Lundi 1 septembre 2003 1 01 /09 /Sep /2003 19:05

Une bonne fessée pour Marie, texte proposé par Cosi-Cosa

 

scat

   RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Ce texte dont nous aimerions connaître l'auteur est paru primitivement sur le site de Sophiexxx.com (aujourd'hui fermé) sous le Titre Original : LA FESSEE ET LE CAVIAR, puis sous le même titre qu'ici sur Revebebe qui l'a ensuite archivé. Cosi-Cosa nous a proposé de l'éditer sur notre site sans rien en modifier

Ce texte décrit des pratiques un peu limites, ce sont mes fantasmes à moi et je n'en ai pas honte. Mais si vous craignez d'être choqué, n'allez pas plus loin ! Vous voici prévenus.

Un jour, alors que je rentrais du travail, je trouvais Marie dans la cuisine, penchée en avant, ramassant les morceaux d'un verre qu'elle venait de laisser tomber. Elle était vêtue d'un chemisier et d'une jupe courte qui, dans la position où elle était, laissait entrevoir le début de ses fesses, ce qui me donna des idées on ne peut plus salaces. M'approchant d'elle, alors qu'elle venait de se redresser, je l'embrassais légèrement sur ses lèvres et, tout en caressant ses fesses, je lui disais en souriant :

- Cela mérite au moins une fessée !

Me prenant au mot, elle me répondit :

- Si tu penses que je le mérite, alors punis-moi !

Cet accord tacite me fit brutalement bander et, la penchant en avant pour bien dégager ses fesses, je soulevais sa jupe et commençais à la fesser, d'abord doucement et en me limitant aux zones recouvertes par le slip. Progressivement, j'appuyais mes coups en commençant à claquer la peau nue. A un moment, Marie poussa un cri et je lui demandais si je devais m'arrêter. Elle me répondit :

- Non, au contraire, vas-y plus fort !

Je baissais alors sa culotte et frappais alternativement et de plus ne plus fort ses fesses qui, sous les coups devenaient cramoisies. A chaque coup, Marie poussait un cri mais ne voulait toujours pas refuser la " correction ". M'arrêtant, je passais mes doigts dans sa fente et me rendais compte qu'elle était toute mouillée, témoignant de son excitation.

spanking glassJe décidais d'aller plus loin dans la correction. Je redressais Marie et lui demandais de maintenir sa jupe soulevée. Puis j'enlevais ma ceinture et commençais à la fouetter, d'abord doucement, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que chaque coup de ceinture marque ses fesses d'une traînée rouge accompagnée d'un cri et d'un mouvement de recul. Je m'arrêtais, vérifiais que sa fente était toujours aussi " émoustillée ", puis enlevais sa culotte que j'enfonçais dans sa bouche afin que ses cris ne réveillent pas tout le quartier. Puis je dégrafais sa jupe et lui demandais d'écarter les jambes. Je recommençais alors à la fouetter, en accentuant bien mes coups, d'abord sur ses fesses déjà bien striées, puis sur ses cuisses. A chaque coup, elle poussait un gémissement étouffé par le bâillon, et je lui demandais si elle voulait que je m'arrête. Devant son mouvement de tête négatif, je continuais la correction en portant mes coups, d'abord à l'intérieur de ses cuisses, puis sur son sexe, la ceinture allant claquer son pubis. Au premier coup, elle resserra ses jambes, puis les écarta à nouveau, encore plus qu'auparavant, m'invitant à continuer, ce que je fis avec bon cœur. A chaque coup, elle faisait un bond mais maintenait ses jambes écartées, attendant les prochains coups.

Après avoir fouetté son entrejambe pendant plusieurs minutes, je m'arrêtais et lui enlevais son bâillon, puis baissant mon pantalon, je pénétrais sa chatte toute humide, ce qui la fit gémir, non plus de douleur, mais de plaisir. Après quelques mouvements de va-et-vient profonds et amples, je la penchais en avant et, me positionnant devant son anus, la sodomisait brutalement et m'enfonçais jusqu'à la " garde " dans son cul. Elle poussa un cri puis commença à bouger d'avant en arrière, pendant que ma main, tenant toujours sa culotte humidifiée par ses sécrétions vaginales et sa salive, allait branler son clitoris. Je la pistonnais de plus en plus rapidement, réveillant des cris mêlés de plaisir et de douleur, alors que j'enfonçais toute sa culotte puis quatre doigts dans son vagin largement ouvert. Brutalement je déchargeais dans son cul, alors qu'elle atteignait l'orgasme en poussant un long gémissement et en plaquant ma main aussi loin que possible dans sa chatte.

Une fois calmé, je me retirai et, alors qu'elle était toujours penchée en avant, je la contournai et lui donnai ma queue encore raide et pleine de foutre et de trace de merde à nettoyer, ce qu'elle fit sans recul. Parallèlement, je retirais sa culotte de sa chatte et nettoyais son anus largement ouvert qui laissait échapper quelques traces de foutre. Brutalement, je quittais sa bouche et, m'agenouillant derrière elle, je commençais à lécher son trou du cul, ma langue pénétrant aussi loin que possible son rectum. A un moment, Marie me demanda d'arrêter car la présence de mon sperme, de ma langue et certainement de selles, comme l'avais montré ma queue souillée, lui donnait envie de chier. Cette idée me fit bander à nouveau, et, voulant voir jusqu'où Marie était prête à aller, et, surtout, envisageant la réalisation d'un fantasme on ne peut plus dérangeant, à savoir, lécher et pénétrer avec sa langue le cul d'une fille qui vient de se soulager, je plongeais mon index profondément dans son rectum, rencontrant rapidement une masse souple, que je malaxais légèrement avant de retirer mon doigt. Ce dernier était effectivement couvert de merde, ce que je montrais à Marie qui, semblant lire dans mes pensées, me demanda avec un sourire espiègle de le lécher, ce que je fis sans hésitation, permettant ainsi de connaître le goût particulier, gras et musqué de la merde. Une fois nettoyé, je replongeais mon index dans ses entrailles à la recherche du " cadeau " qui nous attendais. Puis, je le retirais, à nouveau couvert de merde, et je le présentais à Marie qui, sans plus d'hésitation que moi, le lécha avidement. A l'évidence, la soirée s'annonçait chaude et odorante. Toutefois, par acquis de conscience, je lui demandais si la suite du programme, c'est à dire jouer avec sa propre merde, lui posait un problème. Devant sa réponse négative, nous nous déshabillâmes complètement puis j'allais chercher une grande serviette de toilette que j'étendais dans la salle de bain. Notre " salle de jeux " était prête.

fin de l'épisode 

 

Par ? - Publié dans : Cosi-cosa
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Mercredi 20 août 2003 3 20 /08 /Août /2003 16:52

Psys en Folies

par Estonius

 

BiteFlag

 

Je ne le voyais pas comme ça le psy, il est assez jeune, grand, blond quoique probablement décoloré, de beaux yeux bleus, il doit avoir un succès fou auprès des femmes.

 

- Monsieur Etienne ! Asseyez-vous ! Donc c'est la première fois que vous venez me voir ?

 

Le ton était jovial, rassurant, professionnel....

 

- Oui !

- Avez-vous déjà consulté certains de mes collègues auparavant ?

- Non !

- Bien. Dites-moi ce qui vous amène, je suis là pour vous écouter.

- Voilà, c'est très simple : j'ai découvert que j'étais bitophile, je me demande si c'est vraiment normal ?

- Bito quoi ?

- Bitophile !

- Ah ? Vous êtes sûr du mot ? Parce ce que c'est la première fois que je l'entends, mais il y a toujours une première fois, n'est-ce pas, hi, hi, hi !

- Ben, oui, j'ai trouvé ce mot sur Internet. Je vous ai noté la référence du site, si ça vous intéresse.

- Ah ! Ben oui, pourquoi pas ? Donc en un mot bitophile c'est quoi ?

- Je n'aime pas les mecs, mais j'aime bien leurs bites.

- Ah ! donc vous êtes un peu bisexuel.

- Non justement c'est ce qu'explique l'article, je ne suis pas bisexuel, je suis bitophile.

 

Je crus sentir un soupçon d'agacement chez le psy devant ce qu'il devait prendre pour de l'entêtement.

 

- Ok ! En fait vous avez de forts penchants homosexuels, et vous n'osez pas franchir le pas !

- Pas du tout, j'adore les femmes, je n'arrête pas de les mater dans la rue !

- Parce que vous vous mentez à vous-même...

 

Tout ça pour en arriver là ! Je n'étais pas venu chez un spécialiste pour entendre ânonner les mêmes bêtises auxquelles j'avais eu droit sur les forums de discussion. Je me levais !

 

- On va laisser tomber, dites-moi combien je vous dois ?

- Attendez, attendez, ça fait partie du jeu, enfin... de la mise en condition... c'était pour voir jusqu'où vous pourriez aller ! Mentit honteusement le psy. Essayons de raisonner autrement... Quand vous voyez un sexe d'homme, une bite comme vous dites, ça vous fait quoi ?

- Je la regarde, et si le mec est d'accord, je la touche et parfois je la suce !

- Vous fréquentez donc des endroits on l'on fait ce genre de choses ?

- Fréquenter, c'est un grand mot, disons que j'ai fait quelques rencontres dans des cinémas pornos.

- Racontez-moi.

- Et bien parfois il y des mecs qui se masturbent, j'ai remarqué que parfois ils y en avaient qui ne disait rien si leur voisin les masturbait à leur place. Je dirais même qu'il y en qui ne demande que ça, ils arrêtent de se branler et lancent un regard d'invitation à leur voisin.

- Intéressant ! Bredouilla le psy, assez troublé par mes évocations. Dommage que je n'aie pas de télé ici on aurait fait une simulation !

- Une simulation ?

- Oui, remarquez, on n'aurait peut-être pas besoin de télé... J'ai une idée... Euh, je vais vous demander cinq minutes…

 

Le psy sort alors un gros volume de sa bibliothèque, il l'ouvre, feuillette des pages. Curieux comme je suis j'essaie de voir ce qu'il lit. Mais c'est vraiment trop technique pour moi... Et puis il arrête de lire, il pose son coude sur le bureau, paume ouverte, se niche le menton dedans et regarde au plafond... Je ne sais pas à quoi il réfléchit, mais ça y va ! Puis le voilà qu'il se met à modifier la position de son ordinateur, puis insatisfait du résultat, il le replace comme il l'était au départ.

 

- Bon, aller, on va la faire la simulation ! Prenez votre siège et venez vous asseoir à côté de moi !

 

Je me demande ce que peut cacher une telle requête, mais j'obtempère. Il se branche ensuite sur Internet.

 

- Voilà, on va se brancher sur un site de cul, vous avez peut-être une préférence, un site gay par exemple ?

- Mais non…

- Dites-moi un thème, quelque chose qui vous excite !

- Des gros seins peut-être... Mais excusez-moi d'être curieux, vous voulez faire quoi ?

- Une simulation. Laissez-vous faire et obéissez-moi, laissez-vous allez complètement, il faut absolument que nous retrouvions l'ambiance de ce cinéma et après je pourrais analyser vos réactions. Je voudrais vous entendre dire que vous me faite entièrement confiance.

- Bon admettons, je vous fais confiance.

- Donc on est au cinéma, regardez bien les images, tenez, prenez la souris... Non il faut que vous soyez passif, je vais m'en occuper. Oubliez que je suis votre psy, on fait une reconstitution, je suis votre voisin de cinéma !

 

Je commence à comprendre, il est devenu fou !

 

- Vous n'allez tout de même pas...

- Chut, vous m'avez dit que vous me faisiez entièrement confiance.

- Oui, mais…

- On est obligé de passer par cette phase, nous sommes en séance de thérapie. Répétez après moi, "je suis votre voisin, nous sommes au cinéma".

- Vous êtes mon voisin, on est au cinéma.

- Et qu'est-ce qu'il a fait votre voisin ? Soyez le plus précis possible, on n'est pas pressé.

- Il s'est d'abord caressé la braguette, puis…

- Pas trop vite, pas trop vite ! Il s'est caressé comme ça ?

 

Et spectacle incroyable, voilà mon psy qui se tripote la braguette avec une telle conviction que je la vois grossir à vue d'œil !

 

- Et après ?

- Il l'a sorti, et il s'est masturbé, comme ça, la bite à l'air.

- Allons-y !

