Mercredi 1 mai 2002 3 01 /05 /Mai /2002 18:11

Feu d’artifice par Louise01

bisou1719

 

thémes abordés : bisex féminine, feuille de rose, party, uro

Bonjour, Et félicitation pour votre site que j’adore. Afin d’y contribuer
de modeste manière je vous prie de trouver ci-joint une histoire tirée d’une
expérience vécue, en espérant que vous voudrez bien la publier. Gros bisous
Louise

Feu d’artifices
Je m’appelle Louise, je vis en Alsace, j’ai 42 ans et je ne me trouve pas
trop mal physiquement, quoiqu’un peu enrobée avec 70 kg pour 1 m 68. Ce sont
surtout mes fesses qui sont volumineuses, mais fort heureusement elles sont
restées fermes, avec à peine quelques traces de cellulite à la naissance des
cuisses. Et puis, il y a mes seins, 95 de tour de poitrine, que la loi de la
pesanteur a déjà pas mal tiré vers le bas. On peut donc dire que je ne
manque pas de formes.

Divorcée et seule depuis plus de trois ans, j’ai accepté l’invitation d’un
couple d’amis d’aller assister avec eux au feu d’artifice et au bal
champêtre organisés à l’occasion du 14 juillet dans une petite ville près de
chez moi où ils séjournent en camping-car.

Il fait une chaleur étouffante en cette fin de journée, et je décide donc de
revêtir simplement une robe d’été très légère, ample et longue. L’avantage
c’est qu’elle m’amincit, mais surtout que je peux la porter sans rien
d’autre, pas même de culotte ou de soutien gorge, tant pis pour la marque
laissée par les bouts de mes seins. Après tout, il fera sombre dans pas
longtemps.

Je retrouve François et Martine sur le lieu de la fête au bord d’un étang.
Ils sont train de rire avec une autre jeune femme, une collègue de travail
de François, et je comprends tout de suite qu’ils n’ont pas bu que de l’eau
en m’attendant. En effet, Martine rit beaucoup sans raison apparente alors
que son mari ne se prive pas de peloter gentiment la personne assise à côté
de lui, elle se prénomme Magali et ne semble pas farouche.

Tout le monde me fait la bise, sauf Martine qui m’embrasse carrément sur la
bouche. Je suis tout de même un peu gênée devant les autres mais visiblement
personne n’y attache la moindre importance, il n’y a que moi qui suis
troublée.

Nous bavardons beaucoup et plusieurs bouteilles plus tard il commence à
faire nuit, et le feu d’artifices ne va plus tarder. Je me sens un peu
éméchée mais ce n’est rien à côté de Martine qui est de plus en plus gaie.
De plus elle a un comportement bizarre car à plusieurs reprises elle m’a
touché la cuisse tout en me parlant, un peu comme pour retenir mon
attention. Le problème, c’est qu’à chaque fois elle remonte ma robe un peu
plus, et sa main est maintenant posée à même ma peau. Je suis persuadée que
cela n’est pas dû au hasard et je commence à ressentir une sensation bizarre
dans le ventre.

Apparemment, les autres s’en fichent complètement, d’ailleurs ça fait un bon
moment que François, qui est assis en face de nous à côté de sa collègue,
n’a plus les mains sur la table. Je ne connaissais pas mes amis sous cet
angle et je me demande comment cette soirée va se terminer.

C’est alors que les premières gerbes de lumière explosent dans le ciel, ce
qui me fait sursauter. Et au même moment une main se plaque fermement sur
mon pubis. Martine se rapproche de mon oreille et me chuchote :

- Ecarte tes cuisses, ma cochonne, ou je dis à tout le monde que tu n’as pas
de culotte.

Je manque de défaillir mais je m’exécute. Immédiatement, je sens deux doigts
s’insinuer dans mon intimité trempée et je me mords les lèvres pour ne pas
crier. C’est la première fois depuis mon divorce qu’une main autre que la
mienne touche mon sexe, qui se met à mouiller abondamment.

De plus, ce geste me fait remarquer que j’avais sérieusement envie de faire
pipi, ce qui n’est pas étonnant vu la quantité de bière que j’ai bue. J’en
fais part à ma voisine, et du coup elle retire sa main et lèche ses doigts
gluants de mes sécrétions avec un  » mmmm…  » de satisfaction. Heureusement,
les autres ont tous le regard dirigé vers le ciel et personne ne fait
attention à son manège.

Le bouquet final à peine retombé, l’orchestre se met à jouer une série de
marches et François nous exhorte à aller danser. Sans attendre la réponse,
le voilà déjà parti, entraînant Magali vers l’estrade en bois ou de nombreux
couples ondulent déjà.

Moi je n’ai qu’une envie, c’est d’aller aux toilettes ! Je me lève et
Martine se précipite pour m’accompagner et me montrer le chemin. La cabane
qui sert de WC est mal éclairée, et il s’en dégage une odeur épouvantable,
aussi je décide d’aller faire mon pipi plus loin car il y a suffisamment de
buissons et d’arbres pour se mettre à l’abris des regards, mais mon
accompagnatrice ne me lâche pas.

Cette situation et les attouchements que Martine m’a prodigués m’ont mis
dans un état d’excitation tel que je n’ai plus guère de pudeur et c’est tout
naturellement que je relève ma robe jusqu’au nombril. Elle passe dernière
moi et me propose de me tenir le vêtement pour que je ne le salisse pas. Je
fléchis les genoux tout en écartant les jambes, et je soulage enfin ma
vessie.

Alors que le sifflement caractéristique du pipi trop longtemps contenu se
fait entendre, je sens la main de Martine se plaquer sur ma chatte. Bien sûr
je ne peux plus m’arrêter et je l’arrose copieusement. Ses doigts ne restent
pas inactifs, elle me masturbe le clito avec une efficacité telle que je
jouis avant même d’avoir fini de pisser. Evidemment ma robe est trempée et
mes jambes mouillées, mais je m’en fiche ; cette femme a déclenché un
orgasme foudroyant en quelques secondes et je n’ai plus qu’une envie, que
cela continue.

Martine me lèche le lobe de l’oreille tout en s’affairant dans mon dos et
subitement je sens sur mes fesses nues le contact de sa peau. Un délicieux
chatouillement provoqué par les poils de son pubis, qu’elle avait du raser
il y a quelques jours, me confirme qu’elle a baissé son short et qu’elle
frotte sa chatte nue contre mon gros derrière, c’est divin.

Je me penche en avant et je passe ma main entre mes cuisses pour essayer
d’atteindre son sexe. C’est difficile et je me dis que je suis trop grosse.
Mais au même moment un jet brûlant se répand entre mes fesses, arrose ma
main et coule le long de mes cuisses. Martine est en train de me pisser
dessus ! Je ne suis plus en état de me contrôler, tout ce que je veux c’est
jouir ! Je me branle furieusement la chatte en me frottant avec cette urine
dont la source ne semble plus vouloir se tarir. Un nouvel orgasme me fait
tomber en avant, à genoux dans l’herbe trempée par nos abondantes mictions.

J’ai la tête qui tourne et je ne réagis même plus lorsque deux mains me
poussent dans le dos puis écartent vigoureusement mes deux globes charnus.
C’est lorsqu’une bouche chaude vient se plaquer sur mon anus que je reviens
à la réalité, voilà que cette cochonne me lèche le cul maintenant me dis-je.

Je ne tarde pas à réaliser mon erreur puisque Martine est là en face de moi,
elle se caresse la chatte en me souriant. Et me voilà prise de panique, à
qui donc est cette langue qui fouille mon anus ?

Je n’ai pas le temps de le vérifier car la bouche qui s’occupait si bien de
moi s’est retirée et immédiatement je ressens une vive douleur et la voix de
François qui s’écrie  » quel cul !  » 

1603b
En une seule poussée le mari de ma copine s’est enfoncé en moi ;
heureusement que dans mes pratiques solitaires je me suis également occupée
de dilater un peu mon anus, pourtant malgré cela j’ai bien cru qu’il allait
me déchirer. Mais très vite la douleur laisse la place au plaisir et cette
queue qui pilonne mon rectum me fait jouir pour la troisième fois et je
m’écroule pour de bon, à plat ventre dans l’herbe humide.

 

François qui n’a pas joui se retire, c’est dans un état second que je le
vois présenter sa verge à Martine qui ouvre grand sa bouche pour recueillir
les giclées de sperme, ensuite je ne me souviens plus de rien.

Lorsque je reprend conscience je suis allongée dans le camping-car de mes
amis, la musique de la fête est maintenant très éloignée. Martine m’explique
que je suis tombée dans les pommes et qu’ils ont préféré m’amener à leur
camping tout proche plutôt que de me reconduire chez moi dans cet état.

Je comprend aussi que le déroulement de cette soirée était prémédité, que
mes amis pratiquent régulièrement l’échangisme et qu’ils avaient envie de me
faire sortir de l’isolement et de l’abstinence dans lesquels je vivais
depuis mon divorce, c’est le plus beau cadeau qu’ils pouvaient me faire. En
fait tout le monde y a assidûment participé puisque c’est Magali qui, de sa
langue, m’avait détendu et lubrifié l’anus avant la pénétration du sexe de
François, un vrai travail d’équipe.

Leur vacances ne s’achèverons que dans une semaine, inutile de vous dire que
l’expérience de cette nuit ne restera pas isolée car, avec mon accord cette
fois, Martine, François et Magali ont promis d’user et d’abuser de moi tous
les jours jusqu’à leur départ.

