Dimanche 17 juin 2007 7 17 /06 /Juin /2007 17:23

     Ma tante et ma voisine

1 - Juste un peu de chantilly

par  Enzo Cagliari

 

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 Texte contenant quelques passages de scato explicite

Salut, je me prénomme Pierre, je suis grand (1 m 80 pour 80 kg) j'ai les cheveux bruns et suis assez fin. Je suis majeur depuis plusieurs années mais j'habite toujours chez mes parents... J'aime le sexe et je fantasme sur beaucoup de choses. En matière de femmes mes préférences vont aux femmes qui sont plutôt mûres et en tous les cas plus âgées que moi... 

 

... Comme par exemple, ma tante Yvette, ou notre voisine Béa... Il se trouve que ces deux grandes et belles femmes avaient été invitées un jour chez nous à un repas de fête organisé pour l'anniversaire de mon père. Au dessert, alors que des groupes de discussions se formaient, et la boisson aidant, certains propos devenaient de plus en plus grivois. Je ne me rappelle plus suite à quelle réflexion Béa avait alors déclaré ne porter que des strings. En disant cela, elle m'avait adressé un sourire que je fis semblant de ne pas remarquer. Ce fut alors tante Yvette qui confessa à son tour qu'elle aussi, adorait être en string et que justement elle en portait un aujourd'hui absolument ravissant... Je craignis un moment que partie comme elle l'était, elle aille jusqu'à nous proposer de nous le montrer. Aussi, quelque peu gêné, je m'écartais de cette discussion... A la fin de la soirée. Béa et Yvette avaient sympathisé... mais j'ignorais alors que cette sympathie avait été très, très loin... 

 

Quant à moi, j'ai après cet événement fantasmé bien souvent sur les culottes de ces deux belles personnes... Je n'eus ensuite aucune occasion me permettant de me retrouver en tête à tête avec ma tante. Quant à ma voisine, il m'arrivait de la croiser, et dans ces moments-là, elle me faisait des yeux de biches très provocateurs, auxquels je ne répondais pas, mettant ça sur le compte de son comportement extraverti... Jusqu'au jour où... 

 

Mais, laissez-moi vous raconter... 

 

C'était en juillet, mes parents étaient partis passer trois semaines de vacances aux Baléares, et je restais seul à la maison. 

 

Nous sommes un dimanche en fin de matinée. La journée s'annonce particulièrement chaude et ensoleillée et j'avais souhaité me composer un bon petit repas en célibataire. Je m'étais ainsi préparé un appétissant gâteau à la framboise et il ne manquait plus qu'un peu de crème chantilly pour le parachever. Je cherchais donc partout la précieuse bombe, mais elle n'était nulle part, ni dans le frigo, ni dans la réserve. Bien sûr j'aurais pu aller faire un saut jusqu'au centre commercial, (et dans ce cas il n'y aurait pas eu d'histoire) mais pourquoi se fatiguer alors qu'il me suffisait d'en demander à notre adorable voisine ? 

 

La chaleur m'avait servi de prétexte pour rester nu toute la matinée (j'adore être nu) Je me revêt simplement d'un slip et d'un short, enfile des espadrilles et me pointe devant la porte extérieure en bois du pavillon jouxtant le nôtre. Je sonne et entends Béa la voisine crier : 

 

- Oui, c'est pourquoi ?

 - C'est Pierre, je voudrais vous demander un petit service ! 

- Pierre ! Entre donc ce n'est pas fermé. 

 

Quelle ne fut pas ma surprise de voir alors ma voisine allongée dans un transat en train de se faire bronzer. Mais, seconde surprise elle n'était pas seule, un second transat était également occupé à ses côtés. Et la charmante personne qui s'y faisait dorer était ma délicieuse tante Yvette ! La petite table était occupée par deux grands verres, un petit seau à glaçons et une bouteille de Martini. Les deux femmes prenaient ainsi l'apéritif dans la plus totale décontraction. 

 

Imaginez ma stupéfaction et mon émoi... Mais laissez-moi vous décrire ces deux coquines : Béa ma voisine mesure 1 m 70 pour 65 kg bien répartis, elle fait du 95 D, elle a les cheveux bruns coupés assez courts. Ma tante Yvette est d'une taille identique, rousse, plus maigre 55 kg et 85 B et elle porte des lunettes qui lui vont très bien. 

 

Elles sont là toutes les deux, même pas en maillot de bain, non en lingerie de "ville". En soutien-gorge et en string. Je n'en reviens pas, ces deux belles femmes un peu matures sont très attirantes avec leurs longues cuisses, leurs belles épaules dorées et surtout leurs trésors que leur lingerie dissimule à peine. J'ai du mal à contrôler mes pulsions et voilà que je bande comme un cerf ! 

 

- Heu, bonjour Béa, bonjour ma tante... je dérange peut-être ? M'excusais-je 

- Mais non, Pierre, si on t'a dit d'entrer c'est que tu ne nous déranges pas. Mais tu m'as l'air un peu troublé, ce n'est quand même pas nous qui t'intimidons à ce point ? Répond Béa 

- Je ne suis pas intimidé ! 

- Moi je crois quand même que si, mais on ne s'est pas dit bonjour ! Bonjour mon neveu, je serais passée te rendre visite cet après-midi, mais puisque tu es là, vérifions quelque chose ! Ajoute Yvette. 

 

Je me demande bien ce qu'elle souhaite vérifier. Elle se lève alors pour m'embrasser, et sa main se pose de façon très volontaire sur ma braguette ! Je ne sais plus où me mettre. Mais son audace ne dure pas et elle retourne s'allonger. 

 

- Alors, c'était bien dur ? Lui demande Béa.

 - Humm... Super dur, tu peux aller constater par toi-même ! Répond ma tante Yvette. 

- Ne soit pas timide, ça nous fait plaisir de savoir qu'on te met dans tous ces états ! Me dit alors Béa après s'être levé pour tester à son tour ma braguette. 

 

Je me laisse faire, mais la situation commence à devenir embarrassante. Manifestement ces deux-là sont super excitées, et si je n'abrège pas, elles vont me sauter dessus : 

 

- Heu, Béa, j'étais juste venu chercher de la chantilly, parce que j'ai fait un gâteau ... 

 

Ma tante ne me laisse pas terminer, elle m'entraîne dans la cuisine de son amie... 

 

- Allez viens, on va voir si Béa en a quelque part dans sa cuisine... 

 

Arrivé à l'intérieur elle s'approche et se place devant moi. Je suis pétrifié, la vue de ma tante en petite tenue, sa peau bronzée et scintillante de gouttes de respiration, sa poitrine moulée dans ce fin soutien-gorge de dentelle à quelques centimètres de mes yeux. C'en est trop ! Aussi quand Yvette entreprend de me baisser mon short, je n'oppose aucune résistance. Elle me tripote la bite à travers le fin tissu du slip, tandis que Béa contemple le spectacle d'un air très intéressé. Elle a sorti un téton d'un des bonnets de son soutien-gorge et se le pince tandis que son autre main écartant le string est en train de tripatouiller sa chatte... Si ça continue je vais éjaculer dans mon caleçon... mais après tout c'est peut-être ce qu'elles cherchent... 

 

Yvette baisse alors mon slip, continue quelques mouvements de masturbation sur ma bite tendue comme un arc de compétition, je ferme les yeux, je retiens ma respiration, je suis en train de me faire branler par ma tante, c'est la première fois que mes rêves les plus fous se concrétisent... je suis merveilleusement bien. 

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Puis la voilà qui s'accroupit ! Je me demande si elle va vraiment oser ? Oui, elle ose, sa bouche s'approche de mon pénis, l'enserre, sa langue intervient sur mon gland. Il faut absolument que je me retienne, sinon je vais éclater... 

 

Mais alors que je sentais déjà la jouissance proche, voilà qu'elle m'abandonne, qu'elle se relève et qu'elle interpelle Béa ! 

 

- C'est vraiment dommage qu'il ait trop de poil, tu ne trouves pas ? 

- Hum.... tu as raison, mais on pourrait lui faire un petit rasage, toutes les deux ?

- Qu'est ce tu en pense, Pierre ?

