Mardi 3 septembre 2002 2 03 /09 /Sep /2002 11:22

Auto-stop sidéral par Malicia et Christobal

Solo

Thémes abordés : humour, science fiction, spermophilie, uro. 

Toute cette publicité pour ce truc à la con ! Ah ! Bien sûr les effets spéciaux on en a plein la gueule, mais l’histoire est débile, et les acteurs, Anakin est une véritable tête à claques tout droit sorti des montagnes à fric puantes de Bervely Hills. Berck ! Et Padme ! Quelle nunuche, pas possible d’être aussi conne, c’est dommage elle est assez mignonne, mais bon puisqu’elle préfère les bellâtres stupides, je n’ai aucune chance, et de toute façon c’est du cinéma et puis ça commence à m’endormir ce truc ! Je baille, je baille, je ronfle…

Bonjour, je me présente, je me prénomme Anakin et j’habite sur un astéroïde dans une ancienne mine de vassilium assez isolée et je travaille dans une navette spatiale voisine, à environ 300.000 km de chez moi. Ce n’est pas trop loin ! Un soir, en rentrant du travail (dans ma super capsule volante et roulante à injection intergalactique), presque à la sortie de la cosmoville, j’aperçois une auto-stoppeuse sur un micro-astéroïde. D’habitude je ne prends personne en stop, mais l’aspect de la demoiselle, fragile et si seule sur ce patatoïde sordide, m’incite à m’arrêter. Je lui demande où elle va, et comme c’est sur ma route, je l’embarque. Dans la capsule nous échangeons quelques banalités et je suis surpris de sa vivacité d’esprit et d’une certaine maturité. La jeune fille, qui se prénomme Padme doit avoir 18 ans au maximum et je lui fais remarquer les risques qu’elle prend en pratiquant l’auto-stop, comme ça en plein cosmos.

– J’ai l’habitude, me répond-elle . Elle enlève son spatioscaphandre et s’installe. Du coin de l’œil, je la reluque et la trouve bien jolie, bien formée, très femme. En s’asseyant, sa petite jupe est remontée découvrant ses minces cuisses bronzées. Elle est charmante avec sa jeune poitrine qui pointe sous un chemisier blanc et son petit minois rieur. Sortis de la cosmoville, nous avons parcouru environ 3 km lorsque :

– Excusez-moi, pouvez-vous vous arrêter, j’ai un petit besoin, me dit-elle en rigolant. – C’est embêtant, le pissomatic est cassé, il faut que je le répare ! – Vous faites comment-vous ? – Dans une bouteille – Passez-moi la bouteille ! – Elle est pleine, mais bon, on va s’arrêter dès que possible.

Nous sommes déjà en plein vide intersidéral, peu de vaisseaux circulent à cette heure-ci et il est facile de trouver l’endroit propice à ce genre de besoin.

– Ici ! Cet astéroïde semble tranquille, me dit-elle en pointant un caillou spatial en forme de super phallus à couilles.

cosmo peeJe stoppe le véhicule, Padme revêt son casque respiratoire et descend sur le planétoïde puis, se retourne vers moi qui suis resté aux commandes, puis, en souriant se baisse pour faire pipi. Dans un premier mouvement, surpris je tourne la tête mais c’est plus fort que moi, je finis par la regarder faire. Elle a sans aucune pudeur soulevé sa jupe et abaissé sa culotte. Bientôt, devant cette vision une érection incontrôlée fait gonfler mon sexe. Voir cette jeune femme se soulager à quelques mètres à peine de moi est terriblement excitant. Et puis des gouttes de pipi dans un environnement où la gravité est extrêmement faible, c’est fabuleux, ça fait plein de petites bulles, de petites bulles d’or : C’est joli, c’est mignon, c’est trop craquant. D’où je suis, il me semble deviner sa petite fente dans l’ombre entre ses cuisses et un trouble délicieux m’envahit. Elle sourit toujours en me regardant. Une fois terminée, elle rajuste sa culotte puis sa jupe et remonte dans l’engin. Je ne démarre pas tout de suite. Le silence qui suit me semble interminable, puis elle parle.

– Tu n’avais jamais vu une femme faire pipi ainsi ? – Non, pas comme ça, pas avec des bulles et surtout pas de si près, dis-je d’une voix sourde.

Elle a un geste de sa main vers moi et me dit :

– On dirait que ça t’a plu. – Et comment ? – On dirait que ton pantalon est devenu trop étroit pour son contenu, précise-t-elle en pointant son doigt vers ce que j’essaie de cacher depuis un moment.

Je rougis violemment et fais mine de démarrer. Elle s’esclaffe :

– T’affole pas, ça ne me choque pas, bien au contraire, et elle se rapproche de moi.

A cet instant je ne sais plus où j’en suis, j’ai chaud au visage, et soudain, Padme se penche vers moi et pose sa menotte sur ma braguette magnétique.

– Que fais-tu ? Balbutie-je. – T’en fais pas, les vieux cochons ça me connaît, répond-elle, ayant déjà dégrafé quelques magnéto-boutons.

Je voudrais avoir le courage de résister mais son extrême audace qui devrait me retenir est aussi un puissant excitant. Elle dégage ma queue dont le gland gonflé à éclater se tend vers elle. Alors, elle se penche et pose sur lui sa délicieuse petite bouche. Je me suis rejeté en arrière et je savoure la caresse que bientôt la perverse auto-stoppeuse me prodigue. Sa bouche s’est ouverte toute grande pour engloutir ma queue et elle enserre ma tige entre ses lèvres. Je vois sa tête monter et descendre avec un rythme progressif. Je pose ma main dans ses beaux cheveux pour réguler son tempo. Elle me tète longuement avec ardeur et soudain je sens venir ma sève. J’ai un mouvement comme pour l’écarter mais elle s’accroche et avale en totalité les giclées de semence épaisse que je ne peux plus retenir.

Je gémis de bonheur, comblé, ma queue toujours dans sa bouche se rétractant peu à peu. Elle se relève, me sourit et me dit :

– A moi maintenant ! Tu ne vas pas me laisser comme ça, et soulevant ses fesses, elle fait glisser sa petite culotte.

M’attrapant par les cheveux, elle m’attire en riant vers son petit ventre. Sa chatte mignonne, duvetée brille de sa mouille et d’un reste de pipi. Je la prends à pleine bouche et me mets à la brouter. Au bout d’un moment, du bout de ma langue je débusque son petit bouton et je m’y attache, le titillant, le mordillant, le suçotant. Padme s’est renversée sur le siège et entame une mélopée de gémissements et de ronronnements entrecoupés de petits cris qui en disent long sur le plaisir que je lui procure. Enfin, avec un cri plus fort, comme un hululement, elle explose en une série d’orgasmes dont je sens les vagues dans son ventre accompagnés sur ma langue par le miel que sécrète sa chatte.

Tout ceci m’a remis en forme et je bande à nouveau comme un cerf. Je me glisse à genoux entre ses cuisses et je présente mon dard à l’entrée de son petit minou tout humide. Elle me retient une seconde et me souffle :

– Fais attention, mets une capote, avant !

J’en suis estomaqué, bien sûr, où avais-je la tête ? Mais je n’en ai pas ! Mais, elle, elle m’en tend une ! Incroyable ? Je l’enfile, j’ai trop envie maintenant et, poussant ma queue dans sa fente, j’en écarte les lèvres avec le plus de délicatesse que je peux. D’abord facile grâce à sa mouille, la pénétration devient plus ardue, elle est assez étroite, et j’ai peur de lui faire mal. J’observe une pause puis je reprends ma progression écartant peu à peu les chairs tendres et si chaudes. Elle gémit puis a soudain un petit cri lorsque, je suis enfin enfoncé complètement en elle. Elle me sourit avec malice.

– Ça y est vieux cochon, tu l’as eue ta coquine !

Ce langage me rassure et m’excite et je commence à aller et venir dans son ventre qui peu à peu bien que toujours serré s’assouplit et se moule à mon membre. Cette nana est un coup du tonnerre, je suis si bien dans son petit minou si tendre que je ne voudrais plus en sortir et je me retiens, prolongeant l’étreinte imprimant un rythme tour à tour lent et effréné.

Longtemps, je la lime ainsi au point qu’elle a plusieurs orgasmes avant qu’à mon tour, me retirant à temps, j’explose enfin inondant son ventre et ses cuisses d’un sperme épais.

– Eh bien, espèce de salaud, on peut dire que tu m’as fait jouir, me murmure-t-elle à l’oreille après un long moment où nous sommes restés comme sans vie écrasés l’un sur l’autre.

Me soulevant, encore un peu engourdi, je pose mes lèvres sur les siennes et elle répond à mon baiser. Nous restons ainsi enlacés quelques instants puis je me dégage et reprends ma place aux commandes. Nous rajustons nos vêtements et quelques minutes plus tard, je la dépose sur l’astéroïde où elle habite. En me quittant, elle me dit :

– Qu’est-ce que tu fais après dîner ?
– Rien de spécial, pourquoi ?
– Trouve toi ici vers 21 h, nous aurons trois heures devant nous, ce sera suffisant je pense pour reprendre notre conversation de tout à l’heure.

En me disant cela, elle a un air si coquin que ma queue frémit à nouveau dans mon pantalon.

– Cristo ! Non seulement tu roupilles pendant le film, mais en plus tu ronfles et en plus tu bandes, me dit Malicia.
– C’est pas grave, l’important c’est que je t’aime, Padme, lui répondis-je, lui provoquant un mouvement de roulement des yeux qui me fit rire aux éclats.

© 2002 Malicia et Cristobal.

Par Malicia et Christobal - Publié dans : Malicia et Christobal
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Lundi 2 septembre 2002 1 02 /09 /Sep /2002 14:03

Lits résistibles (en voilà un titre ?) par Alexis Defond Rossignol

 

cul015

Thémes abordés :  bisex masculine, bizarre, domination soft, humour.

L’action de ce délire urbain se déroule un mercredi, au mois de septembre

Nous sommes dans le seizième arrondissement près d’une bouche de métro. Il
est 8 heures et demi du matin, la journée s’annonce ensoleillé et
probablement très chaude.

Fred s’est réveillé de bonne heure, il n’arrivait pas à dormir, et en
désespoir de cause avait décidé, dans l’ordre : de se lever, de se doucher,
de s’habiller « décontracté mais avec des vêtements de marque » et de
descendre prendre son petit déjeuner au bistrot du coin. Fred ne fait rien
dans la vie, il est rentier, sa tante lui a laissé en héritage une belle
collection d’appartements, et le paiement des loyers lui assure un revenu
substantiel. Riche et glandeur à 30 ans.
Il n’y a qu’un client au comptoir, c’est Eric, ce dernier cultive un look
très bohème, tunique blanche très ample, barbe en pointe et catogan. Après
avoir essayé en vain de monnayer ses travaux d’artiste peintre, il s’est
aperçu que pour briller dans le milieu de la peinture contemporaine, il
suffisait à défaut de talent, d’un peu de culot et de quelques
connaissances. Depuis, il travaillait beaucoup moins et gagnait beaucoup
plus.
Les deux hommes se connaissent, ils leur arrivent de se mesurer aux échecs,
en fait, ils y jouent aussi mal l’un que l’autre, sinon ils causent,
critiquent tout le monde et s’échangent leurs anecdotes, parlent de leurs
dernières conquêtes, l’un comme l’autre sont aussi dragueurs que
célibataires convaincus.

208 01f Et voici que justement vient s’approcher du bar, une créature…
une créature comment dire ? Elle est blonde, fausse blonde, mais genre
fausse blonde qui s’assume, les cheveux sont raides et coupés au carré, le
visage lisse et les pommettes relevées, les lèvres sont bien ourlées et le
nez finement dessiné. La silhouette est agréable, les formes sont devant,
les formes sont aussi derrières, et le tout est habillé d’un ensemble
blouson, pantalon en vinyle et chaussé de talons qui ne sont pas aiguilles
mais qui sont néanmoins vertigineux. Une apparition !

- Joli lot ! Juge Fred !
- Une pute ! Répond Eric sur un ton désabusé mais néanmoins hypocrite.
- Et alors, elle est belle, cette femme, non ?
- T’aime le genre domina ?
- Ça change ! J’ai déjà eu quelques expériences comme ça, évidement
faut pas que ça aille trop loin…
- Des petites fessées ?
- Et même un peu de martinet ! Avoue Fred !
- De toute façon, elle est indraguable ! Reprend Eric
- Personne n’est indraguable ! Répond Fred péremptoire.
- 100 euros que tu n’y arriveras pas !
- Pas assez cher !
- 500 euros !
- Pari tenu ! Avant midi je la baise !
- Et comment je vais savoir ?
- Tu reste avec moi, on va la suivre, quand je l’aurais dragué, tu
continueras à nous suivre !
- Et tu crois que j’ai le temps de jouer à ces conneries ?
- Je crois, oui !

La jeune femme, appelons là Carole, ne remarque même pas la présence de nos
deux parasites, et semble passionnée par la vision de sa tartine beurrée
qu’elle trempe délictueusement dans sa tasse de double crème. Elle prend son
temps, regarde sa montre, ouvre son sac à main, en extrait un petit miroir,
vérifie son maquillage, embarque la monnaie contenue dans la petite soucoupe
traditionnelle et sort du bistrot. Nos deux blaireaux la suivent. Et tout ce
petit monde se précipite vers la bouche de métro.

Laissons les voyager, leur trajet ne présente aucun intérêt pour notre
histoire et rendons-nous ailleurs pour l’instant !

Cet ailleurs ce sera la rue du Faubourg Saint Antoine, dans le 12ème près de
la Bastille. Cette rue possède une étrange particularité, en effet
pratiquement tous les commerçants sont des marchands de meubles…

Vers le milieu de la rue… non pas là… sur le trottoir d’en face, un peu plu
loin, l’un de ces magasins est spécialisé dans la literie. Son propriétaire
est un certain monsieur Bertin, il aurait donc pu enseigner son magasin Lits
Bertin, cela aurait parfaitement convenu à ce genre de récit, mais sans
doute moins à la clientèle potentielle, le magasin a donc été baptisé Lits
Résistibles. On est tous pliés de rire ! Le mercredi, matin, moment creux
par excellence, un seul vendeur exerce, c’est Gaétan, archétype du vendeur
de ce type de produit, la trentaine, costume strict, coiffure soignée,
chemise bleue et cravate discrète.
Il s’emmerde Gaétan ! Il l’a déjà dit à son patron ! Pourquoi ouvrir si tôt
le mercredi, c’est le jour des gosses, personne ne vient acheter un lit à
cette heure là, mais le patron n’entend jamais rien (air connu)

Revenons dans le métro : station Bastille : Carole descend ! Les deux
blaireaux lui emboîtent le pas !