 

Le psy se débraguette, sort une fort jolie queue bien droite au gland luisant et tirant vers le mauve. La situation commence à m'exciter, et je me sens bander à mon tour, sans doute est-là la reconstitution que souhaitait ce curieux praticien ?

 

- Donc ensuite ?

- Et, bien ensuite, je me suis mis à admirer cette très belle quéquette…

- Comme en ce moment ?

- Exactement ! Et alors j'ai sorti la mienne et je me suis masturbé à mon tour.

- Allez-y, il faut que la reconstitution soit complète !

 

Mais il n'avait nul besoin d'insister, je suis tellement excité par la situation que je sors mon membre hyper bandé et que je le masturbe assez lentement afin d'éviter de jouir prématurément

 

- Continuez à raconter !

- Le gars lorgnait vers mon propre sexe, un moment il s'est arrêté de se toucher et m'a fait une espèce de signe comme pour m'inviter à prendre sa place.

- Comme ça ?

- Oui, un truc comme ça !

- Continuons la reconstitution.

- Vous voulez que je vous touche ?

- Mais bien sûr ! Je suis votre voisin de cinéma en ce moment, n'ayez aucune appréhension, répétez tous les gestes que vous avez fait.

 

Je m'empare alors de la verge du psy que je masturbe quelques instants. Elle est douce, soyeuse agréable au toucher, bref un vrai plaisir pour le bitophile que je suis… Vais-je avoir le courage d'aller jusqu'au bout ? La reconstitution comme il dit, a-t-elle réellement besoin d'aller jusque-là ?

 

- Et après je l'ai sucé ! Arrivais-je à prononcer dans un souffle.

- Montrez-moi ! M'encourage-t-il.

 

J'embouche le membre du psy dont le gland perle déjà d'une fort jolie goutte, et sans plus de manière j'entame une fellation en combinant mes lèvres et ma langue. Elle est trop bonne cette bite, je me régale ! Et le spécialiste a l'air d'apprécier, il est complètement pâmé et pousse de petits cris. J'essaie de ralentir mon rythme, mais il proteste d'un :

 

- Continue c'est trop bon !

 

Tutoiement dû aux circonstances ou soucis extrême de la reconstitution ? Toujours est-il qu'il m'éjacule carrément dans la bouche ! Je n'avale pas, je n'aime pas trop et recrache tout dans un kleenex. Je suis toujours aussi excité. Le psy lui, est en train de récupérer.

 

- Et, bien dites donc, vous sucez très bien mon ami ! S'exclame-t-il ! C'était très bon… Où en étions-nous, ah oui, alors donc, ça s'est passé comme ça avec votre voisin ?

- En fait, non, il n'a pas joui, il ne voulait pas… alors au bout d'un moment il m'a dit d'arrêter, et il est parti s'asseoir ailleurs, mais j'étais quand même content de l'avoir bien sucé…

- Ça veut dire que toute la fin de la reconstitution est ratée ! Ce n'est pas grave, il faudra probablement plusieurs séances pour que j'arrive à y voir clair… Mais dites-moi vous n'avez pas joui alors ?

- Si ! Mais plus tard, j'ai un peu tourné dans le cinéma, j'ai branlé deux ou trois queues, et puis j'en ai eu marre, je suis sorti et j'ai été voir une professionnelle !

- Oh, là là ça se complique ! Et la maintenant tout de suite, vous avez envie de jouir !

- Ben, oui ça m'a drôlement excité tout ça !

- Voulez-vous que je vous aide à jouir. Je vous demande ça par pure conscience professionnelle, soyez en persuadé.

 

Stupéfait devant une telle proposition je bafouillais un "je ne sais pas", mais le psy insiste et argumente

 

- Chez nous, il faut considérer le sexe comme quelque chose de très banal, banal mais agréable, très agréable comme par exemple boire un verre d'eau quand on a soif ou se mettre une musique que l'on aime. Le jour où les gens auront banalisé le sexe, on n'aura plus besoin de sexologues ! Donc qu'est-ce qui vous ferait plaisir ? Une branlette ? Une fellation ?

- Non, non, ça va aller !

- Auriez-vous un autre fantasme ? Quelque chose dont vous n'avez pas encore osé me parler ?

- Non, non.

 

Il devient collant le mec !

 

- Je ne vous propose pas de me sodomiser, je n'ai pas bien l'habitude… Quoi que si vous insistez on peut peut-être s'arranger ! Hi ! Hi !

- Laissez tomber !

 

Et je fis le geste de ranger ma biroute dans ma braguette. C'était sans compter sur la vitesse de réaction du psy qui ne me laissa pas terminer et vint poser sa main dessus. Une onde me traversa, je le laissais faire… Il me masturbe quelques instants avant de s'accroupir devant moi, pour ouvrir une large bouche engouffrant mon sexe de son palais, le léchant de sa langue, l'embrassant de ses lèvres. Une main officieuse vint pendant ce temps me caresser les testicules, alors qu'une autre s'amusait à caresser l'entrée de mon petit trou (il a combien de mains ce mec ?) Le résultat ne se fit pas attendre, j'éjaculais dans sa bouche en quelques longues giclées, et retombait le cul sur ma chaise, groggy.

 

- C'est très bien, vous pouvez vous rincer, il y a un petit lavabo, là-bas ! Je commence à y voir un peu plus clair dans votre problème, sauf que je ne comprends pas ce besoin d'avoir eu recours à une prostituée, il faudra que nous fassions une autre reconstitution. Voyons, mon assistante médicale est en repos, mais elle sera là Jeudi. Jeudi à 20 heures ça vous va ?

 

Je lui répondis qu'effectivement ça m'allait très bien, et sortis du cabinet en oubliant de payer la consultation. Ce psy était complètement frappé ou alors il avait eu un coup de folie assez grave, pourtant je m'étais laissé prendre au jeu, et je ne regrettais rien, mais pour répondre à mes questions existentielles sur la bitophilie il faudra sans doute que j'aille consulter un de ses confrères. Et quant à ce rendez-vous jeudi prochain, il pourra toujours m'attendre, je ne vais pas me prêter à ce genre de charlatanerie une seconde fois. Quand même, il espère quoi ? Faire participer une secrétaire médicale ! Et d'abord, elle est comment la secrétaire médicale ? Et comment va-t-il faire pour la convaincre de se livrer à ce genre de reconstitution burlesque ? Bon, c'est décidé, je n'irais pas !

 

Je reçu deux jours après, un petit carton signé du psy, où celui-ci me confirmait le rendez-vous du jeudi. Il en profitait pour me rappeler que j'avais oublié de le régler, que ce n'était pas grave, et pour m'informer que par "commodité", il serait bien que j'emporte du liquide pour ce faire !

 

Il m'emmerde, je lui enverrais un chèque par la poste, histoire d'être régulier, mais pour la seconde séance, c'était niet, c'était nada, c'était pas question...

 

Le lendemain :

 

...à moins que j'y aille juste pour voir, mais juste pour voir...

 

Le jeudi suivant dans le cabinet du psy :

 

- Entrez, donc Etienne, vous permettez que je vous appelle par votre prénom, nos rapports n'en seront que plus simples, vous pouvez d'ailleurs faire la même chose, je me prénomme Sylvain…

 

Le flash ! Je me foutais un peu de ce qu'il me racontait, n'ayant d'yeux que pour la créature féminine assise au bout de la pièce et qui me dévisageait tout sourire ! C'était donc elle la secrétaire médicale ! Quand je pense que j'avais failli ne pas revenir...

 

Grande brune, le teint légèrement mat, les yeux noirs, le nez finement dessiné, de belles lèvres entourant une bouche délicatement ouverte, elle était vêtue d'une sorte de débardeur rouge mettant en valeur de belles épaules luisantes. Le vêtement semblait assez collant, mais je quelque peu contrarié de constater que la poitrine n'était guère volumineuse... On ne peut pas tout avoir !

 

- Voilà donc, Barbara, une consœur, il nous arrive de travailler ensemble quand nous tombons sur des cas intéressants et complexes.

 

Une consœur ? Ah bon ? Il me semblait qu'il m'avait parlé d'une assistante, amis ma mémoire me joue peut-être des tours ?

 

La nana me fit une espèce de petit bonjour de la tête, sans me tendre la main ! Bêcheuse !

 

- Bien Etienne, autant commencer tout de suite, nous allons reconstituer votre visite chez la prostituée ! Barbara va donc jouer ce rôle. Vous allez essayer de refaire tous les gestes que vous avez faits, de redire toutes les paroles importantes.

 

J'étais un peu embêté, le fait d'aller raconter mes petites perversions devant cette femme ne me disait rien. J'essayais d'atermoyer...

 

- Mais vous savez, j'ai rien fait de spécial, juste une petite passe avec deux ou trois fantaisies ! Tentais-je de temporiser.

- Allez faites-nous confiance ! Reprit le psy, donc vous êtes dans la rue et vous abordez une fille ? Vous l'avez choisi comment ? Vous avez mis longtemps à faire votre choix ?

- Mais non, je suis monté avec une fille que je connaissais et avec qui je monte de temps en temps...

- Ah ! Reprend le psy ! Et elle était sur le trottoir ?

- Oui !

- Donc vous l'avez abordé ! Vous allez vous adresser à Barbara de la même façon que vous êtes adressé à cette personne !

- Mais je ne lui ai rien dit d'extraordinaire.

- Peu importe, quand ce sera fini, nous trierons ce qui est important ou pas, et parfois on a des surprises

 

N'importe quoi, on me fait faire n'importe quoi ! Je m'approche de Barbara !

 

- Bonjour ! Ça va ?

- Qu'est-ce qu'elle vous a répondu ? Intervient Barbara dont je découvre la voix pour la première fois

- Elle a dû dire ! " Bonjour, je t'emmène ? et j'ai répondu "oui" et on est monté !

- Bonjour je t'emmène ? Répète Barbara.

- Oui !

- Vous avez discuté dans l'escalier ! Demande le psy

- De la pluie et du beau temps, je ne me rappelle pas bien...

- OK : Don vous êtes dans la chambre ! Qu'est ce qui se passe alors ? Reprend-il

- Ben je sors l'argent, je le dépose sur la petite table et je commence à me déshabiller, elle aussi !

 

Je suis curieux de savoir comment le psy va nous faire mimer une chose pareille. Il ne va tout de même pas nous demander de nous foutre à poil ?

 

- OK ! Faites comme vous avez fait et sortez l'argent !

- Je dois sortir l'argent ?

- Oui, on répète les mêmes gestes, Monsieur Etienne...

 

C'était donc pour cela qu'il m'avait demandé du liquide ! Je pose le fric sur un coin du bureau. Barbara anticipe alors et va pour le ramasser !

 

- Non, elle ne ramasse l'argent que quand c'est fini ! C'est exprès, c'est pour éviter les contestations... et puis le client n'a pas besoin de savoir où elle range tous ses sous !

 

Barbara qui ignorait ce détail repose l'argent sans discuter...

 

- Le déshabillage, il y a un rite ? Demande-t-elle. Elle enlève tout ?

 

Elle va donc vraiment le faire ! Je lui réponds que ça doit dépendre des clients, mais qu'en ce qui nous concerne on se déshabille chacun de son côté tout en parlant de banalité... Lesquelles banalités, j'ai beau faire un effort je ne m'en rappelle pas, Une banalité, c'est une banalité quoi !

 

Toujours est-il que pendant que je me déshabille j'ai la vision sublime de Barbara s'effeuillant en me tournant le dos dans un geste de pudeur quelque peu incongru. Elle se met d'abord torse nu, avant de retirer son pantalon, puis sa petite culotte. Elle a de superbes jolies fesses bien rebondies. Elle se tourne, comme je le pressentais ses seins ne sont pas très gros, par contre les pointes le sont ! Le rêve va-t-il se continuer jusqu'à me permettre de les sucer ! Rien que de l'envisager me voici en érection. Elle est superbe cette femme, elle a un petit ventre, une petite toison épilée en maillot ! Craquante !

 

- Vous avez oublié de retirer vos chaussettes, me fait remarquer le psy !

- Je ne les retire jamais !

 

Il découvre un tas de choses, le mec, ce soir !

 

- Donc après vous avez été sur le lit... on va dire que le divan fera l'affaire !

- Non pas tout de suite, j'aime bien d'abord l'enlacer quand on est debout. Je lui pelote un peu les fesses, je lui fais des bisous sur les seins !

- Ah ! Reprend le psy qui soudain à l'air ennuyé ! Barbara doit-on continuer ?