Mais cela sera une autre histoire…

LOUISE de Strasbourg. panoz@freesurf.fr

Par louise01 - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 3 mars 2002 7 03 /03 /Mars /2002 23:23

Hôtel des Sources

par Estonius

 

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Toute ressemblance avec un authentique hôtel qui s'appellerait Hôtel des Sources (ça doit bien exister) n'a strictement aucune importance !)

 

Evy a 30 ans. Pas trente et un ou trente-deux, non juste trente. Et elle les a aujourd'hui !

 

J'entends le chœur des lecteurs : "Encore une histoire d'anniversaire !"

 

Oui certes ! Mais les variations sur le sujet ne sont pas complètement épuisées.

 

Présentons un petit peu Evy : C'est une personne assez réservée, la peau claire, brune aux cheveux mi-longs et légèrement bouclés, les yeux verts, un visage que je qualifierais d'intéressant, un joli sourire. Plutôt grande, et plus en seins qu'en fesses.

 

Son compagnon, c'est Armand, un homme très dans la moyenne, ni beau ni laid, ni gros ni maigre. Ce n'est pas un étalon, mais il se débrouille et il a toujours plein d'idées. Hélas les idées restent souvent dans les cartons de ses neurones. Il est souvent difficile à ce couple de faire ce qu'il veut chez lui. Si les enfants ne sont pas un vrai problème, (un emploi du temps ça se gère) il faut savoir qu'ils hébergent la mère d'Evy, devenue semi-handicapée suite à une maladie. La bonne femme remercia le couple à sa façon en se révélant collante, curieuse, omniprésente et la reine des empêcheuses de tourner en rond.

 

Quand elle apprit qu'ils ne rentreraient pas de la nuit, elle fit une crise :

 

- Je ne vois vraiment pas pourquoi vous ne fêteriez pas cet anniversaire à la maison… et patati et patata…

 

Crise de larme ! Ce n'était pas la première fois et d'habitude de guerre lasse, ils cédaient la mort dans l'âme. Pas cette fois ! Tout avait été organisé. Le livreur de pizza viendrait livrer le dîner aux gosses et à la belle-mère. La voisine passerait vers 22 heures pour voir si tout allait bien, et repasserait le lendemain matin avant de partir au boulot ! Ils avaient emmené leur portables mais avaient bien précisé à la petite famille qu'il était très mal vu de s'en servir à l'opéra, et que toute façon dans le métro ça ne passait pas. Exit donc les portables, on ne les rebrancherait que le lendemain.

 

Bien évidemment, Evy ignorait tout du programme que lui réservait Armand, elle adorait les surprises et disait ne rien vouloir savoir, mais par des recoupements divers et par intuition, elle savait qu'il y aurait au moins trois moments forts, le restaurant, l'opéra, et sans doute une séance de radada qui pour une fois romprait avec la monotonie habituelle.

 

Ils avaient pris chacun de leur côté leur après-midi et avaient convenu de se retrouver vers 14 heures dans le quartier de la Bastille.

 

Vers 11 h 30 Armand appelle Evy à son bureau !

 

- Chérie j'ai un mini problème, 14 heures ça fait un peu juste, on se retrouve à 15 heures, ça va ? Tu ne seras pas fâchée ?

- Non, non ! Tu m'as fait peur, je croyais que tu serais bloqué toute l'après-midi !

- Non, non, mais c'est de ma faute, je me suis mal organisé !

- Pour une heure, ce n'est pas un problème, j'irais lécher les vitrines ! Répondit Evy

- J'ai une autre idée : je vais te donner l'adresse de l'hôtel où j'ai réservé, et tu m'y attendras !

- Non, ça ne me plait pas de trop ! Une heure c'est vite passé, je vais me débrouiller !

- En fait, j'aimerais vraiment que tu m'attendes à l'hôtel ! Tu ne le regretteras pas, je t'assure ! Reprit Armand en essayant d'adopter le ton le plus convaincant possible.

- Bon, bon ! Céda alors notre héroïne.

- Essaie d'y être un quart d'heures/vingt minutes avant moi !

- D'accord chéri ! Je crois deviner ce qui va m'arriver !

 

" Ça m'étonnerait " se dit Armand in petto

 

A 14 heures 30. Evy se présente à la réception de l'Hôtel des Sources.

 

- On a réservé une chambre, Monsieur et Madame Martin...

- Ah, oui c'est la 24. au deuxième à gauche, attendez, on m'a remis une enveloppe et un paquet pour vous.

 

Evy prend la missive et le sac contenant un paquet cadeau ! Elle sourit en voyant le nom sur le sac " Elisa, Lingerie Fine " ! Pour l'effet de surprise c'est un peu raté… à moins que le sac soit un leurre. Elle monte, elle découvre la chambre, elle s'installe, elle teste le lit, il a l'air très douillet. Elle ouvre la fenêtre qui donne sur une cour, ça à l'air calme. Une petite visite à la salle de bain qu'elle décide de ne l'utiliser que tout à l'heure… Et un petit pipi. Et tandis qu'elle s'assoit sur la cuvette après avoir baissé sa culotte, et que les premières gouttes de son petit pipi doré font floc-floc dans la cuvette, elle décachette l'enveloppe, en extrait la feuille et entreprend de la lire :

 

Chérie ! A nouveau je te souhaite un bon anniversaire, et je t'offre dans le paquet qu'a dû te remettre le réceptionniste mon premier cadeau, il y en aura d'autres, j'ai envie de te gâter, aujourd'hui. Ce cadeau je veux que tu l'essaies et que tu m'attendes avec. J'aimerais bien que quand je te rejoindrais à 15 heures tu sois installée sur le lit avec tout cela ! La journée ne fait que commencer. Grosse bises. Armand.

 

Elle a fini son pipi, elle a fini de lire. Miracle de la simultanéité ! Elle se relève, mais au lieu de remonter culotte et pantalon, elle retire tout cela ! Puis enlève le haut ! La voici toute nue. Elle contemple l'image de son corps que lui renvoie le miroir de la salle de bain ! Pas trop à se plaindre ! Il y a pire, il y a mieux aussi, c'est la vie !

 

Elle ouvre, fébrile, le paquet, c'est un ensemble culotte et soutien-gorge. La couleur est d'un joli bleu gris chatoyant, le soutien-gorge est très décolleté et orné de fines dentelles, la culotte sans être un string est assez étroite devant. Evy regrette de ne pas s'être rasée ne serait-ce que partiellement les poils pubiens.

 

Elle s'observe un peu dans le miroir, ça va, son homme a bien choisi. Elle ne sera pas obligée de lui faire la petite comédie : "c'est joli mais il n'y avait pas une autre couleur, ou alors une autre forme ? On peut changer dit ? Tu ne seras pas fâché, hein ?" Non, il est très bien cet ensemble, la journée commence bien. Elle observe son bracelet montre, il est 14 heures 55. Elle va chercher son walkman dans son sac, se le branche et s'assoit sur son lit, dégustant la musique de Mozart, son compositeur préféré, Mozart dont, s'il elle a tout compris, elle devrait aller applaudir Don Giovanni dans quelques heures, juste en face, à l'opéra Bastille.

 

15 heures ! Armand devrait arriver !

15 heures 05 : Toujours pas là !

15 heures 10 : il a dû être retardé, mais pourquoi n'envoie-t-il pas un message ?

15 heures 15 : une clé dans la porte, elle s'ouvre et…

 

…Et Evy pousse un cri !

 

Tout va alors très vite : Qui est ce type qui rentre dans sa chambre avec une clé ? Ils sont complètement cons à la réception, il loue deux fois la même chambre !

 

- Sortez d'ici c'est ma chambre ! Parvient à articuler Evy

- Mais pas du tout c'est la mienne, je l'ai réservé depuis hier ! Répond l'inconnu.

- Sortez d'ici ! Dites à la réception qu'ils se sont trompés !

- Mais enfin, que faites-vous dans ma chambre et sur mon lit en plus ?

- Mais vous êtes malade, je vais appeler la réception, ça ne va pas se passer comme ça !

- T'avais demandé à ce qu'il mette une fille dans la chambre ? Demande alors l'inconnu en se retournant !

 

Horreur, il y en a un deuxième, Evy s'empare du téléphone, elle jette un coup d'œil au second intrus, celui-ci s'est carrément revêtue d'une cagoule. Son corps tremble, et puis le déclic, elle repose le téléphone ! Ça va soudain beaucoup mieux !

 

- C'est ça alors ! Reprend l'intrus (allez, on va l'appeler Max, ce sera plus facile !) Tu avais demandé une petite pute pour me faire plaisir ! Elle est mignonne dis donc, ils nous l'ont bien choisi ! Comment tu t'appelles ?

- Qu'est-ce que ça peut te foutre, gros lard ? Répond Evy

- Tu vas nous parler gentiment, t'es là pour t'occuper de nous, non ?

- Mais non, je vous dis que vous vous trompez de chambre !

 

Max approche son bras de l'épaule d'Evy et la lui caresse, il descend ensuite sa main vers le bras, puis la remonte, atteint à nouveau l'épaule et s'approche de la naissance des seins. Evy d'abord paralysée par ce contact ne réagit qu'au bout de quelques secondes :

 

- Tu vas retirer tes salles pattes de moi, vieux dégoûtant !

- Hum, elle est très douce ! Informe Max à l'adresse de son copain.

- Il ne parle pas beaucoup votre copain ! S'amuse Evy !

- Evidement, il est sourd et muet, mais moi je le comprends bien, et en ce moment il a envie de te caresser les seins.