- Si ça se trouve, elle va voir un client, tu vas avoir du mal à la
draguer ! Intervient Eric, notre peintre contrarié !
- Laisse faire mon intuition ! Répond Fred
- Et elle dit quoi ton intuition ?
- Elle dit que ce n’est pas une professionnelle !

Carole s’engage rue du Faubourg st Antoine, elle s’arrête de temps à autre
devant une vitrine, semble alors en proie à de longues réflexions. Une
vitrine, deux vitrines, plein de vitrines, et la voici plantée devant celle
de Lits résistibles.

- A la prochaine vitrine, j’attaque ! Prévient Fred

Pas de bol pour Fred, car Carole pénètre dans la boutique !

- Raté ! rigole Eric
- Pas du tout, viens !
- On ne va pas rentrer ?
- Mais si ! Un magasin, c’est super pour draguer !
- Bon alors on y va !

Il n’en revient pas Gaétan, le carillon d’entrée vient de sonner deux fois.
D’abord une cliente potentielle, mais alors quelle cliente ! Ça lui aurait
plu d’être seul avec elle… mais d’où sortent ces deux guignols ? Trois
clients à cette heure, un mercredi, voilà de quoi reconsidérer certaines de
ses certitudes !

- Madame ?
- Je voudrais un lit, mais un lit assez haut !
- Assez haut ! Mais pourquoi assez haut ? Répond Gaétan a qui on
n’avait jamais encore demandé une telle chose !
- Je n’ai pas besoin de me justifier, je cherche un lit assez haut, en
avez vous ? Répond Carole très sèche !
- Bien sûr, répond Gaétan, mouché.

En fait, il n’est sûr de rien, mais il lui faut retenir sa cliente, après
son talent de vendeur fera le reste !

- Je vais vous montrer tout cela, mais je vous demande une seconde, je
vais faire patienter ces deux messieurs !

Gaétan se dirige vers nos deux zigotos !

- Ces messieurs désirent voir quelque chose ?
- Nous allons regarder, et nous vous appellerons quand nous aurons
décidé ! Répond Fred !
- Alors je vous laisse regarder ! Répond Gaétan, tout heureux à la
perspective de pourvoir prendre son temps avec la belle cliente.

Et tandis que nos deux parasites s’en vont faire semblant de s’intéresser
aux lits du rez-de-chaussée, Gaétan parvient à persuader Carole que de bien
plus beaux lits sont en exposition au premier étage, ils prennent donc
l’escalier pour s’y rendre.

- Actionne la porte d’entrée ! Demande Fred à son compère !
- Pourquoi foutre ?
- On dit pourquoi faire ! Pour qu’il se figure qu’on est ressorti !
!
Après avoir usé de ce grossier stratagème, ils montent discrètement
l’escalier et se mettent en planque derrière un énorme meuble de rangement.

- Voyez ce modèle, c’est ce qui se fait de mieux !
- Il n’est pas assez haut !

Gaétan hésite, il n’a pas envie se faire rembarrer une seconde fois, mais ce
doit être sa nature, il faut qu’il jacte, il faut qu’il cause, pour lui
c’est de l’argumentation, ça fait parti du métier !

- La tendance actuelle est de faire les lits le plus bas possible,
c’est historique en fait, autrefois, on grimpait sur le lit, le lit était
une véritable cabane isolée du reste, on y montait parfois avec une petite
échelle ou à l’aide de quelques marches, et il y avait un rideau qui…
- Ecoutez, je ne suis pas venu ici pour écouter un historique de
l’histoire des plumards, je veux un lit haut, un point c’est tout, et si
vous en avez pas, autant le dire tout de suite, ça m’évitera de perdre mon
temps.
- Je suis désolé !
- Vous pouvez ! Alors vous en avez ou vous en avez pas ?
- Je crois que ce modèle est ce qu’il y a de plus haut !
- Vous dites ça sans le regarder, alors qu’on ne vous a probablement
jamais posé la question, vous vous foutez de moi, ou quoi ?
- Je, je..
- Je quoi ? Et arrêtez de me reluquer comme cela, vous n’avez jamais de
cliente ?

Le moment de stupeur passé, Gaétan, refait surface !

- Des clientes aussi ravissantes que vous, c’est assez rare, si vous
voulez bien me permettre ?
- Justement, je ne vous permets pas !

Gaétan se rappelle ses cours de vente, il y a un moment ou l’on sait que
quoiqu’on fasse, la vente ne se fera pas, il faut à ce moment là en tirer
les conclusions, et se débarrasser du client s’il ne s’en va pas de
lui-même…

- Alors restons en là, peut-être trouverez-vous votre bonheur chez un
de mes confrères ?
- C’est bien dommage que vous n’ayez pas l’article, pour une fois que
je tombais sur un vendeur qui soit joli garçon !

Du coup Gaétan devient tout rouge ! Il reprend espoir

- Si vous voulez, on va mesurer quelques lits et on va bien en trouver
un qui soit plus grand que les autres…
- Remarquez, je vous dis ça, mais n’en tirez aucune conclusion, je ne
suis absolument pas draguable, c’est moi qui choisit, c’est moi qui décide,
je suis un peu dominatrice, voyez-vous !
- Oui, oui ! Bredouille gaétan. Euh c’est peut être pas la peine de
mesurer, à vue d’œil celui-ci me parait plus haut que les autres !
- Vous n’aimez pas les femmes dominatrices ?
- Tout dépend de la femme, avec une femme telle que vous cela ne me
générais pas du tout !
- Vous n’auriez pas du dire ça !
- Pourquoi donc ?
- Vous verrez bien ! Donc pour vous c’est celui-là le plus haut !
- Oui, absolument !
- Je peux l’essayer ?
- Bien sur ! Vous pouvez vous asseoir dessus !
- Parce que chez vous pour essayer un lit on s’assoit dessus ?
- Non, vous pouvez même vous y allonger, je vais juste vous demandez de
retirer vos chaussures.
- Parce qu’essayer un lit, c’est s’allonger dessus ?
- Ben !
- On fait quoi dans un lit d’après vous ?
- Euh !
- Vous êtes décidément bouché. Débrouillez-vous pour virer vos deux
clients du dessous et je vais vous montrer

Gaétan se souvient alors avoir entendu le carillon !

- Mais ils sont partis !
- Comment le savez-vous ?
- J’ai entendu le carillon
- C’est peut-être quelqu’un d’autre qui est entré !
- Je vais voir…

Gaétan revient quelques secondes après !

- Ils sont bien partis :
- Alors on va l’essayer !

Carole pose alors son sac à main sur bord lu lit, et se débarrasse de son
blouson. Elle a en dessous un petit haut assez décolleté à très fines
bretelles qui laissent les bras nus. Gaétan n’en peut plus ! Il ne comprend
pas ! Et nos deux parieurs toujours dissimulés derrière leur meuble en sont
au même point. Ces messieurs auraient pu penser qu’elle en serait restée là
et qu’elle se serait ensuite allongée sur cette belle literie… mais non,
elle retire son haut, Gaétan a les yeux exorbités, il se demande si elle va
commettre la folie de dégrafer son soutien-gorge. Elle le fait et deux
magnifiques seins piriformes ornés de belles aréoles brunes et de jolis
tétons érigés apparaissent…

- Je…
- Je quoi ? Vous n’avez jamais vu une poitrine ?
- Euh, il n’est peut-être pas nécessaire de…
- Dis donc, vendeur de mes fesses ! Tu as bien dis que tu accepterais
de te faire dominer !
- Oui, mais…
- Silence, ! Ou je te flanque une dérouillée. ! Et d’abord fout toi à
poil !
- Qui ? Moi ?
- Bien sûr toi ! Qui veut tu que ce soit ?
- Mais enfin, si quelqu’un vient ?
- C’est pas mon problème !
- Euh, alors, je vais bloquer la fermeture !
- Pourquoi faire, je n’ai pas l’intention de faire durer les choses
cent sept ans ! Allez à poil !

Alors comme dans un rêve Gaétan se débarrasse de ses vêtements, et tandis
qu’il le fait Carole termine son propre déshabillage, son pantalon est
retiré, sa culotte suit. Nos deux voyeurs ont maintenant la vision du corps
de déesse de la belle. Ils bandent comme des cerfs amoureux.

- Maintenant monte sur le lit et fout toi à quatre pattes ! On va
tester le plumard ! Ordonne Carole !

Le vendeur s’exécute.

- Je vais te faire un cul tout rouge ! Prévient alors la jeune femme.

Elle ouvre alors son sac, en sort un martinet, se met debout sur le lit et
commence à fouetter le vendeur qui n’a jamais encore connu pareille
situation.

- Pas trop fort quand même !
- Je fais ce que je veux ! Dis le que tu es mon esclave !
- Hein ?
- Dis le que tu es mon esclave ?
- Si vous voulez, mais pas si fort !
- Je n’ai pas bien entendu !
- Je suis votre esclave !
- T’aimes ça que je te fouette ?
- Ce doit être parce que je suis super excité !

Carole fouette à grande volée, contrôlant l’impact du martinet sur les
fesses du vendeur, en le faisant, elle accomplit une sorte de mouvement
trépignant des pieds qui font bouger toute la literie. Mais cette dernière
est aussi solide que silencieuse ! Du bon matériel.

Fred, n’en peut plus, il a sorti sa bite et se branle carrément. Eric se
sentant encouragé, hésite pourtant à l’imiter, mais l’excitation aidant, il
lorgne sur la biroute de son complice ! Une jolie queue bien droite, bien
dessinée au gland reluisant ! Un bien bel organe ! Il sent qu’il va faire
quelque chose de pas si courant !

- Elle est belle ta queue ! Chuchote-il à l’oreille de Fred
- Pourquoi ? Ça t’intéresse ?
- Non, je disais ça comme ça !
- Parce que si vraiment ça t’intéresse, on peut s’arranger !
- Je peux juste toucher un peu alors ?
- Vas-y touche !

Carole est complètement excitée par ce qu’elle fait, Le cul de Gaétan est
maintenant tout rouge, elle retourne farfouiller dans son sac et en sort un
joli gode vibrant qu’elle encapuchonne d’un préservatif ! Puis elle approche
l’objet du cul du vendeur !

- Oh ! Tu fais quoi ? Questionne ce dernier, craintif.
- Je vais t’enculer ! Répond Carole comme s’il s’agissait de la chose
la plus naturelle du monde.
- Mais ça va pas, non ?
- Tais toi, t’y connais rien !
- Mais je ne veux pas !
- Et après tu pourras me prendre !

Evidement c’est un argument ! Et Carole introduit donc l’objet dans le cul
du vendeur ! On ne lui a jamais fait ça ! Après quelques secondes pendant
lesquelles il faut bien forcer cet orifice non habitué à de tels outrages,
l’olibos s’est enfoncé dans le rectum et le vibrateur s’est mis en marche,
produisant de curieuses sensations dans le derrière à présent dépucelé de
notre vendeur

- C’est bon, hein ?
- C’est pas désagréable ! Concède Gaétan

Derrière le meuble, les choses ont évolués et Eric a maintenant englouti la
bite de son comparse dans la bouche et lui fait une fellation en règle, tout
en s’auto-masturbant. Les deux bites sont gonflées à bloc et ne vont pas
tarder à lâcher leur jouissance dans quelques instants.

Retour à Carole qui donne des instructions à son esclave de rencontre :

- Bon maintenant, je m’allonge, tu viens sur moi et tu me prends et tu
as intérêt à être à la hauteur !

Bandé comme il est Gaétan, se prépare, il enfile la capote que lui tend
Carole, il s’allonge sur elle, n’ose pas quémander un baiser sur les lèvres,
mais s’aventure sur les seins, il les caresse, les pelote, les triture, sa
bouche vient en renfort de ses mains, il embrasse, il suçote, il lèche. Il
s’approche du téton….

- Allez viens ! Le presse Carole.
- On n’est pas à cinq minutes ! Tente de parlementer le vendeur.
- J’ai envie que tu me prennes tout de suite ! D’accord ?

Gaétan se met donc en position afin de pénétrer cette créature de rêve, sa
bite s’approche de la chatte, cette si belle petite chatte à moitié épilée
de ses poils afin qu’on puise en admirer le fin découpage. Il est juste là
où il faut, il va la pénétrer….

…quand soudain elle pousse un cri :

- Mon mari ! Vite planque-toi !

A ces mots, Gaétan par pur réflexe dégringole du lit et s’en va pour se
cacher en dessous, mais le lit n’est pas assez haut et dans sa précipitation
il s’assomme à moitié contre la boiserie et se provoque une énorme bosse..

- Ah Ah ! Rigole Carole, je t’avais bien dis qu’il n’était pas assez
haut ! Il ne vaut rien ton plumard !

Elle se rhabille, Gaétan penaud, ne comprend plus rien et à moitié étourdi,
tente de rassembler ses affaires afin de se rhabiller à son tour. Il est
complètement frustré par cet épilogue imprévu, il cherche en vain le mari
qui bien sûr n’existe pas !

- Bon, il ne te reste plus qu’à me l’offrir ton plumard, puisqu’il ne
vaut rien ? Tente Carole.
- Je ne peux pas, mais je peux vous faire une belle remise !
- Tu ne veux pas me l’offrir ?
- Non, je suis désolé !
- Mufle ! Répond-elle, faisant le geste de se retenir de lui balancer
une gifle.

C’est alors qu’intervient Fred suivit de près par Eric !

- Hum ! (ça c’est Fred qui nous fait un raclement de gorge)
- Mais vous étiez-là, vous ? Bredouille le vendeur, comprenant de moins
en moins ce qui se passe
- Oui nous somme là, et voyez-vous, cela nous ferait énormément plaisir
que vous offriez ce lit à mademoiselle.

