Dimanche 15 août 2004 7 15 /08 /Août /2004 18:36

Thérèse et ses deux colocataires

par Estonius

 

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Thémes évoqués :  bisex masculine, doigtage masculin, domination hard, feuille de rose, scato, travestis, trio, uro. 

 

20 ans déjà… souvenirs, souvenirs…

C’est donc à Montpellier que j’allais continuer mes études, pourquoi pas ? La ville n’est pas la 8ème merveille du monde, mais elle est sympathique, et puis la côte languedocienne me convient très bien, avec ses plages de sables fins interminables, sa quasi-absence de plages privées et ses cohortes de touristes hollandaises ou allemandes s’exhibant sans fausses gênes et ravissant l’amateur de belles poitrines que je suis.

On m’avait indiqué qu’il était relativement facile de se loger ici pour peu qu’on ne soit pas trop exigeant, et qu’une formule « chez l’habitant » ne rebute point par ses contraintes.

Je me rendis donc ce vendredi, chez cette madame Thérèse Lelonbec dont on m’avait communiqué l’annonce. J’y allais en toute confiance, me disant que si l’affaire se faisait, je m’y installerais dès le lundi suivant.

Je suis légèrement en avance (d’un bon quart d’heure), j’ai donc le choix ou bien d’attendre dans la rue, ou bien de passer outre et d’y aller au flan, je choisis cette dernière solution et me met à gravir les escaliers. Je croise un type dans les mêmes âges que moi…

– Si c’est pour la location, c’est râpé, la place est prise ! Qu’il se croit obligé de me dire !

Une petite voix intérieure eut alors la bonne idée de me dire d’ignorer la réflexion. (car dans le cas contraire ce récit n’aurais jamais vu le jour). Le gars se vexe.

– Tu ne me crois pas, alors ?
– Oh, vous savez, je viens juste réparer les antennes de télé ! Mentis-je effrontément afin de dégonfler l’agressivité latente de ce citoyen.

Cette rencontre m’avait malgré tout refroidi et c’est sans trop y croire que je sonnais à la porte.

Madame Lelonbec (Mais pour la commodité du récit, et le lecteur devinant bien que cette personne va finir dans ce récit par se livrer à des actes que la morale bourgeoise réprouve, nous l’appellerons désormais tout simplement Thérèse) Donc Thérèse m’ouvrit la porte et je découvrais une femme assez grande et légèrement forte, brune, la peau bronzée, le sourire aux lèvres, revêtue d’une petite robe noire légèrement décolletée. Elle devait avoir dépassé la quarantaine mais sa classe et sa beauté la rendait – osons le mot – désirable. Elle me dévisagea quelques instants…

– Bonjour, je suis Etienne Legrand c’est à propos de la location…
– Vous êtes en avance !
– J’en suis désolé, ma montre est complètement déréglée, il faut que j’en achète une autre.

A mon grand soulagement, elle me fit entrer.

– Suivez-moi, je vais vous montrer où c’est… Ce duplex est trop grand pour moi maintenant que je suis seule… Voilà, j’ai fait mettre un petit lavabo, mais vous pourrez bien sûr utiliser la salle de bain…

C’est propre, c’est coquet, il y a un coin bureau où je pourrais travailler, la fenêtre donne sur la rue, c’est clair….

– Si ça vous convient on va discuter des modalités et de tout le reste…
– D’accord !
– Je peux vous offrir un thé, un café ?
– Non merci !
– Donc voyons, vous faites quoi comme études ?

Qu’est-ce que ça peut bien lui faire ? Mais je lui indique quand même, et voilà qu’elle me pose des questions sur mes loisirs, mes goûts, mes livres, mes films… Du coup ça me refroidit un peu, je me demande si je ne vais pas tomber sur un véritable  » pot de colle « .

– Je sais ce que vous pensez en ce moment ! Me dit Thérèse. Vous devez-vous dire « Qu’est-ce que cette bonne femme a besoin de me poser ces questions-là ! » Non ?
– Ben….
– Il y a deux ans, j’ai loué une chambre à un type qui n’avait pas du tout mes idées, et j’ai eu un mal de chien à m’en débarrasser… alors maintenant je me renseigne juste un minimum… Juste un minimum ! Répétât-elle.

Elle me parle ensuite des modalités pratiques.

– Je loue deux chambres vous aurez donc un (ou une) colocataire. C’est le système pension de famille ici, on prend le petit déjeuner et le repas du soir ensemble. Evidemment vous êtes libre de faire ce que vous voulez mais si vous n’avez pas faim ou si vous mangez en ville, prévenez-moi d’avance…. Ah, au fait, vous ne serez pas autorisé à emmener du monde ici, pas de copains, pas de copines… mais vous avez peut-être une petite amie ?

Et c’est reparti pour les questions indiscrètes…

– Ben, non pas en ce moment !
– Oui mais vous aller en trouver, à votre âge c’est normal !
– On verra bien, pour l’instant l’important c’est mes études…
– Je suis très libérale sur les questions de sexe, mais je ne veux pas me faire envahir, vous comprenez ?
– Ce n’est pas un problème !
– Au fait, j’espère que vous n’êtes pas homophobe ?

Mais bon dieu, c’est quoi ces questions !

– Pas du tout, mais pourquoi me demandez-vous ça ?
– J’ai un candidat pour la deuxième chambre je crois qu’il est un peu… un peu comme ça, je ne voudrais pas qu’il y ait d’incident.
– Ecoutez, je pense être quelqu’un de très tolérant, et je n’ai rien du tout d’agressif…
– Alors ça ira, soyez rassuré, je ne vous poserais plus de question indiscrète

Cette présence d’un second colocataire m’ennuyait un peu, non pas à cause de ses tendances supposées mais simplement parce que je suis de caractère très sauvage et moins je suis obligé de vivre avec les gens plus je me sens bien… Mais les avantages l’emportant sur les inconvénients, je décidais néanmoins que je logerais donc chez Thérèse

Je me faisais mon petit cinéma, peut-être que l’étudiant se désisterait et qu’à la place j’aurais doit à un pulpeuse étudiante… on peut toujours rêver…

Mais il n’y eu pas de désistement… Et c’est le jour même de mon installation que je fis la connaissance de Jean-Yves (on ne rigole pas !) Blond, très pale, peu causant, il s’intéressait au théâtre et jouait dans une troupe amateur.

Le décor est planté, il est grand temps d’entrer dans le vif du sujet…

Thérèse nous avait indiqué quelles étaient les tranches horaires où nous pourrions utiliser la salle de bain. Nous étions là depuis déjà trois semaines et ce mardi, je m’apprêtais à prendre une douche quand poussant la porte juste entrebâillée, je découvris Jean-Yves complètement nu, devant le lavabo et en pleine érection.

– Oh, pardon !
– Il n’y a pas de problème, tu sais j’ai fait du naturisme ! Tu as besoin de quelque chose ? Me répondit-il alors que je rebroussais déjà chemin.

J’ignore alors pourquoi je fis un gros mensonge et répondis que je cherchais mon eau de toilette.

– Non je ne la vois pas, mais entre donc, on ne va pas se gêner, non ?

Je le fis, j’étais, je l’avoue, moi le grand dragueur de beautés féminines, troublé par ce corps lisse et imberbe, et par cette verge qui paraissait me narguer. Je fais semblant de chercher, il se tourne, mais maintenant j’ai ses fesses devant le nez, ce qui ne contribue pas à faire cesser mon émotion.

– Si tu veux prendre ta douche, ne te gêne pas pour moi ! Reprit-il

J’eus à ce moment-là la conviction que comme l’avait supposé Thérèse, il devait être homosexuel, ce qui m’indifférait complètement, mais je lui indiquais que je préférais attendre qu’il soit sorti pour me livrer à mes propres ablutions.

J’ai rejoué dans ma tête cette furtive scène toute la journée, et le soir dans mon lit, je me surpris à m’exciter en y repensant encore. J’ai toujours déclaré à qui voulait l’entendre qu’avoir une expérience avec un autre homme n’était pas exclue, ajoutant immédiatement qu’en la matière je n’étais vraiment (mais alors vraiment pas) pressé. L’occasion était-elle en train de se présenter beaucoup plus tôt que je ne l’envisageais ? Et puis, je me faisais sans doute des idées, il n’était peut-être pas gay, le Jean-Yves, peut-être simplement exhibitionniste sur les bords ?

Le lendemain, je décidais de ne pas me compliquer la vie en questions inutiles et pour éviter de renouveler mon trouble de la veille, je prenais le parti d’aller prendre ma douche le plus tard possible. Mais une surprise m’attendait aussi ce jour-là (nous attendait)

Dans la cuisine où nous prenons le petit déjeuner, Thérèse comme tous les matins n’est vêtue que de sa robe de chambre, j’ai déjà eu l’occasion de plonger dans son coquin décolleté, mais j’ai l’impression qu’aujourd’hui il montre plus de choses que d’habitude. Je remarque aussi que la ceinture est attachée si lâche qu’elle risque de se desserrer d’un moment à l’autre. Et d’ailleurs, ça ne rate pas, alors qu’elle se penche pour reposer une casserole fumante, la robe s’ouvre. Le temps qu’elle reprenne ses esprits et se réajuste, nous avons eu le temps se voir une superbe poitrine et une chatte bien touffue. Elle prit le parti d’en rire :

– Bon, vous n’avez rien vu, les gars, hein ! Dit-elle en souriant.

Je ne sais pas si j’ai vu ou si je n’ai pas vu quelque chose mais je bande comme un malade.

L’incident n’eut pas de suite immédiate, mais plusieurs minutes plus tard Jean-Yves m’apostropha :

– Dis donc, la Thérèse, je ne sais pas ce qu’en t’en penses mais le peu que j’ai vu, ça m’a bien plu !
– C’est vrai que c’était bien joli à voir ! M’entendis-je répondre !

J’en concluais que mon colocataire n’était sans doute pas homo, mais qu’il était sans doute aussi obsédé (non je n’aime pas ce mot-là, on va dire coquin) que moi et que cela m’ouvrait des perspectives intéressantes.

Je me levais le jeudi matin en me demandant qu’elle serait la surprise de la journée ! Je pénétrais de bonne heure dans la salle de bain où comme l’avant-veille, Jean-Yves finissait ses ablutions dans le plus simple appareil et la quéquette en pleine forme.

– C’est de penser à Thérèse qui te met dans cet état ? Le taquinais-je !
– Tu crois ?

Du coup il regarde sa queue, la prend dans la main et esquisse devant moi quelques mouvements de masturbation.

– C’est vrai que j’aime bien m’exciter le matin en pensant à des tas de trucs… Poursuit-il.

Que voulez-vous que je réponde ?

– T’as raison, y a pas de mal à se faire du bien !
– Et toi aussi, tu aimes bien te branler ? Me demande-t-il ?
– Oui, surtout en ce moment, je suis en panne de nana !
– Et là tout de suite, tu as envie de te branler ?
– Non, pas maintenant ! Mentis-je.
– C’est dommage, c’est super excitant de se branler en duo, t’as jamais fait ça ?
– Ben non !
– Ben essaie, vu la bosse que tu trimballes sous ton pyjama, ça ne devrait pas te poser problème.
– T’es marrant toi !
– Je ne sais pas si je suis marrant, mais j’aime le sexe et je n’ai pas de complexe. J’aime bien délirer, si tu veux délirer avec moi ne te gênes pas, mais si tu ne veux pas, c’est pas un problème non plus !
– Pour se branler faut quelque chose, je sais pas, moi, un film, des images, quelque chose…
– Et qu’est ce qui te fait bander en ce moment ?
– La conversation, la situation… je suppose
– Peut-être, mais je crois plutôt que c’est ma bite, tiens, regarde comme elle est belle, elle est toute raide.

Il est en train de me piéger, cet olibrius, mais je ne comprends rien à son jeu, il est homo, il n’est pas homo, il est peut-être bisexuel, je n’avais pas encore envisagé cette possibilité, toujours est-il que je suis là en train de lui reluquer la quéquette, et que la mienne est en train de déformer mon pyjama de façon ridicule.

– Elle est belle, hein ? Insiste-t-il

Il s’y prend mal, en fait, il me rend mal à l’aise, je ne sais pas si j’ai envie ou non d’aller plus loin…

– Allez branle-toi, tu en meurs d’envie !

Je réalise que j’ai envie qu’il m’aide à franchir le pas, s’il pouvait faire un geste, je ne sais pas moi me baisser mon pyjama ou me mettre la main sur mon sexe…. Mais le souhaite-t-il ?

– Mets-toi à poil et pense aux gros nichons de Thérèse, imagine qu’elle me coince la bite entre ses seins et que toi tu attendes ton tour…

Je craque, en deux secondes, je me retrouve à poil et je me masturbe, les yeux rivés sur son engin, il en fait de même, on ne fait rien de plus, je dois être complètement frappé, il ne tarde pas à éjaculer une grosse giclée dont la plus grande partie atterrit sur le lavabo, je l’imite assez rapidement.

– Ce soir je sors, nous dit Thérèse quand nous la rejoignons dans la cuisine. Je vous laisse l’appartement !

Sa robe de chambre est aussi mal fermée que la veille. Ce n’est donc pas de l’inattention, c’est de la provocation. Par contre, elle a ce matin pris soin de bien serrer la ceinture. Si elle veut nous jouer une scène ce ne sera donc pas la même que celle de la veille. Elle ne s’assoit jamais pour prendre son petit déjeuner, elle grignote debout. Un moment elle se penche devant moi afin d’attraper le beurrier. Son échancrure se met alors à bailler, j’ai l’espace d’un instant la vision de sa poitrine presque entière. Vite elle se redresse… Mais nous avons alors échangé un regard… Il s’est passé quelque chose, mais quoi…

– OK ! Je serais de retour vers 22 heures ! Vous laissez le téléphone sonner, vous n’ouvrez à personne et surtout pas de bêtises… Sinon…

Ce n’est même pas une menace, où alors c’est une menace pour rire :

– Sinon, qu’est ce qui va nous arriver ? Demande de façon faussement innocente Jean-Yves.
– Une bonne fessée par exemple !
– Humm… du coup ça me donne envie de faire des bêtises !

Il ne perd pas le nord, lui !

– Tu ne serais pas un peu coquin, toi ?