- Il est trop tard pour reculer mon cher Sylvain ! Répond-elle ! Allez-y Monsieur Etienne, venez me peloter les fesses et me sucer les seins. Mais attention, n'en faites pas plus que ce que vous avez fait avec cette personne. Il faut absolument rester dans le jeu !

 

Je me colle carrément contre Barbara, ma bite dressée se retrouve coincée contre son ventre. Elle a un petit mouvement de recul qu'elle surmonte vite, je lui caresse les fesses sans brutalité. Elle ne sait pas trop quoi faire de ses mains

 

- Je suppose qu'elle vous caresse aussi ?

- Oui, oui !

 

Elle m'effleure timidement le dos. Je me recule un tout petit peu, puis penche la tête, ce gros téton m'attire comme si je venais de découvrir une fraise des bois dans un fourré, j'y porte la langue, le titille, puis referme mes lèvres. Barbara pousse un soupir, je fais subir le même traitement au second et ne voulant pas abuser de la situation, j'annonce moi-même la suite des événements.

 

- Après elle m'a posé un préservatif et m'a demandé ce que je souhaitais qu'on fasse aujourd'hui.

 

Je commence à m'amuser, me rendant à présent compte des avantages que je pouvais tirer de la situation. Quelque chose cependant me retiens, j'ai l'impression que si ces deux-là s'aperçoivent que je sors de leur jeu, tout s'arrêtera, alors finalement je prends le parti inverse et évite de les embarrasser, ainsi je passe sous silence le fait que ma petite pute préférée me plaçait le préservatif en se servant de sa bouche. De toute façon ce détail, n'influera probablement pas sur l'analyse psychanalytique que ne manquera pas de faire ce bien curieux docteur... Barbara m'enfile donc le condom sans difficultés particulières puis me demande :

 

- Que souhaitez-vous qu'on fasse aujourd'hui ?

- Euh, en principe on se tutoie ! Rectifiai-je

- Que... que... que souhaite tu que l'on fasse aujourd'hui ? Corrige-t-elle alors !

 

On dirait presque que de me tutoyer est pour elle plus contraignant que de se laisser peloter les fesses. Les gens sont curieux parfois !

 

- Je voudrais que tu t'occupes de mon petit cul, tu vas me donner un peu le martinet, et après tu me mettras un doigt... Et pour finir tu me feras une pipe.

 

Echanges de regards entre le psy et Barbara.

 

- Pouce ! Dit Barbara...

 

Ça y est, elle se dégonfle ! Me dis-je. Mais non, elle s'inquiète simplement du fait qu'elle n'a pas de martinet et se demande par quoi on pourrait bien le remplacer

 

- Une ceinture ! Suggérais-je

- Sylvain, prête-moi ta ceinture ! Demande-t-elle

 

Tiens, ils se tutoient ces deux-là ! Je me rends compte que ça risque d'être n'importe quoi, on ne s'improvise pas fouetteuse. Ou bien elle va me faire mal, ou bien je ne vais rien sentir du tout ! Le premier coup claque ! Limite.

 

- Comme ça, pas plus fort !

- Je t'en donne combien ?

- 20 !

 

Barbara continue de frapper, elle s'en sort pas mal et moi je suis tout excité, aussi bien par la prestation que par la situation. Le psy lui regarde la scène avec des yeux exorbités, il a l'air passionné, je suis sûr qu'il bande comme un cerf. Le 20ème coup donné, elle s'inquiète de ne pas avoir de gant en latex pour la suite. Je lui précise que ma petite pute préfère pratiquer la chose le doigt nu ! Elle n'insiste pas et après l'avoir humecté de sa salive m'introduit son index dans le troufignon. Puis se livre à une série d'allers et retours ! C'est trop bon, le frottement sur ma prostate commence à faire son effet. Quant au psy le voilà soudain occupé à griffonner un paragraphe entier sur son cahier. Facile, j'ai compris, il va me sortir une théorie disant que ma recherche du plaisir anal est aussi une façon d'affirmer mes tendances homosexuelles. N'importe quoi, et quand je lui ai sucé les tétons à la Barbara, c'était quoi comme tendance ?

 

- Je continue ? demande Barbara !

- Non, c'est bon ! Tu peux me sucer maintenant ?

 

Elle va pour s'accroupir. Je lui indique qu'il est dans mes habitudes de faire ça allongé et je m'installe sur le canapé... Pour l'instant je n'avais pas encore dit à ce joyeux couple de psy la façon dont j'avais joui, je n'osais pas. Mais l'excitation étant à son maximum et avant qu'elle ne dirige sa bouche vers ma verge j'interviens.

 

- Au moment de la pipe, elle a voulu me faire plaisir et s'est souvenue que parfois j'aimais bien qu'elle me pisse dans la bouche, alors on s'est mis en 69 et elle m'a envoyé quelques gouttes dans le gosier, après je lui ai sucé la chatte pendant qu'elle me faisait jouir.

 

Nouvel échange de regards entre Barbara et le psy

 

- On peut peut-être simplifier cette séquence ? Avance timidement Sylvain.

- Vu l'état dans lequel je suis, je n'ai pas envie de simplifier, par contre je me demande si je vais pouvoir faire ça...

 

Barbara s'est donc mise sur moi en soixante-neuf ! Je m'apprête à lui lécher la chatte !

 

- Non, attends que je me concentre, sinon je ne vais jamais y arriver !

 

Je ne bouge pas, elle non plus se contentant de me masturber mollement la verge afin de maintenir son érection.

 

- Je crois que ça vient ! Dit-elle au bout d'un moment !

 

J'ai la bouche ouverte, j'attends, quelques gouttes atterrissent au fond de ma gorge, puis un petit filet, puis ça va bien trop vite, elle ne sait pas pisser par à-coup, alors évidemment j'en fous partout, mais elle ne s'en rend pas compte et lorsqu'elle sait avoir fini elle se précipite vers ma bite afin de la sucer par-dessus le revêtement de latex. De mon côté, je lape sa vulve, la nettoie de l'urine qui en est encore imprégnée, mais déjà le goût a changé et tire vers le sucré, Barbara mouille telle une fontaine. Elle ne tient plus en place, se trémousse, pousse des petits cris, je redouble d'ardeur, concentrant le travail de ma langue sur son clitoris. Et alors que je ne m'y attendais pas (du moins pas si vite) la voici qui pousse un cri fulgurant, elle vient de jouir, elle se raidit un moment, puis retombe comme un soufflé. Sa bouche a abandonné ma bite, elle continue néanmoins avec la main, je sens que ça vient. Je le lui dis. Bonne fille elle replonge alors vers ma verge et l'engloutit tandis que je jouis dans la capote.

 

- Ben alors Barbara ? S'inquiète le psy

- C'est malin, je suis complètement entrée dans le trip !

- Je croyais que les prostituées ne jouissaient pas ? Remarque Sylvain.

- Disons qu'elles jouissent très rarement... du moins pendant le travail... mais ça arrive.

- Je vois ça ! Qu'est ce qui s'est passé après, Monsieur Etienne ?

- Ben elle m'a retiré le préservatif, j'ai été me rincer, puis on s'est rhabillé en parlant de choses et d'autres, puis je lui ai fait un petit bisou et je suis parti...

- Oui, ben on arrête de jouer, je suis crevée ! Prévient Barbara.

- Tu ne veux pas qu'on fasse la suite ?

- Si on va la faire, mais sert-nous un verre de flotte.

 

Moi je suis là comme un con, je ne sais même pas si je dois me rhabiller. On a la bonté de me servir un verre d'eau que j'engloutis prestement.

 

- Et puis, j'ai faim, moi, on pourrait commander des pizzas pour tous les trois et on fera la suite après ! Intervient de nouveau Barbara

 

La suite ? Quelle suite ?

 

- Ecoute, Barbara, je ne peux plus tenir, me fait pas attendre plus longtemps, après si tu veux, on ira au restau et si tu veux et si Monsieur Etienne veut bien, on l'emmène aussi.

- Bon alors c'est parti pour l'acte 3 ! Concède Barbara !

 

La voici qui se rhabille ! Je vais pour l'imiter !

 

- Non, en ce qui vous concerne, nous allons vous demander de rester nu et de vous asseoir sur le divan. Me dit-elle

 

Je ne cherche pas à comprendre. Et d'ailleurs Barbara ne remet que ses sous-vêtements.

 

- Etienne, nous allons jouer une scène complètement improvisée, quoiqu'il arrive je vous demande de jouer le jeu ! Précise Sylvain. Barbara, on y va ?

- C'est parti !

- Toc, toc, toc ! Fait le psy en tapant sur une porte imaginaire !

 

Ça y est, il a pété les plombs !

 

- C'est quoi ?

- C'est un client, on m'a recommandé vos prestations. Répond Sylvain

- Attendez un peu à la porte, je viens juste de finir un client, attendez qu'il se rhabille !

- Si vous pouviez entrouvrir la porte, je souhaiterais juste une précision.

 

On se croirait au théâtre, Barbara fait semblant d'ouvrir un peu une porte.

 

- Bonjour mademoiselle ! On ne m'a pas trompé sur votre personne, vous êtes ravissante !

- Merci, c'est quoi la précision dont vous avez besoin ?

- Mon truc ce serait de faire une séance à trois, avec vous et un autre homme. comment faut-il procéder ? Faut prendre rendez-vous ?

- Effectivement, à moins que ça intéresse mon client du moment, je vais lui demander, on ne sait jamais...

 

Barbara vient vers moi !

 

- Dis-moi, ça te dirait de faire des trucs avec moi et avec un autre homme ?

 

C'était donc ça le jeu ! Mais tout bitophile que je suis, si j'ai répondu oui, ce n'était pas pour la pine de Sylvain mais pour retrouver la peau douce de Barbara. Elle fait donc semblant de faire entrer le psy et lui demande de se déshabiller.

 

- Euh ! Faut que je garde mes chaussettes ou que je les enlève ?

- Mais, enfin, tu fais ce que tu veux ! Rigole Barbara. Par contre, tu as oublié de me payer !

- Te payer ?

- Ben, oui, tu ne crois pas que je vais te faire ça gratuitement !

- OK, je te payerai tout à l'heure !

- Non, c'est tout de suite !

 

Sylvain à l'air étonné que son "assistante" ou sa consœur (je ne sais plus) entre à ce point dans le jeu, mais il va chercher quelques billets dans son portefeuille et les lui tend

 

Le psy et moi sommes debout plus ou moins face à face, Barbara se met entre nous, à genoux et entreprend de nous masturber en même temps, une bite dans chaque main. Au bout de quelques instants tout cela est bien raide. Elle nous fait rapprocher davantage et se débrouille pour positionner les deux pines l'une sur l'autre tête bêche pour pouvoir les masturber ensemble d'une seule main. Ce n'est pas si évident que cela mais quelle sensation de sentir un autre membre collé au sien !

 

- Ça vous excite ce que je vous fais ? Hein ? Vous n'êtes vraiment que des pédés tous les deux !

- Ben Barbara... Intervient Sylvain

- Je ne suis pas Barbara, pour l'instant, je suis une pute, et ça me plait de jouer la pute et ça me plait aussi de vous voir jouer les pédés. Et puis ça m'amuse de vous le dire, alors silence, les mecs, laissez-vous faire...

 

Elle engloutit la bite du psy dans sa bouche, mais sans insister, juste pour la lubrifier, puis passe à la mienne. Elle essaie un autre truc et nous fais mettre gland contre gland en ligne de prolongement, ça non plus ce n'est pas évident car nous ne faisons pas la même taille, le psy est donc obligé de se baisser un petit peu. Barbara passe alors la langue sur ce double cylindre de plaisir, elle s'amuse comme une folle.

 

- Sylvain, couche-toi sur le divan, sur le dos, et Etienne tu lui grimpes dessus, en 69...

 

Oh ! Oh ! Alors là, c'est super, me voici avec la bite de Sylvain dans la bouche, alors que lui me rend la politesse. C'est la première fois que je fais un soixante-neuf avec un homme. Quelle sensation de sucer tout en étant sucé, en coordonnant nos mouvements, on peut quelque part s'imaginer qu'on est en train de se sucer soi-même. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme, d'autant que Barbara en profite pour m'introduire un doigt dans le cul.

 

- Je vous interdis de jouir dans cette position, les mecs ! Putain que vous êtes raides ! Bon on passe à autre chose. Sylvain, met toi une capote ! Et toi Etienne tu vas te mettre à quatre pattes, comme çà, non écarte mieux les jambes...