Gaétan évolue la situation. Il n’y a aucune menace dans les propos de Fred.
Mais le rapport de force ne lui est pas favorable, il préfère jouer la carte
de la prudence !

- Bon, bon on va faire un petit effort ! Finit-il par lâcher.
- Je vous remercie de votre intervention ! Intervient Carole à
l’adresse de Fred.
- Mais c’est un plaisir, voyons, que de secourir un aussi belle femme
que vous !
- Flatteur !
- Me ferez-vous simplement l’honneur de vouloir prendre un verre avec
moi ?
- Pourquoi pas, mais vous êtes bien sûr conscient des risques que vous
prenez ?
- Mais je suis prêt à les assumer ! Répond Fred, puis se tournant vers
Eric : « Nous nous reverrons demain, n’oublie pas de passer à ta banque ! »

Moralité : absolument aucune !

Alexis

PS : Soyez gentil, ne m’écrivez pas pour me dire que tout cela est
invraisemblable, je le sais bien que c’est invraisemblable. Mais qu’il me
soit permis de défendre le droit au délire !

a_defond_rossignol@hotmail.com

Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
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Vendredi 2 août 2002 5 02 /08 /Août /2002 13:40

Marie-Clotilde, assistante en chirurgie dentaire
par Alexis Defond Rossignol

version non censurée
cul015

 

Thémes abordés : bizarre, humour, médical, uro

C’est au deuxième étage de cet immeuble bourgeois que se trouve le cabinet
de dentiste du docteur Pivot. Une simple plaque de cuivre, et en dessous une
autre moins noble mais précise ;  » sonnez et entrez  »
Max et Bernadette Hilaire obtempèrent et entre dans le lieu. On ne peut se
tromper, la salle d’attente est à gauche avec son traditionnel tour de
chaise et sa petite table encombrée de magasines périmés et froissés. Et
d’ailleurs pour qui hésiterait, une plaque sur cette porte indique  » salle
d’attente  »

- Ce n’est pas possible, il doit être en cheville avec un marchand de
plaques ! Plaisante Bernadette

Mais la plaisanterie fait flop ! Max bougonne, il a une chique à la joue
droite, ses dents le font énormément souffrir !

Ah ! Oui, je ne vous les ai pas présenté, ou du moins pas assez ! Max,
presque la cinquantaine, légèrement ventripotent, aucun fil blanc ne vient
encore perturber ses cheveux bruns peignés en arrière et légèrement bouclés.
Il a d’épaisses moustaches noires. Il est habillé en costume bleu marine
très sombre presque noir, la chemise est blanche, la cravate est jaune ornée
de motifs discrets, bref le mec n’a rien d’original, le cadre moyen ou le
petit patron… Que voulez-vous parfois ces gens là aussi ont parfois mal au
dents
Madame a accompagné son mari, elle a dix ans de moins que lui, un beau
visage, la bouche pulpeuse, une belle silhouette que sa robe bleue jean met
bien en valeur en laissant dénudées ses belles épaules qui luisent sous la
lumière…

- C’est quand même bizarre qu’il n’y ait personne dans la salle d’attente !
Remarque Bernadette !
- Tant mieux, on n’attendra pas ! Ronchonne Max
- De toutes façons, on n’aurait pas attendu, puisque nous avions rendez-vous
! Réponds Bernadette sur un ton fort péremptoire
- Dès fois ça veut rien dire !

Cinq minutes passent, pas plus ! Une porte s’ouvre sur le geste classique du
praticien ouvrant sa porte de communication avec le cabinet et la tenant par
la poignée (dés fois qu’elle s’échappe, la lourde !)

- Monsieur Max Hilaire !

C’est moi ! Tient à préciser Max en se levant

Le docteur Pivot fait signe au couple de les suivre, c’est un homme
approchant la soixantaine, chauve, le visage tout en longueur, de grosses
lunettes en écailles et vêtu d’une blouse blanche d’une immaculée propreté -
sans doute en change-t-il à chaque patient – Il fait asseoir Max et
Bernadette devant son bureau, et le cérémonial se poursuit permettant au
chirurgien dentiste de renseigner les données de ses patients sur son
logiciel médical.

- Je n’ai pas de fiche à votre nom ! Constate alors celui-ci !
- C’est la première fois que nous venons… Commence Bernadette, parlant alors
à la place de son mari. On nous a recommandé votre cabinet, et on nous a
affirmé que vous aviez une méthode pour soigner sans douleur !
- C’est parfaitement exact, mais comme toute médaille à son revers, je dois
vous prévenir tout de suite que je ne suis pas conventionné avec la sécurité
sociale et que par conséquent vos soins ne pourront être remboursés !

Voici qui à l’air de désoler Bernadette, qui du coup regarde son mari :

- Ah, on ne nous avait pas dit cela ! Qu’est ce qu’on fait, Max !
- Tant pis, on est là, on est là ! J’ai trop mal, il faut en finir !
- Je vous ferais un petit prix ! Lance le docteur conciliant ! Bon alors on
va commencer, je vais demander à madame votre épouse de rejoindre la salle
d’attente !
- Mais pourquoi ? Je ne vous générais pas ! Proteste cette dernière !
- Ce n’est pas moi que vous risquez de gêner, c’est le bon déroulement de la
méthode ! Soyez sans crainte dans vingt minutes, je vous rends votre mari,
guéri et même plus, il sera enchanté et ravi de mes prestations !
- Bon, à tout à l’heure chérie ! Intervient Max

Et comme au théâtre quand un personnage sort, il faut qu’un autre rentre !
Nous allons faire maintenant connaissance, et en même temps que Max, de
Marie Clotilde l’assistante du Docteur Pivot

Brune, de grands cheveux longs, les yeux bleus, mais c’est surtout la tenue
qui intrigue. La blouse croisée laisse apercevoir l’échancrure d’une
poitrine prometteuse, et puis elle ne descend vraiment pas très bas cette
blouse, mais dire que c’est juste à mi-cuisse serait encore carrément
exagéré ! Max écarquille les yeux à la façon du loup de Tex Averry et
bredouille un hésitant  » bonjour  » auquel notre assistante répond par un  »
salut  » fort peu protocolaire

- Préparez Le patient, Marie Clotilde ! Ordonne le docteur.

Max est donc invité à prendre place sur le fauteuil de supplice dentaire, il
est troublé Max, d’abord par la présence des ces horribles bras articulés
terminés par des engins qui dans quelques instants vont lui pénétrer dans la
bouche, et cela l’affole un peu, mais surtout maintenant par ce qu’il voit à
quarante centimètres de ses yeux… Marie Clotilde a passé autour du cou du
patient une serviette de protection, et pour cela elle a du se pencher
dégageant encore plus son décolleté. La partie la moins extérieure de ses
seins est maintenant complètement visible, deux demi-globes de chair soyeuse
au grain velouté s’offre à sa vue. Max n’en peut plus, il ne sait commander
à son sexe de rester tranquille et se met donc à bander !

C’est bien la première fois qu’il bande chez un dentiste. Ne sachant que
faire de ses mains, il décide afin de se donner contenance de se les croiser
sur sa poitrine par-dessus la serviette.

- Non ! Vous risquez de salir vos manches ! Le prévient Marie Clotilde.
Placez plutot vos mains sur les bras du fauteuil !

Il obéit, et l’assistante vient du plat de la main rectifier la bonne tenue
de la serviette, elle se penche encore et cette fois ci un joli téton à
réussi à pointer son petit bout à l’extérieur ! Max à la gorge sèche ! Il se
demande s’il rêve !

- Je … Commence-t-il.

Mais on ne saura jamais ce qu’il avait l’intention de dire, le docteur lui
fait pencher la tête en arrière, et lui ordonne d’ouvrir la bouche. Max est
frustré et tandis que le dentiste farfouille sa mâchoire, il se crispe sur
les bras du fauteuil.

- Ne vous crispez pas ! Détendez-vous ! Implore l’étrange assistante !

nurse07 Puis comme ça, comme si la chose en soi était banale,
Marie-Clotilde balade négligemment sa man sur la braguette bosselé de notre
patient qui n’en peux mais.. Il ne proteste pas, de toute façon comment
pourrait-il, se trouvant en ce moment dans l’impossibilité de parler ?

Devant l’audace de cette jeune personne, il se dit, Max qu’en avoir à son
tour ne devrait pas porter à conséquence et sa main droite se fait
caressante et après s’être timidement attardé sur un petit bout de cuisse,
empoigne maintenant vaillamment les fesses de la donzelle et les triture à
qui mieux-mieux.

Les hostilités sont donc engagées, et tandis que le dentiste imperturbable
se livre à l’ingrate tâche d’aller soigner les dents pourries d’une mâchoire
peu ragoûtante, l’assistante dézipe la fermeture éclair du patient et
promène son doigt sur la bite de Max par-dessus le tissu de son ridicule
caleçon blanc à poids rouge.

A présent notre coquine de Marie-Clotilde a dégagé le pénis tout raide de
notre patient, et après quelques caresses de convenances entreprend de la
masturber de façon aussi classique qu’efficace.

Après quelques instants pendant lesquels Max se laisse en même temps
bricoler les crocs et branlotter le bigoudi, celui-ci perçoit une curieuse
humidité lui rafraîchir le gland !  » Serait-ce une fellation qu’on
m’effectue ?  » se demande-t-il avant de réaliser que ce n’est pas tout à
fait cela, notre assistance s’est enquit d’une lingette et entreprend de lui
nettoyer savamment le zizi ! Mais pourquoi donc ! Pourquoi donc ?

Un bruit épouvantable envahit le cabinet, celui de l’odieuse roulette, mais
à peine le cerveau de Max l’a-t-il appréhendé qu’une délicieuse sensation
vient s’y superposer, celle de l’agile langue de Marie-Clotilde qui vient
d’entreprendre de savants balayages sur son gland turgescent Il se laisse
faire ! Il n’a pas le choix et sa main s’aventure dans la chatte de la jeune
personne, voilà qui aide à se donner une contenance !
Et plus la roulette officie, plus l’assistante pompe le dard, la
coordination des deux membres du corps médical est remarquable
Aux Dzzzzz Dzzzzz Dzzzzz de la roulette répondent des Slurp Slurp Slup
beaucoup plus évocateurs !

- Et maintenant la phase finale ! Annonce le docteur Pivot.

Alors tandis que celui ci envoie un jet de liquide médicamenteux dans le
gosier de Max, notre héroïne se met à califourchon sur la bite tendue après
l’avoir encapuchonnée et entreprend des mouvements coulissants qui rendent
tout chose notre patient

La prestation est-elle finie, on devrait dire  » les  » prestations ? Et bien
non, le docteur change de bras articulé, et choisit maintenant la pince, la
vilaine  » pinpince « , celle qui arrache les dents pourries ! Max ne la voit
même pas. Il ne sent pas non plus la piqûre d’anesthésie locale que lui
administre le dentiste !

- Prête Marie-Clotilde !
- Yes, Docteur !
- On compte
- 1, 2
Max ignore la signification de cet insolite compte qui n’est même pas à
rebours ! Mais sa jouissance monte, monte, il va jouir !

- Trois !

Et dans la même seconde Max libère sa jouissance tandis que le dentiste
tient au bout de sa pince, tel un trophée, la molaire foutue qu’il vient
juste d’extraire.

- Un petit rinçage Marie-Clotilde, s’il vous plait ?

L’assistante se relève, prend un verre en plastique et devant les yeux
médusés de Max, elle pisse dedans un joli petit jet jaune pâle ! Notre
patient ne cherche plus à comprendre, il est groggy, et quand le docteur
Pivot lui explique qu’autre fois l’urine était utilisé en bain de bouche et
qu’il serait grand temps de revenir à cette saine pratique, il n’entend même
pas. Il se gargarise deux ou trois fois avec la cuvée spéciale de
Marie-Clotilde. Il n’a plus mal.

- Voilà, le plus dur est fait, mais il faudra revenir, vous avez plusieurs
dents en mauvaise santé, il faut soigner tout cela d’urgence ! Voyez avec ma
secrétaire pour prendre plusieurs rendez-vous successifs… Evidemment ce
n’est pas donné, donné, mais que voulez-vous tout se paye en ce bas monde et
puis quand même, dites-moi franchement avez-vous souffert ?
- Pas du tout, docteur, j’avoue !
- Vous voyez !

Le docteur raccompagne Max à la sale d’attente ou l’attend Bernadette, son
épouse

- Alors chéri, tu n’as plus mal !
- Plus du tout ! Ce docteur est extraordinaire, mais les soins ne sont pas
terminés, il faudra que je revienne !
- Si mon époux parle de revenir chez le dentiste, c’est qu’effectivement vos
méthodes doivent êtes extraordinaires, peut-être que je pourrais en profiter
pour me faire un petit détartrage

Le docteur consulte sa montre !

- J’ai une bonne demi-heure de battement, je peux vous prendre tout de suite
si vous voulez !
- Alors d’accord ! Tu m’attends Chéri !
- Euh… euh….
- Ben quoi !
- Euh… euh…
- Jean Pascal, installez donc notre patiente ! Ordonne le docteur !

Une sorte de pâtre grec pénètre alors les lieux et invite Bernadette à la
suivre

- Arf ! Arf ! Arf !
- Mais pourquoi toussez-vous Monsieur Hilaire ? Lui demande alors le bon
docteur Pivot. Vous devriez consulter un oto-rhino, j’ai justement un
collègue qui…

Fin du délire

Alexis (août 2002)

merci à Horacio Altuna pour l’idée ! – dans la version publié sur
revebebe, j’avais autocensuré le petit passage uro, je suis un peu bête des
fois !

Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
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Dimanche 14 juillet 2002 7 14 /07 /Juil /2002 11:31

Sont folles les frangines !

Par Estonius

 

stamp transblack

 

On a tous les deux quarante ans et quelques poussières, pas mal de poussières, même. Je vis avec Claudine depuis deux ans et je l'ai rencontré par petite annonce sur le web, on s'entend bien, elle est super gentille, très coquine et assez bien conservée, un tout petit peu enveloppée, mais sans trop, disons qu'il y a de quoi peloter. Elle est brune de cheveux, très brune, et elle blanche, très blanche de peau. Ça fait contraste comme disait mon prof de dessin. 


On s'amuse souvent le week-end à se faire des petits scénarios érotiques, et on touche aussi un peu au SM, mais juste pour s'amuser. C'est souvent moi qui fait le soumis, mais pas toujours.