Humm… le visage de Thérèse en disant cela…

– Si, si ! Répond alors Jean-Yves
– Ah, ces jeunes, heureusement qu’Etienne, lui il est sérieux, n’est-ce pas Etienne ! M’interpelle-t-elle.
– Euh ! Pas trop, non…
– Vous devriez faire attention, je tiens toujours mes promesses… allez, je file me préparer…

Je suis rentré en fin d’après-midi, je lance un « y a quelqu’un ? » qui ne reçoit pas d’écho ! Jean-Yves n’est donc pas rentré, je vais pour monter dans ma chambre quand je me rends compte que celle de Thérèse n’est pas fermée. Notre logeuse serait-elle rentrée prématurément. Par correction, je frappe :

– Rentre !

Ce n’est pas la voix de Thérèse, c’est celle de Jean-Yves ! Mais je le reconnais à peine, il a enfilé des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge qu’il a rembourré avec je ne sais quoi, et un chemisier blanc non boutonné ! Son sexe est tendu comme un arc !

– C’est une véritable caverne d’Ali baba qu’elle a là-dedans la Thérèse ! C’est dommage je ne trouve pas de godasses à ma taille.

Je ne réponds pas ! Cette situation m’excite de trop ! Je me jette à l’eau, je lui dis :

– Tu me fais bander avec tes conneries !
– J’espère bien ! Mais regarde un peu ce que j’ai trouvé !

Il me montre un grand sac de voyage ! A l’intérieur il y a deux tenues de cuir noir, des bas, des sous-vêtements, mais aussi une demi-douzaine de godemichés, une cravache, un martinet, des pinces… Un véritable arsenal de maîtresse pour séance sado masochiste.

– Putain, j’ai la trique ! Tu veux qu’on se branle ensemble comme hier ?
– OK, déshabille-toi !

Je le fais à la vitesse grand V et je commence à m’astiquer !

– Ça t’embête si je te la touche ? Me demande alors Jean-Yves.
– Non ! Vas-y ! Répondis-je partagé entre la résignation d’un engrenage annoncé et une réelle curiosité de faire une nouvelle expérience.

Déjà, il a mon sexe dans sa main, il me masturbe, ce n’est pas gênant mais outre l’aspect insolite, ça ne me fait pas grand-chose, il n’a pas le bon rythme, il va trop vite. Je ne lui demande pas par contre si je peux toucher à la sienne, étant certain de la réponse, je le fais ! Le contact est doux, soyeux, agréable et vient ajouter à mon excitation.

– On ne va pas jouir ici ! Me prévient-il, on ne va pas salir sa moquette !

On est allé se finir dans la salle de bain.

– Tu sais ce qu’elle nous a dit pour la fessée, maintenant qu’on connaît ses fantasmes, je crois qu’elle sera d’accord pour jouer avec nous, mais il va falloir rentrer dans son jeu. J’espère que tu n’as rien contre la fessée qu’elle nous a promise !
– Oh, que non !
– Alors fais-moi confiance, on va peut-être passer une super soirée !

22 heures moins le quart : Jean-Yves et moi nous sommes installés devant la télé, ce dernier a conservé sa tenue semi-travestie, et moi je suis complètement à poil. On zappe, il n’y a rien d’intéressant, on a bien trouvé quelques vidéos (très sage) mais son lecteur n’a pas l’air de fonctionner. On attend, sagement, le risque que notre plan fasse un flop existe mais nous n’y pensons pas, par contre nous ignorons si Thérèse rentrera à l’heure et c’est assez stressant. Toujours est-il que les minutes passent. 10 heures, 10 heures et quart… 10 heures et demi. Si elle arrive trop tard, on pourra toujours refaire ce délire en modifiant légèrement le scénario, mais ce serait quand même frustrant de ne pas pouvoir s’amuser ce soir. 11 heures moins le quart… 11 heures moins dix, un bruit de clés. Comme convenu, on se prend respectivement le zizi en main afin de le faire grossir un maximum dans le bref intervalle de temps qui nous sépare du moment où elle va nous surprendre !

– Ben ! Qu’est-ce que vous foutez tous les deux ?
– Euh, comme il y a rien d’intéressant à la télé on se masturbe un petit peu !
– Non, mais je rêve ou quoi ? Et toi là, où est-ce que tu as trouvé ce que tu as sur toi !
– Ben j’ai un peu fouillé dans vos affaires, je suis désolé.

Il y a comme un instant de flottement. J’ai l’impression que Thérèse n’est pas vraiment certaine de savoir à quel jeu nous jouons. Nous saurons après qu’elle craignait que nous nous soyons enivrés.

– Vous nous aviez promis une fessée si nous faisions des bêtises ! Reprend Jean-Yves ! Punissez-nous, si vous pensez qu’on le mérite !
– Ah c’est donc ça ! Et vous croyez que je vais démarrer comme ça au quart de tour ? J’ai peut-être le droit d’être fatiguée ! Votre punition vous l’aurez, mais quand je l’aurais décidé. Foutez-moi le camp dans vos chambres et toi tu enlèves mes affaires… Quoi que ça ne te va pas si mal, lève-toi et tourne-toi que je vois ton cul ! Humm finalement reste comme ça ! Joli petit cul ! Bon, vous êtes sûr que vous voulez être punis ? Parce que si c’est oui, vous n’allez pas être déçus !

On lui fait signe qu’oui !

– Bon alors d’accord, jusqu’à ce que je décide la fin du jeu, je suis votre maîtresse, vous allez faire tout ce que je vais vous dire et sans discuter, c’est toujours d’accord ?
– Oui, oui !
– Viens-là-toi ! Dit-elle en me désignant d’un index vengeur.

Je me lève, elle me fait mettre à genoux devant elle !

– Tu comprends maintenant pourquoi je fais passer un petit entretien aux candidats locataires, ça me permet de repérer ceux qui ont une tendance à la soumission, ceux qui sont obsédé par le sexe, je crois que cette année je ne me suis pas trompé. Vous allez pouvoir être mes petits esclaves adorés pendant toute l’année universitaire. Tu t’es déjà fait dominer, toi !
– Ben non !
– Fais attention c’est un jeu dangereux ! Chacun a ses limites, et ses blocages, mais en principe je sais faire, les gens qui aiment la domination aiment souvent beaucoup de choses. Toujours d’accord ?
– Oui !
– On dit « oui, Maîtresse ! »
– Oui Maîtresse !
– Bon, toi Jean-Yves, tu te mets à côté de l’autre et vous m’attendez cinq minutes, je vais me préparer !

On se regarde tous les deux !

– Tu es sûr qu’on ne fait pas une connerie ? m’inquiétais-je
– Qu’est-ce que tu veux qui nous arrive ?
– Justement…

Mais voilà Thérèse qui revient, elle s’est revêtue d’une sorte de kimono bordeaux, et tient à la main son sac de voyage, elle en extrait un gode ceinture, un martinet ainsi qu’une boite de pinces et pose le tout sur la table. Puis elle nous fait face, retire le kimono, apparaissant simplement en string de cuir et soutien-gorge assorti. Sa prestance est superbe ! Le corps est magnifiquement entretenu et sa peau légèrement halée brille sous l’halogène du salon. Du coup me revoici en train de rebander. Elle s’approche de moi, baisse ses mains au niveau de mes tétons, s’en empare et me les tord violemment. Voilà une caresse (si toutefois le mot de caresse est approprié) qui me rend fou.

– Ça fait mal, hein ?
– Ça fait mal, mais c’est bon ! Répondis-je

Elle renouvelle l’opération plusieurs fois de suite, puis après avoir dégrafé l’incongru soutien-gorge que Jean-Yves portait, elle lui administra la même torture. Puis de façon complètement inattendue elle nous gratifia chacun de deux paires de baffes. J’encaissais sans rien dire, mon camarade aussi ! Elle prend ensuite des pinces et sans aucun ménagement nous les place sur les bouts de nos seins, je supporte mieux que Jean-Yves qui commence à faire de drôles de grimaces.

– Supporte et tais-toi ! Sinon je te vire d’ici ! Lui lance Thérèse en guise d’avertissement.

Mon colocataire essaie de prendre sur lui, mais manifestement il a un problème.

– La pince de droite doit être mal placée ! Finit-il par dire !

Il reçoit comme première réponse une jolie paire de gifle… mais Thérèse n’est ni sotte, ni irresponsable, elle enlève prestement la pince litigieuse et la raccroche aussitôt !

– Merci Maîtresse !
– De rien, baisse ta tête et relève tes fesses, tu vas crier pour quelque chose !

Il obtempère !

– En voilà un joli cul de pédale, tu sais ce qui va lui arriver à ton petit cul ? Dit-elle, tenant en main de façon menaçante un superbe martinet.
– Oui, vous allez me frapper, maîtresse !
– Ça c’est clair ! Mais ensuite ?
– Je ne sais pas maîtresse !

Le coup a claqué, surpris Jean-Yves pousse un petit cri !

– Je ne veux pas t’entendre brailler, par contre tu as le droit de me remercier, et tu as même le droit de compter.
– Schlack !
– Deux ! Merci maîtresse !
– Non pas deux, le premier c’était pour rire !
– Schlack
– Deux ! Merci maîtresse !
– Non pas deux, quand on se trompe, on recommence à zéro !
– Schlack
– Un ! Merci maîtresse !

Au bout du quinzième il commençait à donner des signes de lassitude, mais ne se rebella pas. Thérèse alla jusqu’à vingt, le laissant épuisé, les yeux embués mais le sexe fier !

– Alors, maintenant tu vas peut-être pouvoir me répondre, qu’est ce qui pourrait bien arriver d’autre à ce joli petit cul de salope, hein !
– Je ne sais pas, vous allez peut-être me mettre un gode ?
– Ça ne serait pas une mauvaise idée en effet ! Qu’est-ce que tu en penses, toi, Etienne ?

Je ne suis pas fou, je suppose que les punitions dont elle va gratifier Jean-Yves ne me seront pas épargnées, mais je suis tellement excité par la situation que j’abonde dans le sens de Thérèse avec un véritable enthousiasme :

– Ça me paraît une bonne idée, je suis sûr qu’il adore se faire enculer !
– T’entends ce qu’il dit ton copain ? C’est vrai ça que tu aimes te faire enculer !
– Oui, maîtresse !
– Et ben dis donc que de surprise ! Moi qui pensais regarder tranquillement la télé en rentrant ! Bon allez Etienne, en position, je ne voudrais surtout pas faire de jaloux ! Oh ! Mais c’est que ton cul n’est pas mal non plus ! Toi aussi tu aimes te faire prendre ?
– Je ne sais pas, je n’ai jamais essayé !
– Et tu as envie d’essayer !
– Oui, mais…
– C’est oui, ou c’est non ? « Oui mais », je n’ai pas l’article dans mon catalogue ! Ecarte tes fesses que je me rende mieux compte… Hum, oui effectivement c’est super serré ce machin, on, va s’occuper de bien dilater tout ça, tu verras à la fin de l’année universitaire tu auras un bon cul d’enculé, je te ferais mettre par un ami à moi, un superbe black avec une grosse queue ! Tiens ça me donne une idée ! Mais en attendant viens voir le cul de ton copain, lui au moins il n’est pas puceau de ce côté-là.

J’essaie d’imaginer ce qu’elle veut que je fasse !

– Lèche !

Hein ! Elle est complètement folle ! Je me demande de quelle façon je vais bien pouvoir refuser quand un coup de martinet me zèbre les fesses.

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– Je t’ai dit de lécher !

Un second coup, un peu plus fort vient me rougir un peu plus mon pauvre petit fessier, c’est fou ce que ça fait réfléchir vite ce genre de truc, car je me dis qu’après tout je suis dans le cadre d’une relation sado masochiste et que prendre plaisir à exécuter un ordre à priori absurde fait aussi parti du jeu. Je positionne donc mon visage sur le trou du cul de mon colocataire et me met à le lécher avec application ne faisant pas trop attention à cette saveur un peu âcre qu’il dégageait.

– Schlack !

Mais voici qu’elle me fouette de nouveau, la Thérèse !

– Aie !
– Voilà ce que je leur fais aux lèche-culs !

Je ne comprends pas bien, du coup je m’arrête

– Schlack
– Je ne t’ai pas dit d’arrêter, pédale, continue à bien lui foutre la langue dans son trou du cul !

Je continue donc à m’appliquer sous les coups de martinet de notre logeuse, mes fesses commencent à me cuire sévèrement mais ça n’a rien de désagréable.

– Bien ! Dit-elle après m’avoir asséné le dernier coup, je vous avais promis une surprise, mais il faut que je passe un petit coup de fil, en attendant c’est toi Jean-Yves qui va lécher le cul d’Etienne.

Et tandis que je commence à sentir un gazouillis humide tout à fait insolite au niveau de mon anus, Thérèse se met à parler dans son combiné :

– Allô, Jean-Baptiste ! C’est Thérèse ! Dis donc Jean-Baptiste, j’ai deux petits étudiants bien soumis avec des mignons petits culs qui ne demandent qu’à se faire enculer, ça t’intéresse ?
– …
– Tu es avec un ami, et bien ce n’est pas un problème, passez tous les deux !

Je vous dis, elle est complètement atteinte, la pauvre Thérèse, mais nous sommes tellement partis dans son délire que nous ne protestons mêmes pas !

– Super, vous allez voir ce que vous allez prendre ! J’espère que mes amis seront contents ! Bon alors toi, tu lui a bien léché le cul, voyons voir ce que ça lui a fait, hum… pas grand-chose, je vais mettre un doigt pour voir.

Et voici que Thérèse m’introduit le doigt dans l’anus et commence à l’agiter ! Ce petit manège dure quelques minutes, puis elle ressort son doigt, l’approche de mon nez puis de ma bouche !

– Lèche !
– Non maîtresse, pas ça !
– Et pourquoi donc ?
– C’est peut-être pas très propre…
– Ah, oui ? Alors prenons le problème autrement ! Dis-moi que tu es une petite salope !
– Je suis une petite salope, maîtresse !
– Ok ! Alors tu vas m’obéir, parce que les petites salopes ça sucent les doigts qui ont été dans leur cul ! Compris !
– Oui, maîtresse !
– Bon Jean-Yves, fout lui vingt coups de martinet, ça lui apprendra à discuter… moi j’ai un petit coup de fatigue !

Il me fait mal, ce con ! Mais je sais qu’au bout des vingt coups, j’obéirais à ma maîtresse !