- Il risque d'avoir du mal !

 

Et en disant cela Evy, se retourne sur le ventre, et réalise alors son erreur, en bloquant l'accès à sa poitrine, elle est en train d'offrir ses fesses. Ça ne rate pas, la culotte est dégagée, les fesses sont pelotées !

 

- Ne vous gênez surtout pas, les mecs ! Proteste-t-elle.

 

L'un des intrus se met à lui embrasser les fesses, elle se demande lequel c'est, puis réalise que ce ne peut être que Max sinon elle sentirait sur sa peau le contact de la cagoule de l'autre énergumène.

 

- C'est pas un peu fini, oui ?

- T'as plus l'air de vouloir prévenir la réception ? C'est bizarre, ça ! Reprend Max !

- Cherche pas à comprendre, gros plein de soupe !

- Mais c'est qu'elle est mal polie la petite dame, mais c'est vrai que je ne me suis pas présenté, je m'appelle Max ! Mais n'empêche que ça mérite une fessée, ça ? Hein ! Pablo !

 

Pablo acquiesce ! Max n'attendait que ça et décoche une puissante claque sur les fesses de la pauvre Evy qui pousse un hurlement ! Max réarme son bras ! Mais Pablo l'en empêche ! Max ne comprend plus ! Pablo lui désigne le mur !

 

- Quoi le mur ! Ah ! C'est parce qu'elle gueule de trop ! Bon on va la bâillonner !

- Sûrement pas j'ai horreur de ça ! Proteste Evy !

 

Alors Evy sent la main de Pablo qui lui appuie sur la tête, elle a le nez et la bouche dans l'oreiller, si elle crie ses hurlements seront étouffés. Du coup, l'autre refrappe, mais il y va quand même moins fort. Evy s'applique à encaisser les coups sans trop broncher, mais même si elle ne déteste pas ce genre de chose, cela lui fait mal et lui arrache quelques larmes aux coins de ses beaux yeux. Les coups s'arrêtent. Des doigts dégrafent le soutien-gorge. Des mains cherchent à atteindre les seins qui sont plaqués contre les couvertures du lit. Ce geste ne plait pas à Evy qui préfère se retourner et finir d'enlever elle-même son soutien. Max n'en peut plus, il prend les seins, les caresse, les soupèse, les malaxe, puis jette son dévolu sur le téton droit qu'il embrasse goulûment. Pablo ne voulant pas être en reste fait de même avec le gauche. Evy est très sensible à ce genre de caresses, des ondes de plaisir lui parcourent le corps, elle sent son sexe s'humidifier.

 

Pablo fait un signe à Max, et lui désigne sa braguette. Max sort alors sa bite !

 

- Tu vas me sucer la queue, salope !

- J'espère qu'elle est propre ! Répond alors Evy sans se laisser démonter !

- Pour l'instant elle est propre, quand je t'aurais enculé ce sera peut-être différent, hi ! Hi ! Hi !

 

Il a l'air content de sa sortie, le Max !

 

- Faudrait que je veuille, connard ! Tu ne crois pas que je vais te laisser tout faire !

 

Max est interloqué, il ne doit pas avoir l'habitude de se faire contrer, il jette un regard implorant vers la face évidemment inexpressive de Pablo. Evy s'en voulant (un tout petit peu) d'avoir perturbé ce pauvre biquet, lui attrape la bite par la main, constate que l'organe est dans un état sanitaire satisfaisant et se le fourre dans la bouche ! Max renonce à comprendre les états d'âme et les hésitations d'Evy et pour l'instant, il est là enchanté, ravi !

 

- Tu ne me jutes pas dans la bouche ! Préviens Evy !

- T'aimes pas le sperme ?

- Tu me promets de ne pas jouir dans ma bouche, sinon je te suce avec une capote !

- Comme les putes ?

- Qu'est-ce que tu as contre les putes ? Tu es bien content de les trouver, d'ailleurs en ce moment je suis ta pute !

- Bon allez suce-moi, j'ai de l'éducation, je sais me tenir !

 

Pablo s'est aussi débraguetté et approche sa queue du visage d'Evy toujours occupée à sucer Max. Elle passe alors sa langue alternativement sur les deux glands, puis suce l'un puis l'autre.

 

L'excitation d'Evy atteint son paroxysme, elle n'en peut plus !

 

- Vous avez des capotes ?

 

Pablo en sort deux et les pose sur la table de nuit !

 

- Je croyais qu'il était sourd ? S'étonne Evy

- Bien sûr qu'il est sourd, mais il lit sur les lèvres !

- Lesquelles ?

 

Max renonce à répliquer, se met un préservatif et se place entre les jambes d'Evy prêt à la pénétrer.

 

- Attend ! Lui dit la jeune femme !

 

Elle se retourne et se place alors en levrette. Ça ne gêne pas notre Max qui adore cette position, il avance sa bite.

 

- Pas là ! Dans le cul ! Encule-moi !

- Ben tu voulais pas tout à l'heure ?

- Ben ça ne t'arrive jamais à toi de changer d'avis ? Mais lubrifie-moi un peu d'abord ! Elle est quand même un peu grosse ta queue !

 

Il est content Max qu'on lui dise qu'il en a une grosse ! Du coup il se met à lui lécher le troufignon avec bonne humeur. Et pendant ces préparatifs, Pablo s'est placé de l'autre côté face au visage d'Evy et lui donne sa bite à sucer. Max se sent prêt, il écarte l'anus de la jeune femme, force un peu, ça a du mal à entrer.

 

- Vas-y rentre d'un coup ! L'encourage Evy !

 

Il force, ça y est c'est entré, il force encore, Evy l'aide en dilatant au maximum ses chairs, encore un coup, ça y est la bite est dans le cul, il la pistonne doucement puis de plus en plus sauvagement.

 

- Vas-y, vas-y Max ! Tu me défonce bien le cul, défonce-la ta pute, défonce-la ta salope !

 

Un cri étouffé, presque un grognement, Max vient de jouir et se retire !

 

- Ah ! Ben mon salaud tu m'as enculé comme un chef ! Un petit peu rapide quand même à mon goût !

 

Max devient dubitatif, incapable de faire la part des choses entre les félicitations et la critique, puis décide que le compliment l'emporte ! Evy se retourne, lâche la bite de Pablo et récupère un peu. Son anus est tout de même un peu douloureux. Mais son excitation est toujours là ! Elle aimerait à présent qu'on la suce, ou alors qu'on la caresse partout pendant qu'elle se masturbe ! Elle cherche Pablo des yeux, il a disparu de la circulation, à moins qu'il ne soit dans la salle de bain, d'ailleurs elle entend de l'eau couler, puis s'arrêter, mais c'était Max qui maintenant revient près d'elle. Il a l'air satisfait, l'animal !

 

Nouveau bruit de clé dans la serrure ! C'est quoi cette fois-ci !

 

- Qui c'est ce mec ? Demande Armand qui vient de pénétrer dans la chambre !

 

Evy réprime une envie de fou rire nerveux et parvient à répondre :

 

- C'est Max !

- Et c'est qui Max ?

- J'en sais rien !

- Et qu'est-ce qu'il fait ici ?

- Oh, rien de spécial, il croyait que c'était sa chambre, alors je l'ai sucé et il m'a enculé !

- Mais t'es une salope !

- Ça, ça doit être vrai !

- Une salope et une pute !

- Viens la voir ta pute, elle est toute excitée ! Minaude Evy

- Et lui, qu'est-ce qu'on va en faire !

- Je sais pas, on va prévenir la police ? A moins que tu ais une autre idée !

- Voyons, monsieur Max, vous savez que ce n'est pas bien du tout d'abuser des jeunes femmes. Donc ou alors on porte plainte, on alors on vous punit !

- Vous êtes vraiment frappadingues tous les deux ! S'esclaffe Max qui a soudain du mal à suivre.

- Bon alors d'accord on va te punir, d'abord tu l'as bien mérité et ensuite ça va nous exciter ! Reprend Evy !

- Pas trop fort, alors ? Tempère Max

- C'est vrai que côté insonorisation ce n'est pas bien terrible ici ! Remarque Evy ! Il va falloir trouver une punition silencieuse.

 

Max s'arc-boute sur une petite table, fesses tendues et attend. Armand balance une première claque sur le cul de l'autre. Une deuxième, une troisième, tout cela de façon assez modérée. Un coup d'œil vers Evy, le spectacle lui plait et comme Max a l'air d'apprécier, tout le monde est donc content, on peut continuer. Armand se prend au jeu et tape de plus en plus fort.

 

- Eh vas-y mollo ! Prévient Max !

 

Armand s'arrête. Max se retourne et regarde Evy qui se masturbe, il la détaille sans aucune vergogne et du coup se remet à bander, et comme cet état lui plait il se donne une légère masturbation d'accompagnement. Puis pris d'une profonde inspiration il demande à Evy !

 

- C'est votre mari, alors ?

- Ben, oui on n'a pas fait les présentations dans les règles…

- Ce ne serait pas lui qu'il faudrait punir ! Non ?

- Ah oui ! Et pourquoi donc ?

- Pourquoi donc, parce qu'il aurait été là à l'heure je ne serais pas venu vous embêter !

- Et comment tu peux savoir qu'il n'était pas à l'heure, pauvre pignouf ?

- Heu !

- A mon avis, vous n'avez pas assez répété ! Ce n'est pas très au point votre numéro !