Je n'ai fait la connaissance de sa sœur Sylvie que depuis six mois, elle habitait en province et elle est remontée à Paris pour des raisons professionnelles que je n'ai pas bien saisies. Elle est marante Sylvie, elle s'attife n'importe comment, et n'en a manifestement rien à cirer. Par contre elle se chouchoute son immense coiffure rousse en étant tout le temps fourrée chez le coiffeur, et puis elle se maquille, bien d'ailleurs, juste ce qu'il faut sans outrance. 


Elle est entrée dans nos jeux sexuels presque naturellement, ce soir-là nous dînions tous les trois à la maison, (la frangine est célibataire) Elle avait apporté un punch, un truc qui tue, fait par une copine à elle, une copine de là-bas comme elle aime à le dire, ben moi qui ne suis jamais bourré, c'était limite-limite, et pendant le repas j'accumulais les maladresses, faisant gicler la sauce du gigot, renversant des trucs…


- Non, mais qu'est-ce que t'as ce soir, je vais te flanquer une fessée ce soir, tu vas voir, ça va te faire du bien !


Elle avait dit ça comme ça, ma Claudine, ce n'était pas sérieux, mais malgré mon état j'ai vu la lueur malicieuse éclairer les yeux de Sylvie


- Tu parles sérieusement, Claudine, tu vas lui foutre une fessée ?

- Non, je rigole. Quoi que... dès fois on s'amuse, mais ce soir je crois que ça va être dur de le maintenir en état ! Hein André ?

- Tu essaieras, tu verras bien ! Répondis-je, fataliste


Et alors que la conversation aurait dû à ce moment-là se recentrer, c'est avec le plus grand calme que Sylvie nous fit cette demande incongrue :


- Et si c'était moi qui lui donnais la fessée ?


Je l'ai regardé d'un air ahuri, me demandant de quelle façon Claudine allait prendre ça… 


- Mais cela me paraît une excellente idée ! Répondit alors ma compagne.


Non, mais attend, là ! Claudine et moi étions d'accord - du moins en paroles - pour pratiquer une grande liberté sexuelle, à notre âge et avec notre passé on n'allait pas tout d'un coup devenir fidèle comme des toutous. Et puis on s'était dit que si on avait l'occasion de faire du triolisme, ou de l'échangisme ou d'autres machins en "gismes ", pourquoi pas ? C'est d'ailleurs toujours facile de dire " qu'on va faire " quand on ne cherche pas. Mais avec sa sœur !!! 


Pourtant j'étais plus surpris que choqué ! Le souvenir du reste de la soirée est assez flou, mais je me souviens qu'à la fin du repas, alors que nous étions sur le canapé en train de faire je ne sais plus quoi, Sylvie m'a demandé de me foutre à poil, je lui ai alors spontanément répliqué une réponse que j'avais crue géniale :


- Je me fous à poil, si tu me montres tes nichons !


Je croyais ainsi m'en sortir. Mais elle me les a montrés, comme ça, sans aucune gêne ! Des jolis globes bien laiteux avec une belle aréole marron clair et un téton fièrement redressé Que c'est beau les seins d'une femme ! De toute façon, il n'y a rien de plus beau !


J'ai reçu ma fessée, avec le martinet qu'on avait eu un mal fou à dénicher, et puis après je ne sais plus trop sauf deux choses, je me rappelle que j'aurais bien voulu bander mais que je n'y arrivais pas. Et puis je me souviens aussi, alors que l'ambiance était de plus en plus débraillée, avoir vu que les deux frangines avaient l'une pour l'autre des gestes qui allaient bien plus loin que la simple tendresse.


Je me suis aperçu ce jour-là que je connaissais très mal sa sœur. Mais aussi que je ne connaissais pas très bien ma propre compagne.



Mais bon, comme je vous l'ai dit cela ne me choquait pas plus que ça, et toujours est-il que ce soir-là, Sylvie était donc rentrée dans nos jeux sexuels


Et puis faut toujours que je parle de trop, j'avais déjà échangé mes fantasmes avec Claudine, sur le mode "je ferais bien ci, je ferais bien ça, mais si j'ai l'occasion, si l'ambiance si prête, et tout ça, tout ça, et de toute façon je ne suis pas pressé". Dans nos conversations avec Sylvie j'ai bien sûr réaffirmé mes dires ! En fait, je n'ai pas de tabou, même pas la scato, puisque j'ai déjà léché des culs qui ne sentaient pas spécialement l'eau de Cologne... mais bon... quant à la zoophilie, je n'ai pas envie d'essayer...  quoi que faudrait creuser le problème, parce que finalement enculer une girafe ou un zébu ça doit être quelque chose de grandiose, non ?


Enfin j'aurais mieux fait de me taire ! Quoi que je ne me plains pas, Sylvie et Claudine sont des chics filles, mais j'aurais tout aussi bien tomber sur des foldingues.


Je ne vous raconterais pas toutes nos soirées, ne serait-ce que parce qu'il y a comme un petit aspect répétitif, même si on ne fait pas toujours strictement la même chose, mais je vais vous raconter l'une des dernières en date, la plus mémorable, la plus surprenante et la plus fertile en émotions


Ce samedi, on rentre des courses vers 17 heures avec Claudine, on n'avait rien de vraiment prévu, Sylvie nous téléphone et nous demande si nous serions libres pour un restau. D'accord on accepte, elle vient nous chercher, on s'embrasse gentiment, et puis on se prépare ! Sylvie est toujours aussi mal fagotée, un vulgaire jean et une sorte de pull-over assez évasé vers les épaules mais qui ne trouve même pas le moyen d'être décolleté ! Enfin, dans quelques heures je la verrais peut-être à poil ça console !


- Je me demande si on ne va pas lui faire une petite séance à ton Jules ? Propose alors Sylvie qui avait dû lire dans mes pensées

- C'est une bonne idée, ça nous défoulera... parce qu'on vient de faire la queue une demi-heure au super marché... t'es d'accord André ?


De toute façon, presqu'à chaque fois que nous dînons ensemble, j'y ai droit à la séance, on se laisse aller à nos fantasmes et ça finit la plupart du temps dans la décontraction la plus débraillée et la plus rigolarde… Mais là j'ai comme dans l'idée qu'elles ont, les coquines, un petit plan très spécial… Mais bien sûr que je suis d'accord !


Elle a le chic, Sylvie pour nous dégotter des restaurants pas possibles, un petit truc dans le 17ème où ils vous servent du hachis parmentier, et du bon ! Vous en connaissez beaucoup des restaurants qui vous proposent du hachis parmentier vous ? Le repas s'est très bien passé, on a discuté de tout et de rien assez joyeusement, je savais très bien que c'était un peu comme le calme avant la tempête, mais pas à ce point quand même. Parce que comme tempête sexuelle… Mais n'anticipons pas !


Une fois le repas consommé, on remonte dans la voiture, et aussi sec Sylvie me regarde, pointe son index sur moi et me déclare :


- A partir de maintenant je suis ta maîtresse, ou plutôt on est toutes les deux tes maîtresses ! Hein esclave ?

- Oui maîtresse !


Ce n'est pas vraiment une surprise en soi, à part le fait que je m'attendais plutôt à un truc de ce genre une fois rentrés chez nous ou chez Sylvie. Mais bon c'est un jeu… jouons. On roule un peu, on traverse le 16ème, ce n'est pas notre chemin, on passe dans une rue déserte, il y une place. Nous stationnons. On va chez qui ? Sylvie attend un peu puis me donne l'ordre de sortir et de me foutre à poil ! Je comprends de moins en moins.


- Pas en pleine rue !

- Fais ce qu'on te dit, esclave !


Pas trop rassuré, mais j'ose espérer qu'elles savent ce qu'elles font, je me dépouille dans la rue déserte, j'ai le cœur qui tremble surtout qu'une bagnole vient de nous doubler, j'ai juste le temps de me baisser pour ne pas me faire remarquer. Ça fait quand même drôle de se retrouver la quéquette à l'air dans le sanctuaire de la haute bourgeoisie parisienne ! Sylvie me balance ensuite un k-way ! 


- Tu te mets ça et tu remontes ! 


Je me demande à quoi ça rime, mais ne pose pas de questions. Je m'aperçois qu'on se dirige vers le bois de Boulogne. La voiture s'arrête dans un endroit où il n'y a pas grand monde, du moins à proximité, car un peu plus loin il y des travelos qui tapinent et des voyeurs qui tournent. Sylvie me fait sortir de la voiture et me demande d'enlever le k-way. Je proteste…


- Non mais attendez ! Là ! Ça va un peu trop loin votre truc…


Sylvie sera cassante !


- Ecoute André, je te demande de nous faire confiance, il ne t'arrivera rien d'irréparable ! On est quand même pas devenus folles toutes les deux en même temps… Alors tu nous fais confiance… ou alors j'irais jouer ailleurs !

- Bon, bon, d'accord, d'accord, on se calme, on se calme !

- Moi j'aurais pas dit ça comme ça ! Intervient alors Claudine. Je me serais mis à genoux devant ma maîtresse et j'aurais imploré son pardon !


Alors, je joue le jeu, je me débarrasse du K-way, je me fous à genoux sur le sol de l'allée devant Sylvie, et lui fais le baratin habituel "pardon maîtresse, punissez-moi maîtresse" et toute la sainte litanie… Elles me font me relever et entreprennent de me ligoter après le poteau d'un réverbère. Sylvie a pris une cravache et Claudine un paddle, et les voilà qui me font rougir les fesses. J'aime ça, mais j'ai peur que quelqu'un vienne. Elles me bordent d'insultes.

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- T'aime ça qu'on te fasse rougir ton gros cul ! Hein salope ?

- Oui Maîtresse !


Elles sont complètement déchaînées et les coups sont de plus en plus fort, ça devient à la limite du supportable ! J'ai l'impression qu'elles elles ne tapent pas si fort d'habitude !


- J'ai mal maîtresse !

- Ta gueule, gros porc ! répond Claudine

- Tu as mal parce que tu as peur ! ajoute Sylvie, beaucoup plus didactique


Normalement elles savent s'arrêter quand elles voient que je commence à ne plus supporter, mais avant de le faire, elles me rajoutent néanmoins un ou deux coups de plus, comme ça par principe !


- Je veux bien m'arrêter, mais tu vas être très obéissant et faire tout ce qu'on te dira.

- Oui maîtresse, bien sûr maîtresse.


Sylvie vient pour me détacher, mais elle ne fait pas, elle passe ses bras autour de moi et vient me pincer les tétons, elle les serre avec pas mal de force, ce doit être un réflexe, ma bite qui se demandait si elle devait bander ne se pose plus de question et indique maintenant fièrement le chemin des étoiles ! Elle me détache, et c'est alors que je vois deux travelos qui se sont approchés pour regarder le spectacle, ce sont des brésiliennes, une très noire, l'autre plutôt café au lait - jolies silhouette d'ailleurs - la plus noire a sorti sa quéquette et se la branle, et l'autre à un appareil photo dans les mains ! J'hallucine !


- Ils, elles… vont pas prendre des photos quand même ? Tentais-je de protester.

- André, on t'a dit d'avoir confiance ! Tu vas finir par chopper une grosse punition ! Répond Sylvie !


Mais pour moi ce n'est pas une réponse !


- Mais les photos…

- Mais c'est MON appareil, André ! Maintenant ça suffit pour la peine tu sais ce que tu vas faire ? Tu vas sucer les bites des deux travelos !

- Non-maîtresse, pas ça !


Je ne sais pas pourquoi je dis ça, puisque ce truc là aussi fait partie de mes fantasmes avoués, mais savoir le pas à franchir si près... Ce doit être mon inconscient qui n'est pas d'accord !


- Comment, non ? Intervient Sylvie en me giflant. Claudine, on va le rattacher et lui redonner une bonne fouettée !

- Non, ce n'est pas possible, je n'en peux plus !

- Alors suce-les !

- Attendez, attendez, il n'y a pas le feu…

- Bon, alors répète après moi : "Je ne suis qu'une grosse pouffe qui aime sucer les bites"

- Hein ?


Nouvelle gifle ! J'allais dire " Je ne joue plus ! " mais c'est alors que ma Claudine s'est approchée, elle m'a regardé droit dans les yeux :


- Ne bouge pas, André ! Dit-elle en m'administrant à son tour une gifle (une double d'ailleurs) Et dis merci !

- Merci maîtresse !

- Et maintenant tu vas sucer leur bite, et tu sais pourquoi tu vas sucer leur bite ?


Je la regarde, interrogatif. Je ne savais plus où j'étais, j'étais ballotté par les événements, plus aucune décision ne m'appartenait, j'étais sans doute victime d'un complot commenté par deux nymphomanes détraquées. J'arrive à balbutier :


- Je ne sais pas, maîtresse !

- Pour me faire plaisir ! Tu ne vas pas refuser de me faire plaisir ?


Elle me regarde dans les yeux, me souris, je retrouve la gentillesse de ma compagne, ça va mieux, je souffle un bon coup !


- Oui maîtresse !


Alors j'ai d'abord sucé la grosse bite noire de la première brésilienne, ça m'a fait tout bizarre d'avoir ce gros bout de chair dans la bouche. J'ai trouvé ça très doux à sucer, quant à l'odeur c'est un peu fort mais pas plus qu'une chatte après tout, il bandait bien, mais n'avait pas l'intention de jouir, j'ai sucé un peu le deuxième aussi, une bite plus courte, et contrairement à l'autre il (faut dire : il ou elle ?) elle ne restait pas passive, et agitait son bassin afin de me faire pénétrer sa queue loin dans ma glotte, j'ai moins aimé ce genre de procédé. Les deux femmes ont aussi goûté aux quéquettes des travestis, mais sans s'y attarder outre mesure. J'ai supposé qu'elles les avaient payées, mais je ne leur ai pas demandé.


- Remets le k-way, on va rentrer ! m'annonce Claudine


Elle n'a pas précisé si le jeu était terminé, alors je joue toujours, je n'ai plus peur à présent. On a décidé de terminer la soirée chez nous.


- Ça va, André ? demande Claudine

- Oui, maîtresse !

- Il n'y a plus de maîtresse, le jeu est fini !

- Hummm, on peut peut-être le prolonger un peu ? Intervient Sylvie !