 

Et oui, fallait bien que ça arrive un jour, voilà que je vais me faire enculer ! Mais qui aurait dit que ce serait par le psy chez qui j'avais décidé de consulter ? Et en présence et sous la direction de son assistante en plus ! Je ne proteste pas, on verra bien !

 

- Regarde-moi ce petit cul de pédé ! Dit la femme.

- C'est vrai qu'il est mignon ! Répond le psy

 

Tu parles d'une discussion !

 

- Bon, je veux que ce soit toi qui lui demandes ! Me précise Barbara !

- Il faut que je lui demande de m'enculer ?

- Ben oui !

- Bon, ben d'accord, encule moi !

 

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Il aurait fallu du gel, le préservatif est bien lubrifié mais sa verge ripe à l'entrée de mon anus.

 

- Ouvre-toi mieux, pousse !

 

Je fais ce que je peux, le gland s'efforce de passer.

 

- Encore un peu, on y est presque !

- Han !

- Oui !

- Aie !

 

Ça y est, c'est entré, enfin juste un peu !

 

- Encore !

- Han !

 

Il ne va pas tout rentrer quand même ! Ben on dirait bien que si, ça fait drôle, une impression de gêne, ce n'est pas trop agréable. Je leur dis. On me répond d'attendre un peu. J'attends. Le psy fait maintenant coulisser son membre d'avant en arrière. La sensation devient un peu plus agréable. Beaucoup plus agréable même. Je suis en train de réaliser que là tout de suite je suis en train de me faire enculer et que j'aime ça !

 

- C'est bon, continue ! M'entendais-je crier

- Ça te plait de te faire enculer par la bonne bite de mon mari ! Ironise Barbara !

 

Comment ça son mari ? Mais laissons ce détail, pour l'instant ça va ! Ça va pas mal aussi pour le psy qui finit par exploser dans sa capote et qui s'écroule sur mon dos. Il est lourd ce con !

 

Il décule ! Drôle de sensation, j'ai l'impression que mon anus a du mal à se refermer !

 

- Merci Etienne, vous avez été très bien ! Tient à me dire Barbara !

 

Elle va me faire rougir, "l'assistante" mais est-ce bien son assistante ?

 

- On vous paie le restau, Etienne ! Vous acceptez, bien sûr ?

- Volontiers !

- On pourrait peut-être prendre une douche avant ? Propose la femme.

- Et on va la prendre où ? Et puis on n'est pas si sale que ça, et il est déjà tard, allez zou !

 

Epilogue !

 

Un très bon restaurant chinois, le patron nous offre l'apéritif maison. On trinque !

 

- A vous Etienne ! On vous doit bien ça ? Dit Sylvain en levant son verre.

- A la vôtre ! Répondis-je ne comprenant pas bien ce que voulait dire mon interlocuteur.

- Voyez-vous, Monsieur Etienne, j'ai en fait les mêmes fantasmes que vous, ça ne m'empêche pas d'aimer les femmes et la mienne est adorable. Ah oui au fait, Barbara est mon épouse. La seule différence c'est que je n'avais jamais concrétisé, alors je ne sais pas ce qui s'est passé, quand vous m'avez raconté votre histoire de cinéma, j'ai flippé et c'est à ce moment-là que j'ai eu l'idée de la reconstitution. ! Et je vais vous dire, je ne regrette pas !

- Il faut toujours essayer de vivre ses fantasmes ! Rajoute, Barbara. Je veux dire quand ce sont des fantasmes entre gens qui sont d'accord !

- Mais ce n'est pas tout ! Reprend le psy. Avec Barbara on se dit nos fantasmes, on joue à des petits jeux de rôles parfois, et l'un de ses trucs c'est de jouer la pute, alors quand à la fin de la première séance vous m'avez dit que vous aviez été en voir une, j'ai tout de suite pensé que je pourrais impliquer ma femme dans le trip !

- Et ça a marché super ! Conclût-elle.

 

Je suis abasourdi, abasourdi, mais content.

 

- Et ma psychothérapie, alors ?

- Mais vous n'en avez pas besoin, vous êtes parfaitement normal !

 

Je ne dis rien ! Je savais bien qu'en fait de thérapie, le psy me jouait un scénario qui n'avait rien de conventionnel, mais je ne m'attendais pas à ces explications. Le pire c'est qu'elles me conviennent parfaitement.

 

- Vous ne dites plus rien, Etienne !

- Je ne sais plus quoi dire !

- J'ai l'impression que vous vouliez nous demander quelque chose ?

- Oui, la permission d'embrasser Barbara, si elle est d'accord bien évidement !

 

Alors Barbara fait un clin d'œil à son mari, approche ses lèvres des miennes et me roule un patin

 

FIN

 

Estonius (août 2003)

 

estonius@hotmail.com

 

 

 

 

  

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Vendredi 15 août 2003 5 15 /08 /Août /2003 13:32

Surprenante randonnée

par Estonius

 

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Et encore un ! Comment un minuscule caillou se débrouille-t-il pour pénétrer dans une chaussure de marche et venir se loger sous le talon ? Comment se fait-il qu'au lieu de l'enlever tout de suite on essaie de s'en accommoder avant finalement de s'arrêter en maugréant pour le retirer ?

 

Eric et William m'attendent.

 

Ça fait une heure que l'on marche sous une chaleur écrasante ! Et une idée me taraude l'esprit depuis le lever du lit : "je vais y passer !" D'ailleurs je suis venu un peu pour ça ?

 

Mais si je commençais depuis le début :

 

Présentation : Etienne, la presque quarantaine, divorcé, dragueur et hétéro, physique moyen, cheveux rares, lunettes et léger bidon, pas vraiment sportif, employé de bureau dans l'assurance.

 

J'ai rencontré Eric lors d'une des nombreuses restructurations de la boite, et rapidement nous avons sympathisé et nous sommes trouvés des affinités y compris sur notre façon décontracté et sans tabous d'aborder le sexe.

 

Le point de départ fut sans doute comme c'est devenu la mode dans les bureaux une de ces fameuses blagues qui circulent sur les messageries internes. Cette fois-là, quelqu'un nous avait fait suivre un truc assez classique, il s'agissait d'une fille qui faisait un interminable strip-tease et qui se révélait à la fin être un troublant transsexuel, cela était assorti de conclusions genre beauf dépité...

 

- Quel con ce Gérard ! Avait crié Eric, il est très beau ce travelo !

- C'est vrai qu'il est assez troublant !

- Ah ! Tu es d'accord avec moi, c'est vrai qu'il est troublant, tiens, si un jour j'ai l'occasion je me laisserais peut-être tenter, je ne veux pas mourir idiot...

 

Il marque alors une pause, puis me demande à brûle pourpoint :

 

- Tu as déjà essayé avec des trans ?

- Non, mais ça me fait fantasmer !

- Et tu essaierais ?

- Si j'avais l'occasion. Mais cela dit je ne cherche pas, pour le moment ils sont très bien dans mes fantasmes...

 

Ça n'avait pas été plus loin, mais nous avions évoqué plusieurs fois d'autres aspects des fantaisies érotiques, la domination, l'uro, et même la bisexualité... C'était tout, que des paroles... jusqu'au jour où...

 

... Un boulot de dingue et demain, vendredi je ne pourrais pas rester tard, je décide de travailler jusqu'à 18 heures. Je me retrouvais bientôt seul avec Eric. Je suis sûr que ce qui se passa ensuite était prémédité...

 

Je me rends aux toilettes afin d'y faire un petit pipi qui devenait urgent, quand voici Eric qui se pointe, et qui contrairement à tous les usages tacites… Et oui, Mesdames, il y a un cérémonial inconscient de l'utilisation des urinoirs, ainsi jamais un mec ne se placera au direct voisinage d'un autre s'il y a de la place ailleurs, et si il se trouve obligé de côtoyer un autre pisseur, jamais il ne tournera la tête, dont les seuls mouvements "autorisés" iront du haut vers le bas et vice versa, c'est comme ça !

 

Je disais donc qu'Eric contrairement à tous les usages tacites se positionne devant l'urinoir voisin du mien et sort son sexe sans s'approcher trop du bord. Gêné je regarde ailleurs, mais l'autre pas fou, entame la conversation :

 

- Quelle journée !

 

Je réponds je ne sais quelle banalité, et j'entends le bruit de son pipi qui atterrit dans la cuvette. Je ne sais pas trop quoi faire, et j'ai beau réfléchir très vite, à part terminer mon affaire prestement et m'enfuir rien d'autre ne me vient à l'idée... Et puis il y a ce fameux phénomène qui fait que quand on ne veut pas regarder quelque chose, on finit par le regarder quand même. A moins que trahi par le fait que je n'entendais plus le bruit de son jet, je m'étais convaincu que je pouvais regarder sans crainte... Et voilà que de façon décontractée, Eric entreprend de se faire raidir sa queue, comme ça sans se cacher, par pure provocation.

 

- Alors, comment tu la trouves ?

 

Je réponds d'une espèce de petit rire nerveux, vous savez genre "je ne vais pas le contrarier avec sa blague qui ne me fait pas rire !"

 

- Touche-la un petit peu si tu veux !

- Une autre fois... Parvins-je à articuler (la jolie phrase réflexe, qui en fait signifie "j'espère bien jamais"

 

Mais tout cela se compliquait car l'embarras de la situation et le culot inouï de mon collègue de bureau me poussait à m'échapper du lieu, mais je ne le faisais pas. Ça devait être purement biochimique, une production d'hormones était en train de me provoquer ce qu'il faut bien appeler un début d'excitation.

 

Paralysée, j'étais ! Et il fallait prendre une décision. C'est sans doute le démon de la luxure qui à ce moment-là me souffla que toute fuite n'aurait que des inconvénients, en effets mes rapports avec Eric deviendraient peu évidents à gérer, et puis rien ne l'empêcherait de recommencer. La seule façon de rester maître du jeu était donc d'accepter, mais tout en contrôlant la situation. Mon cœur battait la chamade, mon gosier était sec comme un bac à sable, et je devais être aussi blanc qu'un drap. Comme un zombi j'approchais ma main du sexe offert, et je fis ce qu'il me demandait, je le touchais un peu... Je n'avais pas fait ce geste depuis le collège. Quelle sensation de retrouver ça ! Cette douceur de peau liée à ce franchissement d'interdit ! Il fallut que je me force à lâcher son sexe après l'avoir caresser moins de cinq secondes. Cette fois mon érection était totale et quand Eric à son tour s'approcha de mon sexe, je me laissais faire, mais sans pour autant l'encourager. Il eut la bonne grâce de ne pas s'éterniser...

 

Nous sommes revenus au bureau et n'avons ni l'un ni l'autre fait d'allusions à ce qui venait furtivement de se passer.

 

Ma nuit fut agitée et masturbatoire. Je m'en voulais d'avoir été si timoré. J'aurais dû le caresser plus longtemps, on aurait pu se masturber mutuellement, voir se sucer, voir... oh là là ma pauvre tête... Je réalisais que j'en avais tout simplement envie, et puis l'occasion serait facile...

 

Facile pas tant que ça ! La scène ne pouvait se rejouer que le soir, or Eric partait désormais de bonne heure, j'en fus dépité. J'attendis encore quelques jours. Puisque le soir ce n'était pas possible, pourquoi ne pas essayer le matin et j'arrivais un jour au travail vers 7 heures, Eric n'était pas encore là, mais d'autres l'était, ce n'était pas la bonne solution. Alors j'ai pris mon courage à deux mains :

 

- Eric, je voudrais te dire un truc, on pourrait aller boire un pot, à la sortie du boulot...

 

Je lui proposais un café discret, m'imaginant déjà que nous pourrions nous rejoindre aux toilettes, mais non, Monsieur préférait la grande brasserie du coin. Qu'importe après tout...

 

- Je... je j'ai été très troublé par ce qui s'est passé l'autre fois dans les toilettes...

- Il ne s'est rien passé ! Coupa-t-il immédiatement.

 

Je tombais de haut, ainsi il s'était laissé entraîner par un instant de folie et le regrettait, je n'avais jamais envisagé les choses comme cela !

 

- Bon tant pis, je n'ai rien dis non plus...