- Mais c'est exprès, il fallait que tu comprennes tout de suite que Pablo c'était moi, sinon tu aurais paniqué ! Explique Armand

- Sinon je n'aurais pas niqué, c'est le terme exact ! En tous cas, j'ai bien envie de vous punir d'être aussi nuls l'un que l'autre ! Rigole Evy !

- Alors d'accord on la laisse décider c'est son anniversaire après tout, hein Max ?

- Ah oui, c'est vrai, alors bon anniversaire, M'dame !

- Merci Max, mais dis-moi, Armand, ton copain Max, il va accepter tous mes fantasmes, tu lui as parlé de tout !

- Ne t'inquiète pas ! Répond son mari

 

Et plutôt que d'ajouter des commentaires, il pose alors sa main sur la bite de Max, qui du coup retire la sienne. Les yeux d'Evy sont écarquillés. Ainsi Armand a voulu lui offrir son fantasme, enfin l'un de ses fantasmes, celui qu'elle a tellement élaboré qu'elle a même envisagé d'en faire une nouvelle érotique. Le thème est à la fois très simple est très spécial. Un inconnu la baise, puis on se rend compte que l'inconnu est bisexuel, et tout cela se termine dans un triangle infernal ou tout le monde baise tout le monde. Armand avait voulu y ajouter une touche d'humour en se cagoulant et en recrutant cet escogriffe un peu lourdingue mais pas méchant. Et finalement le fantasme avait fonctionné, mais là c'était autre chose… D'autant que maintenant Armand avait à son tour sorti sa bite et se faisait branler par Max. Deux hommes dont son mari étaient donc en train de se masturber mutuellement à quelques mètres d'elle. Evy frottait sa main sur sa chatte, passant à chaque fois sur son clitoris érigé tandis que l'autre main pinçait avec force son téton durci !

 

- Continuez, dit-elle, surtout ne jouissez pas tout de suite !

 

Armand fait signe que pour lui il n'y a pas de problème ! Max a l'air moins sûr de lui et semble prêt de l'explosion. Ce type qui a joui dans le cul d'Evy il y a tout juste un quart d'heure aurait-il une quéquette à répétition ?

 

- Tu voudrais sucer Armand ? Lui demande Evy

- Pas de problèmes !

 

Et joignant le geste à la parole, il s'agenouille devant Armand et entreprend de lui sucer la queue ! Le mari d'Evy semble surpris de la délicatesse avec laquelle Max accomplit sa fellation, il suce en fait mieux qu'Evy mais il se gardera bien de le dire à cette dernière ! La situation particulière alliée au savoir-faire de Max fait monter la jouissance d'Armand qui trouve vite la parade !

 

- On change !

 

Et comme deux complices qui auraient fait cela toute leur vie, nos deux compères entamèrent un joli mouvement parfaitement synchronisé : Max se relève, Armand s'accroupit, et à son tour embouche la grosse verge ! Armand s'en délecte, il ne se livre même pas à de petits mouvements de lèvres et de langues préliminaires, non c'est tout carrément dans la bouche, enfin tout, disons tout ce qu'il peut y placer.

 

- Je ne vais pas tenir longtemps ! Préviens Max au bout de quelques minutes de succions abondantes.

 

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Alors Armand se relève, court vers la table de nuit, il jette un coup d'œil à Evy, qui a maintenant les yeux fermés, elle est en plein dans ses fantasmes et ne les rouvre que de temps à autre vérifiant qu'ils s'accomplissent bien, ici devant elle !

 

Armand prend un préservatif, le tend à Max, puis se plie en deux sur le lit ouvrant et offrant son cul !

 

- C'est la première fois que j'encule un mec devant sa femme ! Croit intéressant de préciser Max !

 

Le gland pénètre facilement, sa bite est tellement bandée que la pénétration en est facilité, un centimètre, deux centimètres, toute la bite !

 

- Aie !

- Comment ça aïe ? Je t'ai fait mal ?

- Un peu !

- Je vais te faire ça tout doucement comme un artiste !

 

Alors Max entame un va-et-vient très lent !

 

- T'inquiètes pas t'es si serré qu'on peut faire comme-ça !

 

C'est tout Max, ça il faut qu'il commente tout ce qu'il fait !

 

- Je vais accélérer !

- Vas-y !

 

Ce n'est plus une accélération, c'est un passage brutal à la quatrième vitesse. Arnaud est en train de jouir du cul tandis que l'autre le pilonne.

 

- Baise-le, je me retiens un peu ! Gueule Evy !

- Je viens, je viens répond Max !

 

Evy pousse alors un hurlement, puis bizarrement se retourne et attrape une crise nerveuse. Max a joui et comme tout à l'heure part dans la salle de bains se livrer à quelques ablutions. Armand n'a pas éjaculé, mais il n'est pas pressé, il caresse tendrement son épouse :

 

- On se calme, on se calme !

- Je suis folle :

- Mais non, tu n'es pas folle ! C'était bien ? Ça t'a plus ?

- Oui, mais tu as fait tout cela pour moi ?

- Ben oui, c'est un cadeau !

- Tu ne t'es quand même pas fait enculer pour moi ?

- Si, mais ça n'a pas été une corvée, tu sais très bien que j'en ai toujours eu envie !

- Ah bon, t'étais puceau du cul ? Interroge Max qui sort à ce moment-là de la salle de bain !

 

Et tout le monde d'éclater de rire.

 

 

Estonius Mars 2002

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Jeudi 28 février 2002 4 28 /02 /Fév /2002 17:42

Cinq femmes dans le métro

par Hélèna

 

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A Brigitte (évidemment)

 

Bonjour, c'est Hélèna ! En lisant des histoires érotiques et des commentaires de lecteurs et de critiques, je me suis rendue compte que les récits dénués de sentiments passaient mal auprès d'un certain lectorat. La grande sentimentale que je suis devrait-elle s'en étonner ? Pourtant des relations presque exclusivement physiques existent et peuvent parfois marquer fort… Rideau !

 

Le métro, la foule la fatigue, une journée de travail pas vraiment de tous repos, l'esprit pas vraiment libre, des trucs en suspens… Pénible de devoir penser au travail après le travail ! Pas de place dans ce métro ! Strapontin. Je m'assois, espérant ne pas être obligée de me lever dans une ou deux stations. Je rêve, je rumine, je mijote. Premier arrêt, ça monte. Pas trop de monde. Je reprends le cours de mes pensées. Une femme en s'asseyant à côté de moi coince à moitié mon manteau que je suis alors obligée de tirer pour le dégager. Elle ne s'excuse même pas, je lui jette un coup d'œil furibard. Une simili-bourgeoise qui doit se trouver très belle. Aucun intérêt. Mon regard circule. Dans le coin devant moi, une fille est debout, la vingtaine, un curieux look, le genre de fille qu'on imaginerait bien fréquentant les milieux catholiques intégristes. Des lunettes pas franchement classe, un duffel-coat bleu marine, une chevelure assez quelconque avec quelques bouclettes, une peau très blanche, sur un visage comme on en voit partout, quoique ce petit bout de nez, quand même…

 

Et puis je ne vois pas le reste, et pour cause, parce qu'il y a quelqu'un de collé contre elle. De dos on ne voit qu'un pantalon trop large et une espèce de tunique informe. Les cheveux sont très bruns, ce doit être un chinois, enfin un asiatique quoi, de petite taille, il a sa tête contre l'épaule de la fille et celle-ci lui murmure :

 

- Fait un gros dodo !

 

Quand même quelque chose cloche, je ne regarde plus que ce couple qui de toute façon ne regarde personne.

 

La fille passe amoureusement la main dans les cheveux de l'autre, qui finit par se dégager. Et puis, soudain, il n'y a plus de doute le "chinois" est une "chinoise". Les voilà qui se caressent le visage mutuellement, puis qui se font des petits bisous assez innocents. Je suis scotchée, le spectacle m'excite. Et puis le bouquet, les deux filles manifestement craquent et ne peuvent soudain s'empêcher de se rouler un patin dans le métro devant toute la rame. Alors là non seulement ça m'excite mais ça me met de bonne humeur. Je trouve ces deux nanas d'une fraîcheur exquise. J'aime à m'imaginer la plus grande bravant les interdits de son milieu… Le métro s'arrête. Elles sortent. Je regarde par la fenêtre, elles se dirigent vers la correspondance en se tenant par la main. Touchant ! Ravissant ! Mignon !

 

C'est alors que ma voisine fit preuve d'un courage inouï et me prenant à témoin me dira simplement :

 

- On voit de tout dans le métro !

 

J'ai l'habitude de ne répondre ni aux interpellations, ni aux provocations, je me contentais d'hausser ostensiblement les épaules afin de lui signifier mon désaccord. Quand une dame un peu blonde et au joli visage de fouine que je n'avais point remarqué apostropha la bourgeoise d'un :

 

- On vous voit bien, vous, dans le métro !

- Pardon ?

- Vous faites sans doute partie des gens qui ne supportent pas qu'on ait un comportement différent du sien ?

- Vous je ne vous ai rien demandé ! Et d'abord le métro ce n'est pas un bordel !

 

Les lionnes sont lâchées. Est-ce que je me lance dans la bagarre ? J'y vais ! A deux contre une ce n'est pas très fair-play, mais tant pis pour la bourgeoise.

 

- Et moi je suis d'accord avec la dame ! Clamais-je simplement !

- Et ben, elle est belle la France ! Reprit la bourgeoise.

- Je crois d'ailleurs que je vais changer de wagon, cette personne empoisonne l'atmosphère.