– Alors tu suces maintenant !
– Oui maîtresse !
– C’est comment ?
– Ça va !
– Drôle de réponse ! Maintenant tu me suceras toujours les doigts quand je te les aurais foutus dans le cul !
– Oui maîtresse !
– Alors ne perdons pas de temps !

Et elle me remet tout de suite un doigt dans le troufignon, mais cette fois son tripotage est beaucoup plus appuyé, et donc beaucoup plus agréable, mais j’ai peur de l’état dans lequel il va ressortir…. Mais pour l’instant elle me doigte magnifiquement, c’est trop bon, je pousse des gémissements de satisfaction, pour moi c’est une découverte…

– Allez nettoie !

Le doigt présente quelques traces douteuses, rien d’affolant. Je bande comme un dingue, et me voilà en train de sucer ce doigt, un goût acre m’envahit le palais, ni bon, ni mauvais, c’est particulier et le faire est excitant.

– Tu en voudrais encore ?
– Pourquoi pas Maîtresse ?

Jean-Yves a droit ensuite à la même inspection, mais son anus est vide ce qui a l’air de contrarier notre perverse logeuse.

– Maintenant Etienne, tu vas sucer la bite de ton camarade !

Alors ça ce n’est pas un problème, depuis le temps que j’attends cet ordre. Je prends le membre dans les mains, la situation m’excite, pour la première fois de ma vie, je vais sucer une bite et je suis content de le faire. Je commence par la caresser puis lui imprimer quelques mouvements de masturbation, je tire sur la verge vers le bas de façon à ce que le prépuce dégage au maximum le magnifique gland d’une belle couleur lilas. Je me penche, avance mes lèvres vers la hampe, les frotte dessus, je fais un léger et innocent bisou, puis je m’approche du gland où je recommence mon manège, quelques gouttes de pré jouissance y ont perlé et un léger goût salé m’est déjà perceptible. Dans quelques secondes je sais que je vais franchir le pas. J’ouvre la bouche, déjà le gland est dans mon palais, et ma langue le caresse, le petit goût est désormais beaucoup plus présent, et j’avoue que ça ne me déplait pas, j’avance mes lèvres les resserrant au passage du prépuce, délicieuse impression, je recule un tout petit peu, j’avance de nouveau, par jeu j’essaie de faire pénétrer le membre au maximum, la position droite n’est pas agréable, mais d’instinct je le fais entrer sur le côté où il vient cogner l’intérieur de ma joue. Je prends conscience que j’aime ça, cette bite que je suce, je sais aussi que ce ne sera pas la dernière, c’est trop bon et c’est avec une érection phénoménale que je reprends maintenant de courts coulissages par lesquels je fais aller et venir l’extrémité de son pénis. Jean-Yves se pâme…

– Bon ça va ! Je ne veux pas que tu jouisses tout de suite ! Intervint Thérèse stoppant l’affaire à mon grand dam.

Mon colocataire se retire de ma bouche, lui aussi paraît un peu contrarié, la jouissance devait être bien proche….

– Tu as aimé ça, lui sucer la bite ? Petit pédé. ?
– Humm ! J’ai adoré ! Elle est trop bonne sa bite !

– Super, si vous saviez ce que ça m’excite de voir deux mecs ensemble en train de se faire des trucs…Mais c’est pas tout ça avec tous ces imprévus j’ai même pas été aux toilettes en rentrant et ça commence à devenir urgent ! Bon, on ne va pas salir, la moquette… tout le monde dans la salle de bain !

On la suit.

– Voilà, allongez-vous par terre, non pas comme ça, vous êtes vraiment nuls ! L’un à côté de l’autre, voilà, rapprochez vos visages, je vais pouvoir vous arroser tous les deux… Allez, rapprochez-vous encore, joue contre joue, voilà vous êtes mignons comme ça !

Thérèse retire sa culotte et s’accroupit à environ cinquante centimètres de nos bouches.

– Allez, on ouvre bien la bouche ! Et je ne veux pas une goutte sur le carrelage ! Mieux que ça la bouche !

Vision magnifique que cette petite chatte partiellement rasée s’ouvrant devant nos yeux pendant plusieurs secondes avant de lâcher quelques gouttes de son urine, bientôt suivi par un mince filet doré, elle se retient de temps à autre de façon à nous verser à boire alternativement !

J’avais déjà, par curiosité goûté à quelques gouttes de ma propre urine, juste comme ça pour voir quel goût ça avait… J’avais trouvé ça amusant. La pisse de Thérèse me parait un peu plus forte mais pas mauvaise du tout…

– Qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci maîtresse !
– Et maintenant après le pipi, le caca !

Elle ne va tout de même pas… non elle se dirige vers les toilettes…

– Vous n’êtes pas obligé de regarder, mais j’aimerais bien que vous le fassiez.

Elle se met en position sur la cuvette, mais à l’envers, c’est-à-dire le cul tourné vers nous et légèrement relevé.

Moment d’hésitation, échange de regard entre Jean-Yves et moi, on ne bouge pas. Thérèse pousse, un étron marron s’échappe de son cul et tombe dans la cuvette en faisant floc. Un second ne tarde pas à rejoindre le premier.

– Lequel de vous deux m’essuie ?

C’est moi qui suis le plus près du rouleau de papier à cul, je m’apprête donc à obtempérer.

– Mais non ! Avec ta bouche ! Idiot !
– Non…
– Tout à l’heure tu as sucé mes doigts pleins de merde. Quelle différence ? Sauf que c’est le cul de ta maîtresse et que ça va être encore meilleur.

Je cherche du secours du côté de Jean-Yves qui me fais un geste d’impuissance, Alors je me lance et me mets à lécher le trou du cul de Thérèse. Je nettoie tout, je ne laisse rien pour Jean-Yves. Je ne me reconnais plus. Je bande !

– Allez tout le monde dans la chambre, pour la suite je veux mon petit confort… Mais essuyez-vous, bandes de ploucs, vous êtes encore plein de pisse, vous n’allez pas m’en foutre sur mon lit…

J’ignore ce qu’on va faire, tout cela m’amuse, mais j’ai au fond de moi un peu peur de me laisser entraîner trop loin… et puis cette affaire de ses deux amis qui doivent nous rejoindre ne me dit plus trop rien maintenant.

Dans la chambre, Thérèse finit de se déshabiller, j’aime la vue de ses jolis seins de bonne tenue et intégralement bronzé, je m’en régalerais bien la bouche.

– Maîtresse, vos seins…
– Quoi, mes seins ? Qu’est-ce qu’ils ont mes seins ?
– Ils sont très beaux !
– T’es gentil, merci !
– J’aimerais les caresser !
– Ah ! Oui ? Eh bien, non aujourd’hui tu regardes, on ne va pas tout faire le même jour !
– S’il vous plait !

Elle me retourne une torgnole !

– Quand je dis non, c’est non, j’ai horreur qu’on insiste !
– Pardon Maîtresse !
– Bon, à présent vous allez me baiser, il y a longtemps que je n’ai pas eu deux bites à la fois… Alors la plus petite dans le cul, et l’autre dans la chatte…

La voici lancée dans des explications techniques… pour débander ce n’est pas mal. Toujours est-il que Jean-Yves est invité à se coucher sur le dos dans le lit.

– Fais le rebander comme il faut, Etienne !

Je branle donc mon camarade quelques instants !

– Ressers-toi de ta bouche ! Précise-t-elle

Alors là je ne vais pas me le faire dire deux fois, je me précipite et gobe à nouveau ce magnifique membre. Du coup, le voici très vite redevenue raide et je dois cesser. Thérèse recouvre alors l’organe d’un préservatif, puis se positionne à califourchon, et s’empale dessus.

– Tu ne bouges pas, c’est moi qui conduis ! Lui indique notre charmante propriétaire…

Et effectivement elle va tout doucement !

– Mets-toi debout devant moi, je vais m’occuper de ta tige ! Me précise-t-elle

Et voilà comment Thérèse m’a sucé pour la première fois, pas longtemps parce que rien que l’idée me provoqua une érection déjà bien solide, aussi abandonnant l’affaire elle m’attribua à mon tour une capote, puis se pencha afin de relever ses fesses tout en continuant à chevaucher Jean-Yves. J’essayais de trouver la meilleure position possible, pas évident de placer ses jambes, et approchais ma bite de son anus. Je n’eus pas à forcer, ça rentrait tout seul.

– Vas-y rentre à fond, encule-moi bien !

Alors Thérèse reprit ses mouvements, pour ma part je me laissais guider par l’ondulation de son postérieur, drôle de sensation de sentir la bite d’un autre homme à une paroi de la sienne. Le mouvement s’accéléra, la chevauchée devint sauvage, et Thérèse se laissa faire. Au bout de quelques minutes je trouvais le rythme, je laissais un peu de répit pour que Jean-Yves puisse accélérer, puis augmentais ma propre cadence quand la sienne baissait. Notre logeuse poussait des cris de jouissance à l’unisson de mes pilonnages, je finis par accélérer sans plus pouvoir me contrôler et éjaculais en restant dans son conduit. Jean-Yves devait attendre ce signal pour se libérer à son tour et jouit à son tour enserrant Thérèse d’un grand mouvement de tendresse. Ne voulant pas être en reste, je lui fis un gros bisou sur les fesses.

– On va se déboucher une bouteille de champagne, ça vous dit les gars !

Quelques instants plus tard, sans nous être rhabillés nous trinquions dans le salon, en parlant de choses et d’autres, nul ne semblant vouloir orienter la conversation vers le sexe malgré le délire que nous venions de vivre. Le temps passait, j’osais soudain :

– Mais, vos deux amis, ils devraient être là, non ?
– Quels deux amis ?
– Mais ceux à qui vous avez téléphoné tout à l’heure ?
– Tout à l’heure ! Ah, oui, tu as cru que je téléphonais pour de vrai…
– A parce que …
– Ben oui, c’était juste pour le fun ! Tu es déçu, tu te serais bien fais enculer, hein ?
– Je ne sais pas, peut-être…
– Et toi Jean-Yves !
– Oui, pourquoi pas !
– Alors on va y penser…

Manifestement fatiguée, Thérèse finit par nous envoyer nous coucher, j’eus quelque mal à trouver le sommeil qui fut ponctué par des rêves où s’agitait devant moi et de multiples façons des dizaines de bites d’une raideur prête à les faire exploser.

Qu’allais manigancer Thérèse ces prochains jours ? Vous le saurez bientôt en lisant le prochain épisode de ce passionnant récit…

Estonius (août 2004)

estonius@hotmail.com

Ce texte a eu l’honneur d’être désigné comme premier prix du meilleur récit bi pour l’année 2004

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Mardi 22 juin 2004 2 22 /06 /Juin /2004 11:32

Le cul de Stéphanie

par: Sylvain Zerberg

 

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RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

 

 

6 heures du matin ! Enfin le programme se mit de nouveau à fonctionner !


- Je n'y croyais pas ! Me dit Stéphanie

- Moi non plus !

- Ça mérite une bise !


Elle me la fit, mais chastement, Stéphanie n'est qu'une collègue, elle n'a pas l'air farouche mais je n'ai jamais tenté quoique ce soit, sans doute parce que l'occasion ne s'était jamais présentée. Cette panne informatique nous réunissait tous les deux pour la première fois...


Stéphanie était une fille de 25 ans, environ 1 m 70, châtain, les yeux verts, elle avait une poitrine magnifique en forme de pomme (95 C), mais ce qui me plaisait le plus chez elle c'était son gros cul, elle avait deux fesses bien rondes et fermes, Elle était habillée aujourd'hui d'une jupe assez courte et d'un chemisier avec un beau décolleté.


Ça faisait 15 heures qu'on essayait de réparer ce fichu machin, un plantage définitif aurait été catastrophique pour la société qui m'employait, mais sans doute aussi pour moi.


Rien dans le ventre, juste un peu de liquide, complètement crevés ! Il nous fallait malgré tout attendre l'arrivée de la première équipe pour leur passer quelques consignes qui nous paraissaient hasardeux de ne le laisser que par écrit... Encore deux heures à tirer et après dodo...


- J'ai mal partout ! Me confia Stéphanie.

- Tu veux un massage ?

- Tu sais faire ça ?

- J'ai des mains de fées, tu sais !


Je commençais par lui frotter le dos, elle en position assise, après quelques minutes de ce massage, elle se décontractait tout en fermant les yeux. De ma place, j'avais une vue plongeante dans son décolleté


- Je te masse devant ?

- T'as pas peur de prendre une baffe ?

- Si un peu ! Alors je le fais ou pas, ça te ferait du bien !

- Obsédé ! Se contenta-t-elle de répondre avec un curieux sourire.


Elle n'avait pas dit "non", alors mes mains descendirent vers son décolleté et je commençais à lui peloter les seins à travers le soutien-gorge, elle se laissa faire, et ne dit rien quand je fis sauter les bonnets pour attraper plus facilement ses gros tétons. Elle poussa un râle, ouvrit les yeux, leva son visage et me fixa avec un grand sourire, puis elle se leva et m'embrassa langoureusement. Je lui massai alors les fesses, passa une main sous sa jupe et je lui caressai sa chatte, la trouvant si mouillé que sa culotte était d'ores et déjà bien trempée. 


Elle mit sa main sur ma bite qui était tendue à l'extrême, dégrafa mon jeans qui chuta sur mes chevilles, sortit ma queue de mon caleçon, et me masturba avec tendresse, elle se mit à genoux puis me suça. Elle joua avec mon gland et mes couilles pendant cinq bonnes minutes, elle me lécha, m'aspira les testicules. Je lui dis que j'allais jouir, pensant qu'elle allait se retirer, elle accéléra le mouvement et j'éjaculai de longs jets de sperme dans sa bouche, elle continua de me sucer pour me nettoyer. Je la pris par la taille, la posa sur le bureau, relevai sa jupe, enlevai son string et lui mangea la chatte, elle dégageait une odeur forte qui m'enivrait. Je lui titillai le clitoris, le mordit, le suçota, je lui mis deux doigts dans son vagin bien lubrifié, faisant des va-et-vient tout en lui jouant avec son clito, elle ne put se retenir de jouir comme une folle, me dégoulinant le visage de son miel. 


Je l'ai pénétré d'un coup, elle gémissait à chaque coup de rein que je donnais, elle ne put empêcher son corps d'onduler sous la jouissance qu'elle ressentait, en même temps, je lui malaxais les seins dont les tétons se dressaient fièrement. 