- Tu ne crois pas que c'est assez pour ce soir ?

- Pourquoi ? Tu n'es pas excitée ?

- Si, mais je ne vois pas le rapport !

- Et bien, si ! On va demander à André de nous sucer, il fait ça si bien !


Surtout, ne rien dire, dès fois qu'elles changent d'idées. D'ailleurs elles profitent du fait que nous soyons stoppés à un feu rouge pour se rouler carrément un patin…


Les salopes….


Estonius 7/2002


Estonius@hotmail.com 

 

 

 

 

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Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Mardi 9 juillet 2002 2 09 /07 /Juil /2002 06:55

La serre aux papillons par Nicolas Solovionni

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Je m’appelle Cédric, je suis directeur d’agence bancaire. Ça classe, ça sur une carte de visite, mais je n’en tire aucune gloriole. C’est mon troisième poste, j’ai déjà occupé ces fonctions en banlieue parisienne et à Marseille… Faut tout le temps qu’ils nous fassent bouger… mais cette fois je n’ai vraiment pas le choix. A Marseille l’un de mes principaux assistants se livrait à de joyeuses escroqueries sur le dos de l’entreprise. On m’a reproché de ne pas l’avoir correctement contrôlé…

Me voici donc à Morsac, 30 000 habitants, un trou ! Bon, je m’adapterais… Avec le TGV, Paris n’est pas si loin et puis sans aller jusque-là, chaque ville à ses coquines, non ?

Parce que figurez-vous que je suis assez porté sur le sexe, et d’ailleurs la chose vient de casser mon ménage. Je suis donc fraîchement divorcé, quant à la petite garce qui en est à l’origine, si au lit elle était vraiment experte, la vie commune se révéla très vite impossible !

J’ai donc emménagé tout seul comme un grand dans un bel appartement de fonction dans un immeuble ancien. C’était, je me souviens, le premier lundi de septembre que je devais débuter dans ce nouveau poste. Mon prédécesseur a tenu à m’inviter au restaurant afin de me passer les consignes… consignes locales pensais-je, car je maîtrisais maintenant très bien le job

– Vous verrez, ce n’est pas du tout comme Paris ou Marseille…
– Je m’en doute bien !
– Parce qu’ici tout de suite, vous allez faire partie du gratin…
– Ça m’importe assez peu, à vrai dire !
– Vous allez pourtant être obligé de l’assumer

Je commençais à m’inquiéter, et mon interlocuteur m’expliqua que j’allais être systématiquement invité par les notables du lieu et que je devrais évidemment rendre ces politesses…. L’enfer !

– Mais, enfin, je ne suis pas obligé ! Je peux toujours prendre mes distances !
– Vous ferez ce que vous voudrez, mais si vous décidez de rester dans votre coin, c’est la réputation de l’entreprise qui en pâtira, je ne vous le conseille vraiment pas… Euh… Vous ne finissez pas votre plat ?
– Non, je n’ai plus très faim !

Comme à chaque fois que quelque chose se présente assez mal, je m’efforçai de minimiser la situation…  » On verra bien !  » Me disais-je !

Ça pour voir, on a vu ! J’ai d’abord essayé de biaiser, mais sans grand succès avant d’être entraîné dans une spirale infernale. Le midi, je pouvais toujours refuser, prétextant un emploi du temps trop chargé… cela ils le comprenaient fort bien, mais c’était pour mieux m’inviter le soir.

J’en ai soupé jusqu’à la nausée de ces dîners en ville. Oh ! Je mentirais en disant qu’ils étaient tous systématiquement inintéressants, j’y reviendrais. Mais toute cette beauferie rituelle me fut vite insupportable, des conversations qui m’emmerdent, des allusions racistes ou des clichés stupides auxquels je ne pouvais répondre que par un masque, les cancans, les questions stupides « vous êtes de quel signe ? » « vous faites quoi comme sport ?  » Je finis d’ailleurs par m’inventer une maladie infantile pour éluder le sujet… « Vous n’êtes pas croyant, alors ? » « Peut-être franc-maçon, alors… remarquez, je vous demande ça, ça ne me regarde pas ? » Alors pourquoi ils me la posent ? Et puis toujours les mêmes sujets :
– les voyages (je ne voyage pas)
– les bagnoles (je n’en vois que le côté utilitaire)
– la famille (je n’en ai plus !)
– le sport (je m’en fous)
– la télé (je ne regarde pas)
– La politique (au secours !)
– l’économie (au secours !)
– le boulot (au secours !)

Seuls surnageaient là-dedans des sujets comme l’informatique, la cuisine… mais bon, on en a vite fait le tour… et c’est quand même là qu’on se rend compte que ces gens-là n’ont aucune culture générale. Je ne demande pas que l’on discute tous les soirs de l’histoire des civilisations ou de la sociologie animale… mais jamais un mot sur la nature, la littérature, le théâtre, la musique, les arts… quant au cinéma ils n’en retenaient que les acteurs…

Au bout de six mois j’avais donc fais le tour, et parfois plusieurs fois de suite de toute la petite élite locale, j’avais consulté en m’efforçant d’éviter de bailler, tous les albums photos, j’avais contemplé les collections de ceci ou de cela et j’avais même eu droit à toutes les anecdotes sur les toutous petits et gros de ces messieurs dames.

Je me suis aussi rendu compte que si je ne prenais pas très vite une décision en ce qui concerne les week-ends, ceux-ci risquaient de devenir aussi lamentables que mes semaines. Pas un pas dans la ville sans croiser monsieur machin ou madame truc, et évidemment plus le temps passait, plus je connaissais de monde, et plus je risquais d’en rencontrer…. Alors me terrer chez moi… Non ! Alors je filais à Paris, parfois j’y dormais à l’hôtel… Mais cela ne me satisfaisait qu’à moitié, et si la vie culturelle me manquait, le sexe me taraudait aussi, concilier les deux n’était pas évident, je donnais priorité à ce dernier, et ne me sentant pas dans des conditions idéales pour une drague classique, je me réfugiais dans les amours tarifiés, avec son lot d’insatisfaction, mais quelques bons souvenirs malgré tout.

Toujours est-il qu’en ce début de printemps, je me morfondais, j’en étais à prendre des antidépresseurs, et dossier médical à l’appui, je lançais message sur message à ma direction en leur demandant de m’attribuer un poste ou je ne serais pas obligé de me livrer à toutes ces pitreries. On m’a d’abord envoyé promener, il a donc fallu que je fasse jouer quelques appuis, et on a fini par me promettre un poste à Lyon, on ne m’a pas dit quand mais ça aide à tenir…

Sylvia et Roger B… faisaient dans cette faune de petits bourgeois médiocres, figure d’exception. Ils tenaient un petit commerce d’articles de pêche qui marchait bien mais qui ne les débordait pas trop, et ils s’occupaient de l’amicale des commerçants du centre-ville. La relation était donc professionnellement incontournable, mais curieusement nous ne nous sommes pas fréquentés tout de suite. Nous nous étions rencontrés un soir chez des relations communes et nous nous étions trouvé suffisamment d’affinités pour décider de se revoir ! Passionné de jazz et d’opéra, leur conversation était parfois passionnante. Mais surtout il avait Sylvia, il faut que je vous la présente

Sylvie est une grande femme, 1 m 75 probablement, le port altier, souriante, les puristes pourraient sans doute dire qu’elle est légèrement forte, disons simplement qu’elle avait une belle charpente. Peu de fesses, mais une poitrine avantageuse. Elle est blonde décolorée, les cheveux coupés en boucles au carré, elle a des yeux bleus de rêve, un teint de pêche et un sourire désarmant.

J’avais l’impression que plus je la voyais, plus la tenue de Sylvia devenait suggestive. J’aimais ces robes qui laissaient ses belles épaules dénudées. Quant aux décolletés, j’avais dû mal à dompter mon regard pour l’empêcher de trop y plonger. Mais je dois être un piètre dompteur, elle s’en aperçut.
Ce soir-là au milieu du dîner, j’avais eu besoin de me rendre aux toilettes. Sylvia m’y attendait à la sortie :

– Je vois que mes seins vous intéressent…
– Je…
– Chut ! Je vous donnerais, peut-être un jour l’occasion de les voir beaucoup mieux, mais soyez patient et ne prenez aucune initiative.

Elle me laissa là, les joues piquées au fard, s’enferma à son tour dans les toilettes, non sans m’avoir lancé un clin d’œil complice.

Inutile de vous dire que je faisais tout mon possible pour multiplier les occasions de la revoir. Et j’attendais patiemment un signe, puisqu’il me fallait patienter… Mais rien ne se passait. Je devenais fou. Tous les jours je consultais mon répondeur, guettant un message de Sylvia…

Peut-être après tout s’agissait-il d’une tactique pour avoir la paix ? Non ! Je ne la  » voyais  » pas comme cela. Je me masturbais en pensant à elle, allant jusqu’à pendant mes escapades parisiennes du week-end fantasmer sur son corps pendant que je besognais quelques filoutes.

Sa simple vue me chavirait, et de plus en plus, tandis que parallèlement, son mari Roger dévoilait une de ses facettes qui ne me disait rien que vaille. Il se passionnait pour des pseudos théories assez proches de l’occultisme. Et s’il avait l’intelligence de rejeter (d’ailleurs avec une certaine force) tout ce qui rassemblait à de la divination ou de la réincarnation, il avouait s’intéresser à la télépathie, à la téléportation et à d’autres balivernes du même genre. Cela contrariait mon esprit rationaliste, mais je m’efforçais d’en minimiser l’importance.

Et puis, ce soir-là…

– Mais si on peut très bien voyager dans l’avenir, le problème c’est qu’on ne peut pas en revenir ! Répliqua Roger à je ne sais quel propos.
– Alors, à quoi bon ? Lui fis-je remarquer.
– Ça nous permettrait de nous réfugier dans un monde meilleur !
– Ouais ? Pas si évident, il faudrait déjà que l’humanité survive ! Et puis vous allez y aller comment ?

Je ne sais pas ce qu’il avait l’intention de me répondre, mais je continuais, tout content de lui montrer que moi aussi je connaissais le sujet, du moins à ma manière

– En fait, je connais la théorie, il faut aller se balader dans l’espace à une vitesse proche de celle de la vitesse de la lumière ! Tout simplement ! Mais vous vous rendez compte de la technologie que cela suppose ?
– Mais non ! Rétorqua-t-il, passionné par son propos. Il ne faut pas se laisser enfermer dans des schémas, je veux dire tout considérer que sous l’angle technologique. Il faut essayer de poser le problème autrement.

Bon, je le sentais parti pour une théorie fumeuse propre à me fatiguer. Par pure politesse, je lui demandais néanmoins d’expliciter son propos

– Il n’y a pas qu’un avenir, il y en a une infinité, et c’est bien pour cela que prétendre le prévoir est absurde. Tous les avenirs possibles existent : Regardez quand vous prenez une décision, par exemple au restaurant, on va vous demander  » dessert ou fromage ?  » vous prenez le dessert, mais le monde dans lequel vous avez choisi le fromage, il existe !
– Permettez-moi d’être sceptique ! Répondis-je avec un sourire de circonstance.

Il faut toujours rester correct dans ces cas-là, sinon c’est l’autre qui vous prend pour un imbécile. Se souvenir de la règle d’or des discussions à thèmes :  » l’interlocuteur ne change jamais d’avis pendant la discussion  » alors à quoi bon perdre son temps, plutôt que de le contrer, il était plus amusant de le pousser aux extrêmes limites de son raisonnement, le faire douter de ses propres paroles.

Si j’avais su !

– Je vais prendre un autre exemple, imaginez que vous mourriez d’envie de coucher avec ma femme, c’est une supposition, bien sûr…

En disant cela il me regarde droit dans les yeux. Je rougis comme un gosse pris en faute. C’est la catastrophe ! J’essaie de me justifier bêtement.

– Vous me faites rougir avec ce que vous dites !

Sylvia vint alors très calmement à mon secours en s’adressant à son époux ?

– Et tu ferais quoi dans ce monde parallèle ?
– Mais rien du tout !
– Tu nous expliques mieux, s’il te plait ?
– Si cela reste au niveau des intentions, cela n’a aucune importance ! Je comprends très bien qu’on veuille coucher avec ma femme. C’est d’ailleurs plutôt flatteur, et pour elle, et pour moi ! Mais il faut que ça en reste là. Sinon, je suis jaloux comme un… comme un… comme un… on dit jaloux comme un quoi d’abord ?
– Comme une vipère ? Proposa Sylvia.
– Ce n’est sûrement pas ça, mais bon, je sais que dans ces circonstances, je risque d’avoir du mal à me contrôler, d’être extrêmement violent. Je ne dis pas d’ailleurs que j’aurais raison d’avoir cette attitude, mais je ne pourrais pas m’en empêcher ! Bon revenons au sujet….

Intelligent, le Roger, il me lançait un sévère avertissement sans avoir la lourdeur d’insister. Je m’efforçais de ne pas le contrarier en écoutant ses théories douteuses, et de faire honneur au reste du repas, malgré la disparition de mon appétit.

En rentrant, j’étais dubitatif. La prochaine fois, ce serait logiquement à moi de les inviter et ce serait au restaurant. Le ferais-je ? Il était certain qu’une crise latente couvait.

Je dormis très mal cette nuit, là gambergeant sans cesse. Et le lendemain je me disais qu’il me faudrait- sans doute abandonner l’espoir d’avoir un rendez-vous en tête-à-tête avec Sylvia. Je prendrais donc mes distances, la mort dans l’âme. Quand même il faudra qu’on m’explique ! Des amants et des maîtresses, il y en a dans cette ville comme partout ailleurs ! Ils font comment ? J’avais quand même la conviction que quand on cherche une solution, on finit par la trouver ! Et aussi conséquemment, celle que Sylvia ne cherchait pas trop, se contentant sans doute d’attendre qu’une occasion tombe du ciel.