- Poufiasse !

 

Là je marque une pause Les gens deviennent badauds, et à ce petit jeu celui qui injurie a toujours tort, donc ne pas répondre dans le même registre.

 

- Non seulement vous vous mêlez de ce qui ne vous regarde pas, mais vous êtes très mal élevée !

 

C'est facile, démagogique en diable, mais tous les regards désapprobateurs de l'entourage sont sur elle, alors qu'ils ignorent tout des raisons de l'altercation.

 

- Bon je préfère ne rien dire ! 

 

Et défaite sur ces mots, elle fait semblant de lire un magasine qui traînait dans son sac.

 

Le métro s'arrête. Je change de rame, je veux bien me donner en spectacle, mais pas plus de cinq minutes. 

 

Je m'assois, nouveau strapontin !

 

- Il y a quand même des gens trop graves !

 

Hein ! Qui c'est celle-là ? Mais c'est la dame un peu blonde au visage de fouine, elle aussi a changé de wagon.

 

- Je suis bien d'accord avec vous ! Répondis-je

 

Et d'abord que répondre d'autre ?

 

- Moi je trouve qu'elles ont bien raison de s'exprimer ces nanas, si c'avait été un couple classique elle n'aurait rien dit !

 

" Tiens, tiens ! " Me dis-je ! Je dévisage mieux l'inconnue, quarante ans passée, une jolie frimousse légèrement fatiguée, avec ses fameuses petites rides de plaisir au coin des yeux que portent les gens qui en ont " profités " Je cherche une bonne réplique mais me contente d'un :

 

- Surtout que ce n'était même pas de la provocation, manifestement elles n'en pouvaient plus, elles avaient envies l'une de l'autre !

- C'est beau l'amour ! Quel que soit le sexe !

 

Allez, je fais une folie, je la lance ma réplique d'enfer :

 

- Je vais vous faire un aveu, j'aurais bien aimé être à leur place !

 

Mon cœur palpite, que va-t-elle répondre ? Elle me regarde droit dans les yeux, se passe l'espace de quelques secondes la langue sur les lèvres.

 

- Moi aussi !

- Ça vous dirait ? Osais-je proposer dans un souffle.

- Viens !

 

Dans quoi je m'embarque ? Elle se colle dans le coin du métro. Me voici un peu gourde, je ne sais pas trop ce qu'elle attend vraiment, je ne suis pas si sûre que nous soyons au diapason de nos désirs.

 

- Plus près !

 

Je m'approche.

 

- Elles ont fait quoi au début ? J'ai raté le commencement.

- La Chinoise s'est blottie contre sa copine, et l'autre lui a dit " fais un gros dodo "

- Montre-moi !

 

Je suis prise dans ce jeu comme un papillon dans un tourbillon, me voici la tête contre son sein, je dois me baisser un peu, je m'y blottis comme quelqu'un qui fatigué voudrait se faire câliner. L'inconnue me caresse les cheveux.

 

- Elle a fait comme ça ?

- Oui !

- Et après ?

- Je t'ai dis 

- Oui, le gros dodo, mais après ?

 

Mon dieu !

 

- Après elles se sont regardées et elles se sont caressées le visage !

- Montre-moi !

 

Me voici en train de caresser les joues de l'inconnue. Je n'aime pas les inconnues !

 

- Comment tu t'appelles ?

- Brigitte !

 

Elle mentait, je crois, et ne me demanda pas de me présenter. Elle me caresse le visage. On se découvre. Elle a la peau douce.

 

- Et après, ça a été les petits bisous ! Me dit-elle, c'est à ce moment-là que je les ai vues.

 

Ouais, et après les petits bisous, ça a été carrément la fricassée de museau. Est-ce que j'aurais le courage d'aller jusque-là ? Elle me bécote sur le bout du nez, sur le bord des lèvres, je lui rends. Je suis dans un état second, ma culotte est toute humide et mon corps tremble à force d'avoir la chair de poule. Petit bisou sous l'œil, retour vers les lèvres. Je n'en peux plus, je la veux la Brigitte. Et puis, ça c'est fait comme ça dans le mouvement. Nos bouches se collent, nos langues se cherchent. L'agilité de celle de Brigitte est stupéfiante, elle va partout à une vitesse incroyable, ce n'est pas une langue, c'est une anguille. Une image me traverse l'esprit, cette langue je la veux sur ma chatte. Le patin dure une éternité.

 

Quelqu'un se racle la gorge.

 

D'instinct j'arrête tout.

 

- Ne te retourne pas, reste contre moi et on descend à la prochaine ! Me dit Brigitte.

 

Le métro s'arrête, on descend, elle me tient la main comme si on se connaissait depuis des lustres. On ne se retourne pas. Elle m'entraîne un peu plus loin. Le métro repart… sans nous !

 

- C'est malin, lui dis-je ! Si tu savais comme je suis excitée !

- Et moi donc !

- Ce n'est pas possible une rencontre comme ça, c'est la première fois que ça m'arrive ! J'ai une de ces envies de te bouffer la chatte !

- Ça peut se faire ! Tu es pressée ?

- Je peux m'arranger ! Tu connais un endroit !

- Je connais chez moi !

- Tu habites seule ?

- A cette heure-là, oui !

- C'est loin ?

- Cinq stations, on va reprendre le métro !

 

La rame arrive.

 

- On va monter en tête ! Me dit-elle !

 

- Non il y a moins de monde en queue !

 

- Je sais bien, viens en tête !

 

Je renonce à comprendre. Nous voici dans la foule, l'une contre l'autre.

 

- Ouvre ton manteau, me chuchote-t-elle !

 

J'obéis, essayant de deviner ses intentions. Elle s'est également déboutonnée, elle s'approche de moi, nos corps sont désormais si près que nos poitrines se frôlent, oh, de façon imperceptible et à la limite, c'est dans la tête que ça se passe, mais je n'en peux plus. Nouvelle station.

 

- On va être un peu sage ! Il commence à y avoir des gens que je rencontre tous les jours !

 

Bon, moi quand on me dit d'être sage, je suis sage ! On s'échange quelques banalités, elle s'inquiète de savoir si je vais pouvoir m'arranger, je la rassure, de mon côté, j'essaie de lui faire préciser si elle est seule ou pas, et me répond qu'elle vit avec une copine infirmière, mais que vu les horaires de celle-ci elle ne sera pas à la maison et que de toutes façons elle n'est pas jalouse…

 

Bon, je n'aime pas trop cet intermède, mon excitation se dilue un peu. Je suis en train de faire n'importe quoi, je cherche une échappatoire, un truc dans le genre. "J'ai eu un coup de folie, maintenant je redeviens raisonnable et cetera…". Mais ça ne sort pas, et puis quand même passer à côté d'une occasion comme celle-ci, je finis par décider de m'y laisser entraîner.

 

On descend de la rame, on sort à l'air libre, on emprunte une rue très commerçante.

 

- Je vais quand même acheter le pain ! Me dit-elle ! 

 

Ça ne s'invente pas !

 

L'immeuble. Le porche. L'ascenseur ! Elle se jette sur moi, sa langue est de nouveau dans ma bouche, mais il y a un plus, c'est que cette fois sa main est dans ma culotte. Elle va être servie, elle est toute humide.

 

- Ben dis donc, ma cochonne !

- C'est de ta faute !

 

La porte en bois vernis. La clé, l'entrée, un petit appartement classique.

 

- Je t'offre à boire !

- Non, tout à l'heure peut-être !

 

Elle n'a pas posé son manteau, du coup moi non plus ! Pourquoi ? Un instant, juste un instant je me demande ce que je fabrique ici. Je sais que je vais passer à la casserole. Je présume aussi que cette femme possède une expérience que je n'ai sans doute pas. Ce qui m'embête c'est que j'ai l'impression d'être complètement à sa merci. J'irais bien pisser, mais, allez savoir pourquoi, je n'ose même pas lui demander, j'attends, j'attends qu'elle me mette à l'aise. Tu parles, elle est là devant moi elle me sourit, le temps semble suspendu.

 

- Ça va ?

- Oui, mais on pourrait peut-être retirer nos manteaux, non ?

 

Ça a été plus fort que moi, il a fallu que je lui dise.

 

- Tu sais, je suis très joueuse, j'aime bien me jouer des petits scénarios...

 

Du coup je suis inquiète, j'espère qu'elle n'a pas des fantasmes qui vont me faire fuir !

 

- ... Viens approche-toi de moi, on va faire comme si on était encore dans le métro, un métro où on n'aurait pas besoin de s'occuper des réactions des gens, un métro rien que pour nous !

 

Elle se colle dans un coin de la salle à manger, je la rejoins, nos visages s'approchent, nos bouches se soudent, nos langues jouent. Mes hésitations sont déjà loin, me revoilà dans le trip, à un tel point que je ne réalise pas le burlesque de la situation. Deux femmes s'embrassant debout dans un coin d'appartement, avec leur manteau sur le dos. 