Je décidai de la retourner et de satisfaire son petit trou du cul.


- Arrête, ça ne doit pas être très propre par-là ! Me dit-elle.

- Il n'y a rien de sale en amour ! Répondis-je, agitant ma langue à l'entrée de son anus et découvrant effectivement un goût légèrement acre.


Je la pénétrais d'un doigt, elle poussa des petits cris appréciant manifestement la chose. 


- Mets-moi un deuxième doigt, mais mouille-le bien !


Je ressortis alors celui qui s'activait, le trouvant bien pollué !


- Il est comment ton doigt ?

- Il est un peu marron !

- Ça va ? Ça ne te dégoûte pas ? Demanda-t-elle.

- Pas du tout, ça aurait plutôt tendance à m'exciter.

- Gros cochon ! Lèche, alors !


Je le fis sans problème, le goût n'était pas si désagréable que ça !


- Tu aimes ça lécher ma merde, hein salaud ?

- C'est vrai que c'est excitant !

- Humm, fallait me le dire que tu avais des goûts comme ça, on aurait pu s'amuser...

- C'est que ce n'est pas facile à placer dans la conversation...

- Bon alors il vient ce deuxième doigt ?


Je lui enfonçais ainsi un second, puis un troisième doigt dans l'anus, puis n'y tenant plus je me saisis d'une capote, je mis mon gland à l'entrée et poussa d'un coup sec, elle se crispa sous la conjugaison de douleur et du plaisir. Après plusieurs minutes de ce travail, je sentis la jouissance monter en moi, elle savait que j'allais éjaculer, je ne pus me retenir plus longtemps, je déchargeais dans son cul, puis me dégageais, retirant la capote maculée de merde !


- Tu m'as bien enculé mon salaud, mais maintenant, je crois que j'ai envie de faire un beau caca, ça t'intéresse ?

- Hummm, bien sûr que ça m'intéresse !

- Bon alors viens on va s'enfermer dans les toilettes, ça nous évitera d'en foutre partout, et puis on sait jamais si quelqu'un avait l'idée de venir en avance...


Aux toilettes, elle me fit me déshabiller.


Stephanisca.jpg- Voilà je vais m'accroupir au-dessus de ton visage et je vais commencer par pisser, on fera le reste après ! Allez, ouvre bien la bouche, tu vas voir comme elle est bonne ma bonne pisse bien chaude, ma bonne petite pisse de salope !


Cette ambiance dingue me faisait déjà rebander, je me retrouvais avec son sexe odorant à quelques centimètres de ma bouche, je l'ouvris, avala les premières gouttes, mais le reste déborda, Stéphanie éclata de rire.


- C'était bon !

- Délicieux !

- Bon maintenant on va passer aux choses sérieuses ! Lèche-moi un peu le trou du cul, j'adore !


Je le fis, c'était de plus en plus âcre, mais aussi de plus en plus excitant... Un moment elle péta, ce qui la fit éclater de rire.


- Allez je pousse, n'enlève pas ta langue !


Je n'avais jamais été jusque-là, j'appréhendais un peu, mais j'étais pris à mon propre piège. Après tout c'est moi qui avait commencé, l'anus s'élargit, une masse brune apparut en son centre, je continuais à lécher, puis l'étron se faufila à l'extérieur à toute vitesse pour finir par dégringoler sur mon visage, j'en avais sur les lèvres, je léchais un peu. Je croyais l'affaire terminée quand un second étron rejoignit le premier.


- Tu apprécies, j'espère ! Demanda-t-elle !

- Regarde comme je bande !

- C'est vrai qu'elle a l'air en forme ta bite... Tu en verras beaucoup des nanas qui te font des beaux cacas comme ça ? Mais maintenant tu me nettoies avec ta langue, c'est quand même plus agréable qu'un papier à cul non ?


J'étais tellement excité que je ne réfléchissais plus, je lui nettoyais le pourtour de l'anus comme si j'avais fait ça toute ma vie. Je finis par me relever après m'être débarrassé difficilement des matières accumulées sur mon visage qui s'acharnaient à laisser des traces !


- Il nous faudrait une douche !

- On ira la prendre chez moi me lança Stéphanie... Quel trip, allez viens m'embrasser !


Drôle de baiser puisque je ne m'étais même pas rincé la bouche de l'urine avalée et de la merde léchée, mais quelle excitation et en ce qui la concernait l'affaire avait l'air de l'émoustiller un maximum. Elle se mit à me contourner et à me peloter les fesses, quelques trop brefs instants, elle m'introduit à son tour un doigt dans l'anus !


- Tu sais que tu as des petites miches de pédé ! J'ai bien envie de te présenter à mon copain pour qu'il t'encule... ça te dirais ?


J'ai dû lui répondre que pour l'instant j'avais plus envie d'aller faire un gros dodo qu'autre chose, mais une petite voix intérieure, sans doute un petit diable, me soufflait coquinement "pourquoi pas ?"



© Sylvain Zerberg

Texte réintroduit en 2004 dans sa version non censurée.

 

 


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Jeudi 10 juin 2004 4 10 /06 /Juin /2004 13:23

Pauline et le trottoir

Fantasmes de femmes - Fantasmes interdits 

par Marie-Paule Perez

 

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Je remercie Sonia K. pour ses précieux conseils sans lesquels cette nouvelle n'aurait pu être.

 

Et ça y est, ça me reprend… Il y a combien de temps que je trimballe ce fantasme récurent ? Rapide calcul je vais avoir trente-cinq ans, donc ça doit faire vingt ans ! Vingt ans ! Comme le temps passe, putain ! Putain c'est d'ailleurs le cas de le dire, car c'est cela mon fantasme. Il n'est pas resté figé, il a connu des variantes… mais il est toujours là…

 

Intervention de l'auteur : Non, non, je ne vais pas vous faire le coup du récit vérité, de toute façon toute histoire vraie est forcément arrangée, et toute fiction contient des éléments de vérité… Mais sachez tout de même que l'histoire que je vais vous conter rn'est point le fruit de mon imagination. Elle me fut relatée lors d'une soirée qui avait commencé dans une ambiance assez chaude, par un jeu assez croquignolet où les personnes que le sort désignait, se devaient de raconter un souvenir érotique.

 

On reprend donc le récit…

 

Que dire de moi, Pauline, blonde décolorée, un visage qui plait, des formes qui n'ont rien d'exceptionnelles, mais qui existent et puisqu'il paraît que c'est mon truc, des jolies jambes… Par contre, je ne suis pas très grande. Que voulez-vous, on ne peut pas tout avoir et puis, c'est juste pour que vous ayez une idée du personnage, parce que ce qui vous intéressent pour le moment ce n'est pas tellement de savoir comment je suis, mais de savoir ce que je fais !

 

Et, bien je vais vous décrire tout cela, j'ai la chatte toute poisseuse, et ma main droite n'arrête de la frotter, que pour se glisser de temps à autre à l'entrée de l'anus. Juste à l'entrée, j'irais plus loin sans doute tout à l'heure. Je ne peux concevoir une séance de masturbation sans me toucher le trou du cul, c'est d'ailleurs en ce qui me concerne plus psychologique qu'autre chose, mais il me semble que toucher cette partie de mon intimité participe à transgresser un interdit encore puissant. De l'autre main je me caresse les seins, les bouts habituellement recroquevillés aux sommets de leurs mamelons sont à présent fièrement sortis, je me les pince aussi fort que je peux, regrettant simplement que je ne parvienne jamais seule à obtenir le même effet que quand cette "caresse" m'est prodiguée par une tierce mimine. Je suis à fond dans mon fantasme, un type aux traits indéfinis est monté avec moi après m'avoir demandé le traditionnel "c'est combien ?" En chambre, il me demande de me dévêtir pièce par pièce, lui reste habillé et s'assoit sur une chaise, pendant que je lui dévoile mes charmes. Je commence à enlever mon corsage blanc, déjà largement ouvert, et lui dévoile mon torse paré simplement d'un soutien-gorge de fine dentelle rouge, puis, je retire ma jupe, je le regarde fièrement pour mieux l'exciter et lui demande de se branler sa bite devant moi, il le fait très lentement afin de ne pas compromettre la fin de la séance. Je dégrafe à présent de mon porte-jarretelles, enlève avec une lenteur toute calculée mes bas résilles et lui fait admirer mes belles jambes ! Je l'interpelle, lui demande de me dire si elles sont belles, il me répond oui, il ne va pas dire le contraire, mais le but de l'opération est ailleurs, je lui demande de me les caresser, il se lève alors, je n'ai plus que ma culotte à enlever.

 

Bref retour à la réalité, le fantasme plus le travail de mes doigts ont fait leur œuvre, je mouille de plus en plus. Alors par pur réflexe, j'intervertis mes mains, la droite toute mouillée va venir caresser mes tétons érigés, et l'autre plonge vers sexe, puis après l'avoir juste humidifier se dirige vers mon anus, que cette fois ci je pénètre de mon index en lui faisant effectuer quelques mouvement de va-et-vient. A nouveau j'échange mes mains, je n'en peux plus…

 

Dans mon fantasme le client est maintenant nu comme un ver et me pénètre sauvagement alors que bizarrement j'ai de nouveau enfilé mes bas résilles sur mes jambes et même remis mes chaussures…

 

Je frotte mon clitoris de mes doigts glissants, j'imagine le "client" en train de jouir comme un cerf en rut et je m'éclate, mon corps fait un arc de cercle au-dessus des draps avant de retomber, pantelant, épuisé, mouillé, mais satisfait.

 

Je reste un instant vautré dans mon jus. Cette masturbation m'a fait du bien, mais je reste avec mes problèmes. Quels problèmes ? Attendez, je ne peux pas vous parler de tout à la fois ! Et bien figurez-vous que mon mec, après presque dix ans de vie commune n'a rien trouvé mieux que de me larguer pour aller vivre avec ma meilleure (ex) copine. Classique et désespéramment banal, me direz-vous, mais ça fait mal.

 

Après avoir eu la haine, après avoir pleuré, je me suis remise, et j'ai essayé de trouver quels seraient les côtés positifs de la situation…, sortir en boite ? Trop vielle ? Draguez, me faire draguer ? Mais comment ? Pourquoi pas Internet ? Alors j'ai chatté ? Mais quelle perte de temps, la moitié des mecs présents sont là uniquement pour l'excitation du moment, d'abord personne ne croit que vous êtes une femme, alors il faut donner de la voix, et puis après c'est le contraire, c'est la meute, l'indémêlable meute ! Mais pour ce qui est d'obtenir un rendez-vous sérieux, ça devient assez compliqué. J'en ai eu un quand même, mais quand je l'ai aperçu au bistrot avec le journal l'équipe (quotidien sportif français à grand tirage et au contenu incompréhensible pour les non initiées) roulée dans la main gauche, je me suis enfuie lâchement.

 

J'ai donc changé de tactique, à défaut de trouver l'amant de mes rêves, l'Internet m'aidera peut-être à trouver la bonne méthode pour le dégotter. Du coup quand on dépasse le stade "tu baises, tu suces ?" les chats peuvent devenir intéressants… Et si les considérations "bateau" sont légions d'autres savent manifestement parler pour dire quelque chose… Et alors que je demandais comment réellement me faire draguer sans tomber sur un beauf primaire… un type me répondit que la question était peut-être mal posée et qu'au lieu de partir dans l'inconnu…

 

- Je suppose que tu as des fantasmes ?

- Oui !

- Des fantasmes sur des pratiques ou sur des situations.

- Sur une situation ! Répondis-je presque instinctivement.

- Essaie donc de la concrétiser ?

 

Je restais comme deux ronds de flanc devant mon ordinateur, incapable de répondre…

 

- Tu es devenu muette, dis-moi ce que c'est ton fantasme et je vais essayer de t'aider !

 

Ben, non je ne lui dirais pas que mon fantasme c'était de jouer la pute ! Et ne sachant plus comment continuer cette conversation, je coupais, dubitative.

 

Tu parles que je vais concrétiser cela, je ne suis pas folle tout de même ! Ce que je me demande c'est pourquoi il me poursuit depuis ma première adolescence ? Sans doute parce que pour moi le sexe n'a jamais été quelque chose de spécial, le sexe n'est ni sale, ni diabolique, ni divin, mais terriblement banal, et quand j'ai demandé à mes parents au nom de quoi il fallait absolument que je me cache la zézette, que je me cache pour aller faire pipi, et que je ne devais pas essayer de regarder les zézettes des autres petites filles et encore moins les zizis des petits garçons, ben je n'ai tout simplement pas compris pourquoi ! Et je ne le comprends toujours pas ! Je n'ai jamais compris non plus pourquoi l'amour devait être exclusif, l'amour physique lié à l'amour tout court, et uniquement orienté vers les gens du sexe opposé.

 

Le sexe c'est bien, et parfois c'est même super, mais ses activités non pas à être rangées dans des catégories à part…

 

Sans doute est-ce pour cela que quand j'ai appris l'existence de la prostitution, non seulement cela ne m'a pas choqué mais ce milieu m'a alors fasciné !

 

Le corps n'est pas une marchandise disent les biens pensants de tous bords ! Pas d'accord, dans le monde marchand qui est le nôtre (et comment pourrait-il être autre que marchand ?) Tout le monde le vend son corps ! Il fait quoi d'après vous le gros costaud à l'entrée du super marché : Il loue ses muscles et sa force à une société de gardiennage, et l'ingénieur informatique passionné de simulation de vol et qui travaille pour une société de consulting, il vend bien les capacités de son cerveau. Et à ce que je sache tout le monde trouve cela normal, alors pourquoi s'offusque-t-on tant quand au lieu de muscles, au lieu d'idées, il s'agit de sexe ? Et puis il y a un autre principe c'est celui de la liberté de faire ce qu'on veut de son propre corps, y compris de se prostituer.

 

Oui, mais les maquereaux ? Ah ! L'argument massue, celui auquel on ne peut rien répondre, peut-être que les proxénètes ne sont pas tous des salauds, il y en a sans doute qui sont gentils avec leurs filles ? Mais je ne creusais pas trop le sujet… me contentant de rêver d'une prostitution libre et volontaire… jusqu'au jour où j'appris que ça existait ! Voilà qui réconciliait ma morale avec mon fantasme !