 

Et complètement groggy je le plantais là, jetant un billet pour payer nos consommations auxquelles nous n'avions pas touché. Moment fatidique, il va me rappeler ou pas ? En principe dans les films c'est au dernier moment que ça se passe ! Mais non ! Rien. Je sors du bistrot, il ne m'appelle pas, il ne me suit pas, je suis tout seul... comme un con.

 

Je m'en remettrais, et puisque c'est ça j'irais voir ailleurs, ce qui n'était même pas une caresse avait réveillé en moi des pulsions enfouies, je ne les refoulerais pas. Maintenant quant à savoir comment je vais devoir m'y prendre c'est une autre paire de manche. Mais le soir je me masturbais en m'imaginant sucer une bite... Et ce n'était pas celle d'Eric.

 

L'affaire rebondit le lendemain. Alors que je m'étais fait une raison, arrivé en fin de journée, je constatais qu'Eric était prêt à partir mais qu'il ne le faisait pas. Son bureau était rangé et il tapotait sur son clavier d'ordinateur. Je ne cherchais pas trop à comprendre et finis par prendre congé de mes collègues. C'est une fois dans la rue que je compris son manège, il m'attendait tout simplement.

 

- Je te dois des excuses ! Dit-il m'abordant.

- Mais, non on ne parle plus de tout ça et c'est tout !

- Juste un mot, et après je te laisse, d'accord ?

 

Compliqué le mec, mais je n'allais pas lui dire non, ce n'est pas mon genre.

 

- Voilà, j'ai plein de fantasmes, et je n'arrive pas à les concrétiser...

 

Alors il me raconte qu'il cherche quelqu'un pour l'aider, quelqu'un en qui il pourrait avoir confiance, quelqu'un qui le guiderait, qui aurait de la patience... Il avait cru, vu la façon dont je réagissais à ses propos que j'aurais pu être cette personne, mais il avait été déçu de mes propres hésitations lors de l'épisode des toilettes.

 

- En fait on est un peu dans le même état d'esprit... Répondis-je. Mais je ne vois pas pourquoi on n'essaierait pas ensemble ?

- Parce ce que on n'est pas vraiment sûr de ce qu'on veut, mais j'ai peut-être une idée...

 

Et il me raconte qu'il connaît un ancien collègue qui rêvait de le déniaiser, ce type grand amateur de nature lui avait proposé de faire ça en forêt... Eric avait refusé, n'ayant qu'une confiance limitée dans le type en question. L'autre lui avait dit que de toute façon sa proposition tenait toujours, même si c'était dans plusieurs mois...

 

- Tu comprends, on sera trois, les rapports ne seront pas les mêmes, il ne pourra pas s'imposer comme si on était deux...

 

Restait à savoir à quoi ressemblait ce joyeux personnage, il me le décrivit. Je donnais mon accord et quinze jours plus tard nous nous retrouvions un samedi matin, tous les trois devant la gare de Fontainebleau.

 

Eric me présente son collègue. Il se prénomme William, plutôt bel homme, visage fin, yeux bleus comme la mer et cheveux blonds décolorés plaquées sur le côté.

 

Je lui tends la main mais le mec m'embrasse sur les joues, ça fait un peu drôle !

 

Quelques minutes plus tard, nous étions dans la forêt...

 

L'ambiance est sympa, mais un peu réservé et il ne passa rien de notable jusqu'à ce satané caillou dans la chaussure. Les deux autres finissent par s'apercevoir que je prends du retard et stoppent pour m'attendre. Je les rattrape :

 

- Il commence à faire chaud, allez, on se fout torse nu ! Propose William qui joint le geste à la parole

 

Bonne idée. Eric l'imite et je ne peux donc pas faire autrement que d'enlever à mon tour mon tee-shirt.

 

- Oh ! Mais c'est qu'il a des super tétons ton copain ! Remarque William. Des vrais tétons de gonzesse. Fais voir un peu ça !

 

Et voilà qu'avant que j'aie le temps d'émettre la moindre protestation, il approche ses mains de mes bouts de seins et commence à me les rouler entre les doigts. Je ne vous dis pas l'effet que me fait cette caresse, mais c'est la première fois que c'est un homme qui me la prodigue. Je me laisse faire, une onde de plaisir me traverse et me voilà avec une érection du tonnerre de Brest.

 

William lâche une de ses mains pour me la mettre à la braguette, constatant ainsi l'état d'excitation des lieux

 

- Mais c'est que ça le fait bander, cette petite pute ! Qu'est-ce que tu veux ? Que je continue à te pincer ?

- Oui !

- Fais gaffe dans quoi tu t'embarques, tu n'as rien à craindre, mais quand on est parti dans nos trips on y va à fond. Je continue toujours ?

- Oui !

 

Excité comme j'étais je ne me voyais pas répondre autrement (et puis il venait de me dire que je n'avais rien à craindre)

 

- On ne va peut-être pas rester là, il y des gens qui peuvent passer ! Intervient Eric

- Il y a peu de chance, c'est un coin qui est surtout fréquenté par des gens qui veulent faire du sexe… mais on ne sait jamais… Il me semble qu'il y a une clairière pas trop loin en passant par-là. C'est dommage ça va faire descendre l'érectomètre, ce petit contretemps, mais bon, allez, en route !

 

On reprend notre marche, on passe par un chemin peu fréquenté, du coup nous voici obligé de remettre nos hauts afin de ne pas se faire griffer par les branches basses.

 

L'excitation calmée, me voici moins rassuré, ce William me parait correct, mais sait-on jamais, et puis que vont-ils me faire, je vais devoir les sucer, ça c'est une certitude, reste la sodo, je pense qu'ils seront assez intelligents pour arrêter s'ils s'aperçoivent que je ne supporte pas... et puis... et puis quoi ? On verra bien...

 

Nous voici arrivé dans la clairière ! Elle n'est pas bien grande, mais à l'abri des promeneurs d'occasions.

 

- Voici un bel endroit ! Proclame William ! Je crois bien que c'est ici que ton collègue va se faire dépuceler ! Reprend-il à l'adresse d'Eric.

- On va reprendre où on en était resté ! Répond ce dernier enlevant de nouveau son haut.

 

Je fais de même, c'était trop bon et d'un geste volontaire je me positionne devant William

 

- C'est à quel sujet ? Ah oui, tu veux encore que je te fasse les seins ! T'es vraiment une petite pute !

 

Ça y est, il me les serre ! Ça y est, je rebande, le scénario se répète

 

- Dis-le que tu es une petite pute !

- Je suis une petite pute !

 

Me voilà tout surpris d'être capable de sortir des choses pareilles !

 

- Tu sais ce qu'on va te demander, maintenant, petite salope ?

 

Il pourrait peut-être s'abstenir de me traiter de tous les noms, mais si après tout ça l'excite...

 

- De te sucer, je suppose !

- Gagné ! T'es qu'un gros vicelard, il y a longtemps que tu en rêvais de sucer une bonne bite ?

- Ben oui !

 

Les deux compères finissent de se déshabiller. Ils commencent à bander, La queue de William est légèrement plus grosse que celle d'Eric, et plus épaisse, je l'aime moins. Les deux hommes se rapprochent alors, se mettent côte à côte, se masturbent mutuellement quelques instants tout en s'embrassant sur la bouche, ce qui me surprend un petit peu, puis ils me demandent de me mettre à genoux.

 

- Allez, suce !

 

Par réflexe je commence par celle d'Eric, j'approche doucement ma bouche de cette belle queue bien droite, je fais frôler le gland sur les bords de mes lèvres fermées, ma langue avance, j'en recueille le goût légèrement salé, puis d'un coup d'un seul je mets tout ce que je peux dans la bouche. Un fantasme est en train de se réaliser, j'ai une bite dans la bouche et j'aime ça, je coulisse avec les lèvres comme j'ai vu le faire dans les films X, puis je change de bite, celle-ci plus grosse est moins facile à sucer, mais on s'y fait, et le contact est délicieux.

 

- T'aimes ça sucer des bites, hein petite salope ?

 

Je ne réponds pas, j'ai la bouche pleine. Je me délecte, je me régale, je passe de l'une à l'autre et je suis excité comme rarement je ne l'ai été. La bite d'Eric devient de plus en plus salée, je crois comprendre que quelques gouttes de pré-jouissance ont perlé... Tout se passait bien quand, soudain William se tourne :

 

- Maintenant tu nous suces le trou du cul !

- Non !

- Comment ça, non ?

- Je ne fais pas ça !

 

J'ai bien le droit non ! William aura alors cet argument absolument surréaliste !

 

- Si tu ne nous suces pas le cul, on ne t'encule pas !

 

Dingue ! Je suis tombé chez des dingues, justement si on ne me sodomise pas on fera ça, (où je ferais ça) une autre fois avec quelqu'un d'autre, je ne suis pas si pressé, et ne suis pas obligé de tout faire le même jour... Voyant que je m'enferme dans mon refus. William me demande de me relever.

 

- C'est pas grave, on va arranger ça !

 

Et le revoilà qui me serre à nouveau les tétons ! A nouveau je me laisse faire, je ne devrais pas... J'ai compris sa tactique, il va m'exciter au maximum et en profiter pour faire en sorte que je dépasse mes limites.

 

- Les fantasmes, c'est donnant, donnant ! Me précise-t-il.

 

J'allais répondre que j'étais plutôt d'accord quand à cet instant un raclement de gorge nous fit sursauter. Nos visages se tournent vers l'origine de ce bruit incongru. Ce sont deux nanas. On ne cherche pas à comprendre et on s'efforce par pur réflexe de cacher nos nudités.

 

- Pas de panique ! Dit la plus petite des deux filles. On voulait juste regarder, mais plutôt que de nous planquer, on préfère vous demander !

- Ecoutez, on n'y tient pas trop, commence William.

- Pourquoi pas, moi ça ne me dérange pas ! Intervient Eric. Et qu'est-ce que tu en penses toi ? Me demande-t-il dans la foulée.

 

J'accepte aussi, sans trop savoir pourquoi. Il me semble que notre trip va prendre une toute autre dimension si on est regardé, et puis c'est rassurant, devant des spectateurs (pardon des spectatrices) mes deux acolytes ne pourront pas faire n'importe quoi.

 

- Alors c'est d'accord ? Demande la petite blonde.

 

Et comme William ne proteste plus, les voilà qui s'installent toutes deux en s'asseyant sur une grosse branche tombée au sol. C'est complètement ahurissant cette situation… Les deux femmes sont très différentes, la plus petite est sans doute une vraie blonde avec un visage tout rond, ses seins avantageux galbent son tee-shirt blanc. Sa copine est plus grande, filiforme, sans beaucoup de relief mais elle a un visage purement ciselé, et un joli teint mate, sans doute une beurette, elle est vêtue d'un petit haut couleur framboise qui lui dénude deux belles épaules dorées et d'un short beige.

 

- C'est notre truc à nous de regarder des hommes entre eux ! Précise la blonde. Mais on en a un peu marre des vidéos, alors on cherche du réel… Au fait je m'appelle Karine et ma copine c'est Sophia.

 

Du coup Eric et moi, nous nous présentons, William, par contre, paraît contrarié et s'est remis son short.

 

- Vous êtes bi ou homo pur et dur ? S'enquière Karine.

 

C'est presque à l'unisson qu'Eric et moi-même lui répondons que nous sommes bi, ce qui est d'ailleurs en ce qui me concerne complètement exagéré, je serais plutôt un hétéro en train de faire une expérience.

 

- Nous aussi ! Reprend la petite blonde ! Vous savez, on n'est pas farouche, si vous nous excitez bien, on pourra s'amuser un peu tous les cinq, enfin si ça vous dit ?

 

Dingue, voilà nos plans qui se chamboulent complètement, un regard complice avec Eric, les filles comprennent. Par contre William prétexte une migraine subite et douloureuse, prend ses affaires et disparaît de la clairière. Eric ne fait rien pour le retenir. Je suis là avec lui, on est comme deux cons, avec nos fringues roulées en boule pour nous cacher le sexe devant deux belles mateuses tombées du ciel !

 

- Bon, ben vous pouvez démarrer les mecs !

 

Nous réalisons que l'absence de William a rompu l'argument qui nous permettait de faire des choses ensemble. Il va donc falloir nous débrouiller sans lui. On se regarde, on ne sait pas trop quoi faire.

 

- Approchez-vous un peu de nous, qu'on voit bien ce qui se passe, et arrêtez de cacher vos bites, elles ne vont pas s'envoler !