 

Brigitte tout en continuant à me posséder de sa bouche a posé ses mains sur mes seins, comme ça par-dessus le pull-over qui les recouvre, les palpant, découvrant leurs formes. Je l'imite, j'aurais de toute façon attaquée à mon tour si elle ne l'avait pas fait avant moi. Elle a un chemisier, et mes mains font glisser l'étoffe par-dessus l'arrondi du sein, la matière est en crêpe, j'aurais préféré plus doux, mais je m'aperçois que le frottement continu sur le tissu finit par faire bourgeonner le téton de ma complice, du coup je m'active, insiste et coordonne mes mouvements pour que le second ne soit pas jaloux. De son côté elle n'a pas perdu son temps, les mains sont maintenant sous le pull, et me caresse la peau du ventre, c'est bien agréable et cela me convient parfaitement, mais je sais aussi que l'objectif n'est pas vraiment là. Les mains montent, un doigt atteint le bas du soutien-gorge, en force la limite du tissu, un deuxième doigt le rejoint, et hop, une petite pression, voici le soutif qui monte à l'étage du dessus. Les mains de Brigitte me cajolent les seins, mes tétons attendent. Pas longtemps, ses doigts s'en occupent. Je vais craquer !

 

J'ai la fièvre, je m'emberlificote en voulant trop vite déboutonner son chemisier. Je m'y reprends à deux fois. Quoi de plus stupide et de plus primaire qu'une boutonnière récalcitrante ! Enfin j'ouvre les pans du chemisier. 

 

- Hum ! Ravissant !

 

C'est absolument charmant, un joli soutien-gorge bleu-gris, je le prends à pleines mains, en évalue le contenu, puis employant la même méthode que ma comparse, je libère deux magnifiques globes laiteux un peu fatigués, mais néanmoins d'un fort bel arrondi. Des seins qui appellent la caresse, mais aussi le baiser. Je me penche et sans plus de préambule, commence à lui lécher le téton. Je le fais doucement, la sensibilité à cet endroit est souvent très différente suivant les femmes, alors quelques coups de langue, puis je fais de plus en plus vite au fur et à mesure que le téton se raidit. Brigitte commence à haleter de plaisir, je passe d'un téton à l'autre. 

 

On ne peut pas tout avoir. De par la position que j'ai prise, elle a du mal à s'occuper de moi convenablement. Mais quelle idée qu'elle a eu avec son scénario souterrain alors qu'on pouvait se mettre à poil dans le plumard dans une position classique de soixante-neuf, bien à l'aise ! Je la sens qui s'agite vers ma ceinture, elle cherche à faire descendre mon pantalon, je trouve que c'est une excellente idée, ça ! Je vais pour l'aider un tout petit peu, mais je trouve qu'elle se débrouille très bien toute seule. Zlouf, le pantalon dégringole, ni entracte ni pause, la culotte descend à son tour, me voici la chatte à l'air…

 

- Ne bouge pas, je change d'étage !

 

Brigitte se dégage de l'étreinte de ma bouche et s'accroupit à mes pieds devant moi, son visage est face à mon sexe, elle rayonne d'envie ! La vampire face à sa proie ! Je n'en peux plus d'attendre ! Qu'elle vienne, mais qu'elle vienne bon dieu ! Et impatiente, je lui attrape le crane et lui colle son visage sur ma chatte. Ses mains s'agrippent à mes fesses par-dessous le manteau (toujours le manteau !). Si elle aime la mouille elle va être servie, et d'ailleurs elle se sert, C'est minette qui fait minette à minette ! Je suis sur le point d'éclater, déjà je me cambre, mes mains sont sur mes pointes et les serrent jusqu'à leur faire mal. Sa langue tourbillonne autour de mon petit clito tout dur, je ne sais pas trop à quoi me tenir, je crie, je joui !

 

- Que c'est bon ! Que c'est bon !

- A toi !

- On s'allonge ?

- Non, on est encore dans le métro !

 

Complètement allumé, la Brigitte ! Elle s'est déjà redressée, je m'accroupis, un peu abasourdie quand même ! J'entreprends de baisser son pantalon, je m'attendais à une culotte aussi mignonne que le soutien-gorge, non il est bien banal ce truc, si banal que jugeant très vite de son inutilité je le lui retire vite fait. Sa chatte apparaît. Madame n'est donc pas blonde, mais je m'en doutais déjà, n'empêche que cette touffe de poils est absolument ravissante, je la regarde contente du spectacle, j'aime voir une chatte dans son environnement immédiat, le haut des cuisses, le bas du ventre, tout cela forme un ensemble charmant, et la peau est si douce en ses endroits, je caresse un peu tout ça. Brigitte se laisse faire, et ne s'étonne pas que je ne rentre pas plus vite dans le vif du sujet…

 

Mais on va y rentrer, je lui écarte ses lèvres, hum ça sent un petit peu fort, un peu, il ne faut rien exagérer, mais il est vrai qu'il est près de 18 heures, et puis on s'habitue et finalement ce n'est pas si désagréable que ça ! Et au bout de quelques instants, je juge même que c'est très agréable !

 

- Tu sens bon !

- Petite cochonne !

 

Je la lape, cette cornichonne s'est complètement plaquée contre le mur, ce qui fait que je ne peux pas comme elle, m'accrocher à ses fesses. Tant pis, ou plutôt tant mieux, je lève mes bras, je lui attrape ses bouts de seins. Elle rouspète, mais c'est pour la forme, ce qui fait que je serre encore plus fort ! Ma langue s'active, je la fais languir, un coup sur le clito, et puis je vais voir ailleurs, j'aime lécher de bas en haut en de longues traînées de langues répétées. A chaque fois le clito n'est qu'à peine effleuré. Mais Brigitte commence à se raidir. Le coup de grâce, le bout de la langue sur son petit bouton comme ça juste posé, et j'approche mes dents, je mordille à peine, j'augmente juste un peu la pression, ma langue s'agite, Brigitte part !

 

- Pouffffff

- Ca va !

- Tu m'as crevé !

 

Vorace01.jpg

 

Elle se laisse glisser le long du mur, et la voici assise sur les fesses. Je me précipite sur son visage, nous nous embrassons, nos bouches sont encore imprégnées de nos jus intimes. On en peu plus, c'est reparti pour un tour, on est par terre, complètement dépoitraillée, nos pantalons sur les chevilles que l'on finit par n'enlever que par une jambe, et nos manteaux qui sont encore sur nos épaules. Des furies, je ne sais comment on a roulé par terre, ni comment on s'est retrouvée en soixante-neuf sur le parquet ciré, Brigitte dessus, moi en dessous, nous avons jouis une nouvelle fois, presque en même temps.

 

J'ai chaud je me relève, j'enlève enfin ce foutue manteau !

 

- T'as pas trop chaud ? demande-t-elle

- Si j'étouffe ! 

- Tu fais ça très bien !

- Merci, mais c'est parce que tu m'avais excitée

- Tu sais j'étais à fond dans mon fantasme !

- Ah ! Oui, le métro, ça y est, il est arrivé !

- Oui ! Mais j'en ai plein d'autres en réserve, le bateau, la cabine d'essayage, la fête foraine, et même l'hélicoptère !

- Au secours ! Répondis-je en rigolant !

- Mais, reprend-elle, mon trip préféré, c'est quand je joue à l'esclave et à maîtresse...

 

Tiens, tiens, voici qui m'interpelle, mais je ne tiens pas non plus à me dévoiler de trop, je biaise.

 

- Et tu fais l'esclave ou la maîtresse ?

- La maîtresse, en principe !

- Ouais, je n'aime pas trop la violence !

- Est-ce que j'ai l'air violente ? Non juste quelques claques sur le cul, et puis tu dois m'obéir, mais tout ça pour rire comme le faux métro !

- Ah ? Dans ce cas on peut voir !

- Et tu voudrais voir tout de suite !

- Pourquoi pas, mais avant faut que j'aille pisser !

- Non !

- Comment ça non ?

- Disons que ça fait partie du jeu !

- Je n'ai pas dit que je voulais y jouer !

- Mais bien sûr que si, que tu veux y jouer !

- Alors juste cinq minutes !

 

Elle me fait alors me retourner, et après m'avoir complimenté sur mon derrière, elle entreprend de le fesser à pleines mains. Je n'ai jamais trouvé la chose désagréable pourvu que cela soit fait avec modération, mais Brigitte n'est pas une brute et elle sait se mesurer

 

- Alors ça te plait !

- Ça chauffe, ça pique !

- Met toi à genoux devant moi !

 

Mon dieu, pourquoi faire ? Mais je m'exécute !

 

- Tu as toujours envie de pisser ? Reprend-elle.

- Ben oui !

- Ça te dérangerait que je te regarde pisser ?

- Non !

- Mais ça te dérange pas et c'est tout, ou ça t'excite de pisser devant quelqu'un.

 

Bon je la vois venir avec ses gros sabots.

 

- Qu'est-ce tu essaies de me demander en fait ? Si j'ai quelque chose contre les jeux de pipi ? C'est ça ?

- Ben, c'est un peu ça, c'est pas toujours évident à demander !

- Bon, montre-moi où c'est !

 

Je la suis, je m'installe de façon à ce qu'elle ait la meilleure visibilité. Evidemment ça ne vient pas. J'ai toujours eu du mal à pisser devant quelqu'un, j'ai du mal mais j'y arrive, je ferme les yeux, je me concentre, elle en profite pour me caresser, je suis obligé de lui dire de ne pas le faire, ça me déconcentre Ca y est ça vient. Je rouvre les yeux ! Elle est contente de son petit spectacle la Brigitte. Et puis une idée complètement perverse me traverse l'esprit, je me pisse une ou deux gouttes sur les doigts, et lui tend :

 

- Tu veux lécher !

 

Elle n'hésite pas une seconde !

 

- Merci, si tu savais ce que ça fait plaisir de découvrir quelqu'un qui partage ses fantasmes.

 

Je pensais qu'elle en voudrait plus, mais non, elle s'éloigne comme à regret !

 

- Faudra qu'on se revoie ! Me dit-elle.