 

Ce n'était qu'un fantasme, pourtant j'en extériorisais les aspects que je croyais liés à la fonction. J'aimais le genre "pute" mais sans exagération, c'est pour cela sans doute que je me décolorais en blonde, adorait les rouges aux lèvres et les vernis à ongles rouge cerise, ainsi que les sous-vêtements froufroutants.

 

Concrétiser ce fantasme ? Je me surprenais à évoluer dans ma réflexion. Après la première période de refus net et instinctif, un petit mais alors un tout petit " pourquoi pas ? " Et puis le glissement vers le " si je le fais, je fais comment ? " Et là ce fut le bide, je ne me sentais pas assez " engagé pour passer une annonce ", allez draguer un mec dans un bar me semblait d'un parfait farfelu... Laisse tomber, Pauline...

 

Et puis l'idée me vint comme ça un beau matin ! Si j'allais voir ? Juste voir ! Pourquoi faire ? Pour rien, pour voir ! Me répondis-je en me mentant à moi-même. Je m'habillais alors très simplement, ne souhaitant pas me faire remarquer, et me contentais d'un jeans et d'un tee-shirt discret...

 

C'est la première fois que j'arpentais cette rue chaude, on n'y vient pas par hasard, à part les filles, les sex shops et quelques grossistes en prêt-à-porter il n'y a rien à voir.

 

Mais les filles justement... Elles n'étaient pas vraiment comme je l'avais imaginé, peu d'entre-elles arboraient des tenues provocantes, la tendance allait sinon du sexy mais sage, petite jupe et décolleté tout ce qu'il faut de suggestif, jusqu'à des tenues qui ne pouvaient faire deviner les activités de celles qui les portaient, des jeans, des pantalons en toile, des tailleurs...

 

Je fis toute la rue, puis quand il n'y eut plus rien à voir, je m'aperçus que cette curieuse ambiance m'excitait presque, alors je la refis dans l'autre sens ! Cinglée, j'étais cinglée, je n'allais pas refaire le chemin une troisième fois ? Si mais cette fois ci, je souhaitais aller plus loin, il me fallait trouver un prétexte pour discuter avec l'une d'entre elles ! Mais que trouver ?

 

Je me payais une halte dans un bistrot ou derrière un diabolo menthe j'essayais d'échafauder des scénarios qui tiennent un peu la route, l'une des solutions qui me tentaient était carrément de payer une passe, et une fois dans la chambre, j'aurais payé mais on se serait contenté de discuter, mais est-ce que ça se fait, ce genre de truc ?

 

Et au bout d'une demi-heure de réflexion j'hésitais entre le " casse-toi Pauline " ou le grand jeu consistant à demander à une de ces dames comment on fait pour le devenir à son tour !

 

Restait à mettre au point les formes, plus facile à dire qu'à faire, il ne s'agissait pas de débouler avec mes gros sabots " bonjour madame la pute ? Moi aussi je peux jouer au même jeu que vous... " Et puis à trouver celle que j'oserais aborder...

 

Et c'est parti pour refaire la rue, pas évident, je vais un peu dans les rues adjacentes que j'avais négligé et où les tenues sont légèrement plus osées, Je cherche une fille qui est seule, si je me fais rembarrer, je n'ai pas envie de me faire humilier devant quinze nénettes. Il faut aussi que son visage transpire une certaine gentillesse ou disons une certaine disponibilité... Pas évident !

 

Pourquoi pas cette fille qui doit approcher la quarantaine, en blouson de cuir et mini-jupe, le visage est doux encadré par de beaux cheveux auburn.

 

Pas de bol, un mec l'approche, je crois que je vais être bonne pour continuer mes recherches, mais non, l'importun s'en va importuner une autre péripatéticienne et me laisse donc le champ libre :

 

- Excusez-moi de vous déranger !

 

Sourire poli de la fille qui doit s'attendre à une demande de chemin !

 

- Vous allez sans doute me trouver bizarre mais j'aimerai que quelqu'un m'indique comment faire si je veux pratiquer le même métier que le vôtre ?

 

J'ai dit ça dans un souffle et je suis rouge comme une tomate !

 

- Hein ?

- Vous souhaitez que je répète ?

 

(En serais-je seulement capable ?)

 

- Non, mais vous êtes sérieuse ?

- Oui !

- Je ne peux pas vous expliquer ça, comme ça sur le trottoir en cinq minutes, mais sérieusement vous y pensez vraiment ?

 

Ça ne fera que deux fois qu'elle me demande si je suis sérieuse. Mais elle ne m'envoie pas balader, c'est déjà ça, je me raccroche aux branches...

 

- Si nous pouvions en discuter un quart d'heure...

- Après mon travail, alors...

- Euh, si vous voulez, je vous paie le prix d'une passe et on en discute tout de suite !

- Décidément j'aurais tout vu dans ce métier !

- Euh, vous acceptez ?

- Viens, dit-elle !

 

Je la suis, je n'en reviens pas que la chose ait été si facile ! On traverse la rue, je me demande où est son studio mais c'est vers le café qu'on se dirige, je suis un peu déçue, j'aurais aimé m'imprégner de l'ambiance d'un studio de passe.

 

Alors, on a discuté.

 

- Pourquoi tu veux faire ça ? (et hop pour le tutoiement)

- C'est un fantasme...

 

Je lui explique tout, elle me regarde dubitative.

 

- Je suppose que pour vous... que pour toi aussi c'était pareil ? concluais-je

- Non, j'avais des ennuis d'argent, ça m'a dépanné et puis, je suis restée.

 

Oups ! Je découvre beaucoup de choses aujourd'hui, mon fantasme va-t-il résister à toutes ces démythifications ?

 

Elle me dit son prénom, Sylvie, elle me raconte, les clients... leurs fantasmes, leur comportement...

 

- Tu te figures que ce ne sont que des pipes et des levrettes, ben non, certains vont te demander de les fouetter, d'autres de les sodomiser, d'autre de leur pisser dessus !

- Ah !

- Ben, oui ce qui fait que certaines craquent, pour faire ce métier il faut aimer le sexe, mais sous toutes ces formes, il faut aimer jouer, et le premier jeu c'est de dominer ton client, il faut lui faire comprendre que c'est toi qui mène le jeu quel que soit l'argent qu'il te donne. C'est essentiel, une pute n'est pas une femme soumise, c'est une femme qui loue librement son corps, mais en garde la possession, Je peux refuser un client, je peux aussi le foutre à la porte s'il me prend la tête, je peux aussi refuser une pratique !

- Tu refuses quoi ?
- En fait pas grand chose, je dis aux clients que je ne fais pas de sodo, mais parfois j'en fais quand même, je refuse aussi de me faire attacher...
- Même si c'est un client que tu connais bien ?
- Oui, parce que personne n'est à l'abri d'un coup de folie, on ne connait jamais complètement les gens.

Et puis elle me parle des mauvais côtés du métier, les clients agressifs, comment dédramatiser, les clients collants avec qui il faut user de diplomatie, les rivalités entre filles, les insultes de groupe de jeunes qui arpente la rue pour se moquer des professionnelles, les problèmes bassement matériels, le refus des crédits pour les voitures, la difficulté à trouver un logement, un logement pas un studio de passe... le prix des chambres, la sécurité... et puis l'engrenage du métier, l'habitude de l'argent facile, la peur que quelqu'un nous reconnaisse, le grand vide quand il faut raconter sa vie à ceux qui ne savent pas...

 

- Et concrètement si je voulais commencer ?

- Je peux te prêter ma chambre pour quelques passes, ça se fait, normalement tu me devrais un petit quelque chose là-dessus mais on verra ça plus tard !

- Ah, oui au fait ça fait une demi-heure qu'on cause, je te dois combien ?

- Laisse tomber !

- Il n'y a pas de raison !

- Laisse tomber, considère que c'est un service, j'ai répondu à tes questions, je t'ai mis en garde, tu ne me dois rien !

 

J'étais assez gênée, allait donc venir le moment du rendez-vous réel, du grand saut, j'aurais encore toute la soirée et toute la nuit pour éventuellement y renoncer.

 

- Il y a un truc qui m'a intéressé dans tes fantasmes Reprit Sylvie. C'est quand tu m'as dit que tu fantasmais sur les interdits, en fait, tu transgresses !

- Oui c'est un peu ça !

- Et sur les pratiques marginales, tu transgresses aussi !

- A peine, il m'est arrivé de me foutre une carotte dans le cul, mais bon !

- Et les femmes !

- Les femmes ?

- Tu n'as jamais fantasmé sur les femmes !

- Non, enfin si, un peu, parfois dans mes fantasmes de... pute, excuse-moi du terme il y a une autre femme, mais c'est parce que le client l'a demandé.

- Elle est comment la femme ?

- Blonde !

- Dommage qu'elle ne soit pas auburn !

 

Je comprends l'allusion ! Ben voilà autre chose ! Je ne réponds pas, je ne sais pas quoi dire.

 

- Tu n'as jamais croisé une femme, en te disant celle-là je me l'enverrais bien !

 

Elle m'énerve avec ses questions, pourquoi n'est-elle pas plus directe ? Au moins ce serait clair ! Mais alors que je souhaitais l'éloigner du sujet, je préfère, faire l'intéressante en voulant l'étonner :

 

- J'ai fait mieux que ça, je m'en suis déjà envoyé une !

- Il y a longtemps ?

 

Pas folle la nana, elle s'arrange pour me faire raconter le truc, de vieux démons que je croyais calmés vont ressurgir, mais je me prends au jeu, je raconte.

 

- Assez, oui j'étais jeune et en vacances chez de la famille à la campagne. On était toute une bande et ça flirtait pas mal, il y avait dans le village une très belle jeune fille avec une belle prestance, la chevelure de feu comme on dit et je m'étonnais qu'elle fasse bande à part, comme je m'en étonnais auprès de mes camarades, j'ai eu alors droit comme toute réponse "Ne t'y frotte pas, c'est une gouine". Déjà je n'ai pas aimé la réponse, je n'aime tout ce qui ressemble à de l'exclusion. Alors par esprit de contradiction j'ai été l'aborder…

- Carrément !

- Oui je lui ai glissé un papier dans les mains quand elle est sortie de la boulangerie, je lui disais que je voulais la rencontrer à la sortie du village et qu'elle n'avait rien à craindre.

- Elle est venue ?

- Oui, sa réaction m'a fait rire, elle était sur le qui-vive, elle m'a dit "si c'est un guet-apens, je te préviens qu'il y a mon frère dans la voiture derrière avec une carabine… " Je l'ai rassuré, je lui ai dit que j'étais profondément choquée de la façon dont les gens la considéraient et que si elle le voulait bien, je pouvais lui offrir mon amitié pour les quinze jours qui me restait à être ici !

- Et alors ?

- Le lendemain on a été se promener en pleine campagne, on s'est arrêté dans un sous-bois, on a discuté, elle m'a mis en garde, m'a demandé si j'étais consciente de prendre un risque. Je lui ai répondu que je savais très bien ce que je faisais, trente secondes après on s'embrassait, trois minutes après on se tripotait les seins et on a quitté le coin qu'après une heure de galipettes.

- Vous avez fait quoi ?

- Tu veux vraiment des précisions !

- Je les imagine, mais j'aimerais bien les entendre.

- On s'est masturbé réciproquement, et après on s'est mis en soixante-neuf et on s'est sucé, ça a duré une éternité, c'était trop bon, c'était la première fois que quelqu'un d'autre me faisait jouir. J'ai cru alors que j'avais trouvé ma voie.

- Il n'y a pas eu de suite ?

- Non, le lendemain elle ne pouvait pas, le surlendemain elle avait un empêchement, le jour d'après c'était autre chose, bref elle me fuyait. Je me suis arrangée pour qu'on se voie juste cinq minutes. Alors elle m'a dit que j'étais la reine des connes et que je ne comprenais rien, et devant mon insistance elle m'a presque crié qu'elle était tombée amoureuse de moi, et que sachant que cela ne mènerait nulle part, elle préférait arrêter tout de suite. Je n'ai pas su quoi répondre.

- Pourquoi tu pleures ?

- Je ne pleure pas ! Mais pourquoi tu me fais raconter ça, aussi ?

- Si tu me l'as raconté c'est que tu avais envie de le faire ! Et tu n'as jamais eu d'autres expériences.

- Non j'ai passé les derniers jours de vacances en boudant tout le monde, quelques temps après j'ai fait la connaissance d'un garçon qui me faisait rire, il était sympa, s'occupait bien de moi, et m'a fait oublier ma rouquine, quant aux lesbiennes, et bien elles ont après cela disparues de mes fantasmes… enfin presque.

 

Sylvie me sourit, j'ai l'impression complètement idiote que l'ai excité avec mon histoire à trois euros

 

- Et tu n'as jamais eu l'occasion de recommencer !

- Non, mais je n'ai pas cherché…

- Et l'envie ?

- L'envie ?

- L'envie de recommencer ?

- Non, enfin, si, enfin je ne sais pas !

- Tu ne serais pas contre, quoi ?

- Il faudrait des circonstances, il faudrait que la fille me plaise…

- Et que tu plaises à la fille ?

- Aussi oui !

 

A nouveau, un sourire éclaira le visage Sylvie, c'est incroyable comme un simple sourire peut changer le visage d'une femme ! Elle prit ensuite une profonde inspiration

 

- Ouais… Tu sais ce que j'aurais dû faire avec toi, c'est t'emmener en chambre, me faire payer et te dire maintenant on fait l'amour et après on discutera si tu veux ! Tu aurais fait quoi ?

- J'en sais rien, je me serais peut-être sauvée en courant, tout dépend de la façon dont tu y serais prise !

- T'es pressée ?

- J'ai tout mon temps !

- Allez suis-moi, je t'embarque !

 

Je ne réfléchis même pas, je la suis comme si la chose allait de soi, on monte un escalier assez sinistre et on pénètre dans ce qui ressemble plus à une chambre de bonne qu'à un studio. Il y a sur une planche une véritable collection de godes de toutes tailles, des instruments de flagellation sont accrochés au mur, il y a des menottes, des pinces.

 

- Il faut vraiment que je me procure tout ce fourbi ?

- Mais non, c'est la collection de la fille de nuit, la plupart des objets ont été offert par des clients

- Mais, je voulais te demander…

- Rien du tout ! Me coupe Sylvie. Tu vas me payer la passe, tu vas t'occuper de moi, et après on rediscutera peut-être !

- Euh, c'est combien !

- C'est 50 euros, mais si tu rajoute un billet je serais encore plus gentille.