 

Conscient que si on reste comme ça, on va devenir ridicule, j'envoie valdinguer ma fringue qui me sert de cache sexe, Eric m'imite et nous voici l'un en face de l'autre, la bite à l'air.

 

- Elles sont mignonnes vos bites, on en a vue des plus grosses, mais elles me plaisent bien ! Commente Karine

- De toute façon j'aime pas les grosses ! Rajoute Sophia dont j'entends la belle voix un peu rauque pour la première fois.

 

J'attrape la queue d'Eric et la masturbe un petit peu, il fait pareil. Je voudrais bien bander un peu plus, mais tout ce contexte bizarre doit me perturber. Je demande à mon partenaire de me pincer les seins, il n'a pas trop envie, j'insiste, lui demande de le faire juste un peu, et miracle je rebande. Du coup il lorgne vers ma bite, s'accroupit devant et me la met dans sa bouche. !

 

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- Whaouh, super ! Ça on aime bien regarder ! S'esclaffe Karine. Continuez comme ça, nous on retire le bas et on va s'astiquer la chatte en vous regardant...

 

Effectivement, et pendant qu'Eric me pompe le gland, de fort bonne façon, je dois dire, je vois Sophia qui se lève qui retire son short et sa culotte, qui plie tout cela bien méticuleusement et qui se rassoit les jambes écartées, pour ensuite se caresser la vulve. Karine quant à elle paraît beaucoup moins soigneuse et se masturbe déjà frénétiquement, le jeans gisant sur ses chaussettes.

 

- Arrêtes un petit peu, sinon je vais jouir ! Annonçais-je à Eric.

 

Ce dernier se releva aussi sec, et je le suçais à mon tour. Voilà qui me plaisait bien plus ! Je retrouvais mes émotions de tout à l'heure avec ce bel organe au contact si doux en présence de mes lèvres et de ma langue, je m'en pourléchais les babines comme s'il s'agissait d'une friandise, léchant toute la verge, suçotant les couilles, puis embrassant le gland avant de mettre tout ce que je pouvais dans ma bouche comme un véritable glouton.

 

Je jette un coup d'œil sur les deux nanas. Si Karine est toujours aussi déchaînée, je suis fasciné par la beauté de Sophia, dommage qu'elle soit un peu maigre, mais pour l'instant elle a relevé son débardeur dévoilant deux petits seins couleur caramel et terminé par d'énormes tétons marrons très foncés qui semblent dressés vers le haut. Cette vision enchanteresse m'excite au plus haut point...

 

Mais voici qu'Eric se dégage !

 

- Tu suce bien, dis donc !

- Merci ! Euh, ça vous a plu les filles ?

- Pour un début ce n'est pas mal, on a hâte de voir la suite ! Répond Karine.

 

La suite, quelle suite ? Mais ce n'est pas trop difficile à deviner ! Elles souhaitent nous voir se sodomiser. Le problème c'est que je ne suis absolument pas prêt, ni comme passif, ni comme actif. Reste ce que peux en penser Eric, mais je le devance...

 

- C'est que c'est pas trop mon truc ! Annonçais-je !

- Oui, mais là vous êtes au spectacle, vous allez nous faire ça pour nous, rien que pour nous et bien comme il faut. Insiste Karine

 

Eric se fait conciliant !

 

- On peut peut-être essayer !

- Non désolé !

 

C'est alors que Sophia se lève et vint vers moi ! Elle est magnifique, toute nue dans le chatoiement de la clairière !

 

- Tout à l'heure, quand tu suçais ton copain, je t'ai vu me regarder, et j'ai aimé la façon dont tu m'as regardé... Alors fais-le pour moi, tu ne le regretteras pas !

 

Elle est tout sourire, elle n'attend pas ma réponse, regagne sa place, ouvre son sac et tend un préservatif à Eric :

 

- Allez, encule-le !

 

Eric revêt le condom, je me mets à quatre pattes, je ferme d'abord les yeux, mais me ravise croisant le regard de Sophia.

 

- Bon, ben pousse, quand faut y aller, faut y aller ! Me dit mon collègue, fataliste.

 

Je sens le contact du gland latexé sur mon anus, il aurait sans doute fallu un gel ou un machin pour lubrifier. Alors Eric change de tactique, il commence par me lécher l'anus avec une conviction étonnante, j'ai bientôt le trou du cul tout baveux, et comme si cela ne suffisait pas, il introduit un doigt qu'il fait aller et venir plusieurs fois de suite. Qui l'aurait cru, ce traitement inhabituel commence à m'exciter le cul ? A nouveau il approche sa bite, je pousse, je sens que ça rentre, ça y est, il pénètre mieux, il pénètre encore mieux. Ça y est, je me suis fait enculer et tandis qu'il va et qu'il vient dans mon fondement je recroise à nouveau le sublime regard de Sophia.

 

Les deux filles se masturbent à présent, elles sont toutes proches l'une de l'autre, chacune tripote le sein de l'autre et de temps à autre, elles s'échangent un baiser fougueux. On banderait à moins. Je sens qu'Eric n'en peut plus, il semble vouloir ralentir l'allure, mais entraîné par son excitation il jouira dans la capote à l'intérieur de mon cul. Il se retire.

 

- Ne bouge pas, tu vas l'avoir ta récompense ! Me dit Sophia.

 

Mais Karine lui saute entre les jambes et sans que sa complice ait pu protester, la voilà qui lui lèche sa vulve dégoulinante, avant de s'attaquer à son clitoris. Quelques minutes après, un cri fulgurant retentira dans la clairière. Sophia a joui. Karine la regarde crier son plaisir avec l'air d'un ange qui retrouverait ses ailes, laisse passer quelques secondes et lui saute au cou afin de l'embrasser fougueusement. Puis la petite blonde se réinstalle sur le tronc d'arbre écartant bien les cuisses de façon à ce que sa camarade la fasse jouir à son tour. Eric et moi on mate, je n'ai pas joui et je me branlotte négligemment...

 

Après que Sophia ait fait jouir sa complice, elle se lève et viens nous rejoindre.

 

- Merci, les mecs, vous nous avez donné un beau spectacle ! Oh, là là, que c'était excitant.

- Je vais vous avouer un truc, on n'a pas vraiment l'habitude !

- Je sais, ça s'est vu, mais justement ça rend le trip encore meilleur… Mais dis, donc tu n'as pas joui, toi et je te dois une récompense !

- Hé, hé !

- Tu sais, on est des vraies cochonnes, si tu as un truc un peu spécial qui te ferais super plaisir, ça ne me dérange pas de te le faire…

- J'aimerais bien t'embrasser tes bouts de seins !

- Humm, ils te plaisent mes gros tétons, hein, mon salaud !

 

Ça y est, elle aussi elle va faire dans la coprolalie… Je me penche, tente un petit coup de langue sur l'extrémité de la pointe gauche.

 

- Vas-y mon biquet, tête-moi !

 

C'est fou ce que ces gros machins m'excitent, Mes mains ne restent pas inactives et j'en profite pour lui peloter les fesses. Sophia a saisi mon sexe qu'elle entreprend de masturber un moment mais sans précipitation, puis elle passe sa main sous mes testicules, approche un doigt de mon petit trou.

 

- Non pas là ! C'est encore un peu sensible ! Tentais-je de protester.

- Tss, tss... laisse-moi faire... C'est déjà tout resserré.

- Oui, mais...

- Embrasse-moi donc au lieu de dire des conneries.

 

Et la voilà qui me roule une pelle d'enfer tout en continuant à me doigter le cul. Ce doigtage me déclenche une sensation bizarre, il est en trop, ou plutôt il vient trop tôt après ma sodomisation de tout à l'heure, pourtant je dois dire que ces aller et retour rapides dans mon rectum me provoquent un trouble certain.

 

- Ce qui serait bien... Me précise-t-elle. C'est que vous inversiez les rôles, ce serait excitant de te voir enculer ton copain, non ? Qu'est-ce qu'il en pense, lui d'abord ?

 

Elle se retourne ! Et surprise : Eric ne peut répondre, il est quasiment couché sur le sol, occupé à lécher méticuleusement l'entre jambe de Karine. Celle-ci a ramassé une petite branche souple et s'en sert pour lui donner à intervalles réguliers des coups sur les fesses. Charmant spectacle !

 

- Il y en a qui ne s'emmerdent pas ! Commente ma jolie beurette.

 

Ouf ! Je ne serais donc pas obligé de jouir dans le cul de mon collègue. Comment dire à Sophia que j'aimerais tout simplement la pénétrer de façon classique, où alors lui faire une belle levrette ? Je n'ose tout simplement pas, cette nana m'intimide...

 

- T'aimes ça que je te branle le cul, hein petit pédé ?

- Tu fais ça très bien !

- Tu peux me faire pareil, si tu veux ?

 

J'hésite, allez donc savoir pourquoi ?

 

- T'es un grand timide, pourtant je suis sûre que tu aimes des tas de trucs cochons ? Non ?

- Oui et non !

- C'est pas une réponse, ça ! Dis à Sophia ce que tu aimes bien ?

- J'aime bien qu'on me tripote les seins

- Ça j'avais remarqué, et puis ?

- Euh...

- Allez dis-moi, je ne serais pas choquée, où alors tu veux que je devine ? Voyons voir ? Le pipi peut-être ?

- J'adore !

- Et bien ça tombe bien, j'ai envie de pisser et il y a longtemps que je n'ai pas inondé une jolie queue.

 

Elle enlève enfin son doigt de mon anus, se le porte à la bouche sans même en vérifier l'état (quelle belle cochonne !) puis me demande de me coucher sur le sol ! Super pratique de s'étaler comme ça dans une clairière, pleine de brindilles et d'autres saloperies. Mais bon, c'est pour la bonne cause...

 

Sophia me chevauche debout, elle se concentre un petit peu, puis son jet doré jaillit de sa source tombant dru sur mon sexe.

 

- Branle-toi en même temps, je vais avancer. Je peux t'arroser le visage ?

- Oui !

 

Et pour qu'il n'y ait aucune ambiguïté, tel le corbeau de la fable, j'ouvre une large bouche, recueillant quelques gouttes de ce délicieux nectar... En même temps je me masturbe, essayant de retarder au maximum le jaillissement de mon plaisir...

 

Karine qui entre temps a joui de nouveau s'approche, suivie d'Eric. Et alors que Sophia n'en finit pas de m'uriner sur le visage, c'est maintenant la petite blonde qui m'asperge le ventre... et tandis que de façon fort inattendue mon collègue me pisse dessus à son tour, mon sperme gicle en trois ou quatre longues rasades.

 

Je suis crevé !

 

- Ça va, les mecs ? demande Karine.

 

On acquiesce, on ne va pas dire le contraire... Mais on va faire quoi maintenant, on va se séparer comment ? On va gérer tout ça comment ?

 

- Vous vous rendez compte qu'on vient de rentrer dans votre mémoire à tous les deux ! Continue-t-elle ! Vous vous en souviendrez toute votre vie !

- Ben ouais...

- Mais ce qui est important c'est que ce soit un bon souvenir, il ne faut pas avoir honte de ce qu'on a fait, il n'y a pas de mal à se faire du bien, il n'y a pas de mal à faire du sexe si on est d'accord pour le faire, il n'y a rien de sale en amour !

 

Gentille Karine, mais quelque part ses propos me font du bien !

 

- Bon, les mecs, je vous propose un plan ! Intervient Sophia. A midi vous nous payez le restau, et cette après-midi on continuera à se balader tous les quatre dans la forêt, je suis sûr qu'il y a encore des tas de rencontres passionnantes à faire...

 

FIN

 

Estonius (Août 2003)

 

 

Ce texte a obtenu le 1er prix Vassilia du "meilleur récit BI publié sur notre site en 2003 

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Vendredi 1 août 2003 5 01 /08 /Août /2003 18:17

Feux d'artifice - 2 - Le camping-car par Louise01

 

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RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES


(suite de " Feu d'artifice ")

Peut-être vous souvenez-vous de moi, Louise, qui ai vécu une soirée mémorable avec mes amis Martine et François accompagnés de leur copine Magali lors du bal du 14 juillet 2001.  

Compte tenu que de mon état de fatigue, mais aussi à cause des nombreuses bières ingurgitées, je me suis résolue à accepter la proposition des mes amis de passer la nuit sur place dans le camping car. Le véhicule est spacieux mais pas vraiment prévu pour quatre personnes ; Martine et François se partagent le grand lit tandis que Magali et moi-même nous nous allongeons sur deux étroites banquettes séparées par la table que nous avons repliée pour la circonstance.