- C'est que j'étais juste venu pour chercher de la chantilly ! Répondis-je un peu bêtement. 

 

A ces mots, Béa, se dirige vers son frigo en ouvre la porte, sort une bombe de chantilly et me la tend ! 

 

- La voilà ta chantilly ! Tu as donc le choix : tu peux très bien rentrer finir de décorer ton petit gâteau, t'installer pour manger et passer l'après-midi à te dire que tu as sans doute raté quelque chose. Sinon, ben tu restes un peu avec nous, et je suis sûre qu'on va s'amuser un petit moment. 

 

Que croyez-vous que je fis ? Je restais, vous l'avez deviné, et me reculottant à peine je suivi ces deux belles femmes jusqu'à la salle de bain, ma bombe de chantilly dans la main... 

 

Arrivé sur place, Bea se débarrassa de son soutien-gorge dont un seul bonnet occupait sa fonction, sa jolie poitrine dont les bouts pointaient d'excitation se balançaient au rythme de ses gestes dans un curieux ballet érotique, puis dans la foulée elle envoya valser son string. Elle était donc entièrement nue et je pouvais admirer son pubis intégralement rasé. Imaginez mon trouble ! Notre voisine s'approcha alors du dos de ma tante et lui dégrafa son propre soutien-gorge, libérant ses deux petits seins aux tétons turgescents. Puis se courbant, elle fit glisser la culotte de son amie jusqu'en bas de ses chevilles. Je m'avançais un petit peu afin d'admirer derrière, la superbe croupe ainsi libérée, et devant un sexe aussi glabre que celui de notre belle voisine 

 

Elles me firent signe de me débarrasser de mon short et de mon slip et me demandèrent de m'asseoir sur le rebord de la baignoire. 

 

Béa s'approche avec une paire de ciseaux et commence à me couper les plus grosses touffes de poils qui ornaient jusque-là mon appendice sexuel. Cette petite coupe dura bien une dizaine de minutes. 

 

Puis Yvette prend le relais et commence à m'appliquer un gant chaud sur le pubis et sur les testicules. Effet garanti ! Elle tend la main vers ce qu'elle pense être la bombe à raser mais par distraction s'empare de la bombe de chantilly 

 

Avant que j'aie le temps de lui signifier son erreur, j'ai tout mon pubis recouvert de crème chantilly. 

 

- Yvette, tu t'es trompée de mousse ! Lui fait remarquer Béa en rigolant !

 - Ce n'est pas grave, l'essentiel, c'est que ça mousse, non ? 

 

Elle me masse les testicules avec la mousse, afin dit-elle que ça s'imprègne bien. Bea excitée comme une folle se caresse le minou en nous regardant. Puis Yvette commence à me raser délicatement, elle me rince à l'eau tiède, puis applique un gant chaud et termine par une lotion après rasage "spécial ladies" ! Ça y est je suis tout lisse, elle me masturbe un peu, mon sexe reprend vite la même vigueur que tout à l'heure dans la cuisine, et je me sens prêt à exploser dans les secondes qui vont suivre. 

 

J'ignore si ma tante s'en rendit compte, toujours est-il qu'elle m'abandonne une fois de plus pour se diriger vers la chatte de Béa, la voisine ! Elle se place à quatre pattes et lui lèche le minou comme une chienne en chaleur. 

 

Le spectacle est trop beau, ma tante à quatre pattes, le cul tendu, son gros fessier semblant me narguer. Alors prenant cette posture pour une invitation, je me baisse à mon tour et après quelques petits bisous très chastes sur la peau de ses fesses je m'enhardi très vite et fait fonctionner ma langue de plus en plus près de son petit trou, jusqu'à le lécher complètement en m'efforçant d'y pénétrer. C'est délicieux j'adore l'odeur de son cul. Il sent un tout petit peu la merde, mais dans l'état d'excitation où je me trouve, ça ne me dérange vraiment pas du tout. Elle se laisse faire, sans doute trop occupée à sa propre besogne. 

 

Encouragé je lui glisse un doigt dans l'anus et le fait aller et venir pendant deux ou trois minutes... Il ressort tout pollué. 

 

Mais voici qu'elle se relève et me dit : 

 

- Dis donc petit cochon tu m'as fait des choses sans me demander la permission ! Tu vas le regretter. Suce ton doigt. 

 

Voilà une chose qui ne me dérange pas du tout. 

 

- Alors, elle est bonne la merde de ta tante ? 

- Délicieuse ! 

- Si elle délicieuse, tu as le droit d'en reprendre !

- Je…

- C'est offert avec plaisir ! Me dit-elle.

 

Alors d'accord, je remets le doigt, ils touchent quelque chose de mou. Je les ressors, je ferme les yeux et je lèche. C'est bon !

 

Ma tante Yvette, me demande de me coucher sur le dos. Elle se positionne alors devant moi et me fourre d'abord sa chatte sous le nez afin que je la lui lèche....  Puis elle se recule en me demandant de garder la bouche ouverte 

 

- Je suis sûre que tu vas aimer la pisse. 

 

Je ne réponds pas, j'avale (on ne peut pas tout faire à la fois) Sa pisse est délicieuse. Mais quand le débit s'arrête, elle se contente de reculer un petit peu et continue à pousser.

 

Un magnifique étron dégringole de son cul et m'atterrit sur le torse. Béa vient le ramasser, le met dans ses mains et le lèche un peu, avant de me proposer de l'imiter. Ma foi, ce n'était pas mauvais.

 

Je sens qu'on me tripote l'anus, de la salive, un doigt, du gel, et c'est ensuite un gode qui tente de me pénétrer ! J'ouvre bien mon anus pour aider l'introduction. Une fois l'engin bien placé dans mon fondement ma tante Yvette s'empale alors sur mon sexe dressé et me chevauche, tandis que Béa s'amuse à faire des va-et-vient avec le gode fiché dans mon anus. Cette double excitation fit que je ne pus contrôler mon plaisir et excité comme jamais, j'explosais au fond de l'intimité de ma tante 

 

Me laissant un peu sonné, Yvette qui, elle n'avait pas encore joui m'abandonna pour aller rejoindre Béa, elles entamèrent alors un 69 incroyable, roulées par terre, ruisselantes de sueur et overdosées d'excitation, elles n'en pouvaient plus et haletaient, la langue de l'une sur le clitoris de l'autre. 

 

Du coup je me remis à bander devant ce spectacle magnifique ! Les deux femmes crièrent leur jouissance pratiquement en même temps ! C'était beau de les voir ainsi prendre leur plaisir en hurlant ! Elles sont restées un peu groggy quelques minutes, puis reprenant ses esprit Béa m'aperçut ! 

 

- Ce n'est pas vrai, tu bandes encore, alors d'accord, branle-toi devant nous, branle-toi devant deux belles femmes, mais attention à la fin tu devras avaler ton sperme ce sera ton gage ! Tu es d'accord ? 

 

Je leur dis que oui... De toute façon excité comme j'étais que pouvais-je dire d'autre ? Je finis par éjaculer sur les seins de Béa, puis de ma langue j'allais recueillir ma semence que j'avalais. 

 

Les deux femmes s'embrassaient maintenant avec infiniment de tendresse, la furie était passée, j'avais l'air de gêner... 

 

Je récupérais, mon slip, mon short et mes basquets, et m'apprêtais à partir ! 

 

- Bon je vous laisse, merci pour tout !

- C'est nous qui te remercions, Pierre, tu nous as permis de bien nous amuser, dis Yvette ! 

 

J'avançai vers la sortie, c'est Béa qui me rappela : 

 

- Dis donc n'oublie pas ta chantilly ! 

 

C'est vrai que j'étais venu pour ça ! 

 

- Ah oui c'est vrai ! 

 

J'allais donc la chercher dans la salle de bain ! 

 

- Va décorer ton gâteau et reviens avec au moment du dessert, on va le manger tous les trois et après... humm, tu sais qu'on connaît encore plein d'autre jeux ? Me confiât alors Béa très chatte. 