 

Je suis subjuguée, Sylvie sans s'occuper de moi plus que ça est en train de se déshabiller et se retrouve bientôt complètement nue ! Et non, elle ne garde ni ses bas, d'ailleurs elle n'en n'avait pas, ni ses chaussures… elle est nue comme un ver. Elle n'est pas mal, une jolie peau un peu cuivrée qui lui fait de belles épaules, les seins sont moyens avec de gros tétons bruns, les jambes bien galbées, bref un beau brin de fille, bien conservée. Elle fait quelque pas, ramasse l'argent que j'avais posé sur une petite table et m'interpelle :

 

- Ben alors, qu'est-ce que tu attends, déshabille-toi !

 

C'est complètement surréaliste, je suis là dans la chambre d'une prostituée rencontrée une heure avant en train de me déshabiller et je m'apprête à faire l'amour avec elle ? Ça y est, je suis nue, Sylvie me dévore des yeux, elle vient à ma rencontre et sans préavis se met à me sucer les seins, je me laisse faire, elle passe d'un téton à l'autre et me pelote les fesses en même temps ! Ce petit jeu dure cinq bonnes minutes, puis ma complice s'arrête brusquement, se jette sur le lit, se met sur le dos et écarte ses jambes !

 

- Viens t'occuper de moi !

 

Bon j'arrive, je la caresse, sa peau est douce et m'attarde un peu sur ses seins, je les goutte, drôle d'impression que le contact de ses bourgeons turgescents, mais ça m'excite, ça m'excite…

 

- Viens me lécher !

 

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Je me positionne entre ses jambes écartées, et m'approche, elle est rasée de façon assez curieuse, les poils pubiens forment un léger triangle brun, par contre la vulve est imberbe de même que le départ des cuisses. Ou bien elle se rase tous les matins ou alors c'est de l'épilation laser ! Je n'ai jamais vu de sexe féminin depuis ma petite fantaisie avec ma camarade de vacance. Les grandes lèvres semblent gonflées d'excitation et sont luisantes de mouille. Sylvie serait donc réellement excitée, et de savoir que c'est moi qui lui provoque un tel état me remplit de satisfaction ! J'écarte un peu tout ça, c'est d'un très joli rose foncé. J'ai soudain envie d'y goûter. Ça tombe bien c'est justement ce qu'elle souhaitait, j'embrasse un peu ces chairs délicates du bout de mes lèvres, puis soudan prise d'une frénésie incontrôlée ma langue s'agite, balaie, tournoie, lape, s'enivre de ce curieux mélange sucré salé. Sylvie râle de plaisir, je voulais prolonger le plaisir, mais manifestement je la sens prête, dois-je attaquer à présent le clitoris, lui demander me semble incongru, alors je commence, si cela ne lui convient pas, elle me le fera savoir... Ça doit lui convenir puisque les râles se rapprochent, je fais de mon mieux actionnant mon petit bout de langue sur ce curieux zizi miniaturisé, elle continue de mouiller de façon impressionnante, et je comprends maintenant le rôle de la serviette posée préalablement sur le dessus de lit. Je la sens soudain se raidir, et la voilà qui hurle ! Elle n'est pas bien, elle va alerter la maison ! Ça ne rate pas on frappe à la porte !

 

- C'est quoi ? questionne Sylvie

- Tout va bien Sylvie ? Demande une voix féminine.

- Ça baigne ! Répond cette dernière sans rire !

 

Elle se lève !

 

- Ben, dis donc, ça fait du bien ! Clame-t-elle !

 

Je ne sais pas trop quoi lui dire, et mon propre plaisir alors, elle pourrait me rendre la politesse, je ne comprends même pas qu'elle n'y pense pas, à moins qu'elle ait une idée derrière la tête... Une question me taraude pourtant l'esprit :

 

- Tu jouis comme ça souvent ?

- Quand je me lâche seulement ! Répondis Sylvie sibylline.

- Mais avec les clients !

- Il est exceptionnel que l'on jouisse avec les clients, non pas par blocage ou je ne sais quoi de psychologique mais tout simplement parce que les conditions ne sont pas réunies pour que ça se fasse. Mais il y a des exceptions, j'avais un client qui me suçait divinement, il est parti en province, je ne vois plus...

- Son truc c'était de te faire jouir ?

- Ben oui comme fantaisie on peut trouver pire, non ? Les premières fois, je faisais semblant, il ne s'y prenait pas trop bien, alors je l'ai guidé, je lui ai appris à le faire... et il était fou de joie quand je l'ai revue, et tu sais pourquoi il était fou de joie ?

- Dis ?

- Parce que il pouvait maintenant faire jouir sa femme !

- C'est dingue !

- Comme tu dis, et ça n'empêche pas toute une bande d'abruti de proférer les pires conneries sur les putes et leurs clients !

 

Sylvie s'assoit sur le bidet et entreprend de se laver ses parties intimes. Un bidet, quel horreur, ça existe encore ces machins-là ?

 

- Il y a de tout chez les clients, le premier tri c'est en bas, sur le trottoir, c'est ça d'ailleurs l'avantage du trottoir c'est qu'on peut trier. Tu refuses poliment tu dis "ça ne m'intéresse pas" tu détournes la tête, et tu ne lui réponds surtout plus... En chambre c'est plus difficile, mais si le mec à une propreté douteuse ou s'il est bourré et que tu ne t'en étais pas aperçu, tu lui rends le fric et tu le vires... ce n'est pas toujours évident...

- Je n'en avais pas imaginé toutes ces complications !

- Que veux-tu c'est un métier, ça s'apprend, et le meilleur apprentissage, c'est le terrain ! Jamais je ne t'encouragerais à le faire, je veux que ce soit clair, on est dans un système qui nous marginalise, c'est parfois un fardeau à porter, il n'y a pas que l'argent dans la vie !

- Alors pourquoi tu restes ?

- Parce que j'y suis bien, j'ai une bonne clientèle de base, des mecs avec qui je sais exactement ce qu'ils veulent, et puis il se crée des liens, des complicités, il m'arrive d'aller au restau avec certains, et même en chambre on parle de tout, on papote, en fait ils ne viennent pas chercher que du sexe... La plupart viennent pour assouvir des fantasmes que leur femme leur interdit. Si tu savais combien de bonnes femmes refusent encore de faire des pipes à leurs maris ! Mais d'autres viennent tout simplement parce que je crois que l'homme est fait pour avoir plusieurs femmes, alors au lieu de s'embarrasser d'une maîtresse ils viennent nous trouver !

 

Sylvie commença à se rhabiller !

 

- Tiens je te rends ton fric, c'était juste pour le fun !

 

Je sautais sur l'occasion :

 

- Garde-le et fais-moi jouir !

- Non, je te dois un panard, tu l'auras, mais pas aujourd'hui et celui que je vais t'offrir je te garantis que tu ne regretteras pas, mais pas aujourd'hui !

- Dis-moi pourquoi ?

- Parce que c'est moi qui décide, c'est toujours la pute qui décide, il faut apprendre à dire non, c'est la première chose ! N'accepte jamais des actes sans préservatifs, n'accepte pas que l'on t'attache, n'accepte pas deux mecs à la fois sauf si tu les connais, refuse les scénarios qui te débectent, pareil pour les pratiques... et surtout ne te fais jamais embrasser sur la bouche !

- C'est une tradition ?

- C'est plus que ça, c'est l'affirmation que tu fais ce que tu veux, uniquement ce que tu veux, et que même si le mec te paye un pont d'or tu n'es jamais à vendre, on te loue pour des services, c'est tout et tu n'as même pas à te justifier, non c'est non !

- Tu ne l'as jamais fait alors

- Si mais ça à une signification profonde, ce geste n'appartient pas à la prostitution, cela signifie simplement que les rapports seront désormais différents, que tu changes de statut, ce n'est plus la pute que le mec vient voir, mais la "pute qui embrasse ", c'est une situation exceptionnelle, mais qui peut être dangereuse, tomber amoureux de son client ne mène nulle part, du moins la plupart du temps. Tu peux aller avec un client jusqu'à une énorme complicité, jusqu'à de l'amitié, mais ne va pas au-delà !

 

Tout en parlant, Sylvie est en train de ramasser des affaires et les entasser dans un sac de sport.

 

- C'est pour ça que je te dis non aujourd'hui pour que tu t'en souviennes toujours ! Tu dois savoir dire non, fermement, définitivement.

- Tu as fini ta journée ?

- Ouais, normalement je finis dans une demi-heure mais j'ai la flemme de redescendre.

- Tu montes souvent avec des femmes !

- Jamais !

- Jamais ?

- C'est extrêmement rare qu'une femme nous aborde pour une passe, une fois par contre j'ai monté un couple.

- Il n'y a pas de femmes prostituées pour les femmes ?

- Bien sûr que si, c'est même une spécialité, ça s'appelle les michettes, mais simplement ça ne se passe pas sur le trottoir, ça se passe dans des clubs, par petites annonces ou par Internet... Bon on descend ensemble ?

 

On descend l'escalier, on croise une de ses collègues suivi de son client...

 

- Je vais par-là, toi aussi ?

- Oui ! Je t'ai fait perdre de l'argent, ça me contrarie un peu.

- C'est pas bien grave, tu sais parfois le matin, je décide ne pas venir tout simplement parce qu'il ne fait pas beau, ou parce que je me sens fatiguée ou tout simplement parce que je n'ai pas envie, alors on ne va pas chipoter pour une demi-heure et puis ça m'aura permis de te connaître, ça donne du piment à l'existence...

 

On a été jusqu'au métro, on s'est fait un bisou, elle m'a refilé son numéro de portable

 

- Réfléchis bien ! M'a-t-elle redit

 

Et voilà... Me revoilà toute seule avec ma conscience ! J'ai découvert un milieu que je caricaturais, je pense que le fantasme n'y survivra pas, alors à quoi bon concrétiser ? Mais le fait d'avoir fait jouir une fille me donne de nouvelles perspectives.

 

J'ai bien dormi cette nuit-là ! J'ai mis mon réveil pour être prête au cas où, mais ma décision est pratiquement prise, je n'irais pas m'embarquer là-dedans et la chatte de Sylvie restera un merveilleux souvenir

 

On souffle un peu !

 

Et c'est là chers lecteurs que l'on s'aperçoit que la littérature est aussi très pute, pace que je fais exactement ce que je veux avec le lecteur !

 

Par exemple :

 

Hypothèse 1 : J'arrête le récit à ce stade, la fin est ouverte, le lecteur la finira dans sa tête ou il ne la finira pas

 

Hypothèse 2 : On, vous fait le coup d'un an après, elle retrouve Sylvie par hasard dans Paris, bisous, bisous, retrouvailles, elles se sautent et se mettent en ménage, quant à Pauline elle se prostitue ou elle ne se prostitue pas, c'est selon l'humeur de l'auteur.

 

J'espère vous avoir intéressé. Bisous partout.

 

Marie_paule_perez@hotmail.fr

 

Ce texte a eu l'honneur d'être désigné comme premier prix du meilleur récit lesbos pour l'année 2004

 

 

What do you want to do ?
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Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Mardi 8 juin 2004 2 08 /06 /Juin /2004 10:21

Autrefois en Avesnois

par Ursulin

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Autrefois en Avesnois,

Je cueillais des noix

Le jour du Vendredi Saint.

J'ai toujours aimé faire le malin,

Mais que voulez-vous ? Je préfère cueillir des noix

Que de faire le pitre au chemin de croix !

 

Et je tombe sur un superbe échantillon,

Elle est là dans le chemin formant un joli petit rond

Et je m'en vais le ramasser,

Délicatement sans la casser

 

Et une voix sortit soudain de dedans ses cerneaux :

"- Je suis la noix magique, petit saligaud,

Ce vendredi tu m’as ramassé,

Ce jour-là, cette chose est un péché"

 

De frayeur, je lâchais la noix qui ne se brisa point

"- Tu m'as cogné, que faisais-tu quand le curé t'as oint ?

Tu mérites un châtiment

Pour ce double tourment.

 

Tu seras châtié pour ces outrages

Et devras te rendre à l'ermitage,

Me porter jusque chez sœur Rosalie

Et t'installer avec moi dans son lit..."

 

A un génie, jamais il ne faut désobéir

L’ermitage n’était point loin, à vrai dire.

Je m’empressais d’aller tirer la chenillette

Chez cette énigmatique cornette :

 

"- Que me veux- tu jeune impertinent ?

Aucun homme n’est admis dans cette annexe du couvent "

"- C’est que je ne suis point seul, j’ai avec moi une noix,

Cette noix m’a parlé, m’a dit de me rendre près de toi."

 

"- Alors rentre ! Que pouvons-nous contre la magie ?

Mais quel rôle dans ce sortilège me fera jouer ton génie ?"

"- Il faut te mettre nue sur ta couche, ouvrir ta chatte

Pour conjurer le sort, afin que je te besogne sans hâte."

 

"- Mais ceci m’est en principe interdit par Monseigneur l’évêque,

Et à moins que tu n’ais quelques ducats ou même un chèque,

Je ne te crois point, et ne ferais rien de tout cela !"

J’implorais à ce moment la noix afin qu’elle vienne me tirer de ce mauvais pas

 

Mais il ne se passa rien, alors quand sœur Rosalie voulut me mettre dehors

Je consentis à sortir quelques pièces en or

Alors la nonne défit sa chasuble noire

Ses gros seins laiteux ballottaient devant moi, n’osant y croire.

 

Elle s’est retournée, a ôté sa grande culotte

Me dévoilant son gros cul de bonne sœur et sa motte

N’y tenant plus

Je lui ai embrassé le cul

 

En ai écarté les globes, et passé ma langue peu sage

Dans le sillon, me délectant de son odeur sauvage

Puis la religieuse s’est couchée, les jambes écartées,

La touffe abondante, je l’ai reniflé, je l’ai tété.

 

Puis bandant comme un mulet

J’ai pénétré Sœur Rosalie d’un trait

C’est alors que j’ai entendu un bruit de noix qui éclate,

Senti des mains qui m’attrapent les reins et les flatte

 

J’ai peur, me retourne et je l’aperçois :

Une créature mi-homme mi-femme est derrière moi

Son visage est celui d’un ange en liesse

Ses seins sont ceux d’une antique déesse

 

Et sa bite est un dard merveilleux.

"- Continue ton ouvrage" me dit ce génie avec sérieux

"- Tandis que tu besognes la nonette

Dans ton petit cul je vais introduire ma quéquette !"