LAURE

Du coup, je me surpris à regarder autrement Laure, l’une de mes secrétaires, une petite femme d’origine asiatique toute en grâce, elle me lança un sourire auquel je répondis par un regard sans doute plus appuyé que d’habitude. Ce fut tout, mais quand elle revint me faire signer un autre dossier, j’eus l’impression qu’un bouton supplémentaire de son chemisier avait été déboutonné ! Dans quelle société absurde vivons-nous donc pour que nos comportements s’encombrent à ce point de codes absurdes ? J’engrangeais donc le signal, mais n’y donnais pas suite, cela arrivait trop tôt ! Et en plus j’avais horreur de ce genre de situation ! Oh ! Je sais, je suis comme tout le monde, j’en profite aussi, mais je sais très bien qu’il n’y a aucune sincérité là-dedans… Plus tard peut-être…

Je travaillais jusqu’assez tard ce jour-là, n’ayant rien de prévu pour la soirée et n’étant pas vraiment pressé de rentrer. Je me demandais si Laure avait eu l’audace de s’attarder, elle aussi ! Dans ce cas nous aurions été seuls dans les bureaux, et… comme quoi des solutions ça existent…

On frappe, je dis d’entrer, c’est Laure, bien sûr !

– Monsieur, puisque vous êtes encore là, vous pouvez peut-être me signer cette lettre ?
– Vous faites des heures supplémentaires, Laure ?
– Je me sentais en forme, alors je me suis dit autant travailler, je viendrais plus tard demain matin, ça compensera !
– Il est très joli votre chemisier !
– Le chemisier ou ce qu’il y a à l’intérieur ? Répondit-elle en minaudant

Je suis le roi des cons, je n’aurais jamais dû faire cette allusion, lui permettant de s’engouffrer dans la brèche. Si je  » reviens en arrière « , ça risque d’être cruel ! Mais je m’en fous.

– Vous jouer à quoi, Laure ?

Et oui quand on abandonne les codes… Laure est déstabilisée, elle pensait sans doute l’affaire dans la poche ! Déstabilisée et désillusionnée.

– Mais je ne joue à rien, Monsieur ! Parvint-elle à répondre, visiblement vexée.
– Si ! Vous jouez à séduire votre patron ! Vous avez peut-être besoin d’une augmentation ?
– Oh, monsieur !

Je me tais, exprès, il va bien falloir qu’elle trouve quelque chose pour s’en sortir.

– Ecoutez, monsieur, j’ai eu une parole déplacée, je ne voudrais pas qu’elle soit mal interprétée, je vous prie de bien vouloir m’excuser.

Mais à quoi, je joue ? Soit j’arrête là ! Soit, on s’envoie en l’air, ce sera physique, bestial, mais pas plus qu’avec les prostituées parisiennes après tout.

– Dites-moi, Laure, reste-il d’autres personnes dans les bureaux ?
– Non, Monsieur ! Je vais vous laisser, monsieur, je reprendrais ma lettre demain !
– Vous savez ce qui m’amuserait, Laure ?
– Non !
– Il est vraiment dommage que je n’ai pas le droit de vous punir pour votre attitude, j’aurais pris beaucoup de plaisir à vous flanquer une fessée !

Elle doit être en train de se demander si je ne suis pas un peu maboule ! D’autant que la réplique n’est pas très bonne. Que voulez-vous qu’elle rétorque ! Je change de tactique, et fais dans l’hyper classique :

– Vous faites quoi ce soir ?
– Je n’ai rien de prévu !

Son teint s’éclaircit, elle reprend espoir, si j’étais vache… mais je ne suis pas quelqu’un de vache.

– Je vous paie le restau, Laure ? Après tout c’est à moi de me faire pardonner de vous avoir brusqué !
– Pourquoi pas ? Mais il faut que je rentre me changer !
– Mais non, mais non… Laure vous n’êtes pas idiote, quand un homme propose le restaurant à une belle demoiselle, c’est qu’il a des arrières pensés, vous prenez peut-être un risque ?
– Pas forcément, tous les hommes ne sont pas tous pareils.
– Je ne suis pas différent des autres.
– Alors je prends le risque ! Mais vous en prenez aussi !
– On en prend toujours !
– N’est-ce pas ! Après le restaurant, je peux très bien, prétexter une migraine pas possible et rentrer chez moi !
– Pourquoi ? Vous ne supportez pas l’alcool ?
– Hi Hi Hi !
– Mais vous avez raison, on ira au restaurant après !
– Je ne vous ai pas donné mon accord ! Répondit-elle, d’une moue coquine.
– Alors je vous le demande ?
– Je vais peut-être me laisser faire !
– Y compris pour la punition !
– Si c’est juste une petite fessée, ça devrait aller, vous n’avez pas des instincts sadiques au moins ?
– Je vais d’ailleurs vous la donner tout de suite, allez hop viens sur mes genoux !

Je fais pivoter mon fauteuil, tandis qu’elle s’approche, je l’attrape, la fous sur mes genoux, et la retrousse, sans aucune manière je dégage le haut du collant, puis baisse la culotte. Elle a très joli cul, bien joufflu. Je lui balance une première claque.

– Aïe !
– Tais-toi, ça fait même pas mal !
– Aïe !
– Hummm, les jolies petites fesses ! Elles vont devenir toutes rouges…
– Aïe !
– Tu ne t’attendais pas à ça en rentrant dans mon bureau, hein petite garce ! Dis-je en plaisantant.
– Aïe !
– On dit pas « aïe », on dit « merci monsieur le directeur » !

Son petit derrière est tout rouge, j’arrête les coups, je lui caresse les fesses, je bande comme un arc ! Soit on continue ici, soit on va chez moi ! Et puis je me dis que de toute façon ce n’est pas contradictoire.

– Ça t’a plu ?
– Ça pique !
– Tu l’avais mérité !

Elle se relève, fait un pas en arrière, réajuste plus ou moins ses fringues et me regarde droit dans les yeux, elle est souriante mais déterminée :

– Je vais te dire un truc ! Tu me tutoies, alors je fais pareil, il n’y a plus de directeur et d’employé, il y a deux personnes qui veulent s’amuser… demain nos rapports redeviendront comme avant. D’accord ?

Le comble ! C’est elle qui me fixe ses conditions, mais comme elle le dit, à cette heure il n’y a plus de directeur. Quant à la fable des rapports qui redeviennent comme avant… A moins d’être idiote, elle sait très bien que ce qu’on est en train de faire, même sans suite ne pourra que la favoriser.

– D’accord ! Conciliais-je.
– Et puis, je vais te dire autre chose ! La fessée que tu viens me foutre ! J’ai une envie folle de te la rendre !
– Pourquoi pas ?

Si elle savait ce que son attitude me faisait plaisir et m’excitait ! J’adore les femmes qui prennent des initiatives, et dans ce genre de rapport, c’est vrai que ces dames sont trop souvent soumises. Luttant contre l’envie de me faire faire une fellation sur place, je lui expliquais que venant travailler à pied, il faudrait qu’on se donne rendez-vous chez moi d’ici un quart d’heure sans y aller ensemble (discrétion oblige). Elle sonna deux minutes après que je fus rentré, j’avais juste eu le temps d’enlever mes chaussures, ma veste et ma cravate.

– Tu veux à boire ?
– Plus tard, assis toi sur le canapé, je vais m’occuper de toi ! Répond-elle

Gonflée la fille ! Mais, je le fais, de toute façon j’ai envie de me laisser faire. Laure me dégrafe la ceinture de mon pantalon, puis ouvre en grand ma braguette, ses petites mains aux ongles nacrés s’amusent à tripoter ma verge par-dessus l’étoffe de mon slip !

– Tu mets des slips ! Tu n’aimes pas les caleçons ?
– Non, mais pourquoi tu demandes ça ?
– Pour mes statistiques !

Elle rigole, moi aussi, si en plus elle a de l’humour, on va passer un bon moment !

– Tu ne te déshabilles pas, Laure ?
– Attends, attends, laisse-moi faire, je me débrouille pas mal d’habitude !

Elle tire sur l’élastique du slip, le baisse, et libère mon pénis tout tendu !

– Hummm, la bête est en pleine forme, on dirait !

Elle me la prend dans les mains, esquisse quelques mouvements de masturbation d’abord avec le poing entier, puis elle forme un anneau entre son pouce et son index autour de la base du gland et me branle de cette façon. Je ne vous dis pas l’effet ! De l’autre main, elle me soupèse les testicules.

– On va enlever le chemisier ! Dit-elle avec un joli sourire coquin

La voici en soutien-gorge, un petit truc mignon, mais assez classique, par contre les seins sans être gros sont plus volumineux que ce que je pensais ! Rien que des bonnes nouvelles ce soir !

– Enlève-moi ce soutif !
– Je ne veux plus t’entendre, si tu me redonnes un ordre, je te laisse !
– Tu bluffes !
– Tu ne me connais pas, j’adore jouer, et quand je joue je le fais à fond !

Elle approche sa bouche de mon gland ! Qu’il est divin ce moment où les lèvres d’une femme ont décidé de sucer ! J’en ai des picotements partout. Un coup de langue, juste un petit coup de langue ! A l’emplacement du méat ! Bizarrement, elle s’interrompt :

– Tu aurais peut-être voulu qu’on prenne une douche ?

Je réalise alors qu’elle n’aime peut-être pas mon odeur. Elle est con, elle va me faire débander avec ses conneries !

– Tu voudrais que j’en prenne une ?
– Non, moi ça ne me gêne pas du tout, mais c’est pour toi, je suppose que tu voudras goûter à ma chatte !
– Continue ! La douche, on la prendra à la fin !

Elle repositionne sa bouche sur le haut de mon gland, en laissant la langue sortie au maximum, puis elle a ce geste absolument fabuleux, en restant dans la même position, elle avance doucement ses lèvres, ce qui a pour objet de faire entrer progressivement et sa langue et ce sur quoi elle s’est posée. Ma verge est maintenant rentrée de cinq ou six centimètres dans sa bouche, elle referme alors ses lèvres et commence des va-et-vient sur la hampe tandis que la langue batifole à présent sur le gland. A ce rythme je ne vais pas tenir longtemps. J’en profite pour enlever ma chemise afin de me sentir plus à l’aise. Laure doit être un peu sorcière. Elle se recule un bref instant, le temps de retirer son soutien-gorge, j’aime ses seins aux pointes brunes et aux tétons dressés dont la lumière souligne bien la rotondité. Elle me laisse admirer l’espace d’un instant, puis replonge vers ma bite, reprenant son traitement là où elle l’avait laissé, mais cette fois il y a un plus ! Ses mains se tendent vers mes propres bouts de seins et elle entreprend de me les serrer avec une certaine intensité. Je n’en peux plus. Je la préviens que je viens. Elle ne veut pas m’entendre ! Je jouis dans sa bouche en une longue giclée, tandis qu’imperturbable, elle continue jusqu’à ce que mon plaisir ait pris fin

bang kok3– J’avale mais c’est pas trop mon truc ! Me dit-elle en me plantant là et en allant se rincer la bouche dans la cuisine !

Drôle de fille !

– Ça va ! Tu as bien joui ?
– Super !
– On va pouvoir se reposer un petit peu, et après tu t’occuperas de moi, et puis je continuerais à m’occuper de toi, en attendant tu peux peut-être me payer un coup à boire, ça se fait, non ?

On a l’air malin tous les deux, j’ai fini par enlever complètement mon pantalon et mon slip, je ne suis qu’en chaussettes. Laure est torse nu… On sirote notre whisky. On s’aperçoit qu’on ne sait pas trop quoi se dire, elle fait dans la banalité, me félicite pour la décoration de l’appartement, puis ça devait la démanger :

– Tu as du en recevoir des femmes, ici !
– A vrai dire t’es la première !
– Jamais d’aventures ?
– Si j’ai une maîtresse à Paris ! Inventais-je et la semaine je suis débordé !

Je brûlais de lui retourner la question, mais ce n’était pas évident :

– Et toi tu vis toute seule, tu es célibataire ?
– J’habite avec une copine !
– Une copine !
– Ben oui ! Je suis un peu bi !
– Elle ne va pas s’inquiéter la copine ?
– Ben non ! Je l’ai prévenu !
– Tu l’as prévenu que tu allais faire l’amour avec un homme !
– Sois pas si curieux ! C’est ma vie privée ! Et puis je voudrais te dire… heu… Je ne voudrais pas que tu te méprennes. Si je suis ici, c’est tout simplement un défi que je me suis lancé à moi-même, je ne te demande rien en échange, mais ceci dit…. Reprit-elle en laissant volontairement la fin de sa phrase en suspens.
– Et ceci dit ?
– Ben ceci dit, je ne refuse pas les cadeaux !
– T’es vraiment une petite salope ! Répondis-je sur le ton de la plaisanterie !
– Même pas vrai ! Si j’en profitais pour te demander une promotion, c’est dégueulasse parce que je vais prendre la place de quelqu’un qui le mérite sans doute mieux que moi, tu vois que je ne suis pas salope ! Par contre te demander un cadeau, ça ne fait de mal à personne… et d’ailleurs tu n’es même pas obligé. Tu sais que tu as un beau cul pour un mec ?
– V’la aut’chose !
– T’es prêts à repartir ou on attend encore cinq minutes ?
– On peut attendre un tout petit peu !
– D’accord, j’ai un petit creux, je peux aller voir dans ton frigo !
– Si tu veux ! Mais je t’aurais bien emmené au restaurant, tout à l’heure !
– Juste un en-cas !

Et tandis qu’elle se dirigeait vers la cuisine, le hasard voulut que téléphone sonne. J’aurais très bien pu laisser sonner ! Je regardais, le numéro ne me disait rien, je décidais de ne pas décrocher, et j’entendis l’enregistrement du message se déclencher.

Et puis soudain, une sorte d’appréhension ! Je voulais absolument savoir quel était ce message, mais la présence de Laure m’embêtait. Justement Laure, elle revenait avec deux yaourts

– Y’a des yaourts, et du 0% en plus ! Tu es au régime ?
– Non mais à force de bouffer à l’extérieur, j’ai tendance à grossir, alors à la maison je mange léger !
– Ah ! J’ai oublié la petite cuillère, c’est où ?

Je lui expliquais. Comment faire pour ce message ! Et puis tant pis, je suis chez moi, je fais ce que je veux. Je pris le combiné.

 » Vous avez un nouveau message….  »

– Je sais !