 

Enzo Cagliari - juin 2007

 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mercredi 13 juin 2007 3 13 /06 /Juin /2007 20:00

Les cabines du premier

par Enzo

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Venu à Paris pour des raisons professionnelles, je devais rentrer par le train de 18 heures. Je l'ai raté, pas bien grave, il y en a un toutes les heures, du coup je décide de traîner un peu dans le quartier et mes pas me dirigent vers un sex shop. (On est obsédé ou on ne l'est pas !)

 

Je fouille dans les DVD, en choisis un et en demande la projection. Le type m'indique un numéro de cabine au premier étage. Je monte et m'attend à découvrir l'ambiance feutrée et discrète de ce genre d'endroit...

 

Je constate que la première cabine sur ma droite est ouverte, je regarde par curiosité, un mec est installé complètement nu et se masturbe, nos regards se croisent, il me fait un sourire auquel je ne réponds pas.... La seconde cabine est fermée, mais la troisième est également entrouverte, à l'intérieur un homme est penché entre les jambes d'un autre, je ne vois rien mais n'ai aucun doute sur ce qu'ils sont en train de faire. Décidément cet étage me parait bien chaud. Il y a encore une autre cabine d'ouverte, dans celle-ci, un type qui lui est resté habillé se branle mollement, m'apercevant, il me fait signe lui aussi... décidément c'est la mode ici... je ne réponds pas et repère ma cabine.

 

Je m'enferme, et commence à visionner le film que j'ai choisi. Mon choix n'était pas judicieux, ce film est ennuyeux, mal fait et pas excitant du tout. Je décide donc de quitter les lieux.

 

Je repasse devant les trois cabines, le monsieur est toujours en train de se branler dans la 8. Le couple homo dans la 4 a tiré la porte sans toutefois la fermer, mais on ne peut rien voir, je suis quand même très troublé par tout ça. J'entends des pas dans l'escalier, un mec arrive, et passe devant la cabine 2, là où il y a le mec à poil et s'y arrête. Je passe à mon tour devant cette cabine. Et je vois que l'homme nu est en train de débraguetter le nouveau.

 

Je descends, je suis très troublé, je me dirige vers la sortie, et puis me ravise, je refouille dans le bac à DVD et recherche un titre bien salace, je prends mon temps, en fait je me demande ce que je souhaite vraiment et si ma recherche n'est pas un prétexte pour retourner là-haut. Finalement, je choisis un film qui, je l'espère, sera mieux que le premier... et je remonte...

 

Je croise dans l'escalier le "nouveau" de tout à l'heure, j'ignore s'il s'en va où s'il va remonter. Je n'ose pas trop regarder dans les cabines ouvertes de peur de passer pour un pervers, et me dirige vers ma propre cabine. Mais, contrairement à tout à l'heure, je décide ne pas m'enfermer, uniquement pour voir ce qui va peut-être se passer. A ce stade je n'ai aucunement l'intention d'aller plus loin, c'est juste un jeu.

 

Je commence à mater, c'est pas la 8ème merveille du monde mais la fille est bandante, je me touche un peu le zizi, puis décide de le mettre à l'air puisque cela semble être la coutume locale. Me voilà donc en train de m'astiquer de façon très modérée... Et voilà le mec à poil qui s'amène. Il ne dit rien il est là dans l'ouverture de la porte, le sexe bandé, un très joli sexe, il est intégralement rasé, le visage est fin, limite efféminé, les cheveux légèrement bouclés, il me sourit.

 

- Je peux rester !

 

Qu'est-ce que vous voulez que je réponde ?

 

- Si vous voulez !

 

J'ai le regard fixé sur sa bite... il faut absolument que j'arrête... de vieux fantasmes resurgissent dans mon esprit... Si je n'arrête pas ce cirque tout de suite, je vais me retrouver avec sa pine dans ma bouche dans moins de trois minutes...

 

- Elle te plait ma queue ? me demande-t-il.

- Euh...

- Touche là, si tu veux...

- Non, merci !

- Juste un peu...

- Non, n'insiste pas... murmurais-je sans trop de conviction.

- Tu en meurs d'envie...

 

Bon, ça ne m'engage à rien, je peux toujours toucher un peu, j'approche ma main et je caresse, c'est doux... et ça me fout une trique pas possible...

 

- Ben, ça te fait bien bander on dirait ! me dit-il.

 

Et sans me demander mon avis, c'est à son tour de me poser sa main sur mon sexe, je le laisse faire. Je branlote un peu mon visiteur. L'envie de la sucer est irrésistible... J'espère simplement qu'il n'a rien contre... Quelle évolution en quelques minutes. J'attends qu'il me le propose mais ça ne vient pas... J'approche alors mon visage n'osant rien lui demander directement.

 

Ma bouche est à présent à quelques centimètres de cette belle queue, il ne dit toujours rien.

 

- Tu veux me faire quelque chose on dirait ? Finit-il par demander.

- Peut-être !

- Dis-moi quoi ?

 

Il sait y faire le mec.

 

- Je peux te sucer un peu ? Proposé-je.

- T'es une petite salope, toi, mais tu as de la chance j'aime bien me faire sucer par les petites salopes !

 

J'approche ma bouche

 

- Tu ne veux pas te mettre à poil, ce serait plus excitant ! suggère-t-il.

- Euh... on ne risque rien ?

- Rien du tout, le patron est très cool, il ne monte ici que quand ça dégénère, sinon il sait parfaitement ce qu'on fait, il y a un circuit vidéo...

- Tu veux dire qu'il nous voit !

- Oui ! Allez déshabille toi, j'ai envie...

 

Je me dessape. Un autre type arrive, peut-être celui de la 8.

 

- Si tu veux nous regarder, te gènes pas, mais dans ce cas-là tu sors ta bite ! lui indique mon visiteur.

 

Le type n'hésite pas un seul instant et sort un très gros chibre !

 

- Oh, toi tu en as une grosse ! commente l'homme à poil.

 

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Ben oui, elle est plus grosse que la mienne... mais bon... L'autre est tout content ! Me voilà déshabillé et sans transition, j'ai pris la bite de l'homme à poil dans la bouche, et je me mets à la sucer tandis que le troisième larron lui pelote les fesses. Je m'applique, passe la langue sur le gland, fais descendre le long de la hampe, m'aventure un peu sur les testicules, je remonte, la serre entre mes lèvres, la fait aller et venir, je me régale... D'autant qu'il bande vraiment superbement...

 

- Attends, je ne vais pas jouir comme ça ! prévient-il tout à coup.

 

Je me recule, il sort alors un préservatif qui était logé dans sa chaussette, et l'enfile. Ok il ne veut pas me jouir dans la bouche, me dis-je mais ce n'était pas tout à fait ça...

 

- J'aimerais bien te prendre ! me prévient-il.

- Peut-être pas !

- Essaie, si ça ne le fait pas, je n'insisterais pas !

 

Du coup, j'hésite !

 

- OK on essaie ! Lançais-je

- On essaie quoi ? demande-t-il avec malice.

- Ben, ce que tu m'as proposé !

- Et je t'ai proposé quoi ?

- De me prendre !

- Il n'y a pas un autre mot pour ça !

- Il y en a plein d'autres...

- Dis-le !

- Tu vas me sodomiser !

- Un autre mot peut-être…

- Tu vas m'enculer !

- Oui, je vais t'enculer, petite salope !

 

Et la petite salope que je suis se tourne et tend ses petites fesses attendant la bite de cet étrange personnage !

 

- T'as vu son cul ? commente-il à l'attention du troisième larron !

- Superbe ! répond ce dernier.

- Mais ç'est pas pour toi, tu vas lui faire mal avec ta grosse queue...

 

Et voilà que l'organe de chair quémande l'entrée de mon petit trou !

 

- Je vais mettre un peu de gel.

 

Décidément ses chaussettes sont de vrais paniers magiques !

 

Il entre timidement, il force un peu, me demande de pousser, je le fais, il entre, s'installe et commence à aller et venir, curieuse sensation, ce n'est pas désagréable mais ça donne comme une sensation de gêne... Je me demande si je ne vais pas lui dire d'arrêter... Mais la sensation se modifie, je sens comme une sorte de frisson qui me parcourt tout le corps, c'est bien mieux, je le laisse faire tandis qu'il me pilonne de longs aller et retour.

 

- C'est bon ?

- Oui c'est bon, encule moi bien !