 

Me faire enculer parce qu’au lieu d’aller à la procession

J’ai préféré de moins nobles missions,

Voilà une punition bien singulière,

Mais qui, je suis sûr, ne déplaira point à mon derrière... !

 

Mais putain ! J'en faisais des rêves à la noix

Quand j'étais en vacances en Avesnois !

Mais de ces délires humides dans mon lit

J’ai toujours gardé une fascination pour ces femmes à zizi...

 

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Ursulin

 

J’étais un jour tombé sur une page web sur laquelle il n’y avait que ce titre qui m’avait bien plu, du coup j’en ai fait une version soft, puis une hard... L'Avesnois est la région d'Avesnes sur Helpe au sud du département du Nord, et non loin de Maubeuge

 

 

Ce texte a eu l'honneur d'être désigné comme meilleure poésie pour l'année 2004

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
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Dimanche 6 juin 2004 7 06 /06 /Juin /2004 10:58

Esclaves pour couple
par Wanda-Lee
d’après une idée d’Isabelle et Cédric

scat

Thémes abordés :  bisex féminine, bisex masculine, domination hard, fétichisme du pied, feuille de rose, scato, uro. 

L’échangisme est une pratique qui me gonfle ! C’est bien simple je ne veux pas en entendre parler ! Voir mon mari faire l’amour avec une autre est une éventualité que je trouve tout simplement insupportable ! Quant à m’envoyer un autre mec sous les yeux du mien, ben ça me gêne. C’est comme ça ! N’allez pourtant pas croire que je suis coincée ou arriérée ! Non, pas du tout, nous formons un couple très libéré, mais nous ne partouzons pas… du moins pas ensemble.

Mais… parce qu’il y a un mais…

Mais d’abord deux doigts (si je puis dire) de présentation : Je me prénomme Isabelle, j’ai 29 ans (en fait un peu plus) je suis brune, les cheveux mi-long bouclés, ma peau est légèrement mate et mes seins sont lourds, on me dit gentille et souriante, Cédric, mon compagnon est grand, musclé sans exagération, plutôt beau gosse et complètement obsédé. Nous sommes (nous essayons) d’être imaginatif en matière de sexe, et nous amusons souvent à des petits jeux de rôles où chacun à notre tour nous pouvons assouvir nos fantasmes

Mais depuis quelques mois, nous avons découvert, je devrais dire redécouvert, les plaisirs des jeux SM, il faut croire que c’était latent chez nous car nous nous y sommes mis avec une ardeur très volontariste.

Ça a commencé par des petits trucs, des fessées très pan-pan cucul, puis des fessées plus sérieuses, puis on s’est acheté un martinet. Pareil pour les pinces, au début on faisait joujou à pinces-tétés, puis on a utilisé des pinces à linges, on en est maintenant aux pinces de sex-shop. On s’attache, on fait des petites mises en scène et puis un beau jour Cédric m’a dit :

- Si on essayait de rencontrer un autre couple ?
- Je croyais qu’on était d’accord pour ne pas faire d’échangisme.
- Justement, ce n’est pas de l’échangisme, c’est du mélangisme.
- Ah !
L’idée a mijotée et un jour nous avons passé une annonce sur Vassilia

« Couple aimant la soumission recherche pour première expérience un autre couple qui nous dominerait dans un esprit de respect mutuel Voici les pratiques que nous aimerions mises en œuvre : fessées à la main, au martinet, à la ceinture, pinces aux seins et au sexe, cire de bougie, uro, nettoyage de cul, scato légère, gifles, crachats, insultes, humiliations. Nous fantasmons aussi sur la bisexualité tous les deux  »

Et on nous a répondu…

L’annonce était un jeu. Nous ne savions pas alors si nous irions jusqu’au bout…

Mais nous nous sommes vite décidés…

Et un samedi en fin d’après-midi…

Un peu d’appréhension en arrivant dans cette villa de la banlieue sud de Paris. On se présente, Dany est une belle femme, la trentaine avec quelques rondeurs, les cheveux sont blonds décolorés mi-long et raides, on sent qu’elle s’est vêtue pour la circonstance, un pantalon en jean super moulant et un pull-over rose très décolleté, mettant bien en valeur une poitrine qui se sait avantageuse. Mario est un grand frisé avec de grandes moustaches, il fait un peu plus vieux qu’elle. Ils ont l’air sympathique mais je les sens un peu anxieux.

- Je vous propose de prendre l’apéro, ça va nous permettre de mieux nous connaître et de voir ensemble comment on peut faire ça, cerner les limites et tout ça… On en a déjà un peu parlé au téléphone, mais autant que les choses soient nettes… nous prévient notre hôte.
- C’est moi tout à l’heure qui donnerait le signal du début de la séance nous prévient Dany, et à ce moment-là vous serez nos esclaves. A ce moment-là seul un mot de sécurité pourra tout arrêter, et de façon définitive. Choisissez un mot !
- Polichinelle ! Proposais-je !

Tout le monde est d’accord. On trinque, on grignote quelques amuse-gueules, on parle de tout et de rien, mais on règle aussi quelques détails pratiques, le temps passe vite et au bout de vingt minutes nos verres sont vides. Mario allait nous resservir…

- Non tu ne les sers pas ! Le prochain verre c’est tout à l’heure, maintenant le jeu commence ! Intervient Dany

Appréhension !

- Commencez par vous mettre complètement à poil tous les deux, vous faites ça sans un mot et quand ce sera fait vous vous agenouillerez ici !

Je le fais, échangeant un regard avec Cédric, cherchant une étincelle de complicité, de réconfort, mais rien ne vient, il est aussi mal à l’aise que moi.

Nous sommes nus, à genoux : Dany n’a pas un regard vers mon mari, elle s’approche de moi, me toise avec mépris et me crache au visage !

- Tiens poufiasse !

Une gifle suit !

- T’es priée d’ouvrir la bouche quand je te crache à la gueule, espèce de pute, et tu dois me remercier.

J’ouvre la bouche, avale le second crachat ! La situation commence à m’exciter.

- Merci Dany !
- De rien ! Lève-toi que je qu’examine la marchandise ! Qu’est-ce que tu en pense toi Mario ?
- Pas mal, jolie poitrine !

Il s’avance vers moi, me pince les bouts des seins, me les tord, je crie, mais c’est bon !

- Arrête de gueuler s’il te plait, la fête ne vient que de commencer ! Me dit-il en me giflant le sein ! Et tourne-toi qu’on voit un peu ton cul ! Penche toi et écarte-moi tout ça, on a envie de voir ton trou à merde !

Je fis ce qu’il me demandait m’excitant de prendre une pose aussi obscène !

- Jolies fesses !

Mario se mit alors à me fesser à main nue, il tapait fort, plus fort que Cédric, mais ça restait supportable.

- Hum… elle me fait bander cette salope !

Il se recule, et ouvre sa braguette, libérant une belle verge bien tendue !

- Alors elle te plait ma bite ? Me nargue-t-il.
- Oui, elle est très belle, vraiment belle !
- T’aimerais bien la sucer, hein ?
- Oui, j’aimerais bien !
- Et bien pas de bol, c’est pas pour toi ! Tiens, toi au lieu de rêver dans ton coin… dit-il en s’adressant à mon mari, vient donc goûter à ma bite !

Cédric ne se fit pas prier, s’avança et engouffra la bite de notre hôte sans aucun problème !

- Allez suce moi bien, pédé !

Depuis le temps que mon mari m’en parlait, mais le voir réaliser son fantasme comme ça devant moi me faisait tout drôle !

- Tu as vu ce qu’il fait ton pédé de mari ? Il suce des bites ! M’invectiva Dany ! Dis-moi ce que ça te fait !
- Ça m’excite !
- Et ça va t’exciter aussi quand tout à l’heure Mario va bien l’enculer ?
- Je crois oui !
- Tu es vraiment une salope ! Ouvre la bouche !

De nouveau elle me cracha dessus !

- Merci !
- Bon, on fait un peu n’importe quoi ! Toi le pédé arrête de sucer et viens au pied du fauteuil avec ta pute !

Dany s’assit, et retira ses mules !

- Maintenant vous aller me lécher les pieds tous les deux ! Et vous léchez bien, je veux que ça bave ! Mario passe derrière eux et fout-leur des claques sur les fesses pendant qu’ils font ça, ça va les stimuler !

Ce qui était évident c’est que ses pieds ne venaient pas d’être lavés, ils sentaient même assez fort, mais le premier mouvement de recul passé, je m’efforçais de lécher ce joli panard bien dessiné, en me concentrant sur les orteils, le gros surtout que je léchais comme s’il s’était agi d’une petite bite ! Quant aux coups que m’assénait le grand frisé, cela m’émoustillait merveilleusement, d’autant qu’il les accompagnait d’insultes diverses :  » tiens prend ça grosse pouffe, tiens gros pédé »… et autres gentillesses. Dany se leva, et alla chercher deux colliers de chiens qu’elle passa autour de mon cou et de celui de mon mari, Mario arriva alors avec une cravache et nous la fit  » goûter  » de deux brefs coups très secs, ensuite Dany tira sur les laisses et nous demanda de la suivre, mais en restant à quatre pattes. On emprunta un petit escalier, pas évident de descendre un escalier à quatre pattes. Heureusement Mario nous frappait modérément et sans nous presser.

- Voilà notre petit donjon ! Déclara fièrement Mario, en ouvrant ce qui avait dû être une ancienne cave, ça ne m’a pas coûté trop cher, j’ai bricolé moi-même les deux croix de St André et j’ai retapé une vielle cage ! Ça vous plait, j’espère ?

Amusant, le type qui un moment abandonne son rôle de dominateur pour adopter le point de vue du propriétaire. La pièce est arrangée avec un certain goût, le mur a été reblanchi à la chaux, il y a sur les planches tout un assortiment de godes, de pinces, de poids et d’autres trucs dont je ne comprends pas toujours la destination. Sur un petit guéridon sont disposés quatre flûtes de champagne, mais je ne vois pas de bouteille…

Ils nous avaient prévenus qu’ils n’étaient pas trop fétichistes, Dany est toujours habillée, Mario aussi, bien qu’il soit toujours la braguette ouverte et le zizi de sorti !

nicole pag

Ce dernier s’en va chercher deux petites pinces à linge toute roses et sans aucun ménagement me les accroche au bout de mes seins. Elles serrent un peu fort, je serre les dents, m’efforce de ne pas crier.

- Supporte, m’ordonne-t-il ! Ce n’est rien du tout !

Et tout en me parlant il les fait bouger dans tous les sens. Je crie, ça fait mal mais c’est bon ! Je commence à m’habituer mais Mario me les retire, les replace aussitôt ! Oh, là là, ça fait super mal, puis recommence à les faire bouger, des frissons bizarres me parcourent le corps… Instant particulier où la douleur et le plaisir se croisent en de larges frémissements. Il s’amuse à ouvrir et à refermer les pinces, plusieurs fois de suite, des dizaines de fois de suite… Je pousse des ah ! Ah ! Tandis que mon entre jambe devient tout mouillé !

- On va rajouter des poids !

Est-ce que je vais supporter ! Oui, mais ça commence à être dur. Sa femme arrive avec une autre paire de pince à linge et les fixe sur mes grandes lèvres vaginales, elle aussi rajoute des pinces ! C’est trop je n’en peux plus.

- A quatre pattes ! Ordonne Dany

Et, oui dans cette position il n’y a rien qui puisse amortir la masse des poids qui se balancent librement au bout des pinces, mes tétons et mes lèvres sont tiraillées par milles feux… Un coup de cravache vient soudain me cingler le cul !

- Avance, pute !

Je bouge péniblement, avec toute cette quincaillerie ce n’est pas évident, mais les coups de cravache me font avancer. Trois fois ils me font faire le tour de la pièce. Je n’en peux plus. Faut-il que je leur dise où seront-ils assez intelligents pour s’en rendre compte ?

- Relève-toi !
- Elle me fait bander, cette salope, confie mon bourreau à son épouse !

Et en disant cela il entreprend de se déshabiller. Enfin ! Il est plutôt bel homme. Son érection est assez fantastique, j’ai soudain envie de lui sucer sa bite et pour la première fois l’idée d’un mélangisme non SM me traverse alors l’esprit. Il a dû s’apercevoir de mon regard, mais il ne dit rien pour l’instant, m’enlevant plutôt délicatement les pinces. Le retrait est toujours douloureux le temps que le sang se remette à circuler

- Décidément, tu la voudrais bien ma bite, hein salope ?
- Oui ! J’aimerais bien te la sucer ! M’entendis-je répondre.
- On t’a déjà dit que c’était pas pour toi ! Et tu vas nous dire pour qui c’est, ma belle bite ?
- Pour mon mari je suppose ?

Je reçois une baffe !

- Ce n’est pas la bonne réponse !
- Je ne sais pas…
- Tu dois dire, « ta bonne bite, ce n’est pas pour moi, c’est pour le pédé qui me sert de mari »
- D’accord, ce n’est pas pour moi, c’est pour le pédé qui me sert de mari, répétais-je comme un perroquet

Dany s’est enfin déshabillée, elle est belle, ses seins sont assez lourds, pales, laiteux, terminés par des pointes déjà bien excitées, la chatte n’est pas rasée, et est plutôt assez fournie. Elle s’approche de moi.

- Tu n’as pas honte, petite pute, de faire bander mon mari ?
- Non pas vraiment ! Crus-je intelligent de répondre.
- Alors ouvre la bouche ! Ou plutôt non, demande moi de te cracher à la gueule
- Crache moi dessus Dany, je le mérite !

J’ouvre un large bec et en reçois plein les gencives.

- C’est la première fois que tu te fais cracher dessus par une femme !
- Ben oui !
- Tu sais que tu m’excites ?
- Tant mieux, non ?
- T’es vraiment une salope

Et la voici qu’elle se colle à ma bouche, nous échangeons un long baiser baveux, puis elle se dirige vers mon mari, avec l’aide de Mario, ils l’attachent sur une des croix de St André, mais par devant. Il a immédiatement doit à une pince sur chaque téton et deux autres sur chaque testicule, il commence à faire un drôle de grimace. Ils accrochent les poids, ça devient spectaculaire, toute cette chair étirée. Puis Dany interroge son compagnon.