« Bonjour Cédric, c’est Sylvia ! Je t’appelle d’une cabine, je voulais te dire de ne pas prendre trop au tragique le message qu’a essayé de te faire passer mon mari. De toute façon cela ne fait que renforcer mon envie d’être quelques heures seule avec toi ! Mais ce jour-là j’aurais pris toutes les précautions et personne ne pourra le savoir. D’ores et déjà si tu pouvais annuler tous tes rendez-vous mardi prochain après-midi. Bisous ! »

Mon dieu, je devais sourire aux anges après ce message ! Enfin ! Je vais pouvoir enfin prendre Sylvia dans mes bras, la caresser, la sentir, l’embrasser, la…

– Une bonne nouvelle on dirait !
– Oh ! Oui !
– T’en manges un avec moi ? Demande-t-elle en m’indiquant les yoghourts !
– Je préférerais plutôt trinquer au champagne !
– Après le whisky ? On va être dans un drôle d’état ?
– Juste un peu !

Tout de même, c’est assez surréaliste, tout ça ! Je suis fou de joie à l’idée de faire l’amour avec Sylvia et pour arroser cette joyeuse perspective, je ne trouve rien de mieux à faire que de trinquer au champagne avec une de mes employées, jouant les putes occasionnelles, qui vient de me faire une pipe et qui va peut-être recommencer dans quelques instants.

– On trinque à quoi ? Demande-t-elle
– Je sais pas, moi, à l’amour, à nous, aux femmes, Tchin !
– Tchin !

Je pose mon verre, je m’approche d’elle, je lui caresse les seins, elle se laisse faire quelques instants, me souriant, j’approche mon visage du sien, elle se dérobe alors !

– Je croyais avoir dit que c’était moi qui commandais !
– Alors commande !
– Bon si j’enlevais ma jupe, j’ai l’air un peu conne comme ça, non !
– Moi je trouve que ça te va très bien !
– Tu ne veux pas voir ma petite chatte ?
– Si, si, bien sûr !

Elle enlève tout, elle est belle, elle est très poilue, ça déborde même un peu sur les cuisses, et un curieux filet grimpe jusqu’au nombril…

– Je devrais me faire le maillot, j’attends toujours le dernier moment ! Commente-t-elle.

Elle vient s’asseoir sur le canapé !

– Viens t’allonger sur mes cuisses, je vais te rendre la fessée que tu m’as donné tout à l’heure !

Elle y tient ! Mais bon, ça ne me dérange pas vraiment ! Je m’installe de telle façon qu’elle ait mon postérieur à portée de main

– Shlack !

C’est qu’elle tape fort, la secrétaire ! Je lui dis, elle me traite d’omelette et continue sans tenir compte de mes protestations, je commence à m’habituer à la douleur, mais il y les effets secondaires, ça chauffe, ça pique, et puis je voudrais bien ne pas être obligé de m’asseoir sur un coussin demain dans mon bureau ! Enfin ça s’arrête… et le croiriez-vous cette petite séance de « spanking » m’a fait bander. Laure me caresse le cul !

– Il est vraiment beau, pas trop poilu, bien rebondi… on en mangerait !

J’ose espérer qu’elle ne va pas se mettre à me mordre, avec un tel phénomène on peut s’attendre à tout ! Non c’est pire que ça, Mademoiselle s’est mouillé le doigt et est en train de faire des cercles très stratégiques autour de mon anus ! Elle va me foutre un doigt dans le cul, je le sens, je le sens ! Et puis je finis par le sentir pour de vrai parce que maintenant il est rentré, elle est en train de me branler le cul, curieuse impression mais pas désagréable du tout !

– Ça te plait !
– C’est pas mal !
– Si on se revoit, j’apporterais un petit vibro, je t’enculerais avec !

Elle a de ces expressions, la demoiselle ! Et puis, ce  » si on se revoit  » ça veut dire quoi au juste ? N’empêche que ça commence à être vachement bon son truc ! Et mon sexe ne débande pas !

– Tu ne connaissais pas ?
– Non ! Mentis-je.
– J’ai plein d’autres trucs à t’apprendre, c’est comme tu voudras ! Pour la suite on serait peut-être mieux dans le plumard ! Euh… t’as des capotes !
– Oui !
– Je vois que Monsieur est prévoyant ! On va emporter le champagne, on aura peut-être soif.

Elle s’allonge sur le lit, écarte ses cuisses !

– Allez viens me montrer comment tu lèches !

J’adore ça, c’est même l’un de mes trucs préférés, faire minette à une femme ! J’aime en lécher les coins, en explorer les recoins, jouer avec ma langue, mes lèvres, mes doigts. Et Puisque c’est elle qui demande, tout laisse à penser que c’est une bonne clitoridienne, je devrais me régaler. J’approche mon visage, tend ma langue et fait quelques approches en de larges lapés. Ça sent un peu fort, mais ça ne me dérange pas plus que ça ! Elle est déjà mouillée, j’adore ce goût si particulier ! Je m’en délecte, je suçote un peu ses petites lèvres, puis dirige ma langue vers son clitounet d’amour.

– Tu aimes l’odeur de ma chatte ?

Elle ne peut pas se taire un peu, non ?

– Bien sûr !
– Si tu aimes les odeurs tu dois être servi… De la mouille, de la sueur, de l’urine !

Ça la fait rire ! Je ne réponds pas, je m’applique, mais elle se dégage ! Pas de bol !

– Attend allonge-toi, on va faire ça en soixante-neuf !

Ah ! Bon ! Ce n’était que cela l’interruption ! Mais c’est une idée qui est excellente et tandis que je sens la bite retrouver le contact de sa bouche experte, je reprends mon labeur, la position est agréable, mais du point de vue visibilité ce n’est pas terrible. Je lui aspire son petit clito, déjà j’entends des halètements. J’accélère, toute mon énergie en ce moment n’est destinée qu’à lui donner du plaisir, et il ne tarde pas à venir. Elle pousse un hurlement, elle dégringole carrément sur moi, heureusement elle m’a lâché la queue !

– Super ! Tu veux me pénétrer ou tu préfères que je te suce à fond comme tout à l’heure ?
– Je croyais que c’était toi qui commandais !

Elle ne répond pas, mais se remet en position pour me lécher le sexe, je crois judicieux de faire de même et à nouveau j’approche ma langue de son minou.

– Non attend une minute ou deux, c’est trop sensible pour l’instant ! Ou alors on peut faire un truc ! Tu aimes le pipi ?
– Hein ?
– Laisse tomber, je vais te faire rebander comme il faut et tu vas me prendre ! D’accord ?

Un vieux fantasme m’a effleuré, elle aurait sans doute dû insister, elle ne l’a pas fait, mais puisqu’on doit se revoir…. Elle stoppe sa fellation, et elle se positionne en levrette ! Oh ! Mon dieu que c’est beau le cul d’une femme dans cette position ! Du coup j’ai envie de lui lécher le petit trou ! J’ose lui demander !

– Pour l’instant prends-moi ! Répond-elle

Je m’introduis, je fais quelques mouvements, elle est assez étroite, à ce point que j’ai l’impression que mon sexe est comme serré. Je commence doucement, puis une certaine sauvagerie m’envahit, j’accélère, je pilonne ! D’une main je lui fous des claques sur les fesses, je finis par jouir complètement épuisé, je m’écroule sur elle !

On a rebu une coupe de champagne, on n’avait plus envie d’aller au restaurant, on s’est fait une bouffe maison avec une paella en conserve, on a été se coucher, on s’est caressé longtemps sans faire l’amour, j’ai enfin pu l’embrasser sur la bouche, longuement, passionnément et on s’est endormis dans les bras l’un de l’autre.

Au petit matin, elle avait disparu, me laissant un mot ou elle m’assurait de sa discrétion et me demandait d’en faire de même. Elle me précisait aussi que si l’envie me prenait de recommencer, il suffirait de lui demander mais que cela n’avait rien d’obligatoire et ça se terminait par  » Finalement t’es sympa, ça m’a bien plu, tout ça, mais pense à mon « cadeau ». Bisous !  »

Drôle de fille !

J’avais hâte d’arriver à mardi et j’avais hâte que cette promesse de rendez-vous avec Sylvia se concrétise. Le lundi soir, il n’y avait toujours pas de message, je ne savais que faire ! Ne pas prendre d’initiative avait-elle dit ! Mais s’il lui était arrivé quelque chose ? Anxieux je courus acheter une carte téléphonique et appelais chez elle. J’avais une chance sur deux, ce pouvait très bien être Roger qui décroche !

– Allo !

Je raccrochais heureux, j’avais entendu la voix de ma bien aimée ! J’aurais pu lui souffler un mot mais je préférais obéir à son instruction de ne prendre aucune initiative. Il ne me restait plus qu’à attendre.

Je n’eus son message qu’à 23 heures.

– Cédric ! C’est moi ! Je suis désolée d’appeler si tard. Tu vas être déçu, c’est râpé pour demain, Roger devait aller au Mans et puis finalement il n’y va pas. Mais nous aurons une autre occasion dans très peu de temps, sois patient ! Je te laisse ! Je t’embrasse !

Elle n’attendit même pas ma réponse ! J’étais tout d’un coup d’une humeur massacrante, et moi qui ne bois presque jamais, entrepris de me servir un martini gin rempli à ras bord dans un grand verre à soda, cela eut le mérite de m’envoyer assez vite au lit.

La surprise de Sylvia

Le temps passait, j’envisageais à présent d’inviter au restaurant Sylvia et Roger. On verrait bien comment ce dernier se comporterait. J’appelais du bureau. C’est Sylvia qui répondait !

– Ah ! Comment allez-vous ?

Elle me vouvoyait, cela voulait dire qu’elle n’était donc pas seule. Je lui explique la raison de mon appel

– Quelle coïncidence, je voulais justement vous appeler, nous avons une surprise à vous proposer, mais il faut venir vendredi à 20 heures chez nous. On fera un petit souper chez nous après la surprise !
– Non c’est moi qui vous amènerais au restaurant
– La prochaine fois, pour ce coup-ci tout est prévu, alors d’accord ?

Bien sûr que c’était d’accord, sauf que je n’étais pas au bout de mes surprises ! J’arrive. Sylvia m’ouvre la porte, elle s’est vêtue d’une robe bleue au décolleté provocant ! Je me demande si je ne suis pas tombé dans un traquenard ! A quel jeu joue Roger qui laisse sa femme s’habiller comme ça mais qui lance des missiles d’avertissement à ceux qui la regardent de trop ? Il me salue ! Il est en costume chic avec nœud papillon, le Roger ! C’est quoi ce truc ?

– Vous être prêt Cédric, on vous emmène ?
– Mais on va où ? Je ne suis peut-être pas habillé comme il faut !
– Mais, non chacun s’habille comme il veut, n’est-ce pas Roger !
– Tout à fait, Sylvia !
– Normalement, on devait se retrouver avec ma nièce, mais elle n’a pas l’air de venir et son portable ne répond pas ! Mais d’ailleurs vous la connaissez, elle travaille dans votre agence, c’est…

La sonnette interrompit la phrase de Roger ! Il alla ouvrir laissant entrer qui ?

Eh bien oui ! Laure !

– Je ne vous présente pas Laure, vous la connaissez (s’ils savaient !) mais vous ignoriez probablement qu’il s’agissait de ma nièce ! Indique Sylvia !

Ça commence à devenir bizarre, tout ça ! On descend, on se consulte pour savoir si on y va à pied ou en voiture, et finalement on prend la voiture… et en route. Je n’ai vraiment aucune idée de l’endroit où l’on m’emmène, je pense néanmoins à une sorte de réception, de vernissage, d’inauguration, rien qui ne m’emballe vraiment, on verra bien ! On s’arrête à l’hôtel de ville. On descend, on emprunte un escalier, une flèche indique « salle des conférences ». On s’y rend, il y a un monde fou ! Roger est accueilli par le maire de la ville, tous les notables sont là ! Je regarde le panneau d’affichage on y annonce une conférence suivie d’une vente dédicace sur « Les nouvelles pistes de la télépathie » par un dénommé Aurélien Vinogradov !

L’horreur ! J’avais reçu un carton pour ce truc là que j’avais évidemment foutu au panier ! Que Roger me joue un tour pendable en m’invitant à cette fumisterie, je veux bien, mais la complicité de Sylvia là-dedans, je ne la saisis pas bien ! Quelque chose doit m’échapper.

Tandis que Roger est accaparé par un tas de gens, je parviens à prendre Sylvia à part !

– M’expliquerez-vous cette plaisanterie Sylvia ?
– Vous allez vite comprendre, et je crois que vous ne serez pas déçu, je vous expliquerais pendant la conférence.

On s’assied tous sur des chaises assez inconfortables, mais il semble bien qu’on en ait rajouté ! 300 personnes pour écouter un tordu ! Ils sont vraiment allumés graves dans ce patelin. Je me retrouve assis entre Sylvia et Laure. Incroyable ! Je ne vois pas où s’est posé Roger ! Et puis je crois deviner la surprise, la lumière va s’éteindre, il va y avoir une belle projection informatique genre « power point » et pendant ce temps-là je pourrais peut-être peloter Sylvia ! Mais la présence de Laure à côté me gêne un peu ! Finalement, ça ne doit pas être ça, parce que je ne vois aucun appareil de rétroprojection. Une espèce d’armoire à glace s’est assis juste devant moi, à ce point que je suis obligé de me pencher si je veux regarder la tribune.

– Mesdames messieurs… Commence Monsieur le maire. C’est maintenant un secret de polichinelle, vous savez tous maintenant qui est Aurélien Vinogradov, je vous demande de l’applaudir.

C’est alors qu’apparaît Roger ! C’est quoi ce cirque ?

– Faudra peut-être attendre la fin pour que je t’explique, soit patient ! Me chuchote Sylvia

Ce n’est donc pas le pelotage, c’est autre chose, et le Roger qui débite son truc ! Il n’a aucun talent d’orateur, il parle d’une voix monocorde, lisant des notes rédigées dans un style très académique, c’est mortel ! Et c’est d’un con…

– En matière de télépathie on a d’abord pensé à des ondes radios. Cette hypothèse a mené à une impasse. Les expérimentations n’ont rien donné de probant ! D’aucuns ont donc cru enterrer la télépathie. Pourtant : quand quelqu’un vous regarde dans votre dos, vous le sentez, quand quelqu’un a peur il peut rendre sa peur contagieuse, il peut aussi rendre contagieuses ses joies, ses peines et même ses hallucinations. Alors la réponse on l’a cherché et on l’a trouvé où ? Chez les insectes ! Oui les insectes et notamment les papillons, les abeilles et les fourmis…

Mon dieu, encore un qui a trop lu Werber et ses insupportables fourmis ! Je renonce à regarder l’orateur, me contentant de l’écouter

– … le cerveau communique par émission de phéromones, il ne nous reste plus qu’à apprendre à emmètre à volonté ces émissions, à apprendre à les capter, et la télépathie aura enfin droit de cité… les phéromones, les phéromones, les papillons, les télépathes, les papillons, les télépathes phéromones, les papillons, les émissions, les réceptions, les phéropathes, les phérrrrr
– Ne vous endormez pas, Cédric !