 

 

Le troisième type voudrait que je le suce pendant que je me fais prendre, mais ça ne me dit rien... du coup il s'en va. L'autre derrière pousse un râle, il vient de jouir dans la capote sans avoir déculé...

 

- Merci pour tout, bonne fin de soirée ! dit-il en regagnant sa cabine

- Toi aussi.

 

J'aurais préféré une fin de rencontre plus conviviale, Je ne sais pas, moi, un café, une mousse... et puis je n'ai pas joui.... J'ignore ce que je vais faire... Je ferme la cabine pour me rhabiller tandis que le film continue de se dérouler inutilement... inutilement... je peux toujours me branler en le regardant... et si je me faisais sucer à mon tour ? Une fois habillé, je ressors, mais toutes les cabines sont soit fermées soit inoccupées. Je regagne ma chaise et commence à me branler, porte ouverte....

 

J'entends des pas dans l'escalier....

 

13/6/2007

 

Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mardi 12 juin 2007 2 12 /06 /Juin /2007 18:36

Uro in Budapest

Par Enzo 

 

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Le hongrois est une langue difficile, parce que pour nous, francophones, nous n'avons aucun repère... J'avais quand même été intrigué par ce panneau dans cet immense sex-shop de Budapest qui semblait résumer les activités et services offerts par l'établissement. On y voyait à un endroit une femme uriner sur un homme, je pensais alors qu'il s'agissait d'une des spécialités du peep-show local, ce qui ne m'intéressait pas trop, et je me baladais nonchalamment dans la sex shop. Le fond était occupé par un bar, ou officiait quelques belles entraîneuses peu vêtues.

 

Je commandais une bière, elle me fut servie par une serveuse topless qui ne me fit aucune proposition d'ordre sexuel, laissant ce genre de choses aux autres filles. Je fus donc bien sûr abordé par l'une d'entre-elles qui me parla en anglais, me proposant carrément une passe. Je fis semblant de ne pas comprendre, et lui demandait si elle parlait l'islandais ! Non elle ne parlait pas l'islandais... ce vieux truc marche à tous les coups, elle essaya de me faire comprendre par gestes tout le bonheur qui pouvait m'attendre contre un peu d'argent, mais je jouais les abrutis, non pas que cela ne m'intéressait pas mais je voulais profiter pleinement de la soirée et pour l'instant, il était trop tôt...

 

La fille me laissa, en faisant semblant d'être déçue et elle alla aborder un autre touriste avec lequel le dialogue s'engagea et quelques secondes après le mec se faisait carrément sucer devant tout le monde avec force commentaires en allemand. Cette vision était très excitante mais ne dura pas très longtemps, car la fille finit par emmener son client vers une porte donnant vers un endroit sans doute plus discret.

 

Une deuxième fille tenta sa chance, m'expliquant à moitié en anglais, à moitié par gestes qu'on pourrait faire comme le couple en question, je refusais de nouveau. Du coup les nanas me snobèrent... Je pris mon temps pour siroter ma bière, puis me sentant une envie d'uriner je cherchais les toilettes... rien n'était indiqué de façon claire, je me dirigeais à tout hasard vers le sous-sol !

 

C'était là ! Mais juste à côté une autre porte affichait la même photo intrigante que celle du panneau que j'avais vu dans le hall. Je poussais, poussé (justement) par la curiosité et me retrouvait dans un petit vestibule où un gorille me fit comprendre que l'entrée était payante. Qu'à cela ne tienne, je payais, ce n'était pas excessif. Le mec me tendit alors une clé de vestiaire attaché à un bracelet à poche ! Ah ! C'est donc un sauna, je n'avais pas pensé à ça, mais bon j'avais payé...

 

Un minuscule couloir... avec des vestiaires, je me déshabille donc, me rend compte que le type ne m'a pas donné de serviette, je vais pour réclamer, mais voici qu'un autre client rentre, il n'a pas non plus de serviette... je ne cherche plus à comprendre j'avance, et me voici dans une petite salle de projection. Il faut que mes yeux s'habituent à l'obscurité, je ne vois donc que l'écran, où l'on projette un film uro... c'était donc ça, j'aurais dû m'y attendre... mais quelle idée ce vestiaire, peut-être n'était-il pas obligatoire ?

 

Sur l'écran une belle femme entièrement nue est en train de pisser des litres d'urine sur une copine qui rigole comme une bossue en s'efforçant d'en avaler un maximum... J'essaie de m'asseoir sans bousculer personne et en attendant de pouvoir distinguer quelles sont les autres possibilités du lieu je m'intéresse donc au film, où comme souvent dans ce genre de vidéos, les scènes sont interminables et répétitives, heureusement que les modèles sont jolies, et d'ailleurs je me surprends à bander et comme je suis nu et dans un établissement de sexe, je commence à me tripoter...

 

Et voilà qu'une main arrive sur ma cuisse... je regarde sur ma gauche, j'y vois mieux à présent, un mec nu bien sûr, c'est lui qui me tripote, ça ne me dérange pas, je me laisse tripoter, je regarde sa queue, un bel objet bien raide... j'y touche ou j'y touche pas... j'avoue m'être (assez rarement toutefois) laissé aller à ce genre de fantaisies dans quelques cinés parisiens assez spéciaux... Comme dit l'autre : "ça change !" J'empoigne donc la bite du monsieur, et commence à la branler... Nous voici donc à nous branler mutuellement. Il me demande si je suis Anglais ? Non ! Allemand ? Non, French !

 

- Ah ! Je suis suisse ! Me dit le type ! Avec un accent caractéristique.

 

Je lui demande de quelle ville, histoire de dire quelque chose !

 

- Fribourg ! Tu veux me sucer ?

 

Oui, je veux bien le sucer ! Souvent les masturbations mutuelles dans ces endroits finissent en sucette, et il se trouve qu'à tout prendre je préfère sucer que de l'être...

 

Sa queue a un bon goût salée, je me régale, en la travaillant de la langue et des lèvres... mais pas longtemps, monsieur est au bord de la jouissance, me prévient et comme je ne veux pas de son sperme je me retire !

 

- On inverse ?

 

Bien obligé de rendre la politesse, je me laisse faire, ce con suce comme une pro, je suis aux anges, d'autant que deux mimines sont arrivées derrière moi et me pincent les tétons... Moment d'extase, mais je n'ai pas envie de jouir de suite, je dégage poliment le suisse. Je m'aperçois alors que les mains qui continuent de me caresser ont les ongles manucurés et vernis, des mains de femmes... je me retourne, la frimousse est agréable et souriante, les seins sont adorables. Elle me baragouine en anglais :

 

- Un petit plan uro ça te dit ?

- Bien sûr !

- On va faire ça gentiment c'est xxxx forints (monnaie locale)

 

Aïe, une racoleuse, mais là, je sens que je vais me laisser faire... J'hésite encore un peu

 

- Je n'ai pas d'argent sur moi

- Je sais, mais tu en as dans ton vestiaire, va le chercher, je t'attends, Humm, on va faire ça très bien, tu m'as excité, j'adore les mecs qui sucent des bites... T'aime ça sucer des bites, hein toi ?

- Ce n'est pas désagréable !

 

Je suppose qu'elle tient le même discours à tout le monde, mais ce n'est pas bien grave ! Je vais chercher les sous en faisant attention que personne ne me suive. La fille m'attend à la sortie du vestiaire. Je lui tends le fric, j'espère que je ne vais pas me faire arnaquer...

 

- Si tu as un peu plus, je peux te dominer si tu veux, je te tiens en laisse, je te pisse dessus, je te fais sucer des bites, je peux aussi te faire enculer, te fouetter et tout un tas de trucs très cochons...

 

Je lui demande combien, j'hésite :

 

- Non on va faire comme on a dit, et si ça me plait, je reviendrais te voir et on fera la totale ! Tentais-je

- Je te fais un prix...

 

J'ai la faiblesse d'accepter, j'ai bien conscience que je prends un risque... Elle ouvre alors son propre vestiaire et en sort un collier de chien qu'elle me passe autour du cou, une laisse y est accrochée. Elle me demande de me positionner à quatre pattes et d'avancer.

 

J'obéis donc pendant qu'elle me fouette le cul !