- Je le fais ou tu le fais ?
- Fais-le, c’est plus excitant !
- Oui, mais je suis moins doué que toi !

Qu’est-ce qu’ils projettent donc de lui faire, à mon bonhomme ?

- Justement, c’est ça qui est excitant !
- Bon, on y va, conclue Dany qui revient une cravache à la main.
- Tu devrais prendre le martinet, c’est plus pratique…

Elle change donc d’instrument, revient, ajuste son coup et vise la poitrine de Cédric, la pince s’agite. Il hurle ! Dany se demande un instant si elle n’y est pas allée trop fort, échange un bref regard avec sa victime, non tout va bien. C’est reparti ! Cette fois la pince a légèrement bougé mais sans tomber. Nouveau hurlement, nouvel échange de regard, Troisième coup ! Rien ne se passe.

- Si tu n’y arrives pas tu vas avoir un gage ! Rigole Mario !
- Pourquoi pas ?

Quatrième coup, la pince saute et dégringole. Dany ne laisse pas cette fois-ci Cédric récupérer, ajuste son coup sur la seconde pince et la fait sauter à son tour.

- Quatre coups c’est pas mal ! Se vante Dany ! Tu veux essayer de faire mieux ?
- Je devrais pouvoir !

La tête de Cédric ! Il va donc devoir supporter une nouvelle séance identique. Manifestement il hésite à dire quelque chose. Mais bizarrement on le détache, sans lui enlever ses pinces aux testicules, et c’est moi qui le remplace sur la croix ! Ah les salauds ! Comme si je n’avais pas assez dégusté tout à l’heure ! Et c’est reparti : Une pince à chaque sein avec son poids, une double pince sur chaque lèvre… Pas très rassurée, mais comme l’objectif de Mario est de faire moins de coups que sa femme, je devrais souffrir moins que Cédric… Ça y est, il arme son coup !

- Aieeeee !

Complètement raté, mais les coups de martinets qui m’atterrissent sur les seins, ça n’a rien d’agréable. Deuxième coup ! La pince dégringole ! Il doit donc faire tomber la seconde pince sur le troisième coup !

- Allez cingle lui les nichons à cette pute ! l’encourage, Dany dont les yeux luisent d’excitation.

Mario assure son coup, ça part, ça cingle, ça fait mal, je crie mais la pince est toujours là !

- Donne-moi ça ! Intervient Dany, lui reprenant le martinet.

Elle aussi rate son coup, elle ne tient pas compte de mes hurlements, et dans la foulée m’en assène un second, tout aussi mauvais, puis un troisième, je n’arrête pas de crier, ça y est la pince est tombée. J’ai mal, j’ai horriblement mal, les larmes me viennent aux yeux. Alors Dany s’approche de moi et me console avec un long baiser tout en n’omettant pas de me caresser partout. Quelle soirée. ! On me détache.

- Ça va ? Nous demande-t-elle.

On les rassure !

- Vous devez avoir soif, mes pauvres chéris ! Reprend-elle.
- Oui, ça nous ferait du bien !

Alors Dany, va chercher l’un des verres sur le petit guéridon et se met devant nous à pisser dedans ! Evidemment elle en envoie à côté, mais ça ne fait rien elle remplit encore un second verre.

- Tu en as foutu plein par terre ! Intervient Mario
- Et alors, on a des esclaves pour nettoyer, non ? Répond-elle. Allez tous les deux léchez moi toute cette pisse, et plus vite que ça !

Et tandis que nous sommes vautrés au sol à lécher le pipi de notre hôtesse d’un soir, je peux apercevoir Dany allumer la mèche de deux grosse bougies oranges et en tendre une à son mari. Je sais ce qui nous attends mais fait mine de rien et continue de ramasser de la langue l’urine de notre hôtesse. Moi qui ne connaissais que le goût du pipi de Cédric, j’avoue que celui-ci n’est pas mauvais, mais j’aurais préféré le boire à la source. Une goutte de cire chaude me tombe soudain sur le dos. J’aime cette sensation de douleur très brève qui semble s’évanouir dans le plaisir, D’autres gouttes suivent notamment sur mes petites fesses. Mon compagnon n’est pas épargné et en reçoit aussi sa part.

- Tournez-vous ! Mettez-vous sur le dos ! Vous n’êtes que des lécheurs de pisse ! Vous êtes dégueulasse !

On se retourne dans ce qui reste de la flaque d’urine, les gouttes tombent de plus en plus vite sur nos ventre, nos poitrines, j’en reçois même plein le nombril…En même temps ils nous crachent dessus… Ils ont l’air complètement déchaînés….

On a enfin l’ordre de se relever, on a plein de cire accrochée partout sur la peau. Pas très esthétique. Dany a rééquilibré les doses de son pipi dans quatre verres différents. Elle nous distribue les nôtres. Nous trinquons ! Trinquer à l’urine, quelle drôle d’idée !

- Cul sec ! Ordonne Dany

Je manque de m’étouffer, mais je le fais, ça a un peu du mal à passer, d’habitude j’ingurgite ce curieux breuvage par toutes petites quantités à la fois, là ça fait beaucoup mais ça passe !

- Remet-toi à quatre pattes ! M’ordonne soudain Dany

Que va-t-elle encore inventer, la voilà qui me contourne, elle commence par m’embrasser les fesses, voici qui me convient très bien, puis je sens sa langue fureter vers mon trou du cul.

- Dis donc, petite pute, ça ne sent pas vraiment la rose, ton trou du cul !
- Mais c’est comme ça que tu les aimes, non ? Répondis-je par réflexe.
- Impertinente ! Répond-elle ponctuant sa réponse d’une bonne claque sur la fesse. En fait ça sent la merde ! Tu n’as pas honte de te balader avec un cul qui sent la merde ?
- Non, j’ai pas honte ! Répondis-je en jouant la provocation.

Nouvelle claque sur les fesses !

- Tu vas voir ce qui va t’arriver, petite salope, petite merdeuse ! Tu vois mon doigt, tu vas le lécher, et après je vais te le foutre dans le cul et après quand je vais le ressortir, tu vas le lécher à nouveau… et même s’il est sale ! D’accord ?
- Vas-y !

Je lèche le doigt, elle me l’enfonce dans le troufignon, le fait tourner latéralement puis lui imprime un mouvement de va-et-vient, il ressort… assez pollué.

- Berk, j’ai le doigt plein de merde, maintenant ! Allez suce !

J’ai eu peur qu’il y en ait de trop, mais là ça va, le contact acre de la matière ne me dérange pas plus que ça, je lèche le doigt consciencieusement. Et décide d’être provocante !

- Encore !
- Non, ça te ferait trop plaisir !

Puis elle me laisse et s’empare d’un gode ceinture avec lequel elle s’harnache.

- Allez toi la pédale, amène toi, et viens me sucer cette jolie bite en plastique !

Cédric n’hésite même pas un instant et se met à sucer le gode comme s’il avait fait ça toute sa vie, il va falloir que je lui pose deux ou trois questions à ce zigoto quand nous aurons fini la séance.

- T’aime ça sucer des bites, hein ?
- Hummmm
- Ne parle pas la bouche pleine, je ne demandais pas de réponse. Tu sais ce qu’on fera la prochaine fois, on a deux couples d’amis dont les maris sont aussi pédés que toi, on va organiser un super truc et on te fera sucer toutes les bites, les unes après les autres.

A cette évocation, Cédric bande comme un mulet.

- Bon, assez sucé, maintenant tu te tournes et tu nous tends ton gros cul d’enculé !

Dany lui fait écarter les fesses et lui badigeonne l’endroit avec du gel, puis elle approche le gode, fait une première tentative, le gode ripe, je me marre, deuxième tentative, ça ripe encore. Mario vient l’aider à écarter les fesses et cette fois ça rentre. Ce n’est pas une brute, elle y va doucement

- Oumpfff ! Ompfff !
- Qu’est-ce qu’il y a, ça te plait pas ?
- Si, si mais faut que je m’habitue répond Cédric
- T’inquiètes pas, ça vient vite !

Dany accélère ses va-et-vient, mon petit mari à l’air aux anges, mais au bout de quelques minutes Dany s’arrête, et fait ressortir le gode !

- Ben dis donc, mon cochon, tu es aussi dégueulasse que ta pute : Tu as vu dans quel état tu as mis le gode, il est plein de merde !
- Je suis désolé ! Répondit-il histoire de dire quelque chose.
- A genoux et nettoie moi ce truc avec ta langue !

Je me demande s’il va le faire, on avait évoqué cette pratique tout à l’heure, entre nous on ne l’avait jamais fait… mais passer du fantasme à la réalité n’est pas toujours si évident… Il finit par le faire, d’abord assez timidement, puis de façon plus appliquée. Dany a l’intelligence de ne pas lui demander un nettoyage complet qu’il n’aurait peut-être pas assumé. Quoi que…

- Voilà, le passage est fait, Mario, tu vas pouvoir enculer cette pédale.

Et tandis que Mario prend un préservatif, et vient se placer derrière mon mari, Dany s’approche de moi le gode à la main ! La salope, elle ne va pas me faire ça ? Comment expliquer que quelque part ça me répugne et que je suis néanmoins toute excitée !

- Finis de nettoyer !

J’obéis docilement ! Me surprenant moi-même !

- Tu aimes ça, lécher la merde, hein ?
- Je ne sais pas si j’aime ça, mais ça m’excite de trop !
- Tu vas voir, tu ne vas pas être déçue tout à l’heure…

La bite de Mario est entrée du premier coup dans l’anus de Cédric ! Quel curieux spectacle de voir deux hommes nus qui s’enculent, j’en suis toute mouillée de voir ça ! Je ne distingue pas le visage de mon mari qui s’est mis la tête entre les mains, mais les cris qu’il pousse sont très bon signe, tout va bien pour lui, je m’approche ainsi que Dany pour observer de près le mouvement de piston de cette belle queue qui lui rentre et qui lui sort du cul… Mais soudain Mario décule, contourne Cédric, enlève très vite la capote et lui décharge sur le visage.

- Avale !

Cédric avale mollement ! L’autre respire !

- Tu veux jouir ? demande-t-il

 » Qu’il se réserve pour me baiser !  » Pensais-je fortement à ce moment-là, mais non, ce grand couillon lui répond qu’il va se branler ! Et moi alors ?

Un regard échangé avec Dany, on s’est comprise. Déjà elle m’enlace, elle m’embrasse, me suce les tétons, descend sur mon pubis, me lèche le sexe.

- Mets-toi par terre !

Je pose mon cul sur le carrelage ! Un instant après j’y suis allongée, Dany est sur moi, ses mains me parcourent la peau avec infiniment de sensualité, j’en fais de même, nos bouches explorent nos corps… Je ne sais pas par quelle magie nous nous sommes retrouvées en soixante-neuf, mais j’ai maintenant sa chatte dans ma bouche, je lèche, je suce. Ça sent un peu la pisse, mais ce n’est pas gênant, je lui mettrais bien un doigt dans le cul pour lui rendre la politesse…

- Tu feras ça après, ça va me déconcentrer !

Dommage, l’idée de faire ce geste m’obsède, mais je le remets donc à plus tard et m’applique à la sucer, pas évident, car de son côté elle est redoutable et me fait de sa langue monter mon plaisir, je finis par venir dans un fracas impudique. Le temps de reprendre mes esprits ma langue reprend son travail, ses halètements sont bon signe, ça va venir, et ça vient. Elle ne bouge plus, reste comme ça avec sa chatte à dix centimètres de ma bouche et tout d’un coup c’est la pluie, la voilà qui pisse comme une fontaine et moi j’ouvre la bouche pour avaler tout ça !

Je bois tout ce que je peux, le reste dégouline, je vais avoir les cheveux dans un état !

Dany a terminé sa miction, elle s’est légèrement reculée mais ne se relève pas, je comprends qu’elle pousse ! Elle ne va tout de même pas… C’est quoi le mot de sécurité déjà ? Mais les choses vont très vite, je vois un étron sortir du cul de la belle fausse blonde. Je suis incapable d’effectuer le moindre geste, d’emmètre le moindre son, à la fois fascinée et révulsé par ce machin marron qui me nargue. L’étron grandit, c’est maintenant un boudin qui se tortille et qui atterrit sur mes seins.

Je voulais de l’humiliation, me voilà servi. Mais qu’est-ce qu’elle fabrique maintenant, elle prend la merde dans ses mains, en prélève un petit morceau, l’approche de sa bouche et le lèche. Je viens de comprendre qu’elle va me demander de l’imiter.

Te dégonfle pas, ma fille tu en es capable ! Me dis-je.

J’ouvre la bouche je sors ma langue, je lèche le machin. Ouf pas de quoi s’affoler. Mais je suis heureuse d’avoir vaincu ce tabou.

Dany m’offre se lèvres, on se roule un patin. On se relève !

- Je vous propose une petite douche et après on va se faire une petite bouffe ! Propose alors Mario

Pas de problème, je vais à la douche en premier avec Cédric !

- Dis donc mon salaud, tu aurais pu venir me prendre à la fin au lieu de te branler !
- Tu n’as rien perdu au change ça t’a permis de t’envoyer Dany
- Les deux ne m’auraient pas fait peur !
- Alors tu vas te venger ?
- Un peu, oui, tu vas voir à la maison, la petite séance à deux que je vais te faire !
- Chic alors !

FIN

Wanda-Lee
rachel_b2000@hotmail.com

Annexe : l’histoire de l’histoire

Nous avions effectivement posté une annonce sur Vassilia, mais celle-ci demandait qu’on nous utilise dans une histoire de domination inter couple. Nous avons reçu trois réponses, l’une ne convenait pas du tout, les deux autres demandaient quelques modifications que nous avons demandées aux auteurs. L’histoire que vous venez de lire est l’une de ces deux-là, (l’autre n’était pas mal mais l’auteur n’a jamais fait les rectifications que nous lui avions demandés). Cette expérience a été extrêmement stimulante, érotiquement parlant, nous pensons déjà à un petit scénario pour une suite… mais rien n’empêche n’importe quel auteur de s’emparer de cette fiction et de la continuer à sa façon pourvu (et c’est la seule condition) qu’il prenne en compte nos choix, et qu’il considère que tout cela n’est qu’un jeu. Merci donc à Wanda-Lee et au site de Vassilia de nous avoir fait vivre cette expérience virtuelle.

Isabelle et Cédric.

 
Par Wanda Lee - Publié dans : Auteurs divers
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