Ailleurs

Il se réveilla doucement de sa torpeur. Il ne reconnaissait pas les lieux. Puis la vision de ces tubes plantés dans son bras l’épouvanta.

L’hôpital !

Mais que lui était-il arrivé ?

Il fit un effort de mémoire pour tenter de retrouver les circonstances qui auraient pu l’amener ici. En vain !

La porte s’ouvrit. Un choc ! Qui c’est celle-là ? Mais aussi quelle tenue pour un hôpital ? Cette grande blonde à la poitrine généreuse ne portait qu’une nuisette blanche quasi transparente. Et rien en dessous. Rien du tout ! On distinguait nettement son sexe épilé. Mais c’est sur sa poitrine que son regard se fixait : 100 D se surprit-il à penser ! Au moins sa mémoire n’était donc pas complètement foutue

– Ah Cédric ! Que je suis contente ! Que je suis contente !

Et puis la crise nerveuse. Elle se mit à pleurer. Heureusement car il allait lui dire qu’il n’était pas Cédric ! Quel nom ridicule, il était qui ? Incapable de le dire ! La fille se calma.

– Tu te sens comment ?
– Je ne me rappelle plus de grand-chose !
– Tu te rappelles de moi quand même ?
– J’ai peur que non !
– Ca va revenir !
– T’as faim ?

Faim ? A oui ! Manger ! Non, pas vraiment. Sa bouche toute sèche manquait singulièrement de salive !

– Non !

Il regarda à nouveau la fille. Mais pourquoi une telle tenue ? Et où était-il ? La première question était difficile à poser, il posa la deuxième

– Au Vinogradov, bien sûr
– Au Vinogradov ?

Ça ne lui parlait vraiment pas !

– Et puis arrête de me reluquer comme ça ! Ma poitrine, on dirait que tu ne l’as jamais vu ! Tiens ça me donne une idée, ça va peut-être te rafraîchir la mémoire. Essaie de t’asseoir dans ton lit.

Il le fit au prix d’un effort assez fatigant. La femme enleva sa nuisette et vint lui fourrer sa poitrine sous le nez. Ou plus exactement sur les lèvres, Son téton frôlait maintenant sa bouche qu’il ouvrit d’instinct, gobant le délicieux appendice de chair et l’astiquant de sa langue. Elle changea de sein et lui donna l’autre qui subit le même traitement ! Quelque chose de raide l’interpellait

– Bite !
– Pardon ?
– Il y a des choses qui me reviennent !
– Je vois bien !

Quelqu’un entra :

– Ne l’excitez pas trop Sylvia, il doit être encore faible !

Ainsi la blonde s’appelait Sylvia ! Ça ne lui disait décidément rien du tout !

– Je sais ce que je fais !
– Je l’espère. On va lui enlever tous ses tubes et le laisser reposer un petit peu. Demain nous aviserons. Son réveil doit rester secret pour l’instant.

Une piqûre l’endormit aussitôt, pour plusieurs heures. Quand il se réveilla, il faisait nuit

Nuit !

Il avait rêvé des gros nichons de Sylvia ! Mais était-ce un rêve ? Il avait aussi souillé ses draps ! Il ignorait quelle heure il était !

L’heure !

Il se rendormit. On le réveilla le lendemain. Ils étaient plusieurs dans sa chambre. Sylvia était là !

Sylvia !

Sylvia et sa nuisette transparente, Sylvia et ses gros nichons

Nichons !

Se rappelant qu’elle l’avait fait asseoir avant de lui donner ses seins à sucer, il reprit cette position et attendit. Mais il ne se passa rien. Un moment elle se retourna et il put admirer ses fesses, regrettant qu’elles ne soient pas assez rebondies

Fesses

L’érection le reprit !

Bite !

– Sylvia n’y arrivera pas seule ! Dit quelqu’un d’un ton péremptoire

Le type qui venait de parler était vêtu d’une sorte de combinaison plastifiée. La suffisance du personnage transparaissait sur l’expression de son visage. Il décida de le détester pour cela !

– Laissez-moi du temps, Roger !
– Non ! Il faut qu’il retrouve ses esprits rapidement, donnez-lui à manger, et conduisez-le à la serre aux papillons !
– Est-ce moi qui devrais officier ?
– Ça vaudrait mieux ! Précisa Roger ! Mais avant il faut une forte stimulation visuelle, je vais vous envoyer quelqu’un, il faut d’abord que je retrouve dans ma base de données la personne idéale puis il faut qu’on aille la chercher et qu’on la mette dans la confidence. Ne perdons pas de temps, chaque minute compte.

L’heure a avancé. On le place sur un lit à roulettes, on prend des ascenseurs, des couloirs, des escaliers, on finit par déboucher dans une sorte de dôme humide et envahi par une végétation luxuriante. On le conduit face à une sorte de mare d’eau stagnante recouverte de nénuphars, on l’allonge délicatement sur un matelas en mousse, puis on en relève un petit peu le dossier, afin qu’il puisse voir, lui précise-t-on.

Il y a au beau milieu de la marre un minuscule îlot, pas très loin de l’endroit où on l’a laissé, trois mètres peut-être. Sylvia s’y rend en posant ses pieds sur des pierres plates. Elle enlève sa tunique. Elle est ainsi complètement nue ! Elle est belle ! La chaleur de l’endroit la fait transpirer, ces gouttelettes de sueur venant loger entre ses seins sont du plus bel effet. Déjà, il rebande, cite son prénom !

– Sylvia !
– Tu me reconnais maintenant ?
– Tu es Sylvia !
– Mais qu’est que tu as comme souvenirs de moi ?
– Souvenirs ?
– Bon, te creuse pas trop, ça devrait venir tout seul !

Une autre femme la rejoint sur l’îlot, elle est nue aussi, c’est une asiatique. Une jolie poitrine pas très grosse mais bien galbée avec de belles aréoles brunes. Elle se tourne, elle a de très jolies fesses

– Tu la reconnais ? Demande Sylvia.
– Non !
– Elle s’appelle Laure !
– Laure !
– Ça ne te dit rien ?
– Non !

Une voix féminine, suave et modulée venue d’on ne sait où clame simplement :

– Phase 1

Les deux femmes sont face à face. Curieux contraste. Tous les sépare. Sylvia, grande femme d’âge presque mûr, les seins lourds, les cheveux blonds, et les yeux bleus, la peau très blanche, et Laure, petite asiatique aux longs cheveux noirs. Elles se regardent, semblent se tester. Laure ose une main sur le corps de Sylvia, cette dernière se laisse faire, visiblement elle aime les caresses. Les mains s’attardent d’abord sur les seins accompagnant leurs galbes, puis parcourent le corps, en entier, le cou, les épaules, les bras, le ventre, elles épargnent le pubis, puis passent de l’autre côté, explorant le dos, et descendant sur les fesses qu’elle agrippe à pleines mains, une petite incursion sur les cuisses, puis c’est la remontée directement vers la poitrine, les mains passent et repassent de telle façon que les tétons soient à chaque fois en contact avec la paume de la main, puis les mains se retirent un instant, elles n’ont plus besoin d’être entières, deux doigts peuvent maintenant suffire, deux doigts qui serrent les bouts, les tortillent, les excitent. Laure approche son visage du corps de sa partenaire, elle n’a pas à se baisser beaucoup pour qu’il soit en face de ses seins, elle ouvre la bouche, et gourmande sort sa langue qui vient à son tour exciter la pointe offerte. Sylvia lui rend sa caresse comme elle le peut, la position n’est pas très pratique, mais elle arrive à atteindre le bas du dos, effleurant ses fesses de caresses sensuelles. Sylvia se baisse maintenant, cherche le visage de Laure, les deux bouches sont en face l’une de l’autre elles s’entrouvrent, les langues se cherchent se taquinent, puis les bouches se collent, longtemps tandis que le ballet à quatre mains ne s’interrompt pas.

Cédric bande sans discontinuer. Petit à petit il a repris conscience de son corps, mais il ne comprend pas ce qu’il fait là, qui sont ces femmes qui prétendent le connaître et pourquoi se livrent-elles à de pareils ébats devant lui dans la chaleur de cette serre tropicale ?

Sylvia s’est mise à genoux devant la petite asiatique. Elle est ainsi à la hauteur de ses seins qu’elle entreprend de téter l’un après l’autre avec infiniment de douceur, infiniment de tendresse, le petit bourgeon du téton roule sous la langue de la blonde, se durcit, grossit, et provoque chez Laure des frissons de bienêtre.

Puis les deux femmes se couchent, l’une sur l’autre tête bêche !

– Soixante-neuf !

Des images lui reviennent comme des flashes, pourquoi celle-ci ?

C’est Sylvia qui s’est couchée au sol, et c’est son visage que voit Cédric, son beau visage qui lèche maintenant sous le cul de Laure dont le sexe est ouvert, les nymphes écartées. Cette position est idéale pour le voyeur si la suceuse à l’intelligence de concentrer sa besogne sur le clitoris de sa partenaire, le reste du sexe restant alors bien visible… et non seulement il est bien visible mais au fil des assauts linguaux de sa partenaire, il se lubrifie de liqueur intime et devient luisant… Les deux femmes ondulent, gémissent, jappent leur plaisir ! Un hurlement ! C’est Laure. ! Sylvia arrête de lécher, elle semble se concentrer s’arque-bouter mentalement sur son plaisir à elle, tout proche, la liqueur de Laure est tellement abondante qu’elle dégouline sur le visage de la grande blonde, et puis Laure se lâche complètement, de l’urine ruisselle de sa chatte, mais de façon naturelle, non dégradante.

Cool ?

Sylvia ne fait rien pour éviter le flot qui l’asperge et finit par crier à son tour sa jouissance. Les deux femmes se relèvent et s’embrassent avec une infinie tendresse.

– Phase deux ! Annonce la voix !
– Oui, bon ben d’accord, il n’y a pas le feu ! Proteste Sylvia.

Laure disparaît de la serre, Sylvia se rapproche de Cédric se positionne les genoux écartés à cheval sur le bas de ses cuisses. Elle est mouillée de partout, la chaleur, la sueur, ses liquides intimes et ceux de Laure… l’humidité souligne sensuellement ses formes. Elle se caresse quelques instants le corps, semble se concentrer sur quelque chose de secret, puis elle prend une profonde inspiration, saisit chacune de ses nymphes entre le pouce et l’index et les tire ! Puis tout en les laissant tirées, elle s’amuse à les faire se rejoindre, puis à les séparer. Elle répète ce mouvement plusieurs fois de suite, et de plus en plus vite !

– Les phéromones de mes nymphes communiquent avec celles des papillons ! Explique-t-elle.

Phéromones ?

Un premier papillon apparaît, un joli papillon jaune et noir, un second le rejoint, un vert et bleu, puis un troisième, puis plein d’autres… Il y a une centaine de papillons qui virevoltent maintenant au-dessus de Cédric et de Sylvia.

– Phase trois !

Sylvia s’en va ! Les papillons reprennent leur ballet. Mais il semble qu’ils changent de couleurs, ils deviennent de la même teinte que les nymphes de la grande blonde, ils se transforment, une nouvelle chrysalide a créé le papillon nymphe ! Un premier s’approche du sexe de Cédric, ses ailes parviennent à coincer la peau de la verge de Cédric, juste à la base du gland, puis la fait légèrement remonter. C’est beaucoup d’efforts pour ce pauvre papillon qui abandonne l’affaire complètement épuisé, mais un autre de ses congénères prend le relais, puis un autre… Les uns remontent la peau de la verge, les autres la redescendent en une parfaite coordination. Cédric sent le plaisir monter ! Il semble que des flots de souvenirs lui remontent à la surface ! Ça y est ! Tandis que sa jouissance éclate, il sait dire à présent qui est Sylvia, qui est Laure, mais que fait-il dans ce curieux pays ?

– Bon c’est pas un peu fini, non ?

La voix de Sylvia, la salle de conférence, elle est maintenant quasiment vide… c’était donc un rêve, mais…

– Que vous dormiez, vous n’étiez malheureusement pas le seul, que vous ronfliez, c’est grotesque, mais qu’en plus vous fassiez des rêves érotiques visibles c’est tout simplement inadmissible ! Tempête Sylvia.

Je ne l’avais jamais vu en colère, c’est impressionnant !

– Et d’abord vous rêviez de qui ?
– Mais de vous !

La gifle m’atterrit en plein visage ! C’est pas juste !

– Pardon Sylvia !
– C’est qui Sylvia ?

Hein ! Qui qui cause ? C’était encore un rêve, je fais des rêves à tiroirs maintenant. Laure est à mes côtés, elle est tout à fait réveillée ! J’essaie de faire le tri ! J’ai vraiment du mal !

– C’est qui Sylvia ! Insiste Laure !
– Un fantasme !
– Elle n’existe pas ?
– Si !
– Bon, tu m’expliqueras, enfin tu n’es pas obligé. J’aime bien ce prénom !
– Ah ?

Qu’est-ce que vous voulez que je lui réponde ?

– J’ai une tante qui se prénomme comme ça ! Mais qu’est ce qui t’arrive, tu es blanc comme un linge !

Une coïncidence, ce ne peut être qu’une coïncidence ? Des filles qui se prénomment Laure et qui ont une tante qui se prénomme Sylvia il doit y en avoir des tonnes

– Elle habite où ta tante ?
– Ici à Morsac… mais Cédric… Ça ne va pas Cédric…

© Nicolas Solovionni – été 2002

Ce texte a obtenu le 2ème prix Vassilia du « meilleur récit publié sur notre site en 2002.

Cette version est la seule autorisée par l’auteur

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Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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