 

- Allez viens, esclave, on va bien trouver quelqu'un qui va bien t'enculer...

 

Bon, je peux arrêter le jeu quand je veux. Une petite salle carrelée jouxte la salle de projection, ce devait sans doute être un hammam dans un concept antérieur, au milieu un mec se fait pisser dessus par une belle blonde, et autour sur les marches une dizaine de personnes, que des hommes, assistent au spectacle, certains se branlent, d'autres le font mutuellement, un autre se fait sucer... ambiance hot.

 

La fille attend que le couple ait finit ce qu'ils sont en train de faire, ça va d'ailleurs assez vite parce que le mec se masturbe comme un malade en avalant l'urine de sa partenaire et finit par jouir avec un grognement sourd. Nous prenons leurs places. Elle me fait tendre le cul et commence à me fouetter, d'abord doucement puis de plus en plus fort. Hé, c'est que ça commence à chauffer. Je le lui dis. Bonne fille, elle diminue la force de ses coups mais continue à taper, je dois avoir le cul tout rouge, au bout de cinq minutes de ce traitement elle arrête, et entreprend de me tripoter le cul, un doigt me pénètre le fondement, puis un second.

 

- Un volontaire pour l'enculer ? demande-t-elle à la cantonade, et ceci en plusieurs langues.

 

pisssbabes604.jpg

 

Situation assez surréaliste quand on y pense... Un grand blond finit par arriver, bite en avant, me revoilà avec une bite dans la bouche, pas très longtemps, car dès que le gaillard se sent assez dur, le voilà qui me contourne et me force l'anus. Un peu de mal à entrer, un peu douloureux mais ça va ! Me voilà en train de me faire sodomiser, l'affaire dure un peu trop longtemps, je me débrouille pour le faire savoir, la fille demande au mec de se retirer, puis me fait coucher sur le carrelage. Elle vient alors sur moi, et sans transition m'arrose la bite, je lui fais signe de monter vers mon visage, miracle elle comprend tout de suite, et les derniers jets de son pipi seront pour mon visage. Comment fait cette fille pour être tout le temps en train de pisser, mystère, mais pour l'instant elle lorgne vers mon sexe, constate qu'il est bien rigide, le suçote légèrement, mais je bloque un peu, ça doit être l'émotion. Elle me propose un truc que je ne comprends pas bien, mais c'est plus cher, je refuse, elle n'insiste pas, et me se met à me branler vigoureusement, je finis par lâcher mon sperme, je suis à moitié dans les vapes...

 

Ça tambourine à la porte de ma cabine, je me réveille, j'ai le pantalon et le slip sur les chevilles, un kleenex autour du gland, j'ai dû m'endormir

 

- Vous remettez du crédit ou vous sortez ! hurle le videur !

- Une seconde ! Répondis-je, le temps de me reculotter...

 

Le mec m'attendait à la sortie !

 

- Ça va ? Me demande-il

- Oui, oui, je reviens juste de Budapest, j'étais bien là-bas...

 

Le mec me regarde d'un drôle d'air... pourtant des fous il doit en voir tous les jours, sauf que moi, je ne suis pas fou, juste un peu rêveur... très rêveur...

 

 

FIN

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Jeudi 18 janvier 2007 4 18 /01 /Jan /2007 10:06

Confessions SM – 2 (texte collectif)

Fetish2

 Thémes abordés : bisex masculine, domination hard, domination soft, donjon, prostitution

Ce week-end ma femme m’a fouetté par Renard

Ce week-end ma femme m’a fouetté à l’aide d’une ceinture épaisse doublée durant plus de 45 minutes. Ce fut le cas samedi où j’ai reçu plus de 100 coups de ceinturons sur chaque fesse, puis rebelote dimanche après-midi. Il faut dire à sa décharge que j’ai pris un plaisir insolent à recevoir cette « punition ». Ma femme aidée par l’idée que j’avais une Maîtresse a été stimulée pour me frapper avec cette ceinture. Habituellement elle me donnait la fessée mais là elle m’a bien laissé entendre que ce ne serait pas de l’amusement. Au début j’ai eu un petit souci, puis pensant à ma Maîtresse, j’ai eu un plaisir fou à recevoir cette correction. Je pense que cela ne sera plus comme avant, car à peine me voit elle les fesses à l’air qu’elle se sent investie de la mission de me corriger. Autant dire que j’en profite au maximum tout en lui laissant croire qu’elle me fait très mal.

C’est le cas mais je me suis découvert une nouvelle passion. Le ceinturon à quelque chose de bénéfique. Il claque et fait mal. Je vous tiendrais au courant de la suite de mes corrections car je compte bien ne pas en rester là !
Renard – Montreux – Suisse

 

Maîtresse Laurie par Phigolu

Mistress R85J’en suis désormais convaincu, ma femme n’acceptera jamais de me dominer comme je le souhaiterais, elle est bloquée, complètement bloquée.
Alors j’ai pris la décision d’aller voir une maîtresse que j’ai dénichée par petites annonces. C’était payant, ce qui pour moi était de nature à fausser un peu les rapports, mais je n’en avais pas trouvé de « gratuite ». La fille était très belle, un très joli visage, elle me reçoit dans une petite entrée et me fait entrer dans un petit cagibi, elle me demande ce qui m’intéresse, je lui dis :

- « Des fessées et des pinces aux seins, mais pas trop fort ».

Elle ne me pose pas d’autres questions, me demande l’argent et de me déshabiller. Je me déshabille et pose mes affaires sur une chaise, elle me passe un collier de chien autour du cou et me demande de me tenir à quatre pattes. Puis elle m’emmène dans son « donjon ».

Horreur ! Il y a déjà deux mecs, l’un est attaché sur une croix de Saint André, il a la poitrine et le ventre barrés de traces de flagellation, l’autre est recroquevillé par terre, ses grosses fesses semblent avoir été mise à rude épreuves. Ces présences me gênent mais comment m’en sortir ? La maîtresse me demande de me lever et m’accroche des pinces aux seins. Ça me fait bander direct et du coup j’oublie les deux bonshommes. Je dois ensuite me tourner pendant qu’elle me fouette les fesses avec un martinet. Je suis excité terriblement. Un moment la maîtresse me demande si j’aimerais bien voir sa poitrine. Je dis « bien sûr », elle me gifle, je ne comprends plus rien, elle me tire sur mes pinces, puis elle me demande de regarder la bite du gars qui est attachée sur la croix. Drôle d’idée. Je la regarde, il bande mou. La maîtresse va vers lui et le fouette un peu, du coup il rebande. C’est à ce moment qu’elle me dit :

- « Si tu veux voir mes seins, tu dois d’abord lui sucer la bite ».

Alors j’ignore ce qui s’est passé, mais comme un zombi, j’ai sucé la bite du mec et j’ai eu ma récompense. Je suis retourné quatre fois voir ma maîtresse, à chaque fois il y avait une bite à sucer, de plus les deux dernières fois, j’ai demandé à rester plus longtemps et on a aussi inversé les rôles. Maîtresse m’a dit que la prochaine fois elle me ferait enculer par l’un de ses esclaves.

Rien que d’y penser en l’écrivant je bande.

Phigolu

Plaisir d’orties par Crabou

Ah le retour du printemps et des premiers beaux jours, que de plaisir en perspective !

Une petite balade dans le jardin m’a permis de découvrir les premières orties. Je m’en suis approché et ….je n’ai pas résisté à l’envie de me dénuder.

Un premier contact m’a permis d’apprécier la vivacité de leur piquant.

Sans plus attendre, j’ai confié à ces merveilleuses plantes le soin de caresser différentes parties de mon corps
Petit à petit, j’ai ressenti monter ces délicieux picotements et j’ai vu apparaître ce beau rouge qui suivent le contact avec des orties.

Après cette petite promenade dans mon jardin, je devais aller faire quelques courses.

J’ai donc passé un string puis un short qui laissait deviner mon string à un œil aguerri et je suis parti en ville. Je ne vous raconte pas le plaisir qui m’envahissait en marchant au milieu des gens de sentir encore la tendre morsure des orties sur mon corps. Je suis un adepte convaincu des fouets, martinets et autres cravaches ainsi que des bougies mais les orties savent se rappeler plus longtemps à votre souvenir et cela n’est pas dénué de charme.

Bref, je recommande à tous de tenter un jour cette expérience mais avec une certaine modération surtout si on n’a pas l’habitude.

Crabou

 
Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Mardi 16 janvier 2007 2 16 /01 /Jan /2007 13:20

Artisan décorateur

Par Estonius

 

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... 

Je suis artisan décorateur, je me suis mis à mon compte depuis peu, en fait je n'y connais pas grand-chose, mais je bricole bien et j'ai acheté quelques bouquins. Je pense pourvoir me débrouiller.


Le problème c'est de trouver la clientèle, j'ai donc fait imprimer des petits flyers que j'ai distribués dans les quartiers bourgeois de la capitale, et j'attends.


Ce jour-là, coup de fil, une dame qui me téléphone, me dit qu'elle a un truc spécial à me demander, en fait il s'agit de déplacer quelque chose, mais me confie que plutôt que d'en parler au téléphone, elle préférerait que je passe faire un devis.


Je ne cherche pas trop à comprendre et prends rendez-vous le lendemain matin.


Agnès est une jolie femme mature, entre quarante et cinquante ans, pas un canon, mais un visage très souriant, ses cheveux bruns sont coiffés d'une espèce de chignon qui fait un peu années 60. Et la poitrine parait avantageuse.


L'appartement est ancien et richement décoré, il est aussi complètement tarabiscoté, des couloirs, des marches, des portes, des murs en biais, tout le charme de ces appartements qui sont en fait la réunion de plusieurs petits lots situés au même étage. Elle me conduit dans la chambre de l'un des enfants et me montre une espèce de renfoncement où trône de chaque côté du mur une collection de petits sujets, sur une débauche de planchettes fixés n'importe comment.


- Voilà, je veux déplacer ces machins de l'autre côté, mais je veux que tout soit redisposé exactement pareil !


Et elle me montre l'endroit du transfert. 


Au moins ce n'est pas compliqué. Je fais une estimation à la louche, que j'augmente de 30% parce que ces gens-là peuvent payer... et lui dis qu'éventuellement je peux commencer de suite. Elle hésite, m'informe qu'elle attend un coup de fil, mais que si je veux, je peux commencer à prendre les mesures... ce que je fais.


Moins d'une heure après, les cotes sont prises, et je prends quelques photos afin que je puisse redisposer les bibelots à l'exacte. Elle me demande le temps que je vais passer à transférer les planches. Finalement ça ne colle pas avec son emploi du temps. Je lui propose de revenir demain. Elle me fixe un rendez-vous en fin de matinée. Pas pratique mais comme je n'ai pas d'autres commandes...


Le lendemain, j'arrive à l'heure prévue, il me semble qu'il y a une certaine agitation dans cette maison. Effectivement elle n'est pas seule. Je vais pour serrer la main d'Agnès qui me dit carrément :


- J'ai les mains sales, je suis en pleine cuisine, c'est le jour de congé de la bonne... faisons-nous la bise, on ne s'est pas encore fait la bise, je crois ! me dit-elle, goguenarde.


Etonnant, non, allons-y pour la bise... et voici Betty, c'est sa fille, elle lui ressemble mais elle est moins gracieuse. Une vingtaine d'années et des lunettes.


- Je vous fais la bise aussi ? Demandais-je.

- Non, jamais la première fois, me répond cette dernière en me tendant la main.


Je croise deux mômes, habillés en gosses de bourgeois qui gambadent partout, ils m'énervent. Je pose ma boite à outils dans la chambre et constate avec horreur que l'un des papiers que j'avais punaisé avec les cotes a disparu. Quelle andouille de ne pas les avoir notés sur le carnet que j'ai toujours sur moi, il va falloir que je recommence... Je le signale à Agnès qui ne sait pas ce qui s'est passé, mais qui me demande si elle peut profiter de ma gentillesse (sic) pour me demander autre chose. Il s'agit d'une espèce de moulure en bois d'une laideur absolue qu'elle veut coller en haut de l'armoire du gamin. Elle me demande de faire des repères pour qu'il soit bien à niveau. Je grimpe sur la chaise... Grosse question de savoir si c'est horizontal ou pas... Je décide donc de redescendre pour aller chercher mon niveau dans la boite à outils.... Et voici le mari qui se pointe, large bonhomme brun au visage bronzé, veste en peau retournée, chemise blanche et cravate, pas bonjour... 


- Les niveaux ça va être comme les portables, bientôt chacun aura le sien ! Déclare-t-il doctement.


J'avoue ne pas comprendre s'il s'agit d'une vanne ou d'une idiotie, mais il disparaît... je demande si je dois coller le machin.


- Vous allez me prendre combien en plus ?

- Oh, pas grand-chose.

- Alors allez-y, collez-le


Je commence par ça, puis entreprends de reprendre les cotes manquantes, mais revoilà Agnès qui déboule :


- Euh, on prend un petit apéro rapide, si vous voulez nous rejoindre ?


Ça m'embête, moi l'apéro c'est entre amis que je le bois, et là je vais apparaître comme un cheveu sur la soupe, mais d'un autre côté je ne veux pas être impoli, je tente une diversion classique :


- Merci, je ne bois pas d'alcool (gros mensonge)

- Il y a du jus d'orange.


Je n'aime pas le jus d'orange, mais bon, j'y vais, j'ignore ce qu'ils fêtent, il y a donc Agnès, Betty, le mari, les deux gosses et un autre homme plus âgé (Monsieur René). On lève notre verre. J'en bois quelques gouttes et en profite pour demander les toilettes. Agnès m'explique et je m'éclipse. Une porte à franchir et me voici dans un petit vestibule, j'ouvre une autre porte, et me retrouve dans un escalier de service. C'est vraiment une maison de dingues. Il y a deux autres portes, l'une ressemble à une entrée d'appartement, l'autre plutôt à une porte de service que j'essaie d'ouvrir mais en vain. Qu'à cela ne tienne, je me suis trompé, je vais rebrousser chemin, mais j'ai refermé la porte qui m'a conduite ici et elle ne s'ouvre pas dans ce sens ! 


Bon, je descends, toujours avec mon envie de pisser. J'examine quelques portes au premier et au rez-de-chaussée, mais rien pour satisfaire mes besoins. Me voici donc dehors, dans une cour, j'inspecte la cour, pas de toilettes, il y a apparemment deux sorties, j'en emprunte une au hasard, ce n'est pas la bonne, je ne sais plus trop où je suis, mais bon on fait les choses dans l'ordre, d'abord pisser ensuite revenir chez les bourges.


Me voici dans la rue, je fais le tour du pâté de maison, je scrute à la recherche d'une sanisette, ça commence à me monter à la gorge ce truc là... Pas de sanisette, reste le café, mais mon portefeuille est resté dans ma veste qui est restée chez Agnès, et mon porte-monnaie n'est pas assez rempli. J'y vais au flan et rentre dans un café, direction tout de go les toilettes. Un joli panneau m'avertit que l'endroit est réservé aux consommateurs. Je sors en rageant afin de chercher une petite rue tranquille munie d'un coin discret où je me dépêche de me soulager... Maintenant il faut revenir, je me trompe de direction, reviens sur mes pas, perds un temps fou... enfin je retrouve l'entrée principale, évidemment, je n'ai pas le code sur moi, mais quelqu'un sort et m'ouvre, je m'engouffre, monte au deuxième étage où une grosse femme sort, me dévisage et dit en se retournant :


- Le voilà votre décorateur !


Comment peut-elle me connaître ? Peut-être la gardienne ?


Je rentre, ce n'est pas la même porte que tout à l'heure (il y a combien de portes dans cet appartement ?) et me retrouve dans la cuisine où Agnès est en train de préparer une salade.


- Ben alors vous aviez disparu ?


Je lui raconte ma mésaventure en la simplifiant un peu...


- Vous savez que c'est très mauvais de faire pipi en état de stress, parce que dans cet état là, vous ne faites jamais à fond... Je vais vous accompagner cette fois, vous allez pouvoir finir....

- Merci, ça devrait aller, je vais reprendre les petits travaux.

- Vous ne prenez pas de pause pour manger ?

- Ça dépend des jours, dès fois je mange, dès fois je ne mange pas...

- Ça vous dirait de partager notre repas !

- Merci mais je crois que je ne serais pas à l'aise !

- Je ne vous mets pas à l'aise ?

- Vous, si, mais les autres...

- Il n'y a personne d'autres, les gosses sont partis en activité, mon mari est allé travailler et Monsieur René est rentré chez lui. Il n'y a que ma fille et moi.


Je finis par accepter. Je ne vois pas bien de quoi on va pouvoir causer mais bon...


- Vous êtes sûr que ça ne vous fait pas peur de déjeuner avec deux femmes ? Plaisante-elle

- Non, non !

- Vous verrez ma fille est très sympa et pas très farouche, si elle vous intéresse, n'hésitez pas...


Alors là je n'en reviens pas ! Je ne sais pas quoi dire...


- Vous devez en avoir des occasions avec le métier que vous faites, non ? Insiste-t-elle

- Ben, euh...

- Allons, allons, ne dites pas le contraire.


Son visage est à ce moment-là à quelques centimètres du mien.


- J'ai oublié de vous dire, ma fille n'est pas farouche, mais en fait ça vient de famille, moi non plus je ne suis pas farouche ? Bisous ?


Ce n'est même pas une proposition, j'ai déjà sa langue dans ma bouche, nous voici en train de nous rouler une pelle magistrale. Elle y met beaucoup d'ardeur et histoire de me démontrer ses disponibilités, elle en profite pour me mettre la main à la braguette... Du coup mes mains se baladent sur sa poitrine... Raclement de gorge !


Instants de panique ! Je me dérobe, me retourne, c'est Betty 


- Je ne vous dérange pas au moins ? Intervient cette dernière.

- Tu veux regarder, ou tu veux nous rejoindre ? lui demande Agnès avec un air faussement innocent.

- Si monsieur permet, j'aimerais bien m'approcher ! répond-elle.

- Elle attend votre réponse ! Me précise la maîtresse de maison.


Sans dire un mot, je lui fais signe de venir plus près de nous, et elle ne se fait nullement prier, adressant une grosse tape amicale sur le popotin de sa mère, puis cherchant fébrilement la fermeture éclair de ma braguette. Evidemment, je bande comme un âne ! Et c'est un engin tout dur que Betty extrait de sa cachette.


- C'est tout raide, ça ! Commente la jeune femme.


J'espère seulement que je vais tenir la distance et pas me mettre à éjaculer prématurément... Betty a déjà mis mon engin dans sa bouche et le suce avec avidité en utilisant une technique très particulière qui lui fait tourner sa langue autour de ma verge, j'en ai des frissons partout. Agnès passe dernière moi et laissant sa fille opérer me baisse carrément pantalon et caleçon et se met à me peloter les fesses en me complimentant pour leur rotondité.


- Avec un cul comme ça, tu as dû te faire draguer par les mecs, non ?

- Euh, non pas spécialement...


Elle me fout alors un doigt dans le cul, comme ça sans crier gare. J'apprécie quand c'est fait avec douceur, mais c'est le cas !


- Mais il aime ça ce gros cochon ! Constate la bourgeoisie.

- C'est pas désagréable.

- Tu te fais mettre un petit gode parfois ?

- Ça m'est arrivé !

- T'entends ça Betty, on va bien s'amuser.

- Je peux pas te répondre, j'ai la bouche pleine ! Répond la fille

- Et une vraie bite, ça t'est arrivé ? me demande Agnès.


Je garde le silence, je ne vais pas lui confesser tous mes fantasmes.


- Tu ne réponds pas...je parie que tu as déjà essayé !

- Il y a bien longtemps...

- Et ça t'a plu ?

- Comme ça...

- T'as jamais eu envie de recommencer ?

- Je n'ai jamais eu l'occasion, et je ne cherche pas...

- Et si on te la fournit, l'occasion...


Je ne réponds pas. Elle va finir par me déconcentrer.


- On inverse ? Propose alors la bourgeoise à sa fille


Elle remplace donc Betty dans le rôle de la suceuse, tandis que cette dernière s'attaque à mon cul, mais cette "petite salope" m'a à présent introduit deux doigts... et putain que c'est bon... Par contre ce que me disait Agnès tout à l'heure était vrai, j'ai toujours une légère envie de pipi, et il faudrait mieux que je la satisfasse pour le confort de la suite... Je fini par leur dire.


- On va t'accompagner aux toilettes, et après on ira dans la chambre, c'est quand même plus confortable que la cuisine ! Propose la jeunette.

- T'as déjà joué à des jeux de pipi ? me demande alors Agnès.

- Oui, j'avais une copine qui kifait là-dessus, c'est rigolo dès fois...

- Alors pas besoin d'aller aux toilettes, tu vas me pisser dessus !

- Mais là je peux pas, je bande !

- Alors on va te donner la fessée jusqu'à ce que tu ne bandes plus.

- Chiche !


Betty ne se le fait pas dire deux fois, elle saisit une petite planchette de cuisine et commence à m'en foutre un coup sur les fesses. Comme je ne dis rien, elle se croit autorisée à taper plus fort, puis les coups tombent à la volée... Ce n'est pas désagréable mais si elle continue comme ça, demain je ne pourrai pas m'asseoir. Ça m'excite assez mais mon sexe perd quand même une partie de sa vigueur !


- Allez, pisse !

- Euh, tu n'enlèves pas tes vêtements ! Demandais-je passant à mon tour au tutoiement de rigueur dans ces circonstances particulières.

- Non, au contraire, c'est bien plus excitant comme ça !


Je me concentre, je ferme les yeux, je me reconcentre et finalement ça sort, un petit jet qui lui atterrit en haut de son chemisier. Elle ouvre alors la bouche, voulant me montrer par-là qu'elle en boirait bien quelques gouttes... Quelle adorable petite vicieuse. Je rectifie le tir et étanche donc sa soif tandis que sa mère qui ne semble pas intéressée par ce genre d'amusement farfouille dans les tiroirs et finit par dégoter un mini rouleau à pâtisserie. Je sais déjà ce qu'elle va en faire. Et c'est là que sans doute un petit lutin facétieux a envahi mon esprit, je me baisse légèrement et j'ouvre mon cul !


- Regarde-moi ce pédé ! Commente Betty, il a vraiment envie de se faire enculer !

- Je crois qu'on devrait appeler Monsieur René, depuis le temps qu'on rêve d'une occasion comme ça !

- Euh... je...

- Mais tais-toi, tu vas voir, il a une super bite, tu vas bien la sucer et après il va t'enculer.

- Mais je n'ai pas dit que j'étais d'accord !

- Bon, écoute, pépère, nous on te fait plaisir on s'amuse avec toi, on te demande juste en échange de satisfaire un de nos petits fantasmes... Tu ne vas pas nous faire un mélodrame...

- Alors je l'appelle ou pas ? Demande Betty

- Bien sûr que tu l'appelles !


Je cherche quelque chose à répondre, mais Agnès à maintenant entrepris de se déshabiller, son chemisier est déjà ôté, j'ai la promesse de sa poitrine devant les yeux, je me tais, attendant. Elle libère deux jolis globes, j'ai vu des seins plus beaux et plus fermes mais c'est néanmoins charmant comme tout, et par réflexe j'y mets d'abord les mains avant d'approcher ma bouche de ses gros tétons.


Quant à cette coquine de Betty, elle n'a pas renoncé à ses intentions, d'une main, elle me pilonne le fondement avec l'ustensile de cuisine en bois et de l'autre actionne son téléphone portable :


- Allo Monsieur René, c'est Betty ! Dites voir, on fait une petite partie avec le décorateur... il ne serait pas contre le fait se faire enculer, ça vous dit ?


Elle nous précise en raccrochant qu'il arrive tout de suite...


- Tu lui ouvres et tu nous rejoins dans la chambre.... Indique-t-elle à Betty


Je suis Agnès, qui cette fois est complètement nue, elle s'étale sur le lit, les jambes largement écartées :


- Viens me lécher un peu...