 

Traduction, il va falloir que je dégage ! Manifestement elle ne tenait pas à ce que son amie soit disant non jalouse me trouve ici. Elle m'a donné son numéro, je lui ai donné le sien, c'était le 14 novembre 2001. Je m'étais dit " si elle ne m'a appelé au bout de trois mois, elle ne m'appellera plus, alors j'écrirais cette histoire ! "

 

En fait, elle m'appela quelques jours après que j'ai terminé la rédaction de cette nouvelle. Rendez-vous ! Nouvelles folies et donc nouvelle histoire. Et peut-être la raconterais-je ?

 

Hélèna - Paris - février 2002 - ©

 

 

Helenesevigsky@hotmail.com

Par Helena Sevigsky - Publié dans : Helena Sevigsky
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Vendredi 22 février 2002 5 22 /02 /Fév /2002 17:47

Fantaisie alpestre par Cosi-cosa
stamp rousse

 

J'aime faire des balades, dans nos montagnes du massif alpin

Ce jour-là, je m'étais arrêté au bord d'une route en lacet afin d'admirer le paysage en contrebas, quand une voiture se gara près de moi, une femme mature en descendit. Je ne vous dis pas le look : blonde platinée, lèvres pulpeuses, lunettes de star, pantalon léopard super moulant, petit haut rose en cache cœur laissant deviner une poitrine imposante;

- Bonjour jeune homme, souhaitez-vous un peu de compagnie ?

Une pute, me disais-je tout en m'étonnant que l'on puisse tapiner en ces lieux.

- Je n'ai pratiquement pas d'argent sur moi ! Lui répondis-je maldroitement.
- Qui vous parle d'argent ?
- Excusez-moi…
- Il n'y pas de mal, je sais que je fais un peu pute… mais je ne vais pas tourner autour du pot et vais vous annoncer la couleur
- La couleur ?
- Je suis en manque, mes amis sont rentrés à Paris et j'en ai marre de m'astiquer avec mon gode ! Alors si vous n'avez rien contre les femmes un peu mûres.
- Admettez que c'est inattendu !
- Je l'admets volontiers, alors c'est oui ou c'est non ! ?
- Je suis en moto !
- Ben oui, j'ai vu, vous me suivez on va dans mon chalet !

Je remonte sur ma moto et je roule derrière sa voiture qu'elle conduit tranquillement ce que j'apprécie car on admire encore le panorama, après avoir traversé le village, nous voici arrivés au chalet il est situé au milieu d'un immense terrain entouré d'arbres, à l'abri des regards indiscrets.

Elle m'installe sur la terrasse et va chercher des boissons, même sous le parasol il fait chaud ! La voilà de retour, quelle merveille ! Et des sodas bien frais en plus, nous discutons cinq minutes de cette nature environnante tout à fait exceptionnelle, et soudain elle me coupe et me regarde droit dans les yeux, sa chevelure rousse et ses yeux verts sont éclatants dans le soleil, elle me dit :

- Je vois que vous aimez la nature et que vous en parlez fort bien, nous pourrons reprendre cette conversation tout à l'heure, mais pour le moment je vous propose que nous mettions à poil

Alpestre

Je n 'ai même pas le temps de répondre, la voilà qu'elle se lève face à moi, s'approche et commence à déboutonner ma chemisette et la jette sur une chaise et me tortille les tétons. J'adore cette caresse ! Ensuite elle descend ses mains sur mon pantalon le dégrafe et le laisse glisser à terre, je porte rarement de sous vêtement en été me voici donc nu comme un ver avec une belle érection en prime, elle fait un pas en arrière et me dit

- Quel bel hommage vous me rendez ! M+ais vu votre état je crois que nous allons nous tutoyer !

Dans la foulée elle descend son pantalon et le laisse tomber à ses pieds, elle non plus ne porte rien dessous, puis elle retire son haut. Elle a de belles formes généreuses, des seins hauts perchés, ronds et ferme, terminés par d'arrogants tétons, une délicieuse toison rousse et je divine sa chatte quand elle marche et que ses cuisses s'entrouvrent et laissent apparaître ses lèvres.

Je m'allonge sur le matelas d'une chaise longue en bois, quel plaisir les rayons du soleil sur la peau ! Elle vient vers moi, prend de l'huile solaire et me caresse en m'enduisant le corps elle promène ses doigts avec plein de douceur ce qui me met dans un état que vous devinez, ma queue est dressée tel un pieux, elle s'allonge sur moi se frotte pour que son corps aussi s'imbibe d'huile et me demande de lui en passer sur le dos et les fesses. Allongée sur moi, sa poitrine ronde et ferme s'appuie sur la mienne. Ses cuisses ont emprisonné ma bite mais elle ne bouge pas, je la caresse et d'un doigt je frotte son anus, sa chatte et le long de son dos, puis reviens vers l'anus

- Tu peux m'enfoncer un doigt dans le cul, mais ensuite il faudra que tu le suces !
- Mais pourquoi ?
- Parce que ça m'excite de te demander ça !
- Ah !
- Allez vas-y enfonce !

Je le fais, et lui laboure l'anus pendant quelques instants lui provoquant d'étranges miaulements de plaisir. Je ressors mon doigt, à peine pollué, un peu quand même !

- Lèche !

Je l'ai fait, ça ne m'a pas tué !

Ma belle inconnue se lève et sa bouche embrasse ma queue tendue, elle joue quelques secondes de sa langue sur mon gland gonflé puis m'enjambe toujours debout. Je peux admirer sa chatte rousse et son clitoris bande comme une petite bite, elle descend lentement en pliant les genoux. Je sens sur la pointe de ma queue les lèvres de sa chatte qui s'ouvre et je glisse à l'intérieur de son ventre, elle est assise sur moi empalée sur ma bite jusqu'à la garde, là elle commence un mouvement de va-et-vient lent et elle me dit :

- Ne te presse pas, plus ça dure, plus c'est bon !

C'est vrai que c'est presque un supplice cette chatte ouverte qui coulisse sur mon dard, elle accélère progressivement le mouvement et j'imagine que sa jouissance n'est pas loin. Soudain elle me crie :

- Vas-y gicle pendant que je vais jouir

Je sens monter en moi le sperme, prêt à sortir. A ce moment elle se démène comme une bête elle monte et descend le long de ma tige avec une telle violence que je gicle encore de plus belle. Sa jouissance s'atténue un peu elle se lève légèrement, s'avance et me dit tout bas :

Ta queue est encore dure je veux me la mettre dans mon petit trou !

Elle s'assoie lentement, ma tige est tellement enduite de son jus et son anus dilaté que je suis prisonnier de son cul sans difficulté et elle recommence ses va-et-vient frénétiques ce qui fait qu'en quelques minutes elle obtient un nouvel orgasme. Ma bite ressort de son trou du cul visqueuse de sperme et de merde. Ça la fait rigoler, elle me la prend dans sa bouche, me nettoie entièrement, me dit qu'elle adore sucer les bites qui sortent de son cul.

- Et quand il y a un peu de merde, c'est encore meilleur !
- Ah ?
- Ça te choque ? Me demande-t-elle une fois sa bouche libre.
- Non !

Un peu quand même mais je ne vais pas lui dire !

- J'ai envie de pisser, je peux te faire dessus !

Oui ça je veux bien, et son urine était délicieuse.

- Demain je serais occupée, mais si tu venir me faire un petite visite après-demain en fin de matinée.
- Je ne sais pas trop, je vais essayer de me libérer…
- Parce qu'après je rentre à Paris.

 

Nous n'avions pas échangé nos numéros de téléphone et le surlendemain, je n'y suis pas retourné, non pas parce qu'elle ne me plaisait pas, mais j'avais peur qu'elle m'entraine trop loin dans ses délires, je l'ai regretté ensuite. Ainsi va la vie…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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Samedi 2 février 2002 6 02 /02 /Fév /2002 22:56

Ligne 9 - Direction pont de Sèvres

par Estonius

 

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Il est tard, très tard. Perdu une demi-heure à attendre un taxi. Pas de taxi ! Décidément c'est la journée ! Je croyais passer une soirée intéressante ! Tu parles ! Des invités que je ne connaissais pas, qui se pointent à n'importe quelle heure, l'apéritif qui traîne, les amuse-gueules qui ne sont pas renouvelés. Monsieur et Madame suffisant qui la ramène tout le temps. J'ai failli plusieurs fois prétexter un mal de tête diplomatique pour me barrer de là-dedans, mais je ne l'ai pas fait par amitié pour Philippe. Et puis il y avait Carole ! Carole et ses gros nénés. Carole et son joli petit nez rigolo. Elle avait été si gentille la dernière fois que je l'avais rencontré Elle avait l'air un peu différente cette fois, j'avais essayé de la "brancher" ce soir, mais l'affaire s'était mal goupillé ! J'avais fini par laisser tomber, et à minuit j'ai pris la poudre d'escampette. 

 

Minuit et demi ! Je laisse tomber le taxi. Je prendrais le métro, ce n'est pas dramatique en soi, une dizaine de stations mais après cinq ou six kilomètres à pied pour rentrer jusqu'à Chaville. La galère ! Il est où d'abord, le métro ? Je tourne, je vire, et même pas un quidam à qui demander. Je finis par trouver. Pas un chat sur le quai ! J'ai un peu la trouille ! Du coup j'allume une cigarette, je sais bien que c'est interdit, mais comme il n'y a personne, oui je sais, je sais... 

