tiens-toi avec les mains sur le rebord de la baignoire et ne bouge plus 


J'offris donc mon postérieur aux doigts de ma tante qui le rasa donc de la même façon que mon pénis. C'est la phase finale qui fut un peu différente, car au lieu et place de l'après rasage, je sentis une sorte de gel me rafraîchir l'anus, puis l'extrémité du gode ceinture se mit à pousser. J'écartais alors les fesses pour faciliter l'introduction, et l'engin put entrer confortablement. Yvette put ainsi me pilonner et entama une série d'allers et retour qui me provoquèrent un plaisir à la fois trouble et intense, sous les quolibets de Béatrice ! 


- Ça t'excite, hein, d'enculer ton neveu ! T'es vraiment une salope ! 


Et tout en disant cela elle passa derrière elle et lui pinça le bout des seins, provoquant des petits cris de ma tante Yvette. 


- Et toi Pierre, ça te fait quoi de te faire enculer par ta tante ! 

- C'est trop bon ! 

- Quelle bande de pervers ! 


Béa réussi à se faufiler dans l'étroit espace entre mes jambes et le bord de la baignoire et commença à me branler la queue. Je ne vous dis pas la sensation de sentir le plaisir à la fois par-devant et par derrière. J'allais prévenir les deux femmes que je ne tiendrais plus longtemps, mais il était déjà trop tard, je déchargeais une longue giclée sur le visage de ma voisine… 


- Espèce de cochon, ça mérite un gage, ça ! Dit alors ma tante ! 

- Qu'est-ce qu'on va lui faire ? 

- Viens, on va dans la cuisine ! 


Décidément j'aurais fait toutes les pièces dans cette maison. 


Ma tante choisit alors dans une corbeille de fruits une banane pas trop mûre. Elle ne l'éplucha qu'à moitié, puis s'assit sur une chaise, cuisses écartées et se l'introduit dans le trou du cul. 


- Faut que je me fasse jouir ! Précisa-t-elle, je suis trop excitée 


Et tandis qu'elle se branlait avec la banane, Béa passa derrière elle. Les visages des deux femmes se rencontrèrent et elles échangèrent un long baiser vicieux, bien sûr ma voisine en profitait pour peloter les seins de ma tante…, 


- Si tu veux une banane aussi, n'hésite pas ! 

- Je crois que je vais effectivement t'accompagner répondit Béatrice, mais Pierre il va faire quoi, on pourrait peut-être lui demander de se fourrer une banane dans le cul ? 

- Pour l'instant il regarde, je lui réserve une petite surprise…. Oh là, là, ça fait du bien de se branler ! Oh, je ne vais pas tarder à venir. 


Elle ressortit la banane pour en descendre un peu plus l'épluchure afin de pouvoir en entrer davantage dans son anus, ses yeux devinrent hagards, sa peau transpirait à grosses gouttes rendant luisante la sphère de ses seins ! Quel spectacle ! 


- Je viens, c'est bon, c'est bon ! Aaaaaaah ! Aaaaaaah C'est trop bon ! 


Elle poussa un soupir tandis que sur l'autre chaise, les yeux mi-clos Béa entamait le même genre de masturbation. 


Ma tante sortit la banane dont l'extrémité était partiellement écrasée et recouverte de sa merde. 


- Tiens Pierre, viens manger cette bonne banane ! 


Je n'hésitais même pas et consommais le fruit rempli des odeurs et des jus de ma tante Yvette. 


- C'est bien ! Pierre, tu es un gentil garçon ! Me dit-elle tandis que le cri de jouissance de Béa emplissait la pièce 


Fin

 

Enzo juin 2007 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Clarav 12
  • Old young
  • survivants
  • Glatigny
  • CE
  • poeme141116

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés