Vendredi 5 juillet 2002 5 05 /07 /Juil /2002 20:07

Un e-mail intrigant par Marine_et_Thibault

 

bisou1719

Thémes abordé : lesbos

Avant propos
Cette histoire à une histoire, J’ai reçu le texte qui va suivre au bureau
attaché par mail quelque temps avant le réveillon de l’an 2000.
L’expéditeur, je devrais dire l’expéditrice se planquait sous un pseudo chez
caramail.com. le mail, (que je ne l’ai pas conservé) disait à peu près ceci
:

Ma chère Marine !
Je me suis laissé dire que tu n’étais pas insensible aux charmes de
certaines femmes. Je me suis laissé dire aussi que mon look, mon visage et
mon corps ne devraient pas te laisser indifférente. Lis cette histoire, je
la trouve très belle, mais surtout, une fois que tu l’auras lu, si tu veux
me trouver, tu me trouveras car il ne peut en être autrement. Je t’embrasse
tendrement ! Et brûle d’impatience que ce baiser virtuel devienne un jour
réel !

Ce ton péremptoire m’amusait, je l’aurais lu de toute façon, mais j’ai
horreur des pressions même si elles sont tachées de bonnes intentions, aussi
ne me pressais-je pas pour la lire ! Et ce n’est qu’après ma journée de
travail que je sorti le texte imprimé et que j’en pris connaissance.
Lire une nouvelle érotique dans le bus, est une expérience rare, mais on
parlera de ça plus tard, place à ce récit mystérieux :

 

Plaisirs Partagés
Elodie est une grande brune, eurasienne par sa grand-mère maternelle, elle
en a hérité les cheveux noirs et raides, les yeux délicatement bridés et la
peau très légèrement mate. Nous nous sommes rencontrées dans une soirée
banale, et nous avons sympathisées rapidement. Nos maris aussi d’ailleurs,
et je ne fut pas trop surprise lorsqu’elle me téléphona quelques jours plus
tard afin que nous passions l’après-midi ensemble. Au programme: shopping et
salon de thé me proposa Elodie. J’acceptais et en retour l’invitais à dîner
chez nous avec son époux.
Je la retrouvais comme prévue devant la fontaine Saint-Michel ! Elle était
vêtue d’un ensemble tailleur rose bonbon assez chic, moi qui m’étais pointé
en jean et petit débardeur blanc sous une petite veste en toile noire,
j’avais presque honte…

 

Mais elle s’en fiche de ma tenue. On est contente de se retrouver, On
s’embrasse, on se met à déambuler dans les rues commerçantes tout en parlant
de choses et d’autres. Chiffons, modes; vacances le tout parsemé de rire et
de saine décontraction.
Elle craque pour une robe mignonne comme tout, peut-être un brin coquine.
Son mari adore parait-il. Elle finit par l’acheter !
Moi, j’ai plutôt fait dans les sous-vêtements et comme ce n’est pas tous les
jours la fête, j’ai fait dans le chic et le bon ton.
Essayages, commentaires, réessayages fous rires….
Draguées à plusieurs reprises ; on s’est fait offrir le thé par un monsieur
charmant et totalement inconnu qui n’en voulait qu’à notre vertu. Avance,
fous rires, moqueries, mots crus du bonhomme et séparation. Il nous a suivit
un moment et devant son insistance grossière, nous nous sommes réfugiées
dans un petit bistrot qui a possède une sortie arrière (ce cornichon
attendait devant ) j’ai proposé le repli vers mon domicile assez proche;
ultime refuge à nos vertus.
Apres une crise de rire supplémentaire, effondrée dans le canapé, la
discussion a dérivé sur le sexe. Habitude, goût, mari tout y est passé.

Encore deux heures à tuer avant le retour de mon époux et du siens, pour le
souper ce soir chez nous. Le repas est pratiquement prêt et seul le traiteur
n’a pas encore livré. Prévu vers 20 heures.
Elodie, calmée me demande un endroit pour essayer sa robe. Ma chambre tout
naturellement. Je la conduis et veux la laisser seule. Elle me retient.
- Nous sommes entre femmes, pas de problème ! Me dit-elle. Tu me diras ce
que tu en pense !
Elodie quitte sa veste de tailleur, fait tomber sa jupe. Elle est devant
moi, en soutien-gorge et culotte, des porte-jarretelles rouges et ses bas.
Elle tourne autour du paquet sans le moindre complexe; déplie la robe, la
présente devant elle, se regarde dans le miroir en pied et enfin se décide à
la passer. Je l’observe, elle est belle, bien faite et son mini slip couvre
à peine ses fesses et laisse deviner sa toison. La robe achetée est très
courte, avec un décolleté dans le dos qui laisse voir la naissance du
sillon. Je lui fais remarquer que son soutien-gorge gâche tout avec une
telle robe.
Pas de problème, elle dégrafe le fauteur de trouble et l’enlève
négligemment. Ses petits seins se tiennent parfaitement bien seuls. Elodie
veut voir dans son dos l’effet de sa robe. Moi suis assise sur le lit et la
regarde, un peu jalouse d’un si beau corps.

Elodie ouvre l’armoire pour mettre les deux miroirs face à face en disant :
- Je peux ?
Trop tard, le mal est fait, la porte ouverte sur mon linge intime et mes
petites affaires personnelles dont un vibromasseur qui est à peine dissimulé
sous mes petites culottes. Elle ne le voit pas heureusement, mais moi, je ne
vois que ça ! Elodie est trop occuper à se regarder et bouger avec sa
nouvelle robe. Elle me demande mon avis sur le décolleté qui laisse
apparaître un petit bout de culotte.
- Il faut porter ça nue dessous ce n’est pas possible ! Je n’avais pas vu
dans le magasin ! Mais mon mari va adorer !

Elle se lisse les fesses, ce cambre pour mieux voir. Essaye de repousser le
petit bout de culotte en dessous et finalement m’appelle à l’aide pour le
faire. Je suis derrière, elle a tenté de rentrer cette culotte indisciplinée
et finit par lui dire de la quitter, car en plus on la devine sous le tissu
de la robe. Je passe mes mains sous la robe et attrapant la culotte par
l’élastique la lui quitte sans réfléchir à ce que je fais. Le contact de mes
mains sur sa chair me donne un coup de fouet et je termine mon geste en
bredouillant des excuses.

Elle me regarde avec un drôle d’air et ne bouge pas un long moment, la
culotte à ses pieds. Elodie regarde dans la glace et m’observe, à genoux à
ses pieds, elle a rougi comme une collégienne, elle aussi.
Enfin, elle bouge et finit de quitter l’objet de notre gêne. Pour cela, en
équilibre, elle pose la main sur l’étagère, juste là où il n’aurait pas
fallu ! Sur mon vibro !. Elle le prend en main et me questionne des yeux :
- Pose ça
- C’est à toi?
- Oui laisse-le, remet l’en place!
- Tu t’en sers ?….. seule ? ….
- -….oui des fois
- Comment?
- -…….
Montre-moi?
- Sûrement pas, t’es folle!
Elle remonte sa jupe en me regardant et se passe l’engin sur le pubis.
- Comme ça?
- ……. Non… je me prépare avant….!
- Montre-moi ?
- Pas question, c’est toi qui es à poil !
- Bon !
Elle se dirige vers le lit, s’allonge sur le dos et jupe relevée commence à
se le passer sur le ventre, puis sur les cuisses qu’elle ouvre
progressivement.
- Arrête, c’est indécent !

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Mais je mes suis approchée d’Elodie et la regarde faire comme hypnotisée !
Je suis assise à cote d’elle et la regarde. Elle a fermé les yeux, allongée
sur le dos, sa robe est largement remontée sur son ventre, et elle passe
l’engin entre ses cuisses et le présente devant son sexe qu’elle ouvre avec
sa main libre. Elle est seule ne me voit plus.
L’engin la pénètre doucement, guidé par une volonté qui me dépasse et je ne
peux pas m’empêcher de lui caresser la cuisse qui est venue sur la mienne.

 

Il est en elle et elle commence un lent va-et-vient en ondulant du bassin
pour accentuer le mouvement de pénétration. Je la caresse autour de sa vulve
et sur son ventre. Je l’envie et j’ai envie. Le souvenir de ses fesses me
revient et ses seins, il faut que je les caresse. Elle se laisse faire. Je
tiens un sein dans ma main et le pétris doucement. Elle gémit, se cambre, se
cabre, jouit seule ou sous mes caresses, je ne sais plus. Je reviens vers le
vibro tout entier en elle, le lui prend des mains et déclenche la vibration.
Elle se cramponne à moi et arquée par des spasmes, jouit intensément en me
griffant les cuisses. Elle a filé mes bas, mais elle jouit encore et encore.

Je retire l’objet, elle le remplace un moment par ses doigts puis se calme
et le repose enfin. Apres un moment de quiétude, elle bouge doucement; mais
sa main remonte sous ma jupe et sans hésiter franchit la barrière de ma
culotte. Elle me caresse, je me laisse faire, étonnée d’accepter si
facilement une caresse intime de la part d’une femme. Elodie fait monter mon
excitation et cherche à m’embrasser. J’accepte son baiser long et chaud et
me détends dans ses bras. Elle me met nue avec délicatesse et parcourt mon
corps de baisers savants et doux. Sa main s’active de nouveau en moi et
enfin elle me lèche tout le corps, descend sur ma vulve ouverte et
entreprend un cunnilingus long, savant qui m’emporte au septième ciel. En
redescendant, je trouve sa vulve contre ma bouche et la happe avec
gourmandise.

Elle aussi est nue, ses seins contre mon ventre me font un effet
extraordinaire et je m’offre à nouveau à elle, l’encourage à reprendre ses
caresses. Je lui caresse les fesses et enfonce ma langue en elle, aspire son
liquide, lèche son anus et jouit d’elle en même temps. Elodie a trouvé mon
point sensible et me caresse l’anus, y pousse un doigt, sa langue, et enfin
y introduit mon vibro avec lenteur, ce qui déclenche une succession
d’orgasmes jamais connus avant. Elle me caresse, je la caresse découvre ses
fesses avec plaisir et les lèche. Deux petits animaux qui se découvrent et
s’aiment, se sentent, se touchent, jouissent l’une de l’autre, jamais
rassasiés. Les orgasmes se suivent et ne se ressemblent pas, toujours une
qui demande, l’autre qui donne sans compter.

Enfin dégrisées nous nous relevons, nous embrasons encore et encore.
Rhabillées, maquillées pour nos maris qui ne sauront jamais ce qui nous
unies. Secret de femmes, comme ils disent quand ils parlent de nous et de
notre complicité parfaite. Depuis ce jour nous nous retrouvons souvent, et
restons nues des journées entières, disponibles l’une pour l’autre, sans
tabous, juste notre plaisir

Julie

Voilà le genre de récit qui ne me laisse pas intacte, la force évocatrice de
ses mots a été trop forte. Je sens une humidité très caractéristique au fond
de ma culotte. Si j’étais seule de me masturberais sans attendre un instant.
Mais que voulez vous faire dans un bus. J’essaie d’appuyer mon sac à main
entre mes cuisses en restant le plus discrète possible, mais ça ne fait pas
grand chose. Le bus s’arrête. Non ce n’est pas ma station, mais beaucoup de
gens descende, libérant ainsi des places assises que des voyageurs debout ne
tarent pas à occuper.

Une femme s’assoit devant, moi, une belle eurasienne assez chic dan son
tailleur ose bonbon ! Son visage me dit vaguement quelque chose, mais je
rencontre tellement de gens… Mais… Quoi ? Une eurasienne avec un tailleur
rose !


- C’est vous qui ?
- Pardon !
- C’est vous qui m’avez envoyé un mail ?
- Un mail ?
- Excusez-moi, ce doit être une coïncidence !
Ouais, je sais bien que ça arrive, mais elle est forte cella-là ! Bon, n’y
pensons plus et vivement que je sois rentrée, je vais me faire une de ses
séances, je ne vous dis pas.
Ca y est, c’est mon arrêt, je descends, l’inconnue m’emboîte le pas, elle
est carrément à côté de moi !
- Vous me semblez avoir besoin d’aide ? Me dit-elle !
- De l’aide !
- Oui, je vais vous aider, donner moi le bras !
Je ne réfléchis même pas, me voilà aux bras d’une inconnue, nous marchons
une vingtaine de mètres ! Elle pile, me regarde, son visage est alors très
près du mien
- Je ne me suis pas présenté !
- Elodie ? Sans doute ?
- Embrasse-moi !

Ça, elle n’avait même pas besoin de me le demander…

FIN

Postface : Je ne vais pas me lancer dans le genre d’affirmation, ce récit
est vrai et patati patata… De toute façon les gens croient ce qu’ils
veulent. N’empêche que ce qui est au moins vrai de vrai c’est que j’ai bien
reçu ce récit par e-mail, que je ne sais pas d’où il sort (j’ai vérifié sur
tous les sites d’histoires que j’ai déniché). J’ai à peine retouchée la
rédaction, j’ai beaucoup retouché l’orthographe, et si l’auteur se
reconnaît, je ne demande pas mieux d’associer son nom à ce récit qui lui
appartient encore plus qu’à moi.

Marine et Thibault (et X) 2002

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Mardi 2 juillet 2002 2 02 /07 /Juil /2002 12:58

Ma voisine Artémise par Alexis Defond Rossignol

 

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Thémes abordés : humour lesbos, uro

Je vais vous narrer la fantastique anecdote qu’il m’est arrivé la semaine
dernière.

J’étais ce dimanche après-midi d’octobre à l’extérieur de mon modeste
pavillon de banlieue en train de ramasser des feuilles mortes, qui comme on
le sait se ramassent à la pelle, lorsque ma voisine Artémise, toute
paniquée, se mit à crier, à hurler, à gigoter, bref à s’agiter perchée sur
son balcon !
La croyant en grand danger, mon sang ne fit qu’un tour. Je vais, je cours,
je vole, je me précipite la voir et je finis par comprendre, après avoir
démêlé un déluge de mots, de phrases et autres borborygmes qu’elle a une
fuite importante sous son évier de cuisine et que cela éclabousse partout !
Banal, me direz-vous ! Banal mais gênant !

Je m’offre d’aller voir ce qui s’en suit. Retour chez moi ! Je m’empare de
la boite à outils.

· Ou vas-tu Basile ? Me demande Ginette ma tendre et chère !
· Je vais dépanner la voisine !
· La pétasse ?
· Pétasse ou pas, je ne peux la laisser au milieu de sa fuite !
· Elle n’a qu’à trouver un plombier ! Rétorque ma moitié qui a toujours été
très humaine.

Et je m’en vais chez Artèmise, sous un regard courroucé.

Décrivons Artémise tandis que je me rends dans sa demeure, c’est une « vrai
fausse blonde », les cheveux mi-longs et raides, le visage allongé, et de
grands yeux noirs, elle possède un genre, comment dire, elle possède un
genre, voilà c’est dit ! Elle porte souvent des pantalons qui lui moule le
popotin d’une façon très attirante pour mon regard qui s’égare assez
facilement sur ce genre de choses.

Une fois dans les lieux, j’entreprends de constater l’origine des dégâts et
lance doctement le diagnostic :

- On dirait bien, Madame la voisine, que cela provient d’un joint
probablement déficient !
- D’un joint déficient ! Ciel ! Mais où trouver des joints non déficients un
dimanche après-midi ?
- Mais j’en ai, chère voisine, j’en ai !
- Que dieu vous bénisse, Basile ! Euh… Je peux vous appeler Basile, n’est ce
pas ?
- Mais volontiers puisqu’il se trouve que c’est mon prénom !
- Et appelez-moi donc Artémise !
- Ce sera plus simple en effet !

Premièrement, aller couper l’arrivé d’eau, deuxièmement opération pinces
pour dévisser les tuyaux. Et tandis que j’opère, couché sur le dos sous
l’évier, je vois Artémise, placée tout près, qui me regarde. Je note qu’elle
est en jupe ce qui chez elle est plutôt inhabituel, que cette jupe est assez
courte et de ma position, je vois l’espace nu de ses cuisses en haut de ses
bas ! Parce qu’elle met des bas, Artémise, première nouvelle ! Mais à cette
vue, je bande déjà ! Et c’est en pleine érection que je réussis à changer
les joints des tuyaux de madame.

- Ben voilà ! Répondis-je, toujours couché sous l’évier !
- Vous êtes un rapide, vous, je vous dois combien ?
- Mais rien du tout, c’est un service, voyons !
- Taratata, qu’aurais-je fais sans vous ! Si vous ne voulez pas d’argent
sans doute puis-je vous remercier autrement ?

Alors là, je ne sais ce qui me pris, mais prenant mon courage à deux mains
(et aidé de ma formidable érection !) Je lui demande si elle veut placer ses
deux jambes de chaque côté de mon corps encore étendu sur le dos. Comme ça,
pour la simple beauté de la vue ! Je ne peux voir son visage et ignore
comment elle va prendre ça ! Si elle le prend mal, je pourrais toujours me
rétracter hypocritement en disant que je disais cela pour plaisanter, tu
parles !

Ben, non, elle s’exécute Lorsqu’elle a pris position, je me glisse lentement
directement sous sa jupe afin d’y voir sa petite culotte d’un blanc
immaculé. Ainsi de mon emplacement, je me délecte de cette vision en notant
au passage qu’elle respire de plus en plus rapidement. Je lui demande
ensuite de ne pas bouger et je change de position (de sens si vous voulez !)
afin de pouvoir regarder son magnifique cul que j’avais déjà observé
furtivement auparavant. Je ne pense plus prendre grand risque en lui avouant
que son cul m’a toujours fait bander et que j’y pense souvent lors de mes
séances masturbatoires.

Je lui demande ensuite si je peux en voir un peu plus et en guise de
réponse, elle se penche un peu vers l’avant et me tend son splendide
fessier. Très lentement, je lui enlève sa jupe pour regarder ce cul et une
partie de son mont de vénus qui est partiellement sorti de sa petite
culotte, culotte à propos de laquelle je constate qu’elle se mouille quelque
peu. Je vois par la suite qu’elle s’est passé la main entre ses cuisses afin
de m’offrir le spectacle d’une masturbation avec un déhanchement lascif…

Ne pouvant plus me retenir, je baisse mon pantalon et me met à me branler
furieusement en regardant ce spectacle qui se déroule à quelques centimètres
de mon visage. Constatant mes manœuvres, elle se penche un peu plus en
bloquant ma main qui me branlait et me dit d’arrêter cela, de me conserver
pour plus tard. Je décide de passer à un rôle plus actif et je lui enlève sa
culotte. Quel spectacle ! C’est encore mieux que dans mes rêves ! Commençant
à sentir ses effluves, je ne résiste pas et je m’abats sur son sexe tout
mouillé avec ma bouche et je me mets à le lécher goulûment. Elle abandonne
sa main et me laisse tout le loisir avec ma langue et mes mains et je la
sens qui vient, elle se trémousse en spasmes violents.

Lorsque ses tremblements sont terminés, elle se met à quatre pattes sur moi
pour un soixante-neuf et se met à me manger furieusement pendant que je la
broute à qui mieux-mieux. Je ne peux résister à cette sensation et ne me
retiens plus, je me décharge sans retenue au fonds de sa bouche et elle n’en
laisse pas passer une goutte et continue à appliquer une succion qui finit
par me faire mal. Elle se relève et me dit qu’elle est déçue, qu’elle
voulait que je la défonce. Je l’informe qu’elle n’a pas à être déçue,
qu’elle n’a qu’à attendre un peu. Elle se penche alors sur moi et se met à
me branler doucement et y jetant un petit coup de langue de temps à autre.
Je reprends vie assez rapidement et finis de la déshabiller. J’en fais
d’ailleurs de même.

- Oh Basile ! Dit-elle soudain ! Je vais revenir, j’ai une de ses envies de
faire pipi !
- Mais Artémise, savez-vous que j’adore regarder une femme en train d’uriner
! Et que ce spectacle ne m’a été que trop rarement offert ! Serait-ce trop
vous demander de m’en faire profiter ?
- Voudriez-vous m’informer par-là que vous n’êtes qu’un gros cochon ?
- Ronk-Ronk ! Répondis-je !
- Alors je vais faire plaisir à ce gros cochon, et je crois même que je vais
lui pisser dessus !
- Je serais alors vraiment comblé !

Honey08bElle ne cause plus, elle pisse, elle m’en fout partout, et
quelques éclaboussures viennent atterrir dans ma bouche, voyant que mes
babines en sont alléchées, elle vise carrément mon gosier en riant à gorge
déployée ! Elle est belle toute nue, elle a des nichons aussi superbes que
son splendide derrière. Je lui mordille les seins tout en lui passant deux
doigts dans la foufoune. Je lui demande ensuite de se remettre debout contre
l’évier afin que je matte encore son cul dans la même positon que tout à
l’heure. Elle s’exécute et je me mets aussitôt à lui manger son cul et sa
chatte encore baignée d’urine. Après une seule minute de ce manège, je suis
de nouveau en moyen et je me mets aussitôt à la pénétrer par l’arrière (mais
pas par le petit trou). Je la pistonne énergiquement en lui empoignant les
seins. Elle finit par jouir en même temps que moi comme une déchaînée en
lâchant des cris d’allégresse.

- Ça va ? Artémise !
- Oui, Basile, ça va, mais n’est-il pas de tradition dans les histoires de
fesses, de terminer par une sodomie ?
- Vous auriez voulu, Artémise, que je vous enculasse le fion ?
- Que vous m’enculassiez, certes, mais le pourriez-vous Basile ?
- Que nenni ! Que nenni ! Mes couilles sont à présent aussi vides que le
cerveau d’un Skin-Head !
- Et combien faudra-t-il de temps à ces petites coucouillettes afin qu’elles
se rechargeassent ?
- Comme le fut du canon, un certain temps, chère Artémise !
- Soyez sérieux Basile ! Je brûle déjà d’avoir votre dard dans mon trou du
cul ! Déjà je languis, si en plus, je ne sais pour combien de temps !
- Alors, disons une heure !
- Je t’appellerais !

Rentré chez moi, j’affrontais de nouveau les sarcasmes de ma régulière !

- Tu lui as pris combien !
- Rien, c’était juste un joint !
- Faut jamais faire ça ! Au prochain problème, elle va te rappeler, et toi
pauvre type, tu vas courir, tout cela parce qu’elle a un gros cul !
- Un beau, pas un gros !
- Quoi ! Que dis-tu ? Qu’ouis-je ? Qu’entends-je ? Qu’esgourde-je ?
- Mais non c’est de la provoc’, ma chérie, veux-tu que je t’aide à éplucher
les petits pois ?

Je regardais la pendule, anxieux, ne sachant trop comment j’allais gérer la
situation.

- Dring Dringgggg

Putain de téléphone de merde ! Et c’est Ginette qui répond !

- C’est la pétasse, ça recommence à fuir !

Je prends le combiné, préviens Artémise que j’arrive, et déjà me voilà
rebandé, je me mets mes chaussures quand j’aperçois Ginette qui se prépare à
sortir.

- Mais Ginette ou prétends-tu aller un dimanche soir ? Quitterais-tu le
domicile conjugal ?
- Mais non, Basile, je viens avec toi, je vais en profiter pour lui demander
quel truc elle a pour avoir de si jolis crocus dans son carré de fleur, elle
ne pourra pas refuser de me le dire !

Horreur ! Comment lui dire de ne pas m’accompagner ! Je ne trouve pas ! Et
puis elle va se rendre compte que la fuite n’en est plus une !

- Ben alors, on y va ou pas ? S’impatiente-t-elle.
- Ben oui, on y va
- Et tu ne prends pas ta boite à outils ?
- Mais si j’allais la prendre, voyons !
- Je te trouve bien bizarre !

Je devais ressembler au gladiateur qui s’en va dans l’arène sans savoir s’il
s’en sortira ! Oh ! la la !
La tête d’Artémise nous voyant arriver tous les deux ! J’essaie d’avoir la
réplique intelligente :

- Ginette m’a accompagné, elle veut vous demander quelque chose à propos de
vos crocus !

J’essaie tout en parlant, de lui faire un signe de tête pour qu’elle
comprenne que d’une part je suis désolé de ce contre temps, que de deux je
ne sais pas si je vais savoir bien le gérer, et que de trois que la petite
enculade dans son postérieur est donc remise à une date ultérieure

- Oui ! Ça fuit à nouveau depuis une dizaine de minutes ! Me dit-elle.

Quel sens divin de la mise ne scène, cette merveilleuse Artémise devrait
faire du théâtre tellement sa réplique est clinquante de vérité ! Quelle
femme merveilleuse ! Non seulement elle a un beau cul, mais si en plus elle
fait dans l’art dramatique…

Pourvu que Ginette ne nous suive pas ! Ben si elle nous suit, ça va mal
finir, je le sens, je le sens ! Sauf qu’arrivé dans la cuisine, la marre de
flotte n’avait rien ni de virtuel, ni de théâtral, elle était là ! J’avais
tout simplement réparé comme un con ! Fichtre de fichtre, mais cela me
permettait au moins de ne point perdre la face ! Je recoupe l’eau, je
replonge sous l’évier, je redevisse, je refais tout très lentement, très
méticuleusement, sans me laisser troubler par qui que ce soit, et d’ailleurs
elle est où Artémise ? Ah bien sûr ! Elle doit être en train de causer
« petites fleurs » avec la Ginette ! Je re-contrôle tous les joints, je
revisse, je me lève, remet l’eau tout seul comme un grand, n’aperçoit pas
les deux nanas ! Je retourne sous l’évier, j’y reste cinq minutes guettant
l’apparition d’une éventuelle perverse goutte d’eau ! Puis ne voyant rien
venir et satisfait du travail enfin accompli, je me redresse !

- Ça y est, cette fois, c’est vraiment réparé !

Pas de réponse ! Un coup d’œil dans le jardin ou elles ne sont point ! Des
bruits viennent du fond de l’appartement, la chambre sans doute !
Probablement qu’après avoir épuisé leurs échanges horticoles, elles en sont
à parler chiffons !

- Aaaaaah vas-y c’est bon !

Mais qu’elle est cette réplique ? En voilà une drôle de façon de parler
chiffon ! C’est alors que devant mes yeux étonnés, j’aperçois Ginette, la
tête enfouie entre les cuisses écartées d’Artémise lui lapant la chatte à
grands coups de langue telle une forcenée !

- Basile, mon garçon ! Me dis-je alors. Ne fait pas l’erreur d’intervenir,
regarde discrètement et tiens-toi prêt au cas ou elles t’appelleraient… au
cas où…

Alexis

Tous mes remerciements à Luc (et à Lucie) qui m’ont fourni la trame

Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
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Mardi 18 juin 2002 2 18 /06 /Juin /2002 14:18

Un petit café chez Sandra

par Sandra et Claude

 

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Ce texte a été publié il y a plusieurs années sur un grand site d'histoires érotiques par Helena sans que l'auteur ne se manifeste. Il peut, bien sûr, toujours le faire ! Mais il aurait été dommage que ce très bon texte "bi" ne figure pas en bonne place parmi les histoires publiées ici !

Un petit café chez Sandra

Au volant de ma voiture, j'avais de la difficulté à me concentrer sur la route. J'allais enfin rencontrer Sandra en personne. Cela faisait déjà un bon moment qu'on avait fait connaissance sur un forum de discussion. Ce matin-là je m'étais connecté avec l'espoir de la trouver en ligne. Non seulement elle était là, mais elle a accepté mon invitation à prendre un café.

J'étais ivre d'anticipation, serait-elle ce que je m'attendais ? Nos conversations sur le net étaient-elles un indice de ce qui allait se produire ? Était-elle prête à tromper son mari ? J'en savais rien. Cela faisait déjà quelques temps qu'on partageait nos fantasmes et nos désirs les plus intimes sur le net et on avait parlé au téléphone une fois. J'avais été enchanté par sa voix douce et sensuelle, elle m'avait mis hors de moi en me disant ses fantasmes les plus chers. Mon cœur battait tellement fort j'avais peur d'avoir un malaise.

J'ai réussi à me rendre tant bien que mal à l'endroit prévu pour notre rendez-vous. Serait-elle là ? Changerait-elle d'avis à dernière minute ? Je me suis présenté avec quelques minutes d'avance. Devant les portes du café convenu comme lieu de rencontre je vois une fille qui attend... c'est elle ? D'un air distrait, elle me regarde approcher. Mes doutes disparaissent quand je la vois un magnifique sourire se dessiner sur son visage. Elle est telle qu'elle s'était décrit et plus. Elle a des grands yeux vifs et un regard innocent qui la font paraître beaucoup plus jeune que ses vingt-cinq ans. Je presse mes pas, je lui serre la main et je l'embrasse sur la joue d'un baiser nerveux, en touchant à peine son visage.

- Sandra ?

- Oui. Comment ça va ?

- Très bien... Heu... hmmm... Je suis très content de te rencontrer... Uhh... s'cuse-moi si je ne sais pas trop quoi dire... Tu es vraiment ravissante.

- Merci... Moi aussi je suis un peu nerveuse...

- On va à l'intérieur ? On fera mieux connaissance devant une tasse de café.

- C'est pas nécessaire. J'ai l'impression de te connaître déjà comme un vieil ami. Viens chez-moi, on sera mieux à l'abri des regards.

Je n'ai pas hésité une seconde avant d'accepter son invitation. J'avais seulement un doute :

- Ton mari n'est pas là ?

- Il est au bureau. Il ne sera pas là avant sept heures... Alors tu viens ? T'as ton auto ? Je suis venue à pieds, j'habite à dix minutes d'ici.

Il commençait à pleuvoir et on a couru s'abriter dans l'auto. À l'intérieur, l'imper qu'elle portait s'est ouvert et m'a permis de découvrir une paire de jambes divines. Elle portait une jupe très courte en dessous et je ne savais pas si elle faisait exprès pour montrer le plus de peau possible. Pendant qu'elle me montrait le chemin à prendre, je jetais des regards furtifs en sa direction. Une bosse imposante prenait déjà forme sous mon pantalon. Elle n'a pas fait semblant de rien voir, au contraire elle m'a regardé directement dans les yeux en passant lascivement sa langue sur ses lèvres.

La voiture s'est arrêtée devant sa porte et nous sommes rentrés d'un pas rapide.

Sa demeure était décorée avec goût. Je me suis assis sur un divan moelleux au salon pendant qu'elle fermait les stores et m'offrait un verre. Assise sur la causeuse, elle m'a fait signe d'approcher. Nous avons commencé une conversation sur nos différents intérêts, j'ai complimenté sa maison en buvant lentement ce qu'elle m'avait offert. Après seulement quelques minutes, j'ai senti sa main effleurer ma jambe, qui était près de la sienne. Elle a pris le verre que j'avais encore dans ma main et l'a placé sur la table à café.

C'est toujours indescriptible cette sensation du premier baiser. J'ai senti sa bouche se poser sur la mienne et c'est comme si un éclair avait touché à terre. Nos langues se sont entremêlées. La sienne avait un goût de miel et amandes en pénétrant ma bouche. J'ai caressé l'intérieur de sa bouche avec des va-et-vient furtifs de ma langue. Elle a mis une jambe à chaque côté de moi et s'est assise sur mes genoux. Me devançant, elle a pris chacune de mes mains et les a posés sur ses hanches voluptueuses.

J'ai caressé chaque partie de son corps d'une main fébrile. Ses fesses et ses seins étaient d'une douceur infinie. Très habile, elle commençait à défaire mes boutons de chemise et ceux de sa blouse sans briser notre baiser. Elle a défait mon pantalon avec la même adresse, puis j'ai vu ses mains baisser sa jupe qui ne tenait que par un élastique. Elle s'est mise débout pour la laisser glisser à ses pieds. Sa blouse défaite et sa chevelure en désordre, elle avait l'air d'une femme dans tous ses états.

Elle m'a aidé à baisser légèrement mon pantalon et est venue coller encore une fois son corps au mien. Cette fois en m'embrassant sur le cou et la poitrine, elle a réussi à sortir mon sexe déjà surexcité de sa prison. Tout en lâchant des petits râlements, des oh ! Et des ah ! Elle commençait à me masturber lentement. Sa main massait la hampe de mon membre rigide, soupesait le sac se forçant sous mes caleçons, serrait le nœud fermement. Elle a descendu son corps pour se mettre à genoux entre mes jambes, traçant son chemin sur mon cou, ma poitrine et mon ventre avec sa langue humide.

J'ai senti sa bouche se serrer comme un étau autour de ma queue. Levant les yeux vers moi, elle a commencé une succion répétitive. Son visage était comme illuminé pendant qu'elle s'activait à prendre le plus possible de ma bite dans sa bouche gourmande. Elle était devenue une mangeuse de queues. Si elle ne faisait pas attention, elle allait vite recevoir une abondante décharge de sperme à avaler.

Son regard s'est égaré, elle semblait se concentrer sur cette pipe comme si la queue qui remplissait sa bouche était la seule chose au monde, de temps en temps elle la sortait de sa bouche et la léchait à grands coups de langue. Cela me permettait d'éviter un orgasme trop vite venu tout en me donnant d'agréables sensations. Puis, elle m'a dit :

- Vas-y... Tu peux décharger dans ma bouche... J'aime ça.

Et elle a entamé une pipe endiablée. Elle me branlait d'une main en suçotant sur le nœud de ma bite. C'était presque violent. Mon dos s'est cambré, mes jambes ont raidi et j'ai senti ce courant électrique qui précède la jouissance. J'ai giclé avec beaucoup de force une abondante quantité de liquide visqueux et chaud. Elle a arrêté son pompage que lorsque ma queue était devenue tellement sensible que c'était douloureux. Puis elle a remonté vers moi. Son visage était radieux.

- Tu n'as pas échappé une seule goutte.

- C'est mieux comme ça... Pas de gaspille.

- Merci. C'était magnifique... Mais je n'ai même pas caressé ton sexe. Je voudrais te donner autant de plaisir que toi tu m'as donné.

- Tu l'as déjà fait. J'ai joui sans me toucher... Mais si tu veux me caresser, je suis toute à toi.

En disant cela elle a écarté de son sexe sa petite culotte. Il suffisait d'un coup d'œil pour voir que sa forêt était inondée. Sa toison reluisait tellement elle mouillait. J'ai pu voir des longues coulées de jus qui descendaient le long de ses jambes.

Une envie soudaine de plonger mon visage entre ses jambes m'a secoué. Je voulais fouiner chaque recoin de sa fente avec ma langue. Laisser ma bouche éponger ses sécrétions généreuses. La prenant presque violemment par la taille, je l'ai fait s'étendre sur le sofa. Elle semblait amusée par mon empressement. Je me suis rué sur elle, j'ai commencé par embrasser sa bouche comme un affamé. Elle goûtait encore moi. J'ai léché et sucé son cou et ses épaules, je me suis attardé spécialement sur ses seins, que j'ai tété et mordillé avec délectation. Ses mamelons ont dressé tout de suite et elle a gémi un peu en s'abandonnant à mes caresses. J'ai frayé mon chemin le long de son ventre, son odeur de femelle commençait à remplir mes narines.

Quel plaisir que de trouver enfin l'objet de mes convoitises ! Ses jambes écartées, son sexe était offert à moi et à mes caresses buccales. J'ai placé sous ses fesses un coussin qui se trouvait sur le divan. Sa chatte était toute baveuse et gluante déjà, elle baillait légèrement et une traînée de jus allait échouer sur son anus rosé.

Son corps a raidi au premier toucher de ma langue sur son sexe. Ouvrant un peu sa fente avec mes doigts, j'ai trouvé petit son bouton sans difficulté. Il était tout rouge et demandait de l'attention, dressé comme une petite bite. Je l'ai roulé sur le bout de ma langue, je l'ai pris dans ma bouche pour l'aspirer, je l'ai massé en le pinçant entre mes doigts. J'ai léché son con au complet, sans rien négliger. Je le lapais comme un chat. Ma langue défilait tout le long de son sexe qui me gratifiait avec son liquide doux-amer. J'ai plongé ma langue dans son vagin, en le léchouillant l'entrée, j'ai pu sentir ses contractions qui voulaient emprisonner ma langue à l'intérieur. Puis, j'ai glissé ma langue vers le bas. Son anus s'est ouvert sans objections à mes attaques buccales, pendant que jouais avec son clito. Son orgasme m'a surpris tant par sa violence que par sa durée. En sentant ses frémissements, j'ai sorti ma langue qui fouinait les plis de son petit trou pour aller coller ma bouche sur son sexe fumant.

J'ai vite été récompensé par une coulée succulente de jus féminins. Ses jambes ont emprisonné ma tête, m'empêchant presque de respirer. Des longs flots de liquide salé ont rempli ma bouche et sont descendus en grosses gorgées chaudes.

Je ne sais pas si elle a crié, car j'avais les oreilles bouchées par ses jambes, mais son orgasme a duré ce qui me semblait être des longues minutes. Je n'ai pas arrêté de lui brouter la chatte que lorsque son corps s'est détendu et elle est restée molle comme une poupée de chiffon.

Je me suis assis à côté d'elle pour qu'on reprenne notre souffle. Mon sexe avait repris ses forces pendant que je m'occupais d'elle, mais elle avait l'air épuisée.

- Merci. C'était trop bon. Tu manges toujours aussi bien les chattes ?

- Je t'avais dit que je suis très oral. Je pourrais faire ça pendant des heures entières...

- C'est parfait ça ! Moi je pourrais me faire manger comme ça pendant des heures.

- Dommage... Ton mari va arriver trop vite. On n'a pas des heures devant nous.

- Tu sais quoi ? Elle m'a dit d'un ton presque moqueur.

- Quoi ?

- Tu te rappelles une fois... Tu m'as dit avoir un fantasme... Ça te tentait d'avoir une relation à trois... avec un mec bi ?

- Oui... Mais c'est pas mal difficile de trouver un couple partant.

- T'as toujours envie de le faire ?

- Bien sûr... Si l'occasion se présentait.

- Ok. Tu sais quoi encore ? Tu ne vas pas te choquer ? Mon mari n'est pas au bureau... Il est là derrière la porte du placard et il a tout vu.

- Heu ? !!

Mon cœur a fait un saut. Je ne m'attendais surtout pas à ça. Elle avait mal à contenir son fou rire quand elle a vu l'expression sur mon visage. J'ai retourné la tête en direction du placard à l'entrée et j'ai vu la porte s'ouvrir. Son mari est sorti comme si rien n'était et s'est dirigé vers nous. Il n'avait pas du tout l'air d'un mari cocu. Il était plutôt souriant. Il ne portait qu'un t-shirt et des boxers... L'image de quelqu'un qui profite d'une journée de congé à la maison pour flâner et pour... regarder sa femme s'éclater avec un autre mec !

- Salut... Ça va ? Moi c'est Claude.

- Euh... Oui ça va... Juste un petit peu surpris.

- T'en fais pas... Toi tu ne le sais pas, mais des fois quand tu chattais avec Sandra j'étais à côté d'elle et je te lisais. On aurait dû te dire tout de suite qu'on serait trois à la table mais elle a préféré te surprendre. Je suis content aussi parce que j'ai trouvé ça très hot de vous voir en cachette. J'espère que tu n'es pas choqué.

- Non pas du tout. Mais si vous me faites ça encore une fois je vais mourir d'une crise de cœur. Vous êtes sûrs qu'il n'y a plus personne de caché quelque part ?

- On est sûr !

L'ambiance commençait à être détendue. Ils avaient l'air d'un couple très complice et bien dans sa peau. Lui aussi avait une mine très jeune. Il était un bel homme dans la mi-vingtaine mais ses cheveux bouclés lui donnaient une apparence de gamin. Du coup, l'érection que j'avais perdue avec la surprise revenait. Ma queue commençait à s'enfler de nouveau. Les possibilités qui se présentaient maintenant étaient très excitantes. Sandra a parlé la première :

- Et si on passait dans la chambre ? On va être beaucoup plus confortable.

Elle n'avait pas terminé de prononcer ces mots qu'elle était déjà en route. Nous l'avons suivie dans la chambre sans perdre du temps. À partir de là tout s'est passé comme si on avait l'habitude de faire ça. Elle a sauté sur moi et m'a dépouillé de mes vêtements en riant comme une gamine. Son mari pendant ce temps ôtait le peu de sous-vêtements qu'elle avait encore. En le disant, on était nu, Sandra et moi. Il ne restait que Claude. Je l'ai aidé à enlever son t-shirt et Sandra, toujours rieuse, s'est accroupie devant lui pour faire descendre son boxer.

Elle a dévoilé un sexe semi-rigide. Ses bourses étaient rasées, ainsi que la base. Il ne gardait qu'une petite touffe entre la queue et le nombril. Je me suis senti presque jaloux. Sa queue n'était pas plus grosse que la mienne (de toute façon je ne suis pas si insécure que ça), mais elle était vraiment belle. Sandra s'est mise à lui caresser les jambes. Elle ne riait plus et avait pris un air sérieux.

Elle a pris son sexe entre ses mains et a amorcé une masturbation sur le membre de son mari. Je voyais sa queue grossir à vue d'œil. Elle caressait partout autour de cette queue qui pointait maintenant vers le plafond. Elle m'a fait signe d'approcher. Debout devant elle comme lui, elle a pris nos deux pieux entre chacune de ses mains. Elle nous masturbait lentement, on aurait dit qu'elle était fascinée par ces deux membres qui étaient durs seulement à cause d'elle. Elle pesait nos couilles comme pour essayer de voir lesquelles étaient plus dures. En nous tirant par la verge, elle nous a fait approcher de son visage.

Mon sexe est le premier qu'elle a embouché. On aurait dit qu'elle avait l'eau à la bouche, tellement c'était mouillé et chaud dedans. Sa salive coulait sur son menton et allait retomber sur sa poitrine haletante. Puis elle a retiré ma queue pour la remplacer par celle de Claude. Elle n'a jamais arrêté de nous branler simultanément, gardant un rythme constant.

Après avoir passé d'une queue à l'autre plusieurs fois, elle s'est arrêtée sur la mienne. De sa main droite elle a tiré sur celle de son mari pour le forcer à s'accroupir à son tour. J'ai tout de suite deviné ce à quoi elle voulait en venir.

Très vite j'ai eu devant moi ce couple libertin qui s'en chargeait de me sucer en tandem. Il n'avait pas autant d'expérience dans les fellations que sa femme mais il n'était pas maladroit pour autant. Il mettait beaucoup d'effort à aspirer ma bite dans sa bouche devant les yeux médusés de Sandra, qui venait parfois prendre la relève ou donner quelques coups de langue à mes couilles.

Puis elle a fait mettre Claude debout. Répétant ce qu'elle avait fait à son mari, elle m'a fait mettre à genoux à côté d'elle. Droit devant mon visage, son sexe paraissait plus gros qu'avant. Sans hésitations, j'ai foncé vers lui et je l'ai embouché d'un seul coup. Sandra ne faisait que regarder la plupart du temps, mais elle venait à l'occasion m'aider dans la fellation de son mari. Du coin de l'œil je la voyais se tripoter les seins et sa main qui frottait entre ses jambes avec insistance. Elle aimait le spectacle devant elle, dans son visage on pouvait lire le plaisir qu'elle retirait en se branlant avec notre show.

Sandra est venue se coller à mon oreille et elle a chuchoté quelque chose qui m'a donné des frissons :

- Je veux qu'il t'encule.

Elle m'a pris par les mains et m'a fait approcher le lit. J'avais les jambes en gélatine. D'une part j'étais terriblement excité, d'autre part j'avais terriblement peur. Elle m'a fait mettre la tête sur le lit. J'étais presque à quatre pattes. J'ai senti deux mains qui écartaient mes fesses et une langue mouilla mon anus de salive. J'ai regardé Claude à côté du lit et j'ai su que c'était elle qui perçait mon cul. Elle me caressait si bien avec sa langue ! Elle la passait partout : sus mes couilles et sur mes fesses, mais surtout dans mon cul.

Elle a fait mettre Claude derrière moi et a placé le nœud de son sexe dans l'entrée de mon cul vierge. J'ai retenu ma respiration un moment, en sentant cette queue qui commençait à percer. Je m'attendais à plus de douleur, mais elle s'est assuré que Claude prenait son temps et mon cul était vraiment trempé de salive. Après un moment, je le sentais commencer un va-et-vient dans mon anus. Elle me branlait tranquillement au début, après elle a pris la main de Claude et l'a mise sur ma verge pour qu'il s'occupe de moi et elle est venue se placer devant moi. Assise sur le lit, les jambes bien écartées.

Claude me fourrait de plus en plus fort et de plus en plus vite et moi je léchais Sandra avec la même force, sinon plus.

J'ai senti Sandra tirer sur mon épaule et j'ai tout de suite compris ce qu'elle désirait. Marchant sur mes genoux et sans arrêter mon enculage, je l'ai rejointe sur le lit. Maintenant couchée et les jambes bien écartées, je n'ai pas perdu de temps et je me suis enfoncé en elle, profitant des coups de bite que Claude donnait dans mon derrière.

Elle semblait hors de soi. M'embrassant passionnément et me disant des noms à l'oreille.

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- Petit enculé.... Ahhh... hmmm... Je le sens en toi... Hmmm vas-y enculé, baise-moi encore plus fort.

Son vagin caressait chaque nerf de ma queue et j'avais le cul à vif. Claude me défonçait le cul comme un déchaîné maintenant. Je savais qu'il allait jouir en moi bientôt. La pièce au complet sentait le cul et on entendait les bruits de nos sexes moites dans nos orifices encore plus humides.

Elle a joui la première. Les contractions de son vagin sur ma queue ont eu un effet incroyable. Le cul bien rempli, mon orgasme a été dévastateur. Très long. J'ai serré le cul en même temps, ce qui a fait Claude m'envoyer un arrosage de foutre gluant dans le cul.

Épuisés, nous sommes restés comme ça pendant des longues minutes. J'ai senti Claude débander et abandonner mon cul meurtri, laissant échapper une abondante coulée de sperme de mon boyau. Je suis resté accouplé à Sandra pendant un moment mais finalement ma queue a dégonflé et quitté la gaine qui l'accueillait.

On était trempé de sueur et après un bref repos nous avons sauté sous la douche. Sandra et Claude se sont montrés très sympas, m'offrant de rester à dîner et même à passer la nuit. Pendant qu'on mangeait un excellent repas arrosé de vin rouge, Sandra m'a rappelé un fantasme qu'elle avait partagé avec moi avant :

- Tu sais ? J'adore la sodomie et j'aimerais toujours avoir deux hommes en même temps. Ça doit être quelque chose de se sentir remplie comme ça...

 

Sandra et Claude

Par Sandra et Claude - Publié dans : Années 1990
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Dimanche 9 juin 2002 7 09 /06 /Juin /2002 14:35

Sonia n'est pas venue

par Marie-Paule Perez

 

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Ben non, Sonia n'est pas venue… car si elle était venue, cette aventure, je ne l'aurais sans doute point vécue… mais commençons par le commencement !

 

Je me prénomme Marie-Paule, et je suis mariée avec Etienne. J'ai trente-trois ans, mon mari trente-sept, tout va bien, merci… Le temps des bonheurs intenses et des souvenirs inoubliables est un peu derrière nous. Mais on s'entend bien malgré tout. Sur le plan sexuel c'est un peu pareil, mais je ne me plains pas, enfin pas trop… Il m'arrive d'aller voir ailleurs, je suppose qu'il en fait autant… Bof, tant qu'on prend du plaisir sans casser notre vie de couple qu'est-ce que ça peut foutre après tout ?

 

Et puis suite à un concours de circonstances, (mais ce n'est pas le sujet de l'histoire) j'ai fait la connaissance d'une femme, d'une femme très douce, ce jour-là j'ai découvert quelque chose, et du coup mes petits écarts en ont été transformés

 

Et justement ce jour-là, j'attendais Sonia dans un café en sirotant un vichy fraise et en me projetant déjà dans ma tête mon petit cinéma charnel quand cette salope m'appela pour se décommander. Je rentrais alors à la maison dépitée, contrarié, furieuse et…

 

Evidemment arrivé à la maison, ce con d'ascenseur (qu'est ce qui est plus con qu'un ascenseur ? Je vous le demande bien, surtout quand il est en panne ?) était justement… en panne. J'habite au cinquième et je fume. Ce qui fait que j'arrivais en haut épuisée, le souffle coupé. J'en veux à la terre entière, à ses habitants, son pape et ses curés !

 

En plus j'ai envie de pisser, je m'énerve, je m'énerve, je mets un temps fou à trouver mes clés dans ce putain de sac à main à la con (qu'est-ce qu'est plus con qu'un sac à main quand on cherche quelque chose dedans, je vous le demande ?) Je finis par rentrer

 

Et go to the private chiotte ! Je pisse, je pisse, je n'arrête pas de pisser ! D'ailleurs j'adore ça pisser, c'est l'un de mes trucs, ça quand je suis à poil le matin, avant de prendre ma douche, j'adore me pisser sur les cuisses, c'est chaud, c'est rigolo, c'est excitant… ou alors le soir, quelques gouttes, justes les dernières, comme ça dans la culotte, et hop on la remet, ça mouille la foufoune, c'est super comme effet !

 

Mais "vlatipa" que j'entends comme des gloussements de plaisir qui semblent provenir de la chambre, je n'avais pas fait de bruit pour rentrer. Mon salopard de mari profite du fait que j'ai rendez-vous avec une nana pour s'envoyer en l'air avec une gonzesse ! Quel toupet ! Il est vrai qu'en y réfléchissant un peu, je suis un peu mal placée pour lui faire de la morale… Mais quand même ça m'énerve ! Et puis d'abord il n'a qu'à faire ça ailleurs, pas sous notre toit quand même ! Il y a des choses qui ne se font pas ! Na !

 

Mais comme je suis curieuse comme un pot de chambre, je décide de regarder à quoi ressemble la pétasse que Monsieur est en train de s'envoyer. Délicatement, très délicatement, j'entrebâille la porte et…

 

Putain, le choc !

 

J'ai dû me tromper, ce n'est pas possible !

 

Je regarde une nouvelle fois !

 

Ben non, je ne me suis ni trompée ni gourée !

 

Mon connard de mari est en train de faire des trucs avec un mec !

 

Je dois être encore plus blanche qu'un navet de compétition dans un concours agricole !

 

Bon, j'en étais déjà à me demander comment gérer tout cela ! La meilleure solution serait sans doute de foutre le camp sur la pointe des ripatons et de ne revenir au domicile conjugal, désormais souillé du péché de Sodome et Gomorrhe, quelques heures plus tard, comme si de rien n'était ! Mais poussée par je ne sais quelle curiosité malsaine, je regarde à nouveau ! Un type genre blondinet efféminé est en train de sucer goulûment la bite de mon Etienne de mari qui vu sa bobine épanouie a l'air de trouver l'action complètement à son goût ! Le salaud !

 

Ah ! Je me vois bien pipelotter le soir "Alors chéri, tu as passé une bonne après-midi ?" "Bof, j'ai regardé la télé !" Qu'il va me répondre ! Menteur, Pervers ! Enculé ! Tiens, en parlant d'enculé, j'espère au moins qu'ils ne vont pas aller jusqu'à…

 

Tiens ! Juste un dernier coup d'œil !

 

Je distingue cette fois mieux la scène, Etienne est sur le lit, l'inconnu le suce assez bruyamment avec de gros floc-floc, il est à quatre pattes, les fesses dans ma direction, légèrement cambrés, de bien jolies fesses bien lisses et glabres ! "Des jolies fesses", j'ai dit ! Je deviens folle !

 

Et puis tout c'est passé très vite, je sens comme quelque chose qui me gêne dans la gorge, bon dieu il ne faut pas que je tousse, j'essaie de lutter, j'aurais dû partir, mais je reste là, paralysée ! Ne pas tousser ! Ne pas tousser ! Je tousse ! Les deux mecs qui me regardent surpris ! Etienne est tout rouge, l'autre est tout blanc, moi, je ne sais pas, verte peut-être !

 

Le réflexe débile, Etienne tire le drap sur lui, comme si je ne connaissais pas sa nudité par cœur !

 

Enfin vous voyez la situation !

 

Tout pouvait arriver !

 

Je serais éternellement reconnaissant à Etienne d'avoir d'un éclair de génie débloqué une situation qui pouvait tourner en n'importe quoi, crise conjugale, bagarre, que sais-je encore…

 

Il n'eut alors que cette courte phrase :

 

- Marie-Paule, c'est super que tu sois là ! Viens nous sucer !

 

J'aurais pu, moi aussi réagir tout autrement, mais non ! Dans un état second, j'avançais vers le lit, comme la femelle du zombi et je m'approchais de la bite de l'inconnu.

 

- C'est Ghislain, je l'ai rencontré… euh… par hasard !

- Enchanté !

 

Il me tend la main, je la lui serre ! Comme présentation insolite, ce n'est pas mal quand même ! Je serre la main d'un type à poil qui bande comme un cerf et que je m'apprête à sucer ! Quelle est jolie cette biroute ! Bien droite, la peau un peu sombre, le gland bien brillant, d'une longueur standard, on va dire ! J'en ai quand même pas vu tant que ça dans ma vie !

 

Ça y est ma langue est au travail ! Je lui asticote le gland à ce biquet ! Je suce un mec qui vient de sucer mon mari ! Ça m'excite, ça m'excite de faire des trucs aussi pervers ! Mon mari s'approche de moi et me fait des petits bisous affectueux sur la joue ! Pas très pratique quand on suce ! Et puis qu'est-ce qui lui prend ? Il a quelque chose à se faire pardonner ou quoi ? Peut-être quand même, alors j'arrête un moment ma fellation et j'embrase Etienne goulûment, faisant circuler ma langue dans sa bouche avec toute la souplesse dont je peux être parfois capable !

 

Me voici en train d'embrasser mon mari avec le goût de la pine d'un autre homme dans ma bouche ! Je vous dis, on est en pleine perversion !

 

Finalement Etienne me lâche, je reprends ma pipe, mais cette fois j'y vais carrément, je coulisse le membre de mes lèvres humides, j'adore faire ça, mais il y a un inconvénient, ça fait baver… et il se trouve que je suis encore intégralement habillée, même pas légèrement débraillée, non personne n'a touché à mes vêtements. Ben oui, quand on est dans la réalité, les choses ne se passent pas forcément dans l'ordre logique…

 

Je me recule pour me déshabiller. Ça a l'air d'intéresser Ghislain, qui me regarde comme si j'étais Claudia Chou-fleur ! J'en suis pourtant assez loin même si comme on dit " je plais "

 

Etienne interrompt la contemplation de son acolyte et lui fait se replacer à quatre pattes, il passe alors derrière lui ! Et… Mais qu'est-ce qu'il fabrique l'Etienne… Ben, non, je ne rêve pas, il est en train de lui sucer la rondelle ! Mon Dieu ! Mais ce n'est pas possible, il faut que je voie ça de plus près ! Je me dépêche de terminer mon déshabillage et je ne prends même pas le temps de ranger convenablement mes sous-vêtements que j'envoie bouler et choir sur la moquette !

 

Et puis je décide de me rapprocher du lieu de l'action. Mon Etienne est en train effectivement de jouer de la langue et de lubrifier l'anus de Monsieur Ghislain qui a l'air de trouver la caresse fort stimulante, ils ne sont pas nets, ces mecs. Ça m'excite, ça m'excite, je m'approche :

 

- Je peux aussi ?

 

Il faut toujours demander avant de faire les choses ! Etienne comme à regret à la galanterie de me laisser la place, je lèche à mon tour ! Et me voilà en train de laper le trou du cul d'un homosexuel ! Curieuse après-midi, normalement je devrais à cette heure-là lécher la foufoune de Sonia, je vous dis la destinée c'est bizarre des fois. Et puis, j'ai envie d'improviser, après tout ils m'ont invité, ce n'est pas pour rester passive, ce trou qui me tend les doigts, c'est le cas de le dire est trop tentant, j'approche l'index, je le rentre, je le bouge et je le bouge encore et monsieur est aux anges !

 

- Attends ! Intervient Etienne !

 

Qu'est qu'il a lui ? Il a peut-être une idée pour la suite, mais qu'il ait la délicatesse de me laisser un peu faire ce que j'ai envie !

 

- Voilà, je vais me mettre tout à côté de lui et tu vas nous doigter tous les deux en même temps !

 

En voilà une idée qu'elle est bonne ! Etienne se place à la gauche de Ghislain, je m'aperçois qu'il n'a pas le cul vraiment sec, il a dû se le faire sucer par son copain avant que j'interfère dans leurs ébats. Et comme il le souhaitait j'ai maintenant un index dans chaque trou du cul et je fais des petits va-et-vient avec tout ce petit monde !

 

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- Ça vous plait que je vous encule avec mes doigts, bandes de pédés !

- Hum c'est bon ! Répond Ghislain !

- Grsfjsfklgjdmh ! Surenchérit Etienne dans une langue inconnue.

 

Après quelques instants de ce régime, les deux hommes s'allongent de nouveau sur le lit et se livrent à une masturbation mutuelle, je voudrais bien me rendre utile et m'amuse à agacer les tétons de ces messieurs, en principe ça plait toujours, et puis j'embrasse mon mari, l'autre je n'ai pas trop envie !

 

Etienne se redresse un moment puis plonge sa bouche vers le sexe de Ghislain ! On a beau avoir les idées larges, voir son mari en train de sucer une quéquette, ça fait drôle, et quand je dis que ça fait drôle c'est peut-être un peu curieux psychologiquement parlant mais en ce qui concerne l'excitomètre, c'est d'une efficacité surprenante, je suis en train de dégouliner de la chatte comme cela m'est rarement arrivée.

 

Mais voilà que Ghislain est en train de préparer un préservatif, il s'en capuchonne la biroute… Il ne va pas… quand même… J'aurais plutôt vu le contraire ! Ben non ce n'est pas le contraire. ! Etienne est à quatre pattes, il s'écarte le trou du cul de ses mains et attend que Ghislain l'encule ! Et ça va se passer devant mes yeux écarquillés à cinquante centimètres de moi.

 

Ghislain s'approche, enfin c'est plutôt sa bite qui s'approche, la pénétration a été relativement rapide, moins d'une minute, et les voilà partis dans des va-et-vient infernaux ! Etienne râle son plaisir comme un malade, je suis toujours autant excitée, mais personne ne s'occupe de moi ! Je me faufile par-devant et essaye de sucer la bite de mon mari pendant qu'il se fait besogner, mais c'est plus facile à dire qu'à faire, et vu l'instabilité de la position ou mon manque d'expérience, j'y renonce et me pose dans un coin du lit, me masturbant en regardant la scène.

 

Soudain Ghislain pousse un cri, il a joui, il se retire, et s'écroule sur le plumard (sur notre plumard ! Qui c'est qui va avoir tous les draps à changer ?) Etienne se retourne et comme un malade se met à se branler tout seul pour finir par éjaculer sur le torse de son… amant (ben oui, il faut bien employer le mot)

 

Etienne m'aperçoit enfin, semble sortir de son rêve et réalise que moi je suis un peu larguée dans toute cette affaire !

 

- Tu veux qu'on te fasse jouir, chérie ?

- Hé !

- Tu veux que Ghislain le fasse !

- Je préférerais que ça soit toi !

- Je pourrais toujours le faire après, il en meurt d'envie, n'est-ce pas Ghislain ?

- Ce sera un plaisir ! Répond-il. Et je réalise que je n'avais pas encore entendu le son de sa voix.

 

Toujours est-il que je me retrouve allongée, les cuisses écartées et la langue de Ghislain dans mon sexe en train de la balader sur mon clito, c'est qu'il lèche bien l'animal, je mouille, je mouille, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme, je pars, je hurle… à ce point que Ghislain s'inquiète auprès d'Etienne de savoir si tout va bien !

 

- Non elle jouit toujours très fort ! Tu l'as bien sucé ! Bravo !

- Vous êtes très chouette tous les deux, si vous voulez, je vous paie le restaurant tout à l'heure ! Propose alors Ghislain.

- Une autre fois, pourquoi pas ? Ce sera avec plaisir, mais pour le moment nous voulons rester un peu tous les deux ! A moins que… qu'en penses-tu chérie ? Me demande Etienne !

- Je suis d'accord avec toi, Etienne, je t'aime, tu sais !

- Alors je vous laisse… en amoureux…

 

Je fis alors un petit signe d'amitié de la main à Ghislain voulant lui signifier par-là que ce genre d'adieux suffirait, puis je repris la position sur le lit, les jambes écartées !

 

- Allez viens, Etienne, c'est à ton tour de me sucer !

 

© Marie-Paule Perez

 

Marie_paule_perez@hotmail.fr

 

 

 (juin 2002)

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Vendredi 3 mai 2002 5 03 /05 /Mai /2002 09:00

Charmant Armand

par Eddy

 

Gaystamp

 

Jean-Luc D est un programmeur de génie, grand spécialiste des simulations de vol, il a cru ensuite faire fortune en se lançant dans la conception de logiciel de gestion et de stock. Cela a bien marché... tellement bien qu'il a fallu qu'il s'entoure de collaborateurs pour faire face à la demande. Et JLD Corporate est maintenant une petite entreprise de dix personnes. C'est là que je travaille !

 

Qui je suis ? Vincent, la quarantaine, un peu dégarni, lunettes, moustaches... Classique, quoi !

 

En matière de sexe, je suis hétéro pratiquant, et sinon très ouvert (mais uniquement en théorie). Pas mal obsédé quand même, je pense que le sexe est, avec la bouffe, l'un des grands plaisirs de l'existence, et j'aime en rêver, j'aime en user. Je fantasme aussi beaucoup, j'aime les femmes, leur visage, leur silhouette, leur poitrine (ah ! les poitrines) leurs fesses, et même leur voix...

 

Bon, notre patron, donc JLD est sans doute un programmeur de génie, mais il s'est révélé un gestionnaire bordélique, improvisateur, merdique pour tout dire (sans doute en vertu du fameux principe de Peter) Les logiciels sont commercialisés trop tôt, les tests sont faits n'importe comment, il n'y a pas de politique de maintenance claire, la SAV ne marche pas bien. Bref ça ne va pas du tout. On lui a dit à JLD, mais décidément l'organisation, ce n'est pas son fort ! Et puis ce qui devait arriver arriva ! Un logiciel de stock spécialisé dans les marchands de vins se met à buguer ! Coups de fil des utilisateurs, grogne générale. Le concepteur du programme n'est plus dans la boite, et refuse de se déplacer même contre une prime substantielle. Pas trente-six solutions : Ou bien on met en place un plan de catastrophe, sachant qu'il n'y a pas assez de monde dans cette boite pour faire face au problème. Ou alors on ignore le problème, rendant à terme la faillite de la boite inéluctable….

 

On s'est donc réunis, pas mal de blablabla, mais on prend la décision de mettre trois personnes à temps plein sur le problème, d'abord pour corriger les codes, puis ensuite pour aller installer les correctifs chez tous les clients. Au bout d'une journée la conclusion devient limpide : on n'est pas encore assez, alors on embauche trois intérimaires, et comme ça on travaillera par équipe de deux

 

Et l'histoire peut commencer, et je vous le promets, on va essayer de ne (presque) plus parler d'informatique.

 

Nos trois intérimaires arrivent, deux hommes et une femme. Pas mal la nana, mais qui va déterminer la composition des équipes ? Bien sûr c'est ce con de JLD ! La fille fera donc équipe avec Luc. Tant pis pour moi, je récolte Armand, j'ai toujours eu beaucoup de chance !

 

Il est comment dire, particulier, Armand, les traits très fins, presque féminins, pourtant on ne peut pas dire qu'il soit vraiment efféminé. La voix est virile, la tenue classique, banale même. Il doit tout simplement être né comme ça. Ça n'empêche pas les gens de faire des réflexions derrière son dos, dès qu'on est un peu différent en ce bas monde, on se fait vanner… Mais ça ne dure pas, d'autant que rien dans son attitude ne semble ambiguë, au contraire on le surprend même à dévorer des yeux la belle intérimaire.

 

Armand n'est pas très sociable, pas de café, pas de participation aux conversations…. le midi il ne vient pas manger avec nous, c'est son droit, il m'intrigue quand même, je ne sais pas si on peut dire de lui qu'il s'agit d'un bel homme ! Tout cela n'est qu'une question de goûts et de critères, en tout cas on est loin des chippendales ou des trous du cul certifiés " Berverly hills " En tous cas il me fait quelque chose, je ne sais pas trop quoi d'ailleurs, mais il me fait quelque chose. Alors parfois je me surprends à le regarder, ça doit être inconscient je ne peux pas m'en empêcher, il va falloir que je me maîtrise, si mes collègues s'en aperçoivent, je vais me faire charrier, et puis si lui s'en aperçoit... Mais ça c'est déjà fait, trois ou quatre fois il m'a répondu par un petit sourire qui certes éclairait son visage, mais qui ne signifiait pas grand-chose

 

Du point de vue professionnel il se révèle très efficace, les autres aussi d'ailleurs, à ce point qu'au bout de trois jours, on avait bien avancé et qu'on décide de faire un petit pot entre nous pour souffler un peu. Armand y participe, mais c'est de la participation passive, il est désespérant… Quant à JLD, il ne prend ni la peine de nous dire un petit mot d'encouragement, ni le temps de venir trinquer avec nous ! Une vraie tête à claque !

 

Le quatrième jour, tout est prêt, on décide d'entamer la seconde phase : la visite chez les clients. Le premier jour on emmènera les intérimaires et après on les laissera faire les visites tout seuls. Bien sûr on commence par les clients sensibles : 

 

Et nous voici ce jeudi matin dans le métro, Armand et moi : direction la Ste Martin Export, un client chiant au possible. L'objectif n'est même plus de garder la relation mais d'éviter les poursuites judiciaires dont ils nous avaient menacées. La structure informatique du client étant assez compliquée, on a prévu carrément la journée.

 

A 10 heures, on arrive chez le client ! Surprise, l'accueil est très courtois, on nous explique que notre interlocuteur habituel est en déplacement. Tant mieux, non seulement celui-ci est très correct, mais il comprend tout ce qu'on lui raconte du premier coup. On fait les rectifs sur une machine, et alors qu'on s'apprêtait à le faire sur les autres, il nous indique que son responsable informatique fera la mise à jour en réseau, et nous remercie et blablabla. Mission accomplie. Il est 11 heures et demi.

 

On reprend le métro !

 

- Vous faites quoi ? Demandais-je à Armand !

- Ben je vous suis, je suppose qu'on va faire un autre client, non ?

 

Je n'en ai pas la moindre intention, mon travail de la journée est terminé. Avec une autre ambiance dans cette boite, je serais effectivement rentré pour travailler ou je serais reparti en clientèle. Mais là, non, et de toute façon personne ne le saura. J'explique ma position à Armand. J'espère qu'il ne va se mettre à faire du zèle. Non, il me dit qu'il comprend ma position. J'ai des courses à faire, je lui explique que je vais me diriger vers le forum des halles !

 

- Moi aussi, je vais par-là !

 

Bon je vais me le farcir pendant un quart d'heure, ce n'est pas un problème. Je n'essaie pas de lancer la conservation, ça ne sert à rien, il ne doit pas savoir causer et il se plonge dans son agenda. Je l'observe, il a quelque chose de trouble, de troublant même, des idées bizarres envahissent mon esprit, je les chasse, ça m'énerve ! Il lève un moment les yeux, nos regards se croisent, il me sourit. Hein ! Pourquoi me sourit-il ? Là, maintenant ? Ça ne dure pas, ce n'était que l'affaire d'une seconde, je lui ai répondu aussi d'un sourire comme ça par instinct, il replonge dans son agenda et mes idées bizarres reviennent. N'importe quoi ! J'évite de le regarder, s'il me refait un sourire je vais me trouver con, mais je ne peux pas, c'est un aimant ce mec, il m'attire sans que je sache dire pourquoi ! Et hop, nouveau sourire, je lui réponds mais je ne sais pas comment il va l'interpréter celui-ci, c'est presque un sourire nerveux.

 

J'essaie de trouver un dérivatif, mais je ne sais pas trop, je ne vais quand même pas ouvrir ma sacoche pour en sortir un journal, ce n'est pas très correct… Je fais alors semblant de m'intéresser à l'itinéraire des stations que je connais bien sûr par cœur, mais je ne peux pas faire ça indéfiniment, je me tourne à nouveau vers Armand, il ne regarde plus son truc, et aussitôt nos regards se croisent… Qu'est-ce qu'il va m'inventer à présent ? 

 

Je le vois alors ouvrir la bouche de façon bizarre, la refermer aussitôt, se mordre les lèvres, fermer les paupières, porter une main sur son cœur ! Voilà qu'il nous fait un malaise !

 

- Oh, ça ne va pas ?

- Si, si !

- Qu'est-ce qui vous arrive ?

- Attendez, une seconde, je vais vous expliquer !

 

Je jette un coup d'œil circulaire, si parfois un toubib ou une infirmière ou tout simplement quelqu'un qui ait des notions de secourisme pouvait être là ! Je t'en fous, tout le monde s'en fiche ! 

 

- J'ai des problèmes cardiaques ! Me dit Armand ! Je prends des médicaments tous les jours, ce matin je les ai oubliés.

- Vous n'en avez pas sur vous ?

- D'habitude, j'en ai, mais pas aujourd'hui !

 

Je ne cherche pas trop à comprendre.

 

- Ça va aller maintenant ?

- Je ne sais pas, je peux vous demander un service ?

 

Je ne vais quand même pas dire non !

 

- Bien sûr !

- Si vous pouviez m'accompagner jusque chez moi, parce que si je tombe dans les pommes, on peut très bien me laisser crever !

- Bon d'accord !

 

On change de métro, je le suis, ce n'est pas trop loin. Il est toujours aussi peu bavard. On sort, on arrive en bas de chez lui ! Il me propose de monter chez lui prendre un verre.

 

- Je vous dois bien ça !

- C'est que…

 

En fait, j'ai peur que ça s'éternise, ce petit détour m'a éloigné de mon but et en plus je commence à avoir sérieusement faim. 

 

- S'il vous plait !

 

Voilà qu'il m'implore à présent, bon j'accepte de toute façon avec un zouave qui parle aussi peu, ça ne devrait pas durer très longtemps.

On prend l'ascenseur. C'est un petit appartement restauré, pas mal, il me fait asseoir, et revient avec une bouteille de whisky !

 

- J'ai que ça, vous aimez le whisky !

- Pas de problème !

- Je vais voir si j'ai un paquet de cacahuètes

 

Je scrute un peu les lieux pendant son absence, probablement célibataire, mais ce n'est pas sûr...

 

- Voilà, j'ai pris mes médicaments ! 

 

Il s'est passé une robe de chambre par-dessus ses vêtements ! Il ne fait pourtant pas si froid que ça ! On échange deux, trois mots anodins en buvant notre apéro et puis il m'annonce :

 

- Normalement, je devrais prendre un bain chaud quand ça m'arrive, mais j'évite de prendre des bains, c'est pas très sécurisant quand on est seul !

 

Je le vois venir, il va me demander de rester là pendant qu'il prend son bain ! Moi qui pensais passer un petit après-midi peinard !

 

- Si vous pouviez…

- Ouais, j'ai compris ! Vous pouvez compter sur moi !

- Merci, merci beaucoup, je vais me dépêcher, ça ne devrais durer que cinq minutes.

- Vous souhaitez que je reste dans la salle de bain pendant ce temps-là ?

- Oui, et après je vous libère, ça devrait aller !

 

Du coup, il se lève, il avance, constate que je ne le suis pas, pile :

 

- Venez c'est par-là !

- D'accord, je vous rejoindrais quand vous serez dans le bain, vous m'appellerez !

- Venez ce sera plus simple, si ça vous gêne de me voir à poil, on se retournera, ce n'est pas un problème.

 

Je ne vois pas bien ce que sa solution a de " plus simple ", mais comme je ne vois pas non plus quoi lui opposer, je m'incline.

 

Il a des choses qui se remarquent de suite, et mon premier coup d'œil dans la salle de bain me renvoie une surprise : j'aurais juré l'animal célibataire, ou alors "pacsé" avec un mec ! Et bien non, chaque coin de cette salle de bain respire une présence féminine, des produits de beauté, des machins pour se mettre dans les cheveux, un tube de rouge à lèvres, des brosses qui ne font vraiment pas garçons... et même des rasoirs spécial ladies ! Je n'en reviens pas !

 

- Vous n'habitez pas seul ?

 

Ça m'a échappé, j'ai sorti ça comme ça, un peu con comme réflexion !

 

- Si, pour l'instant !

 

Je ne cherche pas trop à analyser cette réponse énigmatique, d'autant que notre Armand vient à présent d'ôter sa chemise, il a le torse complètement imberbe, et ses tétons sont très bruns avec les bouts particulièrement développés. Troublant, ce mec ! Trop troublant ! Et il s'apprête à présent à faire tomber son pantalon, il est possible que le slip tombe avec... Je crois donc stratégique de me retourner. Au bout de quelques instants je l'entends pénétrer dans la baignoire !

 

- Vous pouvez vous retourner, je suis dans l'eau !

 

Je le fais ! Et me voilà piégé ! Ça m'apprendra à faire les choses sans réfléchir ! Il était pourtant bien évident que la baignoire n'avait matériellement pas eu le temps se remplir suffisamment ! Le Armand est bien couché dedans, n'empêche que j'ai la vision de son corps en entier et que sa quéquette, et bien j'en ai comme qui dirait plein la vue ! Rien d'exceptionnel d'ailleurs, une bonne et honnête quéquette ! Mon dieu qu'est-ce que je raconte ? Je commence à me demander ce que je fabrique ici ! Je fais semblant de regarder ailleurs, mais quand quelque chose vous attire, c'est difficile de rester tranquille, alors hop un petit coup d'œil et j'en suis à ne plus savoir si je souhaite que l'eau aura assez montée pour me cacher sa virilité ou le contraire ! En fait si l'eau n'avait pas assez monté, sa quéquette elle me paraissait avoir grandi depuis ma première vision ! Est-ce que l'animal se mettrait à bander ? Et qu'est ce qui le ferait bander, d'abord ? Je ne sais plus ou me foutre ! Il faut que je m'échappe d'ici ! Dès qu'il sera sorti de l'eau, je m'enfuis...

Alors j'attends, il m'avait dit que ce ne serait pas long, effectivement il se savonne, il se frictionne, il ne parle pas, moi non plus, et cette fois la mousse a rendu son bain pudique... pas pour longtemps !

 

- Je vais me rincer, je ne voudrais pas vous éclabousser, mais ne vous éloignez pas, et après je vous libère c'est promis !

 

Tout en disant cela, Armand s'est relevé dans la baignoire, il est maintenant complètement nu devant moi, il me sourit, je ne peux m'empêcher de regarder sa bite à moitié bandée. C'est presque à regret (Oui ! Presque à regret, je l'avoue) que je gagne le couloir.

 

- Oh la la ! J'ai froid, ça ne va pas très bien !

 

Qu'est-ce qu'il nous fait encore ? Il est sorti de la baignoire, et a eu la délicatesse de placer une serviette éponge sur sa virilité !

 

- Ça ne va pas ?

- Pas terrible, je vais enfiler un peignoir, vous pouvez me le passer, juste derrière vous, le jaune, là !

 

Il enfile le machin mais sans le fermer, il tire un petit tabouret, s'y assoit, sa serviette est tombée, le voici devant moi, la bite à l'air.

 

- Je ne voudrais pas abuser, mais je peux vous demander une dernière chose ?

 

Je m'attends au pire !

 

- Allez-y !

- Si vous pouviez me frictionner ?

- Vous frictionner ?

- Oui ! Pour me réchauffer !

- Ah ! Bon ! Oui bien sûr !

 

Je vais pour passer derrière lui pour le bouchonner, je lui frotte le dos par-dessus son peignoir, ça a l'air de lui faire du bien !

 

- Ça réchauffe, un petit peu devant pour finir ! quémande-t-il au bout de quelques instants.

 

Heu ! Je fais comment ? Il perçoit mon trouble !

 

- Avec la serviette !

 

C'est moins évident, je lui tamponne le torse encore mouillé afin de l'essuyer, j'ai ses tétons à quelques centimètres de moi, je deviens fou. Que ce cirque s'arrête, bon dieu, mais qu'il s'arrête ! Je m'amuse comme si cela était involontaire à repasser plusieurs fois la serviette sur son téton, mais j'arrête vite ce jeu car voilà qu'il pousse de petits soupirs de satisfaction ! Je suis véritablement en train de perdre la boule !

 

- En bas !

 

Où ça en bas ? Un coup sur le ventre... Mon dieu ! Il bande de plus en plus... Un coup sur les cuisses. Ma serviette s'approche dangereusement de son sexe ! J'arrive à me maîtriser. C'est le moment ou jamais : Je cherche une phrase intelligente qui me sorte de ce guêpier, sinon, je ne me contrôle plus et je fais faire une grosse bêtise ! Elle ne sort pas, la phrase magique, je regarde ma montre, geste lâche par excellence.

 

- Je ne vous trouble pas quand même ? Demande-t-il, interrompant du coup mes tentatives

- Euh, non ! N'ayez crainte !

 

En fait, je dis n'importe quoi !

 

- Peut-être un petit peu quand même ?

 

Il lit dans mes pensées ou quoi, l'énergumène ? Il est là à me regarder, avec son petit sourire énigmatique ! Qu'est-ce qu'il cherche ? Je vais craquer...

 

- Je crois que je devrais partir, maintenant !

 

Je ne sais pas comment j'ai fait pour sortir une phrase aussi courageuse !

 

- C'est ce que dit une partie de vous-même, l'autre partie n'est peut-être pas d'accord ?

 

Et en disant cela il prend ostensiblement son sexe dans sa main et se le caresse ! Au moins c'est clair ! 

 

- Je...

- Libère-toi, tu en meurs d'envie !

- Je ne sais pas !

- Si tu t'en vas, tu vas t'en vouloir, il ne faut jamais refouler ses envies !

- On pourra toujours se revoir !

- Touche-moi la bite, juste un peu, juste un peu, et après je te laisse partir !

- Et si je ne fais pas ?

- Tu en meurs d'envie, je te dis !

 

C'est pas vrai, il cause… Et en disant cela il me fout carrément la main à la braguette constatant que là aussi les choses ne sont pas tout à fait sages ! J'ai du coup perdu toute résistance, ma main a remplacé la sienne sur son pénis que je branlotte plus négligemment qu'hardiment. Mais n'empêche que me voilà avec une bite dans la main, et que je ne m'en porte pas plus mal ! En plus je bande comme un cerf ! Ça va m'emmener où, cette histoire-là ? 

En fait j'ai basculé, basculé parce que je suis maintenant prêt à faire un certain nombre de choses, sans que tout soit vraiment très précis. Mais il y a une chose qui m'obsède depuis quelques secondes, une chose que je sais que je vais concrétiser de suite. Cette bite est trop belle, elle me nargue à bander comme cela devant moi, j'ai envie de la chouchouter, de la cajoler, de l'embrasser ! J'ai envie de l'embrasser, je le fais, un petit bisou sur la verge, deux petits bisous, trois petits bisous, je descends sur les testicules, mais ça m'intéresse moins, je remonte, je m'approche du gland, je l'embrasse aussi, plusieurs fois, et puis je m'enhardis, un petit coup de langue ! Putain ce n'est pas possible, dans un instant je vais sucer cette queue ! Je lèche, je lèche avec de plus en plus d'évidence. Je ferme les yeux, je suis prêt pour le grand saut ! Et gloups... j'ouvre la bouche et je suce comme si je l'avais toujours fait, et l'autre qui me tient la tête, dès fois que j'ai des regrets… non des regrets je n'en ai pas, c'est trop bon. La seule chose qui me taraude c'est la crainte qu'il m'éjacule en plein gosier, je ne le souhaite tout simplement pas. Il faut que je trouve le moyen de me dégager pour le lui dire, je l'abandonne un instant, il interprète mal mon geste, et se redresse :

 

- Viens, on va aller dans ma chambre, on sera mieux !

 

Je le suis comme un zombi, c'est que j'ai encore envie de le sucer, moi ! On s'arrête en plein milieu de la salle à manger. Pourquoi ?

 

- Déshabille-toi ici, tu n'as qu'à mettre tes affaires là !

 

D'accord, je me déshabille, et je dépose mes affaires " là " 

 

- Hum… je te fais de l'effet, on dirait ! Dit-il

- On ne peut rien te cacher !

- Je te plais alors ?

- Oui !

- Mais attends, je ne t'ai pas montré mes belles petites fesses, regarde comme elles sont mignonnes

 

 Sacré Armand, comme il cachait bien son jeu ! Il est là qui se retourne et me montre son cul, il est glabre comme tout son corps d'ailleurs à l'exception de son pubis. Je vais pour aller lui embrasser ce trop ravissant fessier, mais raté, Armand s'est retourné, s'approche de moi, s'approche encore... Il ne va pas... si… il va le faire... son visage s'approche du mien, il quémande un baiser. J'ai un mouvement de recul !

 

- Je ne te plais pas alors ?

- Si, si, mais allons-y progressivement !

- Tu n'as jamais embrassé d'homme de ta vie ?

- Ben, non ?

- Et des travestis ?

- Non plus !

- Et à choisir ce serait plus facile avec un homme ou avec un travesti ?

- Peut-être avec un travesti, mais je ne suis sûr de rien !

- Allez viens, on va arranger ça ?

 

On va arranger quoi ? Il retourne dans la salle de bain, je n'y comprends plus rien, je le suis à poil !

Il attrape une perruque blonde et bouclée et se la coiffe sur la tête ! Il se regarde dans le miroir, fait mine de s'admirer !

 

- Hum pas mal comme ça ! Qu'en penses-tu ?

- Ça te va pas mal, c'est vrai !

- Attends, tu n'as rien vu !

 

Et le voilà qui se met du rouge à lèvres, puis il se maquille carrément le visage avec une sorte de base qu'il recouvre ensuite de fond de teint, il achève la séance par un peu de mascara sur les sourcils. Décidément je n'avais rien vu venir, je suis lourd parfois, moi qui croyais qu'il vivait avec une copine !

Il se tourne alors vers moi, je n'en peux plus, je craque pour de bon, mon érection perdure et quand il me réclame à nouveau un baiser, je lui laisse le chemin de mes lèvres, et tandis que nos langues dansent, nous nous caressons mutuellement nos corps. Il a la peau douce Armand, trop douce, je lui pétris ses petites fesses de mes doigts.

 

Lui aussi s'intéresse à mes fesses, mais il n'y reste pas, il parvient à ramener ses doigts devant mon torse, il cherche mes tétons, les agacent un petit peu me provoquant ainsi un incontrôlable frisson, puis sans crier gare, il me les serre entre le pouce et l'index. Ah ! Le salaud il a trouvé ma zone érogène, et il sait bougrement bien s'en servir, mais c'est que ça ne va pas se passer comme ça, il s'est légèrement reculé dégageant ma bouche, je lui rends la pareille, œil pour œil, dent pour dent, en l'occurrence ce serait plutôt téton pour téton, et nous voilà en train de nous livrer à une partie de "pince-nénés" tout à fait étonnante, à ce point que nos bites n'en peuvent plus, nous les faisons se rapprocher et légèrement coulisser l'une sur l'autre. Cette fois c'est moi qui souhaite l'embrasser, il ne se dérobe pas, mais ne prolonge pas non plus, le voici qui se baisse, je le retrouve entre mes jambes, prêt à me sucer.

 

Bon dieu quelle pipe ! Sans doute jamais je n'avais été sucé de la sorte, il commence doucement par une espèce de mouillage lingual, pour ensuite continuer par une série de va-et-vient par lesquels il s'arrange pour que la peau du prépuce vienne frotter contre ses lèvres. Et comme si ça ne suffisait pas, de ses mains levées vers mon torse, il continue à me triturer le bout de mes seins. C'en est trop je sens que je vais jouir, je le luis dis ! Mais apparemment il s'en fout et quand je décharge dans sa bouche il ne se dégage pas, y recueillant tout ou presque. La jouissance a été brutale, intense, j'ai du mal à reprendre ma respiration. Finalement je suis content de cette petite séance, mais un peu frustrée de la savoir (provisoirement ?) terminée

 

- Ça va ? Qu'il demande ?

- Oh ! Oui, ça va ! Je dois être un peu fou, mais je ne regrette rien !

 

Je me demande ce qu'il faut que je fasse, je resterais bien d'autant qu'il n'a pas joui ! Je l'interroge du regard, il me répond :

 

- On va souffler un peu... et après... 

 

Il laisse volontairement sa phrase en suspens.

 

- Et après quoi ?

- Après tu vas voir ton cul !

- Non pas ça !

- T'inquiètes pas, je ne vais pas te violer ! Bon, en attendant j'ai la dalle, tu veux qu'on casse la croûte ensemble ?

- Pourquoi pas ? Je te paye le restau si tu veux !

- Hum, c'est pas une mauvaise idée, mais le midi je n'ai pas une grande faim, par contre ce soir j'accepte avec plaisir !

 

Bon, pourquoi pas en effet, vu où en est mon ménage, je n'ai aucun problème pour me libérer.

 

- Ça te dirait une grosse salade à midi ? Reprend-il.

 

Allons-y pour la salade, pour ma part j'aurais préféré plus consistant, mais ce n'est pas bien grave. Je vais pour me rhabiller, mais Armand trouve qu'on est très bien à poil. Si ça peut lui faire plaisir ! Je vais donc l'aider à la préparer, sa salade, mais avant je lui précise qu'il faut que j'aille pisser.

 

- Je peux regarder ?

- Regarder quoi ?

- Te regarder pisser !

 

Voilà autre chose !

 

- Si tu veux !

- Ça m'excite les jeux de pipi, pas toi ?

- Euh ! entre hommes et femmes c'est marrant...

Aïe ! J'ai fait une gaffe !

 

- Et alors je ne suis pas ta petite femme en ce moment ?

 

Drôle de femme qui rêve de me sodomiser, j'ai du mal à tout suivre dans les délires d'Armand.

Je ne sais pas trop quoi lui répondre.

 

- Bon je te laisse-y aller tout seul, mais la prochaine fois, j'aimerais bien que tu me pisse dessus ça me fera plaisir !

 

Il est vexé ou quoi ? Mais si c'est le cas, j'en suis contrarié !

 

Je reviens, il est en train de remuer la salade le cul à l'air, je lui fous mes mains aux fesses, il se laisse faire, il est content, je suis heureux qu'il ne me fasse pas la gueule ! Ce que je voudrais bien savoir c'est ce qu'il me trouve, je n'ai absolument rien d'exceptionnel, je suis même d'une banalité confondante.

 

- Je voulais te demander ? Commençais-je.

- Oui ?

- A partir de quel moment tu as su que ça aller tourner en sexe, cette affaire ?

- Mais depuis le début, cher ami !

- Comment ça depuis le début ?

- Je suis très joueur, et parfois cela m'amuse d'essayer de savoir pourquoi certains mecs me regardent ! J'essaie de savoir si c'est de l'hypocrisie, ou alors parfois je me dis, tiens celui-là il ne dirait peut-être pas non ? Alors je joue, je me fais des petits scénarios, je suis très femme sur ces coups-là !

- Ton malaise, c'était du pipo alors ?

- Non, j'étais pas très bien, j'ai des réels problèmes cardiaques, mais disons qu'après j'en ai profité.

 

Un peu dépité quand même !

 

- Je n'étais qu'une cible alors ! Enfin ce n'est pas grave, je me suis bien amusé !

- Mais non couillon, tu n'es pas qu'une cible, je n'aurais pas fait ça avec quelqu'un envers lequel je n'aurais eu aucune sympathie ! Et viens donc m'embrasser au lieu de dire des conneries.

 

On s'est mangé la salade, on a causé de choses et d'autres, le mec était intéressant, très cultivé, on est resté une bonne heure à table, on était pressé ni l'un ni l'autre.

 

- Tu veux un yaourt ? me demande-t-il

- Un yaourt ? Non je n'ai plus faim !

- Tu aimes ça ou pas ?

- Disons que j'en mange, mais je t'assure, je n'ai plus faim.

- Mais si tu vas voir ! J'ai cerise, abricot, framboise, qu'est-ce que tu préfères ?

- On va dire cerise !

 

Armand est gai comme un pinson, quelle différence avec le jeune homme taciturne et limite asocial penché toute la journée sur ses lignes de programmes ! En plus, je suis sous le charme, la féminisation de son visage est assez extraordinaire, je le regarde avec un air ému ! Tiens en ce moment j'ai envie de l'embrasser. ! Il se lève, se dirige vers le frigo en sifflotant, il dandine un peu (beaucoup) des fesses ! Il m'excite, il m'excite ! Il prend un yaourt... Pourquoi un ? Et pas deux ? Il l'ouvre ! Il est gentil j'aurais pu le faire tout seul ! Le pose près de l'évier ! Qu'est-ce qu'il fabrique ? Il se passe les mains à l'eau et se les essuie, puis plonge son index dans le yaourt et le dirige vers ma bouche. Ah c'est ça le jeu ? Bon, si ça lui fait plaisir ! Je m'amuse donc à lécher et à sucer son doigt, j'espère qu'il ne va pas me faire avaler le pot entier de cette manière-là ! 

Armand replonge son index, puis l'autre index et cette fois il s'enduit le bout de ses seins de yaourt. Hum voilà qui devient beaucoup plus amusant…

 

- Suce !

 

Ben, bien sûr que je vais sucer, s'il ne me l'avait pas demandé, je l'aurais fait quand même… Je lui lèche le téton, qui durcit sous ma langue, je rebande progressivement pendant ce traitement mais sans doute pas aussi rapidement que lui, qui commence à gémir sous mes caresses buccales. Je prolonge mes léchages et mes suçons. Armand pendant ce temps se badigeonne la biroute avec le yaourt. Il se figure peut-être que je ne le vois pas ! Gros coquin, va ? J'attends qu'il ait fini d'étaler tout ça, et je plonge ! Quel régal ! Quand je pense que je me suis privé de ce genre de plaisir pendant des années ! Je suce, je lèche, je n'arrive pas à me rassasier, c'est trop bon ! Je suis excité comme un pou. Cela ne m'empêche pas d'être conscient, je sais très bien où peut m'entraîner cette nouvelle séance ! Bizarrement je ne rejette plus totalement cette éventualité, mais je me dis que si je pouvais l'éviter ce serait aussi bien ! Alors mon plan est tout simple, je vais le faire jouir avec ma bouche, et tant pis s'il éjacule dans mon gosier, au moins aurais-je ainsi (peut-être) échappé à la sodomisation de mon petit trou !

 

Mais je t'en fiche, c'est qu'il a de la suite dans les idées, Armand ! 

 

- Arrête-toi un petit peu !

 

J'aurais dû ne pas l'entendre, mais ce n'est pas mon genre, je stoppe, il se recule un tout petit peu, simplement pour se mettre un instant hors de ma portée.

 

- Je vais essayer de te prendre ? D'accord ?

 

J'essaie de tergiverser.

 

- Euh, peut-être une autre fois ?

- Qu'est-ce que tu en sais s'il y aura une autre fois ? Il ne faut jamais laisser passer les occasions !

 

J'ai alors l'idée de biaiser et d'aborder le problème sous un tout autre angle !

 

- C'est curieux que tu veuille me faire ça, j'aurais plutôt pensé le contraire !

- Mais l'un n'empêche pas l'autre ! Et si tu veux nous en discuterons tout à l'heure… Bon, écoute-moi, on va juste essayer, je vais y aller le plus doucement possible, j'ai quand même un peu l'habitude… Si tu me demande d'arrêter, j'arrête aussitôt !

 

Qu'est-ce que vous voulez que je dise ? Bien sûr que je peux refuser, mais bon… et comme s'il était sûr de ma réponse, le voilà qu'il enfile un préservatif

 

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- On fait ça ou ?

- Ici, si tu veux, tu vas te tourner et te pencher sur la table. Allez, ferme les yeux et pense aux petits oiseaux. Dans cinq minutes tu en redemanderas !

- Ça m'étonnerait ! Répondis-je, mais in petto !

 

Je sens quelque chose de froid sur mon anus.

 

- C'est du gel ! C'est pour que ça glisse mieux ! 

 

Je sens quelque chose rentrer, ce n'est quand même pas déjà… non ce n'est qu'un doigt parti en avant garde mais qui ne reste pas. Le gland encapoté s'approche alors de mon orifice.

 

- Ouvre-toi, tu auras peut-être un tout petit peu mal, mais essaie de ne pas en tenir compte, après ça ira mieux !

- OK, mais si je te dis d'arrêter, tu t'arrêtes !

- Je te le promets !

Ça pousse, ça pousse, ça force, ça passe un peu ! Drôle de sensation ! Ça passe encore un peu plus !

 

- Aie !

- T'inquiètes pas mon biquet, ça va aller !

 

Voilà que je suis son biquet à présent ! Il s'enfonce encore un peu plus !

 

- Aie, aie, aie

- Détend toi, encore un peu et c'est bon

 

Il s'enfonce encore. J'ai carrément sa bite dans le cul ! La douleur se calme, et ferait plutôt place à une certaine gêne, mon organisme paraît contrarié de la présence de ce corps étranger… Mais voici qu'Armand commence de petits mouvements de va-et-vient, curieuse sensation ! C'est ça, se faire enculer ? Pas de quoi grimper aux arbres ! Il accélère ! Des frissons commencent à me parcourir le corps. C'est finalement pas désagréable ce truc ! Mais bon… Il continue !

 

- Ça va !

- Oui, c'est bon !

 

J'ai dit " c'est bon " ? C'est vrai que ça devient bon !

 

- Alors s'est bon de se faire enculer ?

- Pour l'instant ça va !

 

Armand s'agite de plus en plus, il accélère à ce point que des ondes de plaisir me traverse le corps à plusieurs secondes d'intervalles, puis après cinq minutes de ce régime, soudain il s'affale sur moi, il a jouit, il se retire.

 

- Super ! Dit-il. Tu vas avoir un peu mal au cul une heure ou deux, c'est normal…

 

Il s'était bien gardé de me le dire avant, le zigoto !

 

- Tu veux boire quelque chose ? Coca, bière ?

 

On se sert une bière, qu'on écluse vite fait !

 

- On va inverser les rôles maintenant !

 

Ah ! Je n'avais pas vraiment prévu cela, c'est qu'il est insatiable Armand ! J'aurais préféré une bonne pipe, mais après tout pourquoi pas ?

J'ai donc sodomisé Armand, il m'a proposé alors de faire une petite sieste vingt minutes. En fait, on a roupillé deux bonnes heures, et encore c'est lui qui m'a réveillé en me caressant la verge du bout du doigt !

Un peu surpris de me retrouver là ! Mais le temps de réaliser, nous nous embrassions déjà, et quelques instants plus tard, nous partions pour un soixante-neuf d'enfer. Toutes mes inhibitions sont ensuite tombées, quand il m'a demandé de lui pisser dessus ça c'est terminé en partie de rigolade et nous nous sommes copieusement arrosés.

 

On est allé au restaurant, je lui avais promis, il a gardé sa perruque et refait son maquillage, mais il s'est habillée sans outrance d'un simple chemisier et d'un jeans. On a causé, de sexe mais aussi d'autre chose, il n'y a pas que ça dans la vie, mais heureusement qu'il y a ça dira-t-il !

 

- Tu vas me trouver naïf, mais je croyais qu'il y avait des mecs que passifs et d'autres qu'actifs ?

- Ça existe ! Certains sont exclusifs passif ou actifs, mais c'est surtout vrai pour la sodo, pour la fellation j'aime autant sucer qu'être sucé ? Pas toi ?

- Moi j'ai pas beaucoup d'expérience !

- En fait l'un de mes plaisirs c'est de sodomiser un mec qui en meurt d'envie mais qui n'a jamais vraiment osé le faire ! C'est pas si facile que ça à dégotter !

 

J'ai dû le quitter vers minuit, tout simplement parce que je n'avais pas de vêtement de rechange pour le lendemain, sinon je serais bien resté, et il m'aurait bien gardé.

 

Le lendemain, vendredi, je me demandais comment tout ce qui s'était passé aller interférer sur nos relations professionnelles. En fait, il eut exactement la même attitude que d'habitude, à ce point que j'allais jusqu'à me demander s'il n'avait pas gommé de sa mémoire tous les évènements que nous avions vécu en commun. Je guettais un signe de complicité, quelque chose, rien, j'en fus intensément contrarié, puis nous sommes partis chacun en clientèle, chacun de notre côté. Tout cela n'était donc qu'une tocade ! C'était même moi la tocade ! Tant pis, je m'en remettrais ! Et puis après tout, cela n'avait pas été négatif cela me ferait un beau souvenir et puis ça m'ouvrait des perspectives… Il faut toujours voir le bon côté des choses !

 

Il doit être midi, le client est une véritable horreur, hargneux, d'une bêtise crasse et d'une mauvaise foi sans pareil, j'ai du mal à avancer. Mon portable sonne.

 

- C'est Armand !

 

Mon cœur se met à battre à 100 à l'heure !

 

- Je t'écoute !

- Je viens de terminer chez les " Caves M… ". Tu veux qu'on se rejoigne quelque part ?

 

Putain que je suis heureux, notre aventure hier n'était donc pas une tocade !

 

- J'ai pas fini, mais tu as prévu quelque chose ce soir ?

- J'avais prévu en effet de passer la soirée avec toi, mais je ne connaissais pas ta réponse !

 

Je fonds de bonheur ! Je revois la gueule du type à côté de l'ordinateur quand j'ai fermé mon portable, il devait se demander ce qui m'arrivait… s'il savait ce con…

 

La suite est moins romantique, nous avons passé plusieurs soirées et plusieurs week-ends à nous aimer comme des fous. Mais Armand m'a vite prévenu qu'il ne souhaitait pas s'attacher.

 

- Nous resterons amis, si un jour ça nous prend de passer un week-end à la mer ensemble, on se téléphone, on le fait !

 

Alors depuis j'attends, il sait comment me joindre, moi aussi… 

 

Eddy Stokien - mai 2002

 

Edvardstokien@hotmail.com 

Par Eddy - Publié dans : Eddy
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