Je ne me fais pas prier, me voici la tête entre ses cuisses en train de lui faire minette, c'est tout mouillé, c'est tout sucré, elle est vraiment très excitée la coquine. J'espère simplement que l'autre cornichon qui veut me sodomiser ne va pas se pointer trop vite, j'ai horreur d'interrompre un cuni. Je lèche un peu partout me régalant de ses sucs intimes avant de me concentrer sur son clitoris érigé comme un petit champignon que je titille d'un mouvement latéro-lingual (joli, non ?) Je la sens qui agrippe le dessus de lit de ses mains. L'explosion est proche, l'explosion arrive, un cri, elle se tétanise, semble se soulever de deux ou trois centimètres avant de retomber toute flasque et en sueur. C'est en principe chez moi le signal d'une pose tendresse... mais là...


- Rebonjour monsieur !

- Salut ! Répondis-je en cherchant mentalement comment je pourrais me sortir de ce guêpier.


Le mec est déjà à poil, Betty aussi qui le masturbe doucement sans doute pour me narguer. C'est vrai que ce zigomar à une superbe bite. Imperceptiblement la bite de Monsieur René guidée par la main de la fille s'approche de mon visage. Je sais déjà que je ne fuirais pas, du moins pas à ce stade.


- Suce ! m'ordonne Betty.


Je temporise.


- Suce sa bonne queue ! Tu en meurs d'envie ! Tu vas voir comme elle est bonne...

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L'instant d'après, elle est dans ma bouche, délicieuse texture, délicieuse odeur, je suis là chez des babas bourgeois parisiens en train de sucer la queue de leur voisin bisexuel alors que je devrais être en train de fixer des petites planches dans la chambre du gamin... Et le pire c'est que je me régale. Le mec m'encourage :


- Tu suces bien, dis donc !


Et comme je me tais, vient la proposition tant redoutée :


- Tu veux que je te prenne ?

- Euh, non pas aujourd'hui...

- Tsss, tss, laisse-toi faire... et tu ne vas pas le regretter, après on sera toutes les deux à toi ! Intervient Betty


C'est un argument comme un autre, j'hésite une seconde, puis sans répondre je me mets en position, je m'assure simplement qu'il se mette une capote... Et déjà le voici qui force l'entrée. Je "pousse" afin de faciliter l'entrée de cette bite qui va m'enculer devant la mère et la fille... Il faudra plusieurs tentatives, mais le bougre pénétrera dans mon étroit conduit. Quelques légers allers et retours pour bien installer la chose, une autre poussée pour la glisser plus au fond, puis c'est parti, un petit coup en avant, un petit coup en arrière et voilà qu'on me sodomise de la façon la plus classique possible... Et je commence à frétiller parce que je trouve ça vachement bon. Les deux nanas gloussent, le spectacle les excite, et elles se tripotent la foufoune mutuellement ! Quelle famille ! L'autre derrière commence à respirer très fort, ses coups de boutoir sont plus vifs, plus nerveux, et puis c'est l'accélération brutale, il prend son pied, se retire, se décapote, s'essuie le front, souffle un grand coup !


- Putain quel pied ! Vous donnerez mes coordonnées à Monsieur, si un jour l'envie vous prend, je vous recevrai avec grand plaisir, et d'ailleurs en y réfléchissant j'aurais sans doute quelques petits travaux de décoration à effectuer...


Puis il disparaît de la chambre et part s'habiller dans la pièce d'à côté... Moi je suis sur le lit, le corps groggy, la bite flasque et le cul mal refermé. Agnès a alors le geste tendre de me caresser un peu le dos... oh juste quelques minutes, puis elle me dit :


- Lève-toi une seconde, on va faire un truc !


J'obtempère, me demandant ce qu'il peut encore m'arriver... et là je n'en crois pas mes yeux : Agnès s'est étalé de tout son long, les cuisses écartées et Betty vient lui lécher la moule. Ça ne dure que très peu de temps, Agnès jouissant de façon fulgurante. Spectacle sublime, grandiose, génial, unique, pervers, interdit... Je rebande en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire ! Mais ce n'était pas terminé :


La mère et la fille se sont mises l'une à côté de l'autre en levrette, le cul relevé et offert, la chatte béante. Elles m'attendent en se faisant des petits bisous... 


- Les capotes sont sur le chevet... m'indique Agnès.


J'en enfile une et commence à lécher l'intimité de Betty.


- Prends-moi ! me supplie-t-elle. 


Je le fais, je la pénètre dans sa chatte humide, elle se trémousse...


- Un peu à moi ! Quémande sa mère.


Je change de cible et m'occupe de la maîtresse de maison, puis je vais de l'une à l'autre... je fais attention de ne pas aller trop vite pour ne pas jouir de suite. Betty finit par s'écrouler, épuisée de plaisir. Je la laisse après lui avoir fait un chaste baiser sur la fesse et demande par geste la permission à Agnès de pénétrer son petit trou.

 

- Bien sûr ! Encule-moi bien ! Répond-elle


Je commence par lui lécher la rondelle. L'odeur est un peu forte, elle a dû s'essuyer le cul avec un courant d'air, mais quand je suis bien excité, ça ne me dérange pas. Je lui enfonce un doigt qui glisse tout seul dans son conduit anal, ça lui fait un tel effet qu'elle en miaule de plaisir. Je ressors mon doigt très légèrement souillé, et pris d'une impulsion subite, je le lèche.. 


- Fais moi goûter ! Me demande Betty 


Je ne cherche pas trop à comprendre, je replonge mon doigt, puis le fais sucer par la fille.


- Moi aussi, j'aime bien doigter le trou du cul de ma mère ! Commente-t-elle.


Quelle famille ! Toujours est-il qu'après ces fantaisies, j'encule Agnès, ça passe avec une facilité déconcertante mais le sphincter me serre tout de même le sexe. Je sens que je ne vais pas durer longtemps, je fais ce que je peux, elle pousse des petits cris qui m'excitent encore plus, et je finis par lâcher ma semence, et on s'écroule ensemble...


Quelques instants plus tard après avoir soufflé un peu, Agnès me propose de profiter de la douche, j'espère un moment qu'elle me rejoindra, elle et/ou sa fille, mais non... 


J'ai donc repris le boulot après avoir demandé un grand verre d'eau. Les deux femmes ont vaqué à leurs occupations me laissant œuvrer seul.


En fin d'après-midi, j'avais terminé ! Agnès m'a félicité pour mon travail.


- Allez, je m'en vais, je ne sais pas si on se reverra, on se fait un bisou ? Demandais-je

- Et la facture ?

- Cadeau !

- Arrête, on n'est pas dans le besoin il est normal qu'on te paie... et puis je crois qu'on se reverra, je vais demander à Monsieur René de ne pas vous oublier pour les travaux qu'il a à faire chez lui...

- Ok ! Je vous envoie la facture par la poste...


On s'est embrassé, sagement, sa fille est aussi venue me dire au revoir. 


- Ça t'a excité de me regarder en train de lécher ma mère, hein mon cochon ?

- J'avoue ! Vous faites-ce depuis longtemps ?

- Non, quelques mois, un jour je regardais un film cochon dans le salon en me paluchant, Maman est venue s'assoir à côté de moi, et puis disons que ça s'est fait spontanément, on s'est amusé à se tripoter mutuellement, juste un tout petit peu, pour rigoler, et puis ça été l'engrenage. Je ne regrette pas, elle lèche trop bien !


Dans l'escalier j'ai croisé le mari qui rentrait du travail et qui a royalement fait semblant de ne pas me reconnaître. S'il savait... Voilà qui m'a amusé ! Finalement j'ai passé toute la journée à m'amuser... un peu mal au cul quand même...


Estonius, janvier 2007


Quelques-uns des faits racontés ici sont réels, mais je ne vous dirais pas lesquels !


Ce récit a eu l'honneur d'être nommé Prix Spécial Bi pour 2007


Ce texte a primitivement paru dans un version auto-censuré dans lequel Betty était la sœur d'Agnès. Voyant que le site s'enrichissait de quelques récits de ce genre, j'ai demandé l'autorisation au webmaster de publier la version non expurgée, ce qu'il a accepté. Je l'en remercie.

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Par Estonius - Publié dans : Estonius
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