 

La rame qui n'en finit pas de ne pas arriver. J'ai chaud, je n'ai pourtant pas fait d'excès ni de table ni de boisson, mais ce mois de septembre est décidément d'une lourdeur si accablante que même la nuit ne parvient pas à aérer. Ah, enfin la voici, la voilà, je monte. Pas grand monde, dis-donc ! Deux personnes dans le wagon, deux mecs, deux pas trois, assez grands, blonds, sans doute des touristes, je passe rapidement près d'eux, et m'en vais un peu plus loin. Quelque chose m'intrigue, il m'a en effet semblé que ces deux-là s'amusaient à de drôles de jeux ! Mais je ne suis sûr de rien et puis d'abord je m'en fous ! Enfin je dis que je m'en fous, parce que piqué par une malsaine curiosité, me voici en train de chercher un prétexte pour changer de place et pour me rapprocher de ces deux grands machins.

 

De prétexte, je n'en trouve pas, alors je décrète que je n'en ai pas besoin et m'installe sur la banquette voisine de la leur, et ce avec l'air le plus dégagé possible.

 

Raté, je ne sais pas ce qu'ils fabriquaient, mais ils cessent tout à mon arrivé, les voici sages comme des images. Ils baragouinent quelque chose dans une langue qu'il me plait de qualifier de nordique. Il s'agit de deux grands échalas très blonds, entre vingt-cinq et trente ans, je présume. Ils sont assis non pas l'un en face de l'autre, mais en oblique. Sans doute est-ce ainsi plus pratique pour se détendre les jambes ? Ils sont en short, et l'un deux a quitté ses basquets, il est pieds nus. J'essaie d'éviter leur regard, mais ce n'est pas si facile. L'un deux me fait un sourire, je lui rends, un peu gêné. Il me parle, je ne comprends rien, je refais un sourire, il me reparle. Dialogue de sourd. Ils ne s'occupent plus de moi, échangent deux ou trois mots, et voici que celui qui a les pieds nus en pose carrément l'un des deux sur la braguette de son copain... Il ne se contente pas de le poser, mais commence à entamer une masturbation pédestre dans les règles de l'art, à tel point que l'on voit une jolie forme apparaître sous le short, une belle forme de plus en plus précise. L'autre à l'air aux anges, il émet une mine ravie et pousse des petits soupirs de plaisir. 

 

En ce qui me concerne, l'excitation provoquée par ce spectacle me cloue sur place. Pas moyen de fuir, je suis tétanisé. Et pourtant je n'avais encore rien vu. Celui qui se faisait branler par le pied de son copain n'en pouvant manifestement plus, dégage brusquement son organe de sa braguette. Le sexe est de belle taille et de bonne tenue, une jolie peau assez blanche, un joli gland bien lisse et plutôt congestionné. Je me surprends à me lécher les babines. Est-ce bien raisonnable ? Et le gars qui me balance un sourire qui se veut complice. Il me baragouine je ne sais quoi, je n'y comprends rien, j'essaie bêtement de demander quelque chose !

 

- Pays-Bas ?

 

Dénégation de la tête !

 

- Nederland ?

 

Je sais bien c'est la même chose, mais pas forcément dans sa langue.

 

- Norge ! répond blondinet.

 

Ah bon ! Ce sont des norvégiens ! Pour se parler ça va être coton !

 

- " Do you speak english ? " Qu'il me demande le viking !

- Just a little !

- Will-you suck us ?

 

Hein ? Ça va pas la tête, le gars me demande que je le suce !

 

- Come on ! Come on !

 

Oui, ça va, on arrive ! Je me rapproche mais c'est tout ce que je fais !

 

L'homme aux pieds nus les a enlevés, l'exhibitionniste blond dégage mieux son sexe, laissant ses couilles à l'air, le sexe ainsi bandé pointe vers moi comme une offrande ! Je vais craquer. On arrive à une station ! Ouf ! Le gars remballe sa marchandise ! Si seulement il pouvait monter quelqu'un dans ce foutu wagon ! Ben non, à cette heure-là et à cet endroit-là il n'y a personne ! La rame repart, et aussi sec le mec ressort son sexe, il n'a même pas débandé d'un millimètre, il est toujours là dirigé vers moi, quémandant une caresse voir plus !

J'approche ma main, un simple contact avec la main, ça n'engage à rien, vous êtes bien d'accord avec moi ? Au début je ne veux que caresser, mais ça doit être instinctif, et sans le vouloir vraiment me voici en train de la branler ! 

 

Une main me touche la braguette. Le deuxième norvégien, je l'avais oublié celui-ci, il semble vouloir vérifier l'état des lieux, il n'est pas déçu ! Et moi comme un gros cochon, je me laisse faire ! Zip la braguette qui se baisse ! Je vais me faire branler par un touriste norvégien dans une rame de métro, c'est trop dingue ! La main est sur le slip, la main est dans le slip. Je sens le contact de ses doigts sur ma bite… Et puis ce qui devait arriver arriva, il se débrouille pour me sortir tout cela. Me voici la bite à l'air, la bite entre sa main et il me la masturbe ! 

 

- Suck !

 

Ça, c'est le premier qui insiste lourdement ! Je fais semblant de ne pas comprendre, mais je sais que je ne vais pas résister longtemps à ce régime-là !

 

- Kiss it !

 

Ah ! Monsieur compose, il me demande juste de lui embrasser la quéquette ! Pourquoi pas ? C'est quand même un pas un peu moins difficile à franchir ! Du coup me voici en train de faire des " smack-smack " sur son gland, sur sa verge, sur ses couilles, retour à la verge, retour au gland ! Un petit coup de langue complètement innocent, je m'enhardis, j'ouvre les lèvres, c'est magique, je suce ! Je réalise que je suis en train de sucer une bite ! C'est bon, c'est un peu salé, c'est même drôlement agréable.

 

Je me recule un moment !

 

- Suck it ! Suck it !

 

Bon, allez, je n'ai plus rien à perdre, je suce, j'essaie d'être à la hauteur. Et voici que le deuxième larron me suce à son tour, j'adore qu'on me fasse une pipe, mais comment un mec va-t-il s'y prendre ? Sublime surprise, il s'y prend très bien ! Je suce et je me fais sucer ! 

 

Nouvelle station ! Ils vont où ces mecs ? Au terminus ? Tout le monde remballe ! Cette fois-ci j'espère que personne ne va monter ! Mais si un monsieur qui sort de je ne sais pas où, costume cravate et serviette en cuir à la main. On voit de tout à ces heures-là !

 

Nos deux scandinaves discutent entre eux et se marrent Le train redémarre. Et comme tout à l'heure le grand blond ressort sa bite ! Et l'autre réattaque ma braguette. Le nouveau passager se rend compte qu'il se passe des choses pas très claires dans les souterrains ferroviaires de la capitale et s'en va discrètement s'installer à l'autre bout du wagon...

 

Celui qui s'occupait de ma queue me dégrafe alors ma ceinture, mon pantalon tombe, mon slip aussi, le voici le cul à l'air. Et tandis que je suce à nouveau le blondinet du Nord, l'autre me tripote les fesses, un doigt s'approche dangereusement de mon anus. Je glisse ma main pour me protéger !

 

- Easy, Easy !

 

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Ouais, si tu veux, je ne vais pas me faire doigter le cul dans le métro, non ? Il a l'air de se dégager, je me tourne pour m'en assurer complètement ! Horreur, le gars est en train de s'encapuchonner sa bite qu'il vient de sortir avec un préservatif. Le premier qui a tout compris me retient sans brutalité par les épaules pour m'empêcher de bouger trop ! Je crois que c'est à ce moment-là que j'ai décidé que ce qui allait se passer ne serait qu'une conséquence logique de cette rencontre. Et qu'inconsciemment je souhaitais que ce réalise cet acte qui jusqu'à présent n'avais jamais quitté mes phantasmes. Ça pousse dans mon cul ! Je m'ouvre, ça passe, je me fais enculer dans le métro parisien, entre les stations Exelmans et Porte de Saint Cloud en plein 16ème arrondissement !

 

Et tandis que le train pénètre dans la station illuminée, le Norvégien numéro deux s'éclate dans mon cul tandis que le premier jouit dans ma bouche.

 

On se remballe, je veux dire quelque chose, je ne sais pas, ne pas se quitter comme ça, aller boire un coup, essayer de faire la causette en anglais. Non ils disparaissent avec un simple.

 

- Good Bye !

 

Et moi je reste là, il ne me reste plus qu'à attendre que le métro arrive au Pont de Sèvres, terminus de la ligne 9, finalement satisfait de cette aventure mais le cul un peu douloureux.

 

Ca y est ! Je suis à l'air libre, il n'y a pas un chat. Tout Sèvres à traverser et une partie de Chaville, j'en ai pour une bonne heure ! J'y vais d'un bon pas, le temps est doux, tout va bien ! Mais finalement quelle histoire… Je traverse la rue, je me refais le film des événements…

 

…Un crissement de pneus. Le véhicule s'arrête à quelques centimètres de moi. Je pense d'abord à un type qui veut m'agresser, puis je réalise, ce n'est pas ça du tout ! Tout à mes pensées, j'ai tout simplement failli me faire renverser par cette bagnole, je me recule, j'ai la tremblote ! Le conducteur m'apostrophe !

 

- Espèce de connard !

- Je, je suis désolé ! Parviens-je à articuler !

- Va te faire enculer !

- Je vous remercie, on vient de me le faire !

 

Estonius - Février 2002

 

estonius@hotmail.com 

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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