Alors que tout le monde était couché je me rends compte que nous n'avions même pas pris de douche, ce n'est pas très sérieux après ce que nous venions de vivre. J'ai l'impression de dégager une véritable odeur de pissotière, mais apparemment cela ne dérange personne ; Magali est déjà endormie et le couple chuchote en se faisant des bisous, sans doute encore excité par ce qu'ils m'ont fait subir. Alors pourquoi devrais-je me faire du soucis si eux ne s'en font pas, et sur ce je m'enfonce dans les bras de Morphée.

Mon sommeil est de courte durée car je suis réveillée par l'inconfort de ma couchette dont la largeur n'atteint pas celle de mon fessier, il faut dire que côté cul mère nature m'a gâtée plus que de raison, et mon tour de hanches me fait parfois ressembler à ces statues de l'antiquité…

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A défaut de dormir je me mets à repenser à l'aventure que j'ai vécue ce soir ; le résultat ne se fait pas attendre et je me retrouve rapidement avec ma main entre mes cuisses. Je repense à la queue de François, et comme pour mieux me remémorer cette sensation je glisse ma seconde main sous mes grosses fesses en envoyant un doigt à l'assaut de mon petit trou. Pour faciliter son introduction je me couche sur le côté, mon majeur y entre d'ailleurs si facilement que je décide de mettre l'index aussi ; et me voilà en train de me frotter le clito avec en plus deux doigts profondément enfoncés dans le cul tout en me mordant les lèvres pour ne pas gémir. Je me suis ainsi fait du bien pendant un assez long moment, mais d'un coup j'ai la désagréable impression d'être observée et je réalise alors que, comme je tourne le dos a la copine Magali, je lui offre une vue imprenable sur mon cul nu que je suis en train de fourrer avec mes doigts. Je suis persuadée qu'elle ne dort plus et qu'elle ne doit pas perdre une miette de l'indécent spectacle que je lui offre ; cela devrait sans doute me gêner, mais au contraire je sens mon sexe qui mouille de plus en plus et je suis sure que je vais tacher la couchette.

Mais non je ne rêve pas, j'entends bien ma voisine qui se lève et deux secondes après je sens le souffle de sa bouche tout contre mon oreille :

- Quelle salope tu fais, on dirait que ça ne t'a pas suffi tout à l'heure ?

Visiblement elle n'a pas l'intention d'attendre ma réponse puisqu'elle m'attrape le bras me forçant ainsi à ressortir de mon anus, et immédiatement elle porte ma main à sa bouche pour sucer mes doigts goulûment. La honte m'envahit car je me doute bien dans quel état ils doivent être, n'ayant pas encore été à la selle de toute la journée. Comme pour confirmer mes craintes Magali me force à tourner la tête et me prend la bouche pour un baiser passionné. Ses lèvres sentent fort et je reconnais l'odeur de mon cul ; sa langue cherche la mienne, elle a un goût fort et très amer, sans doute celui de ma merde. Au même moment ma main droite qui n'est pas restée inactive déclenche un violent orgasme et je crois bien que, si cette petite cochonne n'était pas en train de ma bâillonner avec sa bouche, j'aurais réveillé tout le camping avec mes cris de jouissance.

Evidemment notre manège avait réveillé les deux autres qui, assis sur leur lit, se sont manifestés en lançant un hypocrite :

- Ne vous dérangez pas pour nous !

Mais l'état de la queue de François, plaquée contre son nombril tellement il bandait, démontrait bien qu'il était réveillé depuis un moment et n'avait pas du perdre grand chose du spectacle. Et voilà Martine qui met son grain de sel en me disant :

- Pour te faire pardonner de nous avoir réveillé il va falloir nous faire une petite gâterie !

Aussitôt Magali me prend par la main et m'amène devant le lit de mes amis, elle m'ordonne de me mettre à genoux, je m'exécute et me retrouve le visage à quelques centimètres de la verge dressée. Dieu que cette queue est belle, elle sent très fort et son aspect luisant me prouve qu'elle était encore dans le vagin de Martine il y a très peu de temps. Mes lèvres sont attirées comme par un aimant et se referment automatiquement sur ce barreau de chair brûlant ; son odeur puissante et son goût acidulé me font chavirer, j'ai l'impression de sucer François et de lécher Martine en même temps. Alors que je me délecte de cette offrande je sens derrière moi que mon anus va être investi une fois de plus ; ça ne peut être que Magali puisque Martine est devant moi sur le lit, sauf que cette fois ce n'est pas un doigt mais bel et bien sa bouche qui se colle contre mon cul. Quelle sensation délicieuse, il ne faut que quelques minutes à cette cochonne pour dilater mon orifice au point que toute sa langue arrive à pénétrer mon anus. Martine qui est dans un état d'excitation extrême repousse brutalement son mari en arrière, m'arrache littéralement son sexe de la bouche et vient s'empaler sur la magnifique queue. Je me trouve maintenant le nez dans la raie de mon amie qui m'ordonne :

- Lèches moi le cul salope pendant que je me fait baiser par mon homme, si tu t'y prends bien tu auras une récompense !

Ma langue monte et descend dans la raie du cul de Martine au gré de sa chevauchée ; elle non plus n'a pas pris de douche et son odeur de femme en chaleur et d'urine séchée me font chavirer. Je ne me prive pas de glisser jusqu'aux couilles parfaitement rasées de François et j'en profite pour boire ce jus d'amour qui suinte à chacun de leurs va et vient. Sa chatte fait un bruit obscène chaque fois qu'elle se laisse retomber sur le sexe fiché en elle, un peu comme un ballon qui se dégonfle. Entre temps Magali a changé de position, elle est maintenant couchée sous moi, la bouche colée sur ma chatte comme une ventouse ; je me liquéfie carrément lui offrant ma liqueur en abondance. Evidemment elle n'oublie pas mon cul pour autant puisqu'elle y a fourré plusieurs doigts, je ne saurais dire combien mais mon anus est si bien lubrifié que j'ai l'impression qu'elle pourrait y mettre la main entière. Soudain François se dégage du sexe de sa femme et me crie :

- Vite Louise, prends le, ta récompense arrive !

Je me jette sur cette queue gluante et l'engloutis d'un coup, à tel point que son gland me fait mal au fond de la gorge. Quelques secondes après de violents jets de sperme épais et brûlant se répandent dans ma bouche et manquent de m'étouffer, c'est aussi le moment d'avoir un nouvel orgasme dont la bouche Magali, toujours scotchée à ma chatte, est la première bénéficiaire. Dehors le soleil se lève et nous décidons d'aller tous ensemble aux douches du camping pour laver nos corps suintants et odorants avant de prendre un sérieux petit déjeuner. Mais comment donc ai-je pu me contenter de la masturbation pendant trois longues années, j'ai encore tellement de choses à rattraper que lorsque je quitte mes amis (ou plutôt amants) je les invite à venir dîner à la maison le soir même. Mais ceci est une autre histoire…

LOUISE de Strasbourg. 

Par Louise01 - Publié dans : Auteurs divers
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Mardi 17 juin 2003 2 17 /06 /Juin /2003 14:02

Initiation extrême par Dilomf
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RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Bonjour, voici comment j’ai découvert les joies et plaisir de la relation scato.

J’avais 19 ans lorsque je la rencontrai. Elle c’est Hélène, pas très belle, pas très intelligente mais 30 ans et lorsque qu’une femme de cette âge s’intéresse à un minot comme moi, je saute sur l’occasion. Elle est entrée dans ma vie pour quelques mois uniquement mais m’a ouvert des horizons que j’avais jusque-là ignorer.

Notre relation était uniquement sexuelle, basée uniquement sur le plaisir. La procédure de nos rencontres était toujours la même, elle m’appelait pour savoir si j’étais libre, me donnait un rendez-vous chez elle ou dans un bar et nous baisions comme des bêtes jusqu’à ce que nos corps soient repus de plaisir.

Un jour elle me laisse un message pour me donner rendez-vous dans un bar, je me présente à l’heure dite et elle est là, habillé très classe dans une jupe et tailleur. Je savais par expérience que cette tenue cachait des dessous extrêmement affriolants. Après avoir pris un verre et discuter de choses et d’autres, nous nous rendons chez elle. Là nous nous embrassons mais elle me repousse fermement.

– Bon j’en ai un peu assez des baises sans but, j’ai décidé d’y mettre un peu de piquant, veux-tu être mon esclave ?
– Ouais, si tu veux.
– Bien alors à partir de maintenant tu m’appelleras Maîtresse et tu m’obéiras, es-tu toujours d’accord ?

Je sentais à sa voix qu’elle attendait ma réponse avec une certaine anxiété, comme si elle craignait que je refuse ce jeu qui ne pouvait aller bien loin, au moins le croyais-je.

– Oui, cela me va.

Elle me demanda alors de me déshabiller entièrement, de croiser les mains derrière la tête ce que je fis. Elle prit ensuite tout son temps pour me détailler, laissant glisser ses mains sur mon corps, soupesant mes couilles, les caressant tendrement, me branlant doucement. Bientôt ma queue se mit à donner des signes de vie, se redressant fièrement. – Bien maintenant que tu es quelque peu échauffé, penche-toi en avant  » . Elle passa alors derrière moi, je sentais ses mains sur mon dos qui suivaient ma colonne, doucement comme si elle comptait le nombre de vertèbre, arrivée au bas de ma colonne, elle glissa un doigt dans ma raie culière, frôla mon anus sans s’y attarder, attrapa mes bourses qu’une fois de plus, elle caressa doucement puis alla s’asseoir dans le canapé ou je la rejoignis.

– Qu’est-ce que tu fais là ? Me lança-t-elle sur un ton n’acceptant pas la réplique.
– Ben je suis venu pour continuer ce que tu as commencé.
– Je vois que tu n’as pas tout compris, reprend la position ! et comme j’hésitais un peu… Plus vite que ça esclave !

Je me relevai pour me repositionner comme précédemment.

– Bon puisque tu ne m’obéis pas, que tu ne m’appelles pas Maîtresse et que tu réponds sans que je t’en ai donné la permission je vais te punir, cela va t’aider à mieux enregistrer ce que je te dis.

Je l’entendis fouiller dans un tiroir puis elle me demanda

– Combien de coups penses-tu que cela mérite ?
– 5 coups ! .

CLAC, une douleur sur les fesses, je ne pouvais pas voir ce qu’elle tenait à la main mais j’avais parfaitement entendu un sifflement avant la douleur, j’en déduisis donc qu’elle se servait d’un instrument.

– Tu dois m’appeler Maîtresse, à chaque fois que tu t’adresses à moi, ça te fera 5 coups en plus, compris ?
– Oui… Maîtresse.
– Bien et que je n’ai pas à te le rappeler, et maintenant compte !

Le premier coup de cette série me surpris par sa douceur

– Un.
– Comment, je n’ai rien entendu, tu ne me remercie pas de la peine que je prends à t’éduquer, on reprend à zéro

CLAC,

– Un, merci
– Merci qui ? on reprend à zéro !

Petit CLAC sur mes fesses

– 1 merci Maîtresse
– Voilà, tu commences à saisir, c’est bien

Petit CLAC,

– 2, merci Maîtresse.

CLAC

– Ouïe, 3 merci Maîtresse !

Au fur et à mesure que je comptais, les coups se faisaient de plus en plus dur. A sept elle s’est arrêtée, mes fesses me brûlaient et je les contractais le plus possible pour moins sentir la douleur. Je croyais qu’elle allait s’arrêter alors je me suis relâché et elle a profité de cet instant pour m’asséner le huitième coup. Enfin arriver à dix, elle m’autorisa à me relever mais pas à retirer mes mains.

– Te souviens-tu de la conversation que nous avons eu à propos des fantasmes, tu m’as avoué que tu nourrissais celui de te faire enculer, c’est toujours d’actualité ?
– Oui –

De nouveau CLAC sur mes fesses déjà endolori,

– Oui qui ?
– Oui Maîtresse !

Bien alors nous allons voir cela tout de suite. De nouveau elle farfouilla dans un tiroir derrière moi.

– Retourne toi !

Sur le meuble était posé un plug que je jugeai de bonne taille, sorte de ballons de rugby en taille plus réduite posée par la pointe sur un socle. *

– Je vais te l’enfoncer dans le cul, et comme je veux qu’il y reste, je vais le fixer par des sangles à la ceinture que je vais te passer à la taille, toujours d’accord ?
– Oui Maîtresse !.

Elle me donna donc une ceinture que je passais à même la peau puis elle me demanda de me mettre à quatre pattes, le dos bien cambré. Elle se mit devant moi et je pus la voir mettre du lubrifiant sur l’objet puis se mit derrière et le présenta devant mon anus. Je ne pus résister à la contraction lorsque je le senti approcher de mon trou, le froid du gel me surpris. Elle tenta une première fois l’intromission mais je résistai

– Détends toi, cela va aller, doucement, ça y est, il entre !

Disant cela elle le poussait toujours plus loin, je sentais mon anus se dilater pour laisser passer l’objet. Un instant j’ai cru qu’il ne pourrait aller plus loin sans me déchirer puis d’un seul coup je l’ai senti bien en place. Maîtresse Hélène a passé les sangles dans le plug et dans la ceinture puis m’a dit de me relever. Je le sentais en moi, corps étranger au plus profond de mon être, violant mon intimité. Un plaisir diffus mais bien réel m’envahissait au fur et à mesure que je le sentais mieux, que je l’appréhendais mieux. Elle est retournée s’asseoir sur le canapé et m’a demandé de me poster devant. Elle me demanda de remettre les mains derrière les mains derrière la tête et commença une fellation toute en jouant avec le peu de jeu que les sangles donnaient au plug. Ah ! Cette langue divine qui jouait avec mon gland, glissant dessus pour provoquer des sensations inoubliables. Et ce plug qu’elle faisait jouer dans mon cul. J’allais jouir quand elle s’arrêta.

– Non, continue ! Osais-je.

Une fessée magistrale enfonçant le plug encore plus loin accueillit ma demande.

– Tu ne demandes jamais plus rien pour toi, compris ?
– Bien maîtresse !
– Allonge toi par terre dans la salle de bain, mais avant retire le tapis de bain

J’y allais, sentant à chaque pas le plug bouger dans mon cul. La situation devenait de plus en plus délicate, je sentais qu’il était poussé vers l’extérieur par une envie qui devenait de plus en plus pressante mais je fis ce que m’avais demandé ma maîtresse. Elle ne tarda pas à apparaître à la porte, nue également. Je pus alors voir que contrairement à nos précédentes rencontres, elle s’était rasé le sexe ce qui me permit de voir le haut de son sexe. Quel bonheur de voir cet objet de désir, de convoitise. Elle se pencha vers moi, m’embrassa puis me donna ses seins à sucer. Quel régal que de sentir leur douce chaleur contre mes lèvres, le téton qui se dresse affectueusement sous mes coups de langue

– Tire la langue..

Et me voilà la langue tirée au maximum pendant que ma Maîtresse fait glisser son corps dessus. C’est étrange, je vois son corps défiler doucement au-dessus de moi, ses seins, sa poitrine, son ventre son nombril et me voici avec la langue sur son sexe, Il est ouvert par le désir et humide, je lèche avidement le liquide qui en nimbe les lèvres, chatouille le clitoris. Elle commence à s’éloigner alors je lève la tête pour suivre le mouvement mais Maîtresse Hélène m’attrapa par les cheveux et me plaqua la tête au sol. Elle ferma les yeux et je ne tardais pas à sentir un jet chaud sur mon visage. L’odeur qui en provenait ne laissait aucun doute sur son origine. J’ouvrais la bouche pour protester quand un deuxième jet arriva droit devant, sous la surprise j’avalais un peu de liquide qui s’avéra fort bon, presque sucré. Maîtresse Hélène surveillait au-dessus de moi mes réactions et quand le levais les yeux vers elle, je pus lire dans son regard une satisfaction certaine de me voir m’abreuver à sa source.

dom piss09– C’est bien, avale, je vais aller doucement !

Par petits jets elle commença à se vider sur moi, dans ma bouche sur mon visage mais la pression a dû se faire trop forte à un moment car elle se mit à uriner sans discontinuité pendant ce qui me parut une éternité. Elle avait dû boire énormément en attente de ce moment. C’est à ce moment-là que je réalisais que son plan devait avoir été penser et préparé longuement à l’avance J’adorais entendre le bruit que cela faisait, comme une fuite dans un tuyau sous pression.

Malheureusement, je ne pouvais pas regarder. J’aurais aimé voir sa fente ouverte libérant ce flot tumultueux. Une fois que cela fut finit, quand j’eus avalé ce que je pouvais elle m’embrassa à pleine bouche, lécha mes lèvres à la recherche des gouttes d’urine qui y serait encore. Puis elle me donna de nouveau son sexe à lécher. Je ressentais un grand bonheur à nettoyer ces lèvres ou perlaient quelques gouttes, à jouer avec le clitoris, à arracher à ma Maîtresse quelques râles de plaisirs. Mais sans doute ne souhaitant pas que je prenne trop de plaisir dans cette activité, elle se releva et me demanda d’en faire de même.

– Alors ce plug, apparemment, tu le supportes bien ?
– Cela commence à faire mal, ça pousse Maîtresse !
– Bien tu n’as pas oublié, tu es en progrès, tu pourras peut-être jouir avant que l’on se quitte, mais ça pousse, tu veux dire que tu veux… chier ?.

Elle savait que les mots vulgaires me mettaient mal à l’aise, sans doute les restes d’une éducation un peu stricte.

– Oui Maîtresse ! Avouais-je timidement.
– Bien, alors nous allons voir cela tout de suite, attends-moi ici, à quatre pattes au milieu de ma pisse, comme un chien qui attendrait sa maîtresse !

Aussitôt qu’elle me le demanda, je m’exécutai.

– Il m’a semblé que tu as aimé, alors tu vas lécher ce qui est par terre –

Je m’usais donc la langue à lécher le carrelage. Autant l’urine chaude est bonne, surtout quand elle provient de sa Maîtresse, autant l’urine refroidie n’est pas ma tasse de thé mais je m’appliquais à faire ce qu’elle m’avait demandé, ayant trop peur de me faire de nouveau punir, car qui sait ce qu’elle inventerait de nouveau. Elle revint au bout de quelques minutes, harnaché d’un gode de taille plus réduite que le plug, elle défit les lanières qui le retenait encore dans mon cul et le sorti tout doucement..

– Il faut que tu serres les fesses au moment où il va sortir complètement, je ne veux rien voir sortir de ton derrière d’autre que ce plug… bien parfait, maintenant je vais t’enculer, petite chienne ! .

Disant cela elle me rentra le gode d’un seul coup entre mes fesses serrés. Cela me fit mal sur le moment mais elle se mit à aller et venir. Je pouvais sentir le mouvement sur mon anus qui se tendait vers l’avant et l’arrière. Mon intérieur était tout remué. Quelle exquise sensation !

– Attention, je vais sortir, serre les fesses !

Une nouvelle fois je m’exécutai, toujours à quatre pattes, Elle se planta devant moi et m’ordonna de sucer.

– Mais Maîtresse, il est sale !
– Oui et alors, tu as bien bu ma pisse, alors tu vas nettoyer ta merde, exécution !.

Timidement, je léchai le bout tout couvert de la merde sorti tout droit de mon cul. Elle m’attrapa par les cheveux

– Je t’ai dit de sucer, pas de suçoter ! Et elle m’enfonça le gode dans la bouche.

Sur le moment, un haut le corps que j’eus du mal à réprimer m’envahit puis je fis abstraction de ce qui était sur le gode pour me consacrer sur le fait que je le suçais. L’odeur était acre, forte et la matière chaude. Elle se mit bientôt à aller et venir dans ma bouche comme précédemment dans mon cul. Elle sortit de ma bouche et frotta le gode sur mon visage, y étalant la merde que je n’avais pas prise dans la bouche. Tout à ma fellation, j’en oubliai mon derrière qui se détendit pour laisser échapper les matières fécales qu’il retenait depuis si longtemps. Maîtresse Hélène voulu reprendre place derrière moi et découvrit le tas échappé de mes intestins.

– Petit salopard, tu as chié dans ma salle de bain, tu vas me le payer, fais demi-tour !

Toujours à quatre pattes je me retournai pour me retrouver la tête au-dessus de ce bel étron. Elle glissa de nouveau le gode en moi et me demanda de mettre mes mains dans le dos. Dans cette position, elle appuya sur ma tête jusqu’à ce que je sois dans ma merde. Elle allait et venait en moi, m’écrasant que les chairs molles et odorantes que j’avais eu l’indélicatesse de déposer sur son carrelage. Elle m’attrapa la verge et se mit à me branler. Je ne tardai pas à bander comme jamais mais une fois de plus elle s’arrêta avant que j’aie pu jouir. Les coups de boutoir dans mon cul se faisaient de plus en plus rapide et chose surprenant que je ne m’expliquais pas, Maîtresse Hélène semblait sur le point de jouir elle-même. Pour moi le plaisir était toujours aussi fort, je n’aurai jamais imaginé que de se faire sodomiser soit aussi agréable, à ceux qui n’ont jamais essayé, je vous le conseille. A l’instant où elle jouissait, elle me tira la tête en arrière et me la rabattit face contre terre droit dans ma merde étalé. Puis elle se figea tout au fond de moi avant de se retirer.

– Ouahou !!! Tu m’as fait jouir petite merde, c’était vraiment bon ! .

Disant cela elle retira le gode et je vis alors que de son côté il y avait une petit protubérance, qui, je le devinais lui avais provoqué tout ce plaisir.

– Bien maintenant à moi de chier, allonge-toi sur le dos. Elle se positionna au-dessus de mon sexe, face à moi, penchée vers l’arrière. Je vis son anus se détendre, s’ouvrir pour laisser passer un bel étron brun qui vint s’écraser sur mon sexe à moitié dressé. Elle en libéra un deuxième de bonne taille qui suivit le même chemin que le premier.

– Branle toi dans ma merde !.

Je pris mon sexe dans la main et commença à me branler lentement, étalant la merde encore chaude sur mon membre qui reprenait des proportions correctes.

– Attends !-

Et je la vis se pencher et me prendre dans sa bouche. Sans aucune appréhension, sans hésiter, elle engouffra mon sexe plein de sa merde entre ses lèvres. Elle me pompait, m’avalait. Quand elle se redressa, ce fut pour m’embrasser à pleine bouche. Je sentis l’odeur sur sa langue, sur ses lèvres et le contact de la merde sur ses lèvres. Elle me caressa le visage étalant la merde qui s’y était collé pendant qu’elle me sodomisait puis retourna me sucer. Je n’osais pas bouger de peur qu’elle ne s’arrête, elle me pompait toujours plus vite, toujours plus loin, recrachant par moment une salive brune qui allait se mélanger avec ce qui était sur mon sexe. Puis elle descendit sur mes couilles et entreprit de les sucer tour à tour.

– Bien assez joué, branle-toi maintenant et jouis dans ta main !

Je m’exécutai sans attendre, soulageant ainsi la pression qui faisait rage en mon bas ventre. Il ne me fallut pas bien longtemps avant de jouir dans ma main comme elle me l’avait demandé.

– Et maintenant avale ton sperme !-

J’approchais la main de ma bouche, renâclant quelque peu à lécher le sperme en lui-même et surtout la merde sur lequel il reposait, tâche blanche au milieu de toute cette marée brune. Puis d’un seul coup je me jetai dessus et l’avalais avidement comme si c’était la meilleur des nourritures.

– C’est bien, tu vas faire un vraiment bon esclave mais pour le moment nous allons prendre une douche, vient avec moi ! .

Ainsi se termine cette histoire de la découverte du plaisir d’être esclave ainsi que de la scato. Bien sûr j’ai revu Hélène en de nombreuses autres occasions mais cela pourrait faire l’objet d’une autre histoire si vous le souhaitez. Dites-moi ce que vous en pensez à dilomf@yahoo.fr.

Postface du webmaster : Voici la première histoire contenant de la scato explicite qui a été publiée sur Vassilia. Il s’agit d’un choix délibéré. Après avoir pas mal hésité, nous avons décidé que ce fantasme avait droit de cité sur notre site. Nous avons veiller à en éviter les excès et les surenchères provocatrices, (mais sans non plus édulcorer, la scato reste de la scato). Comme pour le SM, notre choix privilégie uniquement le ludique et le consensuel. Nous ne nous sommes jamais laissé envahir et si l’uro est présente dans environ 50 % des contributions de ce site, nous n’entendons pas dépasser les 10 % pour la scato !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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